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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18127 résultats)
Il y a 2 ans et 185 jours

Nouveau brise-soleil en kit

BLUETEK propose KOMETE, son nouveau brise-soleil en kit pour les installateurs et les Cmistes. Commercialisé via le négoce ou livré directement sur les chantiers de maisons individuelles neuves ou en rénovation, KOMETE est disponible en deux largeurs et deux longueurs standard, mais également sur-mesure. Posé “en casquette” il permet de maîtriser les apports solaires sans réduire les apports lumineux. En été, KOMETE réduit ainsi de 75% la chaleur générée par le rayonnement solaire tout en conservant 77% de la luminosité extérieure à l’intérieur de la maison. A l’inverse, en hiver, il n’empêche pas l’apport de calories du rayonnement solaire à travers les ouvertures vitrées lorsque que l’orbite du soleil est plus basse.
Il y a 2 ans et 185 jours

Nouveau brise-soleil en kit

BLUETEK propose KOMETE, son nouveau brise-soleil en kit pour les installateurs et les Cmistes. Commercialisé via le négoce ou livré directement sur les chantiers de maisons individuelles neuves ou en rénovation, KOMETE est disponible en deux largeurs et deux longueurs standard, mais également sur-mesure. Posé “en casquette” il permet de maîtriser les apports solaires sans réduire les apports lumineux. En été, KOMETE réduit ainsi de 75% la chaleur générée par le rayonnement solaire tout en conservant 77% de la luminosité extérieure à l’intérieur de la maison. A l’inverse, en hiver, il n’empêche pas l’apport de calories du rayonnement solaire à travers les ouvertures vitrées lorsque que l’orbite du soleil est plus basse. Cet article Nouveau brise-soleil en kit est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 185 jours

Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République

Dans le cadre de la discussion du projet de loi « Production d’énergies renouvelables » actuellement en première lecture au Sénat, et en raison de l’amendement proposé par la commission Développement durable du Sénat, visant à la suppression de l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les opérations d’installations photovoltaïques et d’installations thermiques dans les secteurs protégés et les Sites Patrimoniaux Remarquables, Martin Malvy, Stéphane Bern et plusieurs présidents d’associations patrimoniales ont co-signé une lettre à l’attention du Président de la République, Emmanuel Macron. Monsieur le Président de la République, Revient avec force la perspective d’un amendement parlementaire au texte du Projet de loi « Production d’énergies renouvelables » aboutissant à supprimer l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les implantations d’équipements producteurs d’électricité, en centres historiques. Nous sommes favorables au développement des énergies renouvelables. Comment ne le serait-on pas ? Mais les secteurs qui sont placés sous contrôle des Services de l’Etat et par l’entremise des Architectes des Bâtiments de France ne représentent que 6% de l’espace national. Portion infime sur laquelle ne pourraient être exposés que des équipements mineurs. Si la perspective qui consiste à fournir, à partir du patrimoine national, une vitrine aux producteurs d’électricité est effrayante, elle est donc – énergétiquement – purement symbolique et culturellement, esthétiquement, dramatique. Reprenons toutes et tous le discours de Malraux en 1962, défendant sa loi. Il a marqué l’histoire de notre Patrimoine et allons au passage où il imagine les quais de la Seine, en face de Notre-Dame, livrés sans règles aux promoteurs. Qu’il soit nécessaire d’engager le dialogue et de rechercher collectivement des solutions à l’adaptation de l’environnement – d’une manière générale – aux contraintes qui sont désormais les nôtres, bien sûr. Passer en force déboucherait sur une situation critique. Nous demandons avec insistance et détermination l’abandon pur et simple d’un tel projet à celles et ceux dont nous partageons le souci du développement durable mais dont l’adhésion à cette malheureuse idée nous ramènerait à une époque où la presse parlait de ” la France défigurée”. Elle aurait vite fait de renouer avec cette virulente critique. Monsieur le Président de la République, nous sommes convaincus que vous partagez ce sentiment et nous comptons sur votre soutien. Croyez Monsieur le Président de la République à l’assurance de nos sentiments les plus respectueux. Les Premiers signataires : Martin MALVY, Président de Sites & Cités remarquables de France, ancien Ministre Stéphane BERN, Chargé de mission pour le patrimoine en péril Gilles ALGLAVE, Président de Maisons Paysannes de France Jean-François CARON, Président des Biens Français du Patrimoine Mondial Yves DAUGE, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France, ancien sénateur et maire de Chinon, ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Alain DI STEFANO, Président des Plus Beaux Villages de France Françoise GATEL, Présidente des Petites Cités de caractère Philippe HUPPE, Président de Ville et Métiers d’Art Maître Alain de LA BRETESCHE, Président de Patrimoine-Environnement Julien LACAZE, Président de Sites et Monuments Christian LAPORTE, Président des Architectes du Patrimoine Christine LECONTE, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes Jean-Pierre LELEUX, Maire Honoraire de Grasse et ancien sénateur des Alpes- Maritimes, Ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Olivier de LORGERIL, Président de la Demeure Historique Hervé MARITON, ancien Ministre, maire de Crest et Président des Plus Beaux Détours de France Marie-Georges PAGEL-BROUSSE, Présidente de REMPART Jean ROUGER, ancien député, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France Fabien SENECHAL, Président des Architectes des Bâtiments de France Philippe TOUSSAINT, Président de Vieilles Maisons Françaises Louis VILLARET, Président du Réseau des Grands Sites de France
Il y a 2 ans et 185 jours

Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République

Dans le cadre de la discussion du projet de loi « Production d’énergies renouvelables » actuellement en première lecture au Sénat, et en raison de l’amendement proposé par la commission Développement durable du Sénat, visant à la suppression de l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les opérations d’installations photovoltaïques et d’installations thermiques dans les secteurs protégés et les Sites Patrimoniaux Remarquables, Martin Malvy, Stéphane Bern et plusieurs présidents d’associations patrimoniales ont co-signé une lettre à l’attention du Président de la République, Emmanuel Macron. Monsieur le Président de la République, Revient avec force la perspective d’un amendement parlementaire au texte du Projet de loi « Production d’énergies renouvelables » aboutissant à supprimer l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les implantations d’équipements producteurs d’électricité, en centres historiques. Nous sommes favorables au développement des énergies renouvelables. Comment ne le serait-on pas ? Mais les secteurs qui sont placés sous contrôle des Services de l’Etat et par l’entremise des Architectes des Bâtiments de France ne représentent que 6% de l’espace national. Portion infime sur laquelle ne pourraient être exposés que des équipements mineurs. Si la perspective qui consiste à fournir, à partir du patrimoine national, une vitrine aux producteurs d’électricité est effrayante, elle est donc – énergétiquement – purement symbolique et culturellement, esthétiquement, dramatique. Reprenons toutes et tous le discours de Malraux en 1962, défendant sa loi. Il a marqué l’histoire de notre Patrimoine et allons au passage où il imagine les quais de la Seine, en face de Notre-Dame, livrés sans règles aux promoteurs. Qu’il soit nécessaire d’engager le dialogue et de rechercher collectivement des solutions à l’adaptation de l’environnement – d’une manière générale – aux contraintes qui sont désormais les nôtres, bien sûr. Passer en force déboucherait sur une situation critique. Nous demandons avec insistance et détermination l’abandon pur et simple d’un tel projet à celles et ceux dont nous partageons le souci du développement durable mais dont l’adhésion à cette malheureuse idée nous ramènerait à une époque où la presse parlait de ” la France défigurée”. Elle aurait vite fait de renouer avec cette virulente critique. Monsieur le Président de la République, nous sommes convaincus que vous partagez ce sentiment et nous comptons sur votre soutien. Croyez Monsieur le Président de la République à l’assurance de nos sentiments les plus respectueux. Les Premiers signataires : Martin MALVY, Président de Sites & Cités remarquables de France, ancien Ministre Stéphane BERN, Chargé de mission pour le patrimoine en péril Gilles ALGLAVE, Président de Maisons Paysannes de France Jean-François CARON, Président des Biens Français du Patrimoine Mondial Yves DAUGE, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France, ancien sénateur et maire de Chinon, ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Alain DI STEFANO, Président des Plus Beaux Villages de France Françoise GATEL, Présidente des Petites Cités de caractère Philippe HUPPE, Président de Ville et Métiers d’Art Maître Alain de LA BRETESCHE, Président de Patrimoine-Environnement Julien LACAZE, Président de Sites et Monuments Christian LAPORTE, Président des Architectes du Patrimoine Christine LECONTE, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes Jean-Pierre LELEUX, Maire Honoraire de Grasse et ancien sénateur des Alpes- Maritimes, Ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Olivier de LORGERIL, Président de la Demeure Historique Hervé MARITON, ancien Ministre, maire de Crest et Président des Plus Beaux Détours de France Marie-Georges PAGEL-BROUSSE, Présidente de REMPART Jean ROUGER, ancien député, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France Fabien SENECHAL, Président des Architectes des Bâtiments de France Philippe TOUSSAINT, Président de Vieilles Maisons Françaises Louis VILLARET, Président du Réseau des Grands Sites de France Cet article Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 185 jours

Intégrer les énergies renouvelables – 3e édition

Choisir, intégrer et exploiter les systèmes utilisant les énergies renouvelables, la nouvelle édition de ce guide analyse dans le détail les points suivants : • Quel est le contexte législatif et réglementaire ? • Quels sont les systèmes utilisant les énergies renouvelables et leurs caractéristiques ? – systèmes solaires thermiques et photovoltaïques ; – systèmes de chauffage au bois ou à biomasse ; – systèmes éoliens ; – raccordement à des réseaux de chauffage ou de refroidissement collectifs à plusieurs bâtiments ou urbains ; – pompes à chaleur, etc. • Comment réaliser l’étude de faisabilité réglementaire ? • Comment intégrer ces systèmes dans le cadre bâti ? • Quelles sont les chaînes d’acteurs en jeu ? Le guide détaille aussi les modes de financement possibles, l’économie des projets en termes de coût global et les formes de contrats envisageables. Les professionnels (maîtres d’ouvrage publics et privés, entreprises de construction, architectes, bureaux d’études, assistance à maîtrise d’ouvrage, gestionnaires de patrimoine, etc.) trouveront dans ce guide les réponses à toutes les questions qu’ils se posent face aux choix énergétiques qu’ils ont à faire et aux conséquences de ces choix. L’auteur, Alain FILLOUX, est ingénieur du Conservatoire des arts et métiers de Paris. Il est spécialiste des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique. Editeur : Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB)
Il y a 2 ans et 185 jours

Intégrer les énergies renouvelables – 3e édition

Choisir, intégrer et exploiter les systèmes utilisant les énergies renouvelables, la nouvelle édition de ce guide analyse dans le détail les points suivants : • Quel est le contexte législatif et réglementaire ? • Quels sont les systèmes utilisant les énergies renouvelables et leurs caractéristiques ? – systèmes solaires thermiques et photovoltaïques ; – systèmes de chauffage au bois ou à biomasse ; – systèmes éoliens ; – raccordement à des réseaux de chauffage ou de refroidissement collectifs à plusieurs bâtiments ou urbains ; – pompes à chaleur, etc. • Comment réaliser l’étude de faisabilité réglementaire ? • Comment intégrer ces systèmes dans le cadre bâti ? • Quelles sont les chaînes d’acteurs en jeu ? Le guide détaille aussi les modes de financement possibles, l’économie des projets en termes de coût global et les formes de contrats envisageables. Les professionnels (maîtres d’ouvrage publics et privés, entreprises de construction, architectes, bureaux d’études, assistance à maîtrise d’ouvrage, gestionnaires de patrimoine, etc.) trouveront dans ce guide les réponses à toutes les questions qu’ils se posent face aux choix énergétiques qu’ils ont à faire et aux conséquences de ces choix. L’auteur, Alain FILLOUX, est ingénieur du Conservatoire des arts et métiers de Paris. Il est spécialiste des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique. Editeur : Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) Cet article Intégrer les énergies renouvelables – 3e édition est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 185 jours

De nouvelles applications pour le traitement des bois par la chaleur

Début 2020, l’Institut technologique FCBA, en collaboration avec les professionnels certifiés CTB A+ et le laboratoire de recherche en biologie BioForBois, formalisait une technique innovante de traitement préventif et curatif des bois contre les insectes à larve xylophage. Depuis, la méthodologie pour cette typologie spécifique de traitement s’est développée et de nouveaux travaux de Recherche & Développement ont été engagés pour évaluer son efficacité sur d’autres types de pathologies du bois. De nouvelles applications ont ainsi été testées et formalisées (traitement contre les termites de bois sec) ou sont en cours d’étude (traitement contre la mérule). Traitement des bois infestés par les termites de bois sec En lien avec l’émergence des termites de bois sec dans les bâtiments en Europe et le fort impact économique induit par les dégâts dont ils sont responsables dans les territoires ultra-marins tropicaux, FCBA a souhaité évaluer l’efficacité de la technologie de traitement des bois par la chaleur sur ce type d’infestation. Les chercheurs ont réalisé leurs essais sur l’espèce Cryptotermes dudleyi, particulièrement nuisible en Guyane et à la Réunion. Ils ont ainsi déterminé les conditions létales, toujours fondées sur le couplage durée / température, à atteindre au cœur des bois infestés pour détruire cette espèce. L’application de cette technologie dans le traitement des infestations du bois par les termites de bois secs est aujourd’hui formalisée et décrite dans le référentiel CTB A+, mis à disposition des professionnels en mars 2021. Elle a été déployée sur toutes les zones géographiques concernées par cette pathologie. Toutes les entreprises certifiées CTB A+ peuvent proposer ce type de traitement. Traitement des bois infestés par la mérule On constate un nombre croissant de dégradations causées par la mérule dans le bâtiment. FCBA a analysé la viabilité du traitement par la chaleur sur cette pathologie. Les chercheurs se sont concentrés sur le mycélium de Serpula lacrymans, plus communément appelé « mérule pleureuse » ou « mérule des maisons », parmi les champignons lignivores les plus destructeurs. Ils ont tout d’abord déterminé les couples durée / température efficaces sur le mycélium de mérule des maisons. Sur cette base, ils ont ensuite prolongé ces tests sur des prototypes de maçonneries (1 mur moellons de 50 cm d’épaisseur et 1 mur briques pleines de 32 cm d’épaisseur). L’objectif était de déterminer la température à régler sur un générateur d’air chaud pour atteindre 40°C au cœur des 2 murs testés, à l’intérieur desquels avaient été placés des échantillons de bois préalablement contaminés par du mycélium de mérule de maison. Ils ont ainsi pu déterminer les protocoles les plus efficaces : – Pour le mur briques pleines : avec une température extérieure comprise entre 18°C et 20°C, il faut 24 à 29 heures, avec un générateur d’air chaud réglé à 62°C, pour atteindre 40°C au cœur du mur. Pour éradiquer le mycélium de mérule, il faut ensuite maintenir cette température pendant 8 heures. Soit 2 jours de traitement au total. – Pour le mur en moellons : avec une température extérieure comprise entre 18°C et 20°C, il faut 36 à 44 heures, avec un générateur d’air chaud réglé à 70°C, pour atteindre 40°C au cœur du mur. Comme pour le mur en briques pleines, pour éradiquer le mycélium de mérule, il faut ensuite maintenir cette température pendant 8 heures. Soit 2 à 3 jours de traitement au total. Ces résultats marquent une première étape cruciale dans la mise au point d’une méthode fiabilisée de traitement de la mérule par la chaleur : ils démontrent les conditions d’efficacité fongicide de la technologie sur le mycélium de Serpula lacrymans. Les protocoles qu’ils vont permettre d’établir seront testés sur chantiers afin de valider leur efficacité en conditions réelles. Une attention particulière sera notamment portée sur les performances des appareils de chauffe, et leurs alternatives possibles, afin d’optimiser les durées de traitement. Visuels : FCBA
Il y a 2 ans et 185 jours

EDILIANS a lancé un Simulateur Solaire

EDILIANS a lancé un Simulateur Solaire qui permet de réaliser des configurations chiffrées sur l’ensemble de sa gamme de produits solaires. Accessible directement sur solaire.edilians.com, il est destiné à toutes les entreprises de couverture désirant étendre leur savoir-faire à la pose de produits photovoltaïques. Pour bénéficier de ce nouveau service, elles doivent s’inscrire directement en ligne sur l’application web. Une fois leur compte validé par l’équipe commerciale d’EDILIANS, elles accèdent alors à un outil complet de dimensionnement et de chiffrage d’une installation photovoltaïque. Le Simulateur Solaire permet de réaliser, en 5 minutes seulement, une étude d’installation solaire. D’une grande simplicité d’utilisation, il suffit de suivre pas à pas les différentes étapes pour analyser avec précision le profil énergétique d’un particulier, définir le potentiel solaire de la toiture. L’application web définit l’orientation, la localisation et calcule automatiquement la surface de la toiture. Il faut ensuite estimer les dépenses énergétiques du foyer selon les équipements renseignés (type de chauffage, système de production d’eau chaude sanitaire, appareils électroménagers…). Puis lancer la simulation.
Il y a 2 ans et 185 jours

EDILIANS a lancé un Simulateur Solaire

EDILIANS a lancé un Simulateur Solaire qui permet de réaliser des configurations chiffrées sur l’ensemble de sa gamme de produits solaires. Accessible directement sur solaire.edilians.com, il est destiné à toutes les entreprises de couverture désirant étendre leur savoir-faire à la pose de produits photovoltaïques. Pour bénéficier de ce nouveau service, elles doivent s’inscrire directement en ligne sur l’application web. Une fois leur compte validé par l’équipe commerciale d’EDILIANS, elles accèdent alors à un outil complet de dimensionnement et de chiffrage d’une installation photovoltaïque. Le Simulateur Solaire permet de réaliser, en 5 minutes seulement, une étude d’installation solaire. D’une grande simplicité d’utilisation, il suffit de suivre pas à pas les différentes étapes pour analyser avec précision le profil énergétique d’un particulier, définir le potentiel solaire de la toiture. L’application web définit l’orientation, la localisation et calcule automatiquement la surface de la toiture. Il faut ensuite estimer les dépenses énergétiques du foyer selon les équipements renseignés (type de chauffage, système de production d’eau chaude sanitaire, appareils électroménagers…). Puis lancer la simulation. Cet article EDILIANS a lancé un Simulateur Solaire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
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Projet de loi énergies renouvelables : le Collectif pour l’énergie citoyenne publie un Livre blanc à l’occasion du Conseil des ministres

Le Collectif pour l’énergie citoyenne, qui regroupe 13 structures engagées pour la transition énergétique et écologique1, présente en amont son Livre blanc pour le développement des énergies renouvelables locales et citoyennes à horizon 2030. Il porte cinq mesures axées sur la participation des acteurs locaux dans les projets d’énergies renouvelables, qui permettraient de réhausser l’ambition du projet de loi ; certaines lacunes l’empêchant, selon le Collectif, d’être à la hauteur des enjeux immenses du secteur.Formidable levier d’accélération de la transition énergétique, l’énergie citoyenne doit être soutenue dans les politiques publiques. Il s’agit de redonner aux citoyens et aux collectivités un réel pouvoir d’agir, faciliter l’appropriation et la planification territoriale des énergies renouvelables, et permettre de meilleures retombées économiques dans les territoires.Pour atteindre l'objectif gouvernemental de 1 000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028, les mesures proposées dans le projet de loi demeurent insuffisantes. D'autres mesures complémentaires, proposées dans le Livre blanc, doivent être intégrées afin de parvenir à cet objectif, et le dépasser.A travers son Livre blanc, le Collectif pour l’énergie citoyenne formule des propositions et identifie des leviers concrets pour soutenir l’essor de l’énergie citoyenne et favoriser la démocratie énergétique au cours des prochaines années en France :Consolider l’objectif national de 1 000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028 et le rendre opérationnel par une feuille de route interministérielle, associant des moyens territorialisés à la hauteur et un pilotage national.Adapter les dispositifs de soutien aux projets locaux et citoyens, par l’extension du guichet ouvert, la territorialisation des dispositifs de soutien et des incitations croissantes à la gouvernance locale.Accompagner et faciliter les modèles innovants et émergents, qu’il s’agisse des contrats de gré à gré (PPA) ou de l’autoconsommation collective.Accroître le pouvoir d’agir des acteurs locaux, en renforçant les moyens humains et budgétaires alloués à l’ingénierie territoriale et aux réseaux d’accompagnement, et en levant les freins réglementaires à l’investissement des collectivités.Inciter à l’engagement citoyen et encourager la pédagogie autour de la transition énergétique, à travers des campagnes d’information et la simplification réglementaire des levées de l’épargne citoyenne.[1] Le CLER, Energie Partagée, Enercoop, le Réseau Action Climat, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Energy Cities, Greenpeace, WWF, ESS France, Le Labo de l’ESS, FNCCR, Amorce
Il y a 2 ans et 185 jours

Rénover l'ensemble des bâtiments, combien ça coûte ?

Lundi, les députés ont adopté, contre l'avis du gouvernement, un amendement écologiste ajoutant au projet de budget 2023 quelque 12 milliards de crédits pour la rénovation énergétique des bâtiments.Soutenu mordicus par le collectif adepte des actions coup-de-poing Dernière Rénovation, qui a manifesté mercredi avec d'autres associations devant l'Assemblée nationale, l'amendement a cependant été écarté dans la version finale du texte.Combien dépense-t-on actuellement ?Selon les estimations de l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE), l'ensemble des investissements, public et privé confondus, pour la rénovation des bâtiments en 2021 a grimpé à 19,9 milliards d'euros.Du côté de l'Etat, la principale aide, MaPrimeRénov', va voir son budget augmenter à 2,6 milliards d'euros. D'autres aides, moins importantes (certificats d'économies d'énergie, aides aux entreprises...), viennent le compléter.Ces investissements sont cruciaux pour respecter les engagements climatiques de la France, les bâtiments et leur usage représentant plus d'un quart de ses émissions.Combien cela va-t-il coûter ?Selon l'I4CE, il faudrait 33,4 milliards par an jusqu'en 2050, pour être dans les clous de la Stratégie nationale bas-carbone.Cette stratégie, dont une nouvelle mouture actualisée doit être publiée dans les prochains mois, prévoit qu'en 2050, l'ensemble du bâti devra atteindre la norme BBC (bâtiment basse consommation), soit une consommation de 50 kilowattheures par mètre carré par an. A peu près l'équivalent d'une étiquette énergétique B sur une échelle allant de A à G.Or, pour l'heure, la seule incitation présente dans la loi consiste à interdire progressivement à la location les biens les plus mal classés : les G en 2025, les F en 2028 et les E en 2034.Selon les calculs de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), extirper l'ensemble du parc des classes E, F et G coûterait déjà 258 milliards d'euros.L'essentiel du coût (70%), pointe son président Jean-Marc Torrollion, vient des maisons individuelles... mais elles sont peu concernées par l'interdiction de louer puisque la majorité de leurs occupants sont propriétaires.Pourquoi est-ce difficile de compter ?Derrière ces estimations, la facture reste cependant très difficile à établir.D'abord parce qu'il est compliqué d'établir un coût "standard" pour une rénovation, le terme englobant mille réalités différentes.Certains travaux simples coûtent 200 euros le mètre carré, mais une rénovation lourde peut vite chiffrer au-delà des 1.000 euros le mètre carré, note Laurent Arnaud, directeur du département Bâtiment durable au Cerema (Centre d'étude et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement)."En fonction de la nature des matériaux, de l'ampleur de la tâche... ça peut monter très rapidement, les petits espaces demandant plus de moyens que les grands espaces. Le caractère patrimonial d'un immeuble peut aussi entraîner une augmentation des coûts", dit-il.Et les prix des matériaux de construction ont explosé depuis 2020, sous l'effet des confinements puis de la guerre en Ukraine.Dernière difficulté : les travaux sont plus efficaces, et moins coûteux, s'ils sont tous faits en une seule fois. Mais cette solution est trop rarement utilisée, pointe Maxime Ledez de l'I4CE, car "souvent, le ménage doit quitter son logement ; alors que quand on fait une rénovation par gestes (étape par étape, NDLR), le ménage peut continuer à vivre dans son logement. C'est aussi la praticité, le coût social", qui entre en jeu.Est-ce que ce n'est qu'un problème d'argent ?Non, comme l'a souligné la Première ministre Elisabeth Borne, pour justifier son rejet des 12 milliards supplémentaires."La rénovation énergétique, ce sont aussi des salariés du BTP, que des milliards d'euros dans le PLF (projet de loi de finances, NDLR) ne permettront pas de former ou de rendre disponibles d'un coup de baguette magique", a-t-elle affirmé mercredi devant l'hémicycle.
Il y a 2 ans et 185 jours

Avec le solaire, "nous avons affaire à une technologie mature" (É. Roblot, Idex)

FOCUS. Déjà confortée par plusieurs décisions politiques en sa faveur, la filière photovoltaïque attend désormais beaucoup du projet de loi de développement des énergies renouvelables, actuellement en discussion au Parlement. Idex, une ETI spécialisée dans les infrastructures énergétiques clés en main, espère pousser encore davantage ses solutions solaires. Entretien avec le directeur de l'activité bâtiment bas-carbone de l'entreprise, Édouard Roblot.
Il y a 2 ans et 185 jours

Rénovation énergétique : "Un rendez-vous manqué depuis le Grenelle", D.Dubreuil (Cler)

ENTRETIEN. Explosion des prix de l'énergie, mise en place de boucliers tarifaires aux coûts faramineux : la situation actuelle fait ressortir tout l'intérêt des rénovations énergétiques performantes. Or, ces enjeux étaient identifiés depuis le Grenelle de l'environnement, comme le rappelle Danyel Dubreuil, du réseau pour la transition énergétique (Cler).
Il y a 2 ans et 185 jours

Panneaux solaires en centres anciens : la crainte d'une "France défigurée" revient

LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT. La possibilité d'un amendement supprimant l'avis conforme des ABF pour l'installation d'équipements producteurs d'énergie effraye certains acteurs, dont la présidente de Cnoa Christine Leconte ou encore Stéphane Bern, chargé de mission patrimoine. Avec d'autres, ils en appellent au président de la République pour arbitrer les débats législatifs.
Il y a 2 ans et 185 jours

Nouveau bloc en béton cellulaire Ytong Compact 15 : Le mur isolant le moins épais du marché ! 

Ytong Compact 15 Pour relever le défi de la réglementation RE2020 et apporter le meilleur rapport qualité / prix / performances thermiques et énergétiques, Xella lance sur le marché le nouveau bloc en béton cellulaire Ytong Compact 15.Dédiée à la construction de maisons individuelles de plain pied, cette nouvelle solution constructive répond bien au délà des exigences de la RE2020 et présente un véritable intérêt économique. En plus d’offrir une maison durable et confortable, le bloc Ytong Compact 15 est 10 % plus isolant et 21 % moins épais qu’une maçonnerie traditionnelle. Résultat, il permet de réduire considérablement les factures liées au chauffage ou à la climatisation, et d’augmenter la surface habitable pour la même emprise au sol ! Aujourd’hui, sur le marché de la construction de la maison individuelle, le nouveau bloc en béton cellulaire Ytong Compact 15 est certainement l’une des meilleures alternatives aux maçonneries traditionnelles. Sa faible empreinte carbone et ses qualités intrinsèques permettent de répondre aux enjeux économiques, énergétiques et environnementaux. À ce titre, Franck Boissel, dirigeant de l’entreprise Quercy Habitat, spécialisée dans la construction de maisons basse consommation, qui a réalisé la première maison en Ytong Compact 15 à Belfort-du-Quercy (Lot), le confirme « Aujourd’hui avec la RE2020, on nous demande d’avoir des produits qui consomment encore moins d’énergie. Avec l’Ytong Compact 15, je pense avoir trouvé le produit idéal pour la conception de maisons moins énergivores ». Nouveau bloc Ytong Compact 15  Xella peut désormais répondre à tous les projets de maisons individuelles en béton cellulaire. Pour les maisons à étage et en zones sismiques, le bloc Ytong Compact 20 est idéal. Et pour faire davantage d’économies sur la construction de maisons individuelles de plain pied, hors zones sismiques, Xella a dévéloppé le bloc Ytong Compact 15. – Des surfaces habitables gagnéespour la même emprise au sol 21 % moins épais qu’une maçonnerie traditionnelle, les murs en Ytong Compact 15 permettent d’augmenter la surface habitable (SHAB) d’une construction jusqu’à 2,8 m² pour une maison de 100 m2, tout en étant 10 % plus isolants*. Pour Franck Boissel, dirigeant de l’entreprise Quercy Habitat et adepte depuis de nombreuses années des solutions constructives en béton cellulaire, le bloc Ytong Compact 15 permet clairement d’optimiser les surfaces habitables. « J’ai été séduit par le produit car nous avons des épaisseurs de blocs réduites qui vont nous permettre d’optimiser les surfaces habitables. Sur ce premier chantier, nous sommes restés sur la même emprise au sol mais grâce à cette maçonnerie nous avons pu augmenter la superficie de la maison ! » *10 % avec 120 mm isolant ITI Th32 – Un confort d’été conforme à la RE2020100 % minéral, le béton cellulaire Ytong Compact 15 est une véritable membrane hygrothermique. Son excellente inertie thermique et son très bon déphasage (10h) forment une barrière optimale contre les changements de températures.  Régulants, les murs Ytong Compact 15 améliorent le confort d’été en protégeant la maison de la chaleur en été et en la préservant de la rigueur hivernale, un atout non négligeable avec les périodes de canicules de plus en plus fréquentes. « Etant dans une région chaude, quand je propose le béton cellulaire, je promets à mes clients de gagner en confort d’été, un point particulièrement présent dans la nouvelle réglementation. Ils en sont très satisfaits. » ajoute Franck Boissel. « Le fait de proposer un produit qui a une forte inertie et un temps de déphasage plus important que d’autres matériaux nous permet de gagner en confort d’été. »– Des performances énergétiques supérieures aux exigences de la RE2020Plein et massif, le bloc Ytong Compact 15 offre une excellente isolation thermique. Avec ses 15 cm d’épaisseur, il est le plus performant pour atteindre le Bbio -30 % avec un R* de 1,36.Parfaitement étanche à l’air, il garantit des murs isolants qui ne nécessitent pas de matériaux d’isolation supplémentaire. Et une maison mieux isolée permet de réduire considérablement les factures de chauffage et de climatisation, un argument important face à la crise énergétique. Associé à 120 mm d’isolant ITI, le bloc Ytong Compact 15 est la seule solution constructive dont les performances thermiques permettent d’obtenir une maison individuelle 10 % plus isolée que les autres solutions du marché.Enfin, perspirant, il favorise l’évacuation de l’humidité, offrant une maison saine et un meilleur confort de vie pour les occupants.Avec le bloc Ytong Compact 15, 26 % de l’isolation des murs est garanti à vie.*R : Résistance thermique (m2.K/W)  – Un matériau économique…Composé à 80 % d’air, le béton cellulaire permet de profiter de constructions plus légères qu’avec un matériau classique.L’ergonomie, la légèreté et l’épaisseur réduite des blocs Ytong Compact 15 simplifient la mise en œuvre, limitent la pénibilité et facilitent les rénovations. Le béton cellulaire offre une meilleure maîtrise des coûts de construction par rapport à une construction maçonnée traditionnelle. … Avec de bonnes performances environnementales Le béton cellulaire est un matériau durable, fabriqué à partir de matières premières naturelles et minérales, et dont 25 % sont issues de matières premières recyclées. Sa production industrielle est peu énergivore et sa mise en œuvre produit moins de déchets et utilise moins de ressources (matériaux et eau). Résultat, le bloc Ytong Compact 15 offre un bon bilan carbone et ne représente que 5 % seulement de l’impact CO2 total d’une maison. www.xella.fr
Il y a 2 ans et 185 jours

Changer le regard sur le PVC : quand le PVC prend la parole... "Je suis archi responsable !"

Parlons peu, parlons bien : JE NE SUIS PAS UN VULGAIRE PLASTOC ! Primo, je suis le seul polymère dont la composition est en grande partie d’origine minérale. Deusio, je suis recyclable sans perdre une miette de ma performance. Tertio, je suis pris en charge par des filières organisées, pour être recyclé par centaines de milliers de tonnes chaque année. Vous êtes sceptique ? Vous voulez des chiffres ?57 : Oui, c’est un fait, je suis le seul polymère constitué de 57% de matière première d’origine minérale…100… : et recyclable à 100% : déchiquetage, tri, broyage, séparation automatique des couleurs par tri optique. Et puis viennent les séances d’homogénéisation, filtration et re-granulation. Voilà… C’est ainsi que je me retrouve à nouveau en petits granulés prêts pour un nouveau cycle de production et une nouvelle vie à votre service !Le processus de recyclage décrit précédemment ne m’atteint absolument pas et ne me fait perdre aucune de mes qualités intrinsèques. Absolument Zéro ! Cela fait de moi un des rares matériaux du bâtiment à pouvoir être employé en boucle fermée, sans perte de qualité de la matière lors du recyclage. Les menuiseries, par exemple, peuvent être réintégrées au cœur des nouveaux profilés, dans une boucle infinie, pour des composants toujours plus vertueux et toujours aussi performants. Exceptionnel non ?200 ? C’est le nombre de points de collecte mis en place par le SNEP pour permettre aux professionnels de déposer leurs produits PVC rigide en fin de vie. Car c’est ça aussi être responsable : abandonner le recours à l’enfouissement et permettre un tri à la source en collectant les chutes directement auprès des professionnels. Les architectes sont de plus en plus nombreux à s’assurer du suivi des déchets dans leurs projets de réhabilitation.95 : Aujourd’hui, les chutes de fabrication des producteurs et des transformateurs de PVC sont recyclées et réintégrées à plus de 95% dans le produit d’origine. Portails, clôtures, goulottes, bardages, gouttières, volets, profilés de fenêtre : tous réincorporent de la matière première recyclée, permettant une empreinte carbone moindre ainsi qu’une réduction d’énergie non négligeable. 22 : L’engagement volontaire de développement durable lancé par les industriels européens du PVC date de l’an 2000, il y a donc déjà 22 ans ! Ce qui fait de moi un des premiers plastiques à avoir été recyclé et un leader en termes de volumes valorisés. 100.000 : Et oui ! Un leader je vous dis ! Plus de 100.000 tonnes de PVC sont recyclées en France chaque année et la proportion du PVC recyclé atteindra 20% dans les profilés PVC en 2025, selon l’engagement volontaire signé par le SNEP en juin 2018. 900 000 : tonnes de PVC recyclés d’ici 2025 en Europe : c’est un des objectifs du plan Vinyl Plus pour le développement durable de l’industrie européenne du PVC dans lequel le SNEP est fortement impliqué. Pour conclure, je suis clairement un très bon élève en matière de responsabilité environnementale. Bénéficiant de surcroit d’une durée de vie exceptionnelle, je peux (sans me vanter), m’affirmer comme un matériau unique et un candidat responsable à fort potentiel pour relever le défi de l’économie circulaire. Qui dit mieux ?
Il y a 2 ans et 186 jours

Les effectifs de l'ONF ne baisseront pas en 2023, promet Christophe Béchu

"Pour la première fois depuis vingt ans, les effectifs ne baisseront pas en 2023", a répondu le ministre au quotidien bordelais Sud Ouest, interrogé sur l'évolution des effectifs de l'ONF."Ils seront stabilisés sur la totalité du pôle écologie (Ademe, Météo France, Office français de la biodiversité, etc.) et sur l'ONF", a-t-il ajouté.Les effectifs de l'Office, déficitaire, ont fondu ces vingt dernières années, passant de 12.800 personnes en 2000 à près de 8.000 actuellement, chargées de gérer les 11 millions d'hectares des forêts publiques françaises.Un nouveau contrat d'objectifs et de performances (2021-2025) prévoit la suppression de 475 postes supplémentaires, et cinq organisations syndicales ont déposé en juin un recours en justice pour demander son annulation.En août, un rapport sénatorial recommandait au gouvernement de "revenir sur les 500 suppressions de postes de l'ONF prévues": il faut pour les sénateurs "prévenir l'embrasement" des massifs et pour cela, de "rétablir les postes d'agents de protection de la forêt méditerranéenne supprimés ces dernières années" et "déployer plus de postes" hors région méditerranéenne.En juillet, la Fédération nationale des communes forestières (FNCOFOR), qui représente plus de 12.000 propriétaires de forêts, et une association de maires ruraux ont réclamé des "services publics forestiers forts" face aux feux monstres et à l'ampleur du défi climatique."L'Etat va s'appuyer sur son expertise, mais ce n'est pas seulement l'Etat, c'est toute la Nation qui est appelée à s'engager avec ses associations et ses professionnels dans les forêts publiques comme dans les forêts privées", a souligné Christophe Béchu à Sud Ouest."Nous devrons nous assurer qu'il n'y a pas d'espaces forestiers délaissés et, dans le cas contraire, réfléchir aux moyens de nous substituer aux propriétaires", a-t-il ajouté. "Le réchauffement climatique ne se préoccupe pas de savoir si un arbre est public ou privé."Il compte en particulier "définir la marche à suivre" d'ici l'été prochain pour obliger les propriétaires privés à débroussailler leurs parcelles.M. Béchu doit se rendre jeudi en Gironde, département dévasté par des incendies de forêts cet été. Le ministre doit notamment en dire plus sur le plan de plantation d'un milliard d'arbres d'ici dix ans -sur 11 milliards actuellement- annoncé vendredi par le président Emmanuel Macron.
Il y a 2 ans et 186 jours

Vulcan Energy en quête de lithium français

OR BLANC. Vulcan Energy s'attaque au lithium français dans la région en Alsace. La start-up australienne a même créé pour cela une entité française, Vulcan Energie France.
Il y a 2 ans et 186 jours

Et les prix de la 6e édition des Trophées Excellence sont…

Créée en 1994, la fondation d’entreprise Excellence SMA est engagée dans la prévention des risques et des pathologies. Elle agit aussi, auprès de l’ensemble des acteurs de la construction, pour la promotion et le développement de la qualité et de la sécurité. C’est dans ce cadre qu’elle a lancé la 6e édition de ses Trophées Excellence. Pour son édition 2022, les prix ont été remis, en octobre dernier, à l’occasion du salon Batimat. Des entreprises et des artisans du BTP utilisant des solutions facilitant la prévention des désordres, la préservation de l’environnement, la qualité d’exécution, ou encore la sécurité sur les routes et les chantiers ont été mis à l’honneur devant un parterre de professionnels. La fondation Excellence SMA soutenant l’innovation dans les travaux de recherche a aussi remis ses trophées à des étudiants. Elle a ainsi récompensé des thèses et des mémoires de fin d’études supérieures. Mettant en avant des solutions concrètes et pérennes pour améliorer la qualité des constructions neuves ou en réparation. Ces trophées démontrent, une nouvelle fois, la mobilisation de SMABTP en faveur de la qualité de la construction en France Les lauréats des Trophées “Thèses” Les lauréats des Trophées “Thèses”, en présence des membres du jury, de Didier Ridoret, président de la Fondation Excellence SMA, et de Pierre Esparbes, directeur général du groupe SMA. [©D. Eskenazi] Les Trophées “Thèses”récompensent des étudiants de l’enseignement supérieur ayant réalisé un mémoire de fin d’études ou une thèse sur la prévention des pathologies ou l’utilisation de techniques innovantes pour la préservation de l’environnement. Ces thèses constituent pour les assureurs de la construction une source documentaire technique précieuse portant sur la compréhension de l’origine des dommages ou encore l’utilisation de techniques innovantes Premier prix : Sara Al Haj Sleiman, de Centrale Nantes, pour sa thèse sur les protocoles de qualification des bétons exposés au gel/dégel. 2e prix : Øyvind Mortveit Ellingsen, de Polytechnique Paris, pour ses travaux sur les effets d’excitation des structures cylindriques par les tourbillons alternés. 3e prix : Ismail Alj, de Paris Est Sup, pour sa thèse sur la durabilité des capteurs à fibre optique. Les lauréats des 6e Trophées Excellence Les lauréats des Trophées Excellence, lors de la cérémonie de remise des récompenses sur le salon Batimat. [©D. Eskenazi] Les 6e Trophées Excellence récompensent les entreprises et les artisans du BTP innovant en matière de prévention et de qualité. Catégorie “Prévention et Sécurité” Entreprise Jacques Zamora à Bayonne (64) pour les actions exemplaires de prévention des accidents mises en place par ce spécialiste de la maçonnerie et de la taille de pierre.Socovatp (85) pour une innovation réalisée en partenariat avec l’entreprise Paviot Equipement permettant de gagner du temps sur les chantiers d’assainissement. La Financière – Le Bâtiment associé (51) pour ses actions en faveur de la prévention routière.Entreprise Roger Martin (21) pour l’élaboration d’une base GPS alimentée par énergie solaire pour le secteur des travaux publics. Catégorie “RSE”  La Fenêtrière (94), entreprise de menuiserie engagée dans une démarche RSE impliquant circuits courts, économie circulaire et recyclage. Batinor (62) pour un chantier exemplaire utilisant les matériaux biosourcés en rénovation pour les bailleurs sociaux. Prix spécial Eiffage Infrastructures Gestion et Développement (78) pour son robot collaboratif transporteur de charges.
Il y a 2 ans et 186 jours

L'exécutif insiste sur le développement conjoint des renouvelables et du nucléaire

DÉCRYPTAGE. En pleine crise énergétique, le Gouvernement tente de jouer sur tous les fronts en présentant au Parlement son projet de loi d'expansion des énergies renouvelables, et en dévoilant en parallèle son texte sur la construction des nouveaux réacteurs nucléaires. Plus que jamais, les pouvoirs publics veulent concilier l'essor de toutes les filières décarbonées.
Il y a 2 ans et 186 jours

Rénovation énergétique des bâtiments : la Cour des comptes étrille le gouvernement

"La Cour constate une cohérence insuffisante dans l'articulation" des politiques publiques de rénovation énergétique des bâtiments, souligne-t-elle dans ce texte dont l'AFP a reçu copie.La notion même de rénovation reste "imprécise" et les "réformes fréquentes" du secteur ont nui "à la lisibilité" des dispositifs mis en place, ajoute la Cour des comptes.Elle pointe notamment des "incohérences" entre administrations, comme par exemple "les règles d'urbanisme" qui conduisent les services déconcentrés du ministère de la Culture ou certaines collectivités territoriales à "interdire les travaux de rénovation énergétique dans les centres-villes ou aux abords des monuments historiques"."Il manque à la politique de rénovation énergétique des bâtiments un pilotage fort et efficace et un service public de l'accompagnement efficient sur l'ensemble du territoire national", déplore la Cour.Dans sa réponse écrite, mise en ligne par la Cour, la Première ministre Elisabeth Borne fait valoir le resserrement du pilotage effectué depuis janvier avec le lancement d'un service public de la rénovation de l'habitat France Renov', qui offre selon elle "une information, un conseil et un accompagnement neutres et indépendants"."1.800 conseillers France Renov', répartis dans plus de 500 Espaces conseil, accueillent nos concitoyens partout sur le territoire national pour répondre à leurs questions et les aider dans leurs projets", affirme Mme Borne.La Cour des comptes estime pour sa part que cette nouvelle entité "n'a pas encore permis de clarifier les rôles et les missions des différentes structures"."Des efforts doivent encore être réalisés afin de poursuivre la simplification du cumul des aides entre elles, et consolider la cohérence du système dans son ensemble autour des aides à l'investissement axées vers les travaux les plus efficaces et privilégiant les ménages les plus modestes", admet d'ailleurs la Première ministre dans sa réponse.Elle promet le déploiement d'un "parcours simplifié" pour fin 2022, permettant de "coupler le bénéfice de MaPrimeRénov' et l'éco-prêt à taux zéro" et assure que son gouvernement compte "aboutir en 2024 sur un système encore plus simple, plus lisible, et qui incite davantage à la réalisation de rénovations énergétiques performantes et globales".Cet échange intervient après la dénonciation par la Défenseure des Droits le 17 octobre de "graves dysfonctionnements sur le mécanisme public d'aide" à la rénovation énergétique MaPrimeRénov', mis en place en 2020 et piloté par l'Agence nationale de l'habitat (Anah).Ce dispositif vise à aider les Français modestes à rénover leur logement pour réduire leur consommation d'énergie et leurs émissions de CO2, mais les démarches en ligne sont émaillées de nombreux dysfonctionnements dénoncés par la Défenseure des Droits.
Il y a 2 ans et 186 jours

Budget rectificatif 2022 : le déficit public un peu moins fort que prévu, à 4,9%

Des recettes fiscales meilleures qu'attendu, notamment de l'impôt sur les sociétés et de l'impôt sur le revenu, ainsi que certaines dépenses en baisse permettent de réduire le déficit de 4,6 milliards d'euros."2022 n'est pas seulement l'année du combat contre la vie chère, c'est aussi l'année du combat pour des comptes bien tenus", a assuré le ministre des Comptes publics Gabriel Attal dans une déclaration transmise à la presse.Selon ses dernières prévisions macroéconomiques, le gouvernement table en 2022 sur une croissance de 2,7% du PIB et un taux d'inflation à 5,4%.Ce deuxième budget rectificatif pour 2022, trois mois après l'adoption du premier, baptisé alors "paquet pouvoir d'achat", "est vraiment dans le même esprit" et a comme "objectif principal de financer des mesures de pouvoir d'achat pour les Français", selon le ministère de l'Economie et des Finances."Ce texte, c'est la nouvelle étape du combat contre la vie chère que nous menons sans relâche depuis un an", a renchéri M. Attal.Il comprendra notamment les récentes annonces sur le versement d'un nouveau chèque énergie pour les plus modestes, d'un montant de 1,5 milliard d'euros, et le prolongement de la ristourne à la pompe jusqu'au 15 novembre, pour 440 millions d'euros.Le texte contiendra également l'enveloppe de 275 millions d'euros annoncée pour aider les universités et les organismes de recherche à faire face à la flambée des coûts de l'énergie, et celle de 200 millions d'euros pour les dépenses de carburant du ministère des Armées.France compétences (le régulateur de l'alternance et de la formation professionnelle) se voit également attribuer une rallonge de deux milliards d'euros pour la fin de l'année.Face à ces nouvelles dépenses, Bercy se réjouit de "quelques bonnes surprises sur certaines recettes", avec un impôt sur les sociétés et un impôt sur le revenu qui devraient chacun rapporter deux milliards d'euros de plus que ce qui avait été anticipé cet été.Le prélèvement sur recettes à destination de l'Union européenne sera en outre plus faible que prévu, de l'ordre de deux milliards d'euros également.Les comptes publics profiteront également de dépenses en baisse. Par exemple, du fait d'un nombre de défaut moins élevé qu'estimé des prêts garantis par l'Etat, octroyés au plus fort de la pandémie de Covid-19, le gouvernement pourra reprendre environ deux milliards d'euros qui étaient prévus pour faire face aux impayés.Le budget rectificatif doit être présenté mercredi en Conseil des ministres, puis le ministres de l'Economie Bruno Le Maire et Gabriel Attal seront auditionnés jeudi au Sénat sur le texte, le second étant en outre convié à s'exprimer mercredi en milieu de journée devant la commission des Finances de l'Assemblée nationale.L'examen débutera ensuite à l'Assemblée nationale le 7 novembre, puis le 14 au Sénat.
Il y a 2 ans et 186 jours

Il faut assurer une transition énergétique responsable pour en maximiser les avantages

Alors que l'Europe étudie la meilleure façon de répondre à ses besoins énergétiques dans les mois et années à venir, les énergies renouvelables sont au cœur des débats. Déjà largement considérés comme des piliers essentiels aux projets de décarbonation, des actifs tels que les panneaux solaires continuent de prendre de l’importance. De nombreuses collectivités ont déjà commencé à élaborer des stratégies de décarbonation afin d’atténuer le changement climatique et réfléchissent ainsi naturellement à des moyens de générer une partie de leur propre énergie. Néanmoins, les organisations n’ont pas forcément conscience qu’il est également facile de gaspiller l’énergie renouvelable si l’on n’adopte pas une approche de maximisation des avantages.Travailler l’énergie disponible autant que possibleLa taille des structures est un des facteurs pouvant avoir un impact immédiat sur la transition énergétique. Les panneaux solaires sont de plus en plus courants sur les bâtiments tertiaires et ces équipements font déjà la différence en réduisant les coûts énergétiques quotidiens et en offrant une certaine indépendance énergétique vis-à-vis du réseau électrique. Par exemple, le projet SDE04, en charge du déploiement du réseau de bornes publiques de recharge de véhicules électriques dans le département des Alpes de Haute Provence a mis en place un dispositif pilote dans lequel une installation solaire alimente des bornes de recharge électrique et également un bâtiment public en autoconsommation. L’impact est positif sur les bâtiments produisant déjà de l’énergie renouvelable sur leurs sites et les incitent à tirer le meilleur profit de cette énergie au regard des actions des grands fournisseurs d'énergie pour intensifier la production renouvelable à plus grande échelle.Les systèmes de stockage d’énergie sont donc importants, mais l’utilisation stratégique de cette énergie l’est tout autant. Recharger les véhicules électriques grâce à un mix d’énergie renouvelable stockée et d’énergie du réseau électrique lors des heures creuses en est un bon exemple. Les collectivités pourraient ainsi tirer le meilleur parti des tarifs basés sur le temps et la durée d’utilisation qui pourraient émerger à mesure que les compagnies énergétiques cherchent à améliorer la gestion des réseaux électriques nationaux.Les investissements dans les véhicules électriques ont de la valeurLes véhicules électriques ne font pas que se déplacer d’un point A à un point B. Leurs batteries stockent d’importantes quantités d’énergie, ce qui signifie qu’elles peuvent faire partie intégrante d’un système de gestion d’énergie sur site, même si le site génère ou non une partie de sa propre énergie.Les VE peuvent contribuer à une meilleure utilisation de l'énergie renouvelable, et ce rien qu’en la stockant au moment où elle est la plus disponible. Au lieu de faire le plein en cas de besoin, les conducteurs de VE et les gestionnaires de parcs automobiles électriques peuvent choisir des régimes tels que la recharge de nuit, lorsque la demande sur le réseau est moindre et que la disponibilité de l'énergie renouvelable tend à être plus importante et moins coûteuse.La production d’énergie sur site multiplie les avantages. Les bâtiments qui génèrent leur propre énergie à partir d’équipements tels que des panneaux solaires ou des éoliennes, mais ne disposant pas d’une capacité de stockage suffisante lors d’un pic de vent ou d’ensoleillement, peuvent voir dans les VE utilisés par les habitants un bon moyen d’éviter le gaspillage d’énergie. Il s’agit ultimement de stratégie et de systèmes assurant une gestion intelligente de l’énergie.Des interactions aux marges du réseau électriqueLa recharge des VE représente la voie vers la transition énergétique pour de nombreux propriétaires de bâtiments, mais l’électrification se poursuivra bien au-delà. Les bâtiments sont voués à devenir des hubs énergétiques assurant la gestion de l’électricité d’une manière très différente. L'interaction aux marges du réseau électrique : le point où les entreprises et collectivités et les foyers se connectent au réseau - a peu changé depuis de nombreuses années, mais les énergies renouvelables faisant évoluer les choses, le rythme de ce changement pourrait s'accélérer.Préparer les bâtiments à la transition énergétique implique d'analyser les besoins en matière de gestion de l'énergie et de distribution électrique afin de définir une approche les transformant en hubs énergétiques. Néanmoins, il est important pour les entreprises de ne pas se précipiter dans la production d'énergie renouvelable sur site, dans le but d'atténuer les hausses de prix et de renforcer rapidement l'indépendance énergétique. Le système de gestion d'énergie du bâtiment ou du site doit être étalonné pour intégrer efficacement les nouvelles charges et sources d'énergie. L’interaction aux marges du réseau électrique largement gérée par les compagnies d'électricité avec l'aide des régulateurs, évolue rapidement et de manière simultanée.Ne pas négliger cybersécuritéL’accélération des investissements liés à la production d’énergie renouvelable est notamment causée par le changement climatique. Les énergies renouvelables constituent donc sans aucun doute un bon complément au mix énergétique européen. Mais l’intégration d’équipements tels que les panneaux solaires, les systèmes de stockage d’énergie ou les chargeurs VE peut s'avérer plus complexe que leur simple assemblage sur l'installation électrique existante des bâtiments, et l'aspect numérique peut exposer les entreprises à des risques de sécurité inhabituels.La sécurité physique est un point important dans la gestion de l’électricité, tout comme la cybersécurité, qui est un aspect moins connu mais tout aussi essentiel.L'électrification progresse rapidement, et les organisations peuvent contribuer à en accélérer le rythme. Suivre l'évolution de la réglementation et déterminer l'aide nécessaire, leur permettra de répondre aux circonstances actuelles et de se préparer en même temps à un avenir climatiquement neutre.Tribune de Jérôme Chaffard, Directeur général Eaton France & Péninsule Ibérique (Linkedin).
Il y a 2 ans et 186 jours

A Lagord, Bouygues Immobilier livre Alma Terra, la première résidence du quartier bas carbone Atlantech

Un environnement unique en FranceAvec Alma Terra, Bouygues Immobilier livre la toute première résidence située au cœur du pôle ATLANTECH, le premier quartier bas carbone français, créé à l’initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle.Unique en Europe, ATLANTECH se veut précurseur dans les domaines du développement durable, de la mobilité douce et de l’écoconstruction. A la fois quartier d’habitation et espace d’activité dédié à la transition énergétique, ATLANTECH est conçu comme un territoire d’innovation en matière d’écologie, au service de l’habitat de demain.Insérée au cœur de cette environnement, Alma Terra comprend 1000 m2 de jardins potagers partagers, des composteurs collectifs, des récupérateurs d’eaux pluviales, et dispose également de panneaux photovoltaïques en toiture sur 135 m2, facilitant et incitant ainsi la mise en place de comportements vertueux au sein de la résidence.Une sobriété énergétique labelliséeNichés dans un îlot de végétation les appartements de la résidence viennent de se voir décerner la plus haute performance du label E+C-. Initié par le Ministère chargé de l’Environnement, ce label évalue la performance énergétique et environnementale des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie.La résidence Alma Terra a obtenu le niveau E3C2, soit la plus haute performance du label. Une labellisation qui garantit une limitation de l’empreinte carbone pour la construction et le fonctionnement, un confort thermique optimum été comme hiver et une diminution des coûts énergétiques du logement. Murs en ossature bois aux derniers étages, façades végétalisées au rez-de-chaussée, isolation thermique, chaufferie bois collective et panneaux photovoltaïques sont autant d’éléments garantissant de réelles performances énergétiques sans négliger pour autant la qualité de vie. Lors de la construction d’Alma Terra, Bouygues Immobilier a également collaboré avec le réseau Biotop en matière de gestion et de valorisation des déchets. Biotop a accompagné Bouygues Immobilier pendant toute la durée du chantier. L’objectif ? Identifier et mettre en œuvre des solutions de gestion des déchets en lien avec la stratégie de développement durable et d’économie circulaire de Bouygues Immobilier. Pendant ses 15 mois d’intervention, Biotop a collecté près de 6,5 tonnes de déchets recyclables. Ainsi, près de 5.000 tonnes d’équivalent CO2 ont pu être évitées.Présenté dans le cadre des prix décernés par la fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI), le projet Alma Terra avait reçu en 2020 la Pyramide d’Argent du bâtiment bas carbone.
Il y a 2 ans et 186 jours

Rairies Montrieux dévoile son nouveau catalogue

Retour sur la présence de la société Rairies Montrieux à l’édition 2022 du salon Batimat.L’histoire de la terre cuite naît d’une symbiose entre l’argile et la main de l’homme. Elle se transforme, se magnifie et se bâtie grâce aux projets d’architectes, designers et artistes qui lui offrent leur inspiration. Nous appelons ces inspirations des Rencontres Architecturales.Batimat est l’occasion de faire le point sur les nouvelles perspectives de l’entreprise et de mettre en avant le mythique showroom Parisien du Viaduc des Arts, un lieu emblématique et stratégique pour l’entreprise à Paris.Le Spécialiste des produits en Terre cuite depuis 1919 annoncera plusieurs actualités importantes sur le salon : Rairies Montrieux sera au service d’un événement sportif pour 2024, un grand honneur et un défi de plus à relever pour la société. Des cas concrets de réalisations finalisées seront présentés, ainsi que des projets en cours ou à venir, en France et à l’étranger.Rairies Montrieux présente également son projet : Eco-Démarche, un projet porté par une démarche environnementale.Éco-démarcheAujourd’hui l’économie de ressources est au cœur des préoccupations. Le réemploi de matériaux est une action efficace et simple à mettre en œuvre. Dans le cas de la terre cuite, c’est l’utilisation de pièces mises au rebut, invendues, ou les surstocks qui sont une ressource de premier choix. En effet, pourquoi lancer la production de nouveaux produits alors que des stocks encombrants existent ? Le réemploi permet un gain de temps de fabrication et une économie d’énergie plus que significative.Cette démarche est à la fois environnementale et économique et chaque partenaire y trouve son compte. Déstockage pour l’entreprise, terrain de jeu artistique pour l’architecte, économie de moyens pour la maîtrise d’ouvrage et tout cela, au bénéfice de l’environnement.Un catalogue au service des professionnelsCette année Rairies Montrieux innove une fois de plus en présentant sur le Salon professionnel de la construction un nouveau catalogue toujours à la pointe de l’innovation et des dernières tendances, repoussant ainsi les limites de la créativité.Ce dernier sera présenté avec de nombreuses actualités produits.Une mise en lumière sur la brique Brut de four, un produit ancestral ultra contemporain, des nouvelles couleurs pour les plaquettes émaillées...Les briques Moucharabieh seront déclinées sous différentes formes. Autant de sources d’inspirations pour les professionnels...Enrichi d’interviews éclairantes d’architectes référents sur leur approche technique et esthétique, ce nouveau catalogue ouvre le champ des possibles et répond pleinement aux attentes et exigences du marché.Cette année plusieurs grandes nouveautés chez Rairies MontrieuxLes nouveautés épidermesLa terre cuite est une céramique réalisée par la cuisson de terre d’argile. La couleur de celle-ci peut varier en fonction de la terre d’argile utilisée. Façonnée à l’aide d ’une filière puis séchée, elle est finalement cuite au four à haute température. Deux nouveaux épidermes voient le jour : l’écorce et le grenaillé !ÉcorceInspirée de la peau de protection de l’arbre, la terre cuite se rapproche de la nature grâce à l’épiderme Écorce. Cet aspect est le résultat d ’hachures aléatoires sur la surface lisse du produit en terre cuite afin de lui offrir un aspect unique. Elle est disponible en 9 teintes : Lumière, Silver, Titane, Havane, Réglisse, Antarès, Montlouis, Montvaloir et Médoc.GrenailléL’épiderme Grenaillé est un aspect qui procure de très beaux effets minéraux sablés. L’aspect est certes rugueux, mais le rendu final est très chaleureux.Grâce à cet aspect mat, une façade sort clairement de l’ordinaire.Granuleux au toucher, l’avantage de l’épiderme Grenaillé est qu’il peut magnifiquement dissimuler les défauts de la surface d’un mur. Il se décline en 4 teintes naturelles : Lumière, Silver, Réglisse et Médoc.Les Originelles ÉcorceGrâce à leur épiderme à la fois naturel et structuré, les plaquettes Originelle s’inscrivent avec élégance dans un esprit vintage. Elles se déclinent maintenant en 4 textures.... La toute dernière nouveauté : Écorce.Les nouveautés formesNouveautés brique et plaquettes de formes, cette année c’est la grande nouveauté chez Rairies Montrieux !En pointe, graphiques, linéaires, arrondies... Elles donnent du relief à toutes les façades et sont là pour apporter un aspect unique à chaque réalisation.Les nouveautés couleursL’engobé, terre cuite colorée pastelLa société complète sa collection de plaquettes de parement engobé grâce au développement de couleurs pastels. La terre cuite colorée pastel affirme en extérieur une approche jusqu’alors cantonnée en intérieur.Nouvelles couleurs chez les émaillés monocuissonL’émail monocuisson consiste à cuire simultanément la terre cuite crue et le verre coloré finement broyé sur la terre cuite durant la même et unique cuisson. De par son exclusivité, c’est une cuisson technique et économique en énergie qui offre des produits émaillés davantage nuancés à l’image de la terre cuite naturelle.Les nouveautés produitsDans la Famille des Émaillés la toute dernière nouveauté : Grés est une céramique caractérisée par une très grande dureté et une excellente résistance aux agressions chimiques ou climatiques. Cette résistance est obtenue par la cuisson à une température supérieure à 1.200 °C. Rairies Montrieux a développé cette gamme pour répondre aux exigences des pays où les agressions climatiques sont fréquentes.Rairies Montrieux fait le plein de nouveautés pour l’édition 2022 de Batimat. Formes, épidermes, teintes... les innovations ne manquent pas ! Rairies Montrieux vous invite à découvrir toutes leurs gammes dans leurs showrooms à Paris ou aux Rairies !
Il y a 2 ans et 187 jours

En Afrique du Sud, une ville échappe à la crise énergétique

Les 2.500 habitants d'Orania, en plein désert du Karoo (centre) à plus de 600 km au sud-ouest de Johannesburg, visent l'autosuffisance à tous les niveaux pour s'isoler d'un pays devenu décadent à leurs yeux.Ces descendants de Néerlandais et Français huguenots principalement, arrivés à la pointe de l'Afrique dès le 17e siècle, ont lancé un ambitieux projet solaire qui devrait leur permettre de produire au-delà de leurs besoins.La route goudronnée laisse place à une piste, qui mène à un portail cadenassé. Derrière, un hectare de panneaux photovoltaïques. Le soleil brille ici toute l'année, parfois plus de douze heures par jour.Les travaux de ce projet estimé à plus de 600.000 euros ont commencé en juin 2021. Aujourd'hui, l'installation produit 841 KW par heure. Presque assez pour approvisionner la ville et les exploitations agricoles autour. Le bourg afrikaner vise l'autonomie complète d'ici trois ans alors que le pays est plongé depuis près de quinze dans une grave crise énergétique, entre centrales au charbon vieillissantes, grèves et corruption au sein d'Eskom, l'entreprise publique qui produit 90% de l'électricité en Afrique du Sud."C'est l'idée simple de l'autosuffisance qui nous à poussés à faire ça", confie à l'AFP François Joubert, qui a conçu le projet. Car Eskom a "échoué lamentablement"."Ici, on ne peut compter sur personne pour la fourniture de services de base", explique l'ingénieur de 69 ans. "On est très loin de Johannesburg, très loin du Cap, donc on doit prendre les choses en main. Et ça nous va plutôt bien".Autonomie "vitale"Le terrain de 8.000 hectares au bord du fleuve Orange où fut fondée Orania en 1991, après l'abolition des lois raciales, avait été acheté par le gendre d'Hendrik Verwoerd, ancien Premier ministre considéré comme l'architecte de l'apartheid, et quelques familles afrikaners.La localité, tolérée par le gouvernement sud-africain, s'appuie sur un article de la Constitution qui défend le droit à l'autodétermination du peuple."L'exploitation solaire change sérieusement la donne pour nous. Elle apporte une stabilité énergétique à la ville", explique son maire Gawie Snyman. "Notre rêve serait même d'exporter de l'électricité".En juillet, les coupures de courant programmées, aggravées par les insuffisances du réseau national, ont plongé les Sud-Africains dans le noir plus de six heures par jour, affectant les entreprises et la croissance.Le président Cyril Ramaphosa a annoncé un train de mesures urgentes, appelant le secteur privé, particulier et entreprises, à investir dans l'énergie solaire "sur tous les toits" pour alimenter le réseau national.A Orania, à quelques kilomètres de l'installation solaire, Annatjie Joubert, l'épouse de l'ingénieur, récolte des noix de pécan sur sa ferme au petit matin. Une machine secoue les troncs pour les faire tomber dans une bâche rouge.Pour irriguer ses plantations, elle a régulièrement besoin d'énergie pour pomper de l'eau du fleuve. Quand Eskom programme des délestages, ses arbres ont soif. La nouvelle énergie solaire assure une continuité. "C'est vital, surtout pour les noix de pécan qui boivent beaucoup", explique cette ex-informaticienne de 66 ans.Alors que la guerre en Ukraine fait flamber le prix des cérales, "nous devons aussi produire autant que possible notre alimentation", souligne M. Joubert, casquette plate et doudoune sans manches, dans son champs de panneaux solaires.La prochaine étape de la production solaire à Orania sera l'installation de batteries de stockage d'ici quelques années. Pour permettre enfin à la ville de se libérer complètement du réseau national.
Il y a 2 ans et 187 jours

Sitowie se dote de solides moyens pour révolutionner la maintenance prédictive des bâtiments

Sitowie annonce lever 1,7 million d’euros auprès du PRVF géré par Karista, de Paris Business Angels, de Femmes Business Angels ainsi que des sociétés d’investissement WinEquity et Unico pour accélérer son développement en France. La start-up francilienne a pour ambition de mettre à disposition des acteurs de l’immobilier et des gestionnaires de parc une solution innovante permettant de prédire la dégradation de leurs actifs et de prolonger la durée de vie des bâtiments tout en luttant contre les émissions carbone. Elle compte d’ores et déjà plusieurs clients : bailleurs sociaux, collectivités, foncières, directions immobilières sont en effet demandeurs de plus de rationalisation dans leur programmation.Créée en 2018 par Pauline Koch – architecte de profession et diplômée de l’École des Ponts ParisTech – Sitowie regroupe aujourd’hui une équipe d’une quinzaine de collaborateurs aux profils techniques et scientifiques de haut vol (docteurs en simulation numérique, matériaux, génie civil, développeur…). La direction scientifique est assurée par Yann Lefeuvre, disposant lui-même d’une expérience de 20 années dans le secteur de la construction.Vieillissement intelligent des bâtiments : un enjeu pour lequel se mobiliserBien vieillir est un enjeu essentiel qui ne touche pas seulement les humains : les bâtiments sont eux aussi concernés. Ainsi, de nombreux professionnels de l’immobilier en France prennent enfin la mesure du défi du vieillissement de leurs actifs immobiliers.Pour autant, de nombreux gestionnaires de parc se trouvent démunis lorsqu’il s’agit de lutter contre ce problème. Quel est le budget optimal pour bien entretenir mon parc ? Dans un budget contraint, comment s’y prendre ? Comment fiabiliser mes plans de travaux et réduire considérablement les dépassements budgétaires ? Est-ce que les travaux programmés vont apporter des économies substantielles et le ROI attendu ? Comment concilier augmentation des rendements et obtention du label ISR, très important pour la réputation de l’entreprise et les financements ?Autant de questions qui, jusque-là, ne trouvaient pas de réponses simples et directes notamment parce que les données disponibles sont souvent insuffisantes, les entreprises ne sont pas encore assez « data-driven » et ne savent pas où se procurer les données manquantes nécessaires, les maquettes BIM compliquées et trop onéreuses…La solution innovante apportée par SitowieFace à ce diagnostic, Sitowie apporte une solution concrète aux entreprises gérant un parc immobilier, quelle que soit leur maturité dans le domaine de l’utilisation des données, pour mettre en place une maintenance prédictive efficace, porteuse de sens et génératrice d’économies et de gains financiers.La start-up commercialise une plateforme SaaS nommée Predibat qui permet, à partir des données existantes chez le client, de générer automatiquement un référentiel technique structuré autour d’une maquette BIM simple mais suffisante en exploitation. Les jeux de données sont complétés par de l’open-data. Selon l’état des données, il est possible de générer en 1 minute la maquette BIM d’un bâtiment. A partir de ce référentiel fiable et structuré, l’utilisateur a accès à des scores de risques et de dégradation actuels et futurs pour chaque composant. Grâce à l’outil, il dispose d’une première stratégie de travaux optimisé en fonction d’un budget cible, stratégie qu’il peut amender au besoin. Il va pouvoir suivre l’avancée des travaux et comparer le prévisionnel avec la réalité.Les défis relevés par Sitowie sont cruciaux pour l’ensemble du secteur puisque prolonger la durée de vie des bâtiments permet de :Contribuer positivement à la lutte contre le réchauffement climatique : Sitowie permet de réduire jusqu’à 34% l’empreinte carbone des bâtiments et s’attèle maintenant à réduire la consommation énergétique. Allonger la durée de vie des composants d’un bâtiment permet de réduire son empreinte carbone, de consommer moins de ressources premières et de mieux contrôler la consommation énergétique. Alors que la réglementation se durcit sur ces points (décret tertiaire, label ISR…), la pénurie actuelle de matériaux et d’énergie renforce la pertinence de ces réflexions.Améliorer la rentabilité financière des actifs immobiliers : grâce à Sitowie, il est possible de passer d’une maintenance curative, purement réactive, à une stratégie prédictive et d’économiser jusqu’à 35% sur les budgets de maintenance et d’investissement.Sitowie offre également une solution pour digitaliser facilement et à moindre frais les données immobilières. D’après les premiers retours clients, la solution permet de gagner à minimum 25% sur les process internes en facilitant considérablement la génération d’un référentiel technique, la construction et le chiffrage des programmations de travaux ainsi que leur suivi.« Les professionnels de l’immobilier doivent impérativement se mobiliser pour la planète et pour eux-mêmes. Le secteur du bâtiment est le plus gros consommateur d’énergie : il représente 43 % des consommations énergétiques françaises. Il produit chaque année plus de 120 millions de tonnes de dioxyde de carbone, gaz à effet de serre, soit près du quart des émissions nationales, d’après le ministère de l’environnement. Il existe désormais des solutions fiables, économiques et performantes pour assurer une plus grande durabilité et rentabilité des bâtiments. C’est d’autant plus important dans le contexte actuel de pénurie. Allons-y ! », explique Pauline Koch, CEO de Sitowie.« Le secteur de la construction est le plus gros émetteur de gaz à effet de serre mais peu de solutions s’attaquent au parc existant et au cycle de vie du bâtiment post construction. La solution Sitowie est au coeur des préoccupations des acteurs de l’immobilier : rendre le bâtiment plus durable tout en maitrisant les coûts de maintenance pouvant représenter jusqu’à 80% des coûts d’un projet le long du cycle de vie. Nous sommes fiers d’accompagner Pauline et Sitowie dans ce projet ambitieux », conclut Benjamin Zerbib directeur d’investissement chez Karista.L’entreprise est par ailleurs entourée par des mentors comme :Christian Cleret, Président d’honneur de l’ADI, Co-président du Groupe RBR 2020-2050 Plan Bâtiment Durable ;Philippe Jouan, Président Jouan & Associés, Ancien Président RICS France ;Pierre Schoeffler, Global Asset Allocation & Sustainable Investing Advisor, Conseiller du Président La Française ;Thierry Thibaux, Ancien Directeur Technique d’EIFFAGE Travaux Publics ;Jean-Michel Torrenti, Chercheur à l'université Gustave Eiffel, Professeur à l'École des Ponts ParisTech.
Il y a 2 ans et 187 jours

Cap Renov Aides : plus de 3.000 aides financières recensées pour les travaux de rénovation énergétique

Avec 72.000 rapports générés par an, cet outil est un véritable atout pour aider les artisans au quotidien et leur permettre de saisir toutes les opportunités de chantier en lien avec la rénovation énergétique. CAP RENOV+ évolue avec CAP RENOV AIDES qui permet de calculer en quelques clics les aides financières d'un chantier.Plus de 3.000 aides financières disponibles en quelques minutesCAP RENOV AIDES complète aujourd'hui les fonctionnalités déjà disponibles dans CAP RENOV+. Facile d'utilisation, il apporte au professionnel toutes les informations concernant les aides financières d'un projet. Il peut ainsi répondre rapidement à ses clients sur le coût global des travaux et le montant des aides dont ils peuvent bénéficier. Un atout de poids quand il faut s'engager dans des travaux de rénovation !CAP RENOV AIDES regroupe 3.200 aides financières pour les travaux de rénovation du niveau national au niveau local. Pour y accéder, rien de plus simple :Description du contexte : moins d'une minute est nécessaire pour décrire le logement avant travaux. Cette description peut être complétée d'une notion de revenus car les aides y sont souvent liées.Proposition de travaux éligibles : ils concernent le bâtiment (isolation, menuiseries), la ventilation et les équipements de chauffage et eau chaude.Estimation des aides et du montant final des travaux : cette étape permet d'accéder à la liste de toutes les aides au niveau national, régional et local auxquelles le projet peut prétendre.Édition d'un rapport : un rapport en format PDF et personnalisable est généré pour pouvoir être adressé au client final.CAP RENOV AIDES gère la compatibilité des aides entre elles ainsi que les écrêtements lors du cumul d'aides. Pour chaque aide, le calcul prend en compte le niveau de revenu des bénéficiaires et les éventuels plafonds. Les coordonnées des collectivités qui délivrent les aides, ainsi que le détail des conditions exigées sont facilement accessibles. L'application gère les projets des propriétaires occupants ou bailleurs de logements individuels.Une mise à jour des aides nationales est faite au plus tard 15 jours après leur date de mise en application (sauf complexité particulière). De leur côté, les aides locales sont mises à jour tous les mois.
Il y a 2 ans et 188 jours

PAP.fr propose le seul outil de calcul d’une révision de loyer qui intègre les dernières contraintes réglementaires

Les particuliers désireux de calculer leurs révisions de loyers pourront se tourner en toute confiance vers PAP.fr pour disposer d’un calcul conforme aux nouveautés règlementaires. Loi « Pouvoir d’achat » : de nouvelles règles qui complexifient les révisions de loyer !Afin de limiter les effets de l'inflation sur les loyers d'habitation, la loi « Pouvoir d’achat », entrée en application le 16 août 2022, prévoit que :Les réindexations annuelles de loyers sont plafonnées pendant un an, de mi-octobre 2022 à mi-octobre 2023.Les réindexations diffèrent désormais selon l’emplacement géographique du bien et 3 zones sont créées, chacune avec leurs propres indices : (1) France métropolitaine, (2) Corse et (3) Outre-mer.Parallèlement, les logements situés en métropole, classés F ou G d'après leur DPE. (Diagnostic de performance énergétique), dont le bail a été conclu ou tacitement reconduit depuis le 24/08/2022, ne peuvent plus faire l’objet d’une réindexation de loyer, ce dernier étant gelé.Dans ce contexte, il est très important pour les propriétaires bailleurs d’intégrer ces nouvelles règles ! Et c’est justement ce que leur permet de faire le nouvel outil de calcul de réindexation de loyer mis en ligne sur PAP.frPAP.fr est le premier site à proposer un outil à jour, tenant compte des nouvelles modalités de calculTous ces calculs s’effectuent simplement, en tenant compte des nouveaux indices par zone géographique, en quelques secondes depuis cette page.Aucun autre site ne propose, pour l’heure, un simulateur à jour, puisque l’ensemble des outils disponibles restent programmés avec les paramètres antérieurs au 14 octobre 2022 : INC. (accessible depuis Service-Public.fr et Ministère de la Transition Energétique), ANIL (Agence nationale d’information pour le logement), etc. Ce n’est pas la première fois que PAP (Particulier à Particulier) se distingue par sa réactivité et son exhaustivité sur un sujet équivalent puisque PAP.fr est également le seul site qui calcule et affiche automatiquement dans les annonces les plafonds de loyers dans toutes les communes soumises à encadrement des loyers (incluant Bordeaux et Montpellier depuis juillet dernier).Pour Corinne Jolly, Présidente de PAP (Particulier à Particulier) : « dans un contexte réglementaire qui évolue sans cesse, mettre à disposition des particuliers des outils fiables et mis à jour en permanence, contribue à sécuriser les locations de particulier à particulier qui, rappelons-le, représentent 66% du marché ». Les nouvelles modalités de révision des loyers, dans le détailL'augmentation du loyer selon ces IRL est plafonnée à des taux plus ou moins importants selon la situation géographique du logement. Il est fixé à :3,50% en France métropolitaine ;2,50% dans les régions et départements d'outre-mer ;2% en Corse. Depuis le 14 octobre 2022, l'Insee publie temporairement non plus un seul, mais 3 indices qui intègrent ces 3 plafonnements. Il convient donc d'utiliser l'indice qui correspond : selon que le logement est situé en France métropolitaine, dans les régions et départements d'outre-mer ou en Corse. La clause d'indexation des contrats de location signés entre le 14 octobre 2022 et le 13 janvier 2023 est complétée en indiquant celui des indices du troisième trimestre 2022 qui correspond au lieu où se situe l'immeuble : « le dernier indice publié étant celui du troisième trimestre 2022 qui s'élève à 136,27 (pour un logement situé en France métropolitaine) ». Si le logement est situé en outre-mer, la valeur de l'IRL du troisième trimestre 2022 à indiquer est 134,96. Si le logement est situé en Corse, la valeur de l'IRL du troisième trimestre 2022 à indiquer est 134,30. Exemples de calcul de révision des loyers depuis le 14/10/2022, pour un bail signé le 1er novembre 2021 (indice de référence : 3ème trimestre 2021 dont la valeur est 131,67).Le logement est situé en France métropolitaineNouveau loyer = 1.000 € x 136,27 (nouvel indice pour un logement situé en France métropolitaine) / 131,67 (ancien indice) = 1.035 € (soit une augmentation de 3,49%).Le logement est situé en outre-merNouveau loyer = 1.000 € x 134,96 (nouvel indice pour un logement situé en outre-mer) / 131,67 (ancien indice) = 1.025 € (soit une augmentation de 2,50%).Le logement est situé en CorseNouveau loyer = 1.000 € x 134,30 (nouvel indice pour un logement situé en Corse) / 131,67 (ancien indice) = 1.020 € (soit une augmentation de 2%). L’interdiction de réindexer les logements classés F et GLes logements, situés en métropole, classés F ou G d'après leur DPE, dont le bail a été conclu ou tacitement reconduit depuis le 24/08/2022 ne peuvent plus faire l’objet d’une réindexation de loyer. Et ce sera le cas Outre-mer pour les logements classés F ou G dont le bail sera conclu ou tacitement reconduit après le 01/07/2024.
Il y a 2 ans et 188 jours

Baromètre Transactions Immobilières 2022 : une situation qui se complique en Europe

Les transactions deviennent plus complexes, plus chronophages et plus coûteusesL'étude montre qu’entre l'appel d'offres et la clôture, la durée des transactions d’entreprises a considérablement augmenté. Alors qu'en 2019, le délai entre l'ouverture d'une dataroom de transaction et la clôture de la transaction ne dépassait pas 165 jours, il a atteint 258 jours au premier semestre 2022, soit une hausse de 58 %. Plus frappant encore, la durée des transactions a progressé de manière exponentielle de 33 % entre 2019 et 2020.Pour Alexandre Grellier, PDG et cofondateur de Drooms : « L'augmentation du temps exigé par les transactions immobilières est donc clairement démontrée. Cette situation est en partie due aux délais accumulés pendant la pandémie de coronavirus et causés par le climat économique. À cela nous devons ajouter la multiplication des réglementations, par exemple dans le domaine ESG, qui prolonge les procédures. Simultanément, l'activité transactionnelle a fortement chuté depuis le début de la pandémie. Néanmoins, notre étude indique que le marché est optimiste, du moins à long terme. »Malgré l'incertitude, plus d'un tiers des professionnels du secteur prévoit d'accroître leurs investissements internationauxLe marché semble globalement optimiste, en dépit de l'incertitude générée par la hausse des taux d'intérêt, le conflit ukrainien et l'inflation. Plus d'un tiers (36%) des experts interrogés par Drooms prévoit d'étendre leurs investissements sur les marchés immobiliers internationaux. Environ 47% se préparent à investir à peu près autant que précédemment, tandis que seulement 17% réduiront leurs activités. Les entreprises allemandes semblent plus prudentes. Presque 20% des personnes interrogées prévoient de réduire leurs activités d'investissement, 23% envisagent de les développer. 58% investiront à peu près autant que l'année précédente. Au Royaume-Uni, les investisseurs ont identifié des opportunités. Dans ce pays, pas moins de 82% des participants à l'enquête ont répondu vouloir développer leurs activités internationales. En France, la majorité (64%) des professionnels de l'immobilier souhaitent également investir davantage à l'international. Les répondants espagnols semblent relativement indécis : 42% souhaitent devenir plus actifs au niveau international et 46% prévoient d'investir à peu près autant que pendant la période précédente.Pour Grellier : « En dépit des circonstances actuelles et des contraintes qu'elles exercent sur le marché des transactions, les investissements immobiliers internationaux sont à la hausse. Cela implique donc que le marché offre non seulement des possibilités d'augmenter le rendement des investissements existants, mais aussi un potentiel de diversification. La plupart des investisseurs allemands préfèrent réduire leurs investissements internationaux, mais cette tendance peut aussi être justifiée par la vigueur de leur marché national. »Plus d'un tiers des investisseurs prévoit d'investir au moins 25% de leur capital sur les marchés internationaux L'enquête a également révélé que 36% des experts immobiliers sont prêts à investir au moins un quart de leur capital sur les marchés internationaux. 16% souhaitent même investir au moins la moitié de leur capital dans ce domaine. Les investisseurs britanniques sont les plus attirés par le marché international : environ 73% des participants souhaitent investir au moins 25% de leur capital à l'étranger. En revanche, près de 70% des experts allemands interrogés ont l'intention de n'investir que 25% tout au plus sur les marchés internationaux.Les réglementations fragmentées constituent actuellement le défi principal des investissements internationaux Pour 47% des personnes interrogées, les spécificités locales et la fragmentation des réglementations sur les marchés cibles constituent les principales raisons de la réticence aux investissements immobiliers transnationaux. 28% pensent que le manque d'accès et de connaissance du marché jouent également un rôle important. Comme l'explique M. Grellier : « L'Union européenne n'est pas aussi unifiée qu'on voudrait le croire. Ses réglementations sont en réalité inscrites dans le droit national de manière différente selon les pays. Grellier précise : « Tous les acteurs du marché n'ont pas la même vision sur ce point. C'est pourquoi la transparence pendant le processus transactionnel, et tout le cycle de la documentation et des données immobilière joue un rôle déterminant pour répondre rapidement à toutes les exigences réglementaires. Ne pas répondre à ces exigences peut coûter du temps et de l'argent. Mais ces risques peuvent être considérablement réduits en choisissant des solutions numériques de gestion des documents et des transactions. »Les Américains, les Allemands et les Britanniques sont les principaux moteurs du marché immobilier européen Cette étude a conclu que les Allemands (51%), les Américains (26%) et les Britanniques (23%) sont les principaux moteurs du marché immobilier européen. En effet, les marchés européens bénéficient en général d'une position largement orientée sur l'international. Au Royaume-Uni, 30% des personnes interrogées ont déclaré que les investisseurs étrangers étaient les plus influents sur leur marché. En France, ce chiffre s'élève à 64%, tandis qu'en Allemagne, il ne dépasse pas 31%. D'après l'enquête, l'Espagne apparaît comme l'un des marchés les plus internationaux d'Europe, 73% des personnes interrogées citant les investisseurs étrangers comme étant les plus actifs sur leur marché. L'enquête a également révélé que les marchés de la région DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) et du Royaume-Uni étaient les plus attractifs pour les investisseurs en capital, avec respectivement 52% et 26% des réponses. Toutefois, les experts reconnaissent aussi que la région CEE (Europe centrale et orientale) offre un potentiel important (21%).Demande en hausse pour la logistique et le résidentiel, les espaces professionnels en progrès imminentsSelon les professionnels de l'immobilier, les classes d'actifs logistiques et résidentiels sont les plus attractifs avec une part respective de 34% et 27%. Pour les investisseurs, ils offrent les plus grandes opportunités d'investissement, du fait de la stabilité de leur cash-flow et de leurs risques gérables. Les espaces professionnels (16%) restent attractifs, même si de nombreux employés travaillent davantage à domicile.
Il y a 2 ans et 188 jours

Energies renouvelables : une nouvelle loi pour accélérer solaire et éolien

Des objectifs ambitieuxLa France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe. Mais à l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Des mesures d'urgence, ou pérennesIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais de déploiement.Les sénateurs ont réécrit ce volet en commission en créant de nouvelles dérogations temporaires et en proposant des évolutions pérennes aux régimes de l'évaluation environnementale, de la participation du public et du contentieux administratif, pour accélérer la mise en oeuvre des projets.Planification et "droit de veto"Le rapporteur du texte au Sénat, Didier Mandelli (LR), a introduit un nouveau volet, instituant "un dispositif de planification territoriale" du déploiement des énergies renouvelables, "en partant des territoires". Ce serait d'abord les maires qui seraient "à la manoeuvre" pour définir des zones propices à l'implantation. Surtout, il a aussi prévu "un système à double détente" qui "donne aux élus le pouvoir de dire 'oui' ou 'non' à tout projet d'énergie renouvelable".Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux sur des friches. Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne.Le projet de loi imposait l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2 avec ombrières photovoltaïques et végétalisation. Les sénateurs ont revu la copie du gouvernement, substituant la notion de places de parking à celle de superficie. Les parkings extérieurs de plus de 80 emplacements devront être équipés, soit d'ombrières solaires, soit d'un autre procédé de production d'énergie renouvelable.Les sénateurs ont injecté des dispositions en faveur du développement "raisonné" de l'agrivoltaïsme, combinant exploitation agricole et production d'électricité.L'éolien prend la merLe projet de loi proposait de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement. Les sénateurs ont réécrit le dispositif pour "instituer une planification spatiale et temporelle spécifique". Il prévoit la réalisation d'une cartographie des zones destinées à accueillir des installations à l'échelle nationale, avec une concertation large associant l'ensemble des parties prenantes ainsi que le public sur les quatre façades maritimes. Surtout, le texte adopté en commission prévoit de privilégier les zones d'implantation situées à une distance minimale de 40 km du rivage.RistournesLe projet de loi institue un régime de "partage territorial de la valeur des énergies renouvelables" afin d'en faciliter l'acceptabilité. Alors que le texte du gouvernement prévoyait que les communes concernées, mais aussi les particuliers y résidant, puissent bénéficier d'un rabais sur leur facture d'électricité, les sénateurs ont recentré le dispositif sur les seules collectivités. Les ristournes concerneraient les communes d'implantation mais aussi les communes desquelles ces installations sont visibles. Le dispositif s'appliquerait à l'ensemble des installations d'énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 188 jours

Système Vario Confort de chez Isover - L'avis d'un artisan Point.P

Facile à mettre en œuvre, le système Vario Confort est idéal pour l’aménagement des combles et permet non seulement de gagner en espace de vie, mais également de faire jusqu’à 30% d’économies sur la facture de chauffage !
Il y a 2 ans et 188 jours

Une fabrique de biscuits entre design et artisanat, avec Hi-Macs au premier plan

« Personne n'a dit que la modernité était incompatible avec la tradition », telle était la devise d'Aerts Speculaas, et les concepteurs de Kletz Studio ont relevé le défi d’entreprendre une métamorphose qui préserverait l’histoire et l’identité de l’entreprise.Les architectes d'intérieur en charge de tous les aspects du projet, de la conception initiale à la livraison finale, se sont attachés à « démontrer la force de la combinaison d'un design attrayant avec des matériaux appropriés, pour obtenir un espace à la fois moderne et traditionnel ». Cet hommage au patrimoine de la maison et à sa culture, se reflète dans le lumineux comptoir, construit en HIMACS, qui prend la forme d'un spéculoos belge, un biscuit traditionnellement servi à Noël.Pour magnifier la luminosité et l'espace, Kletz a utilisé HIMACS Alpine White, dont l'élégance et la pureté donnent au comptoir la place qu'il mérite. « Le design du comptoir se caractérise par des angles arrondis et des parois parfaitement lisses, et l'utilisation de la pierre acrylique HIMACS contribue à créer une atmosphère douce et apaisante », expliquent les concepteurs.Pendant la rénovation, la priorité était de s'assurer que la vitrine centrale mettrait en valeur les produits d'Aerts Speculaas, tout en assurant l'hygiène dans la zone environnante, qualités pour lesquelles HIMACS est la solution idéale, grâce à sa surface uniforme, non-poreuse et résistante à la saleté, aux germes et aux rayures.Les concepteurs voulaient renforcer la sensation d'espace et attirer l'attention sur les produits, afin de séduire les consommateurs : le minimalisme du magasin et l'utilisation intensive de la couleur blanche font contrepoids aux étagères de style industriel, dans un mélange parfait entre classique et contemporain.Cette combinaison, entre stratégie commerciale et design, s'étend à la tablette autour du comptoir, conçu en Sky Blue, de la collection HIMACS Solids, dont la forme fluide épouse parfaitement la forme du comptoir. Cette caractéristique est pratique pour les clients tout en assurant une hygiène et une esthétique, durable et facile à entretenirEn outre, l'utilisation de cette teinte azur contribue à l'objectif initial de coordonner un style moderne et méditerranéen avec le caractère traditionnel et coloré des carreaux de sol, qui rappellent les premiers jours de l’entreprise familiale.Aerts Speculaas est présent en Belgique depuis 1913. L'entreprise a débuté comme boulangerie familiale à Sombeke, dans la partie flamande du pays. Peu à peu, l'entreprise s'est spécialisée dans la production à petite échelle de spéculoos, un biscuit de Noël traditionnel, qui est devenu depuis son produit phare.Informations sur le projet :Lieu : Lokeren, Belgique Design : Kletz │www.kletz.be Fabrication et mise en œuvre : Kletz │www.kletz.be Matériau : HIMACS Alpine White S028 et Sky Blue S203│www.himacs.eu
Il y a 2 ans et 188 jours

Les menuiseries : Quels sont les enjeux environnementaux pour les fabricants ?

Aujourd’hui la question des impacts environnementaux se pose plus que jamais dans le monde, y compris en France, douzième pays ayant émis le plus de CO2 globalement entre 1850 et 2021, soit 35,5 milliards de tonnes de CO2. Pour lutter en faveur du développement durable, tous sont concernés, mais surtout dans le monde de la construction. En France, le secteur du bâtiment est responsable de près de  3 tonnes de carbone. Cela représente 25% de l’impact de “L’Hexagone”. Pour répondre à cet enjeu de taille, c’est en 2020 que la France a passé d’une réglementation thermique à une réglementation environnementale : il s’agit de la RE2020. Cette nouvelle réglementation, mise en vigueur le 1er janvier 2022, a pour vocation d’améliorer la performance énergétique et de réduire la consommation des bâtiments neufs.  Alors, quels sont les objectifs de cette RE2020 ? Quelles solutions mettre en place lorsque l’on est fabricant, et plus particulièrement en menuiseries ? Découvrons-le dans cet article, avec pour illustration l’approche adoptée par Actibaie pour répondre à ces enjeux. Les objectifs de la RE2020 Dans ce but de réduction de l’impact environnemental, quels sont les objectifs des acteurs du bâtiment, pour respecter cette réglementation ? Le premier objectif de la RE2020 est la réduction de l’impact carbone qu’ont les bâtiments neufs sur l’environnement.   La RE2020 introduit la notion de «performance environnementale». Cela propose de nouveaux indicateurs pour évaluer les impacts environnementaux du bâtiment, durant l’intégralité de son cycle de vie. Le «confort d’été» dans les logements est également introduit. L’objectif est de s’assurer que les habitants de logements neufs supportent bien les conditions climatiques futures. Ces notions visent une amélioration de la conception bioclimatique des bâtiments. Sans oublier le renforcement de la performance de l’enveloppement du bâtiment. Une fois cet impact carbone réduit pour les bâtiments neufs, l’objectif suivant est de continuer d’améliorer cette performance énergétique et la baisse des consommations.  Fabricants en menuiserie : les solutions concrètes Pour atteindre ces objectifs et réaliser des menuiseries de qualité, quelles sont les solutions concrètes que les fabricants en menuiserie peuvent mettre en place? Optimiser la durée de vie des matériaux Le cas des fenêtres Les fenêtres jouent un rôle important dans l’amélioration de la performance énergétique d’un bâtiment. « Le changement de fenêtres permet à lui seul de réduire les besoins de chauffage jusqu’à 27% », d’après une étude menée par Pouget Consultants.  D’après la FDES, Fiche Déclaration Environnementale et Sanitaire, leur durée de vie est de 30 ans, qu’il s’agisse de fenêtres en aluminium, PVC ou bois. Une solution pour les fabricants en menuiserie est ainsi d’optimiser cette durée de vie des matériaux. Par exemple les fenêtres, en les fabriquant avec des composants qui soient remplaçables, tels que des joints, vitrage.  Soigner la pose des menuiseries et mise en place de protections extérieurs  Utiliser des matériaux remplaçables n’est pas suffisant pour assurer une qualité et une performance énergétique aux menuiseries. Il s’agit également de soigner leur pose, notamment leurs liaisons vis à vis des parois verticales. Sinon, cela créera des ponts thermiques ou encore des défauts d’étanchéité, créant des pertes de chaleur dans une pièce. Pour pallier ce problème, le fabricant peut par exemple passer par des membranes ou des adhésifs spécifiques pour frein vapeur. Si les liaisons permettent d’éviter d’avoir trop froid, les protections extérieures telles que les bandeaux latéraux ou avancées de toiture, permettent de limiter une surchauffe.  L’utilisation de matériaux biosourcés De nouveaux matériaux devront voir le jour pour s’adapter à la demande environnementale. C’est l’avis de Vladimir LUZHBIN-ASSEEV, Responsable Technique du Groupement Actibaie. Actibaie est un syndicat membre de la Fédération Française du Bâtiment et un groupement professionnel des portes, portails volets et stores.  D’après Vladimir LUZHBIN-ASSEEV, la RE2020, via les exigences carbones, va favoriser l’émergence des matériaux biosourcés : “Ce ne sont pas vraiment des nouveaux matériaux mais plutôt des “anciens nouveaux matériaux”. Tout ce qui est bois, argile, chanvre va beaucoup se développer dans les années à venir.  Pour la menuiserie d’une manière générale, on verra beaucoup de produits mixtes, par exemple bois/aluminium pour les fenêtres ou bois/acier. Pour le secteur de la fermeture on a déjà beaucoup de volets en bois. Mais, on pourrait peut-être revoir des volets roulants en bois. Ce sont des choses qui ont disparu depuis un certain nombre d’années et qui pourraient peut-être refaire surface.” Le passage au BIM, solution pour réduire son impact environnemental Le BIM, Building Information Modeling, permet de coordonner la planification des coûts, la conception, la construction et la production dans un projet de construction. Ayant les données de leurs produits digitalisées avant de passer à leur fabrication, cette méthodologie permet aux fabricants de créer des éléments précis, et donc d’éviter les erreurs. Ainsi, la quantité de déchets est réduite, évitant les commandes de produits exagérés. Le BIM permet d’autre part aux fabricants en menuiserie d’obtenir une spécification de leurs produits. Si les équipes de conception d’un bâtiment en BIM connaissent les données et la géométrie des produits d’un fabricant, ils auront plus tendance à choisir les produits de ce fabricant dans ce projet BIM. BIM&CO, de par sa plateforme bimandco.com, permet aux fabricants en menuiserie de réduire leur impact environnemental. C’est le cas des fabricants en menuiserie adhérents de Actibaie : “BIM&CO nous permet de mettre en avant nos produits auprès des prescripteurs, de les rendre visibles. Les bureaux d’études qui utilisent le BIM pour leurs projets peuvent ainsi trouver facilement le produit idéal de fenêtres par exemple. Pour nos adhérents, cela leur permet de personnaliser les objets génériques que l’on a créé pour mettre leur logo et les paramètres techniques qu’il faut.” Découvrez-en plus sur l’approche proactive du groupement Actibaie, syndicat membre de la Fédération Française du Bâtiment, pour répondre aux enjeux environnementaux dans notre article de blog. Vous êtes fabricant en menuiserie et souhaitez passer au BIM pour réduire votre impact environnemental ? Nous nous ferons un plaisir de vous accompagner dans votre transition digitale. 
Il y a 2 ans et 188 jours

Haribo réalise 80 % d’économie d’énergie pour produire l’eau chaude de son usine de Marseille grâce à Axima

À l’heure où la sobriété énergétique s’impose comme un impératif dans les process industriels, l’installation par Equans d’un groupe froid avec récupération de chaleur produit des résultats encore meilleurs que prévus en termes d’économie d’énergie. Il permet en outre de réduire la dépendance au gaz, un enjeu de souveraineté majeur pour l’industrie.   L’audit énergétique réalisé […]
Il y a 2 ans et 188 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain augmente avec les prix à 12,9 milliards d'euros

L'entreprise a réalisé 12,9 milliards d'euros de ventes entre juillet et septembre et confirmé dans un communiqué ses objectifs annuels d'une progression du résultat d'exploitation -- malgré une hausse anticipée des coûts de l'énergie et des matières premières, attendue "légèrement supérieure à 3 milliards d'euros en 2022", comparé à 2021.Avec une hausse des prix de 15% au troisième trimestre, Saint-Gobain a compensé la hausse des coûts des matières premières, de l'énergie et des transports, soutenant le chiffre d'affaires alors que les volumes sont en retrait de 1,6% au troisième trimestre.Le groupe se dit "confiant" de pouvoir continuer de "compenser" l'augmentation des coûts pour réaliser "une nouvelle progression du résultat d'exploitation en 2022 par rapport à 2021 à taux de change comparables".L'activité est notamment portée par "la rénovation en Europe" qui "reste résiliente", tandis que "le marché de la construction neuve ralentit". En France, la rénovation est "structurellement plus résiliente" grâce à "un contexte réglementaire favorable et des dispositifs de soutien aux ménages", explique l'entreprise du CAC 40.Sur le continent américain, le groupe a enregistré sa plus forte croissance trimestrielle "grâce à un bon niveau de prix" et "malgré un marché de la construction neuve qui commence à ralentir avec la hausse marquée des taux d'intérêt" dans le sillage des décisions de la Réserve fédérale (Fed): +39% du chiffre d'affaires, à 2,5 milliards d'euros.Saint-Gobain a gagné des parts de marché en Inde, qui contribue à la hausse de 31,5% du chiffre d'affaires en Asie-Pacifique, en plus d'une "croissance modérée" en Chine "tirée par les prix" et "malgré la situation sanitaire".Atteignant 588 millions d'euros, cette région reste toutefois le plus petit marché du groupe, loin derrière l'Europe du Nord, premier avec 4,2 milliards et la région Europe du Sud, Moyen Orient et Afrique (dont la France) avec 3,5 milliards et des croissances respectives de 8,9% et 10,8%.
Il y a 2 ans et 189 jours

EDILIANS lance son Simulateur Solaire

A l'heure de la sobriété énergétique, les solutions solaires deviennent une alternative de plus en plus envisagée par les particuliers. C'est dans ce contexte qu'EDILIANS dévoile son Simulateur Solaire pour aider ses clients couvreurs à réaliser des études d'installation solaire en moins de 5 minutes.
Il y a 2 ans et 191 jours

Loi "énergies renouvelables" : le Sénat prône la concertation avec les élus, la planification dans les territoires et la simplification des procédures

Les énergies renouvelables sont pourtant indispensables à la préservation de notre souveraineté énergétique et à l’atteinte de nos objectifs climatiques. Afin de renforcer l’ambition de ce texte, la commission a donc adopté 129 amendements, selon quatre objectifs.Renforcer la planification territoriale, améliorer la concertation des projets et favoriser la participation des collectivités territoriales à leur implantationAfin de passer d’une logique descendante à une approche ascendante, la commission a institué un dispositif global de planification territoriale du déploiement des énergies renouvelables mettant les élus locaux – au premier rang desquels les maires – à la manœuvre pour définir les zones propices à l’implantation des ENR. Ces zones bénéficieront ensuite de souplesses administratives afin d’accélérer le développement des projets. Dans la même logique, elle a proposé une planification spatiale et temporelle dédiée à l’éolien en mer. Les parties prenantes doivent, en effet, disposer d’une réelle visibilité à moyen terme sur l’implantation des projets.Simplifier les procédures applicables aux projets d’ENRPour réduire les délais de déploiement des projets, des mesures destinées à simplifier le cadre des autorisations administratives ont été introduites comme des dérogations procédurales temporaires supplémentaires et la mise en place d’un fonds de garantie pour couvrir les risques contentieux pesant sur les porteurs de projet.Libérer des surfaces disponibles, sans porter atteinte à la biodiversité ou aux sols, et stimuler l’autoconsommationLa commission a renforcé les obligations de couverture en énergie solaire des bâtiments non résidentiels existants et nouveaux et facilité l’installation d’ouvrages renouvelables sur les bâtiments, par exemple, en rendant les bâtiments neufs prêts à accueillir des énergies renouvelables.Sécuriser juridiquement des dispositions à forts enjeux pour les territoiresEnfin, elle a accru la sécurisation juridique des projets : par exemple, l’ensemble des énergies et techniques indispensables à l’atteinte de nos objectifs seront bien incluses dans le champ du texte et les conditions de concurrence équitables aux armateurs français opérant sur des sites éoliens offshore localisés dans la zone économique exclusive, mieux garanties.
Il y a 2 ans et 193 jours

Une concertation nationale lancée au sujet du mix énergétique à venir

Le Gouvernement lance aujourd'hui une concertation nationale sur l'avenir du mix énergétique en France. Chaque citoyen pourra donner son avis jusqu'au 31 décembre 2022.
Il y a 2 ans et 193 jours

100 boucles énergétiques solaires locales en France, l'objectif de BoucL Energie

BoucL Energie, filiale d’EverWatt, pose la première pierre du plus grand projet d'autoconsommation collective en France sur la ZAE de Saint-Martin-d'Hères près de Grenoble. 100 boucles doivent voir le jour d’ici 2025.
Il y a 2 ans et 193 jours

comment airwood optimise le rendement de l appareil de chauffage au bois et permet de profiter de sa chaleur dans toute la maison

L’entrée en application de la RE2020 (favorable aux énergies renouvelables plutôt qu’aux énergies fossiles) conjuguée à l’engouement des Français pour le bois-énergie met naturellement la solution AIRWOOD de Cheminées Poujoulat sur le devant de la scène. De quoi s’agit-il ? D’un système de récupération et de distribution de la chaleur bois permettant d’optimiser la capacité de chauffe de l’appareil de chauffage à bois et de bénéficier de la chaleur bois dans toute la maison.
Il y a 2 ans et 193 jours

Le rôle économique de l'éolien terrestre serait loin d'être négligeable, selon une étude

FOCUS. Depuis 2012 et jusqu'en 2030, l'éolien terrestre devrait générer 2,2 milliards d'euros de valeur ajoutée et créer plus de 35.000 emplois en France, indique une étude réalisée par le cabinet Asteres pour le compte de CGN Europe Energy. L'importance économique de la filière résulte de plusieurs "effets de substitution" à d'autres sources de production d'énergie.
Il y a 2 ans et 193 jours

Salon IBS, Hager présentera sur son stand ses solutions dédiées à la gestion intelligente des bâtiments et à la mobilité électrique.

Intégrateurs, bureaux d’études et gestionnaires de bâtiments découvriront les dernières nouveautés de Hager pour mieux appréhender la gestion des énergies et piloter de manière plus efficiente leur consommation. Bornes de charge witty et gestionnaire witty park local La mobilité électrique représente un nouveau poste de dépenses de plus en plus important au regard de la consommation générale d’un bâtiment. Pour répondre à cette problématique, Hager présente deux nouveautés sur son stand : sa borne de charge witty park 1.6 json, ainsi que son nouveau gestionnaire de puissance de charge pourgrappes de bornes.La nouvelle borne witty park 1.6 json est compatible avec la norme ISO 15-118, qui s’appuie sur le protocole de communication OCPP. Ce protocole normé a pour vocation d’enrichir et de simplifier considérablement les échanges entre le véhicule électrique et la borne de recharge, pour rendre les opérations de recharge plus optimales, efficaces et fiables.Disponibles en monophasé comme en triphasé et réglables de 2,3 à 22kW, ces nouvelles bornes communicantes sont adaptées pour recharger l’ensemble des véhicules du marché. Elles répondent principalement aux besoins du secteur tertiaire, où l’utilisation des bornes est partagée : commerces, collectivités, parkings publics…Les deux références sont certifiées ZE et EV ready 1.4. Le gestionnaire witty park local* proposé par Hager permet de répartir de manière uniforme l’énergie disponible sur le réseau aux différents véhicules en charge sur le site. Grâce à une interface simple à utiliser, l’utilisateur peut superviser très simplement son parc de bornes. Il peut ainsi suivre et gérer son parc, suivre les charges en cours, grâce à un affichage clair et un fonctionnement intuitif. Cette solution permet aussi de limiter l’abonnement électrique et lisser les pics de consommations tout au long d’une journée. (*Egalement appelé LLM (Local Load Manager)) Stream, pour visualiser les consommations d’énergies multi-sites Le logiciel Stream permet de monitorer la production et les consommations multiénergies de plusieurs sites, y compris dans des villes ou des régions différentes. Il offre également à l’exploitant la possibilité d’afficher l’impact carbone d’exploitation du bâtiment, ainsi que son évolution. Ceci permet de se conformer aux exigences du décret tertiaire. Facile à installer et à configurer, Stream s’exploite au quotidien depuis une tablette ou un PC standard. L’utilisateur a la possibilité d’adapter ses tableaux de bord à ses besoins et ainsi, de disposer de ses données essentielles en quelques clics. Un autre atout de Stream est sa capacité à évoluer au rythme du bâtiment. Le remplacement d’un composant (serveur agardio.manager ou compteur par exemple), son paramétrage et sa configuration s’effectuent en quelques minutes, directement depuis le logiciel stream. Les licences sont dimensionnées selon le volume de données collectées et peuvent être adaptées en fonction de l’évolution des besoins. Stream s’inscrit dans l’EMS Hager (Energy Management System), qui s’articule en 3 niveaux : un premier niveau de terrain avec des appareils de mesure et des capteurs énergétiques, un deuxième niveau concentrateur avec des dispositifs de collecte des données et de centralisation (agardio.manager). Stream constitue le troisième niveaude management, un outil logiciel qui permet de visualiser et d’exploiter de manière personnalisée ces données. Salon IBS les 8 & 9 novembre 2022Paris Porte de Versailles – Pavillon 5.1.Stand Hager A08Plus d’informations, hager.com/fr Partager la publication « Gestion intelligente des bâtiments et mobilité électrique sur le stand Hager au salon IBS »
Il y a 2 ans et 193 jours

SNCF Voyageurs achète de l'énergie photovoltaïque

Le contrat prévoit la construction d'ici à 2025 de quatre centrales photovoltaïques, dans l'Aude, en Haute-Garonne et en Gironde, totalisant une puissance de 146 MW, qui devraient produire 207 GWh par an à l'horizon 2025/26.L'électricité produite dans ces nouvelles centrales sera intégralement vendue à SNCF Energie, une filiale à 100% de SNCF Voyageurs, pour les besoins en électricité de la compagnie, selon un communiqué."Cette production représente 3,6% de la consommation d'électricité nécessaire à la circulation des trains de SNCF Voyageurs, ou bien encore l'équivalent de la consommation électrique annuelle du RER D en Ile-de-France", a-t-elle relevé.L'objectif de SNCF Voyageurs est de disposer à l'horizon 2026/27 de 1.100 GWh d'électricité d'origine renouvelable issue de tels contrats --des contrats d'achat direct d'électricité renouvelable de très longue durée, dits "corporate PPA"--, soit 20% de ses besoins électriques pour la traction de ses trains.Ce type de contrat permet également à SNCF Voyageurs de rendre son coût d'approvisionnement en électricité moins dépendant de la volatilité des prix de marché, a relevé la compagnie.