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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 92 jours

Venise, pavillon français : vous avez dit communautés ?

À vos agendas : 22 mai, ouverture de la 17e édition de la Biennale d’architecture de Venise, ...En savoir plus Cet article Venise, pavillon français : vous avez dit communautés ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 92 jours

Construction d’un Antiquarium de verre à Ajaccio pour valoriser les vestiges du Baptistère San Ghjuvà

Le projet conduit par la Ville consiste en la réalisation d’un Antiquarium de verre pour mettre en lumière un patrimoine archéologique et historique exceptionnel, classé au titre des Monuments historiques en 2013.Les objectifs du projetLe site du baptistère paléochrétien a été mis au jour il y a plus de 10 ans par une équipe de l’Institut National de recherches archéologiques préventives (INRAP). Identifié dans un état de conservation exceptionnel, l’ensemble architectural dévoile une abside au centre de laquelle se trouve une grande cuve baptismale cruciforme, associé à un bassin cylindrique de moindre dimension.La municipalité a orienté son projet de valorisation et de conservation des vestiges archéologiques vers la création d’un petit Antiquarium, inspiré de celui de Séville.L’opération revêt plusieurs objectifs :Créer des espaces de médiations intérieurs et extérieurs pour favoriser la tenue de conférences, ouvrir ce patrimoine aux visites, favoriser la présentation des objets archéologiques et du sarcophage, situé à proximité et découvert en 1938 ;Créer un espace public apaisé, au cœur d’un quartier en pleine mutation, où beaucoup de projets urbains sont menés simultanément (un nouvel hôtel, les futurs locaux du CIAS, ou la construction du nouveau CampusPlex).Proposer un lieu ouvert, qui offrira un nouvel accès piéton entre le quartier Saint-Jean et le cours Napoléon.Les aménagements prévusLe projet, qui a été confié au groupement « Orma Achitettura-CGZ Architecte- Beaumeco-Sinetic-Ingenia », prévoit deux grands aménagements. Une salle de médiation patrimoniale et de conférence verra le jour au rez-de-chaussée de l’immeuble ALBAN, qui accueille déjà les locaux de la CAPA. À l’extérieur, l’ouvrage ouvert prévoit de mettre en valeur le baptistère et les vestiges, de jour comme de nuit, grâce à un éclairage spécifique. La structure qui viendra abriter les vestiges sera constituée d’une sous-face réalisée à partir de terre du Mont Gozzi, située dans la région ajaccienne. Par cette touche minérale, le but est de donner l’impression que la couverture est extraite du sol pour mieux mettre en valeur les vestiges antiques de la ville. Le site archéologique sera protégé par un revêtement en verre courbé, afin de pouvoir l’apprécier « à 360° ». Aux abords, des gradins positionnés à l’antique permettront d’ouvrir l’espace, avec la volonté de proposer un lieu de vie et d’échanges favorisant les rencontres culturelles et la contemplation du site archéologique.La fin des travaux est prévue pour le printemps 2022Le coût des travaux est évalué à 1,3 millions d’eurosFinancement :Dotation de soutien à l’investissement (Etat) : 60%Ville d’Ajaccio : 27%Agence de Tourisme de la Corse (ATC) : 13%
Il y a 4 ans et 92 jours

A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable

Question « esthétique », la mairie de Paris se pose là. De fait, jamais l’usage des palettes et autres éléments de récup’ – pardon de réemploi – n’a depuis la Biennale de Venise en 2018  trouvé plus éclatante démonstration que dans la capitale. Explications. Dans un entretien accordé au magazine Grand Paris Développement (N° 35, novembre 2020), […] L’article A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 93 jours

EnerJ-meeting Paris est reporté au 7 septembre 2021

EVENEMENT. Le salon EnerJ-meeting Paris 2021 vient d'être reporté au 7 septembre 2021 au palais Brongniart. Il devait se tenir ce 15 avril. Le thème restera le même, "construire et rénover bas carbone, objectif 2050 !".
Il y a 4 ans et 93 jours

Report de l’édition EnerJ-meeting Paris

Les conditions sanitaires et les restrictions actuelles ne permettent pas de prévoir avec sérénité l’édition du 15 avril. L’ADN d’EnerJ-meeting est basé sur la rencontre – le meeting – autour…Cet article Report de l’édition EnerJ-meeting Paris est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 93 jours

Evénement : Les Construction Days avancés

CALENDRIER. Le Seimat et Comexposium ont annoncé début février la création d'une nouvelle manifestation : Les Construction Days. Devant avoir lieu du 21 au 23 septembre, le rendez-vous a été avancé.
Il y a 4 ans et 97 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour son édition de 2022

L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment marquera le grand retour de l’évènement à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles. [©ACPresse] Faire table rase du passé pour revenir aux fondamentaux, tout en s’inscrivant dans les tendances actuelles et à venir. C’est exactement ce qu’est en train de faire Reed Expositions France, l’organisateur du Mondial du Bâtiment. Et d’annoncer la tenue de l’évènement, non plus cette année, mais du 3 au 6 octobre 2022. Avec une grande nouvelle : « Le Mondial du Bâtiment revient au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris », annonce Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Et de poursuivre : « Ce retour est plébiscité, puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de participer à la prochaine édition ».  Le rendez-vous qui réunit les salons Batimat, Idéobain et Interclima s’inscrira donc dans un Parc des expositions rénové. La première nouveauté pour les exposants est le format même des stands : limité à 99 m2 par société. Toutefois, il y aura possibilité d’intégrer un étage…  Des stands de 9 à 99 m2 Dans le détail, les surfaces proposées débuteront à 9 m2, pour échelonner par multiple de 9 : 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Autre évolution, les exposants pourront choisir leur emplacement dès l’inscription. Premier arrivé, premier servi… Cette approche globale permet de rendre sa présence sur le salon plus économique. Car un stand plus petit ou limité en taille génère un moindre coût. D’autant plus que la durée de l’évènement ne sera plus que de 4 j. « Nous répondons à la demande des exposants de simplifier la préparation des salons. Tout en améliorant les flux logistiques autour de la porte de Versailles », reprend Guillaume Loizeaud. Octobre 2022 : la date est encore bien lointaine. Aussi, pour animer la communauté des professionnels exposants dès maintenant, le Mondial du Bâtiment a choisi de mettre en place des salons “augmentés”. Ceci, à travers un blog qui complétera les sites Internet dédiés aux salons physiques. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations. Il y aura aussi à leur disposition des fiches produits, un annuaire des fournisseurs. Mais aussi des show-rooms virtuels, des vidéos de démonstrations ou des contenus sur les métiers. « Ce blog sera mis en service dès le mois de mai 2021. » Des matinales sur Batiradio « Nous venons de faire le choix de nous engager sur des ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. [©Reed Expositions France] Toujours en amont des salons physiques, et en parallèle du blog, sont initiés “Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment. Et ce, sous la forme d’une matinale diffusée sur Batiradio. Mais aussi disponible en podcasts et en vidéos. « Ces rendez-vous décrypteront les grandes tendances de la construction pour favoriser les échanges entre les professionnels face aux enjeux du secteur », explique Guillaume Loizeaud. Les matinales sont programmées chaque premier vendredi du mois. Et doivent débuter le 2 avril 2021, entre 9 h 00 et 12 h 30. Toutes s’organiseront de la même matière. A savoir, le Rendez-vous France Relance, le Grand dossier du Mondial du Bâtiment, la Rénovation énergétique dans les territoires. Mais aussi, le Décryptage RE 2020, les Métiers, la Construction 4.0, les Tendances et le Design.  Pour l’année 2021, les thématiques du Grand dossier sont déjà en place. Le 2 avril, les débatteurs tenteront de répondre à la question : “En quoi la RE 2020 va-t-elle permettre de construire durable ?” Et au fil des mois, d’autres sujets seront égrenés [lire encadré]. Pour 2022, en revanche, le programme n’est pas encore déterminé. Mais une fois connu, il permettra de tenir jusqu’aux salons physiques. Ceux-ci occuperont six pavillons du Parc de la porte de Versailles, soit quelque 140 000 m2 d’expositions.  Batimat se déploiera sur 4 halls Batimat sera le mastodonte de l’évènement. Le pavillon 1 sera celui du gros œuvre, de la structure et de l’enveloppe. Les thèmes fédérateurs mis en avant par les exposants devraient être ceux du climat et de l’environnement. Construction Tech, le rendez-vous de l’innovation, des start-up et des “smart technologies”, et Interior&Garden, autrement dit les aménagements intérieurs et extérieurs, seront les deux autres points d’entrée de ce hall. Le matériel de chantier et l’outillage retrouveront le pavillon 4. Quant aux pavillons 5 et 6, ils concentreront les menuiseries et les fermetures. De son côté, Interclima, dédié aux équipements techniques pour le bâtiment, c’est au sein du pavillon 3 qu’il prendra ses quartiers. Avec l’entrée en application de la RE 2020, les sujets à balayer seront nombreux. Outre les enseignements de la nouvelle réglementation, les énergies renouvelables, la rénovation des bâtiments tertiaires. Ou encore la qualité de l’air intérieur seront des thèmes omniprésents dans les allées. Tout comme l’amélioration des logements et les solutions éco-responsables de confort d’été.  Réduire l’empreinte carbone du salon Le Mondial du Bâtiment occupera 6 halls du Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. [©Reed Expositions France] La préservation de l’environnement et la réduction de l’empreinte carbone constitueront donc un véritable leitmotiv pour les exposants comme pour les visiteurs. Et qu’en sera-t-il de l’organisateur lui-même ? Les cordonniers sont-ils les plus mal chaussés ? Ou bien, charité bien ordonnée commence par soi-même ? Reed Expositions France semble préférer le second dicton populaire. « Notre retour à la porte de Versailles et les nouvelles attentes du public sont l’occasion de lancer une démarche d’amélioration sur les sujets fondamentaux du RSE. Aussi, nous venons de faire le choix de nous engager sur quatre ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud. Ainsi, l’organisateur s’engage, dès maintenant, à réduire son empreinte carbone. Du moins à la mesurer, tout en mettant des actions concrètes pour entamer cette démarche. Au programme : optimisation des process logistiques, accès au site privilégiant les mobilités écologique. Mais aussi éco-conception des aménagements, des zones communes et des stands. Un salon éco-responsable Reed Expositions France améliorera aussi la gestion des déchet. Avec, pour ambition, de les réduire d’au moins 10 % dès l’édition 2022. Par ailleurs, il souhaite accroître la circularité des matériaux utilisés, tout en améliorant le dispositif de tri. Ceci sera accompagné d’achats responsables qui privilégieront les produits, et des services éco-conçus et respectueux de l’environnement. Ou qui seront réalisés auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA). Enfin, la restauration sur place n’est pas oubliée. Là, Reed Expositions France veut mettre en place une offre limitant le gaspillage, gérant mieux les surplus et valorisant les bio-déchets. A la vue de toutes ces explications, l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment semble née sous une bonne étoile. Et, à bien y réfléchir, l’organisateur pourrait même réussir à transformer tout le désarroi amené par la crise de la Covid-19 en quelque chose de positif !  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 98 jours

Les prix des logements anciens à Paris commencent à baisser, après une nouvelle hausse en 2020

Dans la capitale, "les prix ont fait une pause du 3e au 4e trimestre 2020 en passant de 10.790 EUR le m² à 10.770 EUR", selon la Chambre des notaires du Grand Paris."Après un record historique en novembre 2020 (10.850 EUR le m²) suivi d'une baisse, la tendance baissière des prix devrait se prolonger dans les prochains mois à Paris. La hausse annuelle pourrait être inférieure à 1%, ce qui n'est pas arrivé depuis 2015", ajoute l'organisation dans un communiqué."Aujourd'hui, la tension [sur les prix] diminue" mais "quand les biens sont au prix du marché, les ventes se font sans négociation", a commenté au cours d'une conférence de presse Thierry Delesalle, le président de la commission des statistiques immobilières de la Chambre.Le "freinage, initié dans Paris, se dessine et se diffuse progressivement vers la proche périphérie", selon la Chambre.Globalement, selon les notaires, de nombreux éléments décrivent en Ile-de-France "un marché qui résiste, compte tenu d'un contexte économique, psychologique et social particulièrement difficile, mais qui s'essouffle et se fragilise".Ainsi à Paris "les prix, qui augmentaient encore de 8% par an au 1er trimestre 2020, de 7,8% au 2e trimestre puis de 7% au 3e trimestre, n'étaient plus qu'en hausse annuelle de 5,4% au 4e trimestre 2020", selon l'organisation professionnelle.D'après les indicateurs avancés sur les avant-contrats, dans Paris, "le mouvement légèrement baissier se prolongerait début 2021 pour laisser un prix au mètre carré attendu à 10.600 EUR en avril 2021, en baisse de 0,4% en 3 mois".Il serait ainsi quasiment identique (+0,8%) à la valeur d'avril 2020 (10.520 EUR le m²), selon la même source.La Grande Couronne attireAu quatrième trimestre, les prix au m² s'échelonnent entre 9.210 EUR dans le XIXe arrondissement et 14.240 EUR dans le VIe, c'est-à-dire "1,55 fois plus cher que le XIXe" ce qui est un "ratio historiquement bas", selon les notaires.Au 4e trimestre 2000, le quartier le plus onéreux était cinq fois plus cher que le quartier le plus abordable, rappellent la Chambre des notaires.Quatre arrondissements se situent encore en dessous de 10.000 EUR le m² (XIIe, XIIIe, XIXe et XXe), tandis que quatre dépassent 12.000 EUR le m² (Paris Centre, Ve, VIe et VIIe). Le VIe arrondissement est le seul à dépasser 14.000 EUR le m².Conséquence de l'épidémie de Covid-19 et des restrictions de déplacement, le nombre d'acquéreurs étrangers non résidents, habituellement très présents sur le marché de l'immobilier haut de gamme, n'a jamais été aussi bas, avec 1,8% des ventes contre 2,5 à 3% habituellement.Pour 2021, les notaires restent prudents, car l'année sera "la résultante, complexe et incertaine, d'un contexte économique qui pourrait se durcir pour les ménages et d'une situation sanitaire toujours très fragile".Par ailleurs, la situation sanitaire, les confinements et le développement du télétravail semblent précipiter les choix de vie pour certains en poussant de nombreux parisiens hors de la capitale.Le marché de la maison en Ile-de-France "a bel et bien profité d'une attractivité renforcée avec une croissance de ses volumes de ventes de 8%, uniquement imputable à la Grande Couronne (+13%), où l'offre est abondante et les prix plus modérés".Les notaires de Grande Couronne indiquent rencontrer davantage d'acquéreurs parisiens et de la Petite Couronne que dans le passé, intéressés par de grandes maisons.
Il y a 4 ans et 98 jours

Hausse du prix de l'immobilier ancien à Paris de 5,4% au 4ème trimestre 2020 selon les notaires

"Aujourd'hui, la tension (sur les prix, NDLR) diminue" mais "quand les biens sont au prix du marché, les ventes se font sans négociation", a commenté au cours d'une conférence de presse Thierry Delesalle, le président de la commission des statistiques immobilières de la Chambre ajoutant que le "coup de frein sur les prix était attendu et bienvenu".Globalement en Ile-de-France, les volumes de ventes de logements anciens (159.140) ont baissé de 12% et la hausse annuelle des prix a atteint 6,4%.Paris a été plus touchée par la baisse du nombre de transactions avec un recul de 16% sur 12 mois.Mais la chambre des notaires ajoute que le prix du mètre carré est en baisse depuis la fin 2020. "Après 5 ans de hausses, les prix sont désormais légèrement baissiers dans Paris mais résistent à 10.600 euros le m²", selon des projections sur les transactions qui seront finalisées en avril.Les notaires notent "une nette différenciation géographique" des prix avec des arrondissements centraux à plus de 12.000 euros le m², l'ouest parisien entre 10.000 et 12.000 euros et l'est périphérique de la capitale à moins de 10.000 euros le m².Les hausses les plus importantes ont été enregistrées dans le Vè arrondissement (+8,5%), le XVIIIè (+7,2%) et le VIIIè (+6,7%), là encore lorsqu'on compare les quatrièmes trimestres 2020 et 2019.
Il y a 4 ans et 98 jours

Construction Days

Salon des equipements et solutions pour la construction
Il y a 4 ans et 98 jours

A La Défense, le Carré Michelet restructuré par Cro&Co

La restructuration lourde du carré Michelet à La Défense réalisée par l’agence Cro&Co Architecture est lauréate des Trophées Eiffel 2020 avec le « Prix spécial Restructuration ». Surélévation et charpente métallique exceptionnelles ? La restructuration lourde du Carré Michelet comprend l’extension et la surélévation d’un immeuble de 14 niveaux en code du travail dans le quartier […] L’article A La Défense, le Carré Michelet restructuré par Cro&Co est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 98 jours

En pleine pandémie, les micro-maisons cassent la baraque en Turquie

Gizem Baburhan se souvient avec émotion de son premier séjour dans une micro-maison plantée au milieu d'un vignoble de l'ouest de la Turquie."Cette vie minimaliste nous a offert une tranquillité incomparable", dit-elle. "J'espère que nous pourrons devenir propriétaires d'une micro-maison et voyager avec dans le monde entier".Apparu il y a quelques décennies aux États-Unis, le mouvement des "tiny houses" a pris de l'ampleur après la crise financière de 2008, mais n'est apparu que récemment en Turquie.Dans un pays où les habitants privilégient les logements spacieux et modernes, ces maisonnettes, qui ressemblent à des préfabriqués montés sur des remorques, n'avaient a priori pas de quoi séduire.Pourtant, les constructeurs de micro-maisons ont vu leurs carnets de commandes se remplir depuis l'an dernier et ont bien du mal à faire face à la demande."En 2020, nos commandes ont été multipliées par 20 par rapport à l'année précédente", affirme à l'AFP Galip Olmez, patron de YAKO Groups qui s'est lancé sur le marché en 2017.Pelin Dustegor, architecte travaillant pour l'entreprise Casa Lokomotif, explique que la plupart de ses clients viennent du secteur du tourisme et veulent proposer une offre "de type camping"."En 2019, nous avons reçu un peu moins de 250 commandes. En 2020, nous en avons reçu 4.500 par mois", indique Mme Dustegor. "Il y a un engouement extraordinaire".Peur de l'hôtelLa Turquie est mondialement connue pour ses plages de sable fin et ses gigantesques hôtels aux formules tout inclus qui peuvent héberger plusieurs milliers de touristes.Mais la crise sanitaire a contraint les compagnies touristiques à revoir leurs plans et nombre d'entre elles font désormais le pari que les touristes préféreront éviter les lieux bondés dans les années à venir.Les micro-maisons s'imposent donc comme un recours permettant de proposer un hébergement individuel et rassurant.Mme Dustegor souligne aussi que la popularité des micro-maisons auprès du secteur touristique s'explique par leur coût relativement faible et la possibilité d'amortir l'investissement rapidement.Ces maisonnettes, montées sur roues, ont également l'avantage de pouvoir être "garées" sur des terrains sans nécessiter de permis de construire, car elles sont considérées en Turquie comme des véhicules.Les micro-maisons sont également de plus en plus populaires auprès des 30-40 ans qui souhaitent investir et faire de la location saisonnière, explique-t-elle.Caglar Coskun en fait partie. Il a acquis une micro-maison qu'il loue à des touristes après l'avoir installée dans un vignoble sur la côte égéenne de la Turquie."Les gens ne voudront plus rester dans des hôtels de 500 personnes, mais en petit groupe dans la nature. Personne ne voudra plus faire la queue devant un buffet ouvert", prédit-il.Jardin pour salonC'est justement dans la maisonnette de M. Coskun que Mme Baburhan a vécu avec son mari sa première expérience en micro-maison."C'était une petite maison, mais entièrement équipée et située au cœur d'un très beau vignoble. Nous nous sommes rapidement habitués et avons fini par avoir l'impression d'y avoir toujours vécu", confie-t-elle.M. Olmez indique que sa firme YAKO Groups construit des surfaces allant de 15 m2 à 40 m2, soit la taille d'un studio ou d'une chambre d'hôtel. Leur prix varie entre 15.000 et environ 30.000 euros.Mme Dustegor, l'architecte, a pris l'habitude de passer deux jours par semaine dans sa micro-maison qu'elle a installée au milieu d'un jardin à l'extérieur d'Istanbul, au bord de la mer de Marmara."Mon salon, c'est le jardin", s'amuse-t-elle en regardant un coq qui gambade dans l'herbe. "Je regarde les insectes, je vois les fleurs éclore et les saisons passer. C'est un voyage intérieur, une façon de se purifier", dit-elle.M. Olmez estime que les périodes de confinement liées à la crise sanitaire ont poussé un grand nombre de personnes à s'interroger sur l'intérêt de vivre dans des immeubles en ville."Les gens ne devraient pas avoir peur du minimalisme" des micro-maisons, dit-il. "Cela ne rétrécit pas la vie, mais cela la libère".
Il y a 4 ans et 98 jours

Den Blaa Planet, un aquarium signé 3XN à Copenhague

Le nouvel aquarium national du Danemark – situé à Kastrup dans la banlieue de Copenhague – réalisé par l’agence danoise 3XN, est lauréat des Trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « International ». Aspect sculptural pour l’un des plus grands aquariums d’Europe ? Surplombant l’Øresund et inspiré par les courants de la mer, les volées d’oiseaux, […] L’article Den Blaa Planet, un aquarium signé 3XN à Copenhague est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 98 jours

Tout Faire Matériaux : une année 2020 en hausse et des défis pour 2021

BILAN. A l'occasion de son salon, qui cette année a eu lieu début février de manière virtuelle, le réseau de négoces indépendants Tout Faire Matériaux a dressé le bilan de l'année écoulée. Il s'est aussi mis en ordre de marche pour affronter 2021.
Il y a 4 ans et 99 jours

Hausse des effectifs des parcs nationaux et aires marines protégées

La ministre de la Transition écologique "Barbara Pompili et (la secrétaire d'Etat à la biodiversité) Bérangère Abba confirment que, dès 2021, les aires protégées bénéficieront d'une augmentation de 40 ETP qui viendront renforcer les effectifs des parcs nationaux et des parcs naturels marins gérés par l'Office français de la biodiversité (OFB)", selon un communiqué."Lors du One Planet Summit du 11 janvier 2021 (consacré à la biodiversité), le Président de la République avait annoncé que les moyens humains consacrés à la gestion des aires protégées par les opérateurs de l'Etat seraient renforcés sur les trois années à venir", rappelle le communiqué.Le plan de relance prévoit par ailleurs 60 millions d'euros pour les aires protégées et la loi de finances 2021 quelque 11 millions pour la création de nouvelles aires protégées.En décembre, le porte-parole de la conférence des présidents de parcs nationaux, Laurent Grandsimon, s'alarmait dans un courrier adressé à Emmanuel Macron d'une "érosion des moyens des parcs nationaux". "Nous avons perdu 15% de nos effectifs ces dix dernières années", avertissait-il.Ce renforcement des effectifs "s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale des aires protégées, qui vise à protéger dès 2022 30% de nos espaces terrestres et maritimes, en Outre-mer comme en métropole", avec 10% des espaces terrestres et maritimes sous protection forte, contre 1,8% aujourd'hui, indique le ministère.
Il y a 4 ans et 99 jours

ORLAN, le corps en exposition

Est-il encore besoin de la présenter ? Depuis les années 1960, ORLAN s’est imposé en reine de ...En savoir plus Cet article ORLAN, le corps en exposition est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 99 jours

New York va prolonger jusqu'à mai 2021 son moratoire sur les expulsions locatives

Le texte met en pause les procédures d'expulsion déjà en cours pour 60 jours supplémentaires et interdit toute nouvelle expulsion jusqu'au 1er mai 2021."Nous voulons que ça soit simple, nous ne voulons pas que des personnes se fassent expulser", a justifié dans une conférence de presse le gouverneur de l'État, Andrew Cuomo.Le moratoire devait expirer à la fin de l'année. Mais les États-Unis, le pays le plus endeuillé par le Covid-19 en valeur absolue, souffrent encore des ravages de la pandémie.De nombreux commerces ont dû baisser à nouveau le rideau cet automne, face à la multiplication de contaminations.Et des millions de chômeurs, privés de leur emploi à cause de la pandémie, ne savent pas quand ils recevront leurs prochaines allocations, et donc comment payer leur loyer.Le gouverneur n'a pas exclu de prolonger encore ce moratoire, si la situation sanitaire ne s'améliorait pas."Nous verrons ce qu'il se passe en mai, mais nous voulons protéger les locataires", a détaillé Andrew Cuomo.
Il y a 4 ans et 100 jours

Conférence en ligne : les femmes dans l’architecture

Qui ont été les premières femmes architectes au XXème siècle ? Qu’ont-elles construit et quelle voie ont-elles... Cet article Conférence en ligne : les femmes dans l’architecture est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 100 jours

aqma : Appartement Ourcq

À Paris, à deux pas du canal de l’Ourcq (19ème arrondissement), l’agence d’architecture aqma a entièrement repensé l’intérieur d’un appartement de 70 mètres carrées. Visite. À la demande des nouveaux propriétaires, un couple avec les deux enfants, les architectes de l’agence aqma, Amandine Quillent et Matthias Aguilar, ont conçu un appartement familial accueillant, dont l’agencement singulier retient l’attention. Réparti sur deux niveaux, l’appartement fonctionne désormais comme un espace convivial qui est adapté à la vie de famille, mais aussi à la tranquillité de chacun. Au rez-de-chaussée, chaque pièce est astucieusement agencée et décorée de meubles dessinés sur mesure de sorte que les espaces partagés soient chaleureux et faciles à vivre. Couvert par une verrière, le balcon s’ouvre sur la salle à manger, conférant à la pièce son identité propre. La mezzanine, quant à elle, est plus intime. Réservé aux enfants, cet étage comprend une salle de bain et une grande chambre. Dotée d’une grande verrière, celle-ci est baignée de lumière naturelle tout au long de la journée. La cuisine se devait d’être plus intime, à l’abri des regards, pour passer du temps en famille.Derrière une arche semi-ouverte, la chambre parentale a volontairement été déplacée près du salon et de l’entrée pour s’ouvrir sur les pièces de vie. Une manière de casser la séparation usuelle des pièces de jour et de nuit.C’est un appartement minimal et fonctionnel dans lequel parents et enfants peuvent vivre en harmonie. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence aqma. Visuels : © Nobuyoshi TakagiLa rédaction
Il y a 4 ans et 101 jours

30.000 stages mis en ligne au 1er mars sur la plateforme 1jeune1solution

Le Premier ministre, qui se rendra vendredi matin à Bordeaux sur la thématique de l'insertion des jeunes diplômés, "a souhaité que la plateforme 1jeune1solution, qui est de plus en plus identifiée (...), devienne la plateforme qui recensera l'ensemble des informations pour la jeunesse", ont indiqué les conseillers de Jean Castex.Dans ce cadre, le site 1jeune1solution.gouv.fr intègrera à partir du 1er mars "une bourse de stages", avec 30.000 offres réparties sur tout le territoire pour son lancement.Alors que la crise du Covid-19 et ses conséquences économiques et sociales ont multiplié les obstacles pour la jeunesse, M. Castex, accompagné de la ministre du Travail Elisabeth Borne et de celle de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal, devrait revenir vendredi sur les adaptations pour les étudiants ayant "des stages intégrés au cursus": stages à distance, décalage des dates ou encore expérience dans une branche voisine (hôtellerie à la place de la restauration par exemple).La plateforme 1jeune1solution devrait aussi ouvrir "début avril" un "simulateur" qui permettra à chaque jeune "de savoir à quel dispositif il peut avoir accès", au milieu d'un maquis d'aides financières ou non, a précisé Matignon. Par exemple, les jeunes diplômés en recherche d'emploi peuvent toucher une partie de la bourse qu'ils percevaient l'année précédente, pendant 4 mois.Vendredi, M. Castex se rendra d'abord dans les locaux de l'Association pour l'emploi des cadres (APEC) qui pilote les ateliers "objectif 1er emploi". Ceux-ci, financés dans le cadre du plan 1jeune1solution, ont accompagné 28.000 jeunes diplômés vers l'emploi et visent la barre des 50.000 à l'été.Le plan 1jeune1solution, lancé en juillet 2020 dans le cadre du plan de relance, entend apporter une réponse à "chaque jeune selon sa situation particulière et son besoin d'accompagnement particulier", rappelle Matignon.Il comprend également un volet d'aides à l'embauche pour les entreprises, qui expirent au 31 mars. A ce titre, "des réflexions sont en cours", fait savoir Matignon, en soulignant que "la conférence du dialogue social", réunissant gouvernement et partenaires sociaux "que le Premier ministre présidera mi-mars sera l'occasion de voir s'il y a une prolongation de ces aides".
Il y a 4 ans et 103 jours

Le nouveau catalogue Collections d'extérieurs de Bradstone et Carré d'Arc est disponible

Fabemi a déjà sorti son catalogue Collections d’extérieurs 2021, qui offre des idées originales à celles et ceux rêvant d’aménager leur jardin pour les beaux jours.L’hiver est l’occasion idéale de réfléchir à un nouvel aménagement extérieur, en s’inspirant des riches collections BRADSTONE et CARRÉ D’ARC fabriquées par Fabemi. Élégamment présentés au fil des pages, les dallages, pavages et accessoires des deux marques feront le bonheur des paysagistes comme des particuliers. Les précisions techniques sur le calepinage et le montage des éléments complètent par leur aspect pratique les photos et les mises en scène esthétiques. Avec Collections d’extérieurs 2021, les idées prennent forme pour que les projets prennent vie.Un vert clair séduisant anime les onglets et les à-plats du catalogue Collections d’extérieurs. Cela apporte une note printanière bienvenue au sortir d’un confinement hivernal inédit. En ouverture, la ligne Béton Design BRADSTONE expose ses six célèbres collections, dont l’incontournable dallage Manoir, toujours très prisé en plage de piscine ou en terrasse. Les cinq autres membres de la famille – Bastide, Hadrien, Schistone, Armorique et New York –révèlent leur personnalité au travers de photos de décors extérieurs et de zooms sur chaque élément employé. Autant de sources d’inspiration avec, à la fin du chapitre Béton Design, des conseils pratiques sur les possibilités de calepinage, illustrés de schémas et accompagnés d’un nuancier des teintes disponibles.Puis vient le tour de CARRÉ D’ARC dont les généreuses collections se répartissent en quatre grandes catégories de matériaux : lignes Béton Design, Pierre Naturelle, Céramique et Béton Décoratif. Chaque partie est développée selon la même maquette avec, à la fin, conseils de pose, schémas et nuanciers. L’impressionnante variété des produits proposés offre au lecteur, professionnel ou particulier, toutes les informations susceptibles de l’aider à définir un projet d’aménagement extérieur. Pas seulement, car le décor intérieur est, lui aussi, très bien servi par les collections Eygalières, Avallon et Vaugelas CARRÉ D’ARC, des parements de mur qui conjuguent des qualités techniques et esthétiques remarquables, en extérieur comme dans un salon ou une chambre. Quant aux astucieux chaperons de mur, chapeaux et blocs de pilier, ils sont détaillés en fin de chapitre. Ainsi, l’ensemble des pages consacrées à CARRÉ D’ARC invitent à la découverte de solutions classiques, modernes, atemporelles, dont fait partie l’indémodable et généreuse gamme de pavés et autres pavages drainants, dans la ligne Béton Décoratif.Produits complémentairesLes produits de traitement et d‘entretien occupent une place à part, affirmant leur rôle indispensable pour assurer la pérennité d’un ouvrage. Ils intègrent le chapitre « Produits complémentaires », aux côtés des plots réglables polymères, des bordures de délimitation, des mortiers, joints et colles. Des précisions sur les produits côtoient les mises en scène photographiques.Cahier techniqueEn fin de catalogue, le cahier technique très fourni apporte tous les éléments nécessaires à la réussite de la pose. Photos, schémas, tableaux sur chaque gamme de produits, gestes de pose et explications détaillées garnissent ce chapitre structuré selon une logique rigoureuse.
Il y a 4 ans et 104 jours

Suez et Bouyges Construction testent leurs premiers modèles d'assistant numérique pour les opérateurs de bâtiment et de l'industrie (Anobi®)

Supportant les projections, ce terminal est compatible avec le port des gants de sécurité, et l’écran a été spécialement conçu pour être lisible dans toutes les conditions extérieures possibles même les plus extrêmes. Ces caractéristiques techniques associées à une batterie à haute autonomie font de ce nouvel équipement une réponse efficace aux besoins et contraintes du terrain, aux exigences de sécurité et à la recherche de performance des acteurs de l’industrie.En 2017, après avoir travaillé deux ans au sein de Ideas Laboratory®, aux côtés d’Air Liquide et du CEA sur l’émergence du concept et sur plusieurs prototypes d’équipements connectés pour les opérateurs du terrain, SUEZ et la R&D de Bouygues Construction se sont concentrés sur le développement du manchon connecté, ANOBI®, les deux groupes ayant identifié de nombreux freins à l’utilisation de smartphones classiques par les opérateurs, tels que la nécessité de retirer ses gants pour la consultation ou la saisie d’informations dans leurs applications, des difficultés à lire l’écran selon la luminosité extérieure ou une fragilité en cas d’exposition à des projections. SUEZ et Bouygues Construction en partenariat avec le E-Lab, laboratoire d’innovation du groupe Bouygues et la société TXCUBE ont décidé de travailler à la conception et l’industrialisation d’un matériel connecté innovant répondant aux besoins de nombreux acteurs du secteur industriel.ANOBI® est ergonomique, il se fixe facilement à l’avant-bras de l’opérateur. Libre de ses mouvements, celui-ci peut réaliser les tâches du quotidien sans être gêné et consulter à tout moment ses applications chargées sur le terminal. La technologie E-Ink® (noir et blanc) retenue pour l’écran garantit une lisibilité optimale aussi bien en pleine obscurité qu’en cas de forte luminosité. Son principal atout est sa manipulation compatible avec le port des gants grâce à ses six boutons poussoirs, dont un dédié aux appels d’urgence pour les opérateurs isolés. L’opérateur a également la possibilité d’utiliser la fonctionnalité « appareil photo » pour notifier d’une situation en temps réel. Le scan de QR code, NFC ou RFID est également disponible. Enfin, les séries de tests et d’améliorations apportées pendant plusieurs mois ont permis d’aboutir à un modèle résistant aux projections de liquide, de matières, mais aussi à des températures extrêmes (de – 10° C à + 50° C) sans pour autant altérer l’autonomie de la batterie. SUEZ et Bouygues Construction ont déjà adopté ce terminal pour plusieurs de leurs activités. SUEZ l’expérimente actuellement dans les villes de Bordeaux, Dijon, et en Ile-de-France, avec une application métiers, pour recueillir en temps réel des données, par exemple le nombre de corbeilles collectées par jour, leur localisation, leur taux de remplissage, la qualité du tri ou encore les besoins de remplacements du mobilier urbain... Ces données renforcent la traçabilité des activités et améliorent leur performance, au bénéfice des équipes terrain et de leurs clients. Sur les chantiers de Bouygues Construction de Saclay pôle BPC et de Bobigny, ANOBI® facilite la gestion des approvisionnements en matières avec la lecture par QR code des bons de livraison et leur suivi (volume reçu, utilisé…), il rend aussi possible la consultation par les opérateurs des tâches à réaliser, l’affectation d’un état (démarrée, en pause, réalisée), ou encore du temps passé sur chacune. Connecté au Wifi des chantiers, ANOBI® permet également de localiser rapidement du matériel ou des équipements (les bennes à déchets ou extincteurs).Grâce à un système ouvert d’intégration d’applications, le champ d’utilisation d’ANOBI® est large et peut être utilisé par de multiples acteurs industriels, dans la logistique, l’énergie, le bâtiment, le transport. Au total, ce sont déjà six applications métiers que SUEZ et la R&D de Bouygues Construction ont développées et qui sont utilisées par les opérateurs avec ANOBI®. Basé sur une architecture Android, le développement d’applications supplémentaires est réalisable par les directions informatiques des entreprises utilisatrices ou par des sociétés spécialisées.
Il y a 4 ans et 104 jours

Kévin Badia du réseau Vertikal®, lauréat de la décennie aux Trophées de l'IREF

C'est Kévin Badia, dirigeant d'Espace Façades l'entreprise fondatrice du réseau, qui a cette année représenté l'enseigne pour la 33ème édition du concours des "Meilleurs Franchisés & Partenaires de France".Il s'est vu décerné le plus grand prix décerné par l'IREF et également inédit : le Grand Prix "Lauréat de la décennie". Un titre d'honneur remporté par le jeune dirigeant sur le plateau de BFM Business en présence d'Emmanuel Lechypre, Editorialiste économique et Michel Kahn, Président de l'IREF. Sa progression constante ainsi que son exemplarité au sein du réseau VERTIKAL® en tant qu'entreprise vitrine du concept, ont ainsi été récompensées.Ce Grand Prix a également été l'occasion de saluer l'initiative solidaire du jeune dirigeant au printemps dernier, permettant au Réseau de reverser près de 32.000 € au profit des soignants de la Covid-19, partout en France.Le trophée inédit de Lauréat de la décennie reçu par Kévin Badia aux côtés des 56 autres lauréats primés lors de la cérémonie (parmi lesquels de grands noms de la franchise comme Alain Afflelou, Ixina, le réseau Temporis ou encore Carrefour Market), consacre la réussite du Groupement VERTIKAL® et plus spécifiquement celle de Kévin Badia. Il salue notamment ses performances au sein de son entreprise, Espace Façades, dans chacune des thématiques mises à l'honneur lors de la cérémonie :Développement commercial et économique : Espace Façades fait preuve d'une progression constante et détient notamment le record du plus grand nombre d'affaires traitées sur une année depuis l'origine de la marque VERTIKAL®.Transformation digitale : Depuis plusieurs années Kévin Badia capitalise sur les outils digitaux mis à sa disposition pour développer son entreprise. Autre record pour Espace Façades : celui du nombre d'action digitales menées et de retombées commerciales générées en conséquence.Management : Espace Façades, en tant qu'entreprise fondatrice du Réseau se positionne comme vitrine de la marque VERTIKAL®. Grâce à une mise en application exemplaire des clés du concept, le jeune dirigeant contribue notamment à la formation de ses pairs intégrant le Réseau.Qualité des prestations : Son exemplarité s'élève aussi sur la qualité des prestations de son entreprise. En effet, la première plateforme de notation clients de l'habitat, EldoTravo.fr, lui attribue une note de 4,9/5 sur 197 avis clients vérifiés, assortis de plus de 391 photos.Action Citoyenne et Solidaire : Au printemps dernier, Kévin Badia a pris la décision une décision pour le moins originale et surtout solidaire : reverser 5% de son chiffre d'affaires réalisé sur la période du 17 mars au 17 juin 2020. Dix de ses pairs au sein du Réseau VERTIKAL®, ont décidé de le suivre. Pour démontrer son soutien et appuyer les initiatives des entreprises de son groupement, l'enseigne VERTIKAL® a ajouté 20% au montant versé par chacune d'entre elles. Une initiative qui a permis de récolter au total 31 920 € en faveur du personnel soignant de la COVID-19 : « Nous faisons parties des entreprises qui ont la chance de à maintenir une activité alors que nous traversons une crise sans précédent », indique le jeune dirigeant.
Il y a 4 ans et 104 jours

Santé au travail : l'Assemblée vote un texte sur la prévention

La droite LR a associé ses voix à celles de la majorité pour voter la proposition de loi, adoptée par 104 voix contre 12, et désormais attendue au Sénat. Les groupes PS, LFI et communiste ont voté contre.Le texte est principalement la traduction d'un accord national interprofessionnel (ANI), le premier du genre sur le sujet, signé le 9 décembre, afin de relancer une réforme reportée depuis des années.Il va apporter des "outils de prévention", comme une "visite de mi-carrière" ou "un rendez-vous de liaison qui permet au salarié en congé maladie de longue durée, de pouvoir, à sa demande, anticiper son retour dans les meilleures conditions et organiser les aménagements nécessaires du poste et du temps de travail", a souligné la co-rapporteure de la proposition de loi Carole Grandjean (LREM).Parmi les critiques, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) redoute de nouvelles contraintes pour les PME avec l'obligation pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, d'établir un "programme annuel de prévention".Le gouvernement a d'ailleurs lui aussi fait part de ses réserves à ce sujet, soutenant en vain des amendements de suppression de la mesure pour les PME, qui pourra à nouveau être discuté lors des prochaines étapes parlementaires.Cette proposition de loi tend en outre à "décloisonner" santé publique (médecine de ville) et santé au travail. Elle permet dans certaines conditions à des médecins généralistes, appelés "praticiens correspondants", de pallier la pénurie de médecins du travail.Autre mesure phare et qui fait débat, le médecin du travail pourra consulter le dossier médical partagé (DMP) avec l'accord du salarié.A gauche, l'opposition a jugé le texte "absolument pas à la hauteur" (Caroline Fiat, LFI), avec de simples "sparadraps" (Gisèle Biémouret, PS), reprochant notamment la suppression en début de mandat des CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) dans les entreprises.Ce texte part toutefois d'un constat partagé: les difficultés de "l'écosystème de la santé au travail", mises en exergue par la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 105 jours

Martin Bouygues fait un nouveau pas vers la préparation de sa succession

Le groupe a annoncé ce changement de gouvernance, effectif depuis mercredi, à l'occasion de la publication de ses résultats annuels, marqués par la chute de 40% du bénéfice net sous l'impact de la crise du coronavirus.C'est Olivier Roussat, jusqu'ici directeur général délégué, qui occupe désormais les fonctions de directeur général."Je reste disponible pour servir le groupe mais le patron de Bouygues désormais c'est Olivier Roussat", a déclaré M. Bouygues au cours d'une conférence de presse téléphonique."C'est pour moi un moment particulier de ma vie, chargé d'émotion", a-t-il expliqué, ajoutant que le géant du CAC 40 n'avait "connu que deux PDG" en 70 ans, lui-même et son père Francis Bouygues."Tout le monde sait que chaque année je prends une année, j'arrive maintenant à 69 ans dans quelques mois, et donc il m'a paru utile de préparer le groupe pour les évolutions futures", a-t-il poursuivi.M. Bouygues avait commencé à préparer en douceur sa succession avec la nomination en août 2016 de deux directeurs généraux délégués, dont M. Roussat. Il avait alors indiqué vouloir prendre "du recul" au profit d'une "équipe plus jeune".Quelques mois plus tôt il avait fait entrer au conseil d'administration du groupe, deux trentenaires issus de la troisième génération, son fils aîné Edward et son neveu Cyril. Il n'avait pas caché préparer activement une succession qui n'est "absolument pas un tabou".Jeudi, M. Bouygues, qui fêtera ses 69 ans le 3 mai, a précisé que les statuts du groupe avaient été modifiés pour que "le mandat de président non exécutif puisse être exercé jusqu'à 85 ans"."Je vous rassure, je n'ai aucune intention d'aller jusque-là, mais c'est une mesure de précaution", a-t-il précisé.Pour assister Olivier Roussat, deux nouveaux directeurs généraux délégués ont été nommés: Edward Bouygues, qui était directeur de la stratégie de Bouygues Telecom, et Pascal Grangé, qui était directeur général adjoint et directeur financiers."Nouvelle génération"Edward Bouygues est nommé par ailleurs président de Bouygues Europe et consacrera une partie de son temps à Bouygues Telecom, selon le groupe.M. Grangé conserve pour sa part ses fonctions de directeur financier du Groupe."L'arrivée d'une nouvelle génération de dirigeants reconnus pour leur professionnalisme, formés dans le groupe et qui en maîtrisent parfaitement la culture, s'inscrit dans la tradition de Bouygues qui, depuis sa création, a toujours su choisir ses dirigeants en son sein pour assurer son développement", a ajouté Martin Bouygues.Sur le plan des résultats financiers, le groupe, dont les activités vont des chantiers aux télécoms en passant par la télévision avec TF1, a annoncé une chute du bénéfice net à 696 millions d'euros contre 1,184 milliard en 2019 dans le contexte de la crise sanitaire avec cependant un second semestre meilleur que prévu et des objectifs "atteints ou dépassés"."Les modèles d'affaires" des activités du groupe, "qui sont positionnées sur des besoins essentiels (se loger, se déplacer, communiquer, s'informer, se divertir), ne sont pas remis en cause", a commenté M. Bouygues.Dans son activité de construction, Bouygues précise que son carnet de commandes "se maintient à un niveau record de 33,1 milliards d'euros à fin décembre 2020", en hausse de 1% sur un an.Le chiffre d'affaires de TF1 s'est établi à 2,1 milliards d'euros, en baisse de 11% par rapport à 2019, "impacté par la forte baisse des revenus publicitaires principalement au deuxième trimestre", selon le groupe.Concernant Bouygues Telecom, la dynamique commerciale "est restée soutenue dans le mobile comme dans le fixe".La contribution d'Alstom - dont Bouygues détient 8% - au bénéfice du groupe s'élève à 169 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 105 jours

Liebherr : La première pompe 42 M5 XXT sillonne l’Alsace

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Michel est la première entreprise en France à avoir fait l’acquisition de la nouvelle pompe 42 M5 XXT signé Liebherr. [©ACPresse] Le soleil se lève à peine sur Mulhouse, lorsque se détache du paysage urbain la longue flèche de la pompe 42 M5 XXT de Liebherr, estampillée Michel. La société alsacienne est la première en France à avoir fait l’acquisition de ce nouveau modèle de la marque allemande, présentée sur le salon Bauma en 2019. L’heure est au coulage du radier de l’extension de la future extension du collège John Fitzgerald Kennedy, qui s’étendra sur 2 100 m2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 105 jours

Construire un cinéma en pleins crise sanitaire comme un pied de nez au Covid

La France compte un parc de 2.000 cinémas unique au monde par sa densité, et en 2020, 22 cinémas ont ouvert leurs portes, malgré les mois de rideau baissé.Cette année, en dépit du manque de perspective après plus de 100 jours de fermeture des salles, des projets de rénovation ou de construction se poursuivent un peu partout, du Lavandou (Var) au quartier de l'Opéra à Paris en passant par Givors (Rhône).A Romorantin, c'est l'effervescence sur le chantier du Ciné Sologne: ballet des chariots élévateurs, montage de cloisons... le futur complexe doit être prêt pour la fin mars. Il viendra prendre le relais du Palace, la salle historique du centre-ville.Avec le centre culturel ou l'escape game qui a ouvert en centre-ville, le cinéma, classé art et essai et qui programme blockbusters comme films plus pointus, est l'un des pôles d'animation de cette sous-préfecture de 17.000 habitants, sur les rives paisibles de la Sauldre.A une heure de voiture de Tours, de Bourges ou d'Orléans, la ville a connu "trois tsunamis", depuis les années 2000, retrace le maire Jeanny Lorgeoux: la fermeture de l'usine automobile Matra, qui employait 2.200 personnes, une grande crue avec plus de 500 évacuations, et maintenant le Covid...Dans ce contexte, "le cinéma, c'est un bien culturel fantastique" nécessaire "pour que la ville se perpétue", ajoute l'édile, aux commandes depuis 1985 et qui a tout fait pour favoriser l'installation du nouveau complexe."Dans les petites sous-préfectures, le cinéma c'est le lien intergénérationnel parfait", ajoute l'élu, et c'est aussi là que se croisent ce qu'il reste de la classe ouvrière, dans cette ancienne terre industrielle, et les plus aisés, qui vivent de "l'économie de château" et de la chasse, spécialité de la zone.Pour la ville, c'est aussi "un levier économique et d'attractivité. Si on s'en privait, ce serait catastrophique"."Repartir de zéro"Pourtant, le Palace, qui attirait chaque année 70.000 spectateurs, "n'était plus vraiment aux normes de confort actuelles", reconnaît le patron des lieux, Francis Fourneau.L'ancien cinéma, construit dans les années 1970 et resté dans son jus avec ses murs jaunes pastels, est promis à la fermeture. Le Palace était de toute façon à l'étroit dans son bâtiment historique du centre-ville."Après cette pandémie, il faudra retrouver les spectateurs un par un", anticipe cet exploitant, et "ce ne sera pas plus mal de repartir de zéro", avec un lieu flambant neuf. Tant pis pour le cachet des ruelles médiévales qu'a parcouru jadis François 1er, c'est à côté d'un ancien hypermarché, dans la zone commerciale accessible en voiture, que se construit le nouveau projet.Et pour rivaliser avec les multiplexes des grandes villes ou le streaming, il faut investir dans des fauteuils de plus en plus confortables et des écrans géants, 16 mètres de long pour la plus grande des cinq salles du futur Ciné Sologne.Le chef d'orchestre de ces travaux à 2,8 millions d'euros, c'est Cédric Aubry, qui s'est fait une spécialité de construire des cinémas dans de petites villes, considérées comme pas assez rentables par les gros réseaux.La pandémie ? "Ce n'est pas une raison de renoncer", tranche-t-il sur le chantier de Romorantin, tout en traquant sur le chantier les défauts d'étanchéité de la structure de métal et de béton, avant l'installation des 600 fauteuils."Il faut créer du public, attirer les gens qui se disent +j'irais bien au cinéma+, mais qui voient le petit ciné local et se disent +je laisse tomber+" explique M. Aubry.Une façon, selon lui aussi, de répondre "modestement" au message "sur l'abandon des territoires" formulé pendant la crise des "gilets jaunes". Et à l'en croire la recette a tout pour réussir: le cinéma qu'il a refait à Varennes (Meuse) est passé en quelques années de 80.000 à 200.000 spectateurs, et celui de Sens (Yonne) de 100.000 à 300.000 spectateurs.
Il y a 4 ans et 105 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 105 jours

Le secteur du bâtiment demande des "mesures puissantes" pour relancer le logement neuf

En 2021, les permis pourraient de nouveau reculer à hauteur de 9,1% sur un an, selon un communiqué. "C'est une crise historique du logement neuf qui se profile", prévient la FFB."La brutalité de la crise qui frappe le logement neuf nécessite des mesures puissantes pour relancer les opérations et soutenir la demande", a estimé Grégory Monod, président du Pôle Habitat.Ce secteur "a été le grand oublié" du plan de relance du gouvernement, a-t-il déploré au cours d'une conférence de presse et il y a "urgence à agir" face au nombre de permis de construire qui "dégringole"En 2020, le marché de la maison neuve (en dehors des lotissements) a baissé de 8,5%, sous le poids de la crise sanitaire et "du durcissement des conditions d'octroi des prêts" il y a un an pour limiter le surendettement des ménages, selon la FFB.Le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui associe entre autres le ministère de l'Économie et la Banque de France, a finalement décidé en décembre d'assouplir ces règles limitant l'octroi de crédits immobiliers.Pour le logement collectif, la situation a été "catastrophique" avec des mises en vente qui ont baissé de 27,4% à 76.588 unités, selon l'organisation.Ce décrochage en 2020 est dû à la lenteur de l'instruction des autorisations d'urbanisme et de la signature des actes notariés en raison de la crise sanitaire, mais aussi, selon l'organisation, à "l'attentisme des élus locaux à l'approche des municipales et la remise en question, voire le gel, de nombreux projets par les nouvelles équipes".L'organisation voit en outre trois "écueils majeurs" en 2021: l'effet du durcissement des conditions des prêts immobiliers, celui des "surcoûts" engendrés par la nouvelle réglementation environnementale et les conséquences des mesures "en matière de lutte contre l'artificialisation des sols qui accentuent déjà la rareté foncière et donc l'offre de terrains constructibles et de logements abordables".
Il y a 4 ans et 106 jours

RECTOR enrichit son offre avec des Prémurs béton bas carbone pour réduire l’impact environnemental de ses systèmes préfabriqués

Dans le cadre de sa démarche RSE initiée en 2020, RECTOR, spécialiste de la fabrication d’éléments en béton précontraint et béton armé, s’engage dans la réduction de l’impact environnemental de ses systèmes préfabriqués. Son offre s’enrichit d’un Prémur béton bas carbone, né de la collaboration entre l’unité de production de Rector située à Berre-L’Etang et Ecocem, 1er producteur européen indépendant de laitier moulu de haut-fourneau, basé à Fos/Mer. Une réduction de 35 à 40 % de l’empreinte carbone Pour la création de son nouveau Prémur bas carbone, la stratégie de Rector a reposé sur 3 objectifs majeurs : obtenir un Prémur bas carbone avec les mêmes qualités que le Prémur réalisé en béton standard afin de ne pas réduire son champ d’application, maîtriser son coût de revient pour continuer à proposer un produit aux prix du marché, réduire son impact environnemental au maximum. Fruit de la recherche interne de Rector sur les formulations béton réduisant fortement l’impact carbone, le nouveau Prémur affiche une réduction de l’ordre de 35% à 40%, suivant la classe d’exposition, par rapport aux bétons décrits dans la norme NF EN206. Pour parvenir à de tels résultats, Rector a substitué une part du ciment par du laitier de haut fourneau et du filler, deux matériaux aux émissions carbone faibles mais avec des performances de durabilité équivalentes à celles du ciment. Un travail sur l’adjuvantation et sur l’optimisation de l‘étuvage a également été réalisé en usine. Ces résultats, qui ont fait d’ores et déjà l’objet de nombreux tests en laboratoire et en usine, seront formalisés dans une FDES spécifique en cours d’élaboration. Un Prémur bas carbone réalisé en local Le nouveau Prémur bas carbone de Rector est né de la collaboration entre son unité de production située à Berre-L’Etang et le site voisin d’Ecocem de Fos/Mer qui lui fournit le laitier de haut fourneau. Les sous-produits de l’industrie sidérurgique sont ainsi revalorisés efficacement, en local, dans l’unité de production de Rector. Proposée dans un premier temps uniquement dans le Sud de la France, l’offre de prémurs bas carbone Rector sera prochainement disponible nationalement. Au-delà des Prémurs, Rector souhaite aujourd’hui ouvrir ces avancées techniques à ses Prédalles et à l’ensemble de ses produits en béton. Parce qu’une seule solution d’optimisation ne peut être envisagée, l’entreprise explore toutes les pistes menant à la décarbonation en bonne intelligence de son offre. Prémur Rector, une solution constructive préfabriquée aux multiples avantages Elément de structure préfabriqué industriellement, le Prémur Rector est une solution constructive qui offre de nombreux avantages par rapport au béton banché et à la préfabrication lourde. Il est constitué de deux parois minces en béton armé préfabriqué, assemblées en usine et de dimensions indépendantes, maintenues espacées par des raidisseurs métalliques verticaux. Une fois positionnés et stabilisés, les panneaux de Prémur font office de coffrage : des armatures de liaison y sont glissées et du béton prêt à l’emploi coulé, ce qui garantit la stabilité de la construction. Destiné aux murs intérieurs et extérieurs, le Prémur Rector bénéficie de nombreuses possibilités de configurations (intégration de poteaux, poutres, huisseries métalliques…) et présente des atouts majeurs : rapidité et facilité de pose, réduction des coûts et des délais d’exécution, qualité de parement simplifiant les finitions, solution idéale contre existant ou en cotes bloquées, réduction des terrassements en infrastructure, suppression des inconvénients du coffrage, amélioration des conditions de travail et de sécurité.
Il y a 4 ans et 106 jours

Pénurie et hausse des coûts des matières 1ères : Inoha alerte les pouvoirs publics et l’ensemble de la filière

Inoha, l’association professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, est en alerte avec l’ensemble des acteurs de la filière, ainsi que les pouvoirs publics, sur les risques que font peser la hausse des coûts et la pénurie des matières premières sur le secteur, mais aussi sur la relance de l’économie française. Alors que le marché du bricolage et de l’amélioration de l’habitat est porté par l’engouement des Français depuis le début de la pandémie, les industriels, impactés déjà par la hausse des coûts de productions de près de 20% liée à la crise sanitaire, sont maintenant confrontés, depuis octobre 2020, à une forte hausse des prix des matières premières (selon les métaux, hausse de 30% à 100%) sans compter le prix du transport, notamment des containers venant de chine dont le prix a été multiplié par 5. « A la hausse s’ajoute maintenant une véritable pénurie de matières premières qui va avoir de lourds impacts sur nos productions » déclare Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, les Industriels du Nouvel Habitat, qui a alerté, tout début Janvier 2021, la Fédération Nationale des Magasins de Bricolage (FMB) sur les risques de rupture d’approvisionnements et les conséquences sur les taux de service. En parallèle, Inoha a pris l’initiative de se rapprocher des pouvoirs publics pour les informer de leurs difficultés face aux lourdes conséquences que cela pourrait avoir sur leurs activités, et plus globalement sur celle de l’ensemble de la filière. A cet effet, un rendez-vous a eu lieu à Bercy le 8 février dernier entre le Cabinet de Madame Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie et l’équipe de direction d’Inoha qui a fait part de ses inquiétudes. Une autre rencontre est prévue la semaine prochaine avec le Cabinet d’Alain Griset, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises. Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, tient à rappeler « le sens des responsabilités qui anime chaque acteur de la filière pour faire face à cette situation qui pourrait avoir des effets négatifs sur l’ensemble de la filière ». Il est par ailleurs en contact étroit avec la FMB afin que « le dialogue entre les industriels et les distributeurs soit constructif car ces hausses, certes conjoncturelles, et ces tensions d’approvisionnement contraignent de manière significative les marges des industriels déjà impactées par les surcoûts liés à la crise du COVID et à la suractivité de ces derniers mois ». Pour cela, il rappelle que la filière Inoha / FMB peut s’appuyer sur la recommandation 19-1 de la Commission d’Examen des Pratiques Commerciales (CEPC) qui stipule que « le règlement des litiges liés à l’application des pénalités logistiques doivent être appréciés en tenant compte également, outre la force majeure, d’autres circonstances indépendantes de la volonté des parties et extérieures aux parties » et un peu plus loin précise que « certaines circonstances externes aux fournisseurs et aux distributeurs ne remplissant pas les conditions de le force majeure et perturbant les livraisons (par exemples, blocage des sites industriels ou d’entrepôt de stockage ou des axes de transport, pénurie avérée de matières premières avec délai de prévenance, crise sanitaire, aléa climatique d’une ampleur exceptionnelle, etc…) peuvent également constituer des causes d’exonération des pénalités ». Inoha souligne sa conviction que l’ensemble des acteurs de la filière fasse, une nouvelle fois, preuve de responsabilité et de solidarité.
Il y a 4 ans et 107 jours

TraceParts & BIM&CO proposent aux fabricants la création et la publication unifiées des données CAO & BIM

Les fabricants pourront dorénavant publier sur la plateforme TraceParts, directement depuis les outils développés par BIM&CO, sans coûts supplémentaires.   Saint-Romain, France – le 10 février 2021 Les fabricants de la construction doivent aujourd’hui fournir de nombreuses données aux différents métiers du BTP. La multitude de formats géométriques et de données produits demandée rendent la phase de création et de maintenabilité de ces éléments complexes. Pour faire face à ces besoins, les processus sont souvent dupliqués et engendrent alors des coûts de gestion de projets et de services supplémentaires. Les délais de mise sur le marché des données produits se voient rallongés et il devient difficile de les maintenir dans le temps. C’est pour répondre à ces difficultés que TraceParts et BIM&CO ont choisi d’unir leurs forces dans le but de rendre cette transition plus facile pour leurs clients actuels et à venir. Ce partenariat TraceParts/BIM&CO permet en effet aux fabricants qui le souhaitent de faire modéliser leurs produits et de les diffuser dans une multitude de formats BIM et CAO (STEP, SOLIDWORKS, CATIA, AutoCAD 3D, Revit, Inventor…) en s’appuyant sur un processus unique et en bénéficiant d’une visibilité accrue. Les objets CAO sont automatiquement transformés à partir des données BIM et publiés sur la plateforme de contenu CAO TraceParts. Cela permet au fabricant d’avoir une plus grande diffusion de ses produits, mais aussi de réduire les coûts de création et de maintenance de ses données dans le temps. Un concept qui séduit déjà puisque de nombreux fabricants étaient en attente d’une solution qui leur permette de gérer plus aisément l’ensemble de leurs données à partir d’un seul et unique outil. Le fabricant de solutions HVAC France Air voit en cette solution un réel gain de productivité. Juliette FORTE, Expert Support Technique, précise :  « Il nous est déjà arrivé d’être confrontés à un litige sur un chantier, en raison d’une référence obsolète du modèle CAO utilisé par le client. Cette expérience nous a prouvé à quel point la mise à jour régulière de nos fichiers était cruciale. La solution de gestion de contenu proposée par BIM&CO se révèle être un véritable PIM pour notre quotidien et permet à nos équipes d’être plus efficaces sur la qualité des données tout en simplifiant le workflow de diffusion ! »   Antoine PIGEON, Directeur Commercial de TraceParts commente : « En publiant leurs catalogues depuis les outils BIM&CO, les fabricants ont également la possibilité de les rendre disponibles sur TraceParts.com, dans plus de 60 formats. Ils profitent par la même occasion de nos 30 ans d’expérience et d’une diffusion auprès d’une audience de plus de 29 millions d’ingénieurs et de concepteurs sur TraceParts et son réseau de sites partenaires TraceParts Publishing Network – c’est-à-dire autant de prescripteurs potentiels ! ». Les outils d’analyse et de statistique fournis par TraceParts et BIM&CO permettent en effet aux fabricants d’analyser les performances de leurs catalogues BIM ou CAO, mais également d’accéder aux profils des ingénieurs et concepteurs. Un moyen malin pour eux d’étendre le nombre de leurs prospects, d’identifier de nouveaux prescripteurs, ainsi que des pays prometteurs en matière de ventes. La diffusion des produits sur TraceParts et leur analyse statistique sous forme de rapport sera gratuite. Cependant la mise à disposition des données utilisateurs sera elle soumise à un abonnement annuel. Baptiste MULLIE, CEO de BIM&CO complète : « Les solutions de gestion de contenu BIM&CO permettent de convertir les modèles BIM en CA0 à la volée, et ce, en toute facilité, puisque le processus sera complètement transparent. Les fabricants pourront centraliser leur bibliothèque et structurer la publication digitale de l’ensemble de leurs produits au sein d’un seul et même workflow. Au-delà de l’aspect pratique, cette solution simplifiée représente un gain de temps, mais surtout d’argent puisque la diffusion sur TraceParts.com est totalement gratuite pour nos clients actuels et futurs ! » Pour en savoir plus sur les modalités de diffusion de catalogues CAO & BIM rendez-vous sur TraceParts.com ou bimandco.com.     À propos de TraceParts TraceParts est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de contenu numérique 3D pour l’ingénierie. Appartenant au groupe Trace fondé en 1990, l’entreprise fournit de puissantes solutions web, telles que des bibliothèques de composants CAO, des catalogues électroniques et des configurateurs de produits. TraceParts propose des services de marketing numérique pour aider les fabricants de composants, les fournisseurs d’impression 3D, les éditeurs de logiciels et les fournisseurs de matériel informatique à promouvoir leurs produits et services et à générer des prospects B2B de grande qualité. Le portail TraceParts est accessible gratuitement à des millions d’utilisateurs CAO dans le monde entier. Il donne accès à des centaines de catalogues de fournisseurs et à plus de 100 millions de modèles CAO et fiches techniques qui répondent parfaitement aux besoins spécifiques des processus et des opérations de conception, d’achat, de fabrication et de maintenance.   À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco BIM&CO évolue dans le monde de la digitalisation de la construction, en particulier dans le BIM, Building Information Modeling.   BIM&CO est un éditeur de logiciels SaaS qui propose aux acteurs de la construction et aux fabricants, des solutions de gestion et partage de leurs objets BIM. BIM&CO apporte un vrai gain opérationnel, en gérant l’ensemble des objets BIM constituant la maquette numérique, telle une base de données, et en assurant leur compatibilité avec les standards et logiciels du marché.   Son positionnement « au-delà des standards », s’appuie sur sa technologie d’harmonisation des données et permet aux clients de bénéficier pleinement de la valeur du BIM : réduire les erreurs, réaliser des calculs rapidement, connecter et documenter pour mieux exploiter, accélérer et automatiser les échanges avec les fournisseurs, ou encore mieux choisir les produits dont le projet a besoin.   BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et en Asie. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes.   Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 107 jours

Paris La Défense lance la métamorphose en profondeur de la Place de La Défense

Véritable centre névralgique du premier quartier d'affaires européen, la Place de La Défense fait le lien entre le Parvis, au pied de la Grande Arche, et l'Esplanade du Général de Gaulle qui mène vers Paris (cf. plans de situation ci-après). Conçue au début des années 70 et dans sa configuration actuelle depuis 1981, la Place se devait de retrouver un nouveau souffle. Au-delà de la résolution de points techniques (étanchéité et revêtements de sol notamment), Paris La Défense souhaite réaffirmer l'identité de la Place en la dotant d'une dimension plus végétale, plus arborée et plus fluide, tout en maintenant son aspect convivial et attractif, et en s'appuyant notamment sur deux œuvres d'art, pièces maîtresses du décor de la Place : l'Araignée rouge de Calder et les Personnages fantastiques de Miró.« 2021 sera riche en changements pour trois lieux emblématiques du territoire : le Parc, les espaces sous-dalle et, plus particulièrement, la Place de La Défense. Point central du grand paysage urbain de La Défense, c'est aussi notre « place du village », lieu de vie et de rencontres, théâtre de nombreux rendez-vous festifs comme le festival Jazz à La Défense. Il était urgent de lui redonner un nouvel éclat, tout en misant sur son adaptabilité, à l'image d'un quartier qui se renouvelle en permanence. »Pierre-Yves Guice, Directeur Général de Paris La DéfenseEn tant que maître d'ouvrage, Paris La Défense a confié au paysagiste Base la reconfiguration de la Place de La Défense. Rappelons que cette place n'est pas un espace public traditionnel. Sa transformation a impliqué l'intégration de contraintes nombreuses et complexes, l'ensemble étant édifié au-dessus d'infrastructures situées sous la dalle (parking, voies souterraines, réseaux de transports...).« Nous reconfigurons l'espace dans sa totalité en menant un travail d'ensemblier visant à intégrer les éléments sculpturaux existants, tout en conservant ses fondamentaux en matière de circulations et d'usages. Nous souhaitons offrir à la Place de La Défense une dimension sensuelle et organique. » ajoute Adrien Fourès, paysagiste de l'agence BASE, en charge de la recomposition de la Place.Une Place événement et quatre espaces à vivreLa Place offre un espace carré de 20 000 m² bordé par le centre commercial Westfield Les 4 Temps d'un côté, et la Maison de La Défense de l'autre (cf. plans de situation ci-après).Voici les 5 espaces de la future Place : La Place centrale de 4 000 m² offrira un sol nivelé au revêtement plus adapté et unifié, rythmé de lignes, en écho à celles du Parvis. Le béton coulé en place, puis poncé, révélera des détails colorés et des étoiles incrustées en laiton. Les accès au parking seront, quant à eux, améliorés avec la rehausse des ascenseurs. Des failles de brumisation rafraîchiront les passants l'été. Régulièrement théâtre de nombreux événements et festivités, hors contexte sanitaire actuel, la Place disposera de tous les atouts pour renforcer sa vocation première : être le cœur battant du territoire.Recadrée et entièrement refaite, la grande pelouse de près 2 000 m² plongera les visiteurs dans une ambiance plus végétale.L'espace à vivre autour de l'Araignée rouge de Calder : l'œuvre d'art va s'élever au milieu d'un espace vert, caractérisé par une végétation de grande hauteur dont la plantation est possible à cet endroit. L'espace sera ainsi planté d'essences colorées aux teintes chaudes (Érables de Montpellier, Charmes et Sorbiers), en écho à la sculpture et de nouvelles assises, plus nombreuses, seront installées.L'espace à vivre autour de l'œuvre de Miró : les Personnages fantastiques vont se retrouver au cœur d'un jardin tout en courbes, à leur image. Conservé, l'emmarchement sera intégré à l'ensemble, en partie planté et agrémenté d'essences fleuries et colorées (Amélanchiers, Sorbiers, Cerisiers d'ornement).L'espace à vivre du côté de la verrière (verrière située au-dessus de la gare Cœur Transport) sera agrémenté de nouveaux arbustes (Arbres de Judée, Érables champêtres, Cerisiers d'ornement), créant un encadrement végétalisé. Un système de brumisation complétera les nouveaux aménagements.Entièrement reconfiguré, l'éclairage de la Place va simplifier et fluidifier les circulations piétonnes ainsi que celles des personnes à mobilité réduite, en particulier à la sortie des transports en commun. Les 18 mâts seront remplacés par 8 projecteurs de 14 et 18 mètres de haut, ils permettront ainsi d'éclairer jusqu'au centre de la Place.Les premiers travaux vont s'effectuer par phases et par secteurs en commençant par les zones périphériques de la Place pour s'achever par la partie centrale. Les circulations seront donc maintenues tout au long du chantier. La première étape, de mars à septembre 2021, concerne la recomposition de l'espace nord, du côté de la Maison de La Défense et de l'Araignée rouge de Calder, ainsi qu'une zone autour de la verrière RATP, avec des travaux de nuit pour ne pas interrompre l'accès à Cœur Transport la journée. Les phases se succéderont ensuite pour une livraison au printemps 2023.Les travaux sont réalisés en trois étapes :La démolition des revêtements existants et des sous-couches (remblai et étanchéité)La mise en place d'un nouveau complexe d'étanchéitéLa réalisation sur place des dalles en béton coulé (ce ne seront pas des éléments préfabriqués)
Il y a 4 ans et 108 jours

Santé au travail : l'Assemblée nationale se penche sur la prévention

C'est la première fois qu'un texte d'initiative parlementaire s'attaque à la traduction d'un accord national interprofessionnel (ANI) sur le sujet, le premier du genre lui aussi, validé le 10 décembre par les partenaires sociaux en vue d'une réforme reportée depuis des années.Adoptée cette semaine en commission des Affaires sociales, la proposition de loi vise à "décloisonner la santé publique et la santé au travail" pour "répondre aux enjeux contemporains et futurs" en la matière, selon la députée LREM Charlotte Parmentier-Lecocq, auteure et rapporteure de la PPL avec Carole Grandjean (LREM).La France, qui ne consacre que "3% des cotisations AT/MP (accidents du travail/maladies professionnelles) à l'évaluation des risques professionnels, contre 10% pour l'Allemagne", doit "rattraper son retard", selon Mme Grandjean.A cette fin, la proposition de loi comme l'ANI prévoient une "offre socle" supposée plus accessible aux services de santé au travail (SST), qui deviennent des services de prévention et de santé au travail (SPST). Ils sont axés sur trois missions: "La prévention, le suivi médical et la prévention de la désinsertion professionnelle", c'est-à-dire le maintien en emploi des salariés ayant été touchés par des problèmes de santé."Suite au confinement de mars et la fermeture de certains services de santé au travail, il y a une réelle inquiétude sur leur activité en période de Covid, et cela montre combien le sujet est extrêmement important", a souligné Mme Grandjean auprès de l'AFP.Dépistage, vaccinationAlors que le gouvernement entend accélérer la campagne de vaccination contre le Covid-19, le texte réaffirme la possibilité de campagnes vaccinales et de dépistage par les services de santé au travail, notamment "contre le Sars-Cov-2", ce qui existait déjà pour la grippe, avec le consentement obligatoire du salarié.Il entérine, par ailleurs, sur la base du volontariat, le recours aux médecins généralistes appelés "médecins praticiens correspondants" pour pallier la pénurie de médecins du travail. Ils sont environ 5.000 pour 18 millions de salariés, selon les données officielles.Députés de l'opposition et syndicats restent "dubitatifs" sur cette mesure, au vu de la "désertification médicale". Ils craignent en outre une "dévalorisation" de la profession de médecin du travail alors que les représentants des généralistes eux-mêmes ont "peu ou pas" été consultés.La proposition de loi prévoit également le recours à des "infirmièr(e)s en pratique avancée" dont le "statut sera revalorisé" et qui travailleront "sous la responsabilité du médecin du travail", salarié protégé par le Code du travail. L'intégration de kinésithérapeutes dans les équipes pluridisciplinaires des SPST est également actée.Données médicales partagéesAutre mesure phare: le médecin du travail pourra consulter le dossier médical partagé (DMP) avec l'accord du salarié. Le "médecin praticien correspondant", dont le texte prévoit une formation spécifique en santé au travail, pourra de son côté consulter le dossier médical en santé au travail (DMST) du salarié, inclus dans le DMP.Un "rendez-vous de liaison" entre l'employeur et le salarié en arrêt de travail à la suite d'un accident ou une maladie, est aussi prévu avant la "visite de pré-reprise". Il doit permettre d'"informer" sur les conditions d'un retour au travail mais fait craindre à certains députés d'opposition des "pressions" que pourrait exercer l'employeur à cette occasion sur le salarié.Lors des débats en commission, les députés d'opposition ont regretté une proposition de loi "peu audacieuse" faisant "référence à la gouvernance des services de santé sans aborder la question des moyens" (PS) ni "le financement" des cellules professionnelles envisagées pour lutter contre la désinsertion professionnelle (LR).Ils ont dit leur "amertume" face à un texte qui "jamais ne s'en prend aux causes" (LFI) et rappelé que "le quinquennat a(vait) démarré sur une attaque frontale avec la suppression des CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail)" dans les entreprises, regrettant une proposition de loi "coincée dans un petit périmètre" (PCF).Pour Libertés et Territoires, qui insiste sur "le respect du consentement" de tous les salariés, "la crise sanitaire a mis en lumière les dysfonctionnements" de la santé au travail avec des médecins et services "pas à la hauteur" de la situation.
Il y a 4 ans et 108 jours

Meva prend les rênes de la PME Acropol

Les responsables de l’entreprise Acropol (à gauche) transmettent les rênes à Meva. [©Meva] Composée de Nadine Bonnast et de Bernard Bron, la famille dirigeante d’Acropol a passé les rênes de sa PME à l’Allemand Meva, dans le cadre d’une cession d’entreprise. Le rachat a eu lieu le 21 janvier dernier. Avec 25 employés à Landen, en Belgique et à Rodange, au Luxembourg, Acropol s’est fait un nom dans la location de coffrages de voiles et de dalles. Ainsi que dans celle de systèmes d’étaiement et de soutènement destinés à la construction résidentielle. Cette entreprise est très ancrée dans le tissu économique local. Meva va donc étendre sa présence au Benelux.  Le coffreur Meva se lance en Belgique et au Luxembourg Pour ce fabricant de coffrages basé en Forêt Noire, à Haiterbach (Bade-Wurtemberg), ce rachat ouvre de nouvelles possibilités. Ceci, afin de poursuivre le développement de ses activités dans les pays voisins. Ainsi, les clients du Benelux pourront non seulement profiter de la large palette de produits. Mais aussi bénéficier de l’accompagnement et des services de Meva. Les entreprises de construction du Nord-Est de la France et de l’Ouest de l’Allemagne disposeront, de par un approvisionnement plus rapide, de la proximité des nouveaux sites.  De plus, de nouvelles prestations vont venir étoffer l’offre Meva. Outre la location, l’accent va être mis sur la vente de coffrages et de prestations de services, telles que le suivi de projet, la réalisation des plans de coffrage et d’exécution en 3D. Ainsi que la statique, les coffrages spéciaux et le savoir-faire en matière de béton apparent.  Le nouveau site de Meva, à Landen, dispose d’un hall de 3 000 m², de bureaux modernes, de salles de formation et d’exposition. Ainsi que de 20 000 m² extérieurs, destinés à la préparation des coffrages, à la logistique et à l’agrandissement du parc de matériels. 
Il y a 4 ans et 108 jours

Au Pays-Bas, le Pavillon Loenen, signé KAAN, est un mémorial multifonction

KAAN Architecten a livré en novembre 2020 à Loenen (Pays-Bas) un mémorial dédié à la mémoire des victimes néerlandaises de la Seconde Guerre mondiale et des conflits internationaux plus récents. Au programme de ce bâtiment multifonction de 583 m² : auditorium, espace éducatif, salle d’exposition, espace condoléances. Communiqué. Conçu à la demande de la fondation néerlandaise […] L’article Au Pays-Bas, le Pavillon Loenen, signé KAAN, est un mémorial multifonction est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 108 jours

Contournement de Rouen : région et département proposent de payer à la place de la métropole

Le président du conseil régional Hervé Morin (les Centristes) a annoncé lors d'une conférence de presse aux côté de Bertrand Bellanger, président LREM du département, qu'ils allaient proposer "à l'État de prendre en charge la partie qui devait être financée par la métropole pour que cet équipement puisse voir le jour".Le conseil régional votera sur le sujet lundi et le conseil départemental le 8 avril, ont-ils précisé. Lundi dernier, le conseil métropolitain, présidé par le socialiste Nicolas Mayer-Rossignol, allié à EELV, a voté le retrait de la contribution de 66 millions au financement de ce projet de 41,5 km d'autoroute payante votée en 2017. La métropole était alors présidée par un autre PS."En dépit de l'effort que cela peut représenter sur le budget régional, la majorité régionale a décidé d'augmenter sa contribution de 48 millions d'euros" pour la porter à "205 millions", a précisé M. Morin.De son côté le président du conseil départemental va "proposer que le département augmente sa contribution pour la porter de 22 millions à 40 millions".Selon M. Morin les deux collectivités vont adresser vendredi un courrier à l'État.Interrogé jeudi, le ministère des Transports n'a pas donné suite dans l'immédiat. Questionné lundi sur le retrait de la métropole, un porte-parole du ministère avait indiqué qu'il attendait "les retours officiels de chacun". L'État "n'imposera pas un projet qui ne fait pas consensus parmi les acteurs locaux", avait-il ajouté.Evalué à 886 millions HT en 2015, le projet devait être financé à hauteur de 245 millions d'euros par l'État, son maître d'oeuvre. L'apport du futur concessionnaire devait être de 396 millions."Nous considérons que la décision de la métropole est trop grave car elle engage définitivement vers la non réalisation de cet équipement pour que nous ne prenions pas nos responsabilités", a aussi déclaré M. Morin.Sollicité par l'AFP, le président de la métropole Nicolas Mayer-Rossignol s'est interrogé sur la façon dont la région et le département "financeraient ces dizaines et dizaines de millions supplémentaires qu'elles annoncent à quelques mois des élections locales". "La région réduirait ses financements sur le train ? Le département ses financements en matière sociale?"."C'est une gifle adressée à tous les habitants de la Normandie qui ne sont pas dans la métropole de Rouen", a renchéri le député européen EELV David Cormand. "Ca veut dire concentrer la quasi totalité de la capacité d'investissement de la région dans les années qui viennent uniquement sur un projet inutile et pour la métropole de Rouen".Les partisans de ce projet estiment qu'il est indispensable pour désengorger le centre de Rouen et pour son développement économique, ce que contestent ses opposants pour lesquels il est contraire à l'urgence climatique.Le 7 janvier 2020, l'État s'était engagé devant l'Assemblée nationale à lancer la procédure compétitive visant à désigner un concessionnaire d'ici la fin d'année 2022.
Il y a 4 ans et 111 jours

Visio-conférence : définition des sections de la gamme Bois des Alpes

L’association «Bois des Alpes» a mandaté Olivier GAUJARD, consultant expert en construction bois et biosourcée, pour proposer une stratégie visant à atteindre l’objectif de construire massivement des immeubles multi-étages en bois certifié du Massif Alpin. À partir de ce travail et pour construire ensemble une offre exigeante et adaptée, l’association Bois des Alpes a lancé une série de dix rendez-vous «Les Nouvelles Matinales». La deuxième session qui aura lieu le vendredi 19 février 2021, en visio-conférence, de 9h à 12h sur la thématique : Définition des sections de la gamme Bois des Alpes Pour s’inscrire : https://forms.gle/GsjFKjGnC8A8ry4f7  
Il y a 4 ans et 111 jours

Dallages et margelles CARRÉ D’ARC : trois collections pour sublimer terrasses et piscines

Tout décor extérieur reflète le caractère d’un lieu, mis en valeur par les goûts esthétiques du concepteur, paysagiste ou particulier. Dans sa ligne Béton Design, la marque CARRÉ D’ARC du Groupe Fabemi propose des collections variées de dallages et margelles pour aménager des espaces tels que terrasses et plages de piscine. Le choix du printemps 2021 porte sur trois collections prestigieuses – Espace, Nashira et Calypso – dont chacune dévoile un style à part. Leurs points communs : charme et discrétion, avec le plus grand naturel. Un pur bonheur.   Dalles et margelles Espace CARRÉ D’ARC Variations design Économique, sobre et lumineuse, la très riche collection Espace CARRÉ D’ARC comprend un Opus 50 en bande, qui permet de créer des sols graphiques et originaux, une dalle monoformat, et un large choix de margelles adapté aux différentes formes et tailles de bassins (margelle droite, courbe, angle droit, externe 90°, externe droite ou gauche…). Les calepinages Espace forment de belles perspectives et se prêtent à toutes sortes d’aménagements extérieurs. La fine texture des dalles Espace (50 cm de côté ou Opus 50) séduit en terrasse comme en pourtour de piscine et se révèle sous la lumière franche ou tamisée du jour. Les margelles galbées ou plates Espace CARRÉ D’ARC resplendissent autour de la piscine et se fondent aussi bien dans un extérieur traditionnel que résolument contemporain. Les dalles et Opus 50 en bande Espace CARRÉ D’ARC sont proposés en quatre coloris tendance : Aquitaine, Ardèche, Gris minéral nuancé et Luberon. Quant aux margelles et aux angles de la collection, le choix des teintes varie selon les modèles (quatre coloris pour les éléments plats, et seulement Luberon pour les éléments galbés). Cette maison moderne, dont le salon ouvre sur la terrasse, adopte une allure décontractée en abolissant les frontières entre intérieur et extérieur. La transition prend vie avec le dallage Espace CARRÉ D’ARC, monoformat teinte Ardèche, si naturel. Les vastes baies vitrées de cette maison design donnent sur une superbe terrasse de piscine en dalles Espace CARRÉ D’ARC, teinte Gris minéral nuancé. Les margelles plates et angles droits assortis contribuent à créer une belle perspective. Une invitation à la baignade, avec vue imprenable.   Dallages et accessoires Nashira CARRÉ D’ARC Accords en douceur Résolument contemporain, le dallage Nashira aspect béton ciré CARRÉ D’ARC expose au regard une texture qui doit son charme à la combinaison d’une grande finesse de grain et d’une teinte nuancée. Sa finition lisse et douce ainsi que ses qualités antiglisse conviennent en bordure de piscine. Ce qui n’empêche pas Nashira de resplendir aussi en terrasse. Les dalles Nashira CARRÉ D’ARC de 60 cm de côté (3 cm d’épaisseur) ou de 80 cm (3,5 cm d’épaisseur) sont destinées à une pose en bande sobre et moderne. L’opus 60 en bande (3,5 cm d’épaisseur) se présente sous la forme d’un long rectangle incluant un tracé tridimensionnel. Pour les plages de piscine, CARRÉ D’ARC propose également une margelle droite et un angle droit. Dallages et margelles Nashira rayonnent de beauté sous trois coloris au choix : Aquitaine, Ardèche et Gris minéral nuancé. Les dalles monoformats Nashira CARRÉ DARC occupent la scène de cette terrasse qui joue la carte des matières, dans une atmosphère intime.  La chaleureuse teinte Aquitaine de l’Opus 60 en bande Nashira CARRÉ DARC donne spontanément envie d’y déambuler pieds nus avant de plonger dans la piscine. Sur la longueur du premier plan, un parterre végétalisé a été aménagé dans le calepinage, cerné par les margelles Nashira.   Dalle et margelles Calypso CARRÉ D’ARC Le goût du naturel Le dessin discret et la texture légère, inspirée de la fibre naturelle, de la dalle et des margelles Calypso CARRÉ D’ARC créent des ambiances inédites et ouvrent des perspectives qui élargissent l’espace. Leurs arêtes légèrement biseautées donnent un côté encore plus contemporain. Proposées en carrés de 60 cm de côté, les dalles Calypso CARRÉ D’ARC excellent sur de belles surfaces, tracent d’élégantes lignes droites, dans un espace ouvert. Les margelles assorties délimitent avec raffinement le bord de la piscine. Disponibles en deux gris très tendances – Ardèche et Gris minéral nuancé – les dalles et margelles Calypso CARRÉ D’ARC peuvent être collées ou simplement posées sur un lit de sable ou gravillon. Les dalles Calypso CARRÉ D’ARC déploient leur gris tendre Ardèche à la surface d’une vaste terrasse ouvrant sur un paysage méridional ensoleillé. À la tombée du jour, la table dressée accueillera les convives, et la soirée se prolongera peut-être sur le rythme tropical d’un calypso. Les margelles Calypso finissent en beauté la plage de piscine en dalles Calypso CARRÉ D’ARC teinte Ardèche. La simplicité est l’amie du beau car tout style de décor peut s’intégrer facilement dans un espace sobrement dessiné.   Collection Espace CARRÉ D’ARC Dalle : 50 x 50 cm – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 31 euros TTC le m2 Opus 50 en bande : 3 dimensions par palette – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 40 euros TTC le m2 Margelle droite plate : 50 x 33 cm – ép. 3,4 cm Prix public indicatif : 16 euros TTC la pièce Margelles courbes plates : R = 1,20 m / R = 1,50 m / R = 2,50 m – ép. 3,4 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièce Angle droit plat : 50 x 50 cm – ép. 3,4 cm Prix public indicatif : 39 euros TTC la pièce Angle externe plat 90° : 33 x 33 cm – ép. 3,4 cm Prix public indicatif : 47 euros TTC la pièce Angles externes plats droite ou gauche : 33 x 28,5 cm – ép. 3,4 cm Prix public indicatif : 47 euros TTC la pièce Coloris : Aquitaine, Ardèche, Gris minéral nuancé et Luberon Margelle droite galbée : 50 x 33 cm – ép. 2,7 / 5,7 cm Prix public indicatif : 20 euros TTC la pièce Margelle courbe galbée : R = 1,50 m – ép. 2,7 / 5,7 cm Prix public indicatif : 21 euros TTC la pièce Angle droit galbé : 50 x 50 cm – ép. 2,7 / 5,7 cm Prix public indicatif : 42 euros TTC la pièce Angle externe galbé 90° : 33 x 33 cm – ép. 2,7 / 5,7 cm Prix public indicatif : 44 euros TTC la pièce Angles externes galbés droite ou gauche : 33 x 28,5 cm – ép. 2,7 / 5,7 cm Prix public indicatif : 44 euros TTC la pièce Coloris : Luberon Pose : Collée Matériau : Béton Design Points de vente : Négoces en matériaux   Collection Nashira CARRÉ D’ARC Dalle : 60 x 60 cm – ép. 3 cm Prix public indicatif : 43 euros TTC le m2 Dalle : 80 x 80 cm – ép. 3,5 cm Prix public indicatif : 61 euros TTC le m2 Opus 60 en bande : 3 dimensions par palette – ép. 3,5 cm Prix public indicatif : 63 euros TTC le m2 Margelle droite : 80 x 30 cm – ép. 3,5 cm Prix public indicatif : 41 euros TTC la pièce Angle droit : 50 x 50 cm – ép. 3,5 cm Prix public indicatif : 44 euros TTC la pièce Coloris : Aquitaine, Ardèche et Gris minéral nuancé Pose : Collée – Sable ou gravillon Matériau : Béton Design Points de vente : Négoces en matériaux   Collection Calypso CARRÉ D’ARC Dalle : 60 x 60 cm – ép. 3 cm Prix public indicatif : 40 euros TTC le m2 Margelle droite : 60 x 30 cm – ép. 3,5 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièce Angle droit : 50 x 50 cm – ép. 3,5 cm Prix public indicatif : 43 euros TTC la pièce Coloris : Ardèche et Gris minéral nuancé Pose : Collée – Sable ou gravillon Matériau : Béton Design Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 111 jours

Les Compagnons du Tour de France ouvrent leurs portes du 17 au 27 Février

Le réseau des Compagnons du Tour de France propose des formations qualifiantes en format court (7-8 mois) ou long (4 à 8 ans pour le Tour de France). Des dates de rentrée sont proposées tout au long de l’année pour permettre à chacun de concrétiser son projet professionnel, pour les futurs apprentis, les lycéens, les salariés, les demandeurs d’emploi mais aussi les personnes en reconversion professionnelle. Les établissements de formation sont présents sur tout le territoire français. Pour découvrir leur offre de formation, pendant 10 jours, les Compagnons du Tour de France organisent des webinaires et des portes ouvertes régionales sur rendez-vous, inscriptions sur : www.compagnonsdutourdefrance.org
Il y a 4 ans et 111 jours

Les Assises du logement 2021, c'est dans une semaine !

ÉVÉNEMENT. J-7 pour les Assises Nationales du Logement et de la mixité urbaine. Cette troisième édition accueillera la ministre chargée du logement Emmanuelle Wargon ainsi que de nombreux acteurs référents du secteur. Un rendez-vous à ne pas manquer et à retrouver sous format entièrement numérique.
Il y a 4 ans et 112 jours

Inauguration digitale du Wilopark, le nouveau siège social du Groupe Wilo

Le Groupe Wilo a invité ses hôtes à l'inauguration du nouveau siège social à Dortmund, le Wilopark. Plus de 1.500 invités internationaux de haut rang issus du monde des affaires et de la politique ainsi que des employés Wilo ont participé à cet événement digital - en raison de la pandémie de coronavirus. Parmi les invités de marque, qui ont envoyé un message vidéo pour l'occasion, figuraient la chancelière allemande Dr. Angela Merkel, le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie (RNW), Armin Laschet, les ministres de Rhénanie du Nord-Westphalie Prof. Andreas Pinkwart et Karl-Josef Laumann, ainsi que le vice-premier ministre du Kazakhstan, Roman Sklyar.Après un bref discours de bienvenue, Oliver Hermes, Président et Directeur Général du Groupe Wilo, a expliqué pourquoi l'ouverture du Wilopark à Dortmund représente une étape importante dans l'histoire de l'entreprise : "Avec un investissement d'environ 300 millions d'euros, le réaménagement du siège social de Wilo représente non seulement le plus grand projet de l'histoire de notre entreprise, mais aussi l'un des plus grands projets de construction industrielle jamais entrepris en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, voire même en Allemagne".Wilopark – un projet phare exemplaireL’usine de production ultramoderne et hautement technologique, les bureaux de l’administration "PioneerCube", un centre de service clientèle et des installations de développement produits s'étendent sur une surface de près de 200 000 m².La chancelière Angela Merkel a félicité Wilo pour l’ouverture du Wilopark. Elle a profité de l'occasion pour souligner l'impressionnant bilan du Groupe Wilo en termes économiques et environnementaux avec ses pompes et systèmes de pompage innovants, pour lesquels le Groupe a été récompensé par le prix national allemand du développement durable 2021.Le ministre-président de NRW, Armin Laschet, a également adressé ses félicitations et complimenté tous les collaborateurs Wilo : "Ils montrent avec beaucoup de succès comment utiliser des idées intelligentes, de la créativité et des innovations pour rendre la production locale adaptée à l'avenir et en même temps garantir des emplois. Nous avons besoin de tout cela pour assurer notre prospérité, surtout dans la région. Le Wilopark est un engagement clair en faveur de Dortmund et de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie."Andreas Pinkwart, ministre d'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour l'économie et l'énergie, et Karl-Josef Laumann, ministre d'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour le travail, la santé et les affaires sociales, ont également transmis leurs félicitations personnelles au Groupe Wilo, également par message vidéo, à l'occasion de l'inauguration officielle du nouveau siège à Dortmund.Industrie 4.0 – une production déjà neutre sur le plan climatiqueLe Groupe Wilo a mis en œuvre un concept de gestion tourné vers l’avenir et une technologie de construction en réseau numérique, pour son nouveau siège social. Cela permet de réduire la consommation d'énergie de près de 40 %. En parallèle, les émissions de CO2 sont réduites de 3 500 tonnes par an, ce qui correspond à la quantité maximale de CO2 absorbée par 280 000 arbres."Pour nous, en tant qu'entreprise engagée dans la protection du climat, la mise en œuvre d'un concept global de durabilité a été très importante dès le début. Nous sommes fiers de produire déjà des produits neutres sur le plan climatique au cœur du Wilopark. Nous voulons que cela devienne une pratique courante sur tous les principaux sites de production de Wilo d'ici 2025", a souligné Georg Weber, Membre du Executive Board et directeur technique du Groupe Wilo.Wilo a développé une stratégie de durabilité explicite sur la base de sa stratégie d'entreprise "Ambition 2025". L'objectif du groupe est de fournir de l'eau propre à un plus grand nombre de personnes tout en réduisant son empreinte carbone. " Le Wilopark est l'une de nos nombreuses contributions pour aider la région de la Ruhr, qui a fait ses preuves en matière de transformation, et donc la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et l'Allemagne, sur la voie d'un avenir à la fois durable et numérique", a réitéré Oliver Hermes.Enthousiasme des principaux clients et partenaires dans le monde entierDes clients et partenaires, de premier plan du Groupe Wilo, ont également participé à la retransmission en direct depuis le monde entier. Par exemple, des félicitations ont été adressés à la direction générale de Wilo depuis le Kazakhstan par le vice-premier ministre Roman Sklyar, et depuis la Chine par l'ancien ambassadeur de la République populaire de Chine en Allemagne, Shi Mingde.Une visite guidée de l’usine en guise de conclusionAvant la fin de l'événement, les invités ont eu un aperçu de la pièce maîtresse du nouveau Wilopark : le site de production numérique. Malgré la distanciation sociale, les invités ont pu découvrir virtuellement le site et constater de près que toutes les étapes du processus sont mises en réseau. Ces dernières sont communiquées de manière transparente au public dans cette installation ultramoderne, et les différents composants du processus et les machines sont équipés pour traiter l'industrie 4.0.
Il y a 4 ans et 113 jours

Le magasin Tati de Barbès à Paris transformé en logements sociaux

La première vague de l'appel à projets, lancé dans le cadre de l'opération "Réinventer Paris" et dont l'objectif est de transformer des bureaux vacants en logements, concerne six sites, dont deux appartiennent à la Ville.Le plus emblématique est assurément l'immeuble haussmannien situé à l'angle des boulevards Barbès et de Rochechouart, coiffé de l'enseigne vichy rose Tati depuis 1948. Un magasin populaire dont le groupe GPG, qui l'avait repris en 2017, avait annoncé en juillet 2020 la fermeture, sa fréquentation ayant été fortement affectée par la crise liée à l'épidémie de Covid-19.Ses 6.500 m² de surface vont être partiellement transformés en logements, "notamment" sociaux, mais la mairie reste ouverte aux possibilités d'utilisation commerciale du rez-de-chaussée, afin de "garder une ouverture sur le quartier", a souligné Emmanuel Grégoire, le premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo, lors d'une conférence de presse.La municipalité veut associer pleinement le propriétaire, le groupe GPG, et les héritiers de la famille Ouaki à l'appel à projets.Le siège historique de l'Assistance-Publique - Hôpitaux de Paris, situé avenue Victoria, en face de l'Hôtel de Ville, verra la moitié de ses 25.000 m² maximum affectée à des surfaces de bureaux, et 30% à des logements sociaux. L'AP-HP transfère son siège au sein de l'hôpital Saint-Antoine (XIIe), a indiqué M. Grégoire, adjoint chargé de l'urbanisme.Parmi les quatre autres sites inscrits dans cette première vague de réhabilitation figurent deux garages automobiles, l'un appartenant à Renault dans le XVe, l'autre à PSA dans le XIe. Le premier, édifié en 1954 et qui comprend neuf niveaux pour 10.000 m², offre une vue directe sur la Tour Eiffel et la Seine.Les six sites totalisent 60.000 m² de surface à réhabiliter, mais "beaucoup plus avec le potentiel à construire", a souligné Emmanuel Grégoire selon lequel la crise sanitaire et économique pourrait engendrer "une baisse de demandes de bureaux entre 15 et 25%".L'objectif de Ian Brossat, l'adjoint PCF au logement, est "d'aller beaucoup plus loin et faire davantage dans la mandature qui s'ouvre" que les 350.000 m² de bureaux transformés en logements pendant le premier mandat d'Anne Hidalgo (2014-2020). Un rythme qui avait déjà doublé par rapport aux deux mandatures de son prédécesseur Bertrand Delanoë (2001-2014).
Il y a 4 ans et 113 jours

La métamorphose du Musée des tissus de Lyon a commencé

Le Musée des Tissus de Lyon va être complètement métamorphosé sous la direction de l’architecte Rudy Ricciotti, dont le projet a été retenu en janvier 2021. Un nouveau bâtiment censée rappeler un tissu flottant au vent permettra de créer un nouvel espace d’exposition de 2000 m², dont 1000 m² d’expositions temporaires.  Le patrimoine existant, axé autour des deux hôtels particuliers Villeroy et Lacroix-Laval sera préservé et embelli. Perle architecturale du XVIIIe siècle, l’hôtel de Lacroix-Laval va être entièrement restauré et mis en valeur : rénovation des façades et toiture, renforcement des planchers, mise aux normes du bâtiment dont l’accessibilité, pour ensuite travailler dans le cadre du projet global sur le parcours scénographique. L’hôtel de Villeroy, bâtiment non protégé au titre des monuments historiques, qui a déjà connu plusieurs modifications au cours des siècles, va également être restauré. Une construction reliera les deux hôtels XVIIIe et servira d’accueil et de distribution de l’ensemble du nouveau musée. Les travaux dits de de clos et couvert ont démarré pour assurer l’étanchéité à l’eau et à l’air de l’hôtel de Lacroix-Laval. Façade et la toiture seront concernées par ces interventions. Les derniers aménagements remontent aux années 1960. L’ensemble de ces actions vise à préparer l’édifice aux futurs aménagements du projet global. La deuxième phase du projet, avec la construction de nouveaux espaces reliant l’hôtel de Villeroy à celui de Lacroix-Laval, devrait débuter en 2023. Visuel : Agence Rudy Ricciotti