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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 3 ans et 21 jours

74% de la surface d'exposition vendue à 6 mois de l'ouverture d'Idéobain

Organisé à Paris Expo Porte de Versailles du 3 au 6 octobre, l'édition 2022 d'Idéobain enregistre une forte participation avec 95 exposants dont 66 % internationaux.
Il y a 3 ans et 21 jours

Pompe à chaleur 3 en 1 Qlima – Un choix essentiel au confort de la maison

Les pompes à chaleur (PAC) air/air connaissent un fort engouement en France. Ces systèmes, au mode de fonctionnement simple mais ingénieux, permettent d’allier confort et éco-nomies d’énergie, avec un impact moindre sur l’environnement. Assurant à la fois le chauffage de l’habitation et son rafraîchissement, les pompes à chaleur réversibles offrent un confort thermique idéal dans […]
Il y a 3 ans et 22 jours

Pack volet qui s’adapte aux conditions venteuses

Wizeo, le réseau de Fermetures Loire Océan, spécialiste des volets roulants, portes de garage, moustiquaires et brise-soleil a lancé le Pack Protec 10. Le nouveau volet roulant tient compte des forces du vent différentes selon les régions et des hauteurs d’immeubles. Son champ d’application s’étend en fonction de la localisation (mer, campagne, zone urbaine…) et de l’exposition du bâtiment pour plus de sécurité et de confort pour le résident. L’identification des différents vents en France a permis à Wizeo de développer trois sections de lame, plus ou moins épaisses, afin de garantir un volet résistant et offrir un plus grand confort de vie aux particuliers. Ce volet s’adapte à tous les formats de fenêtres, en neuf ou rénovation, et peut atteindre une largeur de 4,5 m. Équipés de coulisses larges permettant le bon maintien du tablier et de lames en alu résistantes, ces packs améliorent la protection de l’habitat. Les coulisses sontvprimordiales pour le bon fonctionnement du volet, avec leurs joints brosses, elles permettent de réduire le bruit et le passage d’air. Les lames offrent une excellente isolation phonique grâce à leur garniture en mousse polyuréthane et une finition soignée puisque la lame finale est plate. Motorisation SOMFY.
Il y a 3 ans et 22 jours

Les entreprises en campagne... pour recruter des apprentis

Au forum annuel de l'alternance mercredi 20 et jeudi 21 avril à la Cité des sciences àParis, une centaine d'exposants proposaient en vue de la rentrée prochaine quelque 6.600 offres en alternance, du CAP au Master."On a plus d'entreprises présentes qu'en 2019 - dernière édition en présentiel -, on a davantage d'offres de petites entreprises et dans plus de secteurs", témoigne Karine Leprat, conseillère emploi à la CCI Paris Île-de-France, organisatrice du salon.Ce constat local confirme l'engouement national pour l'apprentissage, avec 718.000 contrats signés en 2021, soit une hausse de 37% après déjà 42% en 2020.Pour Mme Leprat, si la réforme de 2018 a facilité l'accès des jeunes, l'apprentissage a été "clairement boosté" par les aides décidées pendant la crise du Covid, une prime de 5.000 euros pour un mineur et de 8.000 pour un majeur.Prolongées jusqu'à fin juin 2022, elles ont rendu le coût de la première année quasi nul pour l'employeur et évité un effondrement de l'embauche des jeunes."C'est flagrant, beaucoup d'entreprises se sont mises à l'alternance, notamment dans le supérieur", juge-t-elle. Avant la crise, l'aide était réservée aux entreprises de moins de 250 salariés recrutant des apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au bac, là où l'effet sur l'insertion professionnelle est le plus fort.Sur le salon, la plupart des entreprises l'admettent sans ambages. "Nos managers sont en demande d'alternants, ce sont des salariés performants qui ne coûtent pas cher. Et ils sont là pour une durée assez longue, souvent deux ans", souligne Chloé Drapier, elle même alternante en recrutement chez Center Parcs."Avec les aides, nous sommes passés de 100 alternants en 2019 à 200 cette année sur 1.000 recrutements", reconnaît Florence Hipolite, responsable recrutement chez Id Logistics."Crouler sous les demandes"Mais les employeurs y voient surtout un moyen de former de nouveaux salariés pour les fidéliser dans des secteurs sous tension."Nous avons de gros besoins de ressources avec une croissance à deux chiffres et nous voulons passer d'un taux de rétention (embauche à l'issue de l'alternance) de 40 à 50%", indique Mme Hipolite. "C'est pour tous nos métiers (RH, services administratifs, maintenance, logistique, transport...)", ajoute-t-elle.Sans les aides, "on aurait les mêmes objectifs d'alternants car on en a un a priori très positif", assure Caroline Monmarson, responsable RH Castorama en Île-de-France.Elle "croule sous les demandes" car "c'est un moyen très intéressant pour les jeunes de financer leurs études et d'avoir une expérience du monde du travail", explique-t-elle.Mais elle avoue avoir "de plus en plus de mal à recruter des jeunes plus exigeants sur les horaires, l'équilibre vie pro-vie privée, ce qui peut être compliqué dans le commerce".Présent pour la première fois, Fnac-Darty veut former en alternance, "300 techniciens électroménager" qui seront quasiment "tous ensuite embauchés", selon Pascal Rovaris, qui en coordonne les recrutements.Mais, en dépit des vidéos de témoignages qu'il a amenées sur son stand, il déplore que les jeunes recherchent davantage une alternance en informatique ou marketing que pour "un métier manuel encore dévalorisé".Si Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France, se réjouit que ces aides exceptionnelles aient permis "à des petites entreprises de découvrir l'apprentissage", il craint que les employeurs "qui en recruteraient parce que cela leur coûte moins cher qu'un stagiaire ne délaissent l'accompagnement".Selon une enquête de l'Observatoire de l'alternance menée fin 2021 auprès de 500 alternants, plus d'un quart d'entre eux indiquent ainsi ne pas avoir de tuteur en entreprise, pourtant obligatoire.
Il y a 3 ans et 22 jours

Étude annuelle sur les placements immobiliers : "40 ans de performances comparées – 1981-2021"

En couvrant 4 décennies complètes, marquées par quatre crises économiques majeures (krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 entraînant la crise financière globale, choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la crise sanitaire), l’étude de l’IEIF aboutit à des conclusions robustes sur l’évolution longue des principaux placements.Cette édition 2022, avec les caractéristiques des placements à fin 2021, couvre la période de rebond économique et mesure les impacts majeurs laissés par la crise pandémique sur l’univers des placements quant à la hiérarchie des actifs.Au préalable, l’étude 40 ans de performances fait le point sur les caractéristiques des patrimoines des ménages pour appréhender leurs attentes en matière de placements mais également l’évolution de leurs comportements d’épargne.Un surplus d’épargne financière toujours très élevé en FranceSelon la Banque de France, le surplus d’épargne financière des ménages, constitué sur deux ans (entre le premier trimestre 2020 et le quatrième trimestre 2021) calculé comme la différence entre les flux d’épargne financière observés et les flux qu’on aurait obtenus en prolongeant la tendance pré-Covid, est estimé à 175 milliards d’euros, après 113 milliards à fin 2020.En moyenne sur l’année, le taux d’épargne des ménages en France s’établit à 19,5% en 2021 selon l’Insee après 21,4% en 2020. Le taux d’épargne financière a également reculé : il s’établit à 8,7% en 2021 après 12,2% en 2020.En 2021, l’épargne financière s’est principalement portée sur les dépôts bancaires qui ont progressé de plus de 104 milliards d’euros : dépôts à vue et dépôts rémunérés dont les encours s’établissent respectivement à 672 milliards d’euros et 1.161 milliards d’euros à fin 2021. L’assurance-vie a progressé de 39 milliards d’euros et représente désormais un encours de 2.178 milliards d’euros.En lien avec les performances de 2021, la Bourse continue d’attirer un nombre croissant d’investisseurs : 1,6 million de particuliers ont passé un ordre d’achat ou de vente en 2021, dont 217.000 nouveaux entrants.Des classements de performances différents selon les périodesSur 5 ans (2016-2021) : les performances des locaux Industriels (couvrant la logistique et les locaux d’activité) sont particulièrement élevées, en raison de la forte appréciation des valeurs vénales de la Logistique sur la période. Alors que les Actions présentent un TRI 5 ans de plus de 10%, l’immobilier coté est en territoire négatif, en lien notamment avec le comportement en bourse des Foncières Commerces.Sur 10 ans (2011-2021) : les Actions sont en tête du classement des performances avec un TRI 10 ans de 12,4% devant l’immobilier direct : les locaux Industriels sont en deuxième place avec un TRI 10 ans de 11,4% suivis par les Bureaux (7,8 %) et les Commerces (7,2%).Sur 20 ans (2001-2021) : comme sur 15 ans, les Commerces sont nettement en haut du classement avec un TRI 20 ans de 17,6%, suivi par les Foncières (TRI 20 ans : 12,3%). Les autres actifs immobiliers direct se positionnent ensuite : les locaux Industriels (TRI 20 ans : 10,4%) puis les Bureaux (TRI 20 ans : 10,3%) et le Logement (TRI 20 ans : 10,1% pour le Logement France et 9,4% pour le Logement à Paris).Sur longue période : Sur 30 ans (1991-2021), les Actions et l’Immobilier coté délivrent des niveaux de performances comparables. Le Logement est particulièrement performant sur 30 ans et distance les autres classes d’actifs immobiliers. Les TRI des SCPI et des Bureaux sont très proches, en lien avec la forte exposition historique des SCPI aux Bureaux. Sur 40 ans (1981-2021), les placements en bourse sont les plus performants : les Actions devancent l’Immobilier coté de 2 points. Le Logement à Paris présente un TRI supérieur à 10% sur 40 ans. L’immobilier non coté présente des performances supérieures à celles des obligations.Un couple rendement/risque toujours attractif pour l’immobilier vis-à-vis des autres classes d’actifsDe part ces caractéristiques, l’immobilier se positionne à mi-chemin entre les actions d’une part et les obligations d’autre part et présente un couple rendement -risque attractif par rapport à ces 2 références. Les couples rendement-risque permettent de positionner les différents placements les uns par rapport aux autres selon les durées observées, en distinguant pour un niveau de risque comparable, les niveaux de performances obtenus des différents placements ou à niveau de performance comparable, les placements qui se révèlent plus volatils, donc plus risqués.Les Bureaux et le Logement présentent des performances et des niveaux de volatilité proches sur 5 ans et sur 10 ans. Sur 10 ans, les Actions distancent les Foncières avec une performance plus élevée et une volatilité nettement plus contenue. Sur 15 ans, Le Logement, les Bureaux et les SCPI présentent des performances supérieures à celles des Actions. Comparés au Logement et aux Bureaux, les Commerces sont sur des niveaux de volatilité proches mais délivrent des performances plus faibles que ce soit sur 5, 10 ou 15 ans. Sur 30 ans, le Logement France présente une performance légèrement supérieure à celles des actifs côtés, mais avec deux fois moins de volatilité.Sur 40 ans, les Actions présentent des niveaux de performances et de volatilités plus élevés que ceux des autres actifs.ConclusionPour Stéphanie Galiègue, Directrice Générale déléguée de l’IEIF : « les résultats de l’édition 2022 confirment ceux de 2021 avec une dichotomie plus forte entre les classes d’actifs immobiliers dont les performances sont les plus robustes à l’image de l’Industriel, (en particulier la Logistique) et du Logement (faible volatilité) et celles dont le modèle a été fragilisé par la crise sanitaire malgré le rebond économique qui a suivi : Bureaux, Commerces. Seulement, les performances des actifs sur les 40 dernières années ont été portées par un environnement économique mondial particulier : les prochaines décennies risquent d’être marquées par la déglobalisation, les échéances climatiques et le vieillissement de la population, dans un contexte de faible croissance économique et d’inflation élevée. Cela modifiera nécessairement la structure de l’économie, de l’épargne et donc le comportement des différents placements. »
Il y a 3 ans et 23 jours

« Les villes complices peuvent retisser la nation », Charles Lambert, urbaniste

Loin de tout dogmatisme, Charles Lambert se veut précis dans le choix des mots : « Je parle de transformations, et non de solutions », décrypte-t-il à propos des « 36 transformations heureuses » qui jalonnent sa « France à l’âge des villes », publiée ce printemps par les éditions du Cerf. Le titulaire du grand prix européen de l’urbanisme (1991) propose d’enrichir la notion de « terrain équipé », en y ajoutant la desserte par les transports publics.
Il y a 3 ans et 23 jours

La BnF Richelieu annonce sa réouverture en septembre

Cette réouverture "coïncide avec le tricentenaire de sa première installation dans l'ancien palais Mazarin, en 1721-1722", a-t-elle ajouté.La date choisie est le week-end des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre.Les visiteurs découvriront alors un nouveau jardin, rue Vivienne, qui "valorisera un ensemble de plantes papyrifères" dans un quartier peu pourvu en espaces verts, mais également un musée flambant neuf offrant quelques trésors des collections de la Bibliothèque comme des vases grecs ou le trône du roi Dagobert."Ces salles, dont certaines étaient accessibles au public, n'étaient pas pensées comme un musée. Cette fois, c'est exposé et ouvert à tous, des endroits exceptionnels comme l'ancienne salle de lecture du Cabinet des médailles, le Cabinet Louis XV", a expliqué à l'AFP la présidente de la BnF, Laurence Engel.Cet immense ensemble architectural, qui nécessitait une vaste remise aux normes, a été entièrement repensé pour le rendre plus ouvert, fonctionnel et aéré.Après l'ouverture en 1998 d'un autre site pour la BnF, la Bibliothèque François-Mitterand dans le 13e arrondissement, Richelieu a été réservé à des départements spécialisés : Manuscrits, Estampes et photographie, Monnaies, médailles et antiques, Arts du spectacle et musique, Cartes et plans.Si les chercheurs sont les utilisateurs historiques de cette bibliothèque, le grand public sera appelé à fréquenter sa majestueuse salle de lecture, la salle Ovale, pour y feuilleter entre autres 9.000 bandes dessinées en accès libre.Les travaux ont coûté 248 millions d'euros, indique le site internet de la BnF.
Il y a 3 ans et 23 jours

Comment valoriser la frugalité des projets immobiliers ?

PROFESSIONS IMMOBILIÈRES. L'Ecole supérieure des professions immobilières s'est penchée sur la question de la frugalité dans l'immobilier, avec une première conférence sur le financement des opération frugales qui s'est tenue à Bordeaux, où le label Bâtiment frugal bordelais fait désormais référence.
Il y a 3 ans et 23 jours

Exposition Soutenir au Pavillon de l’Arsenal : l’architecture du soin, de la cure au « care »

Au Pavillon de l'Arsenal, l'exposition Soutenir (Ville, architecture et soin), commissionnée par la philosophe et psychanalyste ...More about Cet article Exposition Soutenir au Pavillon de l’Arsenal : l’architecture du soin, de la cure au « care » est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 23 jours

Potentiel des gaz renouvelables : l'Association française du gaz présente sa vision à horizon 2050

Ces rendez-vous ont mis l’accent sur les technologies gazières d’aujourd’hui et de demain, leur potentiel et les mesures prises pour accélérer leur développement.Voici une synthèse de ces échanges qui ont rappelé le rôle primordial des gaz renouvelables et bas carbone pour favoriser la transition énergétique et ce pour plusieurs raisons : une production en continu, une facilité de stockage, des installations existantes, un réseau de transport et de distribution disponible, la contribution à la gestion des déchets, un enjeu des territoires... L’industrie gazière dispose actuellement de 5 briques technologiques et d’innovation : la méthanisation, le méthane par fermentation ;la pyrogazéification, le méthane par traitement de déchets carbonés ;la gazéification hydrothermale, le méthane par traitement aqueux à haute température ;la méthanation, le méthane issu du CO2 et de l'hydrogène ;l’utilisation des gaz fossiles couplés à la capture et stockage de carbone.Ces technologies se situent à différents stades de maturité être présentent un potentiel total significatif supérieur à 335 TWh à l'horizon 2050. Une vision d’ensemble montre que ce potentiel identifié s’inscrit dans une complémentarité des différents usages et couvre largement l’ensemble de ces usages.La méthanisation : le méthane obtenu par fermentation > un potentiel de 190 TWh en 2050 pour une production à cette même date de 135 TWh ;La pyrogazéification : le méthane par traitement thermique de déchets carbonés > un potentiel de 180 TWh pour une production à cette même date de 90 TWh ;La gazéification hydrothermale : le méthane par traitement aqueux à haute température > un potentiel de 100 TWh pour une production à cette même date de 50 TWh ;La méthanation : le méthane issu du CO2 et de l’hydrogène > un potentiel de 120 TWh pour une production à cette même date de 60 TWh. La troisième révolution gazière repose sur le développement de ces nouvelles technologies conditionné par un cadre réglementaire et financier stable. L’avis des experts participants* : Pour Jean-Marc Leroy, Président de l’Association française du gaz : « Les gaz renouvelables et bas carbone vont permettent d’assurer l’autonomie énergétique du pays et sa compétitivité. Nous souhaitons que ces nouveaux gaz soient complémentaires aux autres énergies pour tirer le meilleur parti de chacune d’entre elles. » Pour David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe : “Le gaz reste présent dans nos 4 scénarios prospectifs de neutralité carbone pour la France à horizon 2050 à des niveaux assez significatifs allant de 150 TWh à plus de 350 TWh. Dans 3 scénarios sur 4 le gaz est à plus de 80% renouvelable."Pour Alexis Masse, Délégué Stratégie chez GRDF : « Les 5 briques technologiques et d’innovation peuvent couvrir plus que les usages de la France à 2050. » Pour Élodie Le Cadre Loret, Lead Science Advisor chez Engie : « À ces chiffres sur le potentiel des technologies actuelles s’ajoutent différentes options pouvant apporter plus de souplesse, comme des solutions de capture de stockage de carbone, un potentiel de développement de bio-propane ; la France pourrait représenter une plaque tournante du e-méthane en transit ou importé ou encore la présence d’hydrogène renouvelable et bas carbone sur laquelle s’appuyer. » Pour Frédéric Martin, Directeur général adjoint chez GRDF : « La méthanisation a été deux fois plus vite que prévu nous avons 383 méthaniseurs opérationnels et 1000 autres sont en projet. » Pour Thierry Trouvé, Directeur général de GRTgaz : « Nous traversons une crise énergétique durable en Europe c’est pourquoi il faut aller à fond sur le solaire, l’éolien et le biométhane, nous n’avons plus le luxe de nous passer de quoi que ce soit. » Trois autres ateliers thématiques auront lieu prochainement, ils aborderont : la mobilité, l’industrie et le bâtiment.*Les intervenants ayant participé à ces ateliers : Élodie Le Cadre, Lead Science Advisor chez ENGIE - Laurent FULCHERI, Directeur de recherche au centre Persée de Mines-ParisTech - Frédéric Martin, Directeur général adjoint de GRDF - Thierry Caquet, Directeur scientifique Environnement à l’INRAE, Isabelle Moretti de l'Académie des technologies, pôles énergie et culture - Alexis Masse, Délégué Stratégie de GRDF, Président de la commission « Gaz renouvelables » de l’AFG - Jean-François DELAITRE, Président de l’AAMF, Thierry TROUVE, Directeur général de GRTgaz - David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe - Olivier GUERRINI, Senior Vice President Biogas Business Unit, TotalEnergies - Charles-Antoine GAUTIER, Directeur Adjoint pour l’énergie de la FNCCR - Frédéric MARTIN, Directeur Général Adjoint, GRDF - Philippe BOUCLY, président de France Hydrogène, Monique AXELOS - Directrice scientifique pour l’alimentation et la bioéconomie, à l’INRAE.
Il y a 3 ans et 23 jours

De verre en reflets, les instants fugaces de Bruno Palisson

Dans le monde de Bruno Palisson, photographe, puis architecte, puis architecte et photographe, les miroirs de la maison des glaces sont sans tain. Rendez-vous avec le soleil, sans témoin. 8h00. Lors d’une matinée d’hiver, dès la fin du crépuscule, le soleil débordant de ses rayons m’offre pendant une heure un spectacle majestueux, renforcé par le […] L’article De verre en reflets, les instants fugaces de Bruno Palisson est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 24 jours

Parvis de La Défense, Aqua Mater

Sur le parvis de La Défense à Paris, Aqua Mater est une exposition inédite de photos de l’artiste Sebastião Salgado sur le thème de l’eau. Tout aussi inédit, elle se tient dans un pavillon en bambou de 1 000 m² signé de l’architecte colombien Simon Velez. Jusqu’au 22 septembre 2022. Une exposition sur la thématique […] L’article Parvis de La Défense, Aqua Mater est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 24 jours

Le Monde de Steve McCurry, au musée Maillol

A Paris, le musée Maillol propose un voyage de 40 ans à travers le monde du photographe américain de Steve McCurry. Jusqu’au 29 mai 2022. L’exposition Le Monde de Steve McCurry présente plus de 150 photos imprimées en grand format pour la première fois à Paris. Elle est la rétrospective la plus complète dédiée au […] L’article Le Monde de Steve McCurry, au musée Maillol est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 26 jours

Succès du 11e Forum International Bois Construction

Avec pour objectif d’être une nouvelle fois au plus près de l’actualité constructive de la filière bois et biosourcée, et des enjeux environnementaux, la 11e édition du Forum International Bois Construction, qui s’est déroulée du 6 au 8 avril 2022 à Epinal et à Nancy, a été un véritable succès. Ce rendez-vous annuel de la filière bois a rassemblé plus de 4000 participants, doublant ainsi la fréquentation de sa dernière édition du Grand Est, en 2019. Pendant 3 jours, le Forum a été rythmé par plus de 160 conférences, 4 expositions majeures et un salon qui a réuni plus de 150 exposants, répartis dans les 3 halls du Centre Prouvé de Nancy. Grâce au soutien de l’ADEME, le Forum Bois Construction s’affirme comme le premier Forum éco-conçu de par sa scénographie en bois de France, sa table de replantation et la réduction continue de ses émissions de carbone. Le 11e Forum Bois Construction a réussi à réduire son empreinte carbone par rapport à celle de l’édition parisienne de 2021, atteignant ainsi 49 teq CO2. Les émissions incompressibles seront quant à elles neutralisées par le financement de la plantation de 2 000 arbres sur la parcelle de La Chapelle-aux-Bois, située dans la forêt d’exception de Darney-la-Vôge près d’Epinal et qui a été dévastée par les scolytes. Retrouvez toutes les vidéos tournées par l’équipe Batijournal TV lors de l’événement… Photo : Jad Sylla – FBC Cet article Succès du 11e Forum International Bois Construction est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 27 jours

« Il était une fois demain » à la mairie d’Enghien

L’exposition réalisée par l’artiste Chris Morin-Eitner, « Il était une fois demain », habille les façades de la mairie d’Enghien-les-Bains (Val-d’Oise). Elle se compose de neuf œuvres imprimées en format monumental sur le parvis. Jusqu’au 15 septembre 2022. Architecte et photographe, Chris Morin-Eitner se nourrit de ses voyages, de ses photographies de paysages et des […] L’article « Il était une fois demain » à la mairie d’Enghien est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 27 jours

Rencontre de l'aluminium Technal, du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes les pièces de l’habitation. Une collaboration père/fils en toute confiance, qui a permis de réaliser des ouvertures en aluminium TECHNAL à la fois architecturales, épurées et aux détails complexes : baies coulissantes XXL ou à galandage double, fenêtres et portes sur pivot désaxé...Ce projet minimaliste, qui fait l’éloge du minéral et du végétal, a reçu le Prix HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELS lors du dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre 2021. La couleur gris métal givré TECHNAL des menuiseries aluminium rappelle celle du bois de l’enveloppe.Ouvertures architecturales du rez-de-chausséeLes occupants entrent sous un volume en bois, porté par deux murs monolithiques en béton. Cette séquence est mise en valeur par une porte d’entrée SOLEAL sur pivot désaxé (L. 1,4 x H. 2,6 m), qui offre une emprise visuelle minimale sur ces deux murs. Les occupants semblent glisser dans la maison à travers cette ouverture !Dans toute sa largeur, le salon s'ouvre sur le jardin au travers d’une baie coulissante LUMEAL qui s’étire sur 15 m (6 vantaux). Son orientation plein Sud maximise les apports de lumière. À ouvrant caché, elle est naturellement anti-effraction. Un gage de sécurité optimal ! Des brise-soleil en bois créent de l’ombre et participent au contrôle de la chaleur.Ouvertures architecturales à l'étageEn empruntant l'escalier, une diagonale visuelle se dessine au travers d'une grande fenêtre carrée SOLEAL 65 (L. 1,9 x H. 1,9 m). Une fois à l'étage, cette ouverture originale sur pivot offre un cadrage intimiste sur la falaise.Une large circulation, baignée d'une lumière zénithale, accueille bureaux et rangements. Elle dessert les trois chambres des enfants, ouvertes sur l’extérieur grâce à des coulissants à galandage double SOLEAL. Ces baies spécifiques permettent de créer à la fois une ouverture et un système d’occultation à l’intérieur. Leur retrait d’un mètre, par rapport à la façade, protège des rayons du soleil et facilite l’intégration de rangements dans l’épaisseur du mur.
Il y a 3 ans et 28 jours

Soutenir, une exposition qui soigne

L’histoire du soin dans la ville est hétéroclite. Se croisent les disciplines médicales, urbaines, philosophiques et artistiques. Cynthia Fleury et Eric de Thoisy (agence SCAU) tracent une cartographie au corpus hybride, où santé et architecture – deux thèmes parfois distants parfois confondus selon la période de l’histoire – se rassemblent sous le prisme du « care ». L’exposition collaborative est présentée au pavillon de l’Arsenal du 6 avril au 28 août 2022. On aurait...
Il y a 3 ans et 29 jours

Le Danemark présente son plan pour se passer de gaz russe

La Première ministre Mette Frederiksen avait fixé début mars un objectif de sortie du gaz russe "le plus vite possible", alors que l'UE réfléchit à un arrêt des achats à la Russie pour sanctionner Moscou.Le plan présenté mardi par l'exécutif danois prévoit notamment que la moitié des 400.000 foyers du pays qui se chauffent actuellement au gaz basculeront vers un raccordement au chauffage urbain ou vers les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité d'ici à 2028.Pour les foyers restants et l'industrie, le plan prévoit aussi un développement du biogaz d'origine renouvelable, "qui assurera que nous soyons libres de Poutine", a déclaré le ministre du Climat et de l'Energie Dan Jørgensen lors d'une conférence de presse.Le Danemark va également "étudier la possibilité d'anticiper et d'augmenter temporairement la production de gaz de mer du Nord sur les gisements déjà exploités", en "dialogue avec les acteurs du marché", a expliqué le gouvernement dans un communiqué.Le gouvernement danois a également dopé son plan de développement des énergies renouvelables, et prévoit désormais un quadruplement des centrales solaires et surtout de l'éolien terrestre, à horizon 2030.Le royaume scandinave est déjà un des grands champions européens de l'éolien, qui lui fournit actuellement environ la moitié de son électricité - le reste étant dominé par la biomasse et le charbon."Nous voulons développer les énergies renouvelables autant qu'il est possible de le faire de façon intelligente", a assuré Mme Frederiksen.Le gaz fournit environ 18% de l'énergie consommée au Danemark chaque année, selon les statistiques officielles. Une grande partie est longtemps venue des gisements du pays en mer du Nord, mais ceux-ci sont en rapide déclin.En 2019, la production nationale n'a permis que de couvrir 72% du gaz consommé dans le pays, selon l'Agence danoise de l'énergie.La Russie figure parmi les principaux fournisseurs des importations danoises et fournit environ 40 à 45% du gaz importé dans l'Union européenne.Les 27 mettent les bouchées doubles pour sortir du gaz russe, mais cet effort prendra plusieurs années selon les analystes.Le Danemark avait voté en 2020 l'arrêt complet de sa production de gaz en mer du Nord d'ici à 2050, devenant le premier producteur significatif d'hydrocarbures à fixer une date de fin d'exploitation.L'exécutif ne prévoit pas de renoncer à cette mesure, a-t-il indiqué mardi.
Il y a 3 ans et 29 jours

Nouvelle enquête sur le développement des webinaires dans le BTP

Dans le contexte de la crise sanitaire, de nouveaux modes de communication et de travail basés sur l’utilisation des outils digitaux se sont développés, avec notamment le recours aux webinaires. L’étude montre que cet outil est encore en phase de développement dans les habitudes des entreprises artisanales, puisque 43% des entreprises artisanales interrogées ont assisté à un ou plusieurs webinaires sur la période 2020-2021. L’intérêt des artisans pour ce format se confirme : 62% des participants estiment se sentir autant à l’aise en distanciel qu’en présentiel, et 52% des entreprises artisanales souhaitent poursuivre ou commencer à faire appel à cette pratique. Les entreprises plébiscitent les formats courts, en début ou fin de journée, principalement sur des thématiques techniques, en lien avec leur métier (35% des webinaires suivis).L’étude fait également apparaître tout d’abord le besoin de renforcer la visibilité de la tenue de ces webinaires, compte-tenu du fait que 14% des artisans disent ne pas être au courant, mais aussi d’organiser des formats mixant présentiel et distanciel.Le webinaire, un moyen d’information et de formation encore peu répandu chez les artisans, mais qui tend à se démocratiserAvec près de la moitié des répondants qui ont assisté à au moins un webinaire sur la période 2020-2021, l’étude réalisée démontre que le webinaire est un outil qui tend à prendre sa place parmi les habitudes des artisans. Parmi les participants, 29% sont des chefs d’entreprises, 8% sont des conjoint(e)s d’artisans et 6% sont des assistants ou des secrétaires.L’étude montre que la principale raison pour laquelle les artisans n’ont assisté à aucun webinaire est qu’ils préfèrent assister à des réunions en présentiel (37% des répondants). Ils évoquent également un manque de temps (33%), le fait qu’ils n’ont pas eu connaissance des webinaires proposés (18%) ou encore une qualité de connexion internet insuffisante pour pouvoir suivre le webinaire (12%).Par ailleurs, seuls 11% des salariés des entreprises interrogées ont participé à au moins un webinaire en 2020-2021. Selon les chefs d’entreprises dont les salariés n’en ont pas suivi, cela s’explique principalement par une préférence pour les réunions en présentiel (20%), des locaux qui ne sont pas toujours adaptés pour organiser la présence des salariés (19%), ainsi que par la non connaissance de la tenue de ces webinaires (17%).L’étude met également en évidence le fait que la part des entreprises artisanales ayant assisté à au moins un webinaire varie en fonction de la taille de l’entreprise : plus l’entreprise a un effectif de salariés important, plus elle a tendance à y participer.Alors que 59 % des entreprises de 10 à 19 salariés ont assisté à au moins un webinaire en 2020-2021, c’est le cas de seulement 31% d’artisans travaillant seuls.L’intérêt des artisans pour les webinaires tend néanmoins à se confirmer, puisque 52% des interrogés souhaitent poursuivre ou commencer à recourir à cette pratique.Parmi les principaux avantages qu’offre ce format, les entreprises artisanales soulignent en majorité que cela leur permet de gagner du temps (30% des entreprises interrogées) et de réaliser des économies, liées aux frais de déplacement (26% des entreprises interrogées). De plus, parmi les 43% d’entreprises ayant suivi au moins un webinaire sur la période, 62% ont estimé se sentir autant à l’aise en distanciel qu’en présentiel pour participer à la réunion.Enfin, 52% des artisans estiment que la qualité des échanges se trouve impactée par les réunions en distanciel. Cette appréciation s’observe en grande majorité chez les artisans de zone rurale (40%, contre 12% en zone urbaine), et peut donc s’expliquer par la présence de zones blanches en région rurale, impactant la qualité du réseau internet.Une préférence marquée pour des formats courts, en début ou fin de journéeLes résultats de l’étude montrent que la grande majorité des entreprises artisanales estiment qu’un webinaire devrait durer moins d’une heure (76%), et 21% estiment qu’ils devraient durer une heure. Au-delà, ils estiment qu’il y a un risque de perdre l’attention des participants, voire de quitter le webinaire avant la fin. Pour cette raison, seulement 2% sont favorables à un format de plus d’une heure.Le moment de la journée a également une incidence sur la volonté des artisans à participer ou non à un webinaire. En effet, ils estiment que les débuts et fins de journée sont plus propices pour y participer. Les chefs d’entreprises préfèrent aussi majoritairement assister à un webinaire après 17h (35%) ou vers 9h (25%). Ces mêmes tendances se dessinent pour leurs salariés (32% après 17h et 32% vers 9h).Des contenus techniques plébiscités, mixés à une partie pratique en présentielLes webinaires techniques en lien avec le métier de l’artisan ont été les plus suivis (35%).Les webinaires ont également été utilisés par les entreprises artisanales pour s’informer sur le Covid-19 (28%), sur l’utilisation d’un outil administratif (27%), ainsi que sur un risque précis en entreprise tel que le bruit, les poussières, les travaux en hauteur… (10%).On retrouve cet intérêt pour les webinaires techniques dans les réponses des entreprises interrogées concernant les thématiques qu’elles souhaitent voir traitées lors de ces réunions à distance. En effet, elles sont 30% à préférer suivre des webinaires consacrés à l’aspect technique ou à leur métier. Cette thématique est suivie par la gestion administrative (26% des répondants), le juridique (25%) et la santé – sécurité (19%).Concernant particulièrement le suivi des webinaires en santé-sécurité, 33% des entreprises artisanales interrogées souhaitent que ces webinaires portent sur un risque spécifique, avec une explication de la réglementation et des conseils pratiques pour s’en prévenir. Parmi les risques ayant suscité le plus d’intérêt, on retrouve les risques chutes de hauteur, les contraintes physiques et TMS, le stress et enfin les risques liés aux poussières. Par ailleurs 32% préféreraient des webinaires abordant la mise à jour du document unique, 22% souhaiteraient suivre des webinaires de présentation des outils de l’OPPBTP et de l’IRIS-ST, tandis que 13% s’orientent vers des webinaires portant sur la création du document unique.On observe également un intérêt pour des formats qui mixeraient le distanciel avec le présentiel. 55% des chefs d’entreprises interrogés indiquent être favorables au suivi de formations obligatoires à la sécurité en ayant recours au distanciel pour la partie théorique et au présentiel pour les aspects pratiques. La tendance reste la même concernant leurs salariés.Le mailing, principale source d’information des entreprises artisanales concernant la tenue d’un webinaireSelon les résultats de l’enquête, la réception de newsletters et d’e-mails d’informations est le principal moyen d’information de la tenue du webinaire pour les entreprises artisanales du BTP (63%). 16% disent également avoir été informés via les réseaux sociaux, 5% par le bouche à oreille et 2% par le biais d’articles de presse.En revanche, 14% des entreprises interrogées indiquent ne pas avoir été informés de la tenue de webinaires.La grande majorité des entreprises artisanales apprécient de recevoir un rappel par mail le jour J contenant les informations de connexion nécessaires.Ils sont en effet 85% pour les entreprises de 1 à 19 salariés, et 80% pour les artisans travaillant seuls, à être favorables à ce type de rappel par mail.En revanche, les entreprises artisanales préfèrent ne pas être sursollicitées. Seulement 1/3 d’entre elles sont favorables à l’envoi de plusieurs mails rappelant la date du webinaire (31%). 54% préfèrent ne recevoir qu’un mail, et 15% ne souhaitent pas recevoir de rappel.Focus sur le webinaire Référent Covid de l’OPPBTPSur l’ensemble des répondants, 60 personnes ont participé au webinaire Référent Covid de l’OPPBTP. On constate sans surprise une participation très faible du côté des artisans travaillant seuls (3% des participants), du fait de l’absence de salariés à gérer. Près de 60% des participants ont été des chefs d’entreprises, et 23% ont été des conjoint(e)s d’artisans.Malgré cette petite participation, la majorité des participants émettent des retours positifs« Nous avons été projetés dans le distanciel par la crise Covid. Nous avons pu gérer, gouverner et faire face à notre quotidien grâce à ces nouveaux moyens digitaux. Les entreprises artisanales du bâtiment ont découvert l’usage des visioconférences et des webinaires pour rester informées et continuer à échanger. La pandémie a également été l’occasion de recourir aux formations en ligne. Si ces nouveaux modes d’information, de communication et de travail constituent de réels gains de temps pour les chefs d’entreprise, il n’en reste pas moins que le présentiel reste plébiscité et d’ailleurs, une forte proportion d’entre eux (37%) n’a pas souhaité y recourir. Le distanciel est une solution pratique et utile à condition d’être limité dans sa durée et sa fréquence car rien ne remplacera jamais la qualité des échanges en présentiel » Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB.« Que ce soit pour la formation ou l’information, le webinaire a bien des atouts notamment les gains de temps de déplacement, la possibilité d’être revisionnée lorsqu’on ne peut se libérer pendant le live ou encore de créer du contenu disponible. Cela étant, nous ne devrons pas abandonner totalement nos réunions physiques qui permettent de tisser des liens humains et créer de la convivialité. Et, il faut bien l’avouer, quand on suit une conférence en ligne, on peut vite être amené à décrocher du fait d’éléments perturbateurs : téléphone qui sonne, salariés qui vous sollicitent… Si nous nous sommes familiarisés, notamment durant la crise, à cet outil parfaitement adapté par sa flexibilité au rythme de nos entreprises, il ouvre sans doute encore de nombreuses possibilités » Françoise DESPRET, Présidente de la CNATP.
Il y a 3 ans et 30 jours

Le BLOC-BAIE CHRONO ONE DE SOPROFEN obtient l’avis technique du CSTB

Dans une démarche d’amélioration continue, SOPROFEN mobilise en permanence son service Recherche & Développement pour proposer des solutions toujours plus innovantes répondant aux directives réglementaires. C’est dans cette dynamique que l’expert du volet roulant présentait en parallèle du dernier salon EquipBaie, son nouveau bloc-baie Chrono One fabriqué en France en PVC recyclé (  hauteur de […]
Il y a 3 ans et 30 jours

L’activité des matériaux résiste en janvier-février

Le conflit en Ukraine vient renforcer ces tendances, ajoutant d’un côté une dimension énergétique à la résurgence inflationniste déjà à l’œuvre depuis plusieurs mois et, de l’autre, un degré d’incertitude dans la confiance des agents économiques. Si l’activité s’est plutôt bien tenue pour les granulats et le BPE en janvier-février, les mois qui suivent seront décisifs pour jauger l’impact de ces nouveaux facteurs sur l’activité à venir. Pour l’heure, les carnets restent bien garnis sur le marché du logement et les conditions d’un réveil de la demande en travaux publics sont au rendez-vous. Mais la hausse sensible des coûts et des devis risque de peser négativement sur les arbitrages volume/valeur rendus par la clientèle privée et publique, même s’il est encore difficile à ce jour d’en doser l’ampleur.Février 2022 meilleur que 2021D’après les premiers résultats des enquêtes mensuelles, l’activité serait restée dynamique en février dans les matériaux de construction. Ainsi, la production de granulats aurait gagné +1,6% sur le mois de janvier, laissant son volume +7,2% au-dessus de son niveau de février 2021 (données CVS-CJO). Au cours des trois derniers mois, l’activité ressort en hausse de +3,8% par rapport aux trois mois précédents et progresse de +1,7% au regard de la même période d’il y a un an. Sur les deux premiers mois de l’année, la production de granulats s’inscrit en hausse de +3,5% sur un an et affiche +10,5% en cumul sur les douze derniers mois glissants (-1,1% en comparaison des douze mois de 2019-20).Côté BPE, les livraisons de février ont certes cédé -1,2% par rapport à janvier mais restent +6,9% au-dessus de celles de février 2021 (données CVS-CJO). Sur le dernier trimestre connu et comparé aux trois mois précédents, les cubages produits sont quasi stables (-0,4%) mais demeurent haussiers sur un an (+1,1%).Pour le premier bimestre de 2022, l’activité BPE gagne +4,1% par rapport à 2021 et le cumul sur douze mois laisse la tendance à +11,3% en glissement annuel (+0,6% par rapport aux douze mois précédents, juste avant l’arrivée de la crise sanitaire). Après une progression annuelle de +9% en 2021 et de +1,4% comparé à 2019 (données CJO), notre indicateur matériaux, encore provisoire sur 2022, afficherait aussi un bon début d’année avec une hausse de +4,7% sur un an pour le bimestre janvier-février.Bâtiment : des chefs d'entreprise plus inquietsLes effets des tensions sur l’offre et du renchérissement du prix des intrants sur l’activité semblent pour le moment assez maîtrisés même s’ils ont pu jouer, pour partie, sur le freinage du dernier trimestre. La dernière enquête menée en mars par l’INSEE auprès des professionnels du bâtiment confirme que le climat des affaires se maintient à haut niveau, ces derniers se montrant plus positifs sur leur activité passée que le mois précédent, mais un peu plus réservés sur l’activité des trois prochains mois.En effet, si les carnets de commandes affichent encore des niveaux élevés (9,7 mois dans le gros œuvre, soit quasiment 3,5 mois de plus qu’en moyenne sur longue période), l’incertitude économique ressentie par les professionnels a beaucoup augmenté en mars et le jugement qu’ils portent sur leurs carnets est devenu un peu moins favorable. Il faut sans doute y voir là les premiers effets du conflit ukrainien cumulés aux difficultés d’offre consécutives à la crise sanitaire. En mars, les tensions sur l’appareil productif continuent de s’intensifier (approvisionnement, personnel) et les capacités de production sont quasiment utilisées à leur maximum dans le gros œuvre (93,3% contre 88% sur longue période). Dans ce contexte de demande soutenue, d’offre contrainte et de hausse des coûts de production, les chefs d’entreprise du bâtiment sont de plus en plus nombreux à annoncer qu’ils augmenteront leurs prix au cours des prochains mois. Côté construction, les dernières données du ministère suggèrent que le secteur du non résidentiel reste à la peine avec des surfaces commencées et autorisées qui cèdent encore -3,8% et -11,9% respectivement sur les trois derniers mois à fin février, comparé à 2019.Côté logements, les mises en chantier se replient de -3,9% sur la même période. En revanche, les dépôts de permis affichent une forte hausse (+6,8%) grâce à la vigueur de l’individuel (+29,8%) liée à l’effet d’anticipation de la mise en place de la RE2020 en janvier 2022. Cet afflux des autorisations fin 2021 sera hélas suivi d’un ajustement baissier sur 2022, sans doute renforcé par des prix immobiliers toujours en hausse et par la montée des incertitudes économiques. Les chiffres du marché de la maison individuelle publiés par Markemétron le confirment avec une chute des ventes des constructeurs de -25% sur un an en janvier-février. Il est vrai que le contexte conjoncturel s’est assombri pour les ménages.D’ailleurs, l’enquête INSEE menée en mars traduit un plongeon de leur indicateur de confiance : l’inquiétude quant à leur situation personnelle future et leur capacité à épargner grandit, de même que leur crainte d’un rebond du chômage. C’est la traduction directe des conséquences de la guerre en Ukraine, avec un pouvoir d’achat rogné par la forte hausse des prix de l’énergie et de l’inflation en général ; ce cocktail peu propice aux projets d’investissements immobiliers pèsera sur la dynamique constructive de 2023. En attendant, les projets en cours devraient continuer d’alimenter l’activité en 2022 dans un contexte productif contraint et tendu par les coûts.Chiffres clés0% en 2022 : Une année suspendue aux effets de l'inflation sur la demande de travaux qui laissera au mieux les volumes de production de granulats et de BPE à leur niveau de 2021.TP : les volumes de travaux rognés par les coûtsSi le mois de janvier a connu un rebond de l’activité, février a plutôt marqué le pas avec un recul du volume des travaux réalisés de -3,1% sur un an (données CVS-CJO). En cumul depuis janvier, l’activité demeure légèrement haussière (+0,6% sur un an) si l’on raisonne à prix constants ; en valeur, en revanche, l’activité gagne +8,3% sur la même période, ce qui traduit l’ampleur de l’impact des hausses de coûts sur les travaux réalisés, de l’ordre de +7,7 points.Dans le même temps, les prises de commandes tardent encore à se raffermir, notamment du côté de la clientèle publique. Pourtant, les conditions d’un réveil des investissements des collectivités locales sont réunies : trésoreries saines, crédits du Plan de Relance en attente de déploiement, échéances électorales passées, besoins en infrastructures... Mais reste l’inconnu du partage volume/prix qui sera finalement arbitré par les clients du BTP face à des budgets de travaux dont les coûts ont bondi. En vertu de la théorie de l’imprévision, le gouvernement vient de se positionner en faveur d’une renégociation des prix des marchés publics, voire privés, déjà contractualisés. Si c’est une bonne nouvelle pour les entreprises qui ne supporteront pas seules les surcoûts, l’effet d’une révision à la baisse des volumes de travaux finalement réalisés semble inévitable.Perspectives 2022Dans ce contexte, la demande de BPE pourrait au mieux rester stable en 2022. En effet, les chantiers commencés et permis accordés en 2021 devraient se finaliser et se concrétiser en 2022, avec retards et surcoûts potentiels, les autorisations dans le segment de l’individuel étant traditionnellement peu sujettes à annulation. Côté granulats, l’ajustement de la demande de travaux face aux devis plus chers reste à ce jour incertain dans son ampleur ; la hausse de +1 % en volume initialement prévue apparaît en tout cas déjà compromise.
Il y a 3 ans et 30 jours

Kompozite récompensé au BIM World

Quelques jours seulement après avoir été lauréat du Grand Prix du Jury 2022 à EnerJmeeting, cette nouvelle distinction confirme tout le potentiel de l’application numérique développée par Kompozite afin d’accélérer la transition bas carbone en construction.Un pari réussi pour la start-up française, créée en 2020, qui participait pour la première fois au concours organisé par le Village Francophone en partenariat avec le BIM World et qui a pour vocation de promouvoir les jeunes pousses les plus novatrices.C’est à l’issue d’une première sélection sur dossier que Damien Cuny, co-fondateur de Kompozite, a auditionné - parmi 30 autres candidats - devant un jury composé de professionnels du bâtiment, de la communication et du financement en start-ups. 5 min pour présenter sa solution et les convaincre de la pertinence de cette plateforme inédite de traitement de données matériaux.Destinée aux architectes, bureaux d’études, maîtrises d’ouvrage, bailleurs, promoteurs et constructeurs, cet outil d’aide à la décision leur permet d’être soutenus dans leur choix de conception, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour Damien Cuny, co-fondateur de Kompozite : « Les concepteurs du bâtiment peuvent choisir, en quelques clics, entre plusieurs systèmes constructifs et générer des solutions auxquelles ils n’auraient pas forcément pensé mais aussi construire de façon plus vertueuse en ayant accès à l’impact carbone de chaque matériau. »Au-delà du fait d’être une nouvelle preuve de reconnaissance et de confiance de la part des acteurs de la filière du bâtiment, l’attribution de ce prix donne à Kompozite la possibilité d’animer sa propre conférence pour l’édition 2023 du BIM World.Damien Cuny et Boris Gusarov, les deux fondateurs, peuvent savourer cette consécration qui vient à nouveau jalonner des débuts plus que prometteurs.
Il y a 3 ans et 31 jours

Nouvelles infrastructures et projet d’investissement inédit pour la coopérative vendéenne UAB

UAB, 1ère coopérative d’achat des métiers du bois en France Située à la Ferrière « capitale des coopératives artisanales », l’UAB - Union des Artisans du Bois - a été créée en 1981 et n’a cessé de se développer. En 2021, elle a affiché une augmentation de 24% de son chiffre d’affaires pour atteindre 112 M€. Avec 400 adhérents en Vendée, Charente et Charente Maritime et 200 collaborateurs, la coopérative vendéenne est aujourd’hui la 1ère coopérative d’achat des métiers du bois en France. Entreprise humaine, solidaire et de proximité, l’UAB a basé son modèle économique sur la puissance du collectif. Sa vocation est d’apporter à ses adhérents - menuisiers, charpentiers, agenceurs, ébénistes, cuisinistes, plaquistes, étancheurs – tous les produits nécessaires à leur activité et de les accompagner au quotidien dans chacune de leurs fonctions (achats et logistique, technique, vente et communication, pilotage et gestion). Des nouvelles infrastructures performantes pour mieux accompagner les adhérents En 2018, dans un contexte de forte croissance, avec la volonté d’accompagner toujours mieux ses adhérents et d’améliorer la qualité de service, le conseil d’administration de l’UAB valide un programme d’investissement d’un montant de 7 millions d’euros visant à la construction sur son site de 2 bâtiments performants et structurants. Le premier, livré en octobre 2020, est un bâtiment logistique de 4.000 m2 dédié aux menuiseries extérieures et comprenant 2 zones : une zone de 2.500 m² pour le stockage des menuiseries sur 3 niveaux et une zone de 1.500 m² pour la manutention des menuiseries. Le second, livré en avril 2021, est le siège social de la coopérative. Le bâtiment administratif représente 2.000 m2 réalisés sur 3 niveaux. Avec l’objectif de réaliser un ensemble en cohérence avec son cœur de métier, l’UAB fait le choix d’un bâtiment en bois, fait de panneaux en lamellé croisé (CLT) réalisés par l’entreprise Piveteau basée à 20 km de l’UAB. Il s’agit de la première réalisation en Vendée de ce type pour l’entreprise PIVETEAU, un des fleurons de l’industrie vendéenne et partenaire privilégié de la coopérative UAB. Un nouveau programme d’investissement inédit dans l’histoire de l’UAB Avec 15 000 m2 de surface couverte supplémentaire, l’UAB souhaite se donner les moyens d’augmenter encore ses capacités de stockage, de rationaliser son organisation, de proposer de nouveaux services à ses adhérents à l’image d’un atelier de découpe de panneaux, et enfin d’améliorer la sécurité et le confort de travail de ses collaborateurs Ce nouveau projet, d’un montant de 15 millions d’euros et dont le démarrage est envisagé sur le second trimestre 2022, est l’investissement le plus significatif de l’histoire de la coopérative. Il témoigne à nouveau de la dynamique de l’UAB et de son ambition d’accompagner au mieux le développement de ses artisans adhérents. L’UAB, en chiffres 400 adhérents en Vendée, Charente et Charente Maritime 200 collaborateurs 112 M€ de CA un site de 100.000 m² avec 35.000 m² de bâtiments couverts (et bientôt 50.000 m2) 2.000 m² de salle d’exposition 10.000 références produits
Il y a 3 ans et 31 jours

Milliken signe le projet d'aménagement des bureaux de Pega

Pega a confié à Tétris, spécialiste de la conception et de la construction, le soin de créer un nouvel environnement de travail qui répondrait à leurs besoins, tout en reflétant l'identité et les valeurs de l'entreprise.Approche designPour ses bureaux unifiés, le client souhaitait disposer d’un espace qui favoriserait le travail collaboratif entre ses employés. Tétris a répondu au cahier des charges en proposant une variété d'environnements différents qui facilitent désormais les interactions professionnelles quotidiennes. Parmi ceux-ci figurent un café, des zones de réunion informelles, une salle de conférence high-tech, des bureaux partagés et des espaces pour le brainstorming créatif. Deux collections de moquettes modulaires Milliken ont été sélectionnées pour habiller certaines des principales zones fonctionnelles du bâtiment.En entrant dans les bureaux de Pega, le visiteur est accueilli dans un espace aux couleurs vives par Dissident 2.0, la moquette modulaire texturée de luxe à poils bouclés de Milliken. Le motif aléatoire est décliné dans les tons bleus clairs d'Oppidan et comprend des dalles Dissident Transition, plus loin dans la zone d'entrée, qui invitent à passer aux bleus plus sombres et plus profonds d'Overground. Dans cette zone de réunion adjacente et décontractée, le mobilier s’intègre parfaitement au revêtement de sol Dissident d'un bleu vif, inspirant un sentiment de confort et de bien-être.Pour le vaste espace de travail ouvert, les dalles Woven Colour de la collection Crafted Series de Milliken s'enfoncent profondément dans l'espace en un triangle géant aux tons dorés d'Antique. Celui-ci accueille une luxueuse zone de réunion. Le revêtement de sol s'harmonise parfaitement avec les chaises hautes et les écrans muraux jaune soleil, créant ainsi un espace lumineux engageant.Plus loin dans le bureau, une autre zone de réunion informelle est délimitée par une courbe prononcée de Woven Colour en orange vif. Le mobilier et l'écran coordonnés font de cette zone de collaboration un endroit parfaitement conçu pour stimuler l'esprit et favoriser la pensée créative et le brainstorming.Pour la salle de conférence moderne de Pega, Woven Colour a également été choisi comme revêtement de sol, cette fois en Indigo, coordonné avec les revêtements muraux bleus et renforçant l'identité de marque de l'entreprise. Les textures de Woven Colour contrastent efficacement avec le système de bureaux de conférence lisse, épuré et à la pointe de la technologie.Crafted Series est une moquette tuftée, texturée et bouclée, inspirée par la nostalgie des matières faites à la main, associée à la puissance et aux performances de la technologie textile moderne d’impression spécifique à Milliken. En choisissant un mélange audacieux de couleurs, le motif constitue un excellent moyen de délimiter les zones fonctionnelles clés de l'espace de travail de Pega en utilisant à la fois la texture et la teinte.Performances acoustiquesLes deux modèles de moquettes choisis pour l'aménagement intérieur des bureaux Pega bénéficient d’une sous couche acoustique spécifique à Milliken. La moquette Dissident 2.0 est équipée de Comfort Plus, son dossier haut de gamme qui, dans ce grand bureau ouvert, joue un rôle crucial dans la gestion de l'acoustique. Avec des performances d'absorption du son allant jusqu'à 33 dB, ce revêtement réduit considérablement le bruit ambiant provenant des équipements de bureau et des collaborateurs qui parlent et se déplacent dans l'espace. Pour les différents espaces de travail de Pega, cela contribue de manière importante au bien-être des employés en améliorant la concentration et la productivité, tout en offrant un confort luxueux sous les pieds et en réduisant la fatigue musculaire des jambes.Les performances acoustiques de Dissident se retrouvent dans le couloir vitré, flanqué de salles de réunion de chaque côté. Le bleu clair d'Oppidan a été installé dans ces salles de réunion et s'harmonise parfaitement avec les tissus des sièges.Design durableComme tous les produits Milliken, Crafted Series et Dissident 2.0 ont de solides références en matière de durabilité. Les deux modèles sont certifiés GuT, TUV et Green Label Plus pour la qualité de l'air intérieur. Ils sont vérifiés EPD et certifiés BRE. Crafted Series, comme toutes les gammes de revêtement de sol de la marque, est une collection modulaire neutre en carbone.Client : Pegasystems Localisation : Paris, France Agence de design d’intérieur : Tétris Design & Build Dalles : Dissident 2.0, Crafted Series Superficie : 900 m2
Il y a 3 ans et 31 jours

FAV 2022 : les projets lauréats de la 16ème édition

Le Festival des Architectures Vives est un parcours architectural à destination du grand public, qui permet de découvrir ou redécouvrir des sites emblématiques au cœur de la ville historique de Montpellier (Hérault) en reliant des hôtels particuliers et cours intérieures, majoritairement privées, qui ne sont usuellement pas visibles pour les visiteurs. Chaque installations créée par […] L’article FAV 2022 : les projets lauréats de la 16ème édition est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 32 jours

Pour ses 150 ans, la fontaine Wallace à Paris entre au musée

Charité, bonté, simplicité, sobriété : les quatre cariatides caractéristiques de la fontaine vert foncé, différentes entre elles par la position de leurs jambes ou de leur corsage, trônent désormais dans un coin du jardin du musée, offrant aux visiteurs le même filet d'eau qu'un siècle et demi auparavant.Financée par le philanthrope Richard Wallace, conçue par le sculpteur Charles-Auguste Lebourg et coulée par la fonderie du Val-d'Osne (Haute-Marne) en 1872, cette fontaine, parmi les toutes premières de ce type, a été déplacée de la place Denfert-Rochereau (XIVe arrondissement) où elle avait été installée à la fin du XIXe siècle.Cette place de la rive gauche retrouvera une copie fabriquée par la fonderie GHM, héritière du Val-d'Osne.Parmi 1.200 fontaines, la Ville compte aujourd'hui 107 fontaines Wallace, mais seules deux sont classées aux monuments historiques. Depuis 1872, elles ont aussi essaimé hors de la capitale où elles seraient plus de 150 selon la Société des fontaines Wallace : partout en France mais aussi à Rio de Janeiro, à Moscou, Maputo, Amman ou Jérusalem..."Où que nous soyons dans le monde, quand on voit une fontaine Wallace, on sait qu'elle évoque Paris", a estimé Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la mairie de Paris, lors de l'inauguration.L'entrée de cette fontaine au musée souligne la volonté de la mairie de "protéger le patrimoine historique de notre ville", a affirmé le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo, accusée par le mouvement SaccageParis de négliger le mobilier urbain haussmannien.Les fontaines Wallace seront mises à l'honneur fin septembre par leur gestionnaire, Eau de Paris, qui entend d'ici 2024 équiper 50 d'entre elles d'un brumisateur quasiment invisible, a indiqué son président Dan Lert, également adjoint (EELV) à l'eau.
Il y a 3 ans et 33 jours

A Gignac, un lycée en bois paré de céramique signé Hellin-Sebbag

L’agence Hellin-Sebbag a livré en juin 2021 à Gignac (Hérault) le nouveau lycée Simone Veil. L’ouvrage entièrement neuf de 14 514 m² accueille désormais plus de 1 000 lycéens. Réalisé pour la Région Occitanie, maître d’ouvrage pour un coût des travaux de 31.86 M€ H.T.. Communiqué. Construction d’un lycée neuf comprenant accueil, salle d’exposition, salle polyvalente, CDI, […] L’article A Gignac, un lycée en bois paré de céramique signé Hellin-Sebbag est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 33 jours

Machu Picchu et les trésors du Pérou

Cette exposition exceptionnelle retrace les 3 000 ans de civilisations Précolombiennes, jusqu’au mystère du Machu Picchu. A la Cité de l’architecture à Paris. Jusqu’au 4 septembre 2022. Chefs d’œuvre et objets symboliques, c’est plus de 190 pièces originales d’un des plus grands musées péruviens, réunies pour la première fois, dont certaines jamais sorties du Pérou […] L’article Machu Picchu et les trésors du Pérou est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 34 jours

L’innovation au cœur du Carrefour International du Bois

Le Carrefour International du Bois, qui aura lieu du 1er au 3 juin 2022 au Parc des Expositions de Nantes, fera la part belle à l’innovation au sein d’un espace dédié pour la deuxième édition consécutive. Situé dans le hall 1, l’espace innovation présentera les avancées de la filière sur les sujets de R&D ainsi que sur les nouveautés en matière de produits et de services. L’Afpia Solfi2A, Bois HD et Xylofutur, acteurs du secteur, animeront ce plateau dédié à l’échange et aux découvertes. Pour cette édition 2022, la Wood Tech, premier réseau de start-up de la filière forêt bois, rejoint les rangs et sera accompagnée par 4 de ses adhérents sur un stand : « Après un peu plus d’une année d’existence, notre regroupement compte aujourd’hui 29 jeunes structures innovantes qui évoluent dans le domaine du digital pour faciliter les interventions en forêt ou améliorer la connaissance des essences. Certaines de ces start-up travaillent aussi dans la création de plateformes pour la mise en relation directe des professionnels du bois avec les particuliers ou encore dans des applications plus orientées « produits » comme des écrans tactiles en bois ou bien un emballage alimentaire réutilisable et composé uniquement de fibres végétales », explique François VULSER, responsable de la Wood Tech. Après 4 ans d’absence dus à la pandémie de COVID-19, la seizième édition du Carrefour International du Bois est vivement attendue par l’ensemble de la filière. Salon leader, il est dédié aux professionnels et aux produits bois sous toutes ses formes. Il rassemble sur 3 jours 563 exposants et plus de 11 500 visiteurs venus de 85 pays différents.
Il y a 3 ans et 34 jours

Nouveau Mastère Spécialisé : « Médiation territoriale, RSE – Filières forêt-bois »

Bordeaux Sciences Agro et l’ESB lancent un nouveau Mastère Spécialisé : « Médiation territoriale, RSE – Filières forêt-bois », ce nouveau Mastère spécialisé, co-délivré par l’ESB et Bordeaux Sciences Agro répond à trois objectifs : placer la connaissance scientifique comme socle des débats relatifs aux enjeux forêt-bois, actuels et futurs ; instaurer un dialogue territorial pour co-développer la place des forêts et de leurs fonctions dans la société ; valoriser les dispositifs RSE et RSO (responsabilité sociétale des entreprises/organisations comme moyen de mise en œuvre de la transition des territoires forestiers. Après avoir obtenu leur diplôme, les apprenants pourront mettre à profit leurs compétences pour toutes les entreprises du secteur forêt-bois mais aussi pour le compte d’institutions, d’organismes et d’institutions privées comme publics telles que des collectivités territoriales, coopératives forestières, associations de protection de l’environnement, ONG. Ce Mastère Spécialisé, accrédité par la conférence des grandes écoles, s’échelonne sur 12 mois et intègre une période de stage en entreprise d’une durée de 20 semaines. Pour postuler à cette formation, les candidats doivent être titulaires d’un diplôme de niveau bac + 5 ou d’un bac + 4 avec 3 années d’expérience professionnelle. Le dépôt des candidatures se fait sur le site de l’ESB avant le 30 juin 2022. Photo : TP reconnaissance des essences © ESB – Hadrien Brunner  
Il y a 3 ans et 34 jours

Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens

L’îlot-S, à Annecy, propose l’exposition Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens. Jusqu’au 17 juin 2022. En accueillant l’exposition Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens, le Caue de Haute-Savoie souhaite partager le regard exercé par le Caue Rhône Métropole sur les paysages ordinaires. Ceux dont on mésestime souvent l’importance et […] L’article Territoires invisibles – Histoires d’architectures et de paysages quotidiens est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 35 jours

Une mise en scène des logiciels d'organisation du travail collaboratif à BIM World 2022

Le salon BIM World 2022 a montré l’étendue des services collaboratifs que l’on peut construire autour des échanges BIM entre les softs de conception et les logiciels métiers plus spécialisés.
Il y a 3 ans et 35 jours

Recyclage et la valorisation des déchets inertes du BTP – La CAPEB Normandie et l’UNICEM Normandie signent une convention de partenariat

 Mercredi 6 avril 2022 – Dans le cadre de la conférence économique CERC Normandie.  Dans le cadre des ambitions du gouvernement en matière d’économie circulaire et afin d’améliorer encore le niveau de valorisation des déchets du bâtiment en Normandie, l’UNICEM Normandie et la CAPEB Normandie s’engagent et signent une convention de partenariat.  Les actions menées […]
Il y a 3 ans et 35 jours

Loi Climat et Résilience : publication de l’ordonnance encadrant l’aménagement des territoires littoraux exposés au recul du trait de côte

Ce changement est certain et le simple endiguement ne permettra pas de le combattre dans la durée.Le recul du trait de côte impose la recomposition des territoires littoraux concernés en anticipant la relocalisation progressive des habitations et des activités affectées par l’érosion. A cet effet, dans le prolongement des premières dispositions votées dans la loi Climat et Résilience, des mesures complémentaires sont introduites par voie d’ordonnance, présentée en conseil des ministres ce mercredi 6 avril 2022.Pour sécuriser et encadrer les conditions d’acquisition par la puissance publique de biens exposés au recul du trait de côte, l’ordonnance définit tout d’abord une méthode à privilégier pour évaluer la valeur de ces biens, à horizon de 30 ans. La valeur d’un bien immobilier est en priorité déterminée par comparaison avec des biens similaires situés dans la même zone d’exposition à l’érosion. En l’absence de telles références, une décote proportionnelle à la durée de vie résiduelle prévisible peut être appliquée à la valeur d’un bien similaire situé hors zone d’exposition au recul du trait de côte.En outre, un nouveau type de bail réel est créé. Le bail réel d’adaptation à l’érosion côtière pourra être conclu entre un bailleur public et un preneur sur des ouvrages et bâtiments dans les zones exposées au recul du trait de côte, pour une durée comprise entre 12 et 99 ans. Cet outil comprend un mécanisme de résiliation anticipée, en fonction de l’évolution de l’érosion, si la sécurité des personnes et des biens ne peut plus être assurée. Afin de prendre en compte les conditions d’acquisition du bien et de pouvoir financer les opérations de renaturation à terme, le preneur s’acquitte d’un prix à la signature du bail et d’une redevance pendant sa durée. Le prix de cession du bail est par ailleurs encadré pour prévenir des situations où les droits réels seraient cédés à une valeur disproportionnée au regard de la durée de vie résiduelle du bien.Enfin, l’ordonnance ouvre la possibilité de déroger à certaines dispositions de la loi littoral, notamment l’obligation de construire en continuité de l’urbanisation existante, lorsque ces dispositions empêchent la mise en œuvre d’une opération de relocalisation de biens ou d’activités menacés dans des espaces moins soumis au recul du trait de côte.Ces dérogations ne peuvent intervenir que dans le cadre d’un contrat de projet partenarial d’aménagement (PPA) ayant pour objet la recomposition spatiale du territoire d’une commune exposée au recul du trait de côte. Elles sont uniquement mobilisables lorsque les constructions, ouvrages ou installations menacés par l’évolution du trait de côte ne peuvent pas être relocalisés au sein ou en continuité de l’urbanisation existante, après accord du représentant de l’Etat dans le département ou du ministre chargé de l’urbanisme, et après avis de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites. Ces dérogations ne peuvent pas être accordées en cas d’atteinte excessive à l’environnement ou aux paysages.Ces contrats de PPA sont d’ores et déjà expérimentés sur trois territoires pilotes (Lacanau, Gouville-sur-mer, et Saint-Jean-de-Luz), qui bénéficient de 10M€ de France Relance.Quelques chiffres :20.000 km de littoral français dont 22% des zones côtières soumises à un phénomène d’érosion. Aucune région côtière française n’est épargnée par le phénomène du recul du trait de côte650 km de littoral en recul, dont 270 km à une vitesse moyenne de 50 cm par anUne densité de population sur les côtés actuellement 2,5 fois plus élevée que la moyenne nationale, avec une tendance d’évolution prévue à la hausse
Il y a 3 ans et 35 jours

Coup de pouce financier pour les PME qui souhaitent participer aux foires et salons

Cette mesure gouvernementale concerne les foires et salons de plus de 500 exposants entre mars 2022 et juin 2023, et s'applique notamment à l'édition 2022 du salon Batimat, du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles.
Il y a 3 ans et 35 jours

Quel bilan pour Nordbat 2022 ?

BILAN. Repoussé plusieurs fois en raison de la crise sanitaire, le salon Nordbat aura finalement eu lieu du mercredi 30 mars au vendredi 1er avril à Lille Grand Palais. Les visiteurs ont-ils répondu présents ? Réponse.
Il y a 3 ans et 35 jours

L’artisanat du bâtiment en danger selon une enquête de la CAPEB en région

C’est le triste constat qui résulte de l’enquête flash conduite par les CAPEB d’Auvergne-Rhône-Alpes auprès de leurs adhérents et c’est pourquoi la CAPEB est plus que jamais mobilisée pour demander des solutions d’urgence concrètes pour sauver l’artisanat.Des remontées inquiétantes du terrainLes entreprises artisanales du Bâtiment sont confrontées depuis la crise sanitaire à des augmentations de prix ininterrompues et imprévisibles et se heurtent à des difficultés d’approvisionnement depuis un an et demi et qui s’aggravent. S’y est ajoutée la hausse des prix de l’énergie depuis la fin 2021 qui s’accentue considérablement avec la guerre en Ukraine. Désormais, un certain nombre d’enseignes et d’industriels se refusent à s’engager sur les prix et les délais de livraison. Une situation brutale et particulièrement anxiogène pour les entreprises artisanales du Bâtiment qui se vérifient dans leurs réponses à l’enquête flash qu’ont conduite les CAPEB départementales auprès de leurs adhérents. C’est particulièrement le cas pour les plus petites entreprises :31% des entreprises ne pourront pas faire face aux difficultés engendrées par le contexte économique et géopolitique au-delà d’un an.18% seulement des entreprises sans salariés et 17% des entreprises entre 1 et 5 salariés pensent pouvoir résister 2 ans et plus.56% des artisans voient leur moral impacté contre 27% des entreprises de plus de 20 salariés.Des mesures insuffisantes du gouvernement – Les solutions de la CAPEBLe Ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, s’était engagé à intégrer le Bâtiment dans le plan de résilience du gouvernement. La CAPEB a pu constater que ce n’était pas le cas.Même si certaines mesures vont dans le bon sens, comme appeler une nouvelle fois les acheteurs publics à faire jouer la clause de l’imprévisibilité dans les contrats et à ne pas appliquer les pénalités de retard pour un chantier du fait de difficultés d’approvisionnement liées à la guerre en Ukraine, elles sont loin d’être suffisantes.En effet, les marchés publics ne représentent que 17 % des marchés des entreprises artisanales et faire jouer la clause d’imprévisibilité est tout sauf simple. Enfin, aucune disposition n’est prévue pour les marchés signés avec les particuliers qui représentent l’essentiel des marchés des entreprises artisanales du bâtiment.La CAPEB propose 8 mesures très concrètesVeiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs participent activement au comité de crise du BTP mis en place par le gouvernement, intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation et assument les risques d’augmentation des prix avec la filière dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du Bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils garantissent leur stabilité durant au minimum trois mois. En effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours ;Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Marchés publics. Rendre enfin systématique, au profit des entreprises, l’application de pénalités en cas de retard de paiement du maître d’ouvrage ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux. Quelques-unes de ces propositions ont d’ores et déjà été entendues. Ainsi, le communiqué de presse du ministère de l’Economie du 29 mars prévoit notamment la révision accélérée des index à partir de mai 2022, la mise en place d’une aide temporaire pour les entreprises de TP, l’organisation d’un comité de crise BTP départemental et la publication d’une circulaire aux maîtres d’ouvrage publics sur la révision des prix.Ces mesures restent cependant insuffisantes au regard de la situation et la CAPEB poursuit donc sa mobilisation.La CAPEB mobiliséePartout en France, les CAPEB départementales et régionales sollicitent leur préfet pour qu’il organise une table ronde avec l’ensemble des acteurs du Bâtiment, industriels et négociants, afin de rechercher les termes d’une « solidarité économique » permettant de limiter les hausses de prix et d’éliminer les comportements anormaux. Des rendez-vous sont également pris avec leurs députés et sénateurs.De nombreuses communications auprès des médias (presse, radio et TV) sont également organisées aussi bien au niveau national que dans les départements. C’est particulièrement le cas dans notre région.La mobilisation de la CAPEB commence à porter ses fruits. L’enseigne de distribution Saint-Gobain s’est récemment engagée par écrit auprès du Président national de la CAPEB pour encadrer la hausse des prix avec des propositions concrètes comme celle de l’autoriser seulement le premier de chaque mois. A destination des entreprises, les CAPEB départementales leur apporte tout l’accompagnement et le soutien dont elles ont besoin au quotidien. Une fiche pratique a été élaborée à cet effet pour les aider à mieux résister à la crise.Pour Dominique Guiseppin, Chef d’entreprise artisanale de peinture (Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « La situation est particulièrement inquiétante pour nos entreprises, c’est leur rentabilité et à terme la pérennité de l’artisanat qui est en jeu. Si l’activité ne manque pas pour l’instant, nous souffrons d’un manque de lisibilité sur nos approvisionnements qui ralentit considérablement nos chantiers et perturbe grandement leur organisation, sans compter l’augmentation des coûts qui a un impact très lourd sur nos marges. L’enquête flash que nous avons conduite avec les CAPEB départementales le montre bien, seulement 18 % des entreprises artisanales répercutent la hausse des prix sur leurs clients.À l’heure des élections présidentielle et législatives, il est grand temps que nos dirigeants entendent enfin la voix des entreprises artisanales et leur proposent des mesures adaptées. »
Il y a 3 ans et 36 jours

Emmanuel Macron veut consacrer 50 milliards d'euros par an à la transition écologique

PRÉSIDENTIELLE 2022. L'équipe de campagne du président sortant et candidat à sa réélection a tenu une conférence de presse pour présenter son programme en matière de transition écologique. Si les grandes lignes et les chiffres qui les accompagnent ont été rappelés, aucune nouvelle mesure concrète sur le secteur du bâtiment n'a été annoncée.
Il y a 3 ans et 36 jours

Selon le GIEC, il est urgent d'introduire le concept de sobriété dans le bâtiment

Yamina Saheb, analyste principale des politiques climatiques chez Open Exp, l'une des autrices principales du rapport du GIEC publié lundi 4 avril, a présenté les conclusions du rapport en ce qui concerne le secteur du bâtiment le 6 avril dans une conférence en ligne organisée par l'Ecole des Ponts.
Il y a 3 ans et 36 jours

Edgar Suites transforme l’ancien siège du Barreau de Paris en dix « Suites Urbaines » d’exception

Situé au 25 rue du Jour, l’Hôtel de la Porte est un joyau architectural datant du 17e siècle. La façade de l’hôtel, la décoration du grand escalier et le plafond d’un ancien salon situé au premier étage sont inscrits à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1926. Le bâtiment a abrité le musée et le siège du Barreau de Paris.Cet immeuble de 4 étages est désormais constitué de dix appartements uniques, répartis selon trois typologies (25 m² ; 55 m² ; 75 m²), pour une surface totale de 868 m².La totalité de l’aménagement a été confié à Selency, partenaire d’Edgar Suites. Spécialiste du mobilier de seconde main, Selency propose une alternative à l’équipement neuf, contribuant ainsi à préserver les matières premières de la planète.Cachet de l’ancien et confort contemporain Se sentir chez soi ailleurs : telle est la philosophie d’Edgar Suites depuis sa création. Dans la résidence du 25 rue du Jour, Edgar Suites signe un projet de réhabilitation de grande ampleur, mixant charme de l’ancien et confort du moderne.Pour cette réalisation, Edgar Suites s’est entouré du cabinet d’architectes Pierre Audat et Associés. Le budget des travaux pour cette transformation s’estime à 1.850.000 €.« Nous retrouvons dans cette résidence les fondamentaux du vieux Paris -vieilles pierres, fer forgé, escalier classé- mais également tout le confort attendu par notre clientèle étrangère exigeante, désireuse de vivre une expérience voyageur au cœur d’un quartier historique, explique Xavier O’Quin, président d’Edgar Suites. La clientèle étrangère vient pour de longs séjours, le choix du lieu est primordial ! » ajoute-t-il. Edgar Suites, une démarche durable Depuis 2016, Edgar Suites réinvente la résidence hôtelière dans une volonté de tourisme durable. La société redonne de la valeur commerciale à des immeubles de bureaux obsolètes grâce à un changement d’usage et à un accompagnement complet (démarches administratives, travaux…).De plus, en privilégiant les actifs de petite taille au cœur des villes, la société contribue à réduire l’impact des voyages sur l’environnement et le quotidien des habitants, tout en tissant des partenariats avec les commerçants locaux.Pour Xavier O’Quin : « Aujourd’hui, 7 dossiers sur 10 que nous examinons ne se prêtent pas à notre modèle. Les mètres carrés ne sont pas déterminants dans notre recherche d’actifs. Nous ciblons des immeubles obsolètes où ajouter de la valeur. C’est l’utilité et l’efficacité des plans qui nous importent. » En cinq ans, Edgar Suites a vu son nombre de suites sous gestion passer de 10 à 150, réparties entre Paris et Bordeaux. Après une levée de fonds réussie de 104 millions d’euros en mai 2020, la société projette de gérer 700 suites en 2026, en élargissant son activité aux principales métropoles Françaises. Edgar Suites annonce, ainsi, l’ouverture d’une résidence pour le dernier trimestre 2022 à Paris Montmartre dans un ancien hôtel réhabilité à son format de « Suites Urbaines » et ses premières suites à Montrouge dans une résidence de 2.000 m² ainsi qu’à Lille et Cannes pour 2023.Par ailleurs, la politique d’acquisitions d’actifs immobiliers pour compte propre amorcée en 2021 se matérialise avec une première acquisition d’un ensemble immobilier de 2.000 m² en cours de signature à Levallois-Perret.Fiche technique :Adresse : 25 rue du Jour, 75001 ParisSurface de l’immeuble : 868 m²Surface des appartements : 3 typologies : 25 m² ; 55 m² ; 75 m²Nombre d’étages : 4Budget travaux : 1.750.000 € HT + 100.000 € de ravalementArchitecte : Pierre Audat et Associés
Il y a 3 ans et 37 jours

Nelly Philipponnat, réélue présidente de CEKAL

Nelly Philipponnat, ingénieur ESTP, a depuis plus d’une vingtaine d’années assumé des postes de marketing, communication et de représentation au sein des différentes instances professionnelles en lien avec le matériau verre. Elle est actuellement directrice des bâtiments durables de Saint-Gobain Glass bâtiment France.Feuille de route 2022-2025Faire vivre le référentiel CEKAL au rythme des évolutions techniques pour un programme de certification exigeant, adapté à la réglementation et aux développements technologiques du secteur.Suivre les évolutions des textes européens et s’y adapter.Faciliter l’apprentissage des centres certifiés aux évolutions normatives relatives à la fabrication de produits entrant dans le domaine de compétence de CEKAL.Achever enfin le retour à un rythme de croisière après la crise de la pandémie, avec une vigilance toujours forte sur le suivi et l’évaluation des constituants qui équipent les vitrages.Mener à bien les évaluations annuelles du Cofrac.Échanger avec les centres certifiés et les informer, via les Rencontres régionales CEKAL organisées chaque année avec un nouveau programme. En 2022, elles se dérouleront à Nancy le 12 mai, à Grenoble le 5 juillet (avec la visite des laboratoires du CSTB), à Bordeaux le 19 octobre.Participer à la grande rencontre des acteurs du bâtiment avec la conférence CEKAL organisée le 5 octobre 2022 sur Batimat.Communiquer vers les utilisateurs, notamment au travers de la mise à disposition de vidéos sur les contrôles et le marquage pour les vitrages isolants, feuilletés et trempés et continuer à proposer un site Internet ouvert et transparent. Pour Nelly Philipponnat, présidente de CEKAL : "Le dévouement et l’implication à mes côtés des membres du nouveau Bureau, des présidents et membres des commissions et comités à notre cause commune seront, comme toujours, essentiels pour tenir l’objectif d'une certification rigoureuse qui bénéficie à toutes les parties prenantes. Nous aurons à cœur de faire vivre le référentiel au rythme des évolutions techniques, de suivre au plus près l'évolution des textes européens et s'y adapter, d’évaluer les constituants qui équipent les vitrages, et ne pas baisser la garde en matière de confidentialité et d'impartialité." Les membres du Bureau élus ou réélus sont les suivants : Nelly Philipponnat, présidenteJean-Claude Desnoues, vice-présidentJean-Paul Vieyres, trésorierJean-Marc Salzard, secrétaireEric Vivion et Jean Michel Lidou représentant les 2 collèges au sein de CEKAL
Il y a 3 ans et 37 jours

Le bloc-baie chrono one de Soprofen obtient l’avis technique du CSTB

Dans une démarche d’amélioration continue, SOPROFEN mobilise en permanence son service Recherche & Développement pour proposer des solutions toujours plus innovantes répondant aux directives réglementaires. C’est dans cette dynamique que l’expert du volet roulant présentait en parallèle du dernier salon EquipBaie, son nouveau bloc-baie Chrono One fabriqué en France en PVC recyclé (à hauteur de 60%). Aujourd’hui, ce coffre intégré, véritable concentré de technologie vient de recevoir l’Avis Technique du CSTB. Illustrant une nouvelle fois le savoir-faire incontournable de SOPROFEN sur le marché du bloc-baie, cet Avis Technique (n°6/16-2339), publié le 22 février dernier, formule une appréciation favorable à la mise en œuvre du Chrono One en tableau avec isolation par l’intérieur ou par l’extérieur (enduit sur isolant et/ou bardage), dans des murs en maçonnerie ou en béton. Cette procédure très exigeante s’appuie en particulier sur les essais effectués par la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques du CSTB. Ceux-ci témoignent des performances exceptionnelles du Chrono One, obtenues notamment grâce à sa technologie brevetée de sous-face en nid d’abeille, en termes : – d’isolation thermique (jusqu’à Up 0,661 + 0,027/Lc) grâce aux planches PVC en nid d’abeille ainsi qu’à un isolant polystyrène dans les joues et le long de la trappe, – d’affaiblissement acoustique (jusqu’à 57dB Dne Atr), – de perméabilité à l’air, lui permettant d’atteindre une certification classe 4* (0,4m3/h.m2 pour une hauteur de coffre de 200 mm), conformément à la réglementation en vigueur, – de résistance mécanique du coffre et de sa liaison sur la menuiserie, en particulier sous les charges dues au vent, grâce à un adaptateur en aluminium et aux renforts d’inertie complémentaires à la traverse haute. Parmi les autres points relevés par le CSTB, figure la facilité de mise en œuvre du Chrono One sur les fenêtres, ce qui était l’une des volontés de SOPROFEN lors du développement de ce nouveau bloc-baie pour offrir un montage en moins de 8 minutes top chrono. Rappelons que SOPROFEN avait déjà reçu le 1er Avis Technique de la profession pour son bloc-baie Mono VR il y a 30 ans, suivi en 2020 par le 1er Avis Technique sur un bloc-baie en polystyrène pour le Chrono PSE2. Cette nouvelle distinction illustre une fois de plus la capacité d’innovation du leader français de la fermeture. http://www.soprofen.fr/
Il y a 3 ans et 37 jours

Une aide gouvernementale pour soutenir les PME exposantes aux foires et salons

74 événements organisés en France entre mars 2022 et juin 2023 sont concernés par cette mesure, dont l’édition 2022 du salon BATIMAT qui se tient du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles.En pratique, cette subvention, gérée par CCI France, correspond à 50 % des dépenses de location de surfaces d’exposition et de frais d’inscription dans la limite de 12.500 € HT par entreprise. Peuvent bénéficier de cette aide, les entreprises de moins de 250 salariés, dont le chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas les 50 millions d’euros. Par ailleurs, elles ne doivent pas avoir été exposantes à l’édition précédente du salon.Les dossiers de demande d’aide sont à déposer sur le site national du réseau des CCI avant le 31 décembre 2022.« Nous sommes très heureux de la mise en place de ce dispositif qui va permettre à des entreprises de participer à ce rendez-vous phare pour la filière. » indique Guillaume Loizeaud, Directeur du Salon Batimat.[1]PME établie en France ou succursale en France d’une PME établie à l’étranger
Il y a 3 ans et 37 jours

Puy-de-Dôme : livraison du nouveau pôle culturel Fontmaure de Chamalières au second semestre 2022

Le calendrier de réhabilitation de l’ancien hôpital Fontmaure à Chamalières prévoit une inauguration de la nouvelle infrastructure au second semestre 2022.