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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

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Il y a 5 ans et 31 jours

Covid-19 : une commission du Sénat interpelle le Gouvernement sur le volet économique du plan d'urgence

Elles sont notamment le fruit des nombreuses alertes et remontées d'informations recueillies au fil de plus de 50 auditions d'acteurs économiques, l'audition de trois ministres et deux secrétaires d'État en trois semaines. Pour autant, elle relève encore plusieurs failles dans les mesures d'application. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « il faut d'urgence clarifier et affiner certains dispositifs, en amplifier les efforts sectoriels, si on veut limiter l'ampleur de la récession ».À la suite de la mise en œuvre du confinement, la commission des affaires économiques a mis en place un ensemble de sept cellules de veille, de contrôle et d'anticipation sectorielles. Leur objectif est triple : établir un lien direct avec les acteurs de terrain afin de proposer des améliorations aux mesures de soutien déployées dans les territoires, aider à préparer une reprise rapide de l'activité et déterminer les contours d'un modèle économique d'après‑crise, dynamique et souverain. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « l'ensemble des remontées d'informations témoigne de l'impérieuse nécessité de la continuité démocratique et institutionnelle en temps de crise ».Toutes ces informations, alertes et points de vigilance ont fait l'objet de nombreux échanges permanents avec les ministères compétents, avant et après les auditions des ministres, et plus formellement lorsque ces auditions n'ont pas permis de lever les incertitudes ou d'apporter de réponse concrète. L'ensemble des documents transmis est accessible ici.La vigilance exercée par la commission des affaires économiques a contribué à l'évolution de plusieurs dispositifs de soutien. Elle a notamment préconisé dès le début de la crise que la période de référence pour le calcul de la baisse d'activité pour le Fonds de solidarité ne soit plus le mois de mars 2019 mais une moyenne mensuelle du chiffre d'affaires sur les douze derniers mois ; elle avait également demandé à diminuer le seuil de 70% de baisse du chiffre d'affaires et à y rendre éligibles les entreprises en sauvegarde. Toutes ces suggestions devraient être appliquées très prochainement.Toutefois, des lacunes et incertitudes anxiogènes et préjudiciables à la pérennité de nos entreprises persistent. Premièrement, la commission rappelle au Gouvernement qu'il est impératif de clarifier précisément, par secteur et le plus tôt possible, les consignes sanitaires à respecter par les employeurs lors de la reprise d'activité afin que la responsabilité pénale de ces derniers ne soit pas susceptible d'être engagée. À ce titre, il convient de rappeler que le manque d'équipements sanitaires représente un frein insurmontable, dès aujourd'hui, à la poursuite de certaines activités. Deuxièmement, les spécificités sectorielles (activité saisonnière, professions libérales, bâtiment, etc.) devraient être mieux prises en compte et les aides affinées afin de s'y adapter et de gagner en efficacité. Quinze propositions concrètes pour le secteur agricole ont ainsi été transmises au ministre.Troisièmement, les exigences des établissements bancaires pour accorder des prêts, pourtant garantis à 90% par l'État, demeurent hétérogènes et parfois excessives (demande de visite médicale à l'emprunteur, de caution personnelle, de documents impossibles à élaborer, etc.). Un contrôle vigilant et réactif de l'État doit être mis en place ; autrement, la portée de cette mesure en serait amoindrie. La mise en place d'un Médiateur National du Crédit comme lors de la crise de 2008 apparaît comme étant essentielle.Quatrièmement, la commission juge primordial un sursaut européen. La Commission européenne dispose en effet d'outils non encore actionnés (par exemple, afin de soutenir les filières agricoles face au risque de surproduction) et certains correctifs devraient être apportés aux politiques européennes comme la PAC afin de mieux prendre en compte les ravages de cette crise sur la résilience de notre secteur agricole. Or ces décisions tardent à être prises retardant, de fait, leur efficacité.Ainsi que le note la présidente Primas, « nous devons poursuivre deux objectifs : sauver le tissu économique de nos territoires dès aujourd'hui, et préparer le monde d'après. Cette crise révèle que des transformations de notre façon de produire ou de consommer sont nécessaires. Pour ne citer qu'un exemple, le confinement met en lumière combien il est important et urgent pour nos PME de se numériser et de se moderniser afin de diversifier les canaux de vente. Il s'agit d'un constat maintes fois mis en avant, mais qui n'a jamais paru aussi vital qu'aujourd'hui ».
Il y a 5 ans et 31 jours

L'OPPBTP publie des vidéos pour illustrer son guide covid-19

BONNES PRATIQUES. L'organisme professionnel de prévention du BTP (OPPBTP), après avoir publié son fameux guide de continuité d'activité en période de covid-19, a égrené plusieurs vidéos permettant de mieux mettre en oeuvre les actions conseillées.
Il y a 5 ans et 31 jours

Cemex lance la production de solutions hydro-alcooliques

La production des solutions hydro-alcooliques Isoclean devrait couvrir les besoins des 10 000 salariés de Cemex en Europe pour un mois. [©Cemex] « Cemex Europe souhaite apporter une contribution à la crise actuelle et assurer un approvisionnement interne à ses salariés. » Une initiative à saluer. En effet, l’hygiène des mains est l’une des principales armes contre la pandémie actuelle de Covid-19. Mais les solutions hydro-alcooliques deviennent de plus en plus rares dans les commerces. « Nous avons décidé d’étudier la faisabilité de produire des solutions en interne. Et heureusement, il s’est avéré que nous avions la capacité de le faire », explique Dietmar Vötsch, directeur de la division mortiers et adjuvants de Cemex Europe. Tout a commencé par la volonté de l’industriel de mettre son travail d’équipe et ses solutions au service de ses collègues et de ses clients. Des solutions hydro-alcooliques Isoclean La production des solutions hydro-alcooliques Isoclean est le résultat d’un effort conjoint des divisions adjuvants, matériaux et achats. L’usine de Cemex Admixtures, à Salzkotten en Allemagne, est en train de fabriquer des quantités suffisantes. Ceci, pour couvrir les besoins des 10 000 salariés de Cemex en Europe pour un mois. En temps normal, cette entité produit des agents entraîneurs d’air, des réducteurs d’eau, des retardateurs et accélérateurs de prise du béton, ainsi que des superplastifiants. « Le site de production et les équipes sont donc bien positionnés pour produire des solutions hydro-alcooliques de qualité. »  Les formulations des solutions hydro-alcooliques sont recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et conformes à l’Arrêté du 3 avril 2020 émis par le ministère de la Transition écologique et solidaire. De fait, elles conviennent à une production locale assez simple. Il y a deux formulations. D’abord, l’Isoclean Who 1, solution alcoolique contenant 70 à 80 % d’éthanol. Puis, la deuxième, l’Isoclean 2, basée sur un mélange contenant 70 à 80 % d’alcool isopropylique. A destination des salariés et clients de Cemex Europe Les solutions sont fournies dans des bidons de 5 l avec un manuel d’utilisation et des consignes de sécurité. « Au cours des deux prochaines semaines, Cemex Admixtures constituera un stock correspondant à six mois de consommation. Une fois nos sites européens approvisionnés en quantité suffisante, nous prévoyons de les mettre à la disposition de ses clients à prix coûtant. Des dons seront même réalisés, dans la mesure du possible, auprès de certaines communautés locales. » Par ailleurs, les équipes de Cemex en Europe travaillent en étroite coordination avec leurs collègues basés au siège de l’entreprise au Mexique. Egalement dans la région EMEAA (Europe, Moyen-Orient, Afrique et Asie) et plus largement, aux Etats-Unis. Enfin, dans la région SCAC (Amérique du Sud, Amériques centrale et Caraïbes). « Nous partageons nos résultats, afin qu’ils puissent être exploités à l’international le plus rapidement possible. Nous espérons ainsi que nos efforts contribueront à assurer la sécurité de nos salariés et de nos parties prenantes externes », conclut Marcelo Catala, vice-président des solutions pour l’urbanisation de Cemex.
Il y a 5 ans et 31 jours

Covid-19 : Le gouvernement revoit la suspension des délais pour les permis de construire qui menaçait le logement

La nouvelle ordonnance, présentée mercredi en conseil des ministres, supprime notamment le mois "tampon" prévu initialement dans une ordonnance du 25 mars, qui rajoutait une période d'un mois lorsque les délais en matière d'urbanisme reprendraient à la fin de l'urgence sanitaire, fixée actuellement au 24 mai. Les délais prévus par la loi en matière d'urbanisme, comme le délai d'instruction pour un permis de construire, sont en effet suspendus depuis le 12 mars à cause de l'épidémie de Covid-19. Du côté du cabinet du ministre du Logement Julien Denormandie, on indique que puisque les conditions d'instruction des permis de construire ne présenteront plus de difficultés à la fin de l'urgence sanitaire, il n'y avait pas lieu de rajouter ce mois supplémentaire.Un mois tampon a cependant été conservé pour ce qui est des clauses contractuelles de pénalités. Outre les conditions d'instruction, ce sont les dispositions sur les droits de recours qui sont modifiées avec la nouvelle ordonnance.Alors que l'ordonnance du 25 mars prévoyait une remise à zéro des délais de recours au moment de la fin de l'urgence sanitaire, la nouvelle ordonnance indique que les délais reprendront tels qu'ils étaient au moment de leur suspension le 12 mars -avec un minimum toutefois fixé à sept jours.Cette disposition de remise à zéro des délais avait fortement inquiété les acteurs du secteur de la construction, du bâtiment et de l'immobilier qui craignaient notamment une paralysie durable des permis de construire au moment de la reprise de l'activité.
Il y a 5 ans et 31 jours

Covid-19 : comment éviter une année blanche pour le logement ?

Après avoir rendu hommage aux « héros du quotidien » du monde du logement et de l'hébergement d'urgence grâce auxquels la vie continue dans les immeubles et les personnes en grande précarité sont accueillies, Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, a appelé le ministre à « dégripper la chaîne du logement pour éviter une année blanche dans le secteur du logement et de la construction qui aurait des conséquences graves pour les Français ». Les chantiers de logement et de déploiement du numérique sont arrêtés, les opérations de vente et de location largement bloquées tandis que les déménagements ont été interdits.Les sénateurs ont interpellé le ministre sur le manque de masques et la confusion dans les préconisations entre les secteurs de l'hébergement d'urgence et le BTP, masques lavables pour les uns et chirurgicaux pour les autres. Ils ont déploré que localement de nombreuses entreprises ou associations soient livrées à elles-mêmes sans coordination ou information suffisante. La question cruciale de la responsabilité des entreprises reste bien le principal frein à la reprise des chantiers.Malgré les ajustements faits par les ordonnances prises ce jour même en conseil des ministres concernant les recours, les délais restent allongés et parfois inadaptés, freins auxquels s'ajoutent l'incertitude sur la tenue des élections municipales, les surcoûts sur les chantiers et l'affaiblissement des capacités financières d'investissement des bailleurs sociaux... Face à ces difficultés, la commission a proposé d'établir une « chaîne de loyauté économique » entre les différents acteurs du secteur.En matière d'hébergement d'urgence, les sénateurs ont estimé que les personnels des associations étaient insuffisamment considérés, alors qu'ils sont en première ligne de l'épidémie et que les décisions prises nationalement ont du mal à percoler dans les territoires, nécessitant donc une meilleure coordination locale. Par ailleurs, les structures d'accueil font face à d'importants surcoûts, qu'elles avancent à l'heure actuelle sur leurs fonds propres. Ces surcoûts devront être pris en charge, ont-ils demandé.Enfin, abordant la situation dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville, les sénateurs ont demandé le retour des travailleurs sociaux et la réouverture prioritaire des écoles à partir du 11 mai.
Il y a 5 ans et 31 jours

L'Unafo publie les « Chiffres du Logement Accompagné »

Alors que la crise sanitaire met en exergue la nécessité d'accélérer la politique du Logement d'Abord, les résultats de cette enquête démontrent pourquoi cela ne pourra pas se faire sans un renforcement du logement accompagné.10.000 personnes qui entrent en logement accompagné viennent de la rue30% des personnes entrant dans un dispositif de logement accompagné proviennent d'un centre d'hébergement ou de la rue. Dans le détail, ce pourcentage monte même à près de 40% pour les seules résidences sociales.Si l'on rapporte ce pourcentage de 30% à la totalité des logements gérés par les adhérents de l'Unafo, cela représente près de 10.000 personnes.Ce chiffre, mis en relation avec celui de 70.000 personnes à la rue ou hébergées que la politique du Logement d'Abord a - selon les annonces du Gouvernement - permis de reloger en 2018, démontre l'apport du logement accompagné à cette politique du Logement d'Abord.L'enquête de l'Unafo dévoile donc la part méconnue et sous-estimée du logement accompagné dans la politique du Logement d'Abord, mais aussi dans bien d'autres politiques (migrants, jeunes, femmes victimes de violence conjugale).Le rôle des résidences sociales est majeur dans l'accès au logement pour les plus précairesLe logement accompagné renforce l'accès au logement pour les travailleurs précaires, les personnes sans ressources ou les bénéficiaires de minima sociaux, mais aussi des jeunes qui ne trouvent pas ailleurs de solution de logement.Le lien avec l'emploi reste important, en particulier dans les zones tendues, où le logement accompagné permet d'offrir un logement à des jeunes travailleurs, des travailleurs migrants, des travailleurs précaires et même des travailleurs en CDI (pour 16% des entrants), mais dont les revenus du travail, le statut ou les discriminations ne permettent pas d'accéder à un logement dans le parc social ou privé.L'enquête montre également :une hausse constante de la mixité, avec désormais 25% de femmes parmi les entrants, une part croissante de jeunes, de travailleurs précaires ou de familles monoparentales ;un âge médian à l'entrée en baisse à 30 ans contre 35 ans en 2013 ;un taux de sortie vers un logement social ou privé stable à 60% ;un taux de rotation moyen de 20% (soit deux fois plus que dans le parc locatif social).La crise sanitaire et l'après-criseAlors que tous les adhérents de l'Unafo sont mobilisés pour maintenir et renforcer les dispositifs d'accompagnement, cette enquête montre que le logement accompagné devra être pleinement reconnu dans le monde d'après-crise. Au-regard du rôle central du logement accompagné dans ces différentes publiques, l'Unafo alerte le Gouvernement sur la nécessité de prévoir un plan dédié permettant de prendre en compte les répercussions économiques de cette crise.Le secteur participe pleinement à de nombreuses politiques publiques et permet vraiment un accès à un logement. C'est donc à la définition d'une stratégie de production et de développement de l'offre de logement en résidence sociale, assortie des moyens à la hauteur des besoins, que cette crise devra aboutir. Il est temps d'accorder toute sa place au logement accompagné à la politique du Logement d'Abord.Pour retrouver l'ensemble des données de l'étude : www.unafo.org
Il y a 5 ans et 31 jours

Sur quels critères choisir son assurance matériels béton ?

Sujet réalisé en collaboration technique avec Didier Morin, directeur de BM Assurance, et Ludovic Bernard, responsable entreprise. 1 – Dans le domaine du béton, quels sont les types de matériels qu’il est indispensable d’assurer ? Et pourquoi ?  [©ACPresse] Qu’ils soient roulants (toupies, pompes, malaxeurs-pompes) ou stationnaires (centrales à béton, mât de pompage), tous les matériels ont une obligation d’assurance en responsabilité civile. Mais eu égard à la valeur de ceux-ci, il convient de prévoir des couvertures spécifiques dommages, bris de machines… Et des garanties adaptées (bris internes, dommages externes, dommages consécutifs, dommages sur chantier)  Concernant le producteur de béton, d’autres garanties sont indispensables. Notamment pour couvrir les conséquences d’un défaut de béton livré. Ceci, lié à la fabrication à proprement parler ou bien à la nature des différents matériaux destinés à ladite fabrication. 2 – Quelles sont les spécificités des assurances liées aux toupies ? Quels sont les points à surveiller ?  Tous les matériels ont une obligation d’assurance en responsabilité civile. [©ACPresse] Hormis le risque routier, qui constitue la grande part des sinistres. Et dont certains ont des conséquences corporelles gravissimes, l’accent doit être mis sur Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 31 jours

Vinci va construire avec Balfour Beatty une partie de la nouvelle LGV britannique

Ce gigantesque projet doit donner naissance à la première ligne au nord de Londres en 150 ans et sera la deuxième ligne à grande vitesse du pays après HS1, celle empruntée dans le sud de l'Angleterre par l'Eurostar. Elle doit relier la capitale britannique aux grandes villes du centre et du nord de l'Angleterre.S'étendant sur environ 90 km, les travaux du groupement entre Vinci et Balfour Beatty "comprennent un nombre important d'ouvrages d'art, de tunnels et de chantiers de terrassement", a précisé Vinci dans un communiqué.Le chantier sera implanté près de Birmingham (centre de l'Angleterre) "entre le tunnel Long Itchington Wood Green et Delta Junction/Birmingham Spur d'une part, et entre Delta Junction et la West Coast Main Line d'autre part", a détaillé le groupe français de BTP.Il débutera "à l'été 2020 dans le strict respect des mesures sanitaires requises en raison de l'épidémie de Covid-19", et devrait s'étaler sur 74 mois, a-t-il souligné, tandis que les travaux devraient employer quelque 10.000 personnes "au plus fort de l'activité".L'annonce de ce contrat intervient le jour même où le gouvernement britannique annonce lancer formellement les travaux de construction, après le feu vert donné en février à ce projet par le Premier ministre Boris Johnson, malgré son coût exorbitant qui pourrait dépasser les 100 milliards de livres (environ 115 milliards d'euros).Le premier tronçon vers Birmingham pourrait ne pas voir le jour avant 2031 et il faudra peut-être attendre 2040 pour que la deuxième phase vers le nord de l'Angleterre soit opérationnelle."Même si la première priorité du gouvernement est de combattre l'épidémie de coronavirus (...) nous ne pouvons pas retarder les travaux de long terme qui doivent permettre au pays de passer à la vitesse supérieure", a souligné mercredi Andrew Stephenson, secrétaire d'Etat responsable du projet HS2.
Il y a 5 ans et 31 jours

A la Réunion, nouveau coup dur pour la Nouvelle Route du littoral

INFRASTRUCTURE. Le Conseil d'Etat a rejeté les pourvois du ministère de l'Agriculture, de la région et d'une société de travaux publics demandant l'annulation d'une ordonnance du juge des référés concernant l'exploitation d'une carrière, nécessaire pour finaliser la construction de cette nouvelle voie.
Il y a 5 ans et 31 jours

"Il n'y a pas d'arrêt du chantier de la Nouvelle Route du Littoral" assure la Région Réunion

Le projet de NRL est destiné à remplacer les actuelles quatre voies entre Saint-Denis (nord) et la côte ouest, un axe de circulation vital pour l'économie de l'île, régulièrement saturé par le flot grandissant des véhicules, mais aussi dangereux, car il longe une falaise instable où les éboulis sont fréquents.Dans une décision rendue publique mardi, le conseil d'État a rejeté les pourvois du ministère de l'Agriculture, de la Région et d'une société de travaux publics, qui demandaient l'annulation d'une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de La Réunion.Cette ordonnance avait suspendu en avril 2019 un arrêté préfectoral autorisant à exploiter une carrière dite "Bois-blanc" à Saint-Leu (ouest), dont les roches massives devaient servir à la construction de la Nouvelle route du Littoral."Le Conseil d'État considère que cette action ne relève pas de ses compétences et laisse ainsi au tribunal administratif le soin d'examiner le dossier sur le fond, à savoir si la carrière de Bois Blanc peut commencer à être exploitée ou non", explique le conseil régional de la Réunion dans un communiqué.Le Conseil d'État "ne se prononce aucunement sur la poursuite du chantier", ajoute la région, soulignant au contraire qu'il "appartiendra au tribunal administratif de se prononcer dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, sur la provenance des matériaux nécessaires pour terminer les deux kilomètres restants du chantier de la NRL".La NRL se décline en deux parties: une partie viaduc, longue de 5,4 km entre Saint-Denis et la Grande Chaloupe, terminée depuis mars 2019. Et une partie digue, entre la Grande Chaloupe et la Possession (ouest), pas encore terminée. Le coût du chantier est estimé à 2 milliards d'euros.Le chantier sera poursuivi "entre la Grande Chaloupe et la Possession à partir de matériaux locaux en privilégiant la récupération d'andains" (pierres dans les champs agricoles), rappelle la Région, car "plus que jamais, ce chantier fait partie des grandes priorités d'investissement pour notre collectivité".La NRL, comme tous les chantiers de BTP dans l'île sont pour l'instant "à l'arrêt" depuis le début du confinement, mais "les acteurs publics et privés travaillent ensemble (...) sur la reprise de ces chantiers le moment venu", ajoute la Région.Plusieurs recours ont été déposés devant toutes les juridictions compétentes contre la quasi totalité des arrêtés préfectoraux autorisant l'exploitation des carrières. En juillet 2019, le Conseil d'État avait définitivement annulé le schéma départemental des carrières.
Il y a 5 ans et 31 jours

« Les collectivités territoriales précipitent la crise du BTP »

Rudy Ricciotti est architecte et ingénieur. [©DR] « La santé est prioritaire sur l’économie, il n’y a pas débat. Il n’est cependant pas utile d’accumuler les difficultés existentielles par égoïsme, imprudence ou indifférence. Alors que la profession d’architecte et d’ingénieur (environ 150 000 personnes en étude) dans les domaines du BTP s’est organisée, à la demande de l’Etat pour défendre l’activité par télétravail et donc défendre par anticipation l’économie des futurs chantiers du bâtiment et des travaux publics, il est stupéfiant de voir la maîtrise d’ouvrage publique tout stopper comme s’il y avait un lien entre notre activité et celle du Covid-19 », indique l’architecte et ingénieur Rudy Ricciotti. Et de poursuivre : « En effet, le report systématique des candidatures aux appels d’offres, des remises d’offres finales et des consultations publiques de concours d’architecture est-il légitime ?  L’instruction des permis de construire est pétrifiée Les collectivités territoriales font office d’exemple en matière d’anti-synergie de ce point de vue, tandis que le ministère du Travail demande, exige, que les chantiers reprennent, en incluant tous les acteurs associés. Il faut bien entendre que tout ce qui fabrique en amont la future commande est stoppé ! Et pour être certain de faire perdurer efficacement les dégâts économiques, l’instruction des permis de construire est pétrifiée pour plusieurs mois. De sorte que la maîtrise d’ouvrage privée est elle-aussi paralysée. Qui, suffisamment sensible, arrivera à imaginer les conséquences structurelles sur l’économie du BTP par l’arrêt en amont des études réalisées par les architectes et ingénieurs ? Nous ne nous plaignons pas. Nous voulons travailler, mais pourquoi ce coup de poignard dans le dos ? Sommes-nous obligés d’être en retraite ou en congés par anticipation ? Y a-t-il une France à deux vitesses ? Celle qui ne souffre pas de ne pas travailler, car garantie de son salaire à vie, et l’autre dont le salaire n’est pas garanti et déjà stoppé. Un hommage à nos héros J’ai choisi pour mes collaborateurs et par patriotisme de refuser au maximum le chômage partiel et d’organiser le télétravail avec son cortège de difficultés technologiques et de perte d’efficacité. Je l’ai choisi comme acte de résistance pour combattre la fatalité et parce que j’aime mon pays. Mais ce mauvais coup porté à nos professions aura des conséquences inchiffrables, car nous sommes à l’origine du calendrier du déclenchement opérationnel des ouvrages. C’est donc déjà plusieurs mois d’arrêt total. Mais dans l’attente, plus de la moitié des architectes à l’économie fragile, courant après les honoraires, iront au tapis. Bravo ! Quelle indifférence des collectivités territoriales à notre égard et quel coup porté à la Nation dont nous sommes aussi. Quel encouragement à abuser du chômage partiel, pour les autres métiers où la trésorerie capitalistique permet de rester en planque plusieurs mois et de faire porter, avantage cynique, les salaires par l’Etat ! Hommage à nos héros, ceux de la santé, armée, police, transports, enseignants, et aussi paysans, artisans de première nécessité, dont personne ne se demande s’ils peuvent travailler… » Le Club des juristes Le Mucem, à Marseille, est une des réalisations les plus emblématiques de l’architecte Rudy Ricciotti. [©ACPresse] Rudy Ricciotti est ingénieur et architecte. Il a obtenu nombre de distinctions : Grand Prix national d’architecture, Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres, Médaille d’Or de l’Académie d’architecture. Membre de l’Académie des technologies, il est l’architecte du Mucem, à Marseille, du Pavillon Noir, à Aix-en-Provence. Mais aussi, du Département des arts de l’islam du musée du Louvre, à Paris, et de la Passerelle de la paix à Séoul, en Corée du Sud. Rudy Ricciotti est également l’auteur de plusieurs essais et manifestes, dont “L’architecture est un sport de combat” et “L’exil de la beauté”, parus aux éditions Textuel. La présente tribune est parue en premier lieu sur le blog du Club des juristes, premier think tank juridique en France. Ce dernier mobilise experts et personnalités pour éclairer la crise du Coronavirus sous le prisme du droit. Témoignages d’acteurs de premier plan, décryptages des problèmes juridiques soulevés par la situation inédite que nous vivons. Mais aussi tribunes et analyses prospectives, pour nourrir le débat et dégager des leçons pour demain y sont autant de thèmes abordés. 
Il y a 5 ans et 32 jours

Covid-19 : le chômage partiel concerne désormais 8,7 millions de salariés

Le chômage partiel concerne désormais 8,7 millions de salariés français, a indiqué mercredi la ministre du Travail Muriel Pénicaud sur Radio Classique et par ailleurs les demandes d'inscriptions à Pôle emploi sont en hausse depuis le début du confinement.
Il y a 5 ans et 32 jours

Covid-19 : ce qui change pour les copropriétés

La pandémie de coronavirus paralyse la France. Entreprises à l'arrêt, déplacements limités : le confinement décrété par le gouvernement vise à endiguer la propagation du Covid-19 en limitant les contacts entre personnes. Un seul mot d'ordre : restez chez vous !
Il y a 5 ans et 32 jours

Le Gouvernement corrige l'ordonnance sur les délais d'instruction des permis

AUTORISATIONS D'URBANISME. Délais d'instruction des permis, des déclarations d'intention d'aliéner, des droits de recours, ou encore pénalités de retard : trois semaines après l'ordonnance du 25 mars, et suite aux nombreuses critiques reçues, le gouvernement a présenté un nouveau texte, le 15 avril.
Il y a 5 ans et 32 jours

Marie Bovo : Nocturnes

C’est à l’occasion de l’exposition « Nocturnes » à la Fondation Henri Cartier Bresson (3ème arrondissement) que nous avons découvert un corpus inédit d’œuvres de l’artiste espagnole Marie Bovo : des photographies issues de cinq séries différentes, mais toutes prises à la tombée de la nuit, entre chien et loup, qui magnifient des villes désertées et des espaces faussement dépeuplés. Alors que le confinement vient d’être prolongé jusqu’au 11 mai, ces images du vide, capturées entre la France et l’Afrique, semblent particulièrement à propos. Marie Bovo (née en 1967) explore les possibilités de la photographie et de la vidéo, et aborde des thématiques politiques et sociales à travers des images poétiques. Son œuvre a acquis une reconnaissance internationale, grâce à de nombreuses expositions monographiques, notamment « СтанСы/ STANCES » aux Rencontres de la Photographie d’Arles en 2017, « How to Survive Abstraction » au California Museum of Photography en 2016, « La danse de l’ours » au FRAC Paca à Marseille en 2015, ou encore « Sitio » à l’Institut Français de Madrid en 2014. Aujourd’hui, Marie Bovo est représentée par les galeries kamel mennour (Paris, Londres) et OSL Contemporary (Oslo), et travaille à Marseille. L’exposition « Nocturnes » rassemble des photographies dans lesquelles Marie Bovo créent des alliances de contraires. On y découvre deux séries emblématiques de son travail photographique : « Cours intérieures » (2008-2009) et « Alger » (2013). Dans ces images de cours intérieures marseillaises, la photographe incline son appareil photographique vers le ciel et capture en contreplongée la cour de plusieurs bâtiments du XIXème siècle, mal entretenus par des bailleurs avides et habités par des locataires modestes, principalement des immigrés, arabes ou comoriennes. Les clichés dévoilent ce qui se jouent entre le jour et la nuit, entre l’intérieur et l’extérieur, grâce à sa prie de vue qui transforme la cour intérieure en un cadre carré ou rectangulaire offrant une vue sur un ciel, qui s’obscurcit. Seuls signes de la présence humaine, les balcons fleuris, les appartements éclairés, les fenêtres entrouvertes, les cordes à linge supportant des vêtements en train de sécher, révèlent en creux les conditions de vie des ménages modestes du quartier de la Joliette. Au-delà de son caractère artistique, la recherche sur l’architecture et le cadre, menée par Marie Bovo depuis plusieurs années, divulgue la réalité sociale des lieux photographiés. La série « Alger », conçue selon un procédé semblable, oppose la sphère privée à l’espace public, la lumière à l’obscurité. La photographe capture les balcons d’Alger depuis certains appartements de la capitale. Toutes les fenêtres ouvertes deviennent les cadres des vues sur le paysage urbain et les intérieurs des immeubles en vis-à-vis. En révélant la présence de l’empreinte humaine sur le mode de l’absence, Marie Bovo pose un regard profondément humaniste sur le monde et confère à son travail une dimension universelle. Par le protocole adopté – appareil argentique, cadrage calqué sur l’objectif de la chambre photographique, lumière naturelle, prise de vue insolite, long temps de pose, tirage en grand format – et les sujets choisis, Marie Bovo plonge les spectateur·rice·s dans l’intimité de la scène photographiée, faisant d’elles et eux des voyeurs discrets. Des photographies aussi contemplatives que politiques. Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Henri Cartier Bresson.Photographies : 1) Cours intérieures, 17 février 2009 © Marie Bovo, Courtesy the artist and kamel mennour, Paris/London 2) Cours intérieures, 23 avril 2009 © Marie Bovo, Courtesy the artist and kamel mennour, Paris/London 3) Alger, 22h05, 9 novembre 2013 © Marie Bovo, Courtesy the artist and kamel mennour, Paris/London Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 32 jours

« Nous priorisons la maintenance pour relancer les chantiers », Estelle Walter, président de l’ATTF

Les techniciens territoriaux de France entendent faciliter la reprise des chantiers des collectivités locales. Présidente de leur association, Estelle Walter en témoigne au nom des 2000 adhérents répartis dans 70 métiers, mais aussi comme responsable "travaux et maintenance" à la direction des Sports de Montpellier Méditerranée Métropole.
Il y a 5 ans et 32 jours

Au Canada, Eiffage reprend ses chantiers sur fond de pandémie

S’inspirant des consignes des pays les plus touchés, dont l’Asie, l’Italie et la France, l’entreprise a mis en place des mesures pour limiter les risques de contaminations sur ces chantiers dans la région.
Il y a 5 ans et 32 jours

Plus de 220 millions collectés pour Notre-Dame de Paris

Lancée dans la nuit du 15 au 16 avril 2019, la collecte de la Fondation du patrimoine pour la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris atteint à ce jour 227 817 272 €, provenant de 236 146 donateurs de 140 pays dont 3 694 entreprises françaises et étrangères, 232 452 donateurs particuliers français et étrangers et 259 collectivités. La Fondation du patrimoine, qui a versé une première avance de 44,9 millions d’euros en juillet 2019 pour financer les travaux d’urgence de sécurisation de l’édifice, continuera d’accompagner le programme de sauvegarde engagé par les services du ministère de la culture, l’établissement public chargé de la maîtrise d’ouvrage, et les entreprises engagées sur le chantier, afin de permettre la poursuite des travaux de reconstruction dans les meilleures conditions. L’interruption temporaire des travaux de la cathédrale liée à la crise sanitaire ne doit pas masquer l’exceptionnel travail accompli par tous depuis un an.
Il y a 5 ans et 33 jours

Le gouvernement demande aux grands propriétaires d'aider les commerçants durant la crise du covid-19

Les grands propriétaires doivent en faire plus pour aider les entreprises à surmonter la crise. C'est désormais la ligne du gouvernement, au moment où les commerçants accusent de mépris leurs principaux bailleurs qui refusent un report général des loyers.
Il y a 5 ans et 33 jours

Le prolongement du confinement aggrave encore les prévisions économiques du gouvernement pour 2020

La récession historique que devrait connaître la France sera encore plus grave qu'anticipée, avec 8% de chute du PIB en 2020, a prévenu le gouvernement après l'annonce d'une prolongation du confinement jusqu'au 11 mai.
Il y a 5 ans et 33 jours

Appel à candidatures – Marché public pour concevoir le CDI du futur

Marché public pour concevoir, par une démarche de design, le Centre de Documentation et d’Information (CDI) « du futur » des lycées franciliens. Jusqu’au 30 avril 2020. Talents & Co, agence internationale de conseil en management de projets et de […] L’article Appel à candidatures – Marché public pour concevoir le CDI du futur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 33 jours

Guide de l’OPPBTP : les syndicats opposés à la reprise des chantiers

Plusieurs syndicats du bâtiment ainsi que le Parti communiste se sont dit opposés à la reprise des chantiers, alors que le gouvernement a validé un guide de préconisations sanitaires pour le secteur.
Il y a 5 ans et 33 jours

Le fonds de solidarité une nouvelle fois élargi et renforcé

INDÉPENDANTS. Le fonds de solidarité, qui vient en aide aux TPE en cette période de confinement, va une fois de plus être renforcé et élargi à davantage d'acteurs. Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, vient de l'annoncer ce 14 avril 2020.
Il y a 5 ans et 33 jours

"Permettre à une activité clé de reprendre en sécurité", Elisabeth Borne

ENTRETIEN EXCLUSIF. Continuité du secteur énergétique, relance des chantiers de BTP et adaptations nécessaires, point de situation sur les réformes en cours avant la crise, etc. La ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne, répond aux questions de Batiactu.
Il y a 5 ans et 33 jours

Boulogne-Billancourt : Huit niveaux isolés en béton de chanvre, une première en Europe

Côté rue, la façade allie un revêtement en briques sur les 2 premiers niveaux, puis un enduit à la chaux claire et plus sombre sur les derniers niveaux. [©North by Northwest Architectes] A Boulogne-Billancourt (92), la parcelle où s’élève désormais un immeuble de logements sociaux de 8 étages était jusque-là occupée par une maison de 2 niveaux. Entourée de 2 édifices de 8 et 10 étages, elle créait un effet de “dent creuse”. Le maître d’ouvrage l’Immobilière 3F voulait démolir l’existant. Ceci, afin d’accroître cette parcelle de 245 m2 située en site urbain dense. L’emprise constructible était encore plus réduite, conformément au plan local d’urbanisme. Qui limite celle du bâti à 50 % de la surface de la parcelle, soit 122 m2… Pour intégrer le nouveau bâtiment dans l’environnement existant, les architectes de l’agence North by Northwest (NXNW) ont fait le choix d’un socle en brique pleine sur 2 niveaux. « Cela assure la continuité visuelle avec les héberges1 et affirme sa solidité et son lien avec le sol », estime Christine Désert, architecte à NXNW. Sur le corps du bâtiment, la façade est couverte d’un enduit à la chaux de couleur claire. Outre l’étroitesse de la parcelle, le projet présentait d’autres difficultés. En effet, l’Immobilière 3F, maître d’ouvrage de l’opération, souhaitait obtenir une certification NF Habitat HQE niveau RT 2012 – 20 %. Et intégrer les énergies renouvelables à concurrence de 25 %. Puis, réduire les postes de chauffage et d’eau chaude sanitaire (ECS) pour diminuer le risque de précarité énergétique. Enfin, assurer une pérennité de l’ouvrage et un coût de construction raisonnable. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 33 jours

Une aide exceptionnelle versée automatiquement aux indépendants

Lors de l’Assemblée générale du CPSTI (Conseil de la Protection Sociale des Travailleurs Indépendants), une aide exceptionnelle a été officiellement actée. Elle est limitée à 1 250 euros nets d’impôt et de cotisations sociales. Elle sera octroyée automatiquement en avril à l’ensemble des cotisants au RCI (Retraite Complémentaire des Indépendants), dans la limite des cotisations versées en 2018 par le bénéficiaire. Le paiement de cette somme sera uniquement conditionné au fait d’être en activité au 15 mars 2020 et immatriculé avant le 1er janvier 2019. Elle sera prochainement versée par le CPSTI sans que les indépendants concernés n’aient la moindre démarche à accomplir. Cette aide sera cumulable avec le Fonds de Solidarité mis en place par le gouvernement.
Il y a 5 ans et 33 jours

Masques : mise à jour des préconisations

Le Ministère du Travail a informé l’OPPBTP de l’avis de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) sur les conditions d’utilisation des masques alternatifs. « Comme rappelé dans l’avis du 24 mars 2020, deux catégories de masques tissus ont été créées, dont la performance est mesurée sur la capacité de filtration pour des particules de 3 µm. Une première catégorie propose une efficacité de filtration de 90 à 95 % et la seconde de 70 à 80 %. L’utilisation de ces deux masques doit être faite en complément de l’application des gestes barrières et de distanciation sociale. Dans le cas où certains travaux réalisés dans le cadre d’une activité professionnelle interdisent le respect des gestes barrières, et après qu’une analyse du poste ait conclu sur ce fait, la préconisation d’utilisation de masque est la suivante. Il s’agit de portage de charges ou de tout type d’opération nécessitant le travail de plusieurs opérateurs à proximité immédiate les uns des autres : utilisation pour chacun des travailleurs d’un masque alternatif ayant un niveau de filtration de 90 à 95 % (exclusion des masques alternatifs avec une efficacité de filtration de 70 à 80 %). Si disponible, un masque FFP1 peut être également utilisé. En cas d’effort intense, envisager le changement du port du masque alternatif avant le terme des 4 heures d’utilisation, ou en cas d’inconfort lié au port. Dans ce dernier cas, il faut privilégier l’utilisation d’un masque FFP1, dont la portabilité fait l’objet de tests dans la norme.Dans le cas d’un travail de plusieurs opérateurs dans un environnement confiné sans ventilation, le port du FFP1 devra être privilégié. »Pour les situations de travail à moins d’un mètre et pour les interventions chez les personnes à risque de santé, les masques préconisés, précédemment de type chirurgical II-R ou de protection supérieure, sont dorénavant de type à usage non-sanitaire de catégorie I (filtration supérieure ou égale à 90 % – « masques individuels à usage des professionnels en contact avec le public » selon la note DGS/DGE/DGT du 29 mars 2020, de type FFP1, de type chirurgical ou de protection supérieure).Pour les interventions chez les personnes malades, des masques de type chirurgical II-R ou de protection supérieure restent obligatoires.
Il y a 5 ans et 33 jours

La Région Nouvelle-Aquitaine et la Banque des Territoires au soutien des petites entreprises

La Région Nouvelle-Aquitaine et la Banque des Territoires créent un fonds de proximité de 24 M€, abondé à parité, pour soutenir les commerçants, artisans, services de proximité et associations relevant de l’Economie Sociale et Solidaire. Sa vocation est d’apporter un prêt de trésorerie à taux zéro, pouvant aller jusqu’à 15 000 €, avec remboursement différé, afin de répondre aux besoins des TPE et associations dont l’activité est impactée par la crise sanitaire. Ce fonds est ouvert à l’abondement des Communautés urbaines, d’agglomération et de la Métropole de Bordeaux qui souhaiteraient s’y associer, selon le même principe de financement que celui retenu par ses créateurs, à savoir 2 € par habitant. Sa gestion sera assurée par le réseau des plateformes locales de France Initiative en Nouvelle-Aquitaine, les chambres consulaires contribuant par ailleurs à sa promotion. Ce fonds s’inscrit dans le plan d’urgence de la Région s’élevant désormais à 73 M€, qui comprend notamment des fonds d’aide destinés aux associations et aux PME, un fonds de prêts aux PME en partenariat avec des banques régionales et la création d’un nouveau fonds de prêts pour l’ESS.
Il y a 5 ans et 33 jours

Montreuil prolonge la suspension de tous les chantiers

Montreuil considère que le seul guide de « recommandations sanitaires pour poursuivre les chantiers » de l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics, prescrivant les mesures générales mises en œuvre dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, n’est pas une garantie suffisante de protection effective de la santé des ouvriers, salariés et riverains de ces chantiers. Les constats effectués sur le terrain, démontrent : la faiblesse des moyens mis en œuvre pour permettre aux ouvriers d’exercer leurs missions en toute sécurité ; le peu de moyens de contrôle et de répression mis à la disposition des préfets pour les infractions aux mesures sanitaires. Ainsi, depuis le premier jour de confinement, tous les chantiers d’espaces publics et ceux menés au sein des bâtiments communaux et du patrimoine de la ville sont interrompus et ne reprendront qu’avec la levée du confinement ou avec la garantie de conditions de sécurité sanitaire satisfaisantes pour les salariés concernés ainsi que les habitants riverains de ces chantiers. Les travaux de construction ou de réhabilitation du patrimoine locatif social, sous maîtrise d’ouvrage de l’OPHM dont le Maire est président, seront également suspendus à l’exception des chantiers d’étanchéité ou d’enduits ne pouvant supporter d’interruption. En revanche, les chantiers privés de ravalement ou de construction d’immeuble, placés sous le contrôle des préfets, restent autorisés conformément au décret gouvernemental du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales mises en œuvre dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. La sécurité de ces chantiers et des ouvriers qui y œuvrent, relèvent de la responsabilité de la maîtrise d’ouvrage privée et des entreprises de travaux. Photo : Wikimédia
Il y a 5 ans et 34 jours

L'OPPBTP met à jour son accord sur le droit syndical

A l'occasion de la mise en place du Comité Social et Economique entré en vigueur au 1er janvier 2020, l'Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics (OPPBTP) et les organisations syndicales (CFE-CGC, CFDT, CGT et FO) ont abouti à un nouvel accord unanime sur l'exercice du droit syndical.
Il y a 5 ans et 34 jours

Covid-19 : les syndicats très sollicités par l'exécutif, mais pas toujours entendus

Relégués au second plan pendant la première partie du quinquennat, les syndicats sont devenus depuis le début de l'épidémie du coronavirus des interlocuteurs réguliers du gouvernement, très sollicités, mais pas toujours entendus.
Il y a 5 ans et 37 jours

Mise à jour des préconisations de sécurité sanitaire concernant le port de masques sur les chantiers

Le Ministère du Travail vient d'informer l'OPPBTP de l'avis suivant de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) sur les conditions d'utilisation des masques alternatifs.
Il y a 5 ans et 37 jours

Covid-19 : Les principaux chiffres du projet de budget rectifié pour 2020

Le projet de budget rectifié par le gouvernement pour 2020 prévoit une forte hausse des dépenses et un renforcement du plan d'urgence du gouvernement pour faire face à la récesson brutale provoquée par le coronavirus.
Il y a 5 ans et 37 jours

L'État va financer les formations des salariés en chômage partiel

L'État va financer les formations des salariés en chômage partiel, ce qui n'était pas possible jusqu'à présent, selon le ministère du Travail, qui veut que "les entreprises continuent à investir dans les compétences" même en période de confinement.
Il y a 5 ans et 37 jours

728 projets concourent au 9ème Prix National de la Construction Bois

Du 6 janvier au 28 février 2020, architectes, maîtres d’œuvre, constructeurs et maîtres d’ouvrage ont été invités à postuler pour la 9ème édition du Prix National de la Construction Bois. Le concours met en lumière l’excellence de la filière forêt-bois française en récompensant des ouvrages remarquables dans sept catégories et typologies de bâtiments : Travailler – Accueillir (bureaux, lieux d’accueil du public)Apprendre – Se divertir (établissements scolaires,culturels, sportifs et loisirs)Habiter ensemble (logements collectifs et groupés)Habiter une maison (petits, grands espaces)Réhabiliter un équipement (rénovation, réhabilitation, extension-surélévation d’un bâtimentRéhabiliter un logement (extension-surélévation, rénovation, réhabilitation).Aménager l’intérieur (agencement, mobilier)Aménager l’extérieur Les inscriptions sont désormais closes. A l’issue de l’appel à candidatures, le PNCB a remonté cette année un nombre total de 728 projets sur l’ensemble des catégories pour l’édition 2020. Le 20 mai prochain, le jury national devrait se rencontrer pour désigner les lauréats 2020.
Il y a 5 ans et 37 jours

MOOC « découvrir le bâtiment biosourcé »

BIOMOOC « découvrir le bâtiment biosourcé » est un cours en ligne gratuit et ouvert à tous qui doit permettre de découvrir la dynamique autour des matériaux biosourcés pour le bâtiment : appréhender la dynamique de la filière du bâtiment biosourcé de l’amont agricole à l’aval bâtiment, du champ au chantier, connaître la variété des solutions biosourcées pour le bâtiment et leur niveau de maturité, savoir répondre aux principaux préjugés sur ces matériaux et mettre en avant leurs atouts. Ce MOOC a été avancé au 14 avril afin que le public puisse en profiter au plus tôt en cette période de confinement. BIOMOOC conçu par Karibati et VAD avec le soutien de : PACTE, Ministère de la Transition écologique et solidaire, Ministère de la Cohésion des territoires, Région Auvergne-Rhône-Alpes et ADEME. www.ville-amenagement-durable.org/Decouvrir-le-batiment-biosource
Il y a 5 ans et 37 jours

Masques : l'OPPBTP met à jour son guide de bonnes pratiques

COVID-19. L'Organisme professionnel vient de mettre à jour son guide de bonnes pratiques pour la reprise des chantiers en période d'épidémie. Elle concerne les masques respiratoires.
Il y a 5 ans et 37 jours

"Il faudra déréguler pour relancer" (A. François-Cuxac, FPI)

CONSTRUCTION. La présidente de la FPI, Alexandra François-Cuxac a demandé, le 7 avril à la radio, au ministre Julien Denormandie, que le secteur et le Gouvernement "travaill[ent] ensemble pour déréglementer ce pays" pour favoriser la relance de l'économie. Sans écarter totalement cette piste, le ministre en a avancé d'autres.
Il y a 5 ans et 37 jours

Le BTP est le troisième demandeur de chômage partiel

CHIFFRES. Le ministère du Travail vient de communiquer les dernières données de l'activité partielle. Le secteur de la construction arrive en troisième position en termes de nombre de demandes.
Il y a 5 ans et 38 jours

Covi-19 : des démissionnaires pourront toucher l'assurance chômage, annonce Pénicaud

Les salariés ayant démissionné juste avant le confinement lié au coronavirus, parce qu'ils avaient une promesse d'emploi, pourront bénéficier de l'assurance chômage, a déclaré jeudi Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, qui "réfléchit" également à améliorer l'indemnisation des indépendants.
Il y a 5 ans et 38 jours

Galaxim® : un univers de solutions pour le Béton Prêt à l'Emploi

Lafarge a créé Galaxim® : huit solutions qui combinent des services et des ciments pour répondre précisément à vos marchés. Lafarge les a définies avec ses clients en fonction de leurs usages et pour couvrir toutes les exigences possibles : techniques, esthétiques, thermiques ou encore environnementales.
Il y a 5 ans et 38 jours

Nouvelle gamme d’urinoirs Sphero : design, hygiène et économies d’eau

Dans les pays développés, la consommation d’eau moyenne par habitant a été multipliée par dix en un siècle et par deux sur ces 30 dernières années. Un Français consomme aujourd’hui en moyenne 148 litres d’eau par jour. A cette utilisation domestique s’ajoutent les consommations d’eau collectives (dans les hôpitaux, au bureau, …). Au total, les consommations individuelles et collectives s’élèvent à 210 litres d’eau par jour et par personne en France. Pleinement conscient de la nécessité d’économiser ce bien précieux qu’est l’eau, Porcher lance Sphero, sa nouvelle gamme d’urinoirs intelligents et connectés destinés aux collectivités, qui allient design, hygiène et économies d’eau. Un design révolutionnaire au service du confort et de l’hygiène La consommation d’eau et la durabilité sont au cœur des préoccupations environnementales actuelles. C’est de cette observation qu’est née la nouvelle gamme d’urinoirs Sphero, fruit de la collaboration avec le Studio Levien. Elle marie en toute harmonie les dernières innovations en matière d’économie d’eau avec une esthétique intemporelle. L’ingéniosité de la gamme Sphero en matière de design se fond dans une forme remarquablement simple. Ses bords fins offrent non seulement une esthétique moderne, mais également une praticité à toute épreuve. Chaque modèle arbore la même courbure arrondie. Le design circulaire et concave de tous les produits Sphero, combiné à la position basse de l’évacuation dans l’urinoir offre une géométrie anti-éclaboussures qui assure un fonctionnement confortable et hygiénique ainsi qu’une intimité optimale à l’utilisateur. « Nous voulions que chaque modèle offre la même forme caractéristique. Ce design est parfaitement coordonné tout en permettant de varier les tailles et de s’adapter à tous les types d’installations. » Robin Levien. Pour offrir un ensemble complet de solutions adaptées à tous les espaces, la gamme Sphero est disponible en 3 tailles : Mini (37 cm), Midi (55 cm) et Maxi (62 cm). Chaque taille propose plusieurs modes de chasse d’eau : Mode Hybrid, Mode Standard et Mode sans eau. Les urinoirs Sphero ont été pensés pour offrir une hygiène optimale. En répartissant l’eau sur la majeure partie de la cuvette, le diffuseur de la chasse d’eau assure une couverture de l’eau optimisée et favorise une meilleure hygiène. Le design sans rebord et les bords fins ont été conçus pour réduire la surface à nettoyer et éviter l’eau résiduelle afin de prévenir la propagation des bactéries. Les modèles sans eau contiennent une cartouche qui évite les remontées d’odeurs et garantit un air frais. Des fonctionnalités au service de la performance Au-delà de son design au service du confort et de l’hygiène, la gamme Sphero offre de multiples fonctionnalités qui répondent aux exigences de performance actuelles et futures de tous les établissements recevant du public. Economies d’eau Les 3 modes de chasse d’eau disponibles permettent de choisir celui étant le plus adapté à chaque type d’utilisation. Le système Smart Hybrid intégrant un capteur intelligent unique sur le marché détecte la salinité de l’urine et par conséquent l’utilisation de l’urinoir, sur les modèles Midi ou Maxi. Dans les environnements très fréquentés, le mode Hybrid par défaut permet ainsi d’utiliser 10 fois moins d’eau que le mode Standard ou toute autre chasse d’eau d’urinoir qui se déclenche après chaque utilisation. Dans le mode Hybrid, le capteur détecte la salinité et l’utilisation. Lorsqu’elle est détectée, une chasse d’eau unique est activée toutes les 30 minutes (ajustable à 1, 3 ou 6 heures) avec 0,85 litre d’eau par chasse (ajustable à 1,5 , 2 ou 3 litres). Une chasse d’eau d’entretien est activée toutes les 24 heures (ajustable à 12 heures) en l’absence d’utilisation. Dans le mode Sans eau, l’urinoir ne déclenche pas de chasse d’eau pour une économie d’eau maximale. La cartouche, disponible avec tous les modèles Smart Hybrid Sphero, prend le relais dans ce mode. Dans le mode Standard, la chasse d’eau est déclenchée 8 secondes après chaque utilisation détectée. Comme en mode Hybrid, une chasse d’eau d’entretien est activée toutes les 24 heures en l’absence d’utilisation. Lorsque le capteur détecte 3 utilisations à un intervalle inférieur à 1 minute, l’urinoir passe automatiquement en mode Stadium. Celui-ci permet d’activer un rinçage à quantité d’eau réduite à chaque utilisation, puis une chasse d’eau complète lors de la dernière utilisation. Un urinoir lambda utilise de 1 à 6 litres d’eau par chasse. Dans ce contexte et au vu des performances de la gamme, les modèles Hybrid offrent donc un juste équilibre entre technologie économe en eau et niveau d’hygiène supérieur. Concernant le mode sans eau, il n’y a aucune consommation d’eau quel que soit le niveau de fréquentation. En analysant les données de consommation d’eau des urinoirs de la gamme et en se référant aux niveaux de performances des écolabels BREEAM et LEED, le mode Hybrid peut prétendre à 2 ou 3 crédits BREEAM et 4 points LEED. Quant au mode sans eau, il est crédité du maximum en BREEAM (5 crédits) ainsi qu’en LEED (4 points). Installation et maintenance simplifiées De nombreuses autres exigences de performances sont au cœur des préoccupations des professionnels chargés de l’exploitation de bâtiments collectifs. Porcher les accompagne, de l’installation à la maintenance grâce aux fonctionnalités brevetées de Sphero. Pour une installation rapide et simplifiée, l’urinoir Sphero comprend une fente de nivellement et des trous pré-percés. Le joint en caoutchouc intégré protège le produit et son environnement et évite l’utilisation d’un agent d’étanchéité à base de silicone. Pour assurer la maintenance tout au long de la vie du produit, sur les modèles Mini et Midi, la sortie de la chasse d’eau et le siphon peuvent tous deux faire l’objet d’une intervention par l’avant. Le capot protecteur amovible permet alors d’accéder directement à la buse du robinet et ainsi de la nettoyer ou de la remplacer en toute simplicité. Fixé par le haut, le siphon est doté d’une clé permettant aux agents d’entretien d’y accéder simplement et rapidement en cas de besoin. Sphero Maxi bénéficie d’une autre fonctionnalité brevetée renforçant la simplicité de maintenance. En effet, grâce au support à charnière, il s’ouvre comme une porte, facilitant l’entretien et la maintenance qui peuvent donc s’effectuer sans dépose. Le capteur intelligent, peut quant à lui identifier l’obstruction du siphon, bloquant automatiquement le flux pour éviter tout débordement intempestif. Connecté pour un contrôle exhaustif Pour rendre la maintenance encore plus simple et rapide, le modèle E-Hybrid de l’urinoir connecté Sphero Maxi est également conçu pour permettre aux gestionnaires et aux propriétaires d’obtenir des informations à distance en les recevant via le module Bluetooth sur l’App SMART SENSOR urinoir SPHERO PORCHER sur Google Play et Apple. Des données en temps réel sont ainsi obtenues et des informations de diagnostic sont fournies. Cette application développée pour un contrôle exhaustif permet de consulter, depuis un téléphone ou une tablette, le statut, l’alimentation, les statistiques d’utilisation et de recevoir automatiquement une alerte de maintenance en cas de problèmes de débit ou si la batterie ou la cartouche doivent être remplacées. Elle permet également d’appliquer un modèle de profil à un certain nombre d’urinoirs. Les propriétaires de bâtiments et les responsables d’installations peuvent modifier les paramètres de plusieurs urinoirs en même temps et également suivre les appareils via un système de Gestion Technique de Bâtiment ; un véritable gain de temps et de ressources. Performante, à l’esthétique avant-gardiste et aux fonctionnalités inédites, la collection Sphero de Porcher répond à toutes les attentes des installateurs, des gestionnaires de sites et des utilisateurs. Elle est compatible avec les bâti-supports ProSys. http://www.porcher.com
Il y a 5 ans et 38 jours

La CAPEB demande au ministre du logement plus de concertation entre la filière et le Gouvernement

Actuellement confrontées à une situation d'une extrême gravité, les petites entreprises recherchent les moyens de poursuivre leur activité dans des conditions de sécurité optimale et de conserver leur personnel en vue d'une prochaine reprise. Afin de favoriser au mieux la reprise, la CAPEB a écrit au Ministre Julien Denormandie pour demander plus de concertation entre la filière et le Gouvernement.
Il y a 5 ans et 38 jours

Bruno Le Maire promet que les mesures de soutien seront maintenues "le temps que durera" la crise

Les mesures mises en place par le gouvernement pour soutenir l'économie française pendant la crise seront "maintenues le temps que durera cette crise" malgré leur coût grandissant à mesure que le confinement se prolonge, a assuré mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.