Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41591 résultats)
Il y a 5 ans et 23 jours

Association Mémo : « Féminiser la maîtrise d’œuvre est un atout pour la ville inclusive »

A gauche, Rossella Gotti, architecte urbaniste indépendante à la tête de sa propre agence. A droite, Anne Labroille, maîtresse d’ouvrage à l’Office HLM de Pantin et maîtresse de conférences associée au Master d’urbanisme de Nanterre. [©DR] Qu’est-ce qu’un “plafond de béton” ? Anne Labroille : C’est comme un plafond de verre, mais on ne voit pas au-dessus… Concrètement, il y a peu de femmes nommées aux postes de grande direction. Et peu de femmes qui créent leurs agences d’architecture. Les femmes représentent plus de 60 % des inscrits aux écoles d’architecture, mais seulement 28 % des inscrits à l’Ordre des architectes. Par ailleurs, il n’y a aucune agence dirigée par une femme dans le top 100 des agences d’architecture françaises ! Rossella Gotti : Les femmes architectes sont aussi beaucoup moins payées que leurs homologues masculins. Quand elles sont salariées, la différence est comparable à celle des autres professions. Mais en libéral, elle se creuse, atteignant 41 % de différence de revenus… Comment expliquez-vous ces inégalités ? Anne Labroille : Il y a peu de femmes à la tête d’agence d’architecture. Peu d’enseignantes dans les écoles d’architecture où, par ailleurs, on ne leur parle pas des femmes architectes de l’histoire ou contemporaines. Les prix d’architecture ne sont quasiment jamais décernés à des femmes. On les voit rarement dans les magazines professionnels… Les jeunes femmes architectes manquent de modèles à qui s’identifier. Rossella Gotti : Pour les femmes qui se sont installées en libéral, il y a ensuite une vraie difficulté d’accès aux grandes commandes. Comme il y a beaucoup d’hommes dans nos métiers, les commanditaires ont souvent tendance à penser à la figure de l’architecte homme. On fera appel aux femmes non pour un stade ou un pont, mais pour l’aménagement d’intérieur, avec de petites commandes.  Anne Labroille : Il y a aussi un problème d’accès aux réseaux d’influence. Les contrats sont souvent discutés lors d’évènements plutôt masculins, comme des compétitions de golf, de voile, de rugby… Qui plus est, le soir ou le week-end. C’est compliqué pour une femme d’y être invitée, de s’y faire une place et de se libérer pour y assister. Notre association Mouvement pour l’équité dans la maîtrise d’œuvre (Mémo) est d’ailleurs née d’une rencontre en 2016 au cours de laquelle les femmes présentes ont toutes fait le même constat : “Nous pouvions avoir un bon poste dans une grande agence, mais une fois à notre compte, nous devenions précaires”. Quelles sont les conséquences de l’absence des femmes sur notre environnement architectural ? Rossella Gotti : Déjà, la méconnaissance du travail passé des femmes architectes appauvrit l’histoire de l’architecture. C’étaient des architectes très souvent novatrices, car borderline.  Anne Labroille : D’autre part, nous concevons l’espace comme nous le vivons et comme nous l’avons étudié. Des bâtiments, des villes, des territoires conçus à égalité par des femmes et par des hommes seront mieux pensés pour tou-t-es. La féminisation de la maîtrise d’œuvre est un atout pour la construction de ville inclusive. De manière concrète, que fait votre association pour obtenir plus d’égalité ? Anne Labroille et Rossella Gotti présentent une surélévation sur une maison particulière lors d’une journée portes ouvertes des agences d’architecture. [©DR] Rossella Gotti : Nous menons plusieurs types d’action. Nous créons des données sur la visibilité des femmes architectes dans les prix, les médias, les publications, les expositions… Nous animons des conférences sur les inégalités professionnelles dans le monde de l’architecture et des visites de bâtiments construits par des femmes lors des “Journées du Matrimoine”.  Anne Labroille : En outre, nous promouvons une politique des quotas en faveur des femmes architectes dans les concours d’architecture, pour que celles-ci puissent au moins y participer. En effet, pour être présélectionné, il faut souvent avoir un chiffre d’affaires minimum, avoir déjà construit… Cela bloque les femmes qui sont déjà plus précaires, c’est un cercle vicieux.  Propos recueillis par Caroline Kim-Morange
Il y a 5 ans et 23 jours

Blocs, parements et chaperons Bradstone - Carré D'arc animent l'ambiance

Marques du Groupe Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D'ARC mettent à leur disposition un riche assortiment de modèles dans la ligne Béton Design.Les blocs Hadrien et Schistone BRADSTONE permettent de monter des séparations sur mesure, en parfaite harmonie avec l'environnement, les parements CARRÉ D'ARC animent un lieu, y compris à l'intérieur. Et, pour couvrir murs et piliers, les nouveaux chaperons de mur et chapeaux de pilier CARRÉ D'ARC ajoutent leur touche élégante à l'ouvrage.Apporter du rythme, jouer avec les matières, insérer de l'inattendu dans un décor… tout cela est possible avec les créations Béton Design issues du savoir-faire BRADSTONE et CARRÉ D'ARC. Une belle palette de textures et de coloris pour structurer l'espace avec goût.Blocs Hadrien BRADSTONE : un relief de pierre tailléeFaciles à poser, les blocs Hadrien BRADSTONE imitent parfaitement la pierre taillée à la main. Ils peuvent servir à construire un mur de séparation entre deux jardins, un muret courant le long d'une allée bordée de massifs, ou encore des jardinières. Leur tracé irrégulier accroche la lumière et apporte une ambiance chaleureuse.Les éléments Hadrien sont proposés en nuance Gironde. Ceux de forme incurvée permettent de réaliser des ouvrages en demi-cercle. Il existe également des blocs linteau droit, about, angle droit et angle gauche, sans oublier le bloc de chaînage et le couronnement.Les solutions apportées par les blocs Hadrien BRADSTONE se déclinent en muret, délimitation d'allée, coin terrasse et haut mur de séparation mitoyen. Ce dernier est décoré en son milieu d'une lame d'eau s'écoulant dans un bassin. Chaque structure est habillée de couronnements Hadrien BRADSTONE.Blocs Hadrien BRADSTONEBlocs : 60 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceBloc chaînage : 45 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceBloc linteau droit : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc linteau about : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBlocs linteau angle droite ou gauche : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc courbe : 53 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceCouronnement : 48,5 x 19,5 x 4 cm Prix public indicatif : 14 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBloc Schistone BRADSTONE : charme celteLe bloc Schistone BRADSTONE présente un feuilletage qui rappelle les murets en roche schisteuse ponctuant les paysages de la Bretagne traditionnelle. Cet aspect pierre sèche est parfaitement rendu et convient à des ambiances authentiques ou régionales.Le bloc Schistone BRADSTONE pourra également mettre en valeur un décor contemporain. Cette belle lame d'eau semble percer le mur, telle une source jaillissante. Les blocs Schistone BRADSTONE ont cédé le passage sous la pression de l'eau, c'est du moins l'astucieuse mise en scène du paysagiste, inspiré par la rusticité armoricaine du matériau.Bloc Schistone BRADSTONEBloc : 58,5 x 14 x 10 cm (15 blocs au m² - longueur utile 47,5 cm) Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Eygalières CARRÉ D'ARC : temps jadis au goût du jourDécoratif à l'extérieur comme à l'intérieur, le parement de mur Eygalière CARRÉ D'ARC a l'apparence des revêtements anciens aux pierres jointées. Il comprend deux types de modules de dimensions variables ainsi que des angles droits multiformats.Le parement de mur Eygalière est proposé en nuance Aquitaine et Luberon.Ces murs revêtus de parements Eygalières CARRÉ D'ARC teinte Aquitaine structurent l'espace par de douces lignes courbes délimitées par des piliers aux justes proportions.Parement Eygalières CARRÉ D'ARCDimension parement plat ép. 1,5 cm : 2 types de modules de dimensions variables Prix public indicatif : 56 euros TTC le m²Dimensions angles droits ép. 1,5 cm : multiformats 3 grands + 3 petits Prix public indicatif : 72 euros TTC le mlColoris : Aquitaine et LuberonMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Vaugelas CARRÉ D'ARC : esprit moderneInspiré de la pierre de schiste, le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC se distingue par sa simplicité et le relief graphique qui convient aussi bien dans un espace partagé avec la nature que pour habiller le mur d'une pièce. Il est proposé en trois modules plats de tailles différentes et un angle droit. Le choix du coloris - Aquitaine, Ardèche ou Basalte - déterminera l'ambiance finale de la réalisation.Les terrasses du jardin, délimitées par des murets revêtus de parements Vaugelas CARRÉ D'ARC nuance Basalte, offrent des plages de gazon reposantes, décoratives, entre ombre et lumière.Le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC donne un relief agréable et chaleureux à ce mur de salle de bains moderne aux lignes épurées. Sa teinte Aquitaine s'harmonise avec le plancher d'un élégant coloris châtaigne.Parement Vaugelas CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 3 modules différents 50 x 10 x 1,5 cm30 x 10 x 1,5 cm20 x 10 x 1,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 20/10 x 10 x 1,5 cmPrix public indicatif : 89 euros TTC le mlColoris : Aquitaine, Ardèche et BasalteMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Avallon CARRÉ D'ARC : allure nordiqueLa régularité singulière des briques de construction évoque immanquablement les maisons du Nord. Le parement plat Avallon CARRÉ D'ARC revisite la briquette avec succès, pour habiller les murs intérieurs ou extérieurs. Les teintes, blanc uniforme, doré et feu avec nuances de rouge, apporteront l'effet surprise désiré.Le gris et le blanc sont faits pour aller ensemble. Démonstration avec le parement de mur Avallon CARRÉ D'ARC de cette chambre à coucher, dont la blanche fraîcheur facilite un réveil en douceur.Parement Avallon CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 24 x 5,5 x 2,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 12 x 24,5 x 5,5 cm – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 77 euros TTC le mlColoris : Blanc, Doré et FeuMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxLa ligne Béton Design CARRÉ D'ARC ajoute cette année à sa riche gamme de produits un choix de chaperons de mur et de chapeaux de pilier, composés de ciment blanc et d'agrégats clairs, proposés en deux modèles, deux formats et trois couleurs. Des accessoires indispensables pour protéger un ouvrage et lui donner une belle finition.Chaperons de mur CARRÉ D'ARC : élégance au sommetProposés en trois teintes lumineuses, Beige, Blanc et Gris, les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC assurent une couverture solide et protègent de l'humidité. Les deux modèles, plat ou à deux pentes, sont dotés de « gouttes d'eau », c'est-à-dire 2 rainures parallèles sciées dans la masse et courant sur toute la longueur afin de gérer l'écoulement de l'eau de pluie.Les chaperons plats portent également en surface une légère arête centrale de 1 mm, qui sert à évacuer l'eau de pluie.Les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC sont proposés en 2 dimensions (50 x 30 cm et 100 x 30 cm) et 2 épaisseurs distinctes (4 cm pour les plats et 5,7 cm pour les 2 pentes).Le chaperon de mur 2 pentes CARRÉ D'ARC fait serpenter sa luminosité sur un beau mur ocre rouge. Son rôle à la fois couvrant et décoratif éclate au grand jour.Chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARCChaperon de mur plat : 50 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 15,50 euros TTC la pièceChaperon de mur plat : 100 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 50 x 30 x 5,7 cm Prix public indicatif : 16 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 100 x 30 cm x 5,7 cm Prix public indicatif : 31 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxChapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARC : finition indispensableTout pilier encadrant un mur de clôture porte son chapeau. Les modèles de chapeaux Lisses CARRÉ D'ARC suivent le même procédé de fabrication que les chaperons afin de créer une couverture harmonieuse et uniforme.Deux modèles sont proposés en deux formats au choix : le plat, carrés de 40 cm ou 50 cm de côté, sur 4,5 cm d'épaisseur, et le pointe de diamant de mêmes dimensions, sur 7,7 cm d'épaisseur. Les trois coloris - Beige, Blanc et Gris - peuvent être assortis aux chaperons.Plat ou en pointe de diamant, le chapeau de pilier Lisse CARRÉ D'ARC protège tout en s'inscrivant dans un cadre esthétique lumineux.Chapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARCChapeau de pilier plat : 40 x 40 x 4,5 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièceChapeau de pilier plat : 50 x 50 x 4,5 cm Prix public indicatif : 29 euros TTC la pièceChapeau de pilier pointe diamant : 40 x 40 x 7 cm Prix public indicatif : 24 euros TTC la pièce Chapeau de pilier pointe diamant : 50 x 50 x 7,7 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBlocs pilier à enduire CARRÉ D'ARC : Superposables, ils portent bien le chapeauLe bloc pilier en béton CARRÉ D'ARC, creux et de section carrée, est disponible en cinq dimensions : 20, 26, 35, 40 et 50 cm de côté, pour une hauteur commune de 25 cm. Faciles et rapides à poser, ils peuvent être habillés d'un enduit de façade, de parements de mur ou de bardages.Un chapeau de pilier Lisse plat CARRÉ D'ARC ton Blanc coiffe ce pilier ton Béton gris à enduire. Le mur, à enduire également, est couvert d'un chaperon deux pentes ton Blanc CARRÉ D'ARC.Blocs pilier CARRÉ D'ARCDimensions : 5 modules différents 20 x 20 x 25 cm Prix public indicatif : 4,50 euros TTC la pièce26 x 26 x 25 cm Prix public indicatif : 5 euros TTC la pièce35 x 35 x 25 cm Prix public indicatif : 6 euros TTC la pièce40 x 40 x 25 cm Prix public indicatif : 15 euros TTC la pièce50 x 50 x 25 cm Prix public indicatif : 25 euros TTC la pièceColoris : Béton grisMatériau : Béton DécoratifPoints de vente : Négoces en matériaux
Il y a 5 ans et 23 jours

L'OPPBTP alerte sur le risque d'arnaques aux masques

COVID-19. Masques contrefaits, fausses certifications : l'Organisme professionnel de prévention du BTP vient de lancer une alerte aux professionnels pour éviter les arnaques qui pullulent dans la vente de matériels de protection contre le covid-19.
Il y a 5 ans et 23 jours

Reprise progressive du chantier de Notre-Dame à partir de lundi

"Dans le cadre de la reprise progressive de l'activité à partir de lundi, j'ai veillé à ce que les mesures et procédures adaptées soient mises en œuvre, afin de garantir le respect des gestes barrières et le maintien de la distanciation sociale", souligne dans un communiqué Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de l'édifice."Trois étapes" sont prévues à partir de lundi, "avec une montée en puissance des effectifs tout au long du mois de mai", précise l'Établissement public.Il s'agira d'abord de la "remise en fonctionnement de la base vie du chantier", puis d'une "reprise et achèvement des travaux" en cours à la mi-mars, et qui concernent notamment les "nouvelles installations de décontamination". Enfin, d'une "reprise des travaux complexes de sécurisation", dont la dépose de l'échafaudage sinistré et le montage d'un "échafaudage pour la dépose du grand orgue".La décision de relancer l'activité sur le chantier, suspendue depuis la mi-mars, "a été prise après instruction approfondie des conditions de reprise" avec notamment la maîtrise d'œuvre, les entreprises concernées et sur la base des "préconisations de sécurité sanitaire" élaborées par le gouvernement.Les compagnons travaillant sur le site auront des masques, l'accès à des distributeurs de gel hydroalcoolique et bénéficieront de "solutions d'hébergement" et de livraison de repas, précise l'Établissement public."Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) se tiendra lundi après-midi en présence des organismes de contrôle (Inspection du travail et Caisse régionale d'assurance maladie d'Ile-de-France)", précise l'organisme dans son communiqué.A l'occasion du premier anniversaire de l'incendie, le 15 avril, le président Emmanuel Macron a confirmé son objectif de reconstruire la cathédrale en cinq ans.Avant d'être suspendu en raison de la pandémie de coronavirus, le chantier avait déjà été brièvement arrêté l'été dernier, pour améliorer la protection des ouvriers vis-à-vis du plomb.
Il y a 5 ans et 23 jours

Covid-19 : reprise progressive du chantier de Notre-Dame à partir de lundi

"Dans le cadre de la reprise progressive de l'activité à partir de lundi, j'ai veillé à ce que les mesures et procédures adaptées soient mises en œuvre, afin de garantir le respect des gestes barrières et le maintien de la distanciation sociale", souligne dans un communiqué Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de l'édifice."Trois étapes" sont prévues à partir de lundi, "avec une montée en puissance des effectifs tout au long du mois de mai", précise l'Établissement public.Il s'agira d'abord de la "remise en fonctionnement de la base vie du chantier", puis d'une "reprise et achèvement des travaux" en cours à la mi-mars, et qui concernent notamment les "nouvelles installations de décontamination". Enfin, d'une "reprise des travaux complexes de sécurisation", dont la dépose de l'échafaudage sinistré et le montage d'un "échafaudage pour la dépose du grand orgue".La décision de relancer l'activité sur le chantier, suspendue depuis la mi-mars, "a été prise après instruction approfondie des conditions de reprise" avec notamment la maîtrise d'œuvre, les entreprises concernées et sur la base des "préconisations de sécurité sanitaire" élaborées par le gouvernement.Les compagnons travaillant sur le site auront des masques, l'accès à des distributeurs de gel hydroalcoolique et bénéficieront de "solutions d'hébergement" et de livraison de repas, précise l'Établissement public."Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) se tiendra lundi après-midi en présence des organismes de contrôle (Inspection du travail et Caisse régionale d'assurance maladie d'Ile-de-France)", précise l'organisme dans son communiqué.A l'occasion du premier anniversaire de l'incendie, le 15 avril, le président Emmanuel Macron a confirmé son objectif de reconstruire la cathédrale en cinq ans.Avant d'être suspendu en raison de la pandémie de coronavirus, le chantier avait déjà été brièvement arrêté l'été dernier, pour améliorer la protection des ouvriers vis-à-vis du plomb.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le mouvement HLM veut revenir sur les "coupes budgétaires" qui lui sont imposées

COVID-19. L'Union sociale pour l'habitat (USH) s'est associée à cinq associations de locataires pour demander d'"aller plus loin" que l'aide exceptionnelle aux ménages modestes promise par l'exécutif. Ce qui passe, entre autres, par une revalorisation des APL. Pour France urbaine, c'est le modèle économique des bailleurs sociaux qu'il faut sauver, en revenant sur la RLS.
Il y a 5 ans et 23 jours

Cure de jouvence pour le Tramway du Mont Blanc centenaire

Lla concession de service public a été octroyée pour 15 ans à la Compagnie du Mont Blanc (CMB) chargée de dépoussiérer cet attrait touristique ronronnant.
Il y a 5 ans et 24 jours

3 présidents de région demandent au gouvernement d'aller plus loin pour les loyers des commerces

Face au confinement lié au Covid-19, les premières annonces du gouvernement, "qui se sont suivies d'annulation de la part de certains bailleurs, vont dans le bon sens, mais ne seront malheureusement pas suffisantes", écrivent Alain Rousset (PS), Loïg Chesnais-Girard (PS) et Xavier Bertrand (ex-LR) dans une lettre au ministre de l'Économie Bruno Le Maire, dont l'AFP a obtenu copie.Selon eux, il est "important que le médiateur national" annoncé la semaine dernière par le ministre soit "nommé avant la fin de la semaine et qu'il puisse y avoir également un représentant régional"."Ce médiateur devra pouvoir analyser les dossiers au cas par cas car nous sommes bien conscients que certains bailleurs n'ont pas la solidité financière pour pouvoir supporter des annulations de loyers en cascade, notamment du fait du poids de la dette qu'ils peuvent avoir à rembourser", soulignent-ils.A leurs yeux, la question de l'annulation de certains loyers ne peut par ailleurs "pas se concevoir sur la seule période du confinement du 14 mars jusqu'au 11 mai" car "la reprise ne se fera que très progressivement"."Il est donc nécessaire de réfléchir dès maintenant à la mise en place d'un système de progressivité des loyers à partir de la reprise de l'activité. Sans cette progressivité, les entreprises ne pourront malheureusement pas faire face sereinement à la crise économique liée au Covid-19", jugent les trois présidents de région en demandant à Bercy de "réunir rapidement les représentants des commerçants, des bailleurs et des banques".
Il y a 5 ans et 24 jours

L'indemnisation du Covid-19 comme maladie professionnelle jugée "très insuffisante"

Le Covid-19 sera reconnu de façon "automatique" comme maladie professionnelle pour le personnel soignant, mais pas pour les autres catégories de travailleurs, qui devront se soumettre aux procédures classiques, avait indiqué mardi le ministre de la Santé Olivier Véran devant l'Assemblée nationale."Nous sommes loin du compte", dénoncent la Fnath (association des accidentés de la vie) et l'Association nationale des victimes de l'amiante. "Le personnel soignant bénéficiera d'une reconnaissance automatique en maladie professionnelle et les autres devront engager des procédures longues, coûteuses, et vraisemblablement vouées à l'échec".La Fnath et l'Andeva "dénoncent le mépris affiché par le gouvernement avec une indemnisation au rabais pour ceux qui ont risqué jusqu'à leur vie pour assurer à une population confinée une garantie de soin, d'alimentation et de livraison"."Après les éloges et les engagements du président de la République à propos de ces +soldats de 1ère et 2e ligne+, c'est une bien piètre reconnaissance que la Nation leur réserve", concluent les deux associations qui "souhaitent rencontrer au plus tôt le ministre de la Santé et la ministre du Travail pour trouver une solution plus satisfaisante pour les victimes".L'Unsa Fonction publique demande mercredi que "le dispositif de maladie professionnelle soit étendu à tous les agents engagés sur le terrain, dans les hôpitaux, auprès des Français, dans le cadre de leur mission".Pour le syndicat, "il parait normal qu'un enseignant accueillant des élèves, qu'un policier procédant à un contrôle, qu'un hospitalier exerçant à l'hôpital puissent bénéficier des dispositifs liés aux maladies professionnelles dans la fonction publique". Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner avait d'ailleurs plaidé en faveur d'une telle reconnaissance pour certains de ses agents.Au-delà de la seule fonction publique, Force ouvrière "revendique l'élargissement, au-delà des soignants, du dispositif de reconnaissance automatique en maladie professionnelle du Covid-19 pour tous les salariés exposés dans le cadre de leur activité", et pense notamment "aux secteurs de la distribution, de la logistique, aux éboueurs, aux travailleurs sociaux, aux postiers, aux personnels de sécurité..."Interrogée mercredi sur le sujet à l'Assemblée lors de la mission d'information sur le coronavirus, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a expliqué "qu'il y avait des maladies professionnelles qui n'existent que dans le monde professionnel, ça c'est facile, mais il y a beaucoup de maladies, c'est le cas du Covid-19, où la contamination peut avoir lieu partout, c'est le droit commun a priori qui s'appliquera"."Toute personne peut faire un recours", a-t-elle dit, "si elle a des séquelles", et ce "sera évalué par les commissions spécialisées".
Il y a 5 ans et 24 jours

La France adopte finalement sa feuille de route énergétique

La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour 2019-2028 "est adoptée", selon un décret paru au Journal officiel.Son adoption était initialement attendue fin 2018, mais ce texte aux multiples implications aura pris beaucoup de retard.Un second décret, visant l'adoption de la stratégie nationale bas-carbone (SNBC), a également été publié jeudi. Celle-ci fixe comme objectif la neutralité carbone de la France à l'horizon 2050."Nous publions aujourd'hui des textes écologiques structurants, qui impliquent la décarbonation de tous les secteurs d'activités et qui incarnent notre volonté intacte de poursuivre la transition écologique de notre pays", a souligné Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique et solidaire, dans un communiqué.Les arbitrages dans le secteur de l'énergie avaient été esquissés dès la fin 2018 par le président Emmanuel Macron et le projet de PPE avait ensuite connu plusieurs versions avant d'être soumis à consultation en début d'année.Sur le nucléaire, le gouvernement confirme l'objectif de fermer 14 réacteurs d'ici 2035, dont les deux de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) qui doivent s'arrêter cette année. Le premier a déjà été arrêté en février, le second doit l'être le 30 juin.La France cherche ainsi à réduire sa dépendance au nucléaire en ramenant sa part dans sa production d'électricité à 50% en 2035, contre plus de 70% aujourd'hui.Sur le fond, la PPE publiée jeudi reprend pour l'essentiel le texte qui avait déjà été rendu public et mis en consultation. Il ne diverge que sur quelques mesures techniques portant sur les réseaux de chaleur (avec une sortie accélérée du charbon) et le photovoltaïque, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire."Nous nous réjouissons de la publication de la PPE, qui donne, dans ce moment particulier de notre histoire, de la visibilité à nos différentes filières et confirme l'engagement de la France dans la transition énergétique", a salué Jean-Louis Bal, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER)."Mais, nous devrons tous être très attentifs aux moyens mis en oeuvre pour atteindre, dans les délais, les objectifs fixés", a-t-il ajouté, dans un communiqué.Des ONG de défense de l'environnement ont en revanche critiqué le texte, estimant qu'il manquait d'ambition."Le gouvernement s'est refusé à intégrer les mesures complémentaires nécessaires à l'atteinte des objectifs climatiques - pourtant insuffisants - et de baisse de la consommation d'énergie de la France", ont jugé dans un communiqué commun plusieurs associations (Réseau Action Climat, Amis de la Terre, Greenpeace, France Nature Environnement...)."Il acte ainsi l'écart entre les discours et les actes et se prive de leviers clés pour une reprise économique compatible avec l'Accord de Paris", ont-elles estimé.
Il y a 5 ans et 24 jours

Notre-Dame : une reprise du chantier "progressive" dès le lundi 27 avril

Selon un communiqué de l'établissement public en charge de la restauration de la cathédrale Notre-Dame, le chantier devrait reprendre "progressivement", à partir de ce lundi 27 avril. La liste des membres du conseil scientifique installé au sein de l'établissement est par ailleurs désormais connue.
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : continuité des processus de qualification et aménagements exceptionnel

L'occasion de rappeler pourquoi la qualification est un atout pour les entreprises, et le restera lors de la reprise de l'activité, et comment Qualifelec accompagne et continuera d'accompagner le développement de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. Continuité et fiabilité du processus de qualificationDurant le confinement, les équipes de Qualifelec se sont organisées pour être opérationnelles, en télétravail, et restent joignables au 01 53 06 65 20, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h, et par mail (contact@qualifelec.fr). Tous les dossiers de qualification (initiaux, renouvellements, modifications et annuels) reçus par Qualifelec avant le 17 mars sont en cours de traitement. Les comités de qualification poursuivent également leur travail à distance, et cela, toujours dans un strict respect de la collégialité. Qualifelec peut, ainsi, continuer à étudier l'intégralité des dossiers reçus, en garantissant l'objectivité et l'équité des décisions prises par ses comités.Pour rappel, les comités de qualification sont constitués de qualificateurs issus des trois collèges composant les instances de Qualifelec. Le vote des représentants des organisations professionnelles de la filière (collège A) a le même poids que celui des représentants des clients et prescripteurs d'entreprises qualifiées (collège B) et celui des Institutionnels (collège C). Ce sont donc l'ensemble des acteurs du marché qui décident de l'attribution des qualifications aux entreprises. Cette organisation collégiale garantit la force et la fiabilité de la qualification Qualifelec.Aménagements exceptionnelsToutes les entreprises qui le peuvent sont donc invitées à compléter et renvoyer leur dossier ou les pièces manquantes de leur dossier, soit par mail, soit, pour les dossiers "annuels", en passant par leur espace client, en respectant l'échéance de leur cycle de qualification. Pour les entreprises qui n'auraient pas cette possibilité ou qui rencontrent des difficultés dans leurs démarches, Qualifelec adapte ses règles : un nouveau certificat de qualification sera automatiquement transmis (peu avant la date d'échéance). Sa date de validité pourra être prolongée jusqu'au 30 juin, voire jusqu'au 30 septembre 2020 en fonction des cas. La prolongation des dates de validité des certificats est un aménagement exceptionnel qui permettra à toutes les entreprises de rester qualifiées lors de la reprise de l'activité.Les audits programmés, ou à réaliser, sont logiquement reportés. Les entreprises concernées seront tenues informées des nouvelles dates d'audit, lorsqu'il sera possible de les reprogrammer. Leurs qualifications ne seront pas suspendues.Enfin, si cela s'avère nécessaire, les équipes de Qualifelec feront tout leur possible pour porter une attention particulière aux spécificités des "cas particuliers". Une garantie de qualité pour accompagner "la relance"Depuis sa naissance en 1955, Qualifelec est déterminé à agir pour l'amélioration continue de la filière électrique et énergétique. Nous apportons aux clients la meilleure garantie de satisfaction, de sécurité et de performance des installations. Dans la période qui s'annonce, cette mission s'avère d'autant plus nécessaire.En 2019, le gouvernement a témoigné de sa volonté d'accélérer les travaux de rénovation énergétique via des dispositifs financiers fortement incitatifs. Les pompes à chaleur ont ainsi fait l'objet d'une aide renforcée. Dans ce contexte, Qualifelec a un rôle à jouer pour lutter contre les travaux de mauvaise qualité et la fraude. L'année dernière, notre organisme de qualification a mené différentes actions dans ce sens : signature de la charte de qualité de l'AFPAC (Association française pour la pompe à chaleur), lutte contre le démarchage abusif de certaines plateformes téléphoniques, partenariat avec EDF pour favoriser des travaux de rénovation énergétique de qualité, etc.).Par ailleurs, Qualifelec s'engage à ce que ses entreprises qualifiées proposent systématiquement des contrats de maintenance des installations de Pompe à Chaleur à leurs clients. C'est le seul organisme de qualification à avoir créé un indice Maintenance dans sa qualification relative aux pompes à chaleur.A la reprise de l'activité, Qualifelec poursuivra sa mission pour protéger le consommateur en lui garantissant des travaux de rénovation énergétique de qualité, et ce, avec le souci de la performance dans la durée.En 2019, un travail de concertation avec les acteurs du marché nous a conduit à créer la mention Colonnes Montantes, désormais prescrite par Enedis (suite à une disposition de la loi Elan qui prévoit le transfert au réseau public de distribution d'électricité de l'ensemble des colonnes montantes, au plus tard le 23 novembre 2020). Au-delà de l'adaptation aux évolutions réglementaires, Qualifelec sait aussi accompagner les entreprises vers de nouveaux marchés, comme celui de la mobilité électrique (avec la mention Infrastructures de Recharge de Véhicules Electriques).A la reprise de l'activité, Qualifelec continuera de répondre aux enjeux liés aux nouveaux modèles de production et de consommation de l'électricité, à la transition énergétique, à l'intégration des technologies du numérique (pilotage des énergies, smart city, smart building...), en accompagnant la montée en compétence des professionnels sur des marchés à fort potentiel de développement, tout en maintenant l'exigence de qualité.« D'une ampleur inédite, la crise que nous traversons sera suivie d'une reprise de l'activité que nous espérons la plus dynamique possible, et ce, le plus rapidement possible. Qualifelec a été créé après-guerre, en pleine période de reconstruction du pays. Pour cette nouvelle période de relance, les professionnels du génie électrique et énergétique et leurs partie-prenantes doivent pouvoir s'appuyer sur une garantie fiable de qualité, de performance et de sécurité. Qualifelec accompagnera l'évolution de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. » - Yves Jalageas, Président de Qualifelec
Il y a 5 ans et 24 jours

Le chômage partiel a explosé dans le BTP du Grand Est

Avec huit salariés sur dix en chômage technique, le secteur est deux fois plus exposé à ce phénomène que l’ensemble de l’économie de la région, révèle le bilan d’un mois de confinement dressé par la préfecture.
Il y a 5 ans et 24 jours

"Nous travaillons déjà au contenu d'un plan de relance", J.Denormandie

ENTRETIEN EXCLUSIF. Le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, détaille pour Batiactu le contenu de l'ordonnance présentée ce mercredi en conseil des ministres. Il insiste sur le fait que les permis de construire doivent continuer à être délivrés, et annonce déjà travailler à un plan de relance pour le secteur.
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : Grohe revoit sa production en Europe

Pour ses trois sites de fabrication allemands, les calendriers de production et les différentes installations ont été adaptés pour respecter les recommandations et directives officielles en matière d'hygiène et de sécurité du personnel.La production à Albergaria, au Portugal, est suspendue depuis le 30 mars 2020, en raison des dernières réglementations gouvernementales et de l'intensification de la situation dans cette région. Une reprise de l'activité est prévue pour le 12 avril 2020.Outre les usines européennes, le site de fabrication de Klaeng en Thaïlande suit également des procédures strictes, telles que des contrôles de température des employés, afin de garantir des normes d'hygiène et de sécurité.Avec ses nouvelles mesures, la marque GROHE veut préserver la sécurité et la santé de son personnel ainsi que soutenir les efforts mis en place pour contenir la pandémie. Sur tous les sites, les différentes mesures et réglementations sont constamment révisées et font l'objet d'ajustements si nécessaire.GROHE travaille en étroite collaboration avec ses partenaires commerciaux pour gérer les niveaux de stock dans toute la région EMENA, en tenant compte des circonstances et des exigences des différents marchés.« Avec la propagation du nouveau coronavirus à travers le monde, nous assistons à une situation sans précédent. Au cours des dernières semaines, l'impact s'est accru tant sur la société que sur l'économie. Compte tenu de la dynamique générale, nous avons dès le début évalué la conjoncture afin de déterminer les actions nécessaires. C'est maintenant que nous renforçons les mesures existantes pour mieux protéger nos employés », déclare Thomas Fuhr, directeur général de LIXIL International et de Grohe AG.
Il y a 5 ans et 24 jours

Rester chez soi et débattre de la transition écologique, avec Bellastock, Frédéric Bonnet et Michel Desvigne

Penser la transition écologique et agir, l'intégrer dans ses pratiques et participer concrètement à la dynamique de changement, telle était la proposition faites aux architectes et acteurs du cadre de vie pour 2020 et au-delà, par le Conseil régional de l'Ordre des architectes de Nouvelle-Aquitaine et les acteurs du 308+. La contrainte de […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 24 jours

Quatre nouveaux revêtements de sol haut de gamme s'ajoutent à la collection MOSO® Bamboo Elite

MOSO® a également amélioré les fonctions techniques du revêtement de sol : une stabilité accrue avec une lame nettement plus large et un système de clic pour une installation facile en pose flottante. La gamme Bamboo Elite affirme ainsi son originalité, tout en conjuguant durabilité et esthétisme contemporain.Extra large pour créer un aspect luxueuxLe format XXL donne non seulement l'impression que les espaces sont plus spacieux, mais il apporte aussi une touche d'élégance supplémentaire. Les lames MOSO® Bamboo Elite Premium se démarquent aussi par ses grandes dimensions ; elles présentent une largeur de 190 mm, soit 31 mm de plus que les lames Bamboo Elite originales, qui sont déjà plus larges que la plupart des lames bambou disponibles sur le marché. Ce nouveau format de lame est rendu possible par la stabilité améliorée des couches intermédiaires de bambou lamellé croisé. MOSO® comprime les lamelles de bambou selon un processus de fabrication optimisé.Des couleurs et finitions tendances Les quatre nouvelles versions sont disponibles dans deux styles différents : Vertical et Density®. L'aspect naturel du revêtement de sol en bambou durable est accentué par un verni extra mate avec une légère pigmentation blanche. Bamboo Elite Premium est disponible dans les versions suivantes :À l'instar de tous les revêtements de sol MOSO®, une attention particulière a été accordée aux aspects environnementaux lors du développement des quatre nouveaux produits ; ces derniers sont déjà conformes à la nouvelle réglementation sur les émissions qui entrera en vigueur en Allemagne en 2020. Aux versions vernies Caramel et Naturel White, s'ajoute une finition huilée pour le style vertical Caramel. La collection Bamboo Elite est désormais disponible dans toutes les structures et couleurs de bambou : vertical, horizontal et Density®, Caramel et Naturel.Un sol en bambou massif répondant aux plus hautes exigences Bamboo Elite Premium Density® est très stable grâce à la structure symétrique d'une couche supérieure et inférieure de bambou Density®. La dureté Brinell élevée, allant jusqu'à 9,5 kg/mm² (EN 1534), lui confère une résistance à l'usure impressionnante : il est plus robuste que tout autre parquet en bois. Ainsi, a longue durée de vie des sols Bamboo Elite Premium est garantie 30 ans. Ces propriétés techniques sont complétées par la classe de feu particulièrement élevée allant jusqu'à Bfl-s1 (versions Density®, selon la norme EN 13501-1), ce qui rend le parquet Bamboo Elite Premium Density® spécialement adapté aux applications résidentielles, mais aussi aux applications commerciales telles que les bureaux, les restaurants et les magasins de détail. Grâce au système de clic, la pose flottante du revêtement de sol permet de gagner du temps. Lors de la pose sur un sol chauffant ou dans le secteur commercial, MOSO® recommande de coller entièrement le revêtement de sol sur le support.Écologique - plus qu'une simple déclaration L'écologie fait partie intégrante des valeurs de la société MOSO®. Le bambou Moso est une graminée qui atteint les caractéristiques du bois dur après une période de croissance d'environ 5 ans. Il peut être récolté pour être transformé. Pendant cette période, le bambou Moso croît six fois jusqu'à la maturité de la récolte. La plante ne meurt pas après la récolte ; sa culture ne provoque donc pas de déforestation. Le rapport ACV (Analyse du Cycle de Vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que Bamboo Elite Premium, évalué sur l'ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à sa disponibilité optionnelle en tant que revêtement de sol certifié FSC®, le sol en bambou massif contribue à l'évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM.Prix public : 78 -98€/m² (sans TVA)
Il y a 5 ans et 24 jours

Pas de nouveau report pour la suppression du gazole non-routier

FISCALITÉ. Le deuxième projet de loi de finances rectificative tel qu'adopté par le Sénat le 22 avril 2020 prévoyait le report de la suppression progressive de l'avantage fiscal sur le gazole non-routier (GNR) pour le BTP. Mais en commission mixte paritaire, cette proposition n'a pas été maintenue.
Il y a 5 ans et 24 jours

Appel à candidatures – Palmarès des jeunes urbanistes édition 2020

8ème édition du Palmarès des jeunes urbanistes organisé tous les deux ans par le ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. Jusqu’au 18 mai 2020. Le Palmarès des jeunes urbanistes vise à valoriser les […] L’article Appel à candidatures – Palmarès des jeunes urbanistes édition 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 24 jours

Le droit de dérogation des préfets étendu à tout le territoire

RÉGLEMENTATION. Après une expérimentation qualifiée de réussite dans plusieurs régions, le gouvernement a étendu, par décret, la possibilité pour les préfets de déroger à certaines normes dans plusieurs domaines dont celui de la construction et de l'urbanisme.
Il y a 5 ans et 24 jours

Isolement, loyers : les HLM en première ligne dans la crise

LOGEMENT SOCIAL. Les bailleurs sociaux se sont mobilisés pour accompagner leurs locataires dans la crise : équipes dédiées au contact avec les personnes isolées, cellules sociales spécifiques pour les difficultés financières... Et jusqu'à l'annulation pure et simple des loyers pour le mois d'avril.
Il y a 5 ans et 24 jours

Covid-19 : Pierre et Vacances va demander un prêt garanti par l'État

Le numéro un européen des résidences de loisirs a fait état d'un chiffre d'affaires semestriel en baisse de 5,7% sur un an, à 696 millions d'euros. Son seul pôle touristique - cœur de l'activité du groupe - affiche une légère croissance de 0,7% sur la période, close fin mars."La croissance significative des performances opérationnelles du groupe pré Covid-19 a permis de compenser les effets court-terme de la crise", commente Pierre et Vacances dans son communiqué.Il fait état d'un manque à gagner de 31 millions d'euros pour ses activités touristiques "lié à la fermeture de la quasi-totalité" des sites lors de la deuxième quinzaine de mars.Ainsi, outre les domaines Center Parcs fermés depuis mi-mars, les résidences Pierre & Vacances ont vu leur saison d'hiver réduite des 4 dernières semaines, leur ouverture en balnéaire reportée en France et en Espagne. Quant à Adagio, une dizaine d'aparthotels est maintenue en exploitation pour des longs séjours et des personnels soignants."Dans ce contexte, le groupe met en œuvre des mesures exceptionnelles de réduction de ses coûts et de préservation de sa trésorerie", telles que le recours à l'activité partielle ou la suspension du paiement des loyers pendant les périodes de fermeture.Pierre et Vacances indique avoir "mobilisé l'ensemble de ses sources de financement afin de surmonter la période d'absence de revenus touristiques", mais annonce qu'en complément, "par précaution liée à l'incertitude des dates de réouverture de ses sites, il instruit un dossier de Prêt garanti par l'État", dont le montant n'est pas précisé.Il indique également travailler sur "la finalisation d'un offensif plan de relance qui sera engagé dès que seront délivrées les autorisations de réouverture".Dans la suite du déconfinement, le groupe estime que "la demande de séjours touristiques familiaux devrait être intense et concentrée sur les marchés domestiques".Le groupe indique poursuivre parallèlement la mise en œuvre de son plan stratégique lancé en janvier, se disant "confiant dans sa stratégie de rentabilité pérenne".Avec ce plan baptisé "Change Up", Pierre et Vacances, déficitaire depuis 2011, vise un retour à la rentabilité dès 2021, via un plan d'économies de 50 millions d'euros.
Il y a 5 ans et 24 jours

La filière bois fait 17 propositions à l’Etat pour la relance de l’activité

Dans une note à l’attention des décideurs, la filière bois sous l’égide de son comité stratégique (CSF Bois) analyse les conditions de reprise d’activité des entreprises. Elle dresse un ensemble de 17 propositions transmises le 17 avril 2020 au ministère de l’Economie et des Finances et au Conseil National de l’Industrie.
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : le cap des dix millions de salariés au chômage partiel dépassé

"Ce matin, en France, il y a 10,2 millions de salariés dont le salaire est payé par l'État, par le ministère du Travail, car ils sont en chômage partiel", a déclaré Mme Pénicaud sur BFM Business.Ce dispositif, qui permet au salarié d'être indemnisé à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net, concerne désormais 820.000 entreprises, soit plus de 6 sur 10."C'est considérable, on n'a jamais fait ça dans notre pays", a-t-elle poursuivi, ajoutant que ces chiffres continuaient à augmenter "jour après jour".La crise du coronavirus a mis un coup d'arrêt à de nombreux secteurs professionnels, notamment l'hôtellerie-restauration, où 9 salariés sur 10 sont au chômage partiel, et le BTP, où 93% des salariés sont également au chômage partiel, a-t-elle détaillé."On voit l'ampleur de la tâche pour le retour au travail dans le déconfinement (...) Plus la crise dure, plus les lendemains seront difficiles", a ajouté Mme Pénicaud, disant vouloir "travailler avec toutes les professions, les syndicats, pour que le travail puisse reprendre progressivement, en respectant pleinement les conditions de sécurité".Pour Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT interviewé dans Le Figaro, "le dispositif de chômage partiel ne devra pas être arrêté du jour au lendemain et la politique de soutien à l'emploi devra être maintenue bien après le début du déconfinement"."Le risque est en effet grand que les entreprises les plus en difficulté, notamment dans le secteur des bars, hôtels et restaurants aujourd'hui totalement à l'arrêt, suppriment des emplois", dit-il.Plus généralement, le plan d'urgence mis en place par le gouvernement "est globalement efficace". "Cette crise marque, en tout cas, le retour en force et la nécessité de l'État protecteur qui sait être présent quand il faut amortir les chocs".Mais le leader syndical note toutefois des problèmes: "Certaines entreprises, dans les transports ou l'alimentaire, ne respectent toujours pas les règles sanitaires et mettent en danger leurs salariés. La situation des soignants, qui luttent au quotidien contre le virus, est toujours préoccupante. Certaines entreprises, comme le cabinet de conseil Sopra Steria, l'opérateur SFR ou certains établissements privés d'enseignement sous contrat, abusent également du chômage partiel alors que la situation ne le justifie pas, en faisant télétravailler leurs salariés".
Il y a 5 ans et 25 jours

Permis de construire: le gouvernement rectifie le tir sur la suspension des délais

Le gouvernement a rectifié une ordonnance précédente qui inquiétait le monde du logement concernant la suspension des délais en matière d'urbanisme et notamment pour les permis de construire.
Il y a 5 ans et 25 jours

CEE : un appel à reporter le passage des bureaux de contrôle sur les chantiers

COUP DE POUCE. Dans une lettre ouverte à la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne que Batiactu a obtenu en exclusivité, le délégataire en Certificats d'économie d'énergie Géo-PLC demande notamment un report des passages des bureaux de contrôle sur les chantiers de l'offre "Coup de pouce" postérieurs au confinement sanitaire.
Il y a 5 ans et 25 jours

Capeb : Chute historique de l’activité

Patrick Liébus est le président de la Capeb. [©Capeb] Dans un contexte sanitaire et économique sévère, la Capeb a dévoilé les tendances de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment pour le 1er trimestre 2020. Sans surprise, les entreprises se retrouvent dans une situation extraordinaire. La croissance de l’activité s’est effondrée. Un recul de – 12 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. Pour faire face à cette situation exceptionnelle, 66 % des entreprises artisanales du bâtiment ont fait des demandes de chômage partiel. Et 15 % l’envisagent toujours. Mais 5 % d’entre elles ont vu leurs demandes refusées par l’administration. Notamment du fait que leur activité n’était pas considérée comme “officiellement interdite”. « L’artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19, explique Patrick Liébus, président du syndicat. Alors que 80 % des entreprises du secteur sont à l’arrêt, la filière de la construction est touchée de plein fouet. Une chute brutale de la croissance est enregistrée pour l’ensemble des corps de métiers. Ceci, avec un recul de l’activité compris entre – 9 % et – 16 % au 1er trimestre 2020. Les mesures engagées par l’Etat pour soutenir la trésorerie des TPE sont vitales. Et devront se poursuivre dans les prochains mois. » 80 % des entreprises ont stoppé leur activité selon la Capeb Depuis le 17 mars, 80 % des entreprises sont à l’arrêt. Quelque 17 % ont maintenu une activité réduite, n’exposant pas les salariés aux risques sanitaires. Et 3 % poursuivent une activité quasi-normale pour les interventions d’urgence. Pour les entreprises du bâtiment, la principale raison de cet arrêt des chantiers s’explique par le refus des clients particuliers (71 %). Et des clients professionnels, publics ou privés (45 %) de continuer les travaux. Pour 46 % des chefs d’entreprise, la baisse d’activité s’explique aussi par la volonté de protéger leurs salariés. Enfin, les difficultés d’approvisionnement en produits et matériaux de construction sont aussi mis en avant par 39 % des chefs d’entreprise. Un chiffre corroboré par ceux ayant poursuivi leur activité. Et qui déclarent, pour 84 % d’entre eux, éprouver des difficultés à obtenir les matériaux de construction nécessaires. « Aujourd’hui, la priorité des chefs d’entreprise est de garantir la santé de leurs collaborateurs. Tout en permettant un redémarrage de l’activité de manière sécurisée. A cet égard, nous demandons au gouvernement de prendre des mesures pour accompagner et inciter les entreprises à reprendre leur activité. La Capeb juge essentiel que les entreprises puissent bénéficier d’aides spécifiques pour couvrir,  des surcoûts découlant de la mise en œuvre de règles sanitaire. Alors qu’il est bien souvent impossible de répercuter ces surcoûts aux clients, notamment lorsqu’il s’agit de particuliers. » Ces aides spécifiques pourraient inclure le transport des salariés, la réorganisation des chantiers, la gestion de la co-activité, le réaménagement des bases de vie, des vestiaires… Et bien sûr, la fourniture des équipements de protection nécessaires. Recul de – 14 % d’activité dans le neuf Dans le détail, l’activité est en net recul de – 12 %. Et concerne l’ensemble des entreprises artisanales, quelle que soit leur taille. Les entreprises employant 10 à 20 salariés ont subi une perte de croissance de – 13 %. Et celles de moins de 10 salariés sont concernées par une baisse de – 12 %. Avec – 14 % de baisse par rapport au 1er trimestre 2019, la construction neuve est la plus touchée. Une situation provoquée en partie par l’arrêt soudain des chantiers. Après un essoufflement régulier de l’activité chaque trimestre depuis 2016. Ainsi, les permis de construire affichent un recul de 1,6 % au cours des 12 derniers mois . Soit 451 500 autorisations au total. De son côté, le nombre de logements commencés, cumulés sur douze mois, a reculé de 1,2 % . Soit 409 200 logements commencés. Le solde d’opinions concernant la trésorerie s’établit à – 29 points (contre – 11,5 points pour la moyenne de long terme). La trésorerie est en nette détérioration pour 34 % des entreprises, contre 14 % au 1er trimestre 2019 (soit 20 points d’écart). Seulement 5 % des entreprises parlent d’une amélioration. Enfin, le montant moyen des besoins de trésorerie de ces sociétés atteint 24 000 €, contre 20 000 €, un an auparavant.
Il y a 5 ans et 25 jours

Rénovations thermiques : les fédérations veulent un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité, plusieurs fédérations du bâtiment et de l'énergie, ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergie. L'objectif : soutenir "dès maintenant" les TPE et PME du secteur.
Il y a 5 ans et 25 jours

La région Auvergne-Rhône-Alpes déploie un plan de relance pour le BTP

Distribution de masques, participation aux surcoûts générés par la crise sanitaire dans le redémarrage des chantiers et subventions de 150 millions d’euros pour refinancer la commande publique sont les trois piliers du plan de la région Auvergne-Rhône-Alpes en direction des entreprises de BTP.
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : les artisans du bâtiment très fortement impactés par la crise sanitaire

"L'artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19", a résumé dans un communiqué Patrick Liébus, président de la la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Au premier trimestre, selon les chiffres extrapolés par la fédération après sondage auprès de ses adhérents, l'activité du secteur, qui va de la construction de maison à la rénovation énergétique, a chuté de 12% par rapport à un an plus tôt, un effondrement jamais vu.Cette chute ne donne même pas la pleine mesure des effets de la crise du coronavirus car ce n'est qu'à la mi-mars qu'un strict confinement a été mis en place pour lutter contre la propagation de la maladie, contraignant de nombreux secteurs économiques à un ralentissement voire un arrêt total.A ce titre, quatre cinquièmes des entreprises de l'artisanat du bâtiment sont à l'arrêt, selon la Capeb. Les autres sont, pour l'essentiel, en activité réduite.Les adhérents ont dû s'arrêter pour de multiples raisons, dont l'impossibilité à s'approvisionner, mais la principale - dans plus de deux tiers des cas - reste le refus d'un client particulier de reprendre un chantier.Après une période de tensions avec le gouvernement, le secteur du bâtiment a pourtant mis en place des règles sanitaires, destinées à permettre la reprise des chantiers, mais celle-ci peine à se faire.Pour mettre en place ces mesures, les artisans du bâtiment ont besoin d'une aide financière du gouvernement, selon la Capeb, qui estime impossible de répercuter sur leurs clients particuliers les coûts supplémentaires.Qui plus est, en matière de régulation, "il faut des fois faire tomber certaines barrières", a jugé mercredi Christian Vabret, président par intérim de la Chambre de métiers et de l'artisanat (CMA), sur la chaîne BFM Business. Des "organismes de contrôle sont en train de bloquer les chantiers", a-t-il regretté.
Il y a 5 ans et 25 jours

Appel à la création d'un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergies

"L'ampleur de la crise actuelle appelle à mettre en place en urgence un dispositif de soutien massif auprès des TPE et PME de cette filière, qui sont un maillon essentiel du dispositif des certificats d'économies d'énergie (CEE) et plus largement de la rénovation énergétique du pays", soulignent les signataires dans une lettre au Premier ministre Edouard Philippe.Ce fonds, géré par les pouvoirs publics, serait alimenté financièrement en échange de CEE par les fournisseurs d'énergie qui souhaiteraient s'engager dans cette démarche solidaire, expliquent-ils.Pour eux, il s'agit d'"assurer la survie d'entreprises en difficulté et de relancer au plus vite la dynamique de travaux de rénovation énergétique"."En ciblant l'utilisation de ce fonds vers les TPE/PME présentant des garanties suffisantes quant au respect des règles, il appuierait la réforme en cours du dispositif des CEE notamment pour lutter contre la fraude", notent-ils.En outre, "grâce à la délivrance de CEE, la tension potentielle sur leur prix, inéluctable avec l'arrêt de la production pendant la crise, s'atténuerait", "évitant une flambée de la facture des clients", arguent-ils.Outre l'UFE, les principales fédérations de l'énergie (Afieg, Ufip, FFPI, Fedene...) et du bâtiment (FFB, CAPEB) portent cette initiative.Introduit en 2006, ce dispositif de certificats dits "CEE" oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions d'économies d'énergie (rénovation thermique des bâtiments, changement de chaudières, isolation, etc.), sous peine de pénalités.
Il y a 5 ans et 25 jours

Wizzcad offre une application pour la reprise des chantiers

Wizzcad lance “Reprise Chantier” [©DR] La reprise de l’activité du BTP s’inscrit dans un contexte de crise liée à la pandémie de Covid-19. Pour l’accompagner, la start-up Wizzcad met une application à disposition de tous les professionnels du secteur. Et ce, gratuitement. « Déjà jusqu’au 30 septembre prochain. Et nous réfléchissons pour une durée encore plus large », explique Marc Germain, associé et co-fondateur de Wizzcad. Plate-forme collaborative Open BIM native pour la transformation numérique des projets de construction, de la conception à la maintenance, Wizzcad lance “Reprise Chantier”. Une application disponible sur tous les smartphones. Et qui permet de digitaliser les formulaires de reprise de chantier validés par le gouvernement (référentiel édité par l’OPBTP). Cette application garantit en temps réel la sécurité de tous les intervenants sur site. Tout en gagnant un temps précieux pour lancer la reprise des chantiers.  « Nous sommes touchés par les problématiques de sécurité liées au Covid-19, comme tout un chacun. Nous voulions par cette application mettre à disposition de tous la documentation et les questionnaires. En fait, faire utiliser un outil facile d’usage par toutes les entreprises du BTP.  Que chacun se sente en sécurité de revenir sur les chantiers. » De manière concrète, les intervenants peuvent remplir les formulaires de sécurité directement depuis leur smartphone. Ces formulaires sont ensuite disponibles pour les coordinateurs sécurité et santé, qui peuvent autoriser l’ouverture du chantier à distance. Ceci, si toutes les prescriptions de sécurité liées à la crise sanitaire sont respectées. L’application est disponible gratuitement sur iOS et Android et via le site web de Wizzcad
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : Elisabeth Borne a réuni les acteurs du secteur pétrolier

L'approvisionnement en produits pétroliers répond à des besoins du quotidien pour de nombreux Français et est essentiel à la vie économique du pays et à son fonctionnement. La ministre et les acteurs ont pu constater que l'approvisionnement était aujourd'hui totalement assuré dans un contexte de ralentissement très fort de la consommation des carburants routiers et aériens (de 60 à 95% de baisse selon les produits). Les stocks commerciaux des opérateurs pétroliers dans les dépôts sont à un niveau particulièrement élevé. Certaines installations ont dû réduire leur fonctionnement, pour ne pas s'arrêter et être opérationnelles lors de la reprise économique.Dans ce contexte économique difficile, la ministre a remercié les entreprises et leurs salariés pour leur mobilisation qui a permis le maintien des services essentiels, dont les stations-services sur les autoroutes - nécessaires en particulier pour les transporteurs routiers de marchandises – de même que les livraisons de combustibles aux particuliers ou de gazole non routier aux entreprises du BTP et du secteur agricole.Le ministère de la Transition écologique et solidaire reste attentif au bon fonctionnement de l'ensemble de la logistique des produits pétrolier, en lien avec les acteurs du secteur, pour continuer à assurer l'approvisionnement en carburant sur l'ensemble du territoire.Par ailleurs, Elisabeth Borne a annoncé le lancement d'échanges avec les représentants des opérateurs pétroliers afin de définir les principes et bonnes pratiques permettant de renforcer la continuité de l'activité du secteur, tout en assurant le respect des consignes sanitaires. Ces travaux permettront également de préparer la reprise de certaines activités et le retour progressif à la normale dans un contexte de déconfinement.
Il y a 5 ans et 25 jours

Reprise de chantiers et attribution de marchés sur le Grand Paris Express

INFRASTRUCTURES. Après un mois d'arrêt, la Société du Grand Paris a annoncé une relance progressive des chantiers à partir du 20 avril, en commençant par la ligne 15 sud. Dans le même temps, les deux premiers marchés d'aménagements sur les lignes 16 et 17 ont aussi été attribués.
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : une appli contrôle le port des équipements de protection

Permettre le respect des procédures de prévention sur chaque siteCette extension permet de procéder à la vérification de la conformité du port des équipements de protection individuelle par chaque intervenant sur un chantier ou site de production. Les clients donneurs d'ordre des plateformes Bativigie/Activigie peuvent ainsi s'assurer du bon respect des procédures de prévention définies pour leurs sites en matière de port des EPI. Une procédure simple, qui vient prolonger de manière concrète les préconisations de l'OPPBTP (l'organisme professionnel de prévention du BTP), visant à lutter contre la propagation du virus Covid 19, notamment par l'utilisation d'un masque de protection.« Très concrètement, lors d'un contrôle, l'opérateur en charge de celui-ci va systématiquement procéder à une vérification visuelle de la présence des équipements de protection attendus. Si un défaut est constaté sur un intervenant, celui-ci ne pourra pas accéder au chantier ou site de production. Une déclaration d'incident est activée par notre plateforme, avec une notification simultanée au donneur d'ordre et à l'entreprise employeur. Cette dernière devra alors s'assurer que son salarié dispose des équipements nécessaires et en adopte le bon port », détaille Frédéric Pradal, créateur et dirigeant des plateformes Bativigie/Activigie.Nouvelle version de l'application : à télécharger sans surcoûtLa nouvelle application est d'ores et déjà disponible, en téléchargement via Apple Store ou Play Store. Cette nouvelle version est entièrement gratuite, sans surcoût de service, pour les clients et utilisateurs des plateformes Bativigie/Activigie. Depuis 2015, Bativigie et Activigie fournissent aux donneurs d'ordre de la construction et de l'industrie des services de vigilance sous-traitance uniques en France. La plateforme logicielle sécurise les chantiers et sites industriels des risques liés au travail illégal, en permettant un contrôle des personnels via une application dédiée. Celle-ci, embarquée sur un simple smartphone, assure la vérification de la conformité des opérateurs présents sur un site au regard d'une douzaine de points de contrôle (carte d'identité, attestation Urssaf, déclaration de détachement…). Le système gère en amont l'ensemble des données et documents relatifs aux intervenants et garantit une traçabilité intégrale de la vigilance mise en œuvre, avec un reporting en temps réel sur les incidents. En cinq années, plus de 6000 chantiers ont ainsi été réalisés sous contrôle Bativigie.
Il y a 5 ans et 25 jours

DÉNY SECURITY présente KBOX, l’armoire électronique qui simplifie la gestion des clés

Leader français de l’organigramme et du contrôle d’accès, DÉNY SECURITY connaît parfaitement tous les enjeux de sécurité auxquels sont confrontés les responsables de site. Parmi eux figurent l’attribution, le stockage et la traçabilité des trousseaux. Pour faciliter et sécuriser cette gestion des clés, en particulier dans les petites et moyennes structures, DÉNY SECURITY propose KBOX, une nouvelle gamme d’armoires électroniques de gestion des clés.   Une gamme évolutive à l’identification facile et rapide D’une capacité modulaire de 10 à 120 clés en fonction des besoins, la nouvelle gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY constitue une solution idéale pour la gestion et la traçabilité en toute tranquillité des trousseaux, dans les bâtiments tertiaires, les collectivités locales, les hôpitaux ou les sites industriels, de petite et moyenne taille.   Dotée d’une porte robuste en acier, cette armoire électronique permet de ranger les clés et de gérer leur accès. Evolutive par module de 10 clés, elle convient également à la gestion de smartphones, GPS ou encore de flotte automobile grâce à un boîtier de rangement métallique adaptable dans la KBOX.   Sécurisée, l’ouverture de l’armoire s’effectue simplement via un système d’identification multiple (par code, badge ou mixte code et badge) qui laisse ou non l’utilisateur accéder à la clé autorisée. Un voyant lumineux lui indique visuellement la ou les clés qu’il est habilité à sélectionner.   Pour protéger un passe et le ranger dans l’armoire KBOX, il suffit au gestionnaire de l’équiper d’un porte-clés inviolable. Son design conique et son emplacement dans l’armoire en forme d’entonnoir garantissent non seulement une fixation rapide mais évitent aussi les erreurs lors de la restitution. Entièrement conçu en métal, le porte-clés bénéficie d’une grande robustesse.   Toutes les informations de prêts sont enregistrées dans l’armoire électronique et accessibles par l’administrateur en temps réel grâce au logiciel interne qui centralise toutes les données.   Un système de gestion sécurisé Très simple d’utilisation, le logiciel de gestion intégré à l’armoire KBOX de DÉNY SECURITY garantit une traçabilité de mouvement des clés extrêmement pointue. Facile à prendre en main, il permet à l’administrateur du parc : • d’ajouter à tout moment une nouvelle clé ou un nouvel utilisateur, • de programmer des plages journalières et horaires pendant lesquelles sont autorisés les emprunts de certaines clés, • d’extraire toutes les informations utiles au suivi et à la gestion du parc sur un fichier Excel.   En cas de non restitution à l’heure définie, une alarme informe immédiatement le gestionnaire des clés sur l’écran de l’armoire et sur son ordinateur connecté au réseau.   Avec, selon les établissements, un nombre parfois considérable de clés à gérer et de prêts quotidiens, la gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY apporte une réponse fiable et simple aux procédures de gestion des trousseaux. http://www.deny-security.com
Il y a 5 ans et 25 jours

Grand Paris Express: deux nouveaux marchés attribués à Bouygues Construction et Besix

La Société du Grand Paris a notifié deux marchés de travaux de bâtiment tous corps d’état pour un montant total de 281 millions d’euros. Le premier concerne le centre d’exploitation des lignes 16 et 17, situé à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ; le second, la gare emblématique Saint-Denis-Pleyel, conçue par Kengo Kuma.
Il y a 5 ans et 25 jours

Le conseil scientifique chargé de la restauration de Notre-Dame de Paris est en place

La loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a institué, au sein de l’établissement public dédié, un conseil scientifique, consulté sur les études et opérations de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. De cette instance doit naître une dynamique de réflexion sur et pour le monument. Sur proposition du général Jean-Louis Georgelin, président de l’établissement public, les membres du conseil scientifique ont été nommés le 27 mars par Franck Riester, ministre de la Culture, en raison de leur expertise dans les domaines des monuments historiques, de l’archéologie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’ingénierie, des sciences et techniques et des matériaux. Placé sous la présidence du général Jean-Louis Georgelin, le conseil scientifique est nommé pour une durée de cinq ans renouvelable : M. d’Alessandro (Christophe), organiste et directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Berné (Damien), conservateur en chef du patrimoine, en charge de la sculpture au musée de Cluny ;Mme Caponi (Gisella), directrice honoraire de l’institut supérieur pour la conservation et la restauration de Rome ;M. Dillmann (Philippe), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, coordinateur des travaux de recherche menés par le Centre national de la recherche scientifique au profit de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Dion (Anne), conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d’art au musée du Louvre ;M. Drouin (Gilles), ecclésiastique, directeur de l’institut de théologie à l’institut catholique de Paris, chargé par l’archevêque de Paris d’animer la réflexion relative au réaménagement liturgique de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Gouzi (Christine), professeure d’histoire de l’art à Sorbonne Université, spécialiste de la peinture religieuse ;M. Léniaud (Jean-Michel), directeur d’études à l’école pratique des hautes études, directeur honoraire de l’école des chartes, président de la société des amis de Notre-Dame de Paris ;M. Loyer (François), directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, directeur honoraire de la commission du Vieux Paris, spécialiste de l’architecture et de l’urbanisme du XIXe siècle ;M. Lucan (Jacques), architecte, historien, professeur d’architecture à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée et à l’école polytechnique fédérale de Lausanne ;M. Mouton (Benjamin), ancien architecte en chef des monuments historiques, ancien vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) ;Mme de Ponthaud (Marie-Suzanne), architecte en chef des monuments historiques, en charge des cathédrales de Chartres et de Reims ;M. Sandron (Dany), professeur d’histoire de l’art à Sorbonne Université, directeur au centre André Chastel ;Mme Sire (Marie-Anne), inspectrice générale des monuments historiques. Photo : Anna Ader
Il y a 5 ans et 25 jours

Covid-19 : focus sur l'exposition des riverains à la pollution automobile

Des mesures locales en complément des modélisations nationalesEn complément entre autres des publications de l'Ineris sur l'évolution de la qualité de l'air en France, d'images satellites d'agences spatiales, des communiqués d'Atmo France et localement des différentes AASQA sur l'impact du confinement sur la qualité de l'air, Atmo France a réalisé un focus synthétique sur l'évolution des oxydes d'azote (NOx) à proximité des axes routiers à fort trafic grâce aux données historiques des stations de mesure des associations agréées en charge de la surveillances et de l'information sur la qualité de l'air en France. Les NOx proviennent en grande partie du transport routier ; or la baisse drastique de ce dernier est l'un des éléments le plus marquant du confinement pour l'ensemble du territoire métropolitain et outre-mer. Pour les personnes dont le lieu de vie est proche de grands axes routiers, leur exposition aux NOx est particulièrement importante.Grace à la surveillance et aux données de terrain des AASQA, il est possible de voir, sur tout le territoire, l'historique de la pollution de l'air à différents polluants, notamment aux NOx, ainsi que l'évolution de cette pollution.Pourquoi choisir les oxydes d'azote (NOx) comme indicateur ?Les NOx regroupent le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) exprimés en µg/m3 équivalent NO2. La source principale d'émission de NOx en ville est le trafic routier pour plus de 2/3. Indicateurs de pollution du trafic routier, ces polluants sont règlementés par la législation européenne. Leur surveillance sur le territoire est obligatoire et le NO2 est une espèce particulière suivie en raison de sa toxicité. La France est, d'ailleurs, en contentieux avec la Commission européenne pour non-respect des directives concernant les concentrations de ce polluant dans l'air ambiant de nombreuses agglomérations. L'équilibre en NO et NO2 étant très sensible à la température, l'indicateur NOx est plus stable que le simple NO2 en période de variation importante de température.Les NOx sont également précurseurs d'autres polluants : dans certaines conditions climatiques et d'ensoleillement, ils réagissent avec certains polluants selon des processus physico-chimiques complexes intervenant dans l'atmosphère. Ils réagissent en particulier avec les composés organiques volatils (COV) pour conduire à la formation d'ozone troposphérique ou avec l'ammoniac (NH3) pour former des particules secondaires (dont les niveaux sont d'ailleurs restés soutenus certains jours pour une bonne partie de la France, malgré les mesures de confinement).Diminution importante des expositions aux oxydes d'azote (NOx) en bordure des axes de traficAtmo France avec l'appui des AASQA a analysé l'évolution des concentrations moyennes journalières en NOx du 1er au 31 mars 2020 sur des stations représentatives de l'exposition à la pollution dû au trafic dans les principales agglomérations françaises. Les émissions de NOx étant globalement en lien avec le trafic routier, les données de la station de référence à l'exposition du trafic ont été utilisées et ce, pour toutes les préfectures de région ainsi que pour les agglomérations de plus de 500 000 habitants.La baisse du trafic routier lié au confinement a eu pour impact une baisse globale des concentrations de NOx sur tout le territoire français métropolitain et outre-mer. Sur le mois de mars 2020, la mise en place du confinement a mené à une baisse des concentrations moyennes journalières en NOx proches des axes routiers de 50% à Bordeaux ; 70% à Toulouse ; 67% à Fort-de-France ; 69% à Dijon ; 62% à Rennes et 69% à Marseille par exemple (voir infographie ci-dessus).L'évolution des niveaux de NOx a également été analysée pour plusieurs agglomérations de plus de 500 000 habitants. L'impact de la baisse du trafic routier y est également visible sur les concentrations de NOx. Par exemple l'agglomération de Paris a observé une baisse de 73%, l'agglomération de Grenoble de 72%, l'agglomération de Toulon de 49% et l'agglomération de Nice de 69%.MéthodologieAfin de montrer l'impact du confinement sur la pollution en NOx, Atmo France a réalisé sur quelques stations trafic représentatives dans chaque agglomération un ratio entre la moyenne des concentrations journalières en NOx du mois de mars avant la mise en place du confinement (1er au 17 mars 2020) et au début du confinement (18 au 31 mars 2020). Exprimé en pourcentage, ce ratio indique l'évolution des niveaux de NOx mesurés sur les grands axes routiers en mars 2020 avant et pendant le confinement.Les concentrations journalières en NOx du mois de mars 2019 sont également renseignées sur les graphiques en partie III afin d'illustrer l'état des concentrations en NOx en 2019 à la même période*. La comparaison entre les mois de mars 2019 et de mars 2020 illustre aussi cette baisse des concentrations, tout en gardant à l'esprit que les variations observées résultent d'une part de l'impact du confinement sur la circulation mais aussi de conditions météorologiques qui ont pu localement être très différentes entre 2019 et 2020.* A la suite d'incidents techniques, dans certaines régions, quelques données journalières sont indisponibles. A noter que la réglementation oblige les AASQA à disposer d'au moins 90% de données sur l'année.
Il y a 5 ans et 25 jours

Nouvelle gouvernance chez Egis

Laurent Germain, directeur général, et Pierre-Marie Chavannes, président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. [©Egis/PatriceMaurein] Nicolas Jachiet, Pdg d’Egis, a décidé de faire valoir ses droits à la retraite et quittera le groupe le 31 octobre prochain. Actionnaire majoritaire d’Egis, la Caisse des dépôts et consignations a proposé la nomination de Laurent Germain, au poste de directeur général. Celle-ci sera confirmée lors du prochain conseil d’administration, le 2 juillet prochain. « Au cœur des défis majeurs du XXIesiècle comme le changement climatique, les nouvelles mobilités, la révolution numérique. Fort de collaborateurs à l’expertise très reconnue et à l’engagement exemplaire, de son positionnement international équilibré, Egis est idéalement positionné pour atteindre une position de leader mondial dans les transports et la mobilité du futur et dans la construction de la ville durable », indique Laurent Germain. La Caisse des dépôts et consignations présentera aussi la nomination de Paul-Marie Chavanne, comme président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. « Je suis très honoré d’avoir été proposé à la présidence du conseil d’administration d’Egis. Aujourd’hui, notre priorité reste centrée sur la gestion de la crise sanitaire. Et dans les prochaines semaines, tout sera mis en œuvre pour un passage de témoin réussi entre Nicolas Jachiet et le futur directeur général, Laurent Germain », explique Paul-Marie Chavanne. Le parcours de Laurent Germain et Paul-Marie Chavanne  Laurent Germain est aujourd’hui directeur général de Segula Technologies, groupe d’ingénierie français et de conseil en technologies. Il est diplômé de l’Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales). Mais aussi de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris. Il est ancien élève de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Après avoir exercé différentes fonctions au sein du ministère de l’Economie et des Finances, il devient, en 2004, conseiller de François d’Aubert, ministre délégué à la Recherche, en charge des affaires budgétaires. Un an après, il est nommé directeur financier du Centre national d’études spatiales (CNES). En 2014, il rejoint Segula Technologies. Ingénieur de l’Ecole centrale de Paris, ancien élève de l’Ecole nationale d’administration, Paul-Marie Chavannes est inspecteur des Finances. Il a débuté sa carrière au ministère de l’Economie et des Finances. Ensuite, il a occupé des fonctions de direction générale dans plusieurs groupes industriels. En 2001, il devient Pdg de Geopost, la filiale de colis express de La Poste.
Il y a 5 ans et 25 jours

Retour en images sur la pratique muséale de Lina Bo Bardi

Penser la transition écologique et agir, l'intégrer dans ses pratiques et participer concrètement à la dynamique de changement, telle était la proposition faites aux architectes et acteurs du cadre de vie pour 2020 et au-delà, par le Conseil régional de l'Ordre des architectes de Nouvelle-Aquitaine et les acteurs du 308+. La contrainte de […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 26 jours

Covid-19 : La récession et le déficit seront peut-être plus "impressionnants" que prévu, selon Darmanin

"Il y aura peut-être un troisième budget rectificatif avec des chiffres sans doute encore plus impressionnants", a affirmé le ministre sur France Inter.Le gouvernement a présenté la semaine dernière un nouveau projet de budget rectifié pour 2020, le deuxième en moins d'un mois. Voté dans la nuit de vendredi à samedi à l'Assemblée nationale, il est examiné mardi au Sénat.Il intègre une prévision de contraction du produit intérieur brut (PIB) de -8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%. Alors que le précédent plan d'action prévoyait de mobiliser 45 milliards d'euros (dont des reports de charges et d'impôts) pour soutenir l'économie, la nouvelle mouture doit relever ces aides à 110 milliards d'euros."La stratégie du gouvernement est de s'adapter aux demandes économiques" des Français et des entreprises, a assuré Gérald Darmanin, ajoutant que le gouvernement "a préféré l'endettement à la faillite"."Nous sommes dans le montant de déficit et de dette jamais atteint depuis la seconde guerre mondiale", a-t-il insisté."Il n'y a pas de plafond (...) Aujourd'hui la France continue de pouvoir emprunter dans des conditions satisfaisantes (...) avec des taux bas", a-t-il encore ajouté.M. Darmanin a d'ores et déjà annoncé que les reports de charges pour les entreprises seraient prolongés pour les échéances du mois de mai.
Il y a 5 ans et 26 jours

Prix “IMBP” de l’Idrrim : A vos dossiers !

L’édition 2020 du prix “IMBP” organisé par l’Idrrim, est lancée [©Idrrim] Organisée par l’Institut des routes, des rues et des infrastructures pour la mobilité (Idrrim), l’édition 2020 du prix “Infrastructures pour la mobilité, biodiversité & paysage” (IMBP) est lancée. Elle récompensera les meilleurs projets réalisés par les acteurs impliqués dans la conception, la construction, la gestion. Ainsi que l’entretien, l’aménagement, la requalification. Et enfin, l’exploitation des infrastructures de mobilité.  Les dossiers sont à renvoyer avant le 31 juillet prochain. Le concours couvre sept thématiques :– Continuités écologiques ;– Génie écologique ;– Paysage urbain et rural ;– Sensibilisation et communication ;– Initiatives astucieuses en cours de réalisation ;– Initiatives à l’international ;– Projets prometteurs. L’appel à projets s’adresse à toute structure ou organisme public ou privé, quelle que soit sa taille : collectivités, services et établissements publics de l’Etat, bureaux d’études, entreprises, associations… De plus, les infrastructures concernées peuvent être aussi bien des routes que des voies vertes, des espaces publics urbains. Plus d’information ici.
Il y a 5 ans et 26 jours

Humbert & Poyet : Appartement rue des Archives

Les architectes Emil Humbert et Christophe Poyet mêlent matériaux nobles, œuvres d’art contemporaines, meubles d’esprit Art Déco ou Memphis et références au classicisme dans un duplex historique de la rue des Archives. En plein Marais, le duo Humbert & Poyet imagine une habitation raffinée, où le classicisme côtoie la modernité, pour une famille. Les décorateurs Emil Humbert et Christophe Poyet ont en effet répondu par un appartement élégant et subtil aux commanditaires, qui désiraient un logement convivial et fonctionnel adapté au quotidien de leur famille. Inspirés par l’histoire du bâtiment de la rue des Archives, les architectes ont pris le parti de modifier l’organisation spatiale de ce duplex de 250 mètres carrés en revenant à une distribution classique des pièces. Le premier niveau est désormais réservé aux salles de séjour – le salon, la salle à manger, la cuisine et la bibliothèque –, quand le second accueille la chambre parentale et son dressing, la chambre d’enfant et la salle de bain. Des moulures discrètes et une imposante cheminée ont été ajoutées. Ces clins d’œil au classicisme, qui ponctuent l’appartement, sont aussi habilement mariés à des éléments modernes et contemporains : « Nous sommes particulièrement inspirés par les mouvements modernistes, art déco et Memphis, alliés au classicisme, on retrouve ces périodes à travers les choix des meubles, des couleurs et des finitions dans notre travail et la conception de cet appartement. Tout cela se combine pour former des espaces uniques qui sont des déclarations en soi, forts et raffinés. » L’entrée donne le ton. On y découvre du terrazzo en all-over – au sol, sur les murs et les marches de l’escalier –, ainsi que des œuvres d’art et des pièces de mobilier de créateurs célèbres, notamment une peinture de Keith Haring, des chaises de Le Corbusier, une console de Jean Prouvé, des céramiques des artistes Georges Jouve et Olivier Gagnère. À l’instar du hall, toutes les pièces de l’appartement sont audacieusement décorées, avec des beaux matériaux – bois, marbre, laiton, terrazzo –, des pièces de mobilier et des objets d’art iconiques, des meubles de Humbert & Poyet. Dans le salon, par exemple, le canapé de velours bleu Grand Théodore, le lampadaire en albâtre brillant Ava et la table-basse Gabrielle signés Humbert & Poyet côtoient les appliques et les lampes dessinées par le designer italien Gino Sarfatti, les tabourets Tulip crés par l’architecte finno-américain Eero Saarinen, une photographie prise par le sulfureux photographe américain Robert Mapplethorpe et une peinture imaginée par le plasticien français Bertrand Lavier. Après avoir fait ses preuves en rhabillant quantité d’adresses commerciales – les restaurants Beefbar à Paris, Mexico, Monaco, Hong-Kong et Malte, l’hôtel The Hoxton et la boutique Maison Weill à Paris – Humbert & Poyet confirme sa très bonne réputation avec de nombreux projets résidentiels. Affaire à suivre… Pour en savoir plus, visitez le site de Humbert & Poyet.Photographies : © Francis AmiandLéa Pagnier