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Il y a 4 ans et 169 jours

Un tiers des entreprises de bâtiment franciliennes sont inquiètes pour leur avenir

CONJONCTURE. Impact du reconfinement sur les entreprises de la région, évaluation de la baisse de l'activité sur 2020, état des carnets de commandes, inquiétudes et attentes pour les prochains mois, perspectives pour le début de l'année 2021... Les FFB Grand Paris et Ile-de-France ont interrogé les entreprises du bâtiment, afin de mieux appréhender leur situation.
Il y a 4 ans et 169 jours

L’Anah adopte un budget de 2,7 milliards d’euros avec l'objectif de rénover 600.000 logements en 2021

Ce budget permettra d’accélérer la rénovation du parc privé, que cela soit au travers des aides traditionnelles de l’Agence ou de l’élargissement au 1er janvier 2021 de MaPrimeRénov’ à l’ensemble des propriétaires, occupants comme bailleurs, et des copropriétaires.Des objectifs 2020 en passe d’être atteints malgré la situation sanitaireEn 2020, l’Anah constate une activité dynamique sur l’ensemble de ses programmes, supérieure à celle de 2019 à la même période (+11%). Ces résultats témoignent de la mobilisation de l’ensemble du réseau de l’Anah, au siège comme dans les territoires, pour assurer la continuité du service public pendant les périodes de confinement. Ils démontrent aussi les attentes fortes des citoyens en matière d’amélioration de l’habitat.2,7 milliards d’euros et des objectifs renforcés pour l’amélioration du parc privéLe budget 2021 de l’Anah atteint pour la première fois les 2,7 milliards d’euros, notamment grâce aux crédits de France Relance. Ce budget inédit conforte l’Agence dans ses missions et va permettre l’accélération de la rénovation des logements, en lien avec la montée en puissance de MaPrimeRénov’, les évolutions du programme Habiter Mieux, l‘accélération du Plan Initiative Copropriétés et l’accompagnement des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de Demain. Plus que jamais, il s’agit pour l’Anah de déployer ses aides afin d’améliorer les logements du parc privé, lutter contre l’artificialisation des sols, redynamiser les centres-villes et réduire les émissions de gaz à effets de serre. Des moyens supplémentaires sont alloués également à l’humanisation des centres d’hébergement avec une augmentation de 3 millions d’euros dans le cadre de France Relance, portant les aides à 11M€ en 2021.Au total, ce sont plus de 600 000 logements dont la rénovation sera financée par l’Agence.Evolutions de MaPrimeRénov’ et de Habiter MieuxDans le cadre de France Relance, MaPrimeRénov’ est élargie à l’ensemble des propriétaires et copropriétaires, favorise les rénovations les plus ambitieuses (primes pour les sorties de passoires thermiques et rénovations BBC) et finance désormais l’assistance à maîtrise d'ouvrage pour faciliter l’accompagnement des ménages. Par ailleurs, MaPrimeRénov’ Copropriété se substitue au programme Habiter Mieux Copropriétés pour devenir une aide collective unique, à destination de toutes les copropriétés engageant des travaux de rénovation énergétique permettant un gain énergétique d’au moins 35%. Cette évolution permet de créer un dispositif simple et accessible à l’ensemble des copropriétés.Afin de renforcer la lutte contre la précarité énergétique des ménages modestes et très modestes, le programme Habiter Mieux évolue également. Il subventionnera désormais jusqu’à 50% des travaux de rénovation énergétique permettant un gain d’au moins 35%, avec un plafond de travaux porté à 30 000€. Une prime pour les sorties de passoires énergétiques et un bonus pour les rénovations atteignant l’étiquette A ou B complètent le dispositif.Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement : « L’amélioration de l’habitat est au cœur des préoccupations de nos concitoyens, comme en atteste le niveau d’activités de l’Agence. Cette forte dynamique se poursuivra en 2021, grâce à des moyens exceptionnels, mobilisés notamment grâce à France Relance. L’élargissement de MaPrimeRénov’, qui rencontre d’ores et déjà un succès grandissant, va permettre d’accélérer massivement la rénovation énergétique pour tenir les engagements climatiques de notre pays. Au-delà, c’est l’ensemble des missions de l’Agence qui sont confortées, ce dont je me félicite. »Thierry Repentin, Président de l’Anah : « Malgré la situation sanitaire, l’Anah sera, en 2020, une nouvelle fois au rendez-vous des objectifs que le gouvernement lui a fixé. En 2021, le budget dont bénéficie l’Agence lui donne les moyens de massifier les aides à la rénovation, en continuant d’apporter une attention particulière aux plusfragiles. Cela sera possible grâce à l’ouverture de MaPrimeRénov’ à tous les propriétaires, et à la mobilisation des territoires en faveur de l’amélioration de l’habitat dans le cadre des grands programmes nationaux tels que le Plan Initiative Copropriétés, Action Cœur de Ville, Petites Villes de Demain. »
Il y a 4 ans et 169 jours

Après une mauvaise année 2020, l'industrie des matériaux de construction s’inquiète pour 2021

Les résultats montrent, sans surprise, un fort impact de la crise sanitaire sur l'activité avec des prévisions attendues pour cette année à - 8 % pour les granulats et à - 10 % pour le béton prêt à l'emploi (BPE). En 2021, l'environnement économique et institutionnel resterait trop pesant pour envisager un rebond marqué des productions. L'activité BPE et granulats peinerait à dépasser les niveaux de 2020 et demeurerait encore très en deçà de ceux de 2019.Le Covid-19 a bousculé toutes les prévisionsAlors que les indicateurs d'activité sur le début d'année 2020 semblaient plutôt bien orientés avec un certain raffermissement de la production de matériaux, l'arrivée de l'épidémie de Covid-19 a causé un choc sans précédent pour toute l'économie française. La filière « carrières et matériaux » n'a pas été épargnée et a subi une baisse très significative de son activité. En avril 2020, mois le plus impacté, les volumes se contractaient de près de 60 % par rapport à avril 2019 pour les granulats et de 70 % pour le BPE.L'annonce du déconfinement au mois de mai s'est traduite par un rebond de l'activité durant l'été avant que le mois d'octobre ne vienne tempérer ce mouvement de rattrapage.L'activité des granulats a cependant regagné près de 35 % au troisième trimestre par rapport au deuxième trimestre et + 4,3 % au regard du troisième trimestre de 2019. Néanmoins, en cumul sur douze mois, les productions de granulats affichent encore un recul de - 7,9 % (CVS-CJO).Du côté du BPE, sur la même période, la production a grimpé de 45 % par rapport aux trois mois précédents et de 6 % par rapport à la même période de l'an passé. Mais, au cours des douze mois, les livraisons de BPE accusent toujours une baisse de - 11,2 %.2020, un bilan en net repliEn dépit du rebond rapide et vigoureux des livraisons de matériaux à la sortie du confinement, les pertes de productions entre mars et mai ne seront pas comblées. Le deuxième confinement, qui a certes permis la poursuite des chantiers du BTP, impactera quand même à terme le secteur via ses effets délétères sur la croissance et la confiance des agents économiques.L'année 2020 devrait donc se solder par une contraction de l'activité d'environ - 8 % pour les granulats et de - 10 % pour le BPE (en données brutes).Les livraisons de BPE s'inscriront ainsi 5 % en deçà de leur moyenne des 10 dernières années, à 36,3 millions de m3.Quant à la production de granulats, elle atteindrait les 326 millions de tonnes, soit un niveau de 10 % en dessous de la moyenne de ces 10 dernières années (358 millions de tonnes), une décennie pourtant marquée par la crise financière de 2008. Cette période de crise s'est également accompagnée d'une nouvelle approche de satisfaction des besoins en granulats avec notamment l'essor de la production de matériaux recyclés mais aussi de leur valorisation directement sur les chantiers. De sorte que les niveaux de production sont devenus aujourd'hui structurellement plus bas qu'il y a 20 ans. D'ailleurs, en 2020, la quantité de granulats extraits atteindra son plus bas niveau historique depuis 40 ans.Pas de vrai rebond attendu en 2021Après cette année 2020 que l'on peut qualifier de « hors-norme », avec une activité mise entre parenthèses pendant plusieurs mois, plusieurs facteurs pourraient permettre de retrouver des chiffres en progression : plans de relance, besoins en logements, en investissements de renouvellement ou d'entretien des infrastructures, poursuite des projets des opérateurs privés…, le tout sur fond de crise sanitaire davantage sous contrôle. Mais les pesanteurs restent nombreuses, et les professionnels du secteur témoignent leurs inquiétudes : près de 90 % des chefs d'entreprises s'attendent à une baisse ou à forte baisse d'activité dans les 6 prochains mois (enquête d'opinion UNICEM - novembre 2020).Bâtiment : les carnets se videntSi les mises en chantier de logements ont bien observé un rebond depuis le premier déconfinement, ce n'est pas le cas pour les permis qui restent plombés dans le segment du résidentiel comme dans celui du non résidentiel. De même, le marché du logement neuf ne montre aucun rattrapage des transactions au troisième trimestre et les promoteurs demeurent inquiets sur l'évolution de la demande.La crise sanitaire, qui s'est doublée d'une crise économique et sociale, a introduit de nouveaux paramètres dans l'équation de la demande de matériaux : les risques de faillites d'entreprises, la crainte du chômage, les pertes de pouvoir d'achat des ménages, mais aussi les bouleversements dans les modes de consommation et de travail sont autant de facteurs qui modifient les comportements d'investissement immobilier des entreprises et des ménages et tirent les carnets de commandes de la filière bâtiment vers le bas. En d'autres termes, si la reprise des chantiers actuels de logements est alimentée par les commandes d'avant crise, les carnets eux ne se remplissent plus.Travaux publics : en attente des commandesAu-delà des effets délétères du double-confinement, le contexte pour les travaux publics pâtit également de facteurs négatifs. Entre séquences de confinements et calendrier électoral rallongé, les collectivités locales peinent à se mobiliser pour relancer des appels d'offre. Dans ce contexte, l'affectation des crédits du plan de relance en travaux risque fort de prendre du retard et de s'étaler dans le temps alors que la situation exigerait une traduction rapide des annonces.L'UNICEM alerte également les pouvoirs publics sur la nécessité d'actionner le levier de la commande publique afin de réamorcer l'activité dans les territoires et de privilégier l'approvisionnement en ressources locales pour soutenir l'emploi et le développement économique.Dans ce contexte, le potentiel de rebond de l'activité resterait très contraint en 2021, se limitant au maximum à + 4 % pour les granulats et étant quasi-nul pour le BPE. Les niveaux de production de 2021 s'établiraient ainsi bien en deçà de ceux de 2019 autour de - 5 % pour les granulats et de - 10 % pour le BPE.Au-delà de ces perspectives peu encourageantes, l'UNICEM alerte aussi sur certains freins qui pourraient encore davantage brider la relance potentielle du secteur.RE2020 : des annonces brutales à même de déstabiliser la filièreÀ la suite des récentes annonces des Ministres Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon autour de la Réglementation Environnementale des Bâtiments (RE2020), la fédération fait part de ses interrogations sur leurs conséquences potentielles à court et moyen termes sur l'activité de la filière. Les risques de perturbations sont réels alors même que celle-ci s'inscrit depuis plusieurs années dans un cercle vertueux d'économie circulaire, avec une prise en compte des enjeux du développement durable du secteur de la construction sous le prisme de l'analyse du cycle de vie global des matériaux utilisés.De plus, les chefs d'entreprise sont particulièrement inquiets sur la possible institutionnalisation d'une distorsion de concurrence entre matériaux. Pourtant, la filière prône depuis de longues années la mixité des matériaux, avec une approche qui repose, notamment, sur l'utilisation du bon matériau au bon endroit.L'industrie des carrières et matériaux extrêmement inquiète du manque de visibilité quant à la future filière de responsabilité élargie du producteur (REP) prévue au 1er janvier 2022L'économie circulaire est depuis longtemps une réalité au sein de la filière minérale. Aujourd'hui, le secteur des industries extractives et des matériaux de construction est un acteur majeur et reconnu en matière de recyclage et de valorisation matière des déchets inertes.Cette constante mobilisation a permis de dépasser, dès 2018, le seuil des 70 % de taux de valorisation fixé par l'Union européenne pour 2020. Les déchets inertes du bâtiment (33,5 millions de tonnes) sont ainsi déjà valorisés à hauteur de plus de 80 %, grâce à un maillage de 1 500 plateformes exploitées par les adhérents de l'UNICEM et réparties sur l'ensemble du territoire. Du fait que la loi AGEC fixe pour principe que les déchets de construction ou de démolition soient repris sans frais lorsqu'ils font l'objet d'une collecte séparée, un éco-organisme devrait être créé pour financer cette collecte séparée des déchets inertes par le prélèvement d'une éco-redevance sur les produits et matériaux de construction. Cela conduirait à une ponction économique très importante des industriels de la filière minérale, de plus de 380 millions d'euros par an, sans équivalent au niveau des REP déjà existantes sur les acteurs économiques et sans que les conséquences en aient été correctement étudiées.A l'heure où l'ADEME doit présenter les résultats de son étude de préfiguration de cette future filière REP, l'industrie des carrières et matériaux n'a pas l'assurance d'être écoutée, d'autant plus que la reprise gratuite ne permettra pas de répondre à la problématique des dépôts sauvages et installations illégales. Les dépôts sauvages sont principalement le fait de particuliers ou d'entrepreneurs peu scrupuleux ou exerçant leurs activités dans des conditions illégales (travail dissimulé).
Il y a 4 ans et 169 jours

Consolis va-t-il céder ses activités ferroviaires à TowerBrook ?

Consolis a annoncé avoir reçu une offre ferme pour sa division ferroviaire de la part de TowerBrook. [©Consolis] Consolis a annoncé avoir reçu une offre ferme pour sa division ferroviaire de la part de TowerBrook Capital Partners L.P. Cette dernière est une société internationale de gestion d’investissements. Pour sa part, Consolis est un spécialiste des structures en béton préfabriqué pour les secteurs des transports, des services publics et du bâtiment. En 2019, sa division “Rail” a réalisé un chiffre d’affaires de 190 M€. Elle compte 1 000 collaborateurs et 16 usines réparties dans 10 pays d’Europe. Cette division occupe la première place en Estonie, en Finlande, en France, en Lituanie, en Norvège, au Portugal, en Suède. Et la troisième en Allemagne, en Belgique (desservie depuis la France), en Pologne et au Royaume-Uni. Une affaire à suivre… « La division “Rail” est constituée de sociétés leaders sur leurs marchés locaux, aux marques fortes,peut-on lire dans le communiqué de presse. Qui conçoivent et fabriquent des traverses et autres produits en béton préfabriqué pour les chemins de fer depuis près de 100 ans. » Benoît Cattin-Martel, qui dirige à l’heure actuelle ce division de Consolis, devrait devenir le Pdg du nouvel ensemble une fois cédé. Il a déclaré : « Nous disposons des équipes et du maillage industriel adéquats dans 10 pays européens. Ceci, pour devenir le meilleur fournisseur de traverses ferroviaires en béton, à la fois dans nos zones géographiques actuelles et au-delà. En tant que “pure player”, nous pourrons saisir d’importantes opportunités de croissance organique, tout en étant prêts pour de futures acquisitions. Nous continuerons à encourager l’innovation pour servir au mieux nos clients ».  Conditionné à l’avis des partenaires sociaux et soumis aux règles anti-trust habituelles et aux autorisations réglementaires, ce projet devrait aboutir dans le courant du premier semestre 2021. Jusqu’à la conclusion de la transaction, Consolis continuera d’exploiter cette activité ferroviaire. A suivre…
Il y a 4 ans et 169 jours

Alpes-Maritimes : l’Agence 06 officiellement lancée le 13 novembre 2020

La nouvelle cellule Agence 06, mise en place par le département des Alpes-Maritimes, est désormais opérationnelle.
Il y a 4 ans et 169 jours

Alogia Groupe annonce l'acquisition d'un cabinet d'architectes spécialisés

Cette union se concrétise par la création d'une nouvelle filiale dénommée "cabinet Gardinier Chargé et associés". Avec l'internalisation de cette compétence à très forte valeur ajoutée de la chaîne du maintien à domicile, ALOGIA Groupe renforce son expertise pluridisciplinaire pour s'imposer sur les marchés de l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO) et de l'expertise juridique.L'architecture spécialisée "vieillissement et handicap" au cœur de l'enjeux sociétal de la transition démographiqueAujourd'hui en France, 94,5% des personnes âgées de 65 ans et plus vivent à domicile1. Ces seniors expriment pour 90% d'entre eux le souhait d'y rester2. Au cœur des enjeux de l'adaptation de notre société au vieillissement, l'habitat est ainsi devenu un déterminant de santé et d'autonomie mais aussi un défi majeur : 94% du parc immobilier n'est pas adapté aux seniors3.Face à ce constat, le Groupe ALOGIA défend une approche préventive du vieillissement en accompagnant les professionnels du secteur (bailleurs sociaux, assurances, collectivités, promoteurs…) dans leur réponse aux enjeux du "bien vieillir" à domicile. Le Groupe, qui a déjà accompagné ses clients par des actions préventives sur plus de 10 000 logements, rassemble une équipe pluridisciplinaire : professionnels de santé ergothérapeutes, UX designers, chercheurs doctorants, experts, architectes… Cette complémentarité des profils, qui permet d'apporter une réponse exhaustive aux enjeux de l'adaptation du parc immobilier, fait aujourd'hui le succès d'ALOGIA.L'intégration du cabinet Gardinier, fruit de la stratégie du Groupe pour s'imposer sur les marchés de l'AMO et de l'expertise juridiqueExpert reconnu auprès des compagnies d'assurance depuis 30 ans et chargé de cours à la faculté de médecine Paris VI, Vincent Gardinier, Architecte DPLG spécialisé Grand Handicap, interviendra dans les missions d'Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO) du groupe et pilotera la filiale "Cabinet Gardinier Chargé et associés".À destination des acteurs de l'assurance, cette division propose une offre d'expertises juridiques pour les conseiller dans le dimensionnement juste et impartial de l'indemnisation des victimes de dommages corporels. Élément de différenciation fort, le binôme unique ergothérapeute-architecte formé par Thomas Chargé, directeur santé d'ALOGIA Groupe et Vincent Gardinier, s'est donné pour mission de s'imposer sur le marché des expertises juridiques.Avec leurs équipes, ils offrent aux assureurs la garantie d'une prise en charge globale des problématiques de la victime, tant architecturale qu'ergonomique. Le cabinet intervient déjà au niveau national auprès des principaux acteurs de l'assurance parmi lesquels Covéa, Axa, Groupama, Gan et bien d'autres.« Ce rapprochement est une réelle opportunité de transmettre des savoirs concrets, techniques et spécifiques, accumulés tout au long de 30 années de terrain au contact des victimes, et de former une nouvelle génération d'architectes. La complémentarité du binôme ergothérapeute / architecte renforce notre expertise ; les savoirs de l'un nourrissant la pratique de l'autre », souligne Vincent Gardinier.« La création du Cabinet Gardinier Chargé marque l'aboutissement de plusieurs années de collaboration entre Vincent Gardinier et nos équipes. L'arrivée de Vincent, dont la réputation auprès des compagnies d'assurance n'est plus à démontrer, nous permet de consolider nos activités tant au niveau du groupe qu'au sein de cette nouvelle filiale auprès des assureurs.», conclut Alexandre Petit, Président du groupe.1 Source INSEE, France, portrait social – édition 20162 Source, INSEE, Les tableaux de l'économie française – mars 20193 Source, rapport d'étude du groupe Caisse des Dépots – octobre 2013
Il y a 4 ans et 169 jours

Du neuf du côté de la prévention et de la santé au travail

[©ACPresse] Avec la crise sanitaire, la prévention retrouve toute son utilité. Quels que soient le corps de métier ou la taille d’une entreprise, aucun secteur d’activité n’échappe aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles. Selon Albert David, auteur du “Manuel de référence sur la prévention, la sécurité et la santé au travail de A à Z” : « On n’a jamais produit autant de matière que de risques dans la société d’aujourd’hui ». Ces risques sont à présent bien connus et identifiables via “L’évaluation des risques” obligatoire pour tout employeur. Dans le sillage de l’épidémie de coronavirus, tous les membres de l’entreprise se voient contraints et forcés de faire évoluer les standards, codes et règles de vie au travail. « Il aura fallu une crise sanitaire de l’ampleur du Covid-19 pour que nos consciences déploient un arsenal de bon sens et de responsabilité. » A présent, il est « capital pour l’employeur de disposer bien en amont d’un plan de prévention, d’action et de maitrise du risque ». « Un document indispensable pour le monde du travail privé et public », selon Jean Auroux, ancien ministre du Travail, qui en assure la préface. Editeur : Editions PréventionAuteur : Albert DavidPrix : 77,90 €TTC
Il y a 4 ans et 169 jours

Pau : plus de 2,5 M€ de subventions de la Région pour le projet de la halle Sernam

Le projet de réhabilitation de la halle Sernam à Pau a reçu une subvention de 2,5 M€ venant de la Région.
Il y a 4 ans et 169 jours

Jeux Olympiques et Paralympiques : attribution du marché de construction du Centre aquatique de Marville

L’entreprise GCC s’est vue attribuer le marché global de performances (comprenant la conception, la construction et la maintenance) du futur Centre aquatique de Marville en Seine-Saint-Denis, en groupement avec BVL Architecture, ASB Architectures OAW, INCET, TUAL, Ginger BURGEAP, Vivace Latitude, ABC Décibel, BIM BAM BOOM et Idex. GCC opérera sous maîtrise d’ouvrage du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et sous la supervision de la SOLIDEO. Après une phase de conception, d’études et d’obtention du permis de construire, les travaux débuteront en janvier 2022 et s’achèveront en octobre 2023, avant une ouverture du nouveau Centre aquatique début 2024. Cet équipement sera financé à hauteur de 30,5 millions d’euros (valeur 2016) par la SOLIDEO, grâce notamment aux importantes contributions de la Ville de Paris et du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis à son budget. Ce nouveau centre aquatique offrira un espace totalement neuf de 4 600m2 dont près de 1 600m2 de plan d’eau, avec des bassins intérieurs et extérieurs, un espace bien-être et balnéothérapie, deux solariums, une plage aqualudique ou encore une lagune de jeux. Pendant les Jeux Olympiques, le Centre aquatique accueillera les entraînements de water-polo. Après 2024, ce nouvel équipement public renforcera considérablement l’offre aquatique du parc des sports de Marville, que ce soit pour une pratique sportive ou de loisirs, des clubs, des groupes scolaires et des habitant.e.s de la Seine-Saint-Denis. Le futur Centre aquatique s’inscrit ainsi pleinement dans le « Plan piscines » de 40 millions d’euros voté par le Département fin 2015 et visant à la rénovation de la moitié des piscines et à la construction de 5 nouvelles piscines en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 169 jours

Balcons : points de vigilance

A la suite de l’effondrement d’un balcon à Angers en 2016 ayant entrainé la mort tragique de quatre personnes, le ministère de la Cohésion des territoires, en collaboration avec la Direction de l’Habitat de l’Urbanisme et des Paysages (DHUP), ont missionné l’Agence Qualité Construction (AQC) sur une étude traitant de la sinistralité des balcons. Encore peu connue et arrivant pourtant plusieurs par an en France, c’est une première étape franchie dans la connaissance de ce type d’événements : l’étude a été publiée il y a quelques jours. Elle a pour objectif de faire un état des lieux des désordres observés sur les balcons, de la fissuration à l’effondrement, puis de catégoriser les pathologies rencontrées et d’en faire une analyse, afin de permettre à la filière d’en tirer des conclusions et de prendre des dispositions. Fondée sur un échantillon de 348 rapports d’expertise, elle établit une classification des pathologies par nature de matériau. Elle propose des perspectives d’amélioration globale des bonnes pratiques.
Il y a 4 ans et 169 jours

Des restaurations bâclées du patrimoine culturel en Turquie suscitent l'inquiétude

La Tour de Galata, un monument emblématique d'Istanbul construit au 14ème siècle, est le dernier édifice dont la rénovation a fait l'objet d'une telle controverse. La démolition de l'un de ses murs au marteau-piqueur en août a été interrompue de justesse après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo de cette scène qui a suscité l'indignation.Le ministre de la Culture, Nuri Ersoy, avait alors tenté d'éteindre la polémique en assurant que les travaux au marteau-piqueur avaient été menés sur des murs "ne faisant pas partie de la construction originale", tout en promettant des sanctions contre les responsables du chantier.Des mosaïques romaines endommagées par une restauration bâclée, du béton coulé au milieu d'un amphithéâtre antique, des citadelles historiques qui paraissent désormais flambant neuves: la liste des monuments mal rénovés s'est allongée ces dernières années.Pour Osman Köker, fondateur de la galerie Birzamanlar, un lieu d'exposition sur la diversité culturelle du pays, "une grossièreté" envers des édifices anciens, tendant à effacer les traces des minorités non-musulmanes, a toujours existé en Turquie.Profits avant toutPourtant, le tableau fut autrement plus reluisant au début des années 2000, à l'aube du pouvoir du président Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre. "Dans le cadre des efforts pour l'adhésion à l'Union européenne, la restauration des monuments à haute valeur symbolique était alors privilégiée", explique M. Köker.Ainsi, en 2011, la restauration réussie de l'église arménienne d'Ahtamar, dans l'est de la Turquie, avait reçu de nombreux éloges.Mais l'éloignement d'Ankara de l'UE ces dernières années et le durcissement du pouvoir islamo-conservateur de M. Erdogan ont changé la donne, souligne Korhan Gumus, architecte spécialisé en protection du patrimoine."Les appels d'offres de rénovation ne sont désormais attribués par le gouvernement qu'à des groupes privilégiés. Ceux-ci ont instauré un monopole et voient les projets avant tout comme un moyen de générer des profits", déplore-t-il.Il impute ces dérives à "un système qui gère les rénovations uniquement par le biais des appels d'offres, sans réflexion préalable sur l'histoire ou l'environnement"."On se contente d'une restitution de l'original, ce qui donne des résultats caricaturaux. Or, les monuments comportent souvent des parties ajoutées au cours des siècles par différentes civilisations qu'il faudrait conserver", ajoute-il.Sollicité par l'AFP, le ministère de la Culture n'a pas réagi aux critiques.Décisions arbitrairesC'est Mahir Polat, directeur du Département de l'héritage culturel à la mairie d'Istanbul, qui a tiré la sonnette d'alarme sur la destruction au marteau-piqueur d'un mur de la Tour de Galata.La mairie, dirigée par une figure de l'opposition, a déposé une plainte, mais la demande de M. Polat d'inspecter le site a été rejetée par le ministère de la Culture, qui pilotait les travaux."Lorsque la restauration n'est perçue que comme une activité de chantier, on rate le but de conservation", estime M. Polat.Le tableau est aussi assombri selon lui par certaines "décisions arbitraires", qui court-circuitent les organismes en charge de la protection du patrimoine.Il dit ainsi avoir découvert en juillet qu'une fontaine historique à Uskudar, dans la partie asiatique d'Istanbul, avait disparu du jour au lendemain dans le cadre de l'élargissement d'une route.La municipalité du district, dirigée par le parti au pouvoir, avait décidé selon lui de "déplacer" la fontaine sans avoir obtenu les permis nécessaires."La valeur historique d'un monument n'a de sens que dans le lieu où il se trouve. Vous ne pouvez pas le transporter comme un objet quelconque". "On n'a d'ailleurs pas de nouvelles de cette fontaine depuis", ajoute-t-il.Pour Tugba Tanyeri Erdemir, chercheuse à l'Université de Pittsburgh, la Turquie privilégie "une mise sous domination du patrimoine culturel plutôt que sa conservation"."Nous l'avons vu avec les décisions de reconversion de la basilique de Sainte-Sophie et de l'église de la Chora", souligne-t-elle.La reconversion récente de ces édifices en mosquées avait suscité des inquiétudes sur le sort de leurs mosaïques byzantines."La mémoire d'une ville est intimement liée à son espace. Nous n'avons pas su vivre avec les édifices anciens dans le passé", déplore M. Polat. "J'espère que nous nous rendrons un jour compte que nous avons un trésor entre nos mains".
Il y a 4 ans et 170 jours

Socotec recrute un ancien adjoint au maire de Lyon

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la maîtrise des risques et de l'amélioration des performances, Socotec, a nommé un ancien adjoint délégué à l'urbanisme et l'habitat de la ville et la métropole de Lyon, directeur du développement du secteur public pour la construction, l'immobilier et les infrastructures.
Il y a 4 ans et 170 jours

Covid-19 : le guide de l'OPPBTP est-il bien appliqué sur les chantiers ?

ENQUÊTE. Les préconisations covid du guide de l'Organisme professionnel de prévention du BTP (OPPBTP) sont-elles bien appliquées sur le terrain ? Batiactu a sollicité plusieurs acteurs du secteur pour évaluer la situation.
Il y a 4 ans et 170 jours

La filière bois est prête pour répondre aux nouvelles orientations de la RE2020

Le président du SFCB, Eric Trendel revient sur les récentes annonces du Ministère de la Transition Énergétique sur la future RE2020 et assure que la filière saura relever ce nouveau défi.« Cette annonce, soudaine, est une très belle surprise tant pour la construction bois que pour le bois énergie. La filière a de nombreux atouts pour répondre à ce nouveau défi. Nous disposons d’une ressource locale et renouvelable, de solutions performantes qui préservent la qualité de l’air, de larges gammes de produits, et d’installateurs qualifiés sur tout le territoire pour assurer la pose et l’entretien des chaudières.Mettre le bois au cœur de la RE2020, c’est valoriser la première source d’énergie renouvelable de France. Nous sommes le deuxième pays européen producteur de bois énergie alors que seulement 50% de l’accroissement de notre forêt est exploité ! La filière bois est un cercle vertueux dans son ensemble. Construire en bois permet de de stocker du CO2 dans le bâtiment. L’élaboration des bois de structure dans les scieries donne naissance à des résidus de sciages, ou connexes, qui sont ensuite réutilisés pour former des granulés bois destinés au chauffage. Notre modèle encourage l’économie circulaire et locale et répond aux enjeux climatiques, tout en permettant à chacun de se chauffer de manière durablement économique.Notre offre de chaudières est très large et en mesure de s’adapter au plus grand nombre. Nos fabricants et importateurs proposent des équipements performants (ventouse ou condensation, manuelle ou automatique), adaptés à tous les budgets et pour tous les types de logement. J’ai souvent entendu dire qu’une chaudière biomasse est encombrante et compliquée à installer : nous avons aujourd’hui des systèmes qui ne prennent qu’1 mètre carré au sol et qui peuvent s’installer en une journée !Le SFCB sera aux côtés des constructeurs de maisons individuelles, des maitres d’œuvres et des bureaux d’études pour que l’installation des chaudières biomasse soit simplifiée. Si nous sommes aujourd’hui très heureux de pouvoir nous positionner plus largement dans le logement individuel, la filière a aussi les solutions pour répondre aux besoins des logements collectifs comme définis dans la RE2020. »Eric Trendel, Président du Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse
Il y a 4 ans et 170 jours

Corruption : la justice confirme l'annulation d'un marché public à Bobigny

FAVORITISME. Le bailleurs social de la ville de Bobigny, dont l'ancien maire a été battu en juillet, a obtenu la confirmation de l'annulation d'un marché public de ravalement avec isolation thermique par l'extérieur. Le juge administratif, comme les nouveaux dirigeants de l'OPH, le considèrent frauduleux.
Il y a 4 ans et 170 jours

Malgré la rénovation urbaine, les quartiers prioritaires manquent d'attractivité

RAPPORT. L'attractivité des quartiers prioritaires de la politiques de la ville (QPV) ne s'est pas améliorée depuis dix ans, selon la Cour des comptes, qui a mené une enquête au long cours sur le sujet. Elle recommande, dans son rapport publié le 2 décembre, une forte décentralisation de la politique de la ville, ainsi qu'une véritable politique de peuplement de ces quartiers où se concentre toujours plus la misère.
Il y a 4 ans et 170 jours

Élus et ONG dénoncent un article de loi qui pourrait favoriser la corruption dans l'attribution des marchés publics

Ils espèrent que le Conseil constitutionnel, saisi par plus de soixante députés, retoquera cette loi adoptée fin octobre, à l'issue d'une procédure accélérée. Sa décision est attendue jeudi.En cause, l'article 44 quater, qui introduit un "motif d'intérêt général" permettant de justifier la conclusion d'un marché public sans publicité ni mise en concurrence préalable, quel que soit le montant."C'est la porte ouverte au favoritisme et à la corruption", dénonce Jean-Paul Lefebvre, président d'Anticor 93. "Si les attributions de marché ne se font pas dans la transparence, c'est le régime des enveloppes, qui est déjà une pratique courante, et pas que dans les communes", ajoute cet élu d'opposition à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).De 25.000 à 40.000 euros en janvier, puis à 70.000 en juillet: si le seuil sous lequel un marché peut être conclu de gré à gré a déjà été relevé deux fois par décret, "le texte Asap ne mentionne plus de seuil. Au motif de l'intérêt général, on pourrait désormais avoir des marchés de plusieurs millions d'euros sans aucune publicité ni concurrence!", ajoute M. Lefebvre.En outre, cette notion "floue" - et "contraire à la règlementation européenne" - risque "d'envoyer des décideurs publics devant la justice, qui devra définir et vérifier le motif d'intérêt général", met en garde le conseiller municipal.Rare députée à avoir porté la contradiction à la majorité en séance, l'ex-marcheuse Emilie Cariou critique aussi la méthode: "l'article a été introduit par voie d'amendement par le gouvernement, sans aucune étude d'impact ni analyse juridique: c'est grave de légiférer sur des sujets aussi importants par voie d'amendement".Lors des débats, le rapporteur du texte à l'Assemblée, le député LREM Guillaume Kasbarian, a expliqué que l'objectif était "d'accompagner la reprise économique", en renforçant "l'accès des entreprises en difficulté et des TPE-PME à la commande publique"."L'objectif est également d'accompagner les collectivités territoriales dans l'effort de relance, par exemple pour la rénovation thermique de petits bâtiments, en accélérant la passation de marchés qui n'intéressent pas les grands groupes", a complété la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runachier.Tirée à 60% par les collectivités territoriales, la commande publique a progressé de 11% en 2019 pour atteindre 87,5 milliards d'euros, répartis en 25 milliards pour les travaux, 32,5 milliards pour les services et 12,8 milliards pour les fournitures, selon la Banque des territoires.Elle devrait bondir à la faveur du plan de relance de 100 milliards d'euros, auquel le gouvernement veut associer étroitement les "territoires" chers au Premier ministre Jean Castex.En réalité, cet assouplissement du Code de la commande publique (CCP) est réclamé "depuis des années par le BTP", affirme Benjamin Guy, responsable de la communication de Transparency France. "L'urgence et la relance servent de prétexte pour se débarrasser d'une procédure d'appel d'offres jugée fastidieuse et contraignante".Renaud Muselier, le président de la région Sud, a ainsi fait valoir auprès du gouvernement la nécessité de supprimer cette "contrainte" pour pouvoir commander rapidement des tests."Mais on ne change pas tout le Code de la commande publique pour un sujet de santé!", s'insurge Emilie Cariou. "Le Covid a bon dos, il permet de faire passer tout un tas d'atteintes à l'État de droit", déplore cette ex-cadre dans le privé.D'autant que "les règles actuelles du CCP sont compatibles avec des commandes +urgentes+ de masques ou de tests dans l'intérêt des deniers publics", renchérit Jean-Paul Lefebvre. Par exemple, les délais de publicité, qui sont de 30 jours pour une candidature par voie électronique, peuvent être réduits à 15 jours si l'urgence est dûment justifiée.
Il y a 4 ans et 170 jours

Élus et ONG dénoncent un article de loi qui pourrait favoriser la corruption dans l'attribution de marchés publics

Ils espèrent que le Conseil constitutionnel, saisi par plus de soixante députés, retoquera cette loi adoptée fin octobre, à l'issue d'une procédure accélérée. Sa décision est attendue jeudi.En cause, l'article 44 quater, qui introduit un "motif d'intérêt général" permettant de justifier la conclusion d'un marché public sans publicité ni mise en concurrence préalable, quel que soit le montant."C'est la porte ouverte au favoritisme et à la corruption", dénonce Jean-Paul Lefebvre, président d'Anticor 93. "Si les attributions de marché ne se font pas dans la transparence, c'est le régime des enveloppes, qui est déjà une pratique courante, et pas que dans les communes", ajoute cet élu d'opposition à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).De 25.000 à 40.000 euros en janvier, puis à 70.000 en juillet: si le seuil sous lequel un marché peut être conclu de gré à gré a déjà été relevé deux fois par décret, "le texte Asap ne mentionne plus de seuil. Au motif de l'intérêt général, on pourrait désormais avoir des marchés de plusieurs millions d'euros sans aucune publicité ni concurrence!", ajoute M. Lefebvre.En outre, cette notion "floue" - et "contraire à la règlementation européenne" - risque "d'envoyer des décideurs publics devant la justice, qui devra définir et vérifier le motif d'intérêt général", met en garde le conseiller municipal.Rare députée à avoir porté la contradiction à la majorité en séance, l'ex-marcheuse Emilie Cariou critique aussi la méthode: "l'article a été introduit par voie d'amendement par le gouvernement, sans aucune étude d'impact ni analyse juridique: c'est grave de légiférer sur des sujets aussi importants par voie d'amendement".Lors des débats, le rapporteur du texte à l'Assemblée, le député LREM Guillaume Kasbarian, a expliqué que l'objectif était "d'accompagner la reprise économique", en renforçant "l'accès des entreprises en difficulté et des TPE-PME à la commande publique"."L'objectif est également d'accompagner les collectivités territoriales dans l'effort de relance, par exemple pour la rénovation thermique de petits bâtiments, en accélérant la passation de marchés qui n'intéressent pas les grands groupes", a complété la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runachier.Tirée à 60% par les collectivités territoriales, la commande publique a progressé de 11% en 2019 pour atteindre 87,5 milliards d'euros, répartis en 25 milliards pour les travaux, 32,5 milliards pour les services et 12,8 milliards pour les fournitures, selon la Banque des territoires.Elle devrait bondir à la faveur du plan de relance de 100 milliards d'euros, auquel le gouvernement veut associer étroitement les "territoires" chers au Premier ministre Jean Castex.En réalité, cet assouplissement du Code de la commande publique (CCP) est réclamé "depuis des années par le BTP", affirme Benjamin Guy, responsable de la communication de Transparency France. "L'urgence et la relance servent de prétexte pour se débarrasser d'une procédure d'appel d'offres jugée fastidieuse et contraignante".Renaud Muselier, le président de la région Sud, a ainsi fait valoir auprès du gouvernement la nécessité de supprimer cette "contrainte" pour pouvoir commander rapidement des tests."Mais on ne change pas tout le Code de la commande publique pour un sujet de santé!", s'insurge Emilie Cariou. "Le Covid a bon dos, il permet de faire passer tout un tas d'atteintes à l'État de droit", déplore cette ex-cadre dans le privé.D'autant que "les règles actuelles du CCP sont compatibles avec des commandes +urgentes+ de masques ou de tests dans l'intérêt des deniers publics", renchérit Jean-Paul Lefebvre. Par exemple, les délais de publicité, qui sont de 30 jours pour une candidature par voie électronique, peuvent être réduits à 15 jours si l'urgence est dûment justifiée.
Il y a 4 ans et 170 jours

Caprémib : « La voie d’eau devient viable sur longue distance »

Retrouvez cet article dans Béton[s] le Magazine n° 82 L’activité du quai de chargement du site Caprémib est à l’arrêt, faute de demande… [©ACPresse] L’industriel du béton Caprémib est présent sur les marchés des éléments structuraux et architectoniques sur mesure. Il travaille exclusivement sur des projets spécifiques et est capable de produire des pièces. Pouvant atteindre un poids de 50 t… Le site Caprémib de Cormicy (51) se situe en bord de voie navigable et dispose même d’un quai de chargement, non utilisé à l’heure actuelle ! « Aujourd’hui, il est plus économique de réaliser Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans Béton[s] le Magazine n° 82
Il y a 4 ans et 170 jours

Le Meux. Livraison du nouveau parking près de la gare

L’Agglomération de la Région de Compiègne a livré un nouveau parking à Le Meux. Celui-ci devrait résoudre les problèmes de gestion de stationnement près de la gare Croix-Saint-Ouen.
Il y a 4 ans et 170 jours

Fin du démontage de l’échafaudage calciné de Notre-Dame de Paris

Le démontage de l’échafaudage calciné qui entourait initialement la flèche de Notre-Dame de Paris s’est achevé le 24 novembre 2020 en présence de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. La dépose qui avait commencé le 8 juin 2020 a donc duré moins de 6 mois. Constitué de 40 000 pièces d’un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il représentait une grave menace pour la cathédrale. L’installation d’un deuxième échafaudage a permis aux cordistes de descendre au coeur de l’échafaudage incendié dont les pièces étaient soudées entre elles par la chaleur. Les échafaudeurs ont démonté les parties accessibles à l’aide d’une nacelle, lorsque le temps le permettait, les cordistes sont descendus au plus près des parties calcinées pour découper les tubesavec des scies sabres. Les pièces ont été évacuées grâce à une grue de 80 mètres. Photo : © Édouard Bierry / ministère de la culture  
Il y a 4 ans et 170 jours

La restauration du chemin de ronde des remparts de Carcassonne va être bouclée

Grâce à la dotation exceptionnelle prévue par le ministère de la Culture dans le cadre du plan de relance, le CMN peut envisager plus tôt la restauration du rempart médiéval de Carcassonne, de la porte Saint-Nazaire à la porte Narbonnaise. Ce sera l’achèvement d’un projet de grande ampleur mené depuis plusieurs années pour la restauration du monument, la modernisation des espaces d’accueil des publics et l’extension du parcours de visite. A la suite de la restauration de 2014 à 2015 du rempart médiéval ouest, le circuit de visite avait pu être enrichi à l’été 2015 d’un second circuit de remparts à l’ouest, du château comtal à la porte Saint-Nazaire, complétant le circuit des remparts gallo-romains, situés au nord, du château comtal à la porte Narbonnaise et restaurés en 2008. Le plan de relance vient contribuer par l’intermédiaire du ministère de la Culture à la restauration de la dernière partie du chemin de ronde des remparts, située à l’est et constituée de six tours et 300 mètres de courtines. Elle sera restaurée et sécurisée afin de répondre à un double enjeu de conservation et d’ouverture au public. Ce chantier sous la maîtrise d’œuvre d’Olivier Weets, architecte en chef des monuments historiques, comprendra la reprise des sols, la sécurisation du parcours et des escaliers par la mise en place de mains courantes, ainsi que l’aménagement des six tours. A l’issue de ces travaux les visiteurs auront la possibilité de parcourir la totalité du rempart intérieur (rempart gallo-romain, rempart médiéval ouest et rempart médiéval est) soit plus de 1500 mètres. L’important travail préparatoire a commencé, le diagnostic ayant déjà été réalisé. Le début des travaux est ainsi prévu dès octobre 2021 pour une livraison fin 2023. Visuel : CMN  
Il y a 4 ans et 170 jours

Le musée de Paladru sera terminé fin 2021

Deux sites archéologiques, l’un de l’époque néolithique (dit des Baigneurs), l’autre autour de l’an mil (Colletière), sont à l’origine de découvertes majeures sur les modes d’occupation des rives du lac de Paladru. La variation dans le temps du niveau des eaux a permis de conserver des formes d’habitat et de modes de vie généralement disparus en milieu sec. Les fouilles programmées menées pendant près de trente ans, ont donné lieu à la découverte de collections archéologiques d’importance exceptionnelle pour la connaissance des périodes néolithiques et médiévales. Le futur musée situé sur la Commune des villages-du-lac-de-Paladru présentera une sélection de 500 objets originaux des périodes néolithiques, antiques et médiévales trouvés lors des fouilles et remarquablement bien conservés par les eaux du lac. Le public découvrira la vie quotidienne il y a mille et 5 mille ans ainsi que les techniques de conservation des objets issus de fouilles subaquatiques grâce à une scénographie innovante. Le bâtiment conçu par le cabinet Basalt Architecture évoque une pirogue, objet emblématique de la collection, sa réalisation est liée à celle d’un projet urbain dans la continuité du village. Photo du chantier : Jean-Paul Corlin – Wikimedia  
Il y a 4 ans et 170 jours

Webinaire : Nicolas Valette, Manager BIM présentera le projet le Chai lors du Jeudi Prescription LIVE !

 Nicolas Valette, Manager BIM pour le compte de l’agence Rive Droite Architecture  à Bordeaux, sera notre invité et présentera :   » Le Chai, projet de réhabilitation lourde d’un ancien entrepôt maritime sur les quais de Bordeaux. «  Un chantier réalisé en open BIM pour le compte du Crédit agricole Aquitaine. Il accueille des bureaux, salles de réunion, espaces de services, salles partagées et multifonctions à vocation sportive, ainsi que des espaces de stockage, des garages… Pour ce programme, la maîtrise d’œuvre souhaitait conserver la typologie du chai. Les murs extérieurs en pierres ainsi que la charpente métallique existante ont été conservés tout comme les dalles et leur structure porteuse maçonnée. Il a cependant fallu effectuer de nombreux aménagements et renforcer la charpente existante… Des solutions ont été trouvées pour faire circuler un volumineux et complexe réseau de gaines pour alimenter et ventiler les différentes pièces du bâtiment. Le chantier est aujourd’hui terminé. La maquette BIM du projet a été utilisée des premières esquisses jusqu’à l’exploitation !  BIMobject, Polantis et Abvent sont ravis de vous convier au prochain Jeudi Prescription LIVE le 10 décembre de 9h00 à 10h30 : inscription en ligne !  Venez écouter comment s’est opéré ce chantier ! A propos de Nicolas Valette  « Manager BIM pour le compte de l’agence RDA à Bordeaux et formateur Archicad pour CAD Concept, Revendeur agréé Abvent pour la Région Nouvelle Aquitaine. J’ai entrepris des études artistico-techniques, et il y a une vingtaine d’année, j’ai découvert Archicad et entrevu le potentiel de travailler avec la 3D. A une époque où la notion de BIM n’existe pas encore, je commence à me former sur Archicad en autodidacte. En 2011, je développe en parallèle de ma carrière d’architecte, une activité de formateur sur Archicad pour accompagner les agences bordelaises dans leur entrée dans le BIM. Il y a un peu plus de 3 ans, une des agences que j’ai formées me contacte après avoir remporté un concours pour un projet BIM. Cette agence c’est RDA et le projet BIM, c’est LE CHAI. Aujourd’hui je continue ma carrière de formateur sur Archicad d’un côté et celle de Manager BIM pour RDA de l’autre. Je conseille et forme les équipes, le support technique, la supervision des maquettes BIM et l’interopérabilité, ainsi que la partie communication et tous les à cotés que permet aujourd’hui le BIM.«  Inscription en ligne 
Il y a 4 ans et 170 jours

« Avec MyPricer et l’EDI, la commande de nos clients part en fabrication en moins de 24h »

En novembre 2019, Picard Serrures, fabricant français de serrures et de portes blindées, a fait le choix de s’appuyer sur ELCIA pour déployer MyPricer et la commande dématérialisée (EDI) auprès de ses clients, pour gagner en efficacité et être plus réactif. L’objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices : rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse. Julien, voilà un peu moins d’un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l’EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ? Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd’hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes ! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d’optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l’EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine ! Avec MyPricer, notre objectif était d’accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d’étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l’EDI ? Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s’utiliser de partout : c’était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle ! Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients… Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients : notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s’adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard (IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable du réseau IAP, mon rôle est de m’assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique. Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ? Il y a d’abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd’hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d’être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d’ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d’ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus ! En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance… Oui, et la période de confinement a d’ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L’idée était de leur montrer concrètement la simplicité d’utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c’était très simple et pratique. C’est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux. « Même s’il est 18h un samedi, que notre bureau d’étude est fermé et que le commercial n’est pas joignable, notre client a tout de suite ses informations sur MyPricer. Il n’attend pas et peut répondre à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier » Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ? Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l’outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l’inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd’hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu’un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs… et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins. Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ? La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n’importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d’appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c’est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C’est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n’ont plus besoin d’aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l’imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l’EDI, ils n’ont plus rien à faire, c’est un gros gain de temps et de simplicité ! Et du côté de vos équipes internes ? L’EDI nous permet d’éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu’un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C’est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients. S’il fallait résumer MyPricer et l’EDI en quelques mots ? C’est vraiment la simplicité de l’outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l’EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important : ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu’ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s’il est 18h un samedi, que notre bureau d’étude est fermé, que leur commercial n’est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n’a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante ! Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ? Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d’accélérer le passage de commande via MyPricer, nous sommes passés à 36%. C’est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L’objectif est d’avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d’ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d’ici 2021. MyPricer, la solution 100% web pour les devis et les commandes Destiné aux Industriels du secteur Menuiserie, Store et Fermeture, MyPricer leur permet de mettre à disposition de leurs clients Artisans non équipés, une solution « clé en main » pour créer leurs devis et passer leurs commandes. 100% Web, la solution est accessible grâce à une simple connexion Internet, depuis n’importe quel support (PC, tablette, Smartphone). Intuitif, MyPricer ne nécessite aucune installation ni formation. En rendant ses clients totalement autonomes dans leur chiffrage et le passage de commandes, l’Industriel gagne un temps considérable au quotidien, qu’il peut consacrer à son Service Clients et au développement de ses ventes. En plus de posséder un formidable outil de conquête et de fidélisation, l’Industriel bénéficie de la traduction en 7 langues (français, anglais, allemand, néerlandais, polonais, italien et espagnol) de MyPricer pour s’ouvrir à d’autres marchés internationaux. En savoir plus sur MyPricer : www.elcia.com/mypricer  
Il y a 4 ans et 170 jours

Relance : les maires calent face au mur de l’argent

Le moteur local de la relance risque de se noyer dans l’épargne de précaution. Cette perspective ressort des commentaires de l’Association des maires de France, après la publication des deux études qu’elle a réalisées avec la banque des Territoires, présentées le 1er décembre à la presse. L’une porte sur l’analyse financière des communes et intercommunalités, et l’autre sur les leviers de l’investissement local.
Il y a 4 ans et 170 jours

Le Parlement adopte la proposition de loi "zéro chômeur longue durée"

Députés et sénateurs s'étaient mis d'accord sur un texte commun, en commission mixte paritaire, le 28 octobre. L'idée du dispositif est de mobiliser les sommes destinées à l'indemnisation du chômage pour financer des entreprises à but d'emploi (EBE) qui recrutent en CDI des chômeurs de longue durée, payés au Smic pour des activités utiles socialement et non concurrentes des emplois existants.Votée à l'unanimité par 79 voix pour et 0 contre, la proposition de loi vise à étendre à 50 nouveaux territoires, pour cinq ans, une expérimentation lancée début 2017 et menée aujourd'hui dans dix "territoires" de 5.000 à 10.000 habitants, de Loos (Nord) à Jouques (Bouches-du-Rhône) en passant par Pipriac (Ille-et-Vilaine) ou Villeurbanne (métropole de Lyon).Ils accueillent 13 EBE employant plus de 800 salariés dans des activités de maraîchage, bûcheronnage, recyclage de métaux ou réparation de vélos.L'État contribue largement au financement de l'expérimentation, à hauteur de 18.000 euros par an, par emploi, alors que la part des départements est de l'ordre de 1.500 euros.La proposition de loi comprend par ailleurs d'autres mesures pour simplifier l'insertion par l'activité économique (IAE), comme la suppression d'un agrément obligatoire auprès de Pôle Emploi.Elle crée un "CDI inclusion" pour des personnes de plus de 57 ans en difficulté ou met en place l'expérimentation d'un "contrat passerelle", afin de faciliter le recrutement en entreprises classiques de personnes en fin de parcours d'insertion.En CMP, les parlementaires ont acté une augmentation "dérogatoire" du nombre de territoires habilités pour l'expérimentation, qui sera possible par décret en Conseil d'État.L'accord du président du conseil départemental sera également une condition requise pour qu'un territoire puisse se porter candidat à l'expérimentation.Le texte avait été voté en première lecture à main levée au Sénat, avec les voix des groupes LR, centriste, RDPI (ex LREM), RDSE à majorité radicale et Indépendants. Il avait été adopté à l'unanimité à l'Assemblée nationale.En 2019, le nombre de personnes au chômage depuis un an ou plus était de 1,004 million, dont 518.000 depuis deux ans ou plus, selon l'Insee. Si on ajoute celles qui ne sont pas ou plus inscrites à Pôle emploi, on estime à quelque 2,5 millions les personnes privées durablement de travail.
Il y a 4 ans et 171 jours

Castex promet "autant de moyens que nécessaire" pour soutenir l'apprentissage

"On est autour de 400.000 apprentis cette année" ce qui signifie que "malgré la crise forte, nous devrions faire davantage d'apprentis en 2020 qu'en 2019", a affirmé le Premier ministre lors d'un déplacement sur le site de l'entreprise d'ascenseurs et escalators Koné, à Trappes (Yvelines).L'apprentissage avait atteint un niveau record en 2019 (+16% de contrats) qui devrait être maintenu, voire dépassé en 2020 grâce aux primes à l'embauche (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 euros pour un majeur) décidées cet été.Voyant dans ce succès un signe "que notre plan +Un jeune une solution+ fonctionne bien", M. Castex a plaidé pour "que tout le monde puisse se sentir concerné par l'apprentissage, notamment parce que ça marche"."On en fait la clé de voûte de notre politique de formation professionnelle" et "on mettra autant de moyens que nécessaire pour poursuivre cela", a-t-il promis à l'issue d'une rencontre avec des apprentis."C'est aussi un signe de confiance dans l'avenir de la part des entreprises. Cela veut dire qu'elles ont confiance dans la reprise de l'activité", a de son côté affirmé la ministre du travail Elisabeth Borne qui l'accompagnait, avec la ministre déléguée à la Ville Nadia Hai.Le ministère du Travail avait annoncé le 24 novembre que le financement des centres de formation d'apprentis (CFA) ne diminuerait pas à la rentrée 2021, en dépit du déséquilibre créé par la forte progression du nombre de contrats d'apprentissage et la baisse des ressources liée à la crise.
Il y a 4 ans et 171 jours

Qu’est-ce qu’un certificat de conformité ?

Lorsque nous construisons une maison, nous avons un projet bien défini. Parfois les gens construisent pour pouvoir revendre après. Ce qui est un bon investissement en soi si on prend soin de bien choisir l’emplacement du bien. Mais pour bien revendre votre maison, un bon emplacement et un prix attractif ne suffisent pas. Il faut aussi disposer d’un certificat de conformité. C’est un papier délivré par la mairie pour certifier que votre maison répond aux critères de permis de construire. La déclaration d’achèvement des travaux Auparavant, on parlait de certificat de conformité. Mais aujourd’hui il est remplacé par la déclaration attestant l’achèvement et la conformité des travaux. Cela revient à la même notion. Avant de commencer la construction de votre maison, vous devez obtenir un permis de construire qui est obligatoire. Vous pouvez vous renseigner sur un blog de bricolage des papiers nécessaires pour cette déposition. Et quand terminez la construction de votre maison, vous devez par la suite adresser une déclaration d’achèvement des travaux à la mairie. Cette déposition doit être effectuée soit par le propriétaire soit par le maitre d’œuvre (la personne qui a dirigée les travaux). Cela constitue une preuve que la construction entre dans les normes indiquées par le permis de construire déposé avant le commencement des travaux. Dans cette déclaration, on devra trouver une attestation de prise en compte de la réglementation thermique dûment remplie par le maitre d’œuvre. Validation de la conformité des travaux En envoyant la déclaration d’achèvement des travaux, vous déclarer ainsi que vous suivez les normes. Et la commune reçoit les papiers le prouvant. Mais cela ne reste que de la paperasse sans une vérification sur terrain. La commune va alors envoyer une équipe chargée de vérifier les travaux en détails et elle ne dispose que de trois mois pour cela. Ce n’est pas une obligation pour la commune mais une grande partie des municipalités l’effectuent tout de même. Pour les bâtiments entrant dans le cadre des monuments historiques, le délai est de 5 mois et la contre-visite est obligatoire pour la mairie. C’est une fois ces délais passés et les preuves réunies que la commune valide tacitement les travaux ou non. Elle dispose ensuite de 15 jours pour envoyer une attestation prouvant que la conformité des travaux n’a pas été constaté. Et c’est ce papier qui vous sera d’une aide précieuse lors de la revente de votre bien après. Dans le cas des travaux non conformes Pour une raison ou une autre, il est fort possible que les travaux ne soient pas du tout conformes. Cela peut être prouvé par des incohérences relevées entre le plan initial et la réalisation finale en se basant sur le permis de construire. Dans ce cas, la commune va vous permettre d’effectuer les travaux nécessaires pour une habitation plus conforme. Dans certains cas, il est indispensable de déposer un nouveau permis de construire modificatif. Dans d’autres cas, il est même possible que la mairie vous oblige à démolir la construction à vos frais. Et si la construction n’est pas conforme au PLU alors vous encourrez à des sanctions pénales et administratives. Et si je n’ai pas d’attestation de conformité ? Pour vendre une maison, il faut disposer de l’ancien certificat de conformité. Cela concerne les maisons construites depuis moins de 10 ans. Les futures propriétaires peuvent aussi vous demander de fournir l’attestation de non-contestation de la conformité des travaux bien qu’elle ne soit obligatoire lors de la vente. Si la mairie ne vous a encore pas envoyé l’attestation au bout des 15 jours octroyés, faites une relance. Si votre demande n’est pas toujours prise en compte alors tournez-vous vers la préfecture. Celle-ci devrait vous fournir cette attestation.
Il y a 4 ans et 171 jours

Les Maires de France et professionnels du bâtiment solidaires pour une relance dans les territoires

Conscientes de la baisse sans précédent des capacités d'autofinancement des collectivités induite par les effets la crise sanitaire, elles plaident pour que les dotations et compensations de L’État fléchées vers les collectivités territoriales constituent un appui décisif à cette relance des investissements en accompagnement de la part territoriale de « France relance ».D'ores et déjà, les artisans et entrepreneurs de bâtiment connaissent une contraction forte de leur activité (-15% attendu sur l'année 2020) et s'inquiètent des perspectives pour 2021, lorsque les commandes d'avant-crise auront été honorées et que les mesures d'aide à la trésorerie auront cessé de produire leurs effets.Or, la crise sanitaire du printemps a retardé la mise en œuvre des projets de rénovation ou de construction des bâtiments publics. Elle a aussi révélé le souhait d'un nombre important de nos concitoyens de s'installer dans des zones urbaines moins denses d'où la nécessité d'amplifier et de territorialiser le prêt à taux zéro au-delà de sa quotité fixée à 40% et de rétablir, en le renforçant, le dispositif « Pinel » dans les territoires ruraux et péri-urbains.La crise accentue également les inégalités territoriales et la précarité de la population. C'est pourquoi, il est urgent de doter l'ANRU de moyens financiers exceptionnels pour soutenir durablement la relance dans les quartiers politique de la ville et permettre de financer le reste à charge des projets qui ne peuvent l'être actuellement.Par ailleurs, le retour à un rythme habituel d'instruction des autorisations d'urbanisme et la prochaine mise en œuvre des permis de construire dématérialisés doivent permettre de soutenir pleinement la reprise d'activité du secteur du bâtiment sur tout le territoire.Enfin, la rénovation énergétique des bâtiments, chantier majeur de la relance, doit pouvoir s'appuyer sur une offre de qualité en capacité de répondre aux enjeux nationaux.Olivier Salleron, président de la FFB, précise : « Dans les périodes de crise, les maires ont toujours été à nos côtés. Nous sommes des alliés objectifs et cela se vérifie encore plus aujourd'hui. C'est par les territoires, par leur capacité d'entraînement, que doit s'amorcer la relance économique. Une relance économique solide, qui s'appuie sur des choix de long terme et écarte les offres anormalement basses pernicieuses pour le tissu économique et l'emploi local ».François Baroin, président de l'AMF souligne que : « les communes et les intercommunalités sont parfaitement conscientes du rôle décisif qu'elles ont dans le maintien de l'activité des entreprises de proximité que sont les artisans et les entreprises du bâtiment. Elles doivent le faire dans un contexte budgétaire difficile, puisque la crise sanitaire a réduit leur niveau d'autofinancement, ce qui pèsera sur leur capacité d'investissement. Mais, les besoins sont là, et chacun est conscient de l'urgence ».
Il y a 4 ans et 171 jours

Immobilier 2020 en France : évolution des prix d’une année atypique

La Bretagne, Auvergne-Rhône-Alpes et Pays de la Loire sur le podium !Alors que la crise faisait espérer aux acheteurs une baisse des prix de l'immobilier, force est de constater que les vendeurs ne baissent pas leur prix, bien au contraire. En effet, si l'on regarde les annonces immobilières publiées sur l'année 2020 dans les 10 plus grandes villes de chaque région, on constate que la France a connu une hausse des prix dans toutes ses régions, avec en tête la Bretagne.L'Armorique culmine à 14% de hausse pour 2.669 € du m² en 2020 contre 2.337 € à la même époque en 2019. Une hausse entrainée par sa capitale : Rennes. En effet, la ville a connu une hausse de 15%.Elle est suivie de près par Auvergne-Rhône-Alpes, avec une hausse de 10% (3.559€ du m² en 2020 contre 3.233€ en 2019). La région connait d'importantes disparités, puisqu'elle rassemble des villes qui ont connu une hausse importante comme Villeurbanne (+22%), et des villes moins dynamiques, comme Vaulx-en-Velin, dont les prix ont reculé de 5%.Si les Pays de la Loire profitait jusqu'alors d'un marché de l'immobilier assez stable (+3,4%) entre 2015 et 2019, la hausse s'est accélérée cette dernière année jusqu'à atteindre la troisième place de notre classement avec une hausse de 9% de ses prix immobiliers. La région est tirée vers le haut par la ville d'Angers notamment avec 19% de hausse, l'une des plus fortes augmentations de l'année.Hauts-de-France, Bourgogne et Centre-Val de Loire en retraitA l'inverse, ce sont les Hauts-de-France qui connaissent le plus faible dynamisme : +2% avec 2.208€ par m² cette année contre 2 161€ en 2019. Précédés par la Bourgogne et le Centre-Val de Loire avec 4% de hausse chacune.Il faut néanmoins noter qu'aucune des régions françaises ne connait de baisse de prix globale.Cette résistance des prix des annonces malgré le contexte sanitaire s'explique par plusieurs facteurs :L'offre de logements se raréfieLes vendeurs restent ambitieux dans la fixation de leurs prix de venteLa structure du marché se rééquilibre : les conditions d'accès au crédit bancaire pour les foyers les plus modestes sont plus difficiles en 2020, ce qui tire les moyennes vers le hautLes grandes villes, restent des foyers d'attraction importants, avec un dynamisme qui impacte les prix à la hausseÉvolution des prix immobiliers en régions entre 2019 et 2020*Région20192020ÉvolutionVille à la plus forte augmentationVille à la moins forte augmentationBretagne2 3372 669+14%Rennes (+15%)Lannion (+0%)Auvergne-Rhône-Alpes3 2333 559+10%Villeurbanne (+22%)Vaulx-en-Velin (-5%)Pays de la Loire2 5632 790+9%Angers (+19%)Saumur (-1%)Corse3 3593 633+8%Corte (+11%)Calvi (+1%)PACA3 7024 004+8%Marseille (+10%)Avignon (+3%)Grand Est2 1542 324+8%Mulhouse (+10%) Châlons-en-Champagne (+2%)Nouvelle Aquitaine3 2273 454+7%La Rochelle (+13%)Niort (-1%)Occitanie2 6792 858+7%Béziers (+12%)Montauban (+0%)Ile-de-France10 37910 906+5%Puteaux (+11%)Saint-Denis (+3%)Normandie2 0712 172+5%Le Grand-Quevilly (+11%) Evreux (+1%)Centre-Val de Loire2 0642 149+4%Tours (+8%)Vierzon (-1%)Bourgogne1 7711 842+4%Dijon (+8%)Sens (-2%)Hauts-de-France2 1612 208+2%Saint-Quentin (+13%)Beauvais (-1%)* Méthodologie : évolution des prix constatés sur les annonces immobilières des portails en 2020 et en 2019 dans les 10 plus grandes villes de chaque région. Attention, cela ne concerne pas les prix de vente constatés au niveau des transactions, sur des biens réellement vendus.« Dans une année fortement marquée par la crise sanitaire, l’analyse des prix des annonces publiées sur les sites immobiliers dans les grandes villes de France démontre que les prix moyens au m2 ne sont pas en baisse, bien au contraire. Les propriétaires restent ambitieux et fixent des prix de vente élevés, et ce particulièrement dans les plus grandes villes. Cependant, il faut rester assez prudent vis-à-vis de ces chiffres, car il s’agit des prix constatés des annonces. Il faudra attendre de voir comment ces projets de vente se concrétisent au niveau des transactions réelles. La plus grande difficulté d’accès au crédit immobilier, avec des restrictions plus importantes de la part des banques en 2020, devrait en effet impacter les prix à la baisse. » explique Maxime Le Gonidec, Responsable BU de Drimki.
Il y a 4 ans et 171 jours

RE 2020 : la crainte du "retour du chauffage électrique obligatoire"

Le patron du réseau de transport de gaz GRTGaz craint le retour en force du chauffage électrique dans les bâtiments neufs, alors que le gouvernement s'apprête à dévoiler ses arbitrages dans ce domaine.
Il y a 4 ans et 171 jours

GCC se dote d’une agence Equipements publics

Le groupe de BTP indépendant a annoncé la création d'une agence totalement dédiée aux marchés d'équipements publics en Ile-de-France et à l'accompagnement des donneurs d'ordre dans la réalisation de tous les ouvrages nécessaires aux populations (culture, santé, enseignements, complexes sportifs…).
Il y a 4 ans et 171 jours

Commande publique : la loi Asap sera-t-elle déclarée anticonstitutionnelle ?

CORRUPTION. Une disposition de la loi Asap permet de passer des marchés publics sans publicité ni mise en concurrence. Associations et architectes s'insurgent contre une mesure de nature à favoriser la corruption. Le Conseil constitutionnel doit se prononcer dans les prochains jours.
Il y a 4 ans et 171 jours

Confinement : les Urssaf ont joué "un rôle majeur d'amortisseur social et économique"

ÉCONOMIE. Depuis le premier confinement sanitaire du printemps 2020, le réseau des Unions de recouvrement de cotisations de Sécurité sociale (Urssaf) a été amené à mettre en place des mesures exceptionnelles pour soutenir les employeurs et les indépendants, reportant au total plus de 10 milliards d'euros de cotisations pour 70% des entreprises. Au moment où de nouvelles échéances sont proposées en ce 1er décembre, l'organisme dresse un bilan de son action pour l'économie.
Il y a 4 ans et 171 jours

Un incident de chantier à Paris interrompt la circultation du RER C et perturbe le trafic de la gare d'Austerlitz

"La chute d'une poutre d'un chantier BTP sur les voies SNCF du faisceau Austerlitz entraîne la suspension du trafic trains et RER C. Nous mettons tout en oeuvre avec la SNCF pour rétablir la situation", a indiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de l'urbanisme et du Grand Paris.Le trafic a été interrompu à partir de 5H00. Selon des comptes Twitter qui ont diffusé des photos de l'incident, c'est une poutre en béton de 400 tonnes qui a chuté sur les voies du RER C, l'un des axes de transports en commun les plus empruntés en région parisienne."Le trafic est interrompu entre Paris Austerlitz et Massy-Palaiseau et entre Paris Austerlitz et Juvisy jusqu'à la fin de la journée. La circulation est également interrompue entre St-Quentin en Yvelines et Versailles Chantiers", a précisé la SNCF, qui met régulièrement à jour les informations trafic sur le compte Twitter et le site.Pour les trains, les arrivées et départs ont été déplacés à la gare de Paris Bercy.La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a également réagi sur Twitter, déplorant un "accident (...) qui aurait pu avoir de tragiques conséquences".#RERC : Accident sur un chantier de bureaux extérieur à la Gare d’Austerlitz qui aurait pu avoir de tragiques conséquences. Je demande à la SNCF de réparer les dégâts dans les + brefs délais et de prévoir les transports de substitution pour les voyageurs. pic.twitter.com/C3FJRz9feu— Valérie Pécresse (@vpecresse) December 1, 2020
Il y a 4 ans et 171 jours

Un incident de chantier à Paris interrompt la circulation du RER C et perturbe le trafic de la gare d'Austerlitz

"La chute d'une poutre d'un chantier BTP sur les voies SNCF du faisceau Austerlitz entraîne la suspension du trafic trains et RER C. Nous mettons tout en oeuvre avec la SNCF pour rétablir la situation", a indiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de l'urbanisme et du Grand Paris.Le trafic a été interrompu à partir de 5H00. Selon des comptes Twitter qui ont diffusé des photos de l'incident, c'est une poutre en béton de 400 tonnes qui a chuté sur les voies du RER C, l'un des axes de transports en commun les plus empruntés en région parisienne."Le trafic est interrompu entre Paris Austerlitz et Massy-Palaiseau et entre Paris Austerlitz et Juvisy jusqu'à la fin de la journée. La circulation est également interrompue entre St-Quentin en Yvelines et Versailles Chantiers", a précisé la SNCF, qui met régulièrement à jour les informations trafic sur le compte Twitter et le site.Pour les trains, les arrivées et départs ont été déplacés à la gare de Paris Bercy.La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a également réagi sur Twitter, déplorant un "accident (...) qui aurait pu avoir de tragiques conséquences".#RERC : Accident sur un chantier de bureaux extérieur à la Gare d’Austerlitz qui aurait pu avoir de tragiques conséquences. Je demande à la SNCF de réparer les dégâts dans les + brefs délais et de prévoir les transports de substitution pour les voyageurs. pic.twitter.com/C3FJRz9feu— Valérie Pécresse (@vpecresse) December 1, 2020
Il y a 4 ans et 171 jours

Pontoise : l’ouverture du futur parking souterrain est attendue mi-2021

Le futur parking Jean-Luc-Maire est en cours de construction sous le jardin de la Ville de Pontoise.
Il y a 4 ans et 171 jours

Ciments Calcia renonce à un projet contesté en Île-de-France et prévoit la suppression de 162 postes

Ce projet de réorganisation, qui doit encore être validé par les représentants du personnel, "entrainerait la suppression de 162 postes et la création de 20 autres postes", indique Ciments Calcia dans un communiqué.Le groupe prévoit parallèlement d'investir 400 millions d'euros "sur quatre de ses principaux sites émetteurs de CO2", dont près de 300 millions d'euros sur le seul site d'Airvault (Deux-Sèvres).Dans le détail, le groupe, filiale du géant allemand Heidelberg Cement, va reconvertir son usine de Gargenville (Yvelines) en "centre de broyage", résultat du "contexte d'incertitude liée aux nombreux recours" déposés contre l'ouverture d'une nouvelle carrière."Notre source calcaire de la carrière actuelle est en fin de période d'exploitation, on ne peut pas maintenir une usine sans calcaire", a expliqué à l'AFP la porte-parole du groupe.Ce projet de nouvelle carrière, qui devait permettre de continuer à alimenter à hauteur de 15% les entreprises de BTP construisant le Grand Paris, avait été déclaré "projet d'intérêt général" en 2016.Il était toutefois fortement contesté par des élus locaux et des associations, ces dernières dénonçant un grignotage des terres arables en plein coeur du parc naturel régional (PNR) du Vexin."Cette réorientation d'activités, appelée de nos voeux comme de ceux de milliers d'habitants du Mantois, évitera tous les dommages que ce mauvais projet aurait causé pour la santé publique et pour l'environnement", ont salué la vice-présidente du Conseil départemental Cécile Dumoulin et le député des Yvelines Michel Vialay dans un communiqué commun.Autre annonce faite par Ciments Calcia dans le cadre de sa réorganisation, l'arrêt de l'activité de production de ciment blanc du site de Cruas (Ardèche), "dont le résultat est structurellement négatif".Le site serait transformé "en un terminal cimentier automatisé pour la distribution de ciment blanc", précise le groupe, qui prévoit également une réorganisation de son siège social à Guerville.Le groupe allemand Heidelberg Cement emploie 3.500 personnes en France, dont environ 1.300 personnes pour la partie Calcia Ciments.
Il y a 4 ans et 171 jours

Les élus alsaciens s'insurgent contre des travaux envisagés au Parlement européen à Bruxelles

"Le Parlement européen dispose à Strasbourg, sa ville siège, d'un bâtiment parfaitement fonctionnel et prévu pour faire face aux défis à venir. Il est suffisamment vaste pour s'adapter à des mesures sanitaires et conçu de manière à réduire considérablement notre empreinte écologique", défendent le président LR de la région Grand Est Jean Rottner, la maire écologiste de Strasbourg Jeanne Barseghian, la présidente de la métropole Pia Imbs, ainsi que les présidents des conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, Frédéric Bierry et Rémy With."Autant d'atouts qui ne peuvent qu'accentuer notre surprise en apprenant qu'il est prévu de rénover l'hémicycle à Bruxelles, une partie de la reconstruction du bâtiment Paul Henri Spaak, appelé +le Caprice des Dieux+, pour un montant de l'ordre de 500 millions d'euros", ajoutent les élus dans une lettre ouverte adressée au président du Parlement européen, l'Italien David Sassoli."L'Europe a-t-elle les moyens de se payer le luxe d'un tel investissement ?", critiquent-ils, réclamant "un véritable débat" public sur ce projet de rénovation.Interrogée par l'AFP à Bruxelles, une porte-parole du Parlement européen s'est dit "un peu surprise" du montant de 500 millions d'euros évoqué."Ce qu'ils disent dans la lettre n'est pas vrai. (...) On est vraiment un peu surpris. On ne sait pas d'où sort ce chiffre", a-t-elle affirmé, indiquant que David Sassoli devait répondre "bientôt" à cette lettre ouverte."Nous avons lancé un concours d'idées sur quoi faire du bâtiment en question (Paul-Henri Spaak). En août, quinze propositions ont été retenues qui seront présentées en février pour, à nouveau, en retenir cinq. Mais pour l'instant ce ne sont que des idées d'architectes, etc... On est encore loin d'un projet concret. Et nous n'avons pas encore parlé du budget", a détaillé la porte-parole de l'institution.Donnant lieu à un débat depuis des années, le siège officiel du Parlement européen, seule institution européenne élue par les citoyens, est à Strasbourg dans un immense bâtiment construit il y a vingt ans où ont lieu, en temps normal, douze sessions plénières de trois jours et demi par an. Mais la grande majorité du travail parlementaire a lieu à Bruxelles, dans un bâtiment construit en 1993 qui devrait faire l'objet d'importants travaux de rénovation.Les nombreux partisans d'un siège unique, qui serait établi à Bruxelles, dénoncent régulièrement le coût financier et écologique de cette transhumance mensuelle d'environ 2.500 personnes vers Strasbourg, tandis que les défenseurs du siège strasbourgeois craignent que l'actuelle crise sanitaire ne serve d'excuse à délaisser la capitale alsacienne, et ce en dépit de ce qui est inscrit dans les traités européens.En raison de la crise sanitaire, le Parlement européen n'a pas tenu de session plénière à Strasbourg depuis février, les suivantes ayant eu lieu soit à Bruxelles, soit à distance.
Il y a 4 ans et 171 jours

Les quartiers défavorisés bénéficieront du 1% du plan de relance

Le gouvernement a assuré que 1% des 100 milliards d'euros du plan de relance serait bien destiné aux quartiers défavorisés et a promis "lisibilité" et "transparence" sur leur utilisation.
Il y a 4 ans et 171 jours

Nouvelle identité visuelle pour l’OPPBTP

Nouvelle identité visuelle pour l’OPPBTP. [©OPPBTP] L’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) fait évoluer son logotype et sa charte graphique. Les deux nouveaux mots d’ordre sont “modernité” et “dynamisme”. Cette démarche est le fruit d’une réflexion concertée et partagée avec les partenaires, adhérents et clients de l’OPPBTP. Ceci, à l’occasion des travaux de refonte globale du site Internet. Site qui verra le jour début 2021. « Cette rénovation des supports de communication, digitaux et multi-média de l’OPPBTP s’appuie sur un graphisme plus simple, plus direct, plus gai. Notre initiative est guidée par la volonté de partager une prévention plus attractive et accessible, avec les professionnels de la construction et d’un Organisme toujours en pointe », explique Stéphanie Bigeon-Bienvenu, directrice de la communication et du digital. Une nouvelle charte graphique La charte sera déclinée sur l’intégralité des supports. Elle repose sur : • Un logotype épuré et plus visible qui met en valeur le sigle de l’Organisme. Ceci, grâce à une typographie à la fois graphique et lisible. Les couleurs choisies restent celles du logotype précédent. Car elles ont une connotation symbolique forte. A savoir, le rouge pour la brique et le gris pour le béton. • Le logotype se décline avec des dénominations claires : OPPBTP Formation, OPPBTP Formation initiale, OPPBTP Publication, OPPBTP Conseil. • La base iconographique évolue pour ajouter aux photos traditionnelles tout un panel d’illustrations colorées. A la fois ludiques et pédagogiques, ces dessins incarnent les propos et conseils de l’OPPBTP. Et permettent une reconnaissance aisée de la part des publics auxquels ils s’adressent. A l’ensemble de la marque média Cette nouvelle charte graphique a été développée par l’OPPBTP, avec la collaboration de l’agence Comptoirs. La marque média Préventionbtp qui regroupe le site Internet, le magazine, les newsletters voit aussi sa charte évoluer. Et se dote d’un nouveau logotype reprenant les mêmes codes que celui de l’OPPBTP. Et ce, en termes de typographie et de couleurs pour assurer la cohérence des outils.
Il y a 4 ans et 171 jours

Gare du Nord : le projet de rénovation revu à la baisse

La SNCF et la Mairie de Paris ont annoncé un accord pour réduire le projet controversé de rénovation de la Gare du Nord, avec un nouveau bâtiment moins haut,  qui sera achevé qu'après les JO de 2024.
Il y a 4 ans et 171 jours

Photovoltaïque : le Sénat contre la rétroactivité

Le Sénat a rejeté à l’unanimité la remise en cause des contrats solaires antérieurs à 2011. Une dizaine d’amendements avaient été déposés pour appeler à la suppression de ce dispositif. Le SER et Enerplan, qui alertent depuis plusieurs semaines les pouvoirs publics sur l’iniquité de cette mesure, soulignent l’importance de ce rejet sans partage. Le Sénat envoie ici un message clair en manifestant son attachement à la parole de l’État et son refus d’une mesure présentée sans aucune étude d’impact. C’est la voie de la raison qui se manifeste ici, rappelant que l’on ne peut renier un engagement pris auprès d’une filière industrielle, et au-delà fragiliser durablement la dynamique de développement des énergies renouvelables en France, qui favorise l’activité et l’emploi local dans tous les territoires. Daniel Bour, Président d’Enerplan et Jean-Louis Bal, Président du SER, en appellent au Premier Ministre et demandent un rendez-vous.