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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18136 résultats)
Il y a 2 ans et 232 jours

L’Agora de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, un chantier chirurgical

Pièce centrale d’une série de rénovations du campus de l’école vétérinaire à Maisons-Alfort, la reconstruction biosourcée préservant certains éléments du bâtiment Brion, dont les fondations, a demandé du doigté.
Il y a 2 ans et 232 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 232 jours

Artisanat du Bâtiment – Conjoncture du 2e trimestre 2022

Hausse des prix des matériaux et de l’énergie au 2e trimestre 2022 : la CAPEB inquiète pour 2023 malgré une conjoncture encore favorable aujourd’hui  Paris, le 6 septembre 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) présente les chiffres de l’activité du 2e trimestre 2022 pour les entreprises artisanales du […]
Il y a 2 ans et 232 jours

Elec calc 2022, le logiciel qui révolutionne la conception électrique des bâtiments

Dans cette nouvelle version, les innovations sont orientées autour de la sécurité des installations électriques et de la continuité d’exploitation. Il sera possible aussi de répondre aux enjeux des Smart Grids car le logiciel, dans la version elec calc GRID, permet de prendre en compte les flux de puissance provenant d’une source photovoltaïque.Pour Jérôme Mullie, Directeur Technique Trace Software : « Aujourd’hui la continuité d’exploitation est un enjeu majeur dans beaucoup d’applications, il est donc indispensable de pouvoir intégrer tous les paramètres de réglage pour effectuer rapidement des analyses, et ainsi optimiser la sélectivité de l’installation. Dans la version 2022, nous avons développé un simulateur de défaut qui, en temps réel et en tous points de l’installation, permet à l’utilisateur d’obtenir la séquence de déclenchement des protections. »Parmi les nouveautés d’elec calc :Le contrôle de coordination entre les disjoncteurs et les interrupteurs sur la base des tables fabricantsLa gestion de la temporisation long retard ainsi que la fonction i2tLa vérification de la sélectivité différentielleLa simulation des différents défauts de court-circuit en tous points de l’installation afin de connaître la séquence de déclenchement des protections en amontLa prise en compte de la source PV avec elec calcTM GRID. Elle sera définie automatiquement en source à puissance contrôlée avec la puissance active et réactive imposée.Intégration des contrôles sur les bornes IRVE définis dans le guide 15-722 et le label EV ReadyLa prise en compte du classement de résistance au feu Euroclasses pour les canalisationsLe connecteur vers la plateforme Onfly de BIM&CO pour récupérer les bases de bornes IRVE et d’onduleurExport du projet vers Hagercad.T, logiciel de conception et de chiffrage d’armoiresLes clients ayant un abonnement sont automatiquement avertis depuis leur logiciel de la disponibilité de cette nouvelle version.
Il y a 2 ans et 232 jours

les equipes vaillant vous donnent rendez vous sur interclima hall 3 allee f stand 090

L’occasion pour la marque de vous inviter gratuitement à découvrir ou redécouvrir ses innovations dédiées au confort thermique pour le logement individuel et collectif. Au programme : hydrogène & gaz verts, RE2020, pompes à chaleur au R290, accompagnement à la maintenance, réalité augmentée.
Il y a 2 ans et 232 jours

saunier duval vous donne rendez vous sur interclima hall 3 allee f stand 090 et a l exterieur

L’occasion pour la marque de vous inviter gratuitement à découvrir ou redécouvrir ses produits dédiés au chauffage, à la climatisation et à la production d’eau chaude sanitaire... en statique mais également en fonctionnement ! Au programme : Gaz verts, RE2020, pompes à chaleur fabriquées en France, services de connectivité...
Il y a 2 ans et 232 jours

une gamme solaire complete pour repondre a tous les chantiers

Pour la production d’énergie solaire par la toiture, EDILIANS a développé un ensemble de solutions pouvant répondre à tous les types de projets et de budgets grâce à sa Tuile Solaire Max, ses tuiles en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux photovoltaïques EASY ROOF ACCESS.
Il y a 2 ans et 232 jours

Le salon EnerGaïa s'agrandit et affiche ses ambitions

EVENEMENT. Le salon EnerGaïa dédié aux énergies renouvelables "voit plus grand" pour son édition 2022. La manifestation, qui aura lieu du 7 au 8 décembre à Montpellier, disposera notamment d'un 3ème hall et d'un espace de conférences agrandi.
Il y a 2 ans et 233 jours

Hausse des coûts, REP bâtiment, aides à la rénovation énergétique... les 26 propositions des artisans du bâtiment au gouvernement

La CAPEB rappelle, s’il le fallait encore, que nous sommes dans un contexte économique qui fait craindre une baisse importante de l’activité dans le bâtiment d’ici à la fin du second semestre 2022. Alors oui, les artisans du bâtiment défendent, eux aussi, la nécessité de mettre en œuvre une transition énergétique et écologique ambitieuse dans le secteur, et notamment dans le domaine de la rénovation des bâtiments existants (réduction des dépenses énergétiques, réduction des émissions des gaz à effet de serre, décarbonation). Mais la CAPEB rappelle que cette révolution ne doit pas se faire au détriment de son volet social, notamment de l’emploi, ni au détriment de l’activité économique des entreprises. Et c’est dans ce contexte que s’inscrivent les propositions de la CAPEB faites au Gouvernement.Elles visent donc à conforter l’activité des entreprises dans un contexte économique menaçant (hausse des coûts des matériaux et des équipements, hausse des coûts de l’énergie, difficultés d’approvisionnement, etc.), à booster les travaux de rénovation énergétique en donnant aux donneurs d’ordre, et notamment aux particuliers, les moyens de les financer, et, enfin, à permettre la transition écologique du secteur dans le cadre d’un calendrier volontariste mais réaliste. Compte tenu de l’importance des enjeux, les propositions de la CAPEB ne concernent quasiment que le secteur de la rénovation et ont volontairement été limitées en nombre. La CAPEB reste plus que jamais aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment, investis et déterminés.Lutter contre la hausse des coûts et l'inflationHausse des prix : La CAPEB demande une réelle transparence Assurer une réelle transparence sur les hausses de prix pratiquées par les industriels et les négoces, en lien avec la crise de la COVID, la guerre en Ukraine et la décarbonation des process industriels.REP Bâtiment (responsabilité élargie du producteur dans le secteur du bâtiment)La CAPEB demande à disposer d’un calendrier de mise en œuvre réalisteDécaler la mise en œuvre de la REP BÂTIMENT au 1er janvier 2024 pour éviter d’ajouter de l’inflation (a minima 1,5% dès 2023 et 6% à terme) à l’inflation, mais également afin de laisser un temps suffisant aux entreprises pour intégrer le montant des éco-contributions dans leurs devis.Cette disposition, indolore pour les finances publiques, est également rendue nécessaire du fait du retard pris dans la mise en œuvre de la REP (agrément des éco-organismes, détermination des éco-contributions, traçabilité, etc.).Construction neuveLa CAPEB demande l’indexation des plafondsIndexer, pour l’ensemble des dispositifs existants, les plafonds de ressources sur l’inflation réelle.MaPrimeRénov'La CAPEB demande de booster les travaux de rénovation énergétiqueIndexer les aides de MaPrimeRénov sur l’inflation constatée dans le secteur du bâtiment afin d’éviter une augmentation du reste à charge des ménages.CEE (Certificats d'Économie d'Énergie)La CAPEB demande à indexer les primes CEEIndexer les primes CEE dans le cadre des coups de pouce, ainsi que les plafonds de ressources sur l’inflation constatée par type de travaux afin d’éviter une augmentation du reste à charge des ménages.Pass'RénoLa CAPEB demande la mise en place d’une aide de 300€ pour les ménages modestesMettre en place un Pass’Réno de 300 € environ, de manière temporaire (6 mois) afin d’amortir l’impact de l’inflation, pour les ménages très modestes (revenus d’un couple inférieur à 22.320 €, environ 3 millions de ménages) et pour les passoires thermiques, fléchant prioritairement les travaux d’urgence et les travaux d’entretien-maintenance-dépannage.Cette disposition serait complémentaire au chèque énergie actuel, d’un montant de 150 € (distribué à près de 5,8 millions de ménages).Ce Pass’Réno serait d’un coût d’environ 700 millions d’euros, mais plus ciblé sur les travaux de performance énergétique (et non sur les coûts de l’énergie) et les plus précaires.Cette mesure permettrait d’amortir la hausse des coûts (5 à 10% en moyenne sur les devis au premier trimestre 2022) pour les particuliers et de maintenir l’activité des entreprises du bâtiment en ne cassant pas la dynamique actuelle.Booster les aides à la rénovation énergétique et simplifier les dispositifsMaPrimeRénov'La CAPEB demande la diminution du reste à chargeDiminuer de moitié le reste à charge pour les ménages modestes et très modestes pour accélérer la rénovation énergétique du parc de logement avec l’octroi d’un bonus en cas de réalisation de travaux multigestes (ex. : 1 geste chauffage + 1 geste isolation) ou de rénovation globale.Cette mesure générera une augmentation des économies en termes de dépenses énergétiques et diminuera la demande en énergie. Elle favorisera l’activité et l’emploi dans le secteur du bâtiment en 2023, période qui sera plus difficile pour la filière si aucune mesure de soutien n’est prise.Le coût direct de cette mesure pourrait s’élever autour de 480 millions d’euros sur un an, éventuellement renouvelable en fonction des résultats constatés en nombre de rénovations énergétiques.CEE (Certificats d'Économie d'Énergie)La CAPEB demande une valorisation du systèmeRedynamiser le marché des CEE en augmentant le niveau des obligations des obligés.Stabiliser le dispositif des CEE sur la durée de la cinquième période en évitant les « stop and go » successifs, notamment pour ce qui concerne les opérations « coup de pouce ».Mettre en œuvre aussi rapidement que possible le programme OSCAR, et notamment ses volets SIMPLIFICATIONS et ACCOMPAGNATEURS DES PROS, en le renforçant, le cas échéant, en fonction des premiers résultats constatés sur le terrain.Financer un audit énergétique gratuit dès le premier geste réalisé par un particulier en vue d’élaborer un parcours travaux de rénovation énergétique pour le logement/la maison afin d’atteindre un niveau de performance de consommation souhaitable.Rénovations globalesLa CAPEB demande que leur réalisation soit facilitée pour les TPEEn complément de l’actuel taux de TVA à 5,5% pour les travaux de rénovation énergétique, mettre en place une TVA à taux réduit à 5,5% pour tous les travaux réalisés en groupement momentané d’entreprises (GME) constitué de plus de trois corps de métiers, ce qui incitera les entreprises artisanales de proximité à se constituer en GME pour réaliser des travaux complets et facilitera la vie des particuliers par la mise en place d’un interlocuteur unique de chantier.Cette mesure est d’un coût faible, voire marginal pour l’État et constituera un levier fort pour accélérer le nombre de rénovations globales et permettre une massification des travaux portée non par une minorité de grands faiseurs, mais par le plus grand nombre des TPE du bâtiment (soit 95% des entreprises du bâtiment), expertes dans leurs métiers.Qualification RGELa CAPEB demande de renforcer la crédibilité du dispositif et de le simplifierImposer la présence d’un référent RGE par tranche de 10 salariés au sein des entreprises qualifiées RGE.Dynamiser le dispositif de la qualification « chantier »* en mobilisant l’ensemble des organismes de qualification autour d’objectifs précis et en faisant connaître ce dispositif par des actions de communication et de promotion de grande ampleurFixer un taux de contrôle par entreprises RGE en fonction du nombre de chantiers réalisés par l’entreprise, le choix des chantiers à contrôler devant être effectué par l’organisme de qualification sur la base de l’ensemble des chantiers réalisés par l’entreprise (choix réellement aléatoire).Coordonner les contrôles réalisés au titre de la qualification RGE et au titre des CEE : choix des chantiers, référentiel de contrôle, etc.* Nouvelle appellation de la qualification « coup par coup »Donner aux artisans les moyens d'exercer sereinement et efficacement leur métierZFE-m (zones à faibles émissions mobilité)La CAPEB demande un calendrier de mise en œuvre réalisteAdapter le calendrier de mise en place des ZFE-m pour tenir compte des réalités économiques des entreprises de proximité et de l’offre de véhicules sur le marché.Intégrer aux processus de mise en place des ZFE-m des représentants des organisations professionnelles représentant les entreprises de proximité.Créer un organe de gouvernance nationale ad hoc des ZFE-m.Autoriser des dérogations locales pour la circulation de certains véhicules en ZFE-m, tout en veillant à leur cohérence au niveau national.Parc des véhicules professionnelsLa CAPEB demande un accompagnement financierFavoriser, par des dispositions financières chocs, la transformation du parc des véhicules des professionnels vers des véhicules propres afin de diminuer le poids de l’énergie dans les charges des entreprises, mais aussi pour contribuer à l’atteinte des objectifs que la France s’est fixée en termes de maîtrise des consommations énergétiques.Cette mesure pourrait être complétée par une offre packagée à destination des entreprises : aide à l’acquisition d’un véhicule électrique intégrant un financement préférentiel couvrant la mise en place d’une borne IRVE et installation de panneaux photovoltaïques pour alimenter la borne de recharge, permettant ainsi un fonctionnement en totale autoconsommation.Lutter pour plus d'équité dans l'exercice des métiers du bâtimentConcurrence déloyaleLa CAPEB demande des mesures rapidesLimiter à deux ans, dans le BTP, le recours au régime de la microentreprise en activité principale.Supprimer tous dispositifs légaux générant des situations de dumping social, renforcer les sanctions existantes, notamment concernant le détachement de salariés, et contrôler le bon paiement des cotisations sociales.Contrôler l’exercice d’activités dissimulées favorisé par les plateformes de mise en relation qui facilitent la possibilité d’échapper aux obligations fiscales et sociales, et l’exercice d’activités sans les qualifications professionnelles requises dans le bâtiment.Sous-traitance en cascadeLa CAPEB demande sa limitationLimiter la sous-traitance en cascade, au rang 1, pour contribuer à la solidité financière des entreprises et à la qualité des travaux réalisés.
Il y a 2 ans et 233 jours

Face à la crise, trop de passoires thermiques

Selon France Info, l’exécutif prévoit de relever le budget du dispositif “Ma Prime Rénov” passant d’une enveloppe de 2 milliards d’euros en 2022 à une enveloppe de 2,6 milliards d’euros dans le projet de loi de finances 2023. Alors que nous nous apprêtons à affronter des risques de pénuries, cet hiver, aussi bien au niveau des énergies fossiles que de l’électricité, une étude dévoilée cet été dresse un bilan inquiétant du nombre de passoires thermiques. Selon elle, sur les 30 millions de résidences principales que compte la France au 1er janvier 2022, environ 1,5 million de logements (5 % du parc) seraient peu énergivores (étiquettes A et B du DPE). À l’opposé, environ 5,2 millions de logements (17 % du parc) seraient des « passoires énergétiques » (étiquettes F et G du DPE). La date de construction du logement, sa taille, sa localisation, le caractère individuel ou collectif de l’habitat et le statut d’occupation figurent parmi les caractéristiques influant sur les performances énergétiques. La part des passoires énergétiques est plus élevée dans les résidences secondaires (32 %, soit 1,2 million de logements) et dans les logements vacants (27 %, soit 0,8 million de logements) ce qui porte l’estimation du nombre de passoires énergétiques à un total de 7,2 millions de logements sur l’ensemble du parc. La nouvelle méthodologie du DPE, en particulier sa nouvelle échelle de classement des logements, combinant des critères de consommations énergétiques conventionnelles et d’émissions induites de gaz à effet de serre, conduit à une plus grande part de logements chauffés aux énergies fossiles parmi les passoires énergétiques. L’observation de ces performances est aujourd’hui rendue possible par la collecte par l’Ademe de l’ensemble des DPE réalisés en France. Elle n’en demeure pas moins complexe, l’exploitation de la base des DPE de l’Ademe à des fins statistiques se heurtant à plusieurs limites. Les DPE sont en effet réalisés à certains moments de la vie des logements, lors des transactions et des mises en location. Ils ne sont donc pas représentatifs du parc (les logements neufs étant notamment surreprésentés). Cette difficulté est traitée ici par le recours au répertoire de logements de l’Insee «Fidéli», qui permet d’assurer la représentativité des résultats par rapport à certaines caractéristiques observables des logements potentiellement liées à la performance énergétique, telles que leur caractère individuel ou collectif, leur date de construction, leur surface, la qualité du bâti, etc. Source : étude de l’Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE) – juillet 2022  
Il y a 2 ans et 233 jours

Solaire photovoltaïque : les solutions d’avenir mises en lumière sur batimat

Avec ses partenaires, Enerplan et le GMPV-FFB (Le Groupement des Métiers du Photovoltaïque de la Fédération Française du Bâtiment), BATIMAT a imaginé un nouvel espace dédié à la filière solaire photovoltaïque, de 400 m2 au cœur du Pavillon 1 sur lequel seront réunis 12 exposants français et internationaux : ALBIOMA, ALEXIS ASSURANCE, APEM ENERGIE, CREAWATT FABRICK, DUALSUN, ENERPLAN, GMPV, GSE INTEGRATION, K2 SYSTEMS, SYSTOVI, VALENERGIES, GOODWE. Un espace de conférences sera aussi disponible. Les visiteurs pourront assister, chaque jour à des conférences et des pitchs, animés par les exposants sur l’espace Photovoltaïque : Les Ateliers photovoltaïques – Les idées reçues sur le photovoltaïque (INES : Institut National du Solaire), lundi 3 octobre : 14h30-15h15 – Le photovoltaïque citoyen, mardi 4 octobre : 10h30-11h15 – La promotion des métiers auprès des jeunes (FFB), mardi 4 octobre : 14h30- 15h15 – Mieux travailler ensemble pour l’installation d’un projet photovoltaïque (GMPV- FFB), mercredi 5 octobre : 10h30-11h15 – Le B-A BA de l’autoconsommation (Enerplan), mercredi 5 octobre : 14h30-15h15 – Comment bien penser un projet en autoconsommation (Atlansun), jeudi 6 octobre : 10h30-11h15 Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings» – En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque). Seront également programmées des sessions de pitchs, qui permettront aux exposants de l’espace de présenter leurs nouveautés et leurs solutions aux visiteurs. Ces pitchs se dérouleront chaque jour entre 10h et 17h, en alternance avec les 6 conférences et seront animés par les 20 exposants de l’espace.  
Il y a 2 ans et 233 jours

Ajaccio se lance dans de grands travaux de rénovation de son éclairage public

CHANTIER. Les travaux se découperont en deux phases, entre septembre 2022 et 2026. La Ville espère faire d'importantes économies d'énergie.
Il y a 2 ans et 233 jours

De l'ardoise en toiture et en façade pour une maison qui allie esthétisme et efficacité énergétique

Acteur mondial de l’ardoise naturelle, Cupa Pizarras exporte chaque année 80 000 tonnes de schiste vers la France, premier pays consommateur au monde.Fendue à la main, l’ardoise naturelle Cupa Pizarras est un matériau totalement inerte : elle ne subit aucune modification chimique durant sa transformation. Elle se distingue également par sa longévité de 100 ans qui en fait le matériau de couverture le plus durable. Quelle était la commande ? Comment avez-vous construit ce projet ?Nous avions un challenge à relever, celui de créer une maison entièrement accessible à un handicap physique lourd. Les dimensions des pièces sont donc beaucoup plus grandes que celles d’une maison “traditionnelle”.Pour concevoir cette bâtisse sans effet massif, avec des pièces orientées idéalement, et qui puisse intégrer l’ensemble des surfaces souhaitées par le maitre d’ouvrage, nous avons choisi de répartir les pièces dans plusieurs ailes : celle des pièces de vie, celle du couple et celle des enfants. A l’étage, une grande mezzanine, vouée aux loisirs (jeux et bibliothèque) est tournée vers le grand paysage.D’autre part, le terrain présentait un fort dénivelé ce qui nous a amenés logiquement à le traiter grâce aux différents niveaux de la maison. Les pièces principales sont au niveau de la rue et ont un accès sur une grande terrasse et sur une partie du jardin.Les pièces techniques, comme le garage et la salle de remise en forme, sont au niveau du jardin le plus bas. Cela nous a permis de faire le moins de mouvement de terrain possible et de limiter l’impact de cette maison, aux dimensions conséquentes, sur son environnement proche et sur le paysage. En effet, elle se trouve dans un lotissement de maisons de constructeurs, qui ont toutes des dimensions plus modestes.Quels étaient les objectifs énergétiques attendus ?Au-delà de l’obligation à la règlementation thermique, nous sommes très sensibles dans notre agence à la question environnementale. Un grand soin a été apporté à l’isolation et à l’étanchéité à l’air.L’orientation générale de la maison a été pensée au plus près de la logique du bio climatisme et nous avons proposé un système de chauffage et de production d’eau chaude durable, avec une pompe à chaleur et des panneaux solaires. L’orientation de la maison permettait de mettre en place 8 panneaux solaires orientés plein sud.Pourquoi avoir choisi l’ardoise ?La maison étant très grande, il fallait qu’elle ait un caractère à la hauteur de ses volumes : l’ardoise s’est rapidement imposée. D’une part car l’Ardenne est l’une des plus grandes provinces ardoisières européennes, et nous souhaitions que cette maison aux lignes contemporaines affirmées garde un lien symbolique fort avec le patrimoine local.D’autre part, car l’ardoise est un matériau noble, qui impose un caractère affirmé.Le choix de l’ardoise en façade a été fait pour créer de la profondeur et amener un effet de texture que nous n’aurions jamais eu avec de l’enduit. Pour que l’ensemble ne soit pas trop sombre, et faire la transition entre l’ardoise et l’enduit clair, nous avons choisi de revêtir une partie des façades avec de la pierre aux tons nuancés gris.C’est la première fois que nous proposions de l’ardoise en façade et nous sommes pleinement satisfaites, car le rendu répond tout à fait à la création architecturale que nous avions imaginée.
Il y a 2 ans et 233 jours

La Fondation Holcim en deuil après le décès d’Edward Schwarz

Edward Schwarz a été directeur général de la Foundation Holcim depuis sa création en 2003 jusqu’à 2021. [©Fondation Holcim] C’est avec une grande tristesse que la Fondation Holcim a annoncé, le 3 août 2022, le décès soudain d’Edward Schwarz, son ancien directeur général. Fondateur de l’institution en 2003, son dévouement, son énergie et sa passion ont contribué à faire connaître la Fondation partout dans le monde, à travers des projets innovants de construction durable. Décrit comme quelqu’un de modeste, chaleureux, enthousiaste et d’une conviction sans faille, Edward Schwarz a grandement contribué à faire connaître l’architecture suisse et internationale. Il a façonné à son image la Fondation, en mettant en lumière le rôle fondamental de l’architecture, de l’ingénierie, de l’urbanisme et de l’industrie du BTP dans la construction d’un avenir durable. Retraité en 2021, il se réjouissait de vivre de nouvelles aventures.
Il y a 2 ans et 233 jours

Des gants alliant confort – écologie – sécurité signées Würth

Les nouveaux Ecoline E-100 par Würth [©ACPresse] Pour assurer la sécurité des travailleurs, Würth lance ses nouveaux gants Ecoline E-100. Fabriqués à partir de coton recyclé, ces gants allient confort, sécurité et style. Le tissu de renfort et le latex naturel robuste permettent une bonne prise en main. Utilisables dans des environnements aussi bien secs qu’humides, ils sont durables et ne se détériorent pas. Les gants Ecoline E-100 assurent la sécurité du travailleur. Ils protègent même contre une chaleur de 250 °C sur une courte durée. L’alliance du blanc et du vert assure une esthétique efficace qui ne passera pas inaperçue.   Würth, l’appui sur la sécurité Depuis plusieurs années, le groupe allemand Würth s’implique dans la sécurité des travailleurs. L’industriel commercialise notamment des échafaudages sécurisés, des armoires de sécurité ou des rubans de signalisation. Il propose aussi aux professionnels des vêtements haute visibilité et des chaussures de sécurité. Depuis 2020, Würth France forme les professionnels à la sécurité au travail. Ces formations sont données dans leur centre spécialisé : le “Würth training center”. 
Il y a 2 ans et 233 jours

Issy-les-Moulineaux digitalise le suivi énergétique de ses bâtiments grâce à la plateforme Citron !

Dans un contexte où la sobriété énergétique devient indispensable, la ville d’Issy-les-Moulineaux prend les devants et digitalise le suivi énergétique de ses bâtiments publics grâce à Citron ! Le 14 juillet dernier, le Président de la République annonçait un plan de sobriété énergétique ayant pour objectif un objectif de réduction de la consommation énergétique française […]
Il y a 2 ans et 233 jours

Isonat reçoit une subvention de l’ADEME dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

Décarboner son industrie est une priorité pour Isonat, en droite ligne avec l’objectif Net Zero Carbon de Saint-Gobain et ISOVER. Cet engagement fort a été récompensé par l’ADEME, qui a décidé de financer à hauteur de 850 000 euros cette réduction des émissions de CO₂, qui sera réalisée à l’occasion de la refonte de l’outil […]
Il y a 2 ans et 233 jours

MYLIGHT SYSTEM lance le module QUARTZ 425WC : un meilleur rendement pour encore plus de production solaire sur les toitures !

Équiper tous les bâtiments en panneaux photovoltaïques pour déployer le maximum d’énergie verte et locale, est le coeur de mission affirmé par le fabricant et fournisseur d’énergie MyLight Systems. Le potentiel est immense, pour autant les toits ont un espace limité. Avec l’électrification croissante des usages, le défi du spécialiste de l’autoconsommation solaire est de […]
Il y a 2 ans et 233 jours

Rector & Techniwood : l’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées préfabriquées en bois. Cette association a pour objectif de proposer des solutions de préfabrication industrielle bois et béton hors-site pour une décarbonation intelligente des bâtiments.Une vision partagée de la construction durable et de la construction hors-siteGrâce à ses gammes de produits et systèmes préfabriqués bas carbone, RECTOR est résolument engagée en faveur de la décarbonation, démarche qui s’inscrit dans la stratégie RSE de l’entreprise.Spécialisé depuis 10 ans dans la fabrication de systèmes constructifs en bois (ossature bois, charpente, CLT) et particulièrement de façades bois préfabriquées avec son produit innovant Panobloc® 100% made in France, le groupe TECHNIWOOD affiche également sa volonté de s’inscrire dans une démarche vertueuse en faveur de la transition énergétique.Pour Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique de Rector : « Nous avons eu l’occasion de rencontrer les équipes de Techniwood sur des actions de prescription commune, et très rapidement, nous avons réalisé que nos visions et nos valeurs étaient très proches. »Les deux entreprises croient en la complémentarité des matériaux béton et bois car chacun dispose d’atouts propres qui justifient leur mise en œuvre au meilleur endroit pour répondre aux contraintes des bâtiments durables (thermique, acoustique, feu, bas carbone,...).Pour favoriser le développement de la construction hors-site, RECTOR et TECHNIWOOD sont convaincus qu’il est primordial de :s’appuyer sur les compétences des entreprises générales et de gros œuvre et de les accompagner, le plus en amont possible dans la transition vers un changement des modes constructifs ;proposer des solutions innovantes industrialisées laissant libre cours à la créativité des architectes. Celles-ci ne doivent pas nécessiter de techniques de mise en œuvre trop disruptives pour accélérer les délais de construction et maintenir le logement à un niveau de prix acceptable ;viser l’excellence industrielle grâce à l’utilisation d’outils numériques, tels que le configurateur Caméléo® de RECTOR, compatibles avec l’accélération des chantiers BIM.Des systèmes complémentaires pour porter une offre globaleAyant pour ambition commune d’être la référence dans son domaine pour la construction durable, les deux entreprises s’appuient sur une offre réunissant :la structure plancher-dalle préfabriquée en béton bas carbone Caméléo® sans mur porteur de RECTOR, qui intègre tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Composé d’une trame de poteaux et d’une dalle en béton armé, Caméléo® permet la construction de bâtiments évolutifs dont les espaces intérieurs et les façades peuvent être facilement reconfigurés au fil du temps. Grâce à sa grande adaptabilité (pas de retombées de poutres, ni de séparatifs lourds), les plateaux libres se prêtent à toutes les configurations et le bâtiment construit aujourd’hui s’adapte aisément à de nouveaux usages demain. La transformation peut être ainsi prévue dès la conception de l’ouvrage en choisissant judicieusement l’emplacement des poteaux. RECTOR laisse ainsi aux architectes toute latitude pour exprimer leur créativité dans un cadre évolutif, tout en minimisant les coûts et l’impact environnemental des reconversions. L’écoconception de Caméléo® privilégie systématiquement le bon matériau au bon endroit et accompagne dès les premières esquisses la mixité constructive et tout particulièrement le bois.le panneau de façades éco conçu Panobloc® CLT à isolation intégrée de TECHNIWOOD qui garantit une excellente performance de l’enveloppe du bâtiment (au niveau thermique, feu et carbone) et une mise hors d’eau et hors d’air plus rapide du chantier. Panobloc® est un treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés composé d’une alternance de lames de bois massifs et de bandes isolantes de remplissage occupant l’espace libre entre les lames de bois. Fabriqués grâce à un process industriel totalement automatisé sous assurance qualité, les panneaux de façade Panobloc® ont un impact carbone négatif. Ils apportent une grande qualité d’usage et de confort aux occupants (isolation thermique et acoustique, qualité de l’air, ...).Ce système combiné offre tous les bénéfices de la préfabrication (gain de temps, de ressources, de coûts et réduction des nuisances sur chantier) tout en garantissant un bâtiment pérenne, à impact carbone fortement réduit, conforme à la RE2020.
Il y a 2 ans et 233 jours

Le numéro de septembre d'AMC est paru

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°307-septembre 2022) et disponible en format numérique: un événement sur les maisons de santé pour pallier aux déserts médicaux, un dossier sur la terre crue, des détails "habitat minimal" et une matériauthèque "extensibles, flexibles". […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 235 jours

Le Kazakhstan envisage de redonner à la capitale son ancien nom, Astana

Selon le porte-parole de la présidence de ce pays d'Asie centrale, Rouslan Jeldibaï, un amendement en ce sens a été proposé par un groupe de députés "avec l'accord du chef de l'Etat", dans le cadre d'un projet de loi."Dans le même temps, le président considère comme un fait historique le rôle décisif de Noursoultan Nazarbaïev dans le renforcement de l'Etat moderne kazakh et dans la formation de la capitale", a précisé M. Jeldibaï sur Facebook."Par conséquent, les autres choses nommées d'après le premier président doivent conserver leur nom", a-t-il ajouté.Connue pour ses gratte-ciel futuristes au milieu des steppes du nord du Kazakhstan, Astana avait été rebaptisée Nur-Sultan en mars 2019, du prénom de l'ancien chef d'Etat, après son départ du pouvoir.M. Nazarbaïev, qui a dirigé de manière autoritaire cette ex-république soviétique de son indépendance en 1991 à 2019, a bénéficié pendant des années d'un culte de la personnalité au Kazakhstan.Arrivé au pouvoir après la démission surprise de son mentor, le nouveau président Kassym-Jomart Tokaïev a progressivement pris ses distances avec l'héritage de M. Nazarbaïev, entamant des réformes et écartant l'influent clan de l'ex-président. Ce tournant est de plus en plus marqué depuis des émeutes meurtrières qui ont secoué le Kazakhstan en janvier et dont les causes restent mystérieuses.Noursoultan Nazarbaïev s'est notamment vu retirer son titre d'"Elbassy" - "Chef de la nation" -, un statut qui lui donnait une autorité considérable. Plusieurs de ses proches ont été écartés de postes à responsabilité et l'un de ses neveux a été arrêté pour détournements de fonds.Après la crise de janvier, M. Tokaïev avait publiquement critiqué son prédécesseur, l'accusant d'avoir protégé les "riches", tout en louant le travail accompli par cet ancien cadre du Parti communiste soviétique.
Il y a 2 ans et 236 jours

Comment les Français se préparent et envisagent les économies d'énergie pour cet hiver ?

Qui doit être le plus sobre énergétiquement ? En ce qui concerne la question de la sobriété énergétique, les Français ont un avis bien tranché : plus de 54% pensent que les particuliers doivent faire moins d’efforts que les professionnels. Seulement 39% estiment que les efforts doivent être équivalents et 4% que ce sont aux particuliers de faire plus d’économies. Pour ou contre pour la baisse des températures dans les maisons cet hiver ? Pour ce qui est de faire baisser la température dans les habitations quand le thermomètre sera au plus bas, les Français sont très divisés : 48% estiment qu’il s’agit d’une bonne idée mais 39% pensent que non et 13% ne savent pas encore répondre à cette question. De plus, entre le fait de savoir que la baisse des températures est une bonne idée et le faire, il existe aussi un fossé. En effet, 45% des personnes interrogées déclarent qu’elles diminueront effectivement cet hiver le chauffage de leur habitation de quelques degrés mais 44% avouent que non et 11% n’ont pas encore pris leur décision. Une baisse de combien ? Faire baisser la température de leur habitation ne signifie pas pour autant que les Français vont rester à 18°C. Ainsi, la température de confort du salon des Français cet hiver sera pour 33% entre 20°C et 18°C, pour 31% entre 22°C et 20°C et pour 29% entre 24°C et 22°C. Il semble donc que les recommandations de faire baisser les températures entre 18°C et 19°C ne soient pas totalement respectées dans les faits. Comment vraiment réaliser des économies ? Pour vraiment faire baisser la facture énergétique, les Français ont de bonnes idées. Ainsi, 77% considèrent qu’une bonne isolation des murs, des plafonds et des sols est la solution la plus efficace. En deuxième place, 65% pensent que le chauffage solaire est pertinent et 61% qu’il faut installer des radiateurs haut de gamme. « En fait, c’est l’accumulation de toutes ces solutions qui rend une habitation efficace et donc qui permet de réaliser d’importantes économies d’énergie. Si vous avez des murs en carton, un chauffage solaire ne sera pas plus intéressant. En revanche, bien isoler sa maison, associer un système de chauffage solaire avec des radiateurs haut de gamme munis de thermostats déportés, tout en fermant vos volets la nuit, c’est la formule gagnante pour de belles économies énergétiques », a déclaré Jean-Alexandre GRUNELIUS, PDG de Rothelec.Plus d’1 Français sur 2 prévoit de changer de chauffageEn mai 2022, plus de 47% des Français prévoyaient déjà de changer ou d’améliorer leur système de chauffage. En septembre, ils sont plus de 51% dans ce cas, soit une augmentation de 4 points en seulement 4 mois. L’électrique toujours le choix N°1Si l’électricité reste encore le choix numéro des Français, il baisse cependant de 39% en mai à 36% en septembre. Le Gaz quant à lui chute véritablement de 33% à 24% alors que le solaire grimpe de 11% à 23%. Le chauffage au bois augmente également de 9% à 19%. * Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 1 002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 000 personnes en France). Entre le 31 août 2022 et le 7 septembre 2022, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Cette enquête a été compilée aux données issues d’une autre enquête durant la période du 11 au 20 avril 2022 sur un panel représentatif équivalent. Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
Il y a 2 ans et 236 jours

Le Département de la Seine-Saint-Denis pose la première pierre du nouveau collège Pierre Sémard à Bobigny

Un budget de 27 millions d'euros de travaux est prévu pour cette opération qui s'inscrit dans le cadre du plan « Éco-collège » du Département. La livraison des nouveaux bâtiments est prévue pour le premier trimestre 2024. Étaient présent·e·s pour la pose de cette première pierre Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Abdel SADI, Maire de Bobigny et Conseiller départemental délégué aux relations internationales et européennes, Pascale LABBE, Vice-présidente en charge de l'Observatoire départemental des violences envers les femmes et de l'égalité Femmes-Hommes, Hélène ENGASSER et Matthieu HEMERY de l'agence d'architectes Engasser & associés ainsi que les élèves, parents d'élèves et équipes éducatives du collège Pierre Sémard.Cet événement a été l'occasion pour chacun·e de découvrir les équipements du futur établissement lors d'une présentation faite par l'agence d'architectes Engasser & associés (qui a également réalisé le nouveau collège Jean Vilar à La Courneuve) : un réfectoire pour 400 demi-pensionnaires, quatre logements de fonction, une salle de sport de 360 m², un plateau sportif extérieur couvert de 2 000 m², une salle polyvalente de 120 m², une salle d'exposition de 60 m², un espace parents...Situé à côté du parc départemental de la Bergère, le nouveau collège sera mieux inséré dans la ville et entouré d'espaces verts. Il accueillera 700 élèves dans des locaux tournés vers la transition écologique, avec notamment une cour oasis, un jardin potager, des terrasses végétalisées et des espaces intérieurs largement vitrés pour favoriser l'éclairage naturel. Il utilisera le réseau CPCU de chaleur urbain pour un chauffage plus respectueux de l'environnement. Les travaux du nouveau collège se déroulent sur un terrain de plus de 11 000 m² situé au 45-62 rue des Coquetiers à Bobigny. Ils ont débuté en avril 2021 par une période de protection et de dévoiement des réseaux, suivie d'une phase de dépollution, de renforcement des sols et de terrassements afin de préparer l'installation du chantier de construction. La livraison de l'établissement est prévue pour le premier trimestre 2024.« Un chantier très attendu est officiellement lancé à Bobigny : celui du nouveau collège Pierre Sémard ! L'éducation est une priorité pour le Département, et construire de beaux collèges, où les élèves ont le plaisir d'apprendre et les équipes celui d'enseigner, c'est aussi contribuer à la réussite scolaire et à l'épanouissement de chacun·e. C'est tout le sens du plan Éco-collège que nous avons lancé fin 2020 avec Emmanuel Constant, Vice-président chargé de l'éducation et des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, pour proposer des établissements modernes et de qualité, exemplaires en matière d'écologie, où s'instruire et grandir dans les meilleures conditions. » - Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-DenisÀ propos du plan Éco-collège 2021-2030 du Département de la Seine-Saint-DenisDepuis plus de dix ans, le Département de la Seine-Saint-Denis place l'éducation au coeur de ses priorités et investit massivement dans les collèges. Avec l'adoption du Plan « Éco-collège » fin 2020, ce sont un milliard d'euros qui seront consacrés d'ici 2030 à la construction, la rénovation et la résilience écologique des collèges publics du territoire. Cela représente au total 8 nouveaux établissements, 43 rénovés et 7000 places créées.
Il y a 2 ans et 236 jours

Sto déploie une offre de produits essentiels à l’ITE

Après la nouvelle organisation mise en place fin 2021 pour le marché de la maison individuelle, avec à sa tête Julien Velar, Sto France franchit une nouvelle étape dans son développement. Sto’n’Go (Sto et c’est parti) : c’est le nom de l’offre proposée par Sto à destination de ses clients artisans en maison individuelle composée de l’essentiel de produits pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur et de ravalement. Et pour faciliter les démarches administratives de ses clients, Sto met en place une cellule dédiée pour l’obtention de l’aide des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE). La sélection Sto’n’Go, c‘est plus de 300 articles pensés pour les chantiers en maison individuelle. Disponibles en enlèvement ou en livraison, ces produits essentiels sont toujours tenus en stock dans les 18 agences du réseau Sto pour répondre rapidement aux différents besoins du marché de la rénovation énergétique. Cet article Sto déploie une offre de produits essentiels à l’ITE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 236 jours

Nouveaux volets roulants à consommation énergétique réduite

Grâce à son moteur radio hybride commandable en mode filaire ou à distance, les nouveaux volets roulants Confort, Design, Sécurité de LAKAL offrent un confort optimal. Cette gamme de volets axée sur la sécurité permet de protéger contre les tentatives d’intrusion ou les incendies. Leur consommation énergétique est réduite de 50% par rapport à la plupart des moteurs du marché. Elle est disponible dans une multitude de couleurs.
Il y a 2 ans et 236 jours

De retour à INTERCLIMA, Zehnder s’ouvre au secteur tertiaire et renforce son offre pour le marché du résidentiel

Pour son retour à Interclima, Zehnder dévoile sa nouvelle offre de ventilation double flux décentralisée dédiée au tertiaire, et plus particulièrement celle pour les écoles, fruit de l’acquisition de la société française CALADAIR. Ce salon sera également l’occasion pour le spécialiste du climat intérieur sain, confortable et économe en énergie de mettre en lumière ses […]
Il y a 2 ans et 236 jours

Puy-de-Dôme : une première ombrière photovoltaïque pour Ombrières d’Auvergne

Ombrières d’Auvergne, la filiale d’Assemblia dédiée à la promotion des installations photovoltaïques, a créé sa première ombrière solaire à...
Il y a 2 ans et 236 jours

Hausse du prix du pellet : Bruno Le Maire favorable à une aide financière "spécifique"

CHAUFFAGE. Le ministre de l'Économie s'est dit favorable à l'introduction d'une aide spécifique pour soutenir les ménages confrontés à la hausse du prix des granulés de bois.
Il y a 2 ans et 236 jours

Le biofioul, alternative au fioul domestique, sera disponible partout dans l’Hexagone

Après plus de quatre années de travail collaboratif mené sous l’impulsion de la Fédération Française des Combustibles, Carburants & Chauffage (FF3C) et comme le prévoit le décret du 5 janvier 2022 – selon lequel les nouveaux équipements de type chaudière sont autorisés en fonctionnement exclusivement avec un biocombustible liquide tel que le biofioul[1] – le biofioul F30 alimentera dès la saison de chauffe 2022-2023 toutes les nouvelles chaudières (installées sur la base d’un devis engagé à partir du 1er juillet 2022).En effet, avec l’entrée en vigueur le 1er juillet dernier du décret n°2022-8 relatif à la performance environnementale des équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, l’installation de matériels utilisant à titre principal un combustible émettant plus de 300 g CO2eq/kWh PCI tout au long de son cycle de vie n’est plus autorisée :L’installation de chaudières neuves utilisant un combustible liquide[2] reste autorisée à la condition d’utiliser du biofioul F30, dont le niveau des émissions tout au long du cycle de vie est inférieur à 300g CO2eq/kWh PCI. Une cinquantaine de références d’équipements biocompatibles Biofioul F30 sont d’ores et déjà disponibles.Les chaudières actuellement en service et installées suivant des devis signés jusqu’au 30 juin 2022 peuvent continuer à fonctionner avec du fioul domestique traditionnel (limité à 7% d’énergie renouvelable selon les spécifications actuelles).Les chaudières actuellement en service peuvent également fonctionner au biofioul F30, à condition d’une adaptation permettant la biocompatibilité du matériel.En conséquence, si le fioul traditionnel peut continuer à être utilisé par plus de 3 millions de résidences principales recourant à cette énergie stockable, toute installation neuve doit désormais fonctionner avec un biofioul F30, lequel répond à l’exigence du plafond d’émission de 300 g CO2eq/kWh PCI fixé par le décret. Du biofioul F30 en 2022 au F55 en 2028La distribution du biofioul F30 débutera d’ici quelques jours, avec la publication imminente d’un arrêté ministériel[3] « relatif aux caractéristiques du fioul domestique F30 », autorisant sa mise sur le marché. Elle s’appuiera sur un réseau de distribution d’ores et déjà en ordre de marche pour servir les usagers concernés sur l’ensemble du territoire. Plus de 300 points de vente couvrant tous les départements de l’Hexagone sont ainsi engagés dans la mise sur le marché du biofioul F30. Leur liste sera accessible dès publication de l’arrêté sur le site internet www.biofioul.info.La mise du marché du biofioul F30 s’accompagne de perspectives d’évolution ambitieuses : le biofioul a vocation à se généraliser progressivement, avec le lancement en 2028 d’un biofioul « F55 » contenant plus de 50% d’énergie renouvelable. Une démarche européenne qui s’inscrit dans la droite ligne de la feuille de route 2050 pour un chauffage décarboné inclusif et durable pour les zones rurales et hors réseaux, annoncée le 9 septembre 2022 par Eurofuel, association des acteurs européens du fioul et des combustibles liquides pour le chauffage domestique.Les consommateurs convaincus par le biofioul mais soucieux de leur budget énergieUn sondage a été réalisé́ par Opinion Way en juillet 2022 auprès d’utilisateurs de fioul afin de recueillir leur avis sur leur mode de chauffage actuel et leur intérêt vis-à-vis d’un biocombustible liquide de chauffage. Parmi les principaux enseignements de ce sondage, marqué par le contexte de crise énergétique et d’inflation :96% des répondants trouvent le chauffage au fioul efficace et procurant une chaleur confortable.61% souhaitent conserver leur mode de chauffage ; 27% réfléchissent à un changement d’ici 2 à 5 ans.Plus de 80% seraient prêts à opter pour du biofioul en remplacement du fioul domestique et 51% pourraient faire adapter leur chaudière dès à présent, en changeant le brûleur, pour pouvoir utiliser du biofioul F30. Mais dans le contexte actuel d’inflation, seuls 38% des utilisateurs de fioul se disent prêts à payer plus cher leur énergie.Les perspectives d’évolution du biofioul séduisent : 67% des utilisateurs de fioul domestique déclarent être prêts à utiliser les différents produits qui seront mis sur le marché dans les années à venir (F55 puis F100).Pour Eric Layly, Président de la FF3C :« Le décret du 5 janvier dernier signant la naissance du biofioul F30 et l’arrêté ministériel qui en autorise la mise sur le marché marquent l’aboutissement d’un long travail collectif de toute une filière – constructeurs de matériels de chauffage, agriculteurs producteurs de colza, installateurs, producteurs et distributeurs d’énergies.»« Ce travail, mené en lien avec les services de l’Etat, nourrit une ambition forte sur le plan environnemental, prenant en compte à la fois le libre choix et les contraintes des consommateurs des territoires périurbains et ruraux. »« Aujourd’hui, la filière est fin prête pour la nouvelle saison de chauffe et pleinement en mesure de livrer du biofioul F30 comme de continuer à distribuer normalement du fioul traditionnel. »Pour Frédéric Plan, Délégué Général de la FF3C :« L’arrivée du biofioul est une solution concrète et immédiatement disponible pour accélérer la fin du fioul domestique traditionnel. Reste que pour inciter les Français à se tourner vers le biofioul, il faut que la fiscalité le rende attractif. »« En effet, les chaudières actuellement en service peuvent être adaptées à l’usage du biofioul notamment à l’occasion d’un changement de brûleur. C’est une opportunité d’aller plus vite et plus loin sur le front de la décarbonation du chauffage au fioul. Et c’est au législateur d’en prendre l’initiative. »« Si le gain de consommation d’une chaudière neuve à haute performance énergétique, de 25 à 30 %, permet de gommer le surcoût lié à l’usage du biofioul, ce n’est pas le cas pour les chaudières existantes dont la longévité dépasse les 25 ans. »Le biofioul, énergie des territoiresLe biofioul est une énergie liquide stockable, composée d’une part d’énergie renouvelable, prioritairement sous forme d’ester méthylique de colza (EMC). Le choix du colza tient aux nombreux atouts de cette plante dont la France est l’un des premiers producteurs en Europe: 100.000 agriculteurs cultivent du colza sur l’ensemble du territoire. Sa graine, composée à parts équivalentes d’huile (notamment valorisée en biofioul) et de matière riche en protéines (notamment valorisée pour l’alimentation animale), offre des réponses prometteuses et complémentaires aux enjeux des transitions agroalimentaire, énergétique et environnementale, dont celui de la souveraineté protéique de la France.Le fioul domestique, 3e énergie de chauffage en FranceLe fioul domestique est la 3e énergie de chauffage en France. Il équipe plus de 3,5 millions de logements, dont 3,1 millions de résidences principales, sur un total de 29,8 millions, soit 12% du parc, principalement dans des territoires ruraux et périurbains que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas (sources Ceren et Ademe, 2017). En France, 25.000 communes sur un total de 35.000 ne sont pas raccordées aux réseaux de gaz, ce qui représente, sur l’ensemble du territoire, 13,4 millions de Français et 20% de la population française (sources GRDF et Insee, 2018).[1] https://www.ecologie.gouv.fr/gouvernement-adopte-decret-limiter-emissions-gaz-effet-serre-des-nouveaux-equipements-chauffage[2] La norme AFNOR publiée le 11 mai 2022 détermine les caractéristiques de ce nouveau biocombustible liquide: https://norminfo.afnor.org/norme/xp-m15-040/combustibles-liquides-fiouls-domestiques-f30-exigences-et-methodes-dessai/200017[3] Le code de l’énergie conditionne la mise sur le marché de tout produit énergétique à un arrêté ministériel dont la parution est imminente.
Il y a 2 ans et 236 jours

Le coût de l'énergie, carburant de la sobriété dans le bâtiment

Poussés par la hausse des prix de l’énergie, investisseurs, utilisateurs et propriétaires de bâtiments tertiaires et industriels cherchent à...
Il y a 2 ans et 236 jours

TotalEnergies revend sa participation dans un champ pétrolier au Kurdistan irakien

"TotalEnergies a finalisé la cession de sa participation de 18% dans le champ pétrolier onshore de Sarsang, dans la région du Kurdistan irakien, à ShaMaran Petroleum Corp, une société cotée au Canada et en Suède et spécialisée dans l'exploration et le développement pétroliers au Kurdistan, pour un montant ferme de 155 millions de dollars", indique le groupe dans un communiqué.TotalEnergies assure qu'un "montant conditionnel supplémentaire de 15 millions de dollars pourra s'ajouter en fonction de la production et des prix du baril".Découvert en 2011, le champ de Sarsang est exploité par l'entreprise américaine HKN, qui détient la plus grosse part du projet (62%), tandis que le gouvernement régional du Kurdistan en possède 20%.Avec sa part de 18%, TotalEnergies produisait environ 3.500 barils par jour en 2021 à Sarsang, précise-t-il.Le groupe Total, qui a promis en ajoutant "Energies" à son nom de diversifier sa production avec plus d'énergies renouvelables mais dont la stratégie pour le climat reste très critiquée, y compris par certains actionnaires, a produit quelques 14.000 barils "équivalent pétrole" par jour en Irak en 2021.Il détient également une participation de 22,5% dans le champ pétrolier d'Halfaya, au sud du pays, et a signé en septembre 2021 un contrat avec le gouvernement irakien pour des investissements qu'il estime à 10 milliards de dollars afin de construire un réseau de collecte et d'unités de traitement de gaz, une unité de traitement de l'eau de mer et une centrale photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 236 jours

L’interphone «VOG5» d’Urmet présenté au congrès HLM

Véritable allié pour réduire la consommation d’énergie et favoriser l’accessibilité et l’adaptabilité des logements aux personnes en situation de handicap, le moniteur interphone VOG5 présente des fonctionnalités exclusives. Urmet qui dispose de la gamme la plus large du marché en interphone GSM sans fil ou hybride, n’en oublie pas pour autant le filaire qui reste la solution répondant aux besoins des bailleurs sociaux, notamment dans le cadre de la loi […]
Il y a 2 ans et 236 jours

Holcim hisse les voiles

Holcim poursuit sa conquête des flots. [©Holcim] Holcim se lance dans les courses au large. Six mois après le rachat du groupe PRB, le cimentier suisse reprend la main sur les courses nautiques. Dès fin 2022, Go Circular sera mis en mer. Ce bateau doit permettre d’inspirer le grand public sur la préservation des éco-systèmes naturels. L’objectif du groupe est aussi de sensibiliser sur le passage fondamental à une vie circulaire. Avec 50 Mt de déchets de construction recyclés, Holcim s’impose comme un leader mondial du recyclage. Cela se traduit notamment par certains de ses ciments composés de 20 % de déchets recyclés. Le groupe ambitionne d’atteindre 100 Mt recyclés d’ici 2030. 100 % solaire Holcim poursuit ainsi sa conquête des flots. En juillet 2022, le Circular Explorer était mis en mer. Premier catamaran 100 % solaire, il a pour objectif de ramasser et de recycler les déchets de la baie de Manille, aux Philippines. Le groupe suisse veut maintenant donner de la visibilité à ses actions. Pour y parvenir, le Go Circular de l’équipe Holcim-PRB prendra la mer le 6 novembre prochain pour la Route du Rhum. Il sera barré par Kevin Escoffier. Le skipper s’est réjoui de ce nouveau départ : « Nous n’avons qu’une seule planète, mais nous vivons comme si nous en avions deux. Avec Go Circular, nous mettons en lumière un changement vers un mode de vie circulaire. Cela me tient à cœur en tant que marin et surtout en tant que père ». Pour son dernier Vendée Globe, Kevin Escoffier avait été secouru par Jean le Cam. Il espère désormais atteindre le Graal ultime ! Colin Rousselet
Il y a 2 ans et 236 jours

Parution du Smart Guide de la RE2020 : Construire des logements avec les Smart Systèmes en Béton

Il a pour objectif de guider les acteurs de la construction à mieux comprendre les trois objectifs de la RE2020 et de démontrer qu’utiliser les solutions préfabriquées en béton permet d’ores et déjà de répondre pleinement aux exigences environnementales et de confort de la nouvelle réglementation et de favoriser la sobriété énergétique du bâti.Destiné à tous les acteurs de la construction et en priorité aux CMistes, promoteurs et bureaux d’études thermiques et environnementaux, ce guide de 24 pages, pédagogique, ludique et étayé par des cas concrets, est divisé en deux grands chapitres :Comprendre les objectifs de la RE2020 : ses trois objectifs (sobriété énergétique, fraîcheur des bâtiments en cas de fortes chaleurs et diminution de l’impact carbone) et son calendrier d’application, les évolutions entre la RT2012 et la RE2020, le calcul de l’impact carbone à l’échelle du bâtiment et la méthode ACV, le respect des seuils carbone construction nécessitant que tous les lots contribuent à la réduction de l’impact carbone des bâtiments.Utiliser les Smart Systèmes en Béton pour passer la RE2020 : les solutions préfabriquées en béton pour les logements pour répondre aux trois objectifs de la RE2020, et donc, construire bas carbone, diminuer toujours plus l’impact carbone des systèmes constructifs en béton et favoriser le confort d’été lié à l’inertie des bâtiments.Au travers des Smart Systèmes en Béton, la FIB a initié un programme pour valoriser l’intelligence embarquée dans chacune des solutions préfabriquées en béton, en termes d’économie des territoires, des ressources, de l’énergie et de la fonctionnalité, résolument inscrites dans une voie de production responsable et connectée.La publication du guide s’inscrit dans ce cadre et dans la communication collective initiée par la Fédération pour valoriser l’apport des solutions préfabriquées en béton pour réduire l’empreinte environnementale, notamment les murs et planchers destinés aux marchés des maisons individuelles et logements collectifs.Elle est complétée par une panoplie d’autres outils : des études de cas, outils d’aide à la décision, fiches chantiers avec le témoignage de bureaux d’études pour quantifier les paramètres d’application de la RE2020, une web série de vidéos témoignages pour faire incarner les messages par des bureaux d’études, des constructeurs…La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100% d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables.Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec plus de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15.000 m 2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche.L'industrie du béton en France461 entreprises722 sites de production2,8 milliards d’€ de CA départ usine, hors taxes et hors transport, dont : 62,8% à destination du bâtiment37,2% destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton en volume19.200 emplois directs100% réseau localLe 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de construction.
Il y a 2 ans et 236 jours

Le chanvre : un matériau biosourcé à étudier en rénovation énergétique

En cette période de crise énergétique, malgré tous les dispositifs mis en place par l’Etat, la seule solution efficace pour réduire ses consommations reste la rénovation thermique des bâtiments. Le chanvre se présente comme un des matériaux biosourcés les mieux placés pour répondre à ce défi ! Notre logique, aujourd’hui, est de nous demander combien de […]
Il y a 2 ans et 236 jours

Covid-19 : L’OPPBTP rappelle les bons réflexes pour maintenir une protection contre le virus

Néanmoins, la Covid-19 reste un danger à surveiller, qui a toujours des conséquences problématiques pour les entreprises, pour partie en raison de l’absentéisme qu’elle provoque. Il est donc nécessaire de continuer à être attentif. L’OPPBTP rappelle dans un article synthétique et pratique tous les réflexes et les gestes efficaces pour se protéger du virus et limiter les contaminations dans les entreprises du BTP et sur les chantiers.Se laver les mains fréquemmentLa proximité et l’accessibilité à l’eau sont primordiales pour permettre aux compagnons de se laver les mains le plus souvent possible. Le lavage des mains avec du gel hydroalcoolique est une solution complémentaire quand il n’est pas possible de se laver les mains à l’eau et au savon.Porter un masque dans certaines situationsLe port du masque pour se protéger et protéger les autres est conseillé dans les véhicules, lors de déplacements à plusieurs compagnons si on ne peut pas aérer, dans les transports en commun, et dans les espaces clos ou confinés et les salles de réunion qui ne peuvent pas être régulièrement aérés. Le masque reste également recommandé pour les personnes malades ou fragiles, les personnes symptomatiques, cas contact et pour les interventions chez des particuliers malades.Aérer périodiquement les salles, les réfectoires et les véhiculesAérer les espaces fermés (bureaux, bases vie, véhicules, engins) au minimum 10 minutes toutes les heures est efficace contre la propagation des virus. L’aération régulière est à privilégier quel que soit le mode d’aération ou de climatisation des locaux.Nettoyer régulièrement les surfacesLe nettoyage régulier des locaux, des tables, des poignées, des équipements des installations de chantier (toilettes, lavabos et douches) et des véhicules et engins avec de l’eau et les produits de nettoyage habituels est à encourager.Sensibiliser les salariésUne information auprès de tous les salariés lors des briefings de poste ou lors des quarts d’heure sécurité permet de rester vigilant et de rappeler les bons réflexes pour se protéger. De nombreux supports sont à disposition et utilisables sur preventionbtp.fr.S'organiser et dialoguerDes mesures organisationnelles peuvent être décidées par le chef d’entreprise concernant l’organisation des flux de circulation, des temps de travail, etc. Lorsqu’il existe un CSE ou une commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT), une information ou une consultation sur les mesures sanitaires envisagées ou prises au sein de l’entreprise peuvent être mises à l’ordre du jour.Organiser la coopération des acteurs du chantierPour chaque chantier, les questions de coordination sur les mesures de prévention liées à la circulation du virus de la Covid-19 doivent être abordées. Le maître d’ouvrage, le coordonnateur SPS, le maître d’œuvre et les entreprises pourront ainsi échanger sur les moyens organisationnels, comme l’accessibilité et les points d’eau nécessaires, la gestion de la coactivité, la configuration des installations de chantier… Pour Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP : « Tous les gestes adoptés pendant la pandémie ont permis de travailler en sécurité sur les chantiers. Nous avons tout à gagner à les conserver. Rappelons aussi que la vigilance de chacun au respect des gestes barrières, le port du masque dès l’apparition des premiers symptômes et la vérification de son statut au regard du virus par un test sont essentiels pour protéger les autres. » Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose de nombreuses ressources ainsi qu’une base de Questions / Réponses spécifiques sur la Covid-19 à destination des professionnels. Une nouvelle page « Focus COVID-19 » est également disponible sur le site de PréventionBTP. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct.
Il y a 2 ans et 236 jours

Bordeaux veut augmenter fortement son autonomie énergétique

"Nous n'avons pas attendu cette crise pour travailler sur l'autonomie énergétique de nos bâtiments les plus énergivores, a déclaré l'élu écologiste lors de sa conférence de presse de rentrée. Bordeaux va passer de 7 à 41% d'autonomie énergétique d'ici 2026. C'est un pas de géant que notre ville va franchir"."L'équipe municipale travaille depuis deux ans à la réduction de nos consommations énergétiques et au développement des énergies renouvelables", a-t-il poursuivi.La Ville doit ainsi livrer avant la fin 2023 dix installations solaires et compte couvrir 27% de sa consommation annuelle d'électricité avec du photovoltaïque d'ici la fin de la mandature en 2026. Elle prévoit aussi de se débarrasser du gaz pour l'alimentation de ses piscines qui seront raccordées à des réseaux de chaleur (géothermie ou bois).Par ailleurs, elle va abaisser le chauffage à 19 degrés dans les établissements culturels et les écoles, et même 12 degrés dans les grands gymnases. Dans les piscines, la température de l'eau comme de l'air "sera baissée", indique aussi la municipalité sans plus de précision. A partir de janvier, "la Ville éteindra 55% de ses points lumineux de 01H00 à 05H00 du matin", a ajouté M. Hurmic, qui prévoit également "d'éteindre l'illumination de 90% des bâtiments publics"."L'État nous demande de faire 10% d'économies d'énergie. A Bordeaux nous sommes plus ambitieux, nous réduisons de 12% les consommations énergétiques de la ville et nous réduisons de 20% notre facture d'éclairage public", a-t-il assuré."C'est un effort important et nécessaire pour réduire la facture énergétique de la Ville, dont l'augmentation pourrait s'élever à environ 20 millions d'euros", a avancé le maire. Ce montant est le "pire" scénario envisagé par la municipalité, selon l'adjointe chargée des finances, Claudine Bichet.Face à ce surcoût, M. Hurmic a appelé l'État à aider les collectivités. "Comme d'autres maires de grandes villes, je demande aujourd'hui à l'État d'ériger un bouclier tarifaire pour les services publics du quotidien en régulant un marché volatile et spéculatif, à l'instar du bouclier tarifaire qui protège aujourd'hui les ménages de la flambée de l'énergie", a-t-il plaidé.
Il y a 2 ans et 236 jours

La FFB revoit à la baisse ses prévisions pour 2023

« Une rentrée très chargée économiquement et socialement pour le bâtiment », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. [©ACPresse] “Soyons Ambitieux !” C’est le slogan lancé par la Fédération française du bâtiment (FBB), le mardi 13 septembre 2022, lors de la présentation de la dernière conjoncture. « On veut construire plus durable, on veut être innovant. Nous avons aussi négocié les salaires pour que les métiers restent attractifs. Nous voulons voir plus loin à l’avenir », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. Le secteur de la construction connaît à l’heure actuelle une belle envolée. Les chiffres sont au beau fixe et il faut remonter à 2014 pour en trouver de meilleurs. L’investissement est nécessaire pour atteindre un objectif : celui de la transition écologique, aussi bien pour les constructions neuves que pour la rénovation. Le secteur du bâtiment a progressé de + 3,9 % au premier semestre de cette année par rapport à la même période de 2021. Les carnets de commandes des entreprises demeurent élevés, affichant 7,1 mois d’activité en moyenne à fin août 2022, voire 8,7 mois pour les entreprises de plus de dix salariés. Une conjoncture économique inquiétante Malheureusement, la crise sanitaire a laissé place à la guerre en Ukraine, conduisant ainsi à une envolée du coût de l’énergie. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 236 jours

Salon international du patrimoine culturel : le développement durable, ADN du patrimoine

Porteur, par essence, d’une promesse de transmission, le patrimoine témoigne, à travers toutes ses manifestations, de la recherche constante du juste équilibre entre conservation, durabilité et développement. C’est bien cet ADN particulier qui lui donne une légitimité pour promouvoir et incarner une dynamique éco-responsable, adaptée aux besoins du présent, tournée vers l’avenir, mais surtout soucieuse de l’héritage laissé aux générations futures. Le Salon International du Patrimoine culturel – qui réunira plus d’une centaine d’ateliers et manufactures d’art venus de toutes les régions de France – sera l’occasion de montrer comment les professionnels du patrimoine intègrent les enjeux du développement durable dans chacune de leurs actions. Héritiers de gestes et savoir-faire anciens, les professionnels du patrimoine savent faire cohabiter les procédés traditionnels et l’utilisation de nouvelles pratiques innovantes pour répondre aux nouveaux défis du développement durable. Faire converger préoccupations patrimoniales et objectifs de développement durable pose cependant de nombreuses questions d’actualité : comment concilier les contraintes de rénovation énergétique conformément à la loi Climat du 22 août 2021 et la préservation du patrimoine ancien ? Comment améliorer le confort thermique sans nuire au caractère des édifices restaurés ? Comment promouvoir la reconstruction tout en recherchant la préservation des tissus urbains hérités du passé ? Comment assurer la protection des paysages à l’heure de développement de l’éolien ? Autant de thèmes qui reflètent une tension entre la préservation du patrimoine et la prise en compte de l’environnement dans la cadre du développement durable. Réunissant cette année encore les principaux acteurs du patrimoine, le salon permettra ainsi de confronter les expériences de chacun et d’engager un dialogue autour du thème du développement durable pour conjuguer conservation du passé et construction d’un meilleur environnement
Il y a 2 ans et 237 jours

Le Pôle Fenêtre FFB fait des propositions pour massifier les travaux de rénovation énergétique

Le Pôle Fenêtre FFB (Fédération Française du Bâtiment)* regroupe cinq organisations professionnelles représentatives des activités fenêtres, façades vitrées, vérandas, vitrages, fermetures et stores. Avec pour premier marché la rénovation (plus de 70% des chantiers), cette filière française innove, investit et crée des emplois. Forte d’environ 1.200 ETI et PME industrielles, fabricants de fenêtres et de composants, ainsi que 51.000 PME et artisans, fabricants et installateurs répartis sur tout le territoire, elle représente près de 240.000 salariés, dirigeants et travailleurs non-salariés.Au regard de la consommation actuelle du parc français des bâtiments à rénover, et des économies d’énergie possibles à moyen terme, le Pôle Fenêtre FFB souhaite être associé et contribuer aux travaux du Gouvernement. Il entend ainsi participer aux débats et travailler avec les Ministères afin de co-construire le plan de sobriété énergétique français. Le Pôle Fenêtre FFB ambitionne de valoriser les fenêtres et les protections solaires dans les incitations financières, tout en limitant les impacts budgétaires. Le Pôle Fenêtre FFB présente déjà deux premières propositions concernant les logements et les bâtiments tertiaires.Pourquoi la rénovation des fenêtres est-elle fondamentale dans le plan de sobriété énergétique ?Pour les organisations professionnelles regroupées autour du Pôle Fenêtre FFB : « L’intérêt du remplacement des fenêtres dans les gestes de rénovation pour atteindre la sobriété énergétique des bâtiments est déjà démontré. Selon leurs surfaces, les déperditions des anciennes menuiseries représentent 15 à 40% des déperditions totales du bâtiment. Le remplacement des anciennes menuiseries par des produits performants permet de réduire les besoins de chauffage jusqu’à 30%. En valeur absolue, cette réduction peut représenter jusqu’à 60 kW/m2/an, soit plus de 25% de l’amélioration nécessaire pour porter un logement de 300 à 80 kW/m2/an. De plus, en logement collectif, c’est le seul poste de travaux individuel auquel les ménages ont accès. Enfin, c’est un geste de rénovation thermique qui s’effectue à court terme avec des effets immédiats. »A l’approche de l’hiver, la priorité des ménages, des professionnels et de l’Etat est avant tout de considérer les gains de consommation de chauffage. Le remplacement des fenêtres permet d’isoler une grande partie de l’enveloppe extérieure du bâtiment et offre des apports de chaleur gratuite grâce aux apports solaires en hiver. L’économie est directement visible sur la facture d’énergie et évite un plan de restrictions. Ces travaux de rénovation sont accessibles pour un grand nombre de ménages français.Par ailleurs, après avoir vécu plusieurs épisodes de canicule, il est maintenant indispensable de maîtriser les températures intérieures et limiter les apports solaires en été. Grâce aux volets et stores qui y sont associés, la baie vitrée a ainsi contribué à la réduction des besoins de froid. C’est le seul équipement à offrir la possibilité de rafraîchissement nocturne sans consommation d’énergie. Son efficacité peut être améliorée par l’installation de protections solaires qui limitent l'entrée du froid et les déperditions thermiques en hiver. Elles permettent aussi de maîtriser les apports solaires en été, et le recours à la climatisation. Le remplacement total des menuiseries contribue également à une économie d’éclairage substantielle grâce à l’augmentation de clair de vitrage.Des propositions sur les incitations financières afin de massifier la rénovation énergétiqueAujourd’hui, les incitations financières ne permettent pas de massifier la rénovation énergétique compte tenu du reste à charge trop important et de la complexité de certaines d’entre elles. Le Pôle Fenêtre FFB présente plusieurs propositions pour le logement et le tertiaire :Pour le logementLes mesures d’incitations financières dédiées à la rénovation énergétique des bâtiments sont toutes basées sur les conditions d’éligibilité de MaPrimeRénov’.Le Pôle Fenêtre FFB propose un réaménagement des conditions d’éligibilité afin de permettre à un plus grand nombre de ménages, dont le pouvoir d’achat est aujourd’hui fortement impacté, d’accéder à ces aides et accompagnements.Ce réaménagement pourrait être basé sur la simplification des conditions d’éligibilité aux aides et incitations financières de l’Etat, des organismes bancaires et des collectivités :Quelques exemples de propositions du Pôle Fenêtre FFB :un montant forfaitaire universel, applicable dès le niveau « conditions de ressources modestes »,une bonification du forfait universel pour les revenus très modestes,la suppression de la répartition des conditions de ressources par régions de France,la suppression de l’obligation de remplacement de simple vitrage. Aujourd’hui, près d’un tiers des fenêtres remplacées sont équipées de double vitrage ancienne génération dont les performances d’isolation thermique ne sont plus adaptées aux objectifs d’économie d’énergie pris par la France,la prise en compte de la rénovation des portes d’entrée donnant sur l’extérieur, le maintien de l’éco-conditionnalité (obligation de la mention RGE pour les entreprises de mise en œuvre).Le Pôle Fenêtre FFB demande qu’en contrepartie des efforts réclamés aux industriels et aux ménages, la TVA applicable aux travaux de rénovation des menuiseries (portes extérieures, fenêtres et volets) reste au taux réduit de 5,5% sans condition particulière.Considérant la part grandissante des consommations de climatisation dans les logements, le Pôle Fenêtre FFB propose également qu’un volet « confort thermique » soit intégré dans la politique publique de rénovation énergétique des logements.Pour le tertiaireLe report possible dans l’application du dispositif Eco Energie Tertiaires semble difficile à accepter compte tenu du gisement d’économies d’énergies pour les bâtiments.Le Pôle Fenêtre FFB demande de considérer une entrée en vigueur en janvier 2023.La profession travaille sur la création de fiches standardisées Certificats d’Economies d’Energies (CEE), dédiées à la façade vitrée et aux protections solaires dans les bâtiments tertiaires. Les autres fiches standardisées CEE fenêtre en logement et en tertiaire sont en cours de révision : la filière demande également leur revalorisation.
Il y a 2 ans et 237 jours

Le gouvernement français relève sa prévision de croissance pour 2022 de 2,5% à 2,7%

"La France fait une bonne année 2022. Nous avons révisé la croissance pour 2022 de 2,5 à 2,7%", a déclaré le ministre. Mardi, il avait expliqué que 2,5% de croissance avaient déjà été réalisés au titre de l'année en cours (acquis de croissance).Malgré les tensions géopolitiques et la crise de l'énergie, "la consommation se maintient", "l'investissement des entreprises se maintient, et "les créations d'emplois restent très dynamiques", a expliqué Bruno Le Maire."Les fondamentaux de l'économie française sont solides", a-t-il assuré en dépit de la révision à la baisse, de 1,4% à 1%, de la prévision de croissance pour 2023, dans le cadre de la préparation du budget pour l'an prochain.Le gouvernement a également revu en hausse mardi sa prévision d'inflation pour cette année, de 5% à 5,3%, Bruno Le Maire anticipant une hausse des prix élevée au moins jusqu'en février 2023."Nous ne nous attendons pas à une augmentation de l'inflation jusqu'à l'été 2023", mais "nous allons avoir dans les mois qui viennent, au mois de décembre, au mois de janvier, au mois de février, parce que les prix de l'énergie restent très hauts, une inflation qui reste très élevée", a précisé le ministre mercredi."C'est bien pour ça que nous avons décidé de maintenir le bouclier énergétique" en 2023, a-t-il ajouté. Le Première ministre Elisabeth Borne doit préciser mercredi après-midi de combien augmenteront les prix du gaz et de l'électricité au mois de janvier. La hausse sera "contenue", selon Bruno Le Maire.
Il y a 2 ans et 237 jours

Des moyens : économie circulaire et les ressources pour le bâtiment

Alexandra Lebert - Photo : Raphaël DautignyLe sujet économie circulaire est aujourd'hui porteur de sens et point de convergence entre les différents métiers du CSTB. L'optimisation de l'usage des ressources est indispensable pour préserver l'environnement et la biodiversité. Dans ce contexte, la volonté du CSTB est de fédérer les acteurs du secteur de la construction autour de l'économie circulaire dès la conception des produits, des ouvrages ou des projets d'aménagement pour réduire les impacts environnementaux et limiter les flux de matières. Alexandra Lebert - Directrice de Domaine d'Action Stratégique Recherche Le CSTB renforce sa dimension recherche en établissant des partenariats spécifiques avec le monde académique. En parallèle, il consolide son lien avec le monde opérationnel en poursuivant ses collaborations avec des acteurs qui ont envie d'inscrire l'économie circulaire au cœur de leur stratégie. Les enjeux liés aux ressources énergétiques, non énergétiques et à la ressource en eau étant également au centre de nos préoccupations, le CSTB a créé, en janvier 2022, une nouvelle direction Eau. La direction Énergie-Environnement s'est aussi étoffée. En savoir plus : Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 237 jours

Vinci va "reconsidérer ses objectifs" en matière de sobriété énergétique (I. Spiegel)

FOCUS. En 2020, le groupe Vinci a annoncé vouloir réduire de 40% ses émissions de gaz à effet de serre directes d'ici à 2030. Un plan complété en 2022 par une réduction de 20% sur la totalité du scope 3 (émissions indirectes). Mais compte tenu de l'inflation des prix de l'énergie, il entend accélérer sur certains points, et tester de nouvelles solutions. Rencontre avec Isabelle Spiegel, directrice de l'environnement depuis trois ans.
Il y a 2 ans et 237 jours

Poêles à granulés de bois Qlima, une option économique

Dès les premiers froids, le chauffage devient indispensable. Face à la hausse des prix de l’énergie, notamment du gaz, le bois constitue une solution économique pour de nombreux foyers. Écologiques et performants, les poêles à granulés de bois Qlima cumulent les avantages et s’imposent de plus en plus en tant que mode de chauffage individuel privilégié […]