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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

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Il y a 2 ans et 268 jours

Malgré une récession prévue pour toute l'Europe, la FFB se veut rassurante sur l'avenir du BTP

Dans ce contexte difficile, trois observations font tout de même ressortir du positif pour l'avenir du secteur : alors que la crise des matériaux et de l'énergie sévit encore, le BTP résiste toujours,les carnets de commande restent fournis et l'année 2022 semble globalement faite,les besoins à moyen et long terme s'avèrent globalement porteurs pour le bâtiment.L'activité : un bilan contrastéConcernant le logement neuf, les tendances se confirment et le rebond dû à l'entrée en vigueur de la RE2020 et de la réglementation du HCSF laisse progressivement place à une chute à l'amont de la filière.Bien qu'une remontée des mises en chantier soit encore possible d'ici la fin de l'année avec une hausse des permis d'environ 14%, en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2022, ces permis chuteront inévitablement avec l'effondrement des ventes de plus de 26% dans l'individuel diffus et de près de 15% dans la promotion immobilière, sur le premier semestre 2022 rapporté au même semestre de 2021. Les deux prochaines années s'annoncent « périlleuses » pour le logement neuf selon la FFB.À quelques jours du dévoilement du PLF, la FFB tient à rappeler l´importance de préserver la capacité d'investissement des acteurs-clés du logement. Notamment aux bailleurs sociaux, et en particulier à Action Logement. Le groupe paritaire joue un rôle majeur au service des salariés, des entreprises et des territoires. Déséquilibrer son modèle financier par des ponctions financières constituerait un risque supplémentaire dans cette crise du logement en devenir.La situation semble inverse pour le non résidentiel où, après deux années de marasme, 2022 ressort mieux orientée. De fait, les surfaces commencées et autorisées s’affichent en progressions respectives de près de 18% et 7% en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2022.Enfin, l’activité en amélioration-entretien continue de croître, bien que sa dynamique déçoive un peu, sans doute pénalisée par un marché des CEE encalminé depuis le début de l’année. La tendance ressort proche de +2% pour l’ensemble, comme pour la rénovation énergétique. Mais il faut aussi souligner que ce segment progresse régulièrement depuis la sortie de la crise sanitaire. En cumul depuis la fin du premier trimestre 2020, hors effet prix, l’amélioration-entretien s’affiche en hausse de 6,5% et la rénovation énergétique du logement de 12,4%.L’ensemble de ces éléments, y compris les révisions à la baisse des scénarios macro-économiques, conduisent à réévaluer un peu les prévisions de la FFB pour 2022. La croissance de l’activité s’établirait à +3,8% en volume, contre +4,3% prévu début décembre 2021, principalement du fait de la moindre progression de l’amélioration-entretien.Cela signifie aussi qu’à ce jour, l’élan pris avant d’entrer dans 2023 se révélera moindre qu’espéré, alors même que les attentes relatives au secteur se renforcent, compte tenu de la guerre énergétique toujours d’actualité.Emploi : un ralentissement inquiétantAu-delà du blocage des permis de construire, l’un des principaux facteurs expliquant ce tassement réside dans l’emploi, qui peine à suivre. Certes, par rapport à la fin du premier trimestre 2020, le secteur a créé près de 80.000 postes salariés et intérimaires, auxquels il faut ajouter 17.000 artisans non salariés, soit 97.000 personnes de plus. Toutefois, ce chiffre plafonne depuis la fin 2021.Sans doute la dégradation des perspectives globales joue-t-elle un rôle dans cette stabilisation à haut niveau. Mais surtout, les difficultés de recrutement perdurent ; elles se renforcent même chez les plus de dix salariés, pour atteindre des proportions historiques : plus de quatre entreprises sur cinq déclarent en souffrir.L’emploi constitue donc un goulet d’étranglement du secteur, alors que le vivier de compétences disponibles se trouve aujourd’hui à l’étiage.La guerre de l'énergie relance la crise des matériauxLe troisième facteur de blocage, aussi important que les précédents, réside toujours dans la crise des matériaux, relancée par la guerre de l’énergie. L’hystérie sur les marchés du gaz et de l’électricité a douché tous les espoirs d’accalmie et les perspectives s’assombrissent. De fait, les fermetures de chaines de productions semblent se multiplier depuis août : produits aluminium, zinc, acier, tuiles et produits verriers, … les difficultés d’approvisionnement et les craintes de pénuries réapparaissent, sans même évoquer l’impact sur les prix de ces matériaux.Globalement, sous l’effet de ces hausses, les coûts des entreprises de bâtiment ont déjà progressé de 12% entre la fin 2020 et juin 2022, selon l’index BT01 de l’Insee. Ce n’est pourtant pas fini, d’autant que l’inflation générale pèse sur les coûts de main d’œuvre. Et cela explique que les trésoreries se tendent, alors qu’il faut ajouter à ces chocs le début du remboursement des PGE.Les assises du BTP très attenduesLes Assises du BTP doivent permettre de répondre à cette situation, en faisant notamment appel à la solidarité de filière et à la solidarité nationale.La FFB a formulé nombre de propositions lors des réunions préparatoires. Par exemple, pour les marchés publics, la simplification des conditions d’obtention d’avenants visant à compenser la hausse des matériaux sans remise en cause du marché, la pérennisation du plafond à 100.000 € pour traiter de gré à gré, le relèvement du taux d’avance minimal. D’autres suggestions relatives à la transition écologique ont également été formulées, notamment l’indexation des aides, le relèvement des obligations d'économie d'énergie pour la cinquième période des CEE ou la mise en œuvre effective de l’éco-contribution REP neuf mois après publication des tarifs, toujours inconnus à ce jour.La FFB demande donc avec force que la plénière des Assises du 22 septembre prochain soit considérée comme une nouvelle étape vers la constitution d’un véritable Conseil national de la construction et non comme une fin. De fait, les crises qui se succèdent depuis 2020 illustrent clairement le besoin d’une meilleure coordination au sein de la filière et d’une meilleure concertation avec le gouvernement.
Il y a 2 ans et 268 jours

L'installation des 80 éoliennes du parc de Saint-Nazaire est terminée

L'installation des 80 éoliennes du parc de Saint-Nazaire, qui sera le premier parc éolien en mer de France, s'est achevée lundi 5 septembre, ce qui permettra une mise en service complète d'ici la fin de l'année 2022.
Il y a 2 ans et 268 jours

20 % du volume d’eau potable perdu

Avec 117 communes privées d’eau potable, 93 départements sur 96  en alerte sécheresse cet été, et à ce jour, de nombreux départements encore soumis à des restrictions d’eau, l’actualité relance l’urgence de renouveler le patrimoine des canalisations devenu trop vétuste. Le taux de renouvellement annuel du réseau d’eau potable en France est de 0,67 %, soit, en moyenne, un renouvellement tous les 160 ans, alors que la durée de vie d’une canalisation est de l’ordre de 80 ans. Le rendement moyen des réseaux de distribution d’eau potable évalué pour l’année 2020 à 80,1 % n’est pas satisfaisant, d’autant plus que le rythme de recharge des nappes phréatiques est relativement faible. À l’échelle « France entière », cela représente 20 % du volume d’eau potable perdu, soit sur cinq litres d’eau distribués dans le réseau, qui ont été captés et traités, un litre qui n’arrive jamais jusqu’au robinet du consommateur, du fait des fuites dans les réseaux de canalisations qui tardent à être rénovés, sécurisés ou remplacés. Les Canalisateurs rappellent que des solutions existent pour mieux préserver ce patrimoine, qui invisible, n’en ait pas moins précieux et se doit d’être transmis aux générations futures. Il y a urgence à investir pour les territoires en matière de réseaux de manière curative et préventive, pour réduire enfin les fuites, diminuer ainsi les prélèvements sur le milieu aquatique naturel, éviter de gaspiller de l’énergie (pompage de l’eau, traitement pour la rendre potable) et de consommer inutilement des produits pour le traitement. Qui plus est, l’eau destinée à la consommation humaine provient de ressources de plus en plus difficiles à exploiter, parce qu’elles sont plus lointaines, plus polluées ou déjà très sollicitées. Les entreprises de canalisations mettent en œuvre toute une panoplie de solutions pour renforcer la performance et la résilience des réseaux. Travaux de remplacement des canalisations défaillantes, déploiement de l’interconnexion de l’eau potable pour relier et sécuriser les réseaux de distribution entre les communes, et réduire ainsi les inégalités entre les territoires, nouveaux moyens de stockage de l’eau ou de réutilisation des eaux usées traitées, adaptation et dépollution des réseaux d’eaux pluviales, construction d’adducteur… Cet article 20 % du volume d’eau potable perdu est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 268 jours

Un outil pour faire face aux catastrophes

Fort de son expertise dans tous les aspects du bâtiment, le CSTB a développé une méthode propre à la gestion de crise touchant le bâti. Sollicité à plusieurs reprises par les autorités pour son expertise technique lors de catastrophes qui ont touché des bâtiments, le CSTB a tiré de ces expériences une méthodologie d'accompagnement à la gestion de crise. Applicable à la majorité des crises potentielles impactant les bâtiments et leurs usagers, cette méthodologie s'appuie sur l'ensemble des compétences du CSTB, notamment en matière de structure, de risques naturels, sanitaires, d'incendie, ou de pathologies liées à l'énergie, l'environnement, ou à la mauvaise exécution ou la dégradation importante de parties d'ouvrages. Romain Mège - Directeur de Domaine d'Action Stratégique Recherche Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 268 jours

Avancement de la construction du projet Natura, première résidence bas carbone d'envergure en Occitanie

Isolation bois-paille, peinture à base d’algues ou encore chaufferie bois, sa conception est avant-gardiste et exemplaire en termes de consommation énergétique et de performance thermique.La pose d’une botte de paille de ce projet qui verra le jour fin 2023, a eu lieu sur site le jeudi 8 septembre, en présence de Mme Annette Laigneau, Adjointe au Maire de Toulouse en charge de l’Architecture Communale et Urbanisme, M. Jean-Jacques Bolzan, Adjoint au Maire, maire de quartier 6.1, Arènes Romaines, Saint-Martin-du-Touch, Purpan, les représentants d’Oppidea ainsi que les différents partenaires de Premium Promotion.Située à Saint Martin du Touch, la résidence Natura propose plus de 100 logements, du 2 au 5 pièces, répartis sur 4 plots d’habitation aux vastes surfaces extérieures.Les matériaux utilisés offrent une consommation énergétique et une performance thermique optimale qui permettent à Natura de s’inscrire dans de nombreuses démarches qualités et environnementales telles que la démarche BDO (Bâtiment Durable Occitanie) et l’appel à projet Nowatt de la Région Occitanie, et de viser des labels et certifications comme le NF Habitat HQE niveau Excellence et le E+C- niveau E3C2.Résidence bas carbone, le projet Natura répond à trois fondamentaux.Le recours aux matériaux biosourcésPour garantir un projet immobilier durable, le recours aux matériaux biosourcés est essentiel. A titre d’exemple, les façades de la résidence sont réalisées par des caissons en bois massif isolés avec des bottes de paille offrant ainsi une performance énergétique conforme aux attentes des bâtiments passifs. Le niveau d’isolation des parois est supérieur de plus de 50% par rapport aux projets RT2012 habituels. De plus, ce matériau naturel, abondant et dont le bilan environnemental est exemplaire en circuit court, offre un confort optimal l’été grâce à son déphasage important.Cette enveloppe très performante, couplée à une chaufferie bois et une pompe à chaleur communes à l’ensemble des bâtiments pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire garantissent des charges de fonctionnement extrêmement faibles.La préservation environnementale et la qualité des logementsLes toitures sont en forme de serres ce qui offre une double voire triple exposition dans chacune des pièces. Chaque logement dispose de terrasses. Enfin, la peinture utilisée dans tous les logements est écologique et à base d’algues. En cœur d’îlot, un vaste espace paysagé aux arbres centenaires préservés, des toits pour jardiner dans un potager partagé avec serre agricole commune, ou en rez-de-chaussée pour retirer des fruits et légumes bios depuis des casiers maraîchers offriront aux résidents une réelle qualité d’usage et les placeront au cœur du paysage.Le vivre ensemble et l’aménagement d’espaces partagésDes ateliers pour les jardins potagers seront proposés aux résidents pendant 2 ans afin que ces derniers puissent s’approprier les espaces communs et les faire vivre dans le temps. Enfin, les résidents pourront jouir d’un appartement polyvalent (à la fois chambre d’hôtes, lieu de rencontre des résidents ou de télétravail).« Nous construisons la ville de demain, pour un art de vivre plus pérenne et responsable » Sébastien Rue, Dirigeant – Fondateur de Premium Promotion.
Il y a 2 ans et 268 jours

Une centrale électrique flottante acheminée en Nouvelle-Calédonie par la SLN (Eramet)

La Société Le Nickel (SLN) a réceptionné le 3 septembre une centrale au fioul flottante pour sécuriser la production de son usine métallurgique de Nouméa.
Il y a 2 ans et 268 jours

Majors européens du BTP : la crise Covid est derrière eux mais...

A en croire la 11e édition de l'étude Mazars, si les acteurs majeurs du BTP, de l'énergie, de l'immobilier et des concessions ont renoué avec la...
Il y a 2 ans et 268 jours

Un nouvel outil pour mieux prendre en compte le potentiel photovotaïque des toitures

Spacemaker, plateforme de préfiguration et d'analyse d'Autodesk, propose désormais une nouvelle analyse qui permet de calculer le potentiel de production d'électricité par des panneaux solaires installés sur les toits.
Il y a 2 ans et 268 jours

Hellio et l'Ucanss s'engagent pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments de la Sécurité Sociale

Cette collaboration vise à faciliter l'obtention des primes financières CEE, permettant aux organismes de Sécurité sociale de mieux valoriser les travaux de rénovation énergétique sur leur parc immobilier. Une signature qui augure des économies d'énergie pour les bâtiments tertiaires des organismes de la Sécurité sociale à l'heure où le prix de l'énergie est une préoccupation pour tous.Rénover pour faire face à la hausse des prix de l'énergie et atteindre les objectifs du décret éco-énergie tertiaireL'institution Sécurité sociale représente plus de 4 millions de m² de surface de bureaux, avec une consommation d'énergie annuelle d'environ 540 GWh.Face à la forte hausse des prix de l'énergie et dans la perspective des objectifs de réduction des consommations d'énergie du décret éco-énergie tertiaire à atteindre (- 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040, et – 60% d'ici 2050), la rénovation énergétique apparaît comme un des leviers majeurs à actionner pour consommer moins et mieux l'énergie. D'autant plus que celle-ci bénéficie du soutien des CEE, un dispositif d'aides privées financé par les plus gros fournisseurs d'énergie (EDF, Total Energies, Engie, etc.).De nombreux organismes de Sécurité sociale projettent de réaliser des travaux d'économies d'énergie, ce qui permettra de générer des Certificats d'Économies d'Énergie qui contribuent :à la valorisation des travaux de performance énergétique,au financement de tout ou partie des travaux d'efficacité énergétique,et à l'accélération du lancement de projets grâce à des moyens financiers supplémentaires.Simplifier les démarches d'obtention des aides financières CEEGuidée par la volonté de simplifier les démarches d'obtention des financements des caisses de Sécurité sociale pour la rénovation de leurs bâtiments, l'Ucanss a choisi de s'appuyer sur l'expertise de Hellio, acteur du dispositif depuis 2008.Concrètement, Hellio accompagne l'Ucanss et les Caisses nationales de Sécurité sociale dans la détection de gisements d'économies d'énergie et réalise des préconisations techniques et d'optimisation des CEE pour les travaux de rénovation énergétique à mener. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie apporte également son aide pour le montage des dossiers CEE et le versement des primes.Cette signature annonce de nombreuses actions communes entre Hellio et la Sécurité sociale. D'une durée de 4 ans, le partenariat a été conclu pour toute la durée de la 5e période des CEE.« L'an dernier, nous nous engagions dans le programme Impulsion2021 qui a permis de sensibiliser des milliers de collaborateurs aux gestes éco-responsables et de tester des solutions techniques innovantes à gains rapides. Dans le prolongement, cette convention de partenariat signée avec Hellio nous inscrit dans une démarche durable en faveur de la transition énergétique qui est un enjeu sociétal et économique majeur » souligne Raynal Le May, Directeur de l'Ucanss.« Nos objectifs communs, grâce aux CEE valorisés par Hellio et aux travaux réalisés par la Sécurité sociale, reposent sur un triptyque essentiel pour massifier la transition énergétique : maximiser les économies d'énergie des bâtiments, travailler sur le confort thermique des usagers et collaborateurs et améliorer la valorisation du patrimoine immobilier », souligne Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 268 jours

Tension sur le granulé de bois

La situation internationale actuelle entraîne des incertitudes sur les énergies et les matières premières. Malgré ses particularités, la filière du chauffage au granulé de bois est inévitablement impactée en termes de prix et d’approvisionnement. Grâce à l’extension de certaines lignes de production et la construction de nouvelles usines de granulation, la filière prévoit 1 million de tonnes supplémentaires réparties entre 2021 et 2024 et un doublement de la capacité de production d’ici 2028. L’an dernier, la France a consommé 2,4 millions de tonnes de granulés, dont 400 000 tonnes importées. Avec la guerre en Ukraine, les livraisons depuis la Russie ou la Biélorussie ont cessé. Pour pallier à la pénurie qui se profile, les distributeurs appellent à ne pas acheter plus que nécessaire pour se chauffer cet hiver.   Photo : Gérard Cottet/Propellet  
Il y a 2 ans et 269 jours

Face à la crise énergétique, les piscines de Paris seront fermées "en dernier recours"

La fermeture partielle ou totale des piscines, équipements très énergivores, "sera le dernier recours si on n'a pas d'alternatives", a répondu Pierre Rabadan, interrogé par l'AFP sur cette éventualité après l'annonce lundi par la maire PS Anne Hidalgo, lors d'un séminaire de rentrée, de la nécessité d'économiser 250 millions d'euros pour boucler le budget. Le même jour, une trentaine de piscines publiques françaises gérées par l'exploitant privé Vert Marine fermaient brutalement, l'entreprise affirmant ne plus pouvoir faire face à l'augmentation des prix de l'énergie.Parmi celles-ci, l'espace Pailleron (XIXe), nouvellement exploité par Vert Marine, est resté fermé jeudi, jour de sa réouverture programmée.La mairie "a été mise devant le fait accompli, on est clairement sur une position de chantage", fustige Pierre Rabadan pour qui "d'autres solutions étaient possibles" et qui garde l'objectif de faire rouvrir "dans les meilleurs délais" l'équipement sportif.Pour les piscines qu'elle gère directement, la mairie n'envisage "pour l'instant" pas de réduction d'horaires voire de fermeture "parce qu'on tient aux équipements sportifs", affirme l'élu en rappelant que la Ville bénéficie d'un "coût de l'électricité encadré jusqu'à fin 2023"."Mais si la crise devait durer plusieurs mois, la question devrait se poser à un moment", prévient l'ancien rugbyman qui anticipe des "surcoûts massifs de plusieurs dizaines de millions d'euros" pour la ville.En attendant, la mairie cherche des solutions pour "diminuer la consommation énergétique des équipements sportifs, en particulier des piscines", explique-t-il.Outre les travaux lourds, des aménagements "à plus court terme" vont être entrepris pour améliorer la "régulation de la température en fonction de la température extérieure", la conservation de la chaleur ou encore la filtration de l'eau, détaille M. Rabadan.Paris compte 42 piscines publiques, la grande majorité en régie et trois, dont Pailleron, en délégation de service public (DSP).Les élus parisiens doivent par ailleurs débuter le 15 septembre les discussions avec les organisations syndicales des maîtres-nageurs, dont les grèves spontanées ont engendré des fermetures inopinées de piscines depuis plusieurs mois.Selon Pierre Rabadan, 3 à 4 piscines se sont retrouvées fermées en moyenne par jour en juillet, puis 1 à 2 en août. Mais avec 300.000 visiteurs en juillet, les piscines parisiennes ont retrouvé des niveaux de fréquentation pré-Covid, se réjouit la mairie.
Il y a 2 ans et 269 jours

Deux recours déposés contre le projet de parc éolien au large de l'île d'Oléron

ENVIRONNEMENT. Préoccupées par la conservation des oiseaux et les capacités de pêche locale, des organisations non gouvernementales et la mairie de Saint-Pierre-d'Oléron ont annoncé avoir déposé deux recours gracieux pour faire modifier un projet de parc éolien prévu au large de l'île d'Oléron.
Il y a 2 ans et 269 jours

"Plus de 200.000 artisans ont vu leur formation prise en charge", C. Gillet (Feebat)

FORMATION. Lancé en 2007 dans le cadre du dispositif des certificats d'économie d'énergie (CEE), le programme Feebat ambitionne d'accompagner les professionnels du bâtiment pour les faire monter en compétences dans le domaine de la rénovation énergétique. Catherine Gillet, qui pilote le programme, dresse un point d'étape du dispositif et précise ses ambitions futures.
Il y a 2 ans et 269 jours

Face à la sécheresse les Canalisateurs alertent sur l’urgence de renouveler et de sécuriser les réseaux d’eau

À l’heure où préserver la ressource en eau est devenu un enjeu écologique crucial, directement lié au changement climatique, un gaspillage d’1 milliard de m 3 chaque année n’est plus soutenable. Les Canalisateurs rappellent que des solutions existent pour mieux préserver ce patrimoine, qui invisible, n’en ait pas moins précieux et se doit d’être transmis aux générations futures.L’impératif de renouveler plus rapidement les réseaux d’eauLe taux de renouvellement annuel du réseau d’eau potable en France est de 0,67%, soit, en moyenne, un renouvellement tous les 160 ans, alors que la durée de vie d’une canalisation est bien inférieure, de l’ordre de 80 ans. Le rendement moyen des réseaux de distribution d’eau potable évalué pour l’année 2020 à 80,1% n’est pas satisfaisant, d’autant plus que le rythme de recharge des nappes phréatiques est relativement faible.À l’échelle « France entière », cela représente 20% du volume d’eau potable perdu, soit sur cinq litres d’eau distribués dans le réseau, qui ont été captés et traités, un litre qui n’arrive jamais jusqu’au robinet du consommateur, du fait des fuites dans les réseaux de canalisations qui tardent à être rénovés, sécurisés ou remplacés.Le devoir d’une meilleure gestion et connaissance patrimonialeC’est une réelle gestion patrimoniale, à commencer par l’inventaire détaillé des réseaux, qui permet, notamment, de cibler les investissements les plus efficaces et rentables. Mais, avec un indice de connaissance et de gestion patrimoniale (ICGP) qui s’élève à 100 points sur 120 pour les réseaux d’eau potable, la connaissance n’est que parcellaire.Cette moyenne cache aussi des disparités : toutes années confondues, environ la moitié des services d’eau potable, qui ne sont à priori pas ceux qui ont la meilleure connaissance et gestion de leur patrimoine, n’ont pas renseigné l’ICGP dans la base de données Sispea, et 10% des services d’eau potable disposent d’un indice inférieur à 40 points (le plus souvent des petites collectivités rurales).Une dépréciation du patrimoine plus rapide que son renouvellementCes dernières années, bien que la capacité d’autofinancement des collectivités soit restée stable, les investissements se sont, eux, orientés à la baisse, créant une dépréciation du patrimoine plus rapide que son renouvellement. Le déficit d’investissement pour les réseaux d’eau et d’assainissement est estimé à près de 2 Mds € par an. Et, si l’on n’agit pas très rapidement, les travaux de renouvellement coûteront à l’évidence plus cher.Les Canalisateurs, des acteurs engagés pour inscrire la problématique de l’eau au cœur du changement climatiqueIl y a urgence à investir pour les territoires en matière de réseaux de manière curative et préventive, pour réduire enfin les fuites, diminuer ainsi les prélèvements sur le milieu aquatique naturel, éviter de gaspiller de l’énergie (pompage de l’eau, traitement pour la rendre potable) et de consommer inutilement des produits pour le traitement. Qui plus est, l’eau destinée à la consommation humaine provient de ressources de plus en plus difficiles à exploiter, parce qu’elles sont plus lointaines, plus polluées ou déjà très sollicitées.Pourtant, les entreprises de canalisations mettent en œuvre toute une panoplie de solutions pour renforcer la performance et la résilience des réseaux, leur capacité à anticiper et à s’adapter au changement climatique, à limiter les prélèvements sur la ressource, en particulier sur les territoires où elle est soumise à un stress hydrique important.Travaux de remplacement des canalisations défaillantes, déploiement de l’interconnexion de l’eau potable pour relier et sécuriser les réseaux de distribution entre les communes, et réduire ainsi les inégalités entre les territoires, nouveaux moyens de stockage de l’eau ou de réutilisation des eaux usées traitées, adaptation et dépollution des réseaux d’eaux pluviales, construction d’adducteur…, c’est une multitude de solutions efficientes qui sont mises en œuvre par les entreprises de canalisations.Les Canalisateurs soutiennent et développent aussi des innovations technologiques pour mieux surveiller les réseaux d’eau, par un système de canalisations connectées à l’aide de puces, pour faciliter la détection de fuites et anticiper une détérioration complète. Pour repérer les fuites, d’autres dispositifs sont également déployés, dont la recherche par gaz traceur, par électroacoustique ou par des chiens renifleurs.Mais, trop de ces travaux, qui permettraient de lutter efficacement contre les fuites, tardent toujours à être réalisés. Et ce, malgré l’engagement de longue date des Canalisateurs, notamment, pour accompagner la mise en place des inventaires du patrimoine et des Chartes qualité de l’Astee et pour sensibiliser toutes les parties prenantes du secteur de l’eau à cette problématique.Pour Pierre Rampa, président des Canalisateurs : « Le combat mené par les Canalisateurs pour prioriser les travaux de renouvellement et de sécurisation des réseaux d’eau fait aujourd’hui particulièrement sens et ne manque pas de relancer le débat. Nos entreprises, nos métiers ont un rôle de premier plan à jouer pour améliorer leur gestion patrimoniale, assurer un fonctionnement hydraulique optimal, pour maintenir la qualité et pérenniser les infrastructures de canalisations. Espérons qu’à l’épreuve de cette sécheresse historique toutes les solutions, qui concourent à offrir aux citoyens un approvisionnement de qualité en eau, seront enfin durablement déployées sur tous les territoires. La Profession publiera prochainement les résultats des travaux réalisés par ses 80 délégués territoriaux, avec l’association La Fresque du Climat, pour agir face au changement climatique. »
Il y a 2 ans et 269 jours

La croissance devrait atteindre 0,3% au troisième trimestre, selon les prévisions de la Banque de France

En dépit d'un niveau très élevé d'incertitude lié notamment à la crise énergétique, "l'activité continue globalement de résister", selon les résultats de la dernière enquête de conjoncture réalisée par la banque centrale.L'Insee a de son côté prévu mercredi une croissance légèrement inférieure, de 0,2%, au troisième trimestre."L'activité a été un peu meilleure qu'attendu au cours du mois d'août", a déclaré le directeur général de Banque de France, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.L'activité progresse dans les services marchands, les loisirs et la restauration, tout comme le conseil et la programmation. Mais la location de matériels et d'automobiles recule en raison de problèmes d'approvisionnement, détaille la note de conjoncture.Dans le bâtiment, l'activité est "quasi-stable" et elle progresse légèrement dans l'industrie, où elle connaît une évolution contrastée selon les secteurs.L'activité progresse ainsi dans les produits informatiques et électroniques, tout comme dans l'habillement, mais elle recule dans les industries chimique, pharmaceutique, le bois et le papier.L'agro-alimentaire progresse aussi légèrement. Les chefs d'entreprise interrogés par la Banque de France "ne mentionnent pas à ce stade d'impact significatif des mauvaises conditions climatiques", à savoir la sécheresse, "sur la production au cours du mois d'août" pour ce secteur.Pour le mois de septembre, "les chefs d'entreprise s'attendent à une progression de l'activité dans la plupart des secteurs", selon la note.La situation des carnets de commande est stable dans l'industrie et "se dégrade dans le bâtiment", en restant cependant supérieure à sa moyenne sur quinze ans.Les difficultés d'approvisionnement diminuent mais concernent encore une entreprise sur deux dans l'industrie (51%) et un peu moins dans le bâtiment (43%)."Ce repli correspond à ce qu'on voit au niveau mondial", commente Olivier Garnier.À l'inverse, au niveau des difficultés de recrutement, le directeur de la Banque de France n'observe "pas de baisse significative".Enfin, la pression inflationniste diminue mais "le tassement que l'on voit dans les prix à la production va mettre du temps à se voir dans les prix à la consommation", estime M. Garnier.La Banque de France révisera le 15 septembre sa projection de croissance pour l'ensemble de l'année 2022, ainsi que pour 2023 et 2024.
Il y a 2 ans et 269 jours

Avant 1ère Interclima 2022 : Evolution & révolution avec testo 300 nouvelle génération et testo 316

Nécessitant des process de plus en plus complexes, le travail quotidien des professionnels du chauffage et de la climatisation est de plus en plus exigeant. Pour les aider, TESTO a souhaité rendre la technique de mesure encore plus simple. C’est ainsi que le leader mondial des appareils de mesure dévoile au salon INTERCLIMA deux innovations majeures au service de la facilité et de l’efficacité de travail des acteurs du génie climatique. Intuitif, le nouvel analyseur de combustion testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION réalise à l’aide des Smart Probes sans fil du fabricant des mesures de combustion, en un temps record, pour déterminer jusqu’à 4 paramètres en même temps (pression, température, …). Sans alternative sur le marché, la nouvelle série testo 316, avec son modèle révolutionnaire testo 316-2-EX, assure, quant à elle, la détection fiable et combinée des fuites de gaz et des gaz réfrigérants dans les installations de chauffage et de pompes à chaleur. testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION, des mesures sans fil en simultané et en un temps record. Doté des mêmes qualités de précision et de robustesse que testo 300 (écran tactile intuitif Smart-touch, …), l’analyseur de combustion testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION bénéficie d’évolutions technologiques majeures au service de l’efficacité. Le nouveau connecteur testo Bluethooth® permet au testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION de réaliser, parallèlement à l’analyse de combustion, des mesures sans fil de quatre paramètres supplémentaires en se connectant en même temps aux trois Smart Probes suivantes : • testo 115i pour la mesure des températures aller-retour, • testo 510i pour la mesure de la pression de gaz dynamique et statique, • testo 915i pour la mesure de la température de l’air comburant. Toutes les données s’affichent à l’écran et sont lancées et arrêtées simultanément. Pratique, testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION se connecte automatiquement à l’Appli mobile testo Smart, via Bluetooth, sur smartphone et tablette afin de dupliquer en direct sur le terminal mobile, des valeurs de mesure, y compris celles des Smart Probes. Grâce à cette fonction de double écran et à la documentation aisée via l’App testo Smart, le technicien dispose de toutes les mesures importantes, même en cas de distance élevée entre l’appareil et la commande du brûleur. Les données pour la documentation et la création ainsi que l’envoi des protocoles par e-mail sont intégrés dans l’App testo Smart. Evitant des erreurs de transfert, toutes les valeurs enregistrées sur l’analyseur testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION sont envoyées dans le logiciel spécifique de l’utilisateur à l’aide du nouveau QR code, par l’interface programmée au préalable. Plus rapide et plus simple à utiliser, l’analyseur testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION facilite la mesure de combustion dans les installations de chauffage. testo 316-2-EX, premier capteur au monde, deux-en-un, pour la détection combinée des fuites de gaz et fluides frigorigènes Toujours dans un même souci d’efficacité, Testo lance sa nouvelle série de détecteurs de fuite de gaz testo 316 composée de 4 appareils couvrant tous les besoins et domaines d’utilisation, de la petite à la grande installation industrielle. Dans cette nouvelle gamme, testo propose une innovation révolutionnaire : le premier capteur au monde deux-en-un testo 316-2-EX qui localise, sans changer de détecteur, aussi bien les fuites de gaz combustibles que celles des fluides frigorigènes présents dans les pompes à chaleur. testo 316-2-EX offre aux professionnels des fonctions de pointe : • dotée d’une protection antidéflagrante certifiée ATEX, il est particulièrement adapté aux milieux dont les exigences en matière de sécurité sont élevées. • en cas de fuite, des alarmes sonores et visuelles se déclenchent grâce notamment à l’indicateur à LED multicolore (vert, jaune, rouge) sur la tête du capteur. • grâce au mode de précision et à l’identification automatique des types de gaz et fluides les plus courants, testo 316-2-EX rend la détection des fuites encore plus simple et fiable. • la sonde flexible facilite la mesure même dans les endroits difficilement accessibles. • les valeurs de concentration des gaz en ppm ou en pourcentage LEL (limite inférieure d’explosivité) peuvent être appelées, documentées et affichées sur Smartphone et tablette via l’App testo Smart. testo 316, une gamme de détecteurs de fuite de gaz polyvalente Complète, la série testo 316 se compose de trois autres appareils adaptés à chaque besoin : • testo 316 i, connecté et tout simplement SMART, idéal pour localiser des fuites au niveau des conduites de gaz ; • testo 316-1, équipé d’un écran et tout simplement EASY, pour faciliter l’identification, la localisation des fuites et même la lecture des valeurs de concentration en ppm ou en pourcentage LEL ; • testo 316-1-EX, tout simplement SAFE, doté de fonctions avancées et adaptées aux installations de gaz combustibles dans lesquelles les exigences en matière de sécurité sont élevées : protection antidéflagrante (UE) certifiée selon ATEX. Grâce à ses nouveaux appareils connectés testo 300 NOUVELLE GÉNÉRATION et testo 316 qui augmentent l’efficacité des brûleurs et des chaudières par une combustion optimale et sans perte de gaz, Testo offre à tous les acteurs du génie climatique de précieux avantages. Les installateurs et les spécialistes de la maintenance bénéficient ainsi de techniques de mesure simplifiées. Les exploitants, quant à eux, réalisent des économies, ce qui est indispensable à l’heure où le coût de l’énergie et des matières premières explosent. Parallèlement au lancement de ces nouveautés, testo accompagne les professionnels par de nombreux services : formations, réparation, maintenance et étalonnage. http://www.testo.com
Il y a 2 ans et 269 jours

Une nouvelle pompe à chaleur air/eau Daikin pour préparer l'hiver sans énergie fossile

Cette gamme présente la particularité d'être compacte, performante et silencieuse.Venant remplacer la gamme Daikin Altherma M en taille 5 et 7, cette solution est idéale pour les projets de construction neuve (notamment pour les petites tailles) comme pour les programmes de rénovation lors du remplacement/relève des chaudières non condensation (gaz ou fioul) et le remplacement d'une ancienne PAC Air/Eau Monobloc.Groupe Monobloc tout en unLe groupe extérieur de la nouvelle gamme Daikin Altherma 3 M disponible de la taille 4 à 8 dispose d'une grille de ventilation avec un habillage blanc.La pompe à chaleur Daikin Altherma 3 M Moyenne Température à 55°C est disponible en chauffage seul ou en version réversible (chauffage et rafraîchissement), uniquement en version monophasée. La gamme dispose aussi d'un appoint électrique 3kW integré de série.Elle peut être connectée à des radiateurs basse et moyenne température, à un plancher chauffant ou chauffant/rafraîchissant (en cas de solution réversible) ou à des ventilo-convecteurs (qui fonctionnent en chauffage et en rafraîchissement).Tous les composants nécessaires au fonctionnement de ce système sont intégrés dans le groupe extérieur, libérant l'espace intérieur de toute installation, à l'exception d'un ballon d'eau chaude sanitaire ou d'un chauffe-eau thermodynamique ou solaire si cette option est retenue.Daikin offre la possibilité d'installer le groupe extérieur en-dessous d'une fenêtre pour gagner encore davantage en discrétion. Grâce à son monoventilateur dissimulé et ses couleurs sobres, l'appareil se fond aisément dans le décor, et se fait également oublier sur le plan acoustique avec une pression sonore à partir de 36 dB(A) à 5 m.Compact et discret, il présente aussi l'avantage de faciliter les opérations de maintenance des installateurs grâce à l'intégration d'une plaque rotative sur le devant du groupe afin de simplifier l'accès à la platine électronique.Réponds aux objectifs de neutralité carboneEn fonctionnant en mode chauffage l'hiver comme en mode rafraîchissement l'été, la nouvelle série de la gamme Daikin Altherma 3 M est proposée avec le label énergétique allant jusqu'à A+++ (fonctionnement à 35°C). Le confort est aussi assuré en hiver, avec une température de sortie d'eau à 55°C jusqu'à des températures extérieures de -15°C, et un fonctionnement garanti jusqu'à -25°C.Le système fonctionne au réfrigérant R-32, fluide ayant un potentiel de réchauffement planétaire 3 fois plus faible que le R-410a (ancien fluide équipant les PAC Daikin Altherma) et favorisant la décarbonisation de nos équipements de chauffage. De plus, le R-32 permet également de réduire la quantité de fluide nécessaire au fonctionnement du système, comparativement au R-410a.De tels atouts permettent à la gamme Daikin Altherma 3 M de correspondre en tous points aux exigences de la Règlementation Environnementale 2020 pour favoriser les constructions bas carbone. De plus, le système est éligible aux aides en faveur de la rénovation énergétique, qui sont cumulables et fonction des revenus des foyers (Ma Prime Renov' – CEE – des aides régionales…).Contrôle et connectivitéComme pour l'ensemble de sa gamme de pompes à chaleur air/eau Daikin Altherma de 3 ème génération, la solution monobloc bénéficie des mêmes avantages grâce à sa connectivité au Cloud Résidentiel Daikin. Grâce à une carte WLAN (livrée de série) et une connexion sans fil sécurisée, l'utilisateur final à un accès simplifié à différents services connectés.Il peut aisément piloter sa pompe à chaleur Daikin Altherma 3 M Monobloc depuis son smartphone ou sa tablette, à domicile ou à distance, au moyen de l'application « Onecta ». Elle permet de faire fonctionner le système de chauffage, de définir des programmations, de commander les températures en temps réel et de suivre les consommations.Un des services connectés permet aussi le pilotage par la voix via les assistants vocaux « Amazon Alexa » et « Google Assistant » grâce à des consignes claires telles que « OK Google, allume la pompe à chaleur ».Daikin s'est associé avec Somfy, Niko et Sowee afin de renforcer son eco-système de maison connectée. Le contrôle et le pilotage du système de chauffage (marche/arrêt – fonction mode boost ECS…) s'effectuent très facilement.Avec l'achat de la PAC Daikin Altherma 3 M, le particulier est invité à s'inscrire sur la plateforme standbyme.daikin.fr (http://standbyme.daikin.fr/), développée par Daikin, pour lui offrir la possibilité de souscrire à la garantie 10 ans pièces.L'installateur peut, quant à lui, souscrire à un nouveau service : DCS Residential. Une fois l'installation du client utilisateur reliée au cloud résidentiel Daikin et l'enregistrement de l'unité sur Stand By Me, l'installateur peut, par la suite modifier les paramètres à distance (fonction Marche/Arrêt, activation du mode boost ou alors réglage de la température de sortie d'eau).A l'intérieur du logement, la télécommande design « Madoka » (disponible en blanc, gris ou noir) se fixera facilement et discrètement au mur (85 x 85 mm) et permettra de contrôler un large nombre de fonctionnalités.
Il y a 2 ans et 269 jours

Rehau Window Solutions et AGC Glass Europe partenaires pour développer des portes et fenêtres avec du verre isolant sous vide

Zoom sur la fenêtre du futur REHAU Window Solutions et AGC Glass Europe franchissent une étape stratégique, le 20 juillet dernier à Erlangen (siège social de REHAU), dans le développement et la commercialisation de solutions innovantes et d'avenir pour les fenêtres avec vitrage isolant sous vide. Ces deux leaders mutualisent leur savoir-faire et leur expertise technique pour proposer des solutions complètes et durables, apportant une meilleure efficacité énergétique, un niveau de confort plus élevé et une recyclabilité optimale. Une solution pérenne qui répond aux attentes du marché et aux défis énergétiques Pour Frank Zimmermann, CTO de REHAU Window Solutions : « Nous nous réjouissons de cette collaboration très réussie entre deux leaders de l'innovation. REHAU Window Solutions franchit ainsi une nouvelle étape cohérente sur le chemin de la croissance que nous poursuivons activement avec nos clients et nos partenaires dans le but de toujours oser la différence et booster notre business. » Une fenêtre à la pointe de la technologique, toujours plus écologique Fortement engagée en faveur du développement durable, REHAU a mis en place, depuis de nombreuses années, un système de recyclage de chutes de production pour les réintégrer dans la fabrication de nouveaux profilés de fenêtres EcoPuls (contenant entre 40 et 75% de matière première recyclée). En utilisant de la matière première recyclée issue notamment des fenêtres en fin de vie, REHAU réduit de plus de 88% les émissions de CO2 liées à la production*, soit 97.000 tonnes de CO2 en moins. Leur approche unique de recyclage EcoPuls représente un concept de durabilité inégalé dans l'industrie. Le vitrage isolant ultra-mince sous vide FINEO d'AGC Glass Europe (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) contribue également à atteindre des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. Grâce à son faible poids (jusqu’à 4 fois plus léger et plus fin qu’un triple vitrage traditionnel), ce nouveau vitrage représente un véritable avantage dans les phases de production et d'installation. Le vitrage plus fin et les valeurs de performances énergétiques plus élevées, se traduisent par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. La construction monolithique, composée exclusivement de verre, permet un recyclage simple et complet de la vitre FINEO, qui est donc 100% recyclable.Pour Serge Martin, CEO de FINEO Glass : « Nous sommes très enthousiastes quant à cette collaboration avec REHAU. Ce développement conjoint apportera des solutions parfaitement en phase avec les attentes du marché, à travers des produits innovants, économes en énergie et durables. » La combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide FINEO permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. Une deuxième collaboration entre REHAU et AGC Glass Europe pour le marché Français Nous sommes heureux d’annoncer une nouvelle collaboration entre CLARA by AGC et REHAU France, visant à combiner le design unique en verre Clara avec les avantages d’un cadre de fenêtre en PVC de la marque REHAU. Grâce à ce nouveau partenariat nous accélérerons la sortie sur le marché d’une des fenêtres les plus modernes de sa génération dans un matériau 100% recyclé et recyclable. La fenêtre Clara by Rehau est en cours de développement et sera disponible en 2023 sur le marché Français.
Il y a 2 ans et 269 jours

3 innovations qui pourraient révolutionner la production d’électricité solaire

Il n’est plus temps de tergiverser ! Les énergies renouvelables sont nécessaires dans le mix énergétique pour préparer nos nations à devenir plus résiliente et autonome face aux énergies fossiles. Les chercheurs du monde entier l’ont bien compris et rivalisent d’innovations, dont certaines pourraient changer la donne sur des panneaux photovoltaïque qui ont déjà vu leur […]
Il y a 2 ans et 271 jours

Paris devrait annoncer prochainement un plan de sobriété énergétique

"La sobriété énergétique, la protection des Parisiens et l'accélération de la transition énergétique" sont les trois priorités actées par la maire et sa majorité de gauche lors d'un séminaire de rentrée lundi, a résumé Dan Lert (EELV) en inaugurant dans le XIIe arrondissement des panneaux solaires permettant de couvrir la consommation annuelle d'une douzaine de foyers."C'est peu, pour Paris, mais c'est déjà ça", a résumé Patrick Gèze, président d'Enercitif, une "coopérative citoyenne d'énergies renouvelables" avec laquelle la ville a réalisé ces dernières années 15 projets de panneaux photovoltaïques sur les toits de ses bâtiments publics.En tout, Paris compte actuellement environ 500 installations photovoltaïques, dont un quart sur des bâtiments de la mairie.Selon Dan Lert, la capitale est actuellement alimentée à 21% par les énergies renouvelables, dont 7% qu'elle produit elle-même. "Notre objectif, c'est 45% en 2030, dont 10% produits localement", rappelle-t-il."La marche est très haute, il ne faut pas se le cacher", concède l'élu, qui appelle le gouvernement à faire un "choix clair" en stabilisant un environnement juridique jusqu'ici "mouvant" et en facilitant les "contrats directs avec les producteurs d'énergies renouvelables" et "la massification de l'auto-consommation", soit une production solaire directe pour les habitants ou usagers de l'immeuble.A travers un nouveau programme, la Ville va lancer sur 12.000 m2 de surface 15 autres centrales d'énergie solaire, dont 3 en 2023, a-t-il annoncé.Sur la rénovation énergétique, M. Lert a rappelé que la ville avait "triplé les budgets" pour la rénovation énergétique des bâtiments, à travers un nouveau plan de près de 60 millions d'euros pour un objectif ambitieux de 40.000 logements rénovés par an à l'horizon 2030.Le deuxième Plan Climat parisien voté en 2018 vise à faire de la capitale une ville neutre en carbone en 2050.
Il y a 2 ans et 272 jours

Sobriété énergétique : réunion du groupe de travail "Industrie"

Pour bâtir ce plan, la méthode du gouvernement s’est appuyée sur deux piliers : l’anticipation et la concertation. La Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le 23 juin dernier, lors d’un déplacement dédié à la crise énergétique, le lancement d’un plan de sobriété énergétique pour réduire de 10% notre consommation, première marche avant une réduction de 40% d’ici 2050.Pour y parvenir, plusieurs groupes de travail ont été initiés par le ministère de la Transition énergétique, en mobilisant l’ensemble du Gouvernement : « Etat exemplaire » (29 juin avec Stanislas Guérini), « Entreprises et organisation du travail » (1er juillet avec Olivier Dussopt), « Etablissements recevant du public et les grandes surfaces commerciales » (7 juillet avec Olivia Grégoire), « Logement » (27 juillet avec Olivier Klein), « Collectivités territoriales » (28 juillet avec Christophe Béchu et Caroline Cayeux), « Numérique et télécommunications (28 juillet avec Jean-Noël Barrot),« Sports » (30 août avec Amélie Oudéa-Castéra) et « Transports » (6 septembre avec Clément Beaune).Le lancement du groupe « Industrie » s’inscrit dans ce cadreA cette occasion, les ministres Agnès Pannier-Runacher et Roland Lescure ont rappelé la nécessité d’une mobilisation collective pour faire la chasse au gaspillage énergétique. Dans le contexte de crise que nous traversons, la réussite du plan de sobriété permettra d’éviter les mesures contraignantes. A plus long terme, la sobriété énergétique sera fondamentale pour atteindre nos objectifs climatiques.Les pistes évoquées par le groupe de travailLes premières réflexions issues du groupe de travail « Entreprises et organisation du travail », qui a été lancé le 1er juillet et réunit les organisations syndicales et patronales, ont été partagées par le Medef dans la perspective de diffuser les bonnes pratiques parmi les industriels. Ces mesures de bon sens concernent, au premier chef, le chauffage qui doit être fixé à 19°. Elles portent également sur les outils de mesure, de suivi et de pilotage des consommations énergétiques. Elles concernent enfin la gestion de l’éclairage, dont l’optimisation peut entraîner jusqu’à 70% de dépenses en moins ; les transports, pour favoriser la mobilité durable ; mais également la sensibilisation aux écogestes, notamment en matière d’usages numériques.Au-delà des mesures transverses sur les bâtiments tertiaires discutées dans d’autres groupes de travail, les mesures de sobriété énergétique propres au secteur industriel portent sur les processus industriels mais aussi les chaînes logistiques ou encore l’organisation du travail au sein des entreprises.Concernant les processus industriels, le comité stratégique de filière « Nouveaux systèmes énergétiques » a présenté l’initiative « IDécarbone » qui réunit les porteurs de solutions capables d’organiser la sobriété des industriels. L’initiative vise à référencer des solutions de décarbonation et à mettre en relation les professionnels et les entreprises souhaitant décarboner leurs sites industriels. La 1ère rencontre nationale entre les porteurs de solution et les industries est prévue le 10 octobre 2022.La Fédération des Industries Ferroviaires (FIF) a souligné, de son côté, que l'innovation pouvait être source de sobriété, prenant l’exemple du TGV du futur, plus économe, qui optimise et récupère l’énergie de freinage.Plusieurs acteurs du secteur ont également fait part de leur volonté de mieux partager les bonnes pratiques, dont l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) auprès des 42 000 entreprises qu’elle représente.Enfin, France Logistique a présenté plusieurs axes de travail pour optimiser les distances parcourues dans les entrepôts, mutualiser les moyens de transport, tout en rappelant l’urgence de décarboner les véhicules en investissant davantage dans la transition des flottes diesel de poids-lourds.Hausse des prix de l’énergieAu-delà du plan de sobriété énergétique, cette réunion a aussi permis aux ministres de partager le plan du gouvernement de sécurisation des approvisionnements en gaz et en électricité pour cet hiver, et de rappeler leur volonté de protéger les industries.Pour faire face au choc de l’énergie, un diagnostic fin des enjeux est nécessaire. Les industriels ont été invités à préciser dans quelle mesure ils sont exposés à la hausse des prix, en particulier au regard de la perte de compétitivité à l’international.Les ministres ont rappelé les premières mesures de soutien aux industriels affectés par cette hausse des prix, notamment la prolongation et la simplification de l’aide « gaz et électricité » destinée aux entreprises grandes consommatrices de gaz et d’électricité. Les services déconcentrés de l’Etat sont mobilisés pour accompagner les entreprises qui rencontrent des difficultés.Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Comme l’Etat, les entreprises - y compris industrielles - prendront toute leur part dans la réduction de notre consommation d’énergie. Mais je le rappelle : la sobriété, c’est la chasse au gaspillage, c’est l’attention au chauffage, à l’éclairage, ce n’est pas demander aux entreprises de baisser leur production ou leur activité. Il s’agit d’efforts collectifs, proportionnés et raisonnables. La réussite de ce plan nécessitera la mobilisation de tous. »Pour Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie : « Ce diagnostic sera particulièrement précieux pour renforcer l’action des autorités française auprès de l’Union européenne pour protéger l’industrie française et européenne, et pour se doter des outils en France qui permettront de soutenir au plus juste l’appareil productif. »
Il y a 2 ans et 272 jours

Les écologistes critiquent vertement Anne Hidalgo et sa gestion très décevante de Paris

"Pour l'instant, on nous propose simplement un budget de récession. Ce n'est pas admissible." Fatoumata Koné, la présidente du groupe écologiste au Conseil de Paris, n'a pas mâché ses mots vis-à-vis de l'exécutif parisien après un séminaire pendant lequel, selon elle, "rien n'a été conclusif".Les Verts, alliés indociles qui comptent désormais 28 conseillers (sur 163) et 7 adjoints (sur 32) avec les ex-Génération.s, n'ont toujours pas obtenu le programme d'investissement de la mandature (PIM) qu'ils réclament depuis des mois pour financer, en priorité notamment, la transition écologique de la ville. Pomme de discorde supplémentaire: forcée de trouver des solutions pour boucler un budget plombé par la crise sanitaire puis la crise énergétique, Anne Hidalgo "a annoncé la nécessité de faire une économie de 250 millions d'euros" dans les finances de la ville, a indiqué Mme Koné."On ne va pas couper dans le gras comme ça, à l'aveugle, ce n'est pas responsable", a-t-elle fustigé.D'autant que ce montant, souligne à l'AFP Jérôme Gleizes, l'un des vice-présidents du nouveau groupe, "sera sans doute à réévaluer en fonction des prix de l'énergie".Même si écologistes et socialistes sont d'accord sur deux priorités, "le climat et le social", "pour le moment cette confiance, elle n'est pas là", a asséné Fatoumata Koné qui a également repositionné son groupe comme étant frontalement opposé au projet de rénovation de la porte de Montreuil (XXe), acté lors de la précédente mandature.Attribué au promoteur Nexity, ce projet, qui prévoit la transformation d'un grand rond-point inhospitalier en place végétalisée, et l'édification d'un immeuble au-dessus du périphérique, est un "non-sens" pour Mme Koné et les écologistes, opposés aux constructions aux abords de l'anneau routier."Pourquoi détruire des arbres sur de la pleine terre pour mettre de faux arbres ?", s'est interrogé Jérôme Gleizes, en référence aux 76 arbres déjà abattus pour les travaux. L'élu a également jugé "assez bizarre de vendre à 83 euros le m2" la surface de l'hôtel prévu dans l'immeuble-pont contesté.Comme contre-projet, les écologistes portent désormais "un projet sobre" pour des "habitants qui demandent surtout de traverser en toute sécurité", et plutôt qu'un immeuble pour loger les puciers, "une structure légère comme une halle ou un auvent", a détaillé Nathalie Maquoi, ex-présidente des élus Génération.s.
Il y a 2 ans et 272 jours

La production d’électricité photovoltaïque bat un record dans l'UE, permettant de réduire l'importation de gaz

Entre mai et août, la production solaire s'est élevée à 99,4 térawattheures (TWh), un quart de plus qu'en 2021 : à la même période l'an dernier, la part du solaire dans la production électrique européenne atteignait 9% (77,7 TWh), selon l'organisme spécialisé dans l'énergie.Selon ce rapport, 18 des 27 pays de l'UE ont enregistré cet été des records de production solaire, notamment les Pays-Bas (23% de son bouquet électrique), l'Allemagne (19%), l'Espagne (17%).La France se situe en revanche sous la moyenne avec seulement 7,7% de la production électrique venue cet été du solaire.La plus forte poussée du solaire depuis 2018 a eu lieu en Pologne où la production photovoltaïque a été multipliée par 26, suivie par la Finlande et la Hongrie (cinq fois plus de solaire), note Ember, qui tire ces données d'Entsoe, le réseau européen des gestionnaires de transport d'électricité.Sans cette production solaire, l'UE aurait dû acheter 20 milliards de m3 de gaz supplémentaires, ont calculé les analystes, pour une facture de 29 milliards d'euros, au prix du gaz quotidiennement relevé de mai à août.La progression de la production de l'été 2021 à l'été 2022 (22 TWh) a, à elle seule, permis d'économiser sur ces quatre mois 4 milliards de m3 de gaz, pour plus de 6 milliards d'euros.Pour autant, si le solaire accélère, son déploiement est encore largement insuffisant. Selon les projections d'Ember, le continent sera pour ces années à venir à moins de la moitié de ce qu'il faudrait pour tenir les objectifs énergétiques et climatiques de l'UE à l'horizon 2030.
Il y a 2 ans et 272 jours

Les géomètres-experts saluent un arrêt de la Cour de cassation qui "renforce la protection des droits des propriétaires"

Par cet arrêt, la Cour de cassation rappelle que le plan annexé aux actes de copropriété ne peut être que l’œuvre d’un géomètre-expert en ce qu’il délimite les droits fonciers. À défaut, il est inopposable. La solution est applicable à toutes copropriétés, quels que soient leur nature ou le nombre de copropriétaires. Il n’existe en effet qu’un seul régime de copropriété.Reconnu et consacré de longue date par la jurisprudence, le monopole confié par l’État aux géomètres-experts a fait l’objet de nombreuses convoitises. L’arrêt de la Cour de cassation, conformément aux dispositions de la loi du 7 mai 1946, vient rappeler que les actes de délimitation des biens fonciers pour être opposables doivent être réalisés par une profession règlementée et contrôlée. Il en va de la protection des droits des propriétaires.Que l’on soit propriétaire d’un terrain ou d’un lot de copropriété, les garanties offertes doivent être les mêmes. Il n’y a pas de régime de « sous propriété » en France, et c’est heureux, car il s’agit d’un droit protégé par la Constitution. Il est donc légitime que la définition des limites de propriété et des droits qui y sont attachés soit confiée à des professionnels bénéficiant d’une formation initiale d’excellence, soumis à des règles de déontologie, à une obligation d’assurance, de formation continue et contrôlés régulièrement par leur Ordre professionnel.Ce rappel par les hauts Magistrats de la Cour de cassation de la garantie offerte à tous les propriétaires, d’un terrain comme d’un lot de copropriété, est d’autant plus important que nous entrons dans une période instable sur le plan économique. Inflation, hausse des taux d’intérêt, pénurie de matériaux et d’énergie, dérèglement climatique, tous ces facteurs sont anxiogènes et économiquement à risque. L’immobilier reste alors une valeur refuge pour nombre de Français. Nous n’avons pas le droit de « jouer » avec ce qui constitue pour la plupart d’entre eux l’épargne d’une vie.La contrepartie financière à fournir pour le copropriétaire reste par ailleurs très raisonnable au regard de la garantie et de la sécurité tant juridique qu’économique offertes, puisqu’une étude menée par l’Ordre des géomètres-experts démontre que l’établissement d’un plan annexé à un état descriptif de division de copropriété est facturé en moyenne 400 euros TTC par logement (sur la base de 250 relevés d'honoraires pour des prestations réalisées en ville comme en zone rurale). Par ailleurs, comme toutes les prestations des géomètres-experts, l’élaboration d’un plan annexé à un acte de copropriété et délimitant les droits fonciers est soumise à concurrence. Il n’y a donc aucun tarif préétabli.Enfin, il semble utile et nécessaire de préciser que cet arrêt ne conduira pas les copropriétaires à recourir à un géomètre-expert pour établir ce type de plan pour les copropriétés existantes. Cet arrêt rappelle le principe qui vaudra pour les copropriétés exposées à un contentieux sur les limites des lots existants et, bien entendu, pour l’ensemble des plans annexés aux états descriptifs de division en copropriété à établir.Pour le Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, Monsieur Joseph Pascual : « L’arrêt de la Cour de cassation en date du 29 juin 2022 vient sécuriser et protéger les droits de tous les propriétaires, ce que nous saluons, et réaffirmer le monopole des géomètres-experts en matière de délimitation des biens fonciers. »Pour aller plus loin sur ce sujet, consultez notre interview de Monsieur Joseph Pascual, Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, du 8 septembre 2022.
Il y a 2 ans et 272 jours

Énergies renouvelables : solaire photovoltaïque, les solutions d’avenir mises en lumière sur Batimat

Pour cela, BATIMAT a choisi de mettre en avant, pour son édition 2022 qui se tient du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles, les solutions émergentes qui concourent à la préservation du climat et de l’environnement. Parmi celles-ci, le photovoltaïque sera présent sur un espace dédié. Il fera aussi l’objet d’ateliers pratiques ainsi que d’une session Experts’Corner dédiée.En fort développement en France depuis 2009, la filière solaire photovoltaïque enregistre une hausse de 11,1% en 2020 (13,6 TWh) par rapport à 2019. L’autoconsommation photovoltaïque est, de son côté, en plein essor. En 2019, elle s’est élevée à 116 Gwh*.Vitrine des enjeux du secteur et des solutions innovantes, BATIMAT ne pouvait que mettre en avant cette thématique phare. Avec ses partenaires, Enerplan et le GMPV-FFB (Le Groupement des Métiers du Photovoltaïque de la Fédération Française du Bâtiment), BATIMAT a imaginé un nouvel espace dédié de 400 m2 au cœur du Pavillon 1 sur lequel seront réunis 12 exposants français et internationaux : ALBIOMA, ALEXIS ASSURANCE, APEM ENERGIE, CREAWATT FABRICK, DUALSUN, ENERPLAN, GMPV, GSE INTEGRATION, K2 SYSTEMS, SYSTOVI, VALENERGIES, GOODWE.* Ministère de la Transition Ecologique - Chiffres clés des énergies renouvelables - Édition 2021Un espace de conférences sera aussi disponible où des animations sont prévues chaque jour.Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des conférences et des pitchs, animés par les exposants sur l’espace Photovoltaïque :Les Ateliers photovoltaïquesLes idées reçues sur le photovoltaïque (INES : Institut National du Solaire), lundi 3 octobre : 14h30-15h15Le photovoltaïque citoyen, mardi 4 octobre : 10h30-11h15La promotion des métiers auprès des jeunes (FFB), mardi 4 octobre : 14h30-15h15Mieux travailler ensemble pour l’installation d’un projet photovoltaïque (GMPV-FFB), mercredi 5 octobre: 10h30-11h15Le B-A BA de l’autoconsommation (Enerplan), mercredi 5 octobre : 14h30-15h15Comment bien penser un projet en autoconsommation (Atlansun), jeudi 6 octobre : 10h30-11h15Assemblée Générale du GMPV le jeudi 6 octobre de 12h à 15h30 (salle Océanie, Pavillon 4). Possibilité pour les journalistes d’y assister, sur inscription auprès du GMPV.Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings » - En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque).Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings » - En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque).
Il y a 2 ans et 272 jours

Les prévisions de croissance pour le deuxième semestre revues à la baisse par l'Insee

Dans sa dernière note de conjoncture, l'Institut national de la statistique table sur une croissance de 0,2% au troisième trimestre, puis une stagnation (+0,0%) pour les trois derniers mois de l'année, contre +0,3% prévu pour chacune de ces périodes lors du point réalisé en juin.Toutefois, à la faveur d'un deuxième trimestre bien meilleur que préalablement estimé (0,5% de croissance), reflété par les résultats financiers des entreprises, la prévision de croissance de l'Insee pour l'ensemble de 2022 est revue en hausse, à +2,6%, contre +2,3% précédemment.L'institut a par ailleurs révisé en baisse sa prévision d'inflation à 5,3% pour 2022, contre +5,5% lors de son dernier point en juin, prenant en compte le renforcement de la remise à la pompe pour les carburants décidée au cours de l'été, qui allège la pression sur les prix de l'énergie."Des effets de rattrapage, notamment dans le tourisme, ont soutenu la croissance au deuxième trimestre", a expliqué Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'institut, lors d'un point de presse.Les activités de services devraient continuer à soutenir la croissance au troisième trimestre, mais "les effets de rattrapage s'amenuiseraient" en avançant vers la fin de l'année, prévoit l'Insee.En parallèle la consommation des ménages devrait continuer à rebondir dans les services au troisième trimestre, soutenue par l'hébergement et la restauration.Les premiers chiffres disponibles indiquent qu'en juillet, la consommation des ménages s'est repliée de 0,8% après deux mois de léger rebond, en raison principalement d'un nouveau repli de la consommation en biens fabriqués.Forte incertitudeSur l'ensemble de l'année 2022, l'Insee estime que le pouvoir d'achat individuel baisserait d'environ 0,5% (selon l'indicateur par unité de consommation). Il s'était nettement contracté au premier semestre mais devrait être soutenu par les actions publiques en fin d'année (revalorisation du smic, du point d'indice de la fonction publique, de diverses prestations sociales, de la baisse des prélèvements fiscaux et sociaux au dernier trimestre...).Et la production manufacturière devrait se contracter au troisième trimestre, sous l'effet de fortes contraintes sur l'offre et de stocks de produits finis à un niveau élevé.Pour la fin de l'année, les incertitudes sont nombreuses. "Certaines entreprises commencent à avoir ponctuellement des problèmes de production", observe M. Pouget.Des entreprises ont en effet d'ores et déjà annoncé des interruptions d'activité liées à la hausse des tarifs de l'énergie, comme la célèbre verrerie Duralex qui va mettre son four en veille pendant au moins quatre mois à partir de novembre et placer l'ensemble de ses salariés en chômage partiel.La fin de l'année sera aussi marquée par le resserrement monétaire poursuivi par les banques centrales, en particulier aux États-Unis. Un relèvement abrupt des taux d'intérêt pourrait peser sur la croissance, rappelle l'Insee.La Banque centrale européenne se réunit jeudi et pourrait accélérer le resserrement de sa politique monétaire alors que les prix ont grimpé en août de 9,1% sur un an dans la zone euro, un record depuis la création de la monnaie unique et bien plus que les 2% visés à terme par la BCE.Interrogé sur les conséquences de la sécheresse de ces derniers mois, Julien Pouget a indiqué que l'Insee relevait pour l'instant des "effets contrastés" sur l'agriculture avec, selon de premières indications, une baisse de la production de céréales et des inquiétudes sur le fourrage pour le bétail et, à l'inverse, de bonnes récoltes pour certains fruits.Il a rappelé que le poids de l'agriculture dans le PIB français est limité, à 1,6%.La sécheresse a eu aussi des conséquences sur la production d'énergie et la navigabilité du Rhin, grande artère du commerce européen, note l'Insee.
Il y a 2 ans et 272 jours

Arkema relève ses prévisions, malgré un bénéfice net en baisse

Le chiffre d'affaires du chimiste français a augmenté de 31,4%, à 6 milliards d'euros, par rapport au premier semestre 2021, a indiqué le groupe dans un communiqué, malgré une baisse de 5,3% des volumes au deuxième trimestre à cause d'un "ralentissement observé en Europe, notamment sur les marchés de la construction et de l'automobile".Cette baisse est compensée par un "effet prix (qui) s'établit à +28,5%, reflétant principalement les hausses de prix de vente pour s'adapter à la très forte augmentation des matières premières, de l'énergie et du transport", précise le groupe aux 20.600 collaborateurs, citant "le contexte toujours fortement inflationniste".Le bénéfice net d'Arkema, qui possède une dizaine d'usines en France, est tombé à 730 millions d'euros sur le semestre.Pour autant, le PDG d'Arkema Thierry Le Henaff, cité dans le communiqué, vante une "excellente performance" et le groupe se montre confiant en l'avenir malgré un contexte pourtant "marqué par les risques de confinement en Chine, les tensions géopolitiques liées à la guerre en Ukraine, les craintes concernant la disponibilité et le prix du gaz naturel et de l'électricité en Europe ", grâce à sa "présence géographique équilibrée".Si bien que "malgré l'environnement macroéconomique incertain et le recul observé des volumes en Europe", le numéro trois mondial des adhésifs industriels a relevé ses objectifs annuels et vise désormais en 2022, "hors nouvelle perturbation significative du contexte mondial", une croissance de 17% à 22% de son excédent brut d'exploitation Ebitda, contre une "légère hausse" précédemment annoncée.Le groupe français de chimie a par ailleurs rappelé ses nouveaux engagements climatiques publiés début juillet : il s'engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre directs et indirects (scopes 1, 2 et 3) de 46% d'ici 2030, par rapport à 2019.
Il y a 2 ans et 272 jours

Groupe Muller devient intuis

Le fabricant français ainsi que l’ensemble de ses marques change de patronyme. Seule exception : l’offre de chauffage électrique en grande...
Il y a 2 ans et 272 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares

Maîtrise d’ouvrage : Groupe GA Smart BuidingMaîtrise d’œuvre : Studio MontazamiLocalisation : Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, FranceProgramme : Bureaux, Restaurant inter-entrepriseNature : Construction neuveLivraison : Novembre 2021Surfaces : Site 20.000 m2, Bureaux 6.750m2, Restaurant 550m2Durée de chantier : 13 moisEnvironnement : Produits béton GA hors site, Modules bois hors site, Label HQE, Centrale solaire SEE YOU SUNL’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de 15 bâtiments construits par GA Smart Building.Le projet architectural est pensé comme un ensemble paysager qui s’articule autour de deux bâtiments reliés par un lobby central. La disposition des bâtiments A et B donne des vus l’extérieur, et laisse traverser les perspectives sur les promenades autour desquelles sont aménagés des espaces de quiétudes, une prairie sauvage et des lieux d’échanges et de convivialités.L’architecture se compose de volumes sculptés, dont le rythme associé à des mouvements valsants, créée un dynamisme permanent.Les façades vibrent et créent des jeux d’ombres, discrètement ornementées de poinçonnements aléatoires faisant référence aux cartes perforées informatiques. Cette composition architecturale personnalisée permet ici d’identifier l’ADN du secteur technologie et informatique de l’utilisateur, mais aussi des entreprises du parc d’innovation d’Illkirch, tout en permettant les prises et rejets d’air des modules de traitements d’air intégrés en façades. Les larges baies s’ouvrent vers les espaces environnants.Les plateaux de bureaux bénéficient de grandes baies toute hauteur qui offrent des vues généreuses vers les espaces végétalisés extérieurs. Le forum d’accueil s’implante à l’intersection des 2 bâtiments, permettant l’articulation entre les deux ensembles. Les utilisateurs et visiteurs traversent ce lieu de vie.Le pavillon d’accueil aux façades de verres et d’inox brossé crée une transparence entre les parkings et le cœur de site végétalisé, tout en articulant au rez-de-chaussée et au premier étage les flux et usages des deux bâtiments de bureaux.Ce « forum Alcatel-Lucent Enterprise » s’implante entre les deux bâtiments : il accueille le public depuis les deux parvis d’entrée. C’est un espace hybride de convivialité et d’accueil où est également présenté l’histoire d’Alcatel-Lucent Enterprise. Au premier niveau de ce bâtiment d’accueil, une passerelle permet une liaison à l’air libre entre les deux bâtiments autour d’une vaste terrasse extérieure.Le site se compose également d’un restaurant de plain pied en cœur d’îlot et marquant l’entrée du campus Alcatel-Lucent Enterprise. Les façades vitrées et de bardage inox brossé s’intègrent à l’architecture du Campus et à l’environnent paysager avec harmonie, reflets et transparence.Architecte mandataire : Orash Montazami - Studio MontazamiBET Structure (GA) : OMEGABET Façade (GA) : Paquet FontaineCuisiniste : CETPEcologue : OGELandscape design : Studio MontazamiSpace planning et intérieurs : Studio Montazami / L'atelier Des DemoisellesEntreprise générale : GA Smart BuildingBureau de contrôle : SOCOTEC
Il y a 2 ans et 272 jours

Maël Lagarde devient le nouveau Directeur Général de VSB énergies nouvelles

Diplômé de Sciences Po Grenoble avec un Master « Technique, Science et Démocratie » et de Grenoble INP-ENSE3 en « Systèmes énergétiques et marchés » Maël Lagarde a intégré VSB énergies nouvelles en 2013. Chez VSB, Maël a occupé successivement les postes d'ingénieur vent et exploitation, et responsable exploitation et valorisation avant de prendre la Direction Nouveaux Marchés, poste qu'il occupe depuis janvier 2021. Maël est également, à ce titre, membre du Comité de Direction (CoDir) de VSB énergies nouvelles.Comme Directeur Général / Gérant de VSB énergies nouvelles, Maël sera responsable de la réalisation des objectifs annuels ainsi que de l'élaboration, la planification et le déploiement de la stratégie à court, moyen et long terme de l'entreprise. Représentant de VSB énergies nouvelles auprès des différentes parties prenantes, il sera également garant du budget et du suivi quotidien des activités. Maël Lagarde aura enfin la charge du management des 140 collaborateurs de VSB énergies nouvelles répartis sur ses 6 agences et pilotera le CODIR et le Comité de Pilotage, instances de gouvernance de VSB énergies nouvelles.« Devenir Directeur Général / Gérant de VSB énergies nouvelles est une grande fierté », explique Maël Lagarde. « Travailler dans le secteur des énergies renouvelables est un choix et le fruit de la conviction qu'il s'agit de l'une des clefs pour construire un avenir énergétique durable, responsable et accessible à tous.VSB énergies nouvelles est plus qu'une simple entreprise. C'est une grande famille de 140 personnes engagées avec détermination, envie et passion dans la transition énergétique. Cette prise de poste est une opportunité extraordinaire pour moi de poursuivre la très belle dynamique insufflée depuis plus de 20 ans en France et plus que jamais de travailler à accroitre la part des électrons verts sur le réseau. »VSB énergies nouvellesInstallée à Nîmes et filiale du Groupe VSB, VSB énergies nouvelles s'affiche depuis 20 ans comme un des acteurs majeurs du secteur de l'énergie renouvelable en France. Reconnu pour son savoir-faire et la qualité de ses projets, VSB énergies nouvelles couvre l'intégralité de la chaîne de valeur : du développement à la valorisation et la production d'énergies renouvelables en passant par le financement, la construction, l'exploitation, la maintenance, et la gestion administrative.Forte de plus de 140 collaborateurs répartis sur 6 agences couvrant tout le territoire, VSB énergies nouvelles a réalisé un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros en 2021 et gère pour plus de 900 MW d'actifs éoliens et solaires produisant l'équivalent de la consommation de plus de 900 000 habitants.
Il y a 2 ans et 272 jours

Les plus grands panneaux de verre dynamiques jamais construits dévoilés par Eyrise à Glasstec à Düsseldorf

Les visiteurs de l’exposition pourront découvrir une installation interactive de deux modules de verre pour façades et intérieurs. Pour les adeptes d’innovations technologiques, des démonstrations en direct seront également proposées par l’équipe d’experts.Le verre solaire s350 pour façades, mesurant 3,5 m sur 1,6 m, est la plus grande pièce du genre à ce jour. eyrise®, avec l’Université Technique de Delft aux Pays-Bas et l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, a développé un nouveau type de contrôle de l’expression faciale pour interagir avec le verre et réguler la transmission de la lumière. Une caméra capture chaque expression faciale, l’évalue à l’aide d’un logiciel intelligent et envoie la commande correspondante au système électronique du module de verre.Le verre solaire à cristaux liquides d’eyrise® offre également un temps de commutation très court par rapport aux autres technologies. La transmission de la lumière est régulée en une seconde, sans compromettre la lumière naturelle, conçue pour maintenir un environnement confortable et impacter positivement le bien-être des occupants.Le verre « i350 Privacy » permet, quant à lui, des concepts flexibles pour constructions en intérieur, en créant des espaces privés instantanés sur le lieu de travail. Sur Glasstec, eyrise® montrera comment utiliser les cloisons ainsi créées en surfaces de projection de vidéos, de présentations ou encore de publicités.Pour Céline Glipa, PDG d’eyrise : « Glass Technology Live est un forum en direct qui rassemble toutes les technologies pionnières dans l’industrie du verre. L’expérience interactive que nous proposons illustre notre vision de la façon dont des bâtiments intelligents et axés sur l’avenir peuvent être adaptés de façon dynamique aux besoins des gens et ce, grâce au verre à cristaux liquides et à une technologie de contrôle novatrice. »Eyrise et l’Université technique de Delft organiseront deux conférences sur Glasstec :« Face à face : le potentiel d’un nouveau contrôle de façade basé sur les expressions faciales » le jeudi 22 septembre à 11h40« Un vitrage à cristaux liquides dynamique pour améliorer les performances énergétiques des bâtiments » le vendredi 23 septembre à 10h40La 25e édition de Glasstec, accueillera plus de 1.200 exposants venus de 50 pays. Elle couvrira les tendances mondiales et mettra en avant des solutions durables qui protègent le climat.L’installation « The Dynamics of Liquid Crystal Glazing » d’eyrise® est située au stand C42 dans le hall 11.
Il y a 2 ans et 272 jours

Union des fabricants de panneaux et des fabricants d’ameublement

Les industriels des panneaux dits de process (panneaux de particules, MDF et OSB) et les fabricants d’ameublement et d’agencement ont décidé d’unir leurs deux organisations professionnelles. Au 1er juillet 2022, les adhérents de l’UIPP sont devenus adhérents de l’Ameublement français au sein d’un nouveau groupement « Panneaux – UIPP ». Les fabricants du panneau de process et de l’ameublement partagent 4 enjeux stratégiques, au cœur de la responsabilité sociale et environnementale de ces industriels : – Une convention collective commune Dans le cadre de la dynamique de rapprochement des branches professionnelles, impulsée par le gouvernement, les organisations professionnelles et les partenaires sociaux ont conclu le 28 mai 2021 un accord de fusion des champs d’application respectifs des conventions collectives de la branche de la fabrication de l’ameublement et de la branche de l’industrie des panneaux à base de bois. – Une tension sur la ressource bois et la nécessité de réaffirmer la hiérarchie des usages Les tensions sur la ressource bois (bois industrie comme bois recyclés) impactent fortement l’activité des fabricants de panneaux et peuvent conduire à des situations de pénurie et d’inflation dans les approvisionnements en panneaux des agenceurs et fabricants d’ameublement. Les enjeux de la transition écologique, engendrant notamment une demande croissante pour le bois énergie, nécessitent de réaffirmer et d’organiser la hiérarchie des usages du bois. La fusion des deux organisations permet de parler d’une seule voix en ayant plus de poids auprès des décideurs politiques français et européens. – Recyclage et économie circulaire Principal matériau mis en œuvre dans l’ameublement, le panneau est au cœur des problématiques de recyclage et recyclabilité des Déchets d’Eléments d’Ameublement (DEA), et aussi de ceux des Produits & Matériaux de Construction du Bâtiment (PMCB). Allier les expertises permet d’aller plus loin sur ces sujets et d’apporter une expérience de plus de 10 ans précieuses pour les enjeux de la REP PMCB, en lien avec la filière bois, les éco-organismes et l’ADEME. – Santé des collaborateurs et des consommateurs Aller toujours plus loin dans la réduction des poussières de bois et des émissions de COV (notamment le formaldéhyde) sont deux enjeux partagés par les fabricants de panneaux et d’ameublement. Cela passe par l’innovation et l’utilisation des meilleures technologies pour produire des panneaux et des meubles toujours plus respectueux de la santé des consommateurs et des collaborateurs. Photo : Laurent de Sutter, Président de l’UIPP et Philippe Moreau, Président de l’Ameublement français
Il y a 2 ans et 272 jours

Détail d’architecture écologique : le patio

Avez-vous eu déjà l’occasion de rentrer dans un patio d’un riad marocain ou d’une hacienda espagnole ? Cette solution architecturale ancestrale, appelée patio, est un des meilleurs moyens d’offrir à un habitat un espace de fraîcheur pendant les vagues de chaleurs. Explications… Nous avons déjà abordé ici les solutions pour éviter la climatisation. Ce premier épisode de […]
Il y a 2 ans et 273 jours

Chauffer en moyenne à 19°C, recommandé et approuvé

Minimum 18°CDans un rapport de 2018, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estimait que les températures intérieures des logements devaient être "suffisamment élevées pour protéger les résidents des effets nocifs du froid sur la santé".Pour les pays aux climats tempérés ou plus froids, 18°C a été proposé comme la bonne température pendant les saisons froides, excepté pour les personnes vulnérables.En France, une limite de 19°C en moyenne pour les logements et locaux, notamment d'entreprises, est inscrite dans le code de l'énergie de 1978."Supporter 19°C dépend de l'âge, de l'activité, cela dépend aussi de la façon de s'habiller. C'est aussi un esprit de solidarité, pour que tout le monde puisse profiter de l'électricité" dans un contexte contraint, ajoute Céline Laruelle, ingénieure à l'Ademe spécialisée dans les équipements climatiques.Dans une récente interview, l'historien Renan Viguié soulignait que "le confort thermique est une construction sociale" qui débute au XIXe siècle."L'élévation de la température de confort, de 15 à 19 voire 20°C, accompagne les Trente Glorieuses (...) Le confort, c'est être en t-shirt à l'intérieur alors qu'il était courant dans les siècles précédents de se couvrir en rentrant chez soi", ajoute l'historien. 19°C en moyenneLa limite de 19°C remonte aux premiers chocs pétroliers, souligne Céline Laruelle de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie.Selon le code de l'énergie, c'est une moyenne: "quand on n'est pas là, on baisse à 16-17°C et ce gain peut permettre pendant la soirée d'être plus confortable et de chauffer à 20-21°C - mais pas au-delà", précise-t-elle. Des dérogations sont prévues si des personnes âgées ou en bas âge sont hébergées dans le logement.Idem pour les bureaux: 19°C pour les pièces occupées, 16°C en dehors de période d'occupation et 8°C si les lieux sont innocupés plus de deux jours.La modulation peut aussi se faire par pièce: 17°C pour une chambre, 22 pour la salle de bain quand elle est utilisée et les pièces de vie entre 19 et 21 le soir.Les contrevenants à la règle (logements, entreprises ou établissements) peuvent - en théorie - être sanctionnés d'une amende de 1.500 euros (3.000 en cas de récidive).Mais aujourd'hui, il est "difficile de savoir" à quelle température moyenne les Français se chauffent. Ce que l'on sait c'est que "des millions de logements sont en précarité énergétique, à 15°C tout l'hiver", note Céline Laruelle.Moins 1°C = 7% d'économiesUn degré de chauffage en moins correspond à 7% d'économie d'énergie, selon l'Ademe. L'impact n'est pas négligeable, le chauffage représentant plus de la moitié des consommations énergétiques d'un logement (jusqu'à 66% pour le chauffage électrique, un peu moins pour fioul et gaz).Le chauffage électrique (un tiers des Français) implique une consommation annuelle moyenne de 4.312 kilowattheures (kWh) pour une maison, soit une facture d'environ 750 euros (en tarif régulé). Pour un appartement, c'est 1.719 kWh, soit 300 euros par an. Chaque degré en moins correspond aussi à 7% d'économies sur les factures.Comment garder la chaleur ?Premiers réflexes: fermer les volets et rideaux la nuit, éviter de placer des meubles ou rideaux devant les radiateurs ou d'y faire sécher du linge et limiter les infiltrations d'air, en vérifiant l'étanchéité des portes et fenêtres.Un thermostat programmable peut générer 15% d'économies sur le chauffage, estime l'Ademe.Pour le chauffage électrique, il est conseillé de remplacer les vieux convecteurs par des radiateurs modernes diffusant par rayonnement. Installer des thermomètres peut être utile: si l'on a froid alors que la température est suffisante, c'est sûrement que la maison est humide ou insuffisamment isolée, note l'Ademe. L'isolation est d'ailleurs la solution numéro 1 pour réduire le chauffage - et la facture.Sur son site, l'agence Santé Publique France explique par ailleurs qu'en période de froid, des gestes simples permettent d'éviter les risques. Il convient par exemple de "ne pas surchauffer son logement" et de "s'assurer de sa bonne ventilation pour renouveler l'air".
Il y a 2 ans et 273 jours

Record de production électrique d'origine photovoltaïque cet été en Europe

RENOUVELABLES. Les centrales solaires photovoltaïques ont assuré 12% de la production d'électricité européenne durant la période estivale. Un niveau record qui, selon un groupe de réflexion, aurait évité l'importation de 20 milliards de mètres cubes de gaz, pour un montant potentiel de 29 milliards d'euros.
Il y a 2 ans et 273 jours

Ardoise en toiture et en façade

A Ville-sur-Lumes, dans les Ardennes, le cabinet Lecomte Perez Architectes a rendu hommage à la tradition ardoisière du territoire, dans le cadre d’un projet qui fait la part belle au schiste : 280 m2 en toiture et 80 m2 enfaçade. Anne Pérez, en charge de la conception de cette maison, témoigne. Quelle était la commande ? Comment avez-vous construit ce projet ? Nous avions un challenge à relever, celui de créer une maison entièrement accessible à un handicap physique lourd. Les dimensions des pièces sont donc beaucoup plus grandes que celles d’une maison “traditionnelle”. Pour concevoir cette bâtisse sans effet massif, avec des pièces orientées idéalement, et qui puisse intégrer l’ensemble des surfaces souhaitées par le maitre d’ouvrage, nous avons choisi de répartir les pièces dans plusieurs ailes : celle des pièces de vie, celle du couple et celle des enfants. A l’étage, une grande mezzanine, vouée aux loisirs (jeux et bibliothèque) est tournée vers le grand paysage. D’autre part, le terrain présentait un fort dénivelé ce qui nous a amenés logiquement à le traiter grâce aux différents niveaux de la maison. Les pièces principales sont au niveau de la rue et ont un accès sur une grande terrasse et sur une partie du jardin. Les pièces techniques, comme le garage et la salle de remise en forme, sont au niveau du jardin le plus bas. Cela nous a permis de faire le moins de mouvement de terrain possible et de limiter l’impact de cette maison, aux dimensions conséquentes, sur son environnement proche et sur le paysage. En effet, elle se trouve dans un lotissement de maisons de constructeurs, qui ont toutes des dimensions plus modestes. Quels étaient les objectifs énergétiques attendus ? Au-delà de l’obligation à la règlementation thermique, nous sommes très sensibles dans notre agence à la question environnementale. Un grand soin a été apporté à l’isolation et à l’étanchéité à l’air. L’orientation générale de la maison a été pensée au plus près de la logique du bio climatisme et nous avons proposé un système de chauffage et de production d’eau chaude durable, avec une pompe à chaleur et des panneaux solaires. L’orientation de la maison permettait de mettre en place 8 panneaux solaires orientés plein sud. Pourquoi avoir choisi l’ardoise ? La maison étant très grande, il fallait qu’elle ait un caractère à la hauteur de ses volumes : l’ardoise s’est rapidement imposée. D’une part car l’Ardenne est l’une des plus grandes provinces ardoisières européennes, et nous souhaitions que cette maison aux lignes contemporaines affirmées garde un lien symbolique fort avec le patrimoine local. D’autre part, car l’ardoise est un matériau noble, qui impose un caractère affirmé. Le choix de l’ardoise en façade a été fait pour créer de la profondeur et amener un effet de texture que nous n’aurions jamais eu avec de l’enduit. Pour que l’ensemble ne soit pas trop sombre, et faire la transition entre l’ardoise et l’enduit clair, nous avons choisi de revêtir une partie des façades avec de la pierre aux tons nuancés gris. C’est la première fois que nous proposions de l’ardoise en façade et nous sommes pleinement satisfaites, car le rendu répond tout à fait à la création architecturale que nous avions imaginée. 80 m2 ont été posés grâce au système de bardage rapporté CUPACLAD® 101 LOGIC. Leader mondial de l’ardoise naturelle, Cupa Pizarras exporte chaque année 80 000 tonnes de schiste vers la France, premier pays consommateur au monde. Fendue à la main, l’ardoise naturelle Cupa Pizarras est un matériau totalement inerte : elle ne subit aucune modification chimique durant sa transformation. Elle se distingue également par sa longévité de 100 ans qui en fait le matériau de couverture le plus durable.
Il y a 2 ans et 273 jours

Comprendre les usages pour mieux maîtriser les charges énergétiques des logements

Le programme Ecco Dom vise à réduire les consommations d'énergie dans les logements sociaux d'outre-mer. Renoptim a pour objectif d'optimiser le confort d'été tout en limitant le recours à la climatisation dans les appartements de la métropole. Les travaux du projet Ecco Dom alimenteront Renoptim, tant au niveau de la méthodologie développée que par certains résultats qui pourront être transposés en France métropolitaine. Les bénéfices croisés des deux projets profiteront aux usagers des bâtiments d'habitation collectifs. Le retour d'expérience de l'Union Sociale pour l'Habitat (USH), partenaire de ce programme, sera également une source d'information pour envisager de nouvelles pistes d'amélioration du confort d'été, au-delà des expériences déjà menées. Lire la suite En savoir plus : Ecco Dom Renoptim Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 273 jours

Plan climat : malgré l'inflation, les entreprises continuent d'investir pour se verdir

Avec 43% de cette somme déployés au bout de deux ans, la banque publique d'investissement Bpifrance et la Banque des Territoires, filiale du groupe Caisse des dépôts, sont sur la bonne trajectoire pour remplir leur objectif d'ici à septembre 2024."Les entreprises savent très bien qu'il n'y a pas de problème de financement de la transition climatique en France aujourd'hui", a affirmé lors d'une présentation à la presse Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance.Et en dépit du contexte inflationniste qui réduit les moyens des collectivités, "les prix de l'énergie progressent tellement plus vite que les coûts de construction qu'il y a urgence" à investir dans la rénovation énergétique des bâtiments, a expliqué Olivier Sichel, directeur de la Banque des Territoires.La répartition des prêts et subventions accordés par Bpifrance, d'un montant total de 20 milliards d'euros, a été profondément modifiée en raison de la révision à la baisse en 2021 des prix de rachat de l'électricité d'origine renouvelable par l'Etat, précise M. Dufourcq.Alors que Bpifrance prévoyait de doubler en quatre ans le financement de ces énergies en accordant 13,6 milliards d'euros de prêts, l'objectif a été ramené à 8,6 milliards pour ce secteur.La raison en est qu'"en mai 2021, Bercy a décidé de revoir à la baisse les prix garantis par l'Etat d'achat d'électricité" pour le photovoltaïque et l'éolien, a rappelé le directeur de Bpifrance.Après cette révision tarifaire, les développeurs de ces énergies propres ont "posé le sac" car ils "ont considéré qu'il y avait une instabilité de l'environnement réglementaire français", a-t-il ajouté.M. Dufourcq espère que la loi en préparation pour simplifier les autorisations administratives pour ces projets permettra de les relancer."Emballement décisionnel"Parallèlement, Bpifrance a augmenté sensiblement le financement de projets pour aider les entreprises à verdir leur production, l'Etat ayant revu à la hausse le cautionnement de ces prêts verts (1,5 milliard d'euros distribués en deux ans).La transition écologique des entreprises, qui comprend aussi des diagnostics de sobriété et pour 850 millions d'euros des rénovations thermiques d'actifs immobiliers, passe ainsi de 3,8 milliards d'euros prévus initialement à 7 milliards, tandis que le financement de l'innovation accélère aussi, passant de 2,5 milliards à 4,2 milliards d'euros.Pour sa part, la Banque des Territoires a déployé 8,3 milliards sur les 20 milliards d'euros qui lui reviennent dans le plan climat. Le poste le plus important concerne la rénovation thermique de 210.000 logements sociaux, financés grâce à 4,5 milliards d'euros de prêts."Les logements sociaux en France sont très performants thermiquement et très rénovés par rapport au parc privé", affirme M. Sichel, ajoutant qu'il y a une accélération du nombre de projets pour les bâtiments publics.La prise de conscience du changement climatique et les projets qui en découlent ont également évolué."Il y a deux ans, on était partis avec l'objectif de lutter contre le réchauffement climatique, d'éviter l'ingérable", se remémore M. Sichel, selon lequel il faut désormais "gérer l'inévitable". Exemple : les projets d'espaces verts pour éviter les îlots de chaleur dans les villes.Dans l'industrie, face à la multiplicité de projets de transformation écologique, M. Dufourcq craint un "emballement décisionnel" avec de grands groupes donneurs d'ordre "qui vont courir de plus en plus vite" et des PME qui, "si elles ne sont pas préparées, vont au devant de surprises importantes qui peuvent conduire à des risques de désindustrialisation". Il y a donc "urgence" à les accompagner, souligne-t-il.
Il y a 2 ans et 273 jours

Que prévoit le plan de sobriété énergétique de la Ville de Paris ?

TRANSITION. La capitale veut devenir une ville durable et prévoit pour cela de nouvelles actions en faveur de l'environnement. Rénovation des bâtiments, déploiement des énergies renouvelables... Plusieurs pistes sont étudiées.
Il y a 2 ans et 273 jours

Granulés de bois : "Il ne faut pas paniquer", selon Frédéric Coirier (PDG de Poujoulat)

TENSIONS. Le PDG du groupe Poujoulat, Frédéric Coirier, est revenu lors d'une conférence de presse sur les risques de pénurie qui obscurcissent l'avenir de la filière du bois énergie.
Il y a 2 ans et 273 jours

La rénovation et construction passive, une solution face à la crise énergétique

Face à la crise climatique que traverse le monde et devant la crise énergétique qui menace les pays Européens, la Première ministre, Élisabeth Borne, a appelé, devant le Medef, les entreprises françaises à réduire leur consommation d'énergie. A chacune d’elle d'établir son propre "plan de sobriété" dès septembre. Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, explique que le gouvernement Français se "prépare au scénario du pire" et appelle à la sobriété "de tous".Le secteur du BTP est aujourd’hui à même de proposer une solution concrète qui a fait ses preuves. La rénovation et construction passive permet une transition écologique efficace, un contrôle du risque sur l’approvisionnement des énergies, tout en luttant contre la précarité énergétique.Méconnue par certains acteurs du secteur du BTP et connaissant un engouement de plus en plus important auprès du grand public, c’est la solution que l’association La Maison Passive promeut depuis sa création.Qu’est-ce que le « Passif » ?Le fonctionnement est simple ; la chaleur générée à l’intérieur du bâtiment par les occupants cumulée à celle apportée par le rayonnement solaire suffisent quasiment à répondre aux besoins de chauffage. Le bâtiment passif est parfaitement isolé, chaque faiblesse thermique est soigneusement pensée et traitée, comme s’il avait été recouvert d’un manteau qui le protège l’hiver du froid et l’été de la chaleur ! Il se passe donc d’un système de chauffage conventionnel l’hiver et de climatisation l’été.Le mode de conception et de construction passif s’applique à tout type de bâtiment et d’architecture (maison, appartement, écoles, bureaux, supermarchés, hôpital, gymnase, hôtel, restaurant…) en neuf et en rénovation. Il s’appuie sur les principes suivants : une isolation performante, une excellente étanchéité à l’air et une ventilation permettant une récupération de la chaleur sortante.Le bâtiment passif est en plus écologique !La dépense énergétique pour le chauffage d’un bâtiment passif est trois fois moindre que celle d’un bâtiment respectant la RE2020 et dix fois moindre que la moyenne du parc existant, ce qui diminue considérablement l’impact du bâtiment sur l’environnement.Il est tout à fait possible d’allier bioclimatisme et performance passive. Une grande partie des bâtiments passifs français sont réalisés à partir de matériaux biosourcés et utilisent des solutions techniques Low-Tech et peu énergivores. Pour faire rimer Faible Bilan Carbone avec Sobriété énergétique !Le coût de revient d’un bâtiment passifGrâce aux économies d’énergie que permet le « Passif », le coût de fonctionnement sera inférieur à celui d’un bâtiment « réglementaire ». Le surcoût de construction sera donc amorti bien avant la période de fin d’occupation. L’explosion des prix de l’énergie améliore encore la rentabilité de la construction passive.Pour en savoir plus, visitez le site de La Maison Passive et découvrez en vidéo l'installation d'une VMC double flux Brink sur le chantier d'une maison passive.
Il y a 2 ans et 273 jours

Acova Vuelta, le radiateur caméléon

Par la multiplicité de ses formes, de ses dimensions, de ses nombreuses références en sur-mesure, et du vaste choix de couleurs, la gamme de radiateurs de chauffage central Acova Vuelta offre des possibilités infinies de composition. Ses caractéristiques techniques et son design en font une gamme particulièrement adaptée à la rénovation basse température. Un design rétro au service du confort Acova Vuelta se caractérise par son design rétro rappelant celui des radiateurs en fonte multicolonnes. Offrant une grande capacité de chauffe grâce à une forte inertie, il procure le confort thermique d’un radiateur en acier de haute qualité. Des possibilités infinies de composition Acova Vuelta se décline en modèle vertical, horizontal, étroit ou plinthes et peut être réalisé en claustra, cintré ou en angle. La variété de ses formes et de ses dimensions lui permette de s’adapter aux besoins et aux configurations de toutes les pièces, quelle que soit leur superficie. En version sur-mesure, Vuelta ouvre ainsi le champ des possibles. Grâce au nouveau nuancier Acova riche de 46 couleurs divisées en tons chauds et froids et en finitions mates, brillantes ou métalliques, les radiateurs de chauffage central Vuelta s’intègrent harmonieusement dans tous les styles d’intérieurs, des plus contemporains au plus anciens. Pour une personnalisation dans les moindres détails, Acova propose la robinetterie chromé, blanche ou en couleur. Un radiateur idéal pour les installations basse température Afin de compenser le régime d’eau du circuit hydraulique d’une installation basse température (se situant entre 35 et 55°C contre 70 et 90°C pour une installation traditionnelle de chauffage central), le choix de radiateurs adaptés délivrant suffisamment de puissance est primordial pour garantir le confort thermique dans les pièces. Vuelta offrant une forte contenance en eau et une compacité remarquable, le rendement thermique du radiateur est de ce fait exceptionnel : il émet une forte puissance avec des dimensions réduites. Associé à une pompe à chaleur ou une chaudière à condensation, Vuelta est idéal pour les installations basse température et participe aux économies d’énergie. Une conception pour faciliter la pose Comme Vuelta est installé par des professionnels, Acova a pensé à tout pour faciliter sa pose : – Des consoles magiques dotées d’un système de fixation pour une pose rapide, – 6 connexions universelles de base : Vuelta est livré pré-équipé de 6 manchons de raccordement pour limiter la tuyauterie apparente à l’installation et pour éviter tout risque d’erreur à la commande ou sur le chantier. http://www.acova.fr
Il y a 2 ans et 273 jours

L’isolant réflecteur alvéolaire HYBRIS d’ACTIS mis en œuvre dans la 1ère maison labellisée Cradle to Cradle d’ARIANE CONSTRUCTIONS

Planète à bout de souffle, ressources naturelles menacées … Autant de sujets fondamentaux qui nécessitent que tous les acteurs de la construction aient un engagement environnemental fort. C’est le cas d’Actis, fabricant d’isolants alvéolaires réflecteurs, qui place le développement durable au cœur de sa stratégie, et d’Ariane Constructions, constructeur de maisons individuelles, qui a remporté la médaille d’or au challenge Pôle Habitat-FFB dans la catégorie Habitat Prospectif en 2020 avec sa première maison labellisée Cradle-to-Cradle®. Tout près du Golf de Bordeaux, la maison C2C d’Ariane Constructions est en cours de construction. Un ouvrage, qui répond à des critères bien précis sur le plan environnemental, fait de matériaux inscrits dans un cercle vertueux de construction, dont HYBRIS d’ACTIS, premier isolant certifié Cradle-to-Cradle®en France, utilisé pour l’isolation des murs et des rampants de la toiture. MAISON C2C D’ARIANE CONSTRUCTIONS, 1ÈRE MAISON CERTIFIÉE CRADLE TO CRADLE® Construite par Ariane Constructions à Bordeaux, cette première maison certifiée Cradle to Cradle® de 133 m2 concilie économies d’énergie et préservation des ressources naturelles en mettant en œuvre des matériaux et équipements qui s’inscrivent dans un cercle vertueux de construction. Quatre axes ont ainsi été définis : . qualité de l’air intérieur et santé, . éco-conception, modularité et upcyclabilité, . maison intelligente qui optimise l’eau et l’énergie, . adaptabilité aux nouveau usages et confort de vie. Pour relever ce défi, le constructeur a travaillé avec des industriels dont Actis, fabricant d’isolants réflecteurs alvéolaires. Cette démarche s’appuie sur la plateforme collaborative MyUpcyclea sur laquelle ACTIS a saisi les informations sur la non toxicité, le degré de circularité et l’empreinte carbone de son isolant HYBRIS afin d’obtenir un passeport circulaire. Analysées et notées par UPCYCLEA, bureau d’études spécialisé dans l’économie circulaire et dans la certification Cradle to Cradle®, les caractéristiques d’HYBRIS d’ACTIS lui ont permis d’être sélectionné pour cette maison composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage : . isolation des murs (épaisseur de 90 en doublage avec une lame d’air et un R de 3,35 (m2.K/W) ; . isolation des rampants de la toiture avec deux couches croisées pour des performances optimales (R = 8). HYBRIS, LE PREMIER ISOLANT CERTIFIÉ CRADLE TO CRADLE® EN FRANCE Reposant sur une démarche volontaire de la part des fabricants, la certification Cradle to Cradle® (du berceau au berceau) permet de vérifier que les produits ont un impact positif sur la santé et l’environnement, depuis leur fabrication jusqu’à leur recyclage. Elle s’appuie sur le principe d’éco-conception et d’économie circulaire qui demande de créer de la valeur à partir de matières recyclées et secondaires. Evalué par Upcyclea, seul organisme français accrédité par l’Institut Cradle to Cradle Products Innovation, l’isolant HYBRIS d’ACTIS a reçu la certification internationale Cradle to Cradle selon le cahier des charges définis C2C Certified Product Standard version 3.1. Celui-ci se base sur cinq catégories de critères de durabilité essentiels : . Matériaux sains . Réutilisation des matériaux . Energie renouvelable et gestion du carbone . Gestion de l’eau . Responsabilité sociétale Grâce à sa conception, l’isolant alvéolaire HYBRIS® est 100% recyclable à l’infini. Il est récupéré, broyé et ré-introduit sous forme de billes dans le processus de fabrication. Il s’inscrit ainsi dans une démarche où tous les résidus (chutes, rebuts) sont recyclés dans un processus de production « zéro déchet ». De plus, ne contenant aucun COV ni composants chimiques nocifs (formaldéhyde, phénol…), HYBRIS est garanti non irritant. Il est classé A+ pour la qualité de l’air intérieur selon la norme NF EN ISO 16000. La technologie alvéolaire de l’isolant réflecteur HYBRIS repose sur l’exploitation des qualités isolantes naturelles de l’air en le piégeant entre des films bas émissifs. Sa structure en nid d’abeilles permet de créer une multitude de cavités d’air inertes. Par conséquent, il nécessite moins de matières premières et moins de ressources énergétiques (eau, électricité…) pour sa production. La légèreté de l’isolant alvéolaire HYBRIS participe également à une réduction de consommation de carburant pour le transport, en plus du conditionnement très compact sur palette (breveté). Autant d’éléments qui lui confèrent une très faible empreinte carbone : émission de 2,39 CO2/ m2 pour 105 mm avec un R total de 3,80 (produit + lame d’air) d’après la FDES publiée sur la base INIES. HYBRIS, L’ISOLANT RÉFLECTEUR ALVÉOLAIRE AUX PERFORMANCES UNIQUES Dans la maison C2C d’Ariane Constructions, HYBRIS assurera le confort thermique en été comme en hiver, l’isolation phonique et l’étanchéité à l’air. Il exploite les qualités thermiques de l’air, un isolant naturel très efficace. Il intègre la fonction de double pare-vapeur, ce qui évite la pose d’une membrane additionnelle et offre bien-être au particulier. Chaque film réflecteur renvoie 95% des rayonnements infrarouges limitant au maximum la pénétration de chaleur à l’intérieur du bâtiment et permettant ainsi de garder un logement plus confortable en été. Léger et stable à la fois, HYBRIS ne s’affaisse pas dans le temps, conservant, durant toute sa durée de vie, ses caractéristiques thermique, phonique et d’étanchéité initiales. Au fil du temps, l’habitat ne consomme donc pas plus d’énergie. Ses composants sont sains, respectueux de l’air intérieur et sans fibres irritantes, ce qui garantit un confort de pose et une qualité d’air au quotidien incomparables pour les futurs occupants. En participant à la réalisation de la première maison certifiée Cradle to Cradle® d’Ariane Constructions, ACTIS confirme une fois encore sa volonté d’être un acteur engagé en faveur de l’environnement. http://www.actis-isolation.com
Il y a 2 ans et 273 jours

Thermor lance Kenya 4, un nouveau radiateur chaleur douce

Un nouveau design aux courbes affinées avec un appareil de seulement 115mm d’épaisseur Kenya 4 est également disponible en 3 formats : Horizontal, Vertical et Plinthe (30cm de hauteur).Une nouvelle gamme 100% connectée de série avec l’application Thermor Cozytouch pour un pilotage à distance des appareils et un suivi des consommations depuis un smartphone ou une tablette.**Sous réserve d’être équipé du bridge CozytouchEn termes de fonctionnalités, on peut noter qu’il est équipé d’une programmation libre et d’une détection automatique d’ouverture et de fermeture des fenêtres pour un maximum d’économie d’énergie.Un confort absolu permis grâce à un corps de chauffe en fonte unique qui procure une chaleur douce et inertielle.Côté prix, Kenya 4 est disponible à partir de 416€ HT (Prix public conseillé) – TVA à 10% en passant par un installateur (rénovation d’un logement de plus de 2 ans).Un radiateur fabriqué en FranceGarantie 2 ans, le Kenya 4 est issu des ateliers de fabrication basés à St jean de la ruelle (45) et la roche sur Yon.