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Il y a 4 ans et 161 jours

Giscard salué pour sa "grande audace" avec la naissance du Musée d'Orsay

Valery Giscard d'Estaing aura marqué la politique culturelle française et fait "un geste patrimonial et architectural d'une grande audace" en transformant l'ancienne gare d'Orsay en musée.
Il y a 4 ans et 161 jours

Privés de loyers, des propriétaires en résidence de tourisme refusent d'être "une variable d'ajustement"

"On est en train d'attaquer nos économies, c'était pas le but", regrette Alain Mathieu, propriétaire d'un studio dans une résidence de tourisme à Puteaux (Hauts-de-Seine), gérée par le groupe Réside Études.Ce retraité avait contracté un crédit pour l'achat de son bien, convaincu par la perspective d'un investissement "tranquille". Une façon de se constituer "un pécule pour l'avenir", et d'aider financièrement sa fille handicapée. Dans ces locations destinées à un usage touristique, le paiement des loyers est garanti par le groupe exploitant.En mars, il reçoit un loyer correspondant au premier trimestre d'exploitation de la résidence, ouverte en décembre 2019. Depuis, plus rien.Réside Études, qui n'a pas donné suite aux sollicitations de l'AFP, a justifié la suspension des loyers par l'incidence de la crise sanitaire et économique, dans un courrier adressé aux copropriétaires. Le groupe y affirme avoir subi une diminution de 45% de ses recettes d'hébergement par rapport à l'année précédente.Alain Mathieu, qui estime avoir déjà perdu 6.000 euros, a pu négocier avec sa banque un report du remboursement de son prêt jusqu'au deuxième trimestre 2021 mais doit tout de même payer les intérêts, environ 300 euros par mois. Et il n'est pas certain que l'activité de sa résidence, qui dépend largement du tourisme d'affaires, aura repris l'année prochaine.Avec d'autres investisseurs, Alain Mathieu a entrepris une action collective contre Réside Études. "Les propriétaires deviennent une variable d'ajustement de leurs difficultés financières", s'alarme leur avocat, Jacques Gobert. "Juridiquement, les loyers doivent être payés malgré le Covid" ajoute-t-il.Après l'échec de négociations avec Réside Études, l'avocat marseillais, qui dit représenter plus de 4000 propriétaires contre plusieurs groupes de résidence de tourisme, s'affirme prêt à lancer une procédure judiciaire contre le groupe."Confiance détruite"Avec une trentaine de copropriétaires d'une résidence Pierre et Vacances de Val Thorens, Laurent (prénom modifié) a aussi lancé une action collective, encore en phase de conciliation. Lui a perçu des loyers, mais amputés des périodes de confinement. Soit plus de 6.000 euros de manque à gagner. "Sans doute plus", soupire-t-il, alors que sa résidence est, pour l'heure, toujours fermée au public.Pour l'emprunt de ses quatre appartements, achetés pour compléter sa future retraite, il débourse 1.800 euros par mois. Et doit finalement "piocher" dans ses revenus.En compensation des loyers non versés, les deux groupes ont proposé à leurs bailleurs de recevoir, sur les prochaines années, une partie du chiffre d'affaires supplémentaire de leurs résidences.Mais Alain, Mathieu et Laurent, qui comme les autres propriétaires n'ont pas accès aux comptes de leurs résidences, ont jugé les offres trop incertaines, et les ont déclinées."La confiance est complètement détruite", confie Laurent."Les appartements sont devenus indisponibles à leur destination touristique" ce qui a eu pour effet "de suspendre l'objet du bail" et donc le versement du loyer, affirme Dominique Ménigault, directeur de la gestion du patrimoine de Pierre et Vacances, qui rappelle que le chiffre d'affaires du groupe a diminué de 22,4% en 2020."C'est une situation totalement extraordinaire", note Pascale Jallet, déléguée générale du Syndicat National des Résidences de Tourisme (SNRT). Elle distingue celle déjà "très difficile" des résidences mer, montagne et campagne qui ont vu leur chiffre d'affaires baisser de 30% en 2020 selon une étude du SNRT, de celle des résidences de ville, qui accusent une perte d'au moins 60%."Il faut arriver à trouver une solution équilibrée, qui rétablisse la charge entre les exploitants, les propriétaires et l'État", reprend-t-elle.
Il y a 4 ans et 161 jours

Le Fonds de solidarité "universel" sera arrêté au 31 décembre 2020

AIDES. Le Fonds de solidarité, l'un des dispositifs de soutien aux entreprises mis en place par Bercy en mars 2020, ne sera pas poursuivi au-delà du 31 décembre prochain, a annoncé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire. Le Gouvernement veut le recentrer sur les secteurs d'activité les plus en difficulté, dont le BTP ne fait a priori pas partie.
Il y a 4 ans et 161 jours

Pacte national pour la relance de la construction durable : “Pas moins construire mais mieux construire”

Le 13 novembre dernier, la ministre du Logement Emmanuelle Wargon lançait un “Pacte national pour la relance de la construction durable”. Une initiative soutenue par... Cet article Pacte national pour la relance de la construction durable : “Pas moins construire mais mieux construire” est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 161 jours

Une nouvelle référence de construction bois pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

La construction bois et biosourcée s’impose désormais pour de nombreux acteurs comme une solution d’avenir contribuant à un cadre de vie plus durable. Bouygues Bâtiment France Europe en a fait une priorité avec l’objectif de faire de 30% de ses ouvrages des projets bois d’ici 2030. Cette ambition impulsée par son pôle d’excellence bois WeWood est portée au cœur des territoires par ses filiales régionales. C’est le cas de Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui vient illustrer et concrétiser cette démarche sur un chantier emblématique en Pays de la Loire : le siège social de Podeliha (Groupe Action Logement) situé dans le nouveau quartier d’affaires Cours Saint-Laud à Angers. Démarré en mai 2019, le projet s’inscrit dans le cadre d’une vaste opération totalisant plus de 11 000 m2 de planchers et offrant une mixité d’usages avec logements, commerces et bureaux. La partie tertiaire est destinée à accueillir à l’été 2021 les 250 collaborateurs du siège social régional de Podeliha, bailleur social ligérien de référence et de deux filiales. Conçue par le cabinet Rolland & Associés, cette partie compte 3 bâtiments, un en R+5 et deux en R+3, pour une superficie totale de 6400 m2. L’opération a obtenu le label BBCA Neuf, niveau Excellence, pour la phase conception. Pour satisfaire à ces critères environnementaux très exigeants et offrir une performance énergétique niveau RT 2012 -50%, il propose un mode constructif innovant : une solution mixte bois-béton alliant une superstructure bois constituée de planchers en CLT (bois lamellé-croisé) supportés par des poteaux et poutres bois, autour de noyaux en béton armé (façades, cages d’escalier et gaines d’ascenseurs). La fabrication des panneaux de CLT a été confiée à Piveteau Bois tandis que la pose de ces panneaux, mais aussi la fabrication et la pose de la charpente, des poteaux et poutres bois, la fourniture et la pose de murs à ossatures bois ont été assurées par l’entreprise Caillaud Bois. Maître d’ouvrage : Podeliha (Groupe Action Logement) Architecte : Cabinet Rolland & Associés Constructeur, mandataire du macro-lot clos couvert : Bouygues Bâtiment Grand Ouest Partenaires bois : Piveteau Bois et Caillaud Bois, ASCIA (bureau d’étude bois) 844 m3 de bois (lamellés collés, poteaux et poutres bois) mis en œuvre soit une réduction des émissions de CO2 d’environ 338 tonnes.   Photo : © Willy Berré  
Il y a 4 ans et 161 jours

Le Premier ministre indien inaugure symboliquement le vaste projet de réaménagement du centre de Delhi

Modi, 70 ans, s'est livré à des rituels hindous lors de la cérémonie inaugurale, officiellement laïque, de la construction du nouveau parlement - un bâtiment censé représenter le coeur de la démocratie pour 1,3 milliard d'habitants de l'Inde.Le nouvel édifice, beaucoup plus imposant, remplacera l'ancien bâtiment qui, selon Modi jeudi, "a besoin de répit". Une partie de l'ancien parlement sera "rénovée" puis continuera d'être utilisée pour les affaires du gouvernement, certains quartiers du bâtiment seront transformés en musées et d'autres démolis."Aujourd'hui est une date historique. C'est une étape importante dans le cheminement démocratique de l'Inde", a déclaré Modi dans son discours inaugural."L'ancien bâtiment du Parlement témoigne du parcours de l'Inde, de l'époque coloniale à une nation indépendante", a-t-il ajouté, "il est de notre responsabilité de donner à l'Inde du XXIe siècle un nouveau bâtiment parlementaire". Il devrait être achevé à temps pour le 75e anniversaire de l'Indépendance du pays, en 2022.Le vieux parlement bâti au début du XXe siècle par l'architecte britannique Edwin Lutyens composait la pièce maîtresse du Raj, l'Empire britannique en Inde, comprenant également le grand boulevard Rajpath, la résidence du président, les bureaux du gouvernement, le museum national et le monument aux morts de la Porte de l'Inde.Selon les critiques de ce vaste projet de réaménagement dont le coût total s'élèverait à 200 milliards de roupies (2,7 milliards de dollars) dont 130 millions de dollars pour le nouveau parlement, de telles dépenses trouveraient davantage d'utilité dans la lutte contre le Covid-19 et le soutien à l'économie durement heurtée par la pandémie.Des recours ont été déposés à la Cour suprême contre le programme, et pourraient, si ce n'est le compromettre, du moins le retarder. De son côté, le bureau de Modi argue que ce réaménagement "correspondra aux aspirations d'une Inde nouvelle".Tikender Singh Panwar, un membre de l'opposition et expert en urbanisation, estime que ce réaménagement est un "grand scandale en devenir"."Etrangement, pour un projet de cette importance, de cette taille et de ce coût, les détails sont bien sommaires (...)" a-t-il commenté auprès de l'AFP, ajoutant que Modi lui faisait l'effet d'"un leader fasciste voulant laisser l'empreinte de sa gloire sur Delhi".Selon le commentateur politique Arati Jerath, "cet argent aurait pu être bien dépensé pour soutenir et restaurer l'économie (et) créer des emplois, mais au lieu de cela, il est dépensé pour réaliser les rêves grandioses d'un homme et ce à quoi devrait ressembler une Inde nouvelle".L'inauguration se déroulait alors que des dizaines de milliers d'agriculteurs en colère contre les réformes agricoles bloquent les accès à la capitale pour la deuxième semaine d'affilée, constituant un défi majeur pour l'autorité de Modi et son programme de réforme.Lundi, la Cour suprême avait exprimé son mécontentement devant l'empressement du gouvernement à inaugurer le projet avant d'avoir pu les examiner les recours. Elle a toutefois autorisé la poursuite des procédures administratives, y compris la cérémonie de jeudi mais aucune construction ne doit commencer d'ici sa décision.
Il y a 4 ans et 161 jours

La Filière Béton dénonce le “greenwashing” de la RE 2020

Après l’annonce des grandes lignes de la future RE 2020, faite le 24 novembre dernier, les réactions n’en finissent pas de pleuvoir. Déjà, une bonne partie des acteurs de la construction a dénoncé la modification de la comptabilisation du carbone. « Une dérive de la loi qui favorisera le bois au détriment de l’innovation dans les solutions constructives », indiquent les intéressés. A savoir, les filières béton, terre cuite, construction métallique et isolants… Bien entendu, de son côté, la filière bois « se félicite des orientations de la RE 2020 […] et de la reconnaissance de la méthodologie de l’analyse de cycle de vie dynamique. C’est une avancée historique ». La guerre semble belle et bien déclarée.  Les entreprises de la Filière Béton représentent 67 000 emplois directs, répartis sur 4 400 sites, dont dépendent aussi 200 000 emplois indirects. [©ACPresse] L’industrie cimentière pèse près de 2 Md€ C’est dans ce contexte que la Filière Béton vient de lancer une première salve. Ceci, à travers un document intitulé “Greenwashing et distorsion de concurrence n’ont pas leur place dans la RE 2020”. Sept pages qui détaillent toutes les incohérences, selon elle, de l’entrée en application de l’Analyse de cycle (ACV) dynamique simplifiée. « Le ministère de la Transition écologique […] ignore la réalité du tissu productif français. […] Le choix [d’introduire l’ACV dynamique simplifiée] questionne la poursuite des investissements de décarbonatation des entreprises de la Filière Béton, voire condamne à brève échéance leur présence dans l’Hexagone. » Les propos sont forts, sans doute à la hauteur des enjeux dans la balance. Est-il utile de rappeler que l’industrie cimentière pèse près de 2 Md€ de chiffre d’affaires en France ? Que les entreprises de la Filière Béton représentent 67 000 emplois directs, répartis sur 4 400 sites, dont dépendent aussi 200 000 emplois indirects ? Visiblement, oui ! L’ACV dynamique issue d’une étude canadienne Mais qu’est-ce que cette ACV dynamique ? Le fruit d’une unique étude produite au Canada par l’institut Craig et en partie financée par l’industrie du bois canadien… C’est ce que rappelle aussi la Filière Béton. Sa vocation est d’introduire une perspective temporelle de stockage du carbone dans les matériaux. En France, la DHUP, c’est-à-dire la Direction de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages, rattachée au ministère de la Transition écologique, a fait de choix de la simplifier. Et de choisir un horizon temporel à 100 ans. « Une manière de considérer que le CO2et les autres gaz à effet de serre captés au départ ne seront jamais restitués. Effacés d’un coup de baguette magique ! », fulmine Philippe Gruat, président de la Filière Béton.  La mixité des matériaux, avec une dominante du bois : l’avenir de la construction en France ? [©ACPresse] En réalité, cette approche va aboutir à contracter une dette carbone auprès des générations futures, en prétendant répondre à l’urgence climatique. Pour mémoire, en 2017, selon l’Agence internationale de l’énergie, la France représentait 0,9 % des émissions de CO2 mondiales. Et ce, toutes sources confondues. Dans ces émissions, les matériaux de construction pèsent environ 10 %, dont la moitié pour le béton…  L’empreinte carbone d’un bloc béton Il est vrai que la loi Elan exige la prise en compte de la contribution au stockage du carbone de l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments. Cependant, cette obligation questionne et appelle quatre observations de la part de la Filière Béton. Déjà, « l’intérêt climatique du stockage temporaire du carbone dans le bois est loin d’être scientifiquement démontré ». Ensuite, « appliquer la loi Elan n’impose pas de bouleverser le système actuel des ACV ». D’autant que « l’ACV dynamique n’est utilisée dans aucun pays d’Europe ». Et enfin, « la méthode de l’ACV dynamique simplifiée n’a fait l’objet d’aucune validation scientifique ».  A travers son document, la Filière Béton dénonce nombre d’absurdités. Une des plus amusantes est de voir passer l’empreinte carbone d’un bloc béton de + 13 kg de CO2à – 37 kg uniquement en remplissant ses alvéoles de copeaux de bois ! Deux avantages à une telle solution : la capacité isolante du bloc béton sera augmentée et le bois sera protégé contre les risques de feu… A priori, ce n’est pas la conclusion qu’imagine la filière bois, quand elle déclare que « cette mesure [introduction de l’ACV dynamique simplifiée] est de nature à favoriser l’essor d’une mixité́ renforcée des matériaux de construction ». Mention présente dans son communiqué de presse du 25 novembre 2020. Remplir les alvéoles d’une bloc béton de copeaux de bois ferait passer son empreinte carbone à – 37 kg ! [©ACPresse] Et la sécurité au feu des constructions en bois ? Enfin, la Filière Béton estime que l’ACV dynamique simplifiée n’est autre qu’une opération de “greenwashing”. Donc une décision purement politique, dans une volonté avouée du tout bois. Sans compter que ce choix va nécessiter une transformation profonde des forêts françaises. Et, a priori, un important recours aux importations de bois d’œuvre pour répondre à la hausse de la demande qui s’annonce…  Quant à la sécurité au feu des constructions en bois – qui inquiète beaucoup les pompiers, cela va de soi -, le document de la Filière Béton ne l’évoque pas. Mais le sujet risque de se retrouver très vite sur la table. Tout comme les aspects plus sociétaux. Dans un pays patrimonial, attaché à la pierre, à la transmission des biens, les Français ont-ils tous envie d’habiter dans une maison en bois, sans doute plus chère à la construction ? Et dont la valeur à 50 ou 100 ans reste une grande inconnue.    En savoir plus... Télécharger le document “Greenwashing et distorsion de concurrence n’ont pas leur place dans la RE 2020” en cliquant sur l'image. [©Filière Béton - Décembre 2020]   Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 161 jours

"La mécanique de la loi SRU fonctionne bien", Emmanuelle Wargon (ministre du Logement)

Afin de prévoir la production de logements sociaux au-delà de 2025, le gouvernement travaille à l'après-loi SRU. La ministre du Logement se veut ambitieuse sur les objectifs, ouverte à la discussion avec le mouvement HLM et ferme envers les municipalités récalcitrantes.
Il y a 4 ans et 162 jours

La mobilité

Longtemps, la voiture a régné en maître dans les villes, s’accaparant une part signi cative de l’espace public, au détriment de ses autres utilisateurs. Une position qui n’est plus tenable à l’heure où le trafic est congestionné, et ou les moteurs thermiques empoisonnent l’air et rendent malades une part croissante de la population. La ville du futur doit donc être en mesure d’apporter des solutions de mobilité nouvelles, et mettre en place un nouveau partage de l’espace dédié aux déplacements, notamment aux mobilités dites actives. Mais les mobilités doivent aussi être repensées à l’aune des promesses des véhicules, individuels ou collectifs, autonomes. Soulevant à nouveau la question d’une nouvelle couche numérique aux villes de demain.
Il y a 4 ans et 162 jours

« Le digital doit être intégré dans toutes nos infrastructures », Antoine Metzger, président du groupe NGE

Travaux publics - Optimiste pour l'avenir, le président de NGE mise sur le développement de la connectivité, l'agilité du groupe et une politique de recrutement ambitieuse.
Il y a 4 ans et 162 jours

TVA à 5,5% : l'amendement sénatorial qui ne passe pas

Au cours de la discussion en 1er lecture du Projet de loi de finances 2021 au Sénat, un amendement a été déposé, restreignant le périmètre de la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique. La FFB et la Capeb l'ont immédiatement dénoncé.
Il y a 4 ans et 162 jours

Audrey Noguera, Responsable des Solutions Industrielles Kawneer

Dans le cadre de la réorganisation commerciale interne de Kawneer initiée par Raphaël Dericbourg, Directeur Général de Kawneer Europe du Sud et Nord-Est Europe, Audrey Noguera se voit confier la responsabilité du pôle Kawneer Industrial Solutions dédié aux clients industriels de la marque. Titulaire d’un Master 2 Marketing stratégique produits et marques de l’Université de Montpellier Management (MOMA), Audrey Noguera, 37 ans, bénéficie d’une expertise de près de 14 ans acquise au sein de l’entreprise en tant que Chef de Produits Gamme et Assemblé. Audrey Noguera est Responsable du pôle Kawneer Industrial Solutions, qui dépend du nouveau Service Marketing Business Développement créé dans le cadre de la nouvelle organisation commerciale interne de Kawneer. Dans ses nouvelles fonctions, elle assure l’interface entre les clients de Kawneer, fabricants de menuiseries à l’échelle industrielle, les différents services en interne et les commerciaux sur le terrain. Véritable chef d’orchestre, elle identifie, dans un premier temps, les besoins spécifiques de ces clients liés à leur mode de fonctionnement et aux marchés sur lesquels ils évoluent. Puis, elle coordonne les équipes internes pour adapter les process de Kawneer aux leurs, les simplifier et ainsi répondre à leurs attentes le plus rapidement possible, tant sur la partie développement produits que services (logistique, EDI, …). L’objectif final étant la création d’une offre adaptée à leur typologie pour les faire gagner en productivité. https://www.kawneer.com/
Il y a 4 ans et 162 jours

Lagny-sur-Marne : pose de 170 écrans acoustiques sur la RD 934

D’ici mars 2021, la RD 934 (Lagny-sur-Marne) s’équipera d’un nouveau mur anti-bruit. Ce projet de 1,3 M€ est financé par le Département de la Seine-et-Marne.
Il y a 4 ans et 162 jours

Le bâtiment proteste contre un projet de modification de la TVA à taux réduit pour les travaux de rénovation énergétique

Adopté avec l’accord du gouvernement, ce nouvel article pourrait conduire à exclure d’emblée toute une série d’équipements bénéficiant de cette TVA : suppression des fenêtres sauf changement du simple vitrage, suppression des volets isolants et portes d’entrée, notamment.Par ailleurs, cette modification imposerait une obligation nouvelle de qualification à tous les artisans qui souhaitent faire bénéficier de ce taux réduit de TVA à leurs clients. Il existe aujourd’hui 65.000 entreprises qualifiées RGE (reconnu garant de l’environnement) sur les 320.000 entreprises de bâtiment que compte le pays. Cette modification pourrait donc interdire, dès le 1er juillet prochain, à plus de 250.000 artisans de pratiquer la TVA à taux réduit.Si des évolutions de qualifications sont toujours envisageables, les imposer sans consultation, en l’espace de six mois est inadmissible. Aucune urgence, ni raison impérieuse n’imposaient cette évolution présentée comme une « mesure technique de simplification ».Le nouvel article prévoit un décret à venir et une concertation en amont. Toujours disposée à la concertation, la FFB estime néanmoins qu’elle doit précéder la décision et non l’inverse. C’est pourquoi la FFB appelle à la suppression de ce nouvel article lors du retour du texte à l’Assemblée Nationale.La TVA à taux réduit est un dispositif bien intégré par les artisans et les particuliers : le déséquilibrer en cette fin d’année 2020 apparaîtrait comme un très mauvais signal pour la relance de l’activité.FFB, Olivier Salleron, alerte : « Au moment où les feux doivent être poussés sur l’activité et où la rénovation énergétique des logements est annoncée comme une priorité, cette modification constitue un non-sens absolu. Nos artisans ont besoin de tout sauf de cela en ce moment ! »
Il y a 4 ans et 162 jours

L'indemnisation du chômage partiel restera inchangée jusqu'à fin janvier

Pour les secteurs protégés, les plus touchés par la crise, la prise en charge du chômage partiel à 100% sera prolongée "jusqu'à fin janvier, moi je souhaite qu'on aille jusqu'à fin février", et "pour les autres qui sont à 15% de reste à charge, on prolongera ce taux au cours du mois de janvier", a indiqué Mme Borne sur BFM Business."Mais ensuite, on doit passer, sauf évidemment bouleversement de la situation sanitaire, à un reste à charge pour l'entreprise de 40%, ce qu'on avait prévu de faire au moins de novembre", a poursuivi la ministre. Elle a invité les entreprises des secteurs moins touchés par la crise qui anticipent une baisse d'activité plus durable à se saisir des accords d'activité partielle longue durée (APLD), un dispositif qui garantit "une prise en charge avec un reste à charge de 15% dans la durée, jusqu'à deux ans".Utilisé largement dès le début du premier confinement mi-mars pour "éviter des licenciements", le dispositif d'activité partielle (ou chômage partiel) a concerné près de 9 millions de salariés au plus fort de la crise au printemps. En octobre, 1,6 million de salariés étaient encore concernés, selon la Dares (services de statistiques du ministère du Travail).Le niveau de la prise en charge par l'État et l'Unédic a évolué dans le temps et en fonction des secteurs.Actuellement, les salariés en chômage partiel perçoivent 70% de leur salaire brut, soit environ 84% de leur salaire net.L'allocation versée à l'employeur couvre 60% de la rémunération brute du salarié dans la limite d'une rémunération de 4,5 SMIC (sauf pour les secteurs protégés comme l'hôtellerie, la restauration ou la culture qui n'ont pas de reste à charge).Concernant les jours de carence en cas de maladie, Mme Borne a indiqué que les trois jours en vigueur dans le privé seraient "supprimés, comme dans la fonction publique" pour les malades du Covid, une disposition qui sera mise en oeuvre "au début de l'année 2021". Elle a vanté une mesure de "bon sens" et destinée à "encourager à l'isolement", les malades étant ainsi "couverts sans jour de carence avec des indemnités journalières".
Il y a 4 ans et 162 jours

Une peinture « green » pour un habitat sain et durable.

Issue de l’éco-conception, Naé est une gamme de peintures composées d’une résine alkyde en phase aqueuse d’origine végétale biosourcée. Un produit neutre, sans solvant, sans polluant volatil et sans substance cancérigène. Classée A+, Naé affiche un taux de composants organiques volatiles (COV) en pot inférieur à 1g/L. Certifiée NF Environnement et Zone Verte Excell, Naé contribue à une meilleure qualité de l’air intérieur des lieux de vie, des habitats HQE® ou autres Etablissements Recevant du Public. Naé, pour une décoration sans limite. Unikalo met à la disposition des professionnels une gamme de peintures qui permet de répondre aux attentes de consommateurs qui recherchent de plus en plus à concilier technicité et qualités professionnelles des produits, protection de l’environnement, habitat sain et décoration tendance. Grâce à une multitude de couleurs à la fois intemporelles et contemporaines, la gamme de peintures biosourcée Naé offre de nouveaux horizons esthétiques pour habiller murs et plafonds. 110 000 teintes disponibles en impression finition mate, veloutée ou satinée, agrémentées de 168 nouvelles teintes originales, inspirées de la nature, allant du pastel au foncé. Véritable instigateur de tendances, le nuancier « MISE EN COULEUR » dévoile 25 nouvelles ambiances pleines de fraîcheur et de modernité. C’est une source inépuisable d’inspiration pour les professionnels de la décoration. A découvrir sur le site www.unikalo.com/inspirations Naé, la peinture aux qualités professionnelles et environnementales. Une solution plus respectueuse de l’environnement mais sans compromis sur la qualité. Destinée aux travaux neufs ou en rénovation, la gamme de peintures biosourcée Naé assure de hautes performances techniques. Grâce à ses excellentes propriétés, elle offre une opacité optimale pour un résultat parfait en 2 couches et garantit une haute durabilité des teintes dans le temps. De plus, elle présente une résistance à l’abrasion humide de classe 1 en blanc et de classe 2 en teintes, ce qui en fait une peinture deux fois plus résistante aux nettoyages périodiques qu’une solution classique. La gamme est conditionnée en fûts de 0.75 L, 3L ou 12 L avec un rendement de 8 à 10 m²/L/couche pour l’impress et la finition mate et de 9 à 11 m²/L/couche pour les finitions veloutées et satinées. Naé s’applique avec une grande aisance soit au rouleau soit à l’aide d’un pistolet Airless pour recouvrir rapidement et de façon homogène de plus grandes superficies. Son séchage rapide est un gain de temps fort appréciable pour les peintres et décorateurs d’intérieurs qui doivent répondre sur les chantiers à des contraintes temporelles toujours plus exigeantes. Plâtre, ciment, bois, Naé accroche parfaitement et confère un rendu impeccable et sans trace de reprises. Autres caractéristiques : Naé impress • Brillant spéculaire : 2,2 à 2,6 % sous angle de 60°, 9 à 12% sous angle de 85° • Densité (± 0,03) : 1,45 Naé mat • Brillant spéculaire : 2,2 à 2,6 % sous angle de 60°, 1,2 à 1,6% sous angle de 85° • Densité (± 0,03) : 1,39 Naé velours • Brillant spéculaire : 2,5 à 4,5 % sous angle de 60°, 18 à 23% sous angle de 85° • Densité (± 0,03) : 1,41 Unikalo engagé dans la démarche HQE. En plus de garantir une production 100% française (toutes les peintures de la marque sont formulées et fabriquées sur le site de Mérignac (33), site certifié ISO 14001, Unikalo s’engage quotidiennement pour produire plus sain. Ainsi, Unikalo réalise l’analyse de cycle de vie de ses produits afin de déterminer les impacts environnementaux qu’ils génèrent. Ces analyses sont détaillées dans une FDES, disponible sur www.inies.fr. Le maître d’ouvrage dispose alors de tous les outils nécessaires au choix du produit qui conviendra le mieux aux objectifs de son chantier.
Il y a 4 ans et 162 jours

11ÈME ÉDITION Trophée de la vitrification : PLASTOR RÉCOMPENSE LES PLUS BEAUX CHANTIERS EN VITRIFICATION PARQUET 2019

Comme chaque année, la remise des trophées de la Vitrification Plastor est l’occasion de distinguer des chantiers réalisés par des professionnels du parquet, partenaires de la marque. L’aspect technique et décoratif du chantier, mais également la qualité du travail et le savoir-faire artisanal sont pleinement pris en compte.Les parquets de ces chantiers d’exception profitent en matière de protection des performances des produits et systèmes Plastor. Les lauréats primés pour cette 11ème édition sont : • 1er Prix : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14), réalisée par l’entreprise Les Sens du Bois (50), • 2ème Prix : La mairie de Plourin-Lès-Morlaix (51), réalisée par l’entreprise Corre ponçage SAS (29). • 3ème Prix : Une maison de particulier Béarnaise (64), réalisée par l’entreprise Esteves (64).   1ER PRIX : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14) Entreprise Les Sens du Bois (50) Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT : Gérants de l’entreprise Les Sens du Bois (50) La rénovation de La Grande Halle du Wip à Colombelles, édifice du patrimoine industriel, intègre principalement du béton et du bois, avec 1 600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches qui ont été poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois. Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d’escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet. « Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l’appel d’offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d’où l’importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout. Comme il s’agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit. Pour répondre aux prérequis d’émissions de COV très limitées, nous avons choisi d’utiliser l’huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l’huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA GRANDE HALLE DU WIP Huile AQUANAT L’huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l’aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur. Facile d’utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches. Elle s’applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n’est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut. Rendement : 15 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)   2ÈME PRIX : La mairie de Plourin-lès-Morlaix (51) Entreprise Corre Ponçage SAS (29) Michel CORRE Gérant de l’entreprise Fondée en 1957, Corre Ponçage est une entreprise familiale, spécialisée de père en fils, installée à Brest. Forte de ses 63 ans d’expérience, elle effectue la pose et l’entretien de parquets. « Nous exerçons notre activité principalement auprès de particuliers. Il est assez rare que nous travaillions pour des collectivités. Dans le cas de la mairie de Plourin-lès-Morlaix, nous avons obtenu le chantier par la municipalité, qui connaissait la qualité de notre travail. Ce programme de mairiemédiathèque avait fait l’objet d’un concours d’architecture brillamment remporté par Philippe Madec en 1994. Notre intervention a surtout concerné la salle du conseil municipal. Le chantier représentait environ 200 m2 de parquet en chêne. Il s’agissait de la rénovation d’un parquet existant qui avait déjà été entretenu quelques années auparavant. La salle ayant diverses fonctions, le parquet avait subit des dommages. Il était rayé à cause des tables, abimé par le passage et avait essuyé quelques problèmes d’humidité liés à la condensation près des baies vitrées. Nous avons réalisé le ponçage et la vitrification en 3 couches. Nous étions seuls sur le chantier, la rénovation a duré une semaine. Nous avons d’abord utilisé un fond dur universel puis 2 couches de DUOPUR-T3, Sur conseil du service technique Plastor, et pour un obtenir un aspect mat très profond, nous avons appliqué une première couche satinée puis une seconde mate. Nous collaborons avec Plastor depuis toujours. Leurs produits et les relations que nous entretenons avec les commerciaux nous donnent entière satisfaction. Mes enfants reprennent l’entreprise et eux aussi sont ravis. »   3ÈME PRIX : Maison de particulier Béarnaise (64) Entreprise Esteves (64) Roger ESTEVES Gérant de l’entreprise Roger Esteves a commencé à travailler dans l’entreprise de son père en 2012 avant de reprendre seul la société. Il réalise la pose de parquets, le ponçage et la vitrification, ainsi que la pose de serrurerie, de menuiseries, de placards et de volets, le plus souvent pour des particuliers. Pour la rénovation du parquet de cette maison traditionnelle typique du Béarn, les produits Plastor ont été utilisés. « L’un de mes fournisseurs m’a recommandé auprès du propriétaire de la maison qui engageait une rénovation générale. Je devais rénover 100 m2 de parquet en pin ainsi qu’une petite partie en chêne, cela concernait un étage entier et un escalier. La première fois que j’ai vu le parquet, il était en assez bon état, seulement quand je suis revenu pour travailler, il avait été abimé et sali par les modifications effectuées par les plaquistes au niveau des cloisons. Comme rien n’avait été protégé, il y a eu beaucoup de plâtre à enlever. J’ai dû composer avec les plombiers durant le chantier. Mon père est venu en renfort, nous avons effectué des réparations de dégâts causés par les plaquistes. Le chantier nous a pris une bonne semaine en continu. Le client tenait à un aspect satiné si bien que nous avons d’abord réparé et poncé le parquet puis nous avons appliqué un fond dur universel PRIM’SO et 2 couches de DUOPUR-T3 satiné qui donne un bel aspect ciré. Je connais bien les produits Plastor car j’ai toujours travaillé avec la marque, comme mon père le faisait depuis des décennies. Nous sommes enchantés par leurs produits et leurs conseils. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA MAIRIE DE PLOURIN-LÈS-MORLAIX ET LA MAISON BÉARNAISE Primaire PRIM’SO Doté d’un haut pouvoir pénétrant qui lui permet de former une base d’accrochage idéale pour la finition, le fond dur universel PRIM’SO est compatible avec tous les vitrificateurs Plastor (phase aqueuse comme solvant). Sa fonction bouche-pores neutralise les anti-oxydants pour assurer le parfait séchage de tous les vitrificateurs parquet. D’un grand confort d’utilisation, PRIM’SO sèche rapidement et sans odeur gênante. Par ailleurs, il donne une légère couleur miel au parquet et convient pour des bois neufs ou anciens dans tous types d’essences. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Le DUOPUR-T3 est un vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics. Constitué d’un mélange 90/10, il est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il permet de conserver la tonalité claire des bois lorsqu’il est utilisé directement sur bois brut. Il est parfaitement adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Enfin, il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 162 jours

LG et Assa Abloy vont développer la première porte automatique OLED transparente

Ce nouveau produit associe l'affichage OLED transparent (modèle 55EW5G) et la solution logicielle intégrée de gestion de contenus SuperSign de LG avec les portes en verre coulissantes et automatiques du fabricant suédois ASSA ABLOY Entrance Systems afin de créer un produit transparent. En plus de fournir un accès pratique et sans contact à l'entrée de bâtiments ou d'autres structures, la porte automatique OLED transparente (Transparent OLED Automatic Door) offrira des possibilités inédites pour accueillir des clients, communiquer avec des employés et adresser de manière discrète des messages publicitaires et marketing au grand public.Grâce à la technologie WRGB de LG, les pixels OLED auto-émissifs reproduisent fidèlement les couleurs avec une luminosité exceptionnelle et un contraste élevé. La technologie Transparent OLED de LG est également extensible et s'adapte aisément à toute une variété de portes et d'entrées. Sa transparence permet en outre de voir facilement ce qui se trouve derrière l'écran. La solution s'intègre ainsi de façon harmonieuse dans l'environnement tout en affichant des informations utiles. Doté d'une conception robuste en verre trempé, le produit présente une excellente durabilité ainsi qu'une sécurité renforcée lorsqu'il est combiné avec les portes coulissantes automatiques d'ASSA ABLOY Entrance Systems.« LG, leader de l'affichage dynamique de nouvelle génération, et ASSA ABLOY Entrance Systems, leader mondial des portes coulissantes automatiques, créent ensemble un nouvel environnement numérique passionnant », a déclaré Paik Ki-mun, Vice-président senior et responsable Information Display de LG Business Solutions. « Nos précédents écrans OLED transparents grand format, déployés dans le monde entier, ont prouvé que les écrans OLED transparents étaient des supports très efficaces qui passent maintenant au niveau supérieur. »« L'innovation est au cœur de tout ce que nous entreprenons », a déclaré Christopher Norbye, Vice-président exécutif de la division Entrance Systems chez ASSA ABLOY. « Je suis vraiment fier de pouvoir offrir à nos clients, aux côtés de LG, ce produit révolutionnaire qu'est la nouvelle porte coulissante automatique OLED transparente. Il placera nos clients à l'avant-garde en leur proposant une solution inédite extraordinaire pour personnaliser l'expérience de marques ou de clients. »
Il y a 4 ans et 162 jours

Alain Boisselon élu président de l'UNICEM

Alain Boisselon a plus de 35 années d'expérience dans le secteur de la construction. Après avoir obtenu son diplôme d'Ingénieur option TP à l'ESTP en 1983, il est diplômé de l'IAE Paris - Sorbonne Business School, en 1984. Il débute ensuite sa carrière en tant qu'Ingénieur Bitume, chez Shell, où il passera 6 ans. En 1991, il rejoint le Groupe Vicat où il occupe différents postes dans les métiers du béton prêt à l'emploi et des granulats. Il est aujourd'hui Directeur de Granulats Vicat, filiale qui gère les carrières de granulats du Groupe Vicat, en France.Des mandats régionaux, nationaux et EuropéensTout au long de sa carrière, Alain Boisselon a également occupé des mandats syndicaux. Président de l'UNICEM Rhône-Alpes depuis 2012, il a organisé, en 2016, la fusion entre les UNICEM Auvergne et Rhône-Alpes, et est devenu Président de la région AURA.Son expérience syndicale est également riche à l'échelle nationale. Il a été, successivement, membre du comité directeur du SNBPE (Syndicat National du Béton Prêt à l'Emploi) en tant que représentant de Vicat, entre 1990 et 2000, membre du Bureau de l'UNICEM de 2013 à 2017 et membre du Bureau de l'UNPG depuis 2019, tout en assurant la présidence de la Commission Économique pendant 20 ans et ce jusqu'en 2016. À l'échelle Européenne, Alain Boisselon a été Président de l'Environment Commitee de l'UEPG (Union Européenne des Producteurs de Granulats) pendant 6 ans, de 2014 à 2020. Travailler à la reconnaissance de matériaux à la fois durable et respectueux de l'environnementFort de ses années d'engagement et d'expérience dans la vie syndicale, Alain Boisselon souhaite, lors de son mandat, renforcer le rôle fédérateur de l'UNICEM vis-à-vis des unions régionales et des syndicats membres de l'UNICEM, en favorisant la concertation et l'union dans l'étude et la défense des intérêts matériels des entreprises adhérentes.Il souhaite aussi développer une vision sur le long terme afin d'assurer la pérennité et le développement des entreprises de la filière et de travailler à la reconnaissance de leurs matériaux. Le Président de l'UNICEM entend accompagner encore davantage les entreprises face aux défis auxquels est confrontée notre société. Pour Alain Boisselon, « la nécessité de lutter contre le changement climatique, les émissions de CO2, de préserver la biodiversité, de mieux protéger les ressources en eau et la qualité de l'air, nous soumettent à des questionnements déstabilisants de la part des parties prenantes, à commencer par nos clients.La nature et la méconnaissance de nos activités expliquent ces interrogations auxquelles nous devons répondre par des orientations claires, des explications convaincantes appuyées par des faits, des progrès visibles. Seule l'action collective, et dans notre cas celle de notre Union, peut remplir ce besoin » conclut-il.
Il y a 4 ans et 162 jours

Les sénateurs votent des restrictions à la TVA réduite pour les rénovations énergétiques

LOI DE FINANCES. Coup de rabot sur la TVA à 5,5% pour les rénovations énergétiques ? Un amendement sénatorial au projet de loi de finances pour 2021 permettant d'exclure, d'après la FFB, certains travaux de ce taux réduit, vient d'être adopté avec le soutien du Gouvernement. La Fédération professionnelle s'insurge également contre une autre disposition du texte, qui réserverait le bénéfice du taux réduit aux seuls artisans certifiés RGE.
Il y a 4 ans et 162 jours

Les normes de construction d’un EPHAD

Pour des raisons de sécurité, la construction d’un EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) est soumise à des normes bien définies. Comme l’indique son nom, cet établissement accueille des seniors ayant perdu leur autonomie. De fait, il est important que le bâtiment qui les abrite soit sécurisé afin de garantir leur bien-être, leur confort et surtout leur sécurité. De multiples réglementations relatives à la prévention des dangers ainsi qu’à la gestion des accidents doivent donc être respectées, notamment celles indiquées par l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS). Alors, quelles sont les actions de sécurité qui doivent être menées lors de la construction d’un EHPAD pour assurer aux pensionnaires un cadre de vie agréable et sécurisé ? On vous dit tout dans cet article. Poser des bandes podotactiles Également connue sous le nom de bande d’éveil, la bande podotactile est une surface de sécurité extérieure ou intérieure destinée aux personnes malvoyantes ou aveugles. Elle est identifiable au contact avec le pied ou à la canne blanche, d’où son adjectif podotactile. Ces surfaces sont fournies avec des clous podotactiles en forme de dôme. En fonction du matériau utilisé, le clou podotactile sera collé, frappé ou vissé pour former la bande. En général, il est conseillé d’opter pour les clous podotactiles en inox parce qu’ils offrent plus de résistance ainsi qu’une meilleure durabilité. Cependant, vous pouvez en trouver en laiton, en fibre de verre ou en aluminium. D’après la loi, ce dispositif est obligatoire dans un EHPAD pour annoncer un danger tel qu’un quai, un passage piéton ou une structure en hauteur. La bande doit donc être installée en haut de tous les escaliers, quel que soit le nombre de marches. Elle assurera ainsi la sécurité des seniors malvoyants ou aveugles en les prévenant de la présence imminente d’un escalier. Ils pourront donc prendre les mesures nécessaires pour éviter une chute. Pour un usage optimal, les bandes podotactiles installées dans un EHPAD doivent respecter différentes normes à la conception et à la pose. Les bandes d’éveil sont soumises à la norme P98-351. Il est question d’un document technique dont l’application a été rendue obligatoire suite à la publication d’un décret. Pour les EHPAD, cette norme fixe les propriétés géométriques des clous, les caractéristiques des matériaux, le contraste visuel et les règles d’installation qui doivent être respectées. Les caractéristiques géométriques tiennent compte de la largeur de la surface podotactile et des dimensions des clous. Pour un escalier, la largeur minimale de 40 cm est requise. Les clous doivent avoir une forme de dôme avec un diamètre de base de 25 mm et une hauteur de 5 mm. Il est essentiel de les disposer en diagonale avec un espacement de 37,5 mm entre chaque plot. Les matériaux de conception doivent faire l’objet de tests relatifs au risque de glisse, au feu, à la fumée et à l’indentation. Ces tests permettent de s’assurer de la durabilité de la bande et confirment sa conformité. Un accent particulier doit être mis sur le classement de réaction au feu qui doit être supérieur à F3. Conformément à la norme NF P98-351, le contraste représente l’écart de lumière réfléchie entre la bande podotactile et la surface sur laquelle elle est installée. Ce paramètre doit être de 0,70 si la bande d’éveil est plus foncée que le support et de 2,30 dans le cas contraire. Enfin, selon le principe de freinage, la bande doit être placée en retrait du risque pour permettre au senior de ralentir son élan. De fait, une distance variant entre 28 et 50 cm de la première marche est requise. Installer du matériel adapté à l’évacuation des personnes âgées En dehors des surfaces podotactiles, d’autres équipements de sécurité doivent être installés au sein d’un EHPAD en fonction de chaque section : La prévention du danger d’incendie Dans un EHPAD, la prévention du risque d’incendie passe principalement par la mise en place d’un dispositif de sécurité incendie. Il s’agit d’un ensemble de matériel qui garantit la sécurité des pensionnaires et facilite les évacuations. Il est principalement composé d’équipements de désenfumage, de détection des incendies et de signalisation des sorties. À cela s’ajoutent les clapets coupe-feu ainsi que les portes qui permettent d’empêcher la propagation du feu et de la fumée. La loi exige aussi de réduire le nombre d’étages pour simplifier les évacuations des seniors en situation de handicap en cas de danger. Enfin, conformément à la circulaire du 12 décembre 2006 relative au tabagisme dans les structures sociales, des règles rigoureuses doivent être prises pour empêcher les résidents de fumer dans leur lit. Cette disposition doit, à priori, être intégrée dans le règlement intérieur de votre établissement. Les alarmes lumineuses pour les seniors malentendants Spécialement conçues pour les malentendants, les alarmes lumineuses les informent du danger et de l’évacuation en cours. Ce dispositif émet une lumière de couleur blanche ou rouge avec une intensité minimale de 0,5 cd/m². Les barres de maintien Dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, l’intégrité physique de chaque résident doit être protégée. C’est pour cette raison que la pose de barres d’appui ou de maintien est nécessaire. Celles-ci doivent être présentes dans les toilettes, les douches, à côté du lit du pensionnaire, etc. Sur le marché, il existe de nombreux modèles (droite, longue, courte, en T) adaptés à des besoins particuliers. La main courante Il est question d’un système de sécurité qu’il faut fixer en hauteur de part et d’autre d’un escalier si celui-ci est composé de plus de 3 marches. La main courante sert de point d’appui pour les résidents à mobilité réduite. Pour une performance maximale, la main courante doit s’étendre au moins de la deuxième marche de l’escalier à l’avant-dernière. La hauteur de ce dispositif se situe généralement entre 0,8 et 1 mètre. Elle doit être suffisamment solide pour ne pas représenter un danger pour les pensionnaires. Il est recommandé aux gestionnaires de structures accueillant des personnes âgées de choisir des mains courantes en inox, en métal ou en aluminium. Les modèles en corde sont à proscrire. En définitive, un EHPAD est une structure dont l’environnement doit être propice à la sécurité des seniors dépendants qui y sont accueillis. Pour ce faire, il est indispensable d’installer des systèmes d’éveil, d’aide à l’équilibre et de prévention incendie.
Il y a 4 ans et 163 jours

Naé, la solution déco-responsable

Issue de l'éco-conception, Naé est une gamme de peintures composées d'une résine alkyde en phase aqueuse d'origine végétale biosourcée. Un produit neutre, sans solvant, sans polluant volatil et sans substance cancérigène. Classée A+, Naé affiche un taux de composants organiques volatiles (COV) en pot inférieur à 1g/L. Certifiée NF Environnement et Zone Verte Excell, Naé contribue à une meilleure qualité de l'air intérieur des lieux de vie, des habitats HQE® ou autres Etablissements Recevant du Public.
Il y a 4 ans et 163 jours

Vallauris Golfe-Juan : le port profite peu à la ville, beaucoup à ses exploitants

"Ce mode de gestion (...) a conduit à une appropriation quasiment privative du domaine public maritime", conclut le rapport. "La plupart des procédures encadrant la gouvernance du port (...) n'ont pas été respectées" et "un petit nombre de professionnels du secteur de la plaisance administre les affaires du port", ajoute-t-il.Face à cette situation, le rapport dénonce le rôle de la commune qualifiée de "passive" et lui reproche "l'absence de contrôle", parlant d'"un manquement grave" et lui recommandant de "reprendre en charge la concession" d'ici 2024.Attribuée quand le port "Camille Rayon" a été construit, la concession n'a pas changé de main depuis 1989.Son titulaire, la Société du nouveau port de Vallauris Golfe-Juan (SNPVGJ), avec à sa tête les héritiers Rayon, n'a payé que 339.496 euros de redevance en 2016, signale le rapport.Une paille comparé au "chiffre d'affaires global significatif d'environ 11 millions d'euros" que la chambre a calculé en faisant "l'addition de trois sociétés intervenant dans le champ de la concession".Le patron de la station essence où les yachts font le plein "ne paie aucune redevance alors qu'il tire des bénéfices conséquents de cette exploitation du domaine public", souligne également le rapport qui réclame "une remise à plat rapide" du contrat.Déjà au coeur d'une enquête du parquet national financier (PNF) depuis sa liquidation partielle en 2014, l'ex-fleuron français des yachts, le groupe Rodriguez, est également pointé du doigt pour les recettes tirées de l'aire de carénage et du chantier naval.Le rapport, qui critique d'autres irrégularités autour de la galaxie Rodriguez, souligne notamment "la faiblesse des redevances payées par la société Rodriguez Yachts ainsi que la complexité des montages financiers retenus, qui ont toujours pour principal intérêt de faire remonter des liquidités à la SCI GAL", une société civile gérée par Alexandre Rodriguez, l'ex-président du groupe. "C'est un cas d'école car on n'a jamais eu autant de dysfonctionnements dans une délégation de service public", estime auprès de l'AFP Jean-Noël Falcou, membre de l'association Anticor et ex-candidat à la mairie de Vallauris soutenu par EELV et LREM. "Ce n'est pas un simple oubli mais un système qui fonctionne parce que c'est opaque sans que personne ne s'en émeuve depuis 30 ans".
Il y a 4 ans et 163 jours

La Cour des comptes constate la faible attractivité des quartiers prioritaires

L'attractivité des quartiers prioritaires a peu progressé en dix ans en dépit des moyens financiers et humains déployés, relève un rapport de la Cour des comptes rendu public.
Il y a 4 ans et 163 jours

Les énergies fossiles dominent toujours, mais l'élan est du côté des renouvelables

Renouvelables: le vent en poupe"Les fossiles restent dominants mais la dynamique est clairement sur les énergies renouvelables électriques", résume Nicolas Berghmans, chercheur à l'Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI).L'énergie solaire photovoltaïque a notamment connu une très forte croissance ces dernières années: elle est passée de 217 gigawatts de capacités installées dans le monde en 2015 à 578 GW l'an dernier, selon l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (IRENA).Et cette année, tandis que les énergies fossiles s'effondraient, les capacités de production nouvelles ont porté à près de 90% sur des énergies renouvelables, tirées par le solaire, l'éolien et l'hydro-électricité, notablement aux Etats-Unis et en Chine. Ces nouvelles capacités devraient atteindre un niveau record de 200 gigawatts (GW), selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les énergies renouvelables devraient ainsi devenir en 2025 la première source de production électrique dans le monde, devant le charbon, selon elle."On n'a pas vu d'infléchissement très fort pendant la crise pour le développement des énergies renouvelables électriques et ça peut s'expliquer par la décroissance des coûts, qui les rendent compétitives, mais aussi par le soutien public qui s'est maintenu", souligne Nicolas Berghmans.Ce soutien a même été accentué dans certains pays avec des plans de relance économique qui se veulent vertueux d'un point de vue environnemental.Le pétrole, un roi menacéLes énergies fossiles, émettrices de CO2, dominent encore très largement le paysage énergétique mondial. Parmi elles, le pétrole représentait l'an dernier 33% du mix énergétique mondial, à la première place, selon l'étude de référence de BP.Le pétrole reste encore incontournable dans le secteur des transports, en plus de ses autres usages industriels comme la fabrication de plastique.Mais la crise du Covid-19, qui a ralenti l'activité à travers le monde et quasiment mis à l'arrêt le transport aérien, lui a fait subir un choc violent.L'AIE s'attend ainsi à une demande mondiale en chute de 8,8 millions de barils par jour (mb/j) cette année pour atteindre un total de 91,3 mb/j. Les cours ont également chuté, ce qui a eu pour conséquence de mettre fin à certains projets d'exploration-production trop chers.Si un rebond de la demande est attendu en 2021, les experts sont divisés sur les perspectives du pétrole pour l'avenir proche. Certains estiment qu'un pic de la demande a déjà été passé tandis que les pays producteurs de l'Opep pensent que la demande va continuer d'augmenter jusqu'en 2040, tirée par les pays émergents."On est sur un point d'inflexion", estime Nicolas Berghmans, car "on peut s'attendre à des transformations majeures dans le secteur des transports dans les dix prochaines années".Le véhicule électrique se développe ainsi, avec un prix des batteries en baisse mais aussi des interdictions de la vente des véhicules à moteurs thermiques prévues dans certains pays.Les voitures électriques représentaient 2,6% des ventes mondiales et 1% du parc en 2019, en hausse de 40% sur un an, selon l'AIE.Charbon, gaz: des destins divergentsLe charbon reste la deuxième énergie dans le monde malgré son bilan très négatif pour le climat et la qualité de l'air. Il est notamment encore largement utilisé pour produire de l'électricité.Il est toutefois sur une pente descendante. Cette année, l'AIE prévoit une chute de la demande de 7% en raison de la crise. Le rebond attendu ces prochaines années ne lui permettra pas de revenir aux niveaux de l'an passé: le pic a été passé.Le gaz naturel, qui émet du C02 mais moins que le pétrole et surtout le charbon, est en revanche sur une pente plutôt ascendante à moyen terme. Il bénéficie notamment d'une demande en hausse en Chine et en Inde, où il est parfois utilisé pour remplacer le charbon. Malgré une baisse de la demande de gaz cette année, l'AIE prévoit une croissance annuelle moyenne de 1,5% par an sur la période 2019-2025.
Il y a 4 ans et 163 jours

Les HLM, finalement évacués de la loi contre les séparatismes

POLITIQUE. Le projet de loi de défense des principes républicains, présenté en Conseil des ministres, ne contient finalement aucune mesure relatives au logement social. La ministre Emmanuelle Wargon s'était pourtant montrée active, ces derniers jours, sur le sujet.
Il y a 4 ans et 163 jours

Ces groupes de la construction s'engagent là où on ne les attend pas

TEMOIGNAGES. Empreinte carbone, politique RSE ... les entreprises du Bâtiment affichent fièrement leur promesses et performances environnementales. Certaines marques vont plus loin et veulent s'impliquer et contribuer aux débats de société. Akzonobel (Dulux Valentine, Sikkens...) nous explique son engagement pour l'inclusion des personnes LGBTI + et NGE sa participation au programme d'accompagnement des réfugiés par l'emploi, Hope.
Il y a 4 ans et 163 jours

Master Builders Solutions : Première cellule ERP de sols décoratifs

Masters Builders Solutions crée la première cellule Etablissements revenant le public de sols décoratifs et techniques, dédiée aux architectes. [©Master Builders Solutions] Une nouveauté chez Master Builders Solutions (MBCC Group) : la création de la première cellule ERP de sols en résine décoratifs et techniques, dédiée aux maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage. Ceci, afin d’accompagner ces professionnels dans leur choix de solutions adaptées. Et d’assurer une prescription optimale dans leurs projets architecturaux. En effet, Master Builders Solutions est parti du constat que l’offre des revêtements de sols décoratifs et techniques dans les Etablissements recevant le public était complexe et vaste. Plusieurs paramètres influent sur ce marché. Et par voie de conséquence, rendent difficile un choix judicieux pour les prescripteurs. En effet, l’industriel a remarqué une augmentation de demandes et besoins des types de revêtements à base de résine. Mais aussi des recommandations sanitaires de plus en plus présentes, le besoin d’avoir un sol esthétique plébiscité par les usagers. Et enfin, la nécessité de faire gagner du temps aux professionnels.  Un accompagnement même à l’international Cette cellule met à leur disposition un ensemble de moyens et d’outils structurés et pluriels. Les prescripteurs pourront ainsi recevoir une information complète tant réglementaire, technique qu’économique et sanitaire. Basée en Ile-de-Fance et mobile dans l’Hexagone, elle est dirigée par Laurent Dessard, directeur commercial revêtements à base de résine. Et animée par Jeremy Gallez et José-Victor Alves, qui s’appuient sur un service technique dédié et des technico-commerciaux. Mais aussi sur un service clients, ainsi que sur un retour d’expérience post-application. Petit plus : le service fonctionné aussi pour l’international, à destination des agences françaises d’architecture bâtissant à l’étranger. Et devant se tenir informées de la réglementation, des usages et techniques des autres pays.
Il y a 4 ans et 163 jours

Aides à la rénovation énergétique : Action Logement doit revoir sa copie

POLÉMIQUE. Quelques jours après le lancement d'une polémique sur la fin des aides à la rénovation énergétique des logements des ménages à bas revenus, prévues dans le cadre de son Plan d'investissement volontaire, Action Logement annonce, après avoir rencontré la ministre chargée du Logement, travailler à "dégager de nouveaux financements", notamment pour soutenir le plan de relance gouvernemental. La réforme de l'organisme interviendra "dans un second temps".
Il y a 4 ans et 163 jours

Le secteur de la construction veut conquérir le cœur des jeunes

La filière veut susciter des vocations auprès des jeunes, futures forces vives de la construction. [©CCCA-BTP] A l’heure de la crise sanitaire et bien qu’il ne soit pas au meilleur de sa forme, le secteur de la construction veut séduire le jeune public. Il a besoin de rajeunir ses troupes et il manque de main-d’œuvre qualifiée. C’est ainsi qu’à l’initiative de l’ensemble des fédérations professionnelles d’employeurs et des organisations syndicales de salariés, la filière part en campagne. Ceci, sur le thème : “La construction. Demain s’invente avec vous”. Le secteur veut susciter des vocations auprès des jeunes, futures forces vives de la construction.  Une campagne pilotée par le CCCA-BTP Pilotée par le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP), cette campagne nationale promeut la richesse et la diversité des métiers du BTP. Ainsi que l’apprentissage. La campagne fait rimer construction avec passion. Elle se déploiera jusqu’en mars 2021, autour d’un dispositif pluri-média : • Six films publicitaires diffusés à la télévision et sur Internet. Douze jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics, dont la majorité sont des apprentis en formation, sont mis à l’honneur. Ils sont les ambassadeurs les plus crédibles pour s’adresser aux jeunes en recherche d’une orientation professionnelle. • Un plan média sur les réseaux sociaux : – Instagram, (@la_construction_officiel), – TikTok (@la_construction_officiel), – Facebook (@laconstructionofficiel). • Des partenariats avec des youtubeurs, • Un site Internet conçu pour répondre aux interrogations des jeunes et les accompagner dans leur orientation : – une présentation de tous les métiers et un quizz pour les faire découvrir ; – des témoignages de jeunes et de professionnels, des reportages, des informations sur l’apprentissage et le secteur de la construction ; – un moteur de recherche pour trouver une formation et/ou un organisme de formation et un formulaire pour les jeunes en quête d’orientation ; – un lien vers le site de Constructys pour les entreprises souhaitant recruter un apprenti ; – un kit de communication à télécharger pour relayer la campagne : affiches, flyers, stickers, kakémonos, brochures…, en versions imprimée et digitale. Cette campagne pluri-média s’inscrit dans les huit solutions proposées par le plan de relance doté de 18 M€ : “Relance apprentissage BTP”. Ceci, pour dynamiser et consolider le développement de l’apprentissage BTP.
Il y a 4 ans et 163 jours

Enedis publie un rapport sur le pilotage de la recharge des véhicules électriques et le réseau de distribution

Le pilotage de la recharge, créateur de valeur pour les acteurs de l'écosystèmeLe rapport 2019 d'Enedis indiquait que l'intégration du véhicule électrique dans le système électrique français se ferait sans difficulté notable et ce, aussi bien au niveau local que national.Ce nouveau rapport apporte un éclairage sur le pilotage de la recharge des véhicules électriques. Le pilotage offre des opportunités d'économie au « consom'acteur » pouvant aller jusqu'à 90€/an par véhicule électrique, et, à moyen terme, le pilotage de la recharge permettra également de participer à la bonne intégration du véhicule électrique au sein du réseau de distribution.Pour « le consom'acteur », la recharge de véhicule électrique permettra de réaliser une économie notable en intervenant au moment où l'électricité est la moins chère ; en modérant la puissance souscrite et celle du raccordement ;Pour la collectivité, le pilotage de la charge permettra de limiter la puissance cumulée demandée au réseau par les véhicules électriques, et, en conséquence pourrait permettre d'optimiser les besoins d'investissements en infrastructures du réseau ;Pour le système électrique dans sa globalité, le pilotage de la recharge permettra de favoriser un approvisionnement local et/ou vert, notamment en synchronisant la recharge des batteries de véhicules électriques avec la production d'énergie renouvelable. Ce pilotage favorisera ainsi l'autoconsommation et les nouveaux usages de l'électricité.Le véhicule électrique a connu une croissance soutenue au premier semestre 2020, avec près de 70 000 unités vendues en France, soit deux fois plus que sur la même période en 2019 et ce, malgré la crise sanitaire. On compte aujourd'hui près de 30 000 bornes de recharge ouvertes au public, directement ou indirectement raccordées au réseau public de distribution. A terme, de nouvelles flexibilités localesLe pilotage de la recharge d'un nombre significatif de véhicules électriques peut aussi permettre de réaliser de la « flexibilité locale ». Ce mode de pilotage vise à répartir opportunément ces nouveaux flux d'énergie entrants et sortants vers le réseau de distribution électrique, ceci en modifiant la demande de recharge, voire en réinjectant l'électricité stockée dans les batteries. L'utilisation de ces flexibilités pourra prendre toute sa valeur dans des zones où le réseau subirait des contraintes en termes de disponibilité, ces zones étant peu nombreuses actuellement.Enedis, acteur clé de la mobilité électriqueEn tant qu'opérateur du réseau public de distribution d'électricité sur 95% du territoire français, Enedis joue un rôle clé dans le déploiement des infrastructures de recharge en assurant leur raccordement, leur alimentation continue ainsi que le comptage de l'énergie distribuée. Enedis est aussi un acteur de la mobilité électrique en tant qu'utilisateur : avec plus de 3 000 véhicules électriques, l'entreprise détient la 2ème plus grande flotte de véhicules électriques en France. Enfin, Enedis soutient résolument l'innovation dans la mobilité électrique, comme en témoignent les projets sur le terrain, et les études déjà réalisées par l'entreprise et ses partenaires sur l'intégration du véhicule électrique au réseau et sur l'évolution des comportements. Pour cela, Enedis réalise, au sein d'un laboratoire créé en 2020, des tests de pilotage de la recharge pour sa propre flotte interne et contribue à la mise au point de solutions de pilotage intelligent de la recharge dans le cadre des différents démonstrateurs en cours.Dans la continuité des travaux engagés par Enedis depuis plusieurs années, le rapport portant sur le rôle du pilotage de la recharge pour le développement du véhicule électrique et son interaction avec le réseau de distribution a pour objectif d'éclairer sur les apports de ce pilotage, en termes de solutions, de valeur et de coordination des acteurs. Il s'inscrit pleinement dans la volonté d'Enedis d'accompagner le développement de la mobilité électrique.Télécharger le rapport en cliquant ici
Il y a 4 ans et 163 jours

Découvrez le numéro 146 du magazine 5façades

Et la qualité architecturale ?  La crise sanitaire de la Covid-19 aura au moins eu le mérite de donner un coup d’accélérateur à la rénovation thermique des bâtiments. Ces travaux, indispensables pour obtenir notamment la neutralité carbone à l’horizon 2050, sont une des priorités du plan de relance par le gouvernement pour le secteur du bâtiment. Les aides seront donc massives pour atteindre l’objectif de rénovation du parc au niveau BBC en 2050, et l’éradication des passoires thermiques à l’horizon 2030. Toutes les typologies de bâtiments sont concernées : parc privé (logement, tertiaire, etc.) et parc public qui, à lui seul, représente 100 millions de mètres carrés. Sachant que la rénovation globale est privilégiée. Dans cet ensemble, l’isolation de l’enveloppe, façade et toiture, sera en première ligne. Le but étant, comme on peut le lire dans le plan de relance, « la diminution de la facture énergétique, un gain de confort pour les usagers et les agents (notamment une meilleure protection face aux vagues de chaleur) et une réduction de l’empreinte énergétique et environnementale de l’État ». Jamais la qualité architecturale des ouvrages après rénovation n’est citée ! Un oubli ?  Découvrez le numéro, en cliquant ici. Stéphane Miget Rédacteur en chef  www.5facades.com  
Il y a 4 ans et 163 jours

Le gouvernement recherche de nouveaux "sites industriels clés en main" sur le territoire

Dans le cadre du Plan de Relance, Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie, ont annoncé l’ouverture d’un nouvel appel à propositions pour identifier des "sites industriels clés en main".
Il y a 4 ans et 163 jours

Nouvelle campagne du gouvernement pour identifier des sites industriels "clés en main" en France

"Ce sont des sites où on peut obtenir rapidement un permis de construire, trois mois", ainsi que les autres autorisations réglementaires, "ce qui permet à un porteur de projet d'arriver sans avoir à se concentrer sur cet aspect, et à se concentrer sur son projet, a expliqué la ministre sur BFM Business.Ce programme lancé l'an dernier a déjà permis d'identifier 78 sites. Une douzaine avaient été dévoilés en janvier et 66 autres cet été, sur plus de 300 candidatures."Ça fonctionne très bien parce qu'on a la capacité de revenir à des temps d'installation d'usine qui sont équivalents à ceux de nos voisins européens. Et on n'a pas baissé nos exigences environnementales", a défendu Mme Pannier-Runacher.Outre des autorisations plus rapides, ces sites sont dotés en amont d'infrastructures dédiées (énergie, haut débit, logistique).Ce nouvel appel à propositions, ouvert jusqu'au 31 mars 2021, "permettra de compléter le maillage territorial des sites clés en main", détaille par ailleurs un communiqué.Il permettra d'intégrer au dispositif "des sites industriels en instance de cessation d'activité ou des friches industrielles réhabilitées", notamment afin de "lutter contre l'artificialisation des sols" et "revitaliser" les territoires concernés.
Il y a 4 ans et 163 jours

I.MOWER T20000 (PEGASUS), le robot tondeuse le plus intelligent du marché

Adapté aux besoins des professionnels, I.MOWER T20000 se distingue par sa puissance technologique, son niveau de sécurité et sa richesse fonctionnelle. Il délivre notamment des informations sur les espaces verts et permet de réaliser des dessins ou des motifs soignés et précis sur les pelouses. Neuilly-sur-Seine – décembre 2020, INFINY IA, start-up française spécialisée en intelligence artificielle, notamment dans les domaines de l’analyse visuelle (Computer Vision), de la mobilité autonome et de la robotique, présente I.MOWER T20000, un robot tondeuse futuriste. Concentré de technologies, I.MOWER T20000 est le premier robot tondeuse doté d’une intelligence comparable à celle d’une voiture autonome. Grâce aux ressources qu’offre le deep learning à travers la vision par ordinateur, ce robot multifonction autonome propose une efficacité de tonte et une sécurité optimale. Conçu pour répondre aux besoins des professionnels des espaces verts I.MOWER T20000 s’avère aussi efficace pour les petites que pour les vastes surfaces. Il assure la tonte d’un terrain de 20 000 m2 en 10 heures seulement. Il servira par exemple à l’entretien des espaces verts dans les villes, des pelouses des terrains de golf, des grands jardins d’hôtels, ou encore des surfaces vertes situées dans les zones aéroportuaires. Le robot tondeuse peut tracter une remorque non motorisée de 50 kg et motorisée de 300kg. I.MOWER T20000 est à ce jour le seul robot tondeuse capable de réaliser des dessins ou des motifs très soignés et précis. L’utilisateur peut ainsi exprimer tous ses désirs créatifs dans le jardin, un logo d’entreprise par exemple. Une aide à la décision pour gérer les espaces verts Le cœur de l’intelligence réside à la fois dans la station d’accueil mais aussi dans la tondeuse I.MOWER T20000 qui abritent un boîtier supercalculateur dédié à l’intelligence artificielle (IA) ultra performant, créé par les experts d’INFINY IA. Grâce ses équipements embarqués, dont plus de 20 capteurs divers, 4 caméras 360° et 1 lidar 360°, I.MOWER T20000 est capable d’analyser plus de 2 millions d’informations à la seconde. La tondeuse I.MOWER T20000 allie performance de calcul et fort potentiel évolutif. Ainsi, de multiples ajouts de fonctionnalités sont possibles. Pour des usages innovants, elle est en mesure de cartographier un jardin d’une extrême précision. Elle pourra même transmettre des informations sur la qualité de la terre, le type d’arbres ou de fleurs en fonction de son parcours ou encore, préciser les zones à irriguer. Au-delà d’un robot tondeuse traditionnel, I.MOWER T20000 s’impose comme le véritable compagnon du paysagiste et du jardinier. Une sentinelle dans le jardin Le contrôle permanent de l’espace vert Le système est capable de détecter la présence d’intrus ou d’actions inhabituelles sur une zone. Chaque événement sera immédiatement signalé au propriétaire et une photographie de l’objet ou de la personne, floutée dans ce cas, lui sera même envoyée par SMS, email ou appel téléphonique. Pour renforcer l’alerte, une activation sonore et visuelle (gyrophare) ou un message sonore personnalisé pourra également être paramétré. La sécurité renforcée pour les individus et les animaux Le robot est programmé pour assurer une protection absolue pour les individus, même durant la tonte. Les lames de la tondeuse I.MOWER T20000 s’arrêtent de tourner aussitôt qu’elles détectent un obstacle, avant de modifier leur trajectoire. Ce système permet aussi de préserver la vie des petits visiteurs des jardins, tels que les hérissons, premières victimes de ces accidents meurtriers. Un design de bolide sportif personnalisable INFINY IA a décidé de faire appel à son partenaire PROTOSTYLE pour apporter un soin tout particulier à l’aspect de la tondeuse I.MOWER T20000. Son design est élégant, novateur et presque totalement personnalisable – nom, taille et logo du robot, couleur de carrosserie, des jantes et des motifs, remorque, coque extérieure.   Un modèle hybride soucieux de l’environnement La tondeuse I.MOWER T20000 et l’ensemble de ses équipements sont rechargeables via une station d’accueil, par énergie solaire, sur secteur ou encore de façon mixte pour favoriser une autonomie de fonctionnement et un respect de l’environnement. I.MOWER T20000 nécessite par ailleurs une très faible consommation d’électricité, parmi les plus basses du marché des robots tondeuses. I.MOWER T20000 offre une autonomie jusqu’à 12 heures. Selon le mode choisi (solaire, mixte, secteur), le temps de recharge moyen varie entre 120 mn à 180 mn. La tondeuse I.MOWER T20000 sera disponible à partir du premier semestre 2021. Les précommandes sont accessibles via le site https://infiny-ia.com/ à partir de 9 000 Euros H.T. Elle sera d’abord distribuée en France et dans les pays francophones, puis progressivement disponible dans le reste du monde. Vidéo de la version T2000 : https://youtu.be/DW5L2pf3wqE À propos de INFINY IA Créée en mai 2020, INFINY IA est spécialisée en intelligence artificielle dans les domaines de l’analyse visuelle (IA Computer Vision), de la mobilité autonome et de la robotique. Basée à Neuilly-sur-Seine, elle s’appuie sur l’expertise d’une équipe de passionnés pour développer des solutions de mobilité pour le grand public et les professionnels. INFINY IA compte à ce jour 25 collaborateurs avec un objectif de doubler l’effectif d’ici 2 ans. Site internet : https://infiny-ia.com/
Il y a 4 ans et 163 jours

Un chantier de parking controversé à Chambéry finalement accepté par la majorité

Ce parking en devenir avait été source de tensions et de débats lors de la campagne municipale, entre la majorité LR sortante à l'initiative du projet et le binôme Repentin-Le Meur soutenu par un arc politique allant des écologistes à l'UDI, contre le projet en l'état.En juin, quelques jours avant le second tour de l'élection municipale, des opposants au projet, rassemblant des militants d'Extinction Rebellion, de Youth for Climate et un collectif citoyen, avaient occupé la grue du chantier pendant trois jours et deux nuits, avant d'en redescendre.Les travaux devraient reprendre en janvier, a annoncé jeudi M. Repentin, après avoir été interrompus en juillet à la demande de sa majorité tout juste élue.Une concertation avait ensuite été proposée aux habitants qui pouvaient se prononcer sur différents projets alternatifs. "Nous ne pouvions pas faire autrement tellement le projet avait cristallisé les tensions dans la population", a expliqué vendredi à l'AFP Mme Le Meur.Les sept niveaux seront conservés comme initialement prévu. Mais des améliorations seront apportées, précise la municipalité, avec notamment une meilleure prise en compte des véhicules en autopartage et des vélos.Selon Mme Le Meur, "tous les impacts financiers de ce choix sont réintégrés dans le coût de la délégation de service public" avec le délégataire spécialiste du stationnement Q-Park, qui doit courir jusqu'en 2047."Cela ne coûtera donc pas un centime de plus aux Chambériens", a affirmé l'élue, d'abord à la tête d'une liste citoyenne avant son alliance avec M. Repentin pour le second tour de l'élection."C'est faux", a rétorqué l'opposition. Pour Aloïs Chassot, chef de file LR à la mairie, "tout ça pour ça" : contester le projet, organiser une concertation après l'élection "pour revenir au final au projet initial"."Mais nous sommes satisfaits que ce projet se fasse comme prévu". En pointant du doigt les conditions de la délégation imposées à la Ville du fait d'un contrat conclu par la majorité précédente avec Q-Park, "la majorité en place tente de trouver une excuse à un renoncement de campagne", a estimé l'élu membre de la majorité sortante.
Il y a 4 ans et 163 jours

L'État présente un Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique

Ce Centre de ressources est créé dans le cadre du deuxième Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC-2) qui couvre la période 2018-2022. Ce Plan comprend 58 actions pour adapter, d'ici 2050, les territoires de la France métropolitaine et d'outre-mer aux changements climatiques régionaux attendus.Le Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique a été développé par le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA), sous le pilotage du ministère, et en partenariat avec l'Agence de la transition écologique (ADEME) et Météo-France.« Le changement climatique n'est pas une notion lointaine géographiquement ou abstraite dans le temps : les dérèglements du climat ont bien lieu actuellement, tout autour de nous et partout en France. Les épisodes climatiques extrêmes, tels que les canicules et sécheresses, les feux de forêts ou bien les inondations, sont devenus de plus en plus intenses et fréquents. Notre agriculture, nos forêts, de nombreuses activités économiques sont touchées par les évolutions rapides du climat. Face à cette réalité, notre devoir est de nous y préparer afin de protéger au mieux les Français, à la fois leur bien-être mais aussi leur environnement. Avec ce nouveau centre de ressources, nous nous donnons les moyens de partager largement toutes les informations nécessaires à une meilleure préparation face à ces risques. » Barbara Pompili, ministre de la Transition écologiqueLes émissions passées de gaz à effet de serre accumulées dans l'atmosphère rendent désormais inéluctables certains impacts sur les populations et l'environnement : hausse des températures moyennes ; vagues de chaleur de plus en plus fréquentes, de plus en plus sévères et s'étendant au-delà des périodes estivales traditionnelles ; précipitations plus intenses, même dans les régions où la quantité annuelle de précipitations diminuera ; accélération de la hausse du niveau des mers... L'État se doit de mieux informer et mieux sensibiliser les populations afin ainsi de préparer sur le long terme la société à vivre avec un climat différent.Le Centre de ressources sur l'adaptation au changement climatique a pour objectif d'accompagner tout acteur engagé dans une démarche d'adaptation en lui donnant accès à un ensemble complet de ressources adaptées aux différents secteurs d'action.Sont donc disponibles en ligne et pour tous :une cartographie des initiatives locales ;un répertoire des acteurs locaux ;les appels à projet en cours, etdes formations proposées sur le sujet.Cinq parcours utilisateurs (élu, technicien de collectivité, particulier, acteur économique, bureau d'études) permettent d'accéder à des informations personnalisées sur la réglementation en vigueur, les impacts attendus du changement climatique et les solutions existantes.Tous les thèmes de l'adaptation au changement climatique sont traités : les impacts du changement climatique sur la santé (y compris au travail), l'eau, l'agriculture, la forêt, les sols, la biodiversité, les risques naturels, l'urbanisme, la mobilité, la pêche et l'aquaculture, le tourisme et le secteur financier.Des pages spécifiques regroupent les informations régionales. Un moteur de recherche permet d'accéder à différentes ressources : rapports, fiches, projets de recherche... Et des liens sont faits vers les projections climatiques locales réalisées par les chercheurs français, comme via le portail DRIAS ou encore l'application de Météo-France ClimatHD.Le Centre de ressources inclura également à terme un volet international en support aux actions d'aide au développement de la France et des acteurs français de l'Agenda mondial de l'action pour le climat, y compris un rôle de veille afin d'apprendre des autres pays.
Il y a 4 ans et 163 jours

Basilique de Saint-Denis : lancement des travaux de reconstruction de la flèche en 2022

La ministre de la Culture Roselyne Bachelot s’est rendue pour la première fois à la basilique Saint-Denis pour visiter le chantier. La municipalité espère obtenir un soutien financier de la part de l’élue pour la rénovation de la flèche.
Il y a 4 ans et 163 jours

20 ans après sa découverte, un ouvrage consacré à la grotte de Cussac

Le spéléologue Marc Delluc a découvert la grotte de Cussac, en Dordogne, le 30 septembre 2000. Elle a bouleversé nos connaissances en raison de son immensité (1,6 km de galeries investies par l’homme), de son inviolabilité jusqu’à sa récente découverte, la monumentalité des gravures (les plus grandes de l’art paléolithique), un âge intermédiaire entre Chauvet et Lascaux ( -28 -30 000 ans) et, plus original encore, la présence d’ossements humains associés. Une politique conservatoire exemplaire y a été menée par les services du ministère de la Culture. À l’issue des expertises coordonnées par Norbert Aujoulat, un ambitieux programme scientifique, initié en 2008, se poursuit chaque année. Le livre, abondamment illustré, est le premier sur ce site sans équivalent. La richesse de la documentation, sa diversité thématique, permettent de partager la générosité de ses trésors archéologiques et artistiques. Auteurs Jacques Jaubert, professeur de Préhistoire à l’université de Bordeaux, en charge du projet scientifique de la grotte de Cussac Valérie Feruglio, préhistorienne en charge de la coordination des études de l’art pariétal de Cussac ; Nathalie Fourment, conservatrice régionale de l’archéologie de Nouvelle-Aquitaine, en charge du site et de l’équipe ichnologie de Cussac. Cairn éditions – éditions Confluences
Il y a 4 ans et 163 jours

Le gisant de la reine Berengère de retour dans l’Abbaye royale de l’Epau (72)

Après des années de recherche et des mois de travaux de restauration, le gisant de la reine Berengère a retrouvé sa place d’origine au sein de l’église abbatiale de l’Abbaye royale de l’Epau. Les travaux ont été́ pilotés par le Département, en délégation de maîtrise d’ouvrage de la DRAC des Pays de la Loire sous maitrise d’œuvre du Cabinet ARCHITRAV et de son responsable François Jeanneau (architecte en chef des Monuments Historiques). L’opération de restauration a démarré́ fin septembre et s’est achevée le 30 novembre. Ce chantier de restauration a été labellisé « Chantier de France » et a mobilisé les savoirs faire et l’expertise de véritables métiers d’arts ancestraux, tout en y intégrant les techniques d’investigation innovantes d’aujourd’hui. En 2018, le gisant a fait l’objet d’une étude historique et architecturale générale intégrant des relevés de polychromie et un diagnostic sanitaire complet. Grâce à cette étude, le gisant de la reine a pu être déplacé au chœur de l’église abbatiale. L’objectif de ce déplacement était d’améliorer les conditions de conservation et de présentation du gisant. Sculpté dans la seconde moitié du XIIIème siècle, le gisant de la reine est en pierre calcaire, type cliquart. La représentation de Bérengère, sans doute idéalisée, porte la couronne, signe distinctif d’une reine. Au Moyen Âge, le gisant était entièrement peint : bleu azurite pour la robe, rouge clair pour le manteau, bleu-vert pour le voile, ocre-jaune pour le lion. Le coût de ce déplacement s’élève à 218 000 €, soit 36% pris en charge par la DRAC des Pays de la Loire. Source et photo : Drac Pays de la Loire  
Il y a 4 ans et 163 jours

Une maquette monumentale de la charpente de Notre-Dame de Paris au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin

Issue de la dynamique lancée par le président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, au lendemain de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la réalisation d’une maquette monumentale de la charpente a mobilisé en Nouvelle-Aquitaine les acteurs de la formation et les professionnels des métiers d’art, du patrimoine, du bâtiment, du bois et de la forêt, dont le campus Forêt-Bois. Cette reproduction de la charpente réalisée de plus de 14 mètres de haut (à l’échelle 1/10) ainsi qu’une travée de la cathédrale reconstituée en taille réelle, font l’objet d’une exposition qui restera en permanence au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin. Témoignant du savoir-faire régional et de l’architecture remarquable de l’édifice, ce lycée comme cette exposition incarnent l’école régionale du patrimoine que la Région Nouvelle- Aquitaine entend créer. Cette école assurera la promotion de l’ensemble des filières de la rénovation et de la restauration du patrimoine classé et du patrimoine bâti. C’est une mise en réseau des lycées, écoles, universités et instituts de formation initiale, des structures de formation et qualification professionnelle, et des entreprises et des filières. L’inauguration de la maquette de la cathédrale Notre-Dame a eu lieu le 7 décembre 2020 au Lycée des Métiers et du Bâtiment (LMB) de Felletin avec notamment Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Louis Nembrini, vice-président en charge de l’Education. A l’heure où la Région Nouvelle-Aquitaine développe son ambition environnementale avec sa feuille de route Néo Terra, où le patrimoine a un besoin considérable de conservation et d’amélioration, notamment énergétique, et dans un contexte de transformation des métiers du bâtiment, particulièrement avec le développement du numérique, l’ambition de l’institution régionale consiste à consolider et développer le lycée des métiers du bâtiment de Felletin. L’objectif est de faire de cet établissement, labellisé campus des métiers et des qualifications « construction durable et éco-réhabilitation », une référence en matière de formations pour la rénovation du patrimoine, intégrant l’usage du BIM. Ce campus a aussi pour vocation de maintenir en état le patrimoine remarquable de la région et d’être une école de la réussite pour les jeunes dans un domaine d’avenir. Dans cette perspective, la Région a engagé un plan d’investissement à hauteur de 46 millions d’euros pour transformer cet établissement en campus à la campagne. Photo : © Région Nouvelle-Aquitaine / Yannick Pirot
Il y a 4 ans et 164 jours

Le Sénat adopte le budget 2021 "travail et emploi", modifié

La ministre du Travail Elisabeth Borne a rappelé que les crédits de son ministère pour 2021 "se décomposent en deux volets: 13,2 milliards d'euros pour la mission "Travail et Emploi", en augmentation de 400 millions d'euros. Auxquels s'ajoutent les mesures de lutte contre la pauvreté dans le 4e projet de loi de finances et 10 milliards d'euros de crédits exceptionnels du plan de relance".Mme Borne a indiqué que l'enveloppe supplémentaire annoncée pour le budget de la Garantie jeunes serait présentée "en deuxième lecture à l'Assemblée nationale parce que nous sommes en train de faire le chiffrage". "C'est autour de 280 millions d'euros qu'on devrait rajouter", a-t-elle précisé, ce qui correspond à "50.000 Garanties jeunes de plus", le plan de relance ayant déjà prévu 50.000 autres entrées.Le Premier ministre Jean Castex avait annoncé la semaine dernière que la Garantie jeunes bénéficierait en 2021 à "au moins 200.000 jeunes", soit un doublement de ses bénéficiaires.La Garantie jeunes propose une allocation mensuelle (d'un montant maximal d'environ 490 euros) et un accompagnement renforcé en mission locale pendant un an aux jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont "ni en emploi ni en études ni en formation" et "en situation de précarité financière". Encore pour les jeunes, le Sénat a donné son feu vert à un amendement du groupe RDPI à majorité En Marche, soutenu par le gouvernement, visant à étendre la rémunération et la protection sociale des stagiaires de la formation professionnelle à de nouveaux jeunes, bénéficiaires de dispositifs d'accompagnement, par exemple l'Accompagnement intensif des jeunes (AIJ), proposé par Pôle emploi, ou la Prépa-apprentissage.Toujours avec le soutien du gouvernement, le Sénat a adopté un amendement d'élus du groupe Indépendants visant à permettre aux agents assermentés de Pôle emploi chargés de lutter contre la fraude de bénéficier d'un "droit de communication", à l'instar de leurs homologues de la Sécurité sociale.Ce droit leur permettrait d'obtenir auprès d'un certain nombre d'organismes les informations nécessaires pour contrôler l'exactitude des déclarations faites en vue de l'attribution de prestations.Interpellée par ailleurs sur la fraude au dispositif de chômage partiel mis en place par le gouvernement pour les secteurs les plus touchés par la crise, Mme Borne a indiqué qu'avaient été menés "près de 400.000 contrôles a priori, plus de 10.000 suspicions de fraude qui ont conduit à bloquer le versement des sommes, et puis de l'ordre de 60.000 contrôles a posteriori et 700 procédures pénales engagées".Contre l'avis du gouvernement cette fois, les sénateurs ont adopté des amendements visant à augmenter les crédits dédiés aux Maisons de l"Emploi. Ils ont peu de chances d'être conservés par l'Assemblée nationale.
Il y a 4 ans et 164 jours

Les étapes à suivre pour l’achat d’une maison

Acheter une maison est un projet de vie qui se prépare avec la plus grande attention. C’est la raison pour laquelle, ceux qui veulent être des propriétaires sont si exigeants. Cet article résume les différentes étapes de l’acquisition d’un logement. Devenir propriétaire en quelques étapes Qu’il soit neuf ou d’occasion, un logement coûte cher. De ce fait, plus d’un ont recours à un prêt immobilier afin de donner vie à leurs projets. Ainsi, dans la plupart des cas, la première étape de l’achat d’une maison est la définition du budget. Pour ce faire, on peut utiliser des simulateurs en ligne qui permettent de calculer la capacité de remboursement. Cela est en fonction des revenus, des charges et du taux d’endettement de l’intéressé. Pour plus de certitude, il n’est pas interdit de se faire conseiller par son gestionnaire de compte ou son gestionnaire de patrimoine. Après avoir fixé un montant à ne pas dépasser, il faut passer à l’étape suivante. Il est temps de chercher sa future maison. Lors de cette étape, il est primordial de se baser sur ses besoins actuels et futurs. Afin de trouver des offres intéressantes, on a la possibilité de consulter les petites annonces ici et là. On peut également diffuser une publication du type « recherche maison à… » sur les sites d’annonces payants ou non. Après avoir trouvé une maison au rapport qualité-prix raisonnable, il faut négocier le prix et proposer une offre d’achat au vendeur. Lorsqu’un commun accord est trouvé, il convient de signer un compromis ou une promesse de vente avec le propriétaire actuel. Pour information, le compromis de vente engage les deux parties. Un tel contrat vaut vente. À la suite de tout cela, le futur propriétaire continue par la demande de financement. C’est seulement après avoir eu un accord de garantie auprès d’une banque qu’il pourra recontacter le vendeur. La finalisation de la vente devra se faire devant un notaire. Pourquoi s’adresser à une agence immobilière ? Une nouvelle maison est un gros investissement. Pour ne pas se tromper dans leurs choix, certains se contentent d’être minutieux dans le processus d’acquisition immobilière, d’autres vont jusqu’à engager des spécialistes pour les conseiller. Solliciter une Agence immobilière Metz, c’est mettre toutes les chances de son côté. Les agents immobiliers ont plusieurs missions, dont la plus importante est d’aider sa clientèle à trouver des biens en parfaite adéquation avec ses besoins et son budget. Pour ce faire, ils mettent à profit tous leurs atouts : expérience, savoir-faire, relations, force de négociation, etc. Le travail d’un agent immobilier va au-delà de la sélection des biens intéressants dans une région donnée. En plus de trouver des bonnes affaires, ces professionnels informent les personnes désireuses de devenir propriétaires sur leurs obligations et droits. Ils les briefent également sur les différentes aides dont ils peuvent bénéficier. Forts de leur expertise, ils sont à même de négocier un bon prix pour une maison donnée. Par ailleurs, leur fine connaissance du secteur ou du quartier concerné leur permet d’estimer au juste prix les logements en vente. Enfin, il est à remarquer que les agents immobiliers peuvent faciliter les démarches administratives.
Il y a 4 ans et 164 jours

Eolien en mer : le futur parc normand sera au large du Cotentin

ENR. Le 4 décembre 2020, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a dévoilé la zone où sera construit le 4e champ éolien offshore normand. Elle reste cependant à affiner. Dans le même temps, l'appel d'offres est lancé.