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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18314 résultats)
Il y a 2 ans et 202 jours

Risque de coupures d'électricité : le secteur tertiaire est aussi invité à faire un effort

FOCUS. Alors que la consommation nationale d'électricité a encore baissé de 8,3% du 28 novembre au 4 décembre, le secteur tertiaire semble moins enclin à appliquer les mesures de sobriété énergétique. Le risque de délestage étant réel pour cet hiver, RTE a rappelé les gestes techniques à adopter selon les types de bâtiments en cas d'alerte sur le réseau.
Il y a 2 ans et 202 jours

WICONA a présenté au salon BATIMAT sa façade nouvelle génération : la WICTEC 50 NG

WICONA a présenté au salon BATIMAT une nouvelle façade, très attendue des clients : la WICTEC 50 NG. Techniquement avancée, WICTEC 50 NG traverse égale montant est l’alliance réussie des points forts du système WICTEC (technologie et performances) et du système MECANO (facilité de fabrication). Cette nouvelle référence en aluminium recyclé Hydro CIRCAL® concentre de nombreuses innovations au niveau de la fabrication, et notamment de l’assemblage et de l’étanchéité. Elle viendra enrichir le catalogue de la marque début 2023. Crédit photo : Patrick Loubet Une fabrication et un système d’assemblage ingénieux Le mur-rideau WICTEC 50 NG se distingue par une conception ingénieuse dont l’objectif est de concilier hautes performances, esthétique, facilité de fabrication et compétitivité. Pour satisfaire ces ambitions, WICONA a conçu une solution économique selon laquelle la même référence de profilé est utilisée en traverse et en montant, ce qui permet d’économiser 25% de matière par rapport à une façade où les profils de montant et de traverse sont différents. L’usinage en coupe droite simplifie également la fabrication. Pas de programmation nécessaire au niveau des bancs d’usinage, ni besoin de recourir à un outil de délardage. Le profilé est scié à la verticale à la dimension adéquate. La traverse et le montant sont ensuite assemblés à sec en atelier via un accessoire d’étanchéité. Ce dernier est mis en oeuvre en pose de face, ce qui renforce la facilité de fabrication. Cet accessoire auto-étanche est prééquipé d’une pièce d’étanchéité qui évite le recours au butyle. La façade WICTEC 50 NG peut intégrer du double ou du triple vitrage jusqu’à une prise de volume de 62 mm d’épaisseur. Cela se traduit par des performances thermiques maximales conformes avec le label Passive House, acoustique et d’étanchéité élevées (jusqu’à 1 500 Pa). En termes de sécurité, la façade présentera dès sa commercialisation un classement retard à l’effraction de niveau 2 ou 3 selon les applications. Deux solutions d’assemblage sont proposées, selon les dimensions et les besoins de poids de vitrage : Pour des reprises de charge allant jusqu’à 200 kg (vs 100 kg avec le système MECANO), un support de cale de vitrage standard est utilisé, associé au raccord pose de face, fixé mécaniquement à l’aide de vis. Cette solution autorise des vitrages allant jusqu’à 50 mm d’épaisseur. Pour des reprises de charges lourdes allant jusqu’à 500 kg (vs 300 kg avec la façade MECANO), la cale de vitrage standard est remplacée par une version tubulaire, associée à 2 goupilles et un pièce anti-rotation, qui supporte aisément des remplissages de vitrages allant jusqu’à 62 mm (vs 32 mm auparavant). L’étanchéité intérieure du système est assurée par la mise en oeuvre d’un nouveau joint bidensité. Cette innovation brevetée WICONA admet des tolérances d’épaisseur de remplissage accrues jusqu’à +/- 2 mm. Elle permet de réaliser des angles et des facettes plus importantes (+/- 10°) et des jonctions auto-étanches, par compression des sur longueurs au niveau des angles, garantissant une étanchéité dans des conditions climatiques extrêmes, sans avoir besoin de recourir à du mastic à base de butyle. L’étanchéité extérieure est quant à elle assurée par la pose d’un joint sur le serreur filant ou le serreur ponctuel. Là aussi, deux solutions sont proposées : soit le recours au joint EPDM, solution éprouvée par les clients, soit le recours à une autre innovation WICONA : le joint TPE, 100% recyclable, compatible avec le nouveau service de prémontage industriel proposé par la marque. WICONA proposera de livrer des serreurs filants prêts à l’emploi, déjà équipés de joints TPE, afin de limiter les manipulations et ainsi d’optimiser l’espace de stockage et le temps de pose. Crédit photo : Patrick Loubet Des dimensions conditionnées au demi-périmètre de 5 mètres Économique et facile à fabriquer, le mur-rideau WICTEC 50 NG permet d’aller chercher des reprises de charges de vitrage importantes, allant jusqu’à 500 kg et autorise de grandes dimensions, à la condition de respecter des demi-périmètres de 5 mètres. Pour répondre aux différentes configurations de mur-rideaux, WICONA propose une gamme de traverses allant de traverses simples, dotées d’une toile standard à des traverses charges lourdes. Pour ces dernières, WICONA a créé une série des traverses renforcées comprenant une toile épaissie, une gorge pour les goupilles et un ergot permettant l’insertion de renforts en acier. L’ensemble de ces accessoires augmente l’inertie et permet de supporter des tailles et des poids de vitrages supérieurs. Esthétique soignée Le mur-rideau WICTEC 50 NG offre un vaste choix de solutions esthétiques, qui démultiplient les possibilités lors de la conception d’une façade. Ce système est disponible dans différentes applications : aspect grille, trames verticales et horizontales et un capot discret extra plat offrant un rendu lisse proche d’un vitrage VEC… Il crée des formes d’enveloppes originales, avec des angles ou encore des facettes sortants ou rentrants, des trames asymétriques, qui se distinguent dans le paysage urbain. Les solutions techniques permettent une grande variété d’esthétiques. Une collection de capots est proposée pour signer l’identité de chaque façade. Des formes en « T » ou en « U », avec des profondeurs comprises entre 17 mm et 100 mm, pour accentuer les lignes géométriques ou en arrondir l’écriture. Le tout étant compatible avec les nouveaux serreurs filants et les serreurs ponctuels qui ont été développés. L’ensemble pouvant être laqué ou anodisé dans la teinte souhaitée. Plus d’écoconception, moins d’impact carbone Ce mur-rideau est fabriqué en Hydro CIRCAL®. Constitué d’au minimum 75 % d’aluminium post-consommation recyclé, ce matériau garantit une empreinte carbone de 2,3 kg de CO2e/kg d’aluminium, soit la plus basse du marché. L’énergie nécessaire pour fondre cet aluminium est 95 % inférieure à celle de l’aluminium primaire obtenu à partir de l’extraction de la bauxite. La marque travaille également plus largement sur les matériaux avec des solutions de ruptures thermiques fabriquées en XPET à partir de bouteilles plastiques qui permettent d’atteindre la certification Passive House, ou encore des joints d’étanchéité extérieure TPE 100% recyclables. La réintroduction dans le cycle de vie de tonnes de matériaux déjà utilisés réduit significativement les déchets. Les composants du mur-rideau facilitent l’assemblage en atelier puis le démontage lorsque celui-ci arrive en fin de vie. Leur démantèlement est aisé, simplifiant le recyclage.
Il y a 2 ans et 202 jours

Hausse préoccupante des refus de prêt immobilier : près d’un compromis de vente sur dix n’aboutit pas à une vente définitive

Un chiffre confirmé par un sondage exclusif réalisé pour la circonstance par PAP.fr auprès de 10.828 candidats à l’achat entre les 22 et 27 novembre 2022 puisque 9,8% des acheteurs ont déclaré avoir fait l’objet d’un refus de prêt récemment.Des acheteurs qui témoignent que le financement devient une problématique centrale puisqu’ils sont 60,4% à déclarer être inquiets à ce sujet.* Taux de republication d’annonces : taux d’annonces ayant été dépubliées en raison de la signature d’un compromis de vente et qui fait l’objet d’une republication 4 à 8 semaines plus tard.9,8% des acheteurs ont fait récemment l’objet d’un refus de prêt !Parmi les raisons ayant conduit à un refus de prêt, les acheteurs concernés citent majoritairement un problème de taux d’usure : 62,1%. Les autres motifs arrivent loin derrière : taux d’endettement trop élevé (30,5%), situation professionnelle (21,7%), apport personnel insuffisant (20,2%). Enfin, on note parallèlement que le Diagnostic de performance énergétique (DPE.), auquel les banques prêtent de plus en plus attention, a été un obstacle dans 3,3% des cas.Une situation qui touche tous les profils…Les refus de prêts touchent tous les types de profils professionnels, y compris ceux qui pourraient sembler y échapper, à l’instar des salariés du privé en CDI qui représentent un peu plus d’un cas sur deux. Ainsi que toutes les tranches d’âges, avec un pic à 32% chez les 40-49 ans !Et pas uniquement les primo-accédants comme on pourrait le penser, puisqu’ils ne représentent que 37,1% des cas.Près d’un acheteur sur deux ayant fait l’objet d’un refus de prêt a modifié ses critères de recherche à la suite de ce refusLes refus de prêts ont conduit un peu plus d’un acheteur sur deux (52,2%) à modifier leurs critères de recherche. Quand le solde (47,8%) mise sur une baisse des prix…60,4% de l’ensemble des acheteurs ayant recours au crédit indiquent être inquiets du financement de leur acquisitionLa question du financement préoccupe tous les acheteurs, même ceux qui n’ont pas été confrontés à un refus de prêt puisque 60,4% des acheteurs indiquent être inquiets à ce sujet.Parallèlement, 92% des acheteurs anticipent une hausse des taux d’intérêt dans les prochains mois.Un problème qui ne concerne pas un acheteur sur trois !33,4% des répondants envisagent un achat comptant, sans avoir à recourir au crédit. Ce qui a été rendu possible par la revente de leur bien initial avant de se lancer dans un achat, quitte à passer par la location le temps de trouver la perle rare.Une stratégie mise en œuvre notamment par les retraités (58,1% des acheteurs au comptant sont retraités) qui ont pu épargner et qui se savent exclus du crédit. Mais cette solution (vendre avant de racheter) pourrait également aider des actifs qui auraient ainsi un profil plus favorable avec davantage d’apport personnel.41,4% des acheteurs tablent sur une baisse des prix dans les prochains mois.Interrogés sur la manière dont ils anticipent le marché, les acheteurs pensent majoritairement que les prix vont baisser (41,4%), quand 35,3% parient sur une stabilité. Enfin, 23,4% pensent que les prix vont continuer à monter.MéthodologieEtude réalisée à partir des données issues :d'une enquête réalisée, entre le 22 et le 27 novembre 2022, via un questionnaire en ligne auprès de 10.828 personnes en recherche active d’un bien immobilier à l’achat sur PAP.frdes données de republication d’annonces de vente, en novembre 2022, sur le site PAP.fr, dans un intervalle de 4 à 8 semaines après leur annulation.
Il y a 2 ans et 202 jours

À la découverte du Groupe Seguin avec son Directeur Commercial, Cédric Laurent

Batinfo : Pouvez-vous nous présenter le groupe Seguin ainsi que son histoire ?Cédric Laurent : Créée en 1976, Seguin est une entreprise familiale française, basée essentiellement en région Auvergne Rhône Alpes, fabriquant des chauffages au bois et granulés. Nous faisons partie du groupe Seguin comptant près de 300 salariés et constitué de marques comme Seguin, JC Bordelet, Axis et Hwam. Globalement, nous disposons de deux réseaux: Seguin une histoire de flamme, dédié aux cheministes avec 150 revendeurs et 115 magasins exclusifs à notre marque et Cheminées Artense, destiné au monde des plombiers chauffagistes où nous collaborons directement avec les professionnels via des grossistes.Notre métier est basé sur la distribution en B2B, à destination des cheministes, de la fumisterie et de la fourniture au sens large d'appareils de chauffage au bois et à la biomasse. Notre savoir-faire nous donne une place privilégiée sur le secteur du chauffage pour les maisons individuelles.Leader sur notre marché en France, nous sommes présents également dans 40 pays comme en Scandinavie, au Japon, en Grande-Bretagne, en Italie, dans le bassin méditerranéen, en Australie et d'autres. Pour résumer l'activité de nos différentes marques, je dirais que :Chez Seguin, la spécialité est la fonte et le granulé. Situé à Randan, dans le Puy-de-Dôme depuis près de 40 ans, nos 130 salariés sur ce site s'occupent de la partie administrative et logistique ainsi que de l'administration des ventes pour les différentes filiales. Sur ce site, nous sommes en pleine ruralité au cœur des bois. Nous y dispensons également des formations certifiées Qualiopi pour les installateurs, qu'ils soient clients directs ou indirects. Les formations proposées vont de quelques jours à trois mois et accueillent environ 400 stagiaires à l'année pour leur permettre une montée en compétence et favoriser la professionnalisation de notre secteur.Axis, aussi situé en région Rhône Alpes, s'occupe de la production de foyers et des poêles en acier.Thermolab est notre marque de chaudières à granulés, situé à Randan comme Seguin.Nous sommes également propriétaires d'une marque au Danemark nommée Hwam, qui fabrique des poêles à bois scandinaves. Grâce à Hwam, nous sommes aujourd'hui le seul fabricant français de poêle en acier scandinave.JC Bordelet, basé dans l'Hérault, fabrique à la main des cheminées métal design suspendues. Avec des produits reconnus, cette filiale est un vecteur important pour nous à l'étranger.Enfin, nous avons une petite diversification dans notre cœur de métier avec Vulx qui fabrique des braseros planchas, pour les particuliers mais aussi pour le milieu de l'hôtellerie restauration.Batinfo : Actuellement, où en est le groupe Seguin ?Cédric Laurent : La situation énergétique actuelle a entrainé une inversion totale de notre marché avec une explosion de la demande de poêle à bois et à bûches. Habituellement nous assurions des livraisons en moins d'une semaine, aujourd'hui les délais sont d'environ 3 mois.Entre les pénuries de gaz et de matières premières, notre filière est sous tension sur ce deuxième semestre 2022. Grâce à la taille de notre entreprise et à des partenaires fiables, nous arrivons à trouver des solutions et répondre à la demande croissante des ménages qui souhaitent pratiquer le mix énergétique afin de faire baisser leur facture cet hiver.Batinfo : Quels sont vos prochains projets ?Cédric Laurent : Nous avons une vraie volonté de nous développer en continuant à améliorer nos produits et en concevoir de nouveaux. Nous souhaitons également explorer de nouveaux axes de marchés. Les métiers autour de la chaudière sont évidemment un secteur sur lequel nous nous développons déjà et comptons continuer dans cette direction.Notre département R&D avance également vers des produits faciles à installer et à utiliser.Nous lançons aussi notre première école de poseur avec des formations longues.Enfin, le secteur du chauffage pour des habitations en verticalité est bien sûr dans notre viseur même si je ne peux pas encore en dire plus.Concernant notre politique RSE, nous faisions déjà beaucoup de choses mais maintenant nous les mettons en avant. Nous avons donc choisi quatre piliers :L'environnement : nous essayons d'être les plus au point sur la gestion des déchets. Nous avons par exemple investit fortement pour avoir un laboratoire d'essais chez nous pour mesurer nos rejets dans l'atmosphère de manière professionnelle. Des groupes de travail ont été également mis en place avec nos revendeurs afin de cibler des formes de déchets que l'on génère et que nous pourrions réduire. Par exemple actuellement nous travaillons sur des emballages consignés que nous pourrions récupérer et réutiliser. Notre ancrage territorial : lors de nos rachats de JC Bordelet et d'Axis, il aurait été plus simple de rapatrier les équipes près de notre centre de Randan. Nous avons choisi de ne pas le faire et de plutôt réinvestir dans de nouvelles usines sur les lieux d'origines de ces entreprises afin de ne pas déraciner les salariés et de maintenir le tissu de sous-traitant que nous souhaitons conserver. Nous avons une véritable responsabilité à notre échelle locale.L'économie durable : nous sommes très vigilants de ce que l'on achète, à combien on l'achète et chez qui l'on achète. Dans la période où nous sommes, si nous n'avions pas des partenaires fiables, nous tiendrions bien plus difficilement.L'humain au centre : nous avons tous une participation au bénéfice avec une particularité: elle est égalitaire, elle ne prend pas en compte l'échelon dans l'entreprise.
Il y a 2 ans et 202 jours

La crise de l'énergie a créé un "élan inédit" pour les renouvelables, selon l'AIE

Le monde devrait développer autant de capacités renouvelables ces cinq prochaines années qu'il l'a fait au cours des 20 dernières, selon le rapport 2022 de l'AIE sur les énergies renouvelables.Solaire et éolien en particulier vont ainsi devenir la première source d'électricité dans le monde d'ici à 2025, en détrônant le charbon, les pays cherchant à réduire leur dépendance aux énergies fossiles surtout après l'invasion de l'Ukraine par la Russie.La capacité renouvelable mondiale devrait gagner 2.400 gigawatts (GW) sur la période 2022-2027, soit autant que la capacité électrique actuelle de la Chine, et un tiers de plus que ce qu'envisageaient les experts il y a encore un an, ont calculé les analystes de l'AIE pour ce rapport annuel.L'Agence, qui conseille les Etats dans leurs politiques énergétiques, relève "la rapidité avec laquelle les gouvernements ont su pousser encore un peu plus les renouvelables".C'est particulièrement vrai en Europe, qui cherche à remplacer le gaz russe, et où les capacités installées en 2022-27 devraient doubler par rapport à ces cinq années passées.Ailleurs, la Chine, les Etats-Unis et l'Inde mènent le mouvement, avec des plans et des réformes de marché qui n'étaient pas attendus aussi rapidement."L'exemple (des renouvelables) montre que la crise énergétique pourrait être un tournant historique vers un système énergétique mondial plus propre et plus sûr", selon le directeur de l'AIE, Faith Birol, qui rappelle aussi qu'une telle "accélération continue est critique si l'on veut garder une possibilité de limiter le réchauffement à 1,5°C" par rapport à l'ère préindustrielle.En terme de technologies, solaire et éolien terrestre forment aujourd'hui les moyens de production électrique les moins coûteux de tous, dans la majorité des pays.Le rapport prévoit un triplement du parc photovoltaïque sur 2022-2027, notamment sur les toits des commerces et des résidences, avec des consommateurs désireux de limiter leurs factures.L'AIE voit d'ailleurs un début de diversification dans la production de ces équipements, en particulier vers l'Inde et les Etats-Unis.L'éolien lui devrait doubler en capacité sur la période, aux quatre cinquièmes en terrestre.Enfin la demande en biocarburants devrait croître de 22%, tirée par les Etats-Unis, le Canada, le Brésil, l'Indonésie et l'Inde, qui ont adopté des mesures de soutien de cette énergie.
Il y a 2 ans et 203 jours

Be positive

Rendez-vous sur BePOSITIVE, l’événement de ceux qui construisent le monde décarboné de demain !
Il y a 2 ans et 203 jours

L'Etat charge le Plan bâtiment durable d'une "mission sobriété" dans les bâtiments

ANNONCE. Le Plan bâtiment durable vient d'être missionné par le gouvernement afin de mobiliser la filière autour des enjeux de sobriété. Les pouvoirs publics souhaitent tenir l'objectif d'une économie de 10% de la consommation énergétique du pays d'ici à 2024.
Il y a 2 ans et 203 jours

Christian Bouigeon, nouveau Président du FILMM

Ingénieur diplômé de l’école ESPCI Paris – Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de Paris – il débute sa carrière en tant qu’ingénieur de recherche au sein du Groupe Saint-Gobain. Il l’a poursuivie dans différentes entités du Groupe en France et en Pologne. Occupant des fonctions de Direction Générale depuis 2004, il a été nommé à la Direction Générale des marques Isover et Placo France depuis mai 2021.Christian Bouigeon et les membres du FILMM souhaitent rappeler le rôle fondamental de l’isolation pour une véritable sobriété énergétique des bâtiments. A l’heure du dérèglement climatique et des crises énergétiques, des décisions fortes doivent être prises sur la rénovation des bâtiments en France en utilisant tous les dispositifs incitatifs et financiers pour passer à l’action.Les adhérents du FILMM (Eurocoustic, Isover, Knauf Insulation, Rockwool, Ursa), produisant tous en France, proposent des laines minérales de verre et de roche permettant de répondre à cette urgence collective.« Je suis très heureux de prendre la présidence du FILMM et de pouvoir m’associer à l’ensemble de ses membres pour valoriser le rôle fondamental que joue l’isolation dans la sobriété énergétique des bâtiments et la réduction de leurs émissions de CO2. » - Christian Bouigeon
Il y a 2 ans et 203 jours

chaudiere biomasse caracteristiques prix aides

La chaudière biomasse qu'est-ce que c'est ? Elle utilise comme combustible le bois, afin de produire de la chaleur. Le prix varie entre 3 000 € et 25 000 €
Il y a 2 ans et 203 jours

Les industriels et les distributeurs face au défi de la décarbonation

TABLE RONDE. A l'occasion des Inoha Days, manifestation qui s'est déroulée le jeudi 1er décembre à Paris, les acteurs du nouvel habitat ont échangé sur la stratégie de décarbonation du secteur abordant la planification, le scoring, ou encore le greenwashing. Autour de la table : Weber, Leroy Merlin, l'Ademe, HBF et France Invest.
Il y a 2 ans et 203 jours

Découvrez la plus grande centrale de stockage d'énergie d'Europe continentale

REPORTAGE. Batiactu a visité cette grande centrale de stockage d'énergie exploitée par le producteur français d'énergie solaire Corsica Sole en Belgique. L'installation permet de réguler la tension et la fréquence du réseau de transport électrique européen.
Il y a 2 ans et 203 jours

L’hiver du logement neuf : un marché sans offre et sans demande

La vente aux propriétaires occupants, qui jusqu’à présent était le dernier segment à résister, fléchit fortement depuis la rentréeAu 3ème trimestre 2022, les ventes totales des promoteurs baissent de 29,3% par rapport au 3ème trimestre 2021. Tous les postes de ventes reculent sans exception ce trimestre. Les réservations aux particuliers sont touchées de plein fouet par la détérioration du climat économique (inflation et hausse des taux). Les ventes aux investisseurs particuliers baissent de 24,7% tandis que les ventes aux propriétaires occupants, qui avaient résisté jusqu’à présent, se contractent de 19,7%.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « La dernière digue, la vente aux propriétaires occupants, vient elle aussi de céder. Hausse des coût de construction, taux d’usure, inquiétude des ménages, tout contribue à éloigner les Français de l’acte d’achat d’un bien immobilier. C’est d’autant plus regrettable qu’un logement collectif neuf est sobre en énergie et répond parfaitement aux exigences de la transition écologique. »La chute des ventes en bloc se confirme. Sauf sursaut de fin d’année, l’offre nouvelle de logements sociaux devrait être en forte baisse par rapport aux années précédentes À la baisse importante des ventes aux particuliers s’ajoute celle encore plus conséquente des ventes en bloc puisque la chute atteint 54,6%. Là aussi, tous les postes de ventes sont concernés : la baisse des ventes aux bailleurs sociaux laisse craindre une offre nouvelle très faible de logements locatifs sociaux. Il en est de même pour les ventes en bloc aux investisseurs institutionnels, loin d’être en mesure de prendre le relais des dispositifs d’investissement locatif destinés aux particuliers comme le Pinel.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « La stratégie de Bercy consistant à privilégier les investisseurs institutionnels (LLI) au détriment des particuliers (Pinel) est anéantie. Les investisseurs institutionnels désertent, au moins temporairement, le secteur résidentiel, les taux de rendement étant en forte baisse avec la hausse des taux d’intérêts et des coûts de construction. »Une stagnation de l’offre commercialeBien qu’ils ne se traduisent pas encore en mises en chantier, les plus de 500.000 logements autorisés sur 12 mois pourraient paraître réjouissants pour les acteurs de la construction neuve. Cependant, ce constat positif, en particulier sur les logements collectifs, ne se retrouve pas dans les chiffres des mises en vente qui baissent de 12,4% ce trimestre. Depuis le début 2022, la baisse atteint 10,2%. Résultat : l’offre commerciale stagne sur un an, et même augmente depuis deux trimestres consécutifs en raison de la chute des ventes.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « La mise en œuvre, au 1er janvier 2022, de la réglementation environnementale 2020, a eu un fort effet accélérateur de dépôt de permis de construire dont le montage des dossiers était déjà bien avancé, par ailleurs accentué par la fin, en septembre 2022, des aides financières octroyées dans le cadre des contrats locaux de relance de la construction durable privilégiant les opérations denses en zones tendues. Il s’agit d’un résultat en trompe-l’œil dont l’effet rebond va s’estomper très prochainement. »
Il y a 2 ans et 203 jours

Première étape pour la planification de l'éolien en mer

Un Conseil national de la mer et des littoraux (CNML) de 52 membres - pêcheurs, transporteurs, énergéticiens, associations environnementales, élus et autres acteurs concernés - a été installé par le secrétaire d'Etat chargé de la Mer, Hervé Berville. Cette planification sera déclinée par façades maritimes.Les membres du CNML ont élu la députée de Gironde Sophie Panonacle (Renaissance) et Pierre Maupoint de Vandeul, officier de marine marchande et président du syndicat CFE-CGC Marine, respectivement présidente et vice-président du bureau.Le CNML organisera des ateliers début 2023, une "concertation large" qui devra déboucher sur "des orientations stratégiques partagées", en cohérence aussi avec la feuille de route énergétique que la France doit se fixer l'an prochain, explique le secrétariat d'Etat.Hervé Berville a souligné dans un communiqué que ce nouveau Conseil national, "qui se voudra le véritable parlement national de la mer", vise à donner "à l'action publique maritime un nouveau départ" pour "adopter d'ici mi-2023 une stratégie nationale qui aura pour priorités les énergies marines renouvelables, la protection de la biodiversité marine et le développement de l'économie maritime".Concernant l'éolien, il s'agit d'atteindre l'objectif fixé par Emmanuel Macron de 40 gigawatts de puissance installée en 2050, soit environ 50 parcs, tout en permettant "la meilleure articulation entre les différents usages maritimes".Sur la protection de la biodiversité marine, l'objectif du gouvernement est d'atteindre, d'ici à 2030, 10% de zones en protection forte (ZPF) en mer, contre 4,2% actuellement.Enfin, cette stratégie aura vocation à accélérer la transition énergétique des activités maritimes, grâce notamment à la taxe éolienne en mer, dont 35% ira au soutien à "un modèle de pêche vertueux", indique le secrétariat d'Etat.Une fois les travaux "informels" achevés en 2023, l'idée est d'"enchaîner avec des séquences plus juridiques, les débats publics" par façades sous l'égide de la Commission nationale du débat public (CNDP), indique-t-on au cabinet du secrétariat d'Etat.Ce processus produira des "documents stratégiques de façades", priorisant les activités, avec modes opératoires et cartographies pour préciser "où se situeront des zones assez précises pour l'éolien en mer, les couloirs maritimes, les zones marines protégées..."Qu'il y ait relance du nucléaire ou pas, tous les scénarios énergétiques prévoient pour la France un fort essor de l'éolien marin, afin de faire face à la croissance des besoins électriques et au réchauffement climatique (neutralité carbone en 2050). Pour RTE, le gestionnaire du réseau haute tension, il devrait fournir à cet horizon 22 à 62 gigawatts (GW), selon le bouquet choisi.En France, sept parcs (3,6 GW au total) ont à ce jour été confiés à des opérateurs, dont le tout premier, face à Saint-Nazaire, vient d'être inauguré, 10 ans après son attribution.
Il y a 2 ans et 203 jours

Et la chaleur renouvelable ?

Les acteurs de la chaleur renouvelable – solaire thermique et géothermie de surface principalement – ont le sentiment d’être oubliés dans les débats sur la décarbonation.
Il y a 2 ans et 203 jours

Ille-et-Vilaine : Rennes métropole réduit la consommation énergétique de ses stations d’épuration

La collectivité métropolitaine de Rennes (Ille-et-Vilaine) veut s’appuyer sur l’énergie solaire pour réduire la consommation...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 204 jours

Sonepar et Bureau Veritas s'allient pour répondre aux enjeux énergétiques des bâtiments tertiaires

Alors que les questions liées à la sobriété énergétique occupent une place centrale dans le débat public, de nombreuses entreprises réfléchissent à la manière de se conformer aux nouvelles obligations en la matière avec le décret tertiaire (« dispositif éco-énergie tertiaire ») qui concerne tous les bâtiments à usage tertiaire de plus de 1000 m2. Après avoir défini une année de référence pour leur consommation énergétique, les propriétaires et exploitants devront réduire cette consommation de 40% en 2030, et jusqu'à 60% d'ici à 2050.Pour accompagner ses clients dans cette démarche, Sonepar a fait le choix de mettre à disposition, une plateforme omnicanale, sur laquelle toutes les solutions Bureau Veritas liées au enjeux énergétiques seront présentées.« Grâce à cette plate-forme, les clients de Sonepar pourront commander des audits énergétiques, de l'accompagnement à la mise en oeuvre de plans de sobriété, ou encore avoir accès à des financements via les Certificats d'économie d'énergie. Par ailleurs, nous ouvrirons plus largement notre offre de services pour ces utilisateurs en y ajoutant des missions de vérifications électriques et des formations ad hoc. C'est avec fierté et engagement que Sonepar et Bureau Veritas allient leurs forces et leur expertise pour contribuer efficacement aux efforts de sobriété énergétique nécessaires aujourd'hui et essentiels sur le long terme pour répondre à l'enjeu climatique » explique Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique, France et Services aux Gouvernements de Bureau Veritas.Et Jérôme Malassigne, Président Sonepar France de poursuivre : « Les structures concernées sont nombreuses : plateaux de bureau, établissements de santé, établissements scolaires, équipements sportifs ou encore monuments historiques… En France, ce sont plus de 940 millions de mètres carrés qui sont concernés par le décret tertiaire. Notre volonté : accompagner nos clients installateurs et les utilisateurs des bâtiments dans leurs démarches de réduction de consommation d'énergie, et faire de cette réglementation une opportunité de business au service des enjeux énergétiques de demain. C'est ainsi une couverture de l'ensemble de l'écosystème électrique qui sera proposée aux professionnels du marché afin de leur apporter, partout en France, des réponses adaptées à leurs besoins de sécurité, de qualité et de conformité. »
Il y a 2 ans et 204 jours

Nouveautés sans-fil BITURBO Bosch Professional – Pour percer, scier et couper tout en puissance et en toute liberté 

Bosch étoffe sa gamme BITURBO avec 3 nouveaux outils sans-fil 18V. Le perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Professional offre la liberté du sans-fil avec les performances d’un outil filaire et davantage de confort. Quant à la GSA 18V-28 Professional, elle est la première scie sabre sans-fil avec la technologie BITURBO. Son rapport poids/puissance et ses performances de coupe font toute la différence. Enfin, la meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Professional combine les avantages des grandes et des petites meuleuses d’angle : une grande profondeur de coupe, un poids réduit et un design optimisé. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah) du système Professional 18V, permet aux outils d’atteindre leurs pleins potentiels en termes de puissance et d’autonomie. NOUVEAU PERFORATEUR SANS-FIL GBH 18V-40 C : LE PLUS PUISSANT DE SA CATÉGORIE Le nouveau perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Bosch Professional offre des performances équivalentes à un outil filaire pour percer dans le béton, la pierre et la maçonnerie grâce à la technologie BITURBO Brushless. Il dispose d’une force de frappe élevée de 9,0 J pour buriner et percer rapidement des trous jusqu’à 40 mm dans du béton. Il bénéficie d’un rapport poids/puissance optimal grâce à son mécanisme de frappe optimisé, qui contribue à le rendre plus léger, et son système d’entraînement très performant. Un affichage interactif et des fonctions de connectivité Bluetooth via Smartphone permettent aux artisans de contrôler la machine, l’état de la batterie, et de personnaliser les réglages via 3 modes de travail : – le mode « Auto » pour des performances maximales, par exemple lors du percement dans le béton,– le mode « Soft » pour travailler dans des matériaux fragiles tels que la maçonnerie ou les carreaux,– le mode « Favori » pour personnaliser les performances de perçage via l’application Bosch Toolbox. Pour un meilleur confort d’utilisation, la batterie du perforateur est intégrée à l’avant de l’outil, ce qui optimise son centre de gravité et le rend plus facile à manier. La poignée déportée permet une manipulation aisée et une réduction des vibrations de l’outil. Les fonctions de démarrage progressif EPC (Electronic Precision Control) et ASC (Adaptive Speed Control) assurent un maximum de précision et de confort lors des travaux de perçage et burinage. En plus du débrayage de sécurité, le système KickBack Control protège l’utilisateur. Un capteur arrête automatiquement le moteur en cas de blocage soudain de l’accessoire dans le matériau. Cela évite un rebond inattendu et réduit le risque de blessure. Le perforateur est également équipé d’un éclairage LED, d’un variateur de vitesse, d’un interrupteur blocable et de la fonction Vario-Lock. Il est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. Bosch propose également une large gamme d’accessoires dont les forets Expert, particulièrement résistants à l’usure.  ©Bosch NOUVELLE SCIE SABRE SANS-FIL GSA 18V-28 : DES PERFORMANCES DE COUPE ÉQUIVALENTES AUX OUTILS FILAIRES 1 100 W La nouvelle scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Bosch Professional BITURBO a été conçue pour répondre aux travaux de démolition ou de rénovation les plus exigeants. Métal, maçonnerie, isolant, plastique ou bois, tous les matériaux courants sont facilement et rapidement sciés. Grâce à la nouvelle technologie BITURBO Brushless, la GSA 18V-28 Professional profite des performances de coupe équivalentes à celles d’une scie sabre filaire de 1 100 W. Pour réaliser chaque découpe avec une grande précision, elle bénéficie d’un variateur de vitesse sur la gâchette qui assure un démarrage progressif et en douceur. Compacte et parfaitement équilibrée, la scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Professional offre un grand confort d’utilisation grâce à sa poignée optimisée, aux formes ergonomiques, et son très bon rapport poids/puissance. Elle est idéale pour effectuer des coupes à ras des tuyaux ou près des murs, et permet à l’utilisateur de travailler facilement et sans effort, quelle que soit sa position : en hauteur, dans les endroits difficiles d’accès, exigus… La GSA 18V-28 Professional dispose du système SDS sans outil qui permet de changer la lame facilement et rapidement en toute sécurité, d’une seule main. Pratique, elle est dotée d’un crochet métallique, situé à l’arrière de l’outil, pour être suspendue dans une position équilibrée à une échelle ou un échafaudage entre 2 utilisations. Par ailleurs, lorsque la scie sabre GSA 18V-28 Professional est équipée de la lame à technologie carbure Expert Thick Tough Metal, les artisans peuvent couper rapidement, de manière précise et droite, du métal épais, des tuyaux en fonte, des profilés en acier… La GSA 18V-28 Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. La large gamme d’accessoires Bosch permet à la scie sabre GSA 18V-28 Professional de couvrir un large champ d’applications. ©Bosch NOUVELLE MEULEUSE D’ANGLE SANS-FIL GWS 18V-180 PC PROFESSIONAL : L’ERGONOMIE DES PETITES MEULEUSES, LA PERFORMANCE DES GRANDES D’un design ergonomique et compact, la nouvelle meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Bosch Professional BITURBO combine les avantages des petites meuleuses en termes de confort et maniabilité, et les performances des grandes. En effet, elle offre la même profondeur de coupe qu’une grande meuleuse d’angle de 230 mm, tout en étant 30 % plus légère et plus petite grâce au disque de 180 mm et à sa tête d’engrenage réduite. La technologie BITURBO Brushless lui permet de disposer de suffisamment de puissance pour effectuer des coupes rapides et tronçonner tous types de métaux, béton, brique et carrelage. Autre avantage, la GWS 18V-180 PC Professional assure une très bonne protection de l’utilisateur, notamment lorsqu’il est sur un échafaudage ou un toit, grâce à différentes fonctions. Le système PROtection switch (interrupteur homme mort) arrête immédiatement la meuleuse dès que l’utilisateur relâche l’interrupteur. La fonction KickBack Control prévient les rebonds imprévisibles et le système de freinage intelligent réduit considérablement les risques d’accidents. Par ailleurs, la protection anti-redémarrage, le démarrage progressif ainsi que la poignée latérale anti vibrations garantissent une maîtrise et une sécurité totales de l’outil. La GWS 18V-180 PC Professional BITURBO est équipée d’un module Bluetooth Connectivity qui permet aux professionnels de coupler la meuleuse avec un Smartphone pour voir, définir et personnaliser ses fonctions via l’application ToolBox. Enfin, la meuleuse possède un carter d’engrenage rotatif à 90° et des disques qui permettent de découper une grande variété de matériaux (métal, béton, pierre) tout en protégeant l’utilisateur. D’autres accessoires sont également disponibles tels que le disque à tronçonner Expert « Diamond Metal Wheel » pour des applications plus exigeantes dans le métal et les matériaux abrasifs. La GWS 18V-180 PC Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch.  ©Bosch www.bosch.fr
Il y a 2 ans et 204 jours

Nouveautés sans-fil BITURBO Bosch Professional

Bosch étoffe sa gamme BITURBO avec 3 nouveaux outils sans-fil 18V : le perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Professional, la GSA 18V-28 Professional et la meuleuse d'angle sans-fil GWS 18V-180 PC Professional. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah) du système Professional 18V, permet aux outils d'atteindre leurs pleins potentiels en termes de puissance et d'autonomie.
Il y a 2 ans et 204 jours

Hager explore dévoile sa nouvelle offre de formation

Hager explore, organisme de formation du Groupe Hager, présente sa nouvelle offre pour accompagner plus étroitement les professionnels de la filière électrique dans leur montée en compétences. Dans ce nouveau catalogue, l'intégralité des formations a été retravaillée pour mieux répondre aux besoins des professionnels face aux enjeux de leur secteur en matière de transition énergétique, de développement respectueux de l'environnement et de digitalisation. Fidèle à la philosophie d'Hager explore, cette nouvelle mouture propose des modalités de formation et des méthodes pédagogiques toujours mieux adaptées aux attentes des futurs stagiaires. « Ensemble, en route vers votre réussite professionnelle ! »
Il y a 2 ans et 204 jours

Cepsa va investir 3 Mds d'euros dans un projet d'hydrogène vert en Andalousie

Ce projet, baptisé "Vallée andalouse de l'hydrogène vert", permettra la production de 300.000 tonnes de ce gaz considéré comme crucial pour la décarbonation de l'économie, sur une vaste zone située entre Cadix et Huelva, a indiqué l'entreprise espagnole dans un communiqué.Il s'accompagnera d'un investissement additionnel de deux milliards d'euros pour le développement de parcs éoliens et solaires et devrait générer "10.000 emplois", selon le groupe.La production d'hydrogène sera "une contribution vitale pour la transition énergétique et la sécurité d'approvisionnement du continent" européen, a souligné le directeur général de Cepsa, Maarten Wetselaar, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez.Selon ce dernier, l'investissement réalisé par Cepsa devrait permettre à l'Andalousie, qui bénéficie en particulier d'un fort ensoleillement toute l'année, de devenir "l'une des régions les plus compétitives au monde en matière de production d'hydrogène" vert à partir d'énergie solaire et éolienne.L'hydrogène vert est actuellement en plein essor en Espagne, qui cherche à s'affirmer comme un acteur clé de la transition énergétique en Europe. Ce gaz, produit en décomposant les molécules de l'eau à l'aide d'un courant électrique (dont l'origine peut être renouvelable ou non), ne libère en brûlant que de la vapeur d'eau, à la différence des carburants fossiles.Il peut être utilisé pour remplacer le charbon dans les industries ayant besoin de beaucoup de chaleur, comme la sidérurgie, et est perçu comme une solution d'avenir pour faire marcher les bus, les trains et même les avions.
Il y a 2 ans et 204 jours

Le salon BePOSITIVE de retour en mars 2023

A l’heure du défi climatique et de la crise énergétique, les filières de l’énergie et du bâtiment vivent une révolution. Plus que jamais, la sobriété énergétique, les énergies renouvelables, le numérique, et l’innovation sont au cœur de la trajectoire à suivre pour une gestion optimisée et responsable de l’énergie. C’est pour accompagner cette démarche que le salon BePOSITIVE aura lieu du 21 au 23 mars 2023 à Eurexpo Lyon. Cette édition abordera également 3 thématiques phares qui sont au cœur de l’actualité des filières : l’emploi et la formation, la digitalisation de l’énergie et la construction durable. Durant 3 jours, tous les acteurs engagés pour la transition énergétique sont attendus pour échanger et découvrir les dernières innovations du marché ! BePOSITIVE rassemble l’ensemble des acteurs de la transition énergétique tels que les prescripteurs, les artisans et installateurs, les distributeurs, les négociants ou encore les collectivités publiques.   Photo : Alexandre Moulard   Le salon s’adresse à eux à travers 4 secteurs d’exposition : Nouveaux systèmes énergétiques : solaire photovoltaïque, stockage et mobilité durable seront ainsi présentés sur le salon. Solutions constructives pour un bâtiment plus durable et performant : menuiseries et fermetures, matériaux biosourcés… Energie dans le bâtiment : génie climatique, confort thermique, traitement de l’air et de l’eau… Bois énergie – Flam’expo, sur lequel seront installés jusqu’à 70 appareils en fonctionnement, pour le plus grand bonheur des visiteurs qui en avaient été privés lors de la dernière édition. « Le contexte actuel, et finalement celui que nous connaissons depuis quelques années, nous confirme que, pour avancer ensemble et dans le bon sens, il est nécessaire de réunir les filières concernées par la transition énergétique ». Florence Rousson Mompo, Directrice de la division GreenTech+ Photo : Alexandre Moulard     Cette édition 2023 sera aussi marquée d’animations et de temps forts qui rythmeront durant les 3 journées de salon : [NEW] Le Campus emploi-formation, pour mettre en relation les professionnels en recherche de savoir-faire et de montée en compétences. Les BePOSITIVE Awards mettront en lumière les dernières innovations et valoriseront les nouveautés et les évolutions technologiques des filières énergie et bâtiment. Un espace conférences, pour assister à des prises de parole d’experts, des retours d’expérience et tables rondes afin d’éclairer l’analyse des participants et nourrir les projets dans la durée. [NEW] Un forum exposants, un espace dédié aux prises de parole des exposants pour présenter leur entreprise, leurs produits et services, leurs innovations, ou encore leur démarche RSE. [NEW] 3 ateliers sur les thèmes de la « construction durable », la « digitalisation de l’énergie » et le « bois énergie & génie climatique » seront également proposés aux participants, qui pourront ainsi échanger autour de retours d’expérience et de cas concrets.   Pour plus d’information, rendez-vous sur bepositive-events.com/fr   Cet article Le salon BePOSITIVE de retour en mars 2023 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 204 jours

Le classement énergétique des stations de ski françaises : une avalanche de passoires énergétiques sous la menace de l’interdiction de louer

Les résultats sont éloquents : avec en moyenne près de 50% de logements considérés comme des passoires énergétiques, contre 16,9% en moyenne nationale - et jusqu’à 90% dans certaines d’entre elles - la plupart des stations de ski vont être touchées de plein fouet par l’interdiction de louer dès 2023 mais surtout en 2028. Etat des lieux de la situation. Jusqu’à 90% de logements F ou G dans certaines stations de ski ! Au moment où la saison hivernale va commencer, Heero, fintech spécialisée dans l’accompagnement à la rénovation énergétique et l’analyse des données du territoire a étudié la performance énergétique des logements dans 70 stations de skis, aussi bien des Alpes, du Massif central, des Vosges, du Jura et des Pyrénées (classement intégral en pièce jointe). Le constat est alarmant. Alors qu’en France, 16,9% des logements sont considérés comme des passoires énergétiques, les stations de ski étudiées comptent en moyenne 50% de logements avec un diagnostic de performance énergétique F ou G ! Et dans 30 stations sur 70, plus de la moitié des logements sont des passoires énergétiques, avec des écarts élevés selon les massifs et les stations : la part des logements énergivores va ainsi de 15% à Bellefontaine dans le Jura, station la plus économe du classement, à 90% de logements considérés comme des passoires énergétiques à Isola 2000, pourtant dans les Alpes du Sud!Pour Romain Villain, directeur général de heero : « Les stations de ski les plus énergivores, celles qui comptent plus de la moitié de passoires énergétiques au sein de leur parc de logements, se situent majoritairement dans les Pyrénées et les Alpes, alors qu’au contraire celles qui ont la plus faible part de logements F ou G, inférieure à un tiers du parc, se trouvent plutôt dans les Vosges, le Jura et le Massif central. Plusieurs facteurs sont en cause : l’altitude, la zone géographique, l’âge de construction des bâtiments, avec un impact écologique et économique à prévoir dans les années à venir très différent selon les stations et les massifs. »D’importants écarts liés à différents facteurs climatiques, architecturaux…Les stations de skis françaises, tant dans les Alpes que les Pyrénées ont commencé à émerger dès les années 20, notamment la station de Megève dans les Alpes ou Barèges et la Mongie dans les Pyrénées, puis dans les années 45.Courchevel 1850 est la 1ère station d’altitude construite sur un site vierge en 1946. La grande phase de développement des stations de ski s’est ensuite effectué dans les années 60-70 avec le plan Neige et la construction de stations toujours plus hautes en altitude - comme la Plagne, les Menuires, les Arcs - composées majoritairement d’appartements dans des résidences construites rapidement, avant la 1ère règlementation thermique, soumises à des températures plus rudes, avec une isolation parfois insuffisante et des systèmes de chauffage pas toujours performants. Ce n’est en effet qu’à partir de 1974 que la 1ère règlementation thermique fixe l’objectif de réduire de 25% la consommation énergétique des bâtiments neufs en limitant les déperditions de chaleur, avec notamment l’imposition de la mise en place d'une fine couche d'isolation thermique et l'installation de thermostat de chauffages.Pour Romain Villain : « L’histoire des stations de sports d’hiver françaises s’est faite en plusieurs étapes. D’abord nées à partir d’un village existant, les stations de ski se sont progressivement industrialisées pour s’implanter sur des sites vierges à la fois pour être au plus près du domaine skiable mais aussi pour pouvoir construire plus de bâtiments, avec une problématique davantage pratique et esthétique qu’énergétique à cette époque-là. Aujourd’hui beaucoup de stations construites dans les années 70 se retrouvent donc confrontées à la nécessité d’entretenir, voire de rénover massivement, leur parc de logements devenu vieillissant sous peine de ne plus pouvoir le louer. »C'est à partir des années 80 qu'on commence à construire des stations plus basses, mieux intégrées dans le paysage avec des chalets divisés en appartement, souvent de meilleure qualité, et peu énergivores comparés aux stations de skis des années 70.Mais au-delà des époques de construction et d'urbanisation des massifs, les écarts selon les massifs sont probablement liés aux altitudes. Le Jura, les Vosges et le Massif Central sont globalement moins soumis à des conditions extrêmes - à la fois en termes de climat actuellement utilisé dans le DPE mais aussi au moment de la construction, qui est ainsi plus facilitée que dans les Hautes Pyrénées par exemple, avec potentiellement des coûts moins élevés et donc des constructions ou des matériaux de meilleure qualité. Les conditions et matériaux de constructions ont donc un fort impact au-delà de l’âge des stations.A noter : le mode de calcul du DPE peut également avoir un impact non négligeable sur les mauvaises performances énergétiques des stations de ski. En effet, le DPE mesure une consommation d’énergie par m2. Les studios et petits appartements, très répandus en montagne, sont donc plus fortement pénalisés que les grands appartements, car ils consomment proportionnellement plus d’énergie par rapport à leur surface, avec les mêmes équipements de chauffage par exemple.Bientôt moins de biens à louer dans les stations de sports d’hiver : une autre difficulté économique à laquelle elles vont devoir faire faceDès cette saison, certaines stations de ski pourraient être impactées par la Loi climat compte tenu de l’état de leur parc de logements. En effet, dès le 1er janvier 2023, les logements G avec un DPE indiquant une consommation supérieure à 450 kWh par m2 seront interdits à la location. A partir du 1er janvier 2025, tous les logements classés G seront concernés, puis à partir du 1er janvier 2028, les logements classés F seront sortis du parc locatif puis ceux classés E à partir du 1er janvier 2034.Pour Romain Villain : « A la base, la Loi Climat ne concernait que les locations longue durée, mais récemment le Ministre du Logement, Olivier Klein, a indiqué que les locations de vacances et meublés touristiques seront également concernés, ce qui va avoir un impact très négatif pour les stations de ski qui risquent de voir leur parc locatif diminuer en moyenne de moitié dès 2028, soit dans 5 ans seulement ! Car pour certaines d’entre elles, il sera matériellement impossible de rénover l’ensemble des logements concernés d’ici là… »Fort heureusement, d’ores et déjà certaines régions lancent des initiatives et aides pour améliorer la performance des stations. En Auvergne Rhône Alpes par exemple, Laurent Wauquiez, le président de la Région, a mis en place un nouveau plan pour la montagne de 100 millions d’euros, dont 10 millions d’euros consacrés pour la rénovation immobilière de loisirs et des centres de vacances notamment…Rénover son bien, un coût pour les propriétaires de résidences secondaires ou bailleurs, mais la possibilité d’obtenir des aides !Contrairement aux idées reçues selon lesquelles les aides sont souvent réservées aux acheteurs de résidence principale, il existe des dispositifs pour les résidences secondaires ou investissements mais ils sont bien sûr insuffisants, alors même que ceux-ci sont les plus contraints par la Loi Climat et sont en première ligne pour rénover les biens ces prochaines années.Le certificat d’économie d’énergie (CEE) : le logement doit avoir plus de 2 ans et les travaux doivent être réalisés par un artisan RGE. Le montant dépend des travaux réalisés et de la zone géographique. Exemple : jusqu’à 25 € d’aide par m² pour l’isolation des comblesMaPrimeRénov’ : le logement doit avoir plus de 15 ans et les travaux doivent être réalisés par un artisan RGE. Le dispositif est éligible pour jusqu’à 3 logements par propriétaire bailleur. Le montant est calculé selon les revenus et le gain écologique des travaux, avec des bonus possibles de 500 € à 1500 € si les travaux permettent de sortir du statut de passoire thermique. Sur la base de connaissance de plus de 150.000 travaux de rénovation énergétique, Heero estime à 450 € par m2 le budget moyen d’une rénovation énergétique pour gagner une ou deux classes de DPE. Quelques exemples de devis : Installation d’une VMC double flux : entre 4.000 € et 5.000 € Isolation des murs par l’intérieur : entre 60 et 120 € / m² Isolation des murs par l’extérieur : entre 80 et 120 € / m²Pour Romain Villain : « Il est certain qu’effectuer des travaux de rénovation a un coût, et que dans les stations de ski certains travaux peuvent être compliqués par l’altitude, par l’architecture existante ou par la taille des appartements souvent déjà réduites ne permettant pas forcément une isolation par l’intérieur. Certains travaux devront également être effectués au niveau des copropriétés notamment en ce qui concerne le système de chauffage, et pour cela, un audit énergétique des immeubles est un préalable indispensable. »
Il y a 2 ans et 204 jours

Energies renouvelables : une nouvelle loi pour plus d'éolien et de solaire, plus vite

Pour ce texte, déjà adopté après retouches en première lecture par le Sénat et en commission par les députés, le gouvernement espère surtout convaincre la gauche, étant donné les fortes réticences à droite.Des objectifs ambitieuxLa France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe.Mais à l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Mesures d'urgence, ou pérennesIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer les projets. Avec l'objectif "de diviser par deux le délai de déploiement", plaide la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.Accélérer les procéduresEn commission, les députés ont cependant infligé un revers au gouvernement en supprimant un article servant à limiter certains recours.Selon le texte initial, une "déclaration d'utilité publique" pouvait valoir reconnaissance "de la raison impérative d'intérêt public majeur" (RIIPM), nécessaire pour certains projets. Des députés écologistes, LR et RN avaient critiqué une menace pour la préservation de la biodiversité, par la limitation des recours.Le gouvernement compte réintroduire cet article.Approbation des mairesLe Sénat a adopté en séance un compromis construit avec le gouvernement, et qui remplace un droit de "veto" controversé sur tel ou tel projet, qui avait été voté en commission.Les communes pourront faire remonter - dans un dispositif de planification "ascendante" - les zones où accelérer les projets d'énergies renouvelables. Pour la phase d'application de ces zones "prioritaires" ou "propices", un avis conforme du maire sera requis.Mais ce compromis accepté par la droite sénatoriale ne convainc pas leurs homologues LR de l'Assemblée, déterminés à réintroduire un "droit de veto" pour les maires, pour les endroits en dehors de ces zones prioritaires.Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux sur des friches.Il vise l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2 avec ombrières photovoltaïques et végétalisation.Le texte entend définir plus clairement l'agrivoltaïsme, combinant exploitation agricole et production d'électricité.L'éolien prend la merLe projet de loi propose de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets de parcs éoliens en mer "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement.Le Sénat a évacué en séance la disposition adoptée en commission qui prévoyait de privilégier les zones d'implantation situées à une distance minimale de 40 km du rivage.Mais les députés LR vont défendre à nouveau "l'interdiction de construire des éoliennes en mer à moins de 40 kilomètres des côtes", a prévenu leur chef de file Olivier Marleix.RistournesLe projet de loi institue un régime de "partage territorial de la valeur des énergies renouvelables" afin d'en faciliter l'acceptabilité.Ce partage concernerait les "riverains" et les communes concernées, par des rabais sur les factures.
Il y a 2 ans et 204 jours

Structures de réciprocité climatique pour les collectivités

Alors qu’au Salon des Maires, on cherche la parade au choc climatique, la société à mission Sinallagma propose un moyen simple d’atténuer les îlots de chaleur : des structures ombrières dites "réciproques" en feuillus.
Il y a 2 ans et 204 jours

Grand Est : 28 logements passifs en Jackodur Atlas

C’est sur la commune de Bréviandes, en région Grand Est que quelque 18 logements passifs profitent de la performance Jackodur Atlas. [©ADS Architecture] C’est sur la commune de Bréviandes, en région Grand Est, qu’un projet de construction passive de 28 logements est en cours. Il se développe sur un terrain de 3 050 m2 prévoyant la réalisation de 3 bâtiments distincts, avec une emprise au sol de 2 x 280 m2 et de 265 m2. Les deux premiers compteront 10 logements individuels. Ils seront constitués à l’identique de 5 logements type 3 en duplex accolés. Le troisième bâtiment comprendra 8 logements collectifs de type 2 superposés. Des exigences élevées L’ensemble s’envisage dans une démarche environnementale forte avec la certification de ces habitations en construction passive. Le maître d’ouvrage (Troyes Aube Habitat) a choisi une structure à ossature bois et des isolants extérieurs issus de la filière bois. Il a prescrit le procédé Jackodur Altlas, qui offre une solution performante permettant de réaliser une isolation très efficace, sans ponts thermiques. Le procédé accorde aussi une rapidité et une simplicité de mise en œuvre. Les exigences de la certification sont les suivantes : des besoins de chauffage ≤ 15 KW/h/an/m, une infiltrométrie 0,6 h-1 à N50, un maintien du confort d’été. Mais aussi un contrôle de l’air intérieur et enfin, l’interdiction des fibres minérales dans les filtres. Lire aussi : Jackon Insulation dans le giron du groupe Bewi Une solution idéale pour l’architecte Pour l’architecte Sébastien Da Rosa, le système Jackodur Atlas a permis d’obtenir une isolation parfaite du radier béton. C’était une première pour lui. « Il est sans conteste très efficace, mais aussi simple à mettre en œuvre, ce qui n’est pas forcément le cas des autres techniques proposées sur le marché. C’est exactement ce que je recherchais et l’expérience a été concluante. L’absence de pont thermique est un atout incontestable pour atteindre les critères imposés par les constructions passives. Il faut aussi souligner l’accompagnement actif des équipes Jackon Insulation. La mise en place d’un système assurant le hors-gel de la construction a pu être élaborée très rapidement et simplement par l’encastrement vertical d’un écran thermique en XPS sur le pourtour du fond de forme. Le bureau technique de Jackon Insulation nous a immédiatement orientés vers cette solution technique qui devait avoir lieu avant la pose du système Jackodur Atlas. La décision a été à la fois rapide, pertinente et en parfaite conformité avec les hautes exigences de ce chantier. » Réalisée par l’entreprise Geciba Les équipes de l’entreprise Geciba se sont chargées du terrassement et de la mise en place des dalles Jackodur Atlas. Pour Bernard Lebreton, gérant de Geciba, contrairement à l’architecte, ce n’était pas une première. Il connaît le procédé et apprécie en particulier sa facilité et rapidité de pose. Tout est préparé sur mesure en usine pour être livré prêt à poser selon un plan qui indique l’emplacement précis des éléments. L’ancrage supplémentaire pour le hors-gel n’a pas non plus posé de problème. « En plus de la facilité et de la rapidité de mise en œuvre, il faut insister sur l’absence de pénibilité du travail en raison de la légèreté des éléments, ainsi que sur la propreté du chantier permise avec le procédé Jackodur Atlas. » Une mise en œuvre sans aucun problème La pose du système s’effectue sur une chape en béton maigre de 3 à 4 cm. Les blocs de coffrage sont emboîtés au fur et à mesure dans les éléments latéraux spécifiques. Et les éléments de surface se posent aisément grâce aux feuillures alternées. Quant à la mise en œuvre et le repérage des éléments à l’avancement du chantier, ils sont définis par un plan de pose et de colisage précis. Les réservations à travers les panneaux sont, elles, réalisées avec une scie-sabre. La mousse de fixation Jackodur permet ainsi de verrouiller thermiquement et efficacement les sorties VRD. La pose a été effectuée en 1 journée et demie. Un film polyéthylène est mis en place par pose flottante et en recouvrement de 150 mm minimum. Les bâtiments passifs seront équipés par la suite de ballons de production d’eau chaude sanitaire avec panneaux solaires. Ceci, en corrélation avec la démarche environnementale souhaitée. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 204 jours

Isonat société du groupe Saint Gobain, double sa capacité de production d’isolants en fibre de bois d’ici fin 2023

Isonat, expert français de l’isolation en fibre de bois, dévoile un important programme d’investissement pour développer la production de ses isolants biosourcés. Piliers stratégiques du plan de relance, les travaux de rénovation thermique permettent de lutter efficacement contre la précarité énergétique dans un contexte d’augmentation des vulnérabilités, d’agir contre le réchauffement climatique, et d’offrir un […]
Il y a 2 ans et 204 jours

Isover présente Isocoton, un nouvel isolant biosourcé en textiles recyclés

Au delà de son savoir-faire historique sur la laine de verre et la laine de roche, ISOVER est une marque pionnière sur le marché des isolants biosourcés. Depuis le lancement de ses premières gammes, il y a près de 20 ans, la marque œuvre à la professionnalisation de ce segment de marché en proposant à ses clients la garantie de produits et de systèmes performants, certifiés et au cycle de vie plus vertueux.L’urgence climatique encourage aujourd’hui l’économie circulaire et une meilleure isolation des bâtiments pour plus de confort et moins d’émissions de CO2. ISOVER, acteur français de l’Isolation, développe et commercialise depuis de longues années des isolants issus de matières premières recyclées ou de chutes de production d’autres industries. Ainsi, ses laines de verre contiennent jusqu’à 80% de verre recyclé et ses isolants en fibre de bois sont issus de chutes de scieries approvisionnées en local.Il est donc aujourd’hui naturel pour ISOVER de présenter Isocoton, un isolant biosourcé performant, issu de textiles recyclés en local, ultra doux au toucher, confortable à poser et 100% made in France.Un lancement qui complète la large gamme d’isolants ISOVER et apporte une nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure des bâtiments.De nombreux bénéfices pour l’homme et pour l’environnementIsocoton est un matériau répondant aux enjeux de l'économie circulaire et aux grandes tendances de la consommation responsable. Il s’agit d’une nouvelle alternative aux autres matériaux isolants commercialisés par ISOVER (laine de verre, laine de roche, fibre de bois, XPS, PSE). Isocoton vient renforcer la stratégie de développement de solutions d’isolation multi-matériaux, chacun de ces matériaux répondant à des enjeux et problématiques spécifiques de ses clients et usagers.Isocoton, comme les textiles que nous portons, a pour but de protéger durablement la maison contre le froid et le chaud. Un choix de bon sens pour améliorer le confort des ménages français.Confort et bien-être toute l’année, été comme hiverIsocoton apporte, via ses propriétés thermiques, un grand confort aux occupants des bâtiments toute l'année. En été comme en hiver. En plus d’être une bonne isolation contre le froid, Isocoton permet de lutter contre la chaleur en été et de conserver la fraîcheur nocturne durant les canicules. Son étiquetage sanitaire (A+), contribue activement à conserver la qualité de l’air de l’habitat.Les performances thermiques d’Isocoton atteignent un pouvoir isolant (lambda λ) de 37 mW/m.K, qui le positionne parmi les isolants biosourcés les plus performants du marché.Hautes performances certifiéesIsocoton est sous certification ACERMI (Association pour la Certification des matériaux isolants, n° ACERMI 21/018/1558).Il est le seul à se décliner en 5 épaisseurs de 40 mm / 100 mm / 120 mm / 140 mm / 200 mm pour répondre efficacement à tous les besoins et toutes les applications en isolation intérieure : cloisons, murs, combles perdus ou aménagés, plafonds.Côté phonique, Isocoton réduit la propagation du bruit grâce à sa texture fibreuse qui en fait un excellent isolant acoustique. Ses performances sont équivalentes à celles de la laine de verre Par Phonic ou celles des isolants flexibles Isonat en fibres de bois, notamment pour les cloisons distributives (RA = 38 dB pour une cloison 72/48 avec une plaque BA 13 et de l’Isocoton 40 mm).Isocoton bénéficie d’une réaction au feu sous ACERMI ainsi que des extensions feu avec l’ensemble des systèmes de plaques de plâtre Placo®, en cloisons, contre-cloisons et plafonds, assurant pour les logements collectifs et les Établissements Recevant du Public, la sérénité et la sécurité des occupants.Un produit biosourcé et issu du recyclage pour une gestion optimisée des ressourcesIsocoton permet la revalorisation de vêtements destinés au rebut et de chutes de tissu de l’industrie textile. En transformant cette matière en isolant, ISOVER participe à valoriser une matière première disponible en très grande quantité, en un produit à haute valeur ajoutée pour l’efficacité thermique des bâtiments et le confort des occupants.Cette solution d’isolation biosourcée s’inscrit en droite ligne avec les exigences de la RE 2020.Parallèlement, cette transformation par voie sèche 100% réalisée en France réduit l’impact de sa production sur l’environnement en limitant fortement sa consommation en eau.Confort de pose inégaléUne douceur extrêmeBénéfice majeur pour le poseur, Isocoton est un produit doux et moelleux, agréable à poser.Un poids plumeIsocoton, par sa légèreté, offre plus de confort aux poseurs tant dans sa pose que lors de la manutention sur les chantiers.Une mise en œuvre aiséeLégers, souples et semi-rigides (à partir de 100 mm), les panneaux se glissent facilement dans les espaces difficiles d’accès, entre chevrons notamment ou derrière les fourrures, permettant un calfeutrage optimal. Ils reprennent également leur forme grâce à leur haute conformabilité et épousent ainsi parfaitement la structure y compris sur les supports irréguliers.Isocoton est compatible avec les systèmes Optima (en murs) et les membranes Vario® Confort d’ISOVER.Enfin, la mise en œuvre des panneaux Isocoton est sous avis techniques, pour une pose sereine et assurable :DTA n° 20/19-439_V2_E1 pour l’application murs et cloisonsDTA n° 20/19-440_V2_E1 pour l’application comblesIsocoton s’associe à Placo® pour proposer des systèmes de cloisons, contre-cloisons et plafondsA l’écoute des évolutions et des besoins, ISOVER propose également une solution Isocoton avec Placo®, leader français du confort intérieur, mutualisant ainsi leurs expertises.Disposant de plus de 30 PV et extensions feu et acoustique pour valider un très grand nombre de configurations, ces systèmes répondent à la demande croissante du biosourcé en cloisons et contre-cloisons en murs maçonnés dans les Établissements Recevant du Public tels que les lieux de santé, d’enseignement, ou encore dans les logements collectifs.Ces systèmes allient les performances et bénéfices d’Isocoton aux qualités techniques multiples de la large gamme de plaques de plâtre Placo®.Plus de 30 PV et extensions validésCes solutions permettent d’atteindre des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons, et EI45 à EI120 en contre-cloisons.Côté confort acoustique, elles offrent les avantages de l’isolant cumulés à celui de la plaque, procurant ainsi un important confort phonique.Isocoton est compatible avec les aides financièresAfin d’améliorer l’isolation des logements, de diminuer les factures de chauffage et de permettre d’éviter des émissions de CO₂, des aides financières existent en rénovation.Isocoton est éligible aux aides à la rénovation selon les épaisseurs et les applications.Cela concerne entre autres MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ), les CEE ou encore la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 205 jours

TotalEnergies se sépare d'un champ pétrolier au Kazakhstan et signe un projet éolien dans ce pays

La vente de la filiale Total E&P Dunga GmbH à une société kazakhe, Oriental Sunrise Corp Ltd, a été signée le 28 novembre, à la veille de la visite à Paris du président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev, reçu à l'Elysée par le président français Emmanuel Macron.La participation à hauteur de 60% de TotalEnergies au champ pétrolier de Dunga, situé à terre dans la région de Mangystau, représente une quote-part de production d'environ 7.400 barils équivalent pétrole par jour en 2022, a indiqué TotalEnergies dans un communiqué.Le champ pétrolier était exploité par Total aux côtés d'autres partenaires et faisait l'objet d'un accord de partage de production signé en 1994 avec le gouvernement de cette ancienne république soviétique.Par ailleurs, TotalEnergies a annoncé avoir conclu un accord avec deux partenaires, Samruk-Kazyna et KazMunayGas, "en vue du développement du projet Mirny, le plus grand projet éolien jamais initié au Kazakhstan", selon le groupe français."Ses 200 éoliennes, totalisant 1GW de capacité installée, seront combinées à un système de stockage par batterie de 600 MWh. Le projet fournira à plus d'un million de personnes au Kazakhstan une électricité bas carbone", ajoute-t-il."Ces accords illustrent la stratégie de transition énergétique de TotalEnergies", a souligné le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné, cité dans le communiqué.TotalEnergies dispose déjà de deux centrales solaires en opération au Kazakhstan représentant une capacité de 128 MW, rappelle le communiqué.Le Kazakhstan dont le président Toakïev, 69 ans, au pouvoir depuis 2019, vient d'être réélu dimanche sans véritable concurrence quelques mois après la brutale répression d'émeutes contre la vie chère en janvier 2022, est au carrefour d'importantes routes commerciales et riche en ressources naturelles.
Il y a 2 ans et 205 jours

Le Pavillon Solaire à la Dutch Design Week : de la technologie à la conception solaire

Ce pavillon, réalisé lors de la Dutch Design Week, en octobre 2022, est une ode à la technologie solaire, mis en lumière par Marjan van Aubel Studio et V8 Architectes. Le thème central de la Dutch Design Week cette année est « Get Set » pour indiquer un changement de mentalité : nous nous préparons, il est temps d’agir, et nous devons le faire ensemble. […]
Il y a 2 ans et 206 jours

Au Maghreb, des centaines de jours de soleil, mais un gros retard à rattraper dans l'exploitation de cette énergie

Face à un développement poussif des énergies renouvelables, la flambée des prix des hydrocarbures qui a suivi l'invasion russe de l'Ukraine a provoqué une prise de conscience, selon les experts."La pression extrême sur le gaz naturel, en particulier en Europe, a changé la logique pour ce type d'investissements", souligne auprès de l'AFP le professeur Michael Tanchum, un expert en énergie.Or, "l'Algérie, la Tunisie et le Maroc disposent d'abondantes ressources en énergies solaire et éolienne", rappelle-t-il.Omar Bey, un dirigeant de Qair, un producteur d'énergie renouvelable fondé en France, espère que son prototype de centrale flottante de 200 KW, la première de la zone Moyen-Orient et Afrique du nord, stimulera des projets plus ambitieux.La Tunisie, aux ressources en hydrocarbures très limitées, "n'a pas d'autre choix que miser sur les renouvelables", souligne-t-il.L'avantage d'une centrale flottante est de permettre un refroidissement naturel des panneaux, qui les rend plus efficaces, tout en réduisant l'évaporation et cela, sans accaparer de terres cultivables ou constructibles, explique-t-il.Ensoleillée des milliers d'heures par an, la Tunisie a le potentiel de produire pour ses propres besoins et d'exporter vers l'Europe située à quelques centaines de kilomètres.Mais aujourd'hui, seuls 2,8% de son électricité sont tirés des renouvelables, contre un objectif de 35% d'ici à 2030."Paralysie politique"Le professeur Tanchum, chercheur non résident au Middle East Institute, explique ce retard par une "paralysie politique", avec une dizaine de gouvernements qui se sont succédé depuis la révolution qui a renversé le dictateur Ben Ali en 2011.Le pays est en outre très endetté ce qui mine le financement de grands programmes.Sans compter les obstacles juridiques et administratifs : les panneaux importés "restent parfois bloqués pendant un mois, un mois et demi à la douane. Il faut des lois plus flexibles, tout le processus doit être accéléré", plaide Ali Kanzari, président de l'Union des entreprises solaires.M. Bey évoque pour sa part des "malentendus" avec des syndicalistes qui, redoutant une privatisation du groupe public Steg, ont retardé le raccordement de centrales photovoltaïques.Une centrale de 10 MW, construite il y a plus de deux ans à Tataouine (sud) pour alimenter 10.000 foyers, a ainsi été mise en route en octobre seulement."Aujourd'hui, tous ces problèmes sont derrière nous", assure M. Bey.Pour l'heure, toutefois, "seul le Maroc a émergé comme un leader" dans la région, pointe M. Tanchum. Le Royaume qui a décidé en 2009 d'investir massivement dans les renouvelables pour les hisser à 52% de son mix énergétique d'ici à 2030, produit déjà un cinquième de son électricité à partir de cette ressource. Au total, 111 projets sont "terminés ou en cours de développement", selon le ministère de l'Energie.L'un des programmes phare est "X-links" combinant solaire et éolien, capable de générer plus de 10 gigawatts et de les expédier en Grande-Bretagne grâce à 3.800 kilomètres de câbles sous-marins, pour y alimenter 7 millions de foyers en 2030.La Tunisie s'est lancée dans un projet plus modeste : en octobre, elle a déposé une demande d'aide européenne pour un câble de 200 kilomètres la reliant à l'Italie, un projet de 800 millions d'euros, à horizon 2027."Si le câble était déjà en place, avec 4 ou 5 gigawatts provenant de centrales solaires dans le désert, on vendrait de l'électricité à l'Europe et on engrangerait déjà d'importants revenus", regrette M. Kanzari.L'Algérie voisine, consciente d'un possible épuisement de ses ressources, s'est fixé, elle aussi, l'ambitieux objectif d'installer 15.000 MW d'énergie solaire d'ici à 2035, dont un méga-projet de 1 GW (Solar 1000) qui entrera en service fin 2023 ou début 2024.Pour le moment, le pays n'en est qu'aux balbutiements avec 3% de son électricité provenant du solaire.Malgré des assouplissements législatifs, "des obstacles persistent pour les investissements étrangers, dont la fameuse bureaucratie algérienne", souligne Intissar Fakir, analyste au Middle East Institute.En outre, note-t-elle, même si les exportations de gaz génèrent des milliards de dollars, Alger va devoir les "injecter dans la modernisation d'infrastructures vieillissantes dans les hydrocarbures plutôt que dans les renouvelables".
Il y a 2 ans et 207 jours

EDF condamné définitivement pour la mort de faucons protégés dans l'un de ses parcs d'éoliennes

La justice, saisie par l'association France Nature Environnement (FNE), a constaté que "vingt-huit faucons crécerellettes (...) avaient été tués entre 2011 et 2016 par collision avec les éoliennes des parcs du Causse d'Aumelas" et que "cette destruction perdurait malgré la mise en place" en 2014 d'un système électronique d'effarouchement.Or, en vertu d'une directive européenne, toute destruction de ces espèces protégées est illégale, sauf stricte dérogation préfectorale. Une telle dérogation aurait autorisé la survenue d'un nombres restreints d'accidents mortels, mais EDF Energies nouvelles (devenue EDF Renouvelables France) et les entreprises exploitantes du parc ne l'avaient pas sollicitée, avait constaté la cour d'appel de Versailles dans son jugement rendu en 2021.En conséquence, la cour avait reconnu "l'imprudence" des exploitants, condamnés à verser 3.500 euros de dommages et intérêts à la FNE.Contestant le droit de l'ONG d'agir en justice dans ce dossier, EDF avait attaqué la décision devant la Cour de cassation. Celle-ci a rejeté ce pourvoi mercredi, rendant la condamnation définitive."A travers cette importante jurisprudence, c'est toute la doctrine construite par la filière éolienne et le ministère de l'Environnement concernant les destructions d'espèces protégées par les éoliennes qui est remise en cause", s'est félicité la FNE dans un communiqué jeudi."Une infrastructure de production d'énergie renouvelable ne peut pas se prétendre écologique si elle ne respecte pas le droit de l'environnement", ajoute l'association, très impliquée dans le débat parlementaire sur les énergies renouvelables.Avec plusieurs des principales associations environnementales, la FNE critique vivement le projet de loi du gouvernement en cours d'examen à l'Assemblée nationale.Le texte vise à rattraper le retard de la France sur ses engagements de développement des renouvelables, notamment en limitant les recours contre les projets éoliens et solaires. Mais les ONG craignent de voir la biodiversité sacrifiée au profit d'objectifs climatiques."Certains parcs ont été construits au mauvais endroit, de telles erreurs doivent pouvoir être corrigées", a déclaré Simon Popy, président de FNE Languedoc-Roussillon. L'association demande "l'arrêt des éoliennes d'Aumelas pendant la période de présence des faucons crécerellettes" et que le Causse d'Aumelas soit sorti des +zones favorables à l'éolien+ dans la nouvelle planification régionale en cours d'élaboration".
Il y a 2 ans et 207 jours

La CAPEB adresse 26 propositions à Elisabeth Borne pour une contribution active des artisans à la rénovation énergétique des bâtiments

Hausse des prix des matériaux, difficultés d'approvisionnement, répercussions de la hausse des coûts de l'énergie : les entreprises artisanales du bâtiment subissent, depuis 2021, des conditions impactant leur trésorerie et leur marge. Pourtant, « elles ont su, jusqu’à présent, grâce à leur compétence et leur capacité d'adaptation, s’organiser pour répondre à la demande de leurs clients, maîtriser la gestion de leurs chantiers et embaucher sur tout le territoire » selon la lettre ouverte de la CAPEB.Cette situation pourrait néanmoins être améliorée et les entreprises artisanales pourraient optimiser leur capacité à rénover des bâtiments avec une levée de certains freins et des actions du gouvernement.La CAPEB demande notamment :Une simplification de la qualification RGE pour augmenter le nombre d'entreprises qualifiées.La sécurisation du mandataire commun des groupements momentanés d'entreprises (GME) pour développer le recours à la cotraitance des TPE. Cela aurait pour effet d'augmenter leurs moyens pour effectuer des rénovations de bâtiment.Une optimisation du pilotage du dispositif MaPrimeRénov’ couplée une plus grande implication de l'industrie bancaire dans financement des travaux de rénovation permettrait une démultiplication significative du marché de travaux et ainsi au renforcement de l'efficacité des mesures gouvernementales dès 2023, au bénéfice d’une majorité de ménages et d’entreprises du bâtiment.Veiller à ce que les dispositions en matière de CEE ou de qualification RGE ne pénalisent pas les TPE. Cette égalité de traitement, ce qui permettrait de libérer le potentiel de 500.000 entreprises de moins de 10 salariés.Vous pouvez retrouver l'intégralité de la lettre ouverte ainsi que les 26 propositions de la CAPEB en cliquant ici.
Il y a 2 ans et 207 jours

pac on peut tripler le rythme de deploiement selon equilibre des energies

L’association Équilibre des Énergies tenait ce vendredi une conférence de presse, portant sur son plan et ses 24 propositions pour accélérer le déploiement des pompes à chaleur (PAC) en France, afin de parvenir à 10 millions de PAC d’ici 2030, et au double d’ici 2050.
Il y a 2 ans et 207 jours

chauffe eau solaire un investissement economique

Obtenez un guide complet sur la façon d'économiser de l'argent avec un chauffe-eau solaire. Découvrez les différents types de chauffe-eaux solaires, et comment ils peuvent vous faire économiser de l'argent sur votre facture d'énergie.
Il y a 2 ans et 207 jours

Renouvelables : très forte progression de la production de biométhane en un an

ANALYSE. Les statistiques du ministère de la Transition énergétique arrêtées au 30 septembre 2022 montrent une envolée de la capacité de production des installations injectant du biométhane, dont le nombre est lui aussi en augmentation. Le biométhane reste le principal gaz renouvelable fabriqué en France mais les projets de nouveaux sites tendent à diminuer.
Il y a 2 ans et 207 jours

Résultats du Baromètre Enedis CSA 2022 : "Les Français, les maires et la sobriété énergétique dans leur commune"

Une enquête menée par l’institut CSA Research pour Enedis révèle ainsi qu’une large majorité de citoyens et d’élus locaux sont aujourd’hui favorables à des mesures de sobriété énergétique sur leur commune pour faire face à la flambée des prix de l’énergie. La sobriété énergétique est la grande priorité des maires Premier enseignement de l’enquête « Les Français, les maires et la sobriété énergétique dans leur commune » : la sobriété énergétique est considérée comme LA grande préoccupation des élus pour leur commune (sauf en Ile-de-France où le sujet des transports publics continue à prévaloir), elle est vue comme la 4ème priorité pour les Français. 89% des maires interrogés considèrent que la mise en place de mesures de sobriété énergétique dans leur commune est un objectif important.88% des Français interrogés estiment que la sobriété énergétique devrait aujourd’hui constituer un objectif important pour leur maire. Les Français et les élus sont unanimes pour éteindre les lumières Pour baisser la consommation énergétique, la diminution de l’éclairage nocturne fait consensus. 72% des Français interrogés approuvent l’extinction de l’éclairage public après 22h.68% des maires interrogés déclarent avoir déjà mis en œuvre cette mesure.Les zones rurales et les petites villes sont à la pointe du mouvement. Dans les communes de moins de 10.000 habitants, l’extinction de l’éclairage public après 22h figure au premier rang des mesures mises en place par ces mairies pour réduire leur consommation d’énergie. Selon l’ADEME [1], 37% des dépenses d’électricité des collectivités locales reposent sur l’éclairage public. Les Français attendent néanmoins d’autres mesures complémentaires de leurs élus notamment concernant l’extinction des panneaux municipaux (86%) ou des vitrines des commerces (85%).A l’approche des fêtes de fin d’année, le Baromètre Enedis-CSA révèle que seuls 43% des Français sont prêts à renoncer aux illuminations de Noël dans leur commune. Agir sur le chauffage, une urgence pour les Français La question du chauffage est centrale à l’approche de l’hiver. Une large majorité de ménages (86%) souhaitent par ailleurs que leur mairie mette en place des mesures en faveur de la rénovation des logements énergivores. 33% des Français interrogés déclarent avoir le sentiment de vivre dans une passoire thermique. 28% des maires ont déjà lancé ce type d’initiatives. Dans les villes de plus de 30.000 habitants, la rénovation thermique des logements arrive au 2ème rang des priorités exprimées par les habitants, juste après la diminution du chauffage dans les bâtiments publics. La baisse du chauffage dans les bâtiments publics (gymnases, locaux administratifs…) fait quant à elle largement consensus. 72% des Français sont favorables à cette mesure pour soutenir la sobriété énergétique. 47% des maires ont déjà mis en place de telles actions. En revanche, moins d’un Français sur trois soutient la fermeture d’installations sportives ou de lieux culturels pour répondre aux enjeux de sobriété.L’enjeu des factures d’électricité et de gaz est surtout sensible dans les communes de 10.000 à 30.000 habitants où plus d’un maire sur deux (57%) y voit sa principale préoccupation, ainsi que dans les villes plus petites de 2.000 à 10.000 habitants (49%) et dans les communes du Nord-Ouest (56%) de la France. Pour les maires, un besoin d’accompagnement et d’outils pratiques Éteindre l’éclairage public dans une rue plutôt qu’une autre, réduire le chauffage dans la salle des fêtes ou le gymnase ? Comment s’assurer que les choix sont les bons ? Si 71% des maires ont mesuré les effets de l’extinction de l’éclairage public après 22 heures, 60% d’entre eux sont en demande d’outils pour mieux diagnostiquer et définir les actions de sobriété énergétique à mettre en place, cette proportion atteignant 76% dans les villes de 2000 à 10.000 habitants.Deux maires sur trois (67%) sont demandeurs d’outils de pilotage adaptés pour mesurer les impacts de leurs actions et optimiser leurs consommations d’électricité.La perception des Français des mesures déjà prises par les élus vs les mesures à prendre pour favoriser la sobriété énergétiqueA propos de la méthodologie du baromètre CSA pour Enedis :Ce baromètre qualitatif et quantitatif a été réalisé auprès de trois échantillons représentatifs :Par téléphone du 27 septembre au 19 octobre 2022 auprès de 500 maires ou adjoints au maire en charge de l’énergie, dont 263 maires de communes de moins de 2.000 habitants, 165 maires de communes de 2.000 à 10.000 habitants, 43 maires de communes de 10.000 à 30.000 habitants et 29 maires de communes de plus de 30.000 habitants.En ligne sur panel du 27 au 29 septembre 2022 auprès de 1.012 Français, âgés de 18 ans et plus (méthode représentative des quotas).10 entretiens individuels réalisés par téléphone auprès de maires de communes de France d’une durée de 45 minutes. Entretiens réalisés entre le 18 et le 26 octobre 2022.[1] Source : https://expertises.ademe.fr/collectivites-secteur-public/patrimoine-communes-comment-passer-a-laction/eclairage-public-gisement-deconomies-denergie
Il y a 2 ans et 207 jours

Équilibre des Énergies veut équiper 10 millions de logements en pompe à chaleur

D’ici 2030, l’association espère que la pompe à chaleur soit déployée dans 10 millions de logements Elle appelle à des investissements...-Artisans
Il y a 2 ans et 208 jours

Rockwool dévoile son nouveau positionnement de marque « By Nature », inspiré des performances naturelles de la laine de roche

A l’occasion du lancement de la campagne, qui intervient au moment de la COP27, l’ensemble du concept « By Nature » est poétiquement résumé dans un court métrage réalisé par le cinéaste primé, Martin Aamund.Les 6 performances naturelles de la laine de rocheLa nouvelle signature de marque "By Nature" (« par nature » /NDLR), constitue la clé de voute du positionnement de ROCKWOOL. Cette expression a été développée afin révéler les performances intrinsèques à la matière première de la laine de roche : le basalte. En tant que matériau principal de tous les produits ROCKWOOL, la laine de roche est circulaire, respirante, résistante à l'humidité, insonorisante, durable et résiliente au feu. Ce sont ces performances intrinsèques qui contribuent à créer des environnements bâtis sains pour les personnes et la planète - "par nature".Afin d’illustrer ce concept, ROCKWOOL a confié au cinéaste primé Martin Aamund la réalisation d’un film. Tournée à l'envers, ce court métrage retrace le parcours d'une femme, dont chaque étape de sa vie est une manière de souligner avec émotion l’importance d’un habitat sain et sur pour ses occupants.Un intérieur qui compteLe film débute sur son accouchement, puis remonte le fil de sa vie pour clore sur une image d’elle enfant, courant vers son père qui inscrit sa taille sur un cadre de porte. Le message hautement humain qui résume cette position stratégique pour ROCKWOOL est "Ce qui est à l'intérieur compte" : Alors que les discussion à la COP 27 battent leur plein, le message sous-jacent est que, en tant que choix naturel d'isolation, la laine de roche ROCKWOOL est également un choix responsable - pour l'environnement, la sécurité incendie, la santé et le bien-être.Une protection invisibleA travers cette campagne la marque souhaite mettre en évidence les fonctions essentielles de l'isolation en laine de roche dans les bâtiments qui nous entourent. Bien qu’invisible, l’isolation protège. S’adressant aux propriétaires de maisons et de bâtiments, aux architectes, aux prescripteurs et autres professionnels du bâtiment, en proposant des produits qui respecte l’humain et la planète, le groupe invite l’ensemble des parties prenantes à faire des choix responsables en termes de matériaux.Enfin, à l’heure où la transition énergétique des bâtiments est plus que jamais un enjeu pour lutter contre les changements climatique, la campagne vient sensibiliser le grand public à l’importance d’une bonne isolation pour réduire sa consommation d’énergie.Pour Mirella Vitale, Directrice Marketing, Groupe ROCKWOOL : "Les bâtiments sont la plus grande source d'émissions au monde. Les choix que nous faisons lors de leur conception et de leur spécification doivent donc être faits de manière responsable - pour le climat, pour notre santé et notre bien-être collectifs. Pour ROCKWOOL, cela signifie innover en proposant des produits qui réduisent les émissions et les déchets, et qui contribuent à la création d'espaces plus sains et plus responsables. Pour les professionnels du bâtiment - les architectes de nos maisons, écoles, hôpitaux, bureaux et établissements de soins - cela signifie faire des choix intelligents et conscients en matière de matériaux, de traitements et de finitions. C'est pour les aider à faire ces choix que nous avons adopté le positionnement "By Nature".Une campagne d’envergure internationaleLa nouvelle campagne de positionnement de la marque ROCKWOOL "By Nature" a été lancé au siège de la marque le 8 novembre 2022 sous la forme d'un film d'une minute et demie et de ressources numériques. La campagne est lancée en Italie, en France, en Espagne, au Danemark, au Royaume-Uni et aux États-Unis. D'autres marchés suivront au début de 2023.
Il y a 2 ans et 208 jours

L’activité des matériaux continue de s’effriter

D’après l’Unicem, l’activité des matériaux se contracte encore au 3e trimestre 2022. [©AC Presse] Après un premier repli au deuxième trimestre, l’activité des matériaux a continué à se détériorer au 3e trimestre 2022. Les conditions de production sont désormais confrontées à l’envolée des prix de l’énergie et du coût des intrants1. Ainsi, côté granulats, la production affiche, en septembre, une baisse de 2,6 % par rapport à août. Et en regard de septembre 2021, elle fléchit de près de – 7 %. Cependant, une petite lueur d’espoir laisse présager des lendemains moins difficiles. En effet, en comparaison au trimestre précédent, l’activité des granulats sur le  3e trimestre 2022 se contracte de seulement – 1,3 %. Quant au BPE, l’activité n’est l’imitée qu’à – 0,9 %. Sur les neuf premiers mois de l’année, tous les matériaux sont concernés par ce repli. Seules, les tuiles et les briques parviennent à sortir leur épingle du jeu, d’après l’Unicem… Lire aussi : L’Unicem Entreprises Engagées souhaite renforcer ses démarches Des difficultés à recruter Malgré cette situation complexe, due à l’inflation généralisée, les carnets de commandes demeurent bien garnis selon les professionnels du bâtiment. Ces derniers, dans le segment du gros œuvre, ont une visibilité de 9,6 mois de chantier. Néanmoins, les entrepreneurs restent inquiets à cause des difficultés à recruter de la main-d’œuvre. « Les obstacles limitant la production restent nombreux. Plus d’une entreprise sur deux (58 %) est aujourd’hui dans l’impossibilité d’accroître son activité dans le gros œuvre, indique l’Unicem. Les difficultés de recrutement figurent en tête des tensions et concernent 78 % des entreprises de ce secteur, qui restent engagées dans des processus d’embauche. » Un constat qui demeure un souci majeur pour respecter les délais des travaux. Les chefs d’entreprises envisagent « de relever leurs prix ces prochains mois ». 1Produit nécessaire au fonctionnement d’un ensemble, entrant dans une production. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 208 jours

Hager Group intègre l’association allemande Klimaschutz-Unternehmen e.V.

 Hager Group accélère dans la décarbonation de ses activités. Ces efforts ont été reconnus par l’association allemande Klimaschutz-Unternehmen e.V. pionnière dans la protection du climat, qui intègre Hager Group parmi ses 60 membres.  En tant que membre de l’association, Hager Group compte parmi les entreprises pionnières qui fournissent, en Allemagne, des conseils, des bonnes pratiques […]
Il y a 2 ans et 208 jours

L’Ifpeb, un socle technique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”

L’Institut français pour la performance du bâtiment a présenté un socle programmatique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”. [©IFPEB] L’Institut français pour la performance du bâtiment (Ifpeb) a présenté un socle programmatique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”. Pendant 8 mois, les membres de l’Ifpeb ont travaillé sur le sujet. Issu de ces recherches, le socle technique part du constat que les objectifs prévus ont du retard. Seulement la moitié du chemin a été parcouru, dans l’objectif neutralité carbone horizon 2030, en trois quarts du temps. Ces experts constatent aussi la différence de rythme entre les rénovations et les constructions neuves. La taille du parc tertiaire a augmenté de 50 % entre 1990 et 2019. Alors que seulement 41 000 rénovations de logements en BBC ont été réalisées, loin des 500 000 prévues à la Stratégie nationale bas carbone. Le rapport donne alors des axes programmatiques, afin de réduire de façon immédiate l’impact carbone du bâtiment. 5 axes fondamentaux pour un bâtiment compatible neutralité carbone Lire aussi : Ifpeb : Appel à innovations “béton bas carbone” Le socle technique de l’Ifpeb donne 5 axes fondamentaux pour atteindre les objectifs neutralité carbone du bâtiment. Tout d’abord, le texte insiste sur le progrès constant, ne pas viser le “zéro carbone” trop vite. Le rapport explique devoir s’appuyer sur 3 leviers programmatiques : intensifier l’usage du bâtiment, atteindre la sobriété énergétique. Le 3e levier est l’adaptation de la consommation pour consommer mieux. Le bâtiment compatible neutralité carbone doit aussi évaluer son potentiel de décarbonation maximum, ainsi que sa performance carbone énergie. Enfin, il faut calculer la performance carbone matériaux du bâtiment. La démarche proposée par l’Ifpeb n’est pas un label ou une certification. C’est une véritable démarche pour baliser une marche à suivre vers la neutralité carbone. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 208 jours

Energie : Haribo a des calories plein les poches

Sur son site marseillais, le confiseur a revisité ses installations grâce à la récupération de la chaleur fatale. Résultat : une...-Energie
Il y a 2 ans et 208 jours

Construction, énergie : un an après, les Assises du bois dressent un point d'étape

FOCUS. Un an après le lancement des Assises de la forêt et du bois, plusieurs ministres ont dressé un premier point d'étape sur les différents chantiers de la filière. Pouvoirs publics et professionnels veulent concilier les fonctions économique et écologique des massifs afin de sécuriser le bois-d'oeuvre pour la construction et le bois-énergie pour la biomasse.
Il y a 2 ans et 208 jours

Agen développe le plus grand parc d'éclairage public solaire d'Europe

Le projet est officialisé mercredi par cette dernière au Salon des maires à Paris, avec l'entreprise Fonroche Lighting et l'Union des groupements d'achats publics (Ugap). L'agglomération agenaise, qui compte 19.000 points lumineux, investira 11 millions d'euros pour remplacer 7.000 candélabres obsolètes par 6.000 lampadaires à énergie solaire."Agen est la première agglomération à basculer aussi massivement sur le photovoltaïque", se réjouit Jean Dionis du Séjour, président de la collectivité qui regroupe plus de 100.000 habitants dans 44 communes. "L'investissement est lourd mais la rentabilité est rapide. On espère économiser entre 600.000 et 750.000 euros par an", ajoute l'élu.Le fournisseur des nouveaux lampadaires, Fonroche Lighting, est basé à Roquefort dans la proche banlieue agenaise. Leader mondial de l'éclairage public solaire, l'entreprise emploie environ 200 personnes dans le monde, dont 130 localement.Son chiffre d'affaires est estimé à 100 millions d'euros pour 2023, contre 60 millions en 2022, signe d'une forte expansion. Elle a décroché récemment des contrats avec le Sénégal pour équiper le pays avec des dizaines de milliers de lampadaires photovoltaïques autonomes, qui éclairent aussi des routes au Koweït, un quartier résidentiel au Québec ou des pistes de ski en Suisse.Pour le directeur général de Fonroche Lighting, Laurent Lubrano, le solaire est une solution d'avenir pour les collectivités qui consacrent "40 à 60%" de leur facture d'électricité à l'éclairage public, sur fond de flambée des prix. "Pour les collectivités aujourd'hui, le choix est le suivant: +Soit je paie très cher, soit j'éteins ou je baisse la lumière+. Il y a une troisième solution: investir dans l'éclairage solaire. Le soleil, c'est gratuit", affirme le dirigeant.Le prix d'un lampadaire solaire est 20 à 30% plus cher qu'un classique "mais il n'y a aucun coût supplémentaire, pas d'énergie payante, pas de tranchée, pas de câble, pas de réseau électrique et pas d'entretien réseau qui coûte très cher. Le retour sur investissement est immédiat. Il n'y a pas de maintenance avant 10 ans".Et d'assurer qu'il n'y a "pas besoin de beaucoup de soleil": "Nous avons par exemple équipé un échangeur autoroutier à Calais de 120 lampadaires qui fonctionnent tous les jours de l'année", souligne le directeur de Fonroche.