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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

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Il y a 3 ans et 228 jours

Face à l'urgence climatique, 73% des Français prêts à soutenir des mesures écoénergétiques obligatoires

Ce rapport inclut un sondage réalisé par OnePoll auprès de 14.000 personnes dans sept pays en Europe (Danemark, France, Pologne, l’Allemagne, Italie, Royaume-Uni) et aux Etats-Unis*. Ce dernier témoigne d’un consensus international sur la question de la rénovation énergétique. Tous s’accordent sur la nécessité de passer à l’action.Le PDG du Groupe ROCKWOOL, Jens Birgersson, déclare : « C’est peut-être un cliché mais c’est aussi une vérité : l’énergie la moins chère, la plus propre et la plus sûre est celle que nous n’utilisons pas. Les leaders mondiaux doivent se rappeler que les idées sont bon marché mais que l’énergie est chère. Si nous priorisons la rénovation, nous envoyons un message clair : nous investissons dans l’avenir des personnes et de notre planète. Et c’est une formule gagnante sur laquelle nous pouvons agir maintenant. »Consensus international sur la nécessité de la rénovation énergétique des bâtimentsSous conditions de bénéficier d’un accompagnement et de conseils appropriés, 79% des personnes interrogées (vs. 70% en France) procéderaient à la rénovation de leur logement.Par ailleurs, une large proportion des sondés (73% au niveau global et 75% en France) estime que l’amélioration énergétique des bâtiments devrait être obligatoire à condition qu’un soutien financier et administratif soit disponible.A qui revient la facture de la rénovation énergétique ?62% (vs. 64% en France) des personnes sondées considèrent que la responsabilité sociale de rendre les logements plus respectueux de l’environnement incombe aux individus, à condition que les gouvernements facilitent davantage l’accès aux financements déjà disponibles pour les propriétaires de logements. 51% d’entre eux (vs. 47% en France) citent le budget comme le principal obstacle à la rénovation et 53% (vs.51% en France) pensent que les gouvernements doivent soutenir la rénovation des logements avec des subventions ou des prêts.A noter qu’en France des dispositifs d’aides de l’Etat, dont la principale MaPrimeRénov’, proposent un accompagnement financier. Preuve que la France est en avance en offrant d’ores et déjà des mesures adaptées pour les particuliers, en fonction de leurs revenus.Jens Birgersson poursuit : « L’argent n’est pas le problème. Même s’il y aura toujours un débat sur les coûts de l’action climatique – et, espérons-le également, sur les coûts de l’inaction - le fait est qu’il y a suffisamment d’argent pour les rénovations de bâtiments et d’autres investissements verts. Et la rénovation, en soi, ne relève pas de la recherche fondamentale. Elle nécessite l’utilisation de matériaux et de pratiques de construction bien connus. C’est un grand avantage. La question est de connecter sources de financement et projets de terrain et de s’assurer de disposer de la main-d'œuvre qualifiée ».Le manque d’information, ennemi de la transition énergétiqueAlors même qu’ils estiment que le prix est le principal frein à rénovation énergétique de leur logement, 30% des Français ne sont toujours pas conscients des avantages financiers liés à l'amélioration de l'efficacité énergétique de leur logement. Seulement 11% des Français se déclarent suffisamment informés sur la façon de demander une aide financière, où trouver des conseils et des artisans qualifiés. En outre, certains éprouvent un sentiment de crainte face à des artisans non qualifiés (25%) ou à une installation insuffisante (21%).Bien conscient de ces freins, ROCKWOOL a développé des outils tels que le système de visualisation 3D qui aide les particuliers à mieux comprendre la rénovation ou encore une plateforme interactive de conseil qui permet aux particuliers d’être mis en relation avec des artisans RGE recommandés. Face aux besoins et aux craintes exprimés, il faut aller plus loin. ROCKWOOL et Cambridge Econometrics encouragent les décideurs politiques à développer les programmes de rénovation à long terme pour accompagner les fabricants dans la planification de leur production et la formation des installateurs, mais également pour inciter la collaboration avec les banques pour allier subventions publiques et prêts à faible taux d'intérêt afin de faciliter les démarches des ménages.Jon Stenning, Associate Director chez Cambridge Econometrics, déclare : « La rénovation de l’environnement bâti est un défi clé sur la route de la décarbonation de nos économies. L’enquête menée auprès des consommateurs pour ce rapport montre leur fort appétit envers la rénovation mais aussi la nécessité d'en faire beaucoup plus pour connecter financement et projets de rénovation. Une politique bien conçue peut jouer un rôle majeur en rassemblant l’ensemble de la chaîne de valeur, en assurant le ciblage des ressources et en contribuant à renforcer la capacité et l’intérêt au niveau local afin de garantir les avantages liés à la rénovation énergétique ».*Sondage OnePoll, réalisé du 16 au 27 septembre 2021, dans 7 pays. Panel représentatif France : 2000.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le logement collectif reste à l’écart de la reprise économique selon les promoteurs

Au T3, les ventes de logements neufs marquent le pasDepuis le début de l’année 2021, les ventes étaient favorables en tendance par rapport à une année 2020 très faible, mais elles étaient préoccupantes en niveau, car toujours nettement inférieures aux années antérieures. Au T3 2021, cet effet mécanique de rattrapage ne joue pas, et les ventes sont de nouveau en baisse par rapport à 2020, de -3%.Pourtant, les fondamentaux de la demande restent bons : le revenu des ménages progresse, les conditions de l’accès au crédit restent favorables et le logement neuf est plus attractif que jamais. Les raisons de la faiblesse de la reprise dans notre secteur ne sont pas à rechercher du côté de la demande, mais du côté de l’offre, trop contrainte.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « Les clients sont bien là, mais les difficultés que nous rencontrons pour lancer les programmes attendus par les ménages pèsent sur les ventes. La France se prive ainsi d’un puissant levier de croissance économique ; elle se prive également d’un accélérateur de la transformation des villes, vers un modèle plus vert, plus agréable et plus abordable. »Le besoin de renouer avec l’ambition d’une France « pays bâtisseur »Le bon indicateur de la dynamique de production de la promotion immobilière, ce sont les mises en vente, qui alimentent le marché. Or comme les ventes, elles ont fortement baissé entre 2019 et 2020, puis mécaniquement connu un rebond au S1 2021, avant de baisser de nouveau au T3 2021 (-5%) : le coup d’arrêt de la reprise est donc net. La faiblesse de la production s’explique d’abord par celle des autorisations : en rythme annuel, les maires autorisent aujourd’hui 50 000 logements collectifs de moins qu’en 2017. Si la reprise nous échappe, c’est donc le résultat d’un choix collectif implicite et subi, celui de la rareté du neuf dans les villes attractives.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « Il ne faudrait pas faire aujourd’hui un mauvais procès au logement collectif neuf. Dans les faits, il est vertueux sur le plan environnemental car sobre en foncier ; il améliore la qualité de vie des urbains et contribue à contenir la hausse des prix. Les promoteurs de la FPI travaillent chaque jour à adapter leurs logements à l’évolution de la demande des ménages et aux attentes des élus locaux. La reprise ne sera pas possible sans l’appui des pouvoirs publics pour redonner au logement neuf toute sa place. La Commission Rebsamen est un premier pas dans la bonne direction, mais beaucoup reste à faire pour relancer une industrie qui, entièrement domestique, n’a pas besoin de "relocalisation" ! ».
Il y a 3 ans et 228 jours

L’envers du béton

“L’envers du béton”, un documentaire à voir sur France 5, le dimanche 5 décembre, à 20 h 55.[©France Télévisions] Le béton est-il aussi pérenne que l’on l’imagine ? Dimanche 5 décembre prochain, à 20 h 55, France 5 diffuse “L’envers du béton”, un documentaire signé Frédéric Biamonti et Alain Duval, qui pose cette question. L’effondrement du pont Morandi, à Gênes, le 14 août 2018, en constitue le point de départ. La catastrophe a fait 43 victimes. Quelle en est la cause ? Est-ce intrinsèquement la qualité du béton ou plutôt une quasi-absence d’entretien qui a conduit à la ruine de l’ouvrage ? Christian Tridon, président du Strres1, indique, dans une interview accordée à Béton[s] le Magazine2, que : « Cet ouvrage était très particulier dans sa conception et demandait un suivi très précis et poussé, qui, visiblement, n’avait pas été mis en place ». Lire aussi : Strres : « Il faut mettre en place un carnet de maintenance des ponts » Oui, le béton armé n’est ni éternel ni immuable. “L’envers du béton” le rappelle très bien et à juste titre. Même si, à une certaine époque, des architectes, des maîtres d’ouvrage, des politiques ont pu le croire. Un jugement qui a sans doute conduit à négliger la nécessité de l’entretien des ouvrages en béton armé. Mais ce constat est tout aussi vrai, quel que soit le matériau utilisé…  L’argent manque pour l’entretien La commune d’Avril-sur-Loire, dans la Nièvre, est accessible par un unique pont… [©France Télévisions] L’acier est le constituant secondaire du béton. Il donne son nom au matériau final qu’est le béton armé. Il est à la fois l’élément qui permet d’en tirer la quintessence, tout en étant le point faible du béton. Car mis en contact avec l’eau ou l’humidité de l’air, l’acier se corrode. Cette réaction crée une expansion qui aboutit à l’éclatement du béton et à la ruine de l’ouvrage, si rien n’est fait. C’est une réaction en chaîne.  On en revient donc toujours au même constat : le béton armé doit être entretenu, réparé, protégé de l’humidité, des intempéries pour empêcher l’acier qui constitue son armature de rouiller. Mais cette action a un coût et, visiblement, l’argent manque. Qu’il s’agisse des deniers de l’Etat, des fonds municipaux et des revenus des particuliers propriétaires de leur logement… “L’envers du béton” interroge aussi sur le devenir du béton. S’il a été le matériau du XXe siècle, sera-t-il celui du XXIe siècle ? D’une manière parfois abusive, le béton est accusé de tous les maux. En particulier d’épuiser les ressources en sable. Mais en est-il l’unique consommateur ?  Entre raréfaction des ressources et empreinte carbone A Marseille, cette tour d’habitations est très dégradée, faute d’entretien… [©France Télévisions] Une rapide recherche sur Internet suffit pour se rendre compte que le champ d’emploi du sable ressemble à une liste à la Prévert. Il est présent dans l’électronique pour fabriquer les micro-processeurs, en fonderie de métaux pour réaliser des moules. Il est la matière première du verre. On l’emploie pour filtrer les liquides, les gaz ou l’air. C’est un formidable abrasif industriel. L’effet délavé des jeans est le fait d’un sablage haute pression. Certains sables peuvent aussi être utilisés en amendement de terres agricoles…  Lire aussi : Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Et l’industrie cimentière dans tout ça ? Le processus de fabrication est abordé dans le documentaire, avec une conclusion, implacable : “la production de 1 t de ciment génère 1 t de CO2”. Un résultat un peu trop arrondi, car augmentant le poids émis de près de 25 % par rapport aux valeurs constatées aujourd’hui en France. De la même manière que certains, dans le passé, considéraient le béton comme éternel, d’autres de nos jours estiment le ciment plus polluant qu’il ne l’est. D’autant que l’industrie cimentière s’est engagée depuis les années 1990 dans une démarche de réduction de son empreinte carbone3. Avec pour objectif, la neutralité en 2050. Cet aspect n’est hélas pas expliqué dans le film, alors qu’il fait aussi partie de l’envers du béton !  “Le bon matériau au bon endroit” Le béton armé a donc bel et bien fini son temps ? Entrons-nous dans l’ère du bois ? Pourquoi pas ! Ce matériau n’est pas nouveau. Les anciens l’ont utilisé durant des siècles pour construire des maisons, des ponts, des édifices. Un mur en bois lamellé-collé est aussi solide qu’un mur en béton banché. Lire aussi : Le Strres alerte aussi sur l’état des ponts de France Mais là doit se poser la question de la durabilité. Si le bois n’est pas protégé de l’humidité et des champignons, il ne risque certes pas de rouiller, mais il va pourrir. S’il ne bénéficie pas d’un traitement insecticide, il fera le régal des mérules, termites et autres capricornes. Et qu’en est-il de la sécurité au feu ? Jusqu’à preuve du contraire, le bois brûle. L’incendie de la charpente de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris nous l’a rappelé d’une manière aussi spectaculaire et tragique que l’effondrement du pont Morandi.  Trop longtemps, les matériaux ont été opposés les uns aux autres. “Après moi, le déluge” doit désormais appartenir au passé. Aux acteurs de la construction de prôner aujourd’hui la politique du “bon matériau au bon endroit”, au-delà des effets de mode. Frédéric Gluzicki 1Syndicat national des entrepreneurs spécialistes de travaux de réparation et de renforcement des structures.2Lire Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021, p. 23.3Lire Béton[s] le Magazine n° 96 – Septembre/Octobre 2021, p. 26.
Il y a 3 ans et 228 jours

3 bonnes raisons de faire un ravalement de façade

Le ravalement de façades est un entretien obligatoire à faire. Mais en plus, il s’agit également d’une rénovation afin de raviver la beauté extérieure de votre maison. Faire des travaux de ravalement de façades fait partie des travaux de rénovation indispensables pour une maison. En revanche, il y a encore de nombreux propriétaires qui se demandent sur les éléments qui doivent leur pousser à ravaler la partie extérieure de leur maison. On peut aussi remarquer que la plupart se reculent face aux dépenses que cela pourrait engendrer. Mais si la réalisation des travaux de ravalement de façades demande un certain budget, il faut aussi savoir qu’un tel chantier peut bénéficier d’aides financières. Découvrez les 3 bonnes raisons qui motivent les propriétaires à faire un ravalement de façade. Les murs extérieurs de la maison se détériorent ou sont moins esthétiques L’aspect esthétique est généralement la raison principale qui pousse les propriétaires à faire des travaux de ravalement de façade. Pour cela, ils font appel à un artisan façadier expérimenté pour réaliser les opérations. Mais au fil des années, il arrive que les murs extérieurs s’altèrent malgré les conditions météorologiques ainsi que l’usure liée au temps. À cause des salissures, des fissures, de la mousse ou des autres types de défauts, les façades extérieures peuvent se dégrader. Un ravalement de façade peut vous aider à redonner de l’esthétique ainsi qu’un coup de jeune à votre façade dégradée. En fonction de l’alternative choisie, vous allez pouvoir choisir l’aspect, la texture ainsi que la couleur idéale et adaptée à votre goût afin d’avoir la finition recherchée. En tout cas, ce type de travaux vous sera bénéfique surtout si vous avez un projet de revente de votre bien plus tard. Bien évidemment, une maison bien entretenue est toujours plus attirante et plus intéressante. En revanche, avec un ravalement de façades détérioré, votre chance de conclure la vente de votre bien sera moindre. Ravaler la façade pour rénover l’isolation de sa maison L’isolation thermique de votre maison peut également être une raison valable pour procéder à des travaux de ravalement de vos façades. De plus, c’est l’occasion parfaite pour rénover votre isolation thermique. Par la même occasion, vous pouvez opter pour une nouvelle isolation thermique par l’extérieur en effectuant la pose de matériaux isolants sur vos façades. Il ne faut pas non plus oublier que la pose d’une ITE pendant un ravalement de façade vous aidera à économiser en matière d’énergie et donc, en économies financières. Ces épargnes sont variables selon la technique que vous avez sélectionnée. Optimiser la longévité de sa maison Réaliser des travaux de ravalement de façade peut également vous aider à faire une réparation ou une rénovation de toutes les imperfections pouvant être dangereuses pour votre maison. Vous pourrez par exemple vous occuper des fissures actives qui peuvent détériorer encore plus vos façades. D’ailleurs, cela vous permettra également d’éviter toutes les infiltrations d’eau qui vont fragiliser votre maison et ainsi menacer la partie intérieure de votre habitation. Décider de faire des travaux de ravalement au bon moment sera également un moyen d’éviter de grands travaux pour plus tard. Il faut dire qu’un ravalement de façade de façon régulière peut s’avérer être une assurance d’une meilleure durée de vie pour votre maison.
Il y a 3 ans et 228 jours

De plus en plus d’avantages pour le logement intermédiaire, de plus en plus de contraintes sur le logement social

Il ne s’agit pas de remettre en cause l’utilité du logement intermédiaire comme l’a rappelé à la tribune du congrès HLM Marcel Rogemont, président de la FOPH mais seulement de comparer les avantages des uns et des autres.Rappelons que le logement intermédiaire échappe à la RLS (réduction de loyer de solidarité qui pèse lourdement sur les bailleurs sociaux) et au contrôle de la surcompensation des aides d’État aux organismes HLM qui entraînera un prélèvement supplémentaire sur les bailleurs. En outre, il y a lieu de craindre l’éviction du logement social de certains territoires au bénéfice du LLI avec la suppression de la contrainte d’intégrer au moins 25% de LLS dans chaque ensemble immobilier comprenant des logements intermédiaires, amendement adopté par l’Assemblée nationale le 10 novembre 2021. Enfin, soulignons que les loyers du LLI sont deux fois supérieurs à ceux du PLUS.Le Gouvernement, par la voix du Premier ministre lors du congrès HLM, a annoncé vouloir transformer l’exonération de 20 ans de la TFPB à la charge des collectivités locales en crédit d’impôt équivalent à la charge de l’État. Alors même que l’État accepte de baisser ses rentrées fiscales pour dynamiser la production de logements intermédiaires, pourquoi refuse-t-il de baisser ses rentrées fiscales pour favoriser la construction de logements sociaux en revenant à une TVA à 5,5% sur le PLUS, voire le PLS, lorsque nous comptons plus de 2 millions de personnes en attente d’un logement HLM en France.« Pourquoi les aides de l’État au LLI sont-elles supérieures à celles du PLUS alors que les loyers y sont deux fois supérieurs ? Que doit-on en conclure sur la politique actuelle ? Le logement HLM est-il toujours une priorité ? Il est permis d’en douter fortement » s’interroge Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat.
Il y a 3 ans et 228 jours

Un maçon ne doit pas automatiquement payer une reconstruction, juge la Cour de cassation

CAS PRATIQUE. Lors de l'examen d'une affaire, la Cour a estimé qu'une entreprise de maçonnerie n'avait pas pour obligation de payer les frais de reconstruction d'une maison qui avait été mal construite. Explications...
Il y a 3 ans et 228 jours

La commune de Thiers aura sa Maison France Services à compter de janvier 2022

Le bureau de poste de la ville haute de Thiers sera fermé jusqu’au 18 novembre en raison des travaux d’installation d’une Maison France Services (MFS).
Il y a 3 ans et 228 jours

Bientôt une résidence en terre crue à Bagneux

D’ici 2024, de nouveaux logements seront créés à Bagneux.
Il y a 3 ans et 228 jours

PLF 2022 : la FFB relève du bon… et du moins bon

Au sortir de sa première lecture à l’Assemblée nationale, le projet de loi de finances pour 2022 affiche d’indéniables avancées pour le logement et la relance de la construction. La FFB salue la prise en charge par l’État des exonérations de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) dans le logement social et intermédiaire, comme suggéré par la Commission Rebsamen, et de la prolongation jusqu’à fin 2023 du prêt à taux zéro (PTZ) en faveur de la primo-accession, de l’éco-PTZ qui vise à financer des travaux de rénovation énergétique et du « Denormandie », qui accompagne la reconquête des centres de villes moyennes. Elle se réjouit aussi de la prorogation jusqu’en 2022 du « Censi-Bouvard », en faveur de l’investissement locatif des particuliers dans les résidences pour étudiants et personnes âgées ou handicapées. Par ailleurs, la FFB acte la poursuite, jusqu’à fin 2024, de l’expérimentation du « Pinel breton », mais regrette que toute extension à quelques territoires volontaires ait été refusée. En revanche, la FFB déplore qu’une nouvelle fois, on « charge la barque » sur les exigences en « Pinel ». De fait, pour être éligible au dispositif à taux plein en 2023 et 2024, en plus de nouveaux critères de « qualité d’usage » déjà annoncés (superficie minimale par type, présence d’un espace privatif extérieur et double exposition à partir des T3), il faudra que le logement anticipe l’étape 2025 de la RE2020. Cette annonce entre en totale contradiction avec les clauses de revoyure qui ont été prévues pour s’assurer de la soutenabilité de cette nouvelle réglementation. Et aucune étude d’impact sérieuse ne mesure aujourd’hui le surcoût associé à toutes ces exigences cumulées, donc la capacité à faire. La FFB s’inquiète également que le retour de l’individuel groupé dans le champ du Pinel, proposé par le député Mickaël NOGAL, ait été refusé. Il s’agit pourtant d’une solution économe en foncier pour loger des familles dans ou à proximité des villes moyennes, aujourd’hui très recherchées. Enfin, alors que la crise des matériaux se trouve réalimentée par celle de l’énergie, les artisans et entrepreneurs du bâtiment ne comprennent pas que leur demande pressante de versement immédiat des éventuelles créances de carry back générée par un exercice 2021-2022 déficitaire soit refusée par le gouvernement. Il ne s’agit que d’une mesure de trésorerie, mais elle constitue une indispensable planche de salut pour certaines structures prises dans une tourmente qui les dépasse. Source : FFB  
Il y a 3 ans et 228 jours

PLF 2022 : la FFB relève du bon… et du moins bon

Au sortir de sa première lecture à l’Assemblée nationale, le projet de loi de finances pour 2022 affiche d’indéniables avancées pour le logement et la relance de la construction. La…Cet article PLF 2022 : la FFB relève du bon… et du moins bon est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 228 jours

Une offre globale pour augmenter la durée de vie des ouvrages béton

Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) possède plus de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise. Ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15 000 m2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Le Cerib vient de lancer un nouveau service : Kairos. Le maintien de la continuité de service des ouvrages est un enjeu de taille pour tous les gestionnaires du patrimoine des bâtiments et des infrastructures. Diagnostic, prédiction et anticipation sont les trois impératifs requis pour assurer avec efficience leur gestion à long terme. L’offre globale de services KAIROS s’appuie sur un outil indispensable d’aide à la décision pour évaluer la durée de vie résiduelle des ouvrages et de leurs composants. À destination des maîtres d’ouvrage mais aussi des bureaux d’études et de contrôles, cette offre s’inscrit résolument en rupture avec les approches « réactives » traditionnelles de gestion des ouvrages, car basée sur des opérations de réparation mieux anticipées et donc économiquement plus maitrisées.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le CCCA-BTP lance les Trophées de l’innovation du Winlab’

Le CCCA-BTP lance la première édition des Trophées de l’innovation du WinLab’. [©CCCA-BTP] Le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) lance les Trophées de l’innovation du WinLab’1. Sous la responsabilité de Carine Seiler, haut commissaire au ministère du Travail, le concours est dédié à la formation professionnelle par l’apprentissage dans les métiers du BTP. Il a pour objectif de reconnaître, collecter, diffuser et répliquer les pratiques les plus innovantes développées en 2020 et 2021. L’évènement est ouvert à l’ensemble des organismes de formation et aux apprentis du BTP, ainsi qu’aux entreprises formatrices.  Le concours divisé en quatre catégories Les Trophées de l’innovation WinLab’ se déroulent en trois étapes, entre novembre 2021 et mars 2022. Chaque candidat peut présenter son projet sous la forme d’une courte vidéo avant le 31 décembre 2021. Lire aussi : CCCA-BTP : L’innovation au coeur de la formation Les participants peuvent s’inscrire dans l’une des quatre catégories du concours. A savoir : “Imaginer le CFA de demain”, “Développer l’attractivité des CFA”. Mais aussi “Anticiper l’évolution des métiers du BTP” ou “Décloisonner pour innover”.  L’innovation au cœur du BTP A l’heure où le secteur du bâtiment doit répondre aux nouveaux enjeux de la rénovation énergétique, de la décarbonation ou de la digitalisation, l’acquisition de nouvelles compétences est indispensable. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation C’est pourquoi le concours vise à explorer les innovations issues des organismes des formations aux métiers du BTP. Il se focalise aussi sur la valorisation des solutions locales duplicables au niveau national. Enfin, le CCCA-BTP souhaite promouvoir les expérimentations menées par les organismes du BTP pour accroître l’efficience des parcours de formation. 1 Au sein du CCCA-BTP, le WinLab’ est un incubateur et un laboratoire d’innovations. Il a été créé dès 2017, suite à un concours d’idéations.
Il y a 3 ans et 228 jours

"Pas question" de délocaliser définitivement l'activité d'Ascoval en Allemagne, prévient Le Maire

"Je me suis battu avec beaucoup d'énergie, avec les syndicats, avec les ouvriers, pour sauver cette usine" et "il n'est pas question de délocaliser définitivement l'activité en Allemagne", a assuré M. Le Maire sur RMC.Des représentants des syndicats CGT et CFDT ont averti mercredi que l'aciérie Ascoval de Saint-Saulve (Nord) projetait de délocaliser temporairement 40% de sa production sur des sites allemands, à cause du prix de l'énergie.Sans confirmer, la direction de Saarstahl, propriétaire d'Ascoval depuis quatre mois, a fait état de l'explosion des prix de l'énergie, et admis qu'elle étudiait des "options temporaires" pour "limiter les effets négatifs" de ces hausses."Nous serons extrêmement vigilants à ce qu'Ascoval soit le moins impacté possible par la conjoncture", a réagi mercredi soir le ministère de l'Economie, précisant que des discussions étaient en cours avec l'entreprise."Nous travaillons à des solutions", a confirmé jeudi Bruno Le Maire, assurant qu'"Ascoval restera française" et qu'"il n'est pas question de la laisser tomber"."Ascoval est une magnifique usine, qui est le symbole de ce que peut être une aciérie décarbonée en Europe, donc il n'est pas question de la laisser tomber", a-t-il insisté.Un peu plus tôt, la ministre chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, avait jugé "absurdes" les menaces de délocalisation vers des sites plus polluants, pour "une question ponctuelle de prix de l'électricité"."Le contrat qui lie l'aciérie d'Ascoval avec EDF va changer au 1er janvier, c'est-à-dire qu'il va être sur un coût d'électricité qui est stabilisé et donc ça va permettre de travailler", a souligné Agnès Pannier-Runacher sur Franceinfo.Elle a aussi fait valoir qu'Ascoval allait bénéficier d'aides publiques venant tout juste d'être votées dans le projet de loi de finances pour compenser la hausse de l'électricité aux entreprises très consommatrices, et "faire en sorte que le prix de la compensation carbone soit plus important cette année". "Plutôt que de rembourser la tonne de carbone (non émis, NDR) sur le prix 2020, on se base sur la réalité de la tonne carbone aujourd'hui", a-t-elle dit.Une réunion à Bercy jeudi soir avec SaarstahlDes responsables du sidérurgiste allemand Saarstahl vont participer jeudi soir à Bercy à une réunion de travail "afin que le maximum de production reste à l'usine Ascoval" de Saint-Saulve (Nord), dont l'activité est "temporairement" menacée par la hausse des coûts de l'électricité, a indiqué le ministère de l'Industrie."Nous recevons Saarstahl à Bercy pour une réunion de travail (...) l'état d'esprit est constructif" a indiqué une source au cabinet de la ministre chargée de l'Industrie Agnès Pannier Runacher.La direction de Saarstahl, propriétaire d'Ascoval depuis quatre mois, a admis mercredi qu'elle étudiait des "options temporaires" pour "limiter les effets négatifs" de l'explosion des coûts de l'énergie sur son activité.Selon la CGT et la CFDT, Ascoval, dont l'aciérie fonctionne à l'électricité et n'émet pas de CO2, projetterait dans ce cadre de délocaliser temporairement 40% de sa production vers des sites allemands, qui eux fonctionnent au charbon ou minerai de fer bien moins cher, et donc d'une meilleure compétitivité, même s'ils sont très émetteurs de CO2.Une telle décision, si elle était confirmée, aurait un impact sur "la majorité de l'effectif" d'Ascoval, qui serait forcé à de l'activité partielle au moins temporairement, admet-on à Bercy.
Il y a 3 ans et 228 jours

Un nouveau plateau TV Bati-Journal au salon BePositive 2021

À l’occasion du salon BePositive, qui se tiendra à Lyon du 14 au 16 décembre prochain, les équipes de Bati-Journal proposent une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement…Cet article Un nouveau plateau TV Bati-Journal au salon BePositive 2021 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 228 jours

Altarea annonce une augmentation de capital de 350 millions d'euros notamment pour l'acquisition de Primonial

L'acquisition de Primonial pour 1,9 milliard d'euros de valeur d'entreprise avait été officialisée en juillet.Altarea a confirmé jeudi dans un communiqué son intention de racheter le groupe en deux temps: "acquisition d'un bloc de contrôle de 60% au 1er trimestre 2022 et acquisition des 40% restants au plus tard à la fin du 1er trimestre 2024".L'augmentation de capital, avec maintien de droit préférentiel, se fera au prix de 143,75 euros par action nouvelle, soit une décote de 19,8% par rapport au cours de clôture de l'action mardi.L'opération doit débuter vendredi et se clôturera le 30 septembre, a précisé le groupe, ajoutant que les engagements de souscription reçus en couvraient déjà 83,6%, soit environ 292,6 millions d'euros."Mon groupe familial s'est engagé à participer à hauteur d'environ 169 millions d'euros", soit environ 48% de l'offre, a déclaré Alain Taravella, président fondateur d'Altarea, cité dans le communiqué.L'acquisition de Primonial "permettra de créer un leader indépendant de l'investissement et du développement immobilier en Europe", a-t-il ajouté.Groupe diversifié présent à la fois dans les commerces, les bureaux et le logement, Altarea a vu sa place grandir ses dernières années dans le paysage immobilier français, où il est désormais au coude à coude avec son concurrent Nexity."La croissance de notre groupe sera soutenue à la fois par la dynamique du marché de la transformation urbaine, où Altarea occupe déjà une position de leader, et par celle du marché de l'épargne immobilière, dont Primonial est l'un des plus importants et l'un des plus performants acteurs européens", a encore dit M. Taravella.Le groupe a par ailleurs annoncé jeudi son intention de proposer à son assemblée générale le versement d'un dividende de 9,75 euros par action (contre 9,50 euros en 2020) qui s'appliquera aux actions nouvelles émises.
Il y a 3 ans et 228 jours

Le financement de la LGV Bordeaux-Toulouse, doit être bouclé avant fin 2021

"Du côté des collectivités de la région Occitanie, les choses sont bouclées, pour la Nouvelle Aquitaine, les discussions se poursuivent ardemment car on est dans un calendrier serré", a déclaré mercredi à des journalistes le préfet coordinateur du projet et préfet de la région Occitanie Étienne Guyot.Le chantier d'environ 10 milliards d'euros sera financé à hauteur de 40% par l'État, 40% par les régions, communautés urbaines, départements d'Occitanie et de Nouvelle Aquitaine et 20% par l'Europe.La très grande majorité des collectivités se sont engagées à régler leur quote-part, mais le conseil départemental du Lot-et-Garonne traîne des pieds, bien qu'Agen figure parmi les villes desservies par le TGV.Le temps presse, souligne le préfet, car "l'ordonnance qui permettra de créer la société de financement doit être prise d'ici avril 2022, avec un plan de financement bouclé", et un passage préalable devant le Conseil d'État.Le maire écologiste de Bordeaux Pierre Hurmic, opposé à cette nouvelle LGV, a récemment fait bondir la présidente d'Occitanie Carole Delga. "C'est facile, quand on est maire de Bordeaux, qu'on est à deux heures de Paris, d'expliquer aux autres qu'ils n'ont pas besoin d'être proches de la capitale", avait-elle réagi.L'avis des écologistes n'étant pas majoritaire à l'assemblée de Bordeaux Métropole, leur opposition devrait rester sans effet.Lors de la construction de la LGV Bordeaux-Tours, l'ex-région Midi-Pyrénées avait contribué à hauteur de 300 millions d'euros. Actuellement, le Paris-Bordeaux (550 km) en TGV se fait en deux heures environ, et le trajet Bordeaux-Toulouse (240 km) dure également deux heures. Ce dernier serait divisé par deux avec la prolongation de la LGV.La deuxième phase du Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) prévoit une extension de la ligne LGV du sud de la Gironde vers Dax, dans les Landes.Le préfet coordinateur a souligné que la mise en service de la ligne allait permettre d'éviter chaque année 4,3 millions de déplacements en voitures, d'accueillir 7 millions de voyageurs supplémentaires dans les TGV et de réduire la part de l'aérien de 20%.La création d'une ligne dédiée aux TGV permettra également de libérer des voies pour le fret et de doubler le nombre de trains de marchandises. Outre les effets pour l'environnement, l'État estime que la LGV Bordeaux-Toulouse, génèrera 4.000 emplois directs, 4.000 indirects et 2.000 induits.A partir du 1er janvier 2023, particuliers et entreprises des deux régions seront soumis à une Taxe spéciale d'équipement, qui "représente par tête quelques euros par an" pour les personnes vivant à moins d'une heure d'une gare TGV, selon le préfet.Le Conseil d'État a levé en septembre le dernier obstacle juridique au projet déclaré d'utilité publique, en rejetant le recours d'un collectif d'opposants.
Il y a 3 ans et 228 jours

Une maison mexicaine semi-enterrée pour une vue panoramique sur la nature

Le site de la Casa Aguacates est un projet résidentiel conçu par l’architecte Francisco Pardo et destiné à servir de retraite le week-end. Elle est située dans la ville rurale de Brava à quelques heures de Mexico.   [De l’architecte] La résidence se trouve dans une vallée de champ d’avocats qui descend vers une forêt dense. […]
Il y a 3 ans et 228 jours

YouTube : le terrain de jeu des artisans influenceurs

Les artisans s’emparent de l’outil numérique et prodiguent leurs conseils sur la toile, à destination des particuliers amateurs et des professionnels du secteur. Ceux qui ont su fédérer un large public accèdent au statut implicite d’« influenceurs du bâtiment ». Chaque prise de parole de la part de ces leaders d’opinion est une manne potentielle pour les marques et fabricants susceptibles d’être cités, de manière spontanée ou dans le cadre d’un partenariat rémunéré. Retour sur les principes du marketing d'influence sur YouTube et leur mise en application par 7 personnalités du BTP qui cartonnent sur la plateforme. Les codes du marketing d’influence sur YouTube Les internautes ont vu émerger toutes sortes de profils et de contenus depuis la création de YouTube en 2005. La plateforme d'hébergement vidéo, rachetée par Google en 2006 moyennant quelque 1,65 milliards de dollars en actions, fait dans un premier temps remonter les contenus en fonction du nombre de vues, avant de recourir à des algorithmes plus poussés. Dès 2012, le temps de visionnage et la durée de session des utilisateurs sont pris en compte et, 4 ans plus tard, le machin learning et le deep learning entrent en scène pour mieux répondre aux attentes des internautes. Et l’enjeu est de taille, en 2020, le second réseau social le plus populaire au monde affiche chaque mois plus de 2 milliards d'utilisateurs connectés, dont 46 millions en France. Toutes les minutes, environ 500 heures de vidéos sont mises en ligne. Se détacher du lot à tout prix Pour émerger de cet océan de contenus, les youtubeurs à succès se plient aux codes de la visibilité sur YouTube : des vidéos courtes : 5 à 10 minutes ; une présentation face caméra, où l'auteur s’adresse directement à son public ; un titre accrocheur, voire aguicheur ; une miniature toute aussi percutante. Un contenu visible et qualitatif crée de l'engagement (des likes, des commentaires, des partages, des abonnements à la chaîne…). Le youtubeur peut ainsi gonfler sensiblement son nombre de followers abonnés et prétendre au titre d’influenceur. Jouer de son influence sur YouTube YouTube, comme la plupart des réseaux sociaux, est un espace promotionnel efficace. Les marques produisent leurs propres contenus, mais passent également par les influenceurs. Et plus la chaîne compte de followers, plus le message du youtubeur prend de la valeur. Selon les observations de l’Agence Omnicore, la vidéo d’un influenceur suivi par 500 à 5 000 personnes vaut en moyenne 315 dollars, celle d’un youtubeur totalisant plus 500 000 followers atteint en moyenne 3 857 dollars. Les vidéastes les plus regardés et les plus suivis gravitent essentiellement autour des thématiques humour, modes et beauté, histoire et sciences… Des univers bien éloignés du BTP où l’influenceur du bâtiment aurait pu faire figure d'ovni, mais il n’en est rien. Les influenceurs du bâtiment sur YouTube Alors que les contenus courts et percutants sont légion sur YouTube, l’influenceur du BTP se distingue par sa capacité à convertir sur des contenus longs et peu édités. Son auditoire attend une immersion dans le réel au plus proche de la réalité du terrain. Ce sont par exemple les chantiers de construction suivis de A à Z, la réparation d’un produit spécifique ou son remplacement par un équipement de telle ou telle marque. Les vidéos tutos s'autorisent ainsi le luxe de dépasser les 30, voire les 45 minutes. Des temps record sur YouTube pour des contenus affichant une forte audience. Si le youtubeur du BTP peut s'accorder quelques libertés, il n’en reste pas moins soumis aux règles impitoyables des algorithmes. S’en écarter, c’est prendre le risque de sombrer dans les confins dans la plateforme d'hébergement. Alors qui sont ces personnalités du BTP qui tiennent le cap ? Fiches d'identités de 7 personnalités qui cartonnent Dans des styles différents et opérant sur des sections distinctes du bâtiment, ces grandes figures du BTP ont en commun un discours accessible et un ton léger sur des sujets très recherchés au sein de leur communauté. Leurs chemins se croisent parfois aux hasards heureux de la tendance et de la rencontre des compétences. Les vidéos consacrées aux WC suspendus en sont un bon exemple, et figurent dans la liste des contenus les plus regardés chez nombre de youtubeurs du BTP, qu’ils soient carreleurs, plombiers, ou plaquistes. Un placement rémunéré ? Pas nécessairement… Cette récurrence qui s’applique à bien d’autres produits et travaux est davantage une conséquence naturelle des rouages du référencement. 1. DJ. Plomberie Profession : artisan plombier Nombre d’abonnés : 145 000 Cumul des vues : 19,8 millions depuis 2018 Contenu le plus vu : « Comment décoller du PVC » - 960 000 vues Exemples de contenus à succès : WC suspendu Détartrer canalisation E.C. Pose nouvelle chaudière de A à Z Installation d'un panneau solaire révolutionnaire " SUNPAD " Sa communauté le suit pour son expertise, mais aussi pour ses anecdotes, parfois croustillantes, sur le métier de plombier. En bon pédagogue, David Juanes use avec modération du jargon professionnel sans pour autant lésiner sur les détails techniques, rassemblant ainsi une audience composée de pros et d’amateurs. Les produits phares du métier sont nommés avec ou sans placement de produit. Il s’est naturellement plié à l’exercice du tuto sur l'installation d’un WC suspendu citant deux marques concurrentes sur un pied d'égalité. 2. Docteur Peinture Profession : peintre applicateur de revêtements Nombre d’abonnés : 146 000 Cumul des vues : 24,8 millions depuis fin 2013 Contenu le plus vu : « Comment peindre un mur blanc comme un pro » - 1 400 000 vues Exemples de contenus à succès : Enduire un mur pour débutant  Paint runner pro, j’ai testé le vrai de chez M6 boutique  Comment poser un parquet flottant/stratifié comme un pro Cet été, après 4 ans d’activités sur YouTube, Stéphane, alias Docteur Peinture, lance sa première vidéo sponsorisée, en partenariat avec une marque de colle. Un moyen pour ce peintre professionnel de bénéficier d’une rémunération complémentaire en mettant en avant des produits qu’il utilise sur ses chantiers. Ses vidéos au ton ludique, pleines d'astuces et de conseils pratiques, visent avant tout les particuliers bricoleurs. 3. Karo Tuto le carreleur Profession : artisan carreleur Nombre d’abonnés : 48 000 abonnés Cumul des vues : 9 millions depuis 2016 Contenu le plus vu : « une crédence de cuisine en carreaux de métro !!! » - 640 000 vues Exemples de contenus à succès : Réparer un mur après avoir enlevé le carrelage  Carrelage 60*60 rectifié sur carrelage existant (sol de cuisine)  Comment faire l’étanchéité d’une douche à l’italienne  Carreler un WC suspendu. Gilles Ruiz multiplie les effets spéciaux pour dynamiser ses contenus très denses en informations, avec le détail des matériaux utilisés, des outils et techniques mobilisés, sans oublier les prix ! L’occasion de mettre en avant différents produits qu’ils soient sponsorisés ou non avec, en description, de nombreux liens vers des sites d’achats en ligne. Sa vidéo sur les WC suspendus était surtout un moyen de se positionner sur un thème très recherché et d'accroître sa visibilité pour s’attarder sur des produits davantage en lien avec son cœur de métier. 4. Make In France Profession : artisan indépendant Nombre d’abonnés : 111 000 abonnées Cumul des vues : 17,9 millions depuis 2018 Contenu le plus vu : « Comment rénover une salle de bain » - 940 000 vues Exemples de contenus à succès : Astuce pour poser du placo au plafond facilement sans Lève Plaque ! Un plafond ultra léger et imputrescible ! Pourquoi se casser le dos avec du placo ? Douche 100 % étanche et prête à carreler Pose WC supendu sur bati autoportant ! Tuto de A à Z Si Cédric Caudal livre ses tuyaux face caméra dans plusieurs de ses vidéos, il sait aussi s’effacer au profit de time-lapses de chantiers non commentés. Accélérés au montage, ces contenus oscillent le plus souvent entre 20 et 40 minutes. En parallèle, il propose des formats extra courts mettant en scène un produit particulier : quelques poignées de secondes, sans discours, où la fonctionnalité de l’outil parle d'elle-même. Sa vidéo sur le thème récurrent des WC suspendus a enregistré plus de 200 000 vues. Un carton pour la chaîne, réalisé en dehors d’un placement de produit rémunéré.             5. LJVS Profession : artisan spécialisé dans la salle de bain clé en main Nombre d’abonnés : 285 000 Cumul des vues : 53,5 millions depuis 2015 Contenu le plus vu : « Ma technique bandes à joint INRATABLE de A à Z » - 1 600 000 vues Exemples de contenu à succès : Placo hydrofuge et étanchéité - Ne faites pas n'importe quoi ! Plomberie multicouche dans une maison neuve avec REHAU Remplacer un WC standard par un Suspendu Tout savoir sur la chape liquide ! Laurent Jaquet donne son avis sans filtre. Il fait partie de ces professionnels qui vous plongent en immersion sur le chantier, avec des vidéos peu éditées et un discours sans retouches. Les systèmes à plots pour la pose de plancher chauffant ? Pas son truc, mais chacun est libre d'apprécier. Et pour les WC suspendus ? Dans une vidéo qui remonte déjà à plus de 4 ans, l’artisan nous livre ses bons conseils pour anticiper la démocratisation des modèles aux fonctionnalités les plus avancées. 6. Taka Yaka Profession : jointeur-plaquiste Nombre d’abonnés : 171 000 Cumul des vues : 64,9 millions depuis 2010 Contenu le plus vu : « COLLER une bande à joint PLACO " PARFAIT de A à Z " » - 2 200 000 vues Exemples de contenus à succès : La bande grillagée autocollante joint placo, NON ! Faire faux plafond placo sous plancher bois, la pose des suspentes plates, le réglage Comment habiller un WC suspendu avec du placo ! Tes gaines électriques devant ou derrière ta laine ? Derrière leur écran, les internautes pourraient bien être les apprentis de Pascal Blache. L'artisan breton anime ses vidéos avec entrain et simplifie le discours sans faire de raccourci. Vous n’avez pas compris la méthode de calcul de la puissance de chauffage ? Qu’à cela ne tienne, Taka Yaka vous partage son écran d’ordinateur et vous montre le chemin vers un bon simulateur en ligne ! Pour les pros, le jointeur-plaquiste teste de nouveaux produits, partage ses impressions, et confie ses coups de cœur.  Dans l'incontournable tuto sur les WC suspendus, l’artisan a pris l’angle de l’habillage placo de l'équipement. Toujours par souci de positionnement et sans objectif de placement. 7. Papy Claude Profession : artisan de l’éco-construction Nombre d’abonnés : 17 000 Cumul des vues : 2,3 millions depuis 2015 Contenu le plus vu : « Isolants : leurs qualités et leurs limites » - 720 000 vues Exemples de contenus à succès : Faut-il enlever le vieil isolant en combles avant d'en poser un nouveau Le déphasage thermique, c'est quoi ? Selon quels critères choisir un isolant ? Pourquoi il ne faut pas tout miser sur l'isolation Claude Lefrançois, alias Papy Claude, rend la rénovation écologique accessible aux amateurs comme aux professionnels évoluant dans des filières connexes. En grand passionné, l’éco-artisan s’autorise régulièrement des contenus qui dépassent la demi-heure, et frôle parfois les 2 heures. L’occasion de mettre différents acteurs expérimentés autour de la table digitale pour traiter des grands sujets de la rénovation et de la construction écologique. En fin stratège, il réalise de très nombreux formats courts qui caracolent en tête de ses contenus les plus vus. À l’image d'un bâtiment basse consommation, la chaîne de Papy Claude évolue en relative autonomie, nourrie par un noyau dur de followers faisant circuler les contenus auprès de leurs réseaux respectifs.
Il y a 3 ans et 229 jours

Emmanuel Macron prône des politiques du logement et écologique plus décentralisées

CONGRÈS DES MAIRES. Le président de la République a clôturé, le 18 novembre 2021, la 103e édition du rassemblement annuel des maires. Décentralisation, contractualisation, simplification, logement, transition écologique, le chef de l'Etat a défendu son bilan et évoqué des points d'amélioration sur divers sujets.
Il y a 3 ans et 229 jours

Explosion rue de Trévise: la défiance persistante des victimes

"On n'a toujours pas d'actes. Des paroles, on en a eu." Présidente de l'association Trévise Ensemble, Dominique Paris, 70 ans, qui a dû quitter son appartement au 4 rue de Trévise et souffre de syndromes post-traumatiques, se dit "très fatiguée" à l'approche des trois ans de la catastrophe.C'est l'une des 400 sinistrés de la rue de Trévise, artère du IXe arrondissement parisien soufflée au matin du 12 janvier 2019 par une très forte explosion provoquée par une fuite de gaz. Quatre personnes sont mortes, et 66 autres ont été blessées.Début octobre, la Ville de Paris, mise en examen pour "homicides et blessures involontaires" et "destruction, dégradation ou détérioration par l'effet d'une explosion ou d'un incendie" dans ce dossier, a annoncé qu'elle abonderait de 20 millions d'euros le fonds d'indemnisation que les victimes appellent de leurs vœux, "sans que cela présume de sa culpabilité".Les premières indemnisations pourraient intervenir "d'ici la fin de l'année", disait alors le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire, qui a estimé mercredi ce délai encore tenable en cas de "finalisation de l'accord cadre pour fin novembre".Pour cela, le Conseil de Paris doit autoriser jeudi la mairie à signer cet accord-cadre, "associant notamment" GRDF, le syndic de copropriété du 6 rue de Trévise - autre mis en examen - et les assureurs sous l'égide du Comité local d'aide aux victimes (Clav), "sans préjudice des procédures judiciaires en cours et des éventuelles condamnations qui pourraient s'ensuivre"."Au bout de 35 mois, on a du mal à le croire", réagit auprès de l'AFP Linda Zaourar, présidente de Vret (Victimes et rescapés de l'explosion de la rue de Trévise), l'autre association de victimes qui revendique 150 adhérents.M. Grégoire "ne pourra jamais tenir son calendrier. La fin de l'année, c'est demain", estime Mme Zaourar, en arrêt de travail depuis avril 2019.Deux experts pour gérer le fonds d'indemnisationDeux experts désignés par l'État seront à la tête du fonds d'indemnisation des victimes de l'explosion.Ces deux experts agiront comme tiers de confiance vis-à-vis des victimes et "viendront valider, cas par cas, qui a le droit à quoi", a résumé lors d'un point presse le premier adjoint (PS), Emmanuel Grégoire.Le sujet est très sensible pour la mairie de Paris, mise en examen - comme le syndic de copropriété de l'immeuble - pour "homicides et blessures involontaires" et "destruction, dégradation ou détérioration par l'effet d'une explosion ou d'un incendie" et très critiquée par certaines victimes qui s'estiment abandonnées.Ces deux coordonnateurs, "un magistrat et un ancien militaire" à la retraite ayant "travaillé sur des grandes catastrophes", ont été proposés par la déléguée interministérielle à l'aide aux victimes (DIAV), Frédérique Calandra, et approuvés par Matignon et le ministère de la Justice, a indiqué le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo.En parallèle, "la médiation réalisée par le tribunal judiciaire" entre les parties prenantes doit permettre une "finalisation de l'accord-cadre pour fin novembre", a affirmé M. Grégoire, qui avait annoncé début octobre provisionner 20 millions d'euros pour pouvoir commencer à indemniser les victimes "d'ici la fin de l'année"."Si tous les coordonnateurs ont leur lettre de mission rapidement", les premières indemnisations pourraient "sans doute" intervenir à cette échéance, a maintenu M. Grégoire, pour qui les 20 millions sont une "première étape", un montant "extrêmement confortable pour 6, 9 mois, 1 an" et qui permettra "d'accompagner toutes les situations individuelles", préjudices corporels comme matériels.Le Conseil de Paris doit autoriser jeudi la mairie à signer cet accord-cadre, qui associe notamment GRDF, le syndic de copropriété du 6 rue de Trévise et les assureurs, "sans préjudice des procédures judiciaires en cours et des éventuelles condamnations qui pourraient s'ensuivre"."On aurait pu le faire il y a un mois", calendrier initial de M. Grégoire, a réagi auprès de l'AFP Delphine Bürkli, la maire (DVD) du IXe arrondissement, satisfaite toutefois que "la médiation sur la finalisation de l'accord-cadre se passe bien"."Les victimes seront soulagées quand il y aura les versements", a ajouté Mme Bürkli, pour qui les premières indemnisations n'interviendront au mieux qu'en janvier."Enfumage""On est tellement en attente qu'on a du mal à entendre les paroles", explique Dominique Paris, également sceptique sur une signature de l'accord-cadre fin novembre. "Cela fait 35 mois qu'on nous dit que ça avance, imaginez si ça n'avançait pas...", ironise Dounia Bencherat, mère d'Inès, gravement blessée dans l'explosion, pour qui les dernières annonces de la mairie sont "encore de l'enfumage" tant la maire de Paris Anne Hidalgo, candidate du PS à la présidentielle, "joue la montre" sur ce dossier, selon elle.Faux, répond la Ville de Paris pour qui "dès révélation par la presse des conclusions de l'expertise pénale, courant décembre 2019, Anne Hidalgo a ordonné la réalisation d'une enquête administrative à l'inspection générale de la Ville, dont le rapport a été transmis au juge d'instruction".La Ville, qui s'est félicité mercredi de la nomination de deux experts désignés par l'État pour superviser le fonds d'indemnisation, a "demandé cet accord-cadre" fin 2020, fait encore valoir l'entourage de la maire. "Si l'avis juridique de l'État a mobilisé trois ministères, Bercy, la Justice et les collectivités et nous a été adressé le 11 septembre dernier, soit plus de 10 mois après notre saisine, c'est bien que c'est un sujet juridiquement complexe."Pour l'opposante LR Nelly Garnier, l'exécutif de gauche "a sorti la somme des 20 millions dans un contexte de médiatisation de l'affaire" à la rentrée, avec les témoignages d'Inès largement repris sur les réseaux sociaux et dans la presse. Mais sans calendrier précis, "on donne des os à ronger" aux victimes "pour leur dire que ça arrive".Très engagée auprès des victimes depuis le drame, la maire (DVD) du IXe arrondissement Delphine Bürkli a désormais le sentiment que "la mairie veut tourner la page rapidement". "Le calendrier se dessine petit à petit", pèse-t-elle en visant janvier 2022 pour de premiers déblocages de fonds. Mais "les victimes seront soulagées quand il y aura les versements".
Il y a 3 ans et 229 jours

Toujours pas de reprise pour les logements neufs en France

Il n'y a toujours pas de "mécanique de rattrapage", a expliqué Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) lors d'une conférence de presse, alors même que les indicateurs sont au vert: "le revenu des ménages progresse" et "les conditions de l'accès au crédit restent favorables", notamment avec la prolongation du prêt à taux zéro.Entre juillet et septembre, les promoteurs, l'une des deux grandes branches du logement neuf avec les constructeurs de maisons, ont vendu 28.247 logements, soit 3% de moins qu'un an plus tôt. Mais comparé au niveau d'avant-crise, la baisse s'élève à 23,2%.L'année 2019 n'avait pas non plus été exceptionnelle pour le logement neuf: avec les élections municipales 2020 qui arrivaient, le nombre d'autorisations de permis de construire avait chuté, un phénomène cyclique habituel pour le secteur.Le logement neuf reste donc en berne et ces chiffres "ne sauraient masquer la pénurie désormais manifeste de logements adaptés aux besoins des ménages", a alerté la FPI.Concrètement, "en rythme annuel, les maires autorisent aujourd'hui 50.000 logements collectifs de moins qu'en 2017. Si la reprise nous échappe, c'est donc le résultat d'un choix collectif implicite et subi, celui de la rareté du neuf dans les villes attractives", développe la fédération."Le vrai sujet c'est l'acceptabilité de l'acte de construire", estime son président, qui constate une réticence des maires découlant du blocage des populations à accepter de nouvelles constructions dans leurs environs."Nous attendons de l'Etat qu'il incite fortement les maires à reprendre les stylos pour signer les permis de construire", a dit M. Boulanger, saluant toutefois le renforcement des aides aux maires bâtisseurs.
Il y a 3 ans et 229 jours

Réparations et étanchéité des toitures-terrasses

L'étanchéité de la toiture est amenée à s'altérer sous l’effet de l'usure ou des dégradations causées par un défaut de mise en œuvre. À terme, les fissures, les fuites et les déperditions thermiques fragilisent le bâti et nuisent à son fonctionnement. Pour prévenir ces dégâts, SMAC, spécialiste des travaux d'étanchéité, met son expertise au service de ses clients.Confier ses travaux de réparation et d’étanchéité de la toiture-terrasse à des spécialistesProcéder à des travaux sur une toiture technique ou accessible au public requiert une expertise et un savoir-faire ciblés. Pour répondre aux demandes de ses clients, SMAC s’appuie sur un réseau d'agences dans toute la France.Un accompagnement de proximité qui s'étend à l'ensemble des travaux de maintenance, de réparation et d’amélioration des performances énergétiques. Le professionnel effectue les premières vérifications, puis propose et applique des solutions adaptées. Les toitures nouvelles ou anciennes, végétalisées ou équipées de panneaux photovoltaïques appellent un diagnostic précis (pression, support, revêtement). Nos équipes sont présentes à chaque étape, qu’il s’agisse d’un projet de travaux ou d’une intervention d’urgence.Le rôle de la toiture dans l'étanchéité du bâtimentLe toit joue un rôle décisif dans la gestion des eaux pluviales et l'efficacité énergétique du bâtiment.Exposées aux intempéries et aux variations de température, les toitures font l’objet d'une vigilance renforcée. L'étanchéité est assurée par le déploiement de solutions adaptées.Contrairement aux maisons traditionnelles, la plupart des bâtiments professionnels modernes affichent une toiture plate. Les jonctions entre les composantes d’une toiture à pente nulle doivent rester parfaitement étanches. Ainsi recouvert et complété d’un système d'évacuation des eaux pluviales, le toit est en mesure de remplir sa fonction de protection.La toiture constitue également une surface d’échanges thermiques. Son étanchéité à l’air conditionne le confort des usagers et le niveau de consommation énergétique du bâtiment.Les conséquences du défaut d'étanchéité sur une toiture-terrasseLes défauts de continuité dans l'étanchéité de la toiture entraînent un risque d'infiltration d’eau. Cela passe par les déchirures de la membrane (epdm, bitume, PVC, TPO). Mais également par des défaillances au niveau des relevés d'étanchéité ou de la dalle des ouvrages en béton. Rongée de l'intérieur, la construction manifeste ses premiers stigmates : moisissures au plafond et dégradations des peintures.La performance thermique du bâtiment est elle aussi impactée par les désordres de la toiture. Toute défaillance à ce niveau se traduit par une nette augmentation de la consommation en énergie de chauffage.Les opérations de nettoyage et d'entretien sont l'occasion de repérer les premiers signes de mauvaise gestion de l’eau et autres pathologies. Il convient alors d’agir rapidement avant que les dégâts ne s’intensifient.
Il y a 3 ans et 229 jours

La Cour des comptes appelle à recentrer la politique du logement sur les publics fragiles

PRESIDENTIELLE. La Cour des comptes a rendu publics, mi-novembre, une deuxième série de rapports sur "les enjeux structurels pour la France", qu'elle a initiée en octobre dernier. En matière de politique du logement, elle appelle à "remettre de la cohérence" dans les dispositifs, suggère une décentralisation beaucoup plus poussée et enfin, invite à lâcher les objectifs uniquement "constructivistes".
Il y a 3 ans et 229 jours

L’État annonce un report du lancement de la filière REP de recyclage des matériaux "au plus tard" à début 2023

Le secteur du bâtiment, qui produit 42 millions de tonnes de déchets par an, soit autant que les déchets générés par les ménages, va disposer de sa propre filière de recyclage.Concrètement, des éco-organismes seront chargés de la collecte, du tri et de la revalorisation des déchets générés par le secteur dans le cadre de la loi AGEC relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire. Cette loi prévoyait une mise en oeuvre de cette filière au 1er janvier 2022.L'année 2022 sera finalement consacrée à la mise en place de la filière responsabilité élargie des producteurs (REP) "pour que les éco-organismes agréés puissent établir les conventionnements avec les collectivités et acteurs privés de la gestion des déchets de construction", a expliqué le ministère.Les soutiens financiers, qui lanceront réellement cette nouvelle filière, seront enclenchés "au plus tard le 1er janvier 2023", est-il précisé dans le communiqué.Le gouvernement publiera "d'ici la fin de l'année le décret fixant les règles et principes de cette nouvelle filière"."On estime que ce n'était pas possible de le faire plus tôt", a expliqué à l'AFP un porte-parole de la Fédération Française du Bâtiment.Les cahiers des charges des éco-organismes n'étant pas encore établis, impossible pour les acteurs du secteur d'adapter les leurs, alors que les commandes sont déjà prévues pour une partie de l'année à venir.Le ministère a lancé mercredi une concertation sur le projet de cahier des charges des éco-organismes. Le lancement de la REP sera "progressif dans son déploiement", indique le ministère."Même en janvier 2023, les financements ne seront pas à leur paroxysme, la filière se mettra en application sur plusieurs années", estime la FFB.
Il y a 3 ans et 229 jours

Pour les promoteurs, le logement collectif "reste à l'écart de la reprise économique"

CONJONCTURE. La Fédération des promoteurs immobiliers s'inquiète de la stagnation de la production neuve, due notamment à la frilosité des élus locaux. Malgré les initiatives de la commission Rebsamen, les promoteurs s'inquiètent des contraintes qui pèsent sur le secteur, à commencer par le Zan et le référentiel de qualité du logement.
Il y a 3 ans et 229 jours

Fontenay-le-Comte : de futurs logements sociaux en perspective

L’aménagement de futurs logements sociaux square Saint-Michel est prévu à Fontenay-le-Comte.
Il y a 3 ans et 229 jours

BSM ouvre le plus grand BPE de France

BSM vient de mettre en service son nouveau site de production de Gennevilliers, au Nord de Paris. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires attendu pour 2021 de 150 M€, quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles (BSM) poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ».  Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Ouest, à Lognes, siège de l’entreprise. Mais l’actualité immédiate pour l’industriel est l’ouverture de son nouveau site de production de Gennevilliers, au Nord de Paris. Pour BSM, la genèse de cette installation est sa volonté de pouvoir maximiser ses flux par voie d’eau. C’était aussi le souhait du Port Autonome de Paris, propriétaire du site, que de favoriser le trafic fluvial.  Un investissement de 4 M€ De l’extérieur, peu de choses laissent deviner que la présence de la plus importante centrale à béton de France. « Ici, nous sommes en capacité de produire quelque 200 000 m3/an de BPE ! », affirme Philippe-Inglesse. Comme à Lognes, siège de BSM, toute l’installation est construite à l’intérieur d’un bâtiment fermé. La surface totale disponible est de 8 500 m2 (210 m de long pour 40 m de large), avec une hauteur maximale sous faîtage de 13 m. Ici, ce ne sont pas une, ni 2, mais bien 3 centrales à béton complètes et autonomes qui occupent les lieux. Et ce, depuis le 1ernovembre dernier. Un ensemble construit, livré et assemblé par Arcen en un temps record, puisque le site était accessible à partir du 4 janvier 2021… Pour BSM, l’investissement représente un montant de 4 M€ en matériels et équipements. A quoi s’ajoutent les fonds nécessaires à toutes les mises en conformité du bâtiment existant. 
Il y a 3 ans et 229 jours

Hérault Arnod - Portrait

Isabel Hérault et Yves Arnod ont créé leur agence en 1991 à Grenoble avant de s'installer à Paris en 2011. Leur première réalisation est le gymnase Lionel-Terray à Echirolles (Isère).  Outre des logements, bureaux et commerces, Hérault Arnod a réalisé de nombreux équipements culturels et sportifs […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 229 jours

Quelques conseils pour réussir des travaux de rénovation

Entreprendre des travaux de rénovation domiciliaire est passionnant, mais l’excitation peut être rapidement diminuée par des problèmes et des coûts imprévus. Heureusement, les chances de rencontrer des problèmes peuvent être minimisées, voire atténuées complètement, avec un peu de planification et de préparations minutieuses. Et pour vous assurer que votre projet se déroule sans complications, on vous a énuméré quelques préparations que vous devez connaître avant de vous engager dans une rénovation. Continuez à lire pour en savoir plus. Prévoir un budget réaliste pour le projet Il est indéniable que tout projet de rénovation de maison d’habitation nécessite un budget réaliste pour éviter que les coûts ne deviennent incontrôlables. Cependant, il n’est pas toujours facile de trouver le bon équilibre entre la vision du design et la somme que vous êtes prêt à dépenser pour y arriver. C’est justement pour cette raison que vous devez avoir une idée claire du prix, que ce soit pour la main-d’œuvre ou l’équipement et les matériaux dont vous avez besoin. Déterminer les travaux de bricolage À moins que vous ne disposiez de ressources financières illimitées pour travailler, vous voudrez probablement garder les coûts de votre projet au minimum. Les travaux risqués comme les travaux de plomberie et d’électricité devraient être confiés aux professionnels. C’est plus prudent. Par contre, il y a aussi des travaux que vous pouvez faire vous-même. À ce titre, vous devez déterminer quels travaux vous pouvez faire vous-même et lesquels laisser aux experts. De cette façon, vous pouvez choisir des tâches à bricoler et réduire les coûts de la rénovation sans compromettre le projet dans le processus. À cet effet, vous devez au moins avoir des outils de bricolage de base : à savoir un cutter, des pinces, des tournevis, une ponceuse, une paire de lunettes protectrice, une scie sauteuse, une clé à molette, un marteau, etc. Peu importe le travail de rénovation que vous allez effectuer, ces outils sont indispensables. Connaitre les personnes que vous embauchez Des entrepreneurs aux concepteurs, il est toujours utile de savoir qui sont les personnes que vous embauchez. Les recommandations et les références de la famille et des amis sont un bon début. Ce n’est jamais une mauvaise idée de vérifier vous-même sur Internet. Cela peut sembler être un petit détail, mais c’est quand même important d’embaucher des gens compétents et qui soignent leur travail et avec qui vous vous entendez. Ne jamais précipiter Les rénovations prennent du temps. Précipiter les travaux en espérant réduire les coûts est une mauvaise idée. Cela pourrait au contraire provoquer différents problèmes coûteux. Si vous prenez le temps de bien faire les choses, vous réduirez les risques d’erreurs. Ne précipitez donc jamais un projet de rénovation domiciliaire. Il est rare qu’une rénovation de maison se passe sans problème. Et si vous prenez les choses à la légère, il y a de fortes chances que le projet ne se déroule pas comme vous le souhaitez. Cependant, si vous gardez à l’esprit les conseils ci-dessus, non seulement, vous éviterez de rencontrer des problèmes graves en cours de route, mais vous serez beaucoup plus préparé à bien gérer au cas où des incidents se présenteraient.
Il y a 3 ans et 229 jours

GCC et Knauf signent un accord pour la gestion des déchets de démolition d’isolants en polystyrène expansé

Ce partenariat débute avec le chantier de réhabilitation de plus de 550 pavillons individuels, réalisé pour le maître d’ouvrage ICF La Sablière, dans le quartier de la cité Cheminote située dans les communes de Chelles et Brou-sur-Chantereine (77).Ce chantier pilote d’ampleur innove à bien des égards et constitue une première française. GCC, en charge des travaux, récupère les déchets de PSE issus de la dépose de l’isolation par l’extérieur, les sépare des impuretés (enduits, fixations…) avant de les compacter puis de les palettiser sur le site même. Ensuite, KNAUF IDF Ouest stockera ces palettes de déchets, effectuera les démarches réglementaires complexes de leur transfert transfrontalier avant de les faire acheminer jusqu’à l’usine de démonstration de la PolyStyreneLoop, située à Terneuzen aux Pays-Bas.Le projet européen Life PolystyreneLoop est mené par la coopérative du même nom qui rassemble plus de 70 membres dont l’Association Française de l’Isolation en Polystyrène Expansé dans le Bâtiment (AFIPEB) au sein de laquelle KNAUF est un adhérent majeur. Ce projet vise à démontrer la faisabilité technico-économique d’un procédé unique de traitement, basé sur la technologie CreaSolv®, permettant de séparer les composants dont l’ignifugeant HBCD. Celui-ci sera ensuite détruit, dans le respect de la réglementation, tout en récupérant le brome. Le polystyrène récupéré pourra ainsi être recyclé.Précurseurs, GCC et KNAUF, au travers de ce partenariat, permettront de réaliser une première livraison française, de plusieurs tonnes, à la PolyStyreneLoop.Pour Nicolas MINARD, Chef de Groupe GCC Réhabitat : « Nous sommes fiers de relever le défi de ce chantier atypique. Il illustre pour la première fois notre label "Objectif 100% valorisation" qui nous permet de démontrer notre savoir-faire en matière d’économie circulaire grâce au réemploi, à la réutilisation et au recyclage des matériaux récupérés directement sur les lieux mêmes des chantiers. »Pour Nicolas PERRIN, Président de KNAUF IDF Ouest : « Avec ce partenariat et ce chantier d’importance, nous faisons un grand pas en avant dans le recyclage des déchets de PSE issus de la démolition. Si à ce jour en France, peu de bâtiments isolés sont déconstruits, dans les prochaines décennies, les solutions de recyclage seront maîtrisées grâce au programme pilote PolyStyreneLoop, mais aussi à une mobilisation et une organisation éprouvée des acteurs en amont, comme GCC. KNAUF est un acteur majeur mais aussi local des isolants en PSE. Dans ce partenariat, nous apportons nos ressources logistiques de proximité, notre expérience du recyclage du PSE, acquise sur nos sites KNAUF Circular® dans la valorisation de chutes de chantiers neufs, et surtout notre engagement et notre conviction à mettre en œuvre une économie circulaire des PSE de construction. »
Il y a 3 ans et 229 jours

Paris veut durcir encore son règlement vis-à-vis des locations AirBnB

La Ville de Paris prévoit de durcir davantage son règlement vis-à-vis d'AirBnB, en imposant de nouvelles obligations aux propriétaires de logements loués dans les secteurs touristiques de la capitale.
Il y a 3 ans et 229 jours

Les trophées de la chaux 2021

Les Trophées de la Chaux organisés tous les deux ans par Ciments Calcia et Socli ont été décernés sur le Salon International du Patrimoine Culturel. Ouvert aux entreprises et artisans à travers un de leurs chantiers réalisé entre le 1er janvier 2019 et le 15 février 2021, dans les domaines de la restauration ou de l’éco-construction et effectué avec au moins un produit de la gamme chaux Socli ou Ciments Calcia, les Trophées de la chaux 2021 ont reçu une vingtaine de candidatures et retenu 10 dossiers. A l’issue d’un grand oral final, le jury a récompensé les auteurs de 3 chantiers d’exception, s’appuyant sur la mise en œuvre de solutions originales, l’emploi de méthodes innovantes et la prise en compte des conditions sécuritaires ou techniques de réalisation des travaux. Le premier prix a été attribué à Eric Constant, gérant de Terre et Matières, pour la restauration extérieure de la chapelle Sainte-Sigolène à Parisot (81). Si cet édifice du XIIème siècle avait déjà connu une phase de rénovation en 2017, il s’agissait ici de restaurer la tranche finale, à savoir le clocher, le porche ainsi que les murs nord et sud. A cette occasion, l’entreprise Terre et Matières a révélé tout son savoir-faire en décroutant les murs, sur une hauteur de 16 m, pour les mettre à nu (à l’origine, briques foraines recouvertes d’un enduit) avant de réaliser un rejointoiement exemplaire à la chaux blanche NHL 2 RENOCHAUX de Ciments Calcia, associée à du sable roux local. Cette même chaux a été utilisée pour la couche de finition du clocher qui avait auparavant bénéficié de l’application, en deux passes, d’une chaux grise NHL 3,5 CHAUX SOCLI. Second prix : Entreprise Paramelle. Déjà primé lors des Trophées de la chaux 2019, le jeune entrepreneur de 30 ans Fabien Paramelle confirme sa dextérité en restaurant à Figéac (46), au sein d’un secteur sauvegardé, un immeuble qui abritait une ancienne boulangerie avec fournil. Cette restauration s’est avérée des plus techniques car le bâtiment, composé de deux étages en colombage, présentait une structure en mauvais état : il a fallu, en effet, la renforcer et lier le colombage mécaniquement, car celui-ci n’était pas relié dans les angles. Belle surprise en phase de décroutage de la façade : deux ogives moyenâgeuses en partie basse ont fait surface, ce qui a induit une modification des plans afin de les restituer (remise en état des linteaux démolis et greffe de pierres sur les ogives). Fabien Paramelle a notamment réalisé une projection à la machine avec du liant traditionnel à la chaux CHAULYS BLANCHE HL2 de Socli sur une surface de 280 m², intérieur et extérieur confondus. Soulignons aussi la dépose de tout le sol en ciment remplacé par un béton de chaux réalisé avec la CHAUX RABOT NHL 5 de Socli, également utilisée pour la pose du dallage en pierre scellé, favorisant la respirabilité du support. Troisième prix : Entreprise Solé et fils. Claude Solé a concouru aux Trophées de la chaux 2021 avec une rénovation d’envergure, en cœur de ville : celle du bâtiment dit Château de Pollestres (66), réhabilité en centre culturel. Plusieurs étapes du projet ont été louées par le jury : la démolition/reconstruction d’une partie de la bâtisse en ossature béton/métal ; le traitement des façades avec application d’enduit à base de CHAULYS, finition à pierre vue et coloration naturelle au sable jaune ; la reprise des appuis de fenêtre par taille de cayroux in site ; le rehaussement de la corniche… Soulignons également l’implication environnementale de l’entreprise qui, en début d’opération, a pris soin de créer une ouverture dans un mur de clôture existant pour pouvoir effectuer le tri sélectif à l’aide de bennes à déchets. 7 autres finalistes à saluer BTMS Construction pour la rénovation d’une habitation de village à Olargues (34) Reconstruction d’un bâtiment en ruine, dans le respect de la tradition locale, avec les matériaux du site (pierres calcaires, lauzes, ardoises…) et création d’une extension : l’ensemble des maçonneries en pierres et les éléments de couverture ont été mis en œuvre à la chaux naturelle, la finition réalisée aux mortiers de chaux et sable local, conformément aux autres bâtis du hameau qui se trouve au cœur d’un parc naturel. Quant à l’enduit intérieur isolant chaux-chanvre projeté, avec finition taloché fin, il protège l’habitat et garantit un intérieur sain. FINS pour la restauration d’une bâtisse du 7ème siècle à Lectoure (32) Création d’ouvertures avec réutilisation des pierres du chantier, application d’enduits extérieurs et intérieurs, mise en place de béton de chaux, extension, réhabilitation d’un puits, transformation du poulailler en garage ont constitué autant d’étapes pour la réfection de ce bâtiment à l’abandon. JAM pour la restauration de la grotte de fraîcheur du château de Bonrepos-Riquet (31) Au cœur du parc d’un château classé monument historique, cette grotte artificielle a bénéficié d’un terrassement pour sa mise à nue, d’une réalisation de structure béton de protection, d’une dépose et reconstruction de la voûte avec reconstitution de la façade d’entrée. LATARCHE pour la restauration d’une grange foraine pyrénéenne à Artalens-Souin (65) Depuis la loi montagne en 1985, les bâtiments agricoles inutilisés peuvent être restaurés en tant que résidences secondaires, leur rénovation devant répondre à un cahier des charges strict. C’est le cas de cette grange foraine, partie intégrante du patrimoine des Hautes-Pyrénées, qui a été l’objet de travaux de démolition des façades et pignons, reconstruction des murs en moellons de réemploi hourdés au mortier chaux et réalisation de joints creux. Philippe GOLCBERG pour la restauration extérieure d’un bâtiment art nouveau néogothique à Montpellier (34) Les modénatures en pierres calcaires de Castries ont été reprises et un faux appareil traditionnel de briques 5X11X22 a été engravé à frais et peint à fresque en deux patines sur un enduit taloché fin. La reconstitution des appuis de fenêtres, du soubassement et des joints complète l’intervention. PINTO pour la restauration intérieure du château de Toulonjac (12) Inscrit au titre des monuments historiques en 1993 et classé en 1995, l’édifice a été restauré de l’intérieur avec, entre autres, la réalisation d’une correction thermique sur murs périphériques par application d’un enduit chaux-chanvre, la reprise des plafonds avec enduits à la chaux, la réalisation de chapes au sol à la chaux avec pose de tomettes de récupération à la barbotine… RYBICKI FAÇADES pour la restauration et Rénovation du château de Pouille à Gaillac (81) Cette réalisation a conjugué rénovation gros œuvre (maçonnerie générale), restauration des briquettes et finition avec enduits à la chaux naturelle. Le jury se composait de 5 membres : Marion Lecanu, Directrice de l’ECMH à Paris, José Granados, Délégué départemental, représentant de la Fondation du Patrimoine de l’Hérault et architecte, Romain Lelièvre, Architecte des Bâtiments de France à l’UDAP 11 , Christophe Possémé, Président de l’UMGO et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef et Directeur de la publication d’Atrium Patrimoine.
Il y a 3 ans et 230 jours

L’État investit dans la reconstruction de l’Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes de Volvic

Une partie des travaux de reconstruction de l’Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD) de Volvic sera prise en charge par l’État.
Il y a 3 ans et 230 jours

Les grands promoteurs travaillent à un référentiel sur la biodiversité

IMMOBILIER. Alors que la réglementation se focalise sur l'énergie et le carbone, et méconnait largement l'impact des bâtiments sur la biodiversité, 17 opérateurs immobiliers ont lancé le Biodiversity Impulsion group (Big), qui travaillera à des outils de mesure de l'impact des projets sur les écosystèmes.
Il y a 3 ans et 230 jours

Promoteurs, gestionnaires et utilisateurs veulent mesurer leur empreinte biodiversité

Capables de mesurer leur empreinte carbone dans le cadre du contre-la-montre face au réchauffement climatique, seize entreprises d'horizons variés s'engagent à trouver d'ici l'été prochain des outils de mesure dédiés à la biodiversité dans un projet immobilier.
Il y a 3 ans et 230 jours

Où en est la construction hors-site en France ?

ÉTUDE. Plébiscitée par les pays anglo-saxons, la construction hors-site a encore une marge de progression importante en France. Un premier baromètre interrogeant des maîtres d'oeuvre, maîtres d'ouvrage et des fabricants permet d'appréhender la maturité du marché sur le territoire.
Il y a 3 ans et 230 jours

PLF 2022 : Les professionnels du bâtiment demandent un effort supplémentaire au gouvernement

La FFB salue ainsi la prise en charge par l’État des exonérations de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) dans le logement social et intermédiaire, comme suggéré par la Commission Rebsamen, et de la prolongation jusqu'à fin 2023 du prêt à taux zéro (PTZ) en faveur de la primo-accession, de l’éco-PTZ qui vise à financer des travaux de rénovation énergétique et du « Denormandie », qui accompagne la reconquête des centres de villes moyennes.Elle se réjouit aussi de la prorogation jusqu’en 2022 du « Censi-Bouvard », en faveur de l'investissement locatif des particuliers dans les résidences pour étudiants et personnes âgées ou handicapées.Par ailleurs, la FFB acte la poursuite, jusqu'à fin 2024, de l'expérimentation du « Pinel breton », mais regrette que toute extension à quelques territoires volontaires ait été refusée.En revanche, la FFB déplore qu’une nouvelle fois, on charge la barque sur les exigences en « Pinel ». De fait, pour être éligible au dispositif à taux plein en 2023 et 2024, en plus de nouveaux critères de « qualité d’usage » déjà annoncés (superficie minimale par type, présence d'un espace privatif extérieur et double exposition à partir des T3), il faudra que le logement anticipe l’étape 2025 de la RE2020. Cette annonce entre en totale contradiction avec les clauses de revoyure qui ont été prévues pour s’assurer de la soutenabilité de cette nouvelle réglementation. Et aucune étude d’impact sérieuse ne mesure aujourd’hui le surcoût associé à toutes ces exigences cumulées, donc la capacité à faire !La FFB s’inquiète également que le retour de l’individuel groupé dans le champ du Pinel, proposé par le député Mickaël NOGAL, ait été refusé. Il s’agit pourtant d’une solution économe en foncier pour loger des familles dans ou à proximité des villes moyennes, aujourd’hui très recherchées.Enfin, alors que la crise des matériaux se trouve réalimentée par celle de l’énergie, les artisans et entrepreneurs du bâtiment ne comprennent pas que leur demande pressante de versement immédiat des éventuelles créances de carry back générée par un exercice 2021-2022 déficitaire soit refusée par le gouvernement. Il ne s’agit que d’une mesure de trésorerie, mais elle constitue une indispensable planche de salut pour certaines structures prises dans une tourmente qui les dépasse.Olivier Salleron, le président de la FFB, rappelle « derrière l’aide aussi urgente qu’indispensable à la survie d’entreprises que constitue le carry back, se joue aussi la question de l’emploi. La construction s’avère le seul grand secteur à créer plus de 70.000 emplois nets depuis l’avant-crise ; casser cette dynamique aurait donc un impact bien plus large que pour le seul secteur ! Pour toutes ces raisons, la FFB continuera résolument à porter cette demande. »Quant à Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, il souligne que « nos promoteurs immobiliers, acteurs locaux et durables des territoires, peinent à comprendre les motivations à durcir à ce point les conditions d’éligibilité au dispositif "Pinel" en période de crise du logement collectif en zones tendues. Multiplier les exigences génère des surcoûts considérables au détriment du logement abordable et condamnerait l’offre nouvelle à un long hiver, tant en accession qu’à loyers maîtrisés. »
Il y a 3 ans et 230 jours

Malgré des prix en hausse, les mises en vente de logements neufs restent timides

LOGEMENT. Le ministère de la Transition écologique vient de publier les chiffres de la commercialisation des logements neufs au troisième trimestre 2021. Peu importe leur taille, les prix des habitations augmentent et l'offre reste supérieure à la demande.
Il y a 3 ans et 230 jours

Hilti rachète la startup Fieldwire pour créer une plateforme de gestion de chantiers de construction

Cette acquisition stratégique permettra de combiner le meilleur produit de Fieldwire et la puissance de la marque Hilti et de sa portée commerciale, afin d’améliorer la productivité des entrepreneurs et sur chantier. Fieldwire fournit une plate-forme de pointe pour la gestion des chantiers qui alimente plus d'un million de chantiers dans le monde. Fondée en 2013, Fieldwire a bâti une forte présence en Amérique du Nord et a réussi à s’étendre internationalement en Europe et en Asie-Pacifique tout en construisant des fonctionnalités spécifiques au marché qui permettent aux clients d'améliorer la productivité sur le terrain. L'entreprise basée à San Francisco aide actuellement des milliers de clients à mieux gérer leurs chantiers digitalement en proposant une solution logicielle fiable, facile à utiliser, dotée d'un large éventail de fonctionnalités et également indépendante des appareils. Elle est utilisée par des entreprises générales et aux sous-traitants et est connue pour son approche de la productivité axée sur le terrain." L'acquisition de Fieldwire va accélérer la capacité d'Hilti à offrir de la productivité à ses clients grâce à des solutions logicielles. Depuis que la digitalisation est devenue l'un des principaux moteurs de la productivité dans le secteur de la construction, Hilti a investi dans des solutions numériques destinées aux professionnels de la construction. Cette acquisition renforcera notre portefeuille de logiciels et constitue une étape logique vers notre vision de devenir le principal partenaire de digitalisation pour nos clients. Nous avons l'intention de continuer à investir dans la plateforme pour créer le prochain leader du marché des logiciels de gestion de projets de construction ", a déclaré Christoph Loos, CEO du groupe Hilti.Avec le soutien d'Hilti, l'équipe de Fieldwire va accélérer le travail de construction de la solution numérique préférée des professionnels de la construction sur le marché. Non seulement tous les membres actuels de l'équipe Fieldwire seront invités à rester chez Hilti Fieldwire sous la direction continue des deux fondateurs, Yves Frinault et Javed Singha, mais des efforts supplémentaires seront également déployés pour développer l'équipe de manière significative."Nous avons lancé Fieldwire pour aider les professionnels du bâtiment à donner plus de moyens à leurs équipes, à stimuler la productivité sur le terrain et à créer des entreprises plus fortes et plus rentables. Avec Hilti, nous avons trouvé un partenaire qui partage réellement nos valeurs et qui nous permet en même temps d'accélérer le développement de nos produits pour nos clients sur les marchés nouveaux et existants. Nous sommes ravis de rejoindre le Groupe Hilti", a déclaré Yves Frinault, cofondateur et CEO de Fieldwire.En 2017, Hilti a participé au tour de financement de série B de Fieldwire. Depuis lors, elle a fourni des conseils continus alors que l'entreprise se développait rapidement. En tant qu'investisseur précoce, Hilti a déjà une relation de travail solide avec Fieldwire, et ensemble, les entreprises peuvent maintenant faire tout leur possible pour rendre les chantiers de construction du monde entier plus simples et plus productifs. L'acquisition devrait être conclue au quatrième trimestre 2021 et est soumise aux conditions de clôture habituelles, y compris les approbations réglementaires.
Il y a 3 ans et 230 jours

La taxe d'aménagement pour les serres de jardin rendue optionnelle par les députés

L'Assemblée a adopté, à l'occasion de l'examen en première lecture du projet de budget 2022, une série d'amendements de tous bords, soutenus par la commission des Finances, pour permettre aux collectivités territoriales d'exonérer de taxe d'aménagement les serres de jardin personnelles dont la superficie est égale ou inférieure à 20 m2.Il est "important que les habitants puissent se diriger vers ce type de construction pour réduire les déchets, récolter les fruits et légumes de leur production" et encourager un "circuit court plus vertueux écologiquement", a souligné la députée LR Véronique Louwagie."C'est inciter à participer à l'autonomie alimentaire de la France", a même avancé la députée LREM des Hautes-Alpes Pascale Boyer."Les grandes serres étaient exonérées mais pas la petite serre familiale. Nous allons mettre un terme à cette anomalie", s'est félicité Marc Le Fur (LR).Les particuliers désireux d'instaurer une serre de jardin découvrent souvent avec surprise que cette installation est soumise au respect du droit des sols et au paiement d'une taxe parfois équivalente au prix de la serre.Cette dernière doit donc faire l'objet d'une déclaration préalable au-delà d'une superficie de 5m³ et 1,80 mètres de hauteur (dans la limite de 20m³), et donne lieu par conséquence au paiement d'une taxe d'aménagement au profit de la collectivité locale compétente.Les députés ont donné à celles-ci la possibilité d'exonérer ou non les particuliers de cette taxe, et donc de favoriser une politique incitative au développement de ces installations.
Il y a 3 ans et 230 jours

En Egypte, une "nouvelle capitale" pharaonique sort des sables du désert

Alternant avec des portraits du raïs, des panneaux le long de la route indiquent la "nouvelle capitale": des chantiers à perte de vue en plein désert à 25 kilomètres à peine du Fifth Settlement, l'un des derniers nés des faubourgs selects du Caire.En 2019, M. Sissi avait inauguré une vaste mosquée -- nommée "al-Fattah al-Alim", un des noms de Dieu dans l'islam, mais aussi le prénom du président -- et une cathédrale copte, copie conforme de sa jumelle inaugurée il y a plus d'un demi-siècle au Caire.Le Parlement, des ministères ou des quartiers -- chics pour lesquels les promoteurs démarchent depuis des mois les Cairotes par téléphone, ou à loyer modéré dessinés par le ministère du Logement -- sortent de terre.Des facultés, des hôpitaux et des écoles sont encore en construction alors que l'inauguration prévue le 30 juin a été repoussée, notamment à cause de l'épidémie de Covid-19.Cette date est symbolique pour le pouvoir car ce jour-là, il y a huit ans, une foule immense donnait "mandat" à l'armée contre le président islamiste d'alors, Mohamed Morsi, renversé peu après par le maréchal Abdel Fattah al-Sissi."Enigme"L'inauguration dont la nouvelle date reste inconnue actera selon M. Sissi la "nouvelle République" lancée à sa première élection en 2014.Peu après, il avait annoncé vouloir une nouvelle capitale, en lieu et place du Caire, cité tentaculaire de plus de 20 millions d'habitants à l'immense richesse architecturale, comme en témoigne la mosquée Ibn Touloun, vieille de plus d'un millénaire.Mais pour Galila el-Kadi, urbaniste de l'Institut de recherche pour le développement basé en France, cette nouvelle capitale ne vient pas concurrencer Le Caire, comme Brasilia a pu le faire avec Rio de Janeiro et Sao Paulo, mais prolonger un peu plus une mégalopole déjà engorgée.La stratégie derrière cette nouvelle capitale est "une énigme", estime cette professeure d'université: "Avant même d'être habitée, elle touche déjà Le Caire. Dans quelques années, elle va s'agrandir et sera complètement absorbée et cela ne fera qu'ajouter aux problèmes de gestion d'une forte concentration de population dans un espace encore plus grand".M. Sissi a déjà été à l'initiative de villes nouvelles, comme à Mansoura (nord) ou Assouan (sud), mais celle qui est appelée pour le moment "la nouvelle capitale administrative" est "le plus grand projet de l'Etat", indique à l'AFP Khaled al-Husseini, porte-parole de l'entreprise publique chargée de sa construction.Le site de 730 kilomètres carrés (l'équivalent de sept fois Paris) doit être construit en trois étapes, dont "la première couvre 250 km2 qui pourront accueillir deux millions d'Egyptiens", détaille M. Husseini.La ville "offrira une vie meilleure avec des équipements modernes et écologiques et des caméras de surveillance", assure-t-il, évoquant panneaux solaires et énergies renouvelables.Des fonctionnaires viendront y travailler dès décembre et ils seront 100.000 en tout "d'ici trois ans", assure M. Husseini. Pour eux, "il a fallu créer un réseau routier et prévoir des moyens de transport", dont un train monorail à près de quatre milliards d'euros pour relier la nouvelle capitale au Caire, connue pour ses embouteillages monstres.Une débauche de moyens qui en exaspère plus d'un alors qu'un tiers des 102 millions d'Egyptiens vivent sous le seuil de pauvreté."Où sont les priorités?""C'est une certaine vision de la modernisation" à l'occidentale, déplore le politologue Moustafa Kamal al-Sayyed, qui s'interroge: moderniser l'Egypte ne passerait-il pas plutôt par "garantir une éducation de qualité" dans un pays où l'analphabétisme touche près d'un habitant sur trois.Récemment, note-t-il, le ministère de l'Education disait "manquer de 250.000 instituteurs". "Où sont les priorités?".En Egypte, souligne Mme Kadi, depuis l'époque pharaonique la construction de nouvelles capitales a eu comme motivation "de séparer le souverain du peuple", rappelle-t-elle.Pour M. Sayyed, "tous les présidents de l'Egypte moderne ont voulu imprimer leur nom dans l'Histoire comme Gamal Abdel Nasser avec le Haut barrage d'Assouan"."M. Sissi veut que l'histoire le retienne comme celui qui a déplacé le centre du pouvoir", assure-t-il à l'AFP: "Et ce, pour toujours".
Il y a 3 ans et 230 jours

Bouygues annonce un chiffre d'affaires sur neuf mois "à son niveau d'avant-crise"

Le chiffre d'affaires s'est élevé à 27,5 milliards d'euros sur la période, contre 27,6 mds EUR sur les neuf premiers de mois de 2019. Il s'affiche en progression de 10% par rapport à 2020.Le chiffre d'affaires des activités de construction est de 20,6 milliards d'euros sur les neuf premiers mois 2021, en hausse de 9% sur un an et tiré par la France (+16% sur un an), mais reste inférieur au niveau de 2019 (-5%).Le résultat opérationnel courant a atteint 1,141 milliard d'euros, en hausse de 23 millions d'euros par rapport aux neuf premiers mois 2019, "grâce à l'amélioration de la profitabilité de TF1 et Colas, et à la hausse des volumes" et des revenus chez Bouygues Telecom.La marge opérationnelle courante retrouve ainsi son niveau de fin septembre 2019 à 4,1%.Le bénéfice net à fin septembre a quant à lui atteint 807 millions d'euros, contre 848 millions d'euros sur les neuf premiers mois de 2019 (-4,8%). Il intègre une contribution d'Alstom de 219 millions d'euros.Par rapport aux neuf premiers mois de 2020, où il s'était élevé à 283 M EUR, il s'envole en revanche de 185%.Le niveau élevé du carnet de commandes "offre une bonne visibilité sur l'activité future", assure Bouygues.Avec ces résultats "en forte amélioration sur un an", le groupe a confirmé ses perspectives pour 2021, soit un chiffre d'affaires et un résultat opérationnel courant "très proches du niveau de 2019" et une marge opérationnelle courante "à son niveau d'avant-crise".Dans le détail, sur les neuf mois premiers mois de 2021, la contribution de Bouygues Telecom au bénéfice net part du groupe s'est élevé à 325 millions d'euros. Sur le mobile, l'opérateur compte désormais 14,6 millions de clients abonnés.Bouygues vient d'annoncer le rachat d'Equans, entité de services techniques dans l'énergie d'Engie, pour 7,1 milliard d'euros (sur la base d'une valeur d'entreprise de 6,7 milliards d'euros).Ce rachat changera le visage du groupe puisque la nouvelle entité combinée deviendrait son premier métier en termes de chiffre d'affaires et de salariés. La finalisation est attendue au deuxième semestre 2022.
Il y a 3 ans et 230 jours

Franciaflex présente ses solution de pilotage des ouvertures de la maison

Un gain de confort sans grands travaux Développés en partenariat avec Delta Dore, leader français de l'électronique embarquée dans les systèmes d'alarme et de régulation de chauffage, le service Well'com® propose des scénarios multiples qui permettent aux produits de communiquer entre eux grâce à divers capteurs. Avec la nouvelle technologie sans fil X3D (protocole radio conçu par Delta Dore), l'offre de solutions de pilotage des équipements de la baie du programme Well'com® permet de moderniser facilement un logement sans grands travaux. Il suffit de relier les équipements filaires existants (éclairage, volets, stores, portes de garage…) à de simples micro-récepteurs pour les rendre pilotables à partir de l'ensemble des points de commande Wellcom®.L'utilisateur a alors toute la liberté de personnaliser son installation : nommer chaque produit ou groupe de produits et scénariser les actions aux heures désirées. Le système est évolutif, et peut s'adapter à de nouveaux besoins (un store qui vient d'être installé, une porte de garage que l'on souhaite désormais automatiser…). Les installations obéissent au doigt et à l'œil pour un confort optimiséUne solution qui participe activement à la sécurité du foyerCôté sécurité des personnes, en cas d'incendie, le détecteur de fumée autonome siffle et ouvre les volets pour préserver les issues et laisser entrer les secours. Concernant la sécurité des biens, les volets s'allient au système d'alarme en se fermant lorsque l'alarme est activée, s'ouvrant en cas d'intrusion pour exposer le cambrioleur à la vue des passants. Avec la technologie Well'com®, il est possible de :Visualiser sur sa télécommande si les ordres de fermetures envoyés sont bien exécutés,Superviser à distance les différents accès de la maison.Simuler une présence en programmant des ouvertures / fermetures des volets, idéal lorsque l'on part en week-end ou en vacances quelques temps.Avec Well'com®, Franciaflex contribue à réduire la facture énergétique de la maisonEn fonction des scenarios en mémoire, les capteurs d'ensoleillement et de température agissent sur l'installation pour déployer les stores avant la surchauffe ou baisser les volets en hiver pour éviter les déperditions de chaleur en interaction avec les consignes de chauffage. Ainsi, l'utilisateur fait des économies d'énergie en toute simplicité.Qwidi, le service connecté dédié aux installateursDans le déploiement de ces nouvelles technologies, Franciaflex a aussi pensé aux installateurs, en lançant « Qwidi » ! Ce service permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de maintenance des volets et protections solaires motorisés Well'Com depuis un smartphone ou une tablette. La mise en service de Qwidi s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play. Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth de manière sécurisée.
Il y a 3 ans et 231 jours

Après un repli au 3e trimestre, l’activité des matériaux de construction se maintient autour des niveaux de 2019

En effet, le léger rebond du mois de septembre suggère que l’atterrissage pourrait se poursuivre en douceur, les tendances ne s’éloignant guère des niveaux de production enregistrés avant le début de la pandémie. Au-delà des difficultés persistantes d’approvisionnement et des tensions sur les prix des matières premières, le climat des affaires reste très favorable dans le secteur du bâtiment et la demande ne faiblit pas. Du côté des travaux publics, l’activité a également marqué le pas au cours de l’été mais, en octobre, les professionnels se montrent plutôt confiants pour les mois à venir, même si un vrai rebond des prises de commandes se fait encore attendre.Septembre, meilleur que l’étéSelon les premiers résultats (provisoires) de l’enquête mensuelle de septembre, la production de matériaux aurait observé un rebond au regard du mois d’août (+1,1% pour les granulats et +6,5% pour le BPE, données CVS-CJO). Côté granulats, l’activité de septembre demeure toutefois un peu en dessous de celle de 2020 (-1,2%) mais aussi de 2019 (-1,4%). Sur les trois derniers mois connus (juillet à septembre), la production de granulats cède encore -3,1% au regard des trois mois précédents, “boostés” par la dynamique du premier semestre. Elle s’inscrit également en repli de -4% au regard de la même période de 2020, marquée par la sortie du premier confinement, et de -2,5% comparé aux trois mêmes mois de 2019. Au total, de janvier à septembre, l’activité des granulats se situe +13,3% au-dessus de ses niveaux d’il y a un an, mais reste proche de ceux de 2019 (-0,4%). Côté BPE, le rebond plus marqué a permis de ramener les volumes à leur niveau de septembre 2019 (+0,4%), les laissant toutefois encore un peu en-deçà de ceux de l’an dernier (-2,3%).Tout comme pour les granulats, la tendance sur les trois derniers mois demeure en repli au regard des trois mois précédents (-3,5%) mais aussi comparée aux trois mêmes mois de 2020 (-7,8%) en pleine reprise des chantiers en sortie de confinement. En cumul sur les neuf premiers mois de l’année, les livraisons de BPE se situent bien sûr nettement au-dessus de leur niveau de 2020 (+14,1%) sans trop s’éloigner de celui de 2019 (-0,9%). L’indicateur du marché des matériaux minéraux a observé le même repli d’activité au cours de l’été. En recul de -8,2% sur un an au troisième trimestre (données CJO), la tendance reste cependant très favorable puisque l’indicateur progresse de +12,5% sur les neuf premiers mois de 2021 par rapport à 2020, mais affiche aussi une hausse de +1,1% comparée à 2019.Bâtiment : les tensions persistentEn octobre, selon l’enquête menée par l’INSEE auprès des professionnels du bâtiment, le climat des affaires demeure favorable : bien qu’en léger retrait au regard des mois précédents, la confiance des chefs d’entreprise sur leur activité future se maintient bien au dessus de sa moyenne de long terme. Dans le gros œuvre, les carnets de commandes plafonnent à 9,7 mois, tandis que les tensions sont toujours aussi prégnantes. En effet, avec des capacités de production utilisées à un niveau quasi-maximal (93,1% contre 88% en moyenne sur longue période), plus de la moitié des entreprises du gros œuvre (58,9%) ne peuvent produire plus, et 71,8% d’entre elles éprouvent des difficultés à recruter. Dans le bâtiment, 15% des entreprises sont ainsi concernées par des difficultés d’approvisionnement (soit huit fois plus qu’en moyenne) et les difficultés d’offre affectent plus de la moitié d’entre elles. Cette situation impacte donc les délais de réalisation des chantiers ainsi que leurs coûts : en octobre, les chefs d’entreprise sont bien plus nombreux que les mois précédents à annoncer qu’ils vont augmenter leurs prix. Côté construction, il est vrai que l’activité reste soutenue dans le segment du résidentiel où les mises en chantier ont renoué avec leurs niveaux d’avant crise. A la fin septembre, en cumul sur douze mois, on dénombrait 387 600 logements commencés (387 800 à fin février 2020), avec une progression de +1,6% sur les trois derniers mois connus comparés aux trois mois précédents (CVSCJO), dont +0,8% pour l’individuel et +2,1% pour le collectif.Côté permis, les dépôts ont largement dépassé ceux précédant la pandémie avec un total de 464 000 unités sur douze mois à fin septembre (contre 458 200 à fin février 2020). La dynamique reste enclenchée puisque sur le troisième trimestre, les autorisations progressent encore de +1,3%, comparé au trimestre précédent, avec cette fois un segment de l’individuel plus vigoureux que le collectif (+2% et +0,8% respectivement). Il est vrai que le marché de l’individuel fait preuve d’une étonnante santé. Selon Markemétron, à fin septembre et sur douze mois, 140 300 maisons ont été vendues (+22,8% en glissement annuel), un volume bien supérieur à celui d’avant crise. Le bas niveau des taux d’intérêt, l’expérience du confinement et une offre de crédit bancaire adaptée au resserrement des critères d’octroi (apport, durée, etc.) ont soutenu la demande immobilière des ménages et primo-accédants. La perspective de la mise en œuvre de la RE2020 (dès 2022), couplée à une hausse des prix et de moins bonnes conditions de crédit qui se profilent, contribuent aussi à doper le marché. Ce contexte, conjugué aux récentes mesures inspirées du rapport Rebsamen et à la prolongation du Pinel et du PTZ annoncée début octobre, devrait inciter les promoteurs, acquéreurs privés et bailleurs sociaux à accélérer les demandes de permis, alimentant ainsi l’activité constructive pour 2022. En revanche, la construction non résidentielle demeure en retrait. La surface totale sur douze mois des locaux commencés à fin septembre atteint 25,2 millions de m², certes en hausse de +2% par rapport aux douze mois précédents, mais bien loin des niveaux d’avant crise (28,7 Mm² à fin février 2020). Même constat du côté des surfaces autorisées qui, avec 37,3 Mm² et une hausse de +4,8% sur la même période, se situent -9,3% en dessous des niveaux observés avant le premier confinement.Travaux publics : redressement graduel et tenduSelon les dernières enquêtes menées auprès des professionnels des travaux publics, l’activité aurait subi un net freinage au cours du troisième trimestre laissant le niveau des travaux réalisés bien en dessous de celui constaté au troisième trimestre 2019 (-12,4%, en volume CVS-CJO). En cumul sur les neuf mois de 2021, l’activité cède encore -2,9% par rapport à 2019 même si elle affiche une hausse de +13,5% au regard de 2020. Côté “prises de commandes”, le rebond se fait encore attendre. En septembre, les chefs d’entreprise se montrent plus optimistes sur leur activité future et jugent leurs carnets bien mieux garnis mais on est encore loin des niveaux d’avant crise tandis que, dans le même temps, les difficultés de recrutement et les coûts de production continuent de se tendre : 37% des entreprises sont confrontées à des besoins de main-d’œuvre et leurs coûts de production ont grimpé de +3,3% sur un an depuis janvier (indice TP01).