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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

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Il y a 4 ans et 253 jours

Public réduit à l'Élysée pour les Journées du patrimoine ce week-end

L'Élysée n'a pas indiqué si le président accueillera le public, comme il l'a fait au début de son quinquennat.Les visiteurs seront répartis par créneaux horaires (125 par demi-heure), de 8h00 à 17h30, avec masque obligatoire et distributeurs de gel hydroalcoolique en raison de l'épidémie de Covid-19. Des artisans spécialistes des métiers du patrimoine seront présents ainsi que l'orchestre de la Garde républicaine.La présidence organisera en outre une visite virtuelle, à 360°, pour permettre au plus grand nombre de découvrir ce lieu historique.Douze photographes des principales agences de presse qui suivent le président de la République exposeront leur travail autour de la thématique "Regards sur l'Élysée". La photographie la plus appréciée se verra remettre le Prix du Public.Comme chaque année depuis le début du quinquennat, une boutique éphémère vendra des produits estampillés Élysée et fabriqués en France (mugs, marinières, boules de pétanque, porte-clés, bougies parfumées...). Les bénéfices participent au financement de la rénovation du Palais, souligne l'Élysée.C'est en bavardant avec des visiteurs dans les jardins en 2018 qu'il s'était fait interpeller par un jeune horticulteur au chômage auquel il avait conseillé de "traverser la rue" pour trouver du travail.
Il y a 4 ans et 253 jours

Découvrez les lauréats des Trophées de la construction 2020

RÉCOMPENSES. Vingt-deux lauréats viennent d'être désignés, ce 15 septembre 2020, lors de la 19ème édition des Trophées de la construction, organisés par Batiactu groupe et la SMABTP. Une cérémonie qui s'est déroulée sous le signe du travail d'équipe, de la diversité des métiers et du numérique.
Il y a 4 ans et 253 jours

Leborgne® présente sa nouvelle lisseuse longue portée nanovib®

Lors de la construction d'un bâtiment à étages, la lisseuse longue portée Nanovib® permet de réaliser plus facilement, et de manière plus sécurisée, les joints entre les pré-dalles qui forment la dalle plancher. Elle diminue ainsi la pénibilité de la tâche et permet de gagner en productivité. Le temps d'application des joints est réduit de 70% pour un rendu parfait sous plafond. La réaction des testeurs au sein de grandes entreprises du BTP et l’intérêt suscité lors du salon BATIMAT laissent prévoir une généralisation de cet outil sur les chantiers de construction.Du chantier au Bureau d'Études : Le Design Centré Utilisateur pour réduire la pénibilitéAu fil des années, Leborgne a démontré ses capacités d’adaptation aux nouveaux modes de construction en concevant des outils innovants pour les professionnels du secteur. Le projet lisseuse longue portée nanovib®, mené par le Bureau d'Études Leborgne®, s’appuie sur la méthode Design Centré Utilisateur, qui place les Compagnons au centre du développement produit.A l’occasion de visites sur les chantiers, l’équipe R&D de Leborgne® s’est aperçue que plusieurs équipes de maçons finisseurs commençaient à bricoler des outils à manche long afin de réaliser les joints entre les pré-dalles. Bien qu’utiles, ces outils étaient souvent trop lourds et pas assez souples pour prendre en compte l’ondulation du corps lors des déplacements de l’opérateur.Leborgne® a retravaillé le concept pour améliorer son efficacité et le rendre industrialisable. Plusieurs prototypes ont été réalisés afin de trouver le bon compromis entre l’angulation de la lame et la souplesse du manche. L’intégration du design au sein de la R&D, dès la genèse du projet, a garanti une meilleure continuité, depuis le pré-projet et jusqu’à la production. Les tests terrain ont permis de valider le modèle aujourd’hui commercialisé.La gamme nanovib Leborgne® protège le capital santé des professionnels du bâtimentLeborgne® travaille depuis plusieurs années sur les questions de prévention de la pénibilité et des accidents du travail sur les chantiers.Ces réflexions ont donné naissance à la gamme nanovib® composée d’outils innovants destinés protéger le capital santé des profes-sionnels du bâtiment.Pour concevoir ces outils, Leborgne® a sollicité les conseils d’experts de la prévention : organismes professionnels de prévention, OPPBTP, SIST-BTP, CARSAT etc.La gamme est actuellement composée de 21 références.Un outil reflet du savoir-faire technique Leborgne®Leborgne® a mis tout son savoir-faire dans l’élaboration de la lisseuse longue portée nanovib®. La tête de la lisseuse est composée de 2 parties :Une monture en matériaux composite surmoulée sur une lame en acier inoxydable conjuguant souplesse et résistance. A l’extrémité, la monture englobe une douille cylindrique qui recevra le manche. Un manche en composite de section cylindrique pour une bonne prise en main qui allie souplesse et résistance avec un poids moindre. Le résultat de ces optimisations donne un produit léger et très maniable. Doté d’un manche de 1,85 m de long, la lisseuse longue portée Leborgne nanovib® permet de travailler au sol jusqu’à 3 m de haut sans avoir à tenir le manche de l’outil au-dessus de la coiffe du rotateur, principale cause de TMS de l’épaule.Caractéristiques techniques Lisseuse de joints 20 cm longue portée 1,85 m nanovib® :Longueur de la lame : 20 cmLongueur totale : 1,85 mPoids : 1,85 kgLisseuse de joints 30 cm longue portée 1,85 m nanovib® :Longueur de la lame : 30 cmLongueur totale : 1,85 mPoids : 1,85 kgPoints de vente : Négoces, Fournitures Industrielles, Quincailleries du bâtiment, Loueurs etc.
Il y a 4 ans et 253 jours

Bétons & lieux insolites : Notre sélection pour les journées du Patrimoine

Après une année difficile et exceptionnelle due à la crise sanitaire, que diriez-vous d’un week-end placé sous le signe de l’évasion ? Partage et transmission seront les maîtres-mots de ces belles journées du Patrimoine. Le thème de cette année ? “Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie !”. Mais comment choisir les lieux dédiés aux secteurs du bâtiment, des matériaux et de l’isolation ? L’équipe d’ACPresse l’a fait pour vous ! Roulez jeunesse ! Affiche « Les Enfants du Patrimoine ». [©CAUE IDF] Démarrons par un tour d’horizon de France. Les Conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (Caue), ainsi que leurs partenaires se mobilisent pour la jeunesse. Ainsi, les petits, comme les plus grands, seront au centre du week-end du Patrimoine à travers le projet “Les Enfants du Patrimoine”. Le but étant de découvrir le patrimoine de proximité, de s’immerger dans l’histoire locale et de sensibiliser à l’urbanisme, l’architecture et l’environnement. Le petit plus ? Un programme chargé, basé sur l’apprentissage avec de multiples activités culturelles et artistiques. Entre promenades architecturales, visites commentées, jeux de piste, parcours urbains et ateliers, il y en aura pour tous les goûts. “Les Enfants du Patrimoine”, c’est le vendredi 18 septembre dans toute la France ! Retrouvez toutes les informations ici Une expérience souterraine immersive unique ! Poste de commandement du colonel Rol-Tanguy. [©Pierre Antoine] Le patrimoine de notre pays est riche, à commercer par celui de notre belle capitale. Inauguré il y a tout juste un an à Denfert-Rochereau, dans le XIVe arrondissement, le musée de la Libération de Paris – musée du général Leclerc – musée Jean Moulin revient sur une période forte : l’exode des Parisiens vers le Sud du pays.  Printemps 1940 : 8 M de Parisiens fuient l’avancée des armées allemandes. Près de 80 ans plus tard, l’exposition “1940 : l’exode des Parisiens” permet de lever le voile sur cette tragique page de notre histoire. A travers des témoignages, des documents originaux, des photographies, ainsi que des vidéos d’archives.  Le petit plus ? Une visite en réalité mixte dans le sous-sol du musée, montrant des scènes virtuelles dans un monde réel. Partez à la découverte d’un abri de défense, dont les murs nus sont faits de béton. Cet abri fut, à l’origine, construit pour accueillir des services publics de l’administration parisienne en cas d’attaque. Finalement, il servira de quartier général au colonel Henri Rol-Tanguy, chef des FFI d’Ile-de-France, pour diriger les opérations de la Libération de Paris. Oui rien que ça… Retrouvez toutes les informations ici Une visite culturelle familiale Musée des Arts et Métiers, à Paris. [©Musée des Arts et Métiers] Continuons notre tour parisien, en nous arrêtons au cœur du IIIe arrondissement, au détour de la rue Réaumur et du square du général Morin. Le musée des Arts et des Métiers, labellisé “Musée de France“ en 2002, offre plusieurs activités. Des visites, des démonstrations et même des ateliers gratuits grand public. De quoi ravir toute la famille ! Le petit plus ? L’opportunité de voyager dans le temps grâce aux trésors du musée, qui retrace l’histoire des plus grandes inventions et techniques, dans sept domaines, dont les matériaux et la construction.  De nombreuses activités vous attendent pour apprendre de manière ludique et conviviale… Retrouvez toutes les informations ici Le géant de béton Le barrage de Guerlédan et son usine hydroélectrique. [©Electrothèque De Guerlédan]Construction d’un des premiers barrages en béton en France, en 1928. [©Ernest Blat]Travaux de rénovation et d’entretien du barrage de Guerlédan en 2015. [©NicolasCharles_EDF] Et si nous allions voir ce qui se passe dans l’Ouest de l’Hexagone ? Guerlédan, c’est l’histoire d’un des premiers barrages construits en béton en France. Ce barrage hydroélectrique de type poids-béton a engendré la création d’un lac artificiel. Près de 45 m de haut et 210 m de long, voilà les dimensions du géant de béton. A deux pas, vous tomberez sur le musée de l’Electrothèque, qui conserve et transmet avec passion l’histoire de la fée électricité.  Le petit plus ? Des animations hautes en couleur ! Escape games, ateliers et visites historiques vous seront proposés, mais uniquement sur réservation. Préparez-vous à finir la journée avec des yeux émerveillés par tant de bétons ! Retrouvez toutes les informations ici La dame de béton flamboyant ! L’église Notre-Dame de Royan, inaugurée en 1958. [©DR]Souvent prise pour une cathédrale, l’église peut accueillir 2 000 fidèles. [©DR]L’architecte de l’église Notre-Dame de Royan, Guillaume Gillet (1912-1987). [©DR] Passionnés de chefs-d’œuvre de l’art sacré du XXe siècle ? Allez faire un tour du côté de Royan (17). Vous pourrez y découvrir la dame en béton brut de décoffrage de la ville balnéaire. Elle a été édifiée par les architectes Guillaume Gillet et Marc Hébrard, en collaboration avec les ingénieurs Bernard Laffaille, René Sarger et Ou Tseng. Notre-Dame de Royan est une cathédrale de béton restaurée comme une église en pierre. Sa construction est survenue dans les années 1950 et s’est inspirée de l’esthétisme des grandes cathédrales gothiques.  Le petit plus ? Il s’agit d’une visite guidée. Tous les secrets de Notre-Dame de Royan seront à votre portée. Mais attention, c’est seulement sur réservation. Alors, rendez-vous samedi 19 septembre sur le parvis de l’église ! Retrouvez toutes les informations ici Un maximum de bunkers en un minimum de temps Bunker d’Hitler sur la commune de Margival, dans l’Aisne. [©Didier Ledé]Bunker de transmission. [©Didier Ledé] Saviez-vous qu’une commune française d’environ 350 habitants a accueilli le plus grand quartier général de la Seconde Guerre mondiale ? En 1942, Adolf Hitler fait construire, en secret, un immense centre de commandement en France. Et c’est à Margival, dans l’Aisne, qu’il décide de s’établir. Cette base fixe devait servir à repousser ses ennemis en cas de débarquement allié. En seulement 18 mois, 22 000 ouvriers vont construire 475 bunkers en béton armé sur une zone militarisée de 90 km2. Près de 250 000 m3 de béton ont été coulés pour réaliser cette infrastructure. Du jamais vu pour l’époque.  Le petit plus ? Une visite guidée sur un parcours de routes en béton et chemins aménagés permet de pénétrer dans deux bunkers de combat remis en état. Retrouvez toutes les informations ici L’exposition transmédia de l’Hermitage  Chantier du manoir de Boberil, ouvert exceptionnellement au public pendant le week-end du Patrimoine. [©Studio Sherlock]  A 15 km de Rennes (35) se trouve le plus ancien manoir de Bretagne. Habituellement fermé au public, le manoir de Boberil sera exceptionnellement ouvert à la visite lors des journées du Patrimoine 2020. En restauration depuis plus de trois ans, le chantier s’arrêtera le temps d’un week-end. L’occasion pour les curieux de découvrir l’histoire du manoir et de pénétrer dans les coulisses de sa restauration.  Le petit plus ? La diffusion d’une nouvelle vidéo du chantier focalisée sur le travail du bois et une maquette 3D de l’édifice. Bref, une installation innovante et originale pour un monument historique et unique. Retrouvez toutes les informations ici
Il y a 4 ans et 253 jours

Concours Amac : Concevoir du mobilier urbain en Morbihan

De gauche à droite : Mathilde de Matteis, service technique, et Alexandra Grolleau, relations entreprises à la Capeb Morbihan. [©Capeb] Le Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement (Caue) et la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) du Morbihan lancent le concours Amac. Afin de faire la promotion de la création de mobilier urbain local, destiné à équiper les espaces publics des communes du département.  « Le concours Amac pour “Artisanat et mobilier pour l’aménagement des collectivités” s’inscrit en partenariat entre la Capeb Morbihan et le Caue du Morbihan. Nous sommes engagés ensemble depuis longtemps. L’idée est de faire émerger des projets novateurs provenant de nos artisans morbihannais. Ceci, au niveau du mobilier urbain », explique Mathilde de Matteis, du service technique de la Capeb Morbihan. Du “made in Morhiban” Les aspects de proximité du territoire avec les entreprises locales sont mis en avant. Ce concours a ainsi pour vocation de proposer une offre complémentaire à celle que l’on peut trouver dans les catalogues des fournisseurs industriels. Mais aussi de développer un marché local avec les artisans. Il vise à récompenser des concepteurs et artisans du Morbihan, qui auront réalisé des éléments de mobilier originaux.  « Notre département est entre terre et mer. Entre villages, bourgs et villes. Il faut redonner au mobilier urbain une signature originale, forte. Et surtout locale », insiste Alexandra Grolleau, des relations entreprises de la Capeb Morbihan. « Et l’on peut compter sur le savoir-faire morbihannais », reprend Mathilde de Matteis. Ce mobilier devra répondre à plusieurs usages. Tout d’abord, se reposer, se détendre (bancs, chaises, tables de pique-nique…). Puis, collecter, trier (poubelles). Enfin, se protéger, ranger (barrières, potelets, supports vélo…) Amac est ouvert aux entreprises artisanales du Morbihan, au couple concepteur-artisan et aux services techniques des collectivités. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 20 novembre prochain. Rendez-vous ici pour participer à Amac.
Il y a 4 ans et 253 jours

Covid-19 : annulation des journées du patrimoine dans certaines localités

Le grand rendez-vous annuel des Français avec leur patrimoine se déroule bien les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 autour du thème retenu dans toute l’Europe « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! ». Cependant, en raison des conditions sanitaires, certaines préfectures ou municipalités ont pris la décision d’annuler les manifestations prévues : Bordeaux métropole, le département des Bouches-du-Rhône, Nice, la métropole européenne de Lille, la Communauté urbaine de Dunkerque, les communautés d’agglomération de Maubeuge Val de Sambre, de Cambrai, du Douaisis, de Caudrésis-Catésis, de la Porte du Hainaut et de Valenciennes Métropole.   Illustration : ©Jérémie Fischer    
Il y a 4 ans et 253 jours

Les statues rescapées de Notre-Dame à voir à la Cité de l’architecture

Saint Barthélémy, Saint Jude et Saint Simon, trois des seize statues de cuivre aujourd’hui restaurées sous l’égide de la DRAC Île-de-France et qui symbolisent les douze apôtres et les quatre évangélistes juchées à la base de la flèche de Notre-Dame de Paris, sont présentées au public à l’occasion des Journées européennes du patrimoine à partir du 16 septembre à la Cité de l’architecture et du patrimoine (CAPA). Elles avaient échappé au terrible incendie du 15 avril 2019. Quatre jours précédant le drame, elles avaient été retirées de leur socle pour faire l’objet d’une importante rénovation afin de retrouver leur splendeur d’origine. Cette opération, menée sur l’ensemble de la flèche pour les trois prochaines années, faisait partie d’un vaste programme de travaux confié à la Conservation régionale des monuments historiques (CRMH), service de la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France (Drac), qui assure la maîtrise d’ouvrage des éléments mobiliers de la cathédrale. Photos : arrivée des sculptures Saint Simon, Saint Jude, Saint Barthélémy dans la galerie des moulages de la Cité de l’architecture & du patrimoine © Cité de l’architecture & du patrimoine
Il y a 4 ans et 253 jours

Opération de levage d’une charpente sur le parvis de la cathédrale de Paris

A l’occasion des journées européennes du patrimoine 2020 l’association charpentiers sans frontières réalisera le levage manuel d’une charpente de ferme sur le parvis de la cathédrale de Paris le samedi 19 septembre de 14h à 15h. Au lendemain de l’incendie du 15 avril 2019 à la cathédrale Notre Dame de Paris, l’association avait proposé ses services et son expérience pour tester et expérimenter l’hypothèse d’une restitution de la charpente de la nef et du chœur de la cathédrale, selon les techniques et matériaux d’origine. Avec l’appui de l’interprofession France Bois Forêt et de l’ONF l’association a pu choisir des bois de qualité, notamment dans le Perche ornais. Ces arbres ont été abattus au moment approprié, en hiver, et enfin façonnés dans un château de Seine Maritime, à Mesnil-Geoffroy du 1er au 7 juillet dernier. Une équipe de 25 femmes et hommes, professionnels de la charpente venu(e)s de huit pays, malgré les difficultés du covid, ont réalisé intégralement une ferme grandeur nature à partir des relevés très précis réalisés par la maîtrise d’œuvre. Le levage proprement dit, dirigé par Florian Carpentier, artisan charpentier à Pierrepont-sur-Avre (80) sera effectué à la main par 9 personnes, charpentière et charpentiers sans frontières, en présence du public. L’opération prendra environ une heure. La ferme ne restera sur le parvis que les samedi et dimanche 19 et 20 septembre 2020.
Il y a 4 ans et 253 jours

Paf atelier : Candy Shop

À l’occasion de l’exposition de la nouvelle collection du studio BehaghelFoiny, Paf atelier transforme l’espace marseillais de la Maison Archik en un laboratoire chromatique aux formes organiques. Paf atelier a mis en scène un espace ludique, qui se déploie à l’intérieur et à l’extérieur de la galerie Archik à Marseille (13), dialoguant avec l’architecture du lieu et les objets tubulaires colorés signés BehaghelFoiny.En partenariat avec les éditions Pli, le studio d’architecture pluridisciplinaire Paf atelier a conçu une étonnante scénographie pour accueillir la première exposition des designers Antoine Behaghel et Alexis Foiny, lauréats de la première édition du Pli Public Workshop. Loin de s’effacer derrière les pièces présentées, le décor immersif invite les visiteurs à découvrir par les sens la collection « Tubulure », et à faire l’expérience de l’espace domestique alternatif de BehaghelFoiny. Une plongée dans l’univers pop du Studio BehaghelFoiny.Studio BehaghelFoiny, du 11 septembre au 10 décembre 2020, à la galerie Archik à Marseille. Pour en savoir plus, visitez le site d'Archik, le compte Instagram de BehaghelFoiny et le site de Paf atelier. Visuels : © Paf atelier La Rédaction
Il y a 4 ans et 253 jours

ISH 2021 : Hansgrohe, à son tour, renonce

Le groupe annonce renoncer à participer à l'édition 2021 du salon ISH, à Francfort.
Il y a 4 ans et 254 jours

Les mesures exceptionnelles des Urssaf pour soutenir la trésorerie des entreprises évoluent en septembre

Employeurs du régime généralDans le cadre de la reprise de l'activité économique, les entreprises doivent désormais s'acquitter de leurs cotisations sociales aux dates d'exigibilités habituelles.Par exception, les reports de cotisations restent autorisés pour :Les entreprises appartenant aux secteurs dont l'activité demeure empêchée en raison des dispositions mises en place pour la lutte contre la pandémie (spectacle, discothèques, festivals …Les employeurs situés à Mayotte ou en Guyane, en raison de la prolongation de l'état d'urgence sanitaire dans ces départements.Dans ce cas, les entreprises souhaitant bénéficier des possibilités de report devront au préalable remplir le formulaire de demande via leur espace en ligne (ou directement auprès de la CSSM s'agissant des employeurs de Mayotte). En l'absence de réponse de l'Urssaf dans les deux jours ouvrés suivants le dépôt du formulaire, la demande de report est considérée comme acceptée.Consciente des difficultés que peuvent rencontrer encore certaines entreprises non concernées par les mesures de report, l'Urssaf leur propose des solutions adaptées à leur situation :exonération d'une partie des cotisations patronales ;aide au paiement des cotisations sociales ;mise en place de plans d'apurement.remise partielle de cotisations patronales intégrées dans les plans d'apurement;remise exceptionnelle des majorations de retardPour accompagner les entreprises et présenter les mesures exceptionnelles de soutien à l'économie mises en place pour les employeurs du régime général (articles 65 et 67 de la loi de finances rectificatives n°2020-935 du 30 juillet 2020), l'Urssaf organise un webinaire le 18 septembre prochain à 11h. Pour y accéder : rendez-vous sur la chaîne YouTube "l'actu des Urssaf"Adhérent au titre Emploi Service Entreprise, au titre Firme Étrangère ou au Chèque Emploi Associatif Pour les adhérents à ces offres éligibles à l'exonération d'une partie des cotisations patronales et à l'aide au paiement des cotisations sociales, ils n'auront qu'à renseigner leur secteur d'activité lors de leur prochaine connexion. Ainsi les mesures, seront appliquées automatiquement.Il est également possible de mettre en place un plan d'apurement en contactant l'Urssaf.Travailleurs indépendantsPour les travailleurs indépendants, le recouvrement des cotisations sociales a repris en septembre, conformément aux échéanciers adressés en août. Ces échéanciers ont été réalisés sur la base d'un revenu provisionnel 2020 diminué de 50% par l'Urssaf, afin de reporter au deuxième semestre 2021, à compter de la déclaration des revenus réels 2020 (si ces revenus sont supérieurs à l'estimation réalisée par l'Urssaf), le paiement des cotisations non versées. Pour tenir compte de la réalité de leurs revenus et limiter l'ampleur de la régularisation en 2021, les travailleurs indépendants sont invités à ajuster cet échéancier. Aucune majoration ne viendra pénaliser les travailleurs indépendants dont le revenu réel se révélerait finalement supérieur au revenu estimé.Les travailleurs indépendants des secteurs les plus touchés par la crise pourront bénéficier d'une réduction exceptionnelle dès 2020 en appliquant un abattement sur leur revenu prévisionnel 2020 via le service en ligne d'estimation des revenus. Pour accompagner les travailleurs indépendants en difficulté, des plans d'apurement permettant d'échelonner le paiement de leurs dettes sans pénalités ni majorations de retard seront proposés au plus tard en novembre.Pour en savoir plus sur les mesures mises en place, rendez-vous sur le mini-site dédié mesures-covid19.urssaf.fr
Il y a 4 ans et 254 jours

ADC Awards 2020 : Merci à nos partenaires !

Pour la septième année consécutive, les ADC Awards 2020 ont récompensé quatorze réalisations architecturales remarquables le mercredi 9 septembre au Carreau du Temple à Paris (11e), à l'occasion d’une cérémonie clôturant le salon Materials & Light. Aujourd’hui, la rédaction remercie vivement les partenaires de l’édition 2020 ! Terreal Inspirée depuis plus de 150 ans par la beauté et les qualités naturelles de la terre cuite, Terreal conçoit, produit et commercialise des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment à travers quatre activités : couverture, structure, solaire et façade-décoration.  lemoal lemoal architectes : Centre social et culturel Gonzague Saint-BrisImplanté en limite séparative, le projet devait s’intégrer dans son environnement sans déranger le voisinage. Une contrainte forte, finalement source d’inspiration pour les architectes qui ont imaginé de faire descendre la toiture en façade arrière afin de fermer l’espace. Une coque protectrice intégrale réalisée en tuile plate Pommard, dont le pureau brouillé donne l’illusion d’une superposition irrégulière qui apporte un relief singulier aux bâtiments. Son panachage de teintes, de rouge feu à brun presque noir, apporte chaleur, convivialité et mouvement en façade.   360° Architecture : Groupe Scolaire Las FonsèsTraitée ici sur de grands aplats détachés de la façade, la brique émaillée surprend le spectateur par son incroyable capacité à gérer la lumière, en la réfléchissant à la manière du verre mais aussi en s’en imprégnant. Au point que le bleu ose toutes les nuances et les variations au fil de la journée et des saisons. D’une couleur sourde et presque noire par temps d’orage, il devient azur lorsque le ciel est dégagé et révèle alors toute sa luminosité. ---Poly-PacPoly-Pac propose à tous ses interlocuteurs des solutions innovantes, globales et clefs en main au service des architectures intérieures et extérieures, de la translucidité et de la maîtrise de la lumière. Rudy Ricciotti et forma6 : Gare de NantesL’Arcoplus 932-7 connectable est un système en polycarbonate pour couverture qui allie isolation, technicité (grandes portées) et esthétisme. Grâce a un travail développé en amont avec Demathieu et Bard, nous avons pu répondre aux valeurs particulières de transmission lumineuse et de facteur solaire en élaborant une plaque spéciale pour ce projet. Le choix du polycarbonate c’est imposé en raison de sa légèreté. C'est une qualité majeure pour s’adapter à la charpente tridimensionnelle innovante du projet. ---TECHNALTECHNAL est une entreprise française proposant des systèmes constructifs aluminium : façades et murs-rideaux, portes, fenêtres, baies coulissantes... « Parce que l’harmonie est essentielle à votre quotidien, nous imaginons des menuiseries créatrices de bien-être et toujours plus performantes. » Aussi, les solutions TECHNAL sont sur mesure et s’adaptent à chaque projet, en offrant un design épuré et des performances maximales pour répondre aux nombreux besoins du marché du bâtiment et du résidentiel, en neuf comme en rénovation. TECHNAL propose ses menuiseries en aluminium recyclé Hydro CIRCAL, un pas de plus vers le bas carbone et l’économie circulaire. Taillandier Architectes Associés : Campus EnovaL’agence Taillandier Architectes Associés a imaginé un programme sobre et à l’écriture résolument industrielle pour le nouveau Campus ENOVA implanté à Labège, à proximité de Toulouse. Ce bâtiment graphique en forme de L, regroupe quatre écoles supérieures (ESARC Évolution, ESG Toulouse, Digital Campus et LISAA). La structure béton érigée sur trois niveaux revêt une enveloppe vitrée constituée de murs-rideaux GEODE et de châssis SOLEAL 65, aux profilés en aluminium fins et discrets. Ces solutions TECHNAL ont été prescrites pour leur minimalisme.  --- VitrocsaL’invention de Vitrocsa ne porte pas sur la fenêtre minimale en elle-même, mais bien sur la transposition de celle-ci dans les normes contemporaines. Vitrocsa a réinventé la fenêtre minimale, aussi bien sous l’angle de l’exigence technique que de son aboutissement esthétique... Nicolas Dahan : Villa en BoisLa gamme V32 est renforcée thermiquement avec un profilé en fibre de verre. Cette gamme est faite pour des ouvertures standards coulissants ou fixes et la finesse du profilé permet d’augmenter la luminosité dans la pièce. ---METAL DEPLOYE® Implanté à Montbard en Bourgogne depuis 1902, METAL DEPLOYE® est le leader français de la production et de la transformation de métal déployé pour l’architecture et l’industrie. Le métal déployé est issu d’un procédé unique de cisaillage et d’étirage synchronisés du métal qui ne génère pas de pertes de matière. Réalisé à froid par des presses mécaniques, ce procédé de fabrication nécessite peu d’énergie et les chutes métalliques dues aux réglages techniques sont recyclables à 100%. VIGUIER architecture, urbanisme et paysage : Identity OneFS+ est un concept de contrôle solaire développé par le bureau d’études et les services techniques de la société METAL DEPLOYE. FS+ c’est toutes les compétences et l’expérience acquises depuis de nombreuses années dans l’accompagnement et la réalisation de projets architecturaux qui sont combinées pour apporter une solution de contrôle solaire économique et performante. Pour Identity, le choix du produit a été fait sur deux critères : protéger les niveaux de bureaux des rayons du soleil tout en laissant entrer le plus de lumière possible. ---Everlite Concept, Architecture LumièreEverlite Concept, Architecture Lumière accompagne depuis 1987 les architectes pour faire de la lumière naturelle une source de confort et de bien-être. Everlite Concept conçoit, fabrique et commercialise des systèmes de haute qualité d’éclairage naturel et d’isolation thermique translucides alliant esthétisme, innovation et performance. Le bureau d’études et toute l’équipe se mobilisent pour guider les architectes, des premières esquisses jusqu’à la réalisation. PCA-STREAM : MO.CO.Le Danpalon® BRV d’Everlite Concept habille la surélévation du nouveau Quartier Général de la création contemporaine pour la métropole de Montpellier : le MO.CO., hôtel des collections. Côté cour de l’ouvrage, cet espace minimaliste contemporain tranche avec le reste du bâtiment-outil datant du XIXe siècle. Avec les caractéristiques translucides du polycarbonate qui composent le Danpalon® BRV, l’ouvrage évolue au rythme des éclairages, de son environnement. Le rétroéclairage donne une toute autre identité la nuit et fait signe dans le paysage urbain de Montpellier. Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez les lauréats de l’édition 2020. La Rédaction
Il y a 4 ans et 254 jours

Alphi s’agrandit en Ile-de-France

Retrouvez cet article dans le n° 85 de Béton[s] le Magazine Le nouveau dépôt Alphi comprend un bâtiment de 7 000 m2 couverts. [©ACPresse] Presque 3 ans après l’ouverture de son premier dépôt francilien, le coffreur Alphi réitère l’opération avec la création d’un pôle logistique de 2,7 ha, dont 7 000 m2 couverts et 700 m2 de bureaux. Cette nouvelle base remplace le dépôt originel, sans remettre en cause toute l’organisation déjà en place. En effet, les deux sites sont éloignés d’à peine 3 km et toujours implantés sur la commune de Coignières. « Nous avions l’ambition de doubler notre taille en 4 ans, nous l’avons fait en 3 », indique Eric Roman, directeur de l’agence parisienne d’Alphi. Et de poursuivre : « Aujourd’hui, l’activité francilienne génère près de 38 % du chiffre d’affaires du groupe… » Celui-ci était de 20 M€ en 2018.  Un important parc de matériels de coffrage A l’heure actuelle, Alphi est à la tête de 3 filiales (Luxembourg, Suisse et Qatar). Et emploie 75 collaborateurs et traite près de 1 500/an chantiers. Quelque 50 000 m2 de coffrages sont produits chaque année, selon le label Origine France Garantie. Et l’ensemble du parc matériel intègre 150 000 m2de coffrages, 80 000 étais et 2 000 t de tours d’étaiement. Dont une bonne partie est désormais disponible en Ile-de-France. A cela s’ajoute, dès à présent, un petit parc de matériels Fortal, marque avec laquelle Alphi vient de signer un partenariat. Il s’agit simplement d’un accord permettant à Fortal de stocker une partie des produits qu’il fabrique pour les rendre plus facilement accessibles à ses clients franciliens. L’agence francilienne compte 16 collaborateurs, qui ont participé à la conception de leur nouveau lieu de travail. « Alphi met en place un management par la bienveillance, d’où notre volonté de faire pleinement participer l’ensemble de nos collaborateurs dans les décisions les concernant »,explique Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. Et de conclure : « Prenons soin de nos salariés et ils prendront soin de nos clients et de notre entreprise ». Quelque 1 500 chantiers chaque année Pour être aussi plus proche de ses clients, Alphi a mis en place, sur son nouveau site, un espace appelé “Customer Lab” (ou Labo Clients). Ce lieu est une sorte de salle de réunion ouverte à tous, pour pouvoir échanger et s’informer. C’est une zone de convivialité. Il suffit de venir à Coignières pour en profiter.  Traitant chaque année sur quelque 1 500 chantiers, Alphi a participé ou est encore présent sur des opérations de prestige en Ile-de-France. Telles les Tours Duo, à Paris 13e, réalisées par Vinci Construction France. Tel le vaste projet immobilier de 1 100 logements à Bagnolet (93), avec Eiffage. L’archipel, c’est-dire le nouveau siège social de Vinci, à Nanterre, l’hôtel Hyatt de Roissy-en-France ou encore le Complexe sportif de Meudon constituent d’autres opérations majeures. Et l’ouverture de la nouvelle base logistique de Coignières devrait permettre à Alphi de poursuivre cette belle croissance.  Retrouvez cet article dans le n° 85 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 255 jours

MID : l’innovation sur le devant de la Seine

Après le succès de sa première édition organisée à Station F, le Moniteur Innovation Day (MID) prend ses quartiers dans un nouveau lieu de prestige : la Seine Musicale. Rendez-vous y est donné le 19 octobre à tous les acteurs de la construction pour une immersion au cœur des innovations qui font la transition écologique et la reprise économique du secteur.
Il y a 4 ans et 255 jours

L'économie française devrait résister mieux que prévu en 2020 avant de rebondir fortement en 2021

Le produit intérieur brut (PIB) devrait finalement se contracter de 8,7% en 2020, a estimé lundi l'institution, soit moins fortement que la chute de 10,3% qu'elle anticipait en juin."Le choc du deuxième trimestre a été moins important qu'attendu" et "le rebond de l'activité constaté au cours des derniers mois est plus prononcé que ce à quoi on s'attendait", a expliqué Olivier Garnier, directeur général chargé des études et des relations internationales à la banque centrale française, lors d'une conférence de presse.Cette prévision de la BdF est proche de celle de l'Insee qui table sur une récession de 9% cette année, mais plus optimiste que celle du gouvernement, qui anticipe un recul du PIB de 11%, même s'il a prévu de réviser prochainement ce chiffre."L'économie française se redresse progressivement (...) nous sommes dans la bonne direction", a ainsi estimé lundi matin le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, un peu avant la publication de la BdF.La Commission européenne anticipe un recul de 10,6% et l'OCDE, qui prévoit jusqu'ici une baisse de 11,4%, doit dévoiler mercredi sa nouvelle prévision.Pour l'an prochain, la Banque de France table aussi sur un rebond un peu plus important, avec une croissance de 7,4%, puis encore de 3% en 2022. Ces prévisions ne tiennent toutefois pas encore compte de l'ensemble du plan de relance annoncé début septembre, la banque centrale attendant les détails de toutes les mesures.Le PIB français retrouverait ainsi son niveau d'avant-crise dès début 2022, soit un peu avant ce qu'elle anticipait jusqu'ici, c'est-à-dire mi-2022. Ce sera aussi un peu plus tôt que ce qui attend le PIB de la zone euro, souligne la banque centrale française.Au plus fort du confinement, l'économie française tournait seulement au deux tiers et, en août et septembre, la perte d'activité devrait être ramenée à -5% par rapport à son niveau d'avant-crise, puis entre -3,5 et -4% à la fin de l'année, selon la Banque de France."Nous rentrons dans la phase où l'activité va continuer de progresser mais plus du tout au même rythme que celui qu'on a connu au cours des derniers mois", a noté Olivier Garnier.Ainsi, le bâtiment a presque retrouvé une activité normale et si les situations sont très hétérogènes dans l'industrie et les services, même l'automobile, l'hébergement-restauration ou l'aéronautique ont vu leur activité fortement progresser cet été.L'institution prévoit donc une progression du PIB de 16% au troisième trimestre, après la chute de 13,8% au deuxième.Incertitude sanitaireLa moitié des chefs d'entreprise interrogés par la Banque de France dans son enquête mensuelle de conjoncture envisagent ainsi un retour à la normale dès cette année, et un quart d'ici à 2022. En revanche, signe de l'incertitude qui persiste, près d'un quart des dirigeants ne sont pas en mesure de dire quand ils retrouveront une activité normale.La Banque de France précise d'ailleurs que ses prévisions restent sujettes à d'importants aléas du fait des incertitudes sur l'évolution de l'épidémie mais aussi de l'issue des négociations difficiles sur le Brexit. Autre inconnue, le rythme auquel les ménages vont dépenser l'épargne de précaution engrangée ces derniers mois, le dispositif de chômage partiel ayant préservé l'essentiel de leurs revenus.Selon la BdF, le rebond de la consommation privée, observé dès l'été, devrait se poursuivre pour revenir fin 2020 à un niveau proche de celui de fin 2019. L'épargne accumulée en fin d'année devrait ainsi finalement être inférieure aux 100 milliards d'euros prévus par la banque centrale."L'élément essentiel sera la confiance des ménages", en lien avec l'évolution de la situation sanitaire, de la fiscalité et de leurs inquiétudes sur l'emploi, a estimé M. Garnier. Sur ce dernier point, la Banque de France a aussi revu à la baisse l'impact de la crise. Si le chômage va bien grimper cette année, avec "environ 800.000" suppressions d'emplois, et un taux de chômage qui pourrait atteindre 11,1% en 2021, "plus de 700.000 emplois" seraient recréés en 2021 et 2022.
Il y a 4 ans et 255 jours

ISH 2021 : Viega n'ira pas

Après Grohe, c'est au tour de Viega de renoncer à sa participation au salon ISH 2021.
Il y a 4 ans et 255 jours

Seine-et-Marne : Wacker Neuson ouvre ses portes

Retrouvez cet article dans le n° 85 de Béton[s] le Magazine « La vibration du béton fait partie des gènes de Wacker Neuson », rappelle Patrice Boffo, directeur de l’activité béton et chef de produits “gamme légère”. [©ACPresse] Les actualités se télescopent parfois. Alors même que la filiale française de Wacker Neuson organisait sa journée portes ouvertes, sa maison-mère annonçait la cession de son activité “truelles mécaniques”. Pour autant, cette journée destinée à la présentation de l’ensemble de l’offre et à des rencontres avec les utilisateurs n’en a pas été compromise. Ainsi, l’activité béton continue à tenir une place de choix dans l’entreprise. « La vibration du béton fait partie des gènes de Wacker Neuson », rappelle Patrice Boffo, directeur de l’activité béton et chef de produits “gamme légère”. Elle ne fait donc pas partie de la cession, bien au contraire.  L’offre “vibration” se décline en deux lignes : externe et interne. Cette dernière catégorie voit l’arrivée d’une véritable nouveauté, dévoilée sur le stand Wacker Neuson à Batimat. Le produit s’appelle ABCe et consiste en une aiguille vibrante alimentée par une batterie installée dans un sac à dos. Le premier avantage pour l’utilisateur est l’absence de fil électrique au sol. Les visiteurs ont eu ainsi l’opportunité de découvrir cette aiguille en avant-première à l’occasion de la journée portes ouvertes. Surtout, l’évènement a permis à chacun d’échanger avec l’équipe “béton”. Et de voir que l’évolution “verte” est bien en marche au sein de l’entreprise. « Le “zéro émission” est présent sur nos machines et équipements de chantier. Avec l’ABCe, il entre dans l’univers des béton », conclut Patrice Boffo. 
Il y a 4 ans et 256 jours

Paris 1910-1937. Promenades dans les collections Albert-Kahn

L’exposition Promenades dans les collections Albert-Kahn explore à travers l’image le Paris de la Belle époque à la fin des années 1930. A la Cité de l’architecture. Jusqu’au 11 janvier 2021. À partir des autochromes et des films produits par les opérateurs des Archives de la Planète, l’exposition dresse un portrait de la ville et […] L’article Paris 1910-1937. Promenades dans les collections Albert-Kahn est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 258 jours

L’exercice de la scénographie - Livre

Si la scénographie d’exposition est ancienne, le métier de scénographe en tant que tel existe pleinement depuis les années 1980. Nourri de son expérience dans le domaine, Arnaud Sompairac interroge l’apport incontournable de l’architecture à la discipline, au travers de la géométrie, de la mesure et du rythme, outils […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 258 jours

Entretien avec Pascal Asselin, Président de l’UNTEC

Entretien au congrès de l’Untec sur le plateau de Bati-Journal TV avec Pascal Asselin, Président de l’Untec, le rendez-vous des professionnels de la construction. Durant les 2 journées du congrès, le thème de la rupture a été abordé. En effet, depuis la crise sanitaire liée au Covid-19 des ruptures climatiques, digitales et sociales ont été observées au sein de l’économie et de la filière du BTP. Bilan sur des deux journées.  
Il y a 4 ans et 259 jours

Malgré la crise, la baisse des prix se fait attendre dans le logement ancien

"L'engouement des Français pour la pierre s'est encore confirmé, ce qui a évité une baisse des prix", a résumé jeudi le notaire parisien Thierry Delesalle lors d'une conférence de présentation des chiffres officiels de l'immobilier ancien pour le deuxième trimestre.Ces chiffres, établis de concert par les notaires et l'Insee, témoignent d'un marché plutôt résistant pendant une période marquée par le strict confinement décrété de fin mars à début mai contre la propagation du coronavirus.Pendant des semaines, aucune visite n'a pu avoir lieu. Pour autant, le nombre de ventes ne s'est pas effondré, ce qui semble indiquer un bon redémarrage du marché à la sortie du confinement.Sur la période de douze mois achevée fin juin, 1,01 million de logements s'étaient vendus, un chiffre en baisse par rapport au pic atteint fin 2019 à plus de 1,05 million.Mais il se maintient au-dessus du seuil symbolique du million, franchi en début d'année dernière, et reste donc à un haut niveau par rapport aux dernières années.Surtout, les prix, qui ne cessent d'augmenter depuis 2015, n'ont observé aucun ralentissement. Au contraire, ils ont accéléré pour progresser de 5,7% par rapport à un an plus tôt."Ce confinement, on peut dire qu'il a vraiment accentué ce goût" des Français pour l'immobilier, a insisté M. Delesalle, évoquant aussi le caractère traditionnel de valeur refuge de l'immobilier.Effondrement improbableL'essor des prix est à relativiser, car il correspond à des ventes largement négociées en début d'année, avant le gros de la crise sanitaire.Toutefois les premières tendances observées sur les mois estivaux par les notaires d'Île-de-France, qui présentent chaque trimestre ces chiffres, ne marquent pas d'infléchissement.Pendant l'été, les prix des logements se calment un peu à Paris même mais flambent de plus belle dans les départements limitrophes, la petite couronne des Hauts-de-Seine (92), de Seine-Saint-Denis (93) et du Val-de-Marne (94).Tendance notable autour de Paris, "les (prix des) maisons augmentent plus que les appartements: (...) on n'avait pas vu ça depuis 13 ans", a remarqué M. Delesalle, évoquant un "goût pour la pierre verte".Qu'en est-il pour le reste de la France? Et la résistance du marché du logement va-t-elle se maintenir alors que la crise sanitaire s'est muée en crise économique aux ramifications multiples sur l'emploi et la consommation?"On entre dans un nouveau cycle avec un arrêt de cette hausse continue des prix depuis cinq ans", avançait début septembre Thomas Lefebvre, chargé des études du site MeilleursAgents. "Mais on n'attend pas un effondrement des prix."Le site, qui réalise ses estimations à partir des données de milliers d'agents immobiliers, estime que les prix français s'inscrivent actuellement en hausse d'un peu moins de 2% par rapport à un an plus tôt. Il pense qu'ils vont baisser de 1% d'ici à un an."La demande va s'éroder avec un marché de l'emploi qui s'est affaibli", a mis en avant M. Lefebvre.A cela s'ajoutent des prêts un peu moins facilement accordés par les banques, à la suite notamment de mesures prises par les autorités financières fin 2019 pour limiter les crédits immobiliers. Mais on est, pour l'heure, loin d'effets massifs sur le marché, comme le redoutaient nombre d'acteurs.C'est bien le chômage qui "va vraiment être le principal élément bloquant (ces) prochains mois pour le marché", a jugé M. Lefebvre. Pour autant, "chaque territoire ne va pas réagir de la même manière", avec des perspectives différentes d'une grande ville à l'autre en matière d'emploi.MeilleursAgents s'attend par exemple à une nette baisse des prix à Nice, dominée par un secteur touristique très affecté, mais une progression maintenue à Lille, où l'emploi a plutôt résisté à la crise.
Il y a 4 ans et 259 jours

Covid-19 : nouvel intérêt pour les solutions d’épuration d’air

Au salon IFA 2020, à la fois physique et virtuel du 3 au 5 septembre à Berlin, LG présentera de nouvelles solutions d’épuration d’air
Il y a 4 ans et 259 jours

Sheds de lumière et structure bois, une médiathèque à Bordeaux par King Kong

Si la scénographie d’exposition est ancienne, le métier de scénographe en tant que tel existe pleinement depuis les années 1980. Nourri de son expérience dans le domaine, Arnaud Sompairac interroge l’apport incontournable de l’architecture à la discipline, au travers de la géométrie, de la mesure et du rythme, outils […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 259 jours

BePOSITIVE 2021 : après la crise, concrétiser l'accélération de la transition énergétique

Lieu d'échanges et de rencontres, l'évènement est un accélérateur de business favorisant la mise en réseau de l'ensemble des professionnels du secteur : prescripteurs, artisans & entreprises générales du bâtiment, distributeurs et négociants, collectivités publiques, etc.La présence de tous les décideurs européens et africains fait du salon un événement également connecté à l'international. Véritable rendez-vous fédérateur de ceux qui construisent le monde décarboné de demain, BePositive offre un tremplin à l'innovation. Il s'organisera cette année autour de 4 secteurs d'exposition : les nouveaux systèmes énergétiques ; l'énergie dans le bâtiment ; le bâtiment durable, et le bois énergie.À 8 mois de l'ouverture de BePOSITIVE 2021, sa directrice Florence Mompo prend la parole pour lancer cette nouvelle édition. L'occasion pour elle de partager sa vision des conséquences de la crise que nous vivons, et des perspectives pour les secteurs de la transition énergétique.Questions à Florence Mompo, directrice du salonQuelle est votre vision de la période inédite que nous traversons ?Florence Mompo : Cette crise sanitaire, qui se transforme en crise économique et sociale, a évidemment été un choc par sa soudaineté et la remise en question globale de nos façons de vivre, de consommer, de travailler… L'incertitude qu'elle engendre pèse sur la reprise économique, et si nous voyons déjà ses conséquences immédiates : tensions internationales, récession et hausse du chômage, grandes difficultés pour de nombreux secteurs, il y a aussi des effets positifs. Après une période de privation, on assiste à une reprise de l'activité et de la consommation stimulée par des plans d'investissement massifs. On voit des engagements de bons sens autour du local, des enjeux de l'économie circulaire et du réemploi, ou tout simplement de la place de l'individu dans notre développement. Le confinement a mis en lumière la nécessité de privilégier la santé, le confort, le bien-être des gens, par exemple, dans la conception des logements et des bâtiments tertiaires. La performance thermique, la qualité de l'air, l'acoustique, et plus basiquement, l'aménagement et le mobilier, sont plus que jamais des éléments à prendre en compte, comme le lien entre le physique et le digital. La généralisation du télétravail en est un exemple criant, c'est d'ailleurs l'un des héritages majeurs de cette période. Et puis humainement, il y a pour chacun, un besoin d'échanges et de convivialité qui est très fort en ce moment !Quels sont les échos qui remontent des acteurs des différentes filières présentes sur le salon BePOSITIVE ?Florence Mompo : C'est assez hétérogène parce qu'en fonction du secteur d'activité, les feedbacks ne sont pas du tout les mêmes. Sur la partie des nouveaux systèmes énergétiques, après les 2 ou 3 premières semaines de sidération que l'on a tous vécues, les entreprises se sont rapidement réorganisées et se sont remises dans des perspectives de développement. On parle beaucoup de la transition énergétique comme levier majeur de la reprise économique, mais elles ont besoin d'actions concrètes et elles sont dans l'expectative de ce que va donner, par exemple, le Green Deal. Les retours que j'ai d'un secteur comme le photovoltaïque me font dire qu'aujourd'hui il n'y a pas de ralentissement, mais que les inquiétudes des acteurs portent sur les mois à venir dû à l'arrêt de l'activité commerciale pendant près de 3 mois. Et puis, on le sait, le secteur du bâtiment craint de payer un lourd tribut à cette crise. L'ensemble des mesures que les sociétés doivent mettre en œuvre pour pouvoir redémarrer va les freiner pour retrouver le rythme de l'avant-Covid-19. Et à cela s'est ajouté le report des élections municipales alors que de nombreuses entreprises dépendent de la commande publique… Mais je tiens à saluer la façon dont les dirigeants et les entrepreneurs ont géré la situation. Ils ont une nouvelle fois prouvé leur capacité, à la fois, à rester ancrés dans la réalité du moment, tout en se montrant hyper agiles pour prendre les bonnes décisions en faveur de la santé de leurs salariés et de leur entreprise.« Encourager toutes les filières à œuvrer ensemble »Cette situation interroge sur ce que doit être la ville de demain. Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?Florence Mompo : Quelle modèle voulons-nous pour demain ? C'est effectivement la vraie question que nous devons collectivement nous poser. Et cette période nous donne l'opportunité de l'imaginer avec un œil différent en prenant vraiment en compte les aspirations des gens. Mais le risque, vu la dynamique de la reprise, est, comme au lendemain de la crise de 2008, de se replier uniquement sur les facteurs économiques et sur la finance, de faire passer la dimension environnementale au second plan, sans tirer les enseignements de ce qui s'est passé. Alors qu'au contraire c'est à chacun : responsables politiques, organisations professionnelles, industriels, entreprises, artisans, salariés, etc., d'avoir la volonté d'en sortir par le haut.Quelle est la place de la transition énergétique dans ce nouveau modèle ?Florence Mompo : Elle est centrale ! Elle correspond aux aspirations actuelles. On sent d'ailleurs une prise de conscience progressive, globale, sur les questions liées à la préservation de l'environnement, au climat, à l'alimentation et aussi au gaspillage de l'énergie. Cette prise de conscience de la population doit être encouragée avec de l'information et de la pédagogie et, sans attendre, les mesures économiques et les aides versées aux entreprises par les pouvoirs publics doivent favoriser la transformation vers un monde durable et résilient. Il faut encourager toutes les filières à œuvrer ensemble, en dialoguant, en développant des innovations et en diffusant des solutions technologiques économes en ressources et en impacts sur l'environnement. Les axes de développement sont identifiés : les infrastructures durables avec les énergies renouvelables et des mobilités propres, la rénovation énergétique des bâtiments et la lutte contre les « passoires thermiques », l'économiecirculaire et les circuits courts, ainsi que le numérique responsable. Ce seront d'ailleurs les enjeux majeurs traités lors de l'édition 2021 du salon BePOSITIVE.Le smart, les matériaux biosourcés et l'emploi-formation en fils rouges du prochain salonJustement quel est le rôle d'un salon comme BePOSITIVE ?Florence Mompo : Je dirais d'abord que les salons, les rencontres professionnelles, les congrès, les évènements auront un rôle prépondérant dans la reprise économique car ils sont des moments uniques qui connectent les entreprises, les organisations, les maîtres d'ouvrages, les prescripteurs, les visiteurs des filières, etc. Et ces acteurs vont avoir dans les mois à venir un besoin capital d'occasions de se rencontrer. Pour la transition énergétique, le salon BePOSITIVE 2021 sera un rendez-vous fondateur à une période, en mars, qui doit voir la concrétisation des conditions d'accélération de ce mouvement. Et grâce à notre connaissance des marchés et de leurs acteurs, nous œuvrons pour que ce soit une nouvelle fois un point de rencontre de toutes les énergies : un événement qui fédère tous les acteurs des filières bâtiment et énergie, qui favorise leur dialogue et leur convergence, qui accompagne leurs projets et leurs développements, et qui pousse leurs innovations. Pour reprendre notre baseline, que ce soit une opportunité pour construire ensemble le monde décarboné de demain !Quels sont les partis pris de cette prochaine édition ?Florence Mompo : Nous avons fait du smart, des matériaux biosourcés et de l'emploi-formation nos fils rouges. En effet, une vraie dynamique est enclenchée autour du numérique et de l'IOT qui entrent de plain-pied dans le monde du bâtiment, avec en ligne de mire des économies d'énergie et le développement des services. Les matériaux biosourcés, eux aussi gagnent en performance. Ils profitent d'une nouvelle attractivité dans le secteur de la construction et d'une industrialisation de leur production. Et puis, je le disais, l'émergence d'un nouveau modèle à travers des approches différentes va imposer une évolution des savoir-faire et de nouveaux métiers. Il y aura des transversalités entre certains secteurs en perte de vitesse et d'autres en plein développement. Cet enjeu place le recrutement et la montée en compétences des salariés au cœur des stratégies des entreprises.« Nouveauté 2021, nous allons encore plus jouer sur la complémentarité entre l'événement physique et digital »Pouvez-vous dévoiler d'autres éléments du programme de BePOSITIVE 2021 ?Florence Mompo : Les principaux acteurs des nouveaux systèmes énergétiques, du bâtiment durable, de l'énergie dans le bâtiment et du bois énergie, exposeront pour présenter leurs innovations et leurs solutions en faveur de la transition énergétique. Il y aura beaucoup d'animations comme des conférences, des fire camps, des études prospectives, le tout animé par les grandes fédérations. Nous aurons aussi des démonstrations en live, des formations et des retours d'expérience. Mais la nouveauté, c'est que le salon sera plus interactif. En nous appuyant sur les contenus, les services et les produits, nous allons jouer sur la complémentarité entre l'événement physique et l'événement digital. On proposera par exemple des solutions de webinars. Et nous allons aussi déployer, à destination de l'ensemble de nos publics : exposants, visiteurs et partenaires, des solutions d'intermédiation à distance comme du networking et des rendez-vous d'affaires via une appli mobile. L'occasion pour tous les participants d'être encore plus visibles et de se créer de nouvelles opportunités.A 8 mois de l'événement, que disent les premiers indicateurs ?Florence Mompo : On ne peut pas encore donner de chiffres, mais la tendance est positive. Il y a une belle dynamique autour de cet événement qui est le seul salon français dédié exclusivement aux enjeux et aux solutions de la transition énergétique. A l'international, il bénéficie aussi d'une notoriété grandissante, notamment en Europe, au Maghreb et en Afrique. Malgré le contexte, tous les feux sont donc au vert, les partenaires et les entreprises nous font déjà part de leur enthousiasme à l'idée de se retrouver !
Il y a 4 ans et 260 jours

Une reprise réussie pour le bâtiment mais une relance qui reste à confirmer

Ainsi, l'emploi salarié ressort quasi-stable entre la fin 2019 et la fin du deuxième trimestre 2020 et s'inscrit même encore en hausse de 18.000 postes sur le premier semestre 2020 par rapport au premier semestre 2019. Il faut lire cette situation comme une bonne nouvelle pour l'économie française, alors que la construction se rangeait au troisième rang des grands secteurs les plus touchés par la crise sanitaire dans notre pays.Cette situation doit toutefois beaucoup aux mesures d'urgence immédiatement prises par le gouvernement en faveur des entreprises et de l'emploi. Elles ont permis d'amortir le choc, d'en repousser les effets, mais l'activité suspendue pendant le confinement ne sera que très partiellement rattrapée et l'inquiétude sur l'avenir monte, alors qu'on constate d'ores et déjà une chute de l'intérim, avec 39.200 équivalent-emplois à temps plein perdus en glissement annuel sur le premier semestre, mais aussi des trésoreries et des marges divisées par 2,4 par rapport à la fin 2019.Côté activité, la FFB table maintenant sur une chute d'environ 15% de la production en 2020, hors effet prix.Le neuf constituerait le principal facteur de recul, avec 23,6% pour le logement neuf et 23,0% pour le non résidentiel neuf. De fait, on constate que la dégradation de l'activité s'accentue.Pour le logement, en glissement annuel sur sept mois à fin juillet 2020, les mises en chantier abandonnent 14,9% et les permis 20,1%. La baisse s'amplifie même sur la période récente, ces mêmes permis s'affichant à 27,3% en glissement annuel sur les trois derniers mois. Et les tendances à l'amont de la filière augurent des jours sombres, puisque les ventes en individuel diffus reculent de 18,1% en glissement annuel sur sept mois et que les ventes des promoteurs s'effondrent de 30,9% entre les premiers semestres 2019 et 2020.Pour le non résidentiel, le recul immédiat ressort encore plus ample. Hors locaux agricoles, en cumul de janvier 2020 à juillet 2020 par rapport à la même période un an auparavant, les surfaces commencées et autorisées abandonnent respectivement 22,1% et 29,8%, sans changements de rythme sur les trois derniers mois. De plus, tous les segments de ce marché participent au mouvement de baisse, y compris les bâtiments administratifs. Les informations qui remontent des commercialisateurs de bureaux, ainsi que les perspectives d'investissement que les industriels déclarent auprès de l'Insee ne laissent guère présager d'une amélioration à l'horizon de la fin 2021.Reste le marché de l'amélioration-entretien, qui semble se contracter moins vite. En glissement annuel sur le deuxième trimestre 2020, l'activité chute néanmoins de 18,1%, après -10,8% au premier trimestre. Mais la fin de l'année ressortirait mieux orientée, du moins pour le logement, notamment du fait du déblocage d'un gros volume de dossiers MaPrimeRénov' pendant l'été.Ce redressement pourrait se poursuivre en 2021, porté par le segment de la rénovation énergétique grâce au plan de relance dévoilé le 3 septembre par le gouvernement. On y retrouve d'ailleurs plusieurs demandes de la FFB, telles l'ouverture de MaPrimeRénov' à l'ensemble des ménages, aux bailleurs privés et aux copropriétés. C'est aussi le cas du soutien massif aux bâtiments publics, notamment d'enseignement, hospitaliers et aux EHPAD. Ou encore celui des aides à la rénovation énergétique des bâtiments des PME, TPE et indépendants. Il conviendra évidemment de s'assurer que les paramètres de ces dispositifs permettent effectivement la reprise du marché, mais l'orientation générale s'annonce positive.Il n'en va pas de même pour le neuf, loin de là, avec une absence quasi-totale de mesure dédiée. Et pourtant, comme déjà signalé, la crise s'y révèle encore plus forte que pour l'amélioration-entretien. La FFB se battra donc, en coordination avec son réseau local, afin que plusieurs dispositions fortes intègrent la loi de finances pour 2021. Sans entrer dans le détail, il s'agit notamment du retour du PTZ neuf à 40% sur tout le territoire et la prorogation du « Pinel » jusqu'en 2022. Pour que ces mesures aient un impact, il faut aussi très rapidement lever le point de blocage initial, soit assouplir les recommandations du Haut Conseil de stabilité financière relatives au crédit immobilier. Là encore, la FFB continue de se mobiliser. Mais que de temps perdu : l'entrée en vigueur de toutes ces dispositions interviendra, au mieux, dans les premiers mois de 2021, presque un an après l'entrée en crise !Compte tenu de l'urgence, la FFB a aussi répondu à la sollicitation des ministres de l'Économie et des PME pour identifier des mesures de simplification. Il s'agit d'identifier tous les freins à la reprise et de les lever. Nous avons retenu trois propositions, à savoir :supprimer les délais de paiement cachés dans les marchés privés et publics par l'intégration des modalités de règlement des comptes dans les codes concernés ;supprimer ou aménager l'attestation de TVA réduite sur les petits marchés, afin d'éviter les redressements à motif purement formel et non parce que les travaux facturés ne sont pas éligibles ;créer un permis de construire déclaratif dans certaines zones déjà sous autorisations (périmètre sous permis d'aménager ou zone d'aménagement concertée), obtenu après vérification de la complétude du dossier par le service instructeur, pour accélérer la mise en œuvre des travaux.L'enjeu est finalement simple : alors que les besoins restent très forts, qu'ils le resteront d'autant plus que le gouvernement souhaite relocaliser une partie de la production sur le territoire national, et alors que l'épargne des ménages atteint des sommets historiques, il faut tout faire pour que le bâtiment redevienne un moteur pour l'économie et pour l'emploi. Il faut faire vite, avant que la casse de l'appareil de production ne l'empêche de répondre à un rebond de la demande.C'est d'ailleurs la raison pour laquelle la FFB, avec ses adhérents artisans et entrepreneurs, lance le défi de recruter 150 000 talents à l'horizon 2023, année de la finale internationale de la compétition Worldskills (Olympiades des métiers) à Lyon. Ce défi ne sera possible que si les objectifs de 500.000 logements construits et 500.000 logements rénovés sont atteints.
Il y a 4 ans et 260 jours

Entretien avec Géraldine Cesbron, Commissaire générale du Carrefour International du Bois – UNTEC 2020

Entretien au congrès de l’UNTEC sur notre plateau Bati-Journal TV avec Géraldine Cesbron, Commissaire générale du Carrefour International du Bois qui va nous parler du salon qui a été reporté aux 3,4,5 février 2021 à Nantes dû aux conditions sanitaires.  
Il y a 4 ans et 260 jours

ADC Awards 2020 : Les lauréats, catégorie « Culture »

Cette année, la rédaction de Muuuz a récompensé les réalisations architecturales les plus remarquées dans deux domaines « Musées et espaces artistiques » et « Espaces culturels et loisirs ». Catégorie « Culture » Prix « Culture – Musées et espaces artistiques » : Fluctuart, Paris (7e) – Seine DesignPremier lieu d'exposition flottant, le Fluctuart est conçu par SEINE DESIGN, agence d'architecture fluviale notamment à l'origine du Rosa Bonheur sur Seine ou du bateau-restaurant d'Alain Ducasse. Inscrit dans le programme « Réinventer la Seine » lancé par la Mairie de Paris, le projet propose une programmation d'expositions de street-artistes internationaux dans un cadre inédit. Prix « Culture – Espaces culturels et loisirs » : École de musique d'Élancourt, Élancourt (78) – Opus 5 architectes Opus 5 architectes signe la reconversion de l'ancien centre œcuménique d'Élancourt (78) en une nouvelle école de musique pour la commune. La sérénité, l'art et la transmission... voilà les notions sur lesquelles les architectes de l'agence parisienne se sont appuyés pour donner vie à ce projet.Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection de la catégorie « Culture ». La Rédaction
Il y a 4 ans et 260 jours

ADC Awards 2020 : Les lauréats

Pour la septième année consécutive, le magazine Muuuz a décerné les ADC Awards. Suite à la pondération des votes des lecteurs et d'un jury pluridisciplinaire composé d’architectes, de critiques d’architecture, de designers, les ADC Awards 2020 ont récompensé quatorze réalisations architecturales remarquables construites en France et livrées entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2019. Les lauréats ont été primés le mercredi 9 septembre au Carreau du Temple à Paris (11e), à l'occasion d’une cérémonie clôturant le salon Materials & Light. Aujourd’hui, la rédaction du magazine Muuuz est heureuse de vous dévoiler les lauréats de l’édition 2020 ! Catégorie « Lieux de travail » Prix « Lieux de travail » : Woody, Saint-Maurice (94) – Atelier du PontCatégorie « Culture » Prix « Culture – Musées et espaces artistiques » : Fluctuart, Paris (7e) – Seine Design Prix « Culture – Espaces culturels et loisirs » : École de musique d'Élancourt, Élancourt (78) – Opus 5 architectesCatégorie « Vie citoyenne » Prix « Vie citoyenne » : Office de tourisme, Plainfaing (88) – studioladaCatégorie « Enseignement » Prix « Enseignement » : Groupe scolaire, Ambrières-les-Vallées (53) – Onze04 et Tristan Brisard ArchitecteCatégorie « Logement » Prix « Logement – Individuel » : Les parapluies de Cherbourg, Cherbourg (50) – Trapèze Architecture Prix « Logement – Collectif » : 71 logements sociaux, La Courneuve (93) – JTB.architecture et MaO architectesCatégorie « Sport » Prix « Sport » : Complexe de Longueil-Sainte-Marie, Longueil-Sainte-Marie (60) – d+h Architecture EnvironnementCatégorie « Aménagements extérieurs & Paysage » Prix « Aménagements extérieurs & Paysage » : Capitainerie, Piriac-sur-Mec (44) – THE architectesCatégorie « Intérieur » Prix « Intérieur – Résidentiel » : Appartement Jules César, Paris (75) – Atelier Steve Prix « Intérieur – Café, Bar, Restaurant » : Cuisine, Paris (9e) – Federico Masotto Prix « Intérieur – Hôtel » : Cour des Voges, Paris (2e) – Lecoadic-Scotto Prix « Intérieur – Commerce » : Maison Damyel, Paris (17e) – Jessica Barouch et Francesco BalzanoCatégorie « Prix du public » Prix du public : Chai Delas, Tain-l'Hermitage (26) – Carl Fredrik Svenstedt Architecte Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection des ADC Awards 2020. La Rédaction
Il y a 4 ans et 260 jours

Houzz lance Houzz Pro : un logiciel de gestion pour les professionnels de la maison

Houzz Inc., la plateforme de référence pour la décoration, l'aménagement et la rénovation de la maison, a annoncé ce 8 septembre le lancement de Houzz Pro, une solution SaaS tout-en-un qui permet aux professionnels de la rénovation et de la conception de maisons de se démarquer, de gagner plus de clients, d'augmenter leurs bénéfices et de rester connectés avec leurs clients et leurs équipes. Houzz Pro associe le marketing local de Houzz, leader du secteur, à un logiciel commercial facile à utiliser qui permet aux professionnels de la maison de gérer l'ensemble du cycle de vie de leurs projets et de leurs clients sur une seule interface. Grâce au logiciel Houzz Pro et à la nouvelle application mobile dédiée, les professionnels peuvent gérer toutes leurs activités commerciales et la communication avec leurs clients à tout moment, où qu'ils se trouvent.« Aujourd'hui plus que jamais, les professionnels de la construction et de la rénovation veulent des outils qui les aident à fonctionner de manière rentable et efficace, et à offrir une expérience client exceptionnelle »« Nous avons créé Houzz Pro après avoir écouté les besoins de notre communauté de professionnels, et il est important pour nous que ce nouveau logiciel soit à la fois abordable et simple d'utilisation. Nous comprenons qu'avec la COVID-19, les professionnels de notre communauté sont confrontés à des défis. Au vu de ces nouvelles demandes, nous fournissons le logiciel à tous nos abonnés professionnels existants dans le cadre de leur abonnement. »- Alon Cohen, co-fondateur et président de HouzzAvec le logiciel Houzz Pro, les professionnels peuvent :Rester connectés avec leurs clients : Un outil de messagerie intégré prend en charge et relie la communication par e-mail et la messagerie instantanée. Ceci comprend le partage de photos et de documents, les demandes de paiement, les factures, les ordres de modification et les délais, afin que les professionnels puissent rester en contact avec leurs clients depuis le bureau, la maison ou sur le terrain. L'outil suit l'historique complet de la collaboration, y compris l'approbation donnée par les clients et autres principales activités. Communiquer de manière proactive : Les professionnels peuvent tenir leurs clients au courant de l'avancée du projet via un tableau de bord client intégré. Les fonctionnalités comprennent un planning du projet montrant les étapes et les phases clés, des fiches quotidiennes avec les informations détaillées du projet, ainsi qu'un historique des échanges et des documents partagés. Faire avancer les projets plus rapidement : Les rendez-vous vidéo permettent aux professionnels de rencontrer les propriétaires de manière virtuelle et sans risque pour discuter d'un projet. L'outil de rendez-vous est synchronisé à l'agenda du professionnel, ce qui facilite la réservation des appels et des réunions. Les professionnels peuvent promouvoir les rendez-vous virtuels sur leur profil et dans l'annuaire Houzz, ce qui permet aux propriétaires de voir leur disponibilité et de réserver directement une première consultation. Gérer les prospects : Un outil intégré de gestion des prospects permet aux professionnels de gérer leur portefeuille de clients provenant de Houzz et de toute autre source pour rester efficaces et décrocher plus de projets. Les professionnels peuvent communiquer directement avec leurs clients potentiels, ajouter des notes internes et joindre des fichiers ou des photos relatives au projet. Lorsqu'un prospect est converti en projet, tout l'historique de la communication passe à l'outil de gestion de projets. Créer et envoyer des devis, obtenir l'accord des clients directement en ligne : Le nouvel outil de création de devis permet aux professionnels d'établir rapidement des devis précis indiquant les produits, les matériaux et les coûts d'installation spécifiques au projet. Les professionnels peuvent également importer leurs propres devis et enregistrer des modèles personnalisés à utiliser pour leurs prochains projets. Les devis peuvent être envoyés par e-mail ou par messagerie instantanée aux clients pour obtenir leur accord au moyen d'une signature électronique. Suivre les ordres de modification, planifier les paiements : Les professionnels peuvent facilement créer, envoyer et suivre les ordres de modification, ainsi qu'obtenir l'accord du client au moyen d'une signature électronique. La fonction permettant de planifier les paiements peut être automatiquement configurée au moment d'envoyer la facture aux clients. Une nouvelle application mobile dédiée à Houzz Pro est également disponible dès aujourd'hui sur iOS et Android pour les abonnés Houzz Pro. Conçue par l'équipe à l'origine de l'application Houzz — la meilleure application mobile de sa catégorie — l'application Houzz Pro présente toutes les fonctionnalités du logiciel de bureau.Les nouvelles fonctionnalités de marketing et de promotion disponibles dans l'abonnement comprennent des analyses de performance améliorées, un service de création et d'hébergement de site Web professionnel, une vidéo de présentation de l'entreprise et la possibilité de mettre en avant le meilleur avis client. Tous les échanges avec les clients incluent automatiquement le logo et le nom de l'entreprise, pour une image professionnelle solide et une crédibilité renforcée auprès des clients.Houzz Pro est disponible sur houzz.fr/pro, et les abonnements sont adaptés à tous les budgets et à toutes les équipes. Pour aider plus de professionnels à démarrer, les nouveaux forfaits sont proposés à partir de seulement 39 € par mois.Houzz comprend plus de 2,5 millions de professionnels de la rénovation et de l'architecture dans plus de 65 catégories, y compris les architectes d'intérieur, les architectes, les entrepreneurs généraux et les constructeurs. Houzz Pro est accessible à tous les professionnels de la rénovation et de l'aménagement de la maison en France, en Italie, en Espagne, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Irlande, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Russie.
Il y a 4 ans et 260 jours

Paris 2024: le projet (non retenu) de Chaix & Morel et CroixmarieBourdon pour l'Arena Porte de la Chapelle

Si la scénographie d’exposition est ancienne, le métier de scénographe en tant que tel existe pleinement depuis les années 1980. Nourri de son expérience dans le domaine, Arnaud Sompairac interroge l’apport incontournable de l’architecture à la discipline, au travers de la géométrie, de la mesure et du rythme, outils […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 260 jours

Le redressement de l'économie française sera moins rapide en fin d'année

Après le rebond de l'activité permis par le déconfinement, la reprise de l'économie française sera "moins rapide" en fin d'année et le chômage devrait grimper autour de 9,5%, selon l'Insee, certains secteurs restant affectés par les contraintes liées à l'épidémie.Ainsi, si l'économie devrait retrouver 95% de son niveau d'avant crise au troisième trimestre, elle "aborde la rentrée comme un moteur qui serait tout à la fois bridé et dopé", souligne l'Institut national de la statistique dans un nouveau point de conjoncture publié mardi."Il est bridé par le contexte sanitaire avec un virus qui circule toujours activement, impose des restrictions et crée de l'incertitude même si l'on espère pouvoir mieux cohabiter avec lui, mais dopé par les politiques économiques mises en place avec des soutiens massifs d'urgence et le plan de relance", a souligné à l'AFP Julien Pouget responsable du département de la conjoncture à l'Insee.La chute historique de 13,8% du produit intérieur brut (PIB) au deuxième trimestre devrait donner lieu à un rebond mécanique au troisième de +17%, un peu inférieur au +19% auparavant anticipé.Ensuite, la croissance ne sera que de 1% au quatrième trimestre, "reflétant la divergence entre des secteurs presque revenus à la normale et d'autres restant déprimés".L'Insee a toutefois confirmé sa prévision d'une contraction du PIB d'environ 9% sur l'ensemble de l'année 2020, prévoyant qu'"à la fin de l'année, l'activité économique resterait toujours en deçà de son niveau d'avant-crise", d'environ -4%.Le gouvernement table lui toujours sur une récession de -11%, mais le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a déjà indiqué qu'il reverrait sans doute à la baisse cette estimation d'ici la présentation du budget 2021 fin septembre.Les chiffres de l'Insee montrent que "nous avons su amortir le choc de la crise et que nous avons mis les moyens nécessaires pour (...) préserver l'emploi et le pouvoir d'achat" des Français. "Nous sommes dans la bonne direction", a réagi Bruno Le Maire, lors d'une conférence de presse de présentation d'un plan de soutien à l'hydrogène.Pour Julien Pouget, "le plus gros du chemin a été fait pour ceux des secteurs qui ont pu redémarrer quasi normalement leur activité". "Il reste le plus dur, c'est-à-dire les secteurs qui sont très affectés, car ils pâtissent du contexte sanitaire, par exemple la fabrication de matériels de transport, les services de transport, l'hébergement-restauration, l'évènementiel", analyse-t-il.715.000 emplois déjà perdusConséquence, le redressement de l'économie sera "moins rapide" d'ici la fin de l'année et le taux de chômage devrait grimper "autour de 9,5%" fin 2020, soit 1,4 point de plus qu'un an plus tôt, après une perte de 715.000 emplois sur le seul premier semestre.L'incertitude liée à l'évolution de l'épidémie de Covid-19 qui connait un regain important de contaminations en France depuis plusieurs semaines incite ménages et entreprises à la prudence.L'Insee souligne aussi "le risque d'un choc significatif de demande", avec une consommation qui resterait atone du fait d'une confiance des ménages toujours inférieure à son niveau d'avant crise.A l'inverse, le soutien d'urgence massif mis en place par le gouvernement depuis le début de la crise, ainsi que les premiers effets à venir du plan de relance - même si l'Insee les attend surtout en 2021 - vont contribuer au dynamisme de la reprise.Le gouvernement compte notamment sur le plan de relance de 100 milliards d'euros pour insuffler un message de confiance aux ménages et aux entreprises, les incitant à consommer et investir.Il inclut notamment une baisse massive des impôts pour les entreprises, des mesures d'aides à l'embauche, en particulier de jeunes, et un soutien aux investissements dans la transition écologique ou aux capacités de production industrielles."Ça restera long, ça restera difficile (...) il y a beaucoup d'incertitudes devant nous", a reconnu M. Le Maire ajoutant que "maintenant il faut accélérer et c'est tout l'objectif du plan de relance".
Il y a 4 ans et 261 jours

Premiers chiffres encourageants pour Artibat 2021

SALON. En raison de la pandémie, le salon Artibat, qui devait avoir lieu du 21 au 23 octobre 2020, a été repoussé du 13 au 15 octobre 2021. Selon les premiers chiffres dévoilés par les organisateurs, les exposants semblent répondre présents.
Il y a 4 ans et 261 jours

Bodys Isek Kingelez ou l’avant-garde au service d’une ville joyeuse

L’exposition Kings of Kin* réunit trois stars Kinoises (habitants de Kinshasa, RDC) : les peintres Cheri Samba, Moké et l’inclassable « architecte maquettiste » Bodys Isek Kingelez. Découverte de la vision colorée du futur urbain made in Kingelez. L’œuvre, l’artiste, l’architecte Depuis la présentation de son œuvre dans l’historique et controversée exposition Les Magiciens de la Terre […] L’article Bodys Isek Kingelez ou l’avant-garde au service d’une ville joyeuse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 261 jours

La France espère trouver un projet commun avec l'Allemagne pour la production d'hydrogène

"Je serai le 11 septembre à Berlin et nous allons regarder comment conjuguer nos efforts", a-t-il déclaré dans l'émission Grand rendez-vous Europe 1/Les Echos/CNews."Nous allons regarder avec l'Allemagne comment on peut conjuguer les 7 milliards que la France met sur ce grand projet d'hydrogène, avec les 9 milliards que l'Allemagne met de son côté", a poursuivi le ministre."J'espère bien que nous arriverons à trouver un projet commun franco-allemand, puis européen, sur l'hydrogène", a-t-il précisé.Paris consacrera 7 milliards d'euros à un plan Hydrogène sur dix ans, dont 2 milliards iront au développement de la production d'hydrogène "vert", c'est-à-dire non issu des hydrocarbures, en 2021-2022, pour des applications notamment industrielles."Nous ne refaisons pas avec l'hydrogène l'erreur que nous avons faite avec les panneaux photovoltaïques (...) on a tué l'industrie du panneau solaire européenne et subventionné l'industrie du panneau solaire chinois: il est hors de question qu'on refasse la même chose", a-t-il dit."Sur l'hydrogène, nous ne finançons pas l'achat d'hydrogène, nous finançons la réalisation de produits industriels, par exemple de piles à combustibles (...), de réseaux de distribution", a dit le ministre de l'Économie.Berlin a dévoilé début juin un plan de développement de l'hydrogène propre, produit par électrolyse de l'eau avec de l'électricité issue de sources renouvelables, auquel l'Etat consacrera 9 milliards d'euros.La Commission européenne a fait du développement de cet hydrogène propre au sein de l'UE un investissement prioritaire après la crise sanitaire, afin de décarboner les secteurs les plus polluants comme la sidérurgie et les transports, dans la course vers la neutralité climatique en 2050.
Il y a 4 ans et 262 jours

Plan de relance : deux appels à projets pour la rénovation des bâtiments publics

A l’occasion d’une Conférence nationale de l’immobilier public, la ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, et et le ministre chargé des Comptes public, Olivier Dussopt, ont annoncé le lancement de deux appels à projets dédié à la rénovation des bâtiments publics de l’Etat et de ses opérateurs. Le gouvernement souhaite que les premiers marchés soient notifiés au tout début de l’année 2021.
Il y a 4 ans et 262 jours

BIM d'Or : Les nominés Projet international infrastructures

Le 21 septembre aura lieu à la Station F, à Paris, la 7e cérémonie des BIM d’Or. Les lauréats des 11 catégories seront dévoilés. Assistez en live à la cérémonie de remise des BIM d’or, inscription gratuite ici : https://www.lemoniteur.fr/nos-webinars/trophees-bim-d-or-100042287?
Il y a 4 ans et 262 jours

Crypte de Notre-Dame – De Victor Hugo à Eugène Viollet-le-Duc

La Crypte archéologique de l’île de la Cité, témoin de plus de 2000 ans d’histoire, a rouvert ses portes au public le 9 septembre 2020 avec une exposition hommage retraçant l’histoire de Notre-Dame de Paris au temps de Victor Hugo. Jusqu’au 30 juin 2021. Au début du XIXe siècle, la cathédrale, vieille de plus de […] L’article Crypte de Notre-Dame – De Victor Hugo à Eugène Viollet-le-Duc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 262 jours

Ville et Bâtiments : accompagner la sortie de crise et se préparer aux crises sanitaires futures

Photo : Bertrand Rieger / hemis.frLa crise sanitaire liée au Covid-19 a profondément modifié notre mode de vie pendant quatre mois. Nous avons passé pratiquement 100 % de ce temps dans notre logement ou à moins d'1 km de celui-ci. Cette situation inédite a souvent mis en évidence que les espaces où nous vivons peuvent autant être des refuges que des vecteurs de la pandémie. La pandémie associée au virus SARS-CoV-2, repose, du fait de son impact à l'échelle internationale, une question essentielle : quel rôle le bâtiment et l'environnement construit peuvent-ils jouer dans la gestion d'une crise en termes de qualification de l'aléa (qu'il soit sanitaire, écologique, associé aux évènements climatiques, sismique, etc.) ou de caractérisation de la vulnérabilité induite (qu'elle soit sanitaire, économique, écologique, structurelle) ? Le CSTB développe au travers de ses différentes approches disciplinaires, une méthodologie d'analyse structurée des phénomènes de crise, permettant ainsi d'apporter, avec ses partenaires scientifiques, des réponses systémiques et opérationnelles aux différents acteurs socio-économiques et décideurs politiques, et non une simple réponse disciplinaire. Les crises se déclinent [toujours] suivant une même temporalité pré-crise / crise / post-crise, avec deux modulations spécifiques par les échelles des temps long et court : l'anticipation et la prévention pour la pré-crise au temps long résultant de l'apprentissage de la post-crise à la même échelle. Ainsi la problématique initiale se déclinera-t-elle dans une analyse de la contribution du bâtiment et de l'urbain à une résilience multifactorielle face aux crises, quelle qu'en soit la nature. La césure du temps court quant à elle ouvre la voie aux crises résultantes qu'elles soient sanitaires, économiques, sociales ou environnementales, qui se surajoutent à la sortie de crise dans un processus d'amplification des effets. La crise de la maladie Covid-19 n'échappe pas à cette réalité. Si la pré-crise a été mondialement sous-estimée, malgré des foyers épidémiques récents (coronavirus : SRAS en 2003, MERS en 2012, grippe H5N1 en 1997-2003, H1N1 en 2009) et des réalités plus explicites de pandémies mondiales (grippe espagnole en 1918, grippe asiatique en 1957, grippe de Hong Kong en 1969), l'évolution en pandémie, exacerbée par les mobilités inter-régionales et l'absence de protection organisée, nous a conduits à la crise actuelle, sans que nous n'y soyons réellement préparés. Au vu des 80 % du temps quotidien passé par chacun d'entre nous dans un bâtiment, que ce soit logement, tertiaire, commerce, la mise en place d'un confinement place ainsi le bâtiment et l'espace urbain au cœur des questionnements, ici sanitaires, avec plus de 95 % de temps contraint, même si jusqu'à présent cela n'a pas été explicite. Au-delà des sujets « bâtiment » versus crise, le révélateur du confinement a été de remettre sur le devant de la scène la problématique sociale, du fait ici de la crise économique découlant de la crise sanitaire. Mais cela pourrait tout autant s'appliquer aux autres crises ou phénomènes d'ampleur comme par exemple la surmortalité à la suite des vagues de chaleur du fait de la « crise » environnementale (même si le terme crise ne s'applique pas précisément du fait de sa non-finitude), de la paupérisation des plus faibles à la suite de la « crise » environnementale encore, mais cette fois-ci liée aux extrêmes orages, tornades, inondations, etc. Ce point est très important car comme on l'a remarqué au niveau international (USA notamment) la fracture sociale est exacerbée par ce type de crise qui révèle des disfonctionnements majeurs, récurrents, mais sous évalués par le politique (exemple de la politique de la santé vs. hôpital notamment, mais aussi le déficit d'équipement de certains foyers en termes d'outil numérique (PC) pour l'éducation des enfants). La question que le CSTB aborde – quel est le rôle du bâtiment et de l'environnement construit dans la gestion d'une crise – s'inscrit dans chacune de ces phases, dans une logique scientifique, mais doit répondre aux attentes des différents acteurs dans des délais et des niveaux de complexité variables. Elle nécessite une réponse collective, tant au niveau du CSTB que de ses partenaires scientifiques et des acteurs socio-économiques du secteur. Dans la phase actuelle de la gestion de cette crise si particulière, l'expertise du CSTB, issue de travaux de recherche menés depuis de nombreuses années, permet d'ores et déjà de répondre à certaines problématiques de ses donneurs d'ordres : caractériser les sources du Covid-19, les facteurs déterminant son transport dans le bâtiment et l'exposition des occupants ; proposer des moyens de gestion, des conditions d'occupation et de fonctionnement du bâtiment et ses équipements (par exemple sur ventilation, la réduction du taux d'occupation des locaux) au regard de la contamination biologique ; comparer par simulation les solutions de circulation les unes aux autres, en évaluant l'influence sur le reste du bâtiment, et identifier les zones de congestion potentielle susceptibles de provoquer des lieux à risque ne permettant pas de garantir les distances sanitaires ; identifier si les solutions de gestion sont en adéquation avec les règles existantes, notamment en termes de sécurité incendie, de ventilation et traitement d'air, de sécurité de fonctionnement des appareils à combustion et d'accessibilité ; analyser l'impact de stratégies de ventilation (type de système, niveau de renouvellement d'air) vis à vis de l'efficacité du renouvellement d'air et du transfert de contaminant et du niveau de concentration intérieure ; déterminer des stratégies de nettoyage des surfaces et des réseaux et de mise en œuvre des équipements spécifiques de traitement d'air (par exemple épurateurs autonomes, dispositifs en CTA). Au-delà de ces expertises directement disponibles, le CSTB a décidé de mobiliser ses compétences scientifiques pour conduire des travaux de recherche, pour améliorer les connaissances et les réponses à apporter sur les enjeux de circulation et de traitement d'un virus à l'intérieur d'un bâtiment ou en milieu urbain. Plus précisément, le premier projet se penchera sur la circulation des virus dans les espaces bâtis, leur interaction avec les revêtements ou les meubles et l'élaboration de protocole d'évaluation des systèmes de traitement de surface et de leur impact tant sanitaire que physique. Le second projet étudiera la prise en compte des enjeux sanitaires dans la conception des espaces publics et dans leur réalisation, de leur géométrie jusqu'au choix des matériaux les plus adaptés en termes notamment de capacité à être nettoyés, et de résistance aux agressions chimiques. La crise sanitaire et le confinement ont par ailleurs profondément modifié notre rapport à notre lieu de vie et plus largement à notre environnement. L'espace public urbain, hier réservé aux fonctions de déplacements automobiles et alternatifs a parfois retrouvé pendant le confinement sa dimension de lieu de villégiature. Cette transformation est-elle durable ou sera-t-elle purement ponctuelle ? C'est un enjeu majeur pour les collectivités locales et les aménageurs pour l'exercice de leur responsabilité. Cela nécessitera de mobiliser une capacité de recherche sur ces modifications potentielles de nos comportements. Le CSTB souhaite se mobiliser et participer à des travaux de recherche de plus grande ampleur sur les évolutions sociologiques voire sociétales induites par la crise sanitaire. La Corée du Sud nous a montré l'exemple. Touchée par les précédentes pandémies du SRAS et du MERS, elle a su investir pour préparer les crises sanitaires futures et notamment développer leurs connaissances des facteurs qui permettent d'en limiter l'impact. Nous ne partons donc pas de rien. Le CSTB se mobilisera avec tous les partenaires scientifiques et économiques de bonne volonté sur ces domaines d'excellence pour participer à l'effort collectif indispensable pour préparer la prochaine crise, qu'elle soit sanitaire ou environnementale.
Il y a 4 ans et 266 jours

Architect@Work, la 13e édition les 24 et 25 septembre 2020

ARCHITECT AT WORK ARCHITECT MEETS INNOVATIONS PARIS EVENT CENTER –  13ème édition Jeudi 24 & vendredi 25 septembre 2020 Thème édition 2020 : ESPACES DE VIE   La 13ième édition d’ARCHITECT@WORK PARIS ouvrira ses portes les 24 & 25 septembre prochains.  Cet événement a sélectionné à nouveau plus de 700 nouveaux produits présentés par 220 industriels participants.  Afin de garantir une visite dans un environnement sain et sécurisé, cette édition sera organisée sous le strict respect des nouvelles normes sanitaires. Plus d’info sur www.architectatwork.fr Un concept unique et haut de gamme Evénement réservé exclusivement aux architectes et architectes d’intérieur, ARCHITECT@WORK dispose d’une scénographie originale qui lui confère une atmosphère feutrée et raffinée.  Cet événement s’inscrit dans une démarche hautement qualitative. C’est en effet un comité de sélection qui choisit les nouveautés des industriels qui peuvent être présentées. Cette procédure apporte, pour le visiteur, la garantie de réaliser une visite enrichissante. En outre, des boissons et en-cas sont à disposition toute la journée ; une attention fort appréciée de tous ! Exposition matériaux – MATERI’HOME, des matières à vivre – Hall A Parce que le choix d’un matériau ou d’une technique de fabrication est déterminant dans l’aménagement de nos espaces de vie, l’équipe Innovathèque vous invite à venir découvrir une sélection de matières variées pour concevoir vos intérieurs. Avec le développement du télétravail, nous passons de plus en plus de temps dans notre habitat. Il est donc primordial d’aménager des environnements à notre image qui s’adaptent à nos modes de vie et nos envies.  Matières tactiles et connectées qui ouvrent la voie à de nouveaux usages, matières alvéolaires légères et systèmes d’assemblage innovants pour plus de modularité dans l’habitat, matières recyclées alternatives à nos matériaux traditionnels, matières qui préservent l’environnement et la santé, matières qui jouent avec nos sens…Autant de solutions techniques et esthétiques qui participent à réinventer l’aménagement intérieur pour favoriser notre bien-être.  Exposition photographique : SELECTION OF PROJECTS – Hall A Le Project Wall ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera la diversité du travail des agences membres de World-Architects. Alors que les deux premières expositions portaient exclusivement sur le travail d’architectes, la sélection de 2020 montrera l’orientation interdisciplinaire de World-Architects.  World Architects.com – Profiles of Selected Architects est une plateforme de la scène architecturale actuelle, soigneusement élaborée et reconnue à l’échelle internationale, qui met l’accent sur l’architecture contemporaine. Elle rassemble des architectes, paysagistes, ingénieurs, designers, concepteurs d’éclairage et photographes. Exposition photographique – Lauréats DUO@WORK 2014-2019 – Hall B Dans le cadre de cette 12ème édition, le Comité de pilotage a souhaité présenter les lauréats des 6 premières éditions du concours DUO@WORK    organisé par l’UNSFA Ile-de-France-.  Ce prix distingue les projets qui associent, en étroite complémentarité, recherche architecturale et création industrielle innovante. Tout projet est éligible dès lors qu’il est le résultat d’un parcours concerté, entre un architecte et un industriel, en matière de réflexion, d’invention, de création ou d’adaptation d’un produit, ou d’un ensemble de produits. Les projets présentés sont récents, en cours d’élaboration ou de mise en œuvre.  A noter que le lancement de la 7ième édition de ce concours aura lieu à l’occasion de l’inauguration officielle d’ARCHITECT@WORK 2020. Exposition ACCESSIBILITÉ SÉCURISÉE – Hall A Que cela soit dans la rue, dans des lieux publics, dans un restaurant, un hôtel ou chez soi, l’accessibilité est au cœur des débats depuis la loi de 2015, Handicap 15. Les personnes en situation de handicap sont enfin reconnues car elles sont plus de 10 millions en France. Or 80% d’entre elles ont un handicap invisible…. Aujourd’hui, l’architecte doit intégrer tous ces paramètres dans ses projets et trouver des solutions techniques pour rendre nos vies inclusives et sécurisées au maximum. Depuis 2014, Francis van de Walle présente –à travers sa SENSES ROOM- des solutions pour répondre aux besoins et attentes de tous les handicaps ou maladies lourdes. Il élargit aujourd’hui sa réflexion à la prévention de la propagation d’une maladie virale qui voit le retour du cuivre, un métal qui neutralise tous les virus d’une façon naturelle et efficace. Interventions – Hall B En complément de ces expositions, des interventions d’architectes et de spécialistes principalement axées sur le thème ‘ESPACES DE VIE’. A noter : – une Carte Blanche Archinov dédiée à l’architecte Daniel Meszaros, agence Projectiles (musée de Lodève, musée du folklore wallon, Galerie d’histoire au Château de Versailles..)  – une table ronde ayant pour titre ‘Espaces d’après’ avec les architectes David Enon -agence TVK-, Sophie Delhay, Équerre d’Argent 2019, catégorie Habitat,, et Sarah Wertheimer-Vateau, Fondatrice chez De La Friche Au Projet. – une intervention de Jac Fol, Docteur en philosophie, architecte et chercheur à l’ENSA Paris-Malaquais. Pièces artistiques Faisant à nouveau le lien entre l’art et l’architecture, ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera des réalisations de la plasticienne Nathalie Camoin-Chanet. A la fois fine et puissante, révélant une subtile maitrise des lignes ondulatoires, la sculpture de Nathalie Camoin-Chanet est au croisement de deux influences qui laissent s’épanouir des œuvres aux lignes épurées vers une dynamique abstractive. La maîtrise des matériaux composites lui permet de projeter ses visions aériennes qui l’emmènent le plus souvent à exposer en extérieur. Les sculptures de Nathalie Camoin-Chanet sont paysage, le témoignage d’un flux de données contextuelles qui investit les lieux tant par les formes qu’il propose que par les histoires qu’il invente. ARCHITECT@WORK 2020 vous réserve un programme riche et animé, avec de nombreux nouveaux produits à découvrir et ce, dans un environnement sain et sécurisé.  PARIS EVENT CENTER – 24 & 25 septembre – 13ème édition Jeudi 24 septembre 2020 – 10h00 – 20h00 Vendredi 25 septembre 2020 – 10h00 – 19h00  
Il y a 4 ans et 266 jours

Jacqueline Osty est lauréate du Grand Prix de l'urbanisme

RÉCOMPENSE. La paysagiste Jacqueline Osty a été désignée Grand Prix de l'urbanisme 2020 par un jury réuni autour du ministère chargé du logement en juillet. Son prix lui sera remis lors d'une cérémonie organisée à la fin de l'année.
Il y a 4 ans et 267 jours

DuPont Sustainable Solutions célèbre son 1er anniversaire en tant que conseil indépendant

DuPont Sustainable Solutions célèbre son 1er anniversaire en tant que conseil indépendant La société présente une solide performance pour sa 1ère année d’activité et élargir son expertise digitale pour nourrir sa croissance future GENÈVE, Suisse – 1er septembre 2020 – Dupont Sustainable Solutions (DSS) célèbre son premier anniversaire en tant que cabinet de conseil indépendant spécialisé en sécurité industrielle, excellence opérationnelle et gestion des risques suite à sa séparation de DuPont. Toujours plus agile et mieux positionnée pour fournir à ses clients des solutions innovantes, DSS s’appuie sur une solide réputation d’excellence depuis 1968 pour aider ses clients à toujours mieux protéger leurs employés et leurs infrastructures, améliorer l’efficacité de leurs opérations, innover plus rapidement et faire progresser les capacités de leurs équipes, grâce aux nouvelles technologies. « Je suis très fier de tout ce que DSS a accompli au cours de l’année passée pour nos clients et nos collaborateurs en tant qu’entreprise indépendante » a déclaré Davide Vassalo, CEO de DuPont Sustainable Solutions. « Malgré les difficultés liées à la pandémie de COVID-19, DSS a prospéré, innové, résolu avec succès les défis rencontrés par ses clients et s’est positionnée de façon à leur offrir des résultats durables dans le futur. Je suis enthousiaste par ce que l’avenir nous réserve, et au nom des employés de DSS présents dans le monde entier, je voudrais remercier nos clients pour leur confiance durant cette première année ». Durant l’année passée, DSS a réalisé : • Une solide croissance et performance financière DSS a enregistré une augmentation de 8% de ses revenus en glissement annuel au cours de ses six premiers mois d’activité en tant qu’entreprise indépendante et a augmenté le nombre total d’employés dans le monde de 7%. DSS compte aujourd’hui plus de 900 salariés répartis dans 38 bureaux à travers le monde. • Des acquisitions stratégiques pour accroître son expertise sectorielle DSS a renforcé ses capacités et ses offres de service dans des secteurs à fort potentiel comme les industries extractives, l’agro-alimentaire et la production et distribution d’eau et d’électricité. Pour renforcer son expertise dans le secteur de l’industrie minière, DSS a acquis, en février, Lodestone Partners, une société de conseil reconnue sur le marché pour aider les entreprises à améliorer leur performance opérationnelle. • Des offres adaptées à la COVID-19 et la reprise d’activité DSS a rapidement élaboré une série de solutions pour permettre aux chefs d’entreprise de prévenir la propagation de la COVID-19 et d’atténuer son impact économique. DSS a proposé ses conseils en management pour les aider à protéger leur personnel et à réduire leur risque d’exposition au travail, à gérer efficacement un effectif en télétravail, à améliorer les capacités et les compétences en matière de leadership, à redémarrer avec succès les opérations après un arrêt prolongé et à planifier la reprise et la pérennité des activités. • De nouvelles capacités en digital et analyse de données Les opérations étant de plus en plus numériques, DSS a massivement investi dans le développement de solutions digitales qui permettent aux clients d’obtenir plus rapidement et plus efficacement des résultats en matière de sécurité et de gestion des risques. Elles reposent sur des méthodes d’apprentissage innovantes pour développer des compétences clés afin de garantir l’acceptation, l’intégration et l’utilisation correcte des nouvelles technologies ; www.SafetyTech.ai, une nouvelle plateforme pour identifier et utiliser des nouvelles technologies qui apportent une meilleure protection aux employés ; DSS Transform, une application qui permet de numériser les processus et les procédures, ainsi qu’analyser les données – tout cela pour permettre aux organisations d’obtenir les informations nécessaires pour accélérer les améliorations en matière de gestion des risques et d’excellence opérationnelle. • Une reconnaissance renouvelée de son expertise et de son impact clients DSS a continué à être reconnu pour son expertise au cours de sa première année en tant qu’entreprise indépendante. En septembre 2019, le rapport ALM Vanguard of Asset Performance Management Consulting Providers du cabinet de recherche indépendant ALM Intelligence a désigné DSS comme l’un des meilleurs cabinets de conseil en opérations en milieu industriel. En octobre 2019, le cabinet d’études indépendant Verdantix a classé DSS au premier rang des cabinets de conseil EHS (Environnement, Santé et Sécurité), et ce pour la troisième année consécutive. Et en juillet dernier, DSS a été reconnu parmi les 20 leaders mondiaux de la formation en ligne dans le 2020 Training Industry Top 20 Online Learning Library Companies Watch List par Training Industry, Inc., le centre mondial de recherche et d’information pour les leaders de la formation en entreprise. http://bit.ly/about-dss
Il y a 4 ans et 267 jours

Réouverture des ateliers de la flèche de la basilique de Saint-Denis lors des journées du patrimoine

Dans le cadre du futur chantier de reconstruction de la flèche de la basilique de Saint-Denis, les ateliers d’été, qui s’étaient déroulés du 5 juin au 5 août, se tiendront à nouveau, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine, les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020. Ces ateliers ont permis aux Français, aux Franciliens et, en premier lieu, aux Séquano-Dionysiens de découvrir la basilique de manière ludique, de mieux comprendre l’histoire du monument et de s’initier aux savoir-faire des bâtisseurs de cathédrales. En écho à la thématique de la 37e édition des Journées européennes du patrimoine, « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! », des ateliers seront tout particulièrement organisés pour les scolaires. Le vendredi 18 septembre, un parcours pédagogique sera ainsi proposé à quatre groupes d’élèves afin de sensibiliser les jeunes générations à leur environnement patrimonial, aux savoir-faire qui y sont associés et à l’importance de sa préservation. Pendant tout le week-end, les exposants présents effectueront, à destination de tous les publics, des démonstrations de forge et de taille de pierre sur la base d’outils et de pierres qui seront, par la suite, utilisés pour le chantier. Les visiteurs auront également l’occasion de s’essayer aux métiers d’art grâce à une initiation à la taille de pierre.
Il y a 4 ans et 267 jours

Le rappeur Akon pose au Sénégal la première pierre d'une ville digne du Wakanda

Connu pour ses tubes R&B "Locked Up" ou "Smack That", le chanteur et producteur américano-sénégalais de 47 ans a expliqué lors d'une conférence de presse avoir posé la première pierre de son gigantesque projet, au coût estimé de 6 milliards de dollars, dans le petit village de Mbodiène, sur les rives de l'Océan atlantique, à une centaine de kilomètres au sud de Dakar.La future ville entend faire du Sénégal la porte d'entrée de l'Afrique, a dit le chanteur devant de nombreux journalistes sénégalais et internationaux."Une de mes plus grandes motivations, c'est que quand je suis aux Etats-Unis, je rencontre beaucoup d'Afro-américains qui ne comprennent pas vraiment leur culture. J'ai donc voulu construire une ville ou un projet comme celui-ci pour leur donner la motivation de venir voir d'où ils viennent", a dit Akon.Né aux Etats-Unis de parents sénégalais, et ayant passé une partie de son enfance au Sénégal, il est retourné à l'âge de sept ans dans son pays natal, où il a accédé à la notoriété.Formes bizarresUn film d'animation montré a présenté les futurs "districts" d'Akon City, dessinés par l'architecte Hussein Bakri: l'un, consacré aux loisirs, devrait accueillir un casino, un stade multi-sports et un centre commercial, un autre des immeubles de logements et de bureaux, un troisième un "village des cultures africaines", des restaurants et des chalets pour touristes.Plus loin, un hôpital général, un poste de police, un campus et des studios de cinéma, ainsi qu'un "pôle technologique", devraient sortir de terre."J'ai dit: +Hussein, je veux que mes bâtiments ressemblent à des sculptures+", a expliqué le rappeur, qui alternait wolof, la langue locale la plus parlée au Sénégal, et l'anglais."Je veux que l'architecture ressemble aux vraies sculptures africaines qu'ils font dans les villages. Les formes sont peut-être bizarres, mais au moins elles sont africaines", a-t-il ajouté.Interrogé sur les similitudes entre son projet et le Wakanda, royaume imaginaire situé en Afrique où se déroule le film et la bande dessinée "Black Panther", il a expliqué que cette comparaison avait décuplé sa motivation.Les travaux d'Akon City débuteront "au premier trimestre de 2021", a précisé le rappeur, Alioune Badara Thiam de son vrai nom.300.000 habitantsLa première phase de développement, censée être achevée en 2023, couvrira 55 hectares. A la fin de la décennie, le complexe devrait s'étendre sur 500 hectares, avec un "district" agricole et des îles artificielles, doté d'une marina pouvant accueillir des navires de croisière."Nous pensons que 300.000 personnes habiterons à terme dans la ville", a confié à l'AFP l'architecte Hussein Bakri, en marge de la conférence de presse.Akon, très impliqué dans l'énergie renouvelable avec son entreprise Akon Lighting Africa, dont l'objectif est d'électrifier l'Afrique avec de l'énergie solaire, insisté sur l'aspect écologique de la future cité, qui utilisera au maximum des matériaux renouvelables et prioritairement d'origine africaine.Il a expliqué s'être rendu à Mbodiène pour recueillir les conseils et les bénédictions des anciens, et estimé que les populations locales, ainsi que la jeunesse sénégalaise, profiteront de ce nouveau pôle de développement.Le ministre sénégalais du Tourisme, Alioune Sarr, a dit vouloir donner tort aux "Cassandre et oiseaux de mauvaise augure qui voient toujours les nouveaux projets comme des chimères", affirmant que le Sénégal avait pris l'engagement que "ce projet soit réalisé dans les délais indiqués".Akon n'est pas la seule célébrité à revenir aux sources pour semblable investissement. L'acteur et réalisateur britannique Idris Elba projette de bâtir un complexe touristique écoresponsable sur une île de la Sierra-Léone, pays d'Afrique de l'Ouest d'où son père était originaire.
Il y a 4 ans et 267 jours

Lafarge accusé de polluer la Seine, Hidalgo dénonce un "scandale écologique"

"C'est un véritable scandale écologique, alors que nous travaillons avec nos partenaires depuis de nombreuses années pour améliorer la qualité du fleuve", s'est émue la maire socialiste de la capitale en partageant sur Twitter l'information révélée par Europe 1.Selon la radio, une usine Lafarge située dans le quartier de Bercy, dans l'est de la capitale, rejette dans le fleuve un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Contacté par l'AFP, le parquet de Paris a annoncé qu'une enquête était déjà ouverte depuis que l'Office français de la biodiversité (OFB) a constaté le 27 août une "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a indiqué que des inspecteurs de son ministère allaient se rendre sur place et que les "responsables seraient poursuivis".Dans un communiqué, Lafarge s'est dit "victime" et affirme que l'écoulement en question est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant", et n'est en rien un acte volontaire de l'entreprise.Selon le cimentier, "l'écoulement a été stoppé" et les actions de contrôles sur les centrales vont être renforcées.Le parquet a confié fin août à l'OFB et à la brigade fluviale une enquête judiciaire pour "déversement de substances nuisibles par personne morale", "jet ou abandon par personne morale de substances nuisibles" et "utilisation de produits phytosanitaires sans respecter les conditions d'utilisation".La mairie de Paris a demandé à son tour mardi la saisine du procureur de la République, "y compris sur l'auto-saisine du procureur, pour un constat d'infraction pénale et une enquête préliminaire", a précisé Emmanuel Grégoire, premier adjoint, lors d'une conférence de presse."Nous sommes très en colère", a lancé l'élu, qui reproche au cimentier de n'avoir pas suffisamment surveillé le site en question et d'avoir informé trop tardivement la mairie, prévenue qu'"hier soir autour de 23H00", alors que l'enquête a débuté le 27. Ce qui "laisse douter de l'explication avancée", a ajouté M. Grégoire, ajoutant que cet incident "ne sera pas sans conséquence sur notre regard au global sur ce type de site".Maîtrise des bergesL'adjoint au maire a demandé par ailleurs à l'établissement public Ports de Paris, qui concède les sites, "de mettre en place des mesures de surveillance", menaçant de "reprendre la maîtrise des berges" de la Seine.L'élu a également dit recevoir depuis ce mardi des témoignages de riverains "qui font état pour l'ensemble des groupes qui produisent du ciment de pratiques douteuses", comme des déversements directs dans la Seine ou des vidanges pirates.Plus tôt dans l'année, Lafarge-Holcim avait déjà été accusé de polluer la Seine par les militants d'Extinction Rebellion.Visée par une série d'actions du groupe écologiste sur plusieurs de ses sites parisiens, l'entreprise avait alors assuré que ses installations répondaient "strictement aux normes environnementales et qu'aucune pollution de la Seine n'avait été causée" par leur exploitation.En avril 2019, le groupe Vinci avait lui aussi été accusé de déverser des résidus de béton dans la Seine sur le site d'une de ses filiales, situé à Nanterre. Il avait ensuite été condamné à une amende de 50.000 euros."Nous déplorons la trop grande faiblesse des sanctions" qui ne sont pas assez dissuasives, a insisté Emmanuel Grégoire.