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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 323 jours

Événement : Petit Programme

Suite à la fin du confinement et à la réouverture des « petits musées », La Kunsthalle Mulhouse a réinventé sa programmation, et a choisi de promouvoir douze artistes familiers du centre d’art contemporain. Dans le contexte sanitaire actuel si particulier, La Kunsthalle Mulhouse se réjouit de présenter son Petit Programme, un cycle d’expositions qui offre une semaine de carte blanche à chaque artiste sélectionné. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec Sandrine Wymann, la directrice de La Kunsthalle Mulhouse, à propos de cet événement inédit. Muuuz : Votre projet Petit Programme est né pendant la période de confinement. Quelle est la genèse de ce projet ?Sandrine Wymann : C’est un projet improvisé car, comme tout le monde, nous avons vécu des chamboulements. À La Kunsthalle Mulhouse, nous avons été obligés de fermer début mars, plus tôt que les autres instituions. Nous venions d’inaugurer l’exposition Algotaylorism qui abordait la question du taylorisme algorithmique. La majorité des œuvres était des objets à manipuler. Il n’était donc pas envisageable de rouvrir le centre avec cet événement. Au regard des différentes incertitudes relatives à l’accueil des publics et aux gestes barrières, nous avons réfléchi à un accrochage permettant à la fois de rendre visibles des artistes proches de La Kunsthalle et de présenter des œuvres aux visiteurs dès la réouverture des musées. Avec le Petit Programme, nous avons décidé de confier l’espace à chacun des artistes invités. Un des enjeux de cet événement est de renforcer les liens et de dialoguer avec les artistes, qui ont été en résidence ou exposés à La Kunsthalle. Quelle est l'histoire du titre « Petit Programme » ?Le titre est un clin d’œil à l’expression « petits musées » employée par le Premier Ministre français Édouard Philippe le 28 avril dernier, et aux nombreuses questions que cela a suscité. La notion de programme est également importante car cet événement n’est pas une exposition au sens classique du terme. Pourquoi avez-vous choisi de rouvrir La Kunsthalle Mulhouse avec un tel événement ?Rouvrir le lieu au public, c'est pouvoir être à nouveau présent dans le paysage culturel. C’est aussi entamer un dialogue privilégié avec des artistes. Le Petit Programme a ainsi vocation à s’inscrire dans l’après-confinement, une période surtout occupée par des questionnements d’ordre politique et économique. Le Petit Programme présente douze artistes familiers du centre d'art. Comment les avez-vous sélectionnés ?Les artistes exposés sont des plasticiens qui ont été particulièrement productifs pendant le confinement, mais aussi des artistes de la Région Grand Est et des artistes étrangers, avec lesquels je voulais collaborer. Certains thèmes du confinement – le domestique, la famille, la nature – ont été explorés par ces artistes. Le Petit Programme donne ainsi à voir plusieurs facettes de cette période. Chaque artiste est exposé pendant une semaine. Pourquoi avez-vous choisi d'organiser plusieurs expositions personnelles consécutives plutôt qu'une exposition collective ?Une exposition se concentre sur une thématique. En l’occurrence, dans le cadre du Petit Programme, il n’y a pas de thématique principale. L’idée est surtout de montrer que les artistes ont une grande créativité. Durant le confinement, vous avez réfléchi sur les conditions de perceptions des œuvres ainsi que sur l'importance de l'expérience esthétique vécue par les visiteurs lors d'une exposition. Comment envisagez-vous l’après ? Souhaitez-vous proposer de nouvelles perspectives dans la façon d'exposer des artistes ?Je ne cherche pas à remettre en question les modes d’exposition. Toutefois, je souhaite réfléchir à la création de nouveaux formats pour les visiteurs. J’aimerais aller vers un changement de rythme tout en repensant la relation au public et aux œuvres, tant en termes de contenu que de format. Par exemple, Le Petit Programme est visible réellement dans l’espace d’exposition, et virtuellement sur le site internet et les réseaux sociaux.Après le Petit Programme, quel sera votre prochaine exposition ?Notre prochaine exposition intitulée Le Monument, le labeur et l’hippocampe se tiendra du 17 septembre au 15 novembre 2020, et interrogera l’histoire industrielle du XXème siècle. Nous réfléchissons actuellement aux futurs formats des visites et du vernissage. Pour en savoir plus, visitez le site et le compte Instagram de La Kunsthalle Mulhouse. Petit Programme, du 1er juin au 23 août 2020, à La Kunsthalle Mulhouse (68100).Ouverture du jeudi au dimanche, de 15h00 à 18h00. Visuels : 1) Chourouk Hriech, Effeuillages – Robe 2, 2018, capture d'écran de la vidéo, vidéo HD, couleur, son, 14’15, Courtesy de l’artiste et de la Galerie Anne-Sarah Bénichou2) Pusha Petrov, Néma para na palucenska muma, 2020, photographie couleur, 100 x 150 cm © Pusha Petrov3) Anna Byskov, La dérive de l’imbécile, mai 2020, capture d'écran de la vidéo © Anna Byskov Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 324 jours

3 start-up lauréates du projet Numériser l’existant

Bimeo, LevelS3D et WiseBIM sont les 3 start-up lauréates du challenge « Numériser l’existant », l’un des 9 projets du programme PROFEEL dédié à l’innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Elles bénéficieront d’un soutien financier et technique pour développer les nouvelles fonctionnalités de leurs applis et plateformes de numérisation 3D du bâti, compatibles avec le BIM. Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l’automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021. ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clics ARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d’Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n’importe quelle pièce. A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l’épaisseur des parois, l’ajout d’objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d’annoter la maquette avec des cotations. S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D complet LevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l’application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d’abonnement ou offres à l’acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d’un capteur de profondeur intégré (compatible sur l’Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu’en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : pré- positionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d’IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti. Plans2BIM de WiseBIM L’innovation unique qui transforme les plans 2D en 3D WiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n’importe quel plan architectural 2D, ainsi qu’éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d’intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 324 jours

Macron veut relancer la réforme des retraites, Castex souhaite la régler "à court terme"

Suspendue "sine die" par le chef de l'État mi-mars, la réforme des retraites reste un sujet hautement inflammable.Dans un entretien à la presse quotidienne régionale publié jeudi soir, M. Macron a affirmé qu'"il n'y (aurait) pas d'abandon" de son projet de système universel, qu'il juge toujours "juste", même s'il se dit "ouvert" à ce que sa réforme "soit transformée".Il souhaite aussi "réengager rapidement une concertation en profondeur (...) dès l'été sur (le) volet des équilibres financiers" et considère que "la question du nombre d'années pendant lesquelles nous cotisons demeure posée".En réalité, le problème financier devient brûlant: le déficit du système de retraites devrait approcher cette année le niveau record de 30 milliards d'euros, très loin des 4 milliards attendus avant la crise provoquée par le coronavirus.Selon les estimations dévoilées mi-juin par le Conseil d'orientation des retraites, cette dégradation se concentrerait sur les caisses des salariés du privé à hauteur de 27 milliards d'euros, à cause du recours massif au chômage partiel, tandis que les régimes spéciaux et la fonction publique seraient épargnés.La branche retraite de la "Sécu", l'assurance vieillesse, devrait à elle seule enregistrer une perte de 15 milliards.Le régime complémentaire du privé, l'Agirc-Arrco, qui a sollicité une avance de Bercy avant de recourir aux banques pour verser les pensions de juin, n'aura sans doute d'autres choix que de puiser à nouveau dans ses réserves.Raisons de plus pour reprendre la "conférence de financement" lancée en début d'année et interrompue par l'épidémie. Sauf qu'à cette époque, syndicats et patronat avaient déjà du mal à s'accorder pour résorber un "déséquilibre annuel de l'ordre de 12 milliards d'euros en 2027"."L'huile sur le feu"Aujourd'hui, alors que le feu couve, les intéressés ne sont pas pressés d'y retourner. "On est dans une situation très compliquée économiquement et socialement", a souligné le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, pour qui "la priorité des priorités, ça doit être l'emploi"."Des milliers de gens vont arriver malheureusement au chômage, 800.000 jeunes vont arriver sur le marché du travail (...) On ne va pas se remettre à se foutre sur la gueule sur la question des retraites dans cette période", a-t-il ajouté.S'il "continue à être pour un système universel des retraites", le leader du premier syndicat français a prévenu que "le débat sur l'augmentation de la durée du travail serait une ligne rouge"."Ce n'est vraiment pas le moment de remettre ce dossier sur la table", a également affirmé le numéro un de Force ouvrière, Yves Veyrier, qui entend prendre attache avec les autres dirigeants syndicaux et patronaux pour envoyer un message commun au président de la République: "Il faut qu'on lui dise non".Après les longues grèves de décembre et janvier, puis le recours au 49-3 à l'Assemblée nationale début mars, "on risque de rouvrir de la tension, un conflit social", a-t-il mis en garde."Il faut être très prudent pour ne pas remettre de l'huile sur le feu", pense aussi Dominique Corona, secrétaire national de l'Unsa.En plein remaniement de l'exécutif, il attend "d'avoir le gouvernement, les arbitrages et la feuille de route" de la nouvelle équipe qui sera chargée de mettre en œuvre l'emblématique mais controversée promesse de campagne du candidat Macron.Castex veut régler "à court terme" le dossier des retraitesLe Premier ministre Jean Castex affirme souhaiter conclure le Ségur de la Santé "la semaine prochaine" et régler "à court terme" le dossier des retraites, dans un entretien publié dimanche dans le JDD où il prévient ne pas croire "au consensus mou"."Des décisions essentielles sont sur la table. L'emploi, évidemment, qui dans le contexte actuel requiert une mobilisation de tous dans le cadre de la nouvelle donne sociale lancée par le président de la République. Le soutien aux soignants et la transformation de notre système de santé dans le cadre du Ségur que je conclurai la semaine prochaine", a-t-il déclaré.Faute d'accord avec les syndicats avant un remaniement imminent, le gouvernement de son prédécesseur Edouard Philippe avait décidé jeudi de prolonger de quelques jours le "Ségur de la santé", alors qu'une enveloppe de sept milliards d'euros se trouve sur la table pour les salaires des soignants."Le plan de relance doit être finalisé. À quoi s'ajoutent les réformes qui étaient dans les tuyaux sur les retraites et l'assurance chômage. Et celle de la dépendance qui devra venir ensuite et correspond à une nécessité. Tous ces sujets sont directement impactés par la crise, ce qui nécessite de les reprendre dans un cadre concerté et avec une cohérence d'ensemble", a-t-il ajouté.Interrogé sur les inquiétudes des syndicats concernant les retraites, il a affirmé que "dire qu'on va réexaminer un sujet, ce n'est pas se renier. C'est montrer notre capacité d'adaptation aux nouvelles circonstances, qui sont douloureuses"."Nouvel agenda social""Par exemple, la crise a aggravé fortement le déficit de nos régimes de retraite. Je souhaite reprendre le dialogue avec les partenaires sociaux, c'est indispensable. Arriverons-nous à régler ces dossiers à court terme? C'est mon souhait", a-t-il dit."A minima, nous devrons nous fixer un nouvel agenda social", a-t-il poursuivi, affirmant espérer un "compromis, qui n'est pas une compromission" pour sauver les régimes de protection sociale.Il a défini sa méthode comme "un mélange de volontarisme et d'expérience, avec le souci de rassembler". "Mais attention, je ne crois pas au consensus mou. Le temps est à l'action", a-t-il averti.Il a dit mettre "les bouchées doubles" avec Emmanuel Macron pour annoncer au plus vite son gouvernement. Répondant aux rumeurs sur une équipe resserrée autour de grands pôles principaux, il a affirmé ne "pas être sûr que des périmètres trop étendus soient forcément la garantie d'une plus grande efficacité".Après la forte percée verte aux municipales, il a répété que l'écologie n'était "pas une option". "C'est une obligation", a-t-il ajouté. Il entend "accélérer" les décisions en listant "avec les acteurs locaux tout ce que l'on peut faire immédiatement" comme la lutte contre les fuites dans les réseaux d'eau, contre l'artificialisation des terres, pour l'isolement thermique, les toitures photovoltaïques, ou le bien-être animal.L'ex-secrétaire général adjoint de l'Elysée sous Nicolas Sarkozy qui vient de rendre sa carte chez Les Républicains, s'est dit "peu attaché aux affaires des partis" mais a estimé "naturel" de s'inscrire "sans ambiguïté" dans la majorité présidentielle, car "celui qui accepte de devenir Premier ministre est, par vocation, le chef de la majorité : c'est son devoir de l'animer et de l'associer".Face à ses détracteurs qui le voit comme un simple exécutant de la volonté présidentielle, il a souligné qu'il n'entrait "pas dans les intentions du chef de l'État de faire de (lui) un subordonné voué aux tâches secondaires".Et de poursuivre: "Quand vous aurez appris à me connaître, vous verrez que ma personnalité n'est pas soluble dans le terme de +collaborateur +".
Il y a 4 ans et 324 jours

La filière du BTP est oubliée pour FO

18 milliards pour le tourisme, 15 milliards pour l’aéronautique et 8 milliards pour l’automobile… Pour FO, syndicat historique chez LafargeHolcim, l’absence de plan de relance pour le BTP met en péril toute la filière, de l’amont à l’aval. L’inquiétude grandit malgré l’accélération du déconfinement et la fin annoncée de l’état d’urgence sanitaire le 10 juillet. Le nouveau gouvernement va devoir réagir vite. Les plans de relance sectoriels annoncés ces dernières semaines font du BTP, le grand oublié selon Johan Guet, Délégué Syndical Central FO chez Lafarge Ciments. L’heure est à la mobilisation générale. L’administration doit être au rendez-vous. Les permis de construire doivent être délivrés dans des délais raccourcis pour permettre aux chantiers de reprendre au plus vite. C’est toute une chaîne qui est concernée : des matières premières aux installateurs et équipementiers en passant par la conception et la construction. Le syndicat attend un signal clair et rapide. Il s’agit de répondre à une inquiétude grandissante sur l’emploi et le pouvoir d’achat. 120.000 emplois direct sont menacés de suppression d’ici la fin de l’année. Le BTP est au cœur de la croissance verte. Il constitue un formidable levier pour répondre aux attentes de l’après-Covid. Les investissements sont là, à l’image de « l’usine du futur » de Martres-Tolosane. Le groupe LafargeHolcim investit 100 millions d’euros pour faire de cette cimenterie un modèle de développement durable. De la valorisation des déchets aux économies d’énergie, ce site symbolise la transformation du modèle et son entrée dans l’économie circulaire. Avec des coûts de production en baisse, le site de Martres sera compétitif sur un marché tendu et dont la concurrence va s’accroître encore et toujours en raison des conséquences du Covid. Cet investissement répond aussi aux nombreux projets régionaux qui doivent continuer à être soutenus par l’Etat et les collectivités. Il s’inscrit aussi dans l’attractivité du territoire et la qualité de vie à l’heure où le télétravail s’impose progressivement. C’est aussi une réponse aux aspirations et attentes exprimées par les Français.
Il y a 4 ans et 324 jours

Écologie, inclusion et souveraineté, le triptyque compliqué de la croissance post-Covid

Cette crise "va être une accélération de transformations qui étaient déjà latentes dans nos économies", a prédit la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde, présente en visioconférence à ce rendez-vous organisé normalement à Aix-en-Provence mais relocalisé cette année à Paris en raison de la pandémie."En fabrication, en travail, en commerce, ce que nous venons de vivre va accélérer les transformations et va entraîner probablement une évolution vers un mode vie plus soutenable et plus écologique", a-t-elle ajouté.Selon l'OCDE, le recul du produit intérieur brut mondial devrait atteindre au moins 6% cette année, et 7,6% en cas de deuxième vague épidémique, tandis que le rebond attendu pour 2021 serait de 5,2% sans retour du coronavirus, et de 2,8% avec."La bonne nouvelle (...), c'est que l'économie peut devenir le bras armé d'une transition écologique et d'une responsabilité sociale", a souligné Yannick Jadot, député européen écologiste tout en regrettant une "conditionnalité environnementale" et sociale insuffisante des mesures de soutien en France.Pourtant, les plans de relance de la croissance annoncés ou en préparation en Europe sont souvent placés par les gouvernements sous le signe de la transition écologique et énergétique.L'Allemagne va par exemple doper les primes à l'achat de véhicules électriques, la France envisage d'accélérer la rénovation énergétique des logements, et les deux Etats veulent aussi soutenir les investissements dans l'hydrogène, considérée comme une énergie propre d'avenir.La commission européenne souhaite aussi que le plan de relance européen de 750 milliards d'euros en négociation privilégie les investissements verts, quand certains Etats, notamment à l'Est de l'Europe, y sont moins enclins.La transition climatique "n'est plus une question de choix", mais "une évidence et même une nécessité", qui "n'est pas contraire au développement économique", c'est même "un formidable levier de prospérité si nous posons les bons choix", a défendu dimanche le président du Conseil européen, Charles Michel.Produire plus propre"Cette crise qui reste sanitaire et économique (...) nous a réveillés sur l'importance de l'écologie", a estimé la secrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie, Louise Mushikiwago. "Ça a réveillé en nous la peur de ce qui pourrait arriver si on ne fait pas plus attention aux questions écologiques.""La montée de l'exigence environnementale est très claire avec un lien qui s'est fait entre la santé, le bien-être et la protection de la planète", a aussi constaté Pierre-André de Chalendar, PDG du groupe Saint-Gobain.Selon lui "la croissance durable et inclusive (pour les défavorisés) passe par l'industrie", à même selon lui de garantir notre souveraineté, la pandémie ayant fait éclater au grand jour notre dépendance de chaînes d'approvisionnement mondialisées.Pour l'économiste Hélène Rey, "le choc de la Covid a montré l'impasse d'une stratégie de décroissance pour combattre le changement climatique", car "les émissions de gaz à effet de serre n'auront baissé que de 8% en 2020", bien loin de ce qui est nécessaire limiter le réchauffement climatique.Donc, "la seule solution est de transformer notre système de production" grâce à des investissements massifs dans la recherche et à un prix du carbone qui oriente les investissements vers les technologies vertes, a-t-elle conclu.Et pour éviter une crise sociale comme celle que la France a connue avec le mouvement des gilets jaunes, "il faut redistribuer le dividende carbone aux citoyens de la façon la plus progressive possible et protéger les gens les plus fragiles", prévient Mme Rey.Acheter européenLa crise a aussi mis au jour la nécessité de relocaliser des productions stratégiques en Europe, pour protéger sa souveraineté et créer des emplois."Depuis 40 ans, nous avons comme objectif le consommateur", explique l'économiste Patrick Artus, qui rappelle qu'"on a délocalisé pour faire baisser les prix"."Nous avons construit une Europe de consommateurs et pas une Europe de travailleurs", abonde le PDG de Total Patrick Pouyanné."Je ne comprends toujours pas qu'on ne puisse pas avoir un Buy European Act en Europe, alors que les Américains l'ont, les Chinois l'ont", ajoute ce patron en référence à la loi américaine de 1933 qui impose à l'Etat fédéral d'acheter des produits fabriqués aux Etats-Unis.
Il y a 4 ans et 324 jours

Le salon de la piscine et du spa de Lyon aura bien lieu

Suite à l’annonce officielle du maintien de Piscine Global Europe, à Lyon, du 17 au 20 novembre prochain, la Fédération des Professionnels de la Piscine (FPP) confirme son soutien à l’événement leader de la filière. « La FPP est partenaire du salon, depuis 1993. A l’heure où les entreprises ont le plus besoin de notre soutien, il était inconcevable de ne pas confirmer notre engagement réciproque. Piscine Global Europe est un événement indispensable à l’ensemble des acteurs de la filière Piscine & Spa pour accompagner la reprise », souligne Gilles Mouchiroud, Président de la FPP. En affirmant sa volonté d’organiser Piscine Global Europe, au mois de novembre 2020, GL events confirme et poursuit son engagement aux côtés des acteurs du marché de la piscine. Confiant quant aux évolutions sur la libre circulation des personnes, le Groupe proposera, en lien avec l’ensemble des acteurs de l’événementiel et du tourisme d’affaires, une offre de services pour faciliter le déplacement des visiteurs et soutenir ainsi les entreprises de la filière. La FPP fait pleinement confiance à GL events, expert de l’événementiel, pour mettre en place les dispositions sanitaires qui seront en vigueur en novembre prochain.
Il y a 4 ans et 324 jours

UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction revient les 9 et 10 septembre 2020

Les 9 et 10 septembre 2020 retrouvez le congrès de l’UNTEC, rendez-vous des professionnels de la construction à Angers.  Cette année, le congrès traitera des ruptures en cours : économiques, climatiques, digitales et sociales. « Quels sont les enjeux et témoignages de professionnels et d’acteurs de la filière BTP quant à la rupture environnementale ? Quels sont les enjeux, risques et opportunités pour l’économie et la filière BTP de ces trois ruptures : climatique, digitale, sociale ? Quels sont les enjeux en matière de Responsabilité Sociale et Environnementale pour les entreprises et les cabinets d’économistes de la construction ? Comment la « force de l’humain » peut résoudre des ruptures grâce à la confiance ? » 4 thèmes qui seront abordés lors des conférences. Durant 2 jours : Assistez à des conférences et tables-rondes sur l’intelligence artificielle avec des intervenants experts et reconnus. Découvrez les dernières innovations produits et techniques de la filière construction avec les nombreux exposants présents. Réalisez des rendez-vous d’affaires pendant l’événements sur les espaces dédiés. Rencontrez d’autres professionnels du secteur. L’Untec est depuis 1972, la seule organisation patronale représentative des économistes de la construction en France, qui comptent environ 8 500 entreprises réparties sur l’ensemble du territoire. Conformément à ses statuts, l’Untec a notamment pour objet : de représenter et défendre les intérêts généraux de la profession des économistes de la construction dans ses rapports avec les pouvoirs publics ;  de participer à l’élaboration de la formation initiale et continue de la profession des économistes de la construction ; d’assurer les règles de concorde, de capacité et de probité professionnelle de ses membres au regard du Code de déontologie de la profession ; de promouvoir la profession auprès de tous les acteurs du secteur de la construction et de l’économie en France   Plus d’informations sur le site de l’événement : http://www.congreseconomistes.com/
Il y a 4 ans et 327 jours

Déclaration paritaire en faveur de l'emploi dans le bâtiment

Sur cette période, les artisans et entreprises du bâtiment ont créé 56 500 emplois supplémentaires et ont permis le recrutement de 60 000 apprentis.Confronté comme l'ensemble des secteurs économiques à une crise sanitaire sans précédent, la branche du bâtiment a progressivement repris son activité dans des conditions encore inégales et en devant faire face à d'importants surcoûts. Si rien n'est fait, ce sont à terme plus de 120 000 emplois qui sont menacés en 2020.Convaincues devant l'urgence de la situation de la nécessité d'agir vite pour éviter l'aggravation des pertes d'emploi,persuadées de l'importance des besoins en logement et en rénovation dans tous les territoires, des opportunités apportées par la transition écologique en termes d'emplois et de développement des compétences,les organisations professionnelles et syndicales signataires ont décidé, par cette démarche commune, de lancer un appel solennel aux pouvoirs publics afin que des mesures structurelles et durables soient prises en faveur de la relance du secteur du Bâtiment.Seules des mesures fortes permettront aux artisans et entrepreneurs de recruter 150 000 talents, jeunes et demandeurs d'emploi à l'horizon 2023, année de la finale internationale de la compétition Worldskills (Olympiades des métiers) à Lyon.Porteur de tradition et vecteur d'innovation, le Bâtiment est une chance pour l'emploi !
Il y a 4 ans et 328 jours

Rénovation des menuiseries : un guide en ligne chez Louineau

Louineau a conçu un nouveau guide complet dédié aux fabricants-installateurs et aux artisans poseurs de menuiseries en rénovation. Il est disponible gratuitement sur le site www.louineau.com/renovation-des-menuiseries/. Pensé pour leur faciliter la prescription auprès des particuliers et réaliser leurs travaux dans les règles de l’art, il détaille les différents cas d’écoles rencontrés, les points de vigilance à anticiper, les bénéfices client à valoriser… Ce contenu pédagogique et technique s’inscrit dans la continuité des conférences filmées sur son stand au Mondial du Bâtiment.
Il y a 4 ans et 328 jours

Nouvelle boutique en ligne de France Fermetures : plus simple, plus intuitive et plus rapide

Selon une étude réalisée par le salon EquipBaie de mars à avril 2020, les artisans du secteur de la menuiserie sont très connectés, notamment pour la gestion de leur activité. En effet, 72% d’entre-eux se servent de leur smartphone pour la recherche d’informations tandis que 73% privilégient l’ordinateur portable pour la réalisation des devis, l’utilisation de configurateurs et la gestion des commandes. Fabricant français spécialiste des produits de fermeture, France Fermetures complète ses outils digitaux destinés aux professionnels avec sa nouvelle boutique en ligne à l’ergonomie totalement repensée. Plus simple, plus intuitive et plus rapide, elle leur permet de chiffrer et commander l’ensemble des produits de la gamme France Fermetures en quelques clics, 24h/24 et 7j/7. Passez à la vitesse supérieure avec la nouvelle boutique en ligne France Fermetures ! Bénéficiant d’une totale refonte ergonomique et technique, la nouvelle boutique en ligne, accessible depuis l’espace Pro du site internet de France Fermetures, offre de nombreux et nouveaux services aux installateurs, clients de la marque, pour gagner en efficacité. Grâce à une base de données complète, ils peuvent simplement et rapidement : • configurer et visualiser l’intégralité des produits de la gamme France Fermetures. En un clic, ils obtiennent les informations techniques et les dimensions précises des produits sélectionnés pour rendre encore plus fiable la préparation de leurs chantiers. L’ergonomie des configurateurs évite les risques d’erreur de saisie et permet même de passer commande sans connaître l’exhaustivité de la gamme grâce à des descriptifs détaillés de chaque option, des visuels et des aides à la saisie. • chiffrer, gérer et personnaliser leur devis, • commander en ligne et planifier la semaine de livraison pour regrouper toutes les réceptions de marchandise sur un même chantier par exemple. Le service Ossitô de France Fermetures est toujours accessible pour commander et recevoir rapidement des produits dans le cadre de projets urgents. Afin de s’adapter au mieux aux contraintes de ses clients, plusieurs modes de règlement sont proposés. Espace PRO : une mine d’informations pour s’informer et se former… Outre les devis et commandes en ligne, l’espace PRO de France Fermetures propose de multiples rubriques pour se documenter, avoir accès aux photos et vidéos du fabricant ou encore aux manuels techniques et notices de pose. La rubrique « Formations en ligne » permet aux installateurs de s’inscrire gratuitement à l’ensemble des formations dispensées par l’industriel. Développée en Responsive Design, la nouvelle boutique offre au client une expérience similaire sur tous les écrans. Avec sa nouvelle boutique en ligne, France Fermetures facilite la gestion de l’activité de ses clients. http://www.france-fermetures.fr
Il y a 4 ans et 328 jours

UPM ProFi Deck : conçue pour un extérieur moderne

Tout le monde ne considère pas sa terrasse comme une partie du jardin. UPM ProFi Deck s’adresse à ceux qui aiment la vie en plein air mais qui voient leur terrasse comme une extension de leur salon à l’extérieur. Ils apprécient les designs esthétiques et désirent un aspect original et moderne qui résiste au temps avec un entretien minimal.   Avec son style épuré et soigné, UPM ProFi Deck présente un profil technique qui a été testé et éprouvé dans des applications résidentielles et commerciales dans toute l’Europe depuis plus de dix ans. En parallèle, des accessoires brevetés ont été ajoutés à la gamme pour améliorer la finition professionnelle et la rapidité d’installation. Résultat : il s’agit de la meilleure terrasse en composite d’Europe pour un extérieur moderne.   Surface non brossée pour une meilleure résistance aux taches et une installation sans inclinaison Profil creux à base de polypropylène ultra durable et résistant aux chocs adapté au contact avec le sol et même à une installation sous l’eau Adaptée aux applications résidentielles et commerciales Composés de 55 % de déchets à base de fibres et de plastique post-industriel européen recyclés Marquage CE, certifiée PEFC, ISO 14001 QM, EN71-3, sans PVC, recyclable Accessoires intelligents brevetés, notamment : Système Click : 2,5 fois plus rapide que l’installation traditionnelle et réduction du temps passé à genoux pour les installateurs Rail Step : la solution la plus professionnelle pour les escaliers et les bordures de terrasse durables Embouts avec mécanisme de verrouillage intégré fabriqués à partir du même matériau que la terrasse Et bien plus encore 10 ans de garantie complète sur la structure Fabriquée en Allemagne   Six coloris épurés qui soulignent le meilleur du design moderne Pearl Grey (gris perle) Silver Green (gris argenté) Stone Grey (gris granité) http://www.batipresse.com/wp-content/uploads/2020/07/profi-installers-FR.mp4 Night Sky Black (noir nuit d’été) Chestnut Brown (brun noisette) Autumn Brown (brun d’automne)   Découvrez la meilleure terrasse conçue pour un extérieur moderne
Il y a 4 ans et 328 jours

Dossier : 6 collections de mobilier étranges et audacieuses

Des collections de mobilier contemporaines se démarquent par leur grande créativité et leurs formes fantasques. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous propose de découvrir cinq collections design surprenantes. Evan Fay : LawlessDepuis quatre ans, le designer américain Evan Fay prône une approche personnelle du design en créant des meubles sculpturaux singuliers. La série « Lawless » réunit des bancs, des canapés, des chaises et des tabourets, qui se démarquent par leurs jeux d’assemblages et leur originalité. . Savvas Laz : TrashformersBasé à Athènes (Grèce), le designer Savvas Laz est rapidement frappé par l'amoncèlement de déchets de sa ville natale du, notamment, à l'absence d'installation de recyclage approprié. Un choc auquel le designer répond par la série « Trashformers », une collection de mobilier conçue à partir de matériaux de récupération trouvé dans la rue. . Mathieu Lehanneur : Inverted GravityLe créateur français Mathieu Lehanneur part de nouveau à la conquête du monde du design avec sa série de mobilier inédite « Inverted Gravity », présentée lors du salon Art Basel – Design Miami (USA). Une collection sculpturale composée de blocs de marbre disposés sur des bulles de verre soufflé qui nous ferait presque tomber à la renverse ! . Constance Guisset : FrancisLa designeuse française Constance Guisset n'en finit pas d'enchanter notre quotidien. Après le succès de son mirroir Francis — détenteur du Wallpaper Design Award 2012 et meilleure vente de l'éditeur Petite Friture depuis 2012 — elle décline son célèbre miroir aux couleurs aquarelles en série de tables pour l'éditeur Petite Friture. . Daria Zinovatnaya : MatisseDaria Zinovatnaya se démarque par un style coloré largement inspiré des années Memphis. Dotée d'une solide culture design et art, allant de Le Corbusier à Ettore Sottsass en passant par Matisse et Eilen Gray, la conceptrice et architecte d'intérieur ukrainienne puise son inspiration dans les plus grands noms de la discipline. Un esprit à mi-chemin entre nostalgie pop et réalisation contemporaine qui se manifeste notamment dans sa collection d’assises « Matisse ». . Supertoys Supertoys : Objects for an animist worldLe studio néerlandais de design Supertoys Supertoys imagine des objets étranges, dont les couleurs pastel et les formes singulières questionnent les rapports que l’être humain entretient avec les objets. vec leurs tonalités pastel, leurs formes bizarres et leur dimension ludique, les objets conçus par Merle Flügge et Job Mouwen relèvent de l'animisme, réévaluant ainsi les systèmes socioéconomiques actuels qu’ils rejettent. La Rédaction
Il y a 4 ans et 328 jours

Rencontre avec : Ludovic Sauvage

Depuis plus de 10 ans, le plasticien français Ludovic Sauvage (né en 1985) crée des installations immersives, manipule des images produites par d’autres et puise ses inspirations dans une mémoire collective postmoderne. Alors qu’il travaillait à la préparation de sa seconde exposition personnelle à la galerie Valeria Cetraro, nous l’avons rencontré dans son atelier parisien pour parler création, installation et perception. Muuuz : Pouvez-vous nous parler de votre parcours ? Ludovic Sauvage : Je suis venu à la création par une pratique du dessin, ce qui m’a ensuite conduit à une filière arts appliqués au lycée. Après avoir passé plusieurs concours d’entrée aux écoles des beaux-arts, j’ai étudié à l’École régionale des beaux-arts de Valence, puis à la Villa Arson à Nice. À l’ERBA de Valence, j’ai acquis de nombreuses connaissances théoriques et conceptuelles, et j’ai commencé à travailler l’image. À la Villa Arson, j’ai poursuivi mes recherches sur la déconstruction et la mise en espace d’images déjà produites. À la suite de l’obtention de mon diplôme, je suis parti en Australie, où j’ai vécu et travaillé pendant neuf mois. En 2008, je suis revenu en France pour participer à l’exposition Trivial Abstract organisée par Pascal Pinaud à la galerie Nathalie Obadia et à la galerie Carrée de la Villa Arson, et je me suis installé à Paris. Vous manipulez des images datées : des diapos-souvenirs, des archives analogiques, des photographies tirées de magazines ou de livres. Parfois vous les imprimez sur du tissu ou des miroirs. Vous travaillez également la vidéo et la 3D, mais vous inventez surtout des installations immersives dotées de dispositifs de projection. Comment définiriez-vous votre pratique artistique ? Mon travail se concentre sur une pratique personnelle de l’installation artistique. Je cherche à déconstruire des images pour produire des sensations qui portent un discours sur ce qui se joue sous nos yeux. Les images choisies appréciables par tous, et particulièrement par des spectateurs qui ont baigné dans la culture pop de la société postmoderne, questionnent les rapports que l'on entretient avec les images. Avec mes installations, j’entends conduire le spectateur vers divers ailleurs en jouant ou rejouant ce moment où l’image sollicite son attention, sa mémoire et son imagination. Lorsque je fabrique des objets, je cherche également à retranscrire les impressions que peuvent susciter les images, mais en m’interrogeant alors sur la dimension affective des objets. Dans de la majorité de vos œuvres, vous utilisez des images que vous n'avez pas produites. Pourquoi ? Comment les sélectionnez-vous ?Très tôt durant mes études, j’ai commencé à travailler avec des images prises par d'autres opérateurs. À l’époque, la production de nouvelles images mettait en balance de nombreuses pratiques que je ne souhaitais pas explorer. Dès le début de ma carrière, je me suis donc naturellement dirigé vers une pratique relevant du sample. Limiter mon processus de création à une simple intervention sur des images déjà existantes m'a finialement permis d’entamer un dialogue plus intéressant avec le monde extérieur. Je découvre souvent des images par hasard. Je collecte des images diverses. Puis, à un moment, il y a un faisceau intéressant de visuels qui se forme, et j'ai envie de l'exploiter. Dans Plein Soleil, par exemple, je mets en espace une série de diapositives, qui ont été prises par un photographe amateur, mais qui me parlent car elles donnent à voir les paysages du sud de la France de mon enfance. Dans Archeology (Shapes) (2017), vous retouchez dix diapositives d’œuvres d'art. Avec ces images, cherchez-vous à vous inscrire dans un certain héritage de l'histoire de l'art ? Dans Archeology (Shapes), je ne m’inscris pas volontairement dans un héritage de l’histoire de l’art, mais cela ne me dérange pas que les spectateurs aient ce sentiment. Ce jeu de dix diapositives-souvenirs, qui était autrefois vendu aux visiteurs dans des musées en Grèce, rejoint mon imagerie habituelle. En modifiant ces diapositives liées à la mémoire d’une visite, j’ai cherché à produire des formes plus minimales qui font finalement écho à une culture visuelle récente. La relation picturale à l’image m’intéressait beaucoup plus que les œuvres photographiées. J’ai surtout voulu créer un jeu de cartes visuel, mais je ne peux pas nier son dialogue évident avec l’histoire de l’art. Dans vos œuvres où il est question de paysage, vous réfléchissez sur les rapports entre image, espace et temps. Qu'est-ce qui vous fascine dans la représentation du payasage ? Lorsque je manipule des images de paysages, je m’intéresse surtout à la projection, et à la dichotomie entre le paysage vécu et le paysage perçu. J’ai toujours aimé la possibilité de se projeter dans un ailleurs fantasmé. L’image d’un paysage est toujours un point de vue donné sur un endroit, et permet d’embrasser un espace sans avoir à l’expérimenter. Dans les installations Vallées (2010) et Plein Soleil (2014), vous projetez des images, et plongez le spectateur dans une expérience visuelle et immersive. Quelles réactions souhaitez-vous provoquer chez lui ? J’essaie de séduire le spectateur tout en le faisant douter. Je tente, d’une part, de le captiver, et, d’autre part, de le pousser à se questionner sur cette séduction. Ma relation avec le spectateur est donc ambivalente. Dans Vallées, deux paysages sont projetés au même endroit, mais depuis deux sources de projection distinctes. Par addition lumineuse, les paysages se mélangent parfaitement. Le résultat, c'est un paysage qui semble complètement réel. Si le spectateur passe devant l’une ou l’autre des sources de projection, il peut effacer une image et en découvrir une nouvelle. Ici, mon geste artistique a consisté à choisir les visuels, les mettre en espace et les projeter au même endroit. Pour Plein Soleil, j’ai perforé 81 diapositives analogiques. Dans chaque image, un rond blanc se substitue désormais au sujet principal. Dans ces deux dispositifs de projection, j’ai utilisé la boucle, et j'ai pensé au contexte dans lequel seraient présentées mes œuvres. De même, dans Deux Déserts, trente séquences différentes d’une minute se suivent. Comme l’explique Philippe Parreno dans Speech Bubbles, la boucle est une forme très adaptée à l’exposition. Dans mes installations, je cherche à captiver le spectateur avec des dispositifs immersifs, qui peuvent s’expérimenter selon différentes temporalités laissées au choix de tout un chacun. Du 04 au 25 juillet, vous serez exposé à la galerie Valeria Cetraro. Quels seront les enjeux de cette exposition personnelle ?Vivid Angst & Colorful Doubts est ma deuxième exposition personnelle à la galerie Valeria Cetraro. Pour la première fois, je ne vais montrer que des objets. Parmi les pièces qui seront présentées à la galerie, certaines ont été produites à l’occasion d’une précédente exposition, qui s’était tenue aux Bains-douches à Alençon en 2019. Les autres sont des nouveaux objets, qui sont liés à l’architecture d’intérieur et au design, et parfois inspirés de l’espace fictif de la salle de bains, un classique des séries B et des films d’horreur. Dans toutes les pièces, je travaille l’image et j'utilise notamment des photographies datant des années 1960 et 1970. Un des enjeux de l’exposition sera de voir comment ces objets résonneront de manière autonome avec l’espace. Pour en savoir plus, visitez le site de Ludovic Sauvage, ainsi que celui de la galerie Valeria Cetraro. Vivid Angst & Colorful Doubts, du 04 juillet au 25 juillet, à la galerie Valeria Cetraro (75003). Visuels : © Courtesy de l’artiste et de la galerie Valeria CetraroLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 328 jours

Concours Photo AQC, la patho en photos

Grand rendez-vous annuel des amateurs de photographies, le Concours Photo AQC est ouvert à toutes les personnes qui souhaitent illustrer par l’image les désordres dans le bâtiment.
Il y a 4 ans et 329 jours

Le nouveau mural Shorai+ combine design et performances avec une qualité de l’air intérieur exceptionnelle

    Le nouveau mural Shorai+ combine design et performances avec une qualité de l’air intérieur exceptionnelle Le mural Shorai+ au design moderne combine performances et technologie. Equipé des dernières innovations Toshiba tant en matière de filtration de l’air, que de silence de fonctionnement, le mural Shorai+ apporte un confort inégalé été comme hiver, avec une faible consommation énergétique. Ses lignes épurées et modernes facilitent son intégration dans toutes les ambiances de vie avec discrétion et élégance. Cette nouvelle offre qui peut être utilisée en neuf comme en rénovation, permet de répondre à tout type de projet avec 8 tailles d’unités intérieures disponibles, couvrant des puissances allant de 1,5 à 7,0 kW en mode froid et 2 à 8,0 kW en mode chaud, compatibles mono & multisplits.   La filtration Toshiba « Ultra Pure » capture jusqu’à 94 % des particules PM2.5 en suspension Un soin tout particulier a été apporté à la qualité de l’air intérieur. Le mural Shorai+ est équipé du système de filtration Toshiba « Ultra Pure » qui stoppe jusqu’à 94 % des particules en suspension issues de la pollution atmosphérique, ayant un diamètre inférieur à 2,5 micromètres (3 % d’un diamètre d’un cheveu). Cette plus faible exposition aux particules fines limite plusieurs infections chroniques et problèmes respiratoires. En effet, des études ont démontré une relation étroite entre l’exposition aux particules fines et plusieurs infections chroniques et problèmes respiratoires. Cette filtration Haute Efficacité inhibe jusqu’à 99,9 % du virus de type grippe aviaire (1)(2) et bactéries (3). Par ailleurs, elle dispose d’un pouvoir désodorisant contre les fumées, composés organiques volatiles, odeurs de nourriture et autres mauvaises odeurs et prévient la formation des moisissures et champignons. Associé à la batterie hydrophobe et à la fonction auto-nettoyante, il garantit aux utilisateurs une qualité de l’air exceptionnelle. Une diffusion de l’air optimisée pour un confort sur-mesure En mode rafraîchissement, le mural Shorai+ bénéficie d’un nouveau concept de diffusion de l’air. Cette innovation Toshiba assure un flux d’air indirect et une température plus homogène. Grâce à la fonction « Hada », la veine d’air est ainsi dirigée vers le plafond sur une portée pouvant atteindre 7 m, ce qui assure un confort inégalé. Un design totalement revisité, qui sait se faire discret Le mural Shorai+ surprend par son design fin et élégant et sa finition mat. Avec ses dimensions particulièrement compactes (H 293 x L 800 x P 226 mm), il s’intègre en toute discrétion dans tout type d’habitation. La visualisation du mode de fonctionnement de l’unité intérieure est facilitée par la présence de leds de couleurs pastelles. Les pré-découpes permettant le passage des liaisons frigorifiques sont totalement invisibles si non utilisées. Une efficacité énergétique jusqu’à A+++ Ce produit se distingue également par ses caractéristiques techniques avancées. Il dispose de la toute dernière technologie Inverter associée au compresseur Twin- Rotary conçu et fabriqué par Toshiba. Cette intelligence permet d’optimiser en permanence le fonctionnement du système et d’adapter précisément les puissances de chauffage et de rafraîchissement en fonction du besoin et pièce par pièce. Le système permet ainsi de réaliser de considérables économies d’énergie, avec un fonctionnement à charge partielle en maintien de température. En version monosplit, le système permet d’atteindre une efficacité énergétique allant jusqu’à A+++, aussi bien en mode chauffage que rafraîchissement. Le silence où que vous soyez ! Le mode silencieux du mural Shorai+ permet à l’utilisateur de réduire au maximum le niveau sonore de l’unité intérieure : son fonctionnement est pratiquement imperceptible. Il peut être activé via la télécommande pour abaisser à 19 dB(A) le niveau sonore de l’unité intérieure. Le niveau sonore de l’unité extérieure a également été repensé, afin de profiter d’un extérieur calme et serein. D’une simple pression sur la télécommande, cette fonction permet d’abaisser le niveau sonore de l’unité extérieure, pour atteindre seulement 38 dB(A). Un mode de pilotage flexible Le Shorai+ est proposé avec une télécommande hebdomadaire, pouvant être cablée, ergonomique et lisible avec son large écran rétro-éclairé. Elle dispose des fonctionnalités habituelles de diffusion de l’air, silence (réduction du niveau sonore), programmation hebdomadaire, dégivrage… Le mural Shorai+ peut également être piloté à distance grâce à l’application intelligente « Toshiba Home AC Control » qui donne accès à l’intégralité des fonctions et permet d’adapter son confort à son style de vie. Disponible gratuitement en français sur l’Apple Store et Google Play, cette application permet de paramétrer le système depuis une tablette ou un smartphone et d’ajuster le niveau de fonctionnement de l’unité intérieure à distance. Jusqu’à 10 unités intérieures peuvent être contrôlées et 5 utilisateurs connectés. A retenir Puissances : de 1,5 kW en mode froid à 8,0 kW en mode chaud Classe énergétique : A+++ en rafraîchissement et A+++ en mode chauffage SEER : 8,6 SCOP : 5,1 Dimensions : H 293 x L 800 x P 226 mm Niveau de pression sonore : 19 dB(A) pour le mural et 38 dB(A) pour le groupe Plages de fonctionnement : de -15°C en mode chauffage à +46°C en mode rafraîchissement Réfrigérant : R32 Tarif HT à partir de : 1 526 € (unité intérieure + extérieure monosplit taille 7) + éco-participation de 8,34 € hors pose et accessoires Lancement commercial : Avril 2020 www.toshibaclim.com
Il y a 4 ans et 329 jours

Agru : Savoir protéger le béton des effets de l’hydrogène sulfuré

Opération de coulage de la seconde moitié du radier du bassin de 40 m de diamètre. [©Agru] Chaque été, le secteur du bassin d’Arcachon voit sa population augmenter de manière très importante. Au point de ne plus permettre à la station d’épuration de traiter les eaux usées. De ce constat est née la décision de créer deux réservoirs-tampons enterrés de 40 m et de 60 m de diamètre. Ceci, pour une hauteur de 8,50 m. Soit un volume global de 30 000 m3. Des travaux lancés à l’initiative du Syndicat des eaux du bassin d’Arcachon (Siba).  Vue aérienne sur le bassin de 60 m de diamètre et sa dalle de couverture, en cours de construction. [©Agru] Compte tenu de la nature des effluents stockés, il était impératif de prévoir un système de protection des bétons contre la corrosion induite par l’hydrogène sulfuré (H2S). En même temps, le maître d’ouvrage souhaitait une étanchéité lisse et sans pli. Et ce, pour limiter l’accroche des impuretés et permettre le nettoyage aisé des ouvrages. D’une manière classique, l’infrastructure des bassins est réalisée à partir d’une paroi moulée circulaire creusée jusqu’à une profondeur de 18,50 m. Après excavation des terres présentes dans les zones ainsi confinées, les radiers sont coulés en fond de fouille. Et, pour éviter les sous-pressions dues à la nappe phréatique, ils sont ancrés au moyen de tirants. Une fois cette première phase de travaux exécutés, l’entreprise a pu débuter la mise en place du système d’étanchéité. Visant à protéger les bétons exposés au H2S.  420 crampons d’ancrage au mètre carré Pour assurer un parfait ancrage dans le béton, la partie arrière du complexe Ultra Grip est hérissée de crampons, à raison de 420 unités/m2. [©Agru] A ce niveau, les radiers n’ont eu pas besoin d’être traités,. Car il est prévu de laisser en permanence une garde d’eau à l’intérieur des bassins. Le gaz ne sera donc jamais en contact avec eux. En revanche, les parois verticales, la centaine de poteaux destinés à supporter la dalle de couverture et la dalle elle-même doivent être protégées. Pour ce faire, le choix technique s’est porté sur la solution Ultra Grip développée par l’industriel autrichien Agru. Le produit se caractérise par la présence de crampons, positionnés en quinconce, en face arrière, à raison de 420 ancrages/m2. Chaque ergot présente la forme d’un “V” pour garantir un parfait accrochage dans le béton. En fonction de la nature des effluents et/ou de la température d’exposition (en positif comme en négatif), l’Ultra Grip peut être fabriqué en PEHD1, PP2, PVDF3 ou ECTFE4. L’épaisseur du complexe varie de 2 à 12 mm. Selon l’épaisseur choisie, il peut être fabriqué en rouleaux jusqu’à 5 m de largeur ou en plaques de 4 m x 2 m. De même, il peut être co-extrudé, une face noire avant et une face claire arrière. Pour limiter la dilatation avant le coulage du béton et pour mieux repérer les éventuels accrocs en parties courantes. Côté technique, l’Ultra Grip offre une résistance à la traction (arrachement) de plus de 80 t/m2, soit une réponse de 2 200 N par crampon. Une étanchéité intégrée lors de la préfabrication Aire de préfabrication foraine des prédalles. [©Agru] C’est la version “plaque” qui a été choisie sur le chantier du bassin d’Arcachon, mise en œuvre en fond de moule, dans le cadre d’une préfabrication foraine. L’objectif était de confectionner des éléments de prédalles, utilisés à la verticale. Pour construire les murs d’enceinte des bassins. Et aussi pour réaliser la dalle de couverture et de confinement des effluents.  Prédalles intégrant les panneaux Ultra Grip, en cours de séchage en attendant le pose. [©Agru] Bien entendu, il est aussi possible de positionner directement le complexe d’étanchéité sur un coffrage vertical. C’est même ce qui se passe le plus souvent. Dans ce cas, le raccordement des lés d’Ultra Grip est réalisé au moyen d’un profilé sécable. Ce dernier permet d’éviter à la laitance de pénétrer dans la zone de la soudure et aux lés, de s’écarter sous la poussée du béton. Une fois la prise faite, il suffit de déchirer le profilé pour réaliser la soudure étanche des lés. A l’issue de la préfabrication, opérée sur le chantier du bassin d’Arcachon, les “prédalles” sont positionnées contre les parois moulées, le complexe étanche Ultra Grip orienté vers l’intérieur du bassin. Dans un second temps, le vide interstitiel entre la paroi et la prédalle est rempli de béton (à la manière d’un prémur). Quant à la création de la dalle de couverture, l’opération est plus classique : la prédalle, étanchéité en sous-face, sert tout simplement de support au béton formant la dalle de compression…  Des tubes protecteurs des bétons Les prédalles sont positionnées à la verticale, le long de la paroi moulée, laissant un interstice qui sera rempli de béton. Et toute la surface du bassin reçoit les poteaux porteurs de la dalle de couverture. [©Agru] Dernière étape du processus, le raccordement entre les différentes plaques d’Ultra Grip. Pour ce faire, on utilise le principe de la soudure par extrusion. C’est-à-dire, un dépôt de matière au droit de chaque liaison. Mais, avant de réaliser la soudure, un fil PE électro-conducteur est mis en place au droit de toutes les soudures. L’extrusion vient ensuite recouvrir le fil. Cette solution permet de contrôler 100 % des soudures au peigne électrique. Outre ses qualités d’étanchéisation, l’Ultra Grip est aussi insensible à la micro-fissuration du béton. Un test en laboratoire a permis de le démontrer. Soumis à un écrasement, une section circulaire en béton équipée du complexe d’étanchéité s’est rompue. Mais l’étanchéité, toujours en place, n’a subi aucune rupture. Un paramètre qui peut être pris en compte pour limiter le dosage en ciment du béton et la densité d’armature. Et qu’en est-il des poteaux permettant de supporter la dalle de couverture ? Ils ont été construits à l’aide de tubes en PEHD de 50 cm de diamètre. Utilisés en tant que coffrages perdus. Ces éléments assurent aussi la protection des bétons contre le H2S. D’une hauteur de 8,50 m dans le cas présent, les tubes sont produits dans la même usine que le complexe Ultra Grip. Une manière de garantir la même composition du PEHD et ainsi, de réaliser une soudure homogène entre les tubes et l’étanchéité. 1Polyéthylène haute densité.2Polypropylène.3Polyfluorure de vinylidène.4Copolymère d’éthylène et de chlorotrifluoroéthylène. Agru, l’étanchéité comme letimotiv C’est en 1948 que l’industriel Agru voit le jour en Autriche. Fondé par Aloïs Gruber, il est aujourd’hui spécialisé dans la production de géomembranes destinées à l’étanchéité et à la protection des ouvrages. L’activité principale est centrée sur les ouvrages en terre, pour lesquels Agru propose une large gamme de géosynthétiques pour l’étanchéité, le drainage, le renforcement de sol ou les accroche-terre. Le second pôle concerne les ouvrages de génie civil. En travaux neufs ou en réhabilitation d'ouvrages, l’industriel développe différentes techniques pour l’étanchéité et la protection du béton. Tels les plaques à crampons Ultra Grip, qui préservent le béton des agressions chimiques. Ou le système Hydroclik, réservé à la réhabilitation des réservoirs d’eau potable. Il y a aussi l’Hydro+, développé pour l’étanchéité d’ouvrages béton en travaux neufs. Agru possède des usines en Autriche, aux Etats-Unis et en Asie. Il est présent en France depuis 25 ans et y déploie trois agences, à Lyon (siège), à Rouen et à Perpignan.
Il y a 4 ans et 329 jours

R+MuR d'Alkern : la solution pour l'optimisation de la performance thermique des parois, validée par le CSTB

Le CSTB, à l'issue de la réunion de la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques, vient de valider cette solution en rendant son Avis Technique n°16/20-779-v1.Pour rappel, pour vos projets de bâtiments à étages, alkern propose la solution la plus économique du marché, permettant de combiner tous les avantages des blocs béton de granulats courants, en pose collée à la réponse aux exigences de la RT2012 et E+C-, grâce à l'optimisation du traitement des ponts thermiques. Ces produits innovants, sous marque de qualité NF pour les blocs et QB pour les planelles, s'assemblent pour vous proposer une réelle innovation système, conçue pour toutes les familles de bâtiments, et tous types de planchers. Cette solution est disponible en zone sismique et non sismique, ainsi qu'avec des blocs de hauteur 20 et 25 cm pour faciliter le calepinage. La continuité de la descente de charge est assurée grâce à l'alignement des parois des blocs. La résistance au feu est à minima de 30 minutes, sous 18.7T/m avec doublage PSE et jusqu'à 90 minutes avec doublage laine de roche.La solution est packagée pour optimiser sa bonne mise en œuvre sur le chantier :Mise en œuvre traditionnellePose colléeSolution « clef en main »Identification facile des éléments composant le kit ElipsiSur demande, démonstrateur présent au démarrage du chantierEnvie d'en savoir plus sur le R+MuR ? RDV sur le site internet www.alkern.fr pour télécharger la fiche technique et la documentation commerciale. De plus, les experts d'Alkern seront ravis de vous présenter ces solutions et produits en RDV ou en visio conférence.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.200 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires d'environ 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 329 jours

Rendez-vous au Piscine Global Europe !

Le salon Piscine Global Europe donne rendez-vous aux professionnels de la piscine et du spa, comme prévu, du... Cet article Rendez-vous au Piscine Global Europe ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 330 jours

La Cour des comptes appelle à un effort "dans la durée" mais sans "austérité" pour maîtriser la dette publique

"La soutenabilité de la dette constitue plus que jamais un enjeu, sinon l'enjeu essentiel pour les finances publiques", a affirmé son nouveau premier président Pierre Moscovici, lors d'une conférence de presse pour présenter le rapport annuel de l'instance sur la situation et les perspectives des finances publiques.Tandis que le gouvernement compte sur le rebond de la croissance l'an prochain pour réduire la dette et exclut toute hausse d'impôts, la Cour juge que "sans action de redressement, le déficit risque d'être durablement très élevé (...). La trajectoire de la dette ne serait alors pas maîtrisée".Le gouvernement s'attend cette année à une récession historique de -11%, avec un gonflement de la dette publique à près de 121% du produit intérieur brut (PIB), avant un rebond de l'économie l'an prochain.Mais pour la Cour, "il ne faut pas tout attendre" de la croissance, car même le scénario le plus optimiste d'une reprise rapide ne permettra pas à la France de retrouver son niveau d'endettement d'avant crise d'ici à 2030.Et celui-ci, avoisinant les 100% du PIB était déjà jugé préoccupant avant la crise par la Cour, qui enfonce le clou dans ce rapport."La France n'a pas abordé cette crise avec des finances publiques restaurées", note-t-elle pointant une "fatigue budgétaire" récurrente des différents gouvernements qui ont peu réduit la dépense publique et le déficit.Toutefois pour la Cour, l'effort "ne doit pas être trop brutal pour ne pas casser la reprise mais il doit être poursuivi avec constance pour obtenir des résultats tangibles"."La Cour préconise le sérieux (...), la prévisibilité, en aucun cas l'austérité", a insisté Pierre Moscovici.L'institution appelle ainsi le gouvernement à définir une trajectoire de désendettement dans la future loi de programmation des finances publiques "au plus tard" au printemps prochain. "Il n'y a pas besoin d'attendre", a estimé M. Moscovici.Cela permettrait aussi à la France de montrer à Bruxelles sa bonne volonté, dans la perspective d'une levée de la dérogation aux règles budgétaires européennes.Séparer la "dette Covid"Cette trajectoire devra notamment prévoir un "examen en profondeur" des dépenses publiques, pour privilégier les dépenses d'investissement, notamment dans la transition écologique et la santé, en parallèle d'un "effort accru de maîtrise des autres dépenses", juge la Cour.Par ailleurs, elle conditionne de nouvelles baisses d'impôts à des "hausses d'autres prélèvements ou de suppressions de niches" ou encore à "un effort encore accru de maîtrise de la dépense".Le gouvernement prévoit de diminuer les impôts de production qui pèsent sur les entreprises dans le cadre de son plan de relance attendu à la rentrée.Pour la Cour, les mesures de ce plan devront être "temporaires" et ciblées, sans financement par un surcroît d'endettement.Les conditions de taux d'intérêt bas sont "favorables" à de telles décisions, plaide-t-elle, alors qu'il y a un risque sur la "soutenabilité" de la dette en cas de remontée des taux, ainsi que d'aggravation de l'écart avec les autres pays de la zone euro.Dans cette hypothèse, "si elle n'avait pas entre-temps diminué son endettement public rapporté au PIB, la France se retrouverait dans une situation très difficile", avec le risque d'une envolée encore plus massive de sa dette et de difficultés pour la financer, alerte la Cour.Lundi, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a annoncé que le gouvernement allait traiter à part la dette publique issue de la crise. Cette dette, "nous la rembourserons en la cantonnant et en la séparant des 100 points de dette initiale", a-t-il affirmé devant les députés.A l'image de ce qu'il a fait pour la dette sociale, cantonnée dans la CADES (caisse d'amortissement de la dette sociale), avec un échéancier jusqu'à 2033, M. le Maire a ainsi évoqué la date de 2042 pour le remboursement de la dette Covid.Le premier président de la Cour des comptes a refusé de commenter cette proposition que l'instance "n'(a) pas expertisée".
Il y a 4 ans et 330 jours

Le bâtiment prévoit une chute de 18% de son activité cette année et réclame un plan de relance immédiat

En 2020, "le bâtiment devrait chuter de 18% (et) ça serait 120.000 emplois en danger", a résumé Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.C'est la première fois que la fédération évalue aussi précisément les conséquences de la crise du coronavirus et du strict confinement décrété en France entre mars et mai pour éviter la propagation de la maladie.Contrairement à d'autres secteurs, comme la restauration, les chantiers n'ont pas été officiellement contraints de fermer. Mais ils y ont, dans les faits, été largement obligés pendant des semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Ces mesures restent au cœur des inquiétudes du secteur, malgré la reprise quasi complète des chantiers, car elles coûtent cher.Elles "sont aujourd'hui (...) très largement supportées simplement par les entreprises" plutôt que leurs clients privés ou publics, a prévenu M. Salleron. "Aujourd'hui, les entreprises travaillent à perte, elles perdent du pognon", a-t-il insisté.Le gouvernement a pourtant pris des mesures présentées comme des aides au secteur, à l'occasion du nouveau budget de crise examiné cette semaine à l'Assemblée. Il a annulé plusieurs mois de charges pour les petites entreprises ayant subi une chute de leurs revenus - une mesure qui va d'ailleurs au-delà du seul bâtiment - mais le secteur en veut plus et exige une suppression générale cette année.Plus largement, le secteur et le gouvernement sont en désaccord sur le calendrier de mesures dédiées au bâtiment. Celui-ci les veut dès maintenant, mais l'exécutif les réserve pour un grand plan de relance à l'automne.A ce titre, la fédération a présenté mardi son propre plan, évalué à cinq milliards d'euros par an. Il prévoit surtout d'élargir les aides destinées aux particuliers en matière de rénovation et de construction.Il s'agit en premier lieu de MaPrimeRénov', qui concerne les travaux d'isolation et que la fédération veut rouvrir aux ménages les plus aisés, actuellement exclus, ainsi qu'élargir aux résidences secondaires.En matière de construction de logements, l'organisation veut notamment relever les montants du prêt à taux zéro (PTZ), une aide à l'achat dont l'État a réduit l'ampleur ces dernières années.Téléchargez la note conjoncturelle de la FFB en cliquant ici.Le plan de relance proposé par la FFBRénovation énergétiqueLa mesure phare : dynamiser très fortement les travaux de performance énergétique globale en portant CITE/MaPrimeRénov’ à 400 €/ m² pour tous les ménages.En complément dans CITE/MaPrimeRénov’ : diminution du reste à charge pour les ménages modestes (400 €) et très modestes (200 €) ;réintégration des déciles 9 et 10 ;réintégration des chaudières au gaz THPE ;ouverture aux résidences secondaires en Zone de revitalisation rurale (ZRR).Surcoût budgétaire : 1,9 Md€ par an.Rénovation énergétiqueCEE : « coup de pouce » pour la rénovation globale des maisons individuelles ⇒ aide relevée d'environ 50 €/m² à 200 €/m² ;financement d'un nouveau Contrat d'accompagnement énergétique (CAE), permettant de suivre et conseiller un client après rénovation énergétique.TVA à 5,5% pour tous les travaux (1,4 Md€ par an).Accession à la propriétéRétablir un PTZ à 40 % du montant d'opération : pour les zones B2 et C dans le neuf ;pour les zones A et B1 dans l'ancien avec travaux.Porter la quotité à 60 % toutes zones si atteinte d'une performance énergétique « supérieure » : pour les constructions : « label RE 2020 » à définir ;pour les rénovations : saut de 2 classes du Diagnostic de performance énergétique (DPE) après travaux.Surcoût budgétaire : 0,6 Md€ par an.Investissement locatif privéRemplacer fiscalité confiscatoire + dispositifs fiscaux dérogatoires par un système de droit commun général, durable, simple et lisible : amortissement du prix d'acquisition du bâti sur 50 ans (2% l'an) dans le neuf et l'existant, pour le stock et le flux + amortissement accéléré sur 20 ans (5% l'an) si atteinte du « label RE 2020 » en neuf ;amortissement des travaux sur 15 ans + amortissement accéléré sur 10 ans si saut de deux classes DPE ;déductibilité du revenu locatif brut des intérêts d'emprunt (sans limite), des petits travaux et des charges locatives ;déficit foncier imputable sans limite sur le revenu global positif.Économie budgétaire : 0,5 Md€ par an.Non résidentielSuramortissement pour la construction de bâtiments non résidentiels privés.Majoration de 1 milliard d'euros de la Dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), notamment pour accompagner le déploiement de centres de collecte des déchets professionnels.Lancement d'un grand plan EHPAD.Mesures d'accompagnementObtenir l'assouplissement des deux recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d'effort < 33% et prêts immobiliers < 25 ans).Définir clairement ce qui est visé dans la lutte contre l'artificialisation.Choc de simplification administrative : division par deux des délais d'instruction des permis bloqués;accélération de la dématérialisation des permis ;création d'un permis déclaratif dans un périmètre sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté ;relèvement à 100.000 euros du seuil des appels d'offre.
Il y a 4 ans et 330 jours

Wayzz : A l’assaut des bétonniers

Jérôme Braga, co-fondateur de MWSC. [©Wayzz] Issue de la société My Wireless System Company (MWSC), créée en 2013, Wayzz propose des solutions digitales pour le marché du béton. Et notamment Béton Sync’, un outil pour suivre les livraisons de bétons ou de granulats, et pour en dématérialiser son cycle. Embarqué dans le véhicule, le système permet, par l’intermédiaire d’une application web, de géolocaliser toute la flotte de toupies et de connaître leur statut (en chargement, sur le trajet, en attente sur le chantier, en début et en fin de livraison, sur le chemin du retour). Il peut aussi être intégré à l’automatisme de la centrale. Ainsi, le système adresse un SMS au client, lui précisant, par exemple, que la toupie est en cours de chargement sous la centrale. Béton Sync’ confère au bétonnier la possibilité de sécuriser, de gérer et de détecter les points de dévissage. L’outil peut générer des bons de livraison, relier ces derniers aux factures et accepte la signature électronique. En option, les utilisateurs bénéficient d’un service de guidage, et d’un smartphone ou d’une tablette pour gérer l’application embarquée. « Nos clients disposent d’un espace dédié pour suivre, en temps réel, toutes ces opérations, explique Jérôme Braga, co-fondateur de MWCS. Cela permet de sécuriser l’activité et de mieux gérer les litiges, car ils ont accès à tout leur historique. » Une forte croissance en 2019 L’entreprise travaille aussi sur une intelligence artificielle, qui permettrait de détecter et d’alerter sur les comportements anormaux.&nbsp;«&nbsp;En cas de surfacturation, de mauvaise adresse de livraison, de camions bloqués ou de vols&#8230;&nbsp;»&nbsp;Depuis son lancement, Wayzz a équipé 1 200 véhicules. Des matériels issus des flottes de Bronzo Perasso ou encore Béton Solutions Mobiles.&nbsp;«&nbsp;Suite à notre présence au salon Intermat en avril 2018, nous avons signé avec un grand cimentier près de 850 équipements. Ce n’est pas un marché très extensible, mais nous voulons toucher tous les bétonniers. Nous prévoyons ainsi 1 500 véhicules en plus équipés de notre solution en 2019. D’ailleurs depuis décembre 2018, nous sommes de plus en plus en relation avec les fabricants de toupies. Avec des Schwing Stetter ou bien des Liebherr, nous sommes en discussion pour installer Béton Sync’ directement en usine.&nbsp;» Fort de son succès, Wayzz regarde au-delà des frontières hexagonales.&nbsp;«&nbsp;Nous voudrions nous développer en Europe, au Canada et aux Etats-Unis. Soit en gérant depuis la France, soit en trouvant des partenaires&nbsp;», conclut Jérôme Braga.&nbsp; Sivagami Casimir Attrape-moi si tu peux ! Le capteur et le boîtier de géolocalisation sont disposés par les équipes de Wayzz, qui bénéficient d’un réseau d’installateurs couvrant l’ensemble du territoire.[©Wayzz] Au niveau de son fonctionnement, Béton Sync’ dispose d’un boîtier de géolocalisation et d’un capteur installé sur le véhicule,  du réservoir à eau. Ce dernier sert à savoir avec précision, quand la toupie est en train de décharger et détecte le sens de rotation du malaxeur de la toupie. Le système de géolocalisation donne aux différents acteurs la position des toupies en temps réel. Il communique avec le serveur de Wayzz en GPS ou GPRS. Ainsi, la localisation est mise à jour toutes les 7 s. L’application embarquée de gestion fonctionne sur smartphone ou tablette. « Pour des raisons de qualité de service, nous recommandons l’utilisation d’outils dédiés et proposons une tablette Android 7”. » Une plate-forme permet au client de suivre sa flotte sur une carte et de voir les états de chaque véhicule à l’aide d’un code couleur. Elle recense aussi les bons de livraison et l’historique des opérations. Avec ce système, des messages peuvent être reçus ou envoyés à la centrale.
Il y a 4 ans et 330 jours

Report du salon Equip’baie : le dilemme des acteurs de la menuiserie

Reed Expositions France, organisateur du salon Equip&rsquo;Baie Metalexpo a annonc&eacute; le 22 juin le report en 2021 de l&rsquo;&eacute;v&eacute;nement pr&eacute;vu du 17 au 20 novembre.
Il y a 4 ans et 330 jours

Paris Construction Week 2021 : 4-en-1 !

La Paris Construction Week se tiendra du 19 au 24 avril 2021, Paris &#8211; Nord Villepinte et Paris – Porte de Versailles. [©DR] L’organisateur de salons Comexposium&nbsp;annonce un évènement jamais vu dans le monde de la construction. En avril 2021, se tiendra la semaine mondiale de la construction, Paris Construction Week. Celle-ci verra l’ensemble des filières de la construction, du bâtiment et des infrastructures, de l’aménagement urbain et des territoires durables réuni. Près de 190 000 visiteurs sont attendus pour 1 800 exposants. Et ce, par le biais de 4 évènements professionnels. A savoir&nbsp;:&nbsp;Intermat, le World of Concrete Europe, BIM World et Solutions Bas Carbone. Ces manifestations auront lieu sur deux sites. Intermat et World of Concrete Europe Intermat Paris&nbsp;accueillera ses visiteurs du 19 au 21 avril 2021 à&nbsp;Paris &#8211; Nord Villepinte. Conférences, ateliers, tables rondes ou encore visites de délégations étrangères seront organisés autour de 5 pôles d’expertise. Soit “Terrassement, Démolition et Transports”, “Route, Industries des matériaux et Fondations”, “Bâtiment et Filière du béton”, “Levage et Manutention” et un nouveau pôle spécifique aux nouvelles technologies.Paris &#8211; Nord Villepinte sera aussi l’hôte du&nbsp;World Of Concrete Europe&nbsp;du 19 au 24 avril 2021. Celui-ci sera intégré au pôle “Bâtiment et filière du béton” d’Intermat. Il alliera espaces d’exposition et espaces de congrès. Avec des conférences sur les thématiques d’avenir du béton et un espace de démonstrations.&nbsp; BIM World et Solutions Bas carbone Quant au&nbsp;BIM World, il prendra place à&nbsp;Paris – Porte de Versailles&nbsp;du 21 au 22 avril 2021. Le salon dédié aux différents usages et bénéfices du numérique s’articulera autour de 3 pôles. “Construction 4.0” pour concevoir des ouvrages plus performants avec le numérique. “Building as a service” pour développer de nouveaux usages et valoriser les ouvrages. Ainsi que “Smart Data” pour des infrastructures digitales et des plates-formes de services pour les métiers, entreprises et collectivités.Enfin,&nbsp;Solutions Bas Carbone&nbsp;se tiendra lui aussi à&nbsp;Paris – Porte de Versailles les 21 et 22 avrils prochains. L’ambition de l’évènement est de fédérer les acteurs publics et privés engagés dans les grands défis de la transition environnementale. Afin de répondre à cette volonté, 3 univers de solutions et de réalisations seront organisés. A savoir, “Matériaux et Performance environnementale”, “Energie et Performance d’exploitation”, ainsi que “Smart Territoires et Performance d’usages”.
Il y a 4 ans et 331 jours

Qui sont les quatre nominés pour le Grand Prix de l'urbanisme ?

RÉCOMPENSE. Le Grand prix de l'urbanisme 2020 sera annoncé le 9 juillet. Le jury, qui s'est réuni mi-juin, a retenu quatre personnalités.
Il y a 4 ans et 331 jours

Studio Briand & Berthereau : Galerie La Serre, espace pour l’art contemporain de l’Arbre Blanc

Le Studio Briand & Berthereau a aménagé l’espace, dessiné le mobilier et imaginé l’identité de la galerie La Serre, un lieu d’exposition installé au rez-de-chaussée de l’Arbre Blanc à Montpellier (34). Créé en 2011 par Joran Briand et Arnaud Berthereau, le Studio Briand & Berthereau s’est employé à concevoir un intérieur épuré et modulable pour accueillir la galerie La Serre, une galerie d’art dédiée à la création contemporaine. L’idée du studio était de créer un espace d’exposition, mais aussi un lieu de vie et de travail. Cet espace de 440 mètres carrés réparti sur deux niveaux a été spécialement aménagé pour entreposer et exposer des œuvres d’art, ainsi que servir de bureaux. Au rez-de-chaussée, se trouvent l’espace d’exposition et la pièce de consultation. À l’étage, se situent les bureaux, les salles de réunion et l’espace de workshops. Entièrement modulables, les espaces ont vocation à évoluer en fonction de la programmation. Une grille a en effet été placée sous le plafond de la galerie pour suspendre des spots, et des panneaux dessinés sur mesure sur lesquels accrocher des œuvres. Une scénographie spécifique peut ainsi être inventée à chaque exposition. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Briand & Berthereau. Photographies : © Studio Briand & BerthereauLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 332 jours

Et demain, on fait quoi à l’Arsenal ?

Pour sa réouverture, le Pavillon de l’Arsenal, centre d’urbanisme et d’architecture de Paris, devient agora et présente au rez-de-chaussée de sa grande halle l’ensemble des contributions reçues depuis le 16 avril 2020 sur la plateforme « Et demain, on fait quoi ? ». Jusqu’au 6 septembre 2020. Cette exposition évolutive, accompagnée par une série de [&#8230;] L’article Et demain, on fait quoi à l’Arsenal ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 333 jours

Homo Urbanus, Bêka & Lemoine réalisateurs

Suivant une libre divagation autour du monde en 10 films et 10 villes, Homo Urbanus invite à une observation minutieuse des formes multiples et complexes d’interactions entre les individus et leur environnement urbain au quotidien. Jusqu’au dimanche 11 octobre 2020. Après l’épreuve du confinement et de la distance sociale qui ont si brutalement réduit l’espace [&#8230;] L’article Homo Urbanus, Bêka & Lemoine réalisateurs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les "Extatiques", exposition d'art contemporain à l'air libre

C'est "une autre manière de voir la vie, l'architecture, les espaces", avec "un prisme différent", celui des artistes, résume Fabrice Bousteau, le commissaire de l'exposition.Intitulée Rien à Voir, l'exposition dévoile une vingtaine d'œuvres en plein air, en accès libre. Elles ont pour la plupart été conçues spécialement pour l'événement dans le but de "créer un dialogue inédit avec l'environnement"."Moi je milite (...) pour mettre les œuvres d'art dans l'espace public parce que c'est gratuit, donc c'est le meilleur accès démocratique et ça crée une surprise du quotidien", a expliqué à l'AFP M.Bousteau.Parmi les œuvres présentées à la Seine Musicale, "Méandre", d'Elsa Sahal, perchée au cœur de l'île Seguin et dont les courbes et les formes font écho à celles du fleuve qu'elle domine."C'est une sorte de monstre sorti de l'eau accompagné d'une flore sous-marine qui est représentée par ces éléments en céramique, sur lesquels on peut s'assoir et méditer sur le lien entre l'homme et la nature, le lien qu'on a avec l'eau et le monde sous-marin" raconte l'artiste.D'autres œuvres, comme "Le jour où les fleurs ont gelé", de Julie C. Fortier, ou "Screwd Harmonies" de Matteo Nasini, offrent une expérience sensorielle au visiteur, mettant respectivement l'accent sur l'odorat et l'écoute.A La Défense, le visiteur peut déambuler et découvrir les œuvres une à une sur l'Esplanade. Au bout du circuit, l'obélisque d'Iván Argote forme une arche dont la pointe s'étale lourdement sur le sol."L'obélisque, pour moi, est un symbole de force et de pouvoir. Je voulais lui enlever toute cette masculinité et la laisser à terre", explique l'artiste colombien dont l'œuvre est située, non sans symbole, au cœur du quartier d'affaire et dans le même axe que celle qui trône sur la place de la Concorde.
Il y a 4 ans et 335 jours

Appel à candidature pour la 8ème édition du concours international des Intermat Innovation Awards

Cette 8ème édition s'inscrit pleinement dans la vision prospective du millésime 2021 d'INTERMAT, qui ambitionne de révéler, d'accélérer l'innovation et d'en combiner toutes les composantes qui feront l'efficience et le succès des projets de demain.Pour la première fois, l'annonce des nominés aura lieu lors des INTERMAT Press Day le 21 janvier 2021 pour mettre en lumière les innovations sélectionnées lors de la première réunion du jury. Et les lauréats seront annoncés le 19 avril 2021 sur le salon lors de la cérémonie de remise des trophées qui sera suivie d'une soirée de networking.L'appel à candidatures est aujourd'hui lancé pour tous les exposants d'INTERMAT 2021 qui développent un produit, un service, un équipement, un matériel, une technique ou une solution répondant aux thématiques en termes d'innovation de l'un des 5 pôles d'expertise du salon :Terrassement, Démolition & TransportRoutes, Industries des Matériaux & FondationsLevage & ManutentionBâtiment & Filière du BétonNouvelles TechnologiesChacune de ces 5 catégories récompensera deux innovations : Équipements & Matériels et Composants & Accessoires, soit 10 lauréats pour cette édition, revisitée en fonction de la nouvelle sectorisation du salon et enrichie par la catégorie Nouvelles Technologies.4 prix spéciaux récompenseront également les initiatives des entreprises proposant une innovation spécifique dans ces secteurs et domaines :Prix World of Concrete EuropePrix « Transition Énergétique »Prix Start-UpPrix SécuritéAu total, 14 lauréats seront récompensés.Le jury et les critères de sélectionSous la présidence de Bruno Cavagné, président de la FNTP, un jury, rassemblant des experts issus d'entreprises européennes de la recherche et de l'industrie de la construction, étudiera les dossiers de candidatures pour sélectionner les nominés, qui seront pour la première fois mis en lumière, puis les 14 lauréats.5 critères de sélection sont à prendre en compte par chacun des jurés pour choisir les dossiers parmi les domaines de progrès suivants :Économie : diminution des coûts d'investissement et d'entretien, simplification de la maintenance, amélioration du système de production et valorisation des produits ou techniques,…Conception technique et technologies utilisées : amélioration de la performance et de la productivité, facilité d'entretien,…Fonctionnement : qualité du travail, gain de productivité, facilité d'entretien et efficacité énergétique,…Utilisation : facilité d'emploi, ergonomie, confort, sécurité, amélioration des conditions de travail et prévention des risques,…Respect de l'environnement : préservation du climat et de la biodiversité, économie circulaire,…Le calendrier du concours5 octobre 2020 : clôture des inscriptions16 octobre : clôture des dépôts de dossiers.25 novembre : 1ère réunion du jury pour évaluer chaque dossier puis sélectionner les nominés.21 janvier 2021 : annonce des nominés lors des INTERMAT Press Days.10 février : 2ème réunion du jury pour la sélection finale des lauréats.19 avril : annonce des lauréats lors de la cérémonie de remise des Awards sur le salon.
Il y a 4 ans et 335 jours

Une enveloppe rénovée pour l'immeuble de bureaux Metroscop à Créteil (94)

Pour cette réhabilitation, l'agence QUADRI FIORE ARCHITECTURE a reçu le « PRIX 4114 » au PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL 2019. Elle a soumis une proposition au maître d'ouvrage sans modifier la structure en béton préfabriqué afin de mener les travaux rapidement et dans le budget alloué. Elle s'est appuyée sur le savoir-faire de l'ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL STIM TECHNIBAT, qui a réalisé des relevés précis en amont pour faciliter la mise en œuvre des menuiseries aluminium TECHNAL. Au total, près de 2 000 châssis ouvrant à la française SOLEAL 65 ont été installés sur des précadres, en lieu et place des anciennes fenêtres bois et PVC. Leur performance, conjuguée à une pose au nu extérieur, optimise l'isolation thermique de cet immeuble R+10, d'une superficie de 14 000 m².Pour susciter une nouvelle attractivité au bâtiment, QUADRI FIORE ARCHITECTURE a créé une rupture avec la partition unique et sobre des façades d'origine. Une teinte « ocre », chaude et intemporelle, se décline ainsi sur les menuiseries TECHNAL et le bardage métallique. Elle contraste avec le revêtement minéral blanc de l'enveloppe. Elle joue également avec les variations de la lumière, passant d'un jaune intense lorsqu'elle prend le soleil à une nuance plus sombre dès que la nuit tombe. Cette couleur, signature du bâtiment, se marie à d'autres subtilités graphiques : jeux de rythmes et de ruptures d'échelles, réunification d'étages… Autant d'éléments qui animent les façades, sollicitent l'intérêt du regard et révèlent les espaces paysagers à proximité immédiate.Tout pour le confortCes ensembles menuisés SOLEAL 65 se distinguent par leur ouvrant caché MINIMAL, qui permet de conserver un maximum de clair de vue (luminosité naturelle Sw = 0,50 et TLw = 0,61). Leur performance thermique offre un Uw de 0,9 W/m².K. Des atouts qui permettent aux occupants de travailler sur des plateaux de bureaux confortables et sereins. Depuis la cafétéria au rez-de-chaussée ou les deux halls d'entrée traversants, les salariés bénéficient également d'espaces accueillants.Les menuiseries possèdent des dimensions similaires, L. 1 x h. 1,50 m, sur 90% de la façade. Seules celles du rez-de-chaussée et du 3ème étage sont agrémentées en supplément d'allèges vitrées. Les profilés ont été créés sur-mesure pour intégrer directement les stores à l'ensemble.Le projet METROSCOP a reçu le « PRIX 4114 » au dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL. Cette distinction fait référence au Club TECHNAL qui porte le même nom. Elle a récompensé l'ouvrage ayant recueilli le plus de votes auprès de sa communauté. Une reconnaissance pour l'agence QUADRI FIORE ARCHITECTURE primée par ses pairs.Lancé fin 2018, le Club « 4114 » vient de souffler sa première bougie ! Rétrospective de l'année écoulée :regroupe près de 500 membresune multitude d'articles sur les actualités et dernières tendances autour de l'architecture sur le blog 4114deux évènements d'envergure organisés (présentation en avant-première du nouveau système hybride TIGAL et conférence de STEFANO BOERI autour du « Seuil et de la végétalisation en architecture »)premier numéro du « Mag 4114 », dédié au développement durable, à l'occasion du Mondial du Bâtiment
Il y a 4 ans et 335 jours

Aménagement d'un hôpital de campagne dédié au coronavirus sur le parc d'exposition d'Hanovre

Cet hôpital de campagne est conçu pour accueillir 500 patientes et patients ne nécessitant pas de soins médicaux intensifs. Plus de 80 médecins et une centaine de membres du personnel médical seront en mesure de soigner ces patients. L'exploitation de ce centre de soins sera prise en charge par l'École Supérieure de Médecine de Hanovre. Il devra être mis en service dès lors que tous les hôpitaux régionaux auront atteint leur capacité maximale. La transformation de halls d'un parc d'exposition en un hôpital de campagne nécessite de nombreuses installations techniques.Un équipement à la pointe C'est une équipe SPIE de Hanovre qui réalise l'installation des infrastructures de cet hôpital de campagne. Une telle opération présente un niveau d'exigences élevé, particulièrement en ce qui concerne l'équipement technique et la logistique qui l'entourent. « Le plus grand défi dans cette opération, c'est de transformer un hall de parc d'exposition vide en un centre médical de pointe - à commencer par l'installation et la mise en réseau du système de télécommunication », déclare Wolfram Ermlich, chef de projet au sein de la division Information & Communication Services de SPIE. À côté du hall destiné au traitement des patientes et des patients, il a fallu transformer d'autres halls - par exemple, pour la gestion des lits, pour les vestiaires du personnel, pour la cafétéria, pour la zone logistique et de stockage et pour le stationnement des véhicules.« En coopération avec Deutsche Telekom, nous avons installé dans la zone de soins aux patients environ 250 téléphones et 16 antennes DECT, et posé 15 kilomètres de câblages en cuivre ainsi qu'un kilomètre de câbles pour la fibre optique. De plus, ce sont cinq réseaux WLAN individuels qui sont à la disposition de cet hôpital de campagne », indique le chef de projet. De cette façon, une communication rapide, sûre et sans interruption peut être garantie à l'intérieur du centre de soins.En ce qui concerne l'installation électrique, d'innombrables prises et connexions ont été prévues pour alimenter les espaces individuels et collectifs, ainsi que les services administratifs situés dans les salles annexes et les halls adjacents.Un excellent partenariat Une bonne collaboration entre les différents responsables de l'opération - l'École Supérieure de Médecine de Hanovre en sa qualité d'exploitant, la Deutsche Messe AG en tant que maître d'ouvrage des halls ainsi que le Technische Hilfswerk en tant que directeur technique général du projet - a contribué à sa réussite.« Le client se félicite de la bonne coopération entre toutes les parties prenantes et se montre très satisfait de la façon dont une opération aussi exigeante a été jusqu'à présent menée à bien. », commente Wolfram Ermlich.
Il y a 4 ans et 336 jours

La métropole de Saint-Étienne annonce un plan de relance de 150 millions d'euros

À l'intérieur de cette enveloppe budgétaire, 70 millions d'euros serviront à "subventionner des projets communaux gelés ou suspendus, pour accélérer leur réalisation afin d'atténuer les conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire", a déclaré lors d'une conférence de presse Gaël Perdriau, également candidat pour un nouveau mandat de maire de Saint-Étienne.80 millions d'euros seront aussi affectés à des projets relevant de la transition énergétique, de la rénovation urbaine, du développement de l'enseignement supérieur, et de l'accompagnement de jeunes entreprises en matière de recherche et d'innovation.L'élu a aussi annoncé "un doublement des moyens de la métropole en matière de lutte contre la précarité" et confirmé son engagement en faveur d'une stabilité de la fiscalité de cette collectivité au cours du prochain mandat.Saint-Étienne Métropole "négociera, au bénéfice des 53 communes qui la composent, un fonds d'emprunt de 150 millions d'euros auprès de grands opérateurs tels que la Caisse des dépôts et la Banque des territoires pour financer des projets à fort enjeux économique et social", a-t-il indiqué.Interrogé sur ce qui devait être un projet phare du prochain mandat, remis en cause par Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, Gaël Perdriau a répondu être "toujours dans l'attente d'une réponse officielle du gouvernement concernant l'abandon de l'A45".Ce projet d'autoroute entre Saint-Étienne et Lyon représente un investissement de 1,2 milliard d'euros, pour lequel l'offre de Vinci avait été retenue et dont la Déclaration d'utilité publique prise voici 12 ans deviendra caduque le 16 juillet prochain.
Il y a 4 ans et 336 jours

Fabemi adopte une nouvelle stratégie de marque et lance son nouveau site Internet

Entreprise familiale française qui compte 13 sites de production dans l’Hexagone, le Groupe Fabemi réunit trois marques expertes reconnues : Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D’ARC. Celles-ci viennent d’être regroupées sous la bannière unique de Fabemi. Le nouveau site Internet dédié à Fabemi inaugure cette importante refondation démarrée en 2020. Le Groupe Fabemi vient d’ouvrir son nouveau site www.fabemi.fr qui réunit en une seule adresse Net les trois entités Fabemi. Cette réorganisation permet de clarifier l’offre du Groupe à l’intention des professionnels et des particuliers. Elle rassemble les savoir-faire à travers une nouvelle architecture qui facilite la navigation de l’internaute d’une rubrique à l’autre. Fabemi, référence des constructeurs et des paysagistes Face aux mutations en cours dans le secteur de la construction, le Groupe Fabemi se devait de capitaliser un maximum sur son seul nom. Simplifier, en rationalisant sa communication à l’attention de ses clients &#8211; maçons, entreprises de travaux publics, paysagistes, particuliers &#8211; était devenu une évidence. Fabemi entend ainsi soutenir les professionnels en leur fournissant les meilleures solutions et en les accompagnant dans leur développement. La création du site www.fabemi.fr pose la première pierre de cette réorganisation d’ampleur. Le site offre la possibilité de communiquer sur les valeurs essentielles du Groupe, met en avant sa démarche et l’esprit qui la sous-tend, sa mission, son ambition… Il présente et met à la disposition de chaque client une offre globale des produits et des services Fabemi lui permettant de réaliser son projet de A à Z, du gros œuvre à l’aménagement extérieur. Trois métiers, trois couleurs, une seule marque Dans cet élan de simplification, le Groupe Fabemi a renommé ses trois activités, de manière à pouvoir disposer d’une offre globale, claire et lisible pour l’ensemble de ses clients. Ainsi, l’activité Structure devient Fabemi Gros œuvre, l’activité Aménagement Extérieur devient Fabemi Terrasse & Jardin, et l’activité Travaux Publics devient Fabemi Voirie & Réseaux. Ces trois secteurs sont regroupés sur un même espace dans le nouveau site web, qui devient plus dynamique, plus moderne et intuitif. Cela permet aux clients de naviguer facilement à travers l’ensemble de l’offre Fabemi. &nbsp; Une offre structurée autour de trois axes Le nouveau site Fabemi, qui s’adresse aux aux professionnels et aux particuliers, ouvre sur la présentation et l’historique du Groupe, né en 1961 à Donzère (Drôme). Les trois principaux domaines développés sur www.fabemi.fr se distinguent aisément par leurs coloris bleu, vert et orange : &#8211; Fabemi Gros Œuvre/Construction (bleu), avec des solutions durables et globales pour les bâtiments résidentiels, commerciaux et industriels, en structures horizontales et verticales. &#8211; Fabemi Terrasse & Jardin/Aménagement (vert), avec des solutions créatives pour les ouvrages construits et les aménagements paysagers tels que les terrasses, plages et tours de piscine, dégagement et allées. &#8211; Fabemi Voirie & Réseaux/Urbanisation (orange), avec des solutions optimisées pour l’acheminement des réseaux d’assainissement, de télécommunications… et pour la valorisation de l’espace public (chaussée, aménagement urbain). Les produits mis en avant dans chaque univers bénéficient d’une fiche technique détaillée avec résumé, caractéristiques, documentations (fiche produit, FDES&#8230;) et conseils de pose. J’ai un projet de… Les professionnels souhaitant utiliser le savoir-faire et l’offre de Fabemi comme les particuliers qui cherchent à définir leur projet trouveront dans ce nouveau site clair et bien structuré de nombreuses idées et réponses techniques à même de faciliter la mise en œuvre de leur ouvrage. Ainsi, les trois principaux domaines d’activité, déclinés de la même façon pour les professionnels comme pour les particuliers, sont détaillés dans leurs couleurs respectives sous les rubriques « J’ai un projet de construction » (bleu), « J’ai un projet d’aménagement » (vert) et « J’ai un projet d’urbanisation » (orange). « Conseils et guides » et « Nos Catalogues » L’offre du site Fabemi est complétée par les deux grandes rubriques « Conseils et Guides » et « Nos Catalogues ». Conseils et guides : les travaux pratiques &#8211; pose de pavés, de dalles, montage d’un mur… font l’objet de descriptions et conseils détaillés, avec textes et photos, animés par des vidéos montrant les étapes à suivre pour réussir son ouvrage avec des matériaux Fabemi. Nos Catalogues : les publications sur l’offre Fabemi couvrent l’intégralité des besoins des professionnels et des particuliers dans le domaine de la construction. Chaque catalogue fait l’objet d’une publication annuelle et intègre les nouveautés mises sur le marché. Présentation des produits et des ouvrages, commentaires, schémas, explications et photos sont remarquablement mis en page. Des ouvrages de référence à télécharger et à consulter pour mieux s’informer en vue de concrétiser son projet. FabExpress, portail collaboratif En cliquant sur FabExpress, chaque client du Groupe Fabemi a accès en temps réel à toutes les informations sur ses devis, ses commandes et ses factures. Il peut aussi consulter l’ensemble des produits présentés avec leurs visuels et fiches techniques. Actualisée toutes les dix minutes, cette plateforme est un outil qui facilite le suivi commercial et la gestion 24h/24. Une équipe dédiée répond aux interrogations spécifiques des clients. Club Fabemi Experts s’ouvre à l’ensemble des artisans Accessible depuis le nouveau site du Groupe, le Club Fabemi Experts rassemble plus de 600 entreprises de pose. Les principaux clients utilisant la plateforme Club Fabemi Experts étaient auparavant les paysagistes. La nouvelle stratégie Fabemi s’adresse désormais à tous les artisans concernés par au moins l’une des trois activités du Groupe. Les adhérents peuvent ainsi s’appuyer sur la qualité des produits et services Fabemi pour développer leur activité. &nbsp; Sport et dynamique de groupe Le Groupe Fabemi partage par ailleurs avec l’univers du sport des valeurs communes : dynamisme, émulation collective, engagement, échange, entraide, cohésion… Des actions seront menées dans ce sens, via des événements sportifs (course à pied par exemple), le soutien d’initiatives locales ou encore des partenariats. Prochains grands rendez-vous sportifs : Run in Lyon, le 4 octobre 2020 et Run in Marseille le 22 novembre 2020.
Il y a 4 ans et 336 jours

Déménagement d’entreprise : Comment le réussir ?

Comment réussir son déménagement d’entreprise ? Le déménagement d’entreprise a toujours été une opération compliquée. Il nécessite assez de temps et une organisation rigoureuse pour que la réussite soit au rendez-vous. C’est un véritable défi parce qu’il ne se fait pas de la même façon qu’un déménagement personnel. Le changement de siège implique souvent l’implication de tous les maillons de l’entreprise et il faudra maitriser le sujet pour y parvenir efficacement. Si vous prévoyez de déplacer vos bureaux vers un nouveau local, découvrez quelques astuces et conseils pour réussir son déménagement d’entreprise. Dans quelles conditions un déménagement d’entreprise peut se faire correctement ? Dans la plupart des cas, le déménagement d’entreprise ne se prévoit pas vraiment. Par la force des choses, certains entrepreneurs sont obligés de faire déplacer leur siège social. Cela peut arriver après un préavis donné par le propriétaire de vider les lieux, après des contraintes naturelles endommageant le fonctionnement de la structure ou suite à une décision technique visant à agrandir l’espace de travail. Si vous êtes dans le cas actuellement, vous pourrez trouver sur nextories.com, les formules pouvant vous permettre de bien planifier une telle opération. Pour que le déplacement de vos bureaux soit une réussite, il faudra vous y mettre le plus tôt. Un déménagement d’entreprise nécessite assez de temps et de moyens logistiques. Pour sa réussite, il faut bien s’organiser. Le mieux serait même de commencer la planification dans les trois mois avant l’opération. Après avoir trouvé le nouveau local, il faut d’abord commencer par informer vos collaborateurs afin qu’aucun d’entre eux ne soit en déphasage avec le projet. Il faudra ensuite évaluer le coût de l’opération. Vous pourrez obtenir votre devis rapidement, sur Internet. Au préalable, choisissez de la meilleure des façons, un prestataire professionnel qui pourra s’occuper dans tous les détails possibles, de votre déménagement d’entreprise. Pour réussir son déménagement d’entreprise, Internet est aujourd’hui un moyen très rapide. Il faut juste connaître le mécanisme de sélection en ligne sur une plateforme digne de confiance. Choisissez pour ce fait, un site de déménagement dont l’image n’est pas liée qu’au web mais dont les spots publicitaires passent également sur d’autres médias. Ainsi, vous êtes sûr de confier vos meubles de bureaux et documents administratifs à une structure responsable et sérieuse. Sur une telle plateforme, vous serez certainement mis en contact avec un conseiller qui pourra mieux se renseigner auprès de vous et proposer trois ou quatre devis de déménagement d’entreprise. Cela vous permettra de faire une comparaison, en prenant en compte vos critères personnels avant de faire la sélection finale. Quelles sont les étapes indispensables pour réussir son déménagement d’entreprise ? Pour réussir son déménagement d’entreprise, il est important de partir sur une bonne base. Après avoir connu et compris les raisons qui vous imposent un changement d’adresse, recherchez un nouveau local répondant à vos besoins et exigences en matière de budget, localisation et superficie. Définissez ensuite les objectifs à atteindre et établissez un plan d’action structuré, de commun accord avec vos collaborateurs. Vous pouvez, si la taille de votre entreprise le permet, choisir pour votre déménagement d’entreprise, un collaborateur capable de coordonner cette opération du début jusqu’à la fin. Il doit avoir de réelles capacités pour gérer tous les aspects de ce projet. Si vous avez de la disponibilité, vous pouvez prendre vous-même les commandes pour que tout se passe dans des conditions optimales et que vous puissiez respecter les différents deadlines des propriétaires de locaux. Réussir son déménagement d’entreprise n’est pas chose aisée. Mais avec l’aide de véritables connaisseurs du domaine, vous pourrez atteindre facilement vos objectifs. Choisissez une bonne plateforme à cet effet et le tour est joué pour votre déménagement d’entreprise. Demandez si possible, plusieurs devis afin d’élargir votre champ pour le choix du prestataire idéal. Par ailleurs, il serait encore mieux pour vous de choisir un déménageur capable de faire le transfert dans les moindres détails. Il doit être en mesure de faire transférer tous vos contrats en cours (assurance, internet, électricité, téléphone…). Pour réussir son déménagement d’entreprise, la sélection du prestataire est une étape importante. En choisissant de faire votre déménagement d’entreprise en ligne, vous gagnerez forcément en temps, en argent et en efficacité.
Il y a 4 ans et 337 jours

Le salon Équipbaie-Métalexpo reporté à 2021

La récente épidémie de COVID-19 et ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers ont incité les organisateurs du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO à reporter l'édition 2020, initialement prévue du 17 au 20 novembre.Malgré les signes encourageants de recul de la pandémie en France, les organisateurs, après discussion avec les exposants inscrits au salon et les organisations partenaires, ont conclu que la combinaison d'une situation sanitaire incertaine et de la récession économique actuelle n'étaient pas propices à la tenue du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en novembre prochain. En effet, les industriels vont consacrer le reste de l'année 2020 à remettre leur production en ordre de marche, et les entrepreneurs de bâtiment à remplir leurs carnets de commande pour assurer la continuité de leur activité.Afin d'assurer son rôle d'animateur de sa filière, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO va cependant continuer à déployer des initiatives, comme la publication de l'étude sur la digitalisation des installateurs (ici), et accompagner les entreprises du secteur en attendant la tenue du prochain ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Notamment au travers de nouveaux services digitaux sur lesquels les équipes d'organisation et les partenaires du Pôle Fenêtre sont d'ores et déjà mobilisés.« La décision a été difficile à prendre, mais ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est le rendez-vous de la filière, et maintenir l'édition 2020 aurait été trop contraignant pour les industriels et les entreprises de bâtiment. »- Guillaume Loizeaud, directeur du salonLes dates définitives de la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 seront définitivement arrêtées et communiquées en juillet.« Face aux incertitudes sanitaires et économiques, le report du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est une décision qui s'impose. La fraternité et la convivialité sont au cœur de nos salons et plus généralement des valeurs fortes du bâtiment. Nous sommes impatients de vous accueillir en 2021. »- Franck Perraud, Président de la FFB Métallerie« C'est une sage décision que vient de prendre Reed Expositions France de reporter à 2021 le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Réussir un salon est un travail de longue haleine, le maintenir en 2020 aurait fait prendre un risque important à ce rassemblement. La profession a besoin d'un salon national fort, ce sera ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021. »- Bruno Cadudal, Président de l'UFME« 2020 était l'année d'un nouveau positionnement prometteur pour ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, « le rendez-vous des pros », objet de beaucoup de travail en commun entre Reed Expositions France et le Pôle Fenêtre FFB. Son report est donc très frustrant, mais c'est une décision qui s'impose. Notre détermination à réussir et notre envie de surprendre restent intacts. Rendez-vous en 2021. »- Bruno Léger, Président du SNFA
Il y a 4 ans et 337 jours

Rencontre avec : Studio Élémentaires

Depuis la création de leur studio en 2013, Apolline Couverchel et Gauthier Haziza signent des installations poétiques et se lancent dans des projets fous. Rencontre avec ce duo qui force l’admiration. Muuuz : Quel est votre parcours respectif, et pourquoi avez-vous décidé de vous associer pour fonder Studio Élémentaires en 2013 ?Apolline Couverchel : Après mon baccalauréat, j’ai étudié deux ans à l’École Duperré, puis la scénographie à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre de Lyon. Ensuite, j’ai travaillé pour des studios de design et de scénographie à Paris. Gauthier et moi nous sommes rencontrés à l'ENSATT, et avons rapidement souhaité travailler ensemble. C’est d’ailleurs à l’ENSATT que nous avons appris à raconter des histoires avec la lumière et l’espace.Gauthier Haziza : J’ai étudié l’histoire de l’art, options études théâtrales, à l’université, la conception lumière à l’ENSATT, et le marketing et la communication à l’université Panthéon Assas. En 2013, nous avons fondé notre propre studio et nous avons commencé à travailler sur divers projets. La même année, le chef cuisinier français Paul Pairet nous a invités à collaborer avec lui pour réaliser une installation dans le cadre de l’exposition Cookbook, l’art et le processus culinaire aux Beaux-Arts de Paris. En 2015, nous sommes partis à Shanghai pour participer à une résidence artistique organisée par le groupe Swatch. À cette occasion, nous avons travaillé pendant quatre mois au Swatch Art Peace Hotel et avons créé in situ notre Ciel-volant, un cerf-volant aux couleurs du ciel qui a été remarqué par Shang Xia, une marque chinoise créée par Hermès, avec laquelle nous avons ensuite collaboré. Aujourd’hui, nous vivons à Bruxelles et travaillons aux Zaventem Ateliers. Comment êtes-vous arrivés à la conception d'installations cinétiques immersives ? Pourquoi avez-vous choisi de vous éloigner du théâtre pour vous concentrer sur l’art contemporain et le design ?AC : Le théâtre a beaucoup nourri notre imaginaire, mais nous avons aussi découvert ses limites. Nous avons donc souhaité nous détacher du texte, car au théâtre tout est mis au service du langage. Aujourd’hui, nous travaillons la lumière, le mouvement et l’espace, sans faire du théâtre, mais nous nous en inspirons constamment. GH : La lumière, la temporalité, le mouvement et la narration amènent finalement cette notion d’art vivant qui est caractéristique du théâtre. Il y a toujours une narration derrière nos objets. Par exemple, dans&nbsp;Silo, nous avons investi l’abbaye Notre-Dame de Bernay et créé une installation faisant écho à l’histoire du lieu. Au centre de l’édifice, nous avons érigé un silo agricole de huit mètres de haut rempli de popcorn, car l’église fut transformée en une halle aux blés en 1814. En termes de matériaux, couleurs et technologies, qu'est-ce qui constitue vos installations ? AC : Dans nos créations, les sources de lumière sont simples et variées. Nous utilisons des filtres colorés, des filtres lumières, des matières brutes. Le mouvement est notre point de départ. Nous cherchons à associer la beauté de la matière à la beauté de la technologie afin de créer un mouvement dans l’espace. Les nouvelles technologies confèrent à nos installation poésie et magie.GH : Nous nous renouvelons beaucoup, donc nous ne nous enfermons pas dans un style. Avec notre lampe mobile Hypnos, nous nous sommes concentrés sur le rapport entre le sable et la lumière pour façonner l’objet. Nous aimons les choses simples mais derrière l’apparente simplicité de nos objets se cache une grande complexité technique. Que questionnez-vous dans vos créations ? AC : Avec nos installations, nous nous intéressons à la magie, à la poésie et à la narration, et nous cherchons à surprendre le regardeur. GH : La question n’est pas arrêtée. Nous sommes très curieux, et nous puisons nos inspirations dans divers domaines. Quand nous collaborons avec un lieu, nous pouvons nous inspirer de l’histoire du site. Quand nous concevons nos propres objets, nous questionnons l’essence de notre travail. Comment voir ? Comment représenter ? Comment surpendre ? Créer c’est aussi raconter.&nbsp;Comment jouez-vous avec la perception ? AC : Nos objets plongent les spectateurs dans une sorte d’expérience du regard. Nous nous approprions des artifices du théâtre pour créer des effets. Dans notre installation Dichrofield réalisé pour le Jam Hôtel de Bruxelles, le mécanisme est visible. Dans certaines de nos créations, la technique est très belle, et nous souhaitais la monter. Dans d'autres, nous préférons garder une part de mystère. Comme au théâtre, nous avons appris à fabriquer des illusions, des leurres.GH : Nous jouons avec la perception grâce à des artifices, qui sont inspirés de la magie et du théâtre. Quand nous présentons nos installations, les regardeurs cherchent souvent le trucage. À Bernay, le directeur du théâtre Le Piaf nous a commandé une servante de théâtre. Nous avons fabriqué nos Ghost lamps en montant des ampoules sur une structure en acier. À la nuit tombée, ces lampes se&nbsp;mettent à s’allumer et à bouger comme par magie, et&nbsp;résonnent alors avec les fresques murales de l'artiste Elliott Causse.&nbsp; Pourriez-vous me parler de Umbra, votre dernière sculpture en mouvement inspirée par le phénomène de l'éclipse totale ?AC :&nbsp;À la dernière foire Collectible, quand nous avons exposé Umbra, les visiteurs s’arrêtaient pour contempler la lampe. Dans un monde régi par l’efficacité, se retrouver face à des objets au fonctionnement mystérieux déroute. Umbra est doté d’un moteur qui permet de faire tourner le disque de la lampe très lentement. Lorsque la lumière est allumée, le disque tourne selon un temps aléatoire, défini en fonction de la durée des éclipses solaires totales du XXIème siècle.&nbsp;GH : Umbra est une lampe légère et suspendue qui a son propre cycle de vie. Avec Appoline nous réfléchissons souvent sur les phénomènes naturels. Récemment, nous nous sommes lancés dans un travail de recherche sur l’éclipse, et avons étudié les mouvements les plus élémentaires de ce phénomène naturel spectaculaire.&nbsp; Quelles sont vos autres projets et collaborations prévus prochainement ? AC : Nous allons collaborer avec une maison d’édition pour présenter notre création&nbsp;Umbra. GH : Nous travaillons sur notre installation System,&nbsp;qui sera exposée dans le hall d’accueil d’un espace de coworking avenue Louise à Bruxelles. Nous nous concentrons également sur de nouvelles créations autoproduites. Quel serait votre installation rêvée ? AC : Nous voudrions nous inspirer de la tradition japonaise du Hannabi, une version minimaliste du feu d’artifices qui reprend le cycle de floraison d’une fleur.GH : En effet, nous aimerions beaucoup travailler sur le feu d’artifices, car cela associe l’espace, la lumière, la couleur, la représentation. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Élémentaires.Photographies : © Studio ÉlémentairesLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 337 jours

Dossier : 5 expositions à visiter à Paris

Après deux mois rythmés par des visites virtuelles d’expositions, de nombreuses galeries d’art ont rouvert leurs portes, et nous proposent depuis de parfaire notre connaissance de l’art contemporain à travers des accrochages bien réels. Focus sur cinq expositions organisées par des galeries à voir à Paris en ce moment. Chloe Sells à la galerie Miranda La galeriste franco-australienne Miranda Salt nous plonge dans l’univers onirique de la photographe américaine Chloe Sells (née en 1976). Cette exposition monographique dévoile une série récente qui rassemble des photographies des lacs de sel Makgadikgadi Salt Pans prises par Chloe Sells lors d’un séjour dans le désert du Kalahari, au Botswana. Chaque œuvre exposée à la galerie est un tirage chromogénique unique retouché par l’artiste. Après le développement, dans l’obscurité de la chambre noire, Chloe Sells a dessiné sur ses tirages à l’acrylique, à l’encre ou au feutre, travaillé différentes textures, découpé des formes accidentées. En résultent des œuvres très poétiques qui, dans une profusion de couleurs, tutoient l’abstraction. Chloe Sells : The Place of the Dry, Dry, prolongée jusqu’au 27 juin 2020, à la galerie Miranda (75010) . Olivier Masmonteil à la galerie Thomas Bernard - Cortex AthleticoThomas Bernard organise la seconde exposition personnelle de l’artiste-peintre français Olivier Masmonteil (né en 1973) à la galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico en montrant la façon dont il conçoit le paysage et la peinture. À l’occasion de cette manifestation, Olivier Masmonteil nous révèle les secrets de sa peinture qui transforme le tableau en un support de sa mémoire. Dans certaines de ses œuvres aux allures de vieilles cartes postales se croisent alors des souvenirs diffus de ses séjours à Madagascar et des réminiscences des paysages découverts en Nouvelle-Zélande. Ainsi, l’accrochage, pensé et mûri conjointement par Thomas Bernard et Olivier Masmonteil durant la période du confinement, retrace les diverses pratiques artistiques, les réflexions et les recherches de l’artiste. Olivier Masmonteil, Le voile effacé, du 5 mai au 31 juillet 2020, à la galerie Thomas Bernard (75003) . Alexia Chevrollier à la galerie Lou CarterLa galeriste Lou Carter a choisi d’exposer exclusivement des plasticiennes dans son nouvel espace parisien, et vient de lancer un cycle d’expositions dédiées aux artistes femmes dans lequel elle propose une réflexion sur les rapports qu’elles entretiennent avec l’espace. L’exposition consacrée à la plasticienne française Alexia Chevrollier (née en 1989), qui ouvre le bal, se penche sur le processus de transformation de la matière et révèle les recherches de l’artiste autour de l’espace et du temps, ainsi que son approche du don. Les œuvres disposées ici dans un black cube, qui vient contrecarrer le « white cube », désormais trop répandu, donnent à voir la diversité de la matière. L’exposition, surprenante dans sa scénographie, invite les spectateur·rice·s à porter leur attention sur le pouvoir magnétique des œuvres d'Alexia Chevrollier.Alexia Chevrollier, du 10 au 27 juin 2020, à la galerie Lou Carter (75007) . Fabian Albertini à la galerie Molin CorvoAvec Beyond Seeing, la galerie Molin Corvo expose pour la première fois les photographies et les sculptures créées par la plasticienne italienne Fabian Albertini (née en 1965) sur le désert. L’exposition, imaginée par la galeriste Roberta Molin Corvo en collaboration avec Fabian Albertini, se concentre sur quatre photographies surpeintes et trois sculptures en fer réalisées entre 2018 et 2020, et donne à voir les thématiques abordées par l’artiste dans son art&nbsp; : les rapports entre l'homme et l'environnement, la spiritualité, la perception, le mouvement. Les photographies du désert associent des éléments géométriques à un espace environnemental, tandis que les sculptures abstraites ou géométriques évoquent les souvenirs des paysages désertiques visités par l’artiste. L’événement s’achève sur Magneticsphere, un projet non-réalisé, actuellement en cherche de financements. Beyond Seeing&nbsp;by Fabian Albertini, du 18 juin au 09 août 2020, à la galerie Molin Corvo (75007) . Pierre Charpin à la galerie kreo Cinq ans après sa dernière exposition personnelle à la galerie kreo, le designer français Pierre Charpin (né en 1962) nous charme une nouvelle fois avec son approche de la couleur et des matériaux. Avec&nbsp;Similitude(s), la galerie réunit des dessins, des meubles, des objets dans une scénographie graphique conçue par Pierre Charpin lui-même. On peut, entre autres, contempler les vases Plump avec leurs courbes sensuelles, les table basses&nbsp;Translation graphiques et texturées, les miroirs Satellite ludiques et décoratifs, mais aussi découvrir sa pratique du dessin, moins connue, grâce à la présentation en guise d’introduction de sa série « Stain ». Similitude(s), du 20 mai au 31 juillet 2020, à la galerie kreo (75006) Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 338 jours

Le salon Équipbaie-Métalexpo reporté en 2021

Reed Expositions France, organisateur du salon et ses partenaires du Pôle Fenêtre – FFB Métallerie, Groupement Actibaie, SNFA, UFME, UM et UMB – ont pris la décision de reporter l’édition 2020 d'Équipbaie-Métalexpo à une date ultérieure.
Il y a 4 ans et 338 jours

Le salon Equipbaie-Métalexpo reporté en 2021 !

EVENEMENTEL. Comme de nombreux événements, le salon Equipbaie-Métalexpo n'aura pas lieu en 2020 en raison de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 338 jours

Réenchanter le monde – Architecture, villes, transitions

Réenchanter le monde &#8211; Architecture, villes, transitions&#160;: Exposition Manifeste. A la Maison de l’architecture de Normandie, à Rouen. Jusqu’au 19 septembre 2020. Cette exposition conçue avec les 40 lauréats (2007-2014) du Global Award for Sustainable Architecture interroge la mission de l’architecte à l’ère des grandes transitions : démographique, urbaine, écologique, énergétique, industrielle&#8230; Ces architectes viennent [&#8230;] L’article Réenchanter le monde &#8211; Architecture, villes, transitions est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 339 jours

AFEX 2020 – Grand Prix, Mention spéciale et le palmarès

Le Grand Prix AFEX 2020 a été décerné à l’agence architecturestudio pour l’immeuble Summers à Buenos Aires en Argentine. Un Prix spécial du jury a été attribué au Campus scolaire construit par l’Atelier Tanka dans la vallée du Zanskar en Inde. Grand Prix AFEX 2020 &#8211; Immeuble Summers à Buenos Aires, Argentine, par architecturestudio A [&#8230;] L’article AFEX 2020 &#8211; Grand Prix, Mention spéciale et le palmarès est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 341 jours

Les professionnels déplorent le maintien des recommandations du HCSF sur les crédits immobiliers

Parmi ces mesures, celle de "laisser inchangé à 0% le coussin de fonds propres bancaires contra-cyclique" au vu des "circonstances actuelles et pour soutenir l'offre de crédit aux entreprises, notamment les TPE et PME qui dépendent fortement du financement bancaire", indique le HSCF dans un communiqué.Le "coussin contra-cyclique" est une réserve supplémentaire de capital à mettre de côté par les banques en cas de retournement de la conjoncture financière.Ce coussin s'élevait à 0,25% des fonds propres des banques depuis le 1er juillet 2019, et devait être augmenté à 0,5% en avril. Conséquence du Covid-19, il a été supprimé dès le 18 mars.Rappelant que les acteurs financiers français ont abordé cette crise dans une position "solide" avec des réserves de capital renforcées, le Haut Conseil continue d'appeler à "une attitude responsable" les banques et assurances en matière de distribution de dividendes, rachats d'actions et versements de rémunérations variables.Le HCSF, qui rassemble notamment le ministère de l'Économie et la Banque de France, anticipe par ailleurs "une reprise d'activité rapide" sur le marché immobilier tout en rappelant ses recommandations de prudence dans l'octroi de crédits immobiliers: pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans et respect d'un taux d'endettement à 33%.En toile de fond "les risques pour le système financier restent toutefois à un niveau élevé, compte tenu de l'ampleur des pertes économiques déjà subies et à venir", estime le HCSF, soulignant "l'incertitude sanitaire et la trajectoire de la reprise".D'où également le maintien de sa mesure dite "grands risques", en vigueur depuis mai 2018, consistant à réduire l'exposition des grandes banques aux grandes entreprises endettées en limitant leur exposition à ces dernières à un niveau maximum de 5% de leurs fonds propres éligibles.Cette mesure vise aussi à faciliter "la mise en œuvre des dispositifs de soutien au financement des entreprises", explique-t-il.Sur la possible création d'une structure de défaisance, ou "bad bank", une source proche du HCSF écarte cette option."Ce n'est pas à l'ordre du jour actuellement en France (...) le secteur financier est tout a fait à même d'absorber cette crise et même d'accompagner les entreprises françaises dans cette crise en faisant plus de prêts", estime cette même source.Les primo-accédants encore plus pénalisés face à l'emprunt immobilier selon La Centrale de FinancementLes primo-accédants sont une source naturelle de la production de crédit immobilier. Avec la crise sanitaire, ceux-ci ont été fortement impactés par la baisse de leur pouvoir d'achat, ne leur permettant plus de s'engager sur un projet d'emprunt immobilier. La décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) risque d'aggraver la situation d'un pan de la population déjà suffisamment meurtri par la crise...« Le maintien de ces mesures restrictives par le HCSF (pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans ni d'endettement au-delà de 33%) aura pour effet premier de pénaliser encore davantage les primo-accédants, déjà fortement affectés par l'augmentation du chômage partiel. C'est une véritable mauvaise nouvelle pour le marché du crédit immobilier.Celui-ci s'était naturellement régulé avec la crise sanitaire et ce, sans intervention du HCSF. Le premier semestre 2020 illustre d'ailleurs cette tendance avec 200 000 transactions immobilières de moins par rapport à l'année passée. Alors que nous envisagions sereinement la reprise, la décision du HCSF n'envoie aucun signe positif pour l'encourager et la favoriser... Cette position inflexible et intransigeante est en totale contradiction avec les annonces formulées par le gouvernement et les pouvoirs publics souhaitant, à l'inverse, dynamiser l'activité économique. Le marché du crédit immobilier porte notre économie, Il est donc plus que jamais urgent d'en assouplir les conditions d'accès ! »Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de FinancementLCA-FFB déplore le maintien des recommandations du HCSFÀ l'heure où les remontées de terrain sur la très forte dégradation de l'activité commerciale du secteur se confirment dans les statistiques du marché, au moment où le Gouvernement prépare un plan de relance de la construction, LCA-FFB s'étonne que le HSCF confirme sa position. Ces règles conduisent à fortement contraindre la distribution de crédits immobiliers, avec des effets qui se font durement ressentir (en particulier par les jeunes ménages et les familles modestes). L'enquête conduite début juin par LCA-FFB auprès de ses adhérents montre que 75% d'entre eux constatent un net durcissement des conditions d'octroi des prêts immobiliers, proportion en hausse de 11 points par rapport à la précédente enquête de fin avril.À fin avril, les ventes de maisons neuves en secteur diffus se sont écroulées de 36% sur trois mois en glissement annuel[1] et de 59% sur le mois d'avril. À fin mars, selon les données publiées par le Ministère du Logement[2], les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers ont chuté de 24% par rapport au premier trimestre 2019 (-24% pour le collectif et -29% pour l'individuel groupé) et les mises en vente de logements enregistrent un recul de 28% sur cette même période.Grégory Monod, Président de LCA-FFB : « le maintien des recommandations du HCSF est incompréhensible au regard de la maîtrise des risques par le système financier français, qui ne montre toujours pas de signes de fragilité, et alors que la situation du logement neuf se dégrade fortement. Le violent trou d'air provoqué par la crise du Covid-19 va lourdement frapper nos entreprises et nos emplois. Un plan de relance d'envergure, à court et à moyen terme, et à la hauteur des enjeux du secteur est indispensable.Dans l'immédiat, il faut permettre aux établissements de crédit d'accompagner les particuliers dans la réalisation de leurs projets. Ensuite, il faut prendre des mesures pour améliorer la solvabilisation des ménages et séduire les investisseurs disposant d'épargne. Les outils peu coûteux qui ont fait leurs preuves par le passé doivent être privilégiés : prêt à taux zéro, APL Accession, dispositif Pinel.Il est urgent de les renforcer car sans une réaction rapide, le pire est à craindre ! »[1] CGI Bâtiment/Caron Marketing, indicateur Markemétron.[2]Service des données et études statistiques (SDES) / Enquête sur la commercialisation des logements neufs (ECLN)
Il y a 4 ans et 341 jours

Prolongation de l’exposition “Home Stories : 100 ans, 20 intérieurs visionnaires” jusqu’en 2021

L’exposition “Home Stories : 100 ans, 20 intérieurs visionnaires” est prolongée jusqu’au 28 février 2021 au Vitra Design Museum... Cet article Prolongation de l&rsquo;exposition “Home Stories : 100 ans, 20 intérieurs visionnaires” jusqu&rsquo;en 2021 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 341 jours

Conseils pour bien communiquer lors d’un salon du BTP

Les salons sont des opportunités en or pour conclure un contrat ou faire connaitre sa société. Et cela est valable même dans le secteur du BTP. Pour certains débutants, établir une bonne communication avec les clients cibles semble difficile voire impossible. Car il faut le dire, vous aurez beau fournir le meilleur travail au monde, la visibilité reste la clé du succès. Adopter la bonne communication dans le BTP aide ainsi à faire connaître aux clients potentiels votre savoir faire. Il n’est pas alors d’une simple rencontre mais d’un échange au profit des intervenants. Les règles de la communication Dans le BTP, établir une communication efficace permet d’obtenir des résultats rapides. Durant un salon, faites connaître vos activités en respectant les règles de base de la communication suivantes : Cibler la clientèle : établir une communication vous oblige à vous adresser à la bonne clientèle. Déterminez ainsi quel genre de personne vous cherchez à atteindre. Privilégier l’e-relation : c’est-à-dire que vous devez accorder la présence en ligne. Vous pouvez ainsi créer un site internet ou encore posséder une page sur les réseaux sociaux. Faites une bonne exploitation des réseaux sociaux  car c’est un outil important. Sur les réseaux sociaux, vous pouvez montrer vos projets et parler directement avec les clients. Privilégier le contact réel : durant le salon rapprochez vous de vos clients (partagez des flyers, donnez des cartes de visite, faites bon usage des affiches). Faites vous aidez par des auxiliaires comme www.maxilia.fr/. Misez sur votre compétence, sur votre originalité et ce qui vous démarque des autres participants. La visibilité dans les lieux dédiés au BTP Parce que vous n’aurez pas à participer qu’à un seul salon. Dans la mise en place d’une bonne communication, il faut aussi que vos présences aient lieu dans des espaces dédiés au BTP (CCI, chambre des métiers, chambre de commerce, etc.). Ainsi votre visage ne sera pas nouveau tout en ayant la possibilité de trouver des gens intéressés par votre travail. Lors d’un salon donné, soyez dans la catégorie des entreprises du bâtiment. Ainsi lorsque des visiteurs passent dans le salon, ils sauront pertinemment vers où se diriger pour consulter des spécialistes du BTP. Pour plus de visibilité, mettez en avant des outils de communication indiquant que vous êtes dans le domaine du BTP (si vous vendez des machines par exemple alors n’hésitez pas à les exposer de façon stratégique). Le but est d’attirer l’attention des personnes cibles en indiquant de façon suggestive que vous êtes le professionnel à qui ils doivent faire appel. Privilégier le partenariat Dans le domaine du BTP, les activités se basent aussi sur des partenariats. Avant même le commencement du salon, faites des alliances avec d’autres professionnels dans le domaine. Si vous vendez par exemple des machines de chantier, vous pouvez adopter comme partenariat une entreprise experte dans la construction. L’avantage avec le partenariat c’est que vous jouissez d’une double communication lors d’un salon. Ainsi lors de cet évènement, vous faites connaitre votre service et celui de votre partenaire. Ce dernier en fera de même pour vous. Dans cette perspective, il est toujours conseillé d’avoir de bonnes relations avec les investisseurs. Ces derniers peuvent rapidement vous mettre en contact avec des clients en référençant vos compétences. L’idéal est de privilégier les partenariats avec des constructeurs. Car ces derniers peuvent proposer un meilleur rapport qualité-prix tout en effectuant votre publicité auprès de leurs clients.