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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 5 ans et 5 jours

Cromology en forte baisse sur le premier trimestre 2020

Du fait des mesures de confinement décrétées en Europe, le fabricant et distributeur de peintures a réalisé un chiffre d’affaires de 135,5 M€, en repli de -16,0 %.
Il y a 5 ans et 5 jours

JO 2024 : le groupement mené par Bouygues construira le centre aquatique

Le coût du centre aquatique olympique a été réévalué à la hausse, à 174,7 millions d'euros contre 113 selon un précédent budget prévisionnel.
Il y a 5 ans et 5 jours

Le Groupe Millet reprend progressivement son activité

La priorité : la sécuritéLe plan de reprise du Groupe MILLET a été établi pour assurer en priorité la sécurité de ses collaborateurs, et respecter les nombreuses mesures préconisées par le gouvernement. Il a été finalisé dès la fin du mois de mars et validé par son Comité Social et Économique.Dès le 1er Avril les équipes de production du Groupe MILLET ont repris progressivement le travail sur un rythme de 70 à 80% de ses capacités, dans le respect des nouvelles règles, à savoir respect des gestes barrières, distances entre salariés, usage de masques obligatoire, mise à disposition de gel hydroalcoolique et de produits désinfectants pour leur poste.Pour éviter les rassemblements le covoiturage est interdit, les arrivées se font en décalé, suppression des vestiaires et du pointage, espacements dans les salles de repas. Les cantines et toilettes sont désinfectées plusieurs fois par jour par une société extérieure afin de limiter les risques.Des équipes qui ont répondu présentAfin d'assurer l'accompagnement de ses clients, le Groupe a mis à disposition de ses salariés le matériel nécessaire au télétravail, prioritairement pour le service clients.L'application M Connect (disponible sur IOS et Android), est idéale pour informer les clients de l'état de leurs commandes en temps réel.Face à cette situation sans précédent, Le Groupe MILLET est fier de l'implication de ses équipes qui ont su s'adapter rapidement.Le Groupe MILLET est prêtLe redémarrage ayant confirmé l'efficacité des mesures prises, les capacités de production du Groupe MILLET sont opérationnelles à plus de 90%. L'ensemble du Groupe est désormais mobilisé et prêt pour traiter, fabriquer et livrer les prochaines commandes de ses clients.L'actualité évolue au fil des jours, le Groupe MILLET continuera de faire preuve d'agilité pour garantir la santé de tous ses salariés, préserver l'emploi et aider ses clients à reprendre leur activité au plus vite en garantissant un service optimal.
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : 11,3 millions de Français en chômage partiel

Il n'y aura "pas un couperet le 1er juin" pour le dispositif d'activité partielle mais "le taux de prise en charge de l'État sera probablement un peu moins important" au-delà de cette date, a-t-elle dit, sans plus de précision chiffrée.Cela concerne 890.000 entreprises.Interrogée sur le coût du chômage partiel (24 milliards d'euros), alors que certains députés de l'opposition jugent qu'il est sous-estimé par le gouvernement, elle a indiqué qu'elle avait "répondu à l'Assemblée"."Quand une entreprise déclare qu'elle va utiliser le chômage partiel, elle le déclare souvent pour tous ses salariés et pour trois mois complets alors qu'en fait ils vont reprendre au bout de quelques semaines", a-t-elle dit."On sait que c'est toujours des chiffres moins importants que ce qui était déclaré", a-t-elle dit, qualifiant de "vraisemblable" les 24 milliards d'euros.Comme on lui demandait si les parents qui doivent garder leurs enfants en raison des rentrées progressives dans les établissements scolaires allaient continuer à être indemnisés, la ministre a répondu positivement.Entre le 15 mars et jusqu'au 1er mai, ces parents bénéficient d'indemnités journalières via un arrêt maladie et vont basculer au 1er mai dans un système de chômage partiel.Le ministère anticipait jusqu'à présent que cela dure jusqu'à la reprise du 11 mai."Le système restera en l'état tout le mois de mai", a dit la ministre. "A partir du 1er juin, il faudra une attestation de l'école", a-t-elle ajouté.Interrogée sur l'assurance chômage, elle s'est bornée à répéter qu'il "fallait regarder s'il y avait des règles à adapter".Tous les syndicats demandent à l'exécutif de renoncer à une réforme jugée très sévère et dont une partie est déjà entrée en vigueur en novembre dernier.Interrogée sur une "année blanche" demandée par les intermittents du spectacle à travers plusieurs pétitions, elle a répondu que "la crise est malheureusement dans tous les secteurs", et fait état de "réunions de travail avec le ministère de la Culture".Quant à la reconnaissance du Covid-19 comme maladie professionnelle, pour l'instant décidée pour les soignants uniquement, elle a indiqué: "C'est un sujet dont on a discuté avec les partenaires sociaux".FO et la CFDT réclament qu'elle soit reconnue pour les autres professions. La Fnath (association des accidentés de la vie) et l'Association nationale des victimes de l'amiante sont insatisfaites également.
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : Le gouvernement appelle "un maximum de Français" à reprendre le travail le 11 mai

"Mon message est très simple: il faut que nous nous retroussions les manches tous ensemble", a affirmé sur LCI le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, au lendemain de la présentation du plan de déconfinement par le Premier ministre Édouard Philippe.A l'image du chef du gouvernement, le ministre a appelé à "poursuivre le télétravail" dans "les entreprises où il y a beaucoup de salariés et où il est encore possible", qualifiant cette mesure "d'appropriée pour que les choses se fassent progressivement avec le maximum de sécurité sanitaire".Il a aussi appelé les commerces qui rouvriront leurs portes le 11 mai à "prendre des mesures de précaution. Il faudra des guides de bonnes pratiques dans tous les commerces", a-t-il estimé.M. Le Maire a notamment jugé "normal" que "l'entrepreneur fournisse les masques quand il est nécessaire" à ses salariés."Il faut reprendre le travail et il faut qu'un maximum de Français reprennent le travail", a-t-il ajouté, multipliant les appels à la solidarité et ayant parfois recours au terme de "nation" pour inciter ses concitoyens à se mobiliser."Le retour à l'activité est indispensable pour la nation française. Nous devons retourner au travail, nous devons reprendre notre activité et nous devons le faire tous ensemble", a-t-il insisté.Dans son discours de la veille devant les députés, M. Philippe avait mis en garde contre "le risque de l'écroulement" de l'économie française si le déconfinement n'était pas mis en oeuvre "progressivement, prudemment".Pour cette année, le gouvernement table sur une forte récession avec une chute du PIB de 8%, la dégringolade la plus brutale depuis 1945."Il faut que ce retour à l'activité se fasse dans les meilleures conditions possibles le 11 mai", a ajouté le ministre, assurant qu'il souhaitait transmettre "un message d'optimisme et de volontarisme" aux entrepreneurs et aux salariés: "Nous allons préparer ça bien et nous allons réussir cela ensemble".M. Le Maire a également tenu à souligner que le gouvernement travaillait de manière "totalement solidaire" pour faire face à la crise et il a démenti à son tour l'existence de tensions au sein de l'exécutif, comme l'avait déjà fait la veille le président Emmanuel Macron. "Personne ne comprendrait, pas un Français, que nous ne soyons pas tous mobilisés au gouvernement, dans la majorité pour aider les Français et soutenir la France", a souligné le ministre, dont le nom circule dans la presse comme successeur éventuel de M. Philippe à Matignon.Plan de relance à la rentréeConcernant les mesures pour relancer l'économie française, il a estimé que le gouvernement ne présenterait "certainement pas" avant la rentrée, en septembre ou en octobre, son plan de relance de l'économie française, assurant qu'il fallait avancer étape par étape.Mais aux restaurateurs très en difficulté avec leur activité à l'arrêt encore de longues semaines et qui réclament une baisse de la TVA dans leur secteur, il a répondu qu'il n'était "pas sûr que ce soit l'outil le plus approprié".Plus généralement, il a insisté sur le besoin d'un plan de relance européen: "rien ne serait pire que d'avoir la France qui prend certaines dispositions pour son plan de relance et l'Allemagne qui ne prendrait pas des dispositions similaires".Selon lui, "il faut que la relance soit elle aussi massive et que notamment l'Union européenne réponde présent et vienne soutenir les plans de relance nationaux".Dans cette période de crise, avec des entreprises qui risquent la faillite ou qui subissent de fortes pertes en Bourse, M. Le Maire a annoncé le renforcement des mesures pour renforcer le contrôle sur les investissements étrangers.Le seuil de déclenchement du contrôle des investisseurs non européens prenant des parts dans une grande entreprise française sera "abaissé de 25% à 10%" jusqu'à la fin de l'année, et de manière plus générale le contrôle sera élargi au secteur des biotechnologies, a-t-il affirmé.
Il y a 5 ans et 6 jours

À quoi ressemble l'emploi des indépendants de la construction ?

CONJONCTURE. Dans une étude dédiée à l'emploi et à la rémunération des indépendants, l'Insee nous apprend que 3,2 millions de personnes exerçaient une activité non-salariée à la fin de l'année 2017. Ils étaient 364.000 entrepreneurs dans le BTP, généralement des hommes de plus de 30 ans avec des salaires plus "resserrés" que dans d'autres secteurs d'activité.
Il y a 5 ans et 6 jours

Distribution de masques pour le BTP et plan de relance en Auvergne-Rhône-Alpes

Laurent Wauquiez, va doter de 100.000 masques les petites entreprises du BTP de la région et engager un plan de relance de 150 millions d'euros pour "réenclencher la commande publique".
Il y a 5 ans et 6 jours

Rénovation énergétique: les régions attendent un signal de l’Etat

La rénovation énergétique fait partie des cibles identifiées par les régions de France pour une relance durable, à l’issue de la crise sanitaire. Cette priorité découle des travaux pilotés par Agnès Langevine, présidente de la commission Transition écologique et énergétique de l’association des régions de France et vice-présidente de la région Occitanie.
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : L’Unicem commande et distribue 400 000 masques

L’Unicem commande et distribue 400 000 masques destinés à ses adhérents. [©DR] Dans le contexte tendu qu’est la lutte contre le Covid-19, l’Unicem se mobilise de nouveau. Cette fois-ci, en collaboration avec les équipes du ministère de l’Economie et des Finances pour la distribution de 400 000 masques de protection. Ces commandes ont nécessité un gros travail de sourcing, afin d’éviter toutes contrefaçons. Destinés aux adhérents, les masques s’inscrivent dans le plan de continuité ou de reprise des activités. « C’est une étape clef pour permettre aux entreprises du secteur de continuer leur travail dans des conditions optimales », indique Nicolas Vuillier, président de l’Unicem. Ainsi, quelque 200 entreprises sont en cours d’approvisionnement, certaines ayant déjà pu en bénéficier.
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : Élisabeth Borne salue les efforts de la filière nucléaire

Le comité stratégique de la filière nucléaire s'est réuni autour d'Élisabeth Borne pour présenter les mesures mises en œuvre pour répondre aux problématiques rencontrées par les acteurs de la filière - exploitants, donneurs d'ordre, sous-traitants - en cette période de crise sanitaire. Il s'agissait de s'assurer de la mobilisation de l'ensemble des métiers du nucléaire nécessaires à la continuité de l'approvisionnement électrique et de la bonne application des mesures de protection sanitaire des salariés.La filière a présenté les mesures spécifiques mises en œuvre qui permettent d'assurer l'approvisionnement en énergie du pays, et notamment l'adoption saluée d'une charte de bonnes pratiques en période de crise sanitaire, traduisant les engagements pris par les grands donneurs d'ordre vis-à-vis de leurs salariés et des sous-traitants.La ministre a insisté à cette occasion sur l'importance d'une bonne coordination des arrêts de réacteurs nucléaires dans les semaines et mois à venir pour travaux de maintenance et rechargement en combustible, afin de maximiser la disponibilité du parc de production pendant l'hiver. La filière devra s'assurer de la mobilisation de chaque acteur pour relancer ces chantiers dans les meilleurs délais pour tenir cet objectif.Enfin, la filière a présenté ses propositions en vue de retrouver rapidement une croissance durable au sein des entreprises du secteur, composé majoritairement de petites et moyennes entreprises. Plusieurs de ces mesures font déjà l'objet de travaux avec l'Etat, dans le cadre notamment de la Programmation Pluriannuelle de l'énergie, publiée le 23 avril 2020, ou du Plan National de Gestion des Matières et Déchets Dangereux.
Il y a 5 ans et 6 jours

Dalkia et la Fib, nouveaux adhérents à France Industrie

La Fib et Dalkia viennent de rejoindre l’organisation professionnelle France Industrie, portant à 67 le nombre de ses membres actifs. France Industrie] France Industrie se renforce avec l’adhésion de deux nouveaux membres. D’une part, Dalkia, la filiale “valorisation des énergies renouvelables et des économies d’énergie” d’EDF. De l’autre, la Fédération de l’industrie du béton (Fib). Assurant la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton, la Fib assure la représentation de ce secteur industriel. Ceci, auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Ses adhérents sont des TPE, des PME et des PMI, réparties sur l’ensemble de la France selon un maillage territorial très dense. Ce sont des entreprises industrielles du béton locales, créatrices de richesse et d’emplois directs. Et surtout non délocalisables. Le rôle de chacun des protagonistes France Industrie est l’organisation professionnelle représentative du secteur industriel sur le territoire national. Elle rassemble 23 fédérations sectorielles et les présidents de 44 grandes entreprises privées et publiques. Ces dernières intervenant dans tous les secteurs industriels. Avec l’appui de ses adhérents, l’organisation s’attache à promouvoir l’image des métiers industriels auprès des jeunes. Ainsi qu’à engager des actions sur les enjeux prioritaires communs à toute l’industrie. Désormais, France Industrie compte 67 membres actifs. « Je tiens à saluer l’arrivée de ces deux nouveaux adhérents au sein de France Industrie. Plus que jamais en cette période critique pour l’économie française, l’expertise de Dalkia et la représentativité de la Fédération de l’industrie du béton vont contribuer à relever tous ensemble les défis de l’industrie de demain », a déclaré Philippe Varin, président de France Industrie.  Et Bertrand Bedel, président de la Fib, de conclure : « En cette période difficile pour notre secteur et notre industrie, la Fib aura à cœur d’appuyer France Industrie. Ceci, pour valoriser le rôle fondamental des industriels du béton et promouvoir l’image de leurs métiers auprès des jeunes. Dans ce cadre, elle s’engagera pleinement à ses côtés pour mener des actions à forts enjeux d’avenir. Et ce, tant le monde d’après devra concilier dynamique économique et attractivité des territoires, innovation et numérique. Ainsi qu’économie circulaire et excellence environnementale ».
Il y a 5 ans et 6 jours

Un écrin brut pour le musée des Arts décoratifs

La réouverture de l’aile Rohan du MAD a été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode”. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Nicolas Cèbe, architecte-co-fondateur, Jérôme Stablon, architecte-co-fondateur, et Guillaume Cantardjian, architecte-co-fondateur de l’atelier d’architecture Bien Urbain. [©Bien Urbain] Au musée des Arts décoratifs (MAD) de Paris, les galeries dédiées à présenter les expositions temporaires sur la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre. Le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli (Ier arrondissement) la bordent. Les Galeries de la Mode ont été repensées, à la demande de l’institution. Et ce, grâce au mécénat de Stephen et Christine Schwarzian. Ceci, par les équipes du Studio Adrien Gardère (scénographe). Qui, pour l’occasion, s’est associé avec l’atelier d’architecture Bien Urbain. Retrouver le bâtiment originel Au cœur du Musée des Arts Décoratifs, les salles d’expositions dédiées principalement à la mode se déploient dans l’aile Rohan du Louvre, qui longe le jardin des Tuileries et la rue de Rivoli. [©Bien Urbain] « Il a fallu un an pour réhabiliter les plus de 1 200 m2 de l’aile Rohan du MAD. Il y avait déjà eu une rénovation de ces espaces dédiés à la mode dans les années 1990. Mais ils étaient devenus obsolètes », décrit Jérôme Stablon, architecte chez Bien Urbain. Avec un gros curage de l’existant pour commencer. « Il a fallu “recomprendre” le bâtiment originel. » C’est ainsi que les murs sont apparus avec de la pierre, du béton et des blocs béton apparents. « Les laisser bruts a été une évidence. Cela correspond bien à l’univers de la mode actuelle. Et c’était nécessaire pour redécouvrir l’aile Rohan. » L’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” inaugure les nouvelles galeries de la mode du MAD, entièrement rénovées. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Teintes stabilisées Une lasure minérale a permis de stabiliser les teintes des murs, sols et plafonds. Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. La réouverture de ces espaces a d’ailleurs été marquée par la scénographie minimaliste du Studio Adrien Gardère. Celle-ci réalisée pour l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” . Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain/Luc Boegly]Dans un écrin de béton brut, l’exposition “Harper’s Bazaar, premier magazine de mode” retrace les moments forts de cette revue mythique, son évolution depuis 1867. [©Bien Urbain/Luc Boegly] La chape fluide, tout comme le béton de l’escalier, ont été livrés en toupies, stationnées dans le cour du Louvre, le temps des livraisons. [©ACPresse]Pour créer cet écrin brut, « nous sommes intervenus au niveau de vitrines amovibles entre chaque refend, véritables “machines à exposer”». Ces dernières peuvent changer de physionomie selon les scénographies des expositions temporaires. [©Bien Urbain]Un gros curage de l’existant a donc été effectué. « Il y a fallu “recomprendre” le bâtiment originel ». [©Bien Urbain/Luc Boegly]Outre le besoin de redonner au lieu tout son lustre, l’intervention de coulage de la chape fluide est surtout destinée à la remise en l’état des sols. [©ACPresse] Le coulage de la chape fluide a été divisée en deux interventions : tout d’abord, environ 900 m2 au premier niveau, puis l’ensemble du rez-de-chaussée. [©ACPresse]Mise en œuvre sur les sols, la Chape Liquide Excelio d’Anhydritec ne nécessite aucun ponçage. Mais un balayage doit être réalisé. [©ACPresse]En arrière plan, l’escalier en demi-cercle permet de relier le rez-de-chaussée au premier niveau. [©Bien Urbain/Luc Boegly] Un escalier de béton brut Faisant face à une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries, l’escalier en béton brut prend la forme d’un demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret relie les deux étages des espaces d’exposition. » [©Bien Urbain] Et l’autre intervention s’est effectuée avec la création d’un escalier en béton brut. Juste en face d’une fenêtre donnant sur le jardin des Tuileries. Et ce, en demi-cercle ascensionnel et enveloppant. « Ce nouvel escalier sculptural et discret. Il relie les deux étages des espaces d’exposition. » Quelque 80 m2 de plancher ont été déposés pour ce faire. L’entreprise Cobalt a coulé le béton, « un C4 classique », en une seule fois. Le tout grâce à trois toupies stationnées dans le jardin du Louvre. « Epique… » Les coffrages étaient assez sympas, selon les dires de Jérôme Stablon.  « Il y a eu des reprises et des réenduits pour tout bien ajuster. » L’entreprise REM a réalisé la serrurerie de l’escalier et le garde-corps vitré de cette section des Arts Décoratifs. Fiche repère Maîtrise d’ouvrage : Musée des Arts décoratifs (MAD)Maîtrise d’œuvre : Studio Adrien Gardère Bien Urbain – atelier d’architecture Betom Ingénierie ACLSurface : 1 280 m² SUMontant des travaux : 1,7 M€ HTStatut : Livré en février 2020 Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 6 jours

Les sept piliers de la relance des industriels de la construction

L’AIMCC, l'association française des Industries des matériaux et produits de construction et le Comité stratégique de filière « Industries pour la construction » proposent un plan de relance tourné vers l’investissement durable et responsable.
Il y a 5 ans et 6 jours

Chiffre d'affaires en baisse pour Icade

FONCIÈRE/PROMOTION. Icade a dévoilé, fin avril, des résultats en baisse, notamment au niveau de son chiffre d'affaires. En cause, sans surprise : les "perturbations" du secteur en raison de la crise du coronavirus.
Il y a 5 ans et 6 jours

Poutrelles RAID Hybrides : gain de temps et économies pour des planchers performants

Plus légères que des poutrelles précontraintes traditionnelles, les poutrelles RAID® Hybrides sont manuportables. Elles permettent d’atteindre de grandes portées (6.20 m de long sans étais et 9 m avec étais), qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Autre atout, les raidisseurs triangulaires assurent une prise en main facile pour un transport aisé. Un confort de travail très apprécié et qui renforce l’efficacité des équipes sur les chantiers.Economiques, les poutrelles RAID® Hybrides font réaliser jusqu’à 12% d’économie de béton dans le cas de montages réalisés avec des entrevous béton ou polystyrène à bords droits.Par ailleurs, les poutrelles RAID® hybrides assurent une sécurité totale sur chantier : elles sont certifiées sous Avis Technique. Elles sont également certifiées Origine France Garantie.Les montages isolantsLes poutrelles RAID® hybrides Fabemi s’associent avec les entrevous polystyrène suivants pour assurer la correction des ponts thermiques :OPTIRAID : entrevous coffrant en polystyrène pour réaliser des planchers intermédiaires légers, en neuf comme en rénovation.RAIDtherm : entrevous polystyrène à languette limitant les pertes énergétiques des planchers bas, et entrevous polystyrène décor à languette permettant de conserver une sous-face plate.RAIDtherm sous chape flottante : entrevous polystyrène à languette combiné à la mise en œuvre d’une chape flottante servant à optimiser les épaisseurs des isolants et à réduire de manière significative les pertes linéiques.Fabemi, une solution pour chaque construction :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 6 jours

La rémunération du PDG d'Eiffage approuvée à une faible majorité

Les actionnaires d'Eiffage, numéro 3 français du BTP, n'ont approuvé qu'à une faible majorité la rémunération pour 2019 de son PDG Benoît de Ruffray, qui recevra quelque 3,5 millions d'euros.
Il y a 5 ans et 6 jours

Exposition : Erwin Wurm

Conçue par la Maison Européenne de la Photographie en partenariat avec les Magasins Généraux, l'exposition intitulée « Erwin Wurm, photographs », la première grande rétrospective consacrée au travail photographique de l’artiste Erwin Wurm (né en 1954), invite à découvrir en images son univers absurde, et ses sculptures aussi drôles que réflexives. L’exposition « Erwin Wurm, photographs », dont l’ambition est de rendre compte de l’importance de la photographie dans l’œuvre d’Erwin Wurm, présente pour la première fois en France plus de 200 objets visuels – des planches contact originales, des tirages, des études – réalisées par le plasticien autrichien depuis les années 1980. L’accrochage et le propos de cette rétrospective proposent de réinterroger la démarche artistique d’Erwin Wurm, en sa qualité de « sculpteur » contemporain, à travers ses photographies. Après avoir été accepté en section « sculpture » à l’Académie des beaux-arts de Vienne, Erwin Wurm, qui rêvait de devenir peintre, décida de déconstruire la sculpture pour mieux la questionner. Il développe depuis un vocabulaire sculptural inattendu, influencé par les préceptes de l’art minimaliste et de l’art conceptuel. À mi-chemin entre sculpture et performance, ses œuvres interrogent le rapport que tout un chacun entretient avec son corps et les objets du quotidien. Erwin Wurm imagine des mises en scène absurdes, où il contraint les corps, altèrent les habitudes et détournent des objets, et les immortalise grâce à la photographie ou la vidéo. Dans les images de ses célèbres One Minute Sculptures (1997), on découvre que l’artiste confronte son corps, ou celui d'autrui, à ses propres limites. Si les images des performances sculpturales d’Erwin Wurm sont d’abord des documents de constat, qui illustrent ces sculptures éphémères, elles sont devenues rétrospectivement des objets d’art à part entière. Tout l’enjeu de la rétrospective est donc de donner à voir les différents aspects de l’œuvre protéiforme d’Erwin Wurm. L’exposition dévoile en effet les divers aspects de son œuvre complexe. À la fois drôles et sociocritiques, ses « sculptures photographiques » questionnement avec humour les conventions sociales. Dans sa série « Instructions for Idleness » (2001), l’artiste suggère de « passer la journée en pyjama », de « s’exprimer exclusivement en baillant » ou de « fantasmer sur le nihilisme », quand, dans « How to Be Politically Incorrect » (2002-2003), il se moque des règles de politesse et encourage son modèle à « cracher dans la soupe de quelqu’un ». Le parcours est aussi ponctué de plusieurs œuvres interactives qui nous invitent à faire l’expérience des performances-sculptures conçues par Erwin Wurm. Ce choix judicieux des commissaires, Simon Baker et Laurie Hurwitz, nous rappelle que les œuvres photographiées sont avant tout des sculptures à expérimenter. Comme la MEP est actuellement fermée au public en raison du coronavirus, les équipes du centre culturel proposent de découvrir les expositions via ses comptes Facebook et Instagram. Dans un post Instagram « Take over » publié le 22 avril sur le profil de la MEP, par exemple, l'artiste Erwin Wurm nous fait visiter son atelier. Pour en savoir plus, visitez le site de la Maison Européenne de la Photographie. Photographies : © Erwin WurmLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 6 jours

Reprise des chantiers : un guide et un kit de formation pour les architectes

CONTRATS. L'Ordre des architectes met à disposition de tous un guide juridique et financier pour la reprise des chantiers, ainsi qu'un kit de formation gratuit. Le but : "aider les architectes dans leurs missions d'assistance aux maîtres d'ouvrage, dans le cadre des négociations de redémarrage", avant et après la fin du confinement.
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : Le guide OPPBTP est-il suffisant pour une reprise des chantiers en toute sécurité ?

« En cette période de pandémie, le rôle de référent COVID-19 sur chantier préconisé dans le guide de l’OPPBTP prend toute son importance… Mais ne va pas assez loin. » Indique Patrick VRIGNON, Président de BTP ConsultantsUn référent indépendant pour un système de management efficace Pour plus d’efficacité dans sa mission, le référent COVID-19 doit faire vivre un système de management d’amélioration au sens propre du terme : établir des procédures, vérifier leur application, exploiter les écarts et mener les actions correctives associées.Au-delà des préconisations du Guide du 10 Avril 2020, le rôle du référent COVID-19 devrait également consister à surveiller les situations de travail, établir les procédures à suivre, s’assurer qu’elles soient réalistes, contrôler leur application, mesurer et analyser les écarts, étudier le résultat de son travail, l'efficacité de ses méthodes, etc.Une telle fonction doit impérativement être indépendante de la chaîne de production à l’image de ce qu’est le contrôle extérieur dans le domaine du suivi qualité. Faire appel à une tierce partie afin de privilégier la sécurité face au rendement et permettre ainsi d’éviter toute situation de doutes pouvant conduire à des arrêts de chantier. C’est pourquoi, il est essentiel que ce soit le Maître d’Ouvrage qui le désigne et à lui qu’il rapporte périodiquement.Quand le secteur de la construction doit s’appuyer sur les pratiques industriellesSur la base de référentiels de management orientés santé et sécurité, le secteur de l'industrie s'assure de la capacité des sous-traitants à remplir les critères établis lorsqu'ils opèrent sur site. Ces référentiels permettent d'évaluer les pratiques en place et les résultats atteints par les sous-traitants impliqués. Les analyses montrent que les entreprises opérant sous ces référentiels ont 2 à 3 fois moins d'accident que la moyenne nationale, quel que soit leur corps de métier.D'ailleurs, la plupart de ces entreprises reconnaissent que cela leur permet de mettre en place les bonnes manières de faire, de respecter les procédures, d'avoir des salariés formés en conséquence, de mettre les valeurs humaines au cœur de leur projet.Comment faire changer des habitudes profondément ancrées ? Le travail autour du Guide de l'OPPBTP a le mérite de définir des procédures, des règles ayant pour objectif de diffuser une culture de la discipline vis-à-vis du risque COVID-19. Certes c'est un travail préalable indispensable, mais pour les chantiers avec des risques de promiscuité importants, l'expérience montre que cela ne suffit pas. La multiplication des règles induit souvent une attitude de contournement par les acteurs et il peut exister un fossé entre ce qui est écrit et ce qui est vécu.Il ne suffit donc pas de figer un cadre devant être respecté par chacun mais de faire s'approprier par tous une nouvelle manière de travailler ensemble. Responsabilité de chacun, qualité relationnelle qui donne confiance aux acteurs pour parler des sujets difficiles, intelligence collective qui permet de trouver des solutions aux problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent. On voit donc que faire appliquer le guide OPPBTP est, avant tout un sujet de management et sous-estimer la force des habitudes serait une profonde erreur.Or, les habitudes du secteur du bâtiment, contrairement à d'autres secteurs exposés depuis longtemps aux risques sanitaires, s'appuie sur des règles du vivre ensemble très éloignées de ces nouvelles mesures dénombrées dans le guide. Faire évoluer les habitudes de travail sur chantier est donc un véritable projet de changement et doit être abordé en tant que tel.« Nous entrons dans une longue période d'incertitudes ponctuée qui sait, de séquences de confinement et de déconfinement, de recul et de reprise de la vague épidémique. La seule certitude que nous devons rechercher collectivement, c'est celle de nous appuyer sur un dispositif garantissant la santé à tout moment de nos intervenants sur chantier. »
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : BTP Consultants souhaite aller plus loin que le guide OPPBTP

« En cette période de pandémie, le rôle de référent COVID-19 sur chantier préconisé dans le guide de l’OPPBTP prend toute son importance… Mais ne va pas assez loin. » Indique Patrick VRIGNON, Président de BTP ConsultantsUn référent indépendant pour un système de management efficace Pour plus d’efficacité dans sa mission, le référent COVID-19 doit faire vivre un système de management d’amélioration au sens propre du terme : établir des procédures, vérifier leur application, exploiter les écarts et mener les actions correctives associées.Au-delà des préconisations du Guide du 10 Avril 2020, le rôle du référent COVID-19 devrait également consister à surveiller les situations de travail, établir les procédures à suivre, s’assurer qu’elles soient réalistes, contrôler leur application, mesurer et analyser les écarts, étudier le résultat de son travail, l'efficacité de ses méthodes, etc.Une telle fonction doit impérativement être indépendante de la chaîne de production à l’image de ce qu’est le contrôle extérieur dans le domaine du suivi qualité. Faire appel à une tierce partie afin de privilégier la sécurité face au rendement et permettre ainsi d’éviter toute situation de doutes pouvant conduire à des arrêts de chantier. C’est pourquoi, il est essentiel que ce soit le Maître d’Ouvrage qui le désigne et à lui qu’il rapporte périodiquement.Quand le secteur de la construction doit s’appuyer sur les pratiques industriellesSur la base de référentiels de management orientés santé et sécurité, le secteur de l'industrie s'assure de la capacité des sous-traitants à remplir les critères établis lorsqu'ils opèrent sur site. Ces référentiels permettent d'évaluer les pratiques en place et les résultats atteints par les sous-traitants impliqués. Les analyses montrent que les entreprises opérant sous ces référentiels ont 2 à 3 fois moins d'accident que la moyenne nationale, quel que soit leur corps de métier.D'ailleurs, la plupart de ces entreprises reconnaissent que cela leur permet de mettre en place les bonnes manières de faire, de respecter les procédures, d'avoir des salariés formés en conséquence, de mettre les valeurs humaines au cœur de leur projet.Comment faire changer des habitudes profondément ancrées ? Le travail autour du Guide de l'OPPBTP a le mérite de définir des procédures, des règles ayant pour objectif de diffuser une culture de la discipline vis-à-vis du risque COVID-19. Certes c'est un travail préalable indispensable, mais pour les chantiers avec des risques de promiscuité importants, l'expérience montre que cela ne suffit pas. La multiplication des règles induit souvent une attitude de contournement par les acteurs et il peut exister un fossé entre ce qui est écrit et ce qui est vécu.Il ne suffit donc pas de figer un cadre devant être respecté par chacun mais de faire s'approprier par tous une nouvelle manière de travailler ensemble. Responsabilité de chacun, qualité relationnelle qui donne confiance aux acteurs pour parler des sujets difficiles, intelligence collective qui permet de trouver des solutions aux problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent. On voit donc que faire appliquer le guide OPPBTP est, avant tout un sujet de management et sous-estimer la force des habitudes serait une profonde erreur.Or, les habitudes du secteur du bâtiment, contrairement à d'autres secteurs exposés depuis longtemps aux risques sanitaires, s'appuie sur des règles du vivre ensemble très éloignées de ces nouvelles mesures dénombrées dans le guide. Faire évoluer les habitudes de travail sur chantier est donc un véritable projet de changement et doit être abordé en tant que tel.« Nous entrons dans une longue période d'incertitudes ponctuée qui sait, de séquences de confinement et de déconfinement, de recul et de reprise de la vague épidémique. La seule certitude que nous devons rechercher collectivement, c'est celle de nous appuyer sur un dispositif garantissant la santé à tout moment de nos intervenants sur chantier. »
Il y a 5 ans et 6 jours

"Le guide OPPBTP va évoluer pour coller à la réalité du terrain", P. Duphil

ENTRETIEN. Un mois après la parution du guide de l'OPPBTP, le directeur général de l'organisme, Paul Duphil, revient pour Batiactu sur la reprise des chantiers dans le secteur et les futures évolutions de l'outil.
Il y a 5 ans et 6 jours

Chômage partiel : vers un reste à charge pour les entreprises à partir de juin ?

ÉCONOMIE. Au lendemain de la présentation du plan de déconfinement programmé pour le 11 mai prochain, la ministre du Travail est revenue sur l'évolution du dispositif de chômage partiel. L'exécutif a effectivement annoncé qu'il sera maintenu jusqu'au 1er juin mais Muriel Pénicaud a précisé qu'il sera ensuite progressivement adapté. Détails.
Il y a 5 ans et 6 jours

Investissement local : les travaux publics en alerte

CRISE. La Fédération nationale des travaux publics réclame des mesures fortes de soutien à la commande publique et d'incitation à l'investissement local. Car si la machine n'est pas relancée rapidement, elle craint un "coup de frein fatal" à l'activité des TPE et PME du secteur.
Il y a 5 ans et 6 jours

Cythelia Energy révolutionne le monde du solaire avec la France entière en 3D

Un cadastre solaire complet et ultra-précisPrécis à 25 cm, ce modèle 3D permet de déterminer le potentiel solaire de chaque m² de toutes les toitures et parkings de France, en calculant automatiquement les orientations et inclinaisons des toitures et l'impact des ombrages du relief et de l'environnement proche (bâtiments et végétation). 10 000 milliards de points peuvent ainsi être localisés sur le territoire français. Une performance unique !Calculer au m² près le potentiel solaire du pays entier : des révolutions dans les usagesRévolution des cadastres solairesLes cadastres solaires, qui connaissent un réel engouement en France parmi les collectivités locales, sont pré-calculés et disponibles sur la France entière. Ils peuvent être mis à disposition de la population en un clic grâce à la solution archelios MAP Collectivité.Les cadastres solaires deviennent ainsi accessibles pour les petites communes comme pour les grandes métropoles, sans attendre de longs mois pour obtenir les premiers résultats.Révolution des études de patrimoinesIl est aujourd'hui relativement long et fastidieux d'étudier le potentiel solaire du patrimoine foncier et bâti d'entreprises ou de collectivités. La solution archelios™ MAP Patrimoine permet d'utiliser les données de potentiel solaire par m² sur la France entière pour étudier automatiquement et très précisément le potentiel de chaque bâtiment et parking, sur un parc allant de quelques dizaines à plusieurs milliers de sites.Révolution des études prospectives de territoireIl devient possible grâce à la solution archelios™ MAP Prospection de déterminer quel est le potentiel solaire de toute commune ou communauté de communes française et quelles sont précisément les toitures et parkings les plus adaptées pour les besoins de chaque acteur : collectivités, centrales citoyennes, développeurs de projets photovoltaïques.Révolution des études de prévision de productionPour un projet sur bâtiment ou parking devant faire l'objet d'une étude précise du potentiel (étude de productible) grâce à un logiciel métier, il est généralement fastidieux de prendre en compte les ombres portées par les arbres et les bâtiments environnants. Une visite sur site est souvent nécessaire, avec un relevé des hauteurs des obstacles.Grâce aux données 3D disponibles sur la France entière, le module 3D Map du logiciel archelios™ PRO permet d'importer l'environnement du site étudié en quelques secondes, faisant gagner un temps précieux aux installateurs et bureaux d'études, tout en gagnant en précision.Révolution du monitoring des installations photovoltaïquesIl n'est pas rare que l'environnement proche d'une installation photovoltaïque (colline, arbres, bâtiments, édicule d'ascenseur) génèrent de fausses alarmes de monitoring. En effet, le logiciel de monitoring ne « sait » pas que la sous-production d'une partie de l'installation n'est pas due à une défaillance, mais seulement à une ombre portée.Le logiciel de monitoring photovoltaïque archelios™ O&M prend en compte parfaitement ces ombrages. Il calcule la production attendue de manière précise grâce à un modèle 3D de l'installation, intégrant l'environnement proche de la centrale (arbres, bâtiments…).
Il y a 5 ans et 6 jours

HIRSCH Isolation lance Cellomur® Ultra ECA, le 1er isolant PSE à Empreinte Carbone Améliorée

HIRSCH Isolation lance le 1er isolant PSE à Empreinte Carbone Améliorée, réalisé à partir de ressources renouvelables : déchets organiques d’origine européenne ! L’isolant Cellomur® Ultra ECA* est le premier polystyrène expansé issu de la biomasse en France. L’isolant Cellomur® Ultra ECA est réalisé à partir de déchets organiques de 2ème génération, c’est-à-dire non consommables, issus de l’industrie alimentaire et forestière européenne. Le composant ainsi obtenu est parfaitement sain et garantit les mêmes qualités isolantes qu’un PSE classique. Le procédé de transformation en panneaux est similaire au cycle de production classique et ne génère aucune surconsommation d’énergie. Cellomur® Ultra ECA bénéficie ainsi d’une empreinte carbone à très faible impact, – 60 % par rapport à un PSE classique, pour les mêmes caractéristiques techniques. Cellomur® Ultra ECA couvre les mêmes domaines d’application que le PSE classique (maisons individuelles, logements collectifs, etc.). Il répond aux exigences de la RT 2012, au label E+C- et aux futures exigences de la RE 2020.
Il y a 5 ans et 6 jours

Travaux d'économies d'énergies: appel en faveur d'un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité et les fédérations du bâtiment et de l'énergie ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence en faveur des travaux d'économies d'énergie.
Il y a 5 ans et 6 jours

Stations de tourisme, qualité de l'air... Vos textes officiels du mercredi 29 avril 2020

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 5 ans et 6 jours

Toulouse: les chantiers du métro et du téléphérique vont reprendre

Après un mois d’arrêt, Tisséo annonce la reprise progressive des travaux du métro et du téléphérique toulousains.
Il y a 5 ans et 6 jours

À Grenoble, GSE achève la construction d'un ensemble de bureaux à haute performance environnementale

C'est au cœur de la Zone d'Aménagement Concerté « ZAC » de la Presqu'île de Grenoble, face au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), que GSE a construit le nouveau siège social de la société XENOCS. Celle-ci est reconnue comme étant le leader mondial sur le marché des équipements de laboratoire pour la caractérisation des matériaux à l'échelle nanométrique au travers de la technique de diffusion des rayons X.Un bâtiment de 5 5000 m² à l'architecture contemporaineDessiné par le cabinet Aotu architecture, ce projet met en évidence l'esthétique architecturale et la qualité des matériaux utilisés, notamment pour la façade, élément essentiel de l'harmonie du bâtiment.Développé pour Xenocs par GSE, ce bâtiment de 5 500 m² réparti sur 4 étages accueille le siège social du groupe, des ateliers de production, un show-room et des salles propres. Chaque étage bénéficie de larges terrasses et de toitures végétalisées. Le dernier étage accueille des salles de réunion partagées avec d'autres locataires.Le site, qui a été terminé fin 2019, propose des espaces propices au bien-être, au travail collaboratif, à l'innovation et à la créativité grâce à des bureaux ouverts, modernes, aérés et de nombreux open spaces.GSE a été extrêmement attentif aux détails de finitions des façades pour atteindre le niveau élevé de qualité de réalisation attendue par Frédéric Bossan et Peter Hoghoj, dirigeants de XENOCS. Et le résultat est au rendez-vous puisque la seule différence entre le dessin de concours d'architecte et les photos de la réalisation, ce sont … les montagnes de l'arrière-plan.… à haute technicité…Du fait de la spécificité et des besoins techniques de l'entreprise XENOCS, GSE a réalisé des ateliers, des bureaux et des salles à empoussièrement contrôlé.… et aux performances environnementales élevéesLe bâtiment est équipé d'une pompe à chaleur réversible à eau, limitant ainsi son impact environnemental.« Avec son aspect innovant, ses quatre étages superposés à la façon d'un escalier, l'esthétique architecturale de ce bâtiment est un élément essentiel du projet et a été un point déterminant dans le choix des dirigeants de la société XENOCS. Nous avons su travailler, avec le cabinet d'architecte AOTU et l'assistant maître d'ouvrage DESTIM , en synergie afin d'être en mesure de livrer un projet au plus proche des attentes et des valeurs du client. Nous sommes particulièrement fiers de construire un site aussi qualitatif, en termes de qualité architecturale, qualité environnementale et qualité fonctionnelle des aménagements » déclare Roland Paul, CEO de GSE.Grenoble Presqu'île : une charte environnementale ambitieuseAprès avoir été terrain militaire, puis de recherche nucléaire, puis de recherche sur les nano et micro technologies, la Presqu'île scientifique de Grenoble va devenir un nouveau quartier d'habitation, de bureaux et de commerce. Ce vaste projet de nouveau quartier est aménagé par la société d'économie mixte InnoVia, pour le compte de la Ville de Grenoble. Au confluent du Drac et de l'Isère, sur 265 hectares, la ZAC Presqu'île allie qualité de vie, performance économique, dynamisme universitaire et scientifique.Une charte environnementale ambitieuse s'applique également à toutes les nouvelles constructions, et à laquelle ce projet a dû répondre afin de réglementer les consommations énergétiques des bâtiments. L'objectif consiste à situer les dépenses énergétiques de 30 % en dessous de la Réglementation thermique 2012.La zone accueille d'ores et déjà le nouveau siège social du Crédit Agricole Sud Rhône-Alpes ainsi que les nouveaux bureaux de Schneider Electric.
Il y a 5 ans et 6 jours

#culturecheznous : banque d’images des Monuments Nationaux

Le Pôle Images du Centre des monuments nationaux possède un fonds riche de plus de 500 000 documents photographiques étroitement lié à l’histoire de l’établissement, héritier de la Caisse nationale des monuments historiques et des sites, sur les thèmes de l’architecture et du patrimoine architectural français. Ses missions se concentrent particulièrement sur les monuments dont le Centre des monuments nationaux assure l’ouverture au public…. https://regards.monuments-nationaux.fr/fr
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : la Compagnie des Alpes va réduire ses investissements

Le groupe est le leader mondial de l'exploitation des domaines skiables et possède des destinations de loisirs (Futuroscope, Parc Astérix, Grévin). Le 14 mars, à la suite du confinement, il a dû fermer stations et parcs.A eux seuls, les "Domaines skiables" ont enregistré un chiffre d'affaires en baisse de 9% au premier semestre de son exercice décalé, clos le 31 mars, selon un communiqué.Après un début de "saison dynamique", l'activité dans les stations était en progression de 2,5% lorsqu'elles ont dû fermer.Pour l'ensemble de l'année, la Compagnie des Alpes confirme ses perspectives données fin mars: une baisse envisagée "d'environ 20% du chiffre d'affaires par rapport à l'exercice précédent" pour les Domaines skiables, soit une perte de l'ordre de 85 à 90 millions d'euros.Concernant les Parcs de loisirs, l'activité croît de 10,8% sur le semestre, notamment portée par Halloween et Noël.L'ensemble des parcs étant actuellement fermés, "la suite de la saison est en suspens" et il est "prématuré d'estimer l'impact de la situation sur les résultats 2019/2020".La Compagnie des Alpes indique avoir engagé "un important plan d'ajustement de ses coûts", notamment des mesures d'activité partielle concernant les employés permanents comme saisonniers, "jusqu'à 90% des effectifs"."La perte de chiffre d'affaires pendant la fermeture des sites pourra être compensée à hauteur d'un peu plus de 40% par ce plan", est-il précisé.Parallèlement, le groupe va "ajuster, dans la mesure du possible et dans le respect de ses engagements contractuels, ses plans d'investissements pour la fin de l'exercice"."L'essentiel des arbitrages concerne les Domaines skiables" avec le report sur la saison prochaine "d'un certain nombre de dépenses non encore engagées".Au total, la Compagnie des Alpes "estime être en mesure d'abaisser d'environ 30 millions d'euros son enveloppe d'investissements pour l'exercice" et cherchera aussi à réduire ses investissements sur 2020/2021.Le groupe - dont le PDG a décidé d'abaisser de 30% sa rémunération fixe - dit "demeurer confiant dans sa capacité à couvrir ses besoins de liquidités jusqu'à la fin de l'année civile, y compris dans un scénario dégradé".
Il y a 5 ans et 6 jours

Covid-19 : L’UNICEM coordonne la commande et la distribution de 400.000 masques pour ses adhérents

Plus que jamais impliquée auprès des entreprises adhérentes et afin de les soutenir dans la mise en place de leurs plans de continuité ou de reprise d'activité, l'UNICEM a organisé, en coordination avec les équipes du ministère de l'Économie et des Finances, la livraison de 400 000 masques.200 entreprises en cours d'approvisionnementIndispensables pour garantir la sécurité des travailleurs et permettre ainsi la continuité ou la reprise de l'activité, l'UNICEM a fait de l'obtention de masques pour ses adhérents une priorité. Grâce à une mobilisation totale de la fédération, aussi bien au niveau national pour effectuer la commande qu'au niveau de ses délégations régionales pour en assurer la distribution, 200 entreprises reçoivent depuis quelques jours les masques tant attendus. Un gros travail de sourcing et une collaboration étroite avec les services de la Direction Générale des Entreprises ont été nécessaires afin d'éviter les contrefaçons qui se multiplient à l'heure actuelle.« Malgré des délais croissants dus à l'explosion de la demande en provenance des pays impactés par la pandémie et les difficultés liées aux problématiques de transport, cette opération est un vrai succès. C'est une étape clé pour permettre aux entreprises du secteur de continuer leur activité dans des conditions optimales, avec des organisations de travail adaptées à la situation sanitaire » indique Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.D'autres commandes sont envisagées, selon les besoins des entreprises adhérentes, dans les semaines à venir.
Il y a 5 ans et 7 jours

Masques et plan de soutien au BTP en Auvergne-Rhône-Alpes

"Ces masques en tissu, lavables cinquante fois, seront mis gratuitement à disposition des entreprises du BTP de moins de 20 salariés, dès la semaine prochaine", a indiqué M. Wauquiez lors d'un point presse. "La condition sine qua non du redémarrage du secteur, ce sont les équipements de protection"."Les grands groupes sont eux capables d'assurer la logistique en matière de protection", a t-il estimé.Les 100.000 masques sont fabriqués par l'entreprise iséroise Porcher Industries, spécialiste des textiles techniques et composites.Les masques seront distribués dans chaque département via les fédérations, FFB (Fédération française du bâtiment) et Capeb (Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment).Par ailleurs, la région relancera ses propres chantiers suspendus depuis la crise sanitaire et n'appliquera pas de pénalités de retard."Il y a un besoin de relance et on a les moyens financiers pour répondre à la crise. On doit accompagner nos entreprises pour pouvoir repartir sans casse sociale", a relevé M. Wauquiez."Alors, on n'attend pas, on met tout de suite 150 millions d'euros sur la table pour réenclencher la commande publique et inciter tous les maîtres d'ouvrage, en particulier les communes, à relancer des chantiers avec la garantie du soutien de la région", a-t-il insisté.Une enveloppe de 15 millions d'euros est également débloquée par la région pour aider les entreprises du BTP à faire face aux surcoûts des chantiers dus au Covid-19."Les maires seront également accompagnés par la région. Il faudra aussi des engagements de l'État car les collectivités ont perdu des recettes fiscales", a-t-il ajouté.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le CCCA-BTP va financer des projets innovants des organismes de formation

Le CCCA-BTP continue d'agir et de contribuer à l'effort national pour soutenir et développer la formation professionnelle dans les métiers du BTP, en organisant en 2020 onze appels à projets qui visent à financer des expérimentations et innovations portés par des organismes de formation. Huit des appels à projets programmés ont été lancés, malgré le contexte de la crise liée au coronavirus, et trois autres le seront d'ici au mois de juin.Le CCCA-BTP, financeur de projets innovants Avec cet important programme d'appels à projets, le CCCA-BTP consacre un budget prévisionnel de 30 M€ pour soutenir les expérimentations et innovations portés par des organismes de formation aux métiers du BTP et en assurer leur déploiement. Dans le cadre des orientations définies par le conseil d'administration, ce budget prévisionnel pourra être adapté, afin de répondre à la nécessité d'un plan de relance pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP à l'occasion de la prochaine rentrée.Ces appels à projets répondent aussi à l'évolution des dispositifs et des modalités de financement du CCCA-BTP, au regard des missions qui lui sont confiées par la loi et pour mettre en œuvre la politique de formation professionnelle initiale, en particulier l'apprentissage, définie par les partenaires sociaux des secteurs du bâtiment et des travaux publics dans leurs accords de branche.Dans cette période de confinement et de ralentissement économique et social, qui impacte aussi la formation professionnelle, le CCCA-BTP reste mobilisé pour accompagner au mieux l'ensemble des organismes de formation dans la continuité de leurs activités. Dans le cadre de sa nouvelle offre de services, il a été décidé de lancer dès maintenant les appels à projets déjà programmés.Ce programme permettra aux équipes pédagogiques des CFA et organismes de formation de se mobiliser sur des projets d'expérimentation et d'innovation, sans attendre la sortie de la crise. Les projets sélectionnés pourront ainsi bénéficier des financements accordés par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Les porteurs de projets pourront faire aussi appel à des co-financements privés ou publics : FSE (Fonds social européen), PIA (Programme d'investissements d'avenir), PIC (Plan investissement compétences), et/ou à des partenariats, en vue d'optimiser les financements et les déploiements des projets sélectionnés.En 2019, le CCCA-BTP avait organisé ses premiers appels à projets pour un budget global de 2M€. Une dizaine de porteurs de projets a ainsi été accompagnée, avec le financement de projets leur permettant d'expérimenter des projets novateurs sur leur territoire, notamment en termes de recrutement de jeunes et d'intégration du numérique dans la formation.Le mot de Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP « En cette période troublée où solidarité et responsabilité s'imposent, avec une réforme de l'apprentissage désormais pleinement opérationnelle, le CCCA-BTP concrétise, avec ce programme d'appels à projets, une nouvelle approche d'offres de services au profit de tous les organismes de formation du BTP. Plus que jamais, nous nous devions nous mobiliser pour les accompagner dans le maintien, la continuité et le développement de leurs activités. Ce programme démontre aussi une nouvelle fois notre capacité à continuer d'agir et à contribuer, sur notre champ d'action, à l'effort national et au profit du développement de la formation professionnelle à nos métiers. C'est aussi tout simplement notre rôle et ce qu'attendent de nous les organismes de formation du BTP.Notre conseil d'administration s'est donné les moyens de ses ambitions, avec un programme doté d'un budget conséquent pour soutenir et accompagner les expérimentations et innovations, mais qui devra être revu pour accompagner les apprentis et les entreprises à la reprise de l'activité dans notre secteur, tout particulièrement pour soutenir le développement de l'apprentissage BTP d'ici au mois de septembre. Il s'inscrit également dans la dynamique que nous avons initiée au cours des années précédentes pour explorer, expérimenter et accélérer des projets innovants, notamment en termes de pédagogie de l'alternance. Avec ce programme d'appels à projets, notre ambition est claire : valoriser l'excellence de la formation professionnelle aux métiers de la construction de demain, au profit des jeunes et des entreprises de notre secteur du BTP. »Les thématiques du programme d'appels à projets du premier semestre 2020 Les appels à projets du programme 2020* concernent notamment : la mise en œuvre des transitions (énergétique, numérique…) ; l'accroissement de l'acquisition des compétences des apprentis et la valorisation de l'excellence ;l'enseignement du français comme langue étrangère pour les publics dont la langue maternelle est étrangère ;la valorisation et l'acquisition des compétences socio-professionnelles ; l'adéquation emploi/compétences sur les métiers en tension ; l'accompagnement à la mobilité internationale des apprenants ;l'accompagnement à la préparation des apprentis aux concours nationaux et internationaux ;l'ouverture socio-culturelle des jeunes en formation ;la création de contenus pédagogiques en distanciel et les méthodes, outils et usages des réalités virtuelles et augmentées. * Programme complet des onze appels à projets en annexe.Un programme ouvert à toutes les compétences du BTP, de l'orientation et de la formationLes appels à projets organisés par le CCCA-BTP sont prioritairement destinés à tout organisme de formation aux métiers du BTP dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, ou en lien avec les acteurs du BTP, et qui peuvent notamment faire valoir des compétences en termes d'apprentissage.Critères et processus de sélection des projets Un groupe technique paritaire de sélection des projets, composé de membres du conseil d'administration du CCCA-BTP, est constituée pour s'assurer, notamment, de la pertinence de la proposition et du public bénéficiaire du projet proposé, de la qualité des partenariats territoriaux mis en place par le porteur de projet, ou encore de la démarche d'expérimentation proposée. Les critères de sélection sont répartis en nombre de points sur 100 : qualité, performance et caractère d'innovation du projet (35 points) ;expertise et expérience de la formation professionnelle, du suivi socioéducatif ou socioprofessionnel et connaissance du secteur du BTP (20 points) ;calendrier et retroplanning de la conception, réalisation et exploitation du projet et équipe pressentie (15 points) ;perspectives de démultiplication, d'essaimage et de valeur ajoutée du projet et de ses livrables (20 points) ;budget prévisionnel et éléments permettant de sécuriser le déploiement du projet (10 points). En fonction des éléments apportés par les candidats, les budgets alloués par projet et porteur de projet sont déterminés par un Groupe technique paritaire ad hoc et votés définitivement par le conseil d'administration du CCCA-BTP.Règlements de consultation et informations pratiquesL'ensemble des informations (règlements de consultation, dossiers de réponse, etc.) relatives aux appels à projets sont disponibles sur le site Internet du CCCA-BTP, rubrique « Appels à projets ».Afin d'organiser et suivre les différents appels à projets, le CCCA-BTP a mis en place une cellule dédiée, auxquels les porteurs de projets peuvent s'adresser pour toute demande d'information : cellule.aap@ccca-btp.fr.
Il y a 5 ans et 7 jours

Reporter le "Green Deal" serait une "erreur tragique", selon le commissaire européen

"Nous sommes tous conscients que ce sera une bataille politique et culturelle dans les prochains mois", a affirmé le commissaire lors d'une audition par visioconférence devant la Commission des Affaires européennes du Sénat français."Sur le plan politique et culturel, nous aurons de fortes oppositions qui diront qu'après cette crise du coronavirus, ce ne n'est pas le moment de parler de Green Deal, qu'on devrait en reparler dans dix ans", a-t-il prévenu."Je crois que ce serait une erreur tragique", a assuré M. Gentiloni, à un moment où des pays et des entreprises commencent à demander un report de ce Pacte vert pour relancer l'économie européenne mise à l'arrêt par l'épidémie.Les ministres de l'Environnement de 17 pays européens ont assuré début avril qu'ils "ne perdraient pas de vue la crise écologique et environnementale". Ils ont souligné l'importance du projet de Pacte vert européen, une "stratégie de croissance" capable de "stimuler l'économie et de créer des emplois, tout en accélérant la transition verte".Le Pacte vert, feuille de route pour faire de l'Europe un continent neutre en carbone d'ici le mitan du siècle, avait été dévoilé le 11 décembre.Cette ambition est soutenue par l'ensemble des États membres, sauf la Pologne qui a obtenu d'être laissée de côté dans un premier temps. Mais la discussion à 27 avait été difficile et les divisions se sont rouvertes avec la crise économique engendrée par la pandémie.
Il y a 5 ans et 7 jours

Stratégie de crise et reprise d’activité, le Groupe Lorillard concilie reprise et efficience

Site Chartrain du Groupe Lorillard (28) Arrêtés dès le 16 mars au soir et après 2 semaines et demie d’inactivité, les ateliers du Groupe Lorillard ont redémarré progressivement depuis la semaine 15 (semaine du 6 au 12 avril). « Dès le 24 mars nous avons établi un comité de crise sur le redémarrage qui se réunissait 2 fois par semaine, afin de nous organiser dans la reprise selon les règlementations du gouvernement et les contraintes sanitaires et sécuritaires » explique Hubert Marti, Directeur Industriel de l’ensemble des sites du Groupe Lorillard. « Toutes les personnes ont été formées et des nouveaux flux de circulation ont été mis en place au sein des sites dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité ». Ce sont les ateliers bois qui ont repris en premier, début avril. Ce secteur d’activité jouit d’un portefeuille de commandes très important pour l’ensemble des sites (Chartres 28, Bourneuf à Parigné-l’Evêque 72 et Molénat à Decazeville 12) avec des délais de production courants de 12 à 14 semaines. Mais les 3 semaines d’arrêt consécutives ont imputé un retard important devant être rattrapé au plus vite. Ainsi, dès le 8 avril, toutes les unités bois de Chartres et 2 unités sur 3 chez Bourneuf sont reparties. Sur le site de Molénat, l’atelier bois a repris en semaine 16, sur les lignes d’assemblage et de finitions. L’usinage a repris en semaine 17. Pour ce qui concerne les autres matériaux, l’atelier aluminium du site Chartrain a réembauché en semaine 17. L’atelier PVC de Chartres a repris avec une petite équipe (10 personnes) en semaine 16. Depuis le 20 avril les équipes sont au complet (40 personnes). Plastibaie et C2F ont relancé leurs productions en semaine 16 avec des équipes réduites. Seul HP Fermetures & Menuiseries n’a pas encore recommencé, les équipes reprendront en semaine 18 pour l’aluminium et le PVC. « Ce qui a été le plus simple dans toute cette nouvelle organisation, c’est la construction du plan de prévention à l’échelle du Groupe. On aurait pu penser le contraire mais l’engagement des équipes a été décisif dans la simplification de cette mission. Les réunions de travail, 2 fois par semaine, avec les responsables de site, la responsable HSE, ont fait leur oeuvre. Cela a demandé beaucoup de travail mais pas de complexité particulière dans la réalisation. L’engagement de toutes les équipes a véritablement facilité la tâche » témoigne Hubert Marti.   PRODUIRE STRATEGIQUEMENT Pour le moment aucun site n’a redémarré à 100%. Le Groupe dispose d’une forte capacité en personnel mais le redémarrage est actuellement à mi-capacité afin de s’adapter à la demande clients. En effet, comme l’explique Hubert Marti, la stratégie du Groupe Lorillard, c’est de produire selon les besoins exprimés par les clients. « Pour ce faire, tous les clients ont été listés et contactés, relancés afin de savoir où ils en étaient, ce qu’ils faisaient et ce dont ils avaient besoin. Cela veut dire que l’on ne suit plus notre carnet de commande, on fabrique en fonction des besoins exprimés par nos clients, on ne peut pas être au plus près du besoin client, on est sur une production adaptée à la demande. On laisse nos clients replanifier leurs chantiers et nous transmettre leurs nouvelles dates de livraison. On est beaucoup plus efficace ainsi et on ne produit pas des menuiseries qui vont rester en stock ». Actuellement, près de 35 % des clients ont repris leur carnet de commande et répondent à la démarche du Groupe Lorillard. Les usines sont en capacité de leur offrir une production efficiente et rapide. Les délais moyens étant passés de 4 semaines initiales à 2 semaines actuellement. « Les mesures pour les risques que nous avons mises en place sont efficaces. Toutes les mesures dites barrières sur les ateliers de production n’ont pas diminué nos performances de production, au contraire, elles sont au moins équivalentes à nos performances d’avant crise » précise Hubert Marti.   UN CONTEXTE ENCORE HESITANT En pleine période de confinement l’activité auprès des particuliers est délicate, les travaux ne reprennent pas, comme l’explique Hubert Marti : « ce sont des chantiers habités donc il faut que les clients acceptent que nos équipes interviennent chez eux. Ce secteur reprendra certainement son cours à la fin du confinement. Pour ce qui concerne les copropriétés, étant des milieux habités, c’est tout aussi complexe d’y intervenir. Il faudrait que l’on trouve des moyens de protection, type combinaison, pour intervenir. Nous en avons, une soixantaine jetable, mais elles sont réservées pour les interventions de dépannage type fenêtre cassée, volet roulant en panne, etc. ». A contrario, l’activité chantier s’est relancée mais faiblement, avec un peu moins de 20 % des chantiers qui étaient en cours, réouverts. Quelques métrages ont été faits, des commandes notables ont été prises pour le deuxième semestre voire l’an prochain. Sur le diffus, très peu de commandes ont été réalisées depuis le début du confinement ; elles se comptent en centaine.   S’ADAPTER POUR DEMAIN « La principale difficulté dans cette nouvelle organisation, pour nous, porte sur le changement culturel dans le relationnel que nous avons avec nos clients. C’est une toute autre manière de travailler, et cela prend beaucoup de temps, mais c’est nécessaire pour que nous produisions efficacement. » témoigne Hubert Marti. L’autre grande difficulté afférente à la disponibilité des moyens de protection a obligé le Groupe Lorillard à repenser et adapter ses postes de production. « Sur nos ateliers bois, nos employés portaient déjà des masques pour se protéger de la poussière de bois. Les masques FFP2 étant introuvables nous avons choisi de changer nos typologies de masque pour des masques à cartouche non jetables. Ces masques sont personnels et permanents, ils ont une durée de vie importante » explique Hubert Marti. Aujourd’hui le Groupe réfléchit particulièrement à une solution de protection pour les postes de travail pour lesquels les masques ne sont pas obligatoires mais sur lesquels le personnel qui y travaille souhaite en porter. Avec la pénurie de masque et les problèmes d’approvisionnement, l’équipe réfléchit activement à une solution, un autre moyen que le masque, qui puisse les protéger efficacement. Ces dernières semaines, les priorités du Groupe Lorillard furent d’identifier les besoins des clients et de maîtriser les capacités de production, comme le précise Hubert Marti : « Notre production est stable avec de nouvelles règles de fonctionnement mais totalement efficiente. Avec le temps, les chantiers vont réouvrir, peut-être 35 à 40 % dans les 2 ou 3 prochaines semaines ». Dans la phase actuelle de la crise et dans les semaines à venir, le Groupe ne détermine pas de plan de relance à proprement parler. L’ignorance générale sur les mesures de reprise du gouvernement, sur les investissements des particuliers, sur la reprise des chantiers ou sur l’état de santé des fournisseurs et des clients, ne permet pas de présager l’avenir avec certitude. Fidèle à ses valeurs, Lorillard fait le choix de se concentrer sur l’impulsion de nouvelles manières de travailler, tant au plan technique qu’administratif, pour préserver la santé de son personnel et répondre efficacement aux besoins de ses clients.
Il y a 5 ans et 7 jours

Masques, chômage partiel, organisation du travail : les annonces d'E.Philippe

DECONFINEMENT. Le Premier ministre Édouard Philippe vient de détailler le plan de déconfinement qui sera lancé, théoriquement, à partir du 11 mai prochain. Il a notamment insisté sur l'importance de l'équipement de salariés en masques, une "condition de la reprise".
Il y a 5 ans et 7 jours

Covid-19 : le plan de déconfinement enfin dévoilé

L'enjeu: faire repartir l'économie sans déclencher une deuxième flambée de l'épidémie dont la page n'est pas tournée. Lundi soir, le bilan du coronavirus en France atteignait 23.293 décès, dont 437 de plus en 24 heures. En revanche le nombre de patients en réanimation continue de décroître.C'est à 15H00 que le Premier ministre, Édouard Philippe, a présenté devant l'Assemblée nationale les grandes règles à appliquer dans six domaines-clés: écoles, commerces, entreprises, tests et isolement des malades, masques et rassemblements.Quinze jours ont passé depuis le discours du président Emmanuel Macron: le délai demandé est tenu.Le projet de loi prorogeant l'état d'urgence sanitaire de deux mois, jusqu'au 24 juillet, sera par ailleurs présenté samedi en Conseil des ministres et examiné la semaine prochaine au Parlement. Cette loi permet de prendre par décret des mesures -et des sanctions- organisant le confinement, restreindre la circulation et limiter les rassemblements...A moins de deux semaines du Jour J, les arbitrages de cette stratégie tant attendue ont fait l'objet de six heures de réunion non stop à l'Élysée lundi avec autour du président, le Premier ministre, le pilote du plan Jean Castex, les ministres Olivier Véran (Santé) et Jean-Michel Blanquer (Éducation)."Réversibilité, adaptabilité"Parmi les annonces, on retiendra le retour des élèves à l'école sur la base du volontariat, l'adaptation locale sous la houlette des maires, la réouverture des commerces sauf les cafés-restaurants et le masque obligatoire dans les transports en commun.Le plan portera d'abord sur les trois prochaines semaines de mai, avec une clause de revoyure début juin, dans un esprit "ultra-pragmatique", précise un proche de l'exécutif. Avec trois grands principes: "progressivité, réversibilité et adaptabilité". L'objectif est de "protéger les Français dans un contexte où nous devons vivre avec le virus. D'où (...) des règles allant du 11 mai à la fin du mois, suivies d'une nouvelle période à partir de début juin", détaille cette source.Après le discours d'Édouard Philippe, le plan fera l'objet d'un débat de 2 heures 30 avec les députés, dont 75 pourront être physiquement présents, puis sera soumis au vote.Un vote qui sera "probablement l'une des décisions les plus lourdes qu'un parlementaire aura eues à prendre depuis la Seconde guerre mondiale", selon le dirigeant PS, Olivier Faure. Mardi il a exhorté le gouvernement à ne pas "jouer à la roulette russe le déconfinement". "Si on n'est pas prêt, on décale", a-t-il dit.La majorité présidentielle risque d'être seule à voter le plan, fustigé d'avance par les oppositions de droite comme de gauche qui découvrent les mesures prévues en même temps que le reste des Français et dénoncent un vote sous pression après avoir réclamé en vain 24 heures de réflexion supplémentaires.A cet égard, répondant aux éditoriaux faisant état de dissensions au sommet de l'Etat entre Matignon et l'Élysée, Emmanuel Macron a fustigé mardi ceux qui "tentent de diviser" le binôme: "L'ensemble de l'exécutif est pleinement aligné dans cette crise" a-t-il assuré lors du Conseil des ministres, selon des sources concordantes.Sur le fond, LR, LFI et le PS critiquent notamment le retour des élèves à l'école sur la base du volontariat. Et s'interrogent sur la logistique: y aura-t-il assez de masques le 11 mai? De tests ? Comment seront isolés les malades ?Pour répondre rapidement aux besoins en masques, dont la pénurie et surtout la gestion constituera le grand raté de l'exécutif dans cette crise, la secrétaire d'Etat à l'Economie, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé mardi jusqu'à 40 millions d'euros dédiés à la fabrication de nouveaux matériaux: ils permettront, selon elle, "d'accroître et sécuriser" la production nationale.Dès fin avril, la France devrait disposer de plus de 26 millions de masques grand public par semaine, dont près la moitié produits localement, a promis Bercy. Pharmacies et buralistes seront autorisés à les vendre.Maintenir le télétravail partout ou c'est possibleLe Premier ministre a demandé "avec insistance" aux entreprises de maintenir le télétravail "partout où c'est possible, au moins dans les trois prochaines semaines", afin de limiter l'affluence dans les transports et sur les lieux de travail. "Personne n'en ignore les contraintes mais celui-ci doit se poursuivre pour limiter le recours aux transports publics et pour limiter plus globalement les contacts", a plaidé Edouard Philippe en présentant son plan de déconfinement à l'Assemblée nationale. Sur le télétravail, il n'y a pas "un avant et un après 11 mai", a-t-il affirmé.Dans les cas où le télétravail n'est pas possible, le Premier ministre a encouragé "la pratique des horaires décalés dans l'entreprise". "Elle étalera les flux de salariés dans les transports et diminuera la présence simultanée des salariés dans un même espace de travail", a-t-il souligné.Edouard Philippe a également indiqué que les 60 guides métiers élaborés par les fédérations professionnelles et le ministère du Travail pour accompagner les réorganisations nécessaires au sein des entreprises devront être "prêts pour le 11 mai", 33 de ces guides étant déjà disponibles.Il a appelé les entreprises à porter "une attention particulière aux emplois du temps, aux gestes barrières, à l'aménagement des espaces de travail" et à recourir au port du masque "dès lors que les règles de distanciation ne pourront être garanties".Ces sujets liés à la santé et à la sécurité des salariés doivent faire l'objet d'une réunion avec les organisations syndicales et patronales jeudi.Enfin, "le dispositif d'activité partielle, qui est un des plus généreux d'Europe, restera en place jusqu'au 1er juin", a annoncé le Premier ministre."Il nous faudra ensuite l'adapter progressivement, afin d'accompagner la reprise d'activité si l'épidémie est maîtrisée", a-t-il poursuivi, assurant vouloir continuer "à protéger les personnes vulnérables et les secteurs professionnels qui demeureraient fermés".Le chômage partiel, qui permet aux salariés de toucher 84% de leur rémunération nette, concerne actuellement 10,8 millions de salariés, soit plus d'un salarié du secteur privé sur deux.Défiance persistanteDes syndicats d'enseignants et des maires jugent le délai trop court pour appliquer aux écoles les règles très contraignantes préconisées par le Conseil scientifique.Des psychologues alertent également sur l'impact de la situation sur les petits. "Les enfants sont les grands oubliés, très souvent leur souffrance psychique est banalisée", a affirmé mardi la psychothérapeute Hélène Romano sur France inter.D'une manière générale, les médecins et les psychologues s'inquiètent des troubles anxieux, dépression et décompressions liés au confinement, même après sa levée partielle.Autre point litigieux, le projet d'application de traçage des contacts des porteurs du virus, "StopCovid": contestée jusque dans les rangs de la majorité, cette application risque surtout de ne jamais être prête à temps, selon des parlementaires LREM.Grâce à sa confortable majorité, le vote ne devrait être pour le gouvernement qu'une formalité. Aussi, dès mercredi, le Premier ministre a prévu de présenter son plan aux élus locaux et aux préfets, puis aux partenaires sociaux probablement jeudi.Cependant, le climat de défiance persiste chez les Français, dont une majorité ne fait pas confiance à l'exécutif pour piloter le déconfinement. L'indice de confiance des ménages a par ailleurs subi en avril une chute historique, selon l'Insee.Rare lueur d'espoir dans la crise: un médicament, l'immuno-modulateur tocilizumab, a montré son efficacité pour prévenir les formes graves de pneumonies du Covid-19, selon une étude française encore non publiée révélée mercredi par l'AP-HP.
Il y a 5 ans et 7 jours

La croissance de l’activité s’effondre selon la note de conjoncture de la Capeb

La Capeb publie les tendances de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment pour le 1er trimestre 2020 et révèle que 80 % des entreprises sont à l’arrêt depuis le 17 mars.
Il y a 5 ans et 7 jours

Programmation Pluriannuelle de l’Energie : respecter le calendrier malgré la crise

Suite à la publication, tant attendue, de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) par le gouvernement, le SER alerte sur l’importance du respect indispensable du calendrier malgré la période que nous traversons. Tout retard fragiliserait encore davantage les entreprises du secteur, développeurs et industriels, en particulier les ETI et les PME, et nous éloignerait des objectifs que la France s’est fixé de parvenir à 33% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique en 2030 et d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour tenir ce calendrier, au moment du redémarrage, il sera nécessaire d’accélérer les procédures administratives permettant de mettre en service les projets déjà en développement et la planification des appels d’offres afin de compenser les retards dus à la crise. Le SER appelle à ce qu’une réflexion s’ouvre sur les mesures d’accompagnement qui seront nécessaires afin d’atteindre les objectifs définis. Photo : Edilians
Il y a 5 ans et 7 jours

Programmation Pluriannuelle de l’Energie : respecter le calendrier malgré la crise

Suite à la publication, tant attendue, de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) par le gouvernement, le SER alerte sur l’importance du respect indispensable du calendrier malgré la période que…Cet article Programmation Pluriannuelle de l’Energie : respecter le calendrier malgré la crise est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 7 jours

Un film photovoltaïque qui prend toutes les formes

ARMOR vient de franchir une étape décisive dans la production de son film photovoltaïque organique souple ASCA. L’industriel annonce début avril avoir produit des modules photovoltaïques free-form, grâce à la combinaison pour la première fois de ses expertises complémentaires en France et en Allemagne. Cette prouesse permet à ARMOR d’envisager de nouvelles applications pour son film photovoltaïque. Grâce à la technologie free-form, le film peut désormais prendre les formes dont la seule limite est l’imaginaire : sur-mesure et originales, ou avec des « design » spécifiques permettant d’accompagner les choix de haute valeur ajoutée des designers et des architectes. En outre, ARMOR bénéficie d’une capacité industrielle de production d’un million de m2 par an qui désormais inclut la production de modules free-form.
Il y a 5 ans et 7 jours

Normes environnementales : le CINOV s’oppose à tout moratoire

Pour le CINOV, Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique, la crise actuelle doit être un véritable accélérateur de transitions énergétique, écologique et numérique. Pour la relance, toutes les mesures d’un plan de soutien massif aux entreprises doivent être totalement compatibles avec ces conversions en prenant en compte en particulier, des critères comme la transition bas-carbone, la régénération de la biodiversité et la définition d’un nouveau pacte social. Il est probable que certains acteurs vont demander à différer voire à supprimer l’application et l’évolution de réglementations de protections environnementale, sanitaire, sociale et juridique. Le CINOV pense qu’il est au contraire urgent de poursuivre ces évolutions au moment où l’opinion publique aspire à un changement de modèle de société. La crise actuelle montre que nous faisons les frais d’un manque d’anticipation d’un évènement prétendument « imprévisible » (malgré les signaux forts). La crise environnementale et climatique est, quant à elle, bien plus prévisible ; reculer les mesures de lutte et les mesures d’adaptation serait encore plus grave. Le plan doit être assorti de critères d’éco-conditionnalité, comme le suggère le Haut Conseil pour le Climat dans sa note d’avril 2020. Il s’agit ainsi d’intégrer des objectifs de performances énergétique, climatique, écologique, sociale et de relocalisation pour chaque euro investi en s’inspirant largement du Green deal européen.
Il y a 5 ans et 7 jours

Normes environnementales : le CINOV s’oppose à tout moratoire

Pour le CINOV, Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique, la crise actuelle doit être un véritable accélérateur de transitions énergétique,…Cet article Normes environnementales : le CINOV s’oppose à tout moratoire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.