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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18313 résultats)
Il y a 2 ans et 144 jours

pompe a chaleur geothermique un coup de pouce revalorise a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que le coup de pouce pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 144 jours

Hausse du prix de l'énergie, baisse des aides pour isoler : Effy dénonce une "incohérence"

ISOLATION. La société Effy regrette la baisse de certaines aides à l'isolation, et invite l'État à davantage favoriser les travaux de rénovation énergétique efficaces.
Il y a 2 ans et 144 jours

pompe a chaleur geothermique l aide maprimerenov augmentee a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 144 jours

Urgence climatique : comment réduire efficacement son empreinte carbone ?

La transition environnementale concerne l’ensemble de l’humanité où il devient impératif de modifier ses modes de consommation pour réduire sa facture carbone. Si le Ministère de la Transition écologique estimait à 9t/CO2e/Français/an, il s’avère que ces calculs officiels n’incluaient pas les émissions liées à la déforestation, à certains GES comme les HFC, PFC et SF6, ainsi que la vapeur d’eau des traînées de condensation des avions.S’appuyant sur les données de l’ADEME confirmées par Carbone 4, Greenly a analysé les 3 scopes (concernant les émissions directes et indirectes) des Français, portant celles-ci plutôt à 9,9t/CO2e/Français/an, soit près d'une tonne de plus : il faudrait 2,9 Terres si toute l’humanité consommait comme la France, et le 5 mai 2022, la France a consommé ce que la Terre met un an à produire. A titre de comparaison, c’est 9 Terres pour le Qatar, 8,2 pour le Luxembourg et 5,1 pour les Etats-Unis. A l’échelle individuelle, les postes les plus émetteurs concernent le transport, l’alimentation, les achats de biens et services.Réduire les cinq cavaliers du changement climatiqueChaque Français peut contribuer à réduire son empreinte carbone de 28% en appliquant des gestes du quotidien dans les postes les plus émetteurs. Pour ce faire, il suffit de repenser sa consommation pour viser le bas carbone.Le transport : c’est 2,6 tCO2e par habitant, la voiture individuelle représente près des trois quarts des émissions liées au transport, suivi de l’avion. L’alternative la plus efficace est de privilégier les transports à mobilité douce comme le vélo pour les courtes distances (-0,32 tCO2e) ou encore les transports en commun qui émettent 98% de moins que la voiture pour un trajet équivalent. Le covoiturage, grâce au taux d’occupation, permet de réduire 0,27 tCO2e/personne.an, que le trajet soit court ou long. Pour les voyages, privilégier le train à l’avion réduit de 0,27 tCO2e l’empreinte carbone. Le train permet d’épargner 99% des émissions de CO2 par rapport à un trajet équivalent en avion et en voiture.L’alimentation : Avec ses 2,3 tCO2e par habitant, l’alimentation est le deuxième poste le plus émetteur. En tête de liste, la consommation de viande représente près de la moitié, soit 0,92 tCO2e, suivi des produits laitiers et de la volaille (0,39 tCO2e), des fruits et légumes (0,24 tCO2e) et de la pêche (0,12 tCO2e). L’adoption à un régime entièrement végétarien permettrait de réduire d’une tonne l’émission carbone. La consommation de produits locaux a également un impact positif puisqu'elle réduit l'empreinte carbone de 0,17 tCO2e.Le logement : La consommation d’énergie fossile (gaz et fioul), que ce soit pour s’éclairer ou chauffer son logement, représente 1,9 tCO2e/habitant.an. Les émissions liées à la construction et à la gestion des déchets n'y contribuent que dans une faible mesure. En maintenant la température de son domicile à 19°, c’est 0,16 tCO2e d’épargner. Il en va de même en s’équipant d’un éclairage LED pour économiser 0,02 tCO2e.Les biens et services : émettant 1,6 tCO2e, il est possible de réduire cette empreinte en achetant 3 fois moins de vêtements neufs (-0,22 tCO2e) et tout son électroménager et high-tech d’occasion (-0,16 tCO2e), ainsi qu’en adoptant un comportement de zéro déchet grâce au vrac proposé dans plusieurs enseignes et en ayant une gourde pour limiter les bouteilles en plastique (-0,09 tCO2e). D’autres leviers sont activables pour réduire des postes comme la banque en privilégiant les investissements responsables, ou encore de préférer des loisirs plus vertueux.Les services publics : L’empreinte carbone de ce poste est estimée à 1,4 tCO2e par habitant. En raison de l'incapacité relative des individus à agir directement sur ces émissions, elles sont considérées comme des émissions "incompressibles".Pour Tommy Catherine, expert de la méthodologie carbone chez Greenly : « S'il est vrai que les actions individuelles jouent un rôle dans la réduction de notre empreinte carbone, cette étude met en lumière les facteurs systémiques qui contribuent à notre empreinte carbone et qui sont restés longtemps inaperçus. L’action collective à grande échelle est donc nécessaire et cela inclut la décarbonation des entreprises industrielles et agricoles, ainsi que de l'État. Et c’est possible comme l’a démontré une récente observation du trou de la couche d’ozone qui poursuit sa reconstitution depuis l’interdiction de certains gaz. »
Il y a 2 ans et 144 jours

L'aide pour une pompe à chaleur géothermique va passer à 5.000 euros

Ce dispositif "doit permettre de produire en 15 à 20 ans suffisamment de chaleur géothermale pour économiser 100 TWh/an de gaz, soit plus que les importations de gaz russe avant 2022", vise la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.Il s'agit à la fois de soutenir l'essor d'une filière industrielle (forage, production), et les projets portés notamment par les particuliers.Ainsi l'aide pour l'installation d'une pompe à chaleur géothermique en remplacement d'une vieille chaudière thermique sera portée dès mars à 5.000 euros quel que soit le niveau de revenu (contre 4.000 euros jusqu'ici pour les ménages les plus modestes et 2.500 euros pour les autres).Le coût varie beaucoup selon l'installation, mais peut largement dépasser 20.000 euros, selon les travaux nécessaires et les forages nécessaires.Ce "coup de pouce" pourra être cumulé avec d'autres dispositifs de soutien. Jusqu'à 90% du coût total de l'installation pourra ainsi être pris en charge par l'Etat pour les ménages les plus modestes, selon le ministère.Le chauffage absorbe 50% de l'énergie consommée en France, et il reste majoritairement issu d'énergies fossiles (fioul et gaz). La géothermie, qui consiste à aller puiser dans le sous-sol de la chaleur renouvelable liée au fonctionnement géologique de la Terre, ne représente au contraire qu'une petite fraction du chauffage.In fine, le gouvernement voudrait augmenter de 40% le nombre de projets de géothermie profonde lancés d'ici 2030, et doubler le nombre d'installations de pompes à chaleur géothermique chez les particuliers d'ici 2025.Au prix actuel des énergies, un ménage moyen économiserait chaque année au moins 800 euros en substitution d'un chauffage fioul et près de 500 euros en substitution d'un chauffage gaz, selon les calculs du ministère.
Il y a 2 ans et 144 jours

Chauffage : quels appareils ont tiré leur épingle du jeu en 2022 ?

CHIFFRES. Pompes à chaleur, poêles à granulés bois, chaudières gaz, systèmes solaires combinés... Quels sont les appareils de chauffage ayant été plébiscités l'an dernier ? Tour d'horizon, grâce aux chiffres communiqués par l'organisation Uniclima.
Il y a 2 ans et 144 jours

Rencontre avec Norman Willemsen, PDG de Kebony

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire de KEBONY ?Norman Willemsen : Kebony est la première entreprise mondiale en matière de technologie de modification du bois respectueuse de l’environnement, reconnue comme leader mondial de la durabilité et l’une des entreprises technologiques les plus passionnantes, mettant en avant sur la scène internationale la mégatendance des matériaux de construction durables sur le marché mondial de la construction.Kebony a été fondée en 1997 en Norvège et a connu une croissance phénoménale au cours des deux dernières décennies pour devenir un producteur internationalement reconnu du meilleur bois durable entièrement modifié. Afin de répondre à la demande accrue, une deuxième usine a été ouverte en 2018 à Anvers, ce qui a permis à Kebony de doubler sa capacité de production annuelle de bois Kebony Clear et de se développer sur de nouveaux marchés mondiaux.Batinfo : Où en est KEBONY maintenant ?Norman Willemsen : Chez Kebony, nous utilisons notre technologie unique et brevetée de modification du bois pour produire un bois amélioré de qualité supérieure, qui est à la fois respectueux de l’environnement et rentable : un bois naturel fait pour durer. En transformant de manière permanente des essences de bois tendres comme le pin en bois Kebony dont les caractéristiques sont comparables, et dans certains cas supérieures, à celles des bois durs précieux, notre entreprise parvient à éviter la déforestation des bois durs tropicaux et à protéger des puits de carbone vitaux comme l’Amazonie.La communauté internationale reconnaît aujourd’hui la nécessité absolue de construire avec des matériaux durables et issus de sources durables. Dans de nombreuses régions du monde, il est indéniable que le secteur de la construction est très polluant et demeure peu durable, sachant que la chaîne de valeur, des matériaux aux opérations, est responsable de plus d’un tiers des émissions annuelles de gaz à effet de serre.Bientôt, il sera impératif pour tous les professionnels de l’environnement bâti d’atteindre les objectifs de durabilité. La réduction de la dépendance mondiale à l’égard des bois durs courants est au cœur de la mission de Kebony, et notre technologie innovante et brevetée de modification du bois nous permet de produire du bois à la fois écologique et rentable.Nous sommes fiers de pouvoir dire que le bois Kebony a été utilisé dans certains projets les plus ambitieux, les plus durables et les plus appréciés au monde, notamment le pavillon KREOD pour les Jeux olympiques de Londres, le restaurant de plage du Club des Palmiers à Saint-Tropez, le showroom de Tesla à Denver et, plus récemment, le réaménagement de l’emblématique centrale électrique de Battersea à Londres.En contribuant positivement à l’évolution naturelle et à la viabilité de l’utilisation du bois dans la construction, Kebony entend aborder le double problème de la déforestation et des émissions de carbone provenant des matériaux de construction standardisés. Kebony se distingue de ses concurrents par le fait que sa production de bois est respectueuse de l’environnement grâce à une technologie et à un processus d’imprégnation complexes et sophistiqués, ce qui lui a valu une réputation d’excellence de longue date.Batinfo : Quels sont les prochains projets pour Kebony ?Norman Willemsen : Cette année, le Global Cleantech 100 a accueilli Kebony dans son prestigieux « Hall of Fame » en reconnaissance de son engagement envers l’excellence technologique et la création d’un avenir durable. Le produit a également été reconnu par le Financial Times comme « Tech Champion » pour sa production durable et la préservation des forêts comme puits de carbone. Kebony est une entreprise mondiale, et les produits Kebony sont utilisés sur des projets dans plus de 100 pays. En tant que leader mondial de la production de bois durable, Kebony ouvre la voie à une construction respectueuse de l’environnement et ce, à une époque où elle est plus nécessaire que jamais. En Octobre 2021, Kebony a récolté 30 millions d’euros à l’occasion d’une levée de fonds menée par Jolt Capital et Lightrock, qui soutient nos ambitions futures et nous permettra de tirer parti de l’importante évolutivité opérationnelle pour poursuivre une croissance rentable. Nous visons maintenant des opportunités de croissance prometteuses, avec la nomination d'équipes de vente supplémentaires en Europe occidentale et centrale, au Moyen-Orient et aux États-Unis. Aujourd’hui, Kebony est vendu dans un grand nombre de pays et prévoit, d’ici 2030, d’être utilisé dans des projets de développement dans de nombreux pays à travers le monde, en raison du besoin croissant d’alternatives durables dans la construction et du fait que le bois durable devient la nouvelle norme.
Il y a 2 ans et 145 jours

Le biogaz, une énergie locale et flexible, au service de la résilience de notre système énergétique

Aux côtés de Barbara Nicoloso, directrice de l’association Virage Énergie et auteur du Petit traité de sobriété énergétique et de Baptiste Perrissin Fabert, directeur exécutif de l’expertise et des programmes de l’ADEME, Jean-Charles Colas-Roy, Vice-Président de Coénove a pu revenir sur l’importance d’installer durablement les efforts de réduction des consommations énergétiques et de pérenniser les bons résultats obtenus ces derniers mois en passant d’une sobriété conjoncturelle à une sobriété structurelle.Cette conférence a également été l’occasion de revenir sur la nécessité de faire converger deux enjeux majeurs dans le secteur du bâtiment : assurer la sécurité d’approvisionnement tout en accélérant la décarbonation du parc. Pour Jean-Charles Colas-Roy, Vice-Président de Coénove : « La rénovation des bâtiments, la complémentarité des énergies et le verdissement du gaz sont des atouts majeurs pour la décarbonation du secteur du bâtiment. La SFEC (Stratégie Française Energie Climat) est une feuille de route de décarbonation mais c’est aussi un impératif de sécurité d’approvisionnement pour les français. Le biogaz, en tant qu’énergie stockable, renouvelable et produite en France, apporte résilience et flexibilité au système énergétique français et européen. Le verdissement du gaz comporte de nombreuses externalités positives : valorisation des déchets, économie circulaire, revenus complémentaires, emplois locaux, indépendance énergétique du pays, capacités de stockage. A ce titre, il est essentiel d’amplifier et de soutenir la trajectoire de developpement du biogaz en France, dans la prochaine PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Energie), avec un objectif de 20% de gaz renouvelables en 2030. »
Il y a 2 ans et 145 jours

Acorus réalise la réhabilitation énergétique de 32 logements pour RIVP Paris 14

L’éco-rénovation au service de la sobriété énergétiqueL’éco-rénovation est un mélange de deux procédés qui permet à la fois de proposer des produits techniques dont les performances permettent de limiter les déperditions thermiques et d’améliorer les consommations énergétiques d’un bâtiment (isolation, système de chauffage, de ventilation), tout en ayant des caractéristiques de fabrication peu émissives en carbone. Et également de prendre en compte le bien-être des habitants dans leur logement.Pour illustration, Acorus s’est occupé du chantier de la RIVP (deuxième bailleur social parisien avec plus de 60.000 logements sociaux en gestion), dans le 14e arrondissement de la capitale. Le bouquet de travaux consistait en la réhabilitation thermique Plan Climat en milieu occupé d’un immeuble d’habitation R+7 (et caves) constitué de logements et ateliers d’artistes, soit environ 70 locataires. Acorus a réalisé une rénovation globale et performante permettant d’obtenir des gains énergétiques considérables de l’immeuble, en actionnant tous les leviers de corps d’état possible : Une isolation thermique extérieure, majoritairement en laine de roche, a été mise en œuvre sur l’ensemble de l’enveloppe du bâtiment (murs, toitures terrasses, rampants des toitures en pente et planchers sur le sous-sol). Objectif de consommations après travaux : Cep = 103 kWhep/m2shon.an (classe C), contre 206 kWhep/m2shon.an (classe D) avant travaux. Remplacement des menuiseries extérieures par des nouvelles en double vitrage et huisseries aluminium pour les parties courantes et en bois pour les balcons. La couverture des rampants a été entièrement remplacée en ardoise naturelle. Mise en place d’un système de ventilation plus performant. Installation d’un système de chauffage plus économique avec pilotage des radiateurs.Remplacement des luminaires moins énergivores et à extinction automatique. En parallèle, d’autres travaux ont été entrepris pour améliorer le confort des locataires : Les gardes corps des balcons ont été déportés pour ne pas perdre d’espace (pris par l’ajout d’isolant) Les menuiseries ont été mises au nu extérieur du bâtiment pour libérer de l’espace intérieur dans les logements Les entrées d’air de ventilation ont été renforcées pour affaiblir les nuisances acoustiques provenant de l’extérieurRemaniement des espaces verts (hôtels à insectes, perchoirs à oiseaux)En outre, Acorus avait un AMO Environnement qui notait, entre autres, l’organisation du chantier et son impact vis-à-vis de l’environnement (consommation d’eau, d’électricité, tri des déchets, kit antipollution...).Pour Philippe Benquet, Président du Groupe Acorus : « Nous sommes très fiers de cette réhabilitation thermique Plan Climat pour la ville de Paris, qui respecte l’existant tout en étant au service d’une amélioration de l’architecture et de la qualité d’usage. Grâce aux économies d’énergie qu’elles permettent de réaliser, les solutions d’entretien, de rénovation et de réhabilitation installées quotidiennement par nos 850 techniciens, constituent des gains sur les consommations énergétiques des logements. »
Il y a 2 ans et 145 jours

Décarbonation du chauffage – La pompe à chaleur n’est pas une recette miracle !

À l’occasion d’une conférence de presse organisée mardi 31 janvier, le CLER-Réseau pour la transition énergétique et l’Association négaWatt ont présenté leurs recommandations politiques élaborées à partir des principaux résultats et enseignements d’une étude technique de l’Assocation négaWatt “Rôle de la pompe à chaleur dans la stratégie de rénovation”, ainsi que des réflexions d’un groupe […]
Il y a 2 ans et 145 jours

Recticel Simfocor® reçoit le label d'efficience environnementale Solar Impulse

Ce label est attribué à des produits, services ou procédés alliant des performances environnementales et économiques. Cela signifie également que Simfocor® rejoint la liste de la Fondation Solar Impulse des #1000+ Solutions sélectionnées pour leur contribution à une croissance économique durable.Simfocor® fait partie de la gamme innovante d'isolation « Recticel Silence » qui est actuellement commercialisé en France et en Espagne.Un isolant thermo-acoustique recyclé pour les cloisonsEn France, le coût social des nuisances sonores s'élève à 147 milliards d'euros en 2021, soit près du double du coût relevé en 2016*. Le problème est accentué par une tendance générale vers des logements plus petits et des bâtiments collectifs. Simfocor® relève ce défi avec une solution thermo-acoustique conçue pour les cloisons. Facile à poser soi-même, les panneaux Simfocor® se glissent entre les montants métalliques de la cloison et sont recouverts par une plaque de plâtre d'une épaisseur minimum de 12,5 mm. Ainsi, Simfocor réduit l'intensité sonore d’une pièce à l’autre jusqu'à 84 %, ce qui représente une amélioration de 8 dB ΔRw, tout en offrant de bonnes performances thermiques. Simfocor® est également une innovation respectueuse de l’environnement. Il est composé de mousses PU recyclées provenant d’anciens matelas, leur offrant ainsi une seconde vie en tant que matériau de construction.La Fondation Solar ImpulseLe label Solar Impulse a été initié par l'explorateur visionnaire Bertrand Piccard, qui a réalisé en 2016 le premier tour du monde en avion électrique à énergie solaire. La Fondation cherche à relever les défis du développement durable tout en assurant la viabilité économique.Simfocor® apparaît désormais dans le « Solutions Explorer de la Fondation », un moteur de recherche unique qui présente des solutions climatiques viables.Cette certification reflète la quête continue de Recticel en matière d'innovation durable et son engagement vers un objectif global de zéro émission nette d'ici 2050.*CNB-Ademe sondages publiés en 2021 et 2016
Il y a 2 ans et 145 jours

Énergies renouvelables : dernier feu vert de l'Assemblée

Les députés ont adopté le texte par 217 voix contre 169, avec le soutien des socialistes et d'élus du petit groupe indépendant Liot, comme en première lecture.Les écologistes se sont de nouveau abstenus en critiquant un texte "sans ambition". Communistes, LR et RN ont voté contre. Ce vote est une satisfaction pour le gouvernement, confronté le même jour à une nouvelle journée de mobilisation contre sa réforme des retraites.Le projet de loi dédié aux énergies renouvelables (EnR) a donné lieu à un compromis entre députés et sénateurs il y a une semaine.Il vise à "lever tous les verrous qui retardent le déploiement des projets", a souligné la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher. "Nous sommes le seul pays européen à ne pas avoir atteint ses objectifs" en matière d'éolien et de solaire, a-t-elle affirmé.Les négociations les plus âpres entre députés et sénateurs ont porté sur la planification de zones d'accélération où déployer prioritairement les énergies renouvelables, avec l'avis conforme des communes, ainsi que d'éventuelles zones d'exclusion."Les élus locaux proposent et ont le dernier mot sur le zonage", a souligné la ministre Pannier-Runacher. Et les zones d'exclusion ne seront possibles que pour des territoires qui valident des zones d'accélération, a-t-elle rappelé.La gauche redoute le retour du veto des maires, que réclamait LR pour l'ensemble du territoire. Et des ONG et des acteurs du secteur des renouvelables critiquent une "usine à gaz".Autre sujet sensible, la définition de l'agrivoltaïsme, combinant agriculture et production d'énergie. Le gouvernement assure que le texte encadre cette pratique, afin d'éviter des dérives aux dépens de la souveraineté alimentaire.Tout au long des débats, les députés LR, à rebours de leurs collègues sénateurs, ainsi que les élus RN, ont ferraillé contre le projet de loi, pointant les "nuisances" des éoliennes.Ce texte n'est que le premier volet d'un triptyque sur l'énergie. Au printemps, l'exécutif compte défendre à l'Assemblée nationale le projet de loi favorisant la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, voté en première lecture au Sénat le 24 janvier.Puis le Parlement se prononcera, au mieux cet été, sur le futur énergétique de la France, avec la loi de programmation pluriannuelle, fixant la part de chaque énergie (nucléaire, renouvelables).
Il y a 2 ans et 145 jours

"Le DPE est devenu un vrai critère de négociation pour les acquéreurs" (SeLoger)

IMMOBILIER. Le diagnostic de performance énergétique impacte fortement le marché immobilier, note SeLoger. Les acheteurs sont plus avertis, et les vendeurs sont contraints de revoir le prix des biens énergivores à la baisse.
Il y a 2 ans et 145 jours

mulhouse va creer un reseau de chaleur recuperant la chaleur fatale

L’agglomération de Mulhouse a annoncé ce mardi qu’elle allait créer un nouveau réseau de chaleur urbain raccordé à certaines usines de la ville pour approvisionner le centre-ville en chauffage. L’objectif : chauffer plus de 20 000 logements grâce à de la chaleur renouvelable, plutôt que par du gaz fossile.
Il y a 2 ans et 145 jours

pompes a chaleur et renovation performante une combinaison gagnante

De plus en plus appréciée par les ménages français, la pompe à chaleur (PAC) est aujourd’hui en pleine expansion avec plus d’un million d’unités vendues en 2021. Toutefois, l'association négaWatt alerte sur les conditions d’installation de ces appareils.
Il y a 2 ans et 145 jours

le solaire et l eolien ont fourni plus d electricite a l ue que le gaz en 2022

Dans un contexte de crise énergétique impulsée par la guerre en Ukraine, les pays de l’Union européenne se sont massivement reportés sur l’énergie solaire et éolienne, selon un rapport du groupe de réflexion Ember. D’après ce dernier, l’électricité fournie par ces deux énergies renouvelables ont pour la première fois dépassé celle fournie par le gaz fossile.
Il y a 2 ans et 145 jours

quelles sont les aides de l etat pour le chauffage au bois

La nouvelle aide de l’État pour le chauffage bois varie entre 50 € et 200 €. Découvrez l’intégralité des aides, et qui peut en bénéficier.
Il y a 2 ans et 145 jours

Acova dévoile la nouvelle image de son site acova.fr et ses fonctionnalités inédites

Reflet de sa nouvelle identité graphique et de sa signature de marque « Créons du beau, créons durable », ACOVA a entièrement repensé son site internet pour le rendre plus moderne et plus inspirationnel. Afin d’améliorer l’expérience client, la marque, référente de son marché depuis près de 60 ans, a retravaillé la structure technique de son site dans une démarche écoresponsable, en phase avec ses valeurs. Acova, créons du beau… Vitrine du fabricant de radiateurs et radiateurs sèche-serviettes, cette nouvelle version du site offre un accompagnement au particulier tout au long de son projet de chauffage, en lui apportant conseils et inspirations pour son intérieur. Quant aux professionnels, de nombreuses fonctionnalités ont été ajoutées et/ou améliorées pour faciliter leur quotidien. Parmi celles-ci, citons : Une structure des pages et une navigation complètement réorganisées pour gagner en fluidité et intuitivité Un espace dédié à la marque mis en avant sur la page d’accueil, réaffirmant son savoir-faire, son histoire, ses valeurs et ses engagements ; La création d’un espace « Le Mag » composé de 3 rubriques : « News » (articles autour des nouveautés), « Nos conseils » et « Inspirations » ; Un espace PRO qui ne fait désormais plus qu’un avec le site principal pour faciliter l’accès aux informations pour les clients installateurs et distributeurs. Acova, créons durable Dans la continuité de sa démarche RSE, ACOVA a souhaité également étendre ses actions au digital notamment en optant pour un site internet éco-conçu. Aujourd’hui, Acova.fr est une preuve concrète de son engagement et de sa volonté de prendre en compte les questions sociétales et environnementales. Ainsi, la consommation d’énergie liée au site est limitée grâce à un hébergeur « climatiquement neutre » certifié ISO 14001 et ISO 50001, alimenté à 100% par des énergies renouvelables. De plus, ACOVA a amélioré les performances et l’accessibilité de son site pour tous les internautes grâce à une série de choix d’intégration technique. Par exemple, les contrastes des éléments distinguables visuellement ont été conçus pour rendre le contenu perceptible par les personnes malvoyantes. Acova a mesuré une baisse moyenne de son émission de CO2 par page vue de 12,5%* par rapport à la précédente version du site. Le site est d’ailleurs maintenant noté A du point de vue de son impact environnemental. Dans un souci d’amélioration continue de ses performances, Acova poursuit ses efforts d’optimisations. Tout en respectant ses nombreux engagements, la nouvelle version du site d’ACOVA offre une meilleure expérience à ses clients en termes d’accompagnement et conseils, d’informations mises à disposition et de confort d’utilisation. acova.fr
Il y a 2 ans et 145 jours

Augmentation de +15% des tarifs réglementés en vigueur gaz et électricité : les Français bien lotis en Europe

Malgré ces augmentations tarifaires, les prix du gaz et de l’électricité payés par les particuliers en France restent parmi les moins élevés en Europe, de 2 à 3 fois moins chers que dans les autres grands pays européens.Seuls l’Espagne et le Portugal possèdent des tarifs similaires, voire inférieurs, à ceux pratiqués en France : dans ces pays, les tarifs réglementés en vigueur (TRV) sont très corrélés aux prix de marché, actuellement bas en raison de la forte production éolienne et de la baisse de la demande, liée en partie à des températures plus cléments et à la sobriété énergétique.Retrouvez ici le baromètre Hello Watt actualisé des prix de l’énergie en Europe pour les particuliers :Baromètre des prix du gazBaromètre des prix de l’électricitéLes prix de gros étant similaires en France à ceux de ses voisins européens, ces factures d'électricité et de gaz plus faibles ne sont possibles que grâce au bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement qui devrait s’élever à 45 Md€, engendrant un coût considérable pour les finances publiques sur la seule année 2023.En 2023, 43% des factures d’électricité et de gaz des particuliers seront payées par l’Etat, et ceci malgré la hausse de 15% du prix de l'électricité et du gaz.S’il est pertinent de protéger les plus modestes en cette période, on peut regretter que le bouclier tarifaire ne soit pas ciblé sur ceux-ci plutôt que sur tous les clients. En effet, subventionner le prix de l’énergie n’incite pas à réduire notre consommation. Le budget de Ma Prime Rénov étant de 2,5 Md€ pour 2023, pour financer des économies d'énergie pérenne et non une baisse temporaire des factures, on peut s'interroger sur la bonne allocation des ressources de l’Etat pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, le prix de l’énergie pour les particuliers étant amené à poursuivre sa hausse dans les années à venir, une partie importante du bouclier tarifaire étant absorbé par des baisses de taxes, qui ont vocation à remonter.
Il y a 2 ans et 145 jours

Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines, selon une étude

Une modélisation a révélé que si la couverture végétale d'une ville pouvait atteindre les 30% de sa surface, contre une moyenne de 14,9% actuellement, cela permettrait de réduire la température de 0,4 degré celsius en moyenne pendant les canicules estivales, rapporte une étude publiée dans The Lancet.Sur les 6.700 décès prématurés attribués au réchauffement des températures dans 93 villes européennes en 2015, les résultats montrent qu'un tiers pourrait ainsi être évité.Cette étude est la première à prévoir, dans le contexte du réchauffement climatique dans les villes, le nombre de décès prématurés qui pourraient être évités par une couverture arborée supplémentaire, a souligné l'auteur principal, Tamara Iungman, chercheur à l'Institut de santé mondiale de Barcelone.Les températures dans les villes sont plus élevées que dans les banlieues ou les campagnes environnantes, en raison d'îlots de chaleur.Cette différence de température est principalement due à la suppression de la végétation, à l'évacuation de la chaleur des systèmes de climatisation, ainsi qu'à l'asphalte et aux matériaux de construction de couleur sombre qui absorbent et retiennent la chaleur."Nous savons déjà que les températures élevées dans les environnements urbains sont associées à des résultats négatifs pour la santé, tels que l'insuffisance cardiorespiratoire, l'augmentation des admissions à l'hôpital et des décès prématurés", a déclaré Mme Iungman dans un communiqué. "Notre objectif est d'informer les politiques et les décideurs locaux sur les avantages de l'intégration stratégique de l'infrastructure verte dans la planification urbaine afin de promouvoir des environnements urbains plus durables, résilients et sains."En raison du réchauffement climatique d'origine humaine, l'augmentation des températures dans les villes sera plus intense d'où la nécessité de plus en plus urgente pour les villes, de s'adapter pour améliorer les résultats en matière de santé.Déjà l'année dernière, l'Europe a connu l'été le plus chaud jamais enregistré et la deuxième année la plus chaude. Dans le monde entier, les vagues de chaleur atteignent des pics record et leur durée s'est allongée ces dernières décennies.Aujourd'hui, le froid cause encore plus de décès en Europe que la chaleur. Mais les prévisions basées sur les émissions actuelles révèlent que les maladies et les décès liés à la chaleur représenteront une charge plus importante pour les services de santé d'ici une décennie.
Il y a 2 ans et 145 jours

Le FMI apporte son soutien à la réforme des retraites

"Une consolidation budgétaire soutenue axée sur les dépenses sera essentielle pour reconstituer des amortisseurs financiers et ramener la dette dans une trajectoire fermement descendante", a écrit l'institution de Washington dans un document publié lundi et évaluant la politique économique française.Selon l'organisation internationale, "la mise en place de la réforme de l'assurance chômage et la réforme des retraites peuvent offrir une partie de cet ajustement nécessaire".La baisse des dépenses ainsi que d'autres réformes doivent aussi le permettre, juge le FMI dans ce document intitulé Article IV.La très contestée réforme des retraites, qui a commencé a être examinée lundi en commission des Affaires sociales à l'Assemblée nationale, prévoit un recul de l'âge légal de 62 à 64 ans et une accélération de l'allongement de la durée de cotisation, au grand dam des syndicats qui organisent une nouvelle journée de mobilisation mardi.Les membres du Fonds monétaire "saluent l'adoption récente de la réforme de l'assurance chômage et la réforme à venir des retraites, qui contribueront à augmenter l'offre de travail", précise l'institution.En novembre déjà, l'institution économique internationale avait évoqué une réforme des retraites comme piste de réduction de la dépense publique, au même titre que la réduction des niches fiscales ou un meilleur ciblage des aides accordées aux ménages et aux entreprises pour faire face à la crise énergétique engendrée par la guerre en Ukraine.Sur les aides apportées en réponse aux crises à répétition, le FMI pense que le soutien français a "permis d'amortir l'impact mais a été coûteux, mal ciblé, et source de distorsions" et appelle toujours à des dispositifs plus ciblés vers les plus vulnérables.En novembre, il avait dit craindre "un léger creusement du déficit" en 2023, citant la prolongation des mesures énergétiques et la poursuite de la suppression d'impôts de production pour les entreprises.
Il y a 2 ans et 146 jours

MaPrimeRénov' : ce qui change au 1er février 2023

RÉGLEMENTATION. Rénovation globale, chauffage au granulé bois, VMC... Plusieurs évolutions de MaPrimeRénov' entrent en vigueur ce 1er février 2023. Revue de détails.
Il y a 2 ans et 146 jours

Dans le Pas-de-Calais, Atlantic investit 25 millions d’euros dans un centre technique

Atlantic, le fabricant français de chaudières et de pompes à chaleur, poursuit son expansion dans les Hauts-de-France. Il s’apprête à...-Industrie
Il y a 2 ans et 146 jours

Longévité du béton romain : Le secret dévoilé

Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton romain non armé du monde et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. [©Architas/Wikipédia] Si on a l’impression que le béton est une invention moderne depuis l’industrialisation du ciment au cours du XIXe siècle, il est en réalité un “vieux” matériau de l’architecture. Plus de 2 000 ans après leur édification, certaines structures antiques sont d’ailleurs là pour attester de l’efficacité de ce matériau. Les anciens Romains étaient des maîtres de l’ingénierie, construisant de vastes réseaux de routes, d’aqueducs, de ports et de bâtiments massifs. Dont les vestiges ont survécu pendant deux millénaires. Nombre de ces structures ont été construites en béton. Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton non armé du monde. Et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. Et certains aqueducs romains antiques fournissent encore de l’eau à Rome aujourd’hui. Mais quel est le secret de ce béton ? L’importance des clastes de chaux C’est grâce aux recherches d’une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et d’ingénieurs européens, que le secret de la longévité est enfin dévoilé. Les scientifiques ont analysé des fragments prélevés sur un mur d’enceinte antique de la ville de Privernum, en Italie, à l’aide de techniques d’imagerie perfectionnées (spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie). Les chercheurs ont ainsi pu établir une précision sur la composition du béton romain. Et se sont en particulier arrêtés sur des éclats de minéraux blancs appelés “clastes de chaux”. Jusqu’alors, les experts pensaient que leur présence était due à un mortier bâclé ou de mauvaise qualité. Les analyses spectroscopiques ont permis de comprendre que ces clastes de chaux étaient en carbonate de calcium. Des tests réalisés Un composé qui ne se forme qu’à des températures extrêmes. Cet élément leur a permis de déduire la différence majeure entre béton moderne et béton romain. Ce dernier, opus caementicium, était mélangé directement avec de la chaux vive, c’est-à-dire à de très hautes températures. Les chercheurs ont fait le test. Ils ont fabriqué un bloc de béton à base de pierre volcanique et de chaux vive, l’ont fissuré et ont fait couler de l’eau dessus. En deux semaines, les fissures étaient complètement cicatrisées et l’eau ne s’infiltrait plus, contrairement à ce qui se passerait avec du béton classique. Les résultats de l’étude ont été publiées dans le journal “Science Advances”, le 6 janvier 2023. Un article intitulé “Riddle solved: Why was Roman concrete so durable?” (Enigme résolue : pourquoi le béton romain était si solide ?), publié sur le site du MIT, résume les faits. Lire aussi : Panthéon de Rome : La plus somptueuse des coupoles en béton Dmat, la start-up italienne qui développe un béton “vert ” C’est en s’inspirant de la Rome antique que la start-up Dmat, fondée en 2021 à Udine (Nord-Est de l’Italie), s’apprête à commercialiser un “béton vert” à l’extraordinaire capacité auto-génératrice. Un produit qui devrait s’avérer révolutionnaire. Son marché représente actuellement environ 650 Md€ avec une production annuelle de 33 Mdt, soit 18 fois le poids de la production globale d’acier. Ce matériau ne peut aussi pas se soustraire aux défis du changement climatique, puisque la filière qui en est à l’origine cause 7 à 8 % des émissions mondiales de CO2. « La production de notre béton affiche une réduction nette des émissions de CO2 allant jusqu’à 20 % par rapport à un béton de référence, avec des performances identiques », conclut Nicolas Chanut, co-fondateur de Damt, avec Paolo Sabatini et Carlo Andrea Guatterini. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 146 jours

Recycler et valoriser l'amiante est désormais possible avec De Dietrich

De Dietrich Process Systems, leader mondial pour la fourniture d'équipements, de systèmes complets et de solutions de procédés pour les industries pharmaceutiques, de la chimie et de la chimie fine, ainsi que de la chimie du végétal, a développé en Consortium avec la société Neutraval également basée en Alsace, un procédé unique et innovant pour traiter les déchets amiantés : la solution De Dietrich Waste Recycling (DDWR).Après plusieurs mois de construction, l’unité pilote De Dietrich Waste Recycling basée sur une friche industrielle à Talange en Moselle, arrive à son terme et sera bientôt prête à traiter ses premiers déchets. Soutenu par l’ADEME et la Région Grand Est, les travaux de construction s’achèveront fin 2022. Dans un premier temps, le pilote traitera des déchets inertes pour une première phase de tests. S’ensuivra alors le traitement de différents types de déchets amiantés dans le but d’optimiser au maximum ce nouveau procédé et de caractériser plus en détails les échantillons de co-produits qui en ressortiront inertes.Ce nouveau procédé, qui a été validé en laboratoire au préalable, est breveté à l’international et consiste à attaquer les déchets d’amiante libre et liée par voie physico-chimique dans des conditions expérimentales maitrisées. Cette attaque acido-basique détruit la structure de l’amiante et permet, in fine, d’en extraire mais également de valoriser différents co-produits : le magnésium, le gypse et l’anhydrite. Ces co-produits pourront être revendus dans diverses applications telles que dans la construction, la cimenterie, l’aéronautique mais aussi l’automobile dans le but de créer une économie circulaire autour de ce projet et de s’engager dans la transition écologique. A terme, l’objectif est de développer des unités industrielles permettant de traiter 15 000 tonnes de déchets amiantés par an, sur le territoire national mais également Européen.Avant le développement de cette solution innovante, seuls l’enfouissement et la vitrification par torche à plasma étaient autorisés bien qu’aucune de ces deux alternatives ne soit satisfaisante, à bien des égards. L’évolution de la loi Anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) a permis à De Dietrich et à ses partenaires de saisir cette opportunité de développement afin de proposer une alternative grâce à un nouveau procédé efficace, respectueux de l’environnement et des populations environnantes, tout en garantissant la sécurité des opérateurs. De Dietrich Waste Recycling, a donc bien eu raison de croire en cette nouvelle filière qui permet de passer d’une logique d’enfouissement et de vitrification, à une logique de valorisation industrielle tout en répondant positivement à un problème mondial de santé publique.
Il y a 2 ans et 146 jours

LORENOVE souffle ses 40 bougies et se réinvente avec un positionnement plus large sur le marché de l’habitat

Comme dans toute évolution, les ambitions ne sont pas les mêmes que l’on ait 10, 20 ou 40 ans d’existence. A la manière d’un individu, une marque cherche aussi à travailler sur soi et reconsidérer son projet de vie et ses orientations. Ce travail, tout à la fois psychologique, marketing et « corporate » est […]
Il y a 2 ans et 146 jours

Fort d’un savoir-faire exclusif sur le marché tertiaire, le Groupe Lorillard recrute pour ses activités chantier en forte croissance

Le Groupe Lorillard vient de mettre en ligne un court-métrage d’un chantier neuf de grande envergure. Filmée par drone, la vidéo permet de visualiser plus en détails la mise en oeuvre des éléments et le travail précautionneux des hommes sur le chantier. Sous la maîtrise d’oeuvre de l’agence AMC Architectes, ce chantier situé à Chartres a été requis par le cabinet d’expert-comptable FITECO.Ce chantier est une illustration parfaite du savoir-faire en matière de chantier tertiaire neuf du Groupe Lorillard.https://youtu.be/9wEP586DqW4 ©Groupe Lorillard Ici, 20 portes techniques, 2 portes automatiques, 6 châssis de désenfumage, 5 châssis d’amenée d’air, 157 menuiseries aluminium en précadres et 560 m² de murs rideaux modulaires en aluminium ont été conçus, usinés et mis en oeuvre par les équipes.Particulièrement connu pour son expertise en matière de rénovation collective, le Groupe Lorillard possède également une activité en chantiers tertiaires neufs, prenant de plus en plus d’ampleur. De la pose de menuiseries à la conception de mur rideau, en passant par la protection solaire, le désenfumage et la ventilation, les chantiers neufs d’exception se succèdent. Au palmarès, se distinguent entre autres l’immeuble de bureaux d’Aubagne des architectes Franck Demaria et Benjamin Marc, le collège BBC de la Carrière imaginé par Rudy Ricciotti, la Maison des Services du siège social de Latécoère ou encore le collège Voltaire de Remoulins multiplement primé et pensé par l’architecte Christophe Ramonatxo. Il y a quelques années l’activité du Groupe relative aux chantiers neufs était minime. Aujourd’hui l’Entrepreneur s’érige en partenaire de choix à l’expertise éprouvée. LE MUR RIDEAU, LE BIEN AIMÉ DU TERTIAIRE De plus en plus plébiscité dans la construction de bâtiments aux activités tertiaires, le mur rideau est devenu un incontournable des chantiers du Groupe. Sa modularité architecturale et ses nombreux avantages : légèreté, apport de lumière solaire, facilité de mise en œuvre, en font un modèle de prédilection.La pose de mur rideau est une expertise du Groupe Lorillard qui conçoit et installe des murs rideaux en aluminium et en bois pour les bâtiments tertiaires en neuf comme en rénovation.Le cahier des charges détermine le choix du matériau et la technique de pose. Qu’il soit en grille, la conception la plus courante, ou en précadres, un projet de mur rideau est toujours analysé et adapté par le bureau d’étude du Groupe pour s’agencer parfaitement au bâtiment.Toute la réussite d’un tel projet repose sur le soin apporté à la pose : ici encore, rien n’est laissé au hasard pour garantir la sécurité sur le site, l’étanchéité de l’enveloppe et l’esthétique de la façade grâce à une ingénierie de chantier éprouvée. ©Groupe Lorillard LA SIGNATURE LORILLARD A mesure que les années passent le Groupe Lorillard se façonne la notoriété d’un entrepreneur, spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment. La maîtrise de l’ensemble des métiers inhérents au marché de la menuiserie permet au Groupe d’en saisir toutes les problématiques et d’offrir des solutions techniques sur-mesure pour chaque spécificité.La stratégie de croissance externe opérée par le Groupe lui a permis de devenir un acteur incontournable de son marché, à l’appui d’un savoir-faire considérable et déployé mais aussi un employeur attractif.Les investissements industriels dans l’usinage du bois, des volets roulants, le laquage des menuiseries, mais aussi la réorganisation géostratégique de la production au sein des 8 sites nationaux, ou encore la formation continue des salariés jusqu’à l’audit énergétique des sites de production font partie de la stratégie d’amélioration continue du Groupe.Cette stratégie vise à se pourvoir d’une efficience technique afin d’offrir le meilleur aux salariés comme aux clients, mais aussi de rester maître de tous les processus de production. ©Groupe Lorillard Afin d’envisager sereinement l’évolution croissante de son activité tertiaire le Groupe Lorillard recrute des opérateurs de production et conducteurs de machines, des dessinateurs, des chefs de chantier, des poseurs et des conducteurs de travaux ainsi qu’un conducteur de travaux façades.Des postes qui sont à pourvoir dès à présent et dont les offres descriptives sont disponibles en ligne sur le site du Groupe, parmi bien d’autres :https://www.lorillard.fr/recrutement/nos-offres-d-emploi Il y a de l’emploi au sein du Groupe Lorillard ! Si tant est que le candidat place ses ambitions à la hauteur d’un Groupe audacieux, il y trouvera les outils et les ressources pour faire face aux mutations à venir et être accompagné sereinement dans son développement professionnel.
Il y a 2 ans et 146 jours

La Data pour massifier la rénovation énergétique

La nécessité de rénover le parc immobilier français n’a jamais été aussi forte. Ce dernier est en effet responsable de 40 % du total des émissions de CO2.  D’autre part, 4,8 millions de logements sont de véritables passoires thermiques et le bâti tertiaire représente à lui seul près d’⅓ de la consommation énergétique nationale. Les banques ont aujourd’hui la […]
Il y a 2 ans et 146 jours

Somfy lance RS100 Solario, la version solaire de sa gamme référente de moteurs pour volets roulants RS100, et accompagne les professionnels avec un écosystème complet de services

Somfy avait amorcé en 2015 une nouvelle ère technologique en réinventant la motorisation tubulaire et en digitalisant son cœur de métier avec le lancement de RS100 io, le 1er moteur silencieux, connecté et éco-conçu. Aujourd’hui, fort de plus de 50 ans d’innovation dont plus de 10 ans sur le marché du solaire, Somfy enrichit sa […]
Il y a 2 ans et 146 jours

« Une PAC efficace requiert une bonne isolation au préalable » rappellent negaWatt et le Cler

Le Cler- Réseau pour la transition énergétique - et l’association négaWatt dénoncent dans un rapport l’efficacité limitée des pompes...-Artisans
Il y a 2 ans et 146 jours

ASCA solarise la façade en verre d'un bâtiment administratif

Ainsi, la ville de Gronau (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) en Allemagne dévoile en 2023 la façade solaire de son nouveau bâtiment administratif. Les modules photovoltaïques organiques (OPV) d'ASCA sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en collaboration avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à l'un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché.Une façade en verre photovoltaïque de grande dimensionImaginé en collaboration avec le cabinet d'architectes H III S (harder stumpfl schramm freie Architekten de Stuttgart), la ville de Gronau en Allemagne dévoile en 2023 son nouveau bâtiment administratif pourvue d'une façade en verre double peau capable de produire de l'électricité grâce aux modules OPV d'ASCA, une entreprise d'ARMOR GROUP. Ces derniers sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en partenariat avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché. D'une hauteur de 3,66 m et d'une largeur de 2,25 m, chaque vitrage solarisé est installé sur la façade sud du bâtiment d'une surface totale de 222 m2, en alternance avec du vitrage traditionnel. L'énergie solaire produite par les modules ASCA est directement injectée dans le réseau électrique du bâtiment.« Nous sommes fiers d'avoir réalisé, en collaboration avec BGT, les plus grands modules de verre transparent capables de générer de l'énergie grâce à notre technologie solaire. D'autant plus que leur production est simple, approchante de celle des vitrages feuilletés standards, permettant ainsi de répondre aux attentes des architectes et des designers sans pour autant représenter un obstacle technique pour les intégrateurs. Ce projet est une étape importante pour l'intégration du photovoltaïque dans l'enveloppe des bâtiments (BIPV) » explique Hermann Issa, Senior Vice President Business Development et Project Management d'ASCA.Une façade solaire multifonction intégrée à son environnementEn accord avec l'esthétique du paysage urbain, ASCA a mis au point des modules solaires de couleur verte au design sur-mesure inspiré des façades en brique du bâtiment. En outre, si les vitres solaires sont transparentes de l'intérieur, elles sont translucides de l'extérieur, garantissant ainsi aux employés un environnement de travail à la fois lumineux et intime.« Nous sommes ravis d'avoir pu collaborer avec ASCA sur ce projet architectural et nous avons été impressionnés par les grandes possibilités de design qu'offre le film ASCA®. Avec cette solution solaire, nous avons pu donner vie à une façade désormais vitrine de la durabilité » commente le cabinet d'architectes H III S.Accélérer le déploiement des énergies renouvelablesAlors que l'objectif du plan REPowerEU publié en mai 2022 vise à atteindre 600 GW de capacité solaire en Europe d'ici 20301, la France peine à atteindre ses objectifs de développement des énergies renouvelables2. Pour autant, l'Assemblée nationale a voté le 10 janvier 2023 un projet de loi relatif à l'accélération de la production d'énergies renouvelables comprenant plusieurs amendements directement liés à l'intégration au bâti de solutions solaires innovantes, alternatives aux panneaux solaires traditionnels.3« Il est urgent de réduire la consommation énergétique du secteur du bâtiment qui représente 44% de l'énergie consommée en France et qui émet chaque année sur le territoire plus de 123 millions de tonnes de CO24. Avec l'objectif national de 10% de réduction de consommation d'énergie d'ici 2024, le bâtiment fait partie des domaines clé dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Or la réglementation française ne prend pas en compte le concept de BIPV (photovoltaïque intégré au bâtiment) permettant d'intégrer de manière fonctionnelle des solutions solaires en combinaison ou en remplacement de matériaux de construction conventionnels. Pourtant nos solutions solaires bas-carbone, compatibles avec une multitude de matériaux, permettent de solariser des surfaces jusqu'alors inexploitées par les solutions solaires existantes comme les façades, les toitures légères, les vitrages ou encore les garde-corps. À l'heure où les administrations sont appelées à l'exemplarité en matière de sobriété énergétique, ce projet avec la ville de Gronau en Allemagne illustre notamment le champ des possibles qu'offre le solaire pour basculer enfin vers des bâtiments publics bas-carbone » conclut Moïra Asses, Directrice stratégie et marketing d'ASCA.1 https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/european-green-deal/repowereu-affordable-secure-and-sustainable-energy-europe_fr2 Saisine rectificative au projet de loi relatif à l'accélération des énergies renouvelables (NOR : ENR2223572L/Rose-2)3 https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements?dossier_legislatif=DLR5L16N46539&examen=EXANR5L16PO419610B0443P0D14 https://www.ecologie.gouv.fr/energie-dans-batiments
Il y a 2 ans et 146 jours

Les nombreux secteurs à l'arrêt ou perturbés par les manifestations contre la réforme des retraites

EducationLes syndicats enseignants ont comptabilisé au moins 50% de grévistes parmi les professeurs, de la maternelle au lycée.Le ministère a pour sa part annoncé un taux d'enseignants grévistes de 25,92%, des chiffres bien en-deçà de la mobilisation du 19 janvier (38,5%). A Paris mais pas seulement, des écoles sont restées fermées. Du côté des étudiants, des rassemblements ont eu lieu mardi matin, comme sur le site Saint-Charles de l'université Aix-Marseille, où un piquet de grève a été installé avec une banderole "Réforme accablante, riposte étudiante". Sciences Po Paris a été occupé dans la nuit par une cinquantaine d'étudiants qui ont vidé les lieux dans la matinée.TransportsDans les aéroports, c'est principalement la grève de contrôleurs aériens qui provoque des perturbations et des retards.L'annulation d'un vol sur cinq a été demandée à Paris-Orly par la direction générale de l'aviation civile pour mettre en adéquation les effectifs disponibles et le trafic attendu. A Nice, 18 rotations ont été annulées sur 90. A Ajaccio, les pompiers se sont joints au mouvement et des vols ont aussi été annulés faute de sécurité suffisante.Dans le rail, plus d'un tiers des cheminots (36,5%) ont fait grève selon une source syndicale, moins que le 19 janvier (46,3%).Le mouvement perturbe néanmoins fortement le trafic voyageurs. La SNCF ne fait circuler qu'un TGV sur trois en moyenne, presque pas d'Intercités et deux TER sur dix. En Ile-de-France, la banlieue n'est pratiquement pas desservie avec en particulier un train sur dix, en moyenne, sur les lignes C, D, E, J, L, N, P et R qui, pour la plupart d'entre elles, ne fonctionnent qu'aux heures de pointe et/ou sur une partie de leur parcours.Dans le métro parisien, le trafic est très perturbé, et seules les lignes 1 et 14 automatiques fonctionnent normalement, tandis que la desserte des bus et tramways est assurée à 80%.Des perturbations touchent aussi le métro de Lyon, les tramways de Bordeaux, les bus de Rennes. A Marseille, l'une des deux lignes de métro et une des trois lignes de tramway sont à l'arrêt, les autres ralenties. A Nice, aucun tramway ne circule, de même que 25 lignes de bus. En Corse, plusieurs traversées maritimes entre l'île et Marseille ont été reportées à mercredi.Fonction publique et secteur privéIl y avait 19,4% de grévistes chez les fonctionnaires d'Etat, selon le ministère de la Fonction publique, contre 28% il y a douze jours.Des mairies, comme celle de Paris, ont gardé portes closes. Les mairies communistes de Vénissieux (Rhône), Echirolles (Isère) ou Montreuil (Seine-Saint-Denis) ont fermé une demi-journée.A La Poste, 8,79% des salariés étaient en grève, selon la direction, contre 14,64% la dernière fois.EnergieLa mobilisation reste forte dans les raffineries et dépôts de carburants de TotalEnergies qui comptent 75 à 100% de grévistes, selon la CGT. La direction du groupe estime pour sa part que le taux de grévistes s'élève à 55%, contre 65% le 19 janvier.Côté électricité, la mobilisation reste élevée quoique en léger repli par rapport au 19 janvier. La direction d'Engie a recensé 34,3% de grévistes et celle d'EDF 40,3% contre 44,5% le 19 janvier. Des équipes de quart ont privé l'entreprise d'une partie de sa production d'électricité, avec une perte de puissance allant jusqu'à 3.210 MW à 11h00 (l'équivalent de trois réacteurs nucléaires), la CGT assurant que la baisse de charge avait atteint 5.000 MW comme le 19 janvier.Dans la Vienne, des actions "Robin des bois" pour rebrancher l'électricité à des foyers coupés ont été revendiquées par la CGT. Dans le Sud-Ouest, la CGT du Lot-et-Garonne a revendiqué la mise hors tension de quatre radars routiers.
Il y a 2 ans et 146 jours

Zéro Artificialisation Nette : quel avenir pour la maison individuelle ?

Rédigée par Vincent Le Rouzic, directeur des études de La Fabrique de la Cité, cette nouvelle note souligne la difficulté de concilier l’objectif de préservation des sols, les besoins de production de logement et les aspirations d’une majorité de Français à vivre en habitat individuel.Elle propose des pistes de solutions pour répondre à l’objectif de sobriété foncière. Une grande majorité des Français approuverait des mesures de rénovation du parc de logements existants malgré les difficultés qu’un tel projet représente. Par ailleurs les initiatives de densification douce progressent dans certains territoires.Pour Vincent Le Rouzic : « A rebours de certaines idées reçues, une large majorité de Français plébiscite les "tiny gardens", soit des jardins de moins de 500 m². Pourtant, en 2021, la taille moyenne des terrains pour bâtir de nouvelles maisons individuelles était encore de 947 m². Réduire la taille des jardins dans les nouveaux projets de logements individuels ouvrirait donc des perspectives pour réinventer la maison individuelle à l'heure de la lutte contre l'artificialisation de sols. »Cette publication est la troisième note issue du chantier ouvert par La Fabrique de la Cité sur l’objectif de Zéro Artificialisation Nette (ZAN).Ce sujet d’étude se poursuivra en 2023.L’année 2022 aura-t-elle constitué un tournant historique pour la filière des maisons individuelles françaises ? Probablement oui. La liquidation judiciaire de Geoxia, le constructeur de l’emblématique maison Phénix, constitue certainement l’événement majeur symbolisant le brusque retournement de ce marché. En parallèle, l’objectif zéro artificialisation nette des sols (ZAN) sème la zizanie. Les nouvelles dispositions réglementaires issues de la loi Climat et résilience viennent percuter l’imaginaire du pavillon avec jardin, considéré lui aussi comme surface artificialisée. Dès lors, quel est le champ des possibles pour les maisons individuelles à l’heure de la lutte contre l’artificialisation des sols ?La maison individuelle, première source de l’artificialisation des solsLa question du devenir de la maison individuelle est probablement l’une des plus controversées pour mettre en oeuvre l’objectif ZAN. Si les politiques du logement font depuis des décennies l’objet d’une continuité, malgré les alternances gouvernementales (Worms, 2016), c’est finalement le choix d’un changement de modèle qu’a acté Emmanuelle Wargon[1] , alors Ministre du logement, en conclusion de la démarche « Habiter la France de demain » en octobre 2021. Elle déclarait que « le modèle, à l’ancienne, d’un pavillon avec jardin dont on peut faire le tour, nous mène à une impasse. » Cette position n’était pas nouvelle chez la ministre, mais la tonalité du discours a eu un important écho médiatique, prenant un tournant polémique à quelques mois de l’élection présidentielle 2022. Concilier les enjeux écologiques, économiques et sociaux constitue un chemin de crête qui peut rapidement devenir un chemin de croix.Pourtant, loin des caricatures réduisant son discours à « la maison individuelle est un non-sens écologique », Emmanuelle Wargon a d’abord tenté d’esquisser un diagnostic en revenant aux sources originelles du « en même temps », adaptant de façon originale la partition présidentielle dans le domaine de l’habitat : « Le logement a un impact écologique fort pour ses émissions carbones, mais aussi pour la terre qu’il consomme et ses besoins en transport qu’il génère. Et pour autant, les besoins en logements sont importants. Ils ne fléchissent pas, je pense à tous ces Français mal logés, ils ne peuvent pas être une variable d’ajustement. » Concernant le seul problème de l’artificialisation des sols, il est vrai que le logement est la première source d’artificialisation des sols des dernières décennies. Selon une étude du CEREMA, entre 2009 et 2019, l’habitat représente 68 % des nouvelles terres artificialisées (Bocquet, 2020). Dans cet ensemble la maison individuelle prend une part très importante : par exemple, une étude de l’INSEE montre, qu’entre 2005 et 2013, environ 90% des nouvelles terres artificialisées à usage résidentiel prennent la forme d’un logement individuel (Albizzati et al., 2017).[1] Discours de clôture d’Emmanuelle Wargon, 14 octobre 2021, pour les conclusions de la démarche « Habiter la France de demain: réconcilier les contraires » : https://www.youtube.com/watch?v=ZxTlBHq3DvoPour comprendre ces résultats, il convient de rappeler qu’est comptabilisé dans l’artificialisation l’ensemble de la parcelle sur laquelle une construction est édifiée (y compris le jardin pour une maison individuelle). L’intégration des surfaces de jardins dans la comptabilité réglementaire de l’artificialisation des sols a été retenue par le gouvernement (cf. encadré). Deux principales raisons peuvent justifier cet arbitrage :du point de vue des politiques d’aménagement, cette décision constitue un puissant levier de densification : par exemple, la parcelle d’une maison avec un grand jardin peut faire l’objet d’une division permettant de construire de nouveaux logements.du point de vue de l’impact environnemental, tout ou partie des trois fonctions des sols[2] retenues dans la loi Climat et résilience à proximité des bâtiments sont généralement affectées par les aménagements humains.[2] L’article 192 de la loi Climat et résilience retient les fonctions biologiques, hydriques et climatiques, et le potentiel agronomique.Des Français partagés entre désir de maison individuelle et protection des solsLa Fabrique de la Cité a commandé auprès de l’institut Kantar Public un sondage d’opinion sur la perception de l’artificialisation des sols[3] . Il ressort des résultats que la lutte contre l’artificialisation des sols est un sujet d’importance pour 88% des Français. Une large majorité des Français (59%) considère le sujet comme prioritaire. Toutefois, les Français demeurent attachés à la maison individuelle : d’après le même sondage, 79% préféreraient dans l’idéal vivre dans ce type de logement, une constante depuis plusieurs décennies (autour de 75% à 80%).Ces résultats montrent l’expression d’aspirations en apparence contradictoires, tant il apparaît difficile de concilier la lutte contre l’artificialisation des sols avec le plébiscite de l’idéal de la maison individuelle. Est-ce à dire qu’une partie des Français aspirerait à concilier maison individuelle et sobriété foncière ? C’est en tout cas cette voie médiane que nous allons à présent chercher à explorer.[3] L’institut Kantar Public a réalisé en juin 2022, pour La Fabrique de la Cité, une enquête quantitative en ligne élaborée sur la base d’un échantillon global de 1 400 interviews représentatif de la population française. https:// www.lafabriquedelacite.com/wp-content/uploads/2022/10/Etude-complete70CF24_Fabrique-de-la-cite-LesFrancais-et-les-villes-moyennes_0208.pdfQuelles marges de manœuvre pour concilier maison individuelle et sobriété foncière ?Miser sur le parc existant et la densification douce ?D’après le sondage réalisé par Kantar Public, la plupart des Français sont conscients de certaines mesures à prendre pour lutter contre l’artificialisation des sols. Une très large majorité est favorable à ce que la rénovation et l’installation dans des logements anciens soient encouragés (78%).Par ailleurs, des initiatives cherchent à mettre au goût du jour diverses formes de densification douce des maisons individuelles avec grand jardin. C’est par exemple le cas de l’expérimentation de la démarche BIMBY (« Build in my backyard ») visant à accompagner les propriétaires occupants à construire dans leur jardin un nouveau logement. Cette démarche a été testée avec un relatif succès à Périgueux, sur le territoire de l’agglomération du Creusot-Montceau ou des Schémas de cohérence territoriale (SCoT) des Vosges Centrales et du Grand Nevers.Vers un plébiscite du tiny garden ?Considérer que la lutte contre l’artificialisation de sols est importante n’est pas ipso facto contradictoire avec l’idéal de la maison individuelle. Tout dépend de quelle maison il s’agit et notamment de son impact tant qualitatif que quantitatif sur les sols, plaçant le jardin au cœur de la réflexion.D’après les dernières données disponibles (Gadet, 2022), la taille moyenne des terrains pour bâtir de nouvelles maisons individuelles s’élevait à 947 m² en 2021. Or, selon le sondage Kantar Public, dans l’idéal, il est suffisant pour 37% des Français d’avoir un petit jardin (inférieur à 250 m²), et pour 34% d’entre eux d’avoir un jardin de taille moyenne (250 à 500 m²). Seuls 12% des Français déclarent vouloir un grand jardin (500 à 1.000 m²) et 8% un très grand jardin (supérieur à 1.000 m²). Il y aurait donc un décalage entre les aspirations des Français et les produits classiques proposés par les professionnels de la construction de maisons individuelles.Sur le plan qualitatif, une revue de littérature réalisée par Flégeau (2020) sur le lien entre formes urbaines et biodiversité révèle les nombreuses lacunes et imprécisions de la littérature scientifique consacrée à ce sujet. En l’état actuel de la littérature scientifique (Flégeau, 2020), il n’est pas possible d’établir un lien systémique entre taille des jardins et biodiversité : d’un côté, des études comme celle de R. Smith et ses co-auteurs (2006) sur l’agglomération de Sheffield, au Royaume-Uni, ont montré que les grands jardins pouvaient accueillir davantage d’arbres d’une hauteur supérieure à deux mètres, des potagers et des sites de compostage ; de l’autre, des études avancent que le critère le plus important est non pas la taille, mais la gestion qui est faite de la parcelle (Flégeau, 2020). Concernant le stockage carbone des jardins familiaux, cela dépend de nombreux paramètres. Toutefois, d’après l’INRAE (2020), la conversion de sols agricoles en jardins familiaux peut se traduire par une augmentation des stocks de carbone, en raison d’apports organiques généralement importants.Vers un continuum entre logements individuels et collectifs ?La distinction classique entre habitat individuel et logement collectif peut également être revisitée en la considérant non plus comme une opposition mais comme un continuum. Il existe en effet de nombreuses formes de logements intermédiaires, que cela soit les copropriétés plus ou moins horizontales, les diverses formes d’habitat participatif proposant de « vivre ensemble chacun chez soi », ou encore les petits collectifs proposant de généreux espaces extérieurs privatifs. Ces solutions peuvent contribuer à répondre aux enjeux de lutte contre l’artificialisation des sols acceptables pour les Français.En effet, le sondage Kantar Public permet d’identifier trois leviers principaux à l’acceptation d’habiter en collectif chez ceux qui préfèrent le logement individuel: (1) ne pas être gêné par le voisinage (32%), (2) avoir accès à un espace extérieur privatif (24%) et (3) faire des économies de chauffage ou d’énergie (19%). Si le dernier levier pourrait progresser dans le contexte de l’actuelle crise énergétique, les deux autres leviers concernent au premier chef la qualité architecturale des logements proposés. Dans cette perspective, les différentes initiatives prises par le gouvernement[4] pour mettre à l’agenda politique la question de la qualité des logements sont cohérentes. Et des exemples existent pour traduire de façon opérationnelle des formes urbaines individuelles compatibles avec les objectifs de protection des sols.[4] On peut citer le Rapport Lemas sur la qualité des logements sociaux de janvier 2021, le Rapport Girometti-Leclercq de septembre 2021 sur le référentiel sur la qualité du logement, préfigurant le lancement du programme « Engagés pour la qualité du logement de demain » porté conjointement par le ministère de la Culture et le ministre chargé du Logement.Retrouvez la note complète ici.
Il y a 2 ans et 146 jours

L'activité a résisté en 2022 malgré un net ralentissement en fin d'année

Après l'euphorique reprise post-Covid en 2021 (+6,8%), l'activité a progressé de 2,6% l'an dernier, selon l'institut statistique Insee, tenant bon face aux secousses de la guerre en Ukraine qui a fait s'embraser les prix de l'énergie.Elle est toutefois entrée dans une zone à risque avec un ralentissement au quatrième trimestre (+0,1%) par rapport aux trois mois précédents, rattrapée par une inflation qui touche les ménages au portefeuille et ne montre pas de répit début 2023.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui anticipait 2,7% de progression annuelle, a salué une croissance "soutenue" en 2022 qui "témoigne du fort rebond de notre économie après le choc du Covid et de sa résilience face à la crise énergétique".Selon l'Insee, l'économie a surtout bénéficié l'an dernier du rebond d'activité enregistré fin 2021 "en sortie de crise sanitaire".Trimestre après trimestre, elle a ensuite été "nettement moins dynamique", même si les chiffres sont meilleurs que prévu. L'institut tablait sur un PIB en hausse de 2,5% et une contraction de 0,2% au quatrième trimestre.ContrastesLes trois derniers mois de l'année ont enregistré une forte baisse de la consommation des ménages (-0,9%), moteur traditionnel de la croissance enrayé par une hausse des prix soutenue. La consommation d'énergie a également baissé, en raison d'un automne très doux et d'efforts de sobriété énergétique. Après un très léger tassement à 5,9% en décembre, l'inflation a accéléré à 6% en janvier sur un an, toujours marquée par des flambées à deux chiffres pour l'énergie (13,2%) et l'alimentation (16,3%), selon l'Insee.Pour les ménages, la situation aurait pu être pire encore, selon les économistes, sans les mesures de soutien déployées à coups de milliards d'euros face à la crise énergétique.Cette moindre consommation des ménages a pesé sur la production des biens et services, qui a décéléré à 0,2% sur la période d'octobre-décembre.Mais la production manufacturière s'est repliée de 0,5%, affectée par les grèves de l'automne dans les raffineries. Dans l'énergie, elle est restée "basse" en raison des maintenances de réacteurs nucléaires.A l'inverse, le commerce extérieur a contribué positivement (0,5%) à la croissance, les importations ayant reculé plus fortement que les exportations - même si un déficit commercial record est attendu sur l'ensemble de 2022.S'ils ont continué de progresser, les investissements ont quelque peu perdu en dynamisme (0,8% après 2,3% au troisième trimestre)."Résistance de façade""C'est une résistance de façade de l'économie française", a commenté Maxime Darmet, économiste chez Allianz Trade, interrogé par l'AFP. "La consommation se porte mal et des importations qui chutent autant, ce n'est pas très bon signe: cela veut dire que la demande intérieure est quand même très faible".De mauvais augure pour 2023, alors que l'inflation devrait continuer à accélérer jusqu'à un pic attendu par l'Insee autour de 7% en début d'année, alimenté par la fin d'une ristourne généralisée sur les carburants et d'une nouvelle hausse des tarifs de l'énergie."Cela devrait pousser les ménages à rester plutôt pessimistes", analyse Stéphane Colliac, économiste chez BNP Paribas, pour l'AFP. De quoi possiblement peser sur les nouvelles commandes des entreprises.L'activité commencera aussi à ressentir pleinement l'impact du resserrement monétaire décidé par la Banque centrale européenne (BCE), qui devrait décider jeudi de relever une nouvelle fois ses taux d'intérêt.Selon un sondage Opinionway mené en janvier pour les Chambres de commerce et d'industrie (CCI France), 81% des 618 chefs d'entreprise sondés ne prévoient pas d'investissements en 2023.Plus pessimistes que le gouvernement (1%), la Banque de France prévoit une baisse de régime avec 0,3% de croissance en 2023 quand le Fonds monétaire international, qui anticipe une croissance mondiale un peu meilleure que prévu à l'automne, entrevoit 0,7%."Néanmoins, échapper à la récession ne veut pas dire rebondir fortement", prévient Charlotte de Montpellier, économiste chez ING.Bruno Le Maire loue les "capacités de résistance" de l'économie françaiseLe ministre de l'Economie Bruno Le Maire a salué mardi 31 janvier les "capacités de résistance (...) exceptionnelles" des entreprises et salariés français, quelques minutes après l'annonce par l'Insee d'une croissance de 2,6% du PIB (Produit intérieur brut) de la France en 2022.Ce chiffre "témoigne du fort rebond de notre économie après le choc du Covid et de sa résilience face à la crise énergétique", s'est réjoui le numéro deux du gouvernement, alors que Bercy tablait initialement sur une croissance annuelle de 2,7% (contre une prévision de 2,5% pour l'Institut national de la statistique (Insee))."Nous aurons également une croissance positive" en 2023, s'est projeté Bruno Le Maire. Dans ses dernières prévisions, le gouvernement table sur une croissance de 1%, une anticipation sensiblement supérieure à celles de la Banque de France (0,3%) ou du Fonds monétaire international (0,7%).Au quatrième trimestre, la progression du PIB n'a atteint que 0,1% contre 0,5% au printemps et 0,2% à l'été 2022, un "ralentissement attendu avec la persistance de fortes incertitudes dans l'économie" comme l'inflation ou la guerre en Ukraine, commente le ministère de l'Economie.La baisse de la consommation des ménages en biens et services (-0,9% au quatrième trimestre 2022) "est compensée par un investissement dynamique des entreprises (+1,2% au quatrième trimestre, +3,5% sur l'année entière) et une amélioration du commerce extérieur" (+0,5% au quatrième trimestre mais -0,7% sur l'année), affirme encore Bercy.Enfin, "la production dans l'industrie se replie légèrement (-0,5%)", note le ministère, "mais on est loin des -10% évoqués par certains", conclut-il.
Il y a 2 ans et 146 jours

Nouveauté Onduline ONDULAIR® ADHÉSIF et ONDULAIR® STRONG : Closoirs ventilés pour l’étanchéité et la ventilation des faîtages ou arêtiers

Lire le communiqué de presse Pour protéger, imperméabiliser et ventiler le sommet de la toiture (faîtière) ou les arêtiers, Onduline lance 2 nouveaux closoirs qui combinent excellente adhérence, souplesse et ventilation : le closoir bi-matière tissu/aluminium ONDULAIR® ADHÉSIF et le closoir en aluminium plissé ONDULAIR® STRONG.  Performantes, ces nouveautés améliorent l’étanchéité de la construction et protègent la toiture de l’eau, de la neige et de la poussière. Ces closoirs Onduline permettent également de ventiler et d’évacuer vers l’extérieur la vapeur d’eau cumulée sous la surface du toit tout en empêchant les feuilles, la poussière et les animaux de passer à l’intérieur de la couverture. Elles sont garanties 10 ans pour l’étanchéité et 8 ans pour la stabilité de couleur. ONDULAIR® ADHÉSIF  Closoir ventilé souple bi-matière tissu/aluminium Extrêmement souple pour un contact parfait avec le support, le closoir ONDULAIR® ADHÉSIF en rouleau se compose d’un tissu en fibre de verre respirant dans sa partie centrale. Les bandes latérales sont en aluminium peint plissé, résistant aux rayons UV. Et pour une adhérence élevée, la partie inférieure des bandes d’aluminium est dotée de deux bandes de colle butyle de 30 mm chacune. ONDULAIR® STRONG  Closoir ventilé en aluminium plissé ONDULAIR® STRONG est un closoir ventilé en rouleau à haute capacité d’imperméabilisation et perméabilité à l’air. Il est utilisé le long de la ligne de faîtage des toitures pour protéger, imperméabiliser et en même temps assurer la ventilation de la toiture. Performant, ce closoir constitué d’un film d’aluminium coloré micro-perforé et plissé est très résistant aux intempéries et aux rayons UV. Dans la partie inférieure des bandes en aluminium, deux bandes de butyle de 30 mm sont intégrées pour une adhérence parfaite. Les closoirs ONDULAIR ADHÉSIF et ONDULAIR STRONG® sont disponibles en noir, rouge ou terracotta pour un rendu esthétique.  https://fr.onduline.com/fr/particuliers
Il y a 2 ans et 147 jours

Le groupe Delta Dore et Airzone signent un partenariat pour proposer une solution complète et intégrée

Le groupe Delta Dore, pionnier de la Smart Home et leader sur le marché de la gestion des énergies, vient de signer un partenariat avec Airzone, fabricant leader de systèmes de régulation de chauffage et de climatisation dans le secteur résidentiel et du bâtiment. Un partenariat qui illustre la politique d’ouverture de Delta Dore et […]
Il y a 2 ans et 147 jours

Hager Group signe un accord pour acquérir la société Pmflex

Cette acquisition permet à Hager Group de devenir l’un des principaux fabricants européens de conduits vides et précâblées pour les installations électriques. Pmflex faisait partie du portefeuille de sociétés du Fonds VII de DBAG. Les deux parties ont convenu de ne pas divulguer les détails financiers de l’opération. La transaction est soumise aux approbations réglementaires et devrait être conclue au début de l'année 2023. Pmflex restera une entité juridique distincte.« Cette transaction s'inscrit dans la stratégie de croissance du groupe et renforcera notre offre existante. Grâce à sa forte position sur le marché des gaines et tubes pour les installations électriques depuis 60 ans, Pmflex est complémentaire à nos activités actuelles dans ce domaine avec Bocchiotti et Iboco », a déclaré Daniel Hager, Président du Directoire de Hager Group.Pmflex est l'un des principaux fabricants européens de gaines et tubes pour les installations électriques. La société emploie 150 personnes et a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 100 millions d'euros en 2021. Les produits de Pmflex sont commercialisés dans plus de 50 pays à travers le monde.La société opère depuis deux sites de production à Almenno San Bartolomeo, près de Bergame, dans le nord de l'Italie. Fondée en 1907, la société a commencé comme une entreprise familiale et a atteint sa taille actuelle grâce à une croissance continue et réussie.Gianluigi Rapizza, PDG du groupe Pmflex et président du conseil d'administration, a déclaré : « Notre mission a toujours été d'innover avec passion pour rendre la vie des installateurs plus facile, plus rapide et plus sûre. Nous nous engageons également à protéger et à prendre soin de l'environnement dans le but d'améliorer le monde dans lequel nous vivons. Au sein de Hager Group, nous voyons une grande opportunité de poursuivre cette mission avec succès. »Jonas Olsson, directeur général de Pmflex Group Northern Europe AB, a également déclaré : « Cette acquisition par Hager Group va nous permettre de continuer à développer la présence et la notoriété de Pmflex dans les pays nordiques. »Aujourd'hui, Pmflex produit des gaines et des tubes intégrant des matériaux plastiques durables, pleinement alignés avec les efforts de Hager Group pour réduire les émissions et diminuer l'empreinte carbone des installations électriques.Ces produits font partie des systèmes utilisés pour le cheminement de câbles (par exemple, entre les tableaux de distribution, les prises et les interrupteurs) mais également pour la distribution de l'énergie par le sol pour alimenter les boîtes de sol (par exemple coulées dans le béton) dans le résidentiel comme le tertiaire.
Il y a 2 ans et 147 jours

Les objectifs de la France pour l’éolien et le solaire ne seront pas atteints fin 2023

La France ne devrait pas atteindre les objectifs qu'elle s'était fixés pour le déploiement des énergies renouvelables électriques sur la période 2019-2023, selon le Baromètre annuel Observ'ER.
Il y a 2 ans et 147 jours

Eurobridge : Sécurité et entretien des ponts en Europe

Au programme de la conférence Eurobridge : l’entretien et la sécurité des ponts en Europe. [©Eurobridge] C’est à Bruxelles, en Belgique qu’aura lieu la conférence Eurobridge. Elle se déroulera le 14 avril 2023 à l’hôtel Le Plaza et portera sur l’entretien et la sécurité des ponts en Europe. Elle visera à mettre en avant les questions relatives à l’entretien des ouvrages d’art dans le respect de l’environnement. Ceci, avec un œil sur l’empreinte carbone, ainsi que sur la formation des nouveaux professionnels du secteur. Un événement placé sous la présidence de la Fédération de l’industrie européenne de la construction (Fiec). Trois tables rondes ponctuent la journée Les ponts sont les éléments essentiels des voies de communication, routières ou ferroviaires. Il est indispensable de les maintenir en bon état de service. La maintenance d’un pont commence toujours par la parfaite connaissance de son état. Le diagnostic permet d’établir les actions correctives. Les méthodes de surveillance et de gestions sont diverses. Trois tables rondes jalonneront cette journée de conférence avec, en filigrane, toutes ces problématiques. Lire aussi : L’AFGC met à l’honneur le pont de Plougastel – Albert Louppe Dans la 1e table ronde – L’inspection et la gestion des ponts – seront présentés quelques exemples originaux mis en place dans certains pays d’Europe. La 2e table ronde – Les impacts environnementaux des ponts – proposera de développer le Green Deal1. Et l’objectif de la neutralité carbone en 2050, en particulier dans le domaine de la maintenance des ponts. Des ouvrages mal entretenus, par les perturbations de trafic que provoque leur réparation ou leur reconstruction, sont des sources de dépense d’énergie et d’émission de carbone très importantes. Le bon entretien courant des ponts participe aussi à l’économie d’énergie et à la préservation des ressources. Ainsi, seront mis en avant des exemples de démarches originales, engagées par les gestionnaires de certains pays, afin de participer à l’objectif fixé pour 2050. La formation à de nouveaux métiers Dans la 3e table ronde – De nouveaux métiers pour la gestion des ponts – sera exposée la maintenance des ponts, par la surveillance, le diagnostic et l’études des actions correctives qu’elle génère. Cela va faire émerger de nouveaux métiers nouveaux. Il faudra adapter les formations actuelles des techniciens et ingénieurs vers ces nouvelles spécialités. L’apprentissage va sans aucun doute devenir la règle, dans tous les métiers. Grâce au dispositif Erasmus-Pro, les jeunes apprentis vont pouvoir, comme les étudiants, compléter leurs études à l’étranger. Quelques témoignages sur différents pays seront présentés. La recherche de nouveaux matériaux et de nouvelles techniques nécessite des personnels adaptés et compétents. La formation est un élément essentiel pour permettre cette recherche et la mise en œuvre de ces techniques. C’est en particulier pour les ponts, l’assurance d’une bonne gestion et de la pérennité des ouvrages. 1Le Green Deal européen est un ensemble d’initiatives politiques en faveur de l’écologie s’étalant sur un peu moins de 30 ans et conduit par un objectif principal de neutralité carbone à horizon 2050. Détails de l’inscription ici Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 147 jours

Enel accélère dans les énergies renouvelables

Malgré une année marquée par des "conflits géopolitiques", Enel Green Power "poursuit sa croissance avec l'objectif ambitieux d'atteindre 75 gigawatts de capacité d'énergies renouvelables" d'ici 2025, a commenté Salvatore Bernabei, patron de cette filiale d'Enel spécialisée dans les énergies renouvelables.Cette augmentation des capacités devrait permettre d'éviter chaque année le rejet d'environ 9 millions de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère et l'achat de 2,9 milliards de m3 de gaz, selon les calculs d'Enel Green Power.Enel compte également multiplier par 15 la capacité de production annuelle de son usine de panneaux photovoltaïques à Catane en Sicile. D'ici juillet 2024, l'usine devrait voir ainsi passer sa capacité de production à 3 gigawatts, contre 200 mégawatts actuellement.Enel, l'un des premiers géants de l'énergie à avoir pris le virage du développement durable, compte atteindre l'objectif de "zéro émission nette" en 2040, "aussi bien pour les émissions directes qu'indirectes".Les énergies renouvelables représentent désormais 48% du total de la production d'Enel, contre 40% d'origine thermique et 12% d'origine nucléaire.Enel Green Power, qui est présent dans les domaines de l'énergie éolienne, solaire ou encore hydroélectrique, revendique la place de numéro un mondial des opérateurs privés dans le secteur des énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 147 jours

Les Français souhaiteraient un meilleur étiquetage des radiateurs, selon une étude

Selon une étude menée par l'entreprise Rothelec, les Français connaissent mal les normes et seraient même 85% à affirmer que les étiquettes énergie sur les radiateurs les aideraient à mieux choisir.
Il y a 2 ans et 147 jours

WICONA équipe l’Office cantonal de l’Environnement et de l’Energie à Bâle de fenêtres insonorisées à cavité fermée

Si le nouveau bâtiment de l’Office cantonal de l’environnement et de l’énergie (OEE) situé sur la Spiegelgasse de Bâle (Suisse) s’est fait remarquer avec sa façade photovoltaïque dorée mettant en œuvre pour la première fois au monde un système de verre fusionné 3D, il sera réducteur de résumer cet ouvrage à cette prouesse. Le bâtiment hybride bois-béton de huit étages relève en effet d’une conception unique en son genre à laquelle le concepteur-gammiste WICONA a eu l’honneur de participer. Retour sur une réalisation simplement étincelante © mediashots Forte alliance entre efficacité énergétique, construction écologique et architecture Le bâtiment existant de l’OEE ne satisfaisant plus aux besoins actuels, la décision a été prise de construire un nouvel immeuble au centre-ville historique de Bâle. Il importait que le nouveau bâtiment pour l’administration en charge des projets de construction éco-énergétiques dans le canton de Bâle-Ville serve aussi de modèle en termes d’efficacité énergétique, de construction écologique et d’architecture. À cet effet, la société d’architecture jessenvollenweider architektur ag (Bâle) a conçu un bâtiment administratif qui répond à toutes les exigences d’une construction tournée vers l’avenir tout en s’intégrant au contexte d’un site classé. Ainsi, ce bâtiment à huit étages a été élaboré comme une construction à ossature filigrane avec une charpente en bois de hêtre et d’épicéa régional. En combinaison avec ses plafonds en béton recyclé, cela permet d’obtenir une grande capacité de stockage de la chaleur et favorise le refroidissement nocturne en été. Ce principe de ventilation constante des pièces fait partie du concept énergétique global, au même titre que le haut niveau de récupération de chaleur, le recours au chauffage urbain, l’utilisation de l’eau de pluie, le haut niveau de récupération d’énergie par la façade et l’en-veloppe du bâtiment à forte isolation thermique, grâce au système à cavité fermée et l’utilisation optimale de la lumière du jour qui y est associée. « Nous avons utilisé des matériaux de construction non toxiques et naturels afin de répondre aux exigences de l’écologie de la construction. De plus, la construction des composants a été optimisée en termes d’énergie grise. » Sven Kowalewsky, architecte du projet À l’intérieur, les quelques 80 employés bénéficient d’un environnement convivial avec un mobilier moderne. Les bureaux ouverts, avec des postes de travail en îlot, sont complétés par des espaces ouverts flexibles. Une salle de conférence, une pièce de service et une salle d’archives sont situées sur cinq des huit étages. Le dernier étage accueille une cafétéria avec une petite terrasse, et le rez-de-chaussée comporte, entre autres, une zone visiteurs à côté de la réception. Solution de façade innovante avec production d’énergie © mediashots Vu de loin, le bâtiment brille d’un éclat doré. Mais en y regardant de plus près, on s’aperçoit que ce reflet doré est dû à des milliers de points encastrés dans les panneaux solaires. En outre, les panneaux solaires en façade révèlent trois dimensions. Ils sont composés d’un verre arrière, d’une couche d’encapsulation, de cellules solaires, d’une nouvelle couche d’encapsulation et d’un verre frontal 3D. Ces composants sont ensuite assemblés en une unité dans un laminateur. Chaque panneau solaire développé spécifiquement pour un projet nécessite des adaptations, voire de nouveaux développements des processus de production.  Le nouveau bâtiment est entièrement enveloppé par la façade solaire, qui couvre une surface totale de 1140 m² pour une puissance totale de 45 000 kWc/an. Le bâtiment peut ainsi reverser ses excédents énergétiques dans le réseau électrique. Ainsi, chacune des façades du bâtiment apporte une contribution à la production d’énergie annuelle, avec une meilleure répartition sur la journée et sur l’année grâce aux différentes orientations. Fenêtre à cavité fermée signées WICONA © mediashots Le système innovant à cavité fermée, WICTEC Modul air de WICONA, représente une sorte de fenêtre à caisson intégrée dans la façade. Dans cette construction double peau spéciale, le système de profilés accueille le vitrage intérieur et le cadre extérieur de la paroi d’impact. La technologie du vitrage est conçue de manière à créer une cavité étanche à l’environnement. Piloté par un système de gestion « cloud », de l’air conditionné est introduit avec une surpression minimale dans cet espace intermédiaire. Cela empêche l’humidité de l’extérieur ou de l’intérieur de pénétrer dans la cavité. Installée au sein de la cavité, la protection solaire de type store vénitien y reste propre et à l’abri. Elle peut être ajustée pour répondre aux besoins individuels de l’utilisateur grâce à un concept de contrôle intelligent. Cela garantit à tout moment un climat ambiant agréable, une transparence optimale, une protection efficace contre l’éblouissement et une efficacité énergétique maximale. Dans le cadre du concept de ventilation, le bâtiment est refroidi de manière passive par des volets d’aération étroits intégrés dans les fenêtres. Ils s’ouvrent automatiquement lorsqu’il fait plus frais à l’extérieur qu’à l’intérieur. Par conséquent, le système à cavité fermée réduit les pertes de chaleur en hiver et, en combinaison avec la protection solaire et le refroidissement nocturne automatisé, offre une très bonne protection thermique en été. Marco Theisinger, directeur de projet de WICONA expose que le projet OEE est proche des limites physiques actuelles de la construction en termes d’isolation thermique, de transmission d’énergie totale et d’insonorisation. De cette manière, la façade à cavité fermée offre un confort maximal à l’utilisateur tout au long de son cycle de vie, avec des coûts d’entretien comparativement très faibles pour l’investisseur. Aluminium recyclé en fin de vie pour des économies durables de CO2 Les exigences élevées en matière de durabilité imposées au nouveau bâtiment se reflètent également dans le matériau utilisé pour la façade à cavités fermées. Les profilés des éléments WICTEC Modul air sont fabriqués en aluminium recyclé en fin de vie Hydro CIRCAL. Ce matériau provenant d’anciens produits en aluminium mis en recyclage, sa production ne nécessite que 5 % de l’énergie requise pour de l’aluminium primaire. Marco Leusciatti, Directeur de Hydro Building Systems Switzerland AG et responsable pour la marque WICONA, souligne avec fierté que Hydro CIRCAL a l’une des empreintes carbone les plus faibles au monde, à savoir tout juste 2,3 kg de CO2 par kilo d’aluminium. Ceci est 4,5 fois moins que la moyenne mondiale pour l’aluminium primaire conventionnel et signifie que cette solution de façade représente une contribution significative à l’optimisation de l’empreinte écologique. Intervenants du projet Projet : Nouveau bâtiment pour l’Office de l’énergie et de l’environnement (en allemand : Amt für Umwelt und Energie (AUE)) Lieu : Bâle, Suisse Propriétaire : Immobilien Basel-Stadt Client : Basel-Stadt Structural Engineering Office Architectes : jessenvollenweider architektur ag Planificateurs de façade : gkp fassadentechnik ag Façades par : Meyer Josef Stahl & Metall AG Solutions WICONA : WICTEC Modul air (CCF) Completion : 2021 Photographe : mediashots
Il y a 2 ans et 147 jours

Enquête d'opinion : l'étonnante sérénité des entreprises du BTP

Alors que le contexte de crise énergétique et d’inflation persistante pouvait laisser présager d'un moral en berne pour les chefs...-Entreprises
Il y a 2 ans et 147 jours

Urbanit Jouplast : solution constructive pour les aménagements d'espaces perméables

La maîtrise, voire la désimperméabilisation des sols, devient donc un enjeu capital pour réduire la vulnérabilité des espaces urbains aux effets des changements climatiques en cours et à venir. Elle favorise le cycle de l'eau en réduisant le ruissellement, et contribue à réduire le phénomène d'îlots de chaleur.Pour relever ces défis, JOUPLAST® complète son offre de dalles pour revêtement minéral ou végétal, URBANGRAVEL® et GREENPLAC®, en lançant sur le marché sa nouvelle gamme URBANIT®, une solution pertinente et durable qui assure la perméabilité des sols en milieu urbain.Composée de 3 plaques en polyoléfine 100 % recyclée fabriquées en France, la gamme URBANIT® JOUPLAST® est adaptée aux pavés, graviers ou végétaux (gazon ou sédum). Compatibles entre elles, les plaques s'imbriquent les unes aux autres grâce à un système d'accroche intégré, laissant ainsi la possibilité de créer des espaces urbains multimatériaux : 100% pavés, mixe pavés + graviers ou pavés + végétaux.Plaque stabilisatrice pour pavés URBANIT® JOUPLAST®La plaque stabilisatrice pour pavés URBANIT® JOUPLAST® assure à la fois un parfait maintien des pavés et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules légers. En polyoléfine 100 % recyclée, elle permet d'installer durablement une surface stable et perméable.Plaque stabilisatrice pour graviers URBANIT® JOUPLAST®Parfaite pour concevoir des aménagements urbains de qualité et créer une surface gravillonnée d'épaisseur constante, la plaque stabilisatrice pour graviers URBANIT® JOUPLAST® favorise le drainage naturel et optimal des eaux de pluie. En polyoléfine 100% recyclée, elle permet de mettre en œuvre un revêtement drainant et carrossable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières.Plaque stabilisatrice pour végétaux URBANIT® JOUPLAST® L'imperméabilisation massive des sols cause des phénomènes extrêmes comme les inondations ou la surchauffe dans les villes. La plaque stabilisatrice pour végétaux URBANIT® JOUPLAST® simplifie la pose de végétaux en vue de réduire le phénomène d'îlot de chaleur. Destinée à accueillir du gazon, du sédum… elle facilite la création de surfaces végétalisées perméables en milieu urbain.