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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 3 ans et 38 jours

Tarkett publie son rapport 2021 de responsabilité sociale et environnementale

Entièrement audité par un tiers indépendant - KPMG -, ce rapport décrit les performances significatives de l'entreprise en matière de développement durable et sa forte ambition, dont de nouveaux objectifs climatiques.Tarkett a récemment défini sa feuille de route ambitieuse Climat 2030 sur l'ensemble de sa chaîne de valeur[1], visant à réduire de 30 % les émissions de gaz à effet de serre. Cela couvre les émissions des activités du Groupe (Scope 1) et de son énergie achetée (Scope 2) – ainsi que celles issues du reste de sa chaîne de valeur, des fournisseurs aux clients finaux (scope 3).« Au cours des deux dernières années, nous avons réduit nos émissions de gaz à effet de serre[2] de 27 %. Nous voulons désormais aller plus loin en mettant en place cette feuille de route climatique ambitieuse. Nous construisons de plus en plus de partenariats dans l'économie circulaire et l'action climatique, par nos choix engagés pour les personnes et la planète. Ensemble avec notre écosystème, nous contribuons activement aux objectifs de développement durable des Nations Unies et il est essentiel que nous nous lancions dans cette aventure avec nos clients », explique Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett.Au-delà de son ambition d’être un acteur clé dans l'économie circulaire, le Groupe met également l'accent sur l'utilisation de matériaux de qualité, contribuant à la santé et au bienêtre des personnes. Dans le cadre de sa responsabilité sociale, Tarkett protège et développe également ses équipes, crée une culture de la diversité et de l’inclusion tout en soutenant ses communautés locales.Tarkett a réalisé des progrès considérables avec son programme de reprise et de recyclage Tarkett a réalisé des progrès considérables avec ReStart®, son programme de collecte et de recyclage, en transformant les revêtements de sol en fin d’usage et les matériaux recyclés en nouveaux revêtements de sol. Cela permet de réduire les déchets et l'empreinte carbone, en diminuant le besoin de matières premières vierges tout en évitant l'enfouissement et l'incinération.Au cours des 11 dernières années, l'entreprise a collecté l'équivalent de 11 tours Eiffel (112 000 tonnes) de revêtements de sol dans le cadre de son programme ReStart® en Europe, en Amérique du Nord et au Brésil, dans huit centres de recyclage.De solides progrès dans ReStart® ont été réalisés au centre de recyclage de moquette unique de Waalwijk, aux Pays-Bas, au centre de recyclage de vinyle à Ronneby, en Suède et au centre de recyclage de linoléum à Narni, en Italie. Ensemble, ces centres de recyclage ont augmenté leur collecte ReStart® de 69 % par rapport à 2019. En complément des progrès réalisés avec ReStart®, 15% des matières premières (147 000 tonnes par an) sont des matériaux recyclés en 2021, l’objectif étant d'atteindre 30% en 2030. Tarkett a réduit son empreinte carboneDouze sites de production dans dix pays s'approvisionnent en électricité 100% renouvelable et 38% de la consommation totale d'énergie provient d'énergies renouvelables.Les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'électricité achetée, de la consommation de vapeur et de la combustion de carburant sur les 34 sites de production de Tarkett dans 19 pays ont été réduites de 44 % par rapport à 2010, ce qui correspond aux émissions annuelles de gaz à effet de serre de 21 000 habitants européens.[3]Les systèmes de chauffage à énergie fossile ont été remplacés par des systèmes électriques ou à biomasse. Par exemple, l'usine de Jacareí (Brésil) a changé la source d'énergie de sa presse à chaud du gaz naturel à l'électricité, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre associées. Jacareí s'approvisionne désormais en électricité 100 % renouvelable à partir de sources hydroélectriques, solaires et éoliennes.Des exemples récents illustrant notre performance RSEEn Suède et en Belgique, nous avons collaboré avec IKEA pour collecter et recycler les revêtements de sol usagés de leurs magasins à Stockholm (Suède) et Arlon (Belgique). Plus de 14 500 m2 de matériaux ont été collectés puis traités dans notre site de recyclage à Ronneby (Suède).Tarkett est le seul fabricant de moquette en Europe capable de recycler entièrement ses dalles de moquette commerciale, grâce à son centre de recyclage de moquette unique à Waalwijk (Pays-Bas) et en étroite collaboration avec son fournisseur Aquafil. Recycler 1 m² de revêtement de sol en dalles de moquette EcoBase® après utilisation permet d'économiser 10 kgCO2e.En Europe, nous déployons des couches de remplissage renouvelables à utiliser dans le gazon artificiel. Le remplissage PureMix, qui mélange des noyaux d'olive broyés avec un remplissage en liège existant, a été déployé sur le terrain de football de la municipalité de La Haye (Pays-Bas). A Saint-Ouen (France), lors de la rénovation du gazon artificiel du terrain d'entraînement de l'école de football Red Star, des matériaux recyclés et renouvelables ont été utilisés. Un remplissage composé de sable récupéré d'un ancien gazon artificiel a été utilisé avec des noyaux d'olives concassées PureSelect.En Europe, notre solution de remplissage sportif ProMax HydroFlex - fabriquée en Allemagne - est composée à 30% de polyéthylène recyclé provenant de terrains en gazon artificiel en fin d'usage.Aux États-Unis, nous avons incorporé du PVB recyclé post-utilisation dans notre ethos® Modular avec Omnicoat Technology™, une solution de revêtement de sol souple de haute qualité fabriquée à partir de matériaux sains et sûrs, dont 33 % de PVB recyclé post-consommation. De 2004 à 2021, nous avons réutilisé 37 000 tonnes de films PVB provenant de 36 millions de pare-brise.Dans le cadre de notre programme Tarkett Cares et afin de soutenir les communautés locales, nous avons impliqué nos équipes dans plus de 700 initiatives solidaires, avec 3 300 jours de bénévolat de nos collaborateurs et plus d'un million d'euros de dons de produits (2017-2021).1 Compare à 2019, scope 1, 2 and 32 Emissions de gaz à effet de serre comparées à 2019, Scope 1 & 23 EuroStat a rapporté en 2021 que l'empreinte carbone totale de l'UE-27 était égale à 6,7 tonnes de CO2 par personne en 2019. Les émissions absolues de GES (scope 1 et 2) des sites de production de Tarkett en 2021 représentent 177 500 tonnes de CO2e, ce qui correspond à une réduction de plus de 140 000 tonnes CO2e par rapport à 2010.
Il y a 3 ans et 38 jours

Trophées du négoce : Plus que 3 jours !

Les Trophées du négoce reviennent, pour récompenser l'innovation des distributeurs et des fournisseurs, en partenariat avec le groupe Berto. La date limite de candidature pour les Trophées du négoce approche : ne tardez plus.
Il y a 3 ans et 38 jours

Studio : le mobilier que vous devez acheter neuf

Pour aménager un studio, économiser sur les mètres carrés est indispensable. Ce n’est pas une raison pour ne pas être confortablement installé. Effectivement, les idées ne manquent pas pour se créer un nid douillet et facile à vivre. Il existe aujourd’hui des meubles malins, multifonctions, rétractables ou empilables s’adaptant à toute situation. Découvrez une sélection des meubles à avoir dans un studio. Un canapé-lit insoupçonnable Auparavant, il fallait trancher entre accueillir confortablement ses convives dans un sofa digne de ce nom, ou se coucher dans un vrai lit. Fort heureusement, afin de répondre à l’optimisation des petites surfaces, les fournisseurs de meubles ont développé des canapés ne laissant en aucun cas apparaître le couchage qu’ils renferment. Simple et esthétique, le meilleur canapé lit offre un confort optimal avec son matelas ergonomique et son sommier à lattes. Une cloison multifonction En emménageant dans un studio, on constate que toutes les activités du quotidien se déroulent dans la même pièce. De ce fait, comment délimiter les différentes zones tout en permettant une circulation fluide ? Vous pouvez, par exemple, distinguer la cuisine du reste du mini-logement avec une cloison multifonction pleine de surprises. Outre le fait d’optimiser les rangements, ce mobilier offre une table toute faite par un jeu subtil d’éléments rabattables. Une table sur roulettes Le maître mot dans une petite superficie reste la modularité. Pour pouvoir évoluer en fonction de vos besoins, votre appartement doit pouvoir se transformer facilement. À cet effet, les éléments sur roulettes seront de mise puisqu’ils offrent la possibilité de se déplacer aisément, à l’instar de la table multifonction. Une banquette coffre Pour aménager une petite surface, il est primordial de trouver du mobilier astucieux qui cumule deux ou trois fonctions. Une banquette, avec ses multiples coussins, sert à la fois d’assise confortable pour accueillir ses amis, et permet, une fois le siège rembourré relevé, de profiter d’un large coffre de rangement. Une étagère comme séparation entre deux espaces Par ailleurs, vous pouvez user d’un élément de rangement ouvert afin de délimiter la chambre et la pièce à vivre, par exemple. Pourquoi ne pas miser sur une étagère construite sur mesure ? Ce meuble malin vous permettra de créer un peu d’intimité dans la chambre et de recevoir la télévision côté salon. Des rangements à composer Un des principaux challenges dans les petites habitations consiste à trouver des solutions pour maximiser le rangement sans surcharger l’espace. N’optez pas pour une seule étagère posée au sol, massive, qui accaparera trop de place. Préférez plutôt des rangements à fixer aux murs et à composer. Ces derniers pourront ainsi évoluer selon vos besoins. Des petites tables Au lieu d’investir dans de gros meubles pour aménager votre studio, privilégiez les éléments moins volumineux, mais en plus grand nombre. Après les avoir accumulés, vous constaterez qu’ils se révéleront tout aussi pratiques que des grands. Ainsi, parmi les accessoires d’ameublement incontournables pour optimiser un studio, il y a la table d’appoint ou la table basse. Facilement manipulable ou très légère, celle-ci s’adapte à toutes les situations. Une estrade pleine de surprises Pour un gain d’espace optimal dans un petit logement, vous pouvez installer une petite estrade. Toutefois, assurez-vous que la hauteur sous plafond vous le permet. Par un jeu de tiroirs subtil, cette estrade pleine de surprises vous permettra de faire évoluer la superficie disponible selon les différentes activités de la journée. Lorsque le tiroir est totalement refermé, la circulation est optimisée. Accessoirisé de coussins ou à demi ouvert, le tiroir renfermant le matelas se transforme en canapé convertible afin d’accueillir les invités. Une fois entièrement ouvert, il devient un grand lit confortable. Des assises pliantes ou empilables Gain de place oblige, n’hésitez pas à choisir des éléments facilement empilables. Laissés seuls ou combinés, ces tabourets pourront se transformer en assises supplémentaires, chevets ou encore bouts de canapé. Vous pouvez également acheter quelques chaises pliantes. Cependant, il faudra aménager un espace de stockage discret pour que ces dernières se fassent oublier lorsque vous n’en aurez pas besoin. Un lit escamotable Studio rime avec surface au sol réduite. Si le logement est doté d’une grande hauteur sous-plafond, n’hésitez pas à positionner des éléments en partie supérieure. À titre d’illustration, le lit rabattable peut sortir son épingle du jeu le moment voulu. À défaut, vous pouvez orienter votre choix vers un lit mezzanine pour dormir confortablement et dégager de la surface au sol. Une table rétractable Toujours dans une optique de praticité et de gain d’espace, procurez-vous une table rétractable que vous fixerez au mur. Ouverte, elle vous fait profiter d’un espace de travail ou de repas optimum. Et lorsque vous la refermez, ce meuble ingénieux facilite la circulation dans votre studio.
Il y a 3 ans et 38 jours

La Grèce va doubler sa production de charbon pour diminuer sa dépendance au gaz russe

"Le lignite est polluant et dans des circonstances normales, le gaz naturel est moins cher", a souligné le porte-parole dans un point presse.Mais, en raison de la guerre en Ukraine et du besoin pour la Grèce de diversifier son approvisionnement en énergie, la mesure sera, selon le porte-parole, "nécessaire" pour les deux prochaines années.Dépendante à 40% du gaz naturel russe, la Grèce cherche, depuis le début de l'invasion russe en Ukraine le 24 février, des solutions alternatives afin d'"assurer l'approvisionnement énergétique normal du pays", selon le ministère grec de l'Environnement et de l'Énergie.S'exprimant lors de l'inauguration d'un parc photovoltaïque dans le nord de la Grèce, le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a déclaré mercredi que "la politique énergétique de la Grèce doit être flexible, en gardant à l'esprit la situation actuelle"."En aucun cas" ces changements n'affecteront l'objectif annoncé par la Grèce de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et d'atteindre la neutralité climatique d'ici à 2050, a affirmé le chef du gouvernement..Mais la promesse de fermer les centrales à lignite d'ici à 2023 ne sera pas tenue, a dénoncé l'opposition de gauche."C'est un aveu d'échec", a jugé le parti socialiste (Kinal).
Il y a 3 ans et 38 jours

A Paris, une exposition interroge les liens étroits entre architecture et santé

CULTURE. Au coeur de la capitale, l'exposition "Soutenir" propose une réflexion sur la place qu'occupe, dans le passé jusqu'à nos jours, la santé publique, en lien avec l'architecture.
Il y a 3 ans et 38 jours

GRDF souhaite un système énergétique diversifié en France, avec une place pour les gaz renouvelables

À l’occasion de la conférence de presse annuelle de GRDF, Laurence Poirier-Dietz, directrice générale, est revenue sur les résultats solides de 2021, et souligne "la résilience des réseaux gaziers et leurs places indispensables pour réussir la transition énergétique".
Il y a 3 ans et 40 jours

Petites architectures dans le grand paysage, en Franche-Comté

Exposition « Petites Architectures dans le grand paysage » de Julien King-Georges, architecte-plasticien. A la Maison de l’architecture de Franche-Comté. Jusqu’au 25 mai 2022. Rêve d’enfant, utopie des grands.Manière d’habiter, de protéger, d’inviter, d’écouter…La cabane évoque à chacun une image, un souvenir, des moments de bonheur.Elle est l’abri primitif, le génie créatif, l’empreinte d’un passage.Elle appartient à […] L’article Petites architectures dans le grand paysage, en Franche-Comté est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 41 jours

Le palais des Vieilles Procuraties, joyau de Venise, retrouve sa splendeur

Témoin silencieux des siècles traversés par la Sérénissime, cet ancien haut-lieu du pouvoir vénitien est prêt à livrer ses secrets au visiteur, invité à s'engouffrer dans une enfilade d'arcades entourées de poutres en bois et de murs de briques.Pour les trois premiers jours d'ouverture, la visite est réservée aux seuls Vénitiens, dont 3.000 ont répondu présents en 72 heures, avant de s'élargir à partir du 13 avril aux touristes du monde entier.Maître d'oeuvre de cette transformation d'une surface de 12.000 m2, l'architecte anglais de renommée internationale David Chipperfield a été chargé par l'assureur italien Generali, propriétaire du palazzo, d'insuffler une nouvelle vie à cet édifice iconique."La place Saint-Marc figure parmi les plus célèbres du monde, mais aucun d'entre nous n'a jamais imaginé ce qui se cache derrière ces façades construites par plusieurs architectes sur une centaine d'années", a déclaré M. Chipperfield à l'AFP.Erigées au XIIe siècle, les Procuratie Vecchie furent dévastées par un incendie en 1512. L'édifice vénéto-byzantin fut remplacé en 1538 par une structure à trois étages, dans le style classique de la Renaissance italienne.Lion ailéJusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, les procurateurs, hauts magistrats qui secondaient le Doge, chargés du Trésor de la ville mais aussi des Affaires sociales, y ont travaillé tout en y occupant des logements gratuitement.Sous les combles de l'édifice s'étendent désormais les locaux spacieux de The Human Safety Net, une fondation lancée par Generali pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables, dont des réfugiés, ainsi que des salles d'exposition et un auditorium."Les procurateurs s'occupaient des veuves, orphelins et pauvres. Pour nous, c'est un bel hommage à l'histoire et à l'identité de ce bâtiment d'y avoir The Human Safety Net, qui oeuvre pour l'inclusion sociale", a expliqué sa directrice Emma Ursich.A la gauche de l'entrée principale, le lion ailé de Saint Marc, symbole de la cité mais aussi l'emblème de Generali, est incrusté dans le mur de marbre blanc. Une plaque commémore la naissance en 1831 à Trieste de l'assureur, qui a pris ses quartiers à Venise l'année suivante."L'édifice avait été malmené pendant une très longue période, des décorations ont été enlevées, des escaliers, ascenseurs et salles de bains rajoutés, de manière très désordonnée. Notre responsabilité était de lui rendre une certaine intégrité", commente M. Chipperfield.Le chantier aura duré trois ans, après une phase de conception de 24 mois visant à préserver autant que possible les structures existantes.Au premier étage, où Generali a toujours quelques bureaux après avoir transféré en 1990 son siège italien dans les environs de Venise, à Mogliano Veneto, les fresques et peintures murales ont été entièrement restaurées pour leur redonner de l'éclat.La demeure de Sissi"Ce n'est un secret pour personne que travailler avec l'administration en Italie est assez compliqué", ironise David Chipperfield. Planter le moindre clou dans un édifice historique réclame d'innombrables autorisations.Quant aux artisans, "vous pouvez vous retrouver avec les meilleurs du monde", car il y a une longue tradition en Italie, "ils restaurent des bâtiments depuis mille ans"."Il était essentiel de collaborer avec les artisans et fournisseurs locaux, en utilisant des techniques et des matériaux qui font partie de la tradition vénitienne", explique Cristiano Billia, directeur associé de David Chipperfield Architects Milan.Ainsi, pour les sols, murs ou plafonds, ont été utilisés le pastellone, un produit naturel à base de chaux, le terrazzo, composé d'un mélange de fragments de marbre coloré et de ciment, ou encore le marmorino, un enduit de finition à effet satiné.Juste en face, de l'autre côté de la place, se dressent les Nouvelles Procuraties, dont la construction fut achevée en 1640 et qui hébergeaient au milieu du XIXe siècle d'illustres membres de la dynastie des Habsbourg comme l'impératrice Sissi, pendant le règne des Autrichiens sur Venise.Sa demeure donnait sur les très secrets Jardins Royaux longeant le Grand Canal, eux-mêmes rouverts au public en 2019 à l'issue de cinq ans de restauration.
Il y a 3 ans et 41 jours

Zéro artificialisation nette : regards croisés promoteurs-collectivités

URBANISME. Le Zan est résolument considéré comme l'un des enjeux majeurs de la décennie, à la fois par les promoteurs et par les collectivités. Vinci Immobilier et Toulouse Métropole ont témoigné, au salon BIM World, de la manière dont ils abordent ce nouveau paradigme.
Il y a 3 ans et 41 jours

« Territoire Habité » – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre

Territoire Habité – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre est une exposition présentée à Fresnes (Val-de-Marne) par les étudiant·es du DSAA Design d’Espace Territoires Habités de l’École Boulle. Jusqu’au 31 juillet 2022. L’École Boulle et l’Établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre ont initié en 2016 un partenariat pédagogique portant sur des projets d’amélioration […] L’article « Territoire Habité » – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 42 jours

L'Urssaf lance le "Grand Dialogue" pour construire ses services de demain

Dix millions d’usagers utilisent régulièrement les services de l’Urssaf qu’il s’agisse des entreprises, des indépendants ou des particuliers utilisant les offres Cesu et Pajemploi. Tout comme les collaborateurs et les administrateurs, ces usagers pourront proposer leurs idées pour améliorer les services de l’Urssaf et sélectionner leurs propositions préférées parmi celles déjà déposées sur la plateforme granddialogue.urssaf.fr. Cette première phase de consultation permettra de faire émerger des solutions concrètes que l’Urssaf intègrera dans ses orientations pour les cinq prochaines années, afin de poursuivre l’amélioration de l’accompagnement auprès de ses publics. L’Urssaf amorce, en effet, cette démarche participative dans le cadre des travaux préparatoires de sa prochaine Convention d’objectifs et de gestion, signée avec l’Etat, qui débutera en 2023. Elle déterminera les objectifs stratégiques en matière de relation de services. Cette consultation s’inscrit dans le prolongement des travaux menés ces dernières années par l’Urssaf pour coconstruire ses services avec et pour ses publics. Comment participer ?Pour prendre part à cette réflexion, les usagers ont jusqu’au 31 mai pour proposer leurs idées et réagir à celles des autres participants sur granddialogue.urssaf.fr. Pour Yann-Gaël Amghar, Directeur général de l’Urssaf : « Avec le Grand Dialogue, nous souhaitons poursuivre et aller encore plus loin dans notre démarche d’ouverture, d’écoute et de co-construction : nous souhaitons y voir naître des solutions concrètes pour nos usagers, en phase avec leurs attentes. » Axel Dauchez, Président de Make.org : « Chez Make.org, nous sommes ravis d'accompagner l'Urssaf dans ses évolutions et de donner à chaque collaborateur, administrateur et usager l'opportunité de participer à la co-construction des services de demain. Cette consultation permettra à l'Urssaf de répondre le plus efficacement possible aux attentes de ses publics. »Pour en savoir plus sur le Grand Dialogue, rendez-vous sur : granddialogue.urssaf.fr
Il y a 3 ans et 42 jours

1910-1939 : Architectures Art déco, 100 bâtiments parisiens

L’ouvrage “1910-1939 : Architectures Art déco” revient sur ce style, ce moment, cette tendance à la française, à travers 100 bâtiments emblématiques à Paris et ses environs. [©DR] Accusé de diverger des canons épurés promus par les avant-gardistes de l’entre-deux-guerres, le style Art déco a été stigmatisé comme un art peu innovant et bourgeois. Ceci, au contraire du Modernisme, porteur de progrès social et artistique. On retient pourtant l’Art déco comme spontanément associé aux “temps modernes”. Et ce, au travers du déploiement à l’échelle de tout le territoire de son répertoire. Ce mouvement est à la fois un style, un moment, une tendance française, puis internationale, qui n’a pourtant été porté par aucun manifeste. L’Art déco dans tous ses états L’appellation même est tardive. En effet, l’Art déco émerge en 1966, à l’occasion d’une exposition au musée parisien des Arts décoratifs. Il porte sur son heure de gloire en 1925, mais s’avère être un phénomène durable des années 1910 au milieu des années 1950. Tenant de l’art et de l’industrie, ce mouvement est l’expression d’une modernité, qui embrasse toutes les formes de création, du mobilier au bijou, en passant par le vêtement et l’architecture. L’Art déco est le digne héritier de l’éclectisme, qui a contribué à fabriquer la ville de la fin du XIXe siècle. Il se caractérise par la hiérarchisation des volumes, le retour à la symétrie, la simplification de l’ornement au moyen de motifs stylisés, le plus souvent issus d’une production industrielle. Il prospère en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas. Et bien sûr à Paris, porté par une pléiade d’architectes au premier rang desquels se distinguent Pierre Patout, Henri Sauvage ou Louis Süe. L’ouvrage “1910-1939 : Architectures Art déco”, revient sur 100 réalisations parmi les plus remarquables du style – immeubles d’habitation ou commerciaux, bâtiments administratifs, hôtels particuliers, théâtres, cinémas… Dont les lignes sobres et rigoureuses ont renouvelé l’aspect de la rue parisienne. Editeur : Editions Parigramme Auteur : Simon Texier Prix : 14 €TTC Retrouvez l’ouvrage ici 
Il y a 3 ans et 42 jours

Le secteur des piscines privées enchaîne une sixième année de croissance consécutive

"Pour la sixième année consécutive, le chiffre d'affaires du secteur des piscines a connu une hausse et a atteint en 2021 un niveau de croissance record", a ainsi souligné Jacques Braun, administrateur de la FPP, lors d'une conférence de presse. L'année 2021 avait déjà été "tonique avec une augmentation du chiffres d'affaires de 21,5%", a-t-il rappelé.Dans le détail, 244.000 piscines environ ont été construites en France en 2021 dont 86.000 bassins enterrés et 158.000 hors-sol, selon la fédération qui regroupe plus de 1.400 entreprises françaises spécialistes de la piscine et du spa.D'après leurs estimations, 80.000 piscines devraient compléter le parc en 2022 et jusqu'à 150.000 en 2024.Un chiffre record rendu possible par "la démocratisation" du marché des piscines privées ainsi que par la "généralisation des formes de travail hybride", à l'instar du télétravail depuis la crise sanitaire, estime le président de la FPP, Stéphane Figueora. La part des ouvriers, agriculteurs et employés possédant une piscine enterrée aurait bondi de 10% en quatre ans, passant de 14,1% des propriétaires de piscines en 2017 à 24,7% en 2021, soit près d'1/4 des propriétaires de piscines privées, a-t-il poursuivi, reprenant les chiffres d'une enquête menée par le cabinet Decryptis en février et mars 2022 pour le compte de la FPP, auprès d'un échantillon de 18.000 foyers habitant une maison individuelle.Au total, la France compterait aujourd'hui environ 3,2 millions de piscines privées dont 1,55 million de piscines enterrées et 1,64 million de piscines hors-sol, selon les chiffres de la fédération, réaffirmant la position de la France comme leader européen dans la construction de bassins.
Il y a 3 ans et 42 jours

Salamander et AGC Glass Europe concluent un partenariat stratégique d'innovation

Une combinaison qui soutient de manière optimale l'objectif de Salamander de toujours produire des fenêtres de qualité. Ce travail d'innovation de Salamander Industrie-Produkte GmbH a notamment convaincu la 29ème édition du concours TOP 100 de lui décerner le label TOP 100 2022 qui récompense sa force d’innovation supérieure à la moyenne.AGC Glass Europe est un leader européen du verre plat. Avec son vitrage isolant sous vide FINEO, AGC Glass Europe mise sur une technologie innovante. Ce vitrage ultra-mince (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) atteint des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. De plus, FINEO est 100% recyclable. Ainsi, les fenêtres Salamander associées au verre sous vide FINEO obtiennent de meilleurs résultats en termes d'isolation thermique et acoustique, de résistance au vent et d'étanchéité. Le vitrage plus fin, les valeurs de performance énergétique plus élevées, se traduisent également par des économies potentielles sur les profilés et donc par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. Les économies de poids permettent d'obtenir des tailles de fenêtres plus grandes ainsi que des formes, ce qui ne semblait pas possible jusqu'à présent dans le secteur du PVC et qui est totalement dans l'air du temps. Lors de la Fensterbau Frontale de Nuremberg en juillet, Salamander exposera cette "fenêtre du futur". En bref : la combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. "C'est pourquoi nous nous réjouissons de ce partenariat exclusif avec AGC et nous sommes convaincus que cela va changer la donne pour les futurs systèmes de fenêtres. N'hésitez pas à passer sur notre stand au salon Fensterbau Frontale en juillet pour découvrir cette fenêtre du futur", déclare Till Schmiedeknecht, co-CEO.Serge Martin, CEO de FINEO Glass, déclare : "Nous sommes très enthousiastes quant à ce partenariat avec Salamander. Cela permettra d'apporter des solutions exceptionnelles sur le marché, en mettant clairement l'accent sur la performance, le design et la durabilité."Avec sa "stratégie myWindow", Salamander définit la fenêtre comme un produit de design tangible et durable, mis en scène avec style comme un lien entre la façade du bâtiment et la conception de l'espace de vie. L'esprit pionnier de cette entreprise traditionnelle plus que centenaire se perpétue dans ses produits - tels que le système modulaire greenEvolution - et au travers de ses employés. Le système de fenêtres multicompatible greenEvolution - avec ses solutions d'applications numériques - n'est qu'un exemple et une conséquence de cette culture et de la stratégie d'entreprise actuelle. Dans cette approche, l'entreprise a participé au "TOP 100" pour la première fois cette année et a obtenu le label. "Cette récompense nous conforte dans nos efforts pour nous imposer comme un leader de l'innovation et du design", déclare le co-CEO Götz Schmiedeknecht.
Il y a 3 ans et 43 jours

The BIG 5 Dubai

Middle East Concrete et The Big 5 se regroupent pour former un seul et même évènement. Il permet aux industriels du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Asie du Sud de présenter leurs nouveautés dans le secteur de la construction et particulièrement dans l'industrie du béton et de la construction lourde.
Il y a 3 ans et 43 jours

Architect@Work Nantes

Salon de l'architecture et de l'architecture d'intérieur. Architect@Work est un évènement présentant des innovations pour les architectes et architectes d'intérieur, bureaux d'études, ingénieurs, designers et maîtres d'ouvrage.
Il y a 3 ans et 43 jours

Expo Protection 2022

Expo Protection est un salon qui regroupe tous les marchés de la gestion des risques. Protéger les hommes et les organisations est la mission des offreurs et des donneurs d’ordres qui se donnent rendez-vous sur ce salon. Grâce aux Trophées de l'innovation, aux Villages Start-up et aux Villages experts, Expo Protection propose un tour d'horizon des tendances et innovations du marché.
Il y a 3 ans et 43 jours

Formnext 2022

Formnext est un salon qui rassemble les industriels de l'impression 3D. C'est le point de rencontre pour les entreprises de production industrielle intelligente.
Il y a 3 ans et 43 jours

IBS

IBS est le salon de la performance énergétique des bâtiments. Dans un contexte de transition énergétique et écologique, le salon prend en compte l'ensemble des problématique d'aujourd'hui. Cette édition sera orientée sur ces promesses d’un monde du bâtiment décarboné.
Il y a 3 ans et 43 jours

BAUMA Allemagne 2022

Bauma est le rendez-vous incontournable pour l'ensemble des industriels de la construction. Avec un rayonnement international, ce salon est l'occasion pour chacun de rencontrer des potentiels clients et partenaires. Le salon est divise en quatre zones : chantier, production de matériaux de construction, industrie minière avec extraction et traitement de matières premières, fournisseurs et services.
Il y a 3 ans et 43 jours

Mesures Solutions Expo 2022

Mesures Solutions Expo est un salon qui présente l'ensemble de l'offre du marché de la métrologie. Les produits innovants seront présents au même titre que les savoir-faire les plus pointus, tant sur les stands qu'au cours des ateliers exposants. Un espace “Start-up“ et un autre “Emploi-formation” ont aussi été créés au sein du salon.
Il y a 3 ans et 43 jours

Salon BIM World : dormakaba présente deux nouvelles applications dans le cadre d’un workshop dédié à la digitalisation dans le secteur de la construction

À l’occasion du salon BIM World le 5 et 6 avril prochain au Paris Expo – Porte de Versailles, dormakaba organise son premier workshop et présente ses nouvelles solutions digitales EntriWorX et sa démarche BIM qui permettent d’optimiser la planification et la gestion des accès d’un bâtiment. Participant activement au développement des technologies et services […]
Il y a 3 ans et 43 jours

La start-up Deepki lève 150 millions d'euros

Deepki, qui n'avait levé que 10,5 millions d'euros jusqu'à maintenant, s'adresse aux grands propriétaires de parcs immobiliers tertiaires, investisseurs, banques, compagnies d'assurances ou grandes entreprises comme le groupement des Mousquetaires (Intermarché) en France.Son logiciel va chercher automatiquement de nombreuses données sur les bâtiments - factures d'énergie ou d'eau, informations de construction, en passant par l'exposition solaire, ou la proximité des transports en commun... - puis les utilise pour évaluer la performance environnementale des bâtiments, et proposer des améliorations.La jeune pousse de 150 salariés, déjà installée en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie, table sur 200 recrutements en 2022, avant 400 en 2023, selon son cofondateur et directeur général Vincent Bryant."Nous voulons nous renforcer en Europe", "nous implanter aux États-Unis" et "réaliser des acquisitions d'acteurs concurrents qui sont de qualité mais plus petits que nous", a indiqué à l'AFP M. Bryant.L'entreprise est suffisamment sûre d'elle-même pour publier son chiffre d'affaires, une décision rarissime chez les start-up toujours très pudiques sur ce chapitre : 15 millions d'euros en 2021, et un doublement prévu à 30 millions d'euros en 2022.Les ventes sont portées par les contraintes réglementaires "de plus en plus nombreuses" en France et en Europe sur la qualité environnementale des bâtiments, a expliqué M. Bryant.Tous les grands acteurs immobiliers "savent que s'ils n'ont pas des bâtiments qui sont performants d'un point de vue environnemental, il va y avoir des décotes (de valeur) sur leurs bâtiments", a-t-il ajouté.En France, le "décret tertiaire" paru en 2019 oblige notamment tous les bâtiments tertiaires de plus de 1.000 m2 à prendre les mesures nécessaires pour réduire leur consommation d'énergie de 40% d'ici à 2030, 50% d'ici à 2040, et 60% d'ici à 2060.La levée de fonds de Deepki annoncée mercredi est menée par les fonds d'investissement européens One Peak et Highland Europe, basés à Londres, avec d'autres investisseurs comme Bpifrance ou ses investisseurs historiques Hi Inov et Statkraft Ventures.
Il y a 3 ans et 44 jours

Exposition Aqua Mater : l’eau, source de vie

L’exposition Aqua Mater prend place au milieu de l’esplanade de La Défense, près de Paris et s’y tient jusqu’au 22 septembre 2022. [©ACPresse] « On a l’impression que l’accès à l’eau est quelque chose de naturel. » Directeur de la division des Sciences de l’eau et secrétaire du programme hydrologique intergouvernemental de l’Unesco, Abou Amani plante le décor. Et de préciser : « Chaque jour, il faut éduquer les gens pour qu’ils respectent l’eau… » Installée pour une durée de six mois sur l’esplanade de La Défense, près de Paris, l’exposition Aqua Mater est un manifeste dédié à l’eau, par définition source de vie. « L’eau est un bien essentiel, pour toute espèce vivante. Le plus essentiel après l’oxygène », rappelle le photographe brésilien Sebastião Salgado. L’eau est ainsi un fil conducteur. Elle est omniprésente dans chacune des 50 images exposées. Elle y apparaît sous toutes ses formes. Dans sa pureté et son intensité. Dans son abondance et sa rareté. Elle est saisie dans sa solitude ou dans les interactions variées avec l’humain, la faune, la flore. « Représenter en images le besoin, la beauté, la force et les mystères de l’eau est une tâche difficile, au risque de tomber dans le lieu commun », rappelle Sebastião Salgado. Le photographe évite cet écueil. Toutes noir et blanc, ses images sont limpides, magnétiques, sans superflu. Elles vont à l’essentiel. Un léopard en train de boire. Des enfants qui sautent dans l’eau. Un orage au-dessus de l’Amazone. Une cascade au milieu de la jungle. Une fleur posée au milieu du béton « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie. Qu’il est nécessaire de la préserver », insiste Sebastião Salgado. Et de poursuivre : « Les Français ne vivent plus en France, ils vivent en ville ! L’eau leur arrive par un tube. Elle est d’excellente qualité. Elle est perçue comme un cadeau du ciel, mais elle n’est pas un cadeau du ciel ». Les photographies de l’exposition Aqua Mater prennent place au cœur d’un pavillon de 1 000 m2. « Il est comme une fleur posée au milieu du béton », souligne encore le photographe. Lançant même une pique à l’architecture contemporaine, occidentale : « On utilise beaucoup trop de matériaux d’origine minérale. Il faudrait prévoir une part végétale plus importante dans la construction… » Mais là est un autre débat. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. A savoir, de grandes structures réalisées autour de piliers en bois et recouvertes d’une toiture en feuilles de palmiers. A l’intérieur prennent place uniquement des hamacs, qui constituent le seul mobilier des populations autochtones. Un matériau aussi humble que le bambou Guadua Les architectes colombiens Simón Vélez et Stefana Simic en ont donc repris le principe, en utilisant le bambou Guadua d’Amazonie comme matériau de base. Il s’agit là de la ressource forestière renouvelable la plus abondante en Colombie. Le Guadua est plus résistant que l’acier et peut générer plus de biomasse que toute autre culture. « C’est réellement la première fois que nous concevons une telle installation, explique Simón Vélez. Cette approche nous a ouvert de nouvelles possibilités de construction et d’architecture. Pouvoir réaliser un tel projet grâce à un matériau aussi humble que le bambou Guadua, avec une telle rapidité de production et d’assemblage et pour un coût faible, est un exemple qui illustre à quel point il est extraordinaire de travailler avec la nature. » Les architectes rendent ainsi hommage aux constructions ancestrales au sein desquelles toute la communauté vit en harmonie avec son environnement. Sebastião Salgado : « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie ». [©Renato Amoroso]L’erg Ubari est une immensité de dunes de sable de 80 000 km2, où se trouvent des lacs salés dans une zone appelée en arabe Ramla d’El Daouda, signifiant la “dune des mangeurs de vers”. Libye 2009. [©Sebastião Salgado]Long de 30 km et épais de 700 m, le glacier Perito Moreno est l’un des quarante-huit alimentés par le champ de glace du Sud de Patagonie et troisième réserve mondiale d’eau douce. Argentine 2007. [©Sebastião Salgado]Un déambulatoire extérieur permet d’en savoir plus sur l’eau, avant de la découvrir en images. [©ACPresse]Toutes noir et blanc, les photographies de Sebastião Salgado sont limpides, magnétiques, sans superflu. [©ACPresse]Cinquante photographies de Sebastião Salgado composent l’exposition Aqua Mater. [©ACPresse] Assimiler de nouveaux savoirs S’il reprend les principes constructifs éprouvés, le Pavillon intègre aussi quelques technologies contemporaines. Des éléments nécessaires pour le rendre démontage, transportable et remontable, de manière simple et facile. En l’espèce, il s’agit de tubes en acier qui, une fois reliés les uns aux autres, forment comme des couronnes sur lesquelles s’appuient les bambous. Vinci Construction France n’est autre que le mécène d’honneur de l’exposition. En fait, le groupe de BTP apporte toute sa compétence technique et humaine au projet. « Pour l’entreprise, cette réalisation permet d’assimiler des nouveaux savoirs et d’élargir son expertise autour de techniques inédites et d’un matériau nouveau pour elle, résume Xavier Defaux, directeur de la communication de Vinci Construction France. La dimension humaine de ce mécénat de compétences a permis à nos collaborateurs de participer à la magie du lieu et à une autre forme de perfection architecturale. » Le lieu imposait beaucoup de contraintes L’aventure a débuté en 2018, avec un voyage en Colombie pour voir le montage d’un prototype grandeur réelle du pavillon. Et pour s’approprier le savoir-faire colombien aux côtés des architectes Simón Vélez et Stefana Simic. Puis, est venu du temps des études, afin d’adapter la construction à sa future itinérance. A savoir, l’intégration des méthodes de préfabrication et de montage/démontage rapides, optimisées par les équipes de Vinci Construction France. Après une première installation en Arles, dans le cadre des Rencontres de la Photographie, le Pavillon vient d’ouvrir ses portes sur l’esplanade de la Défense, à côté de Paris. Un peu plus de deux mois de travaux auront été nécessaires à sa construction. « Le lieu imposait beaucoup de contraintes », explique Grégory Nakache, responsable des travaux pour Vinci Construction France. Tout d’abord, le chantier se situait au cœur d’un environnement piéton, autorisant les livraisons à des horaires bien précis. Ensuite, la dalle en béton qui constitue l’esplanade, surmontée de petites dalles sur plots, ne permet qu’une surcharge de 450 kg/m2. « Nous ne pouvions utiliser que des petits moyens de transport et de levage », reprend Lucie Docimo, ingénieure travaux pour Vinci Construction France. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. [©Vinci]Pavillon Aqua Mater en cours de montage par les équipes de Vinci Construction France. [©Vinci]Les 184 poteaux en bambou sont posés sur autant de dalles-supports en béton. [©Vinci]Le Pavillon Aqua Mater est comme une fleur posée au milieu du béton. [©ACPresse]Le Pavillon Aqua Mater est implanté au cœur de l’esplanade de La Défense. [©Fonds de dotation Contemplation] Des dalles en béton comme autant de points d’appui Ainsi, l’entreprise a installé sa base logistique de 3 000 m2, à Nanterre, à 4 km de l’esplanade. De quoi accueillir les dix conteneurs de 40 pieds nécessaires au transport du Pavillon en kit… Chaque jour, un petit camion assurait la navette en direction de La Défense. Le Pavillon s’inscrit sur un “remblai” de 30 cm d’épaisseur, destiné à répartir les charges sur l’ensemble de la plate-forme. Pour éviter toute surcharge inutile, ce “remblai” est constitué de blocs de polystyrène expansé. Dessus sont posées des dalles préfabriquées en béton de 1,90 m x 1,90 m pour une épaisseur de 10 cm. C’est la seule concession faite au béton sur ce projet… « Au« Ces éléments servent de points d’appuis aux 184 socles du Pavillon. Mais aussi de points d’ancrage pour lester le bâtiment et ainsi maintenir la structure vis-à-vis des efforts du vent », conclut Lucie Docimo. A l’issue de l’exposition, qui doit s’achever le 22 septembre 2022, les dalles seront concassées pour être valorisées comme granulats. Quant au Pavillon, il repartira vers une nouvelle destination. Sans doute vers Milan ou Genève. En attendant l’aller encore plus loin… Lieu : Esplanade de La Défense (Hauts-de-Seine)Dates : 1er avril – 22 septembre 2022Horaires : Du mardi au dimanche, de 10 h 00 à 19 h 00Durée de visite : 1 h 00 environEntrée adulte : 16 € En savoir plus. Aqua Mater, en pratique Photographies : Sebastião Salgado Scénographie : Lélia Wanick Salgado Création musicale : François-Bernard Mâche Architectes du Pavillon : Simon Vélez et Stefana Simic Bureau d’études architecte : Jean-Marc Weil (C&E Ingénierie) Patronage : Unesco Producteur : Fonds de dotation Contemplation Mécène d’honneur : Vinci Construction France Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 44 jours

BATIMAT 2022

Batimat est le salon multi-spécialiste et international de l’industrie et des métiers du bâtiment. Tous les décideurs et les professionnels de la mise en œuvre s’y rencontrent pour choisir les solutions innovantes matériels ou matériaux, qui construisent les bâtiments d’aujourd’hui et de demain.
Il y a 3 ans et 44 jours

Powtech

Powtech est le salon pour les experts du traitement et de l'analyse des poudres et des solides en vrac. Cet évènement offre une plate-forme de présentation des innovations et des avancées dans les processus de fabrication de produits fabriqués et traités à partir de poudres, de granulés, de solides en vrac et de liquides - également des processus du secteur de l'environnement et du recyclage.
Il y a 3 ans et 44 jours

Préventica Lyon 2022

Préventica est un rendez-vous incontournable de l'innovation pour la qualité de vie au travail et la performance globale de l'entreprise. C'est un événement professionnel de référence en matière de santé, sécurité…
Il y a 3 ans et 44 jours

Journées professionnelles de la Construction 2022

Les Journées professionnelles de la construction rassemblent, pendant 2 jours, les professionnels du secteur de la construction. Cet évènement, organisé par la Capeb, réunit quelque 5 000 visiteurs. Un salon professionnel ouvert aux artisans et entreprises du bâtiment.
Il y a 3 ans et 44 jours

Les travaux du tunnel de Tende dans la vallée de la Roya devraient reprendre en avril côté français

La réunion de la Conférence Intergouvernementale (CIG) des Alpes du Sud a validé le 1er avril une solution technique qui "permet la relance des travaux et notamment la reprise du percement du tunnel sur le front d'attaque français avant la fin du mois d'avril 2022, les travaux du tunnel côté italien étant en cours depuis novembre 2021", a indiqué le ministère dans un communiqué.La délégation française souhaiterait autoriser la circulation des usagers locaux avant la mise en service au trafic général. L'organisme de gestion des routes italiennes, l'Anas, s'est engagée à chercher à apporter une réponse favorable à cette demande, tout en soulignant les difficultés d'une telle solution, selon le ministère."Cette liaison est vitale pour relancer l'activité de la Roya", a souligné Charles-Ange Ginesy, président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes, sur Twitter. "Or la Commission intergouvernementale prévoit l'achèvement du nouveau tube du tunnel pour l'automne 2023 et le rétablissement d'une pleine circulation mi-2025".Le doublement du vieux tunnel de Tende, datant de 1882, avait déjà dû être stoppé en 2017 par un scandale de vol de matériaux et de fraude. Le percement de la deuxième galerie venait de reprendre quand la catastrophe météorologique a eu lieu.Côté rail, la conférence a approuvé le lancement d'études sur la mise en sécurité et la pérennisation de la ligne Coni-Tende-Vintimille, qui a repris partiellement fin décembre 2021. Financées à parts égales par la France et l'Italie, elles seront menées pendant deux ans par SNCF Réseau.En octobre 2020, la tempête Alex a provoqué des crues exceptionnelles dans les Alpes-Maritimes, causant au total dix morts, huit disparus et deux milliards d'euros de dégâts, en particulier dans les vallées dévastées de la Vésubie et de la Roya.
Il y a 3 ans et 44 jours

Eau et changement climatique : entre urgence et résilience

Décliné simultanément dans 16 régions de France par les délégations territoriales de l’organisation professionnelle, cet évènement national était placé sur le thème « Eau et changement climatique : entre urgence et résilience ».Interviewée en duplex par le Président des Canalisateurs Alain GRIZAUD, la célèbre hydrologue Emma HAZIZA a rappelé les impacts du changement climatique sur les ressources en eau douce française qui ont vu apparaitre en 2020 les premiers conflits d’usages. Dans cet inquiétant contexte, syndicats et régies des eaux, représentants locaux de la maitrise d’œuvre et de la maitrise d’ouvrage ont témoigné de leur engagement, pour préserver une ressource en eau de plus en plus rare, et pour maintenir impérativement la qualité des infrastructures de réseaux d’eau potable et leur pérennité.« Avec le changement climatique, l’équilibre du cycle de l’eau douce est en danger dans notre département ! Les nappes phréatiques sont fragiles, elles accusent une diminution de 20% en moyenne chaque année » alerte Régis RIQUE délégué départemental Allier des Canalisateurs Auvergne. Ce constat a été illustré par l'hydrologue Emma HAZIZA.Un Européen consomme en moyenne 5.000 litres d’eau par jour ! « Il y a toujours eu des épisodes climatiques extrêmes dans l'histoire » rappelle en préambule la scientifique. Mais au-delà de la variabilité naturelle, Emma HAZIZA note des phénomènes nouveaux : « On est maintenant face à des paramètres qui sont de l'impensable, de l'impossible. » Des signes sont apparus à partir de 2014 jusqu'à la « cassure » de 2017 où la sécheresse a duré jusqu'à fin décembre avant de basculer en 2018, sur trois semaines de pluies provoquant une crue de la Seine, pour se prolonger en 2019 par des chaleurs historiques de 42 ºC à Paris et 46ºC dans le Gard puis par des feux de champs en Picardie en 2020 avec des premiers conflits… d’usage de l’eau ! Et 2021, marquée par des dômes de chaleur ayant provoqué épisodes pluvieux et crues dévastatrices en Allemagne et en Belgique ! Pourquoi de telles variations ? « Parce que l'eau est instable. Plus les sécheresses sont intenses, plus l'eau s'accumule dans l'atmosphère alors qu'elle n'est pas capable d'y rester », répond la scientifique. Or un Européen consomme en moyenne 5.000 litres d’eau par jour (nourriture, hygiène, déplacements, etc.) : les besoins sont colossaux. « Derrière tout ce qu’on achète se cache de l’eau, de l’eau « indirecte ». Et quand l’eau « indirecte » commence à manquer, cela influe sur les prix ». Blé, énergie… tout dépend de l’eau. Car une calorie nécessite un litre d’eau pour être produite ! Sécuriser et renouveler les réseaux d’eauAvec les Assises de l’eau sur le petit et le grand cycle de l’eau d’août 2019, une véritable prise de conscience a été actée. Depuis la crise sanitaire, le plan de relance national de 2021 a réactivé la nécessité de la sécurisation des réseaux. Au niveau régional, c’est entre 20% et 25% de l’eau traitée qui repart dans la nature faute de renouvellement des réseaux ! » s’alarme Stéphane GRAUPNER, délégué régional Rhône-Alpes Canalisateurs du Sud-Est, en soulignant avec Jean-Luc GARCIA, président de Canalisateurs Auvergne le besoin de sécuriser la ressource en eau et ses financements.Gestion de l’eau sur les territoiresSavoir se réorganiserAvec la loi NOTRe, la gestion de l’eau est devenue compétence communautaire au 1er janvier 2020. Loire Forez Agglomération (87 communes) par exemple hérite ainsi de 1 890 km de réseau, 140 réservoirs, 22 sites de forage et 40 stations de pompage sur un territoire où cohabitaient 47 gestionnaires de l’eau, avant le transfert de compétence… « Nous avons travaillé sur les dynamiques locales, ce qui a permis de réorganiser un modèle plus collaboratif entre les territoires » souligne Patrice COUCHAUD, Vice-Président de Loire-Forez Agglomération. Avec cette nouvelle organisation, la collectivité va harmoniser le prix de l’eau d’ici 2026. « Dans cinq ans, tous les abonnés paieront légèrement plus cher leur mètre cube d’eau. Cette légère hausse financera un plan d'investissement pluriannuel pour mettre à niveau nos infrastructures ! » souligne l’élu qui prévoit d'investir 5,7 millions € pour refaire ses canalisations les plus âgées.Jouer collectif et investir« Il y a urgence ! » alerte Denis DELHOMME, administrateur de CINOV Ingénierie. « Il est nécessaire d’investir dans le renouvellement des réseaux ! Seulement 0,6%* des réseaux sont renouvelés par an en France ! Ce n’est pas suffisant. A ce rythme, il faut 150 ans pour renouveler la totalité des réseaux ! » (*sources SISPEA 2019) ajoute le représentant des maitres d’œuvre qui encourage les collectivités à signer des accords-cadres, à faire appel aux cabinets d’ingénierie pour continuer à innover, trouver de nouveaux outils, rechercher les fuites… et investir dans le renouvellement des infrastructures en eau en encourageant les élus à faire de l’eau un pilier de leur politique.Avec un taux de rendement du réseau d'eau de 84%, le département de l’Allier est au-dessus de la moyenne nationale (80%). Selon François LIPONNE, Directeur général délégué au Cycle de l'Eau à Vichy Communauté, ce « bon résultat » s’explique par la structuration très ancienne de la maîtrise d'ouvrage, surtout en secteur rural. Dès les années 50-60, les communes rurales se sont regroupées en syndicats de plusieurs dizaines de communes, ce qui leur a permis d’avoir la capacité technique de pouvoir gérer ses équipements et les maintenir en bon état.« Grâce à cette force de frappe collective, une dynamique forte de renouvellement des réseaux s’est engagée et le mouvement est bien en marche ! Le département a un rôle majeur dans l’aménagement technique » ajoute-il. Le Conseil Départemental de l’Allier prévoit en effet d’investir entre 200 à 250 millions d'€ pour les réseaux d’eau sur les 25 ans à venir : sécurisation, capacités de production supplémentaires, création de nouveaux réseaux avec gros diamètres pour amener l'eau à tout point du département avec groupes de pompage et réservoirs de secours. Du Val de Loire au Val d'Allier, du Val d'Allier au Val de Cher, le département sera interconnecté… en eau.Vichy Communauté fera des investissements marqués sur le cycle de l’eau avec 6 millions € au total pour la rive gauche de l’Allier, le Sichon et l’aménagement des bases de loisirs/tourisme de Saint-Yorre, Abrest et Saint-Germain-Billy, soit près de 15% de son budget d’investissement 2022.Plusieurs autres organisations ont lancé leur schéma directeur d'alimentation en eau potable qui a permis de bâtir un programme pluriannuel d'investissement, suite à l’étude patrimoniale de leur réseau, comme le témoigne Guillaume DAUPHANT, Vice-Président du Syndicat Intercommunal d’Adduction d’Eau Potable Basse Limagne, dans le Puy de Dôme.Innover et formerAméliorer la performance des réseaux et mieux gérer la ressource en eau est possible grâce à l’apport de l’innovation. « La généralisation des détecteurs de fuite avec puces RFID et l’utilisation accentuée de logiciels de gestion prédictive viennent renforcer efficacement les outils actuels de surveillance (télégestion) et de comptages sectoriels » souligne François LIPONNE qui met l’accent sur la formation des agents qui permet de les impliquer sur des « métiers passion » en les faisant monter en compétence. L’agglomération de Vichy travaille également sur des nouveaux aménagements pour réduire la pollution des sols d’origine agricole, qui passe par des procédés innovants de filtration d’eau.Faire de la pédagogie pour « rendre visible l’invisible » et agir sur les territoiresPrix de l’eau et communicationSelon le Vice-Président du SIAEP Basse Limagne, le prix de l’eau et la communication qui en découle sont au cœur des problématiques : le prix de l’eau est un indicateur important pour les collectivités locales et son impact psychologique est fort. « Mais parler de prix de gestion de l’eau plutôt que du prix de l’eau serait plus juste ! Car cela permettrait de mettre de la valeur sur l’ensemble des acteurs de l’eau, entreprises, maitrise d’œuvre, maitrise d’ouvrage, élus locaux, régies et syndicats dont le travail de qualité demeure capital et encore trop inconnu, voire… invisible ! ».Les territoires Eau-Responsables en Auvergne-Rhône-AlpesEchanger, communiquer et partager. C’est l’enjeu des nécessaires échanges d’expériences à encourager entre collectivités au niveau national qui permettent de mutualiser les pratiques. C’est aussi l’enjeu de stratégies « Eau » récemment mises en place au niveau régional par plusieurs collectivités d’Auvergne-Rhône-Alpes engagées pour des territoires "Eau-Responsables" dossier téléchargeable ICI coordonnés par le Groupe de Recherche, Animation technique et Information sur l'Eau (GRAIE) et l’Association scientifique et technique pour l'eau et l'environnement (ASTEE).La maitrise d’œuvre et l’action pédagogique constituent des fondamentaux dans la connaissance du réseau d’eau par les collectivités. « La généralisation de territoires "Eau-Responsables" à l’échelle régionale permettrait par exemple de retrouver une eau durable et saine, de recharger les nappes souterraines, d’améliorer la qualité de vie en zone urbaine et de mieux gérer le risque inondation, comme c’est le cas dans la vingtaine de territoires Eau Responsables actuels » souligne Patrice COUCHAUD. Ce sont des bonnes réponses à l’urgence climatique !En cette Journée Mondiale de l’Eau et pour clôturer ces échanges, Pierre BERGER, Président de la FRTP Auvergne Rhône-Alpes rappelle que la profession est particulièrement engagée dans la décarbonation et travaille, au niveau national, sur les projets de réutilisation des eaux usées (re-use) afin de faciliter leur mise en œuvre.En remerciant l’ensemble des intervenants pour la qualité des échanges, Michel REGUILLON , président des Canalisateurs du Sud-Est, souligne l’importance de préserver ces rendez-vous professionnels qui permettent « de dialoguer, de rester solidaire face aux problématiques que nous rencontrons, et aussi de renforcer le partenariat entre nos entreprises, les maitres d’ouvrage et les maitres d’œuvre pour une gestion de l’eau à la hauteur des enjeux climatique actuels. »
Il y a 3 ans et 44 jours

Le Cevisama reporté en raison de la crise énergétique

SALON. Le salon dédié à la céramique et aux équipements de salle de bain organisé par Feria Valencia, Cevisama, annonce reporter son édition 2022 en raison de la conjoncture actuelle.
Il y a 3 ans et 45 jours

Les street-artistes Lek et Sowat s’exposent à Rueil-Malmaison

Lek et Sowat investissent l’atelier Grognard, à Rueil-Malmaison. [©Maya Angelse] Jusqu’au 3 juillet prochain, l’Atelier Grognard de Rueil-Malmaison (92) accueille l’exposition “Duography”. Une rétrospective dédiée au Street–Art du duo de graffeurs Lek (né en 1971) et Sowat (né en 1978). Ces derniers sont disciples de l’Urbex, ou exploration urbaine, qui consiste à sillonner la ville à la recherche de ruines contemporaines. Tout l’art est de trouver et de créer dans des lieux vierges et abandonnés. Des ruines modernes… Lek et Sowat, un duo depuis 2010 Lek et Sowat travaillent en binôme depuis 2010. Ils repoussent les limites du graffiti traditionnel vers des expérimentations in situ, qui réunissent vidéos, abstractions architecturales et installations éphémères. Créant ainsi une forme moderne de land art urbain. En collaboration avec la galerie photographique parisienne Polka, Lek et Sowat proposent dans l’exposition “Duography” un parcours immersif au cœur de leur travail. Ceci, à travers des photos, des esquisses et des croquis préparatoires, des films en stop motion. Mais aussi à travers des polaroids et des souvenirs ramenés du terrain, des fragments d’expositions et d’installations passées, des artefacts de murs, de toiles et de sculptures. Le tout patiemment collecté au fil des années et mis en scène sur les 650 m2 de l’Atelier Grognard de Rueil-Malmaison, de façon colorée, ludique et rythmée. Dans “Duography”, le public est ainsi invité à déambuler depuis les méandres du Mausolée aux sous-sols du Palais de Tokyo. En passant par le ciel éternellement bleu de la villa Médicis, à Rome. Ou encore, le chantier souterrain du futur Grand Paris de la ligne 14 et le parvis du Centre Pompidou. Toujours plus de lieux inédits Lek et Sowat sont à l’origine du projet “Mausolée”, résidence artistique clandestine et sauvage réalisée dans un supermarché abandonné de 40 000 m2 à Aubervilliers (93). « Lek connaissait très bien ce lieu, où il allait jeune avec ses parents. On y a vécu presque un an en secret. Nous y avons mené en quelque sorte une résidence artistique », se souvient Sowat. Là, ils invitent pendant près d’un an plus de 40 artistes. De ce projet, tenu secret jusqu’en 2012, découlera un livre, un film et une exposition collective. Répondant à l’invitation de Jean de Loisy, l’ancien président du Palais de Tokyo et l’actuel directeur des Beaux-Arts, Lek et Sowat investissent ensuite les sous-sols durant plus d’un an du Palais de Tokyo. Ceci, avec une cinquantaine d’artistes, initiant aux côtés du commissaire d’exposition Hugo Vitrani ce qui deviendra le “Lasco Project”. Fin 2013, à nouveau entourés d’une vingtaine d’artistes, dont Jacques Villeglé, ils réalisent le film “Tracés directs”. Grâce à ce projet, leur œuvre a été la première à rentrer dans la collection permanente du Centre Pompidou provenant d’artistes issus du graffiti. Ils ont également participé à la Tour Paris 13 et au projet des Bains Douches. Lek et Sowat ont été de plus les premiers graffeurs à pouvoir faire l’expérience de la villa Médicis, à Rome de septembre 2015 à août 2016. « Notre projet romain s’articulait autour du tunnelier de la nouvelle ligne 3 du métro. De plus, le mot graffiti vient du latin et on en retrouve déjà à Pompéi. Donc, tout concordait avec notre univers. Pour des raisons politiques, cette rencontre n’a pas eu lieu, mais nous gardions cela dans un coin de notre tête », explique Sowat. Lek & Sowat avec Dem189 et Seth – Mausolée, Paris 2011 [©Chrixcel]Mausolée by Lek & Sowat. [©Yann Skyronka]Underground doesn’t exist anymore par Lek & Sowat & Futura & Mode 2. [©Nicolas Gzeley Le tunnelier : Une expérience grâce à NGE De tous les projets que Lek et Sowat avaient à cœur de réaliser pendant leur année à la villa Médicis, le seul qu’ils n’aient pas pu mener à bien est la peinture d’un tunnelier. Ce n’est qu’en 2018, à la faveur de plusieurs rencontres avec le groupe NGE, et surtout avec Jérôme Jeanjean, directeur administratif et financier des grands projets, que le duo parvient à partir à l’assaut d’un monstre d’acier de 10 m de diamètre pour 100 m de long. « Je suis moi-même collectionneur d’art contemporain urbain. J’ai rencontré Lek et Sowat lors de vernissages par hasard et nous avons sympathisés. Nous nous sommes croisés plusieurs fois. Début 2018, le projet de peinture d’un tunnelier est venu dans la conversation. Et j’ai donc proposé à la direction de NGE un partenariat. J’en ai parlé à Orso Vesperini, notre directeur délégué à l’international et aux grands projets et Olivier Coly et Christophe Denat, alors directeurs des équipes de travaux souterrains », se souvient Jérôme Jeanjean. Et tout ce petit monde a dit « oui » à ce projet qui tenait très à cœur au duo. L’idée était d’offrir une carte blanche aux deux artistes. Seule contrainte : répondre à la charte couleur de la RATP. Ainsi, a débuté l’aventure qui s’est réalisée en plusieurs étapes. « Cela faisait sens pour nous, on retourne à la matrice. Et ce, dans un univers XXL. Et nous aimons tellement le béton », insiste Sowat. Direction l’Allemagne Dans un premier temps, ce projet les a amenés en Allemagne, à Schwanau, dans les hangars du constructeur Herrenknecht où ils ont peint le bouclier et divers éléments du tunnelier S1174 acquis par le groupe NGE. Aidés pour la logistique de l’association Xpo F.M.R. et sa présidente, Olivia Martinetti. Complétée par un lettrage “Subway Art” dessiné par leurs soins, cette première réalisation était à la fois un clin d’œil au livre éponyme de Martha Cooper et Henry Chalfant. Dont la publication dans les années 1980 a favorisé la diffusion de cet art à travers le monde. Mais aussi un hommage aux architectes, ingénieurs et ouvriers qui construisent ces innovations techniques gargantuesques. « Ils ont peint pendant 4 j d’affilée. Quinze j après, tout était prêt pour la livraison sur le site de la ligne 14. Et ça plaisait déjà beaucoup », reprend Jérôme Jeanjean. Koumba par Lek & Sowat en collaboration avec NGE & XPO F.M.R. – Puits de Morangis, Paris 2019. [©Nicolas Gzeley]Subway Art Breakthrough par Lek & Sowat en collaboration avec NGE & XPO F.M.R., Paris 2020 [©NGE Stéphane Bouquet] Direction la ligne 14 du métro parisien L’aventure s’est poursuivie ensuite en France, sur le chantier du prolongement de la ligne 14, où le tunnelier a été baptisé du prénom de Koumba Larroque, la vice-championne du monde de lutte. Par la réalisation de deux fresques peintes par Lek et Sowat sur les tympans d’entrée et de sortie du tunnelier. A 30 m de profondeur, les deux peintures se sont détruites à mesure que la machine poursuit son chemin dans les entrailles du Grand Paris. « C’est aussi ça le Street-Art, ça peut être éphémère. » Réalisée le 20 juillet 2020, l’ultime étape de ce projet pharaonique, appelé “Breakthrough”, a permis aux deux artistes d’assister en direct à la destruction et l’effondrement de leur travail. « Il y a eu une vraie alchimie, un véritable lien entre Lek, Sowat et NGE. Pour ma part, je pense que notre groupe a permis une réelle liberté d’exécution aux deux artistes. Une fois, la direction convaincue que c’était une bonne idée, elle a foncé », conclut Jérôme Jeanjean. Muriel Carbonnet Exposition présentée jusqu’au 3 juillet 2022Atelier Grognard6 avenue du Château de Malmaison92500 Rueil-MalmaisonTél : 01 47 14 11 63
Il y a 3 ans et 45 jours

SBLM Platform® annonce sa présence au BIM World 2022 et l’organisation d’un concours de startups, en partenariat avec Village Francophone et BIM World.

5 & 6 avril 2022 – Paris Expo – Porte de Versailles – Paris – Stand D80/E81 Paris, le 17 mars 2022 – SBLM Platform®, écosystème co-entrepreneurial de sociétés innovantes et d’experts ayant pour vocation de structurer et d’assurer la collaboration, la fiabilité et la continuité du Flux de Données tout au long du Cycle […]
Il y a 3 ans et 45 jours

Trophée Béton Pro : les inscriptions sont ouvertes !

Les inscriptions pour la 3e édition du Trophée Béton Pro sont ouvertes. [©DR] Organisée par les associations Bétocib et Cimbéton, le Trophée Béton Pro a pour objet de récompenser des réalisations exemplaires en béton, construites en France au cours des cinq dernières années. Il s’agit aussi de sensibiliser le grand public à l’architecture béton. Et de montrer comment ce matériau évolue, en répondant toujours aux nouveaux objectifs environnementaux. La 3e édition est lancée… Ainsi, les inscriptions pour la 3e édition du Trophée Béton Pro sont ouvertes ! Les candidats (architectes, bureaux d’études, entreprises, industriels) peuvent soumettre leur candidature en ligne, jusqu’au 30 juin. Tous types d’ouvrages en béton, livrés entre le 1er janvier 2017 et le 30 juin 2022, sont éligibles à cette distinction biennale. Du logement individuel au logement collectif, de l’équipement privé à l’équipement public, culturel ou sportif. Mais aussi de l’ouvrage d’art à l’aménagement urbain… en neuf comme en rénovation. En octobre 2022, le jury rendra sa décision, qui sera suivie par la remise de prix du Trophée à la Maison de l’Architecture Ile-de-France. Il sera composé de représentants du ministère de la Culture, d’architectes, d’ingénieurs, d’élus, d’entreprises, d’industriels. La sélection des lauréats se fera sur la qualité architecturale et constructive des ouvrages. Ceci, en s’appuyant sur des critères, tels que la pertinence de l’utilisation du béton et de la mise en œuvre du matériau, l’usage esthétique. Mais aussi, la qualité d’intégration dans le site, structurelle ou environnementale, la durabilité…
Il y a 3 ans et 45 jours

Xylorix Inspector, nouvelle application FCBA pour vérifier facilement et rapidement les essences de bois

Pour aider les acteurs de la construction sur un chantier, en négoces ou lors de litiges judiciaires par exemple, à s’assurer de la conformité des essences de bois par rapport aux informations dont ils disposent, l’Institut technologique FCBA a développé une application dédiée : Xylorix Inspector.Le principe est simple : il suffit de positionner un objectif macroscopique grossissant 24x sur son produit bois et l’application, installée sur son smartphone, indique si l’essence recherchée est la bonne.Retenue comme nouveauté 2021 sur le Salon de la Construction et des Travaux Publics Artibat, cette application saura très vite se rendre indispensable pour contrôler les approvisionnements, réaliser des expertises sur site, etc.Xylorix Inspector : une application innovante pour tous les acteurs du boisL’Institut technologique FCBA, en partenariat avec la société spécialisée dans l’intelligence artificielle Agritix et avec le soutien du CODIFAB, a développé Xylorix Inspector, une application, téléchargeable sur son smartphone, destinée à identifier rapidement et facilement les essences de bois. Utilisant l’intelligence artificielle, ce système d’identification des essences de bois innovant est aujourd’hui unique en France et a d’ailleurs été distingué sur le Salon de la Construction et des Travaux Publics Artibat 2021 parmi les nouveautés de l’année.Xylorix Inspector permettra ainsi à tous les acteurs du bois, mais aussi d’une façon plus générale, à l’ensemble des professionnels amenés à travailler autour du matériau (fabricants, importateurs, architectes, professionnels de la régulation des flux de marchandises bois, négoces, experts, etc.) de contrôler les approvisionnements, réaliser des expertises en direct sur le terrain ou simplement s’assurer que les livraisons de panneaux/produits bois sont les bonnes.9 essences de bois, les plus couramment utilisées en France en menuiserie et pour le gros œuvre, sont aujourd’hui identifiables via l’application : Bossé, Chêne, Sapelli, Sipo, Douglas, Epicéa, Mélèze, Pins et Sapin. D’ici 2025, 50 autres essences de bois seront intégrées dans l’application.Comment ça marche ?Xylorix Inspector est simple d’utilisation. Après avoir téléchargé l’application disponible depuis toutes les plateformes mobiles et s’être procuré l’objectif associé, il suffit de :Faire une coupe à l’aide d’une lame de rasoir sur l’échantillon bois ; Placer l’objectif macroscopique grossissant 24X sur le téléphone ;Indiquer l’essence du bois censée être celle du produit concerné ;Prendre une photo de l’essence de bois à l’endroit de la coupe ;En quelques secondes, l’application confirme ou infirme l’information indiquée.
Il y a 3 ans et 46 jours

L'île grecque de Chalki se met au vert avec un objectif de zéro émission carbone

"Dès aujourd'hui, Chalki et les îles du Dodécanèse ne seront pas seulement des destinations attirantes mais aussi des lieux d'investissements dynamiques dans le secteur de l'énergie propre", a déclaré Kyriakos Mitsotakis, il y a quelques jours pour l'inauguration du projet sur cette île de 26 km2.Le projet s'inscrit dans l'initiative gouvernementale qui vise à transformer les îles grecques en modèle d'économie verte, d'autonomie énergétique et d'éco-mobilité. Dans la première phase, priorité est donnée aux îles les plus petites, non connectées et éloignées, comme Chalki."La transition énergétique de nos îles a pour but de se désengager du lignite en respectant l'objectif européen de réduire les émissions de gaz à effet de serre à 55% d'ici 2030", a rappelé le Premier ministre grec.Une centrale photovoltaïque, en cours d'installation sur l'île touristique bordée de maisons aux couleurs de l'arc-en-ciel, "couvrira les besoins électriques" de ses 470 habitants, selon M. Mitsotakis, et permettra de réduire les factures d'électricité.A l'instar d'Astypalea avec Volkswagen il y a quelques mois, Citroën a livré vendredi une flotte de six véhicules électriques à la police, aux garde-côtes et à la municipalité de Chalki. A terme, l'objectif est de remplacer tous les véhicules thermiques de l'île par des véhicules électriques, selon un communiqué de Citroën.Le directeur général du constructeur français, Vincent Cobée, s'est engagé "à rendre l'électrification accessible à tous" et à "contribuer à la transformation de Chalki en une île qui sera autonome, connectée et durable", selon ce communiqué.Volkswagen comme Citroën cherchent à tourner la page du scandale des moteurs diesel truqués.Outre Citroën, le gouvernement grec avait signé en juillet ce partenariat avec le français Vinci Energie, et les grecs Syngelidis et Akuo Energy,Il a récemment élaboré un projet de loi sur "la transition" énergétique dans le cadre des engagements de la Grèce pour la réduction de la production de lignite et la fermeture de la majorité des usines le produisant d'ici à 2023.WWF et Greenpeace ont toutefois critiqué l'absence de date butoir pour mettre fin à l'exploitation minière de la société d'électricité (PPC), permettant de prolonger le fonctionnement des usines de lignite au-delà de 2023, au regard de la crise énergétique.
Il y a 3 ans et 48 jours

La construction hors site poursuit sa montée en puissance sur le salon Batimat

Avec son partenaire, le Groupe Hors Site, BATIMAT est le seul salon à donner une telle visibilité à ce mode constructif à travers un espace dédié, un baromètre exclusif et des contenus riches (ateliers, colloque, rencontres...).Sujet aujourd’hui incontournable dans le domaine de la construction, la construction Hors- Site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens. L’ACIM (Association des Construction Industrialisées et Modulaires) estime ainsi que le marché français représentait en 2019 un chiffre d’affaires de 854 M€ et un effectif de 3 688 salariés pour un volume de 439.000 m2 d’unités implantées. Du 3 au 6 octobre BATIMAT met, une nouvelle fois, en lumière ce mode constructif avec des acteurs incontournables du secteur, un espace de 3 000 m2 et des événements dédiés.Les exposantsDes start-ups : Clovis Technologies, Vestack... ;Des sociétés de conseil et de lean management : Delta Partners... ;Une offre multi-matériaux : Sybois, Rector Lesage, Containex...Parmi ces exposants, certains, déjà présents en 2019, font leur retour sur cet espace : Cougnaud, Technologies&Habitat, Avelis, Normétal.De nouveaux venus font leur apparition, et parmi eux, de grands noms tels que : Araymond (un leader de grands marchés industriels automobile), Eiffage ou ARCELOR avec Steligence®, mais aussi E-Loft, GSCM ou encore GoBo House. La participation d'ultra spécialiste comme Wieland Electric ou Ipelec ou de leaders industriels comme Araymond, valident l’accélération de l'industrialisation du secteur de la construction.Liste des exposants du secteur HORS SITE au 21 mars 2022 :Araymond, France (nouveau)Arcelormittal Europe SA, Luxembourg (nouveau)Avelis, FranceClovis Technologies, France (nouveau)Containex, Autriche (nouveau)Cougnaud, FranceCubeco, France (nouveau)Delta Partners, France (nouveau)Eiffage Construction, France (nouveau)E Loft, France (nouveau)Gobo.House, France (nouveau)Groupe Briand, France (nouveau)GSCM, France (nouveau)Ipelec, France (nouveau)Mitek Industries SAS, France (nouveau)Normetal Construction Modulaire, FrancePagin SRL / Gold Infissi SRL, Italie (nouveau)Pinnacle LGS DMCC, Émirats Arabes Unis (nouveau)Sybois, France (nouveau)Technologies et Habitats, France (nouveau)Techno Pieux, France (nouveau)Tecnostrutture, Allemagne (nouveau)Vestack, France (nouveau)Wieland electric, France (nouveau)Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des ateliers pratiques de 30 minutes chacun, animés par les exposants du secteur Hors site. Au total, ce sont 35 ateliers qui auront lieu durant les 4 jours du Salon. Un Colloque international du hors site sur le thème « Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone » se tiendra aussi pendant le salon.Une étude inéditeAfin d’accompagner la filière de la construction Hors-Site et accélérer la reprise du bâtiment en France, BATIMAT, Campus Hors-Site et TBC créent un baromètre prospectif pour le secteur de la construction Hors-Site en France.Les premiers résultats de l’étude, dévoilés en novembre 2021, révèlent que 82 % des non- utilisateurs de cette méthode pensent y avoir recours dans le futur et 71 % que la part de la construction Hors-Site va augmenter dans les 12 prochains mois. Toutefois, le manque de connaissance sur les procédés (65 %) et sur l’écosystème des acteurs présents sur le marché (51 %) restent des freins pour un passage à l’acte. « Ce premier baromètre nous démontre bien que le Hors-Site est largement connu des professionnels, qu’ils soient utilisateurs ou non, et qu’ils éprouvent finalement beaucoup d’intérêt pour cette méthode constructive » indique de son côté Guillaume Loizeaud, Directeur de Batimat.Il ajoute : « S’il existe des attentes qui n’ont pas encore été comblées, il ne fait aucun doute que les avantages identifiés feront largement pencher la balance en faveur du Hors-Site.Un nouveau baromètre sera édité et les résultats dévoilés à l’occasion du salon BATIMAT.Une série de podcastsPour diffuser les savoirs et aider les professionnels à se former et s’informer, Pascal Chazal (CEO de Campus hors-site) anime une série de podcasts sur Batiradio, 9 épisodes sont déjà disponibles.
Il y a 3 ans et 49 jours

Le champ des possibles, micro-architectures à expérimenter

Le site Le Corbusier, Église Saint-Pierre, à Firminy (Loire), propose une exposition intitulée Le champ des possibles, micro-architectures à expérimenter. Jusqu’au 15 janvier 2023. En 2022, en écho au thème Bifurcations de la XIIe Biennale Internationale Design Saint-Étienne et dans la continuité de l’exposition Manuelle Gautrand Architecture en 2021, le Site Le Corbusier poursuit son […] L’article Le champ des possibles, micro-architectures à expérimenter est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 49 jours

« Soutenir – Ville, architecture et soin », selon SCAU et Cynthia Fleury

L’agence d’architecture et d’urbanisme SCAU et la philosophe Cynthia Fleury sont co-commissaires de l’exposition « Soutenir – Ville, architecture et soin ». Au Pavillon de l’Arsenal à Paris. Jusqu’au 28 août 2022. Début 2020, l’épidémie de Covid fige soudainement l’humanité et vide les villes. En Île-de-France, plus d’un million de personnes choisissent de quitter la métropole pour […] L’article « Soutenir – Ville, architecture et soin », selon SCAU et Cynthia Fleury est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 50 jours

Procore annonce son arrivée en France pour soutenir la transformation numérique du secteur de la construction

De l’avant-projet à la clôture et au-delà, les maîtres d'ouvrages et maîtres d'œuvres, ainsi que les entreprises générales et spécialisées, ont accès à une source de données unifiée et unique pour obtenir des informations précises et en temps réel tout au long du cycle de vie du projet.Un besoin de visibilité et de contrôle renforcé sur les projets de constructionLes professionnels de la construction en France accélèrent leur transformation digitale et recherchent de nouvelles solutions pour optimiser leur gestion des projets, qu’il s’agisse de gérer les délais ou leurs performances, tout en permettant une collaboration simplifiée entre toutes les parties prenantes. Pour soutenir cette transformation et l'ensemble des acteurs de l'industrie de la construction en Europe, Procore lance désormais sa plateforme en France.Pour Laurence Caron, Directrice Principale, Responsable Ventes en Europe du Sud chez Procore : “Procore a été conçu par des professionnels de la construction pour les professionnels de la construction afin d’améliorer leur quotidien. Nous sommes ravis de pouvoir aujourd’hui contribuer à soutenir le secteur français de la construction. Procore est une plateforme de gestion de projets de construction qui permet à tous les acteurs du secteur d’unifier leurs données tout au long de leurs projets. Procore propose une expérience simple et unique depuis la conceptualisation jusqu’à la livraison, permettant aux professionnels d’avoir une vue d’ensemble en temps réel sur leurs projets.” Procore rassemble les équipes de projets et les données en une seule plateformeAujourd’hui, Procore est le logiciel de gestion de construction le plus utilisé du monde, avec plus de 12.000 clients impliqués dans plus d’un million de projets, à travers 150 pays. Depuis sa création en 2002, Procore a été développé autour d’une seule philosophie : c’est en connectant toutes les personnes, tous les systèmes et toutes les données sur une seule plateforme que nous pouvons réaliser le plein potentiel des technologies de construction. Procore est une plateforme de gestion de construction tout-en-un qui connecte les équipes et les données en offrant une expérience utilisateur simple et unique du début à la fin d’un projet (de l’appel d’offre jusqu’à la livraison).Chaque professionnel du secteur de la construction a besoin de visibilité, de traçabilité, de simplicité d’utilisation et d’interopérabilité avec ses outils habituels pour favoriser la collaboration et avancer plus sûrement et plus efficacement.Pour Tooey Courtemanche, fondateur et PDG de Procore : "Depuis ces 20 dernières années, nous avons œuvré à relier tous les acteurs de la construction sur une plateforme mondiale. Procore est aujourd'hui utilisé dans plus de 150 pays, et nombreux sont nos clients qui ont des projets en cours en France. S'étendre officiellement en France permettra à Procore d'être le meilleur partenaire des leaders de la construction dans cette région et dans le monde entier."Première participation officielle à un grand salon professionnel français : BIM WorldLa première rencontre officielle de Procore avec l'industrie française aura lieu au BIM World (5 & 6 avril, Paris), grand salon des professionnels et des collectivités utilisant le Building Information Modeling et les technologies numériques au service de la construction, de l'immobilier et de l'aménagement urbain. A cette occasion, Laurence Caron tiendra une conférence axée sur l'approche de la plateforme tout-en-un de Procore pour soutenir les projets de construction français le 5 avril à 12h00. Les participants pourront également assister à des démonstrations en direct des solutions.
Il y a 3 ans et 50 jours

Édition Spéciale depuis EnerJ-Meeting : revivez nos émissions TV

RETOUR EN VIDÉO. À l'occasion du salon EnerJ-Meeting, la rédaction de Batiactu vous a proposé des émissions TV en live du salon. Devant nos caméras, Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable, Denis Valode de l'agence Valode & Pistre mais aussi des débats sur les matériaux biosourcés et traditionnels, sur l'énergie ainsi que des zooms innovations et des chroniques de la rédaction. Revivez les moments forts.
Il y a 3 ans et 50 jours

Expérimenter la paille, la terre ou encore l'ossature bois à la Bap! 2022

Une série de workshops ouverts aux étudiants en école d'architecture et au grand public accompagneront l'exposition "Visible, invisible" présentée à l'Ensa Versailles dans le cadre de la Bap!, du 13 mai au 13 juillet 2022. Les inscriptions sont ouvertes. Dans le cadre de l’exposition "Visible, Invisible", […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 50 jours

Les mesures concernant le retour au travail après un problème de santé sont renforcées

Ces mesures contre "la désinsertion professionnelle" sont détaillées dans deux décrets parus au Journal officiel jeudi en application de la loi santé au travail adoptée cet été, qui transpose un accord national interprofessionnel.Selon une estimation de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas), 1 à 2 millions de salariés, soit 5 à 10% d'entre eux, sont à court ou moyen terme exposés à ce risque de "désinsertion professionnelle".Alors que 100.000 personnes sont licenciées chaque année pour inaptitude professionnelle, la loi "nous fournit une boîte à outils qui va nous permettre de mieux anticiper les situations difficiles", selon M. Pietraszewski.Concrètement, pour anticiper davantage ces situations à risque, la loi instaure "un rendez-vous de liaison" qui permettra - avec l'aval du salarié - un échange après 30 jours d'arrêt avec l'employeur et le service de santé au travail pour préparer le retour à l'emploi et les adaptations éventuelles."Aujourd'hui, il n'y a pas d'échange pendant l'arrêt, on a une sorte de tunnel. Pendant ce tunnel, l'employeur ne connait pas la situation du salarié et le salarié n'a pas conscience des difficultés le jour J", explique-t-on dans l'entourage du secrétaire d'Etat."C'est un point d'information, pas une visite médicale. L'objectif c'est de renouer le contact avec l'accord du salarié", insiste-t-on.La loi, qui crée une visite médicale de mi-carrière, prévoit aussi que la visite de pré-reprise intervienne pour les arrêts de plus d'un mois au lieu de trois mois aujourd'hui."Il y a 840.000 arrêts de travail par an de plus de trois mois et 1,7 million de plus d'un mois. Aujourd'hui il y a 300.000 visites de pré-reprise, on peut les doubler", a-t-on souligné."Cela ne va pas se faire dès la première semaine d'application des textes mais nous pensons que c'est absorbable car la loi va permettre de dégager du temps médical en déléguant des tâches aux infirmières de santé au travail", juge-t-on.Enfin, la loi élargit l'accès à la "convention de rééducation professionnelle en entreprise" (CRPE), jusqu'ici réservée aux travailleurs handicapés, aux salariés jugés inaptes ou à risque par un médecin du travail.Ces derniers pourront désormais bénéficier de ce dispositif pour se former jusqu'à 18 mois à un autre métier au sein de leur entreprise d'origine ou une autre, tout en conservant leur contrat de travail et leur rémunération.
Il y a 3 ans et 50 jours

Reckli et Keim invitent les maîtres d’œuvre au “Concrete Show”

Les responsables d’opérations Reckli France et les chargés d’affaires Keim France, dont (au centre face) Cécile Moura, chargée du marketing et de la communication chez Reckli France, et (centre, gauche) Virginie Grelot, responsable marketing et communication chez Keim France. [©Photocall] « Reckli fabrique des matrices de coffrages et Keim, des peintures et des lasures minérales. Nous avons uni nos savoir-faire pour lancer un procédé appelé Reckli Color by Keim », explique Cécile Moura, chargée du marketing et de la communication chez Reckli France. Et Virginie Grelot, responsable marketing et communication chez Keim France, de poursuivre : « C’est assez naturellement que ce partenariat entre Reckli et Keim s’est noué. Deux PME allemandes, qui se retrouvaient souvent sur des chantiers. Un accord entre un fabricant de couleurs et un industriel des textures. Nous avons formulé un produit adapté à leur matrice et au béton matricé, qui est très texturé. C’est un procédé global, pour accompagner la maîtrise d’œuvre dans la sélection de sa matrice de coffrage et dans l’application d’une lasure pour embellir le béton. Mais aussi le protéger ». Un afterwork convivial Ainsi, courant mars, s’est déroulée à la galerie Sakura, dans le IVe arrondissement de Paris, une soirée de démonstration avec les équipes Reckli et Keim. « Nous avons décidé de faire trois évènements dans l’année : un à Paris en mars, un à Nantes en juin et un dernier à Marseille en octobre. Des rendez-vous à destination des maîtres d’œuvre. Le but est de promouvoir un nouveau produit pensé par rapport aux besoins des architectes », reprend Cécile Moura. A la galerie Sakura, se mêlaient exposition du moment, échantillons de matrices et de bétons, photos de projets. Très conviviale, la soirée a privilégié le contact entre les responsables d’opérations Reckli France, les chargés d’affaires Keim France et les prescripteurs. A suivre en juin… pour les maîtres d’œuvre qui ont manqué la session parisienne. Courant mars, s’est déroulée à la galerie Sakura, dans le IVe arrondissement de Paris, une soirée de démonstration avec les équipes Reckli et Keim. [©Reckli]Les démonstrations des spécialistes Reckli France et Keim France se sont déroulées dans l’exposition de la galerie Sakura. [©Reckli]Les démonstrations des spécialistes Reckli France et Keim France se sont déroulées dans l’exposition de la galerie Sakura. [©Reckli]