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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18317 résultats)
Il y a 2 ans et 208 jours

Energie : Haribo a des calories plein les poches

Sur son site marseillais, le confiseur a revisité ses installations grâce à la récupération de la chaleur fatale. Résultat : une...-Energie
Il y a 2 ans et 208 jours

Construction, énergie : un an après, les Assises du bois dressent un point d'étape

FOCUS. Un an après le lancement des Assises de la forêt et du bois, plusieurs ministres ont dressé un premier point d'étape sur les différents chantiers de la filière. Pouvoirs publics et professionnels veulent concilier les fonctions économique et écologique des massifs afin de sécuriser le bois-d'oeuvre pour la construction et le bois-énergie pour la biomasse.
Il y a 2 ans et 208 jours

Agen développe le plus grand parc d'éclairage public solaire d'Europe

Le projet est officialisé mercredi par cette dernière au Salon des maires à Paris, avec l'entreprise Fonroche Lighting et l'Union des groupements d'achats publics (Ugap). L'agglomération agenaise, qui compte 19.000 points lumineux, investira 11 millions d'euros pour remplacer 7.000 candélabres obsolètes par 6.000 lampadaires à énergie solaire."Agen est la première agglomération à basculer aussi massivement sur le photovoltaïque", se réjouit Jean Dionis du Séjour, président de la collectivité qui regroupe plus de 100.000 habitants dans 44 communes. "L'investissement est lourd mais la rentabilité est rapide. On espère économiser entre 600.000 et 750.000 euros par an", ajoute l'élu.Le fournisseur des nouveaux lampadaires, Fonroche Lighting, est basé à Roquefort dans la proche banlieue agenaise. Leader mondial de l'éclairage public solaire, l'entreprise emploie environ 200 personnes dans le monde, dont 130 localement.Son chiffre d'affaires est estimé à 100 millions d'euros pour 2023, contre 60 millions en 2022, signe d'une forte expansion. Elle a décroché récemment des contrats avec le Sénégal pour équiper le pays avec des dizaines de milliers de lampadaires photovoltaïques autonomes, qui éclairent aussi des routes au Koweït, un quartier résidentiel au Québec ou des pistes de ski en Suisse.Pour le directeur général de Fonroche Lighting, Laurent Lubrano, le solaire est une solution d'avenir pour les collectivités qui consacrent "40 à 60%" de leur facture d'électricité à l'éclairage public, sur fond de flambée des prix. "Pour les collectivités aujourd'hui, le choix est le suivant: +Soit je paie très cher, soit j'éteins ou je baisse la lumière+. Il y a une troisième solution: investir dans l'éclairage solaire. Le soleil, c'est gratuit", affirme le dirigeant.Le prix d'un lampadaire solaire est 20 à 30% plus cher qu'un classique "mais il n'y a aucun coût supplémentaire, pas d'énergie payante, pas de tranchée, pas de câble, pas de réseau électrique et pas d'entretien réseau qui coûte très cher. Le retour sur investissement est immédiat. Il n'y a pas de maintenance avant 10 ans".Et d'assurer qu'il n'y a "pas besoin de beaucoup de soleil": "Nous avons par exemple équipé un échangeur autoroutier à Calais de 120 lampadaires qui fonctionnent tous les jours de l'année", souligne le directeur de Fonroche.
Il y a 2 ans et 209 jours

Le marché des applications individuelles solaires en pleine croissance en 2021

En métropole le marché décolle enfinLa crise énergétique, l'augmentation des prix de l'électricité ou du gaz et la volonté d'autonomie toujours plus affirmée de la part des consommateurs sont les moteurs de cette reprise. Les acteurs saluent également le rôle de MaPrimeRénov' qui a permis d'élargir les profils de consommateurs en proposant des aides financières bonifiées pour les revenus les plus modestes. En revanche, les professionnels estiment que la nouvelle réglementation RE2020 ne valorise pas correctement les solutions solaires, prolongeant ainsi un biais déjà dénoncé dans la précédente réglementation (RT2012).Dans les territoires d'outre-mer, l'activité enregistre certes un recul en 2021 (89.050 m2 contre 101.285 en 2020) mais reste à un niveau largement supérieur à celui de la métropole. Portés par des subventions qui financent une large part des équipements, les chauffe-eaux solaires individuels équipent une bonne partie des particuliers des DROM.Dans leur ensemble, les professionnels du secteur des applications solaires thermiques individuelles affichent leur optimisme pour les deux années à venir, estimant que les tensions sur les prix des énergies électriques, gaz et fioul, jouent en leur faveur. Les bons retours des ventes du premier semestre 2022 viennent confirmer ce ressenti.Ces constats sont issus des deux études qu'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) vient de publier sur le marché des applications individuelles solaires thermiques. Une étude quantitative couvre les volumes de marché et l'évolution des prix. Une seconde, qualitative, analyse la position des acteurs sur l'actualité des 12 derniers mois.Les deux études sont disponibles en téléchargement avec les liens suivants :observer-marche-2021-solaire-thermique-individuelrdobserver-quali-2022-st-individuelrd/
Il y a 2 ans et 209 jours

Immobilier logistique : l’amorce d’un nouveau cycle ?

Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France et François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L dressent le bilan des 9 premiers mois de l’année et se projettent à fin 2022.Un niveau de demande placée contraint par la conjoncture et le manque de disponibilitésAvec plus de 2,9 M de m² placés depuis le début de l’année, le marché de l’immobilier logistique français (> 5000 m²) fait preuve de robustesse face à une conjoncture pourtant vacillante (- 15% sur un an et + 10% par rapport à la moyenne décennale). Le marché au 3ème trimestre est resté dynamique (794.400 m² placés), porté par le retour en force des logisticiens et la grande distribution alimentaire. Les volumes placés se retrouvent néanmoins impactés par la dégradation de la conjoncture macroéconomique et le manque de disponibilités d’entrepôts. Géographiquement, les marchés qui composent la Dorsale ne représentent plus que 60% de la demande placée nationale (vs 70% au 1er semestre 2022). Pour Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France : « Comme anticipé, nous constatons un tassement de l’activité sur la Dorsale lié en grande partie à la difficulté de réaliser des transactions en Ile-de-France, Rhône-Alpes et PACA, en raison d’une offre disponible insuffisante. »Le recul de l’offre disponible se généralise et s’accentue sur les marchés de la Dorsale. Plus largement, la faiblesse des libérations ne permet pas de contrer l’asséchement des disponibilités sur le territoire français dans un contexte de durcissement des politiques environnementales.Pour Pierre-Louis Dumont : « Le maintien à un niveau satisfaisant de la demande locative, conjugué à une politique de sobriété foncière, orientent toujours à la hausse les valeurs locatives sur les secteurs les plus tendus ; tandis que les marchés plus offreurs bénéficient dans une moindre mesure de ce déséquilibre. Une croissance des loyers à deux vitesses se dessine sur le territoire français. »Au-delà des problématiques foncières, les incertitudes d’ordre conjoncturel, notamment liées à la crise énergétique et à la baisse du pouvoir d’achat des ménages, pourraient restreindre l’activité logistique au cours des prochains mois. La demande placée devrait rester contenue au 4ème trimestre 2022, confirmant notre scénario d’atterrissage inférieur à 4 M de m².Rééquilibrage à l’œuvre sur le marché l’investissement I&LPlus de 4,8 Mds d’€ ont été investis en immobilier industriel et logistique au cours des 9 premiers mois de l’année. Si la dynamique du 1er semestre reflète la solidité des fondamentaux de marché couplée à la tendance haussière des loyers, les investisseurs se sont montrés plus prudents au 3ème trimestre dans un contexte complexe et incertain. « Sur fond de tensions géopolitiques, de poussée inflationniste et de remontée des taux de financement, les investisseurs réévaluent leur stratégie de cession et/ou d’acquisition pour l’adapter au nouveau paradigme financier » observe François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L. Entre allongement des opérations et repricing, le marché cherche un nouvel équilibre. « Si un ralentissement de l’activité au 4ème trimestre est très probable, les montants investis au cours des 9 premiers mois de l’année nous laissent entrevoir un bilan 2022 tout à fait honorable à plus de 6 Mds d’€ » précise François-Régis de Causans. Les investisseurs pourront compter sur plusieurs relais de création de valeur au cours des prochains mois, qu’ils s’agissent d’opérations de logistique urbaine ou de projets de restructuration de biens s’inscrivant dans une logique de conformité aux critères ESG.
Il y a 2 ans et 209 jours

Les politiques de rénovation énergétique des logements épinglées par un rapport de France Stratégie

"Depuis l'adoption de la première SNBC (Stratégie nationale bas-carbone, ndlr), la baisse des émissions dans le secteur du bâtiment demeure insuffisante au regard des objectifs", note l'organisme qui dépend de Matignon. En 2020, déjà, le Haut conseil pour le climat (HCC), cité dans le rapport, pointait l'insuffisance des dispositifs de subvention comme MaPrimeRénov' ou la TVA à 5,5% et des offres de prêt existant jusque-là "face au montant des travaux et à la faible capacité de financement des ménages". "L'obtention des aides n'est par ailleurs pas systématiquement conditionnée à une obligation de résultat en terme de gain de performance énergétique", note France Stratégie, relevant également un "déficit d'accès à l'information et d'accompagnement", "les délais de réalisation des travaux" ou encore la nécessité de "montée en compétences des artisans", qui constituent "autant de blocages à la rénovation énergétique". Si les dernières mesures mises en place, comme la réglementation environnementale 2020 (RE2020), désormais obligatoire pour les constructions neuves, ou l'interdiction de l'installation de chaudières fonctionnant au fioul "permettront de renforcer l'effort de décarbonation dans le secteur, il n'y a toutefois pas de garantie qu'elles soient pleinement suffisantes et adaptées", estime France Stratégie. "Les actions de rénovation entreprises dans les logements se résument aujourd'hui principalement à des gestes isolés ou combinés par couches successives", a ajouté l'organisme, rappelant que 86% des dossiers MaPrimRénov' validés "entre janvier 2020 et juin 2021 concernaient des travaux de rénovation mono-gestes", qui sont, pour 98% d'entre eux, des changements de systèmes de chauffage, "majoritairement des pompes à chaleur, qui, installées dans des logements peu isolés, soulèvent des questions en termes de pointe électrique lors des journées très froides". Or, le coût des travaux et le "faible calibrage des aides (...) expliquent en partie que les ménages" fassent ce choix de mono-gestes, quand "les opérations de rénovation complète en une seule étape (ou très peu d'étapes) sont souvent mises en avant comme condition nécessaire à l'atteinte d'un niveau équivalent BBC" (bâtiment basse consommation). La SNBC fixe comme objectif que le parc résidentiel "atteigne en moyenne un niveau de performance BBC en 2050", a encore précisé France Stratégie.
Il y a 2 ans et 209 jours

Les évolutions des marchés du chauffage dictent les investissements d’Atlantic

Beaucoup plus de pompes à chaleur, moins de chaudières, Atlantic étoffe ses centres de R&D et ses deux usines de Merville et de Billy-Berclau pour répondre à la demande de solutions thermodynamiques
Il y a 2 ans et 209 jours

Saga vidéo Schöck : la saison 2 sensibilise aux impacts économiques d’une enveloppe de bâtiment non homogène

Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck en vue d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables. Avec trois nouveaux opus : « La grande évasion énergétique », « État des lieux, première partie : ça va chauffer ! », « État des lieux, seconde partie : un combat inégal ». Pouvoir d’achat des ménages accru et économies d’énergie Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques, initiée en septembre 2022. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE (à l’inverse de la majorité des pays européens) et donnait le rôle principal aux passoires thermiques, le deuxième volet se consacre très concrètement aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d'acquérir un logement, tout en sensibilisant également associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques... S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Énergivie, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14% du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans), ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe, en particulier par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clé : économies d'énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d'achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. En d’autres termes, la garantie d'un choix gagnant pour toute la vie du logement, tant pour le propriétaire que pour l'occupant ! Il s’agit donc là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain. Découvrez les épisodes de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.
Il y a 2 ans et 209 jours

Action logement dévoile son plan de décarbonation "massif, historique, structurant"

"En tant que leader [du secteur du logement social et intermédiaire] il est essentiel que nous soyons les pionniers" en matière de décarbonation et d'économie des énergies, a affirmé le président d'Action Logement Groupe Bruno Arcadipane lors d'un point presse à l'issue de la Convention nationale annuelle de l'ex-"1% Logement", cogéré par le patronat et les syndicats. "Ce plan est massif, historique et structurant pour le secteur", a-t-il ajouté.Vingt engagements ont été pris à travers huit axes d'interventions parmi lesquels "amplifier les réhabilitations pour décarboner le parc et améliorer la qualité des logements", mais aussi tendre "vers un bouquet énergétique décarboné et moins cher" afin d'atteindre "la neutralité carbone à l'horizon 2040".Pour ce faire, Action logement a dit travailler autour de trois leviers: la réhabilitation, la construction et l'aménagement de son parc immobilier, qui compte plus d'un million de logements."Nous avons une responsabilité vis-à-vis de nos locataires", a affirmé la directrice générale Nadia Bouyer, qui a rappelé que ce plan constituait un véritable enjeu à l'heure où "60% des logements d'Action logement sont chauffés au gaz".Huit milliards d'euros annuels seront ainsi mis sur la table par les 50 filiales immobilières du groupe afin de remplir ces objectifs.L'ancien ministre de l'écologie Jean-Louis Borloo, qui a qualifié la décarbonation de "chantier du siècle" a évoqué ce plan comme "probablement la plus grande avancée en matière de transition énergétique" lors d'une tribune prononcée en clôture de la Convention nationale.Lundi, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu et le ministre délégué à la Ville et au Logement Olivier Klein ont quant à eux lancé le Conseil national de la refondation dédié au logement dans lequel l'ambition écologique figure au cœur des travaux annoncés ces prochains mois.
Il y a 2 ans et 209 jours

Flambée des factures d'énergie : Bercy précise les modalités de l'amortisseur électricité

ÉCONOMIE. Présenté comme l'une des principales mesures d'aide aux entreprises pour faire face à l'envolée de leurs factures d'énergie, l'amortisseur électricité vient d'être détaillé par le ministère de l'Économie. Pour rappel, il s'adresse à toutes les petites et moyennes entreprises qui ne sont pas éligibles au bouclier tarifaire, ainsi qu'aux collectivités et établissements publics.
Il y a 2 ans et 210 jours

Le gouvernement détaille le dispositif amortisseur électricité pour aider les entreprises et collectivités

Efficacité : l’amortisseur électricité permettra de protéger les consommateurs ayant signé les contrats les plus élevés, avec un plafond d’aide unitaire renforcé.Lisibilité : l’aide sera définie sur un indicateur présent sur les factures et devis des entreprises et collectivités locales, grâce à un calcul simple.Rapidité : le dispositif sera appliqué par les fournisseurs d’électricité et les consommateurs en percevront les effets dès le début d’année 2023.L’amortisseur électricité sera destiné à toutes les PME (moins de 250 salariés, 50 M€ de chiffre d’affaires et 43 M€ de bilan) non éligibles au bouclier tarifaire, et à toutes les collectivités et établissements publics n’ayant pas d’activités concurrentielles, quel que soit leur statut.Pour un consommateur ayant une part énergie de 350 €/Mwh (0,35 kWh), l’amortisseur électricité permettra de prendre en charge environ 20% de la facture totale d’électricité.L’aide sera intégrée directement dans la facture d’électricité des consommateurs et l’Etat compensera les fournisseurs. Les consommateurs n’auront qu’à confirmer à leur fournisseur qu’ils relèvent du statut de PME, d’association, de collectivité ou d’établissement public et qu’ils n’ont pas d’activités concurrentielle.Ce dispositif viendra s’ajouter aux nombreuses mesures d’ores et déjà mises en œuvre pour accompagner les entreprises et les collectivités locales face aux hausses des prix de l’électricité :La baisse de la fiscalité sur l’électricité à son niveau minimal.Un bouclier tarifaire pour les TPE et collectivités locales de moins de 10 salariés, 2 millions d’euros de chiffre d’affaires et ayant un compteur électrique d’une puissance inférieure à 36 kVA.Un filet de sécurité pour les collectivités locales.Un guichet d’aide au paiement des factures d’électricité, de gaz, de chaleur et de froid. Ce guichet est ouvert à toutes les entreprises jusqu’au 31 décembre 2023. A partir de début 2023, les TPE non éligibles au bouclier tarifaire et les PME bénéficieront de l’amortisseur électricité et ne pourront donc plus déposer de dossier au guichet d’aide au titre de leurs factures d’électricité.Comment sera calculé l’amortisseur électricité ?Cette aide sera calculée sur la « part énergie » d’un contrat donnée, c’est-à-dire le prix annuel moyen de l’électricité hors coûts d’acheminement de l’électricité dans le réseau (tarif réseau ou Turpe) et hors taxes.Cette « part énergie », présente sur les contrats et propositions commerciales de la grande majorité des TPE et PME, est exprimée en €/Mwh ou en €/kWh.L’amortisseur viendra ramener le prix annuel moyen de la « part énergie » à 180 €/Mwh (ou 0,18€/kWh) sur la moitié des volumes d’électricité consommée, dans la limite d’un plafond d’aide unitaire de la « part énergie » du contrat à 500 €/Mwh.La réduction maximale du prix unitaire sera de 160 €/Mwh sur la totalité de la consommation (ou de 0,16 €/kWh).
Il y a 2 ans et 210 jours

Gamme O, les solutions Alkern pour la voirie drainante

Les solutions Alkern pour perméabiliser les espaces publics, qu’ils soient dédiés au trafic de véhicules, au stationnement, où un usage piétonnier, sont regroupées au sein de sa gamme O et se déclinent en 3 types d’offres. Les dalles d’infiltration (Hydrodalle et Bétogreen) Grâce aux alvéoles qui les composent, ces dalles offrent des zones perméables, drainantes, végétalisables et donc parfaitement aptes à lutter contre les ilots de chaleur. Les pavés drainants (Hydrojoint, Aquafil et Pavé Coquillage) Esthétiques et adaptés à toutes les circulations (y compris de PMR), les pavés drainants Alkern assument leurs fonctions traditionnelles de pavage ainsi qu’un drainage efficace avec l’infiltration quasi-immédiate des eaux de pluies. Le pavé coquillage s’inscrit dans un process d’économie circulaire. Le secret du PAVÉ COQUILLAGE réside dans sa composition : les granulats naturels non renouvelables sont en partie remplacés par des déchets de coquillages Saint-Jacques broyées. Le béton ainsi constitué est résistant, poreux, et parfaitement adapté à un usage urbain. Le stockage réservoir in-situ (Hydrocyl) Alkern propose de combiner les solutions drainantes placées en surface avec la solution Hydrocyl afin de créer un réservoir in-situ, qui régule l’infiltration des eaux de pluie ou leur déversement dans les collecteurs.En savoir plus sur les réalisations d'Alkern utilisant les Pavés Coquillages.
Il y a 2 ans et 210 jours

Renault signe un contrat d'électricité solaire historique avec Voltalia

Le producteur français d'électricité renouvelable Voltalia a annoncé jeudi la signature avec Renault d'un contrat d'approvisionnement en électricité solaire pour une puissance de 350 mégawatts.
Il y a 2 ans et 210 jours

Pour se chauffer, penser aux réseaux de chaleur

6.500 km aujourd'huiLe pays compte 898 réseaux de chaleur, soit 6.500 km de canalisations de chauffage urbain courant dans 850 villes, selon un état des lieux de la Fédération des Services énergie environnement (Fedene) publié mercredi.Les réseaux ont livré 29,8 térawattheures (TWh) de chaleur en 2021, à près de 45.000 bâtiments raccordés; c'était encore 22 TWh il y a dix ans. Les destinataires sont pour la moitié des bâtiments résidentiels.Ces réseaux ont en 2021 été alimentés en moyenne à 62,6% par des énergies locales renouvelables et de récupération (biomasse, géothermie, déchets non recyclables incinérés...), le gaz complétant.Avec des émissions de CO2 réduites pratiquement de moitié en dix ans, ils émettent désormais 45% de gaz à effet de serre en moins que ne le ferait un chauffage au gaz naturel, selon leurs gestionnaires, qui promettent d'accélérer (avec 73% de sources renouvelables d'ici 2030)."Nous sommes de plus en plus vertueux, et nous augmentons nos livraisons, mais pas assez vite", résume Yann Rolland, président du Syndicat national du chauffage urbain (SNCU)."Nous ne représentons que 4-5% des besoins de chaleur des Français. C'est d'autant plus dommage qu'on est plutôt moins cher", la stabilité des renouvelables ayant "un effet amortisseur sur les prix des énergies fossiles".AmbitionsDans l'immédiat, le secteur vise la création de 1.600 réseaux supplémentaires, ou leur extension, d'ici 2030.Et d'ici 15 ans, le réseau urbain pourrait assurer 20% du chauffage national, un objectif "à la fois ambitieux et raisonnable", dans la moyenne européenne."On est sûrs de notre coup", dit le président de la Fedene, Pierre de Montlivault. "On a la demande des villes, et l'offre de sources renouvelables".Pour lui, le retard est "le fruit de l'histoire: la politique énergétique française s'est focalisée depuis des décennies sur l'électricité et le chauffage a toujours été vu comme un sujet un peu moins important"."On a développé après-guerre les infrastructures électriques et gazières et on a considéré que c'était réglé. De ce fait, il n'y a pas eu de volonté de planification des réseaux de chaleur", contrairement à l'Europe du nord, précise-t-il.Un milliard annuelAujourd'hui ces projets sont soutenus en France par le Fonds chaleur, instrument principal de leur essor, dont le montant est de 520 millions d'euros pour 2022. Pour accélérer, il faudrait un milliard d'euros, estime la filière.Pour l'instant, l'Ademe, qui gère le Fonds, a enregistré 190 demandes de dossiers de création de réseaux.Sur fond de flambée des prix du gaz, "nous sommes dans une dynamique nouvelle", observe Yann Rolland qui dirige Engie Solutions: "on n'a jamais eu autant de demandes de raccordement".Ce développement bénéficie aussi de dispositifs réglementaires, dont le texte "raccordement express" permettant aux copropriétés près d'un réseau de profiter d'aides pour se raccorder.Et le froid !Le premier réseau de froid est arrivé dans les années 1990 à Paris où il rafraîchit, grâce à la Seine, hôpitaux et musées. A Annecy c'est grâce au lac, à Marseille grâce à la mer.La France compte 33 réseaux de froid, qui permettent d'éviter les climatiseurs, économisant fluides frigorigènes et énergie. Ils ont livré en 2021 quelque 0,8 TWh de froid. Avec le réchauffement climatique, selon l'Ademe, les besoins de froid dans le résidentiel et le tertiaire pourraient dépasser 28 TWh en 2050.Il est donc "essentiel de développer des solutions vertueuses et décarbonées", insiste la Fedene, relevant que le soutien au froid manque encore en France.
Il y a 2 ans et 210 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PROSITE, PROJECTEUR LED POUR L’ÉCLAIRAGE EN ENVIRONNEMENT DIFFICILE ET DE GRANDE HAUTEUR

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de projecteurs LED à haut rendement ProSite de Dialight. Robustes, étanches et très économes en énergie, les projecteurs LED ProSite délivrent un éclairage ultra puissant qui offre une excellente visibilité permettant la sécurité des opérations à l’intérieur comme à l’extérieur. Conçus pour fonctionner dans des environnements difficiles et de grande hauteur, ils sont adaptés à l’éclairage des plateformes offshore, des chantiers, des sites industriels et des sites classés SEVESO comme par exemple, des complexes miniers, pétroliers, gaziers, pétrochimiques … Les projecteurs LED ProSite sont disponibles en plusieurs versions, (modèle simple et double), puissances (81 W ; 124 W ; 234 W ; 484 W et 499 W), flux lumineux (12 000 lm ; 18 000 lm ; 30 000 lm ; 65 000 lm),  températures de couleur (ambre ; 2700 K ; 4000 K ; 5000 K), angles de faisceau (moyen – 55° ; extensif – 125° ; très large – 131°x108° ; asymétrique avec une distribution directe) et indices de rendu des couleurs (IRC 70, 80 en option). Ils possèdent une efficacité lumineuse allant jusqu’à 165 lm/W, une très longue durée de vie de L70>150 000 heures et de nombreuses options adaptées aux besoins spécifiques des professionnels. Résistants à l’humidité, à l’air et brume salins (certification DNV), aux vibrations ainsi qu’à la corrosion (boitier compact en aluminium moulé protégé d’une double couche d’enduit polyester et époxy), les projecteurs LED ProSite sont dotés d’optiques moulées (technologie TIR), recouvertes, en option, de verre ou de polycarbonate. Ils sont étanches (indice de protection IP66/67 ; IK10-polycarbonate, IK08-verre), disposent d’une protection contre les surtensions transitoires et fonctionnent à des températures extrêmes de -40°C à +65°C ; +55°C pour les modèles doubles. Les projecteurs LED ProSite sont gradables et compatibles avec le système de commande DALI 2.0/0-10 VDC. Ils sont garantis 10 ans (luminaire et driver). A propos d’EAS SOLUTIONS  EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 210 jours

A Saint-Paul-de-Vence, la fondation Maeght s'agrandit en respectant l'existant

Destiné à offrir de nouvelles surfaces d'exposition pour présenter un fonds permanent riche de quelque 13.000 œuvres, ce chantier va entraîner la fermeture des lieux jusqu'à l'été prochain et se terminera à l'été suivant, en 2024, pour les 60 ans de la célèbre fondation d'art moderne.Pour respecter le bâtiment d'origine, une construction de l'architecte Josep Lluis Sert considéré comme une icône de l'architecture moderniste, le maître d’œuvre italien a travaillé davantage par soustraction que par addition, en creusant une nouvelle galerie sous la cour centrale du bâtiment."L'idée m'est venue en voyant des photos d'Aimé Maeght (NDLR: le créateur de la fondation) en short, surveillant les travaux en 1964 depuis un remblai. Je me suis dit que l'extension était là, dans ce remblai", raconte Silvio d'Ascia, établi en France depuis trente ans et à qui l'on doit la gare TGV de Kenitra au Maroc ou le futur écoquartier Viotte à Besançon.Ce remblai pioché dans la cour centrale sera, dans un souci de recyclage, utilisé pour produire le béton de l'extension du bâtiment, qui accueille chaque année 130.000 visiteurs.Au passage, des éléments ajoutés au fil des années, murs ou occultations, vont être retirés, pour redonner le rythme initial de la déambulation, ponctuée par des meurtrières de lumière. Une promenade extérieure va également être aménagée autour du bâtiment.Au total, la fondation Maeght gagnera ainsi 60% de surface d'exposition, pour atteindre 1.350 mètres carrés."Nos visiteurs qui viennent pour voir Miró, Braque, Chagall ou Giacometti nous reprochaient souvent de ne pas montrer suffisamment nos collections. La nouvelle salle servira à cela, mais aussi à des concerts ou des spectacles de danse quand il pleut", a expliqué Isabelle Maeght, la fille d'André Maeght, 92 ans, et la petite-fille d'Aimé et Marguerite Maeght, ces galeristes parisiens qui avaient eu l'idée de cette "fondation pour les artistes" dans les années 60.Le coût total de ces travaux avoisinera les 4 millions d'euros, financés par les pouvoirs publics, la famille Maeght elle-même et des mécènes comme le groupe Dassault.La fondation ouvrira dans sa nouvelle configuration à l'été 2024 avec une exposition consacrée à Matisse et Bonnard. Un moment important selon Isabelle Maeght, car "ce sont eux qui ont mis le pied à l'étrier à mes parents", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 210 jours

RUBI, nouveau membre de l'alliance CAS

Le Groupe RUBI est désormais membre de l'alliance internationale CAS. Carles Gamisans, directeur général adjoint de RUBI, a souligné que "les professionnels de la construction travaillent souvent dans des endroits sans alimentation électrique et, là où ils se trouvent, les câbles peuvent provoquer des accidents. La solution est la technologie sans fil". Il ajoute "notre objectif est de rendre le travail des professionnels du bâtiment plus sûr, plus facile et plus efficace, et l'idée centrale de CAS s'inscrit parfaitement dans tout cela".En 2023, le Groupe RUBI prévoit de lancer sur le marché quatre nouveaux produits dotés de cette technologie, dont le premier sera le nouveau malaxeur RUBIMIX E10 Energy CAS. L'appareil est doté d'un puissant moteur sans charbon qui garantit des performances élevées et une longue durée de vie et nécessite peu d'entretien.Fondée à Barcelone en 1951, Rubi est aujourd'hui l'un des principaux fournisseurs d'outils de coupe et pose de carrelage. L'entreprise espagnole compte onze succursales sur les cinq continents et distribue ses produits spéciaux dans plus de 120 pays. Rubi développe, produit et vend des outils et des accessoires pour les carreleurs – du malaxage à la coupe en passant par le polissage jusqu'à la pose de carreaux. Son catalogue de produits comprend également des systèmes de nivellement, des outils pour la découpe de dalles, des disques et des trépans spécifiques. L'accent est toujours mis sur les artisans qui sont fortement impliqués dans le processus de recherche et développement des outils de demain. Le but est de rendre le travail des carreleurs plus facile.« Nous sommes impatients de lancer nos appareils sur le marché l'année prochaine et de faire partie de la plus grande alliance de batteries multimarques. Avec CAS, nous pouvons réaliser notre objectif qui est d’offrir une gamme de machines sans fil à notre clientèle. Nous sommes impatients de travailler ensemble », déclare Carles Gamisans.
Il y a 2 ans et 210 jours

Place à la couleur au nouvel Espace Social Commun de Rennes grâce aux tuiles émaillées d’EDILIANS

Porté par la volonté commune du Département d’Ille-et-Vilaine, de la ville de Rennes et de la Caisse d’Allocations Familiales, le nouvel Espace Social Commun (ESC) finit de voir le jour au nord de Rennes, dans le quartier de Maurepas. Celui-ci vise à centraliser dans un lieu unique un ensemble de services publics destinés à soutenir les habitants et à faciliter leurs démarches administratives. Lauréate du concours lancé par le département, l’agence d’architecture Beal & Blanckaert a souhaité conférer à ce nouvel établissement une échelle humaine. L’objectif est double : marquer le quartier de Maurepas d’une nouvelle institution majeure, tout en reflétant l’ambition publique initiale, synonyme d’accueil et d’accompagnement. Un pari réussi grâce à une décomposition de l’ensemble en quatre grandes maisons, rythmées en toiture et en façade par des tuiles émaillées Stretto Huguenot d’Edilians. UN PROJET COMPLEXE FIDÈLE À LA DIVERSITÉ ARCHITECTURALE DU QUARTIER Pour Beal & Blanckaert, l’enjeu majeur était de « donner une échelle humaine à cette réalisation afin d’éviter l’effet d’un établissement trop imposant » dans un quartier emblématique du renouvellement urbain rennais. D’où l’idée de « décomposer le programme en plusieurs maisons pour lui donner un caractère résidentiel tout en unifiant le tout à l’aide d’un matériau que nous souhaitions vibrant » explique Antoine Beal. Répartis sur une parcelle de 2.000 m2, les quatre pavillons de 2 à 5 étages, symbolisant la pluralité des services de l’ESC Simone IFF, se composent d’une structure poteau- poutre béton avec des façades à ossature bois revêtues de tuiles terre cuite. Au-delà de répondre à l’une des exigences du cahier des charges du département qui souhaitait une construction bas-carbone, le choix de l’architecte d’intégrer de la tuile en bardage et en toiture permet de jouer sur une colorimétrie bâtiment par bâtiment et ainsi de « concilier en même temps unité et diversité ». LA STRETTO HUGUENOT ÉMAILLÉE POUR CRÉER UNE MATÉRIALITÉ CHATOYANTE Ayant déjà expérimenté la tuile terre cuite en bardage, c’est tout naturellement que l’agence Beal & Blanckaert s’est intéressée une nouvelle fois à ce matériau. Par sa grande dimension (265 x 370 mm) et sa compatibilité de mise en œuvre sur tous les types de toiture y compris en faible pente (environ 75% à l’ESC Rennes), ainsi qu’en bardage, la tuile Stretto Huguenot s’est imposée. « Mais plus encore ce sont la large palette de teintes personnalisables ainsi que la qualité des émaux développés par Edilians qui ont définitivement séduit aussi bien l’architecte que le maître d’ouvrage », souligne Eric Lebeau, Directeur National de la Prescription. En effet, pour différencier les maisons, chacune possède une tonalité légèrement différente. Cette variation chromatique, réalisée de façon aléatoire à l’aide d’un logiciel spécifique paramétré de manière fine par les architectes, s’exprime au travers de 13 coloris parmi lesquels 3 nuances de verts, 4 rouges, 3 bleus. Afin d’éviter une uniformité totale en toiture et de respecter les contraintes budgétaires du chantier, à cela s’ajoute une déclinaison de 3 blancs à raison de : 20% de tuiles émaillées monocuisson, en Blanc Platine, fabriquées dans l’usine Edilians de St Germer de Fly, et 80% de tuiles double cuisson de la gamme Ultra dans une variation de blanc chaud et froid. Placées principalement en couverture, ces tuiles émaillées blanches présentent un avantage certain en termes de luminosité et de pouvoir réfléchissant en ayant un impact positif global sur le confort et l’efficacité énergétique du bâtiment.Assurant une continuité d’une façade à l’autre, cet effet de pixellisation, qui part d’une teinte très foncée au sol pour se dégrader progressivement vers les blancs, offre ainsi cette matérialité chatoyante à l’échelle du piéton voulue par l’architecte. UNE GESTION MAÎTRISÉE DE L’ÉNERGIE GRÂCE À UNE CENTRALE PHOTOVOLTAÏQUE SOLAIRE MAX Pour contribuer à atteindre l’objectif de performance énergétique de -30% attendu par l’ESC Rennes, 100 tuiles Solaires Max 16 cellules ont été installées directement sur les liteaux d’un pan de toiture de l’un des pavillons. En coloris rouge, elles s’intègrent en toute discrétion aux tuiles Stretto Huguenot et permettent une production énergétique optimale à raison de 59 Wc par tuile, soit près de 6000 Wc. De quoi contribuer à rendre l’espace social plus autonome en énergie ! UNE PROUESSE TECHNIQUE DE L’ÉTUDE À LA MISE EN ŒUVRE Si l’ESC Rennes constituait un véritable défi au niveau esthétique quant au choix des couleurs, il l’était également d’un point de vue dimensionnel. Raison pour laquelle, afin d’éviter toute mauvaise surprise sur le chantier, un important travail d’approche technique et de calepinage a été réalisé très en amont par l’agence Beal & Blanckaert et sa cheffe de projet Hélène Verniers, en fonction de la spécificité de chacune des façades. En étroite collaboration, l’architecte, l’entreprise de pose Loire Atlantique Toiture et Eric Martinat, Directeur Développement Produits d’Edilians, ont ainsi étudié : l’implantation précise des tuiles en façades afin de faciliter leur mise en œuvre et de minimiser le travail de coupe en jouant sur les tuiles et demi-tuiles, l’habillage de la façon la plus discrète possible autour des menuiseries, le traitement des points singuliers pour répondre notamment à la demande de l’architecte en ce qui concerne l’écoulement des eaux pluviales. Une fois achevé cet accompagnement personnalisé, la mise en œuvre des 2.700 m2 de tuiles émaillées Stretto Huguenot dont 1.100 m2 en façade s’est effectuée sans encombre grâce au plan de calepinage minutieusement préparé par l’architecte imprimé en très grand format. Ainsi, pour chaque façade, Loire Atlantique Toiture a trié les tuiles par coloris puis, rangée par rangée dans le bon ordre, avant de les poser à joints croisés, avec un pureau de plus ou moins 14 cm. Quant aux tuiles Solaire Max, même si leur installation constituait une première pour l’entreprise « cela s’est très bien passé. La pose est très simple, de même que le raccordement électrique Plug & Play. C’est presque un jeu d’enfant finalement ! Et ce d’autant plus que nous avions bénéficié au préalable d’une formation technique d’Edilians sur le site pour nous expliquer le fonctionnement », détaille Romain Rouaud qui a repris l’entreprise familiale depuis 5 ans. Le résultat est à la hauteur des enjeux : « l’entreprise Loire Atlantique Toiture a vraiment effectué un travail impeccable. Une mise en œuvre aussi soignée d’un produit noble tel que la tuile, c’est véritablement de l’art » déclare Eric Martinat, enthousiaste. Une composition artistique tant dans la palette de coloris que dans la qualité de finition qui interpellent les habitants du quartier de Maurepas qui confient « trouver cela vraiment très beau ». A propos d’EDILIANS : Leader français de la toiture en terre cuite (9 appellations terroir, 96 modèles et 380 coloris de tuiles) et pionnier de la tuile solaire photovoltaïque universelle depuis 2002, Edilians crée des solutions toitures innovantes au coeur de l’éco-habitat. Edilians fait partie d’Edilians Group : 1700 collaborateurs 400 M€ de CA en 2021 16 sites industriels (France et Europe) 7 marques commerciales edilians.com
Il y a 2 ans et 210 jours

Coreal s'associe à TotaLinuX pour récupérer l'énergie des datacenters et chauffer ses futurs programmes immobiliers

Les premiers projets sont en cours d'élaboration, à l'instar d'ITrium 1, projet élaboré sur la commune de Jouy-en-Josas, qui développe près de 2 500 m2 de bureaux qui seront intégralement chauffés par la chaleur générée par les serveurs immergés.Rendre les datacenters acteurs de la transition énergétiqueSelon The Shift Project, « think tank » de la transition carbone, la part du numérique dans les émissions mondiales de gaz à effet de serre était de 3,5% en 2021 et pourrait doubler d'ici 2025. Les datacenters, qui nécessitent des systèmes de climatisation et de refroidissement, occupent une part importante de ces émissions. Mais il est possible de récupérer l'énergie dégagée par ces centres de données pour les reconvertir en d'autres usages comme le chauffage de locaux résidentiels ou tertiaires.Coreal et TotaLinuX ont décidé de relever ce nouveau défi de la transition énergétique. Le procédé développé par TotaLinuX va permettre de chauffer, refroidir et assurer la fourniture d'eau chaude sanitaire des programmes résidentiels de Coreal grâce à un datacenter immergé installé dans l'immeuble, en lieu et place de la traditionnelle chaufferie. Le datacenter pourra aussi, en accord avec les communes, être raccordé au réseau de chauffage urbain pour distribuer l'énergie aux logements environnants ainsi qu'aux équipements municipaux (piscines, centres sportifs…).« Nous allons pouvoir assurer les besoins en chauffage, refroidissement et eau chaude de bâtiments de 20 à 50 logements. Nous installons le centre de données au sein même des immeubles, car, plus il est loin, plus il perd en degrés. L'idée est d'implanter les nouveaux datacenters au coeur des villes, là où sont les clients. Ces serveurs sont, aujourd'hui, installés en périphérie, ce qui est une source supplémentaire de pollution, car il faut relancer le signal » explique Dominique Brisard, président du groupe Coreal.Une technologie révolutionnaire à empreinte carbone positivePour fournir l'énergie requise, les datacenters seront immergés selon le procédé d'Immersion Cooling (« refroidissement par immersion ») dont TotaLinuX, entreprise française basée dans la French Tech de Paris Saclay, détient la licence d'exploitation. Les serveurs qui dégagent une forte chaleur (effet Joule) seront refroidis par un fluide diélectrique (sans charges électriques propres), caloporteur, non toxique, inodore, biodégradable et ininflammable. L'installation de ce type de datacenters n'entraîne ni pollution sonore, ni consommation d'eau, ni émission de gaz à effet de serre.La technologie présente ainsi une empreinte carbone positive.« Cette nouvelle technologie de refroidissement des serveurs informatiques, présente les avantages suivants : aucune émission de CO2, aucune consommation d'eau, aucun risque d'incendie contrairement aux datacenters en air, aucune humidité, aucune poussière et aucun bruit » souligne Frédéric Delpeyroux, fondateur et CEO de TotaLinuX et d'ITrium Green & Cloud.Un chauffage gratuit et décarbonéL'installation d'un datacenter immergé est une opération gagnante pour les habitants qui n'assumeront ni les charges de chauffage ni les frais d'entretien d'une chaudière.En effet, le coût d'installation des datacenters est intégralement pris en charge par celui qui en est propriétaire : investisseur ou entreprise. Un opérateur spécialisé assure l'exploitation (Interconnexion, Equinix, DATA4, etc.) et, pour la maintenance et l'entretien classique, TotaLinuX s'appuie sur ses partenaires informatiques, principaux constructeurs mondiaux. Un contrat est signé avec le syndic de copropriété ou le propriétaire de l'immeuble.« Nous sommes à l'avant-garde du logement de demain », explique Dominique Brisard. « L'installation de ces datacenters permettra de délivrer gratuitement de l'énergie aux logements des communes tout en bénéficiant d'une empreinte carbone positive. Le monde de la construction doit montrer l'exemple. C'est un engagement fort vers la sobriété énergétique »Des programmes déjà à l'étudeSitué à Jouy-en-Josas, ITrium 1, première réalisation du programme ITrium®, sera aussi le premier bâtiment au monde à utiliser la technologie de l'Immersion Cooling. Ses 2 500 m² de bureaux et d'espaces de convivialité, de réunion et d'exposition seront chauffés grâce à un centre de données immergé. Le surplus de chaleur sera donné à la ville. En effet, le surplus d'eau chaude sera exporté et redistribué dans les bâtiments à proximité, y compris les logements sociaux. Une innovation originale à la fois écologique, économique et sociale.
Il y a 2 ans et 210 jours

La Nouvelle-Aquitaine mise sur la géothermie pour réduire les factures de ses lycées

"Notre facture de gaz de janvier dernier avait triplé par rapport à celle de janvier 2021. Celle de février était cette fois égale à zéro", se réjouit Laurence Colin, proviseure du Lycée des métiers Condorcet, à Arcachon. Depuis février, cet établissement girondin qui forme les élèves aux métiers du tourisme ou de la restauration est l'un des neuf lycées néo-aquitains (sur 296) chauffés par géothermie.Le système, auquel sont éligibles quasiment tous les établissements de la région, est alimenté par les quatre puits de la société française Vermilion qui produisent du pétrole... mais aussi de l'eau chaude de 65 à 80 degrés, à 300 mètres de là. Grâce à un échangeur à plaques, les calories de cette dernière sont récupérées pour chauffer à son tour l'eau de la chaudière du lycée.Selon Laurence Colin, "on a eu un peu plus chaud cet hiver, sans doute car on n'avait pas à brider autant pour faire des économies".245.000 euros d'économieDeuxième ressource géothermale de France métropolitaine derrière le Bassin parisien, la Nouvelle-Aquitaine a déboursé ces six dernières années 15 millions d'euros pour installer cette source d'énergie dans ses établissements.Cet investissement sera "au moins doublé" dans les années à venir selon le vice-président du conseil régional Jean-Louis Nembrini qui rappelle que la région a dû "voter une rallonge de 10 millions d'euros pour soutenir les lycées qui n'arrivaient plus à payer les factures de gaz".Au Lycée Victor Louis de Talence, près de Bordeaux, l'eau est puisée en sous-sol puis une pompe à chaleur permet d'augmenter la température selon les besoins de l'établissement.L'installation, qui a coûté 2,3 millions d'euros, a permis une division par 10 des émissions de CO2 et de diviser quasiment par trois le coût d'exploitation (150.000 euros contre près de 400.000), selon la région. La facture de gaz est remplacée par une d'électricité, nécessaire au fonctionnement de la pompe.Si la crise énergétique remet un coup de projecteur sur la géothermie, elle a longtemps été délaissée par les collectivités."Il y a quelques années, au prix où était encore le gaz, il fallait compter des temps de retour sur investissement qui étaient souvent de 10 à 14 ans", explique Xavier Pujos, chargé de mission à la région.Et "même si on dit depuis les premiers sommets mondiaux qu'il faut réduire les émissions de CO2, on n'allait pas sur ce terrain".SéismesAujourd'hui, le retour sur investissement a encore diminué. Si une projection dans les prochaines années est difficile, "on n'aura jamais un prix de kilowatt de l'électricité quatre fois supérieur à celui du gaz", assure Xavier Pujos. Une augmentation qui annulerait les bénéfices de l'installation de Talence.Quid de la sécurité ? En 2019 à Strasbourg, un projet de géothermie profonde (eau puisée à plus de 1.500 m de profondeur) avait été mis en cause après plusieurs séismes.Un risque balayé par Xavier Pujos: "En Alsace, ils opéraient beaucoup plus profondément, avec des risques sismiques. De plus, il s'agissait d'une extraction de matière" contrairement aux exemples néo-aquitains où l'eau est réinjectée dans les sols pour éviter un déséquilibre."Les secteurs sur lesquels on a des points de vigilance comme des risques d'effondrement, des mouvements de terrains, sont identifiés", appuie Jérôme Barrière, hydrogéologue du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) de la région. La géothermie peut être envisagée mais après l'aval d'experts.Du côté du BRGM, on assure que les demandes de renseignement ont dernièrement augmenté."La géothermie est revenue sur le tapis à chaque grande crise énergétique. Le premier boom est apparu après le choc pétrolier de 1979".
Il y a 2 ans et 210 jours

Énergie : une centrale à charbon rouvre, nucléaire et hydraulique réaffirment leurs atouts

DÉCRYPTAGE. La centrale à charbon Émile-Huchet de Saint-Avold, en Moselle, a recommencé à produire de l'électricité depuis hier matin en vue de sécuriser l'approvisionnement du pays. En parallèle, le Gouvernement a apporté son soutien à EDF pour la construction de deux EPR au Royaume-Uni. En outre, la filière de la petite hydroélectricité s'est rappelée au bon souvenir de l'exécutif dans un contexte de crise énergétique.
Il y a 2 ans et 210 jours

peinture isolante thermique quelle efficacite et quels produits

Quels sont les avantages d’une peinture isolante thermique ? Les avantages comprennent un confort thermique accru, une isolation améliorée, etc.
Il y a 2 ans et 210 jours

revision du chauffage le controle du thermostat devient obligatoire

Début octobre, le gouvernement présentait son plan de sobriété énergétique, avec un volet concernant les bâtiments. Parmi les principales consignes à retenir : ne pas dépasser les 19°C en intérieur. Pour s’assurer de cela, les thermostats ont un rôle primordial. Un arrêté publié au Journal Officiel institue ainsi le contrôle de la présence et du bon fonctionnement du thermostat par les professionnels révisant le système de chauffage.
Il y a 2 ans et 210 jours

L’Ecosoil, un liant bas carbone au laitier d’aciérie

Le laitier d’aciérie constitue la matière première du liant Ecosoil, utilisé ici pour stabiliser les “éco-voiries du Mont-Saint-Michel. [©ANT] Le laitier de hauts fourneaux provient de la transformation du minerai en fer en fonte. De son côté, le laitier d’aciérie est, lui, issu de l’étape suivante, c’est-à-dire de la transformation de la fonte en acier. Co-produit de l’industrie métallurgique, il se caractérise aujourd’hui par une empreinte carbone limitée à 17 kg/t, liée à son traitement et son transport. L’autre particularité intéressante est son abondance, à travers un très important stock disponible. En effet, jusqu’à présent, l’industrie cimentière et bétonnière ne s’est pas vraiment concentrée sur ce matériau. La faute, sans doute, à la présence d’un taux de chaux libre assez important. Ce qui n’exclut pas de mener des recherches. « Je me suis toujours intéressé aux produits “orphelins”, pour finir par devenir, en quelque sorte, le plus petit fabricant de liants hydrauliques de France », explique Philippe Dhervilly, directeur de ARD Normandie Technologies (ANT). Un mélange de laitier d’aciérie et de hauts fourneaux Philippe Dhervilly, directeur de ARD Normandie Technologies, à l’origine du liant Ecosoil. [©ANT] Cet ingénieur mécanique de formation a ainsi réussi à trouver des utilisations pour ce laitier particulier. Ceci, en mettant sur le marché l’Ecosoil, un liant hydraulique routier élaboré sur la base d’un mélange d’au moins 60 % laitier d’aciérie (de type LD1), d’un complément de laitier de hauts fourneaux (dit HF) et d’activateurs… Résultat : un liant affichant une empreinte CO2 inférieure à 50 kg/t ! « Le laitier d’aciérie LD entrant dans la composition de l’Ecosoil est inscrit comme constituant principal des liants hydrauliques routiers dans la norme européenne NF EN 13282-2 consacrée à ces matériaux. » Grâce à son innovation, Philippe Dhervilly a réussi à concevoir des formules de sols stabilisés pour le traitement de surfaces horizontales, tels des allées piétonnes, des parkings ou des voiries à faible circulation. Bas carbone et résistant à l’abrasion « L’Ecosoil a permis de réaliser l’essentiel des “éco-voiries” du Mont-Saint-Michel. Entre 2005 et 2015, ce sont plus de 180 km de voies qui ont ainsi été traitées partout en France », confirme Philippe Dhervilly. Les allées à faible trafic du château de Versailles profitent aussi de cette solution. Lire aussi : Le laitier de hauts fourneaux, émetteur de 83 kg éq. CO2/t L’Ecosoil s’emploie avec des matériaux minéraux (sable et granulats) d’une taille allant de 0/4 mm à 0/60 mm. Ce qui représente un champ d’application assez large. « Ce liant permet de stabiliser durablement les sols et de garantir d’excellentes résistances à l’érosion hydraulique comme éolienne. La prise du béton est lente, mais évolutive assurant la tenue sur le long terme et une semi-porosité du revêtement final. » Aujourd’hui, l’Ecosoil est disponible auprès d’un réseau de distributeurs du Grand Ouest de la France. Plusieurs BPE indépendants du même secteur géographique proposent aussi des réponses sur la base de ce liant bas carbone. 1Le laitier d’aciérie LD est issue de convertisseurs à oxygène. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 211 jours

Contrôle de la chaudière : le contrôle du thermostat désormais obligatoire

Cette disposition "concerne toutes les chaudières qu'elles soient individuelles, collectives ou d'entreprise, et quelle que soit l'énergie utilisée", précise le ministère de la Transition écologique dont le texte paru vendredi complète quatre arrêtés existants.Cela concerne aussi les pompes à chaleur et les systèmes de climatisation.Le professionnel chargé du contrôle doit "vérifier s'il y a un thermostat ou pas, s'il fonctionne bien ou pas, et voir par ailleurs si les réseaux de chaleur ou de froid sont bien isolées", selon la même source.Un matériel de chauffage mal entretenu ou pas révisé dans son intégralité entraîne des surconsommation qui peuvent être importantes, de l'ordre de 8% à 12%, selon le ministère.A titre d'exemple, un bon entretien de la chaudière et l'installation d'un système de régulation pilotable et automatisé, un ensemble de bureaux de 1.000 m2 peut réaliser jusqu'à 20% de baisse de consommation et 5.000 euros d'économies, selon un cas présenté le 6 octobre quand le gouvernement a lancé son plan de sobriété énergétique.L'arrêté du 21 novembre 2022 "relatif au contrôle et à l'entretien des chaudières et des systèmes thermodynamiques" prévoit en outre qu'à terme, les immeubles de bureaux ou "bâtiments tertiaires" devront tous avoir un système de gestion technique des bâtiments, autrement dit un système pilotant automatiquement la ventilation, les températures et l'éclairage.Ce sera obligatoire au 1er janvier 2025 pour les bâtiments ayant un chauffage d'une puissance supérieure à 290 kW, puis dès le seuil de 70 kW au 1er janvier 2027.
Il y a 2 ans et 211 jours

Reprise d’un point de vente et développement en multi-sites, le réseau Lorenove est toujours aussi attractif !

Avec 60 points de vente en activité, le réseau LORENOVE signera en 2023 ses 40 ans d’activité !Une longévité qui doit notamment sa prospérité à l’accompagnement des concessionnaires et aux outils et services qui leur sont proposés. En outre, l’activité du marché, qui a connu une croissance de près de 20% en 2021, ne se tarit pas en 2022 et offre l’opportunité à de jeunes entrepreneurs de lancer leur entreprise ou bien de reprendre les parcours actifs de leurspatrons. Ce sont les illustrations types des nouvelles concessions de Sainte-Geneviève-des-Bois et Cannes qui sont respectivement un rachat à la suite d’un départ en retraite ainsi qu’une création dans le cadre d’un projet de vie. Voici les portraits de ces entrepreneurs. KEVIN GUEUDIN, L’ÉVOLUTION D’UNE CARRIÈRE, D’AIDE POSEUR À GÉRANT. Entré en activité en 2011 en tant qu’aide poseur chez LORENOVE, c’est dans la concession d’Etampes que Kevin Gueudin a débuté sa carrière. A cette époque, la concession « Ecole de Fenêtres » est détenue par Monsieur Ecole ainsi que deux autres concessions à Sainte-Geneviève-des-Bois et Orléans. De 2012 à 2014, il prend un poste de commercial toujours au sein de la concession d’Etampes puis intègre l’équipe commerciale de Sainte-Geneviève-des-Bois. Une opportunité professionnelle – qu’il saisit sans hésitation – vient s’offrir à lui, lorsque M. Ecole souhaite prendre sa retraite en 2022 et lui propose de racheter la concession. Ainsi en juillet 2022 le rachat est officialisé et la concession est renommée Fenêtres et Fermetures de l’Essonne. Kevin Gueudin qui conserve ses fonctions commerciales, est entouré d’une équipe de 9 personnes dont 6 poseurs, une assistante commerciale, un commercial et un chef d’agence. À court terme, l’un des objectifs premiers est d’embaucher un second commercial pour le remplacer afin qu’il puisse se concentrer sur la gérance administrative. Concession Lorenove Sainte-Geneviève-des-Bois 91 En activité depuis 2000 la concession de Sainte-Geneviève-des-Bois bénéficie d’une renommée et d’une implantation locale profitable avec une belle visibilité, notamment avec son showroom de près de 100 m². L’équipe en place est performante et l’activité florissante avec un carnet de commande bien rempli. « Nous bénéficions également de lanotoriété nationale de l’enseigne Lorenove qui nous amène des contacts et dont la majorité sont issus du site Internet. En local, le bouche à oreille fonctionne également très bien, nos clients sont un peu nos ambassadeurs » témoigne Kevin Gueudin. Sagace, Kevin Gueudin se fixe des objectifs de développement stratégiques comme l’intégration de vérandas, produit complémentaire aux menuiseries et très demandé ; la prospection vers les copropriétés qui amènent des chantiers conséquents, l’embauche et la formation d’un maçon pour intégrer la gestion des chantiers (portails, clôtures, etc.) de A à Z, ainsi que l’achat d’un nouveau local afin d’être propriétaire des murs. Kevin Gueudin Gérant CAROLINE ET GEOFFREY KETTERER, DE DREUX À CANNES, ITINÉRAIRE D’UN PROJET DE VIE. Dirigeant de l’entreprise de bâtiment « Plein Jour Habitat » à Chartres, Geoffrey Ketterer évolue depuis ses 18 ans, sur le secteur de la rénovation de l’habitat. Approché par le Groupe Lorillard pour son activité en menuiserie, Geoffrey Ketterer est séduit par le concept du réseau LORENOVE qu’il rejoint en 2017 pour ouvrir sa concession sur le territoire de Dreux en Eure-et-Loir (28). Etoffée d’un chef d’agence, d’un commercial, d’une assistante et de 2 poseurs, la concession de Dreux évolue sur un marché favorable avec un secteur pavillonnaire abondant. Sa femme, Caroline, a rejoint les équipes en 2018 et s’occupe des taches relatives à la gestion et au contrôle de conformité pour l’ensemble des enseignes. Le savoir-faire des équipes, la notoriété de l’enseigne LORENOVE ainsi que leur travail sérieux ont porté leurs fruits et la concession bénéficie aujourd’hui d’une renommée qui se propage principalement par le bouche à oreille. Cette prospérité aurait pu être le symbole d’une évolution professionnelle paisible mais c’était sans compter sur le caractère entreprenant de Geoffrey Ketterer et le projet de vie du couple ; qui choisit de partir vivre dans le sud de la France, à Cannes. Justement, l’enseigne LORENOVE n’étant pas implantée à Cannes, l’opportunité leur tend les bras et l’enseigne voit le jour en février 2022. Installée en plein centre-ville de Cannes, la concession est dotée d’un showroom de 100 m². Une assistante a été recrutée ainsi qu’un métreur, avec qui le couple travaille de longue date, et qui a saisi également l’occasion de s’implanter dans le sud de la France. Concession LORENOVE Cannes 06 Le marché de l’habitat Cannois est particulièrement différent de celui de Dreux. « L’activité pavillonnaire concerne beaucoup de résidences secondaires et ce sont majoritairement des immeubles en copropriété pour lesquels le mode de commercialisation et d’exécution des travaux est totalement différent. Par ailleurs les projets de rénovation sont en grande partie axés sur les extérieurs (piscine, terrasse, etc.). Le climat étant différent, les ménages sont moins portés sur la facture énergétique de leur habitat » témoigne Caroline Ketterer.Des facteurs qui n’auront pas d’incidence majeure sur le développement de l’activité de la concession, dont l’objectif premier est de développer le marché des architectes afin de capter la rénovation ou la construction de maisons.Un schéma de prospection familier et déjà éprouvé sur le territoire Drouais. Showroom LORENOVE Cannes 06 Pour rappel, le réseau LORENOVE donne une exclusivité territoriale à chaque contrat de concession. Les concessionnaires bénéficient d’un accompagnement personnalisé, de l’élaboration de leur projet à l’exploitation de leur point de vente au quotidien.Au-delà de ces aides, il existe une réelle entraide entre tous les adhérents, qui partagent également leurs bonnes pratiques à l’occasion de rencontres réseau régulières.
Il y a 2 ans et 211 jours

Inquiets face à la hausse des prix de l'énergie, 55% des maires envisagent de jeter l'éponge aux prochaines élections

L'Ifop a mené pour Hellio, en partenariat avec Acteurs Publics, une étude à laquelle 609 maires représentatifs de l'ensemble des collectivités de France ont répondu entre le 20 octobre et le 10 novembre 2022 [1].[1] La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (taille de la commune, région). Les données ont été redressées lors du traitement sur la base des variables suivantes : le sexe, l'âge, la région et la taille de l'unité urbaine de la commune.Une vision morose de l'avenirPour l'Ifop, c'est un résultat jamais vu depuis 20 ans ! 55% des maires n'ont pas l'intention de briguer un nouveau mandat aux prochaines élections municipales de 2026.Dans le contexte actuel, leur moral est en berne. Hausse des prix de l'énergie, surmenage, responsabilités croissantes, indemnités trop faibles, projets à mener avec un budget de fonctionnement réduit, l'ensemble de ces facteurs concordants amplifient la morosité des maires.Une tendance exacerbée dans les communes de 2.000 à 9.999 habitants (59%), où les élus locaux se retrouvent en prise directe avec leurs administrés et doivent gérer des situations de plus en plus conflictuelles.Pour contenir l'hémorragie et éviter de payer le surcoût aux fournisseurs d'énergie, la mutualisation des approvisionnements énergétiques avec d'autres collectivités est l'une des solutions envisagées par un peu plus de la moitié des élus locaux (55%). Hellio précise que c'est déjà le cas pour certaines communes qui se sont associées par le biais des syndicats départementaux d'énergie. Cette majorité est davantage prononcée dans les communes de plus de 10.000 habitants.L'action du Gouvernement pour aider les communes jugée par les mairesLa satisfaction à l'égard de la politique du Gouvernement33% des maires se montrent satisfaits de l'accompagnement du Gouvernement pour lutter contre la hausse des prix. L'État doit intensifier ses efforts pour soutenir les collectivités territoriales, les élus en attendent plus ! Depuis cette étude, les annonces faites viennent apporter quelques réponses mais celles-ci restent insuffisantes au regard des moyens nécessaires pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments publics :Pour Pierre-Marie Perrin, directeur des affaires publiques et juridiques de Hellio : « Signal positif, le Gouvernement vient d'annoncer, depuis la réalisation de cette étude, un engagement de 1,5 milliard d'euros supplémentaires pour la rénovation énergétique au sein des collectivités. Cette mesure a été votée dans le cadre du projet de loi de finances 2023. »L'approbation des mesures et dispositifs financiers annoncésPour réduire les consommations d'énergie et éviter les coupures cet hiver, le Gouvernement a appelé les collectivités à prendre un certain nombre de mesures. Parmi elles, la réalisation de travaux de rénovation énergétique fait l'unanimité auprès de 89% des sondés. Viennent ensuite les actions de sobriété telles que la réduction ou la coupure de l'éclairage public la nuit (84%) et la baisse du chauffage dans les établissements publics (mairie, école, etc.), des décisions pourtant mal perçues par les administrés.Les communes rurales de moins de 2.000 habitants sont un peu moins enclines à baisser le chauffage, laissant apparaître un clivage entre petites (77%) et grandes collectivités (95%). Cet écart s'explique notamment par le fait que la proportion de passoires thermiques dans le patrimoine géré par les communes rurales est globalement plus élevée que sur la moyenne des collectivités. Réduire le chauffage ne fait qu'aggraver la sensation de froid. Pour limiter l'impact de la hausse des prix de l'énergie, plusieurs dispositifs ont été mis en place ou sont envisagés par l'État. Perçu comme indispensable par 29% des maires, le bouclier tarifaire mérite cependant d'être prolongé et intensifié pour une écrasante majorité, de manière uniforme quelle que soit la taille des collectivités. Du côté des financements d'aides à la transition énergétique des bâtiments publics, même son de cloche, avec encore plus d'insatisfaction : 73% des élus estiment qu'ils sont insuffisants. Ce résultat reste cependant à nuancer : l'annonce du budget supplémentaire de 1,5 milliard d'euros, faite après ce sondage, devrait contribuer à rassurer les élus. Seul bémol, cette enveloppe reste largement inférieure aux 100 milliards alloués lors du plan de relance.La mise en place d'un dispositif financier comparable à MaPrimeRénov' remporte une nette adhésion : 90% des maires souhaitent en bénéficier. Bien compris par le grand public depuis la transformation du crédit d'impôt en une prime forfaitaire, ce levier présente également un intérêt pour les collectivités.Les décrets pris pour l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peu connusPhénomène jugé inquiétant par Hellio, 60% des élus locaux interrogés ont indiqué ne pas connaître le décret tertiaire, aussi appelé dispositif Éco Énergie Tertiaire, alors que celui-ci existe pourtant depuis 2019, avec une proportion accentuée chez les élus des communes rurales (75%).Pour rappel, les échéances de réduction des consommations d'énergie sont les suivantes : – 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040 et – 60% d'ici 2050.Les collectivités ont jusqu'au 31 décembre 2022 pour déclarer les consommations énergétiques de leur parc immobilier tertiaire concerné sur la plateforme OPERAT de l'Ademe. Ce décret arrivera-t-il à atteindre les objectifs définis ? Telle est la question qui peut se poser. Autre échéance réglementaire encore plus largement ignorée par une écrasante majorité (86%) : le décret BACS (pour « Building Automation & Control Systems ») impose de mettre en place un système d'automatisation et de contrôle dans certains bâtiments tertiaires d'ici le 1er janvier 2025.Pour Augustin Bouet, directeur Grands Comptes de Hellio : « Ces résultats laissent apparaître un besoin de formation et un travail de sensibilisation et d'information encore plus accru, notamment auprès des élus des communes de petites tailles. Les collectivités sont pourtant un des publics les plus concernés par ces décrets. »90% des maires inquiets vis-à-vis de la hausse des prix de l'énergieC'est unanime ! Une majorité écrasante des maires (90%) se montrent inquiets face à la hausse des prix de l'énergie (gaz, électricité et carburant) pour leur budget de fonctionnement. Ils sont même 55% à se dire très inquiets. Un sentiment partagé par tous les types de collectivités, qu'elles soient petites ou grandes.En moyenne, la part relative de l'énergie dans le budget de fonctionnement des maires a augmenté de 4 points en un an, passant de 10% en décembre 2021 à 14% en novembre 2022. Mais ce résultat est à pondérer selon Hellio.Pour Augustin Bouet : « Ce n'est que le début, cette hausse devrait s'aggraver dans les mois à venir puisque un grand nombre de collectivités bénéficient encore sans doute de tarifs négociés avant la hausse et font appel à des fournisseurs institutionnels, comme EDF ou des établissements locaux de distribution, ayant moins impacté leurs prix. »Les mesures envisagées pour faire face à la hausse des prix de l'énergie Pour contrer la hausse des coûts de l'énergie, les maires privilégient en premier lieu des actions de sobriété énergétique, comme chauffer moins les locaux et équipements (85%) ou couper l'éclairage la nuit (82%). Des mesures moins contraignantes et plus rapides à mettre en place, mais qui ne résoudront pas les problèmes à long terme.Plus difficiles à mettre en oeuvre, les travaux de rénovation énergétique n'arrivent qu'en 3e position, avec 11 points de moins (74%), alors qu'ils représentent une solution pour consommer moins et mieux, de manière plus durable, avec à la clé des économies d'énergie bien plus importantes.Pour Augustin Bouet : « Pour préserver l'environnement, les leviers de sobriété énergétique ne suffiront pas. »Le quatuor de tête des travaux de rénovation énergétique les plus plébiscités par les élus correspond à celui pour lequel Hellio est le plus sollicité par les collectivités: l'isolation thermique (56%), le remplacement des menuiseries (45%), la pose de panneaux solaires / photovoltaïques (44%) et le changement de chauffage (42%).Des résultats décevants pour le raccordement au réseau de chaleurHellio regrette que le raccordement à un réseau de chaleur arrive loin derrière, avec seulement 10% des intentions. Une solution pourtant intéressante en termes d'indépendance énergétique, de recours aux énergies renouvelables, d'efficacité énergétique et de réduction réelle sur le long terme des consommations.Ce résultat révèle qu'il y a un travail à faire de la part de l'État sur la formation et la sensibilisation auprès des collectivités sur le sujet des réseaux de chaleur. Beaucoup de collectivités pensent que ce système de chauffage est réservé aux grandes villes, alors qu'il y a beaucoup de réseaux de chaleur en milieu rural.Pour Augustin Bouet : « Il est primordial de développer de nouvelles unités de production de chaleur car la capacité de chauffer en amont fait défaut aujourd'hui, le seul raccordement ne suffit pas. Il y a beaucoup à faire auprès des acteurs de l'industrie et de l'agriculture sur la récupération de chaleur fatale, souvent non utilisée, qui pourrait servir à alimenter les réseaux de chaleur. C'est un sujet qu'il faut remettre au goût du jour et qu'il faut aider. Le raccordement bénéficie déjà d'une aide financière, via le Coup de pouce Chauffage des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), mais on peut aller encore plus loin en mettant en place des leviers supplémentaires dédiés aux unités de production de chaleur. »Constat rassurant, la fermeture des services publics, comme les crèches ou les piscines, n'est pas envisagée par les collectivités, ils sont seulement 9% à y songer.Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Dans un contexte de crise énergétique jamais connu jusqu'alors, et une inquiétude grandissante des maires de France dans l'exercice de leurs fonctions, les acteurs privés comme Hellio doivent accentuer leur soutien auprès des élus dans la rénovation et l'efficacité énergétique de leurs bâtiments publics. Accélérer cette transition énergétique permettra d'apporter rapidement un confort pour les usagers du service public, mais également de redonner de nouvelles marges de manœuvre pour les élus. C'est ce à quoi nous nous attelons ! »
Il y a 2 ans et 211 jours

Les copropriétaires trop peu sensibilisés à la rénovation énergétique

C’est l’une des révélations de l’étude menée par Cotoit, syndic professionnel nouvelle génération, en partenariat avec BVA, auprès de 500 copropriétaires français [1]. Face à l’envolée des prix de l’énergie, ces charges risquent donc de s’alourdir de manière significative dans les prochains mois. Pour réduire la facture, une des options est d'accélérer la rénovation énergétique d’autant que près de 2 copropriétaires sur 3 n’ont pas encore été informés des nouvelles obligations leur incombant, dans le cadre de la loi Climat et Résilience. Un chantier essentiel qui concerne un grand nombre d'acteurs - copropriétaires, syndics, gestionnaires -, tous embarqués dans ces nouveaux défis à relever.Le montant des charges de copropriété est estimé aujourd’hui par les copropriétaires à 2.112 euros en moyenne, un budget en hausse ces dernières années pour 61% d’entre eux,Les dépenses d’énergie représentent le 1er poste cité au sein des charges de copropriété (32%) un poste voué à augmenter de manière significative au vu de la flambée actuelle des prix de l’énergie,74% des copropriétaires pratiquent d’ores et déjà des écogestes au quotidien au sein de leur logement,64% des copropriétaires interrogés n’ont pas été informés des nouvelles obligations réglementaires imposées par la loi Climat et Résilience.Les charges de copropriété, fortement impactées par la hausse des prix de l’énergieSelon 6 copropriétaires sur 10, les charges de copropriété ont augmenté ces dernières années. Leur montant s’élève aujourd’hui en moyenne à 2.112 euros selon les estimations des copropriétaires, avec de nettes disparités en fonction des régions et du type de syndic concernés. Ainsi, alors que les Franciliens évoquent un montant de 2.700 euros, celui-ci se situe aux alentours de 1.739 euros en régions.Dans ces charges, ce sont les dépenses d’énergie que les copropriétaires identifient comme pesant le plus lourdement. Elles sont ainsi citées par 32% des copropriétaires, devant l’entretien des parties communes (24%), les honoraires du syndic (15%) et la conciergerie (8%). Un poste énergétique significatif, de surcroît amené à augmenter fortement dans les prochains mois, face à la flambée des prix de l’énergie.Des copropriétaires qui ne semblent pas encore prêts à s’engager pleinement sur les questions énergétiquesDans ce contexte, les copropriétaires sont à la recherche de solutions pour soulager leur budget. La très grande majorité d’entre eux (74%) pratique d’ores et déjà des éco-gestes au quotidien au sein de leur logement. Dans le détail, plus de 9 sur 10 économisent l’eau en prenant des douches plutôt que des bains, tandis que 83% utilisent des LEDS pour réduire leur éclairage. Toutefois, cette prise de conscience semble se limiter essentiellement aux gestes de base. Lorsqu’il s’agit de baisser le chauffage, par exemple, ils ne sont plus que 62% à respecter les 19°C recommandés par le gouvernement.Quant à se lancer dans des actions plus engageantes, telles que le remplacement de ses appareils électroménagers par des équipements moins énergivores, une proportion plus faible encore (4 copropriétaires sur 10 seulement) s’y est attelée, tandis que près d’un tiers d’entre eux n’envisage tout simplement pas de le faire dans les prochains mois.Une méconnaissance des obligations réglementairesPar ailleurs, 64% des copropriétaires interrogés n’ont pas été informés par leur syndic des nouvelles obligations imposées par la loi Climat et Résilience. Celle-ci les contraint, notamment, à réaliser un Diagnostic de Performance Énergétique pour tout bâtiment d’habitation dont le permis a été déposé avant le 1er janvier 2013. Elle instaure aussi l’élaboration d’un plan pluriannuel, assorti de la mise en place d’un fonds de travaux, afin de permettre la réalisation de travaux énergétiques au sein des copropriétés. Des mesures essentielles, qui pourraient aussi s’avérer utiles pour les copropriétaires dans leur recherche d’économie d’énergie.Pour Luigi Del Moral, directeur général de Cotoit : « Non seulement ces obligations sont réglementaires et les copropriétaires devront progressivement y faire face, mais elles offrent aussi une formidable opportunité de s’embarquer ensemble dans la transition énergétique. Ensemble, car cette démarche doit être menée conjointement entre les syndics de copropriété et les copropriétaires, afin que ces derniers soient en mesure de prendre les meilleures décisions pour leur habitat. »Un rôle essentiel de conseil et d’accompagnement des syndicsEn fonction des régions, de la santé du bâtiment et de la trésorerie de la copropriété, les mesures instaurées par la loi Climat et Résilience ne pourront toutefois pas être déployées partout au même moment. D’où l’intérêt de s’appuyer sur l’expertise des gestionnaires de syndics. Mais c’est aussi un nouveau changement que ces derniers doivent absorber, en plus de leur métier premier : il leur faut, comme toujours, se montrer réactifs face aux sollicitations de copropriétaires parfois impatients, mais aussi faire preuve de pédagogie et de clarté pour rendre le fonctionnement de la copropriété plus accessible et ce, d’autant plus quand les charges augmentent. Dans le même temps, les gestionnaires voient aussi leurs missions se complexifier, dans le cadre des nouvelles obligations en matière de rénovation énergétique. Aussi, leur métier va évoluer de facto pour s’adapter à la fois aux besoins des copropriétaires, au contexte économique défavorable, et aux enjeux environnementaux.Cotoit s’efforce ainsi d’accompagner les gestionnaires dans cette transformation, à travers la maîtrise complète des outils digitaux, une connaissance augmentée de leur parc immobilier, qui leur permet de jouer pleinement leur rôle d’interlocuteurs de proximité, la montée en compétence progressive sur des pôles d’expertise, ainsi qu’une gestion des portefeuilles limitée.Pour Luigi Del Moral : « Les gestionnaires de syndics constituent la clé de voûte de la rénovation énergétique, qui ne pourra se faire sans eux. Ils jouent ainsi un rôle essentiel d’accompagnement des copropriétaires face à ces évolutions, dans un contexte particulièrement compliqué. »[1] Méthodologie : enquête menée du 12 au 15 septembre 2022 par l’Institut BVA auprès d’un échantillon représentatif de 505 copropriétaires français, âgés de 18 ans et plus. 88% d’entre eux ont recours à un syndic professionnel traditionnel ; 5% à un syndic bénévole non professionnel ; 4% à un syndic coopératif non professionnel ; 3% à un syndic professionnel en ligne. Étude disponible sur demande.
Il y a 2 ans et 211 jours

Une enquête révèle que la majorité des français craignent un hiver très rigoureux

Moins d’1 Français sur 2 a tout prévu pour avoir bien chaud cet hiver. Pour avoir chaud, sans dépenser d’argent, 79% des Français prévoient plusieurs couches de vêtements, 58% vont rester plus longtemps au travail et 56% vont manger plus de nourriture énergétique. Seulement 27% des Français ont mis de côté un budget « froid » et qui est compris entre 100€ et 300€ pour 45% d’entre eux. « Froid, moi ? Peut-être… »Comme chaque année, avec les températures qui commencent à chuter, se protéger du froid va devenir une des préoccupations des Français. Mais seulement 44% déclarent avoir déjà tout prévu pour avoir bien chaud cet hiver. Pour les autres, 39% avouent ne rien avoir préparé et 17% sont dans le doute total. Peur du froid ?Pourtant, pour plus de 65% des personnes interrogées, la crainte d’un hiver très rigoureux est bien présente à leur esprit. Seulement 33% restent optimistes et 2% ne savent pas répondre à cette question. Un budget en cas de problème ?Pour pallier une baisse importante du thermomètre, seulement 27% des Français ont mis de côté un peu d’argent afin de pouvoir réagir en conséquence. Ainsi, 45% ont prévu entre 100€ et 300€ pour agir contre le froid et 33% entre 300€ et 500€.Des achats contre le froid23% des Français pensent acheter un chauffage d’appoint afin de compléter leur système existant, en cas de vague de froid. En deuxième solution, 21% préfèrent opter pour des vêtements plus chauds et 17% s’orienteront vers un nouveau système de chauffage. Quelles autres solutions sans trop dépenser d’argent?Pour beaucoup de personnes qui n’ont pas prévu un budget en cas de froid intense, plusieurs solutions sont envisagées. En premier lieu et en toute logique, 79% vont jouer les oignons et se couvrir de plusieurs couches de vêtements pour avoir plus chaud. En deuxième position, 58% prévoient de rester plus longtemps sur leur lieu de travail afin de profiter de la chaleur des locaux et faire ainsi des économies à leur domicile. Enfin, à la troisième place du classement, 56% vont manger un peu plus et certainement de la nourriture plus énergétique. * Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 1.004 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27.000 personnes en France). Entre le 21 et le 25 novembre 2022, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée.Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
Il y a 2 ans et 211 jours

Investissements dans la transition énergétique : attention aux fraudes !

L'Autorité des marchés financiers (AMF) a appelé lundi les épargnants "à la plus grande vigilance" sur des propositions d'investissement dans la transition énergétique, comme des "éco-parkings".
Il y a 2 ans et 211 jours

Bosch Thermotechnologie présente son nouvel outil de dimensionnement pour pompes à chaleur

Son nouvel outil de dimensionnement de pompes à chaleur illustre cette démarche. Il permet aux professionnels de dimensionner de manière simple et rapide, une pompe à chaleur pour tout projet de construction ou de rénovation résidentielle individuelle, en accord avec les RE 2012 et RE 2020. Sa conception intuitive collecte, étape par étape, les données nécessaires afin de préconiser la solution la plus adaptée aux besoins énergétiques du bâtiment. L'outil est disponible gratuitement sur la plateforme digitale elmLeCube (https://www.elmlecube.fr) et sur l'Espace Pro Bosch (https://www.pro.bosch-climate.fr/).Rapide, le formulaire se remplit en quelques minutes. Il se compose de quatre étapes : « Vue d'ensemble du projet », « Données du bâtiment », « Technologie », « Recommandation ».Astucieux, il offre une première approche précise grâce aux paramètres qui couvrent toutes les indications nécessaires : le lieu d'habitation influençant les conditions extérieures, le type de projet (neuf ou rénovation), les températures envisagées, les besoins énergétiques du bâtiment, le système de distribution utilisé avec la pompe à chaleur (chauffage au sol, radiateurs et chauffage au sol, radiateurs, ventilo-convecteurs), le besoin en eau chaude sanitaire ou non (possibilité de choisir une solution en chauffage seul), en définissant le nombre d'occupants et la consommation sanitaire, la technologie souhaitée (air-eau split, air-eau monobloc, eau glycolée-eau)… L'ensemble des paramètres sont également modifiables par l'utilisateur (températures, déperditions thermiques…).Pratique, le professionnel peut enregistrer son formulaire et, à tout moment, modifier les données renseignées. À la fin de la démarche, il peut visualiser en un coup d'oeil l'ensemble des chiffres clés, agrémentés de graphiques. En vue d'un rendez-vous avec son client, il peut également télécharger les éléments en PDF, en pré-sélectionnant les informations qu'il souhaite voir apparaître : complètes ou simplifiées. Le document lui fournit des informations complémentaires telles que les données de consommation d'énergie et les économies réalisées avec cette solution, les niveaux sonores ou encore les données de performances. La fiche technique du produit préconisé est accessible en un clic.
Il y a 2 ans et 211 jours

Sobriété énergétique : le contrôle du thermostat de la chaudière est désormais obligatoire

LÉGISLATION. Le contrôle obligatoire de la chaudière d'un logement ou d'un immeuble doit dorénavant inclure la vérification de l'existence d'un thermostat et son bon fonctionnement, selon un arrêté paru au Journal Officiel. Cette disposition s'inscrit dans le plan de sobriété énergétique du Gouvernement.
Il y a 2 ans et 211 jours

cheque bois energie jusqu a 200 euros d aide pour les francais

Vendredi dernier, le Parlement a adopté une révision du budget dans laquelle est inclue une série de dispositifs donnant aux Français l’accès à plusieurs aides pour financer leurs factures d’énergie, comprenant une aide pour le chauffage au bois.
Il y a 2 ans et 211 jours

Action Logement propose à l'Etat une contribution réduite de moitié

"Les partenaires sociaux d'Action Logement Groupe réunis en Conseil d'administration, ont voté à l'unanimité, vendredi 25 novembre, leur budget pour 2023", indique dans un communiqué l'ex-1% Logement, co-géré par patronat et syndicats.Le groupe, qui pilote également des aides à la mobilité professionnelle et la garantie locative Visale, propose d'y intégrer une contribution de 150 millions d'euros au Fonds national des aides à la pierre (Fnap) qui finance la construction et rénovation de logements sociaux.C'est moitié moins que les 300 millions d'euros sur lesquels le gouvernement tablait dans son projet de budget 2023 dévoilé en septembre, une "ponction" qui avait suscité des réactions furibardes de l'organisme et des partenaires sociaux."Le Conseil d'administration a proposé d'inscrire au budget du groupe le versement d'une contribution volontaire de 150 MEUR au Fonds national des aides à la pierre, comme les partenaires sociaux s'y étaient engagés vis-à-vis des ministres de la Transition énergétique et du Logement", indique le groupe."Cette disposition devra être confirmée dans le cadre des discussions entre l'Etat et le groupe sur la convention quinquennale 2023-2027", ajoute Action Logement.Manière de mettre la pression sur le gouvernement, qui doit décider s'il réintègre au projet de loi de finances la contribution de 300 millions d'euros, supprimée jeudi par le Sénat."Cet effort, qui marque une évolution par rapport au refus initial de toute contribution en septembre, reste néanmoins insuffisant au regard des besoins des bailleurs sociaux", a réagi l'entourage du ministre délégué au Logement Olivier Klein."L'Etat s'est exprimé en défaveur de ce budget initial, dans le cadre juridique qui le lui permet", assure-t-on au ministère, ajoutant que "la somme de 300 MEUR est donc nécessaire et ce besoin sera exprimé de nouveau dans les discussions parlementaires"."Un accord sur un nouveau projet de budget initial (d'Action Logement, NDLR) à même de garantir les actions du groupe en 2023 sera recherché avec Action Logement très rapidement".Action Logement doit négocier d'ici à la fin de l'année une convention quinquennale avec l'Etat qui définira le montant de sa contribution à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et au programme Action cœur de ville (ACV), deux piliers de l'aménagement du territoire.
Il y a 2 ans et 212 jours

Présentation par Caroline Cayeux du premier baromètre de l'immobilier des petites villes de demain

Ce baromètre est né de la volonté commune du Ministère en charge des collectivités territoriales et du Conseil supérieur du notariat de développer un outil permettant de mieux connaitre les évolutions de l'immobilier dans les Petites villes de demain, sur toute la durée du programme, de 2020 à 2026. Quatre indicateurs en particulier ont été choisis pour l'élaboration de ce baromètre annuel : le nombre de mutations, les prix de vente, l'origine des acquéreurs et le diagnostic énergétique. Ils permettront ainsi de délivrer une photographie de l'immobilier dans les petites villes, selon leurs caractéristiques, et d'avoir ainsi une approche dynamique d'une année sur l'autre.Principaux enseignements du 1er baromètre :Un marché dynamique, témoin d'un regain d'attractivité, caractérisé par une hausse importante des volumes des maisons et des prix des appartements ;Une augmentation volume des ventes de maisons anciennes dans les centres intermédiaires de 11,3% entre 2020 et 2021 ;Une augmentation des prix des appartements de 7% sur un an en 2021 ;Une augmentation de la part des acquéreurs provenant des métropoles de +3,2 % entre 2018 et 2021.« Ce premier baromètre du marché immobilier des communes Petites villes de demain nous apporte de précieux renseignements sur les volumes des ventes et les prix des biens, qui témoignent du dynamisme et de l'attractivité de ces territoires. Il donne aussi à voir la diversité des trajectoires des communes Petites villes de demain, confortant encore la forte territorialisation du programme et plus largement de l'action de l'Agence nationale de la cohésion des territoires », a déclaré Caroline Cayeux, ministre chargée des Collectivités territoriales.Retrouvez le baromètre immobilier des Petites villes de demain.
Il y a 2 ans et 212 jours

"La conjoncture nous oblige à accélérer la décarbonation", PDG Soprema

INTERVIEW. Comme de nombreux industriels, le spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, doit faire face à l'inflation et la hausse des coûts de l'énergie. Malgré ce contexte, le groupe poursuit son entreprise de décarbonation avec de nouveaux services et solutions. Son PDG Pierre-Étienne Bindschedler, nous en dit plus.
Il y a 2 ans et 212 jours

Baromètre 2022 de la base INIES : toujours plus de données environnementales pour accompagner la RE2020

INIES, base de référence de la RE2020Entrée en vigueur depuis janvier 2022, la RE2020 est une étape majeure dans la décarbonation du secteur de la construction française. Son objectif est d’améliorer la performance environnementale des bâtiments neufs afin de diminuer leur impact sur le climat.Outil de référence pour l’application de la RE 2020 la base INIES permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (FDES, PEP Ecopassport®, DED et DES) et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment.Conscient de leur rôle central pour la mise en application de la RE2020, les fabricants de produits de construction et d’équipements se sont d’ailleurs une nouvelle fois engagés activement dans une démarche volontaire des déclarations de leurs solutions, 100% vérifiées, numérisées puis mises à disposition gratuitement..Ainsi, au 31 août 2022, la base INIES compte un total de 5 389 données (en hausse de 28% par rapport au baromètre 2021) dont :3 190 FDES (+29% par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales599 PEP (+14% par rapport au 31 décembre 2021)1 495 DED dont 1009 produits de construction et 486 équipements105 données conventionnelles dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES)343 organismes déclarants de FDES et 51 organismes déclarants de PEP (dont 100 nouveaux déclarants de FDES et 5 pour les PEP depuis 2022)Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE2020.Côté famille de produits et équipements, le Baromètre 2022 INIES donne une vision précise des différentes familles représentées. Tout comme dans le Baromètre 2021, on note que l’isolation enregistre toujours le plus grand nombre de FDES (1202), devant le secteur des produits pour le cloisonnement et les plafonds suspendus (493) et ceux pour la structure/maçonnerie/gros oeuvre/charpente (356), secteur qui occupe la troisième place exæquo avec les revêtements de sols et murs/peinture/produits de décoration (356).Pour les PEP, les appareillages d’installation pour le secteur des réseaux d’énergie électrique et de communication dominent toujours le classement côté équipements avec 313 documents renseignés et vérifiés, suivis par les équipements de génie climatique (146) puis ceux dédiés à la sécurité du bâtiment (41).Il est important de rappeler que la Base INIES fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi elle va au-delà de l’indicateur « carbone » et intègre également des informations sur le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; la quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment.INIES : les nouveautésPour permettre à tous d’accéder facilement à la base de données INIES, un nouveau site a été mis en place depuis fin 2021. Ce dernier s’est enrichi de 5 nouveaux motions design à vocation pédagogique. Des courtes vidéos sont accessibles dans l’objectif de partager, de façon simple et ludique, les informations clés concernant la base INIES, les FDES et les PEP.Concernant les équipements du génie climatique, la base de données de déclarations environnementales du programme PEP a été entièrement repensée et offre désormais une nouvelle interface d’enregistrement et de consultation avec de nouvelles fonctionnalités.À la demande des spécialistes de l’ACV bâtiment en charge de contrôler la qualité des ACV de bâtiments, une nouvelle interface à été mise à disposition afin de faciliter le contrôle du calcul de la contribution des composants du bâtiment selon la RE2020.Les données manquantes pour la RE2020Malgré la progression constante de la base INIES depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE2020.Afin d’encourager les fabricants à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base INIES publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes.#FaistaFDESAppuis de baieBoisseaux et Conduits de fumisterieCharpentes aluminium et bétonComplexes de doublage : plâtre + polystyrène extrudéColles (charpente, réparation), masticsCuves et réservoirsÉviers, lavabos et receveurs de douche en matériaux de synthèse et acier inoxydableEscaliers et mains courantesÉléments de couverture en petits et grands éléments : PVC, bois, fibre ciment, pierre, zinc…Fondations bois massif et préfabriquées bétonIsolants acoustiques pour cloisons : fibre de coton, de lin, laine de mouton, laine et fibre de boisIsolants thermiques et acoustiques : laine, liège expansé, sous-vide, verre cellulaire, chenevotte, perlite…Isolation répartie non porteuse : torchisGaines et fourreauxGarde-corps en bois, PVC, polycarbonate…Membranes pour façade légère : parevapeurMousse PUPlafonds suspendus / plafonds tendus PVCPortes bois reconstitué, portes PVCProduits de finition/décoration : plinthes, papiers peints, pierres naturelles…Primaires de préparation de supportProduits d'étanchéité et d'imperméabilisation pour murs enterrésRéseaux d’évacuation et d’assainissement (acier, béton, PE)Réseaux adduction gaz (PE, acier)Système de drainage (PVC et PP)Tomettes en terre cuite#FaistonPEPBatteriesBlocs multiprisesCaissons de ventilation, centrale doux flux, filtresChaudières gaz, fioul, hybrideCoffrets VDI, coffrets étanches, connectiqueCogénérateurs photovoltaïques, convertisseurs, régulateursCoudes et accessoiresCheminent de câbles : goulottes, boîtes…Convecteurs, unités de confortDiffuseurs d’air : terminaux, entrées, bouches d’extractionDisjoncteurs divisionnaires, fusibles, interrupteurs, variateurs, délesteurs, minuterieFibre optiqueFils et Câbles non isolés ou chauffants, câbles Haute tensionMatériels d’éclairage : encastrés, appliques, projecteurs, luminaires/bornes extérieurs…Motorisations d’ouverturePoints d’accès wifi, répartiteursSystème de désenfumage (grilles, volets, caissons…)Systèmes de diffusion sonore : sonnettes, haut-parleursSystèmes de sécurité incendie, éclairages de sécurité et vidéosurveillanceLa base INIES regroupe :les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour les produits de la construction ;les Profils Environnementaux Produits (PEP) pour les équipements électriques, électroniques et de génie climatique.des données environnementales par défaut (DED)des données conventionnelles de service (DES).Télécharger le Baromètre INIES 2022
Il y a 2 ans et 212 jours

Qualité de l'air intérieur : concilier renouvellement d'air et performance énergétique

Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer. Le renouvellement d’air et la ventilation sont donc fondamentaux afin de satisfaire les exigences de confort et de santé des occupants.Afin d'atteindre les objectifs ambitieux en matière d'économie d'énergie et de lutte contre le réchauffement climatique, l’enjeu majeur est de maintenir un environnement intérieur de qualité (confort thermique, qualité d'air intérieur - QAI, confort acoustique) tout en réduisant les consommations énergétiques du bâtiment.La nécessité d’une bonne qualité de l’air et du renouvellement d’airNous passons aujourd'hui 90% de notre temps en milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution jusqu’à dix fois plus élevé que l’air extérieur. Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer : syndrome du bâtiment malsain, asthme, effets cocktails, effets sur les performances du travail. On estime aujourd’hui le coût des effets socio-économiques d’une mauvaise qualité de l’air intérieur en France à 19 milliards d’euros par an pour 6 polluants seulement (voir sources 1). Véritable problématique sociétale car liée à la santé publique, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur (QAI) passe par une ventilation performante avec des systèmes qui doivent répondre à un double défi : celui d’assurer un renouvellement de l’air suffisant tout en limitant au maximum l’impact énergétique. Pour ce faire, il faut travailler sur la réduction des consommations énergétiques directes liées à la consommation des auxiliaires et celles indirectes liées au renouvellement d'air (besoins de chauffage et de refroidissement).Les leviers d’action sont au nombre de trois : Agir sur la consommation électrique des ventilateurs avec l’utilisation de moteurs à commutation électronique (EC), dont la vitesse régulée permet de réduire sa consommation, et l'optimisation des rendements des ventilateurs. Optimiser le renouvellement d’air. Cela s’effectue de deux façons principalement : via la notion de balayage (amenée d'air dans les pièces de vie et extraction dans les locaux pollués), très présente en France, et via la modulation des débits en habitat et en tertiaire. Cette modulation permet d’adapter les débits d'air au besoin réel.Récupérer l’énergie sur l’air extrait en utilisant des échangeurs de chaleur (à plaque ou à roue) entre l'air extrait et l'air neuf et en utilisant l’air extrait comme source pour les appareils multifonctions (pompe à chaleur ou chauffe-eau thermodynamiques). Quels sont les enjeux du renouvellement de l’air ? Le premier enjeu est de satisfaire les exigences de santé et de confort des occupants en amenant l’air neuf de l’extérieur, en évacuant l’air vicié et en diluant les polluants. Le deuxième enjeu est de contribuer à la préservation du bâtiment en évitant les risques de condensation et donc le développement de moisissures. Le renouvellement d’air peut se faire de trois façons : les infiltrations d’air résultant de la perméabilité du bâtiment. Non maîtrisables, elles sont aujourd’hui incompatibles avec les exigences d'étanchéité à l'air des bâtiments. l’ouverture des fenêtres qui permet d'amener de façon ponctuelle un débit d'air élevé, notamment après un pic d’activité. Cependant, cette méthode reste étroitement liée à l’usager et aux contraintes extérieurs (climatique, acoustique, effraction…). Il n'est donc pas possible de s’en remettre à cette seule solution pour assurer une bonne QAI. un système de ventilation pour assurer le renouvellement d’air des bâtiments. Grâce à un apport d'air localisé, une maîtrise des débits et un traitement complet du bâtiment, cette solution est la plus probante et la plus efficiente. Ces systèmes de ventilation doivent satisfaire à des exigences portant notamment sur la performance énergétique, la sécurité incendie, le confort acoustique, le développement durable. Le cas échéant, ils doivent également être compatibles avec le bon fonctionnement des appareils à combustion, afin d'éviter les inversions de tirage. Il existe plusieurs leviers d'action afin d'améliorer l'efficacité du système de ventilation pour préserver une bonne QAI tout en réduisant les consommations énergétiques. Épurer l’air, un levier d’amélioration de la QAI bien connu Une première solution consiste à épurer l'air, soit avec différents types de média filtrant (fibres de verre, fibres, filtres avec traitement électrets…), soit par d'autres technologies (ionisation, photocatalyse, etc.). Cela va ainsi permettre de réduire le niveau de particules de l'air venant de l'extérieur, les pollens, les micro-organismes, les germes ou autres bactéries pénétrants dans les locaux (épuration intégrée à la ventilation) ou présents dans l'air ambiant (épurateur d'air autonome). Toutefois, à l'inverse d'un système de ventilation qui extrait tous les polluants de l'air sans distinction, l'épuration d'air ne traite qu'une famille cible de polluants (chimiques, bactériens ou particulaires). Il faut donc associer plusieurs techniques d'épuration si l'on veut traiter tout le panel des polluants. De plus, certains polluants ne sont pas traités par l'épuration (CO2 par exemple). L'épuration ne peut donc pas être à elle seule la solution. Elle doit être associée à une ventilation performante. La ventilation intelligente, un levier d'avenir La définition donnée par l'AIVC (sources 2) pour la ventilation intelligente des bâtiments est la suivante : "La ventilation intelligente est un processus d'ajustement permanent du système de ventilation au cours du temps, et éventuellement selon l'emplacement, pour fournir la qualité d'air intérieur (QAI) souhaitée tout en minimisant la consommation d'énergie et la facture énergétique, ainsi que d'autres inconvénients non liés à la QAI, comme par exemple l'inconfort thermique ou le bruit". Un système de ventilation intelligente réagit notamment à la présence d’occupants, à des critères de QAI, des besoins du réseau électrique, de température ou d’humidité relative extérieure, à de la pollution intérieure ou au fonctionnement d’autres systèmes. D’après une étude du CETIAT concernant les bâtiments tertiaires (sources 3), le taux d’occupation moyen d’un bureau est de 40 % et de 10 % pour une salle de réunion, ce qui tend à prouver l’intérêt de recourir à la modulation des débits. Cette modulation va être liée à des capteurs d’humidité (ce qu’on connaît surtout dans le secteur résidentiel avec les systèmes hygroréglables), de détection de présence (dans les toilettes et dans les bureaux dans le tertiaire), un comptage optique et des capteurs de CO2. La modulation de débit peut se faire soit par zone, au niveau des terminaux ou d'une branche complète du réseau aéraulique, soit à l'échelle complète du bâtiment en agissant directement sur le ventilateur. Afin de vérifier et de valoriser l'efficacité des systèmes de modulation de débit, différentes certifications existent tant au niveau français (NF, QB) qu'européen (Eurovent, Passivhaus). Les performances des produits et les valeurs annoncées par les fabricants sont ainsi contrôlées par un organisme tiers indépendant. Les équipements de ventilation, une fois installés, doivent être vérifiés. Dans le résidentiel neuf, la réglementation environnementale RE2020 a inscrit dans ses textes l’obligation de vérification des systèmes de ventilation par un professionnel indépendant. Un indicateur de conformité sera inscrit dans l’attestation RE2020, l’usager pourra donc avoir une information précise sur la conformité de son installation.La QAI est l’affaire de tous lors de la construction d’un bâtiment : de la programmation à la phase d’exploitation et au fonctionnement, tous les corps de métiers liés à la construction des bâtiments sont acteurs de cette qualité d'air intérieur. On perçoit depuis quelques temps que l'impact des bâtiments sur la santé et le bien-être des occupants prennent une place de plus en plus importante au sein de l'opinion publique, au même titre que la performance énergétique.1 : Rapport ANSES-CSTB, avril 2014 - https://www.oqai.fr/fr/campagnes/cout-socio-economique-de-la-pollution-de-l-air-interieur - Polluants étudiés : benzène, radon, trichloroéthylène, CO, particules, fumée de tabac environnementale2 : F. DURIER, R. CARRIÉ et M. SHERMAN. "Qu'est-ce que la ventilation intelligente (smart ventilation) ?". Ventilation Information Paper n° 38, mai 2018 - https://www.aivc.org/sites/default/files/VIP38_french.pdf3 : Note Technique CETIAT NTV 2000/071, "Modulation de débit", 176 pages, Septembre 2000Tribune de Benoît Golaz, chargé d'affaires Systèmes Aérauliques Ventilation au CETIAT (Linkedin)
Il y a 2 ans et 212 jours

Ouverture des demandes pour le chèque bois énergie de 50 à 200 euros à partir du 22 décembre

Le Parlement a adopté définitivement vendredi, par un vote du Sénat, un dernier budget rectifié pour 2022, avec parmi les autres dispositions cette aide de 230 millions d'euros pour les ménages se chauffant au bois."Le guichet ouvrira le 22 décembre", a expliqué Gabriel Attal au Parisien."Il suffira de se connecter sur le site chequenergie.gouv.fr et de rentrer son numéro de télédéclarant et sa facture. Pourront y accéder les Français qui gagnent jusqu'à 2.260 euros pour une personne seule et jusqu'à 4.750 euros pour un couple avec deux enfants. L'aide ira de 50 à 200 euros", a-t-il précisé.Toute une série de dispositifs ont été prévus cette année pour le chauffage pour aider les ménages face à la flambée des prix de l'énergie.Mesure phare, un chèque énergie exceptionnel, allant de 100 à 200 euros, sera versé d'ici la fin de l'année à quelque 12 millions de ménages. Un guichet est aussi ouvert depuis novembre pour un chèque allant de 100 à 200 euros et qui devrait bénéficier à 1,6 million de foyers modestes se chauffant au fioul et n'ayant pu bénéficier du bouclier mis en place pour l'électricité et le gaz.
Il y a 2 ans et 212 jours

Bouclier tarifaire et aides financières face aux factures d’énergie en hausse en logement

Les annonces se multiplient sur de nouvelles aides financières pour faire face à la hausse de l’énergie pour les ménages. Il est temps de faire le point sur les diverses aides et sur le bouclier tarifaire.
Il y a 2 ans et 212 jours

L'Etat détaille le fonctionnement du chèque énergie "chauffage bois"

AIDE FINANCIÈRE. Le gouvernement en a dit plus sur le fonctionnement du futur chèque énergie spécial "chauffage bois", par la voix de son ministre de l'Action et des Comptes publics, Gabriel Attal.
Il y a 2 ans et 212 jours

Capeb : De nouveaux signataires contre le prix des matériaux

Vingt-quatre nouveaux signataires rejoignent l’initiative de la Capeb pour lutter contre la crise du prix des matériaux. [©Capeb] Les chiffres de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment au 3e trimestre 2022 le confirment. La tension sur les prix et les difficultés d’approvisionnement perdurent et affectent tous les corps de métier. Cette tendance est amenée à se poursuivre en 2023. Ce contexte menace la croissance du secteur dans son ensemble. Et plonge les entreprises artisanales du bâtiment dans une situation d’imprévisibilité inédite, Pour préserver le niveau d’activité de la filière, la Capeb avait lancé, en avril dernier, un appel à la solidarité économique aux acteurs de la filière. A l’époque, 8 industriels et distributeurs1 avaient répondu présents. Désormais, 24 partenaires² les rejoignent pour s’engager aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment et faire face à cette crise sans précédent. Pas d’amélioration en 2023 « Le marché ne pourra pas continuer à subir des hausses de coûts des matières premières, telles que nous le vivons aujourd’hui, déclare Jean-Christophe Repon, président de la Capeb. Et les prévisions indiquent que la situation ne va pas s’améliorer en 2023. Nous devons agir ensemble pour limiter au plus juste l’impact de la hausse du coût des matériaux. Nous nous félicitons aujourd’hui de la décision des acteurs de s’engager dans une démarche de solidarité économique au sein de la filière. Elle est, pour nous, essentielle, si nous voulons parvenir à maintenir l’activité. Et accélérer la contribution du secteur à la transition énergétique. » Lire aussi : Nominations en cascade pour le nouveau bureau de la Capeb Pour ce 3e trimestre 2022, les conséquences de ces hausses s’accentuent. La croissance de l’activité des PME du bâtiment ralentit, passant de 3 % à 2 % en volume. Ceci, alors que le contexte de prix des matériaux demeure très dégradé. Et que la crise énergétique pèse de plus en plus lourdement sur les entreprises artisanales. Ces dernières font d’ailleurs état de besoin en trésorerie important (15 % d’entre elles déclarent des besoins de trésorerie, pour un montant moyen de 22 000 €). Elles confirment aussi une détérioration de leurs marges (solde d’opinion à – 39 points, avec 42 % des entreprises rapportant une baisse de leurs marges). Vingt-quatre nouveaux signataires pour la Capeb Ainsi, les 24 nouveaux signataires s’engagent sur les propositions suivantes : informer au préalable leur client des hausses de prix. Mais aussi émettre des devis valables au moins un mois (hors produits à court), et augmenter leur prix seulement le 1er de chaque mois. « Autant d’engagements, pris dans le cadre d’une démarche inter-filière inédite. Qui sont très encourageants, afin que la filière dans son ensemble et les entreprises artisanales du bâtiment que je représente parviennent à sortir par le haut de la crise que nous traversons. Nous continuerons à porter cette voix dans d’autres hémicycles, tels que l’Assemblée nationale », conclut Jean-Christophe Repon. 1BDR Thermea France au travers de ses marques De Dietrich, Berner, Chappée et Oertli, Coroxyl, Dimos, Layher, Téréva, Urmet/Yokis France et Viessmann. 2Frans Bonhomme, le groupe Herige et ses trois sociétés (VM, Atlantem, Edycem), Pladur, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France et ses sociétés associées (Point.P, Cedeo et Brossette, La Plateforme du Bâtiment, Pum Plastiques, Asturienne, SFIC, Dispano, Décocéram, CDL Elec), Isover, Knauf Insulation, Placo et l’Oracab Weber, Wurth, Wienerberger
Il y a 2 ans et 212 jours

Comment optimiser l’efficacité énergétique des bâtiments grâce au BIM ?

Ce mardi 15 novembre 2022, nous avons franchi la barre des huit milliards d’habitants sur Terre. D’après les estimations de L’ONU, cette courbe va continuer de grimper. Et ce jusqu’à atteindre un pic de 10,4 milliards de personnes à la fin des années 2080.  Avec de plus en plus de migrations dans de mêmes régions, et de plus en plus d’habitants dans de mêmes villes dans les prochaines décennies, le défi est donc de taille pour préserver la santé de notre planète.  Comment y remédier ? Le BIM, Building Information Modeling, permet déjà d’améliorer l’efficacité énergétique de nos bâtiments et villes sur l’environnement. Et cela continuera dans ce sens dans les prochaines années. Une solution pour des constructions durables. Découvrons comment cette méthodologie va permettre de réduire notre impact environnemental. Le BIM, solution pour réduire son impact environnemental Si le BIM se généralise alors dans le secteur de la construction, en quoi cette méthodologie permet-elle d’optimiser l’efficacité énergétique des bâtiments ?  En ayant recours au BIM, cela permet tout d’abord la collecte et le stockage des informations ainsi que le suivi des consommations en temps réel. En répertoriant les matériaux utilisés, les outils digitaux de gestion de projet sont très efficaces pour avoir plus de contrôle sur les impacts négatifs liés à un projet de construction.  L’industrie de la construction utilise des quantités importantes de ressources naturelles pour fabriquer des matériaux. Une grande partie est souvent perdue, gaspillée, dans le remaniement des projets, les imprécisions ou encore les surestimations.  Selon la Fédération Française du Bâtiment, le secteur génère environ 46 millions de tonnes de déchets par an ! 51% des déchets du bâtiment proviennent des chantiers de démolition, 36% de rénovation et 13% en construction neuve.  Un suivi minutieux de chaque opération, en temps réel et grâce au BIM, permettrait grandement de réduire ces déchets. En effet, une meilleure qualité dans les bâtiments signifierait moins d’erreurs. Et ainsi moins de démolitions et des bâtiments qui dureraient plus longtemps dans le temps.  Découvrez la suite dans l’article de blog complet !
Il y a 2 ans et 212 jours

Le soleil du Gard en renfort de la décarbonation des aéroports parisiens

Des panneaux solaires dans la garrigue pour réduire l'empreinte carbone de Roissy, d'Orly et du Bourget: le gestionnaire aéroportuaire Groupe ADP a inauguré jeudi dans le Gard son premier parc photovoltaïque.