Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18285 résultats)
Il y a 2 ans et 268 jours

Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France

CarbonCure permet l’injection de CO2 dans le béton frais. [©Edilteco] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. L’industriel s’occupe ainsi de la mise en relation, mais aussi de l’installation, de la maintenance et du SAV des “box”. Dans le détail, la technologie demande la mise en place d’une cuve de CO2, qui sera alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette cuve est reliée au malaxeur de la centrale à béton. Quant aux “box”, elles sont installées au niveau du poste de commande et sur la cuve à CO2. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation de béton établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2. A l’heure actuelle, deux unités de ce type sont déjà en service sur le territoire français et une 3e devrait être installée prochainement… Par ailleurs, Edilteco profite du rendez-vous de la porte de Versailles pour mettre en avant sa nouvelle gamme “Green”. Elaboré à partir de polystyrène recyclé, Politerm R est en le premier produit natif. Dans le respect de la démarche d’économie circulaire, les chutes de PSE issues de blocs et panneaux sont récupérées, broyées, recalibrées et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Hall 1 – Stand N66
Il y a 2 ans et 270 jours

Lyon coupe la lumière pour la nuit de l'équinoxe

Côté français, plus de 30.000 points lumineux seront éteints et plus de 1.000 armoires d'éclairage coupées dans une trentaine de communes, selon le communiqué des organisateurs de l'opération "La nuit est belle".La plupart des bâtiments et des sites de la métropole seront éteints à partir de 21H vendredi à 6H du matin samedi tout comme 370 sites patrimoniaux de la ville de Lyon, selon un communiqué de Lyon Métropole.L'éclairage des rues sera maintenu et les habitants sont invités à éteindre les lumières chez eux. Les communes associées proposent des animations type découverte de la faune nocturne ou repas aux chandelles.L'événement a été lancé en septembre 2019 dans le Grand Genève à l'initiative de la Société Astronomique et du Muséum d'histoire naturelle de Genève. Objectif: sensibiliser le public aux effets de l'éclairage nocturne sur la santé humaine, sur les rythmes biologiques de la faune et de la flore mais aussi sur la surconsommation d'énergie.Depuis leur élection en 2020, les écologistes de la métropole et de la ville de Lyon travaillent sur un plan de réduction de l'éclairage urbain.Une enquête publique sur le règlement local de publicité (RLP), visant notamment à restreindre les affichages lumineux dans les 59 communes de la métropole, a été lancée lundi pour un mois. En discussion depuis décembre 2021, ce règlement qui vise à "limiter la pollution visuelle et nocturne" et "développer la sobriété énergétique des dispositifs lumineux", doit être adopté début 2023.L'éclairage public représente 18% de la consommation d'énergie des communes, soit 37% de leur facture d'électricité, selon des chiffres de l'Agence française de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (Ademe) cités par les organisateurs de "La nuit est belle".Adapter les installations pourrait permettre environ 40% d'économie sur les dépenses d'éclairage public, selon la même source.
Il y a 2 ans et 270 jours

ITE vertueuse

Sous Avis Technique, StoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité. En remplaçant 30 % du liant hydrocarboné de ses produits par de l’huile de pin, STO, économise des hydrocarbures. L’enduit de base, l’enduit de finition, et même la peinture d’entretien du système, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L’isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabriqué à partir de la roche (basalte), une matière première disponible en abondance. Pour chaque projet, cela se traduit par l’économie de nombreux litres d’hydrocarbures (exemple : 216 litres d’hydrocarbures économisés sur un immeuble collectif avec environ 1 000 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en oeuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.
Il y a 2 ans et 270 jours

ITE vertueuse

Sous Avis Technique, StoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité. En remplaçant 30 % du liant hydrocarboné de ses produits par de l’huile de pin, STO, économise des hydrocarbures. L’enduit de base, l’enduit de finition, et même la peinture d’entretien du système, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L’isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabriqué à partir de la roche (basalte), une matière première disponible en abondance. Pour chaque projet, cela se traduit par l’économie de nombreux litres d’hydrocarbures (exemple : 216 litres d’hydrocarbures économisés sur un immeuble collectif avec environ 1 000 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en oeuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.
Il y a 2 ans et 270 jours

Le quartier de la Défense veut économiser 15% d'énergie cet hiver

"En visant une baisse de 15% de la consommation électrique du quartier, nous fixons un objectif ambitieux, mais atteignable", affirme dans un communiqué Georges Siffredi, président de l'établissement public local Paris La Défense.Les entreprises du quartier d'affaires sont invitées à éteindre les bureaux et lumières la nuit, baisser de un degré ou deux le chauffage et optimiser la gestion technique de leurs bâtiments.Il leur est également proposé de diminuer leur consommation aux heures de tension indiquées par le gestionnaire du réseau RTE, en décalant ou limitant le chauffage ou en évitant la recharge des véhicules électriques à ces heures.La France et l'Europe se préparent à des tensions entre l'offre et la demande d'énergie cet hiver, alors que la Russie a drastiquement réduit ses livraisons de gaz après l'invasion de l'Ukraine.
Il y a 2 ans et 270 jours

Le Gouvernement pousse encore la production de biométhane avec deux nouvelles mesures

RENOUVELABLES. Au lendemain de la prise de parole présidentielle sur le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, le ministère de la Transition énergétique annonce prendre deux nouvelles mesures d'ordre réglementaire pour faire passer la production de biométhane à la vitesse supérieure.
Il y a 2 ans et 270 jours

Le Gouvernement pousse encore la production de biométhane avec deux nouvelles mesures

RENOUVELABLES. Au lendemain de la prise de parole présidentielle sur le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, le ministère de la Transition énergétique annonce prendre deux nouvelles mesures d'ordre réglementaire pour faire passer la production de biométhane à la vitesse supérieure.
Il y a 2 ans et 270 jours

Les actions concrètes de Paris La Défense pour baisser la facture d'électricité

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Les acteurs économiques du quartier d'affaires parisien ont communément opté pour l'adoption de plusieurs gestes en faveur d'une réduction des consommations d'énergie. Pour le président de Paris La Défense, Georges Siffredi, "l'énergie abondante et peu chère est derrière nous".
Il y a 2 ans et 270 jours

Les actions concrètes de Paris La Défense pour baisser la facture d'électricité

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Les acteurs économiques du quartier d'affaires parisien ont communément opté pour l'adoption de plusieurs gestes en faveur d'une réduction des consommations d'énergie. Pour le président de Paris La Défense, Georges Siffredi, "l'énergie abondante et peu chère est derrière nous".
Il y a 2 ans et 270 jours

Aux Assises du BTP, des annonces du gouvernement insuffisantes pour répondre à l’inquiétude du secteur

Face à l’augmentation des prix des matériaux, aux difficultés d’approvisionnement des entreprises et à la volonté d’accompagner le secteur dans sa transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé en juillet dernier le lancement des Assises du bâtiment et des travaux publics (BTP), espace de concertation et d’élaboration de mesures concrètes, portées par le secteur et pouvant être rapidement mises en œuvre.Le premier objectif de ces Assises est de répondre dans les meilleurs délais aux besoins du secteur du BTP afin de surmonter les défis liés à l’inflation. Le deuxième objectif de ces Assises est de répondre aux attentes structurelles du secteur en matière de simplification et de transition écologique, mais aussi de formation et de numérique. Le troisième objectif, enfin, est d’initier un changement de méthode de dialogue entre l’Etat et le secteur. Les acteurs du secteur ont formulé leurs recommandations, qui ont ensuite été étudiées par l’Etat dans le cadre de groupes de travail associant l’ensemble des parties prenantes.Plus de 200 représentants du secteur ont été entendus lors de ces échanges qui se sont structurés en 6 sessions de travail. Plus de quinze fédérations représentant la production et la distribution de matériaux, la construction et la maîtrise d’œuvre ont participé. Plus d’une centaine de mesures portant sur l’équilibre économique des opérations, la simplification et la transition écologique ont fait l’objet d’un échange. Les collectivités territoriales ont également été associées à la validation des 13 premières mesures présentées.Le Gouvernement a donc présenté le jeudi 22 septembre les mesures qui pourront entrer en vigueur sans délai. Ces mesures sont issues des demandes du secteur, elles préservent l’équilibre des finances publiques tout en respectant les dates d’entrée en vigueur des textes en matière de transition écologique (zones à faible émission, responsabilité élargie du producteur notamment). Les autres mesures continuent d’être expertisées et pourront faire l’objet de nouvelles annonces d’ici la fin de l’année 2022.Les 13 mesures :Des mesures pour améliorer la trésorerie des entreprises1. Le relèvement des seuils planchers des avances dans tous les marchés publics, afin d’abonder la trésorerie des fournisseurs de l’Etat et notamment des acteurs du BTP. Ces seuils passeront de 20% à 30% pour l’ensemble des marchés publics passés avec des PME dans les plus brefs délais.2. L’amélioration de l’échelonnement du remboursement de ces avances par une réécriture des textes pour modifier la situation actuelle qui conduit les donneurs d’ordre à exiger trop rapidement le remboursement intégral.3. Un guide de bonnes pratiques en matière de pénalités de retard payées par les acteurs du BTP afin d’éviter que les situations de pénurie actuelles ne leur soient injustement reprochées.Des mesures pour améliorer la prévisibilité des prix sur les marchés publics et privés4. Le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat, qui vient d’indiquer qu’il était possible de réviser les prix dans les marchés publics en cours, pour prendre en compte les surcoûts engendrés par les circonstances exceptionnelles. Une circulaire va préciser dans les tous prochains jours les démarches à entreprendre en la matière, et une fiche pratique est déjà mise en ligne sur le site du ministère.5. Une mission va être confiée au Médiateur des entreprises pour améliorer la prévisibilité des prix des matières premières.Des mesures pour simplifier les marchés publics 6. La pérennisation à 100.000 € du seuil de gré à gré qui exempte les marchés publics de travaux d’appels d’offres et qui a été élevé exceptionnellement durant la crise sanitaire. 7. L’abaissement de 6 à 4 mois du délai inscrit dans le cahier des clauses administratives générales des marchés publics, entre la notification d’un marché et l’ordre de service de démarrage effectif des travaux, afin d’éviter une inflation des coûts durant cette période. 8. Un ciblage et une meilleure articulation des contrôles sur les chantiers pour lutter contre le travail illégal.Des mesures pour simplifier et améliorer la mise en œuvre des obligations règlementaires et écologiques qui pèsent sur les entreprises 9. La publicité obligatoire et rapide du montant d’éco contributions payées pour les entreprises dans le cadre de la filière « Responsabilité élargie du Producteur » (REP). 10. La mise en place d’une période de tolérance de 4 mois pour la mise en conformité des entreprises à la Responsabilité élargie du Producteur (sensibilisation pédagogique plutôt que sanction). 11. La prolongation de l’expérimentation chantier par chantier du label « Responsable Garant de l’environnement » (RGE) au-delà du 31 décembre 2022.Des mesures pour accélérer la transition écologique dans ce secteur 12. Le renforcement de l’offre globale de rénovation performante par un appel d’offres spécifique France 203013. Le lancement d’une concertation sur la mise en place d’un carbone-score des matériauxLa FFB salue un travail rapideLa FFB que la possibilité d’obtenir des compensations pour « surcoûts anormaux » constitue une importante avancée. Elle permettra de trouver des solutions sécurisées juridiquement. De même, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour signer des marchés de gré à gré va dans le bon sens pour l'organisation professionnelle, tout comme la majoration à 30 % des avances forfaitaires sur les marchés d’État.Quelques premières mesures concernent les marchés privés, comme le renforcement annoncé des contrôles, y compris chez les particuliers, ou l’ensemble des marchés, comme la poursuite des travaux pour créer un outil permettant de mieux comprendre l’évolution des prix des matériaux et de mieux anticiper leur évolution.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « cette rapide mobilisation en faveur des artisans et entrepreneurs de bâtiment doit s’amplifier, notamment sur les mesures relatives aux marchés privés. L’annonce par Bruno Le Maire que les Assises du BTP se poursuivent constitue donc une bonne nouvelle. Depuis l’origine, la FFB souhaite que cette approche par co-construction filière-gouvernement s’inscrive dans le temps, de façon à passer du traitement des problèmes immédiats à l’élaboration d’une stratégie de moyen-long terme pour le secteur de la construction. La transition écologique et la transformation numérique en cours imposent cela. »Pour la CAPEB, « un premier pas encourageant mais encore insuffisant pour répondre à l'inquiétude des entreprises artisanales du bâtiment »Avec ses 26 mesures et solutions concrètes, la CAPEB s’est montrée force de propositions et s’est pleinement impliquée dans tous les groupes de travail pour qu’il ressorte de ces Assises des mesures ambitieuses et engageantes. C’est en effet à cette seule condition que les entreprises artisanales du bâtiment, fortement éprouvées par le contexte actuel lié aux difficultés d’approvisionnement, de recrutement, et à la hausse des prix des matériaux et de l’énergie, pourront agir pleinement en faveur de la rénovation énergétique.Or, si certaines des mesures annoncées par les pouvoirs publics lors de ces Assises vont dans le bon sens (l’augmentation du niveau des avances en marché public, la pérennisation du seuil de 100.000€ en deçà duquel le gré à gré est autorisé, le renforcement des contrôles pour lutter contre le travail illégal, la mise en place d’une période de tolérance de 4 mois lors de la mise en œuvre au 1er janvier 2023 de la REP…), la CAPEB note, qu’à ce stade, ne figure aucune des dispositions visant à booster réellement la rénovation énergétique (indexation de toutes les aides sur l’inflation, diminution par deux du reste à charge des ménages modestes comme le proposait la CAPEB, les process RGE, MaPrimeRénov, CEE, les ZFE – m,...).En exclusivité, Bruno Le Maire a arbitré, à la demande de la CAPEB, en faveur du maintien de la TVA à taux réduit sur les chaudières à très haute performance énergétique. L’augmentation de ce taux aurait envoyé un signal incompréhensible pour le pouvoir d’achat et l’activité.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Pour la CAPEB, ces Assises étant un point de départ, il est compréhensible que les mesures annoncées ce jour ne soient pas de nature à libérer pleinement le potentiel des entreprises artisanales du bâtiment dans la transition énergétique. Nous attendons donc avec impatience la suite des travaux pour que des mesures plus ambitieuses puissent être prises. L’enjeu est de taille. Seules ces TPE, qui représentent 95 % des entreprises du bâtiment, ont la capacité de le faire. Nous nous félicitons d’ores et déjà de voir la durée de l’expérimentation relative à la qualification chantier par chantier prorogée jusqu’à fin 2023 et d’avoir été entendus sur la nécessaire poursuite de ces Assises. Le travail ne fait que commencer. La CAPEB, qui constitue la première organisation professionnelle de France en termes d’adhérents et l’organisation professionnelle majoritaire dans le champ des TPE du bâtiment, continuera à faire preuve d’un état d’esprit constructif et collaboratif. »
Il y a 2 ans et 270 jours

Aux Assises du BTP, des annonces du gouvernement insuffisantes pour répondre à l’inquiétude du secteur

Face à l’augmentation des prix des matériaux, aux difficultés d’approvisionnement des entreprises et à la volonté d’accompagner le secteur dans sa transition écologique, Bruno Le Maire a annoncé en juillet dernier le lancement des Assises du bâtiment et des travaux publics (BTP), espace de concertation et d’élaboration de mesures concrètes, portées par le secteur et pouvant être rapidement mises en œuvre.Le premier objectif de ces Assises est de répondre dans les meilleurs délais aux besoins du secteur du BTP afin de surmonter les défis liés à l’inflation. Le deuxième objectif de ces Assises est de répondre aux attentes structurelles du secteur en matière de simplification et de transition écologique, mais aussi de formation et de numérique. Le troisième objectif, enfin, est d’initier un changement de méthode de dialogue entre l’Etat et le secteur. Les acteurs du secteur ont formulé leurs recommandations, qui ont ensuite été étudiées par l’Etat dans le cadre de groupes de travail associant l’ensemble des parties prenantes.Plus de 200 représentants du secteur ont été entendus lors de ces échanges qui se sont structurés en 6 sessions de travail. Plus de quinze fédérations représentant la production et la distribution de matériaux, la construction et la maîtrise d’œuvre ont participé. Plus d’une centaine de mesures portant sur l’équilibre économique des opérations, la simplification et la transition écologique ont fait l’objet d’un échange. Les collectivités territoriales ont également été associées à la validation des 13 premières mesures présentées.Le Gouvernement a donc présenté le jeudi 22 septembre les mesures qui pourront entrer en vigueur sans délai. Ces mesures sont issues des demandes du secteur, elles préservent l’équilibre des finances publiques tout en respectant les dates d’entrée en vigueur des textes en matière de transition écologique (zones à faible émission, responsabilité élargie du producteur notamment). Les autres mesures continuent d’être expertisées et pourront faire l’objet de nouvelles annonces d’ici la fin de l’année 2022.Les 13 mesures :Des mesures pour améliorer la trésorerie des entreprises1. Le relèvement des seuils planchers des avances dans tous les marchés publics, afin d’abonder la trésorerie des fournisseurs de l’Etat et notamment des acteurs du BTP. Ces seuils passeront de 20% à 30% pour l’ensemble des marchés publics passés avec des PME dans les plus brefs délais.2. L’amélioration de l’échelonnement du remboursement de ces avances par une réécriture des textes pour modifier la situation actuelle qui conduit les donneurs d’ordre à exiger trop rapidement le remboursement intégral.3. Un guide de bonnes pratiques en matière de pénalités de retard payées par les acteurs du BTP afin d’éviter que les situations de pénurie actuelles ne leur soient injustement reprochées.Des mesures pour améliorer la prévisibilité des prix sur les marchés publics et privés4. Le gouvernement a saisi le Conseil d’Etat, qui vient d’indiquer qu’il était possible de réviser les prix dans les marchés publics en cours, pour prendre en compte les surcoûts engendrés par les circonstances exceptionnelles. Une circulaire va préciser dans les tous prochains jours les démarches à entreprendre en la matière, et une fiche pratique est déjà mise en ligne sur le site du ministère.5. Une mission va être confiée au Médiateur des entreprises pour améliorer la prévisibilité des prix des matières premières.Des mesures pour simplifier les marchés publics 6. La pérennisation à 100.000 € du seuil de gré à gré qui exempte les marchés publics de travaux d’appels d’offres et qui a été élevé exceptionnellement durant la crise sanitaire. 7. L’abaissement de 6 à 4 mois du délai inscrit dans le cahier des clauses administratives générales des marchés publics, entre la notification d’un marché et l’ordre de service de démarrage effectif des travaux, afin d’éviter une inflation des coûts durant cette période. 8. Un ciblage et une meilleure articulation des contrôles sur les chantiers pour lutter contre le travail illégal.Des mesures pour simplifier et améliorer la mise en œuvre des obligations règlementaires et écologiques qui pèsent sur les entreprises 9. La publicité obligatoire et rapide du montant d’éco contributions payées pour les entreprises dans le cadre de la filière « Responsabilité élargie du Producteur » (REP). 10. La mise en place d’une période de tolérance de 4 mois pour la mise en conformité des entreprises à la Responsabilité élargie du Producteur (sensibilisation pédagogique plutôt que sanction). 11. La prolongation de l’expérimentation chantier par chantier du label « Responsable Garant de l’environnement » (RGE) au-delà du 31 décembre 2022.Des mesures pour accélérer la transition écologique dans ce secteur 12. Le renforcement de l’offre globale de rénovation performante par un appel d’offres spécifique France 203013. Le lancement d’une concertation sur la mise en place d’un carbone-score des matériauxLa FFB salue un travail rapideLa FFB que la possibilité d’obtenir des compensations pour « surcoûts anormaux » constitue une importante avancée. Elle permettra de trouver des solutions sécurisées juridiquement. De même, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour signer des marchés de gré à gré va dans le bon sens pour l'organisation professionnelle, tout comme la majoration à 30 % des avances forfaitaires sur les marchés d’État.Quelques premières mesures concernent les marchés privés, comme le renforcement annoncé des contrôles, y compris chez les particuliers, ou l’ensemble des marchés, comme la poursuite des travaux pour créer un outil permettant de mieux comprendre l’évolution des prix des matériaux et de mieux anticiper leur évolution.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « cette rapide mobilisation en faveur des artisans et entrepreneurs de bâtiment doit s’amplifier, notamment sur les mesures relatives aux marchés privés. L’annonce par Bruno Le Maire que les Assises du BTP se poursuivent constitue donc une bonne nouvelle. Depuis l’origine, la FFB souhaite que cette approche par co-construction filière-gouvernement s’inscrive dans le temps, de façon à passer du traitement des problèmes immédiats à l’élaboration d’une stratégie de moyen-long terme pour le secteur de la construction. La transition écologique et la transformation numérique en cours imposent cela. »Pour la CAPEB, « un premier pas encourageant mais encore insuffisant pour répondre à l'inquiétude des entreprises artisanales du bâtiment »Avec ses 26 mesures et solutions concrètes, la CAPEB s’est montrée force de propositions et s’est pleinement impliquée dans tous les groupes de travail pour qu’il ressorte de ces Assises des mesures ambitieuses et engageantes. C’est en effet à cette seule condition que les entreprises artisanales du bâtiment, fortement éprouvées par le contexte actuel lié aux difficultés d’approvisionnement, de recrutement, et à la hausse des prix des matériaux et de l’énergie, pourront agir pleinement en faveur de la rénovation énergétique.Or, si certaines des mesures annoncées par les pouvoirs publics lors de ces Assises vont dans le bon sens (l’augmentation du niveau des avances en marché public, la pérennisation du seuil de 100.000€ en deçà duquel le gré à gré est autorisé, le renforcement des contrôles pour lutter contre le travail illégal, la mise en place d’une période de tolérance de 4 mois lors de la mise en œuvre au 1er janvier 2023 de la REP…), la CAPEB note, qu’à ce stade, ne figure aucune des dispositions visant à booster réellement la rénovation énergétique (indexation de toutes les aides sur l’inflation, diminution par deux du reste à charge des ménages modestes comme le proposait la CAPEB, les process RGE, MaPrimeRénov, CEE, les ZFE – m,...).En exclusivité, Bruno Le Maire a arbitré, à la demande de la CAPEB, en faveur du maintien de la TVA à taux réduit sur les chaudières à très haute performance énergétique. L’augmentation de ce taux aurait envoyé un signal incompréhensible pour le pouvoir d’achat et l’activité.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Pour la CAPEB, ces Assises étant un point de départ, il est compréhensible que les mesures annoncées ce jour ne soient pas de nature à libérer pleinement le potentiel des entreprises artisanales du bâtiment dans la transition énergétique. Nous attendons donc avec impatience la suite des travaux pour que des mesures plus ambitieuses puissent être prises. L’enjeu est de taille. Seules ces TPE, qui représentent 95 % des entreprises du bâtiment, ont la capacité de le faire. Nous nous félicitons d’ores et déjà de voir la durée de l’expérimentation relative à la qualification chantier par chantier prorogée jusqu’à fin 2023 et d’avoir été entendus sur la nécessaire poursuite de ces Assises. Le travail ne fait que commencer. La CAPEB, qui constitue la première organisation professionnelle de France en termes d’adhérents et l’organisation professionnelle majoritaire dans le champ des TPE du bâtiment, continuera à faire preuve d’un état d’esprit constructif et collaboratif. »
Il y a 2 ans et 270 jours

La Fédération des Offices Publics de l'Habitat tire la sonnette d’alarme et alerte les pouvoirs publics

« Sept mois après avoir interpellé les pouvoirs publics sur les conséquences de la hausse des tarifs du gaz et demandé des mesures en faveur des locataires, nous nous inquiétons de la flambée des prix de l’électricité, qui n’est pas sans conséquence sur la facture des ménages », a alerté Marcel Rogemont, président de la FOPH.« En dépit des mesures annoncées le 14 septembre dernier par le gouvernement, de prolongement du bouclier tarifaire avec une hausse du prix du gaz et de l’électricité plafonnée à 15 % et un chèque énergie exceptionnel pour l’accompagnement des ménages à revenus modestes, les acteurs du monde HLM restent très préoccupés ».Huit propositions de la FOPH au gouvernementDans ce contexte, Marcel Rogemont a présenté les huit propositions de la FOPH adressées au gouvernement :L’extension du bouclier tarifaire aux immeubles avec chauffage électrique collectif ;L’extension du bouclier tarifaire pour les achats d’électricité pour le fonctionnement des parties communes des immeubles collectifs ;Prendre en compte les situations extrêmes, notamment lorsque le prix de la molécule de gaz ou d’électricité dépasse largement le plafond du bouclier tarifaire ;Les conditions de ce bouclier tarifaire, à savoir une rétroactivité au 1er octobre 2022 à l’instar du bouclier gaz. L’idée serait de se baser sur le tarif réglementé plus 15% ;Le versement du chèque énergie directement aux organismes HLM pour les locataires bénéficiant d’un chauffage collectif ;La revalorisation du forfait charges des APL ;L’augmentation de la contribution des énergéticiens dans le financement des Fonds de solidarité logement (FSL) ;La réforme structurelle des marchés de l’énergie au niveau européen : désindexation des tarifs du gaz et ceux de l’électricité, mise en place d’un plafonnement des prix, indexation des prix sur des index moins volatils et non dépendants du marché, etc.Quatre OPH témoignent...Ces huit propositions ont fait écho aux témoignages de quatre dirigeants d’OPH invités à présenter, lors de la conférence de presse, la situation de leur organisme :Pour Valérie Mespoulhes, directrice générale de Caen la mer Habitat : « La dépense de chauffage collectif constitue une part de plus en plus significative de la quittance. Sur un 3 pièces moyen, nous sommes passés de 30 € par mois en 2020 à 81€ estimés en 2022, avec le bouclier tarifaire. Nous ne sommes pourtant pas dans des passoires énergétiques, mais sur des étiquettes C ou D. Nous avons déjà effectué des travaux d’amélioration énergétique, nous sommes déjà à 19°, nous disposons d’équipements permettant de mieux réguler... Nous avons donc peu de marges de manœuvre ».Pour Guillaume Couturier, directeur général d’Habitats de Haute-Alsace : « On assiste à une explosion stratosphérique des coûts de l’énergie. Pour un F3 moyen, la quittance passe de 473€ à 606€. Le bouclier va limiter cette augmentation à 579€, mais nous nous préparons à un raz-de-marée d’impayés, avec des conséquences financières lourdes pour les OPH, dont le modèle économique et la capacité d’investissement sont mis à mal ».Pour Bertrand Prade, directeur général de Seine-Saint-Denis Habitat : « La hausse des tarifs va représenter sur les charges pour les parties communes une augmentation de 600%. Nous sommes plusieurs à devoir choisir, avant le 31 décembre, si nous signons un contrat avec des prix exorbitants parce que dépendant des prix du marché. Cela revient à envoyer les organismes HLM sur un marché boursier avec des cours qui s’envolent, une grande volatilité, pour des locataires particulièrement vulnérables ».Pour Vincent Peronnaud, directeur général de l’OPAC de l’Oise : « L’indice PEG a été imposé par la loi Égalité et citoyenneté alors que nous étions sur des indices beaucoup plus administrés. On voit chez nos fournisseurs des marges indécentes, qui explosent, et face auxquelles le bouclier tarifaire ne fait qu’office de serpillère et bassine. La vraie solution serait de revenir de façon drastique sur la libération du prix de l’énergie, qui résulte de directives européennes, comme l’a fait l’Espagne ».
Il y a 2 ans et 270 jours

La Fédération des Offices Publics de l'Habitat tire la sonnette d’alarme et alerte les pouvoirs publics

« Sept mois après avoir interpellé les pouvoirs publics sur les conséquences de la hausse des tarifs du gaz et demandé des mesures en faveur des locataires, nous nous inquiétons de la flambée des prix de l’électricité, qui n’est pas sans conséquence sur la facture des ménages », a alerté Marcel Rogemont, président de la FOPH.« En dépit des mesures annoncées le 14 septembre dernier par le gouvernement, de prolongement du bouclier tarifaire avec une hausse du prix du gaz et de l’électricité plafonnée à 15 % et un chèque énergie exceptionnel pour l’accompagnement des ménages à revenus modestes, les acteurs du monde HLM restent très préoccupés ».Huit propositions de la FOPH au gouvernementDans ce contexte, Marcel Rogemont a présenté les huit propositions de la FOPH adressées au gouvernement :L’extension du bouclier tarifaire aux immeubles avec chauffage électrique collectif ;L’extension du bouclier tarifaire pour les achats d’électricité pour le fonctionnement des parties communes des immeubles collectifs ;Prendre en compte les situations extrêmes, notamment lorsque le prix de la molécule de gaz ou d’électricité dépasse largement le plafond du bouclier tarifaire ;Les conditions de ce bouclier tarifaire, à savoir une rétroactivité au 1er octobre 2022 à l’instar du bouclier gaz. L’idée serait de se baser sur le tarif réglementé plus 15% ;Le versement du chèque énergie directement aux organismes HLM pour les locataires bénéficiant d’un chauffage collectif ;La revalorisation du forfait charges des APL ;L’augmentation de la contribution des énergéticiens dans le financement des Fonds de solidarité logement (FSL) ;La réforme structurelle des marchés de l’énergie au niveau européen : désindexation des tarifs du gaz et ceux de l’électricité, mise en place d’un plafonnement des prix, indexation des prix sur des index moins volatils et non dépendants du marché, etc.Quatre OPH témoignent...Ces huit propositions ont fait écho aux témoignages de quatre dirigeants d’OPH invités à présenter, lors de la conférence de presse, la situation de leur organisme :Pour Valérie Mespoulhes, directrice générale de Caen la mer Habitat : « La dépense de chauffage collectif constitue une part de plus en plus significative de la quittance. Sur un 3 pièces moyen, nous sommes passés de 30 € par mois en 2020 à 81€ estimés en 2022, avec le bouclier tarifaire. Nous ne sommes pourtant pas dans des passoires énergétiques, mais sur des étiquettes C ou D. Nous avons déjà effectué des travaux d’amélioration énergétique, nous sommes déjà à 19°, nous disposons d’équipements permettant de mieux réguler... Nous avons donc peu de marges de manœuvre ».Pour Guillaume Couturier, directeur général d’Habitats de Haute-Alsace : « On assiste à une explosion stratosphérique des coûts de l’énergie. Pour un F3 moyen, la quittance passe de 473€ à 606€. Le bouclier va limiter cette augmentation à 579€, mais nous nous préparons à un raz-de-marée d’impayés, avec des conséquences financières lourdes pour les OPH, dont le modèle économique et la capacité d’investissement sont mis à mal ».Pour Bertrand Prade, directeur général de Seine-Saint-Denis Habitat : « La hausse des tarifs va représenter sur les charges pour les parties communes une augmentation de 600%. Nous sommes plusieurs à devoir choisir, avant le 31 décembre, si nous signons un contrat avec des prix exorbitants parce que dépendant des prix du marché. Cela revient à envoyer les organismes HLM sur un marché boursier avec des cours qui s’envolent, une grande volatilité, pour des locataires particulièrement vulnérables ».Pour Vincent Peronnaud, directeur général de l’OPAC de l’Oise : « L’indice PEG a été imposé par la loi Égalité et citoyenneté alors que nous étions sur des indices beaucoup plus administrés. On voit chez nos fournisseurs des marges indécentes, qui explosent, et face auxquelles le bouclier tarifaire ne fait qu’office de serpillère et bassine. La vraie solution serait de revenir de façon drastique sur la libération du prix de l’énergie, qui résulte de directives européennes, comme l’a fait l’Espagne ».
Il y a 2 ans et 270 jours

Eco-énergie tertiaire : une "tolérance" accordée pour remplir la base Operat

EFFICACITÉ ENERGETIQUE. Le ministère de la Transition écologique annonce qu'une tolérance est accordée aux assujettis du dispositif éco-énergie tertiaire, en matière de renseignement de la plateforme Opérat.
Il y a 2 ans et 270 jours

Eco-énergie tertiaire : une "tolérance" accordée pour remplir la base Operat

EFFICACITÉ ENERGETIQUE. Le ministère de la Transition écologique annonce qu'une tolérance est accordée aux assujettis du dispositif éco-énergie tertiaire, en matière de renseignement de la plateforme Opérat.
Il y a 2 ans et 270 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 270 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 270 jours

Quelles énergies de chauffage sont utilisées dans les régions françaises ?

Au coût environnemental s’ajoute aujourd’hui un coût financier, puisque les prix du fioul ont augmenté de plus de 80% ces douze derniers mois.A cette occasion, Butagaz et le Synasav propose un panorama des usages énergétiques en France afin de permettre aux décideurs d’identifier les enjeux et le chemin à parcourir par région pour accélérer la transition énergétique vers des énergies de chauffage moins carbonées.Les 3 grands enseignements de l’étude :Toutes les régions françaises sont engagées dans la voie de la transition énergétiqueGlobalement, l’ensemble des régions progresse vers des énergies de chauffage moins carbonées. Fini le fioul, place aux énergies moins carbonées. Les réponses sont multiple avec de nombreuses solutions existantes comme l’électricité, le gaz naturel, le gaz propane pour certains types de bâtiments, ou encore d’autres énergies comme les pellets de bois. Telles sont les énergies alternatives au fioul et majoritairement en croissance qui séduisent les Français dans les territoires.Les régions les plus avancées avec l’utilisation d’énergies moins carbonées sont l’Île-de-France, la région Sud (PACA) et l’Occitanie. Les trois régions utilisent respectivement 76%, 77%, et 73% d’énergies moins ou peu carbonées (électricité & gaz naturel) pour se chauffer. L’électricité dans ces régions fortement peuplées est l’énergie majoritaire à l’exception de l’Île de France qui se chauffe à 42% au gaz naturel et 34% à l’électricité.A chaque région son mix énergétique pour s’adapter aux besoins des logements, leur typologie, leur situation géographique et au climatMême si on note une évolution favorable dans toutes les régions, on constate des grandes disparités sur le choix des énergies de chauffage et de leur proportion dans le mix énergétique. La Normandie, le Centre-Val de Loire et Pays de la Loire ont un mix énergétique équilibré avec environ 1/3 en électricité, 1/3 au gaz naturel et 1/3 sur les autres énergies de chauffage mais plus de 10% de fioul. A l’inverse, la Corse dispose d’un parc à 68% chauffé à l’électricité et seulement 2% au fioul. Cela s’explique par sa position géographique particulière et son plus faible nombre de logements. Le Nord est la région la plus équipée en proportion en chauffage au gaz naturel. Ceci s’explique par la typologie de logements en fonction de leur catégorie, résidentiels ou tertiaires.Des régions encore dépendantes du fioul prioritaires pour accélérer vers des énergies moins carbonéesAlors que le gouvernement a fixé comme objectif de remplacer l’ensemble des équipements fioul d’ici à 2028, le chemin est encore long. Lors de la dernière mesure INSEE, en 2018, 3,8 millions de logements et bâtiments français utilisaient encore cette énergie de chauffage, soit environ 11% du parc. Certaines régions sont identifiées comme prioritaires à la lecture de cette étude.L’Auvergne-Rhône-Alpes affiche le plus gros gisement de bâtiments chauffés au fioul en nombre avec près de 637.000 logements soit 14% de son parc. En proportion, c’est cependant la région Bourgogne-Franche-Comté en tête avec 17% du parc au fioul, suivi par la région Grand-Est et Bretagne à 15%.Pour Natacha Cambriels, Directrice Générale de Butagaz : « Cette étude nous permet d’identifier le chemin parcouru et surtout le chemin à parcourir pour accélérer la transition énergétique de proximité dans les territoires. Avec plus de 1.000 collaborateurs dédiés à cette mission chez Butagaz, nous sommes fiers de proposer des services et des énergies peu carbonées, adaptées aux habitudes de consommation des Français et aux territoires avec leur spécificité géographique. Nous souhaitons être acteur et moteur pour accompagner les Français, professionnels et particuliers, dans les énergies de demain. »Pour Roland Bouquet, Président du Synasav : « Face à l’urgence climatique et les enjeux d’accélérer notre indépendance aux énergies fossiles étrangères, il est primordial de déployer des politiques incitatives et expertes pour accompagner les Français dans leur transition énergétique. Par cette étude, nous pouvons identifier au mieux les énergies les plus utilisées dans les territoires en fonction de leurs spécificités. Cela nous permet d’adapter nos offres et services de maintenance et de rénovation à chaque situation afin d’aider les Français à concilier leurs enjeux économiques et environnementaux. »Les enjeux pour demain selon Butagaz :Accroître les dispositifs et les services pour accélérer la sortie du fioulAfin de limiter le chauffage par ce combustible énergivore, Butagaz propose depuis 2020 ses services de remplacement de cuve à fioul auprès des particuliers et des professionnels ainsi que des aides financières comme Butaprimes, Artiprimes ou encore le Pack Facilipass. Grâce à ces services, le bilan carbone peut être réduit jusqu’à 70%.Les freins à la transition sont majoritairement identifiés dans les territoires les plus enclavés, par le manque d’accessibilité aux énergies plus propres. C’est là que Butagaz s’engage à agir en priorité, grâce notamment à son implantation dans toutes les régions françaises.Exemples de transition opérées : Le refuge de Beauregard – Mairie de Vert-ToulonAméliorer la relation client, les offres et les services pour aider les Français à faire les bons choix dans la rénovation énergétique de leur logementAujourd’hui circule une multitude d’informations parfois contradictoires. Afin d’accompagner au mieux les Français pour faire des choix éclairés en fonction de leurs besoins énergétiques, de leur budget et de leur situation géographique, il est nécessaire d’avoir des experts pour répondre à leurs questions. C’est le sens donné à la collaboration renforcée entre le Synasav et Butagaz.
Il y a 2 ans et 270 jours

Le Grand Est investit 450 millions d'euros pour améliorer la sobriété énergétique de ses lycées

La région Grand Est a annoncé vendredi 23 septembre investir 450 millions d'euros sur quatre ans pour "accélérer la transition...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 271 jours

Occitanie : lourds investissements dans les lycées

Le lycée Simone-de-Beauvoir, qui ouvre tout juste ses portes à Gragnague (Haute-Garonne), est à ce jour le neuvième lycée à énergie positive...
Il y a 2 ans et 270 jours

Pellets bois : pour le ministère, il n'y a "pas de risque de tension à court terme"

CHAUFFAGE. Le ministère de la Transition énergétique suit avec "vigilance" la situation sur le front de la disponibilité des pellets bois. Et ouvre la porte à une évolution possible du chèque énergie pour alléger les factures des ménages concernés.
Il y a 2 ans et 270 jours

Pellets bois : pour le ministère, il n'y a "pas de risque de tension à court terme"

CHAUFFAGE. Le ministère de la Transition énergétique suit avec "vigilance" la situation sur le front de la disponibilité des pellets bois. Et ouvre la porte à une évolution possible du chèque énergie pour alléger les factures des ménages concernés.
Il y a 2 ans et 270 jours

Un outil pour calculer la performance énergie-carbone d'un quartier

OUTIL NUMÉRIQUE. Développé par le CSTB et Efficacity, l'outil UrbanPrint a été officiellement lancé ce mardi 20 septembre, à destination des aménageurs et des collectivités. Il permet de quantifier la performance énergie-carbone d'une opération d'aménagement en neuf, rénovation ou mixte.
Il y a 2 ans et 270 jours

Lumières éteintes plus tôt à Versailles et au Louvre pour cause de sobriété énergétique

Après la tour Eiffel, c'est le Louvre et Versailles qui vont avancer l'extinction de leur éclairage. Une mesure symbolique pour sensibiliser la population à la crise énergétique, a déclaré samedi la ministre de Culture.
Il y a 2 ans et 270 jours

Réaction à la conférence de presse de Elisabeth Borne

Limiter la hausse des prix de l’énergie, c’est bien… Agir dans la durée en incitant à la rénovation énergétique des logements des ménages plus précaires, c’est mieux ! Paris, le 15 septembre 2023 – Plus que jamais, la consommation d’énergie est au coeur des préoccupations des Français. Si tous sont touchés par la hausse du […]
Il y a 2 ans et 271 jours

Digital : instrumenter avec sobriété

Avec 17 % de la consommation énergétique nationale, le tertiaire est l'un des secteurs les plus gourmands. Pour contrôler et réduire la facture,...
Il y a 2 ans et 271 jours

Sobriété énergétique : le plan de Vinci

La major a présenté le 22 septembre un plan d’économies d'énergie pérennes. Au programme : réduction de 15 % des consommations de gaz et...
Il y a 2 ans et 271 jours

Wieland

Le challenge RE2020 relevé avec un système de détection intelligent ultra-performant pour un temps d'installation réduit de 80% Le projet Osmose à Strasbourg consiste en un ensemble immobilier qui comprend des bureaux conformes aux standards internationaux et aux ambitions environnementales fortes. Il est novateur, à la fois par son architecture et par son aménagement. Conçu d'après les nouveaux modes d'organisation et les usages hybrides des postes de travail, il offre des espaces réversibles qui s'adaptent à tout type de preneurs. Côté RE2020 (Réglementation environnementale 2020), il s'équipe de détecteurs de présence innovants pour réduire sa consommation énergétique. En plus de s'intégrer à tous les scénarios de découpe des bureaux, la capacité Plug and Play de l'infrastructure électrique réduit le coût et la pose de 80% ! C'est le Groupe alsacien Vincentz qui a mené ce tour de force en synergie avec ses partenaires Wieland et Niko.
Il y a 2 ans et 271 jours

Borne sous pression sur les retraites et la taxation des profits

La coalition de gauche Nupes faisait au même moment monter la pression sur le gouvernement, avec une proposition de loi pour taxer les "superprofits" des grandes entreprises et tenter d'obtenir un référendum d'initiative partagée, qui ne manquera pas d'animer les débats budgétaires. "Nous espérons que cette procédure va créer un rapport de force" avec la majorité présidentielle, a insisté le socialiste Olivier Faure.La question a aussi été évoquée lors des échanges à Matignon. "Dans une économie de guerre, il faut dégager des recettes exceptionnelles", a plaidé Patrick Kanner au nom des sénateurs PS."On en reparlera" lors du débat budgétaire, a promis le ministre des Relations avec le parlement, Franck Riester, lors d'un point presse en fin de journée."Concertation et écoute permettront de mener les réformes nécessaires pour le pays", a fait de son côté valoir dans un tweet la Première ministre qui, privée de majorité absolue à l'Assemblée nationale, prône le dialogue dans l'espoir de bâtir des "majorités de projet".Elle n'exclut pas cependant, pour le vote du budget à l'automne, le recours à l'article 49.3, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure, car "les Français ne nous ont pas demandé l'immobilisme".Balayant le calendrier législatif, de l'assurance chômage au budget en passant par les énergies renouvelables, ses interlocuteurs ont été nombreux à dire leur hostilité à l'idée d'un amendement sur les retraites dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS)."Contradictoire"Le président Emmanuel Macron avait évoqué cette éventualité, souhaitant une application "dès 2023". Une décision qui "appartiendra" au gouvernement, avait-il ajouté.Prudente, Mme Borne ne s'est toujours pas exprimée sur le sujet. "Le moment venu, le président de la République et Première ministre trancheront, tant sur la forme que sur le fond", mais "pour prendre des décisions, c'est important d'écouter", a affirmé M. Riester."Si c'est l'amendement, le gouvernement s'empalera", a prédit le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui juge la réforme des retraites nécessaire, mais fustige une façon de faire "totalement contradictoire avec la fameuse nouvelle méthode (basée sur le compromis, NDLR) proclamée par le président de la République".Ce serait "une violence faite au débat parlementaire autant qu'au dialogue social", a jugé pour les députés PS Boris Vallaud, pour qui le compromis "n'a été dans la pratique du gouvernement qu'un mot".Communistes et écologistes avaient auparavant également rejeté l’hypothèse d'un amendement.L'éventualité divise jusque dans la majorité.Reçue en premier avec ses homologues du MoDem et d'Horizons, la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé a plaidé "collégialement" en faveur d'une "décision rapide" sur les retraites.Si le gouvernement devait recourir à l'article 49.3 de la Constitution, ce sera "la responsabilité des oppositions", selon elle."Pas un scandale"Mais le président du groupe MoDem à l'Assemblée nationale, Jean-François Mattéi, a redit à la Première ministre l'opposition de ses députés à un tel amendement, même s'il approuve "la nécessité d'une réforme"."Nous avons été élus pour agir, non pas pour procrastiner", a plaidé de son côté le président du groupe Horizons au Palais-Bourbon Laurent Marcangeli, qui sera "au rendez-vous de la réforme", tandis que le sénateur macroniste François Patriat rappelait que le Sénat, à majorité de droite, amendait chaque année le budget sur les retraites.En termes de méthode, le projet de loi sur les énergies renouvelables "sera un bon test" pour "voir si le gouvernement est en capacité justement de rebondir sur (les) propositions" d'EELV et parvient à "trouver d'autres majorités", a dit espérer le sénateur écologiste Guillaume Gontard.Son homologue à l'Assemblée nationale, Cyrielle Châtelain, a réclamé une "politique à la hauteur (du) bouleversement" climatique, et redit son "opposition complète" aux réformes "libérales" de l'assurance chômage et des retraites.La Première ministre doit encore recevoir jeudi Marine Le Pen (RN) et Olivier Marleix (LR), puis le 30 septembre Mathilde Panot (LFI).
Il y a 2 ans et 271 jours

Nucléaire, renouvelables : Emmanuel Macron estime qu'il faut aller "beaucoup plus vite"

ÉNERGIES. En visite à Saint-Nazaire pour l'inauguration du premier parc éolien marin de l'Hexagone, le président de la République a affirmé que le pays devait aller "deux fois plus vite" sur la mise en service de projets d'énergies renouvelables, mais également sur le nouveau programme nucléaire. Une double nécessité pour tenter de répondre à la future explosion des besoins en électricité, estimés à "40% d'ici 2050".
Il y a 2 ans et 271 jours

Loi renouvelables : le gouvernement retire un article décrié par les ONG environnementales

Cet article 3 voulait relever les seuils à partir desquels les projets devaient être soumis à étude d'impact sur l'environnement, dans le but d'accélérer les installations éoliennes ou solaires. Des ONG jugeaient qu'il était contestable juridiquement car il aurait représenté une dérogation au principe de non-régression du droit environnemental, entériné par une loi de 2016.En outre, les "critères déterminant les futurs seuils de déclenchement d'une évaluation environnementale (reportés à des décrets d'application) ne permettent pas d'estimer l'ampleur des conséquences du projet sur la biodiversité", a alerté mercredi de son côté le Conseil national de protection de la nature (CNPN).Alors que le projet de loi doit être présenté en Conseil des ministres lundi, le ministère a expliqué avoir retiré l'article pour répondre au souhait de l'exécutif que la loi soit préparée "en pleine concertation avec les parties prenantes", mais aussi parce que cela ne réduisait in fine pas l'ambition française d'accélération des projets dans les renouvelables.L'objectif est qu'on "ne se départ pas de l'ambition qui est de diviser par deux le temps de réalisation des projets", a-t-on souligné. Or en la matière, l'apport de cet article n'était "pas évident", et d'ailleurs, il n'était "pas forcément" non plus "une attente forte" du secteur des renouvelables, a-t-on ajouté.Cet article "revenait à vouloir gagner deux mois et demi au détriment de la biodiversité, c'était un marteau pour écraser une mouche", a réagi Nicolas Richard, secrétaire national de la FNE. "Notre inquiétude sur le texte reste globale: l'urgence climatique ne justifie pas des dégâts sur la biodiversité, l'eau et l'usage des sols", a-t-il ajouté, fustigeant l'absence de planification.La Ligue de protection des oiseaux (LPO) s'est dite "satisfaite du retrait de cet article", par la voix de son directeur Yves Verilhac, pour qui "c'est malheureux d'en être réduit à applaudir une absence de régression. Où est-elle cette reconquête de la biodiversité annoncée à grands renforts de communication?"Le texte qui comptait 20 articles, et qui fera quoiqu'il arrive l'objet de vifs débats au Parlement, vise à aider la France à rattraper son grand retard dans le déploiement des énergies renouvelables, éolien et photovoltaïque notamment.Il prévoit des mesures transitoires pendant 48 mois pour simplifier les procédures (extension du vote du public par voie électronique), la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (sur les délaissés autoroutiers, les terrains dégradés, obligatoires en ombrières de parkings existants...) ou encore une mutualisation des débats par façade maritime pour l'éolien en mer.
Il y a 2 ans et 271 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 271 jours

Diagnostics de performance énergétique : UFC-Que Choisir dénonce un grand n’importe quoi, encore et toujours

Alors que la pertinence du DPE est plus que jamais indispensable compte tenu des conséquences d’une qualification du logement en tant que passoire thermique, l’UFC-Que Choisir, sur la base de l’analyse de 34 diagnostics réalisés dans 7 maisons situées dans différentes régions de France (1), demande au Gouvernement de revoir de fond en comble le processus de certification des professionnels du diagnostic, et que l’opposabilité du DPE soit étendue aux recommandations en matière de travaux à mener.Jusqu'à 3 classes d'écart pour un même bienAlors qu’un consommateur souhaitant réaliser un DPE de son logement dans le cadre d’une vente ou de la location d’un bien pourrait logiquement considérer que le choix du diagnostiqueur n’affectera pas sa classification, la réalité du terrain met en évidence de stupéfiants écarts. En effet, parmi les 7 maisons qui ont fait l’objet de nombreux diagnostics (entre 4 et 5 chacune), 6 d’entre elles ne se sont pas vues reconnaître la même classe énergétique, avec même une maison pour laquelle la classe attribuée va de B à E alors qu’elle est basse consommation !Cette situation pourrait prêter à sourire si la détermination de la classe du DPE n’emportait pas de conséquences si importantes sur la valorisation du bien immobilier, ou encore sur l’estimation de consommation d’énergie et donc des factures, qui pour une maison va même du simple au plus du double (+226%). Pire, avec l’interdiction de vendre ou louer des biens immobiliers énergivores qui interviendra, progressivement, à partir de l’année prochaine pour les plus énergivores, les conséquences d’un classement erroné s’avéreront encore plus préjudiciables.Des recommandations de travaux d'économies farfeluesLa réglementation impose aux diagnostiqueurs de faire figurer sur le DPE des recommandations sur des travaux permettant d’améliorer l’efficacité énergétique des logements ou de limiter les émissions de gaz à effets de serre. Or, certains conseils sont tout simplement ahurissants : un installateur a ainsi recommandé la pose d’un chauffe-eau solaire alors que la maison en disposait déjà. De même, les estimations de travaux jugés essentiels pour une même maison varient d’un peu plus de 3.000 euros à 10 fois plus pour un autre diagnostiqueur.Comment s’étonner de cette situation alors même que les professionnels du diagnostic sont incapables de tous s’accorder sur la principale source de déperdition de chaleur des logements ? Effectivement, pour un même bien, le DPE d’un diagnostiqueur indique que les murs pèsent pour 49% dans la déperdition de chaleur du logement, quand celui de l’un de ses concurrents indique qu’ils ne pèsent que pour 19%.Les pouvoirs publics continuent de cautionner ces professionnelsLes professionnels contactés sont tous présents sur un site gouvernemental (2) recensant les diagnostiqueurs certifiés. Autrement dit, les pouvoirs publics qui cautionnent cette situation ont une lourde responsabilité sur le sentiment légitime de défiance existant à l’égard des DPE.La nouvelle enquête d'UFC-Que Choisir révèle que la certification n’est en rien un gage de qualité, ce qui démontre un défaut du cadre de certification mais aussi dans les contrôles de qualité des prestations réalisées par les diagnostiqueurs.Il convient de souligner que la discordance a pu être rencontrée aussi bien en ayant recours à des réseaux qu’à des indépendants… Les consommateurs sont donc aujourd’hui largement démunis pour prendre attache en toute confiance avec un diagnostiqueur.Attachée à faire du DPE un outil éclairant utilement les propriétaires sur les travaux à entreprendre, et assurant aux futurs acquéreurs ou locataires de disposer d’une information fiable sur la performance énergétique du bien immobilier, l’UFC-Que Choisir demande :De rendre opposable aux diagnostiqueurs les allégations du DPE sur les travaux recommandésDe revoir en profondeur le système de certification pour assurer aux consommateurs que le recours à un professionnel certifié est réellement gage de qualité. Notes (1) Résultats complets de l’enquête disponibles dans le numéro 617 d’octobre du magazine Que Choisir, actuellement en kiosques. (2) http://diagnostiqueurs.din.developpement-durable.gouv.fr/index.action
Il y a 2 ans et 271 jours

Les premières offres de systèmes pour l’autonomie énergétique des maisons individuelles

Au salon Interclima 2022, Porte de Versailles à Paris, Atlantic, Viessmann et d’autres industriels exposeront les premiers systèmes destinés à assurer l’autonomie énergétique en maison individuelle. ©Viessmann
Il y a 2 ans et 271 jours

Le groupe Poujoulat grandit et continue sa diversification

Poujoulat se porte bien, développe son activité bois énergie et exposera aux salons du Mondial du Bâtiment 2022 avec sa solution Réno VMC-gaz pour laquelle il a reçu un Award de l’innovation.(Photo © Poujoulat)
Il y a 2 ans et 271 jours

La piscine qui résiste à Apollon

Le président de la République demande des économies d’énergie pour éviter les rationnements cet hiver, le président du Sénat boude le CNR et inaugure la veille un nouveau centre aqualudique Castalia à Maurepas.
Il y a 2 ans et 271 jours

La FFB s'engage encore plus pour le développement des compétences dans la construction

Ce « Pact for skills in Construction » contient les engagements suivants :établir des partenariats solides, notamment avec les organismes d’enseignement et de formation professionnels (VET) ;surveiller l'offre et la demande professionnelles et anticiper les besoins en connaissances, compétences et savoir-faire ;lutter contre la discrimination ;attirer davantage de jeunes et de femmes dans le secteur ;promouvoir une culture de l'apprentissage tout au long de la vie pour tous, soutenue par des incitations adaptées.La FFB, avec la FIEC (Fédération européenne de l’industrie de la construction) et le CCCA-BTP, participe depuis le 1er janvier 2019 au projet européen « Construction Blueprint » soutenu par le programme Erasmus+. Construction Blueprint, qui réunit 24 partenaires européens et nationaux issus de 12 pays, a pour objectif de développer une stratégie sur les compétences professionnelles. Il s’agit d’identifier les besoins et attentes des entreprises en matière de compétences, notamment en lien avec les enjeux de l’efficacité énergétique, de l’économie circulaire et du numérique, ainsi que de recueillir les bonnes pratiques, nationales et régionales.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Investie de longue date dans le développement des compétences, la FFB renouvelle son engagement, aux côtés de sa fédération européenne de la construction, la FIEC. Il importe de tout mettre en œuvre pour permettre à nos entreprises de bénéficier d’une main d’œuvre qualifiée, au fait des enjeux de transitions écologique et numérique. »
Il y a 2 ans et 271 jours

Les eurodéputés veulent doubler la part des énergies renouvelables d'ici 2030

En pleine flambée des prix de l'énergie, le Parlement européen s'est prononcé mercredi pour un doublement de la part des renouvelables à horizon 2030. Cependant des ONG critiquent le maintien parmi elles de la biomasse.
Il y a 2 ans et 271 jours

Cheminées Poujoulat ensoleille sa notoriété avec un troisième parrainage météo

Pour cette troisième année consécutive de parrainage météo, les spots publicitaires du leader européen des conduits de cheminée et sorties de toit métalliques restent sur le même cap : informer les consommateurs sur l'importance d'installer un conduit de fumée de qualité pour bénéficier d'une solution de chauffage performante. Cette année, Cheminées Poujoulat décide de mettre également l'accent sur sa nouvelle solution d'aménagement extérieur : la marque Outsteel par Cheminées Poujoulat, qui propose une gamme de caches design pour pompe à chaleur et climatisation.2 spots : Cheminées Poujoulat en entré, Outsteel en sortiePendant 4 semaines, du 9 septembre au 2 octobre 2022, Cheminées Poujoulat encadrera les bulletins météo du week-end, du vendredi au dimanche, de France 2 et France 3, avec 2 spots de 12 secondes. Cette campagne TV sera également diffusée le week-end sur TV5 Monde et La Chaîne Météo.Spot d'entréeLe spot d'entrée évoque le confort d'hiver au coin du feu apporté par les solutions pour le chauffage Cheminées Poujoulat, fabricant français depuis 1950. En fin de spot, un point d'attention est porté aux téléspectateurs sur l'importance d'avoir un conduit de fumée de qualité pour bénéficier d'une solution de chauffage performante.Spot de sortieNouveauté pour la campagne TV 2022 : le spot de sortie met en lumière la toute nouvelle innovation phare développée par Cheminées Poujoulat pour l'aménagement extérieur, Outsteel. Une gamme de caches pompe à chaleur et climatisation qui s'inscrit parfaitement dans la démarche de la marque de proposer de plus en plus de personnalisation et de solutions esthétiques, plébiscitées par les consommateurs.Ancrer Cheminées Poujoulat durablement dans le quotidien des françaisDepuis 2020, Cheminées Poujoulat parraine la météo sur France 2 et France 3. En tant que marque proposant des solutions présentes dans les foyers français, qui participent au confort, le choix de ce programme s'explique par son profil fédérateur et familial. Aussi, accompagner la météo à cette période de l'année est en cohérence par rapport à l'activité chauffage.Avec cette troisième année de campagne TV, Cheminées Poujoulat continue de renforcer sa relation avec le grand public, consolidant sa notoriété d'année en année. S'adresser ainsi aux consommateurs permet non seulement de les informer des solutions existantes pour leur confort thermique, mais également de favoriser les entreprises partenaires distribuant ses produits.Cheminées Poujoulat poursuit ainsi son parcours en tant que fabricant français de référence, et dont les innovations sont régulièrement reconnues et valorisées par les professionnels du secteur.
Il y a 2 ans et 272 jours

G11 INHIBITEUR POLYVALENT

GEB a développé la gamme de produits HVAC dédiée à l'entretien des circuits de chauffage et sanitaire. La gamme HVAC de GEB est composée principalement de produits curatifs (G30 désembouant, G40 colmateur de fuites…) et de produits préventifs (G10 inhibiteur) pour traiter les installations de chauffage.
Il y a 2 ans et 272 jours

Illuminations, enseignes, éclairages, les Champs-Élysées adoptent un plan de sobriété énergétique

C’est pourquoi, sur « la plus belle avenue du monde », les horaires des illuminations, ceux des éclairages et des lumières des enseignes vont être significativement réduits. Cette décision prise par le Comité Champs-Élysées, à l’issue de son conseil d’administration du 20 septembre 2022, après consultation de l’ensemble de ses adhérents, parmi lesquels certaines des plus grandes marques mondiales et plusieurs acteurs culturels majeurs de la capitale, se veut à la fois une réponse aux recommandations du gouvernement, un accompagnement des mesures annoncées par la Ville de Paris, un appui aux dispositions que viennent de prendre plusieurs des principales entreprises de notre pays. Les Champs-Élysées, engagés pour leur rénovation dans une étude urbaine qui fait une part importante à la transition écologique, sont conscients des enjeux énergétiques, de la nécessité de les surmonter, de l’urgence à agir. Pour cela, ils ont voulu, dans une démarche, non pas de contrainte et d’obligation, mais de pédagogie et de conviction, formuler sans attendre des propositions concrètes qui conjuguent sobriété et efficacité, solidarité et rapidité.Concernant les Illuminations de Noël, deux décisions ont été prises avec le souci de faire la part tant de leur efficacité que de la volonté de conserver l’émerveillement et la « magie de Noël ». À l’instar des dispositions adoptées pour plusieurs des monuments parisiens, leur scintillement cessera à 23h45, soit 2h15 plus tôt que les années précédentes. En brillant du dimanche 20 novembre au lundi 2 janvier inclus, au lieu du dimanche 20 novembre au lundi 9 janvier, elles dureront 6 semaines contre 7 auparavant. À titre exceptionnel, elles demeureront allumées les 24 décembre et le 31 décembre.Ces choix sont importants : ils permettront de réduire de 44% la consommation d’énergie des illuminations. Cette évolution vient prolonger les initiatives déjà prises par le Comité Champs-Élysées depuis plusieurs années. En 15 ans, entre 2006 et 2021, grâce, notamment, à la mise en place d’éclairages LED, l’électricité nécessaire aux illuminations aura été diminuée de 97%. Sans évoquer les 480.000 KwH nécessaires aux illuminations jusqu’en 2006, les illuminations 2022 ne mobiliseront que 13.176 kwH, soit la consommation annuelle d’un foyer de 3/4 occupants, contre 23.400 KwH en 2021.Concernant les boutiques, les vitrines, les écrans, au terme d’un processus de concertation mené depuis la rentrée avec ses adhérents, le Conseil d’administration du Comité Champs-Élysées souhaite que les enseignes de l’avenue éteignent leur éclairage au plus tard à 22h00 et 7h00 le lendemain, au moins. Les commerces et les acteurs économiques poursuivant leurs activités au-delà (cinémas et restauration principalement) pourront naturellement dépasser cette limite. Le Comité les incite cependant à éteindre leur éclairage aussitôt qu’ils seront fermés. Cette mesure entre en application immédiatement et devra être généralisée avant le 15 octobre 2022. Les foncières, les propriétaires et les utilisateurs de bureaux des Champs-Élysées ont été invités également à se joindre ce mouvement. La durée de ce plan de sobriété énergétique sera prolongée autant que de besoin. Il fera l’objet régulièrement de points d’étape.De manière générale, le Comité Champs-Élysées incite ses adhérents à utiliser l’application gratuite et ouverte à tous, EcoWatt, éditée par RTE et l’ADEME, qui mesure, en temps réel, le niveau et le pic de consommation énergétique, à lancer des plans d’information de leurs salariés, à initier des actions de communication vers leurs clients sur les modifications des comportements individuels permettant des économies d’énergie à long terme.On l’aura compris : l’objectif du Comité est de proscrire les consommations énergétiques superflues, sans compromettre le rayonnement culturel, touristique, commercial, économique des Champs-Élysées, ni à la qualité esthétique et ludique des promenades sur l’avenue lors des périodes de fêtes. La sobriété énergétique ne doit pas être synonyme de récession économique ou d’austérité psychologique. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. La traditionnelle conférence de presse des illuminations aura lieu dans la matinée du 27 octobre : le nom du parrain ou de la marraine, le sponsor, ainsi que le nouveau design des Illuminations seront annoncés à cette occasion. Innovation dans cette communication, dans un souci d’excellence et d’exemplarité partagées, un événement marquera la première extinction des illuminations le même jour.Pour Marc-Antoine Jamet, président du Comité Champs-Elysées : « Les Champs-Élysées sont, pour le monde entier, un symbole et une vitrine, celle de Paris, celle de la France. Il était de notre devoir de nous montrer, collectivement, solidairement, exemplaires. Une semaine après avoir salué la première rotation de la barge qui transporte au cœur de la capitale, par la Seine, les matériaux indispensables à nos chantiers de réparation en cours, (trottoirs, chaussées), précurseurs discrets, mais réels, en matière d’économies d’énergie, le temps était venu, par notre action, par notre modèle, de participer concrètement et d’inciter à la sobriété énergétique. En agissant ainsi, nous avons un souhait et un espoir. Notre souhait, c’est que Paris reste une fête. Non seulement nous sommes, comme l’immense majorité des Français, soucieux de préserver l’atmosphère si particulière des fêtes de fin d’année, pour nos enfants, pour notre moral, pour nos traditions, mais nous sommes conscients de ce que notre attractivité touristique, commerciale et culturelle représente de croissance et d’emplois. Les Champs de la sobriété restent les Champs-Élysées. Mon espoir, c’est que notre célébrité soit au service de la sobriété énergétique à laquelle il faut adhérer et que nous entraînions dans notre sillage l’ensemble des comités de quartiers, des cercles d’entreprise, pour que cet esprit de frugalité se répande. Y compris dans l’excellence énergétique, les Champs-Élysées doivent être un modèle et rester premiers. »
Il y a 2 ans et 272 jours

Cap vers le pays du Soleil levant pour Colas et son revêtement photovoltaïque

INNOVATION. Colas annonce la commercialisation de sa solution de revêtement photovoltaïque Wattway au Japon. Une nouvelle étape dans son déploiement à l'international, se félicite le groupe.
Il y a 2 ans et 272 jours

Cap vers le pays du Soleil levant pour Colas et son revêtement photovoltaïque

INNOVATION. Colas annonce la commercialisation de sa solution de revêtement photovoltaïque Wattway au Japon. Une nouvelle étape dans son déploiement à l'international, se félicite le groupe.
Il y a 2 ans et 272 jours

Jérôme Pécresse, haut dirigeant de General Electric, quitte ses fonctions

"GE confirme le départ prochain de son vice-président sénior Jérôme Pécresse, qui a décidé de se consacrer à de nouveaux projets", a indiqué la direction de General Electric France, confirmant une information de l'hebdomadaire Marianne.M. Pécresse, polytechnicien, était le dirigeant mondial de l'activité énergies renouvelables, qu'il a dirigée pendant "pratiquement dix années". Il est l'époux de Valérie Pécresse, présidente Les Républicains du conseil régional d'Île-de-France et candidate malheureuse à la dernière élection présidentielle.M. Pécresse a "mené le processus d'intégration des activités énergétiques d'Alstom vendues à GE" en 2015, rappelle GE. "Il a notamment été le fer de lance du développement réussi de GE dans le domaine de l'éolien offshore, qui constituera un pilier essentiel de GE Vernova", a poursuivi l'industriel américain."Je laisserai mes responsabilités opérationnelles à la fin de septembre quand débutera la phase de transition", a indiqué Jérôme Pécresse dans une lettre aux salariés, consultée par l'AFP."Je suis fier des contributions que nous avons apportées ensemble au secteur des énergies renouvelables presque partout dans le monde", écrit-il encore, se disant "convaincu que le développement des énergies renouvelables partout dans le monde continuera à s'accélérer et que la technologie permettra d'en repousser les limites"."L'avenir des entités françaises est dans les mains des Américains", redoute Philippe Petitcolin délégué CFE-CGC (GE turbines à gaz). M. Pécresse pouvait "faire passer les messages" mais "maintenant, la France n'a plus d'interlocuteurs", a-t-il ajouté, voyant dans le départ du dirigeant "un mauvais signal"."Pour nous, il est foutu dehors", sourit Alexis Sesmat, délégué Sud Industrie à l'entité turbines à gaz de General Electric. "C'était le seul et dernier interlocuteur français pour Bercy. La dernière carte du gouvernement français est tombée".Dans l'article 4 de l'accord de novembre 2014, signé entre GE et l'État français lors du rachat de la branche énergie d'Alstom, que l'AFP a pu consulter, l'entreprise s'engage en effet "à proposer au conseil d'administration de GE, après en avoir informé l'État, l'élection au Conseil d'administration de GE d'un président-directeur général de nationalité française de premier plan".Selon Alexis Sesmat, cette annonce est faite "dans la ligne directe de la réorganisation et la scission du groupe".Fin 2021, General Electric a annoncé une réorganisation de ses activités, entraînant la scission en trois entreprises de l'énergie, du médical et de l'aéronautique."Le centre de gravité de la partie énergie n'est plus en France mais bien outre-Atlantique ", dénonce le délégué syndical. Dans l'accord de 2014, valable 10 ans, GE s'engage pourtant à localiser des centres mondiaux en France.