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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18117 résultats)
Il y a 2 ans et 170 jours

Large feu vert du Sénat à une accélération des énergies renouvelables

Le Sénat a adopté dans la nuit de vendredi à samedi un projet de loi pour accélérer les énergies renouvelables, porté par Agnès Pannier-Runacher. Ce projet doit être présenté à l'Assemblée nationale le 5 décembre.
Il y a 2 ans et 170 jours

Toitures terrasses vitrées conformes au décret du 30 Mars 2022 – Salon EquipH tel – Stand C77 pavillon 7.3

Le marché des extensions est en pleine croissance. La thématique du confort et du bien-être poussent les maitres d’ouvrages à investir dans la création des espaces recevant du public confortables, modulables, ouverts sur l’extérieur et utilisables toute l’année. Le dérèglement climatique et le coût de l’énergie s’imposent à nous avec l’obligation de construire des espaces […]
Il y a 2 ans et 170 jours

TILE OF SPAIN propose une palette inspirationnelle de céramiques espagnoles , aux couleurs tendances automne- hiver

Au coeur de l’automne et à l’approche de l’hiver, les moments dans son cocon chez soi sont toujours très appréciés. On puise de l’énergie on se ressource dans son atmosphère chaleureuse, sereine et accueillante. Chaque détail compte et chaque choix de matériau participe à la création de cette ambiance. La céramique espagnole offre par essence […]
Il y a 2 ans et 170 jours

Avec la nouvelle offre de location de portes automatiques Portalp, les commerces sont en route vers la sobriété énergétique!

Contrairement aux portes manuelles, en se fermant systématiquement après passage, les portes automatiques piétonnes permettent de réaliser des économies d’énergie d’environ 20%. Mais si elles sont largement répandues dans les centres commerciaux, leur installation représente un poste de dépense important pour les petits commerces. Or, dans le cadre du plan de sobriété énergétique, ces derniers […]
Il y a 2 ans et 170 jours

RE2020 : Le SNFORES réalise des FDES collectives pour respecter les nouvelles normes de performances « carbone »

Le Syndicat National des Formulateurs de Résines (SNFORES) accompagné par l’alliance HQE-GBC et l’ADEME a réalisé ses fiches de déclaration environnementale et Sanitaire (FDES) à la suite de la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs, prévue par la loi « Evolution du Logement, de l’Aménagement et du Numérique » (ELAN), entrée en vigueur le 1er […]
Il y a 2 ans et 170 jours

L’EPFA Guyane lance deux opérations d’aménagement reposant sur le principe « Habiter le paysage »

Elle comprend des logements, activités économiques et espaces publics. A Montsinéry-Tonnegrande, l’EPFA lance les travaux de la phase 1 de la tranche 2 de la ZAC « Montsinéry » avec comme parti pris : donner à voir le paysage. L'EPFA Guyane construit avec ses partenaires publics et privés « la ville amazonienne durable" selon une démarche cohérente d'ensemble qui actionne à la fois la maîtrise du foncier, la réponse aux besoins en logements, équipements et activités économiques, tout en valorisant la mosaïque de paysages et biodiversité guyanaises. Ces opérations d’aménagement visent à créer un choc de l’offre pour contribuer à résorber les squats et créer les équipements nécessaires au bien-être de la population. Pour Denis Girou, directeur général de l’EPFA Guyane : « Nous entrons dans une nouvelle phase de l’OIN pour deux opérations, celle de l’opérationnel. Après le volet pré-opérationnel, les études de conception et le choix de la maitrise d’œuvre, nous démarrons ce mois ci les travaux d’aménagement dans 2 des 24 secteurs de l’OIN, à Matoury et à Montsinéry-Tonnegrande ».Secteur OIN 8 - A Matoury, « Mélodies de Morthium », le «paysage habité » : Premier jalon-vitrine d’un projet qui va reconfigurer le secteur ; le connecter au centre-ville et valoriser l’environnement forestier Située à 12 km au sud de Cayenne, Matoury compte aujourd’hui plus de 34.000 habitants. En 2030, sa population est estimée à 36.634 habitants, soit une hausse de 3.176 habitants (9%).L’OIN de Guyane comporte 7 secteurs à Matoury. Le premier à être aménagé est le secteur Matoury-Sud-Bourg (60 ha) avec le lotissement des « Mélodies de Morthium » (4 ha). C’est au sud du bourg, que l’EPFA amorce les travaux de cette opération d’ensemble s’inscrivant dans le prolongement urbain existant en continuité de l’école élémentaire du bourg.A proximité de la crique Morthium, proche de la forêt, le programme des Mélodies se développe en agrafe urbaine autour d’ une voirie centrale se raccordant à la RN2 et au quartier voisin. Il proposera 61 logements (44 logements sociaux, 12 maisons jumelées et 5 maisons individuelles) ; 3.000 m2 de SDP d’activités économiques et de commerces de proximité; une esplanade et un parc urbain de 6.800m² permettant aussi de gérer les problématiques d’eaux pluviales. Des systèmes de noues (canaux à ciel ouvert) maillant le quartier et l’implantation des bâtiments favoriseront la mise en valeur du paysage.Secteur OIN 12 : Etapes significatives franchies pour la requalification de la friche industrielle TDF de Montsinéry-Tonnegrande et l’aménagement de la phase 1 de la tranche 2 de la ZAC « Montsinéry» au sein du secteur « Les savanes »La commune de Montsinéry-Tonnégrande (2.900 habitants [1]) est un modèle de transition écologique. Le secteur 12 de l’OIN dit « les savanes » en est l’illustration. A 35 km de Cayenne, en lisière de forêt, bordée par la rivière Montsinéry, la commune va valoriser ses atouts : la biodiversité, l’agriculture, un cadre naturel saisissant. L’opération et le pôle d’innovation axé sur les Greentech-Guyane ont érigé le paysage au rang d’outil opérationnel dans les projets d’aménagement et de développement territoriaux.L’EPFA Guyane prépare la requalification de la friche industrielle TDF pour accueillir Biostratège. L’entreprise BioStratège est spécialisée dans les domaines de l’éco-extraction du végétal, le développement d’ingrédients et de produits naturels écoresponsables. L’EPFA Guyane a acheté le foncier et l’ancien bâtiment de radio-diffusion à TDF. Les travaux de démontage des antennes par TDF sont en cours. En 2023, BioStratège devrait s’installer dans l’ensemble immobilier et disposer du foncier nécessaire pour réaliser son projet « Amazon Activ Valley » sur 2.500 m2 de SDP. L’investissement industriel de plus de 6,8 millions d’euros permettra dans un premier temps, la création de 23 nouveaux emplois directs.L’EPFA Guyane lance la tranche 2 de la ZAC de MontsinéryLa tranche 1 est livrée. Elle s’articule autour de la construction d’un groupe scolaire, de 100 logements et de commerces.Le projet de la tranche 2 (60 ha) s’appuie sur le paysage comme support de l’urbanisation. Elle se déploie en hameaux interconnectés avec le bourg et s’adosse au collège en cours de construction.3 hameaux aux ambiances paysagères différentes - hameau de la mangrove, hameau de la lagune et hameau bord accueilleront à terme plus de 600 logements dont 20% de collectifs, 34% d’intermédiaires et 46% d’individuels.Au cœur de ces hameaux à forte identité, des espaces publics diversifiés comprenant une zone « skatable », un roc d’aventures, un terrain multisports, des parcours sportifs, espaces de détente, aires de jeux et carbets d’observation.Une programmation généreuse se concentrera le long d’un axe central : équipements publics, activités économiques, collège et crèche, pôle médical et commerces.Pour Denis Girou, directeur général de l’EPFA Guyane : « Le projet développé par Atelier 2/3/4 allie habitat, biodiversité, économie-emploi. Avec l’arrivée des sociétés Green-tech, c’est un projet d’avenir ambitieux pour le territoire et ses habitants, illustrant la transition vers une économie non destructive de la biodiversité Guyanaise. »
Il y a 2 ans et 170 jours

Avec quadro evo, Hager s’ouvre de nouveaux horizons pour adresser des projets jusqu’à 4000 A

Hager lance quadro evo, un système de distribution d’énergie, permettant aux tableautiers, aux installateurs et aux bureaux d’études de répondre à des projets jusqu’à 4000 A. Il illustre la volonté de Hager d’adresser des projets de plus grande envergure, en offrant aux professionnels de nouvelles façons de concevoir et d’installer une distribution électrique. Pour réaliser son nouveau tableau général basse tension, Hager s’est appuyé sur ses plus de 65 ans de savoir-faire dans la fabrication d’enveloppes d’armoires électriques. Bien qu’elle conserve l’ADN des enveloppes Hager, cette évolution de la gamme quadro voit 80% de ses composants intérieurs renouvelés.Des performances accruesLa structure mécanique robuste de quadro evo permet d’atteindre des performances plus élevées :– le nouveau système d’équipement interne offre une résistance aux courts-circuits jusqu’à 85 kA, une protection contre les chocs IK10 et une protection contre l’eau et les poussières IP55,– les nouveaux supports de jeu de barres offrent une stabilité accrue jusqu’à 4000A,– quadro evo permet de répondre à des indices de service jusqu’à 233 et d’assurer une continuité de service en toute sécurité lors des interventions, la maintenance ou les évolutions du tableau. ©Hager Une mise en œuvre facilitéeAvec quadro evo, tous les éléments sont conçus pour un assemblage simple et rapide :– la structure interne des cellules de quadro evo a été conçue pour offrir plus d’espace de travail à l’installateur,– le nouveau système de supports et de profilés universels permet une plus grande modularité,– un nouveau système de kits de montage, plus simple et plus précis, permet également le positionnement et la mise en œuvre plus rapides des appareils.Grâce à ces nouveautés, mais aussi grâce aux vis accessibles par l’avant, les évolutions ultérieures et la maintenance seront facilitées. ©Hager Une compatibilité avec l’écosystème HagerPour la distribution électrique principale, quadro evo peut embarquer des boîtiers moulés intelligents h3 et h3+ jusqu’à 1600 A.quadro evo peut également être associé au logiciel Stream, pour assurer la surveillance des consommations multi-énergies sur un ou plusieurs sites. Intégré dans un écosystème de comptage et de mesure énergétique, il répond parfaitement aux exigences du Dispositif Eco Energie Tertiaire (décret tertiaire) qui s’appliquent depuis 2021.Enfin, le logiciel Hagercad.T évolue avec quadro evo pour rendre les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. ©Hager Pour quels projets ?Le système permet la réalisation d’équipements de distribution basse tension pouvant aller jusqu’à 4000A en forme 4b, pour des applications tertiaires : locaux commerciaux, hôtels, bâtiments administratifs, publics ou privés, industriels, hôpitaux, infrastructures routières et ferroviaires. quadro evo est adapté à la réalisation des TGBTs mais aussi des tableaux divisionnaires.Le système de distribution d’énergie quadro evo est un ensemble d’appareillages de puissance testé et certifié selon la norme IEC 61439-1 & 2.
Il y a 2 ans et 170 jours

Le SNFORES réalise des FDES collectives pour respecter les nouvelles normes de performances « carbone »

Cette nouvelle réglementation redéfinie l’évaluation des performances carbone des bâtiments.Trois nouvelles déclarations environnementales et sanitairesSelon la loi ELAN, tous les bâtiments neufs doivent évaluer leurs performances « carbone » sur la base d’une analyse en cycle de vie (de l’extraction des matériaux nécessaires à sa construction jusqu’à sa destruction) et son traitement en fin de vie (mise en décharge, recyclage...). Cette nouvelle méthode d’évaluation des performances entraîne la nécessité pour les industriels de réaliser des déclarations environnementales et sanitaires dans le cadre d’une démarche collective ou individuelle.Afin d’être conforme à la réglementation, les adhérents du SNFORES ont fait réaliser des fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) collectives permettant ainsi de couvrir les principaux systèmes de revêtements de sol bâtiment à base de résine mise en œuvre in situ :Systèmes autolissants polyuréthanneSystèmes autolissants époxySystèmes multicouche époxyCes FDES mettent en avant l'excellente performance « carbone » des systèmes de revêtement faisant de la résine une solution durable et respectueuse des enjeux environnementaux.Vous pouvez retrouver les trois FDES sur le site INIES :Systèmes autolissants polyuréthanne : iciSystèmes autolissants époxy : iciSystèmes multicouche époxy : iciL’alliance HQE-GBC et l’ADEME accompagnent le SNFORESLe SNFORES a été accompagné par l’alliance HQE-GBC et l’ADEME pour réaliser ces FDES collectives. L’occasion pour l’alliance HQE-GBC de compléter la base INIES en proposant des données « fabricants » pour les résines, permettre aux acteurs du secteur d’avoir une meilleure connaissance de l’empreinte environnementale des produits et des systèmes de revêtement et promouvoir des solutions alternatives pérennes pour les bâtiments HQE.En produisant ses déclarations environnements, le SNFORES permet aux maîtres d’ouvrage d’avoir accès à des données fiables et actualisées pour réaliser leurs ACV bâtiment.La rédaction des FDES marque pour le SNFORES sa volonté d’accompagner les ambitions du gouvernement de parvenir à une réduction de 54% des émissions dans le secteur du bâtiment sur la période 2015-2028 avec la stratégie nationale bas carbone.Ces FDES collectives sont utilisables uniquement pour les systèmes présentés par les adhérents du SNFORES dans le cadre de cette étude.La listes des systèmes concernés par les FDES collectives est à retrouver sur le site internet du SNFORES.Plus d’informations : https://www.snfores.fr/donnees-environnementales/
Il y a 2 ans et 170 jours

Après le chèque énergie "fioul", un chèque énergie "pellet" : l'Etat fait le point

FACTURES. Le ministère de la Transition énergétique fait le point sur les différents chèques énergie exceptionnels déjà mis en oeuvre ou en passe de l'être, visant notamment les ménages qui se chauffent au fioul ou au bois.
Il y a 2 ans et 171 jours

Le plein emploi reste un objectif "atteignable", selon Dussopt

"Sur l'objectif de plein emploi, je pense que c'est toujours atteignable", a déclaré le ministre à l'occasion d'une rencontre de l'Ajis (Association des journalistes de l'information sociale)."Evidemment, il y aura un ralentissement de la création d'emplois en 2023 si nous avons une croissance basse (...) mais nous sommes dans une situation qui est assez particulière, assez étonnante", avec une économie qui "créé encore beaucoup d'emplois", plus qu'attendu par l'Insee au troisième trimestre, a-t-il poursuivi.Il y a donc "un petit décalage entre le sentiment d'un ralentissement, une inquiétude très compréhensible sur la question de l'énergie ou de l'inflation, et l'état d'un marché du travail qui continue à créer de l'emploi" davantage qu'anticipé, a-t-il insisté.Pour parvenir au plein emploi, l'exécutif table notamment sur la nouvelle réforme de l'assurance chômage visant à faire évoluer les règles en fonction de l'état du marché du travail. Le projet de loi sur l'assurance chômage, qui doit être voté dans une version de compromis mardi à l'Assemblée nationale et le 17 au Sénat, enclenche la possibilité de procéder à cette modulation par décret.Concernant les règles qui pourraient évoluer, le ministre a dit vouloir réserver la primeur des annonces aux partenaires sociaux, alors qu'une concertation lancée en octobre, s'achèvera par une séance multilatérale le 21 novembre."Nous ne toucherons pas au montant des indemnisations", a néanmoins réaffirmé le ministre, disant plutôt sa préférence pour "la question de la durée maximale d'indemnisation", actuellement de 24 à 36 mois selon l'âge. Selon lui, "il faut garder une durée minimale d'indemnisation qui permette notamment à ceux qui sont éligibles après un CDD de six mois d'être toujours éligibles". Aujourd'hui, il faut six mois de travail sur une période de référence de 24 mois pour être éligible à l'indemnisation chômage.En outre, "je ne crois pas au fait d'aller au-delà de six mois pour la durée minimale d'affiliation" car "souvent l'entrée dans le marché du travail se fait par CDD" et ceux-ci sont plus souvent "de six mois que de sept ou huit mois", a-t-il poursuivi.Sur les critères d'appréciation de la conjoncture qui serviront à la modulation, "il est évident que la baisse du chômage doit faire partie des critères tout comme le rapport entre les emplois vacants et le nombre de demandeurs inscrits", a-t-il ajouté.
Il y a 2 ans et 171 jours

L'Allemagne va à son tour sortir du Traité de la Charte de l'Energie

"Nous orientons de manière conséquente notre politique commerciale sur la protection du climat et en conséquence, nous nous retirons du Traité sur la Charte de l'Energie", indique la secrétaire d'Etat au ministère de l'Economie et de la Protection du climat, Franziska Brantner, dans un communiqué."C'est un signe important envoyé à la conférence des Nations unies sur le climat", la COP 27 réunie actuellement à Charm el-Cheikh (Egypte), ajoute-t-elle.Les groupes parlementaires des partis membres de la coalition au pouvoir, les sociaux-démocrates, les Verts et les Libéraux, ont donné vendredi leur feu vert à cette sortie, proposée par le gouvernement.Ils ont dans le même temps donné leur accord à la ratification de l'accord commercial CETA avec le Canada.Le Traité sur la charte de l'énergie (TCE) a été signé en 1994, au sortir de la Guerre froide, pour offrir des garanties aux investisseurs dans les pays d'Europe de l'Est et de l'ex-URSS.Réunissant l'UE et une cinquantaine de pays, il permet à des entreprises de réclamer, devant un tribunal d'arbitrage privé, des dédommagements à un Etat dont les décisions et l'environnement réglementaire affectent la rentabilité de leurs investissements –même lorsqu'il s'agit de politiques pro-climat.Cas emblématique: après l'adoption d'une loi néerlandaise bannissant le charbon d'ici 2030, l'énergéticien allemand RWE réclame 1,4 milliard d'euros à La Haye pour compenser ses pertes sur une centrale thermique.En septembre, l'Italie a été condamnée à verser une compensation de 180 millions d'euros à la compagnie pétrolière britannique Rockhopper, pour lui avoir refusé un permis de forage offshore. Des poursuites ont également été entamées contre la France par l'entreprise allemande Encavis AG à la suite de la modification des tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque en 2020. Plusieurs pays, - l'Espagne, les Pays Bas et la France - ont annoncé récemment leur sortie du Traité.
Il y a 2 ans et 171 jours

Comment produire et utiliser l'énergie sans affecter le climat ?

1. La production et l’utilisation de l'énergie sont au cœur de la crise climatique à cause des émissions de gaz à effet de serre qui en résultent et nécessitent une action efficace dans deux directions principales. Celles-ci comprennent :La recherche d’une plus grande efficacité énergétique et la limitation de l’utilisation de l’énergie, de la production à la consommation. Il est essentiel de découpler la croissance économique, source d’élévation du niveau de vie, de la consommation d’énergie : tous les scénarios concluent à la nécessité d’une rupture dans l’évolution de l’intensité énergétique mondiale, qui doit passer d’un taux de croissance annuel de - 1 à - 1,5%, observé historiquement, à un taux de - 4 ou - 5%.La décarbonation des systèmes énergétiques, tant du côté de l’offre que de la demande, en favorisant les technologies à faibles émissions de carbone.Ces deux niveaux peuvent être activés par des choix technologiques et des changements de comportement, parfois encouragés par les politiques énergétiques.2. Les énergies renouvelables (principalement le solaire, l’éolien, la biomasse et l’hydroélectricité) doivent être appliquées et davantage développées. Aucune d’entre elles n’est sans conséquences sur l’environnement, parfois moins apparentes que pour d’autres formes d’énergie. Si l’intégration de certaines d’entre elles (énergie éolienne ou photovoltaïque) dans les réseaux électriques peut être source de difficultés en raison de leur variabilité, d’autres, au contraire, sont vertueuses en termes de stabilisation du système (hydroélectricité avec réservoirs). La plupart d’entre elles ne sont pas très denses, leur forte emprise au sol est source d’opposition locale, mais elles ont toutes l’avantage d’avoir une faible empreinte carbone.3. L’énergie nucléaire a une très faible empreinte carbone et son fonctionnement est stable et fiable. Comme l’hydroélectricité, elle peut produire des quantités massives d’électricité décarbonée et contribuer à la décarbonation des systèmes énergétiques. L’énergie nucléaire est essentielle dans la lutte contre le changement climatique. Bien que la sécurité et la gestion des déchets radioactifs soient souvent citées comme des préoccupations, ces préoccupations peuvent être gérées aujourd’hui de manière adéquate, notamment par la réutilisation de certains déchets à longue demi-vie. Le principal défi pour les responsables des politiques énergétiques et les ingénieurs est de redonner au nucléaire la place qui lui revient par l’information et le débat.4. Les combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz), qui sont responsables d’une grande partie des émissions de CO2, représentent toujours la plus grande part du bouquet énergétique mondial. S’il ne semble pas possible de les éliminer rapidement et complètement, notamment dans certains secteurs comme les transports, ou dans certains pays, ils pourraient constituer une énergie de transition en étant associés aux technologies de captage, d’utilisation et de stockage du carbone.5. L’électrification est certainement l’un des principaux moteurs de la transition énergétique. Une attention particulière doit être accordée aux systèmes électriques, notamment pour assurer la production de base. Le déclassement des centrales thermiques fossiles et le développement massif des énergies renouvelables variables peuvent poser des problèmes de continuité et de qualité de l’approvisionnement en électricité. Des centrales électriques de secours, des technologies de stockage d’énergie rentables et efficaces, le développement de la flexibilité de la demande et le développement des réseaux électriques seront nécessaires pour surmonter le problème de variabilité des énergies renouvelables. La question de l’accès à l'énergie en général et à l’électricité en particulier reste, dans de nombreuses régions du monde, un défi majeur auquel il faudra probablement apporter des réponses différentes, que ce soit pour l’approvisionnement des grandes mégalopoles en développement ou pour les sites isolés et hors réseau.6. La recherche d’une plus grande résilience des systèmes énergétiques soulève des questions sur l’utilisation des terres, la rareté de l’eau ou l’utilisation de matières premières (cuivre, lithium, nickel, cobalt, zirconium, métaux du groupe du platine et terres rares) qui pourraient conduire à leur épuisement précoce. Le passage de la dépendance des systèmes énergétiques, tant du côté de l’offre que de la demande, des combustibles fossiles à certaines matières premières, composants et équipements constitue un nouveau défi auquel il faut apporter des réponses, notamment en termes d’économie circulaire et de développement industriel.7. Des politiques énergétiques nationales efficaces et une coopération internationale seront essentielles pour mettre en œuvre les politiques les plus efficaces pour atteindre l’objectif net zéro émissions. S’il est indéniable que les pays développés représentent encore une part importante des émissions (33% en 2021 contre 40% en 2011), les tendances démographiques mettent en évidence le rôle majeur des pays en développement : en 2050, la planète comptera probablement près de 10 milliards d’habitants, contre environ 8 milliards aujourd’hui, et cette croissance s’observera principalement dans les pays en développement, qui représenteront 87% de la population mondiale. La recherche de solutions doit s’appuyer sur une vision prospective de la consommation d’énergie - marquée par le vieillissement de la population et l’urbanisation croissante (55% de la population mondiale vit en ville en 2022, 70% en 2050) et par les émissions associées. Les choix de politique climatique - y compris le soutien des économies développées aux économies en développement - ne peuvent se concevoir en dehors d’un cadre et d’un effort globaux.8. Le choix de se concentrer sur les solutions qui contribuent efficacement et immédiatement à la lutte contre le changement climatique ne doit pas nous faire oublier :L’effort de recherche indispensable pour développer des solutions à moyen ou long terme qui trouveront leur place dans le futur, comme les installations utilisant de l’hydrogène décarboné, d’autres carburants zéro carbone, l’amélioration de l’efficacité de la mobilité électrique et des bâtiments, les technologies de stockage y compris l’utilisation de l’électricité du réseau en dehors des heures de pointe, les tours solaires, les petits réacteurs nucléaires modulaires et la fusion nucléaire. En ce qui concerne l’hydrogène à très faible teneur en carbone ou les carburants synthétiques, il convient de poursuivre la recherche et le développement pour faire face aux difficultés d’utilisation, y compris la sécurité du stockage et le risque d’inflammabilité, avant de pouvoir exploiter pleinement leurs potentialités ;Le besoin croissant d’adapter les économies, et en particulier les systèmes énergétiques, au changement climatique afin de protéger les installations de production d’énergie de la menace de l’élévation du niveau de la mer et des conditions climatiques extrêmes. Les conséquences du changement climatique se font déjà sentir sur la navigation fluviale, l’irrigation, l’hydroélectricité et le refroidissement des centrales thermiques ;Le lien entre l’énergie et les Objectifs de Développement Durable ; la recherche de solutions fournies par les ingénieurs conduit parfois à des choix énergétiques qui entrent en conflit avec d’autres exigences de durabilité telles que la biodiversité ou la protection des habitats des populations autochtones.9. Les trajectoires vers des systèmes énergétiques durables nécessiteront une méthode rationnelle et rigoureuse pour faire des choix, loin de tout rêve ou idéologie, et devraient être fondées sur les principes suivants :Adopter une approche systémique ;Exploiter les meilleures technologies matures et le développement des compétences associées, tout en encourageant également l’innovation et le développement de nouvelles technologies ;Mettre l’accent sur le potentiel réel de toute nouvelle technologie, sur son adaptabilité et sur la facilité de son transfert ;Donner plus d’importance à l’efficacité économique alors que la crise économique et sociale mondiale provoquée par des situations imprévues laisse tous les acteurs sous contraintes financières ;Mettre en œuvre une plus grande coopération internationale entre les pays développés et les pays en développement dans la lutte contre le changement climatique.10. Il est essentiel d’avoir une approche équilibrée entre le progrès économique, la justice sociale et la préservation de l’environnement qui est fondamentale pour la sécurité énergétique d’un pays. C’est la condition sine qua non de l’acceptation par ses citoyens de la mise en œuvre de politiques énergétiques.
Il y a 2 ans et 171 jours

Nouvelles mesures en faveur de la sortie du fioul : ce mode de chauffage va-t-il disparaitre en France ?

Le gouvernement lance le “chèque fioul” à destination de 1,6 million de ménages : 100 à 200€ qui compenseront difficilement la perte de pouvoir d’achat entamée depuis 2 ans. Autres mesures mises en place : La prolongation, pour 3 mois, du bonus de 1000€ sur MaPrimeRénov pour les personnes qui quittent le fioul (et remplacent leur chaudière actuelle par une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse) ;L’instauration d’un nouveau bonus de 1000€, sur les Certificats d’économies d’énergie cette fois, réservé aux ménages modestes. A noter également que le remplacement des chaudières à condensation, jusqu'alors exclu de ce dispositif, est maintenant pris en compte.En d’autres termes, c’est désormais jusqu’à 10.000€ d’aides qui pourront être perçus par les particuliers qui remplacent leur chaudière au fioul par un système plus vertueux comme une pompe à chaleur ou une chaudière au bois !Avec ces mesures, l’Etat se donne les moyens d’une transition quasi-complète du fioul vers d’autres sources d’énergie, plus écologiques. Pour rappel, Hello Watt accompagne les particuliers dans cette transition, en gérant pour eux les demandes d’aides et en les guidant vers les systèmes de chauffage les plus appropriés en fonction de leur situation.
Il y a 2 ans et 171 jours

Électricité renouvelable : l’État annonce un fonds de garantie pour les industriels

En couvrant le risque de défaut de l’industriel acheteur, ce fonds vise à orienter le développement des producteurs d’électricité renouvelable vers la conclusion de contrats de long terme avec des industriels. Ces contrats permettront de sécuriser une partie du coût d’approvisionnement en électricité décarbonée des industriels et leur donneront davantage de visibilité sur le long terme.Le dispositif concerne toutes les énergies renouvelables électriques et sera opéré par Bpifrance avec pour objectif de prendre en garantie des premiers contrats en 2023. Le fonds sera d’ores et déjà dimensionné pour pouvoir prendre en garantie des contrats représentant jusqu’à 500 MW de puissance installée cumulée, soit un volume de production équivalent à la consommation d’une ville comme Bordeaux. Il pourra être renforcé pour soutenir la dynamique de développement des PPA contribuant à la stabilité des coûts d’approvisionnement pour les industriels et à leur décarbonation.La France s’est fixé l’objectif ambitieux d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2050. Une transition énergétique pleine et complète sera nécessaire pour y parvenir. Le déploiement des technologies de production électrique d’origine renouvelable a donc vocation à s’accélérer et ces sources d’énergie représenteront une part significative du mix électrique français.Cette tendance constitue une opportunité unique pour faire de la transition du mix énergétique un levier de compétitivité et d’attractivité du territoire national. Ces technologies deviennent un levier permettant à l’industrie française comme aux développeurs renouvelables de se couvrir au moins partiellement sur le long terme, via les PPA, contre les variations des prix des marchés du carbone, des combustibles fossiles ou de l’électricité.Certaines filières renouvelables atteignent déjà un niveau de maturité qui ouvre la voie à une transition progressive des soutiens publics vers un recours accru aux leviers de financement privés. La conclusion de contrats d’approvisionnement bénéficierait dans la durée aux producteurs d’électricité renouvelable qui sécuriseraient ainsi un niveau de revenu donné et aux consommateurs industriels qui disposeraient d’une visibilité et d’une stabilité sur une part de leurs coûts d’approvisionnement. Une telle opportunité pour les consommateurs industriels prend tout son sens dans la conjoncture actuelle, avec des prix de l’énergie, et en particulier de l’électricité, qui atteignent des niveaux inédits.Ce type de contrats demeure pourtant peu répandu en France. Afin de concrétiser notre ambition collective, le Gouvernement a décidé d’engager un travail visant à analyser l’ensemble des leviers pouvant être mobilisés pour développer ce marché et l’orienter vers les industriels. Le frein principal identifié par le groupe de travail piloté par la Direction générale des entreprises et la Direction générale de l’énergie et du climat, en association avec des acteurs du secteur, est le risque de contrepartie c’est-à-dire le risque pour le producteur de voir son acheteur faire défaut de manière structurelle et permanente.Le Gouvernement a décidé de mettre en œuvre les recommandations formulées par ce groupe de travail et de confier à Bpifrance la mise en œuvre d’un dispositif garantissant à des producteurs d’électricité d’origine renouvelable qu’une partie de leurs écarts de revenus subis par la perte de leur contrepartie industrielle sera couverte par un fonds de garantie. Ce dispositif permettra à terme de crédibiliser auprès des développeurs d’ENR le recours à un déploiement via des contrats d’approvisionnement privés face au cadre existant de soutiens publics directs. En outre, les modalités de la compensation accordée aux contrats en défaut fonctionneront sur un mode proche d’un complément de rémunération. Ce fonds sera autoalimenté par les primes versées par les contrats garantis et la récupération d’une partie de leurs revenus excédentaires en cas de prix de marché élevés.Compte tenu de la crise énergétique que nous traversons actuellement, le gouvernement a souhaité accélérer la mise en œuvre de ce dispositif et a demandé à Bpifrance de le mettre en œuvre avec l’objectif de prendre en garantie des premiers contrats en 2023 pour des contrats pouvant représenter jusqu’à 500 MW de puissance installée cumulée, soit un volume de production équivalent à la consommation d’une ville comme Bordeaux. Cette dynamique aura bien sûr vocation à se prolonger par la suite de sorte à ce que ce dispositif devienne un catalyseur important de l’émergence des PPA conclus avec les industriels.Pour Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique : « Le lancement de cette garantie s’inscrit pleinement dans notre stratégie de réindustrialisation verte, dans une logique « gagnant-gagnant » : bénéfique pour le climat et bénéfique pour l’industrie décarbonée. En effet, les contrats d’approvisionnement électrique de long terme (PPA) constituent une double opportunité. D’un côté, pour les producteurs d’électricité à partir d’énergie renouvelable (ENR), ces contrats représentent une nouvelle voie de développement, en sécurisant leurs revenus dans la durée. De l’autre, ces contrats permettent aux industriels de se couvrir contre la volatilité des marchés de l’électricité tout en ayant accès à une énergie abordable et décarbonée. »Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Je salue la mise en œuvre de ce fonds de garantie. C’est une avancée majeure qui va permettre de lever l’un des principaux freins au développement des contrats de long terme de fourniture d’énergie, en particulier entre producteurs d’énergie renouvelable et bas carbone et clients industriels. Ce dispositif est complémentaire des mesures que nous portons en faveur des PPA au sein du projet de loi d’accélération des énergies renouvelables, au service de la sortie des fossiles et de notre compétitivité industrielle. »Pour Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie : « Dans le contexte actuel, l’industrie française a besoin de se projeter, de stabiliser et sécuriser des prix de l’énergie compétitifs pour donner des perspectives à ses salariés et ses investisseurs. De l’autre côté, notre ambition climatique nous impose d’aller beaucoup plus vite sur les énergies renouvelables, pour lesquelles je souhaite développer des filières davantage françaises et européennes. Ce dispositif de garantie est à la croisée de ces deux enjeux structurants pour l’économie et le climat. J’appelle les industriels grands consommateurs d’électricité à s’en saisir et les producteurs d’énergie verte à répondre à la demande. Notre ambition est là, et ce n’est qu’un début. »
Il y a 2 ans et 171 jours

Rehau annonce un partenariat qui révolutionne l'univers des portes d'entrée

REHAU Window Solutions s'engage dans une coopération de développement et de vente avec VOLMA et VITRUMGLASS. Cette alliance constitue une nouvelle étape stratégique pour REHAU Window Solutions sur le marché français en pleine croissance. Cela crée la base parfaite pour un partenariat très réussi entre trois leaders de l'innovation.Zoom sur la porte d’entrée du futur À BATIMAT, la 4 octobre 2022, REHAU Window Solutions, VOLMA et VITRUMGLASS ont franchits une étape stratégique dans le développement et la commercialisation de solutions innovantes et tournées vers l'avenir pour les portes d’entrée à vitrage opacifiant et vitrage chauffant. Le savoir-faire combiné des trois partenaires dans les domaines des systèmes de profilé PVC, des systèmes de portes d’entrée et du verre isolant SMART est synonyme de développement et de commercialisation réussis de solutions particulièrement remarquables en termes d'efficacité énergétique, de confort et de durabilité.La combinaison des solutions REHAU pour les profilés de portes, de VOLMA pour les panneaux de portes d’entrée ainsi que du verre opacifiant et chauffant couplé au système de pilotage VITRUMBOX Door de VITRUMGLASS, offre ainsi des réponses décisives aux tendances et défis mondiaux.Une solution pérenne qui répond aux attentes du marché et aux prochains défis« Nous sommes impatients de travailler avec deux partenaires solides. Cette coopération stratégique de développement et de vente est la base parfaite pour une collaboration fructueuse entre trois leaders de l'innovation. REHAU Window Solutions franchit ainsi une nouvelle étape cohérente sur le chemin de la croissance que nous poursuivons résolument avec nos clients et nos partenaires. Osez la différence. Boostez votre business.», Bruno Bednaczyk, Directeur France de la division Window Solutions. Cette coopération se traduit par de nombreux avantages évidents pour les fabricants : les composants coordonnés les uns aux autres donnent lieu à des solutions complètes qui peuvent être traitées de manière rationnelle et sûre. « Nous sommes très enthousiastes à l'idée de cette coopération avec VOLMA et VITRUMGLASS. Ce codéveloppement propose des solutions qui répondent pleinement aux attentes du marché grâce à des produits innovants, économes en énergie et durables ». Maxime Boileau, Responsable Marketing France de la division Window Solutions.« Nous sommes ravis d’être associé à ce projet qui prend son sens plus que jamais dans le contexte actuel. Le retour terrain de nos partenaires est une demande grandissante pour les économies d’énergie et le souhait de disposer de solutions modernes qui marquent la différence. La combinaison des produits REHAU, VOLMA et VITRUMGLASS permet d’aboutir à un produit à hautes performances thermiques, que ce soit en périphérie par ses profils ouvrant et dormant, sur sa surface par son épaisseur et sa structure innovante et par son vitrage avec cette technologie chauffante qui limite les déperditions de chaleur. La qualité des composants utilisés associés à ces solutions chauffantes et opacifiantes apportent un réel gain en termes d’économie d’énergie et de confort d’utilisation ». Franck Serrure Président de VOLMA. « Nous sommes très heureux d’officialiser notre collaboration avec REHAU et VOLMA et de proposer ensemble un produit unique qui répond à des besoins exprimés par nos clients tant sur la performance thermique, énergétique, que sur le confort et le design. La porte d’entrée du futur est le maillage du chauffage grâce au vitrage chauffant à faible consommation et de l’opacification commandée. Ces deux fonctions pilotées par le système VITRUMBox Door, dédiée à la porte d’entrée permet d’assurer le contrôle de la chaleur et de l’opacité du vitrage. C’est le résultat de plusieurs années de recherche pour aboutir à un produit fini et clé en main ». Estelle CHOLLET, Directrice Générale de VITRUMGLASS.« La réussite de cette collaboration est le fruit d’une belle rencontre avec les groupes REHAU et VOLMA. Nos ambitions, nos stratégies, nos idées sont très convergentes et permettent d’aboutir en quelques mois au développement d’un concept très prometteur et évolutif qui répond aux enjeux d’aujourd’hui et de demain. La porte d’entrée du futur est un produit qui nous tient à coeur depuis des années et je suis ravi de coopérer avec REHAU et VOLMA pour son développement et sa commercialisation ». Manuel DARIOSECQ, Président de VITRUMGLASS.VOLMA, un leader Français de la porte d’entrée moderne Depuis plus de 30 ans, les collections de panneaux de porte et de verres décoratifs VOLMA reflètent un sens de l’innovation et un savoir-faire qui caractérisent cette signature qui a fait sa renommée. Principalement dédiée à la fabrication des entrées PVC, Aluminium et Verre, VOLMA complète ses gammes avec des panneaux plates-bandes pour menuiseries et vérandas et en distribuant des accessoires divers. Implanté sur un site de 20000 m², VOLMA réalise un chiffre d’affaires annuel de 17 millions d’euros et produit 11000 monoblocs et 45000 panneaux décoratifs par an. De rencontres décisives en prises de décisions stratégiques, le concepteur fabricant s’est construit une solide réputation à la hauteur de ses engagements. Il poursuit aujourd’hui ses ambitions, ses objectifs, avec cette passion du métier qu’il s’efforce de partager. VITRUMGlass, un leader innovant de l’intégration et du pilotage de vitrage technique et intelligent Pionniers dans l’intégration et le pilotage du vitrage intelligent en France, VITRUMGLASS en a fait un métier et sa spécialité depuis plus de 10 ans. Motivés autant par la passion du vitrage chauffant, opacifiant et du vitrage technique que par l’utilité de ces produits, VITRUMGLASS est convaincu de son engagement : responsable, écologique et durable, le vitrage chauffant est plus qu’une alternative aux solutions traditionnelles de chauffage, il est une solution d’avenir. C’est une réalité qui a fait ses preuves. La performance du vitrage chauffant est au rendez-vous, 100 % de ceux qui ont essayé en sont satisfaits. Il revient à tous de le promouvoir à l’heure du bas carbone et de la maitrise de l’énergie. Et pour être à la hauteur des enjeux, VITRUMGLASS a tenu à développer une expertise, un système de pilotage VITRUMBox et un service complet de l’étude à la mise en oeuvre des produits verriers pour accompagner aussi bien les professionnels que les particuliers. Plus d’infos sur www.vitrumglass.comREHAU : Des avancées technologiques. Votre confort au quotidienLa division Window Solutions de REHAU Industries réinvente les fenêtres, portes et volets chaque jour. Pour une vie meilleure. Leur approche unique du recyclage labélisée EcoPuls représente un concept de durabilité inégalé dans l'industrie. En tant que pionnier et moteur de solutions industrielles orientées vers l'avenir, REHAU Window Solutions créé des fenêtres, portes et volets en intégrant l’ensemble de la chaîne de valeur : Vos fenêtres réinventées pour la vie d’aujourd’hui.Le groupe REHAU réalise un chiffre d'affaires annuel de plus de quatre milliards d'euros avec des solutions à base de polymères. Il regroupe sous le même toit plusieurs sociétés : REHAU Industries, Meraxis, New Ventures, RAUMEDIC et REHAU Automotive. REHAU Industries est une entreprise indépendante et regroupe les divisions Building Solutions, Window Solutions, Furniture Solutions et Industrial Solutions. Plus de 12 000 employés répartis sur plus de 150 sites dans le monde dont deux en France travaillent ensemble pour améliorer continuellement la vie des usagers grâce à l'utilisation de technologies innovantes et durables pour les secteurs de la construction, des fenêtres, du mobilier et de l'industrie.
Il y a 2 ans et 171 jours

Le guichet ouvre pour les ménages modestes se chauffant au fioul

Les ménages modestes se chauffant au fioul et n'ayant pu bénéficier du bouclier mis en place pour d'autres sources d'énergie vont toucher une aide comprise entre 100 et 200 €, selon un décret paru dimanche au JO.
Il y a 2 ans et 173 jours

Aménagement d’entreprise : les salles de réunions modulables

Locataire ou propriétaire, il est parfois difficile de trouver un espace pour créer une salle de réunion après avoir emménagé. Cela signifie des mois de perturbations pour les employés si des travaux sont à engager. Alors pourquoi pas opter pour une salle de réunion modulable ?  L’open space, un modèle économique démodé ? Les bureaux ouverts ou open-space, sont devenus la grande tendance depuis quelques décennies. Baisse des charges, communication libérée et réactivité accrue, le travail en espace ouvert est largement adopté dans le monde de l’entreprise. Cependant, tout n’est pas parfait. Ces espaces de libres échanges peuvent parfois manquer d’intimité et de calme pour certains employés, surtout avec l’essor des visioconférences.   Les bureaux ouverts peuvent décourager les conversations lorsqu’il n’y a pas d’espace de réunion privé, à la fois parce que les employés ne veulent pas forcément diffuser leurs propos, et parce qu’ils ne veulent pas déranger leurs voisins.  Le problème s’aggrave si votre entreprise se développe rapidement et que les gens sont serrés les uns à côté des autres. Si vous voyez des gens se faufiler dans le couloir pour prendre des appels, il est temps de penser à ajouter une salle de réunion.  Définir les besoins d’une salle de réunion modulable   Quelle que soit la taille de votre entreprise, la salle de réunion est un lieu clé. Que ce soit pour des réunions mensuelles ou pour des appels confidentiels, un salarié passe en moyenne 8 h par semaine dans une salle de réunion. Vous manquez de place ? Créez votre propre espace de réunion version modulable. Avec le développement du télétravail, il est important de définir les besoins de vos équipes, pour aménager votre salle de conférence modulable de façon optimale. Bien que la conception soit un peu différente, réfléchissez à la capacité d’accueil, au chauffage et à la climatisation, aux aménagements technologiques, à la disposition du mobilier et à l’espace que vous souhaitez lui accorder.  Des équipements adaptés  Pour faciliter la mise en place et le rangement de la salle modulable, gérez la disposition des tables en optant pour des solutions de tables rabattables et faciles à déplacer. Et modulable ne voulant pas dire inconfortable, optez pour différentes assises comme des poufs ou des fauteuils à roulettes, faciles à transporter.  Pour maintenir la confidentialité de vos échanges, munissez-vous de stores occultants ou de rideaux. Les stores bateaux sont particulièrement pratiques dans les pièces où l’espace est restreint. Leur fonctionnalité réglable leur permet de masquer la vue simplement, mais aussi de doser la luminosité que vous souhaitez dans la pièce. 
Il y a 2 ans et 174 jours

Accord pour développer en Egypte un gigantesque parc éolien

Cet accord est conclu après "les succès obtenus par le consortium" dans le développement de deux précédents parcs dans le pays, ajoute Engie dans un communiqué.L'accord a été signé mardi lors de la COP27 à Charm el-Cheikh par les partenaires industriels (Engie, Orascom Construction, Toyota Tsusho Corporation), l'Egyptian Electricity Transmission Company (EETC) et la New and Renewable Energy Authority (NREA).Un champ éolien d'une capacité de 262,5 mégawatts (MW) avait été installé par les mêmes opérateurs en octobre 2019 à Ras Ghareb, sur les rives du golfe de Suez.Le 31 octobre a été posée la première pierre d'un autre parc de 500 MW, situé à 40 km au nord-ouest de Ras Ghareb. Ce projet, capable d'alimenter plus de 800.000 foyers en électricité, sera pleinement opérationnel fin août 2025 et sera alors la plus grande centrale éolienne terrestre du portefeuille d'Engie.Aucun détail n'a encore été fourni sur le nouveau projet de 3 GW, dont la localisation doit être annoncée ultérieurement.L'Égypte vise une part de 42% d'électricité produite à partir de sources renouvelables d'ici à 2030.
Il y a 2 ans et 174 jours

Dans le Lot-et-Garonne, un four solaire industriel "visionnaire"

"À l'époque, je me disais: 'Soit je suis un visionnaire, soit je suis idiot', à l'heure qu'il est, je penche pour le côté visionnaire", plaisante, quatre ans après, Emeric Cadalen, PDG de Fruit Gourmet, entreprise de 43 salariés à Allemans-sur-Dropt, dans le nord de ce département du Sud-Ouest.Alors que les cours flambent, M. Cadalen estime avoir réduit d'environ 20% sa facture annuelle de gaz (50.000 euros auparavant) depuis qu'il a acheté un four à énergie solaire thermique, dont il se dit "démonstrateur". Son économie s'élèverait même à 30.000 euros avec des contrats "aux cours actuels", assure le dirigeant qui n'a pas pu mesurer, en revanche, les effets sur ses émissions de gaz à effet de serre.Sur le parking de son hangar de transformation, niché sur des coteaux, l'entrepreneur a installé 200 mètres carrés de miroirs solaires, disposés en longues lamelles d'un mètre de large.Reprenant le concept de la lentille de Fresnel, "vieux comme le monde", ces dernières réfléchissent la lumière du soleil sur un conduit captant l'air extérieur. Chauffé jusqu'à 250 degrés, celui-ci alimente deux fours séchant ou pasteurisant bananes, pommes, pruneaux, fraises et figues, qui fonctionnent habituellement au gaz.Le week-end ou la nuit, quand la PME ferme ses portes, un autre tuyau achemine l'air chauffé dans un conteneur hermétique, rempli de graviers de la Garonne qui permettent de stocker la chaleur, jusqu'à quatre jours, avant de la renvoyer vers les fours."Mid-tech"Acier pour la structure, aluminium pour les miroirs et les tuyaux, graviers pour le stockage: son inventeur, Didier Martin, vante "un système mid-tech".Cet ingénieur des Mines, fondateur de l'entreprise IdHelio à Albi (Tarn), s'est inspiré en partie du four solaire d'Odeillo dans les Pyrénées-Orientales, l'un des plus grands du monde, créé en 1969 pour des recherches scientifiques.En visant des entreprises spécialisées dans le séchage - aliments, bois, matériaux de construction, déchets - "sur le bassin méditerranéen" ensoleillé, l'inventeur espère vendre "une dizaine" de ces systèmes par an dans le pays, pour un marché de 100-150 millions d'euros.Selon Richard Loyen, délégué général du syndicat des énergies renouvelables (Enerplan), cette innovation "inédite en France" survient alors que la filière solaire thermique "retrouve des couleurs".Lancée après le choc pétrolier de 1973, principalement pour chauffer des habitations, elle a été délaissée à l'époque de "l'électricité abondante" puis est restée dans l'ombre de son cousin, le solaire photovoltaïque, depuis les années 2000, relate Alain Mestdagh, référent solaire thermique pour l'Ademe en Nouvelle-Aquitaine.Fin 2020, le secteur ne représentait que 0,2% de la consommation de chaleur en France, outre-mer compris, selon l'organisme Socol qui rassemble les acteurs de la filière.CompétitifMais avec un coût de production de 40 à 60 euros le mégawatt-heure (Mwh), le solaire thermique est devenu très compétitif face au gaz qui oscille entre 100 et 125 euros actuellement, explique M. Loyen. Pour se développer, la filière peut compter sur un fonds de subventions proposé par l'Ademe, doté de 500 millions d'euros. Mais il faudra convaincre le monde de l'entreprise, qui achète son énergie "au jour le jour", d'adopter une vision à plus long terme, selon l'inventeur du procédé.Les solutions actuelles des industriels pour économiser l'énergie, comme les ampoules LED, "ont un retour sur investissement en moins de trois ans", mais "investir dans le renouvelable, c'est acheter 20 années de stock d'énergie d'un coup", souligne Didier Martin."On ne pourra pas se passer à 100% des énergies fossiles", considère de son côté le patron de Fruit Gourmet, tandis que devant ses fours où sèchent des palettes de pruneaux, la veilleuse des brûleurs à gaz s'active dès qu'un nuage passe au-dessus du récepteur solaire.Son entreprise a mis six mois pour mettre au point cette alternance millimétrée solaire-gaz et "sécuriser" son processus de production.
Il y a 2 ans et 174 jours

Puy-de-Dôme : Clermont Auvergne Métropole poursuit l’extension du réseau de chauffage à Saint-Jacques et dans les communes d’Aubière et de Beaumont

Clermont Auvergne Métropole (Puy-de-Dôme) continue les travaux d’extension du réseau de chaleur urbain...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 175 jours

La Caisse d’Épargne Ile-de-France finance la transition et la rénovation énergétique des travaux de copropriété

A l'occasion du Salon de la Copropriété, qui s'est tenu les 8 & 9 novembre 2022 à la Porte de Versailles, la banque Francilienne a présenté ses solutions de financement à destination des syndics de copropriétés.Une équipe nationale dédiée pour répondre aux besoins d'un marché complexe (toutes régions confondues)Avec une direction des Copropriétés, composée d'une trentaine de collaborateurs répartis sur l'ensemble du territoire national avec 10 chargés d'affaires dont 6 agences en régions (Lille, Nantes, Lyon, Bordeaux, Marseille et Montpellier) et 2 agences en charge du traitement des dossiers basées au siège de la Caisse d'Epargne Ile-de-France, la banque francilienne a constitué une Direction commerciale exclusivement dédiée aux besoins du marché. Les Chargés d'Affaires ont pour mission de faire connaître l'offre de prêt collectif, de former, d'accompagner et de sensibiliser les syndics.La banque s'est ainsi donnée pour but d'accompagner tous ses clients vers la transition énergétique et l'inclusion sociale en Ile-de-France afin de de participer au verdissement et à la réhabilitation d'un parc vieillissant. Elle est d'ailleurs investie dans le financement, avec les collectivités locales, de copropriétés dites « fragiles ». Son ambition est d'obtenir l'adhésion d'un plus grand nombre de syndics à travers la digitalisation de l'ensemble des process de traitement des dossiers de financement des prêts collectifs de copropriété.« Le marché de la copropriété est complexe avec de réels besoins et attentes. Dans un contexte de crise énergétique, de forte demande avec des possibilités de financement restreintes, la Caisse d'Epargne Ile-de-France propose une offre qui répond en tout point aux besoins des copropriétés face aux enjeux de rénovation énergétique. Par le préfinancement des aides publiques versées à la réception des chantiers, nous jouons pleinement notre rôle de facilitateur de projets en donnant de la souplesse en amont aux copropriétés y compris celles dites fragiles. » explique Christophe BERFINI, Directeur des activités Syndics et Administrateurs de biens à la Caisse d'Epargne Ile-de-France.Une offre complète de financementL'offre à destination des copropriétés de la Caisse d'Epargne Ile-de-France s'articule autour de 3 produits phares et répond à des attentes bien spécifiques :Copro 100 : ce prêt est contracté au nom du syndicat des copropriétaires avec des prélèvements réalisés individuellement sur le compte de chaque copropriétaire. Il est consenti sans limite d'âge, sans questionnaire de santé, une garantie spécifique permettant de désolidariser les copropriétaires entre eux et de choisir la durée du prêt (comprise entre 3 à 20 ans). En cas de défaillance, c'est la banque francilienne qui met en place les actions de recouvrement.Aujourd'hui, seule la Caisse d'Epargne Ile-de-France propose un tel dispositif qui satisfait non seulement les syndics de copropriétés mais également l'ensemble des copropriétaires.Eco Prêt à taux zéro copropriété : l'obligation de travaux de rénovation pour les bâtiments particulièrement énergivores est désormais inscrite dans la Loi. Ce prêt à taux zéro bonifié par l'Etat sert à financer les travaux de rénovation énergétique des copropriétés. Il répond aux enjeux pour accompagner et accélérer la réduction de l'empreinte carbone des immeubles d'habitation et l'atteinte de la performance globale du bâti.Octroyé sous conditions, Il est prélevé directement sur le compte du syndicat de copropriétaires.Il présente toutefois un avantage certain pour les souscripteurs (propriétaires de lots à usage de résidence principale) : un prêt à taux 0% qui peut financer jusqu'à 50 000€/lot (sur une performance globale du bâti) pour une durée maximale de 20 ans.Il s'agit d'un véritable levier de financement de la rénovation énergétique.Préfinancements des subventions publiques : cette solution concerne les aides de type « Ma Prim' Renov », les dispositifs de l'ANAH ou des collectivités locales. Un préfinancement jusqu'à 100% des subventions collectives (et des subventions individuelles sous conditions) garantissant le bouclage financier spécifique d'un chantier de copropriété.[1] Selon l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH)[2] Evolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan)[3] Diagnostic de performance énergétique (DPE)
Il y a 2 ans et 175 jours

Énergie : contre les renouvellements abusifs de contrats, Bercy publie une "checklist"

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Le ministère de l'Économie et le Médiateur des entreprises proposent un nouvel outil pour accompagner les entrepreneurs face à la flambée des prix énergétiques. Son objectif est aussi de faciliter leur décision lors du renouvellement de leurs contrats de fourniture d'énergie.
Il y a 2 ans et 175 jours

24 nouveaux industriels et distributeurs s’engagent aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment à préserver le niveau d’activité du BTP

Ce contexte, qui plonge les entreprises artisanales du bâtiment dans une situation d’imprévisibilité inédite, menace la croissance du secteur dans son ensemble. Pour préserver le niveau d’activité de la filière, la CAPEB avait lancé, en avril dernier, un appel à la solidarité économique aux acteurs de la filière. A l’époque, 8 industriels et distributeurs [1] avaient répondu présents. Aujourd’hui, 24 partenaires [2] les rejoignent pour s’engager aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment et faire face ensemble à cette crise sans précédent.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Le marché ne pourra pas continuer à subir des hausses de coûts des matières premières telles que nous le vivons aujourd’hui et les prévisions indiquent que la situation ne va pas s’améliorer en 2023. Nous devons impérativement agir collectivement pour limiter au plus juste l’impact de la hausse du coût des matériaux. Nous nous félicitons aujourd’hui de la décision des acteurs de s’engager dans une démarche de solidarité économique au sein de la filière. Elle est pour nous essentielle si nous voulons parvenir à maintenir l’activité et accélérer la contribution du secteur à la transition énergétique. »Depuis plusieurs mois, la CAPEB ne cesse de faire part de son inquiétude quant à la hausse continue du prix des matériaux et son impact significatif sur l’activité des petites entreprises du bâtiment. Pour ce 3e trimestre 2022, les conséquences de ces hausses s’accentuent. La croissance de leur activité ralentit, passant de 3% à 2% en volume alors que le contexte de prix des matériaux demeure très dégradé, et que la crise énergétique pèse de plus en plus lourdement sur les entreprises artisanales qui font état de besoin en trésorerie important (15% des entreprises déclarent des besoins de trésorerie, pour un montant moyen de 22.000€) et d’une détérioration de leurs marges (solde d’opinion à -39 points, avec 42% des entreprises rapportant une baisse de leurs marges). Les difficultés que rencontrent les entreprises artisanales du bâtiment ont nécessairement des répercussions dommageables pour l’ensemble de la filière du bâtiment, car, rappelons-le, elles représentent 95% des entreprises de la branche.Ainsi, Frans Bonhomme, Knauf Insulation, Wurth, Wienerberger, rejoignent le rang des signataires de la déclaration commune, initiée en avril dernier.La CAPEB note, également, avec satisfaction, l’engagement renouvelé de Saint Gobain Distribution Bâtiment France et de ses sociétés associées (POINT.P, Cedeo et Brossette, La Plateforme du Bâtiment, PUM Plastiques, Asturienne, SFIC, Dispano, Décocéram, CDL Elec), ainsi que la confirmation de l’engagement du Groupe Herige et de ses trois sociétés (VM, Atlantem, Edycem), de Weber, d’Isover, de Placo, de Pladur, de l’ORCAB, sur les engagements ci-dessous :informer au préalable leur client des hausses de prixémettre des devis valables au moins un mois (hors produits à court)augmenter leur prix seulement le 1er de chaque moisPour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Autant d’engagements, pris dans le cadre d’une démarche inter-filière inédite, qui sont très encourageants afin que la filière dans son ensemble et les entreprises artisanales du bâtiment que je représente parviennent à sortir par le haut de la crise que nous traversons. Nous continuerons à porter cette voix dans d’autres hémicycles, tels que l’Assemblée nationale. »
Il y a 2 ans et 175 jours

NOUVELLE DÉNEIGEUSE SANS FIL GE-ST 36/40 Li-E-Solo – L’OUTIL FILAIRE INDISPENSABLE ALLIANT PUISSANCE ET RÉSISTANCE

EINHELL, spécialiste de l’outillage électroportatif destiné aux travaux d’intérieurs et d’extérieurs, présente sa nouvelle déneigeuse sans fil GE-ST 36/40 Li-E-Solo. Dotée d’un puissant moteur sans charbon et d’un variateur de vitesse, la machine autoportante dégage, sans effort, la neige des allées piétonnes et carrossables, des pas de portes, etc. De plus, elle dispose de deux […]
Il y a 2 ans et 175 jours

Eolien, solaire, pompe à chaleur : l'Europe propose un texte "d'urgence"

ÉNERGIES RENOUVELABLES. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s'est félicitée d'un plan qui devrait simplifier les processus d'autorisation d'énergies renouvelables. L'Union européenne souhaite à la fois sortir de sa dépendance aux hydrocarbures russes et atteindre ses objectifs environnementaux.
Il y a 2 ans et 175 jours

Solaire, pompes à chaleur : l'UE veut simplifier et accélérer les autorisations

Dans le cadre de l'ambitieux plan climat européen, un projet législatif visant à renforcer le déploiement des énergies renouvelables avait déjà été présenté par la Commission en juillet 2021, et fait actuellement l'objet de négociations serrées entre les eurodéputés et les Etats membres.En attendant l'accord final sur ce texte et sa transposition dans les droits nationaux, Bruxelles propose donc des mesures provisoires applicables dès leur approbation par les Etats et sans consultation du Parlement européen, en vue de "remédier au +goulet d'étranglement+ des procédures d'autorisation qui entravent le déploiement accéléré des projets".L'objectif est de cibler "les technologies spécifiques et projets qui ont le plus grand potentiel de déploiement rapide et le moins d'impact sur l'environnement, pour contribuer à notre sécurité énergétique" à l'heure où l'UE cherche tous azimuts à réduire sa dépendance aux hydrocarbures russes.L'exécutif européen propose que les infrastructures d'énergies renouvelables soient "présumées d'intérêt public supérieur", permettant aux nouvelles procédures d'autorisation de bénéficier d'une "évaluation simplifiée" et des dérogations prévues dans les réglementations environnementales.Par ailleurs, afin d'accélérer le déploiement des pompes à chaleur, Bruxelles veut accélérer les procédures d'octroi de permis, qui ne pourront plus excéder trois mois. Les connexions au réseau seront automatiquement autorisées pour les pompes jusqu'à 12 kW.La Commission propose également de restreindre à un délai maximum d'un mois le processus d'autorisation pour l'installation de panneaux photovoltaïques sur des bâtiments ou structures existantes, et pour leur connexion au réseau. Ces installations solaires seraient exemptées d'évaluation d'impact environnemental. Et pour les petites installations, Bruxelles suggère même que l'approbation soit tacite, via la notion de "silence administratif positif".Enfin, pour toute augmentation de la puissance des infrastructures d'énergies renouvelables existantes (solaire, parcs éoliens, géothermie...), l'octroi du permis devra prendre au maximum six mois, en incluant les évaluations environnementales, lesquelles seraient restreintes.Dans ce cadre, la procédure d'autorisation pour des raccordements aux réseaux d'électricité de toutes les infrastructures d'énergies renouvelables sera limitée à un mois et drastiquement simplifiée, dans les cas où l'augmentation de la capacité totale ne dépasse pas 15%.Gonfler la puissance des sites existants "offre un potentiel important pour augmenter rapidement la production d'électricité à partir de toutes les sources renouvelables", selon la Commission.D'ici juillet 2023, Bruxelles pourra proposer de prolonger l'application de ces mesures d'urgence si elle le juge nécessaire, notamment "en fonction de l'évolution de la sécurité d'approvisionnement et des prix de l'énergie".Avec cette proposition, "d'une durée et d'une portée limitées", "nous pourrons débloquer une myriade de projets d'énergies renouvelables dès les douze prochains mois", a fait valoir la présidente de la Commission Ursula von der Leyen devant le Parlement européen."D'après l'Agence internationale de l'énergie (AIE), nous pourrions déjà remplacer 14 milliards de m3 de gaz l'an prochain (...) rien qu'en accélérant les procédures d'autorisation de ces projets", a-t-elle indiqué.Les capacités des énergies renouvelables dans l'UE devraient gonfler de plus de 50 GW en 2022, une année record, dont un accroissement de 40 GW pour les seules installations solaires photovoltaïques, principalement des panneaux sur toiture, selon la Commission. Mais le déploiement du solaire doit s'accélérer à 60 nouveaux GW/an pour atteindre les objectifs de renouvelables pour 2030, avertit-elle.
Il y a 2 ans et 175 jours

L'automne pourrait être plus doux que prévu pour l'économie française

L'économie française pourrait ainsi observer une "très légère hausse" de son PIB au quatrième trimestre et non une stagnation comme initialement prévu, a indiqué mercredi la Banque de France dans son enquête mensuelle de conjoncture.Cette prévision, non chiffrée, est "entourée d'une très forte incertitude notamment à cause du contexte international", a déclaré Olivier Garnier, directeur général des Statistiques, études et international, lors d'une présentation."A ce stade (...) on penche plutôt du côté d'un petit aléa positif par rapport à notre prévision initiale de zéro croissance au quatrième trimestre", a-t-il ajouté.Fin octobre, l'Insee avait annoncé de son côté tabler sur une croissance nulle au quatrième trimestre, après une faible progression du PIB (+0,2%) pendant l'été, que plusieurs économistes présentaient comme l'ultime sursaut de l'économie française.La prévision de l'Institut national de la statistique pour l'ensemble de 2022 (+2,6%) rejoint toutefois celle de la Banque de France.Le gouvernement compte lui sur une croissance annuelle de 2,7% et met en exergue le faible écart entre ces différentes prévisions, compte tenu des incertitudes.Les trois "R"Si la Banque de France ne mentionne pas explicitement la guerre en Ukraine, elle note cependant que le contexte international et notamment la situation géopolitique font peser de nombreuses incertitudes sur la croissance, tout comme l'impact de la météo sur les approvisionnements en énergie. Sur le long terme, elle anticipe un cycle économique qui se résume en trois "R" : résilience, ralentissement et reprise en 2024.L'enquête mensuelle de conjoncture menée auprès des entreprises montre que ces dernières restent relativement confiantes et que la phase de résilience se prolonge.Dans le détail, l'activité dans les services marchands et l'industrie a progressé en octobre et stagné dans le bâtiment. Les entreprises s'attendent à une tendance similaire en novembre.En utilisant des données d'autres secteurs, la Banque de France estime que le PIB d'octobre sera en léger repli par rapport à septembre, notamment en raison d'une baisse dans l'énergie, le commerce et les transports, mais elle anticipe une reprise en novembre.L'enquête de l'institution, qui a interrogé environ 8.500 entreprises entre fin octobre et début novembre, signale deux points d'amélioration, les difficultés d'approvisionnement et le rythme de la hausse des prix, qui restent tous deux à des niveaux élevés mais n'augmentent pas.Les carnets de commande des entreprises restent "bien garnis", mais les difficultés de recrutement, si elles "n'augmentent plus", restent elles aussi importantes.L'angoisse de l'énergieLa Banque de France alerte sur les difficultés de trésorerie, notamment des entreprises industrielles, "avec une dégradation qui se confirme".Olivier Garnier a toutefois nuancé en disant ne pas constater de difficultés particulières sur les remboursements des prêts garantis par l'Etat accordés aux entreprises pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire.L'institution a également commencé à interroger les entreprises à propos de l'impact de la flambée des prix de l'énergie sur leur activité et leurs marges.S'il a été limité en octobre, avec un quart des entreprises qui ont observé un impact sur leur activité (et seulement 7% un fort impact), l'inquiétude est plus importante pour les trois prochains mois.Plus d'un tiers des entreprises des trois secteurs confondus (industrie, services et bâtiment) se disent inquiètes pour leur activité au cours du prochain trimestre et cette proportion monte à plus de 60% dans l'industrie et le bâtiment quand il s'agit de leurs marges.L'inquiétude varie selon la quantité d'énergie nécessaire au processus de production, précise la Banque de France, et la période "reste difficile" pour les entreprises.
Il y a 2 ans et 175 jours

Conforté par la loi d'accélération des ENR, le solaire se positionne sur la prochaine PPE

DÉCRYPTAGE. Surfant sur une excellente dynamique, la filière du solaire photovoltaïque salue les mesures qui lui sont destinées dans la loi d'accélération des énergies renouvelables, qui vient de passer l'étape du Sénat. Et avance maintenant ses pions en vue de la révision de la Programmation pluriannuelle de l'énergie, tout en pointant certains obstacles persistants.
Il y a 2 ans et 175 jours

Une filiale de Vinci mise en examen par la justice française dans le cadre de ses chantiers au Qatar

Vinci Constructions Grands Projets (VCGP) a été mise en examen par un juge d'instruction de Nanterre (Hauts-de-Seine) des chefs de "soumission à des conditions de travail ou d'hébergement incompatibles avec la dignité", "obtention de la fourniture d'une personne en situation de vulnérabilité ou de dépendance de services, avec une rétribution sans rapport" et "réduction en servitude", a indiqué le parquet de Nanterre, sollicité par l'AFP.C'est "un signal fort de l'institution judiciaire" car "ce n'est pas rien, en France, de s'attaquer à une entreprise du CAC40", a réagi Sandra Cossart, la directrice de l'ONG Sherpa qui avait déposé plainte avec constitution de partie civile. Mais "ce n'est pas une victoire, car ce n'est qu'une mise en examen, l'enquête continue", a-t-elle ajouté.Le dossier remonte à 2015, et une première plainte avait été classée sans suite en 2018. Mais des plaintes avec constitution de partie civile émanant des associations Sherpa et Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), ainsi que d'ex-employés indiens et népalais de ces chantiers, ont entraîné l'ouverture d'une enquête par un juge d'instruction en novembre 2019.Une perquisition au siège du groupe Vinci à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) avait eu lieu en décembre 2020.Trois chantiers sont décriés par les plaignants: celui du "métro léger" ralliant Doha à Lusail, ville nouvelle qui accueillera la finale de la Coupe du monde de football ; celui des parkings souterrains de Lusail ; ainsi que ceux du chantier de l'hôtel de luxe Sheraton, au coeur de Doha."Historique"Le représentant du groupe, lors de sa convocation devant le juge d'instruction, s'est "borné à exprimer une protestation portant sur l'insuffisance du délai consenti aux avocats pour élaborer les réponses utiles et le choix intempestif de la date à quelques jours de l'ouverture de la Coupe du monde de football", a déclaré Me Versini-Campinchi à l'AFP.VCGP "va immédiatement former un appel tendant à voir prononcer par la Chambre de l'instruction de Versailles la nullité de cette mise en examen", a averti l'avocat, en raison notamment d'une infraction visée qui n'existait pas dans le Code pénal au moment des faits reprochés. Le magistrat a cependant "réduit la période de prévention" de cette infraction pour cette raison, a expliqué l'avocat.Selon les témoignages recueillis à l'époque par l'ONG Sherpa, les employés immigrés de Vinci sur certains chantiers ont dit avoir travaillé, passeport confisqué, entre 66 et 77 heures par semaine. Et ils auraient été entassés dans des chambres exiguës aux sanitaires insuffisants, percevant des rémunérations sans rapport avec le travail fourni, menacés de licenciement ou de renvoi dans leur pays en cas de revendications."J'ai commencé à vomir (...) à cause du gaz, de la fumée, du pétrole", a témoigné un plombier, affirmant avoir travaillé jusqu'à 30 mètres de profondeur sans masque à oxygène.Un audit réalisé en janvier 2019 par plusieurs organisations syndicales (CGT, CFDT et CFE-CGC) au sein des activités qataries de Vinci a néanmoins conclu à l'existence de bonnes pratiques sur place en matière d'emploi. La directrice de l'ONG Sherpa estime cependant que s'il y a eu des "améliorations volontaires (...) ça ne dédouane pas l'entreprise des actions répréhensibles qui auraient été commises entre 2011 et 2014"."Cette mise en examen est historique et un pas de plus vers la lutte contre l'impunité et la responsabilisation des multinationales", s'est réjouie de son côté l'avocate de Sherpa, Ingrid Metton."Aucun des projets" attribués à Qatari Diar Vinci Construction (QDVC) "n'est lié" à la Coupe du Monde au Qatar et ils ont été "attribués (...) avant que l'organisation de cette compétition ait été attribuée" (en 2010) à ce riche émirat du Golfe, affirme de son côté Vinci. Il rappelle que les projets ont porté "à l'essentiel sur des infrastructures de transport".
Il y a 2 ans et 175 jours

Avec la nouvelle offre de location de portes automatiques Portalp, les commerces sont en route vers la sobriété énergétique !

Contrairement aux portes manuelles, en se fermant systématiquement après passage, les portes automatiques piétonnes permettent de réaliser des économies d’énergie d’environ 20 %. Mais si elles sont largement répandues dans les centres commerciaux, leur installation représente un poste de dépense important pour les petits commerces. Or, dans le cadre du plan de sobriété énergétique, ces derniers se trouvent aujourd’hui dans l’obligation de respecter le décret publié le 5 octobre 2022 qui impose, sous peine de sanction, de fermer les ouvrants des locaux chauffés ou climatisés. Premier fabricant français de portes automatiques piétonnes, Portalp propose déjà une offre globale de produits et services (installation, mise en service, maintenance, dépannage) adaptés aux petits commerces et aux Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). Aujourd’hui, pour les aider à se mettre en conformité avec un budget maîtrisé, l’entreprise familiale lance le leasing Portalp. Elle leur offre ainsi la possibilité de louer ces équipements tous services inclus. Un nouveau service Portalp opportun pour s’équiper en toute sérénité Conscient que l’installation d’une porte automatique peut constituer un frein financier au moment de l’achat, Portalp met en place, en partenariat avec Locam, une offre de financement destinée à aider les commerces et locaux d’activité tertiaire dans l’installation et l’entretien de tout type de porte automatique ou autre système d’accès, sans dépasser leur budget. Adaptée à chaque situation grâce à un paiement échelonné sur 24 à 60 mois, cette offre leur permet de profiter d’équipements répondant parfaitement à leurs usages, sans investissement considérable à l’achat. Seules des mensualités fixes apparaissent en charge d’exploitation. Tout inclus, cette formule comprend : la dépose des anciennes solutions d’accès et de fermeture, la fourniture et la pose de nouveaux équipements sur-mesure adaptés aux besoins et attentes de chacun (porte coulissante, télescopique, antipanique, ronde ou cintrée, à rupture de pont thermique, coupe-feu, opérateur de portes battantes), l’expertise et les conseils d’un fabricant de portes automatiques et intégrateur de solutions d’accès, un contrat de maintenance conforme à la législation (2 visites d’entretien annuelles) ou sur mesure pour des dépannages rapides 24h/24 – 7j/7 grâce à un large réseau d’agences sur toute la France, l’assurance de bénéficier de pièces de rechanges constructeurs. A l’issue du contrat de location, le commerçant peut choisir de le renouveler avec un équipement neuf ou d’acquérir son installation en souscrivant, conformément à la réglementation, à un contrat de maintenance standard ou ajusté à son besoin. Une réponse efficace pour limiter les déperditions thermiques Dans un contexte de crise énergétique et suite au plan de sobriété lancé par le gouvernement, l’installation de portes automatiques constitue une source d’économie d’énergie manifeste. En effet, dans les commerces, les portes, lorsqu’elles s’ouvrent, provoquent inévitablement des déperditions. En hiver, le froid glacial s’engouffre à l’intérieur et en été, c’est la chaleur étouffante. Le chauffage ou la climatisation se mettent en route, entraînant une augmentation de la consommation énergétique. Pour réduire cet échange thermique intérieur extérieur, Portalp propose trois solutions : automatiser la porte battante existante avec l’opérateur électromécanique ISO3, simple et rapide à mettre en œuvre, remplacer la porte d’entrée par une porte automatique coulissante telle que la porte Diva RS peu énergivore, permettant aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires d’accessibilité tout en réalisant des économies, installer un kit retrofit RS pour bénéficier d’un opérateur connecté nouvelle génération sur un ancien modèle de porte automatique. Quelle que soit la version choisie, les nombreux réglages disponibles (vitesses d’ouverture et fermeture, accélération des vantaux, largeurs d’ouverture, etc.) permettent d’optimiser encore davantage le fonctionnement des portes automatiques. Ouvertes quand cela est nécessaire et refermées aussitôt que possible, elles limitent le temps d’ouverture intelligemment. Elles contribuent ainsi à la sobriété énergétique de l’installation tout en assurant la sécurité sanitaire en évitant tout contact. Enfin, les portes automatiques garantissent une fermeture fiable et systématique. Au-delà de rendre accessible l’installation d’une ouverture automatique, la nouvelle offre de location Portalp constitue surtout un levier de consommation plus responsable en offrant aux clients du fabricant de portes automatiques piétonnes une liberté d’agir durablement et de privilégier l’usage. À PROPOS DE PORTALP Fondé en 1962, Portalp, fabricant français de portes automatiques, propose une offre globale de produits et de services pour la sécurité et l’accès du bâtiment dans les secteurs du commerce, du tertiaire, de la santé, du transport grâce à ses sept filiales métiers (Accor Solutions, Delebecque, Facilliance, TM Agencement, Deveugle, Sotelem et L2A). Groupe indépendant dont le siège social est basé à Domont (région parisienne), il a implanté son centre de développement et de production près de Grenoble. Misant sur son Origine France Garantie et sur la proximité, Portalp s’appuie sur son réseau de 27 agences régionales réparties en France, six agences export dans le monde (Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et USA) ainsi que 40 distributeurs partenaires présents sur les continents. En 2021, l’entreprise, qui emploie plus de 1000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 123 millions d’euros. www.portalp.com
Il y a 2 ans et 175 jours

Cheminées Poujoulat surfe aux côtés d’Hina Conradi

Fidèle à son engagement d'accompagner la performance des jeunes sportifs, pour les aider à atteindre leurs objectifs, Cheminées Poujoulat est heureux de démarrer une nouvelle histoire aux côtés de Hina Conradi, l'une des figures montantes de la nouvelle génération de surfeuses, dans son ambitieux projet sportif. L'ascension fulgurante d'Hina !Hina voit le jour en 2004 sur l'Ile de La Réunion et démarre le surf à 4 ans. À l'âge de 9 ans, en raison de la crise requin, elle rejoint la métropole, d'abord du côté des plages landaises à Capbreton, puis à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, en Vendée, où elle intègre le club emblématique « Le Surfing ». En 2017, elle est sélectionnée en équipe de France junior et en 2018 elle est admise au Pôle France à Biarritz.Depuis, la jeune championne a participé à de nombreuses compétitions et enchaîne les succès. En 2019, elle remporte les Championnats de France Cadette. Plus récemment, en avril 2022, elle signe un doublé lors de la Maider Arostéguy à Biarritz et décroche une 3e place aux Championnats du Monde Junior à El Salvador en juin 2022 !Et après ? Hina a choisi de mettre ses études entre parenthèses, le temps d'une année, pour se consacrer au surf à 100 %, avec un objectif rêvé : celui d'une sélection pour les JO 2024 de Paris et ceux de 2028 à Los Angeles.« Ce qui me plaît dans le surf, c'est que c'est un sport extrême qui se pratique en milieu naturel, sans aucune maîtrise des éléments. Le surf me fait me sentir libre ! », partage Hina Conradi.Avec Poujoulat, des valeurs partagéesLa connexion entre Cheminées Poujoulat et Hina Conradi s'est faite immédiatement et tout naturellement. « Lorsque nous avons rencontré Hina Conradi, nous avons été séduits par sa bonne énergie et ses valeurs. C'est une jeune sportive en pleine ascension, ambitieuse, avec des objectifs que nous avions envie de soutenir. L'accompagnement de jeunes sportifs est une marque de fabrique chez nous », précise Gwendal Danguy Des Déserts, Responsable Communication et Marque chez Cheminées Poujoulat.« Quand une marque comme Cheminées Poujoulat s'intéresse à vous, c'est forcément positif ! J'ai tout de suite été mise en confiance, avec le sentiment qu'ils avaient vraiment envie de m'aider à atteindre mes objectifs », raconte Hina Conradi.« L'intégration d'Hina Conradi symbolise chez Cheminées Poujoulat l'arrivée d'une nouvelle vague de sportifs. Dans le Groupe Poujoulat, nous défendons depuis 2020 un projet d'entreprise baptisé Relations Positives. Cela va se traduire en actes dans notre programme de sponsoring avec une attention particulière portée sur la diversité, l'inclusion, et bien sûr le respect de notre environnement. La pratique du surf requiert cette sensibilité à la nature », rappelle Gwendal Danguy Des Déserts.Cheminées Poujoulat et le sport, une longue histoireC'est une histoire qui a démarré au début des années 2000, et dans laquelle ont embarqué de nombreuses et nombreux sportifs dont Bernard Stamm et Robin Folin en voile, Baptiste Masotti en squash, Laura Phily en ski nautique, et bien-sûr de nombreux clubs comme le Niort Rugby Club, les Chamois Niortais FC, ou encore le Volley-Ball Pexinois Niort.« Aider les jeunes athlètes, c'est une constante chez Cheminées Poujoulat. Et une politique que l'on retrouve aussi en interne, puisque l'on accueille chez nous beaucoup d'alternants, de stagiaires et de jeunes que nous formons. L'envie de transmettre nos savoir-faire aux jeunes générations, c'est aussi dans notre ADN », explique Gwendal Danguy Des Déserts
Il y a 2 ans et 175 jours

Ille-et-Vilaine : prolongement du filin de sécurité du barrage de la Rance à Saint-Malo

À Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), des travaux de sécurisation ont été réalisés autour du barrage de la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 175 jours

Renforcement des dispositifs d'aides aux entreprises impactées par les prix de l'énergie

Pour la fin de l'année 2022 et pour 2023, le Gouvernement a annoncé fin octobre le renforcement des dispositifs d'aides aux entreprises impactées par la hausse des prix de l'énergie. Explications.
Il y a 2 ans et 175 jours

Abloy Beat, une clé 100% digitale pour la sécurité des infrastructures critiques

Cette clé s’applique sur tous types d’accès et s’adapte à tous les environnements, même les plus atypiques. Ainsi, BEAT contrôle à distance et en temps réel des zones inaccessibles jusqu’à présent telles que des portes, des trappes, des armoires ou encore des grilles, etc.Les organisations ont un besoin croissant de sécuriser leurs accès avec une solution digitale, sans clé physique, mais toujours hautement sécurisée. Que ce soit pour compléter leur installation existante ou pour avoir une solution autonome, ce besoin se fait particulièrement sentir dans les zones reculées ou dans les cas où l’utilisation d’une clé physique comporte un risque de corruption ou un danger pour l’utilisateur.ABLOY BEAT, une nouvelle dimension de haute sécurité digitaleDédiée au secteur de l’eau, de l’énergie, des télécommunications, du transport ou encore de la logistique, cette offre, unique sur le marché, répond aux besoins directs des différentes infrastructures critiques. BEAT apporte une solution pour renforcer la sécurité des sites sensibles en multipliant le nombre de points de contrôle des accès atypiques (portes, trappes, armoires, grilles, etc).La clé digitale utilisée pour toute la gamme de produits BEAT permet de piloter l’ensemble des éléments de verrouillage à distance et en temps réel via un smartphone et les identifiants Seos®. Ainsi, un administrateur peut déverrouiller de chez lui et à n’importe quel moment une installation pour permettre à un utilisateur d’accéder sur un site.La technologie Seos® garantit une sécurité optimale sur l’ensemble des infrastructures critiques et permet à la clé digitale d’être protégée par une technologie d’identification de premier rang. Fournie par HID Global, une société du groupe ASSA ABLOY, l’application Seos® assure une sécurité par deux clés de cryptage (privée et publique - PKI), offre une communication sécurisée de bout en bout et une approche IoT moderne permettant des fonctionnalités poussées d’analyse et de surveillance à distance.Grâce à l’interface CIPE Manager, les clés, serrures et droits d’accès peuvent être gérer de n’importe où et à tout moment. Ce superviseur assure une gestion décentralisée des différents points d’accès sur les sites distants. ABLOY BEAT peut être géré avec CIPE Manager ou par un système tiers, à l’aide d’intégration via API ou SDK.ABLOY BEAT, une solution unique de contrôle d’accès basée sur la technologie Bluetooth Low EnergyLa communication basée sur la technologie Bluetooth Low Energy (BLE) offre aux infrastructures critiques la possibilité de piloter à distance l’ensemble de leurs dispositifs de verrouillage. De par le développement de l’offre de produit ABLOY BEAT et l’intégration d’un gateway dans la solution, BEAT permet de piloter depuis n’importe où et n’importe quand l’ensemble des produits d’une infrastructure critique.“Notre innovation apporte également une maîtrise complète des sites pour suivre en temps réel l’état des produits de verrouillage. De ce fait, l’administrateur peut savoir si les portes sont bien verrouillées et être alerté de la moindre activité suspecte. Le gateway, disponible dans notre offre de produits, est autonome en énergie et en communication, ce qui en fait un allié de taille pour les infrastructures critiques.” indique Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions.ABLOY BEAT, une offre de produits digitales en constante progressionL’offre de produits digitale d’ASSA ABLOY a été imaginée pour répondre aux besoins futurs en offrant des solutions de sécurité et de contrôle d’accès de haut niveau pour répondre aux exigences les plus strictes en matière de protection des infrastructures critiques. Ainsi, pour que les utilisateurs puissent bénéficier d’une expérience 100% digitale, ASSA ABLOY a récemment fait évoluer son offre BEAT et propose, désormais, une gamme de solutions intégrant un cadenas, un contrôleur, un cylindre, une poignée rotative, un tube de dépôt de clé et un gateway.
Il y a 2 ans et 175 jours

La qualité à l'épreuve des crises

Les logements sociaux neufs doivent prendre en compte le confort thermique, l'usage et la performance environnementale. Et composer avec un contexte inédit de baisse de financements et de flambée des coûts.
Il y a 2 ans et 176 jours

comment les solutions de personnalisation cheminees poujoulat embellissent l experience chauffage des utilisateurs

L’envie d’embellir son intérieur et de le personnaliser est une tendance profonde chez les consommateurs. Que ce soit en neuf ou en rénovation, ils sont à l’écoute et en recherche de solutions pour améliorer leur habitat. L’installation de chauffage n’échappe pas à cette tendance, et la gamme de solutions et accessoires de personnalisation développée par Cheminées Poujoulat ne devrait pas être pour leur déplaire.
Il y a 2 ans et 176 jours

Les énergies renouvelables, une cagnotte pour les caisses de l'État en 2022 et 2023

DÉCRYPTAGE. L'ensemble des filières ENR devrait rapporter un beau montant de recettes cumulées au budget de l'État au titre des exercices 2022 et 2023, indique la Commission de régulation de l'énergie (CRE). L'éolien terrestre et le solaire photovoltaïque en seront les plus gros contributeurs.
Il y a 2 ans et 176 jours

Les énergies renouvelables vont apporter 31 milliards d'euros à l'Etat en 2022 et 2023

Le gendarme de l'énergie, qui en juillet estimait ce montant à 8,6 milliards d'euros, a revu ses prévisions à la hausse, à la faveur de la montée des prix de marchés de l'électricité. "La CRE prévoit, dans les conditions actuelles de prix de gros, que toutes les filières d'énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l'Etat", note-t-elle.Dans cet ensemble, l'éolien apporte l'essentiel des recettes, à hauteur de 21,7 milliards d'euros, la filière photovoltaïque pour 3,5 milliards,la filière hydraulique pour 1,7 milliard, et le biométhane injecté dans les réseaux de gaz pour 0,9 milliard.La France doit cette situation favorable à l'existence depuis 2003 d'un mécanisme de soutien aux renouvelables particulier: l'Etat garantit un certain niveau de prix d'achat de l'électricité aux opérateurs d'énergies renouvelables, qui en revanche reversent la différence quand les prix du marché dépassent ce prix garanti - ce qui est le cas aujourd'hui.A ce rythme, le secteur des énergies renouvelables devrait ainsi avoir remboursé prochainement tout ce qu'il a reçu depuis vingt ans. Ces recettes pour le budget de l'Etat contribueront à financer les boucliers tarifaires et amortisseurs destinés à protéger consommateurs et entreprises de la flambée des prix de l'énergie, rappelle la CRE.Mais alors que le contexte des prix de marchés est plus favorable aux producteurs, la CRE alerte aussi mardi sur les résiliations anticipées de ces contrats de soutien par certains producteurs d'EnR: en juillet, ces demandes de résiliation concernaient une puissance installée cumulée de 1,3 gigawatt (GW) ; à fin septembre, ce volume dépassait 3,7 GW.Ces annulations entraîneront une perte cumulée de 6 à 7 milliards d'euros pour l'Etat sur 2022 et 2023, estime à ce stade la CRE."Ces installations n'ont pu être développées que grâce au soutien financier de l'Etat dont elles ont bénéficié sur des durées généralement supérieures à 10 ans. Il est tout à fait anormal que les producteurs concernés sortent des contrats garantis par l'Etat à quelques années de leur échéance pour profiter des prix de gros élevés", ajoute la commission, qui recommande de renforcer la taxation des rentes infra-marginales prévues par l'UE pour ces installations.
Il y a 2 ans et 176 jours

Les artisans du bâtiment portés par la rénovation dans un contexte de plus en plus tendu

Au troisième trimestre, l'activité a progressé de 2% par rapport à la même période de 2021, selon les estimations de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Un ralentissement par rapport aux 3% du deuxième trimestre et aux 3,5% du premier, qui alimente des incertitudes de la Capeb pour la seconde moitié de l'année 2023."Il y a un effet de cycle de toutes façons, qui après la Covid se traduit par un ralentissement, puisque post-Covid, en 2021, on a eu un rattrapage très important, donc cet effet-là s'est un peu aplani et on est revenu à une situation normale", a développé en conférence de presse Alain Chouguiat, directeur des affaires économiques de la Capeb.Comme depuis la mi-2021, c'est l'entretien-rénovation qui croît plus rapidement que l'activité dans la construction neuve (2% contre 1,5%), à l'inverse de la tendance qui prévalait avant la pandémie.Les travaux de rénovation énergétique, encouragés par l'Etat à travers des aides comme MaPrimeRénov' et un calendrier contraignant pour les propriétaires-bailleurs, ont particulièrement progressé, de 4% sur un an.En vertu de la loi Climat et résilience, les logements les plus énergivores vont être progressivement interdits à la location à partir de 2023. L'objectif est d'accélérer la rénovation énergétique des bâtiments, qui avec leur usage représentent plus d'un quart des émissions de gaz à effet de serre de la France.L'inflation, portée par les prix de l'énergie, continue de peser sur le secteur qui y est sensible. Ainsi, 89% des artisans ont déclaré l'avoir répercutée, au moins en partie, sur leurs tarifs depuis le début de l'année, en particulier les menuisiers-serruriers, les maçons et les électriciens.Les défaillances d'entreprises ont bondi de plus de 50%, du fait de l'arrêt des prêts garantis par l'Etat (PGE) octroyés pour faire face à la pandémie. Mais il continue d'y avoir plus de créations que de défaillances."Il y a des entreprises qui sont plus fragilisées, indépendamment du PGE, et qui ne sont pas armées pour faire face à des problèmes de trésorerie, d'organisation nouvelle...", a ajouté Alain Chouguiat.Pour la CAPEB, la croissance ralentit dans un contexte de plus en plus tenduLa croissance de l’activité de l’artisanat du bâtiment se poursuit, toujours tirée par les travaux en entretien-rénovation dont l’activité croît plus vite que celle de la construction neuve pour le sixième trimestre consécutif.L’activité d’entretien-rénovation progresse ainsi de 2%, grâce essentiellement aux travaux d’amélioration de performance énergétique des logements, dont le dynamisme ne faiblit pas et présente toujours une croissance en volume de 4% par rapport au troisième trimestre 2021.Quant à la construction neuve, son activité évolue plus lentement avec une croissance de 1,5% en volume. Si les logements autorisés à la construction continuent leur progression (+14% sur les 12 derniers mois à fin août 2022), les mises en chantier ne suivent pas avec une progression de 0,5% sur la même période.L’artisanat du bâtiment confirme ce trimestre un bon niveau des carnets de commandes qui devrait ainsi se traduire par une poursuite de la croissance en volume sur la fin de l’année (99 jours de travail à venir à début octobre 2022). Ce trimestre, les disparités régionales sont moins marquantes. Les différentes régions enregistrent une variation du niveau d’activité de l’artisanat du bâtiment en volume comprise entre +1,5% et +2,5% par rapport au troisième trimestre de l’année dernière. De plus, à l’exception de l’Île-de-France qui conserve le même rythme de croissance, toutes les régions voient ce rythme ralentir par rapport au deuxième trimestre 2022. Le ralentissement le plus marquant concerne la région Nouvelle Aquitaine avec une croissance de +1,5% ce trimestre soit une perte de vitesse de 2,5 points par rapport au deuxième trimestre 2022.Parmi les différents corps demétiers également, le ralentissement de la croissance est quasi général, à l’exception des travaux de maçonnerie pour lesquels la croissance reste stable. Certains ralentissements sont cependant plus importants que d’autres, notamment pour les travaux d’électricité qui voient leur croissance s’établir à +2% ce trimestre par rapport au troisième trimestre 2021, contre +4% au deuxième trimestre 2022.La tension sur les prix demeure présente et affecte toute la filière, se traduisant par une augmentation des coûts de la construction qui enregistrent au deuxième trimestre 2022 une augmentation de 8,0% sur un an (INSEE). Les indices de prix ont fortement grimpé pour plusieurs matériaux de construction, tout comme le cours de certains métaux. Le cours du zinc, notamment, a augmenté de 21,2% entre août 2021 et août 2022. L’indice de prix des « Autres produits minéraux non métalliques », qui inclut les tuiles et briques, souffre de l’accroissement du coût de l’énergie (+15,8% entre août 2021 et août 2022), tout comme les produits de la sidérurgie (+28,5%).Ces hausses se répercutent sur le prix des travaux en entretien amélioration (INSEE), particulièrement en plomberie (+12,4% entre le deuxième trimestre 2022 et le deuxième trimestre 2021), et en menuiserie (+13,2%). Par ailleurs, une proportion toujours importante d’entreprises fait état de besoins en trésorerie (15% à fin octobre 2022) pour un montant moyen de 22.000 € (en hausse de 2.000 € par rapport au précédent trimestre). Dans le même temps, les marges continuent à se dégrader avec un solde d’opinion largement négatif (-39 points) malgré la répercussion plus fréquente de la hausse des prix sur les prestations.L’artisanat du bâtiment a su se montrer résilient face à un contexte défavorable ce trimestre encore, et enregistre donc une croissance de son activité en volume malgré un ralentissement régulier qui se poursuivra sur les prochains mois. En effet, les ventes de logements anciens, indicatrices de l’activité future en entretien amélioration, ont stagné sur un an à juin 2022 bien qu’à un niveau élevé (1.157.000 logements). De plus, les crédits destinés à l’achat de logements anciens reculent au deuxième trimestre 2022 par rapport au deuxième trimestre 2021 (-3,3%). Enfin, les tensions persistantes sur le prix de l’énergie, et les hausses annoncées du prix de certains matériaux en début d’année prochaine constituent un risque réel pour 2023.
Il y a 2 ans et 176 jours

Macron propose un pacte de décarbonation aux industriels les plus émetteurs de CO2 en France

"Si des projets et des sites sont identifiés d'ici à 18 mois, si vous doublez vos efforts, si on arrive à passer des 10 millions de tonnes de CO2 évités à 20 millions instruits, nous doublerons les moyens consacrés à cet enjeu et passerons l'enveloppe de 5 à 10 milliards d'euros d'accompagnement", a lancé le chef de l'Etat aux industriels réunis à l'Elysée.Pour arriver à cet effort, le chef de l'Etat, tout juste de retour de la conférence mondiale sur le climat (COP27) à Charm el-Cheikh en Egypte, a aussi annoncé que le gouvernement allait dérouler une planification précise à six mois et dans les années à venir, "filière par filière".Ciment, aluminium, acier, engrais, sucre ou carburants: les dirigeants des cinquante sites industriels français les plus émetteurs de CO2, dont le Pdg de TotalEnergies Patrick Pouyanné, ont été reçus dans la salle des fêtes de l'Elysée.A eux seuls, ces 50 sites représentent 30.000 emplois et la moitié des émissions de l'industrie, soit 10% des émissions du pays. "Le but c'est de diminuer par deux les émissions de gaz à effet de serre de ces sites en dix ans, donc d'enlever 5% des émissions françaises", explique-t-on à l'Elysée. Ce sont les sites sidérurgiques d'Arcelor Mittal à Dunkerque ou Fos-sur-Mer, les cimenteries de Vicat, Lafarge ou Calcia, des usines chimiques du Grand Est, de l'étang de Berre ou de Normandie, les fabricants d'engrais Yara ou Borealis, la verrerie d'Arcques, les raffineries d'ExxonMobil et TotalEnergies en Normandie, Air Liquide en région PACA, ou les sites de production de sucre de Tereos et Cristal Union dans le nord de la France.Emmanuel Macron a insisté sur sa volonté d'accélérer la lutte contre le changement climatique, après un premier quinquennat jugé trop timoré en la matière par les spécialistes de l'environnement. Mais aussi de réindustrialiser."La décarbonation c'est un des éléments qui doivent nous permettre à continuer de créer de l'emploi industriel", a-t-il souligné."Pas amical"Le chef de l'Etat a surtout pointé la concurrence exacerbée de puissances économiques comme les Etats-Unis qui promettent des subventions publiques massives pour la décarbonation, avec un risque de désindustrialisation si les Européens ne suivent pas."Les Etats-Unis sont producteurs d'un gaz peu cher qu'ils vendent cher, et en plus ont pris des dispositifs d'aides massives sur certains secteurs", a-t-il dit."Ce n'est pas conforme aux règles de l'OMC et ce n'est pas amical", a-t-il insisté en promettant de mettre le sujet sur la table lors de sa visite d'Etat début décembre à Washington.S'adressant aux industriels, il a demandé que des "contrats de transition écologique" soient signés pour graver dans le marbre les efforts promis, site par site, et filière par filière aussi, sous l'égide du ministre de l'Industrie."Nous mettrons en ligne la carte de France des 50 sites" les plus émetteurs de CO2 pour suivre les progrès, a-t-il promis devant une carte de France géante montrant les émissions, où se distinguent le nord de la France avec 12 millions de tonnes de CO2 émises, suivie par le bassin de Marseille-Fos avec un peu plus de 10 millions de tonnes de CO2, et l'embouchure de la Seine en Normandie.Les cinq milliards d'euros supplémentaires annoncés mardi s'ajoutent aux 5 milliards déjà prévus dans le plan France Relance pour la décarbonation de l'industrie. Par ailleurs, la France a aussi prévu neuf milliards d'euros d'investissement pour le développement de l'hydrogène, qui est un des vecteurs puissants de la décarbonation de l'industrie.Il faut "sous six mois que le gouvernement puisse présenter un plan pour intégrer" ces montants "dans les travaux de programmation pluriannuelle de l'énergie", a précisé le président.La planification devra se faire "par technologie", a-t-il dit en évoquant aussi bien l'hydrogène - qui sera utilisé notamment par la sidérurgie en remplacement du charbon -, le développement de la biomasse pour remplacer le gaz, l'électrification des ports maritimes et fluviaux pour l'acheminement des marchandises, ou la capture et la réutilisation du co2.Lors de différentes présentations, les industriels présents ont de leur côté beaucoup insisté pour avoir accès à une source d'électricité "stable" et "massive", alors que les déboires techniques d'EDF dans ses centrales nucléaires sont encore loin d'être résolus.
Il y a 2 ans et 176 jours

Restauration du monastère fortifié de l’Ile Saint Honorat

Le monastère fortifié Saint-Honorat dans les Alpes Maritimes est un des rares exemples de tour-monastère fortifiée encore quasiment intacte avec un cloître à niveaux superposés. Le plan de relance a permis d’etamer une seconde tranche de travaux de restauration et de mise en sécurité du monastère, elle comprend aussi un suivi archéologique et des fouilles localisées. L’opération en cours actuellement consiste d’une part à stabiliser le monument en lui redonnant le clos-couvert et d’autre part à pérenniser l’ouverture au public et l’usage culturel et cultuel dans un paysage exceptionnel. Du point de vue technique, une prouesse particulière et remarquable de ce projet est de restituer une toiture à la double nef du « noyau A », parfaitement intégrée, ce qui rendra praticable et utilisable cet espace aujourd’hui visité dans son état de ruine. Les travaux en cours concernent la pose de l’écran solaire, des gardes-corps, caillebotis et ligne de vie dans le noyau A (complète la mise en place de la toiture en verre au-dessus de la double nef) ; la restauration du clos et couvert de la partie du cloître (restitution de la toiture du cloître), aménagement intérieur du noyau B et aménagement extérieur (maçonnerie, structure métallique, serrurerie/métallerie, charpente, couverture, électricité). En fin d’année, la tranche optionnelle 2 démarrera avec la restauration du clos et couvert de la partie sud – noyau C, et des intérieurs hors noyau principal (maçonnerie, serrurerie/métallerie, charpente, couverture, électricité). Source : Drac PACA Photo de la toiture en verre : CRMH – Drac PACA, photos du monument : Jean-Pierre Juigner  
Il y a 2 ans et 176 jours

Concilier travaux en secteur protégé et transition énergétique

A Caen, une maison destinée à être basse consommation (BBC) au cœur du Secteur Patrimonial Remarquable (SPR) est en cours de rénovation. Ce projet validé et accompagné par l’UDAP du Calvados présente une double contrainte : respecter l’environnement et le patrimoine. A l’appui de cette opération, la Maison de l’habitat mais aussi une architecte. Accompagnées et aidées (MaprimeRénov), ces opérations de rénovation rentrent en adéquation avec le plan d’urbanisme et permettent une conduite sereine du chantier. Depuis 2021, la ville de Caen est classé site patrimonial remarquable. Son périmètre s’étend sur 712 ha qui englobent le centre ancien, la ville classique, la ville de le reconstruction et les faubourgs du XIXe et début XXe. Le SPR dispose d’un outil de gestion, le règlement de l’aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine. Comme tous les règlements, celui du SPR de Caen est un recueil de prescriptions. Les élus ont souhaité également qu’il ait une portée pédagogique. Cette volonté se traduit de deux façons, dans la présentation du document d’une part, dans l’instauration de permanences hebdomadaires d’autres part, où les demandeurs rencontrent les élus, les services techniques et l’architecte des bâtiments de France. Cette démarche collégiale vers le public permet de conseiller et d’accompagner les maîtres d’ouvrage dans leurs projets situés en SPR. En jeu, concilier valorisation du patrimoine et transition écologique. Source et photo : Drac Normandie  
Il y a 2 ans et 176 jours

Trois textes augmentent les volumes de CEE et introduisent de nouvelles dispositions

L’obligation des CEE classiques et précarité augmente pour la Vème période. Les aides sous forme de CEE augmentent aussi en chauffage et pour l’installation d’une GTB.
Il y a 2 ans et 176 jours

Hauts-de-Seine : ma municipalité de Meudon prévoit d’utiliser la géothermie pour le chauffage d’un tiers de sa population

À Meudon (Hauts-de-Seine), la municipalité prévoit de déployer le système de géothermie pour assurer le chauffage des habitants de la...-Vie du BTP