Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17709 résultats)
Il y a 4 ans et 302 jours

Dimensions of Reality : Female Minimal

À la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin, l’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal met à l’honneur quatorze artistes femmes pionnières de l'abstraction géométrique, qui sont longtemps restées dans l’ombre de leurs confrères masculins. Replacer ces artistes femmes dans l’histoire de l’art abstrait, et plus largement dans l’histoire de l’art, tel est l’objet de cet événement inédit. L’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal réunit quatorze artistes femmes du XXe siècle mues par le même désir d’émancipation, qui ont contribué à bouleverser l'abstraction géométrique telle qu’elle a été portée par les hommes, mais qui ont été évincées de l’histoire de l’art et sont encore méconnues du grand public. À travers une sélection réfléchie d'œuvres datant des années 1920 au début des années 1980, les commissaires Anke Kempkes et Pierre-Henri Foulon ont choisi, d’une part, de différencier le « minimal » de « l’art minimal » pour élargir le cadre spatiotemporel habituel de ce mouvement né dans les années 1960 aux États-Unis, et, d’autre part, de contester les discours d’une histoire de l’art canonique masculine, en rendant visibles plusieurs artistes femmes remarquables qui ont joué un rôle central dans l’évolution de l’art abstrait en Europe et en Amérique. Malgré la pluralité des contextes historiques, géographiques et culturels dans lesquels chacune de ces artistes a créé, les œuvres présentées à la galerie donnent à voir un ensemble cohérent, qui révèle la dimension « émancipatrice » de leur approche de l’art abstrait tout en s’intéressant à des aires géographiques, qui avaient été jusque-là négligées, comme l’Europe de l'Est et l’Amérique latine. Au fil du parcours, le public découvre avec émerveillement les œuvres de Feliza Bursztyn, Rosemarie Castoro, Maria Lai, Liliane Lijn, Verena Loewensberg, Mary Miss, Kazuko Miyamoto, Vera Molnár, Marlow Moss, Lucia Moholy, Lydia Okumura, Loló Soldevilla, Magdalena Więcek et Shizuko YoshikawaL’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal appelle à en finir avec une histoire de l’art discriminante, et a donc le mérite de réhabiliter quatorze artistes femmes qui sont injustement moins connues que les figures les plus célèbres de l’art minimal, telles Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd ou encore Sol LeWitt. L’initiative de la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin témoigne de la volonté récente de plusieurs lieux culturels de réévaluer la contribution des artistes femmes à la création en les inscrivant enfin dans une histoire de l’art décloisonnée. Dimensions of Reality : Female Minimal, du 22 février au 25 juillet 2020, à la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin (93500). Pour en savoir plus, visitez le site de la Galerie Thaddaeus Ropac. Photographies : © Charles Duprat, Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac London · Paris · SalzburgLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 303 jours

Susanna Fritscher fait battre le pouls du Centre Pompidou-Metz - Exposition

Le Grand Prix de l’urbanisme 2020 est décerné à la paysagiste Jacqueline Osty. La distinction, attribuée par le ministère de la Transition écologique aux professionnels de l'aménagement du territoire pour leur participation à faire progresser la fabrique urbaine, lui sera officiellement remise à la fin de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 303 jours

Un sculpteur tchèque dessine une maison flottante imprimée en 3D

Coulée en béton spécial à Ceske Budejovice (sud), la maison devrait être acheminée à Prague en août."J'ose dire que c'est le tout premier bâtiment flottant imprimé en 3D dans le monde", a dit à l'AFP Michal Trpak, le cerveau du projet.Le design de la maison, qui peut être imprimée en 48 heures, s'inspire de la morphologie des protozoaires et comprend un salon avec une cuisine, une chambre et une salle de bains, le tout d'une surface de 43 m²."Les maisons 3D s'adapteront aux gens ou au paysage. Le robot ne se soucie pas du contour", a déclaré Trpak au milieu du bourdonnement d'un bras mécanique à bec posant patiemment, couche après couche, des bandes successives de béton."Cette maison est conçue comme celle de loisirs à la campagne, idéale pour un couple ou une petite famille", a précisé M. Trpak, qui s'est inspiré de projets d'habitations imprimées en 3D aux Pays-Bas.Si le prototype semble à son dessinateur encor cher, "une deuxième génération devrait coûter environ trois millions de couronnes (112.600 euros) et la troisième environ la moitié de ce prix", estime-t-il.Une fois imprimés, les modules de la chambre et de salle de bain seront fixés à un noyau en bois avec de grandes fenêtres, et recouvertes d'un toit.La maison sera ensuite transportée à Prague, installée sur un ponton et remorquée jusqu'au quai sur Vltava où elle restera pendant deux mois."Nous n'avions pas de terrain pour l'installer, et de toute manière, pour ce faire, il faut un permis de construire ce qui prend jusqu'à deux ans", a expliqué M. Trpak.Mais sur une rivière, "vous n'avez besoin que du consentement de l'organisme responsable de la navigation, ce qui est beaucoup plus rapide", a-t-il ajouté.Selon lui, le toit et les murs de cette maison inspirée par la nature peuvent être recouverts de plantes.La construction a certes rencontré des problèmes, le béton utilisé étant sensible aux changements de température lors du durcissement."Nous continuons à chercher et à développer (le projet, ndlr). C'est un processus d'essais et d'erreurs", a rappelé M. Trpak.
Il y a 4 ans et 306 jours

L’Union sociale pour l’habitat annonce le report en septembre 2021 de son 81ème Congrès

 L’Union sociale pour l’habitat a décidé de reporter la tenue de son 81ème Congrès, initialement prévu du 22 au 24 septembre 2020 au parc des expositions de Bordeaux.  Le décret n°2020-860 pris en application de la loi du 9 juillet 2020 organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire pour la période du 11 juillet 2020 au 30 octobre 2020 inclus, alors qu’il autorise de nombreuses formes de manifestations, notamment sportives ou culturelles, dispose en effet que les Etablissements recevant du public (ERP) de type T (établissements à vocation commerciale destinés à des expositions, foires-expositions, salons ayant un caractère temporaire, salles d’exposition à caractère permanent n’ayant pas une vocation de foire ou de salon) ne peuvent accueillir de public. Le Congrès Hlm, qui accueille chaque année plusieurs milliers de congressistes et de visiteurs et plus de 300 structures exposantes, entre dans cette catégorie.  Cette situation est sans précédent pour l’USH, et la contraint par conséquent à reporter le 81ème Congrès Hlm qui se tiendra donc du 28 au 30 septembre 2021 à Bordeaux.  Ce report, historique et rendu nécessaire par les circonstances, ne privera pas le Mouvement Hlm de sa capacité à faire connaitre ses propositions et ses projets pour la relance économique, et à peser dans le débat public, alors même que la question du logement a retrouvé, dans le contexte de la crise que nous connaissons, toute son importance. L’Union sociale pour l’habitat organisera donc à l’automne, à Paris, une journée consacrée aux objectifs de la relance, et aux moyens nécessaires pour construire, collectivement, une relance juste et durable.  Pour Jean-Louis Dumont, président de l’Union sociale pour l’habitat, « Le Congrès Hlm est un événement politique et économique majeur pour un secteur – le logement social – qui comprend 80.000 salariés et administrateurs, loge 11 millions de personnes, construit chaque année plus de 100.000 logements et investit près de 18 milliards d’euros dans l’économie française. C’est avec tristesse, mais aussi avec responsabilité et gravité que nous avons pris la décision de ce report. Le 81ème Congrès Hlm se tiendra donc à Bordeaux, en septembre 2021, et le Mouvement Hlm y donne d’ores et déjà rendez-vous à ses partenaires politiques, associatifs, économiques ».  Plus d’infos sur : https://www.union-habitat.org
Il y a 4 ans et 306 jours

Regards : La modernité en bord de mer

[©Editions du Parimoine] Lieu paradisiaque sur le rivage de la Méditerranée, avec vue enchanteresse sur la baie de Roquebrune, le site de Cap Moderne est aussi un concentré d’architecture d’avant-garde. Un régal pour de futures escapades de vacances françaises ! L’ouvrage “Cap moderne. Eileen Gray et Le Corbusier, la modernité en bord de mer” convie à une formidable aventure humaine et architecturale. A la fois récit de rencontres et description éclairée des lieux qui les ont accueillies. Ainsi, au fil du temps, entre la fin des années 1920 et le début des années 1950, des personnalités connues (Eileen Gray, Le Corbusier) qu’inconnues (Thomas Rebutato…) s’installent sur ce morceau de terre loin de toute urbanisation. Chacun y construit sa maison, de la plus moderne à la plus minimaliste. Le tout finissant par constituer un environnement harmonieux au cœur duquel la guinguette “L’Etoile de mer” offre un rendez-vous convivial. Editeur : Editions du PatrimoineAuteur : Tim BentonPrix : 12 €TTCRetrouvez l’ouvrage en cliquant ici.
Il y a 4 ans et 306 jours

Les 3 start-up lauréates du projet Numériser l'existant

Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Un sujet plus que jamais d'actualité, évoqué lors de la dernière allocution d'Emmanuel Macron sur le plan de modernisation, ainsi que des débats de la Convention citoyenne pour le climat.Numériser l'existant : un challenge inédit pour des solutions numériques plus adaptées à la rénovation énergétique des bâtimentsParmi les thématiques des 9 projets du programme national PROFEEL, la « numérisation de l'existant » constitue le point de départ de toute opération de rénovation. Le numérique, et en particulier la modélisation 3D du bâti, est en effet un puissant outil de conception et de vente : il permet de raccourcir les process et rassurer les clients.« L'enjeu du projet est de réduire les coûts de numérisation, améliorer la qualité de la saisie et simplifier l'ergonomie des outils, pour les rendre plus accessibles aux professionnels concernés, afin de réaliser un diagnostic plus précis, rapide et économique au moment d'établir des scénarios de travaux de rénovation énergétique ». - Xavier Bernard, responsable de projets AQC, pilote du projetL'équipe du projet, porté par l'AQC et ADN Construction, a lancé à l'automne 2019 un challenge entre start-up. Celles-ci devaient proposer le développement d'une solution digitale sous la forme d'une plateforme web ou application pour smartphone ou tablette, interopérable avec les logiciels BIM, à destination des professionnels du bâtiment travaillant chez un client particulier (TPE et PME en priorité). 30 candidatures ont été reçues, dont 4 finalistes, puis 3 lauréats ont été choisis par un jury composé de professionnels du bâtiment et de l'innovation numérique, bénéficiant d'une dotation globale de 420 000 euros.Le programme PROFEEL, lancé en avril 2019 par le ministre d'Etat François de Rugy et sa secrétaire d'Etat Emmanuelle Wargon, est dédié à l'innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments et s'inscrit dans le cadre du Plan initié par le gouvernement en 2018. Porté par 16 organisations professionnelles, il se compose de 9 projets opérationnels, qui visent à développer et apporter des outils et solutions concrètes et accessibles aux professionnels du bâtiment, en amont, pendant et après les travaux de rénovation.3 lauréats pour 3 outils innovants de numérisationBimeo et sa solution ARtoBuild, LevelS3D ainsi que WiseBim sont les 3 lauréats du challenge Numériser l'existant. Les start-up bénéficieront dans les prochains mois d'un soutien financier et technique du programme PROFEEL pour intégrer à leur solution de nouvelles fonctionnalités, qu'elles feront tester par étapes à des beta utilisateurs. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l'automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021.Les 3 solutions lauréates :ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clicsARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d'Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n'importe quelle pièce.A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l'épaisseur des parois, l'ajout d'objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d'annoter la maquette avec des cotations.S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D completLevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l'application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d'abonnement ou offres à l'acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d'un capteur de profondeur intégré (compatible sur l'Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu'en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : prépositionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d'IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti.Plans2BIM de WiseBIM L'innovation unique qui transforme les plans 2D en 3DWiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n'importe quel plan architectural 2D, ainsi qu'éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d'intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 307 jours

Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

Bruno Le Maire, a plaidé pour un renforcement de la régulation des concessions autoroutières, en souhaitant des contrats plus courts et des rendez-vous réguliers pour réévaluer leur rentabilité.
Il y a 4 ans et 307 jours

Haute-Loire : Nouvelle usine pour nouveau producteur Air’Bloc

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Inauguration de l’usine rénovée de Pomel Béton. [©Pomel Béton] Entreprise du groupe Gedimat depuis 2010, Pomel Béton est spécialisée dans la fabrication d’éléments en béton pour la construction. Elle vient de faire évoluer son usine, afin de pouvoir produire l’Air’Bloc du GIE Perin. « Fin 2018, nous avons souhaité renouveler l’outil de production pour suivre l’évolution du marché, confie Christophe Foucault, directeur administratif et financier de Pomel Béton. Nous nous sommes équipés d’une presse de marque Quadra et d’une rectifieuse. Nous avons complété cette chaîne de fabrication d’un mousseur pour remplir les alvéoles des blocs béton d’un produit isolant. Un concept développé par le GIE Perin. » Ainsi à Vergongheon, Pomel Béton va continuer à fabriquer des blocs classiques, mais aussi, des blocs rectifiés et des blocs isolants Air’Bloc. Tous les matériaux composant ces nouveaux produits sont issus de carrières situées dans un rayon de 20 km autour de l’usine de Vergongheon. Afin de limiter l’impact carbone dans le process de fabrication.  L’industriel intervient dans le Cantal, la Haute-Loire et le Puy-de-Dôme. « L’inauguration de cette nouvelle usine était aussi l’occasion de présenter tous nos nouveaux produits, poursuit Christophe Foucault. D’abord, l’Air’Bloc, exploité sous licence, et les longrines pour les fondations de bâtiments. Enfin, les blocs Titan XL à emboîtement pour murs de soutènement. Nous sommes fiers de présenter ces nouveaux savoir-faire aux élus, à tous nos clients et fournisseurs, et aux acteurs du bâtiment de la région. »
Il y a 4 ans et 307 jours

Twine House, une vague de béton

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. ©Antony Gibbon Le designer britannique Antony Gibbon a conçu “Twine House”, une structure en béton de chanvre torsadé, qui reflète les collines environnantes comme une série de formes organiques. Une maison conceptuelle située sous un mur de béton, ressemblant à une immense vague. En pleine nature, la structure laisse transparaître des espaces de vie dans une série d’arcades entourées de parois en verre. Un véritable terrain de jeu pour les passionnés d’espaces architecturaux hors normes. Antony Gibbon a imaginé ce projet résidentiel où la coque extérieure en béton se tord et tourne, afin de créer des espaces habitables. La proposition est une véritable invitation à repousser les limites techniques et à libérer l’imagination. Des ouvertures triangulaires qui perforent le béton d’une manière semblable à une déchirure forment les entrées des deux parties de la maison longitudinale. Ceci, avec les zones salon et cuisine et les chambres situées en arcades de chaque côté d’une zone centrale couverte. Cette terrasse dispose d’un coin salon en forme d’amphithéâtre, qui fait face à un foyer. Sur le toit, Antony Gibbon a aménagé une terrasse avec spa et bain à remous, accessible par un escalier à partir d’une aile de la maison. Alors… Qui est intéressé par cette maison en béton aux allures de vague ? M. C.
Il y a 4 ans et 307 jours

Georgelin promeut les métiers d'art sur les palissades de Notre-Dame

Le président de l'Etablissement public présentait sur les palissades de la rue du Cloître, le long de la cathédrale, une exposition de photos, "Les bâtisseurs d'aujourd'hui : les corps de métiers au coeur du chantier de sécurisation de Notre-Dame"."La loi me demande à moi de valoriser les métiers d'art. Nous espérons le faire en montrant l'excellence, en suscitant des vocations", a-t-il argué, soulignant qu'il y a "sûrement un gisement important d'emplois". Plus de quarante entreprises interviennent sur le chantier.L'acceptation par l'Elysée d'une reconstruction à l'identique et l'abandon du geste architectural novateur qu'Emmanuel Macron avait souhaité, est le choix du "bon sens, de la fidélité, de la loyauté et de l'amour de l'art gothique", a-t-il plaidé."C'était le voeu des donateurs, de la quasi-totalité des grands architectes, et des Français dans leur immense majorité, si on avait fait un réferendum", a-t-il argué."Nous entrons dans une nouvelle phase, car nous savons maintenant que nous reverrons la flèche de Viollet-Le-Duc, nous allons rebâtir la charpente selon des modalités qui restent encore à préciser et nous reconstruirons la couverture du grand comble en plomb, quels que soient les combats qu'il faudra mener", a-t-il martelé."Entre 150 à 180 personnes travaillent sur le chantier qui connaît un dynamisme qu'il n'avait jamais connu avant, et nous allons monter en puissance. Très vite nous allons passer à 300/450 personnes d'ici la fin de l'année", a-t-il estimé.Il a défendu le plomb pour "la couverture du grand comble": "tous les toits des grands monuments de Paris et des grandes cathédrales françaises sont en plomb". Et "il y a des moyens de traiter le plomb de façon à ce qu'il ne soit pas une atteinte à la santé".Quant à la charpente en chêne, cela "représente 1.000 à 2.000 arbres, c'est à dire 0,0125 de la production française de chênes", a-t-il argumenté.L'exposition montrant les diverses phases et aspects du sauvetage de la cathédrale, réalisées par le photographe Patrick Zachmann (Magnum), met en valeur quelques-uns des corps de métiers -charpentiers, cordistes, échafaudeurs, grutiers, maîtres verriers, tailleurs de pierre et maçons.
Il y a 4 ans et 308 jours

AIA Life Designers et AWMountassir remportent le concours international d'architecture pour le nouveau Centre Hospitalier Universitaire de Rabat

Une tour jardin bioclimatique pour accueillir le nouveau CHUD'une surface totale de 130.293 m², le futur CHU sera composé de l'hôpital général d'une capacité de 916 lits, de l'Institut de la Ligue cardiovasculaire avec 90 lits, d'un centre d'enseignement et de conférence et d'un internat.Imaginé par les architectes et ingénieurs d'AIA Life Designers et d'AWMountassir, le projet se structure autour d'une tour jardin bioclimatique de 140 mètres de haut et de son socle s'ouvrant sur un parc de 6,5 hectares. Cette tour jardin s'annonce comme un symbole de la modernité, de la qualité des soins et de l'engagement écologique du Maroc.Un projet qui répond aux enjeux environnementaux et climatiquesLe projet s'inscrit dans les engagements du groupe AIA Life Designers de développer des projets architecturaux au service des populations à la conception environnementale exemplaire.La qualité et la cohérence globale du projet en termes d'énergie, de confort et de biodiversité, répond ainsi aux enjeux de la crise écologique.Des dispositifs sont mis en œuvre pour lutter efficacement contre l'effet d'îlot de chaleur. Le projet met l'accent sur la performance de l'enveloppe, la diminution de l'albedo1 et l'optimisation du phénomène d'évapotranspiration grâce aux parcs, aux jardins suspendus, aux patios et aux toitures végétalisées.La conception bioclimatique passe d'abord par une réduction des besoins énergétiques en mettant à profit l'orientation nord-ouest pour les chambres qui bénéficient ainsi de ventilation naturelle et de protection solaire. Vient ensuite la récupération d'énergie grâce à des systèmes à très haute efficacité. Le projet est aussi producteur d'énergie renouvelable grâce à 3.000 m² de panneaux photovoltaïques sur la toiture du hall, et de panneaux solaires thermiques au sommet de la tour.L'humain et la nature au cœur du projet : signature des engagements du groupe AIA Life DesignersLa composition architecturale du futur hôpital IBN SINA met la santé de l'homme au cœur du projet et trouve une harmonie avec son environnement.Pour Olivier de La Barre, Président de AIA Life Designers : « la santé ne se limite pas à prodiguer des soins mais passe aussi par le bien-être et l'harmonie avec la nature. Nous défendons une architecture de la santé, qui prend soin des patients et de l'environnement ».Le projet multiplie les lieux de détente et de respiration verte avec de nombreux espaces extérieurs et intérieurs au bénéfice des patients, du personnel et des visiteurs.Des terrasses végétalisées s'installent dans une faille verticale ciselée à l'angle nord de la tour, à l'abri du soleil et du vent. Cet « angle actif » relie des jardins suspendus extérieurs grimpant jusqu'au sommet de la tour où une cafétéria offre une vue panoramique sur le parc, la ville et l'océan.Le hall d'accueil, à la croisée de la ville et des unités médicales, intègre le parc en son sein. C'est une place publique, à la fois extérieure et intérieure, protégée sous la canopée de lames métalliques et naturellement ventilée.Les contextes urbains, paysager et climatique guident la conceptionEntre ville et océan, le long d'un axe urbain majeur, le projet est un nouveau repère dans la capitale, visible de loin grâce à sa tour aux reflets vibrants. L'espace qu'elle libère au sol devient un vaste parc qui s'inscrit dans le prolongement de la coulée verte parcourant Rabat. Cet environnement naturel fait le lien entre l'hôpital et la ville à travers une longue séquence paysagère jalonnée de bassins et parcourue de cheminements doux. L'hôpital s'installe à l'extrémité de ce continuum d'espaces verts qui pénètre à l'intérieur du hall d'accueil, puis prolifère sur la toiture et grimpe le long d'une faille jusqu'au sommet de la tour. Les émergences du projet, que sont la tour hospitalière et l'institut de la ligue cardiovasculaire, se tournent vers l'Atlantique afin d'optimiser les vues sur l'océan et profiter du vent marin qui irrigue de ventilation naturelle le hall d'entrée et les chambres.Pour s'adapter à la course du soleil, le projet se pare d'une enveloppe composée de lames de métal perforé. Tantôt façade, tantôt verrière, cette peau protège et génère de l'énergie tout en unifiant les éléments du projet en prenant une forme comme sculptée par le vent.Fiche technique du projet :Maîtrise d'Ouvrage : Ministère de la Santé Royaume du Maroc.Maîtrise d'œuvre :Architectes : AIA Architectes + AWMountassirIngénierie : AIA Ingénierie + TPFI (structure) + A2MO + 8'18Environnement : AIA EnvironnementPaysage : AIA TerritoiresAcoustique : Tisseyre + Partners (Rabat)Programme : Hôpital général (916 lits), Institut de la ligue cardiovasculaire (90 lits), Centre d'enseignement et de conférences, Internat.Surface : 130 293 m² SDOCalendrier : Concours : 2019, livraison prévue : 20231 L'albedo : pouvoir réfléchissant d'une surface
Il y a 4 ans et 308 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivo réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 308 jours

Plombé par la crise dans les hôtels, Covivio réduit fortement ses objectifs

"L'hôtellerie est clairement impactée par la crise, c'est une année noire et historique pour ce secteur", a noté auprès de l'AFP Christophe Kullmann, directeur général du groupe, à l'occasion des résultats semestriels.Ces derniers s'inscrivent en nette baisse. Par rapport à la même période de l'an dernier, les revenus reculent de 7,5% à 302 millions d'euros et le bénéfice récurrent, indicateur de référence du secteur, de 12,4% à 192 millions.Covivio, qui n'avait pas redonné de prévisions depuis l'arrivée du coronavirus, s'attend donc désormais à une nette baisse de son bénéfice en 2020.Il table sur 380 millions d'euros, soit une centaine de millions en moins que ses précédents objectifs. Ce serait un recul de plus de 15% par rapport à 2019, alors qu'il prévoyait à l'origine une hausse.Covivio souffre principalement de sa présence dans les hôtels. C'est l'un des grands secteurs du groupe, qui détient également des bureaux et des logements à travers plusieurs grandes villes européennes.Or, la crise sanitaire a été catastrophique pour le secteur du tourisme. De nombreux pays ont fermé leurs frontières pendant plusieurs semaines au printemps et, parallèlement, interdit à beaucoup d'établissements d'accueillir du public.C'est surtout au Royaume-Uni que Covivio a été affecté par la fermeture obligatoire des hôtels jusqu'à juillet.Pour autant, tout en soulignant que les hôtels ne représentent qu'un sixième de son portefeuille, le groupe ne compte pas réduire son exposition à ce secteur."On est persuadé que ça reprendra" car les hôtels répondent au "besoin primaire" de se déplacer, a assuré M. Kullmann, prévoyant néanmoins une année 2021 toujours difficile dans ce secteur.Le groupe signe des résultats nettement plus favorables dans les bureaux et les logements, avec une progression de ses revenus semestriels dans les deux cas et un taux très faible d'impayés face à la crise.Dans les bureaux, "les seuls impayés importants que l'on a, ce sont les entreprises qui travaillent dans l'événementiel", a remarqué M. Kullmann, soulignant que les locataires de Covivio sont généralement de grands groupes.
Il y a 4 ans et 308 jours

Le grand rendez-vous des Français avec le patrimoine

Le grand rendez-vous annuel des Français avec leur patrimoine se déroulera bien les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 autour du thème retenu dans toute l’Europe « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! ». Le temps d’un week-end et partout en France, propriétaires publics et privés de monuments historiques, membres d’associations de protection et de valorisation du patrimoine, conservateurs du patrimoine, restaurateurs de biens et d’objets patrimoniaux, guides-conférenciers, architectes en chef des monuments historiques… se mobiliseront pour accueillir les visiteurs dans le respect des recommandations sanitaires qui seront en vigueur au moment de l’événement. Il sera proposé aux scolaires, dès le vendredi 18 septembre, via l’opération « Levez les yeux ! » conduite en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse, de (re)découvrir sous la conduite de leur enseignant le patrimoine qui les entoure. Sortir de la classe, regarder autour de soi le cadre de vie et ses éléments patrimoniaux, ou se rendre dans un édifice, y apprendre son histoire, celle d’un objet ou d’un geste patrimonial et sa signification dans un contexte local, régional, national voire européen. C’est également l’occasion de découvrir des métiers, des savoir-faire, prendre conscience de l’importance de la protection de ce patrimoine pour leur génération et celles à venir, et aussi, s’émerveiller devant la beauté artistique et architecturale qui se présentent à leurs yeux.
Il y a 4 ans et 308 jours

BePOSITIVE 2021 : concrétiser l’accélération de la transition énergétique

BePOSITIVE, le seul salon français dédié exclusivement aux enjeux et aux solutions de la transition énergétique, qui rassemble tous les acteurs des filières bâtiment et énergies, se déroulera à Eurexpo-Lyon du 2 au 4 mars 2021. Véritable rendez-vous fédérateur de ceux qui construisent le monde décarboné de demain, il offre un tremplin à l’innovation. Il s’organisera autour de 4 secteurs d’exposition : les nouveaux systèmes énergétiques ; l’énergie dans le bâtiment ; le bâtiment durable, et le bois énergie. A 8 mois de l’ouverture, sa directrice Florence Mompo voit l’occasion de partager sa vision des conséquences de la crise que nous vivons, et des perspectives pour les secteurs de la transition énergétique : « Cette crise sanitaire, qui se transforme en crise économique et sociale, a évidemment été un choc par sa soudaineté et la remise en question globale de nos façons de vivre, de consommer, de travailler… L’incertitude qu’elle engendre pèse sur la reprise économique, et si nous voyons déjà ses conséquences immédiates : tensions internationales, récession et hausse du chômage, grandes difficultés pour de nombreux secteurs, il y a aussi des effets positifs. Après une période de privation, on assiste à une reprise de l’activité et de la consommation stimulée par des plans d’investissement massifs. On voit des engagements de bons sens autour du local, des enjeux de l’économie circulaire et du réemploi, ou tout simplement de la place de l’individu dans notre développement. Le confinement a mis en lumière la nécessité de privilégier la santé, le confort, le bien-être des gens, par exemple, dans la conception des logements et des bâtiments tertiaires. »
Il y a 4 ans et 309 jours

Tout sur le nettoyage de fin de chantier

Etape indispensable en fin de travaux, le nettoyage de fin de chantier est le plus souvent réalisé par une entreprise spécialisée. Il permet de livrer un logement propre et exploitable immédiatement au client. A moins que celui-ci ne décide de faire le ménage lui-même. Qu’est-ce que le nettoyage de fin de chantier ? Le nettoyage de chantier est l’étape ultime, qui marque l’achèvement dudit chantier. C’est en effet la dernière opération avant livraison des travaux au client. De manière générale, cette opération a lieu durant la phase préalable de réception des travaux par le maître d’ouvrage. On distingue deux principales étapes au nettoyage de fin de chantier : le nettoyage grossier et en profondeur. Le nettoyage grossier Le nettoyage grossier constitue la première partie d’un nettoyage de fin de chantier. Il vise à débarrasser le théâtre des travaux des gravats et déchets afin de laisser les pièces vides et balayées. Lors de cette étape, on balaie le gros de la poussière avec un chiffon sec pour la déplacer au sol avant d’utiliser un puissant aspirateur. On veillera à conserver les films protecteurs posés aux les murs et les sols jusqu’à la fin du nettoyage grossier. Le nettoyage en profondeur De son côté, le nettoyage en profondeur vise à rendre parfaitement saines et habitables les pièces concernées par le chantier. En effet, lors de travaux, de grandes quantités de poussière sont générées, qui vont s’insinuer dans les moindres recoins. Ainsi, le nettoyage en profondeur va s’intéresser de près à de nombreux éléments : portes et fenêtres, stores et volets, sols et plinthes, interrupteurs, prises et robinets, cuisine et salle de bains, murs et crépis, Radiateurs. Dans le cadre du nettoyage en profondeur, l’intégralité du logement est nettoyée de fond en comble. Au-delà du dépoussiérage, il est nécessaire de désinfecter les lavabos, baignoires et équipements sanitaires, de décaper les sols, dégraisser les vitres, aérer le logement, etc. Faire appel à une société spécialisée Du fait de l’importante quantité de poussière, gravats ou résidus divers présents dus aux travaux, le nettoyage est généralement confié à une société spécialisée. Celle-ci peut être mandatée par l’entreprise qui a réalisé les travaux, qui se chargera de répercuter le coût sur la facture globale du chantier. Elle peut également être mandatée par le client lui-même, qui pourra distinguer les coûts des travaux et du nettoyage. Dans ces deux cas de figure, les actions à réaliser par l’entreprise de nettoyage de fin de chantier sont définies par le client et consignées dans le cahier des charges de l’intervention. Réaliser le ménage soi-même Si le cas le plus courant est de faire intervenir une entreprise spécialisée, rien ne vous empêche de réaliser vous-même le nettoyage de fin de chantier. L’occasion de peut-être tester votre système d’aspiration centralisée flambant neuf ? Cette opération vous demandera beaucoup d’huile de coude, d’aide et de produits appropriés, mais pourra vous faire économiser une somme conséquente : en effet, un nettoyage de fin de chantier coûte en moyenne entre 300 et 400 € pour 100 m² de surface.
Il y a 4 ans et 309 jours

Les étapes de construction d’une véranda

Une véranda ou une terrasse couverte a une fonction importante dans votre jardin. Elle offre une protection contre le soleil, le froid, la pluie et les chutes de feuilles. Cependant la planification d’une véranda peut être perçue comme un processus difficile. Pour tirer le meilleur parti de votre rénovation extérieure, vous devez vous assurer que vous avez une bonne vision des résultats du projet et du budget nécessaire pour atteindre vos objectifs.   Utilisation Dans un premier temps, vous devez trancher sur l’utilité qu’aura votre véranda : aménager un salon ou une cuisine, prendre le repas, couvrir une piscine, etc. Par ailleurs, il faut prendre en compte les éléments suivants : intimité, flux de circulation, lumière et ombre, emplacement et connexion aux sorties du logement, intégration au jardin. Ce ne sont là que quelques-uns des éléments pour obtenir un espace réussi. Décidez donc de ceux qui sont le plus importants en fonction du budget.   Conception Le fait de cocher les options de conception, y compris les matériaux, déterminera l’orientation des résultats et des coûts. Elle peut être en bois ou en aluminium, être ouverte sur tout le pourtour ou avoir des murs partiellement fermés. Elle peut avoir un toit fermé en métal ou être faite de panneaux de polycarbonate transparents ou translucides, dans les deux cas avec des dispositifs de drainage. A savoir que le toit doit avoir une hauteur d’au moins 2,2 mètres, et que vous devez également tenir compte de la hauteur du cadre et, si nécessaire, de l’ouverture et de la fermeture des portes de la maison. Une fois que vous avez décidé des options que vous préférez, faites préparer un plan conceptuel pour visualiser et développer votre espace afin de vous assurer que le résultat final concorde avec votre concept.   Planification Comme pour tout autre bâtiment, faites préparer des plans que vous ou votre constructeur pouvez chiffrer de manière réaliste et assurez-vous que le résultat prévu sera atteint.   Budgétisation Disposez d’un budget réaliste pour réaliser l’ensemble de votre projet. Si le processus de planification ci-dessus est suivi, cela garantira que les constructeurs proposent tous le même résultat de projet, y compris les matériaux. Si vous vous assurez que votre budget est raisonnable, vous vous retrouverez à faire des économies sur la conception, les matériaux, la finition et le constructeur.   Construction Entreprendre un projet en tant que « constructeur maison » est certainement une option si vous avez les connaissances, le temps, les fournitures et les contacts. Si ce n’est pas le cas, et que vous n’êtes pas en mesure d’assurer la réalisation, la meilleure option pour vous est de choisir un constructeur expérimenté ayant fait ses preuves. Choisir un constructeur ayant de l’expérience dans votre type de projet est une décision judicieuse pour garantir le meilleur résultat. Ne faites pas votre choix uniquement en fonction du prix.   Programmation Prévoyez suffisamment de temps pour planifier, sélectionner le constructeur, obtenir l’autorisation et enfin construire. Le délai minimum pour réaliser le processus ci-dessus sera de 3 à 4 mois si aucune planification ou approbation du conseil n’est requise du début à la fin. Commencez donc à planifier votre projet dès le début pour éviter toute déception.
Il y a 4 ans et 309 jours

Fanny Perrier signe la décoration du Perchoir Porte de Versailles

Un havre de paix étonnant à deux pas du parc des expositions. Porte de Versailles, le Perchoir... Cet article Fanny Perrier signe la décoration du Perchoir Porte de Versailles est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 309 jours

Lancement du 3ème Challenge Start-ups Construction Tech

Le Challenge Start-ups Construction Tech® est un concours qui a pour but de soutenir des start-ups déjà présentes dans la filière Construction / Bâtiment / Immobilier mais également de faire émerger toutes les start-ups qui souhaiteraient proposer leurs solutions dans ces secteurs.Le coup d'envoi de la troisième édition du Challenge Construction Tech® est dès à présent donné ! Les start-ups ont jusqu'au 30 octobre 2020 pour proposer leurs candidatures qui seront étudiées par un jury d'experts courant décembre 2020. Les lauréats seront annoncés officiellement à l'issue de ce jury.Ce jury choisira les lauréats, ainsi que le Grand Lauréat, en fonction de plusieurs critères dont la pertinence et la maturité de la solution ou du produit présentés, dans des domaines aussi variés que :Sécurité des personnes & équipement de protection individuelleSmart home, Smart building & IoTSmart citiesBIM, 3D & réalité virtuelleSolution constructive et matériauxÉnergie, efficacité énergétique & ENRPlateforme d'intermédiationData, IA & blockchainGestion de chantierÉconomie circulaireVégétalisation.Challenge Construction Tech® : une vitrine pour les start-upsConstruction Tech® mettra à disposition des lauréats de nombreux outils pour valoriser leurs innovations.Dès leur inscription au Challenge Start-ups Construction Tech®, les lauréats seront valorisés à travers des campagnes sur les réseaux sociaux, des e-mailings, et une communication spécifique menés par BATIMAT. Ils pourront aussi bénéficier de l'enregistrement d'un podcast dans « La start-up de la semaine » sur BATIRADIO.Nouveauté pour cette édition, le Grand Lauréat aura la possibilité de prendre la parole sur le salon Pollutec (Lyon, 1-4 novembre 2020).En janvier 2021, tous les lauréats se verront proposer de venir « pitcher » lors d'une conférence de presse Construction Tech® et de présenter leurs solutions devant les journalistes. Pour se préparer, ils recevront l'aide d'un des membres du jury, invités à parrainer la start-up de leur choix.En novembre 2021, le Grand Lauréat aura la possibilité d'être présent sur le secteur Construction Tech® de BATIMAT, lui apportant une forte visibilité auprès du secteur du bâtiment, et la possibilité de rencontres avec les industriels et les décideurs du secteur.Les start-ups inscrites au 3ème Challenge seront également invitées à intégrer l'Annuaire numérique des Start-Ups Construction Tech®, un outil exclusif développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l'Immobilier.
Il y a 4 ans et 310 jours

Bruno Le Maire souhaite renforcer la régulation des concessions autoroutières

"Le modèle de délégation de service public à des entreprises privées a apporté la preuve de son efficacité mais la condition, c'est que la régulation soit améliorée", a déclaré le ministre devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières.M. Le Maire, qui était directeur de cabinet du Premier ministre Dominique de Villepin, de 2006 à 2007, au moment de la privatisation des sociétés d'autoroutes, a jugé que cette opération avait été "réussie"."L'Etat n'a pas vocation à gérer des autoroutes", a-t-il affirmé, estimant que les gestionnaires privés étaient "mieux à même, mieux équipés" pour cela. Mais il a souligné que l'Etat restait propriétaire des infrastructures, n'ayant fait que céder ses parts dans les sociétés gestionnaires.Il a estimé que l'Etat en avait tiré "le meilleur prix", avec 14,8 milliards d'euros de recettes.Selon le ministre, la qualité de service a été au rendez-vous, grâce notamment à 22 milliards d'euros d'investissements réalisés par les sociétés concessionnaires. "Nous avons un des meilleurs réseaux autoroutiers au monde", a déclaré M. Le Maire.Reconnaissant que les tarifs étaient "chers" pour beaucoup d'usagers, il a assuré qu'ils ne s'étaient pas envolés et avaient "augmenté en suivant un rythme proche de celui de l'inflation et conforme aux règles prévues dans les contrats".Mais il a reconnu qu'il y avait "matière à amélioration" sur la régulation des concessions."Les hypothèses sous-jacentes aux contrats ne prévoyaient pas la baisse très forte des taux d'intérêt qui a permis aux sociétés concessionnaires de réduire leurs frais financiers, en refinançant leurs dettes à des conditions plus favorables. C'est un point fondamental", a-t-il dit.M. Le Maire a jugé "impératif pour les prochaines concessions de pouvoir réévaluer" ce coût de financement "pour que le concessionnaire ne bénéficie pas d'une sur-rentabilité".Il a notamment proposé de réduire la durée des contrats à 15 ans pour des infrastructures "qui ne nécessitent pas d'investissement massif dans les années à venir" et d'instaurer une "clause de rendez-vous tous les cinq ans qui permet de réévaluer les taux de retour sur investissements cibles"."Je ne crois absolument pas à l'opportunité d'une renationalisation de ces autoroutes", a-t-il dit, estimant qu'elle aurait un coût "considérable pour les finances publics, compris entre 45 et 50 milliards d'euros" et "serait un très mauvais investissement".
Il y a 4 ans et 310 jours

Comment optimiser les espaces de votre maison ?

La construction ou la rénovation d’une maison est une étape cruciale dans la vie d’un propriétaire. Ainsi, les choix faits durant la conception auront des conséquences considérables sur son mode de vie future. Lors de l’aménagement des espaces de la maison, il va falloir prendre en compte ses habitudes, celles de sa famille, pour que tout le monde puisse s’y sentir bien. L’optimisation de l’entrée L’entrée se présente comme étant un espace important dans une maison. En effet, c’est elle qui va donner la première impression. Entrée indépendante ou ouverte sur la cuisine ou le salon, il est important qu’elle soit aménagée de sorte à ce qu’elle soit fonctionnelle et pratique pour tous les occupants de la maison. Afin d’optimiser plus d’espace, lors d’un projet d’aménagement d’intérieur, il est nécessaire de penser à d’autres aménagements intéressants sur la porte d’entrée comme des meubles à chaussures, des casiers nominatifs pour accessoires, une penderie avec porte-manteaux ou encore des espaces pour le vide-poche. Le rangement de la salle de bains La salle de bain n’a pas besoin d’une surface importante pour être agréable. Il suffit seulement qu’elle soit bien rangée, avec des aménagements bien pensés. D’ailleurs, il existe sur le marché plusieurs accessoires et équipements au design original et ergonomique pour les petits espaces. Ainsi, vous pouvez privilégier des plans suspendus à tiroir pour ranger les serviettes, ou encore s’équiper avec une baignoire d’étagères pour gagner encore plus de surface. Les étagères murales sont également idéales pour dégager de la place au sol tout en donnant l’impression d’avoir une espace plus importante. Comment aménager le salon ? Le salon est une pièce principale. Rien que pour cette considération, il doit avoir plusieurs usages selon les habitudes de la famille. Il peut ainsi être un lieu de passage ou un lieu de détente. Le salon doit être facilement accessible, où la circulation sera fluide. Pour apporter une meilleure optimisation à cet espace, l’éclairage et la lumière naturelle sont des facteurs très importants. Comment faire entrer de la lumière dans une pièce sombre ? Lors d’une rénovation, c’est le moment pour apporter de la lumière naturelle dans une pièce jusque là sombre. En effet, le manque de lumière impacte directement sur le moral et la santé des occupants du logement : mauvaise humeur à répétition, baisse de motivation ou encore fatigue permanente. Heureusement qu’il existe des astuces pour faire entrer de la lumière naturelle dans la pièce. Force est de constater que plus de lumière apporte une sensation d’espace ainsi qu’une atmosphère chaleureuse dans la maison. Les pièces qui ont le plus besoin de lumière sont la cuisine, le salon ainsi que la salle de bains. Il existe quelques astuces pour profiter au maximum de l’éclairage naturel sans recours aux luminaires. Cela est à la fois pratique et économique. Capter la lumière avec un réflecteur de lumière Le principe est simple : la lumière naturelle tombe à la verticale, et elle passe devant les fenêtres sans forcément entrer dans la pièce. Ainsi, le réflecteur de lumière va faire en sorte que la pièce bénéficie de la lumière du jour, une fois qu’il est posé sur le bord d’une fenêtre ou sur un balcon. Grâce à cette solution ingénieuse, le manque de luminosité dans les habitations au rez-de-chaussée ou dans les appartements mal orienté sera pallié. Désencombrer le bord des fenêtres On a tendance à placer des meubles à proximité de nos ouvertures ou sur le bord de nos fenêtres. Avant d’optimiser plus d’espace, il est nécessaire de dégager les meubles autour des ouvertures pour faire plus de lumière, dans un rayon de 40 cm. Optez pour des meubles suspendus, qui sont à la fois pratiques et décoratifs. Privilégier deux tons pour les murs Les tons d’une pièce permettent également de donner une impression d’optimisation d’espace. Dans une pièce sombre et donc, plus petit, donner de la couleur aux murs est une excellente idée. Préférez des tons chauds, pour éviter l’atmosphère froide. Vous pouvez également choisir une palette à deux tons, comme jaune et gris ou bleu et blanc. Bien organiser les chambres pour plus d’espace Suite parentale, chambre d’enfant, chambre d’adolescent ou chambre d’amis, chacun de ces pièces a sa spécificité. L’essentiel est pourtant de bien s’y sentir. En effet, une chambre est un espace personnel, un cocon confortable où se blottir pendant les mauvais jours. Ainsi, pour une chambre d’enfants on priorise les rangements pratiques et accessibles. Il faut également disposer des espaces ludiques pour développer leur créativité. Quant aux chambres d’adolescents, elle doit regrouper plusieurs options : un espace de bureau, un espace détente et un espace lit, pour recevoir des amis. Enfin, la suite parentale, l’aménagement tendance nous est importé d’Asie avec les influences du Feng Shui. Cette méthode permet de privilégier le sommeil profond et un bien-être intense.
Il y a 4 ans et 310 jours

Equipbaie-Metalexpo dévoile son salon digital

EVENEMENTIEL. Le salon Equipbaie-Metalexpo, qui devait avoir lieu du 17 au 20 novembre prochain à Paris Expo Porte de Versailles, a été reporté. Afin de maintenir le lien avec les visiteurs et exposants, la manifestation a décidé de proposer une alternative digitale.
Il y a 4 ans et 310 jours

Castex donne des gages aux partenaires sociaux sur les retraites et l'assurance chômage

"En détendant les calendriers, cela permet d'éviter les sujets qui fâchent", a commenté le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, au sortir de cette "conférence du dialogue social" qui succède à des rencontres bilatérales la semaine dernière.Première satisfaction pour les syndicats et le patronat qui avaient tous repoussé l'idée de reparler rapidement du dossier des retraites: les concertations sur ce thème sont repoussées "au moins jusqu'à la fin de l'année".Comme réclamé par le Medef notamment, M. Castex a annoncé aux participants qu'il saisirait de nouveau le Conseil d'orientation des retraites (COR) à la rentrée afin d'évaluer la situation financière des régimes actuels en distinguant la partie liée à la crise en cours du déficit structurel.Selon une estimation provisoire du COR dévoilée en juin, le déficit pourrait approcher les 30 milliards d'euros cette année, un chiffre mis en avant par l'exécutif pour justifier la nécessité de prendre des mesures."Nous continuons de croire qu'un système universel est plus juste mais la priorité n'est pas celle-ci aujourd'hui", a redit le patron de la CFDT Laurent Berger qui veut se concentrer sur "la lutte contre le chômage, le maintien de l'emploi, la lutte contre la paupérisation" et a vu "une vraie sincérité du Premier ministre dans sa conviction du dialogue social".Autre satisfaction: le report jusqu'au début 2021 de la totalité de la réforme de l'assurance chômage, y compris les mesures déjà entrées en vigueur le 1er novembre qui durcissent les conditions d'ouverture de droits (avoir travaillé six mois pendant une période de 24 mois, au lieu de 4 mois sur 28) et de leur rechargement.Jean Castex s'était dit prêt, la semaine dernière, à "décaler" cette réforme dont les syndicats réclament l'abandon pur et simple alors que l'Unédic pronostique la destruction de 900.000 emplois d'ici à la fin de l'année."En train de changer"Le Premier ministre, arrivé à Matignon avec une réputation de négociateur, a salué "le sens des responsabilités des partenaires sociaux" et "la qualité du dialogue", alors que ceux-ci s'étaient sentis largement marginalisés pendant les trois premières années du quinquennat."Tout cela ne préjuge pas d'un accord global. Il y aura, on le sait, des divergences (...) mais il faut d'abord savoir nous parler, nous respecter, et fixer des voies et des chemins pour l'avenir", a-t-il plaidé, promettant sur les retraites "une nouvelle méthode"."Il semble que quelque chose soit en train de changer dans la méthode du gouvernement", a même lancé le président de la CFE-CGC François Hommeril, qui a habituellement la dent très dure envers l'exécutif. "C'est un discours de gaulliste social qui rompt avec Macron, c'est déstabilisant", a commenté le numéro un de FO, Yves Veyrier, auprès de l'AFP.Le Premier ministre a garanti un "calendrier extrêmement exigeant", d'abord sur l'emploi et également "pour arrêter et finaliser le plan de relance" auquel les partenaires sociaux seront étroitement associés.Des concertations auront lieu dès la semaine prochaine au ministère du Travail sur l'emploi des jeunes, dont 700.000 sont attendus sur le marché du travail à la rentrée.Il s'agit de fixer les modalités de la réduction annoncée du coût du travail de 4.000 euros par an (prime ou exonération de cotisations) qui doit concerner chaque jeune de moins de 25 ans employé par une entreprise. Le Medef a demandé que cette mesure ne soit pas limitée à 1,6 Smic, une question en suspens. Les syndicats sont hostiles par principe aux exonérations qui affaiblissent le financement de la Sécurité sociale, et craignent des effets d'aubaine.Pour les nombreuses concertations à venir (financement de la protection sociale, dépendance, assurance chômage, travailleurs détachés, partage de la valeur, etc), dont certaines seront déclinées territorialement (plan de relance, transition écologique), un agenda sera envoyé aux partenaires sociaux en début de semaine prochaine.La CGT, qui avait annoncé dès la semaine dernière une journée de mobilisation et de grève le 17 septembre, a dans un communiqué, fait rare, "pris acte avec satisfaction des engagements" du Premier ministre sur les retraites et l'assurance chômage, notant "un changement de méthode et une meilleure considération des organisations syndicales".
Il y a 4 ans et 311 jours

Grohe annule sa participation au salon ISH 2021 pour des raisons de sécurité sanitaire

La situation sanitaire reste fragile en Allemagne et à l'étranger et les grands événements représentent toujours un risque de contamination majeur.Jonas Brennwald, CEO LIXIL EMENA et Co-CEO GROHE AG explique : "C'est avec un profond regret que nous devons annuler notre participation au Salon ISH prévu en mars 2021. Pendant le salon, nos clients et partenaires commerciaux attendent de nous que nous créions une expérience de marque unique avec des lancements de produits innovants en s’engageant personnellement avec eux. Toutefois, compte tenu des circonstances et des restrictions sanitaires, nous ne pensons pas que cela concorde avec le concept de salon"."Nous avons été désolés d'apprendre qu'il n'y avait pas de possibilité de reporter le salon ISH à une date ultérieure", ajoute Thomas Fuhr, COO Fittings LIXIL International et Co-CEO GROHE AG. "L'une des principales valeurs de notre entreprise est de faire ce qui est juste. Nous sommes convaincus que dans cette situation de crise, le désistement est malheureusement la meilleure chose à faire pour garantir la sécurité et la santé de toutes les personnes concernées".À la suite à cette décision, GROHE prévoit également de revoir sa participation à d'autres salons de la zone EMENA. Néanmoins, GROHE souhaite créer une expérience de marque unique pour ses partenaires commerciaux et les médias et, travaille actuellement sur un concept alternatif.
Il y a 4 ans et 313 jours

Les crédits immobiliers en quête d'une reprise malgré les incertitudes

Ces dernières semaines, emprunteurs et acheteurs "sont au rendez-vous, il y a des recherches en ligne importantes, il y a des visites de biens, il y a des ventes qui se réalisent de manière significatives, et dans un contexte où les prix semblent tenir. On a une forme d'élan post-confinement", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement qui réunit les principales banques françaises.Cet élan est-il durable? "Il est encore un peu tôt pour le dire. La période qu'on traverse est absolument unique, on n'a évidemment jamais vécu cela et ce qui va se passer sur le marché de l'immobilier va dépendre du marché immobilier lui-même, mais aussi et encore plus de l'évolution économique générale", a-t-il toutefois nuancé, évoquant des "incertitudes très fortes"."Il faut attendre la rentrée pour être un peu plus affirmatif sur les tendances du marché, mais en même temps, il ne faut pas bouder notre plaisir d'une reprise d'activité qui, depuis la fin du confinement, est quand même tout à fait réelle", s'est réjoui M. Vilon.Remontée des tauxLe taux moyen des crédits immobiliers en France a continué à progresser en juin, prolongeant la tendance esquissée en avril et en mai. Durant ces deux mois, les taux du crédit immobilier avaient en effet grimpé respectivement à 1,18% puis 1,25%, après des mois d'évolution à un plancher historique touché en fin d'année dernière à 1,12%.Le résultat du mois de juin porte ainsi le taux moyen des crédits immobiliers à 1,25% sur l'ensemble du deuxième trimestre."Avec le durcissement de la crise économique déclenchée par la mise en oeuvre du confinement, les risques portés par les établissements prêteurs sur la dette immobilière des particuliers se sont renforcés. La montée du chômage et les pertes de pouvoir d'achat accentuent les risques de défaut sur la dette en cours de remboursement, alors que la suppression des aides personnelles à l'accession a fait disparaître un filet de sécurité qui avait montré son efficacité durant la crise des +subprime+", souligne l'observatoire Crédit Logement-CSA.Cette tendance masque des disparités entre les différents profils d'emprunteurs.Les emprunteurs ne présentant pas en général les meilleurs profils (niveaux des revenus et de l'apport personnel, durée des crédits octroyés...) et qui supportaient déjà un taux supérieur à la moyenne de leur famille de durée connaissent l'augmentation la plus forte. À l'inverse, la hausse des taux survenue depuis décembre 2019 est moindre pour les emprunteurs dont le profil est jugé moins porteur de risques.Allongement des duréesCette évolution apparaît en ligne avec les demandes des autorités financières qui, face à l'essor du crédit immobilier avant le confinement, avaient demandé aux banques de resserrer un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique.Mais si elles se sont montrées plus sélectives envers les profils d'emprunteurs, les banques semblent avoir lâché un peu de lest du côté de la durée des emprunts.La remontée des taux des crédits et la poursuite de la hausse des prix des logements ont donc été partiellement compensées par l'allongement des durées : au deuxième trimestre 2020, la durée des prêts bancaires accordés était de 231 mois en moyenne, contre à peu près 228 mois sur le premier trimestre et sur l'ensemble de l'année 2019, montre l'observatoire.En ce qui concerne l'activité des nouveaux prêts immobiliers, l'observatoire remarque une reprise en juin, après des turbulences en mars sur fond de déclenchement de la crise du Covid-19, suivies par un effondrement de la production en avril et en mai. Mais "la reprise observée en juin n'a pas permis de retrouver le niveau d'activité de février 2020, et encore moins celui de juin 2019".Le mois dernier, la production, c'est-à-dire le montant global des crédits accordés, a chuté de 10%, et le nombre de prêts bancaires a reculé de presque 12% par rapport à juin 2019, selon l'observatoire.
Il y a 4 ans et 314 jours

Laure Prouvost : Le bleu lui va si bien…

[©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua] Depuis le week-end du 13 juin, les visiteurs du musée toulousain des Abattoirs peuvent à nouveau découvrir l’exposition de Laure Prouvost “Deep See Blue Surrounding You”/“Vois ce bleu profond te fondre L’artiste conceptuelle Laure Prouvost, 42 ans. [©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua] En effet, jusqu’au 20 septembre prochain, première étape de la tournée de l’exposition de Laure Prouvost au Pavillon français, présentée à la 58e Biennale de Venise (printemps 2019). Qui est accueillie au Frac Occitanie – Les Abattoirs de Toulouse. Cette installation se veut une exposition immersive et onirique. Sous forme de film, c’est un voyage initiatique, une joyeuse épopée tournée lors d’un road-trip à travers la France. De la banlieue parisienne au Nord de la France, du Palais du Facteur Cheval à la mer Méditerranée, jusqu’à Venise. Les dialogues sont portés par l’interprétation d’une douzaine de comédiens d’horizons et d’âges divers. Chacun d’entre eux possède des talents bien à lui : magie, danse, musique… Pendant le tournage, cette troupe a constitué une sorte de cirque ambulant. Ce film est basé sur un script co-écrit par Laure Prouvost et divers contributeurs. En français et en anglais, avec des passages en italien, en arabe ou en néerlandais. Une installation sculpturale in situ en béton, adaptée aux espaces d’exposition des Abattoirs, vient enrichir et développer leurs propos. Ceci, avec des procédés propres à l’artiste comme des objets vestiges du film : du béton, de la résine, de la terre, du verre…  [©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua] Annabelle Ténèze, commissaire de l’exposition et directrice des Abattoirs. [©Boris Conte] « C’est un film qui raconte la vie d’aujourd’hui. L’identité, l’errance… L’installation qui le nourrit voit trois fauteuils en forme de sculpture se dresser face à la projection sur les murs des Abattoirs. Ce sont des œuvres qui vont avec le film. Ces sculptures maniérées ont été mises en œuvre en béton. Les spectateurs peuvent s’y asseoir. Dans ce même matériau, elle a écrit quelques mots comme sur des stèles romaines. Le béton fait partie de son univers, de sa vie, de ce qu’elle filme », indique Annabelle Ténèze, commissaire de l’exposition et directrice du musée. L’installation de Laure Prouvost étonne. L’artiste mêle technologies modernes, comme la vidéo, et savoir-faire traditionnels – béton, céramique, tapisserie… Tout en ayant un goût prononcé pour le loufoque. Une imagination débordante qui interpelle.  Deuxième étape de l’installation prévue au LaM de Villeneuve-d’Ascq, du 15 octobre 2020 au 17 janvier 2021.  Retrouvez l’univers de Laure Prouvost aux Abattoirs.
Il y a 4 ans et 314 jours

Un "Grand Palais éphémère" en montage sur le Champ-de-Mars, à Paris

Construit pour l'Exposition universelle de 1900 et dédié "à la gloire de l'art français", le Grand Palais doit bénéficier d'une importante rénovation jusqu'en 2024 afin de "faire entrer pleinement le monument dans le XXIe siècle".Le "Grand Palais éphémère", bâtiment provisoire d'environ 10.000 m² conçu par l'architecte Jean-Michel Wilmotte, accueillera d'ici là les manifestations artistiques et culturelles, ainsi que les événements liés à la mode, à la gastronomie et au sport habituellement organisés dans la Nef. Une grande partie du Champ-de-Mars restera accessible aux promeneurs.Une fois ces travaux de rénovation achevés, le Grand Palais historique accueillera à l'été 2024 les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques, puis d'escrime fauteuil et de para judo des Jeux paralympiques.Le "Grand Palais éphémère" abritera au même moment les compétitions de judo et de lutte des JO, puis celles de tennis de table paralympiques.
Il y a 4 ans et 314 jours

Dossier : 4 musées à l'architecture minimaliste

Des lieux culturels affichent une architecture minimaliste et font ainsi la part belle aux arts et aux œuvres présentés. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous invite à découvrir quatre nouveaux lieux culturels, musées et centres d’art, qui se démarquent par leur architecture épurée. Le Centre d’interprétation de l’art romanLe studio portugais d'architecture et de design Spaceworkers, fondé par les architectes Henrique Marques et Rui Dinis, et par la consultante financière Carla Duarte, conçoit un bâtiment tout en béton pour accueillir le Centre d’interprétation de l’art roman. Installée dans la ville de Lousada au Portugal, cet édifice est une réinterprétation du vocabulaire traditionnel de l’architecture romane. . Le Centre Pompidou x West Bund Museum ProjectAprès une implantation à Malaga, puis à Bruxelles, le Centre Pompidou s’exporte à Shanghai en Chine. Suite à l’inauguration de l’édifice construit par David Chipperfield, le musée vient d’ouvrir ses portes au public samedi dernier. Retour sur la genèse d’un projet d’ampleur favorisant les échanges culturels et économiques entre la France et la Chine. C’est sur la rive nord du fleuve Huangpu que s’élève l’écrin de verre réalisé par l’architecte britannique David Chipperfield. Installé sur une esplanade surélevée bordée par un parc, le bâtiment de 25 000 mètres carrés se divise en trois volumes, distincts et linéaires, organisés autour d’un hall central avec un atrium à double hauteur. . Le Musée Cantonal des Beaux-Arts de LausanneAlors qu’il occupait jusqu’alors le Palais de Rumine, le MCBA – Musée Cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (Suisse) bénéficie désormais de son propre bâtiment, un monolithe aux accents brutalistes signé Barozzi-Veiga. Installé en centre-ville, l’ensemble vise à donner naissance à un nouveau quartier des arts : Plateforme 10, qui devra rassembler à terme le MCBA, le Musée de Design et d’Arts appliqués (MUDAC) et le musée de l’Élysée, un établissement dédié à la photographie. . La MÉCALe trio d'architectes parisiens Freaks et les équipes du studio danois Bjarke Ingels Group emporte la ville de Bordeaux (33) dans une spirale créative avec la MÉCA, un centre culturel néo-aquitain de 18 000 mètres carrés posé sur la rive gauche de la belle endormie. Bordeaux s'enivre ainsi de culture avec la MÉCA, son tout nouveau temple de l'art. Investie par le Fond Régional d'Art Contemporain et deux agences dédiées au théâtre ainsi qu'au cinéma, cette Maison de l'Économie Créative et de la Culture en région Nouvelle-Aquitaine doit son imposante bâtisse à l'agence danoise BIG, réalisée en collaboration avec le studio français Freaks.La Rédaction
Il y a 4 ans et 315 jours

« Nous lançons la première édition du concours Jeunes AFGC 2021 »

Gaël Le Bloa est président de la commission Jeunes de l’AFGC. [©AFGC] Comment vous est venue l’idée de faire un concours Jeunes au sein de l’AFGC ? Gaël Le Bloa : Déjà, les jeunes de moins de 35 ans sont les acteurs du génie civil de demain. Il était donc important pour l’AFGC de valoriser et d’accompagner leurs projets. Dès mars 2018, un groupe “Jeunes” a été initié. Formalisé en mars 2020 lors de l’assemblée générale de l’association. Et consolidé par la création d’une commission Jeunes, qui est entrée dans les statuts de l’AFGC. Ensuite, il était naturel de se projeter et de créer un concours. Nous souhaitons encourager aussi les vocations ! Le recrutement de forces vives dans le génie civil est estimé à plus de 200 000 personnes pour les 5 années à venir… C’est dire ! Comment se présente le concours ? Nous ciblons un public très large pour cette première édition. Qu’il soit étudiant en fin de cycle d’école supérieure ou encore jeune salarié dans l’ingénierie, du chantier ou de la recherche. Et bien sûr, être un jeune de moins de 35 ans ! Adhérents ou non de l’AFGC, chercheurs du secteur public ou privé. Ou encore jeunes salariés du milieu professionnel ou de l’administration. L’idée est de valoriser un sujet sur lequel le jeune aurait travaillé. Cela peut concerner, par exemple, une amélioration de méthode ou d’organisation sur un chantier. Une modélisation particulière en études, un projet de recherche…  Comment allez-vous sélectionner les dossiers ? Nous allons d’abord cibler les candidats, faire une pré-sélection. Depuis juin et jusqu’à octobre, ils peuvent envoyer un dossier de candidature, avec lettre de motivation, CV et résumé de leurs projets. Mi-octobre, la commission Jeunes se rassemblera pour établir la recevabilité des projets. Les candidats pré-sélectionnés pourront ensuite présenter sous la forme d’un article de 5 à 10 pages, d’une vidéo ou d’un poster leurs travaux. En mars 2021, il y aura la présentation orale, à Paris des candidats retenus par le jury. Ce dernier étant composé d’une dizaine de personnalités du domaine du génie civil : professionnels, scientifiques, enseignants… Les prix seront remis lors de la conférence génie civil 2021, organisée tous les deux ans par l’AFGC. Propos recueillis par Muriel Carbonnet Règlement disponible sur www.afgc.asso.fr
Il y a 4 ans et 315 jours

ISH 2021 : Grohe renonce

La marque annonce qu'elle ne participera pas à la prochaine édition du rendez-vous de Francfort.
Il y a 4 ans et 315 jours

Eqiom lance sa plate-forme Articimo.fr

Le site www.articimo.fr ambitionne d’accompagner les particuliers et les professionnels en recherche d’idées. [©DR] Eqiom Bétons lance sa nouvelle plate-forme d’inspiration Articimo dédiée aux bétons décoratifs. Et dévoile ainsi les grandes tendances pour la décoration intérieure et extérieure. Le site www.articimo.fr ambitionne d’accompagner les particuliers et les professionnels en recherche d’idées. Entièrement responsive, ce nouveau site Internet offre aux internautes une expérience fluide sur tous les écrans.  Un site de référence des bétons décoratifs Du choix de la solution, à son application et à son entretien, le site propose de découvrir les meilleures idées d’aménagements en béton décoratif. Et met à disposition toute son expertise pour répondre à chaque besoin et à chaque style. De plus, le nouveau site permet de mettre en relation des clients et des professionnels du réseau “Créateurs Sols Béton” à proximité de chez eux pour les accompagner. Il offre aussi, aux artisans intéressés, la possibilité de candidater pour intégrer le réseau. Créé par Eqiom Bétons, ce dernier regroupe des entreprises spécialisées dans la mise en œuvre des bétons décoratifs.  Enfin, pour aller plus loin et rendre leurs projets plus concrets, des showrooms Articimo ont été ouverts au public – uniquement sur rendez-vous – en France et au Luxembourg. 
Il y a 4 ans et 315 jours

Nos idées pour peindre votre intérieur

Quitte à laisser les murs sans tableaux et nus, autant les peindre comme il se doit. Il en va de l’esthétisme et du confort de chaque pièce de la maison. Vous devez bien évidemment engager des professionnels pour la réalisation des travaux afin d’en garantir la finition et la réussite. Ces derniers pourront également vous conseiller sur les idées de peintures à faire dans votre intérieur. Un mur de fond d’une couleur plus prononcée Afin de faire paraître votre pièce plus grande et apporter de la gaité à votre aménagement, il est conseillé de contraster les couleurs dans votre pièce principale. Pour ce faire, il faudra opter pour une couleur plus foncée et plus prononcée sur le mur du fond. La tendance vintage est toujours de rigueur. Vous avez donc plus de choix en matière de couleur pour repeindre esthétiquement votre salon ou votre pièce à vivre. Si vous êtes en quête d’originalité, vous pouvez utiliser entre autres le jaune, l’orange, le bleu ou le rose. Mais si vous recherchez un style plus classique et plus intemporel, on vous conseille le bleu canard, le gris métallisé, le vert foncé, etc. Le total look blanc : une bonne ou une mauvaise idée ? Si auparavant, le total look blanc était à bannir, ce n’est plus le cas de nos jours. Les magazines de décoration et les experts conseillent même ce style pour apporter un peu plus de lumière à votre aménagement. Mais attention, si vous vous laissez souvent aller en termes de nettoyage, c’est un style de décoration qui peut être déconseillé. Pour un total look blanc, il faudra une peinture de qualité, avec une finition brillante et une peinture à l’huile de préférence. La pose peut prendre du temps et nécessité un maximum de minutie. Il est toujours de mise de confier le chantier à des professionnels. En tous les cas, afin de donner un peu plus de convivialité à la pièce, il est possible de compenser la peinture très blanche avec des mobiliers d’une couleur plus douce. Le blanc se marie avec tout. Créer des motifs sur vos murs pour structurer Pour structurer votre intérieur, pourquoi pas des motifs sur le mur ? On ne parle pas de papier peint, mais de dessins géométriques simplement faits avec des peintures pour un rendu esthétique et naturel. Vous aurez besoin pour ce faire de plusieurs produits de différentes couleurs et de quelques bandes adhésives. Les artisans peintres peuvent vous proposer différentes formes : rectangles, triangles, ou bien d’autres. La peinture et les motifs peuvent s’étaler sur un seul mur ou sur plusieurs. Tout dépend de vos envies et de votre budget disponible. Le plus dur dans cette technique de peinture est de savoir marier les couleurs. Ce qui nécessite notamment l’œil d’un expert. En outre, pour avoir des formes bien précises et des traits nets sur les murs, il est important d’avoir le coup de main. Une bande pour séparer les différentes pièces Vous avez un appartement qui s’étale sur la longueur ou qui propose un seule grande pièce à vivre ? La peinture peut vous aider à créer des séparations sans pour autant mettre en péril la fonctionnalité et le confort de celle-ci. Une tendance actuellement serait aussi de créer une simple bande, qui traverse la pièce de part en part, du sol au plafond en passant par le mur. Il faudra pour ce faire utiliser une couleur de peinture qui dénote profondément avec le reste de la couleur de la pièce. Tendance, simple, originale et pratique : cette technique de peinture a de plus en plus le vent en poupe de nos jours. Elle s’invite d’ailleurs aussi bien dans les petits appartements que dans les résidences de luxe. En plus de ne coûter pas cher, elle vous permet de ne pas surcharger la pièce de meuble et de mettre en valeur, par la même occasion, votre hauteur sous plafond. Peindre aussi le plafond : une nouvelle tendance Atelier peintures et matières vous proposent aussi une nouvelle tendance en matière de travaux de peinture intérieure : donner des couleurs à votre plafond. Très prisée dans les résidences et appartements de luxe, cette technique a l’avantage d’apporter de l’originalité à votre aménagement. Vous avez l’embarras du choix en ce qui concerne la couleur à adopter : le gris, le jaune, le rose, le bleu, ou même le noir, etc. Mettre en valeur les poutres Aménagement sous comble ou simplement résidence avec poutre apparente ? Mettez en valeur les bois de votre maison pour donner de la structure et de la modernité à votre pièce. Il n’y a rien de tel que les travaux de peintures pour ce faire. Il est possible notamment de simplement accentuer la couleur naturelle marron du bois. Mais vous pouvez aussi opter pour des peintures pour bois plus prononcées comme le blanc, le rouge, etc.
Il y a 4 ans et 317 jours

Atelier Leymarie Gourdon : Appartement Batignolles

Fondé par Chloé Leymarie et Eva Gourdon en 2014, l’Atelier Leymarie Gourdon a relevé le défi de réaménager un appartement né de la réunion de deux logements mitoyens. Pour cet appartement parisien voué à accueillir une famille, l’agence a ainsi repensé la distribution, la fonctionnalité et la cohérence de l’habitation. À la demande des propriétaires, un couple avec plusieurs enfants, le duo a mené un travail astucieux sur l’agencement pour métamorphoser cet appartement de 160 mètres carrés en une habitation familiale à la fois intime et chaleureuse. À la jonction des deux logements prend désormais place la salle de séjour, qui relie la chambre et la salle de bains parentales aux pièces dédiées aux enfants. Situées à chaque extrémité de l’appartement, ces deux zones sont dissociées. Les nouveaux propriétaires souhaitaient que la réorganisation de l’espace garantisse à chacun son intimité. Afin de créer l’ambiance conviviale de l’appartement, les architectes ont opté pour une salle de séjour composée d’une cuisine ouverte sur la salle à manger. Au centre de la cuisine, un îlot central minimaliste fluidifie la circulation et favorise les moments de partage autour de celui-ci. Ils ont également utilisé le bois comme fil conducteur. Les placards en bois semi-encastrés, qui dissimulent les rangements et l’électroménager, dialoguent avec la grande bibliothèque de la salle à manger. Dans les trois chambres, le bureau et le salon, on retrouve cette même trame à travers divers éléments en bois, notamment le parquet, les rangements, le mobilier. Une rénovation très réussie ! Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Leymarie Gourdon. Photographies : © BCDF
Il y a 4 ans et 317 jours

La France très en retard en matière d'accessibilité malgré la loi handicap de 2005

Dans un rapport fleuve adressé au président de la République et au Premier ministre Jean Castex, l'institution présidée par Jacques Toubon, qui quittera son poste mi-juillet, formule 120 recommandations pour mettre la France en conformité vis-à-vis de ce texte ratifié en mars 2010."Si de nombreux progrès ont été réalisés ces dernières années, d'importantes lacunes subsistent", soutient-elle, estimant que "la France n'a pas encore pleinement pris en considération le changement de modèle" induit par la CIDPH.Elle dresse un constat "particulièrement préoccupant" en matière d'accessibilité, pointant les "réticences persistantes des pouvoirs publics" à l'appréhender comme une "condition préalable essentielle à la jouissance effective des droits par les personnes handicapées".Commerces, transports en commun, voirie, tribunaux, lieux de santé, de loisirs... Il y a "une absence d'accessibilité de la totalité de la chaîne de déplacement", constate le Défenseur, déplorant également que la loi Elan, votée en 2018, abaisse de 100% à 20% le quota de logements accessibles dans les programmes neufs, les autres logements devant simplement répondre à une condition d'évolutivité.La loi handicap de 2005 avait prévu que les lieux et transports publics devaient être accessibles aux personnes handicapées avant le 1er janvier 2015, or cette échéance n'a pu être respectée pour tous et des délais ont été autorisés. Malgré l'interdiction faite par la loi de refuser l'accès des chiens guides d'aveugle ou d'assistance dans les transports ou les lieux ouverts au public, M. Toubon dit être régulièrement saisi de tels refus, "jamais verbalisés".Concernant les enfants handicapés, s'il salue "l'impulsion en faveur de l'école inclusive" - quelque 360.000 enfants étaient scolarisés cette année contre 151.500 en 2006 - il estime que l'accompagnement humain individuel de chaque enfant ne peut être la seule réponse et pointe "les carences institutionnelles qui imposent également à l'école de s'adapter en formant les enseignants ou en aménageant la scolarité".En 2019, le handicap était, pour la troisième année consécutive, le premier motif de saisine du Défenseur des droits en matière de discrimination (22,7% soit 1.237 saisines).La France devait être auditionnée sur son application de la CIDPH en septembre 2020 à l'ONU mais ce rendez-vous a été reporté à cause de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 318 jours

Meljac affiche un chiffre d'affaires 2019 en progression de 9% et poursuit son développement en 2020

La capacité d'adaptation de MELJAC lui a permis de traverser deux crises majeures, le décès de son fondateur début 2019 et l'impact de la pandémie début 2020.L'entreprise française conserve des objectifs ambitieux en s'appuyant sur plusieurs facteurs: la forte cohésion de ses 80 collaborateurs, une réorganisation efficace, et le maintien d'une stratégie de développement axée sur l'innovation, l'hôtellerie et le rayonnement international.L'année passée a été marquée par la perte de notre Président-Fondateur André BOUSQUET, nous avons su affronter ce bouleversement en nous appuyant sur l'esprit de MELJAC pour optimiser notre nouvelle organisation. La progression du chiffre d'affaires 2019, issue de l'engagement toujours aussi passionné de nos équipes, nous a permis de résister à l'épreuve économique inédite à laquelle nous sommes tous confrontés.- Jean-Michel LAGARDE, Directeur général de MELJACUne année 2019 marquanteDécès d'André BOUSQUET : Florence BOUSQUET devient gérante et le rôle du directeur général, JeanMichel LAGARDE, est renforcéDes équipes soudées avec les dirigeants, ayant à cœur de perpétuer l'œuvre d'André BOUSQUET et de conserver les valeurs de l'entrepriseAprès un 1er semestre d'adaptation, reprise de la dynamique de l'entrepriseCroissance du CA (+9%) : 9,3 M€ Une année record en terme de prises de commandes et de CAUne forte progression de la trésorerieAboutissement de grands projets : Mandarin Oriental Paris, un palais au Moyen Orient, des villas à Beverly Hills2020 : des équipes en 2x8 pour faire face aux commandesLa solidité financière de l'entreprise lui permet d'affronter les événements qui déstabilisent l'économie française et mondialeArrêt de la production pendant un mois et reprise progressive jusqu'au déconfinementRéorganisation du rythme de travail, des méthodes et du fonctionnement de l'entreprise (rotation des équipes, télétravail)Un niveau de commandes quasiment stable malgré la crise : -2% à fin juin 2020Des équipes toutes impliquées pour résorber un encours de production de 30% supérieur à la normaleUn rayonnement et une visibilité accrusLe développement aux USA Dès la 1ère année pleine, la filiale MELJAC North America devient le plus gros client à l'exportCollaboration « Par Excellence » à New-York : déménagement dans un nouveau showroom en 2020. Plus spacieux, il présentera 9 savoirfaire français d'exceptionLe Moyen-Orient, un marché prometteur : Participation à la Mission Pays du Golfe (organisée par la Chambre des Métiers et de l'Artisanat), décalage prévu fin 2020 Salons : à la rencontre des architectes et des professionnels de l'hôtellerie fin 2020 : Architect@Work ParisEquip'HotelHostysHotel & Lodge Business Meetings & Awards (reporté à 2021)Présence au Lab FFIE (Fédération française des intégrateurs électriciens) : inauguration prévue fin 2020Rénovation des showrooms : Lyon en 2019 Paris prévue fin 2020Des investissements pour répondre aux fortes demandesPrès de 450 K€ investis dans la production en 18 mois : Nouveaux outils de production : centre d'usinage Ultra Grande Vitesse, nouvelle cabine de vernissage, nouveau bain de chrome…Poursuite du réaménagement de l'usine de Villeneuve-le-Roi pour accroître la capacité de la production et agrandir le bureau d'étudesAugmentation de l'effectif moyen de 15% Nouveaux CDIMaintien des contrats d'apprentissageCréation, innovation et sur-mesure toujours au cœur du projetMise au point de 6 nouvelles finitions sur laiton : le nuancier MELJAC offre désormais un choix de 30 finitionsOptimisation de l'adaptation aux systèmes domotiques (très basse tension)Officialisation du partenariat avec URMET France pour élargir l'offre MELJAC dans le domaine du contrôle d'accèsNouvelle collection née d'une collaboration avec le designer Marc NEWSON (lancement prévu fin 2020)
Il y a 4 ans et 318 jours

Plan de relance : entre 4 et 5 milliards d'euros pour le bâtiment

Lors du "Grand Rendez-Vous" d'Europe 1 (avec Les Echos et CNews) dimanche 12 juillet, la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon, a expliqué que l'effort sous forme d'investissement serait porté sur la rénovation énergétique, notamment des bâtiments publics.
Il y a 4 ans et 318 jours

ZenSpire Distance : le boîtier de distanciation sociale, waterproof, antichoc, autonome et sans connexion

Zenspire Distance est un boîtier (60 mm x 50 mm x 20 mm) qui émet une alerte sonore, lumineuse et vibre lorsqu'il se trouve à moins d'un mètre d'un autre boîtier.Il est développé par une start-up française déjà lauréate du « produit de l'année 2020 » pour ses deux créations phares : Zenspire Relax et Zenspire Sleep, des coachs nomades de respiration qui s'appuient sur la pratique de la cohérence cardiaque et permettent de retrouver la sérénité et le sommeil en quelques minutes seulement.Une équipe qui a su s'adapter à la situationDans le cadre de son développement, l'entreprise travaillait à la mise au point d'une version miniature et simplifiée du Zenspire Relax. Un produit dédié aux enfants : le Zenspire Kids.COVID 19 oblige, la société a décidé de reporter ce lancement (prévu en mai) et de mettre en stand-by le projet.Mais les ingénieurs de la société ont tout de suite réagi et compris l'importance de la distanciation sociale dans le combat contre l'épidémie, notamment dans l'univers complexe de l'entreprise. Simplicité à faibles coûtsSon fonctionnement est très simple et opérationnel immédiatement : lorsqu'un Zenspire Distance se trouve dans le périmètre de sécurité d'un autre Zenspire Distance celui-ci émet immédiatement un son, une vibration et une lumière rouge, vous invitant à reculer et garder la bonne distance d'un mètre (en accord avec les instructions mises en place par le gouvernement en termes de protection de la population).Gros avantage : il respecte la vie privée des différents porteurs. Contrairement à d'autres systèmes, le boîtier ne transmet aucune information et ne conserve aucune data.Le Zenspire Distance n'est pas seulement destiné au BTP et à l'industrie, les professionnels du tourisme font aussi part de leur intérêt pour ce petit boîtier. A ce sujet le dirigeant de Zenspire précise : « Nous sommes déjà en contact avec de nombreux acteurs du tourisme et parcs d'attraction, et nous réfléchissons avec eux à des mises en situation où les Zenspire Distance ne fonctionneraient pas individuellement mais par groupes, permettant à des familles complètes de respecter les distances de sécurité par rapport à d'autres personnes ou familles. »Autre atout non négligeable : il est proposé à la location. Jean-Louis Portales, fondateur de la société, déclare : « Le coronavirus peut disparaître à tout moment, pourquoi acheter un équipement qui peut devenir inutile sachant aussi que la législation peut évoluer (actuellement un mètre), rendant votre achat obsolète ? ».Dans cette période économique compliquée, le système de location du Zenspire Distance permet de maîtriser le budget en ayant un très faible impact sur la trésorerie des entreprises. Il est proposé à partir de 0,50 centimes HT par jour (prix pour 100 unités et plus avec un engagement minimum d'un mois). Il est aussi disponible à la vente à partir de 39 € HT (prix pour 1 à 100 unités).Zenspire Distance, une solution simple, rapide, low-cost pour renforcer les réflexes de distanciationZenspire Distance : les fonctionnalitésMise en service immédiate Boutons unique ON/OFF Pas besoin de smartphone, abonnement, logiciel Aucune collecte de donnée Alarme visuelle, sonore et vibration en cas de rapprochement à un mètre Dessin ergonomique Matériaux : ABS antichoc Silicone hypoallergénique Waterproof IP67 Batterie Lithium CR2427 remplaçableDurée de vie de la batterie : 3 moisTechnologie Bluetooth 5.0 Low energyPoids : 35 gDimension : 60 cm x 50 cm x 20 cm Livré avec dragonne et mousqueton Garantie 2 ansEt après…La vie du Zenspire Distance ne s'arrêtera pas à la fin de la pandémie. Son créateur, Jean-Louis Portales, a déjà prévu qu'à la fin du Covid19, le Zenspire Distance puisse être reconditionné afin qu'il retrouve son utilisation initiale. Le Zenspire Distance redeviendra Zenspire Kids, un guide respiratoire de cohérence cardiaque et rejoindra les bancs des écoles pour que nos enfants puissent apprendre au mieux à gérer leurs stress et leurs émotions.
Il y a 4 ans et 318 jours

Rencontre avec : Paola Siri Renard

Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2017, Paola Siri Renard (née en 1993) crée des œuvres qui s’apparentent à des « micro architectures ». Pour obtenir des formes spécifiques, la jeune artiste travaille différents matériaux en s’appuyant sur des « données abstraites », et s’impose ainsi des contraintes artistiques volontaires. Jusqu’au 17 juillet, elle expose ses sculptures à la galerie Lou Carter à Paris. À l’occasion de cette exposition personnelle, nous avons rencontrée Paola Siri Renard pour discuter avec elle de sa pratique si particulière de la sculpture. Muuuz : Quel a été votre parcours ? Paola Siri Renard : Après le baccalauréat, j’ai étudié à l’Atelier de Sèvres à Paris. L’année suivante, je suis entrée aux Beaux-Arts de Paris, et j’ai immédiatement intégré les ateliers de la plasticienne belge Ann Veronica Janssens. En 2017, dans le cadre d’un programme d’échange, je suis partie à Tokyo, où j’ai eu accès à des ateliers techniques incroyables. Je suis revenue à Paris pour passer mon DNSAP, puis je suis partie travailler à la Kunstakademie de Düsseldorf sur invitation de l’artiste et sculptrice américaine Rita McBride. Les deux années qui suivent le diplôme sont une période important durant laquelle j’ai développé de manière intensive ma pratique. Aujourd’hui, je vis et travaille entre Paris et Düsseldorf. Que vous a apporté votre année à Tokyo ? Mon séjour à Tokyo m’a confortée dans ma volonté de travailler à partir de données non visibles, abstraites. Grâce à cette résidence au Japon, j’ai en effet décidé de poursuivre le cheminement artistique que j’avais commencé à emprunter depuis mon entrée aux Beaux-Arts. Faites-vous uniquement de la sculpture ? Aux Beaux-Arts, j’ai fait surtout de la sculpture, et un tout petit peu de vidéo. J’ai eu la chance d’étudier la sculpture au sein des ateliers des artistes Ann Veronica Janssens et Emmanuel Saulnier, et d’apprendre différentes techniques. En 2016, juste avant mon départ au Japon, j’ai résidé au Cirva, le Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques, où j’ai appris à travailler le verre.Quel rapport vos pièces entretiennent-elles avec l’espace ? Mes pièces résonnent toujours avec l’espace. Aujourd’hui, je fais moins de pièces in situ mais je crée des œuvres autonomes, qui impliquent toujours des rapports entre espace, architecture, objet et corps. Ma pièce en résine Untitled Récamier fait référence à la chaise longue LC4 de Le Corbusier par sa forme et au Modulor par ses dimensions. Ici, je réinjecte les différentes proportions du système architectural établi par Le Corbusier, et j’évoque aussi les poses des femmes alanguies sur des banquettes inconfortables dans certaines peintures. La matière et la forme rendent ma pièce très incommode, même si elle est visuellement attrayante. Les « données abstraites » sont au fondement de vos créations. Qu'entendez-vous par « données abstraites » ?Je collecte des données abstraites, des systèmes de mesures, et je les réinjecte dans certaines de mes pièces. Au Japon, j’ai réalisé un ensemble de cinq sculptures à partir des données du premier séisme que j’ai ressenti là-bas. Selon l'échelle de Richter, si la magnitude du séisme est supérieure à cinq, on ne peut plus se déplacer normalement dans l’espace. Dans Profundity 37 kilometers, la plaque de marbre se surélève de 3,7 centimètres car l’épicentre de ce tremblement se situait à 37 kilomètres de profondeur en-dessous de la surface de la terre. Dans ma sculpture 60 cm < 2 h + g < 64 cm (STEPS), je me réfère à la formule de Blondel. Cette formule, calculée sur la dimension d’un pas humain, permet de définir les dimensions des marches et des contremarches d’un escalier. J’ai collecté toutes les dimensions possibles de cette formule, j'ai travaillé un pattern antidérapant et j'ai déformé l’escalier traditionnel pour construire une croix. J'extrais ainsi des données de leur contexte habituel pour les mettre en lumière. Votre travail met en jeu un système de rapports entre forme, matière, architecture et espace, où le corps devient le sujet même de l'œuvre. Quelle est la place du corps dans vos créations ? En exposant mon travail, j’ai rapidement saisi leur dimension corporelle évidente, et j’ai eu envie de faire des pièces avec lesquelles le corps peut interagir. Ma sculpture récente Love to details est un support de performance. J’ai collecté des ornementations de colonnes corinthiennes, je les ais agrandies et j’ai créé une sculpture modulable composée de plusieurs éléments modulables sur lesquels on peut s'asseoir. Les ornementations des colonnes corinthiennes sont calculées sur les proportions d’un corps féminin et inspirées de formes organiques comme les feuilles d’acanthe. Dans ma pièce, ces ornementations sont agrandies à l'échelle du corps et dialoguent ainsi avec leur histoire. Je trouve cela très intéressant.&nbsp;Love to details est donc une sculpture fonctionnelle envisagée comme un support de performance. La pratique de la performance vous intéresse-t-elle ?&nbsp;Je commence à associer des performances à mes sculptures, et j'explore encore les possibilités de la performance. À terme, j'aimerais vraiment chorégraphier des performances pour mettre en scène, autour de mes pièces, différentes expériences telles que des dîners, des débats, des lectures, des rituels. Dans votre exposition personnelle à la galerie Lou Carter, cinq sculptures sont présentées. Pourquoi avez-vous choisi ces œuvres ? La sélection des pièces a été faite par Lou Carter et moi. Les deux pièces en verre ont été réalisées à Marseille en 2016 et les trois autres sculptures ont été créées à Tokyo en 2017. Les pièces exposées à la galerie sont très différentes et n’ont pas le même point de départ, mais elles fonctionnent bien ensemble. Ces cinq pièces relativement anciennes représentent également différents axes de mon travail. Je suis très attachée à elles. Aujourd’hui, vers quoi souhaitez-vous faire évoluer votre pratique artistique ? J’aimerais évoluer vers la performance, et donc collaborer avec des performeurs, des danseurs ou des chorégraphes. Je souhaiterais faire sortir la sculpture de son état statique pour que les visiteurs puissent entretenir une relation sensible avec mes oeuvres. Quelles sont vos prochaines expositions ?Je présenterai plusieurs de mes pièces dans une exposition collective qui se tiendra à ART Biesenthal, en Allemagne, du 15 août au 5 septembre. Et vos futurs projets ? Je suis en train de monter différents projets avec mon ami, l’artiste Max Blotas, qui crée des installations connectées. Son travail est complètement différent du mien mais nos oeuvres dialoguent bien les unes avec les autres.&nbsp; Pour en savoir plus, visitez le site de Paola Siri Renard, et celui de la galerie Lou Carter. Paola Siri Renard, du 2 au 18 juillet 2020, à la galerie Lou Carter (75007).Visuels des œuvres : © LouCarterGalleryLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 320 jours

La Cour des comptes vigilante sur d'éventuels nouveaux EPR

La Cour a publié un rapport critique sur la filière EPR, qui fait notamment le constat des "dérives de coûts et de délais considérables" sur le chantier du réacteur de Flamanville (Manche), dont la mise en service n'interviendra que "mi-2023" au plus tôt.EDF table pour sa part sur un chargement du combustible nucléaire fin 2022, un calendrier qui avait été confirmé en mai par son PDG Jean-Bernard Lévy, malgré le ralentissement occasionné par le confinement à la suite de la pandémie de covid-19."Il faut selon EDF une période de tests et de montée en puissance de six à huit mois après chargement du combustible pour que le réacteur puisse être mis en service commercial", a souligné le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, lors d'une conférence de presse.Au final, les coûts auront multipliés par 3,3 (à 12,4 milliards d'euros selon EDF) et les délais par au moins 3,5. Les magistrats estiment que s'ajouteraient pour 6,7 milliards de "coûts complémentaires" en plus de la construction à proprement parler, dont une bonne part de frais financiers.A l'étranger, les auteurs du rapport pointent du doigt des projets "peu rentables" même lorsqu'ils ont été menés à bien, comme les deux réacteurs chinois de Taishan qui fonctionnent et restent à ce jour les seuls EPR en fonctionnement dans le monde.Le chantier d'Olkiluoto 3 en Finlande, lancé dès 2005 par Areva, n'est pour sa part toujours pas achevé et a connu de nouveaux problèmes récemment. Quant aux deux réacteurs en construction à Hinkley Point au Royaume-Uni, leur financement "pèse considérablement" sur la situation financière d'EDF, déjà lourdement endetté, juge le rapport."Horizon 2050""Le retour d'expérience des chantiers menés et la planification du mix (bouquet, NDLR) énergétique à horizon 2050 sont nécessaires avant de décider de construire ou non de nouveaux réacteurs électronucléaires", a estimé Pierre Moscovici en évoquant l'avenir.En raison des retards de Flamanville, le gouvernement a déjà prévenu que la décision de construire ou non de nouveaux réacteurs en France serait renvoyée au prochain quinquennat.Avant cette décision, les magistrats suggèrent "un exercice de retour d'expérience complet sur tous les EPR construits ou en construction en France et à l'étranger".Ils demandent aussi "une analyse complète du mix électrique à l'horizon 2050" préalable à toute décision. La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), qui sert de feuille de route au gouvernement, a aujourd'hui pour horizon 2028 seulement.Or, la décision de construire ou non de nouveaux réacteurs engagera la France "jusqu'au XXIIe siècle", souligne la Cour des comptes. Les enjeux financiers sont énormes: construire trois paires de réacteurs EPR2 (la version améliorée sur laquelle travaille EDF) coûterait 46 milliards d'euros. C'est sur ce scénario de six nouveaux réacteurs que l'électricien travaille actuellement à la demande du gouvernement.Pour pouvoir pendre une décision, la Cour prône également de "calculer la rentabilité prévisionnelle du réacteur de Flamanville 3 et de l'EPR2". Pour ce dernier, censé être moins cher, les estimations de coût reposent encore sur des "données partielles" et "des hypothèses à préciser", s'inquiètent les magistrats.Ils alertent également sur la question du financement, qu'EDF ne pourra plus assurer seul à l'avenir et qui nécessitera donc une forme de soutien public.Les difficultés "ne doivent pas conduire à disqualifier cette technologie", mais "il faut constater des difficultés passées considérables qui peuvent orienter les choix futurs", a conclu Pierre Moscovici.
Il y a 4 ans et 321 jours

Avec AMC Production, vous pouvez installer vous-même votre porte de garage en toute simplicité !

Plus besoin de contacter un artisan ou n’importe quel intervenant extérieur pour lui demander de l’aide ! Vous avez désormais juste à commander en ligne, sans aucune prise de tête. L’entreprise AMC Production vous permet d’installer vous-même votre nouvelle porte de garage que vous soyez débutant en bricolage ou que vous ayez de grandes compétences dans ce domaine ! Tout le monde peut y arriver ! Commandez votre porte de garage en ligne et montez la seul(e) ! Ne doutez plus de vos capacités de bricoleur ! Des entreprises françaises comme AMC Production pour une porte de garage sur mesure vous accompagnent dans vos projets de rénovation. Rendez-vous sur leur site internet afin d’effectuer facilement votre devis en ligne pour découvrir le coût de vos travaux ! Cette entreprise fabrique des portes de garage sur-mesure et personnalisables depuis 25 ans. Grâce à elle, vous pourrez customiser votre porte de garage selon vos envies : ajouter des hublots ou bien choisir le format de vos panneaux si vous optez pour une porte de garage sectionnelle par exemple, tout en bénéficiant de tarifs à prix d’usine ! En plus de cela, pour prendre soin de l’environnement, les produits sont recyclables ! Foncez ! Ne doutez plus de vos compétences en bricolage ! Même si vous n’êtes pas un expert en la matière, il est totalement possible d’installer vous-même votre porte de garage sans avoir recours à un intervenant extérieur. En effet, AMC Production vous livre votre porte de garage prête à monter, en kit, sous un délai maximum de trois semaines, en France et en Belgique. Monter votre porte de garage sera alors simple et rapide. Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur leur porte de garage et que vous habitez à proximité de Lille, allez découvrir les produits au sein de leur comptoir (mixte entre un showroom et un magasin). Vous serez accueilli(e) par des professionnels qui vous apporteront de plus amples informations. Quel type de porte de garage est faite pour moi ? Plutôt une porte sectionnelle ou enroulable ? Les portes de garage sectionnelles ont de nombreux atouts.  Si vous optez pour celle-ci, vous pouvez être rassuré(e), elle est très rigide, il y a donc moins de risques face aux effractions. Du fait de sa rigidité, elle isolera parfaitement votre garage ! Mais encore, si vous souhaitez moderniser votre jolie maison, en la choisissant, vous pourrez l’adapter à toutes vos envies car elle est très personnalisable. Vous pourrez choisir parmi un large choix de couleurs, modifier la forme des panneaux, ajouter si vous le souhaitez des hublots et décider de leur emplacement,… Et tout cela pour un bon rapport qualité/prix ! Quoi de mieux ? Leur seul inconvénient c’est de prendre de la place au plafond mais elle en libère sur les côtés de votre garage. En ce qui concerne les portes de garage enroulables, à la différence des portes sectionnelles, elles ne prennent pas de place au plafond mais seulement sur les côtés de votre garage. Mais, malheureusement, elles sont moins personnalisables que les portes de garage sectionnelles. Elles peuvent alors parfaitement vous convenir si vous chercher quelque chose de simple et épuré. Par ailleurs, elles isolent moins bien que les sectionnelles car elles sont moins rigides, élément à prendre en compte en fonction de l’exposition de votre garage ou du lieu de votre résidence. Vers quel matériau dois-je m’orienter ? Il est possible d’avoir recours au bois, à l’acier, au PVC ou encore à l’aluminium pour vos portes de garage enroulables ou sectionnelles. Si vous choisissez le bois, c’est un très bon isolant mais c’est un matériau coûteux qui demande beaucoup d’entretien. Si vous voulez apportez un style traditionnel à votre maison, les portes de garage en bois sont idéales pour vous. Si vous optez pour une porte de garage en acier, elle sera très résistante dans la durée. L’acier est un matériau très économique mais il nécessite de le peindre. Concernant le PVC, tout comme le bois, il est très isolant. De plus, il est économique. Pour ce qui est de l’aluminium, il est très moderne et esthétique pour votre logement. C’est un matériau résistant qui ne rouille pas. Il ne nécessite aucun entretien. Quel type de manœuvre dois-je choisir ? Si vous ne rentrez pas fréquemment votre véhicule dans votre garage, nous vous conseillons d’opter pour une porte de garage manuelle, cela sera plus économique pour vous. Dans le cas inverse, pour vous garantir un meilleur confort et plus de praticité au quotidien, optez une porte de garage électrique. Vous pouvez maintenant, grâce à ces conseils, faire le meilleur choix pour votre maison !
Il y a 4 ans et 322 jours

Le projet de transformation de la Gare du Nord, va-t-il devenir un "Notre-Dame-des-Landes" parisien ?

Le préfet de la région Ile-de-France Michel Cadot a officiellement annoncé mardi qu'il avait signé le permis de construire, avec un "objectif de livraison des travaux nécessaires pour les jeux Olympiques et Paralympiques 2024", selon un communiqué."Le lancement des travaux se fera sans attendre selon les principes d'un chantier exemplaire et en respectant les conditions sanitaires imposées par le Covid", a réagi par communiqué la SA Gare du Nord 2024, "confiante quant au respect du calendrier".Mais l'annonce n'a pas soulevé un grand enthousiasme du côté de la mairie de Paris. "L'Etat va à l'encontre des besoins des habitants comme des usagers des transports et méprise le choix des électeurs franciliens", a par exemple tonné sur Twitter la maire du 10e arrondissement, Alexandra Cordebard, annonçant que la "mobilisation" de l'équipe municipale "(continuerait) contre ce projet démesuré"."Avec le projet de rénovation actuel de la Gare du Nord, le gouvernement vient de s'inventer un Notre-Dame-des-Landes en plein Paris. Je lui souhaite beaucoup de courage sur le plan politique et juridique", a aussi écrit sur le même réseau social Emmanuel Grégoire, dans un tweet retweeté par la maire Anne Hidalgo."Contraire aux exigences écologiques"La Ville de Paris, qui doit détailler "les points qui constituent des lignes rouges dans le projet" lors d'une conférence de presse mercredi, avait soutenu dans un premier temps cette rénovation.Elle avait ensuite jugé trop commercial le projet, porté par une coentreprise créée par SNCF Gares & Connexions et Ceetrus, la foncière d'Auchan.Il prévoit notamment la construction de commerces, bureaux et équipements culturels au sein de la première gare d'Europe, vieille de 155 ans et fréquentée par 700.000 voyageurs chaque jour --un chiffre appelé à augmenter.Le projet, évalué à 600 millions d'euros, a aussi été fustigé par une vingtaine d'architectes de renom, dont Jean Nouvel et Roland Castro, qui ont jugé le projet initial "inacceptable" et "pharaonique", dans une tribune publiée dans Le Monde début septembre, demandant qu'il soit "repensé de fond en comble".Dans son communiqué, le préfet d'Ile-de-France Michel Cadot a plaidé que "SNCF Gares & Connexions et la société +Gare du Nord 2024+ ont pris 13 engagements visant à assurer une bonne intégration de la gare rénovée dans le quartier", via notamment "la création d'un important parking à vélos", le "lancement d'études pour améliorer l'accès à la gare par le nord" ou encore "la prise en compte du réaménagement du parking souterrain" pour "libérer le parvis de la gare des déposes-minute".En outre, est prévu un "renforcement de la qualité environnementale du projet en augmentant les surfaces végétalisées et par le réemploi des eaux de pluie", plaide encore Michel Cadot.Mais dans son communiqué, la ville de Paris a fustigé un projet "contraire aux exigences écologiques et urbaines portées par l'exécutif parisien nouvellement élu", et appelé à poursuivre des discussions "afin de reconsidérer ce projet en profondeur pour le rendre viable et acceptable".De son côté Serge Rémy, de l'association "Retrouvons le Nord de la Gare du Nord" qui mobilise contre le projet de SNCF et Ceetrus, a fait le parallèle avec les ambitions vertes du nouveau gouvernement: "Alors que la convention Climat défend un nouveau modèle économique plus sobre et moins commercial, l'Etat délivre un permis de construire qui donne les clés de la gare du Nord à Auchan pendant 46 ans pour installer une énorme zone de boutiques".Mairie de Paris et opposants lâchent leurs coups contre le gouvernementMots vigoureux, menaces de "recours" en justice voire d'occupation: la mairie de Paris et les opposants au projet de transformation de la Gare du Nord, ont tonné mercredi contre la décision de l'Etat de délivrer le permis de construire, un "déni de démocratie" selon eux.Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, avait tweeté mardi que le gouvernement venait "de s'inventer un Notre-Dame-des-Landes en plein Paris" en délivrant le permis de construire au volet commercial de la transformation de la Gare du Nord. Mercredi, il a enfoncé le clou en conférence de presse, aux côtés de la maire du Xe arrondissement, Alexandra Cordebard.Le projet, évalué à 600 millions d'euros? "Totalement surdimensionné" et sur "un modèle usé", qui "représente une menace sur le tissu local" environnant. Délivrer le permis de construire un jour de remaniement? Un "déni de démocratie" parce que les Parisiens souhaitent "un projet mieux inséré dans son environnement". L'échéance prévue, à savoir les Jeux olympiques 2024? "Pas crédible et pas sérieux", tance encore Emmanuel Grégoire.La veille, la coentreprise créée par SNCF Gares & Connexions et Ceetrus, la foncière d'Auchan, avait pourtant promis que "le lancement des travaux se fera sans attendre" et s'était dite "confiante quant au respect du calendrier", le préfet de la région Ile-de-France Michel Cadot évoquant de son côté un "objectif de livraison des travaux nécessaires pour les jeux Olympiques et Paralympiques 2024"."Je mets au défi Ceetrus de me prouver (que les délais sont crédibles, NDLR) en produisant les plannings de chantier, auxquels nous n'avons pas accès", a répondu Emmanuel Grégoire, ménageant le préfet d'Ile-de-France - qu'il "pense aussi embarrassé que nous par cette décision" - pour mieux attaquer le gouvernement, accusé de "passé en force". "Un dossier de cette nature n'est pas décidé dans un petit bureau administratif secondaire", a-t-il aussi glissé.Occupation "possible"Sur le fond, et si elle ne conteste pas la nécessité de rénover la première gare d'Europe, vieille de 155 ans et fréquentée par plus de 700.000 voyageurs chaque jour, la municipalité évoque plusieurs "lignes rouges", outre le calendrier.Elle demande d'abord une "dédensification" du projet, proposant de diviser la surface commerciale par quatre, de 20.000 à 5.000 m2; une "ouverture sur l'ensemble du quartier", en abandonnant "la séparation des flux d'entrée et de sortie" que la mairie juge "inadaptée pour une gare"; "l'amélioration de l'intermodalité avec les transports en commun, les vélos et les taxis".Mardi, Michel Cadot avait plaidé que les porteurs du projet avaient "pris 13 engagements visant à assurer une bonne intégration de la gare rénovée dans le quartier", via notamment "la création d'un important parking à vélos", ou "la prise en compte du réaménagement du parking souterrain".Insuffisant, estime Emmanuel Grégoire, qui brandit la menace de "recours judiciaires" pour faire pièce à ce projet.Les associations d'usagers et d'habitants, présentes mercredi dans la salle de la Mairie de Paris où se tenait la conférence de presse, sont sur la même longueur d'ondes.Sont-elles prêtes à aller jusqu'à une occupation de la gare? "Cela fait partie des choses possibles", estiment Chantal Henon et Jean-Pierre Leroux, du Comité des habitants Gare du Nord - La Chapelle. "Sur le jardin Villemin, quai de Valmy (Xe arrondissement, NDLR), on a occupé un chantier pendant six mois pour l'empêcher de fonctionner et on a gagné", explique le second, membre de la section PCF du Xe arrondissement."Il y a une demande de sens sur les projets, et un projet commercial en pleine gare du Nord, ça n'a pas de sens. La mobilisation est déjà forte dans nos associations, elle va grossir", abonde Christine Nedelec, présidente de France Nature Environnement Paris. "Les Parisiens, les habitants, les citoyens sont de plus en plus inquiets concernant les réponses gouvernementales ou parfois municipales à des enjeux sociétaux et écologiques graves".
Il y a 4 ans et 322 jours

Mission pour la sauvegarde du patrimoine en péril : 18 nouveaux sites emblématiques

Pour la troisième édition de la mission pour la sauvegarde du patrimoine en péril confiée par le Président de la République à Stéphane Bern, 18 sites emblématiques des régions de métropole et d’outre-mer ont été sélectionnés. Ils bénéficieront d’un soutien financier de la Mission Stéphane Bern via la Fondation du patrimoine, grâce aux jeux Mission Patrimoine 2020 de FDJ, qui viendra s’ajouter aux subventions du ministère de la Culture pour les édifices protégés au titre des monuments historiques, ainsi qu’aux dons et mécénats collectés. Les 18 sites emblématiques 2020 sont les suivants : Eglise Saint-Etienne de Mélas au Teil – Ardèche Temple protestant Saint-Martin à Montbéliard – Doubs Phare, Fort et Caserne de l’Ile aux Moines – Côtes d’Armor Grange pyramidale à Jars – Cher Couvent des Filles de Marie de l’Île Rousse – Haute-Corse Séchoir à tabac de Lipsheim, remonté à l’Ecomusée d’Alsace d’Ungersheim – Haut-Rhin Église Saint-Pierre de Dompierre-sur-Authie – Somme Fort de Cormeilles-en-Parisis – Val-d’Oise Théâtre romain de Lillebonne – Seine-Maritime Viaduc des Rochers Noirs – Corrèze Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse – Aude Ancien Tribunal à Baugé-en-Anjou – Maine-et-Loire Cathédrale Notre-Dame du Réal à Embrun – Hautes-Alpes Habitation Zévallos au Moule &#8211; Guadeloupe Eglise du Sacré-Cœur de Balata &#8211; Martinique Eglise Saint-Joseph d’Iracoubo &#8211; Guyane Pont suspendu de la rivière de l’Est &#8211; La Réunion Cathédrale de Saint-Pierre &#8211; Saint-Pierre et Miquelon Les dotations accordées à ces 18 sites emblématiques seront annoncées lors des prochaines Journées européennes du patrimoine. 103 nouveaux sites « de maillage » (un site par département et collectivité d’outre- mer), bénéficieront également des jeux Mission Patrimoine en 2020, ils seront annoncés au début du mois de septembre. Photo : Eglise Saint-Etienne de Mélas du Teil © OCUS-Fondation du patrimoine
Il y a 4 ans et 323 jours

Le phygital : comment allier atouts du terrain et digital ?

J-1. Ce jeudi 9 juillet, soyez connecté : retrouvez la conférence consacrée au phygital, du Batiactu Business Club. La crise a-t-elle accéléré et / ou modifié le développement du phygital ? Retour et partage d'expérience entre pros.
Il y a 4 ans et 323 jours

Myral poursuit son développement et renforce son équipe prescription

Stéphane Cuzzaini : "Notre enjeu, proposer des choix pertinents tout en guidant vers nos solutions"Stéphane Cuzzaini, professionnel chevronné chargé du quart Sud-Est de la France croit fermement en la solution Myral. Fort d'une quinzaine d'années d'expérience dans le bâtiment, a su développer une véritable expertise technique dans le domaine de l'ITE. Quel parcours vous a mené jusqu’à Myral ?Stéphane Cuzzaini : Au départ j’ai fait mes armes au sein de l’entreprise Onduline, qui conçoit des panneaux de couverture et de bardage, essentiellement à destination du marché tertiaire (bâtiments industriels, agricoles). Cette première expérience, qui a duré 6 ans, m’a permis de développer mon expertise dans le marché de l’ITE, en visitant de nombreux bureaux d’études notamment.Les 8 années suivantes, j’ai travaillé pour Everlite Concept, société qui propose des bardages haut de gamme à l’aspect architectural marqué, dans un segment proche de celui de Myral. Durant cette période, j’ai participé à la rénovation énergétique de nombreux projets où l’apparence extérieure des bâtiments avait une grande importance : complexes sportifs, gymnases, écoles… Cela m’a permis d’effectuer un travail de prescription et de préconisation technique auprès des architectes souhaitant faire concorder leur vision avec des produits techniques. J’ai beaucoup apprécié ce travail de conseil et cette relation privilégiée que j’ai développée avec eux.Quelles compétences majeures comptez-vous apporter à Myral ?Stéphane Cuzzaini : D’abord, donc, ma capacité à accompagner la maîtrise d’œuvre sur les recommandations techniques. Mais aussi la relation avec les entreprises dans la mise en œuvre des produits. C’est une partie du travail que j’ai toujours réalisé. Chez Everlite, nous avions un bureau d’études, comme Myral, avec une personne qui pouvait se déplacer au cas-par-cas, pour autant, j’assistais moi-même beaucoup les poseurs. Je les accompagnais parfois en réunions de chantier quand il y avait des problématiques techniques, pour faire des démarrages de chantier, effectuer des diagnostics et apporter des conseils techniques… Pour moi, ce qui est important, c’est que la préconisation que j’apporte aux maîtres d’œuvre soit la plus pointue possible afin qu’elle puisse déboucher sur une réalisation pérenne et conforme à ce que j’ai proposé. L’assurance d’un rendu final de qualité, c’est participer à la renommée du produit et s’ouvrir à de nouvelles affaires.Qu’attendent les maîtres d’œuvre d’un prescripteur ?Stéphane Cuzzaini : Ils attendent des réponses à leurs différentes exigences et inspirations sans que l’on vienne remettre en cause leur vision. Après plusieurs années aux côtés des architectes, j’ai appris à faire preuve d’écoute et à m’adapter le plus fidèlement possible à leurs attentes, à « l’image architecturale » très particulière qu’ils ont de leur projet. Il faut être capable de la comprendre et de trouver des solutions adaptées à leurs désirs, et si ce n’est pas possible, trouver des alternatives efficaces qui ne trahissent pas leur signature. Leur proposer des choix qui fonctionnent tout en les guidant vers les solutions que l’on défend, c’est tout l’enjeu de notre métier !Comment avez-vous connu le groupe Myral ?Stéphane Cuzzaini : Je l’avais remarqué sur des salons professionnels. Ce qui m’avait plu c’était vraiment l’aspect visuel du produit et l’image architecturale qu’il proposait, avec de grands panneaux, une diversité d’aspects qui faisaient qu’on se demandait finalement ce que c’était ! Quand on voit l’effet aluminium brossé des panneaux « Alunatur » ou la surface parfaitement réfléchissante du « Poli Miroir », ça interpelle !Ensuite, j’ai croisé Myral sur des affaires. Pour l’anecdote, à l’époque où je travaillais pour une société concurrente, je m’étais occupé de la recommandation technique pour l’habillage des balcons des tours « Les Moulins » à Nice. Et il se trouve que Myral travaillait sur ce même projet. Nous étions en concurrence sur la partie habillage des façades en bardages ITE et c’est Myral qui a été retenu car j’étais presque deux fois plus cher ! En m’y intéressant, j’ai découvert une belle entreprise qui proposait des produits innovants.Justement, quel est le regard des clients et de la concurrence sur Myral et sa solution ?Stéphane Cuzzaini : Il y a un retour positif, aussi bien de la part des clients, que des installateurs, des maîtres d’ouvrage et des architectes… Les installateurs privilégient des produits simples et rapides à mettre en œuvre ; les maîtres d’œuvre et d’ouvrage, quant à eux, vont vouloir des produits performants, pas trop épais, esthétiques, mais aussi économiques d’un point de vue budgétaire… Dans tous ces cas de figure, la solution Myral répond parfaitement à leurs besoins spécifiques.Le groupe est aussi reconnu comme un acteur avec une expertise technique de qualité. Sa façon d’accompagner les entreprises en amont et en aval des chantiers, sa capacité d’écoute, son rôle de conseil et la forte réactivité de ses équipes en cas de problème sont bien perçues. Toutefois, la notoriété du produit est encore jeune et il y a un important travail de communication à faire…Selon votre regard, quelle est l’évolution du marché de l’ITE en France ?Stéphane Cuzzaini : Je dirais que l’on est au début du développement. Sur le marché du résidentiel qui couvre les copropriétés et les bailleurs sociaux, il y a des besoins très importants. On sent d’ailleurs maintenant une réelle volonté de lutter contre les « passoires énergétiques ». Le gouvernement a depuis peu enclenché une dynamique pour développer massivement l’isolation thermique des façades par le biais d’aides financières. Il faut dire que l’ITE est la solution idéale pour obtenir des bâtiments les moins énergivores possibles et donc réduire les dépenses énergétiques des habitants, tout en apportant un confort thermique en hiver comme en été ! En plus, on préserve la surface habitable, les chantiers sont rapides et peuvent se faire en site occupé.Et qu’en est-il des bâtiments publics et tertiaires ?Stéphane Cuzzaini : Il y a encore beaucoup à faire aussi. Aujourd’hui, sur ce marché, la plupart des bâtiments neufs sont isolés par l’extérieur… Au-delà des considérations budgétaires et des capacités thermiques, pour faire la différence, il faut être en mesure d’apporter une réponse architecturale assez forte… C’est là que les revêtements Myral entrent en jeu : pose verticale, horizontale, oblique, aspect plan, joint creux ou joint debout, un riche catalogue de finitions et de coloris… La solution Myral se décline à travers toute une gamme de rendus capable de répondre aux différentes attentes en matière d’esthétique. Je suis persuadé que sur ce plan-là en particulier, notre produit a de grandes qualités et est promis à un bel avenir.Quelle est le potentiel de votre région pour Myral ?Stéphane Cuzzaini : J’ai la chance de couvrir le quart Sud-Est de la France, notamment la région Auvergne-Rhône-Alpes qui est une belle région, très dynamique. On y trouve de gros projets et de gros acteurs du social, en particulier à Lyon… Mais je ne veux pas baser toute ma stratégie sur le social, car c’est ce que font tous nos concurrents. Je pense qu’il y a vraiment des opportunités intéressantes à saisir au niveau des marchés publics pour les écoles, les gymnases, les hôpitaux, les EHPAD… Il faut se diversifier et mener les deux de front : conserver notre position et notre part de marché sur le logement social, mais aussi aller sur le marché du tertiaire et des bâtiments publics, où l’image architecturale compte… Car je suis sincèrement convaincu qu’en terme d’esthétique, la solution Myral est capable d’apporter une vraie valeur ajoutée aux bâtiments.En outre, je vais avoir un important travail de prescription à mettre en place dans le Sud, car le recours à l’ITE y est encore peu développé pour les bâtiments résidentiels alors qu’elle permet de réduire massivement les besoins en climatisation d’un logement…Cela fait plus de deux mois que vous avez rejoint Myral. Comment avez-vous vécu votre arrivée ?Stéphane Cuzzaini : Même si elle a été perturbée par la situation sanitaire que nous subissons, je l’ai vécu de façon très positive ! Il y a vraiment un bel esprit d’équipe. J’ai pu l’observer lors d’une réunion en mars à Paris où tous les prescripteurs et les membres de l’équipe technique étaient rassemblés. Il y avait belle osmose et un esprit très participatif : les échanges entre nous ont été très féconds, que ce soit sur les supports de communication, les références chantiers… Ce qui nous a permis de déboucher collectivement sur des solutions et des améliorations. J’avais très peu d’appréhension en entrant chez Myral, mais j’ai tout de même été agréablement surpris par le professionnalisme et l’humanité de mes nouveaux collègues.Vous semblez confiant et enthousiaste de vous lancer dans cette aventure…Stéphane Cuzzaini : Je suis confiant oui, car je crois fort en notre solution d’ITE. Dans mon métier de chargé d’affaires, la réussite est vraiment liée au fait d’avoir un bon produit auquel on croit, une solution technique qui puisse répondre à toutes les réglementations aussi bien au niveau du feu, de la sismique, au niveau du type de support, que ce soit le bois, le béton… Mais aussi une solution qui entre dans des contraintes budgétaires, tout en ne lésinant pas sur la qualité des matériaux et des rendus. Le produit Myral coche toutes ces cases… Et les marchés à conquérir sont nombreux ! Alors même si la période actuelle a mis à l’arrêt le secteur, que la reprise sera progressive, et que cela nous impose de travailler différemment, je reste enthousiaste !Geoffrey Pointin : "Avec Myral j’ai tous les arguments pour répondre aux souhaits des architectes !"Geoffrey Pointin, fort de ses nombreuses années d'expérience dans le métier de la prescription d'ITE, passionné d'architecture et de design compte bien asseoir la présence de Myral dans une zone géographique jusque-là peu investie par le groupe : le quart Sud-Ouest de la France. Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre Myral ?Geoffrey Pointin : Je suis dans le métier de la prescription depuis près de 15 ans. Si mon parcours professionnel est essentiellement tourné vers l’univers des façades et de l’isolation thermique, ce n’était pas le cas au tout départ. En effet, lorsque j’ai débuté dans l’entreprise Carea, mon rôle était de gérer des centrales d’achats pour vendre des éléments sanitaires aux grandes surfaces et grossiste de bricolage. Je suis entré dans la prescription d’ITE en accompagnant une collègue de l’époque dont c’était le métier ! Lorsque nous nous rendions chez les maîtres d’ouvrage, elle parlait des façades et moi de la partie sanitaire… Au fur et à mesure, passer du temps à ses côtés m’a permis de découvrir le métier de la prescription, pour lequel je me suis peu à peu passionné ! J’ai alors demandé à changer de métier et à intégrer l’équipe prescription d’ITE, où j’ai fait mes armes durant plusieurs années au contact de nombreux maîtres d’œuvre et d’ouvrage, membres de bureaux d’étude et architectes. Pendant cette période, notamment entre 2005 et 2012, j’ai eu la chance d’être sur un secteur parisien très porteur. En effet, c’était la « grande époque » des programmes en R.U. (renouvellement urbain), dont ceux de Paris intra-muros qui étaient importants en termes de volume, mais aussi très intéressants d’un point de vue architectural, parce qu’il y avait des moyens financiers… C’est une période durant laquelle j’ai pu travailler sur de très beaux projets architecturaux !Justement, vous semblez avoir une sensibilité particulière pour l’architecture… D’où vous vient-elle et comment l’avez-vous développée ?Geoffrey Pointin : J’ai toujours adoré le design et l’architecture, et même l’art en général. Au-delà du cadre professionnel, ce sont de vraies passions dans ma vie. J’ai des amis qui travaillent dans le design avec qui je passe souvent du temps, je me rends à de nombreuses expositions et j’ai la chance de voyager régulièrement, de découvrir des architectures incroyables et des projets fous sur certaines parties du globe. Au fil du temps, j’ai développé un œil acéré pour l’architecture qui m’est très utile dans mon métier de prescripteur. Il me permet d’avoir une « vision » et de saisir avec davantage de précision ce que souhaitent les architectes avec qui je collabore. Cette capacité à me projeter, je dirais que c’est ce qui fait ma particularité.Comment parlez-vous à ces architectes et comment faites-vous en sorte de respecter leur signature architecturale ?Geoffrey Pointin : Les clés ce sont : le terrain, la connaissance des dossiers locaux, la préparation des rendez-vous, la rigueur technique et une certaine capacité à se projeter, à traduire les désirs de l’architecte en solutions techniquement viables et adaptées à son projet, tout en respectant un maximum sa signature architecturale sur le plan esthétique… C’est comme ça que je vois le métier de la prescription et la relation que j’entretiens avec mes clients. En outre, ma stratégie c’est d’être présent à chaque moment, de proposer un accompagnement sur-mesure, d’être dans le conseil, la préconisation… Sans pour autant « piquer son crayon » à l’architecte ! Je fais tout mon possible pour aider ces derniers à faire de leurs projets couchés sur le papier une réalité conforme à leurs attentes, mais quand les contraintes sont trop nombreuses, mon travail m’impose aussi de savoir leur dire non et leur proposer les meilleures alternatives.Comment avez-vous connu le groupe Myral et sa solution d’ITE ?Geoffrey Pointin : Il y a quelques années, je me suis installé sur Brive-la-Gaillarde afin de travailler sur la région Sud-Ouest, avant de revenir faire des allers-retours hebdomadaires sur Paris. Et dès 2016, dans la Capitale, c’est simple : Myral était sur toutes les lèvres ! Je me suis rendu compte que les architectes parlaient énormément de la solution M32, vantant notamment sa vitesse de mise en œuvre, le fait qu’elle entre beaucoup plus facilement dans les budgets des maîtres d’ouvrage car plus économique, l’efficacité de son pouvoir isolant mêlé à la minceur record de ses panneaux… Et autant dire que j’étais bien embêté ! La solution Myral alignait tous les bons arguments, tandis que moi, chez Carea, je me retrouvais à devoir vendre une solution aux caractéristiques similaires, certes, mais bien plus chère : 30 euros du m² de plus en moyenne par rapport à ce produit. Donc quand on est sur Paris et qu’on a des dossiers qui ont entre 5 000 et 6 000 m² de façades à revêtir, si on multiplie par 30, le calcul est vite fait !Qu’est-ce qui vous a conduit d’intégrer Myral ?Geoffrey Pointin : Après plusieurs années, en tant que chef des ventes à gérer de grands comptes, j’avais le sentiment d’avoir fait le tour. L’échange avec Sylvain Bonnot (PDG du groupe Myral) a fait pencher la balance. J’étais déjà convaincu du produit et nous avons évoqué un poste où je pouvais avoir l’assurance de bénéficier d’un budget et du soutien de la hiérarchie pour développer la prescription dans ma zone géographique et une grande liberté d’action. En plus, j’étais très rassuré du fait que le patron affiche une vision et un cap, qu’il sache clairement où il veut mener l’entreprise. Le pôle R&D de Myral fournit aussi un travail remarquable, notamment autour du risque incendie et des démarches environnementales, qui sont impératives à prendre en compte aujourd’hui. Globalement le groupe nourrit de très belles ambitions et va, selon moi, dans le bon sens.Du coup, quand vous êtes entré dans la société il y a un peu plus d’un mois, avez-vous été conforté dans ce choix ?Geoffrey Pointin : Oui pas de surprise : c’est 100 % conforme à l’image humaine et professionnelle que je m’en faisais. Ce que je trouve génial avec Myral, c’est que c’est un groupe français avec un site de production basé en France, à Is-sur-Tille en Côte-d’Or. Nos lignes de production sont assez high-techs, avec une réflexion de fabrication qui est assez pertinente… Nous n’avons vraiment pas à rougir de notre solution et de nos infrastructures : je sais d’ores-et-déjà que je pourrais faire visiter une belle usine à des maîtres d’ouvrage français et leur présenter un produit innovant. Sans plébisciter Myral outre-mesure, il n’y a pas beaucoup de sociétés capables de proposer cela. En outre, bien que ce soit une « petite » entreprise, le groupe est bien structuré. Ses équipes, notamment celle chargée de la prescription, sont solidement mises en place et font preuve d’un grand professionnalisme : j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte en allant tourner avec Pierre Guerrero (chargé de prescription dans le Grand-Est et l’Île-de-France). Au-delà de la très bonne entente qui est née entre nous lors de ce déplacement, sa connaissance impressionnante du métier m’a aussi marqué. Bref, même si je n’avais pas d’appréhension particulière avant mon entrée chez Myral, tout ça est très rassurant.Quel est le potentiel de développement dans votre secteur géographique : le Sud-Ouest de la France ?Geoffrey Pointin : Il y a encore tout à faire ! Dans le Sud-Ouest comme partout en France, le parc de réhabilitation de logements est énorme, le marché est donc très porteur pour le prescripteur d’ITE que je suis. Chez Myral nous avons un très bon positionnement pour ce qui est de la rénovation : nous proposons des bardages parmi les moins chers du marché et les plus rapides à mettre en œuvre. Au niveau du prix fourniture et pose, nos revêtements de façades se rapprochent de l’enduit mince sur isolant, notamment du fait de l’absence d’ossature, mais évidemment avec une pérennité, un rendu esthétique et une image architecturale sans commune mesure !Et en ce qui concerne la construction dans le neuf ?Geoffrey Pointin : Le potentiel-marché est tout aussi important. Bordeaux et Toulouse, les deux principaux centres urbains de mon secteur géographique, sont des villes réputées en France pour être attractives et attirer beaucoup de nouveaux habitants, par conséquent, un grand nombre de bâtiments neufs vont y être bâtis… Et je sais que grâce à la solution Myral, j’aurai tous les arguments pour me positionner sur ces nouveaux projets.Enfin, il y a des secteurs sur lesquels le groupe est encore très peu positionné, comme celui des bâtiments tertiaires. Je compte bien développer notre présence sur cette typologie de chantier, au même titre que les bâtiments publics et les logements individuels/collectifs, car là-aussi, le champ de développement est très important.À vous entendre, vous semblez assez confiant et déterminé !Geoffrey Pointin : Le métier de la prescription est exigeant certes, mais aussi très passionnant car nous avons la chance de rencontrer des gens différents tous les jours, de participer à de beaux projets auprès d’architectes talentueux. Comme je l’ai déjà dit plus tôt, le marché de l’ITE a de beaux jours devant lui partout en France, notamment dans le Sud-Ouest. Étant le premier chargé de prescription Myral assigné à cette zone géographique, le « territoire » est donc tout entier à conquérir ! Les perspectives sont vraiment enthousiasmantes et je suis d’autant plus motivé que j’ai entre les mains un produit en lequel je crois. J’ai la certitude de posséder toute une panoplie de vrais arguments pour répondre aux besoins et aux exigences des architectes, sur les plans technique, esthétique, économique, avec en plus une production Made in France : un argument qui compte à l’heure où la reprise économique post-Covid19 viendra du soutien aux entreprises nationales. D’ailleurs, j’invite les acteurs de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre du Sud-Ouest à visiter notre usine !