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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Immobilier - Logement

(62178 résultats)
Il y a 3 ans et 230 jours

Hilti acquiert une plateforme de gestion de chantier

ACQUISITION. Le spécialiste de l'outillage électroportatif, Hilti, a acquis Fieldwire, un acteur américain proposant une plateforme pour optimiser la gestion de chantier.
Il y a 3 ans et 230 jours

Saint-Gobain se densifie en Afrique et à Maurice

SITE DE PRODUCTION. Saint-Gobain se renforce en Afrique avec le rachat d'une usine de gypse au Kenya. Le groupe de matériaux de construction annonce aussi une acquisition à Maurice.
Il y a 3 ans et 230 jours

À thermes, un nouvel et plus grand appartement sans l’eau du bain ?

Quand il est question d’espace partagé, à part pour les colocations des jeunes, il s’agit le plus souvent d’une pièce d’appoint destinée à devenir chambre ou bureau ou quoi que ce soit d’autre, bref un endroit de passage, indistinct et non appropriable. Qui veut partager un tel espace ? Il s’agit plus rarement d’une salle de […] L’article À thermes, un nouvel et plus grand appartement sans l’eau du bain ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 230 jours

A Aubervillliers, la Maladrerie : miracle architectural en péril

Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), sa piscine olympique, ses nouvelles stations de métro, ses nouveaux logements au Fort, les belles promesses du Grand Paris, le vrai, celui qui fait rêver à coup de plaquettes de promoteur. Loin de ce tableau du bonheur, de l’autre côté des grands projets, la gestion du patrimoine immobilier de l’office HLM offre une […] L’article A Aubervillliers, la Maladrerie : miracle architectural en péril est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 230 jours

Les critères du futur dispositif "Pinel+" dévoilés, avec un accent sur le confort des logements

Le dispositif Pinel, lancé en 2014, permet aux propriétaires de logements neufs dans les zones tendues, c'est-à-dire là où la demande est forte, de bénéficier d'une réduction d'impôts s'ils mettent leur bien en location en respectant le plafonnement des loyers.Il devait expirer fin 2021 mais va finalement commencer à subir une réduction des avantages fiscaux en 2023, avant de disparaître totalement en 2024, a expliqué le ministère, après une conférence de presse de la ministre Emmanuelle Wargon.Le "Pinel plus" prendra la suite et commencera en 2023, selon de nouveaux critères plus exigeants sur la qualité du logement.La surface minimale du logement devra être de 28 mètres carrés pour un appartement d'une pièce, de 45 mètres carrés pour un deux-pièces, de 62 mètres carrés pour un trois-pièces, de 79 mètres carrés pour un quatre-pièces, tandis que le cinq-pièces devra mesurer au minimum 96 mètres carrés.Les logements devront aussi avoir "un accès systématique à un espace extérieur", a indiqué la ministre, et à partir du trois-pièces, l'appartement devra même être traversant.En plus des critères de confort, les logements devront également répondre à un critère de qualité environnementale.D'ici à 2024, "les taux actuels du Pinel seront maintenus pour les opérations portant, d'une part, sur des logements situés dans un quartier prioritaire de la politique de la ville et, d'autre part, sur des logements qui respectent un haut niveau de qualité", a précisé le ministère dans un communiqué.Dans le détail, si les propriétaires respectent les critères et s'engagent à demander un loyer inférieur au marché, le dispositif fiscal "Pinel plus" leur permet une réduction de leur impôt sur le revenu de 12% du prix d'acquisition du bien s'ils louent pendant 6 ans, de 18% pour une location pendant 9 ans et de 21% si la location dure 12 ans.
Il y a 3 ans et 230 jours

Adoption du pacte de Glasgow pour le climat à la COP26 : une dynamique à poursuivre

Cette COP était particulièrement importante car, comme le rappelle le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) publié en août 2021, le monde n'est pas sur la bonne voie pour rester en dessous des 2 °C voire 1,5 °C de réchauffement global par rapport à l'ère préindustrielle, objectif à long terme de l'Accord de Paris. Les deux semaines de négociations ont permis d'aboutir le 13 novembre à l'adoption du « Pacte de Glasgow pour le climat », permettant notamment de finaliser les règles d'application de l'Accord de Paris, mais ne répondant pas totalement aux ambitions qui étaient fixées.Le Pacte de Glasgow pour le Climat a permis d'aboutir sur plusieurs points importants qui étaient en discussion :Finalisation de l'Accord de Paris, le rendant pleinement opérationnel, six ans après son adoption, par des règles robustes :Adoption de l'article 6, qui prévoit des mécanismes autorisant les Parties à échanger des réductions d'émissions afin d'atteindre leur CDN, sans double-comptage ;Adoption du cadre de transparence renforcée (article 13) : les Parties devront désormais rapporter leurs émissions de gaz à effet de serre de la manière la plus détaillée possible et de façon comparable.Atténuation : le Pacte de Glasgow pour le climat demande aux Parties de rehausser leur ambition dès 2022 dès lors que leur contribution déterminée au niveau national ne serait pas dans la trajectoire de l'Accord de Paris. L'ensemble des contributions nationales seront désormais transmises au secrétariat des Nations-Unies, et feront l'objet d'un rapport de synthèse annuel.Adaptation : création d'un programme de travail 2022-2023 visant à la mise en œuvre de l'objectif mondial d'adaptation. Les pays développés s'engagent à doubler la finance pour l'adaptation d'ici 2025 par rapport au niveau de 2019.Biodiversité : la contribution des écosystèmes en tant que puits et réservoirs de gaz à effet de serre et l'importance de les protéger pour atteindre l'objectif des 1,5° sont ancrées dans les décisions. La France regrette néanmoins que les « Solutions fondées sur la nature », qui permettent d'agir sur la lutte contre le changement climatique ou la gestion des risques naturels grâce aux écosystèmes, n'apparaissent pas dans le texte.Pour la première fois dans un document de la Convention climat, la réduction des énergies fossiles est mentionnée dans la déclaration finale. Néanmoins, la France regrette que le terme "disparition progressive" du charbon ait été remplacé in extremis par "diminution progressive".Malgré des avancées sur les pertes et les préjudices (notamment l'adoption des fonctions du Réseau de Santiago, qui visent à faciliter la mise en œuvre de mesures de soutiens, et l'accès aux mesures d'assistance), les pays les plus vulnérables jugent celles-ci insuffisantes. De nouvelles discussions sont déjà à l'ordre du jour de la COP27.La France s'est également engagée dans plusieurs coalitions pour accélérer sa lutte contre le changement climatique :Fin des financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022La France a rejoint l'accord mettant fin aux financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022. Cette déclaration concerne à la fois l'aide publique française au développement bilatérale et les financements à l'export. Elle fait écho à la dynamique initiée par la France à travers la coalition internationale Export Finance for Future (E3F).La France a également rejoint la coalition internationale Beyond Oil and Gas (BOGA). En créant une communauté internationale de pratiques, cette alliance aide les Gouvernements à respecter leur engagement en faveur d'une élimination progressive de la production de pétrole et de gaz.Réduction des émissions de méthane de 30% par rapport à 2020 d'ici 2030Plus de 100 pays ont rejoint le Gobal Methane Pledge, lancé par les États-Unis et l'Union européenne en septembre 2021. Cet engagement mondial, qui vise à réduire les émissions de méthane (2e gaz à effet de serre, après le CO2) de 30 % d'ici à 2030, par rapport aux niveaux de 2020, est le premier en la matière. « Si on réduit de 30% les émissions de méthane, d'ici 2030, c'est comme si on se débarrassait de tous les bateaux, de tous les avions, de tous les camions qui sont sur terre, en termes d'émissions » a précisé John Kerry.Soutien financier à la transition énergétique en Afrique du SudL'Afrique du Sud, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union européenne ont annoncé le lancement d'un partenariat pour la transition énergétique juste en Afrique du Sud. L'Afrique du Sud s'engage à décarboner sa production d'électricité (fermeture des centrales à charbon) et à investir dans la mobilité électrique et l'hydrogène, tandis que les cinq partenaires promettent un soutien financier de 8,5 milliards de dollars sur les 3 à 5 prochaines années.Rehaussement de la contribution de la France pour la finance climat à hauteur de 7 milliards de dollars par anS'agissant de l'objectif des 100 milliards de dollars annuels pour les pays en développement, la France a rehaussé sa contribution à 7 milliards de dollars (6 Md€) par an, dont un tiers pour l'adaptation. Elle a aussi annoncé une contribution au Fonds pour les pays les moins avancés d'un montant de 20 millions d'euros.Soutien aux « Glasgow Breakthroughs » pour rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 203042 pays, dont la France, se sont engagés à soutenir les « Glasgow Breakthroughs » (avancées de Glasgow), visant à rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 2030. Les cinq secteurs d'activité les plus émissifs sont concernés : électricité, acier, hydrogène, véhicules, agriculture.Accélération des investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques vertsLe Royaume-Uni, l'Inde, la France, les États-Unis et l'Australie, en lien avec l'Alliance solaire internationale, ont lancé l'initiative Green Grids Initiative-One Sun One World One Grid afin d'accélérer les investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques verts.Arrêt de la déforestation et de la dégradation des terres d'ici 2030Une centaine de chefs d'États et de gouvernements ont adopté une déclaration sur les forêts et l'utilisation des terres. Les pays signataires, dont la France, s'engagent ainsi à stopper et inverser la déforestation et la dégradation des terres d'ici 2030. Un engagement financier collectif sur 2021-2025 de 12 milliards de dollars, le « Global Forest Finance Pledge », est publié (1 Md pour l'UE, 800 M pour la France).Parallèlement, 12 pays, dont la France, ont présenté un engagement pour la protection du bassin du Congo (2e forêt tropicale du monde) et ont annoncé un financement à hauteur de 1,5 milliards de dollars pour les 5 prochaines années.Réaffirmation du soutien à la Grande muraille verteLes chefs d'État et de Gouvernement de la Grande muraille verte ont réaffirmé leur soutien à l'initiative lancée lors du One Planet Summit de janvier 2021. Près de la moitié des 19 milliards de dollars promis pour la construction de la Grande muraille verte ont déjà été engagés.Troisième déclaration de l'initiative Because the Ocean pour accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime internationalL'initiative Because the Ocean (BTO), signée en 2015 à la COP21 par 23 pays, dont la France, a lancé sa troisième déclaration. Elle y réaffirme notamment que la protection de l'océan est indispensable à lutte contre le changement climatique et propose d'accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime international.Signature de la « Clydebank Declaration » pour soutenir la création de corridors verts entre deux portsLa France a signé la « Clydebank Declaration » visant à soutenir l'établissement de corridors verts (routes maritimes zéro émission) entre deux ports. Pour y parvenir, la déclaration s'appuie sur la collaboration internationale et la mise en place de partenariats entre les acteurs concernés : armateurs, ports, énergéticiens… L'objectif collectif des signataires est la mise en place d'au moins 6 corridors d'ici 2025.Ralliement à la coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale, pour réduire les émissions du secteur aérienLa France a rejoint la nouvelle coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale (International Aviation Climate Ambition Coalition) lancée le 10 novembre lors de la journée dédiée au transport, avec la signature d'une déclaration sur l'ambition climatique. Les signataires s'engagent notamment à promouvoir des mesures spécifiques pour réduire les émissions du secteur aérien (carburants durables, régime de compensation et de réduction de carbone pour l'aviation internationale, nouvelles technologies).Signature d'un appel à l'action sur les infrastructures de recharge pour véhicules électriques dans le but d'atteindre le zéro émission du transport routierLa France a signé le 10 novembre, avec d'autres États, des villes, régions, entreprises, un « Call to action » sur les infrastructures de recharge pour les véhicules électriques. S'inscrivant dans l'ambition commune d'atteindre le zéro émission du transport routier, cet Appel doit inciter les acteurs à déployer ces infrastructures.
Il y a 3 ans et 230 jours

La maison de l’individu, planche à billets verts ?

Il y a des sujets qui agacent, voire exaspèrent, au point d’altérer toute objectivité. La maison de « l’individu » en est un exemple. A l’inverse de celle que décrit Gaston Bachelard dans la Poétique de l’Espace, la maison de « l’individu » des temps nouveaux n’a ni cave, ni grenier. Y a-t-il même encore de la poésie […] L’article La maison de l’individu, planche à billets verts ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 230 jours

Un chèque-inflation que l’architecte ne touchera pas

Dubois s’interroge sur la pertinence du logement social pour tous. Ethel Hazel, sa psy, tente de faire la part de ses émotions professionnelles et personnelles. L’inspecteur Nutello n’est, pour une fois, pas malheureux de décrypter le tueur à l’œuvre ; en plus il a un corps. *** « L’Unité d’Habitation crée un phénomène social productif dans […] L’article Un chèque-inflation que l’architecte ne touchera pas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 230 jours

Sur neuf mois en 2021, Bouygues gagne des marges dans le bâtiment et la route

RÉSULTATS. Le major français vient de publier ses résultats du troisième trimestre 2021. Le groupe enregistre notamment une progression de ses marges dans les secteurs de la construction et de la route.
Il y a 3 ans et 230 jours

I-ROAD® : la nouveauté prêt-à-poser en béton armé autoportant en 3m d’un seul tenant

Après le succès du I-TRAX®, Hauraton France lance le dernier né de la gamme : le I-ROAD® doté d'une cornière enveloppante galvanisée en un seul tenant.Ce nouveau système XTREMFIX I-ROAD® vient compléter la gamme XTREMFIX par une solution autoportante en béton armé haute performance ultra-lisse et auto-plaçant (classe de charge maximale D400), assortie d'une armature métallique double nappe.Exclusivité : des caniveaux de 3 mètres d'un seul tenantConçu et fabriqué en France, ce système propose pour la première fois sur le marché une dimension de 3 mètres d'un seul tenant par un emboîtement à triple mâchoires, garantissant une bonne étanchéité.La présence des crochets artéon sur les côtés assurent une manutention rapide et sécurisée.Contrairement au type M, qui nécessite un cuvelage béton pour résister aux charges verticales et horizontales de service, ce nouveau type I ne nécessite ni fondation de pose ni épaulement béton.De même que le reste de la gamme, ce caniveau est circulable en phase chantier et répond aux normes EN1433, CE et PMR.Les avantages du type I autoportant – classe DCornière enveloppante galvanisée exclusive de 3m en un seul tenant et dotée d'un système anticorrosionCornières ancrées dans le béton par 14 points d'ancrageGrilles boulonnées sur cnx par vis M10 dans les douilles artéon pour une résistance optimale du produit et un assemblage pérenneSystème de levage exclusif par crochets artéonBéton armé BHP par armatures métalliques double-nappePose compatible avec le I-TRAX en F et I-ROAD en D
Il y a 3 ans et 230 jours

Coups de pouce pour l’éco-prêt à taux zéro

Un nouvel amendement propose plusieurs évolutions de l’éco-prêt à taux zéro afin d’accélérer la rénovation énergétique des bâtiments. Le dispositif est d’abord proprogé de deux ans soit jusqu’au 31 décembre…Cet article Coups de pouce pour l’éco-prêt à taux zéro est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 230 jours

Deltamod livre 1.700 m² de bureaux modulaires reconditionnés en Ile de France

L’objectif de ce projet était de mettre en place une capacité d’accueil dans les meilleurs délais, avec une forte valeur ajoutée quant aux besoins d’usage et une approche constructive responsable. 1.700 m² issus du reconditionnement de 2 bâtiments modulairesPrécurseur sur ce métier émergent du réemploi immobilier, l’entreprise nantaise Deltamod, spécialiste du rachat, reconditionnement et transfert de bâtiments hors-site modulaire en France depuis 2013, s’appuie sur sa nouvelle usine de 3.000m², unique en France, parce que conçue et dédiée au reconditionnement de constructions industrialisées, et les 30.000 m² de surface de stockage pour accueillir des bâtiments modulaires disponibles afin de répondre immédiatement aux demandes des clients mais pas seulement.DELTAMOD assure un "sourcing" permanent des opportunités et disponibilités de bâtiments modulaires inexploités afin de proposer des solutions de valorisation à toutes les parties prenantes. C’est le cas de ce projet de reconditionnement pour lequel Deltamod a recensé 2 bâtiments modulaires disponibles auprès de deux grandes entreprises françaises, PSA (Peugeot, Citroën) et SANOFI."Ce projet reflète l’excellence et le savoir-faire de notre entreprise." évoque Pierre VISONNEAU, Directeur général de Deltamod, sourcing, valorisation, transformation autour de process constructifs hors site et une approche globale bas carbone. "Nous avons créé un seul et même bâtiment de 1 700 m² de surfaces à partir de 2 structures existantes que nous avons reconditionné sur site pour une grande partie intégrant toute la gestion de maîtrise d’ouvrage dans le but de répondre au nouvel usage de notre client. Nous avons ainsi diminué les coûts d’installation ainsi que l’impact carbone sans oublier le temps d’installation réduit à son maximum par rapport à du neuf" ajoute Pierre Visonneau.1.700 m² transférés, reconditionnés, achevés en 10 moisDeltamod a ainsi transféré du groupe PSA Sochaux (25), 1.270 m² de bureaux jusque-là utilisés au développement de la marque Citroën DS sur le nouveau site pour engager le reconditionnement et le nouvel agencement sous la direction des équipes Deltamod et l’assistance de partenaires/prestataires.En ce qui concerne les 430 m² suivants, Deltamod s’est tournée vers SANOFI (60) qui n’avait plus l’usage d’un bâtiment administratif. Ce programme a été entièrement "retrofité" dans l’usine de reconditionnement Deltamod avant de rejoindre le site final pour compléter les besoins en un seul corps.Résultat, deux sources distinctes mais un seul bâtiment final avec un niveau de finitions intérieures proche d’une opération neuve, sur 3 niveaux (R+2) en un temps record de 5 mois pour la partie opérationnelle et de 10 mois intégrant la période d’étude.L'économie circulaire et le hors-site ouvrent le champ des possiblesLes enjeux environnementaux font du réemploi une priorité et permet le développement d’un nouveau modèle, plus économique, plus vertueux parce que plus sobre. Le choix d’utiliser le reconditionné devient une marque d’engagement autant que d’être une opportunité économique. Il gagne désormais tous les secteurs d’activité (téléphonie, automobile) et la construction hors-site ouvre aussi le secteur immobilier et de la construction à ce potentiel.Tout le potentiel du réemploi immobilierUn bénéfice environnementalLes systèmes constructifs hors site ont la même durée de vie qu’une construction traditionnelle, c’est à dire environ 50 ans. Les systèmes modulaires parce qu’assemblables, démontables, transférables et transformables, représentent un potentiel unique de réemploi et d’économie de ressources naturelles. Modernisables, réalisés à partir de matériaux recyclables, ils accompagnent aussi l’approche bas carbone en devenant, comme toute construction, de moins en moins énergivore.A qualité égale, la construction hors-site est toujours plus rapideEn combinant les atouts de la construction hors site modulaire et le reconditionnement de cette typologie constructive, on arrive à des délais de mise en œuvre incomparables quand la réactivité devient clé.Économiser du temps, de l’argent et préserver l’avenirA usage comparable, la réponse constructive hors-site devient plus compétitive grâce à l’économie d’échelle industrielle et au gain de temps. Dans le secteur modulaire, la logique de réemploi accélère encore le champ des possibles et des délais ! Sans compter le bénéfice économique en valorisant une structure existante et l’économie environnementale par la préservation de ressources naturelles (matériaux de construction). Avec une durée de vie structurelle de 50 ans en moyenne, c’est 50 ans de valorisation immobilière possible parce que modifiable, optimisable, transformable.Deltamod, l'industrialisation d'un nouveau service immobilierA cette échelle programmatique et au regard des normes constructives en vigueur, Deltamod propose une solution globale à partir d’une organisation et des moyens industriels en phase. Ingénierie et transfert sont gérés par le bureau d’études intégré et le service logistique. La capacité à reconditionner près de 400 m² dans une unité industrielle dédiée montre la pertinence de l’offre technique et industrielle de Deltamod. C’est la prestation complète du projet qui apporte la cohérence finale à la solution de réemploi de la société Deltamod.Une gestion globale pour une maîtrise technique, économique et calendaireDeltamod assure la totalité des opérations du projet, du terrassement en passant par le transport jusqu’à la mise en service final des bâtiments reconditionnés sur-mesure."Maîtriser la chaîne globale du réemploi est notre force. Référent sur ce marché depuis 2013, nous avons bâti des relations de confiance avec des prestataires sur tous les domaines périphériques au reconditionnement du bâtiment modulaire hors-site. Nous sommes l’interlocuteur principal de notre client et nous gérons l’ensemble du chantier et des corps d’état nécessaires. Expertise, réactivité, maitrise, économie et développement durable sont donc au rendez-vous" conclut Pierre Visonneau.Des bâtiments modulaires réutilisés dans 6 ansSi l’utilisation du bâtiment modulaire est actée par notre client pour une durée de 6 ans, la vie du programme immobilier perdure… En effet, il est fort à parier que ces 1.700 m² de bureaux reconditionnés et modernisés seront disponibles à un nouvel usage sur un nouveau site, grâce à l’offre Deltamod.
Il y a 3 ans et 230 jours

Menuiseries vitrées coupe-feu pour un complexe de 65 000 m2

Implanté dans la commune de Saint-Ouen, le campus Stories offre un nouveau complexe de bureaux sur une surface totale de 65 000 m² répartie en 7 niveaux. L’agence d’architecture Chartier Dalix a pensé un établissement flexible qui pourra être décomposé de plusieurs façons : les quatre bâtiments pourront être utilisés de manière indépendante ou fonctionner en un ensemble vaste et polyvalent. En collaboration avec sa société soeur PYROMETAL, spécialisée dans la mise en oeuvre des produits de compartimentage incendie, VD-Industry a fabriqué de nombreuses menuiseries vitrées coupe-feu et pare-flamme : des portes deux vantaux E30 (pare-flamme 30 minutes), des cloisons EI60 (coupe-feu 60 minutes) ainsi que des murs-rideaux EI60. Ces produits ont été conçus avec des profilés en acier et appartiennent à la gamme PYROTEK.  
Il y a 3 ans et 230 jours

Sika achète le groupe allemand MBCC

Le chimiste du bâtiment suisse se renforce avec l’acquisition pour 5,2 Md€ de l’ancienne division de BASF spécialisée dans les systèmes et additifs pour la construction.
Il y a 3 ans et 230 jours

Engie et Credit Agricole Assurances rachètent Eolia Renovables en Espagne

Le groupe d'assurances et le gazier français ont acquis "97,33% des parts d'Eolia Renovables" auprès du fonds canadien Alberta Investment Management Corportation", indique un communiqué.Les actifs opérationnels seront détenus à 60% par Credit Agricole Assurances et à 40% par Engie qui sera chargé de "développer et construire" un "pipeline de projets".L'opération permettra à Engie, en pleine transition vers les énergies vertes, de "réaliser son objectif de 50 GW de capacités renouvelables d'ici 2025", indique le communiqué.En 2020, Engie avait déjà investi dans les renouvelables dans la péninsule ibérique en acquérant un portefeuille hydroélectrique de 1,7 GW au Portugal auprès d'EDP.L'ancien monopole de service public vient par ailleurs de réaliser une opération géante en France, en se délestant de 40% de son activité auprès du groupe Bouygues qui lui a racheté sa filiale de services Equans pour 7,1 milliards d'euros. Ce qui lui laisse un pactole pour investir dans les énergies vertes, ses nouvelles priorités.L'acquisition d'Eolia Renovables permettra à Engie "de soutenir l'Espagne dans la poursuite de ses objectifs ambitieux en matière d'énergies renouvelables et de décarbonation", a salué la directrice générale d'Engie Catherine MacGregor, citée dans le communiqué.Le plan national énergie-climat espagnol, "l'un des plus ambitieux en Europe, vise une consommation d'énergie renouvelable de 32% d'ici à 2030 (contre 20% en 2020), la mise en service de 55 GW de capacités renouvelables supplémentaires et la décarbonation de l'ensemble du secteur de l'électricité d'ici 2050", précise Engie."Cette acquisition constitue une nouvelle étape dans notre engagement dans la lutte contre le changement climatique", a pour sa part noté Philippe Dumont, directeur général de Credit Agricole Assurances."Il contribue en outre à la réalisation de notre objectif, qui est de doubler nos investissements dans les énergies renouvelables pour atteindre une capacité installée de 11 GW à horizon 2025", a-t-il ajouté. Soit la consommation énergétique moyenne de quatre millions de foyers par an.La finalisation de l'opération devrait avoir lieu "dans le courant du premier trimestre 2022", sous réserve de l'obtention des autorisations nécessaires, y compris des autorités compétentes en matière de concurrence.A la Bourse de Paris, le titre Engie gagnait 2,24% jeudi matin à 13,4 euros. Celui de Credit Agricole SA gagnait 0,9% à 12,9 euros sur un marché stable (+0,1%).
Il y a 3 ans et 231 jours

Higher Roch, la nouvelle folie architecturale de Montpellier se dévoile

DIAPORAMA. Culminant à 57 mètres de haut, la tour de logements Higher Roch s'élance dans le ciel montpelliérain. Imaginée par l'agence Brenac et Gonzales & associés, elle se distingue par ses formes ondulantes, incarnant la nouvelle folie architecturale de la ville.
Il y a 3 ans et 231 jours

Téléphérique à Lyon : trois mois de concertation lancés dans un climat tendu

PROJET. Dans le cadre de la construction d'un téléphérique reliant la commune de Francheville à Lyon, une campagne de concertation a été lancée pour trois mois. Celle-ci intervient dans un climat tendu puisque le projet est loin de faire l'unanimité.
Il y a 3 ans et 231 jours

Emmanuelle Wargon annonce le renforcement du dispositif "louer abordable"

"Soit vous louez au prix du marché, soit vous décidez de louer en dessous des prix du marché et, là, c'est bien s'il y a une aide qui compense cet effort", a expliqué la ministre.En clair, le propriétaire aurait "une réduction d'impôt" qui serait de 15% s'il accepte de louer 15% en dessous des prix du marché, et de 35% s'il loue 30% en dessous des prix du marché, ce qui peut représenter un gain que la ministre estime "entre un demi mois et deux mois de loyer en net".Le dispositif "louer abordable", lancé en février 2017 par Emmanuelle Cosse, l'ancienne ministre du Logement, permet déjà aux propriétaires de bénéficier d'une exonération fiscale lorsqu'ils louent en dessous des prix du marché, mais la ministre actuelle juge ce dispositif trop complexe et veut le "simplifier et l'améliorer"."Avant, le loyer était en fonction de zones. Là, c'est beaucoup plus simple, vous prenez les loyers du marché" dans la commune du logement.La version de 2017 prévoyait une déduction minimale de 30% du montant des loyers perçus dans les zones tendues, ce qui représentait 2.274 communes réparties en trois zones: 77 dans la zone A bis (Paris et petite couronne), 650 dans la zone A (grande couronne parisienne, Côte-d'Azur, Aix-Marseille, Montpellier, Lille, Lyon) et 1.547 dans la zone B1 (autres agglomérations).La dernière zone, B2, compte 3.900 autres communes "tendues", où les propriétaires peuvent déduire au moins 15% de leurs revenus locatifs.Le ministère évalue le nombre de logements vacants à 1,1 million, dont 300.000 dans les zones tendues", c'est-à-dire les zones en forte demande, a précisé le ministère à l'AFP.Plusieurs annonces de la ministre sont attendues ce lundi dans le cadre du volet logement du Projet de loi de finances 2022.
Il y a 3 ans et 231 jours

Les agents immobiliers notent un afflux de passoires énergétiques sur le marché

IMMOBILIER. Alors que la loi Climat et résilience interdit la mise en location des logements étiquetés G dès 2025, F dès 2028 et E en 2034, SeLoger alerte sur "un phénomène qui prend de l'ampleur" : la forte augmentation, sur un an, des mises en vente de ces logements.
Il y a 3 ans et 231 jours

Le dispositif "Pinel +" sera réservé aux maîtres d'ouvrage qui anticipent la RE2020

ANNONCE. La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, vient d'annoncer l'ensemble des conditions environnementales qu'un maître d'ouvrage devra respecter pour bénéficier du dispositif "Pinel+".
Il y a 3 ans et 231 jours

Avec le rachat de MBCC, Sika réalise une de ses plus importantes acquisitions

RACHAT. Sika annonce l'acquisition de MBCC Group, l'ancienne branche de chimie de construction du groupe allemand BASF. Montant total de l'opération : 5,2 milliards d'euros.
Il y a 3 ans et 231 jours

PAC, isolation des combles... quels sont les travaux les plus efficaces pour réduire les émissions de CO2

Cette étude révèle que, si tous les travaux de rénovation énergétique conduisent à une réduction des émissions de CO2, l'installation d'une pompe à chaleur en remplacement d'un système de chauffage polluant et l'isolation des combles dans les logements chauffés aux énergies fossiles sont les plus efficaces écologiquement. Frédéric Utzmann, président d’Effy : « La rénovation énergétique des logements constitue aujourd’hui un levier essentiel pour atteindre l’objectif de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030. On le sait, les logements peu performants, en particulier les passoires thermiques, sont à l’origine d’une grande quantité d’émissions de carbone. Ces émissions peuvent être facilement et significativement réduites grâce aux travaux de rénovation énergétique que sont par exemple le remplacement d’un système de chauffage polluant ou bien encore l’isolation des combles dans les logements chauffés aux énergies fossiles. » Travaux de remplacement d’un système de chauffage polluant : la pompe à chaleur n°1 pour réduire les émissions de carboneParmi les chantiers de remplacement d’un système de chauffage polluant, c’est l’installation d’une pompe à chaleur qui permet de réduire le plus efficacement les émissions de CO2.C’est en particulier l’installation d’une pompe à chaleur en remplacement d’une chaudière fioul qui entraîne la plus importante réduction des émissions : 65 tCO2eq évitées sur 17 ans (durée de vie estimée des équipements de chauffage). Le remplacement d’une chaudière fioul par une chaudière à condensation permet quant à lui d’en éviter 38. Travaux d’isolation : l’isolation des combles est la plus efficace pour réduire son empreinte carboneDans une maison non isolée, les travaux d’isolation des combles sont les plus efficaces pour réduire les émissions de carbone, suivi par l’isolation des murs, des fenêtres et des sols.Dans le cas d’un logement chauffé au fioul par exemple, l’isolation des combles permet d’éviter 108 tonnes équivalent CO2 (tCO2eq) sur 50 ans (durée de vie des isolants). L’isolation des murs permets d’en éviter 97, l’isolation des fenêtres 39 et l’isolation des sols 24. Les travaux d’isolation des combles qui ciblent les logements chauffés au gaz naturel ou fioul génèrent les plus grandes quantités d’émissions évitées.
Il y a 3 ans et 231 jours

L'Assemblée consolide l'éco-prêt à taux zéro pour financer les travaux de rénovation énergétique

Lors de l'examen en première lecture du budget 2022, les députés ont voté un amendement d'Anthony Cellier (LREM) qui prévoit de prolonger "l'éco-PTZ" jusqu'à fin 2023. Il rehausse le plafond de ce prêt pour "un bouquet de travaux à hauteur de 50.000 euros", au lieu de 30.000 euros actuellement.La durée de remboursement est aussi étendue à 20 ans si nécessaire, contre 15 actuellement.À partir du 1er juillet 2022, le "cumul des aides à la rénovation énergétique sera simplifié", notamment entre cet éco-prêt et le "dispositif MaPrimeRénov'", ajoute Anthony Cellier.L'éco-PTZ est un prêt bancaire dont les intérêts sont pris en charge par l'État afin d'aider les ménages à effectuer les travaux de rénovation énergétique de leurs logements.L'amendement a été soutenu par des députés de différents bords. A droite, Thibault Bazin (LR) a estimé que cet outil a "prouvé son efficacité".
Il y a 3 ans et 231 jours

Reprise limitée dans le secteur des travaux publics, selon leur fédération

Le secteur devrait observer une hausse de son activité d'environ 10% par rapport à l'année 2020, a indiqué mercredi à des journalistes le président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) Bruno Cavagné.Mais le volume "plutôt bas" des appels d'offre ne permettra pas de retrouver le niveau de 2019 (-4% attendu). "Les entrepreneurs sont plutôt confiants pour 2022", tempère M. Cavagné, même si la fédération souhaiterait un allongement de la durée de remboursement des prêts garantis par l'Etat (PGE) de 6 à 10 ans dans l'idéal afin de les laisser respirer.Entre janvier et octobre, le nombre d'appels d'offre marché publics était inférieur de 20% à celui de la moyenne des trois années ayant précédé la crise, à 33.339 contre près de 42.000 en moyenne auparavant. Avec une baisse de près de 30% au niveau des communes, qui représentent plus de 40% du volume d'appels, selon les données de la fédération.Comme beaucoup d'autres secteurs, les travaux publics sont durement touchés par les tensions sur les prix des matières premières avec un manque de visibilité et parfois, selon M. Cavagné, des "effets d'aubaine" du côté des fournisseurs, face à des entrepreneurs, en particulier les plus petits, qui ont "très peu de marge de manoeuvre".Les pénuries de main d'oeuvre, déjà conséquentes avant la crise avec 200.000 emplois à pourvoir sur cinq ans, se sont accentuées avec le Covid-19 et près de 40% des entreprises interrogées par la fédération disent ne pas pouvoir observer une croissance de leur activité "faute de personnel".La fédération a également présenté mercredi la première étape de ses travaux sur l'empreinte écologique du secteur. Selon des estimations du cabinet de conseil Carbone 4 mandaté par la FNTP, la construction d'infrastructures représente 3,5% des émissions de CO³ en France tandis que l'usage de ces infrastructures représente la moitié des émissions françaises.Si la transition écologique représente une "opportunité" pour le secteur selon M. Cavagné, avec un objectif de réduction de 40% des émissions d'ici à 2030 en agissant à la fois sur le volet énergétique et celui des matériaux, le gros du travail reste à faire et le besoin de formation des entreprises mais aussi des collectivité est "colossal".
Il y a 3 ans et 231 jours

Kebony récolte 30 millions d’euros à l’occasion d’une levée de fonds menée par Jolt Capital et Lightrock

Le secteur du bâtiment est en plein bouleversement : il se voit contraint de trouver de meilleurs matériaux, plus verts et plus sûrs, à substituer aux matériaux de construction classiques que sont le béton et l’acier, d’importants émetteurs de CO2 à l’échelle mondiale. On s’attend par ailleurs à ce que l’énorme marché actuel des bois tropicaux cède sa place, à terme, au bois amélioré, afin de protéger la biodiversité et de combattre la déforestation tropicale.La technologie Kebony® transforme de façon permanente des essences durables, comme le pin, en bois Kebony aux propriétés comparables (voire, dans certains cas, supérieures) à celles des bois tropicaux, durs et précieux. Ce processus unique et respectueux de l’environnement est également une meilleure alternative aux méthodes traditionnelles de traitement du bois, qui font appel à l’imprégnation à l’aide d’agents de protection du bois.En première ligne de cette levée de fonds, d’un montant de 30 millions d’euros, se trouvent Jolt Capital et Lightrock, qui rejoignent les actionnaires de longue date de Kebony et sont désormais représentés à son conseil d’administration. Cette injection de capital va permettre de stimuler et de développer les projets de croissance de Kebony sur ses principaux marchés que sont l’Europe et les États-Unis. Grâce aux fonds levés, Kebony va pouvoir continuer à se développer sur un marché de 3 milliards d’euros, et tirer profit des tendances lourdes de fond propices à la fabrication de matériaux durables pour les secteurs de la construction résidentielle et non résidentielle.« Kebony produit le bois le plus esthétique et le plus écologique du marché : un bois d‘une qualité exceptionnelle, respectueux de l’environnement et abordable. Afin d’exploiter tout le potentiel qu’offrent les technologies du bois amélioré, nous sommes fiers d’annoncer que Kebony compte désormais Jolt Capital et Lightrock parmi ses investisseurs », a déclaré Norman Willemsen, PDG de Kebony.« Jolt Capital s’intéresse fortement aux entreprises utilisant la science des matériaux et qui tirent profit de leurs technologies brevetées pour concevoir des produits durables. Kebony est de cette trempe, avec plus de 20 ans de R&D dans les technologies du bois à son actif, et un processus éprouvé qui confère aux bois tendres cultivés les propriétés qui font le succès des bois tropicaux durs. Nous sommes ravis de financer le développement de ses sites de production en Europe, afin de soutenir sa croissance vigoureuse et de proposer une alternative à la déforestation des forêts tropicales », affirme Antoine Trannoy, Managing Partner chez Jolt Capital.« Kebony occupe une place de choix dans la course à la décarbonation de notre monde, et ambitionne de devenir le numéro 1 des technologies de modification du bois. Il nous tarde d’aider l’entreprise à mettre en œuvre sa stratégie de croissance, à passer à une échelle opérationnelle supérieure et fort prometteuse, et à poursuivre sa solide trajectoire de croissance », a déclaré Kevin Bone, Partner chez Lightrock.« La transformation de l’entreprise, menée à bien par la nouvelle équipe de direction, est une réussite. Grâce au soutien de nos nouveaux investisseurs de haut vol, Kebony va jouir d‘une meilleure flexibilité financière et ainsi pouvoir accélérer sa croissance, consolider sa feuille de route de développement technologique et envisager de nouvelles acquisitions. L’arrivée de Didier Roux et de Rebekah Braswell au conseil d’administration va renforcer la capacité d’expansion et la scalabilité de Kebony. Si l’on y ajoute la proposition de vente unique de la société et sa croissance à deux chiffres, tous les ingrédients nous semblent réunis pour que Kebony libère le plein potentiel du bois durable et amélioré », estime Cornelius Walter, fraîchement nommé président du conseil d’administration.« Kebony a vu ses recettes croître de 23% au premier semestre 2021 par rapport au premier semestre 2020, avec un très bon excédent brut d’exploitation. Le chiffre d’affaires avait déjà connu une croissance de 26% par rapport à l’année précédente, accompagnée d’une amélioration de l’EBE et portée par la stratégie d’expansion géographique de la société sur les marchés clés. Grâce à ce placement privé, Kebony va considérablement gagner en souplesse financière, et va pouvoir donner un coup de fouet à sa stratégie de croissance », affirme Thomas Vanholme, directeur financier de Kebony.
Il y a 3 ans et 231 jours

Strasbourg : le futur quartier Archipel 2 a été revu

Initialement prévu pour accueillir des bureaux, le projet donne à présent la priorité aux logements sociaux.
Il y a 3 ans et 232 jours

Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre

Le projet I-LOOP coordonné par ISOVER France a reçu le financement du programme LIFE de l’Union Européenne. En France, la quantité de déchets de laine de verre produits sur les chantiers devrait doubler d’ici 2030. Dans les années 1970/1980 elle atteignait environ 150 000 tonnes par an. Ce projet vise à réduire de manière significative les déchets de construction et de démolition en développant et mettant en oeuvre une nouvelle technologie de recyclage de la laine de verre. Le projet va permettre de démontrer la faisabilité technique du recyclage de grandes quantités de déchets de laine de verre. L’industriel prévoit une capacité de recyclage de plus de 20 000 tonnes d’ici 2030 tout en réduisant la consommation d’énergie et les émissions de CO2.
Il y a 3 ans et 232 jours

Saint-Gobain se renforce en Afrique

Avec l'acquisition d'une usine de gypse au Kenya et une prise de participation majoritaire dans une entreprise mauricienne de chimie de la construction, Saint-Gobain porte son empreinte industrielle en Afrique à 12 pays et 29 sites industriels.
Il y a 3 ans et 232 jours

Airbnb soutient le patrimoine

Airbnb souhaite soutenir la cause de la protection du patrimoine en France à travers une importante opération de mécénat au bénéfice de la Fondation du patrimoine. Avec une donation de 5,6 millions d’euros, la plateforme de location de meublés touristiques est devenu le principal mécène du programme « Patrimoine et Tourisme local » de la Fondation du patrimoine. Ce programme permettra de soutenir des projets publics, associatifs ou privés de rénovation, de préservation ou de sauvetage d’édifices ou de biens d’intérêt patrimonial, intéressants pour le tourisme local et la mise en valeur du patrimoine architectural, culturel, naturel ou historique des territoires. Il soutiendra jusqu’à 200 projets, dont une majorité de projets privés, monuments historiques ou ayant reçu le label de la Fondation du patrimoine. La Fondation du patrimoine décidera de la sélection des projets et des fonds qui leur seront attribués.
Il y a 3 ans et 232 jours

Les professionnels du bâtiment qui construisent, rénovent et entretiennent

Vous avez un projet de construction ? Vous souhaitez rénovez votre maison ou votre appartement ? Vous avez un problème de plomberie ? Dans ces cas, vous ferez sans doute appels à des professionnels du bâtiment. Ces derniers détiennent un véritable savoir-faire et des outils professionnels pour répondre à vos diverses demandes. Vous avez envie d’en savoir davantage sur ces professions ? Découvrez sans plus attendre plus de détails sur le sujet ! Des professionnels spécialisés sur un ou plusieurs métiers Les professionnels du bâtiment sont généralement spécialisés sur un métier. Toutefois, ils peuvent aussi exercer différentes activités en même temps. Par exemple, ils peuvent proposer en même temps des services en plomberie, serrurerie, peinture ou encore électricité. Certains pourront être de vrais généralistes en étant capable de réaliser votre carrelage, de peindre vos murs ou encore d’installer une porte coulissante. Des artisans outillés Intervenir dans le bâtiment nécessite certains outils et équipements. Ainsi, ces professionnels disposent généralement le matériel adapté par rapport aux services offerts. Par exemple, un plombier va posséder un furet pour effectuer les débouchages, différentes clés, un coupe-tube, un niveau à pente, etc. De la même manière, les professionnels des autres secteurs vont disposer d’un matériel performant, leur permettant de produire un travail rapide et de qualité. Une grande expertise Au-delà du matériel, les professionnels du bâtiment détiennent surtout une solide expertise dans leur domaine. En l’occurrence, construire une maison ou rénover un logement nécessite de solides compétences. C’est la même chose pour changer une serrure ou encore installer un nouveau robinet : cela exige un certain savoir-faire. Et justement, ces professionnels ont généralement une grande expérience sur leur métier. Ainsi, vous pouvez être certain d’obtenir un résultat à la hauteur de vos attentes. Pourquoi faire appel à de tels professionnels ? Plusieurs raisons peuvent vous pousser à faire appel à de tels professionnels. Tout d’abord, cela sera obligatoire si vous n’avez pas les compétences pour effectuer le travail. Vous devez changer une serrure, poser du carrelage ou encore peindre votre logement ? Si vous n’avez aucun savoir-faire dans le domaine, mieux vaut donc engager un professionnel du secteur. Ensuite, même si vous savez effectuer le travail, engager des professionnels peut tout simplement vous faire gagner du temps. En effet, peindre votre appartement, poser du carrelage ou effectuer d’autres travaux nécessite un temps considérable. Or, vous n’avez peut-être pas envie de vous occuper de ça une fois votre journée terminée ou le week-end. Si vous préférez passer du temps avec votre famille ou vous détendre, il est donc intéressant de solliciter un professionnel du bâtiment. En parallèle, faire appel à un tel professionnel vous évite d’avoir à investir dans du matériel, qui pourrait vous servir une seule fois. In fine, cela pourrait même s’avérer plus économique. En effet, le matériel nécessaire peut s’avérer relativement cher. Ainsi, pour éviter ce type de dépense, il est préférable d’engager un spécialiste du domaine. Et pour finir, ce choix vous assure un résultat irréprochable. Grâce à leurs compétences, les professionnels du bâtiment pourront sans doute travailler mieux que vous et plus vite.
Il y a 3 ans et 232 jours

Paris-2024, métro du Grand Paris : la Seine-Saint-Denis en chantier

"La Seine-Saint-Denis va être en chantier dans les dix années qui viennent", glissait récemment à la presse Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil départemental.Les travaux de gros oeuvre ont déjà démarré tambour battant sur plusieurs sites.Dans le secteur de l'immense tour Pleyel à Saint-Denis, elle-même en cours de réhabilitation pour devenir un hôtel haut de gamme, des dizaines de grues zèbrent le ciel.A quelques encablures, pelleteuses et camions s'affairent dans la fourmilière du chantier de la gare Saint-Denis-Pleyel, future plus grosse gare du Grand Paris Express. Elle devrait voir défiler environ 250.000 voyageurs par jour via quatre lignes de métro (opérationnelles entre 2024 et 2030), et d'autres connexions.A ses pieds apparaissent les prémices du franchissement urbain, une enjambée de béton longue de 300 mètres par-dessus les 42 voies du faisceau ferroviaire, conçue pour relier, par les mobilités douces, la gare à un quartier proche du Stade de France.Non loin de ces chantiers liés au transport, des projets-phares des Jeux olympiques de Paris-2024 prennent forme.Quelque 4.000 personnes s'affairent sur celui du village des athlètes, à cheval sur Saint-Ouen, l'Ile-Saint-Denis et Saint-Denis, non sans susciter des nuisances dénoncées par les riverains. A Saint-Denis, le terrain du futur centre aquatique olympique, seul équipement sportif construit pour les Jeux, est en phase de dépollution.Sur les plus de 1,5 milliard d'euros d'investissements publics nécessaires aux JO, "près de 80%" sont situées en Seine-Saint-Denis, "car les Jeux ont été avant tout pensés en termes d'héritage territorial pour les populations qui en avaient le plus besoin", a souligné le Premier ministre Jean Castex en septembre."Désenclaver des villes"Les JO doivent également se traduire par d'autres constructions comme des piscines et le village des médias à Dugny, convert après la compétition en 1.300 logements dont 20% de logements sociaux. Ces projets font toutefois l'objet de contestations locales voire d'actions en justice.Ces travaux sont "liés à une forme de rattrapage en termes de construction de logements" pour répondre aux besoins de la population, souligne Paul Lecroart, urbaniste à l'Institut Paris Région.Le métro va également "désenclaver des villes et permettre aux habitants d'accéder plus facilement aux emplois", ajoute-il en citant l'exemple de la ligne 16 qui passera par Sevran et Montfermeil."On considère que les JO vont être un accélérateur, sur des sujets sur lesquels on n'était pas en panne mais on aurait mis beaucoup de temps à intervenir", estime Emmanuel Constant, vice-président du conseil départemental chargé de l'éducation et des Jeux olympiques.Le département entend "maximiser les retombées économiques" des Jeux, notamment via une charte signée par l'ensemble des acteurs. Ainsi, 164 millions d'euros de marchés publics ont déjà été attribués à des PME du département (un tiers de l'objectif global), indiquait-il le mois dernier."La Seine-Saint-Denis profite des grands travaux engagés actuellement, ça se note dans les chiffres d'affaires dans la construction et dans l'emploi", rebondit Mickaël Le Priol, économiste à la chambre de commerce et d'industrie Paris-Ile-de-France.L'emploi dans le département est supérieur de 0,7% (+ 4.000 emplois) au niveau d'avant-crise, note cet expert, pour qui ce rebond s'explique aussi par d'autres domaines porteurs comme la livraison.Le chômage reste par ailleurs fort, à 10,9% au deuxième trimestre 2021 selon l'Insee.Ces projets d'envergure ne doivent pas masquer les maux chroniques du département, relevés en 2019 dans un rapport parlementaire. "Les inégalités de traitement de l'État vis-à-vis du département perdurent, notamment en termes de service public", nuance M. Constant.La Seine-Saint-Denis n'est d'ailleurs pas le seul département francilien à se transformer, "la première couronne de l'agglomération parisienne est vraiment dans une effervescence en ce moment", nuance aussi M. Lecroart, mettant en garde contre un effet de gentrification dû à cette transformation.
Il y a 3 ans et 232 jours

30ème convention du réseau national des aluminiers agréés technal

Du 5 au 10 octobre 2021 s’est tenue la 30ème convention du réseau national des Allumiers Agréés Technal. La première journée a été consacrée à la visite du site suivie d’ateliers thématiques. L’objectif étant de renforcer son maillage national dans une volonté de proximité avec ses clients. En 2020/2021 6 nouveaux Alluminiers Agréés Technal, 4 nouveaux Fabricants Technal et 2 projets de concession Maisons de Lumières by Technal ont rejoint la « famille Technal ». L’objectif est d’obtenir un total de 250 entreprises « fabricant-installateur » à horizon de 2025 pour renforcer le maillage national. Une phase de déploiement du réseau à l’export est actuellement en cours dans les pays francophone ainsi que dans les DOM-TOM. Des actions ont également été mises en place pour améliorer la qualité, les services et la proximité entre professionnels.  
Il y a 3 ans et 232 jours

Quand la forme parle – Nouveaux courants architecturaux au Japon (1995-2020)

La Maison de la culture du Japon à Paris propose l’exposition Quand la forme parle – Nouveaux courants architecturaux au Japon (1995-2020) qui présente 35 agences d’architecture nées dans les années 1990, après l’éclatement de la bulle spéculative au Japon. Jusqu’au 19 février 2022. Longtemps, Tokyo a été un lieu d’expérimentation privilégié des nouvelles tendances […] L’article Quand la forme parle – Nouveaux courants architecturaux au Japon (1995-2020) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 232 jours

“Loos Fabrique” à l’ENSA Paris-Val de Seine

L’ENSA Paris-Val de Seine propose l’exposition “Loos Fabrique”, ou les maisons d’Adolf Loos revisitées. Jusqu’au 3 décembre 2021. Vienne, Tokyo, Paris, sont réunies à travers une exposition de maquettes de maisons d’Adolf Loos réalisées par des étudiants de l’université de Toyo au Japon. Revisiter les bâtiments, les parcourir, comprendre leur logique et leurs usages, c’est […] L’article “Loos Fabrique” à l’ENSA Paris-Val de Seine est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 233 jours

Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€

Sika fait l’acquisition de MBCC Group. [©Sika] Sika a profité de la journée du 11 novembre pour annoncer l’acquisition de MBCC Group, ex-BASF Construction Chemicals. Ceci, pour un montant record de 5,2 Md€, soit 5,5 Md de CHF. Ce prix est égal à 11,5 fois la valeur de l’entreprise par rapport à l’Ebitda (excédent brut d’exploitation) attendu pour 2022. Mais, compte tenu des synergies annuelles de 150 à 170 M€ (160 à 180 M de CHF) visées, cette valeur devrait être ramenée à 8,5 fois. Il s’agit là de la plus importante intégration jamais réalisée par Sika. Le financement de l’opération est garanti par un crédit relais. L’acquisition s’est faite auprès de Lone Star Funds, société de capital-investissement, propriétaire de MBCC Group depuis le 21 décembre 2019. A l’époque, Lone Star Funds avait signé un chèque de 3,17 Md€ pour cet achat… Un développement dans les adjuvants pour bétons Alors que Sika a réalisé un chiffre d’affaires annuel de 7,47 Md€ (7,88 Md de CHF) en 2020, MBCC Group se présente comme l’un des industriels les plus reconnus dans le domaine de la construction à travers le monde. Et affiche un chiffre d’affaires de 2,7 Md€, soit l’équivalent de 2,9 Md de CHF. Grâce à cette acquisition, Sika escompte atteindre un revenu global supérieur à 12,3 Md€ (13 Md de CHF) dès 2023. En effet, la transaction est soumise à l’approbation des autorités réglementaires. Sa finalisation est attendue pour le second semestre de l’année 2022. Mais Sika « est confiant dans l’obtention de toutes les autorisations et collaborera activement avec les autorités », indique le communiqué de presse.  Répartition des activités du nouvel ensemble créé par Sika et MBCC Group. [©Sika] En intégrant MBCC Group, Sika complète et élargit son offre de solutions dans quatre de ses cinq technologies de base. A savoir, les adjuvants pour bétons, les additions pour ciments. Mais aussi les revêtements de sols et les adhésifs. Ainsi, une fois le nouvel ensemble en place, les adjuvants représenteront 21 % de l’activité et les additions pour ciments, 28 %, contre 14 % et 26 % pour Sika aujourd’hui.  Une complémentarité au niveau des gammes Thomas Hassler, Pdg de Sika, lors de la conférence de presse de l’annonce de l’acquisition de MBCC Group. [©Sika] A la tête de marques comme Master Builders Solutions ou PCI, pour les plus connues en France, MBCC Group a son siège basé à Mannheim, en Allemagne. Il emploie quelque 7 500 collaborateurs, est présent dans 60 pays et dispose de 130 sites de production. « Ensemble, nous renforcerons notre complémentarité au niveau de nos gammes de produits et de services, tout au long du cycle de vie de la construction », résume Thomas Hassler, Pdg de Sika. Et Jochen Fabritius, Pdg de MBCC Group, de conclure : « Nous avons trouvé un partenaire parfait qui partage nos convictions. Sika est reconnu pour son esprit entrepreneurial et sa stratégie de croissance rentable. Nos produits et nos compétences seront à nouveau au cœur de l’entreprise ».
Il y a 3 ans et 234 jours

Isol’en paille : il sera désormais facile d’isoler en paille avec des bottes de 22 !

Si vous aimez la paille, vous aimerez Isol’en Paille; la solution qui facilite l’usage de la paille dans la construction et la rénovation ! Nous avons déjà beaucoup vanté les mérites de la paille dans nos articles comme ici ou là.  Rappelons que c’est un matériau d’origine naturelle, co-produit de l’agriculture, principalement du blé et […]
Il y a 3 ans et 234 jours

Un nouveau centre d’incendie et de secours à La Turbie

Le nouveau centre d’incendie et de secours de La Turbie vient d’être inauguré.
Il y a 3 ans et 234 jours

La mairie de Paris rachète un immeuble pour sauver un dancing gay

"Faire du logement social dans le Marais a un coût", a reconnu auprès de l'AFP Ian Brossat, adjoint PCF au logement qui a fait valoir le droit de préemption de la Ville afin d'acquérir le 11-13 rue au Maire.Le conseil d'arrondissement de Paris Centre a validé lundi le projet de rachat, acté fin septembre et qui doit encore recevoir le feu vert du Conseil de Paris, du 16 au 19 novembre, pour être effectif. En juin, les élus parisiens avaient voté à la quasi-unanimité le principe d'un rachat."Le dossier a une valeur très symbolique, pas seulement parce que cette délibération nous permet de faire du logement social dans un quartier qui en manque cruellement, mais aussi par la présence du Tango", souligne Ian Brossat.En 2019, l'ex-IIIe arrondissement dans lequel se trouve l'immeuble comptait 8% de logements sociaux, contre 21% pour l'ensemble de la capitale.Le bâtiment de 4 étages - 343 m2 de surface habitable - va être loué par la Ville à Elogie-Siemp, l'un de ses bailleurs sociaux, pour 65 ans et un loyer capitalisé de 3,1 millions d'euros.Mais l'objectif était d'abord de sauver, dans le local commercial de 200 m2 situé au rez-de-chaussée, l'un des "plus anciens dancings de Paris", le Tango, "qui a fait danser toutes les fins de semaine les communautés LGBTQI+" depuis 1997, avait expliqué le maire de Paris Centre, Ariel Weil. Un lieu à vocation conviviale depuis la fin du XIXe siècle, "de guinguette à cabaret, de bal musette à discothèque".Les travaux pour mettre aux normes le bâtiment - menuiseries, façade et couverture - vont donner à la mairie quelques mois pour "revoir le projet", a indiqué Jean-Luc Romero-Michel, adjoint aux droits humains également impliqué dans le projet. "L'idée est de garder un lieu festif LGBT" qui bénéficiera d'un "prix du loyer modéré", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 234 jours

Vent d'opposition contre des projets de carrières de sable dans les campagnes

A Saint-Colomban, deux carrières appartenant à GSM et Lafarge extraient 700.000 tonnes de sable alluvionnaire par an sur plus de 100 hectares. Les industriels envisagent d'exploiter 70 ha supplémentaires sur des terres classées "espaces agricoles pérennes", suscitant l'opposition locale."Les sablières sont éloignées de trois kilomètres, mais elles se rejoindront probablement à terme, ce qui représenterait 300 ha exploités, car il y a une forte demande en béton dans la région", s'inquiète Benjamin Boileau, membre du collectif La tête dans le sable (LTDS).Consommation de terres agricoles, assèchement des ressources en eau, hausse du prix du foncier, perte de biodiversité, paysages constellés de "gigantesques trous d'eau" entourés de merlons de terre: les griefs ne manquent pas contre les carrières. La France consomme 350 millions de tonnes de granulats par an pour la construction.Jean-Claude Camus, riverain, redoute notamment une baisse du niveau des nappes phréatiques. "Quand vous creusez un trou à 18 mètres, vous pompez l'eau environnante. GSM est déjà venu chez moi six fois pour remplir mon étang", raconte le retraité.Interrogé par l'AFP, l'industriel répond que "tout est mis en oeuvre pour maîtriser les éventuelles incidences". Lafarge assure, lui, surveiller "de près l'effet potentiel de [ses] activités sur (...) le niveau des nappes et des plans d'eau"."Davantage qu'une +consommation+ des terrains, nous considérons notre exploitation comme un +emprunt+", plaide Loïc Leuliette, directeur de la communication de Lafarge France. Une fois exploités, "les terrains sont rapidement remis en état pour leur redonner une vocation agricole à chaque fois que c'est possible", précise-t-il.Mais pour les opposants, "retrouver une terre agricole avec les qualités d'origine est illusoire"."bétonisation"Face à cette contestation, le maire de Saint-Colomban Patrick Bertin prévoit de consulter la population le 9 janvier."Si le sable vient de plus loin, on multiplie les camions. S'il est extrait en mer, on détruit l'écosystème marin. Or dans le Pays de Retz, on a programmé la construction de 1.600 logements par an, et un logement, c'est 200 à 300 tonnes de sable. Qu'on me dise comment on fait des logements sans sable?", interroge-t-il.Des collectifs anti-carrières, "contre la bétonisation", voient le jour partout en France: en Savoie, dans le Var, les Yvelines, la Loire, l'Eure, l'Ardèche... "Il y a de plus en plus d'opposants à l'ouverture de nouvelles carrières, mais c'est souvent par méconnaissance", estime Sébastien Colin, géologue au Bureau de recherches géologiques et minières.Dans son Livre blanc présenté en 2017, l'Union nationale des producteurs de granulats, qui représente la profession, en appelle à "plus de transparence et de participation du public pour améliorer l'acceptabilité de l'activité".Deuxième ressource naturelle la plus exploitée en volume après l'eau, avec une demande qui a triplé en vingt ans, selon l'ONU, le sable entre dans la composition du béton, du verre, des microprocesseurs, routes, engrais, pneus, peintures, cosmétiques, etc...En France, qui compte 2.300 carrières de granulats, il n'y a "pas de pénurie" mais "une problématique d'accès à la ressource", explique Sébastien Colin. "Certaines régions sont sous tension en raison d'un déficit de carrières, d'un épuisement des gisements ou de leur inaccessibilité avec l'urbanisation".En Loire-Atlantique, le sablage des cultures maraîchères pour favoriser la pousse et le ramassage mécanique, suscite aussi beaucoup de questionnements. Interrogée, la Fédération des maraîchers nantais évoque une consommation "ancestrale indispensable, stable et hyper optimisée" d'environ 500.000 tonnes annuelles."On consomme trop de sable dans le monde", avertit Eric Chaumillon, professeur de géologie marine joint par l'AFP. "Ce n'est pas durable pour une ressource non renouvelable qui met au minimum plusieurs millénaires à se former", poursuit-il.Pour préparer l'avenir, les carriers assurent économiser la ressource et développer le recyclage des bétons de démolition.Mais pour Jean-Christophe Gavallet, président de la FNE des Pays de la Loire, "le sable est encore trop peu coûteux pour justifier des politiques innovantes de recherche de matériaux alternatifs".
Il y a 3 ans et 234 jours

Quelles sont les étapes d’un ravalement de façade?

Lorsqu’on entreprend un ravalement de façade, cela procure de nombreux avantages. En amont, cela permet de rendre l’extérieur de la maison son esthétisme d’antan. Le ravalement est aussi un moyen de réparer les dégradations et mauvaises réalisations. Cela peut se produire particulièrement si la structure est « déplacée ». À certains endroits une fissure, ou plusieurs apparaissent. La rénovation assure donc la conservation de l’intégrité du bâtiment. Chacun des travaux bien évidemment doit suivre les règles d’urbanisme (la mairie doit en prendre note). L’Administration peut refuser certaines innovations par rapport à la structure d’origine du bâtiment. Travaux préparatoires avant le ravalement La première chose à faire avant de s’attaquer aux travaux de ravalement, il faut d’abord effectuer un diagnostic en bonne et due forme de la façade. Cela aboutit alors à une évaluation correcte et exacte du véritable état de cette dernière et de la maison d’une manière générale. Un spécialiste en ravalement de façade est en mesure de réaliser un diagnostic pour une rénovation rapide et sécuriser. Quelques points dans ce cas sont à prendre en compte pour savoir exactement les travaux à exécuter. Tel est le cas de la matière de construction. Le choix est alors assez vaste entre les classiques briques ou pierres naturelles. Il faut aussi prendre en compte les délais nécessaires à l’exécution du ravalement, le style adopté, l’isolation choisie et enfin les divers travaux annexes. Il faut ensuite procéder au décapage de l’ancienne façade. Cela consiste à enlever tous les débris et les parties tombées en morceaux de cette dernière. Il existe plusieurs manières pour ce faire. Mais en général, le professionnel utilise le nettoyage sous pression et le décapage chimique. Cette seconde solution est principalement utilisée pour les postes très contaminés. Cela se termine par un traitement de la façade contre les mousses et les champignons. Le ravalement proprement dit Il n’est pas obligatoire d’humidifier la façade à ravaler si on ne souhaite pas mettre en place un crépi. Pour les travaux en question, il est nécessaire de préparer du mortier, puis d’en mettre une couche du bas vers le front. Après quelques heures, on peut maintenant appliquer une seconde couche de ciment et de mortier. Il suffit par la suite de peindre le tout. Cela n’a rien de complexe en réalité sauf si on souhaite construire une façade plus esthétique et plus complexe. Dans ce cas, la meilleure solution consiste toujours à demander l’assistance d’un professionnel. Celui-ci s’occupera non seulement du ravalement, mais aussi de l’isolation du mur de la façade. Si l’on souhaite simplement repeindre la façade, il est plus judicieux de se doter d’une peinture résistant à l’eau et des outils adéquats. On doit alors se munir de pinceaux pour peindre dans un premier temps les angles de la façade, et d’un rouleur pour peindre le reste. Deux couches de peintures dans ce cas suffisent amplement pour un rendu plus que satisfaisant. Il faut attendre au moins 2 heures avant l’application de la deuxième couche.
Il y a 3 ans et 234 jours

Publication des grands enseignements du Bilan mondial de l'action climat par secteur 2021

Six ans après l’adoption de l’Accord de Paris, cette publication propose une synthèse unique de l’action climat au niveau mondial dans les grands secteurs d’émissions : énergie, transports, bâtiments, industrie, déchets, usage des sols.À l'heure où les États doivent rehausser leurs engagements à Glasgow, Climate Chance poursuit ainsi sa mission d’observation de la mise en œuvre des actions annoncées, de suivi de l’évolution des émissions et d’analyse des stratégies des acteurs par rapport aux objectifs climatiques internationaux."Retour vers le futur. 2021 : la grande accélération de l’action climat… et des émissions"La reprise mondiale des émissions laisse entrevoir des profils régionaux bien distinctsLa dépendance au charbon trace une ligne de fracture entre les régions qui s’en détournent (États-Unis, Europe) où la reprise des émissions n’efface pas la baisse due à la pandémie, et les régions où le charbon a conservé le soutien des pouvoirs publics (Asie-Pacifique). À tel point qu’il est la cause principale du rebond des émissions à des niveaux supérieurs à ceux de 2019.L’adoption des énergies renouvelables et de la mobilité bas carbone accélère dans les grandes économiesDes transitions relatives s’opèrent à l’échelle régionale avec l’adoption accélérée d’énergie renouvelable et de la mobilité électrique. En revanche, il n’y a toujours pas de transition observable à l’échelle globale à proprement parler. Plutôt qu’une substitution nette des modes de production et de consommation bas carbone à des modes carbonés et émissifs, la tendance de la période reste à l’accumulation des énergies fossiles et bas carbone, du parc de véhicules thermiques et électriques, des nouvelles constructions aux normes et du bâti ancien à rénover, etc.L’électrification des usages et la décarbonation du mix électrique sont aujourd’hui désynchroniséesL’efficacité du « tout électrique » pour le climat ne peut être assurée que par un mix électrique dominé par les énergies bas carbone. Or, si la production d’origine renouvelable est au plus haut en 2020, les mix des grands marchés que sont la Chine, l’Inde, les États-Unis et dans une moindre mesure l’Europe, restent majoritairement dépendants du charbon et du gaz.La demande en biens et services bas carbone dépasse la capacité d’adaptation des chaînes d’approvisionnement de l’économie mondialeTrop lentes pour le climat, les transitions régionales vont trop vite pour les chaînes d’approvisionnement mondiales. C’est donc un moment charnière d’adaptation à marche forcée de l’économie mondialisée aux nouvelles exigences d’un monde bas carbone auquel nous assistons, dans un contexte de restrictions et de pénuries provoquées par la pandémie et ses conséquences.Boussole des engagements depuis l’Accord de Paris, la « neutralité carbone » intègre les stratégies de relance et de croissance des grandes entreprisesLes grands groupes privés se saisissent du concept de la « neutralité carbone » et formulent des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre de plus en plus souvent associés à des plans d’action détaillés. Y compris dans des secteurs très carbonés comme les compagnies pétrolières et minières. Il reste néanmoins à vérifier que cet engagement à trente ans ne masque pas les retards dans les mesures à 10 ans, alors que c’est la rapidité de la baisse qui est le socle des scénarios de stabilisation du climat sous les deux degrés.Ruptures d'approvisionnement et engagements à la ‘neutralité carbone’ poussent les entreprises à la concentration et à l'intégration verticale des filièresL’adaptation des acteurs aux pénuries multiples et à l’économie bas carbone se lit également à travers la concentration progressive de certains marchés autour de quelques acteurs dominants, et l’intégration verticale des filières entre fournisseurs de matières premières et fabricants de produits finis. La fin de mécanismes d’aides publiques à la production d’énergie et l’explosion des Power Purchase Agreement renforcent l’émergence d’un « marché de gros », plutôt favorable aux grands énergéticiens qu’aux entreprises municipales et aux coopératives citoyennes.Les technologies de ruptures gagnent en crédibilité pour les secteurs qui ne parviennent pas à se décarbonerÀ la faveur de la reprise économique et des plans de relance, l’hydrogène bas carbone et la capture du carbone (CCUS), ont bénéficié d’investissements massifs en 2020 et d’un regain d’intérêt politique. À l’heure actuelle, leur utilisation à des fins de décarbonation demeure toutefois marginale, et leur développement repose beaucoup sur les énergies fossiles.Entre investissements verts et bruns, les États orientent la reprise d’une manière ambigüeFace aux pressions sur les chaînes d’approvisionnements en biens et matières premières stratégiques à la transition, les États occidentaux tentent de reconstituer des écosystèmes industriels régionaux orientés vers les technologies bas carbone. Aux côtés de plans de sauvetage, souvent sans contreparties climatiques pour des industries émettrices, une partie des plans de relance portés dans le G20 tente d’orienter la reprise vers la transition.Souvent moteurs de l’accélération de l’action climat, les gouvernements locaux adaptent le tempo de la transition aux besoins et capacités de leurs territoiresPour l’approvisionnement en énergie renouvelable, la transformation de la mobilité urbaine, la gestion des déchets ou l’encadrement de la construction et de l’approvisionnement énergétique des bâtiments, les gouvernements locaux peuvent accélérer la création d’un environnement favorable à la transition. À l’inverse, les réticences de certains États américains à l’abandon des énergies fossiles dans les bâtiments ou la mobilité montrent que les gouvernements locaux peuvent freiner la transition lorsqu’elle menace les intérêts économiques de leurs territoires.Avec l’activisme actionnarial, la société civile élargit son répertoire d’actionAprès les marches et grèves pour le climat, puis l’émergence d’une culture militante non-violente propre à ce sujet, l’activisme actionnarial fait entrer la lutte climatique au cœur des assemblées générales des grandes entreprises, au point de parvenir à intégrer des conseils d’administration. Dans un autre registre, le travail continu des ONG indonésiennes commence à porter ses fruits en renforçant la culture normative dans la filière huile palme.
Il y a 3 ans et 234 jours

La mairie écologiste de Strasbourg augmente de 25% les investissements de la ville

Avec ce "plan pluriannuel d'investissement", en augmentation de 160 millions d'euros (+24,6%) par rapport à celui de son prédécesseur, le socialiste Roland Ries, Jeanne Barseghian entend "préparer l'avenir".Cet effort doit permettre de financer la "rénovation" et la "mise en sécurité" des écoles ainsi que la "construction de nouveaux établissements" scolaires afin de dédoubler certaines classes, a-t-elle détaillé lors d'une conférence de presse.L'autre grande priorité est la "rénovation énergétique" du patrimoine immobilier municipal, la "végétalisation" de certains espaces ainsi que l'acquisition de "véhicules propres"."Nous sommes dans un moment charnière de l'urgence sociale et climatique, ce sont nos décisions qui permettront ou non de réduire l'impact du changement climatique, il faut que nos investissements soient à la hauteur", a fait valoir l'élue écologiste.Ce plan doit aussi permettre, selon elle, un "rattrapage" des quartiers populaires et le renforcement de "l'équité territoriale"."Ces 15 dernières années, 60% des investissements n'ont pas bénéficié aux quartiers populaires, nous avons la volonté de compenser ce déséquilibre", a-t-elle insisté.Le financement de ce plan n'a pas été détaillé, le premier adjoint, Syamak Agha Babei, se contentant d'indiquer qu'il était rendu possible par "une augmentation maîtrisée de la dette, dans un moment ou la situation budgétaire est saine et où les taux d'intérêts sont bas".Il a indiqué que la prévision de dette de la municipalité à horizon 2026 s'élevait à 404 millions d'euros, "en augmentation de 159 millions d'euros" sur le mandat, soit quasiment l'intégralité du nouvel effort consenti."Personne, aucune collectivité, aucun État, n'investit sans recourir à l'emprunt", a-t-il souligné.L'équipe municipale a défendu une démarche "d'ouverture et de transparence" en dévoilant les contours de ce plan. "Nous faisons le choix de mettre ces projets sur la table, cette information ne doit pas être réservée à des happy-few", a déclaré Jeanne Barseghian.
Il y a 3 ans et 234 jours

Travaux de maçonnerie : interventions et budget à prévoir

En effet, pour réussir à mener à bien vos travaux de maçonnerie, vous devez anticiper les étapes indispensables à suivre. Parallèlement, il est également impératif de prévoir le budget essentiel pour l’exécution de toutes ces interventions. Dans cette optique, faire appel à un maçon reste la meilleure alternative pour assurer la qualité de votre projet, principalement lorsqu’il s’agit de gros œuvre. Ce type d’opération revêt effectivement une grande importance dans la mesure où elle garantit la protection, la stabilité ainsi que la résistance de votre construction. Autrement dit, que ce soit dans le cadre d’une rénovation ou d’une nouvelle édification, vous ne devez en aucun cas négliger cet aspect. Réalisation de gros œuvre Dans la pratique, grâce au savoir-faire d’un professionnel, l’ensemble de ces tâches permet de : Garantir la solidification des bases de votre future maison, Améliorer la résistance des constructions existantes. En effet, sans les compétences essentielles dans ce domaine, ces travaux sont susceptibles d’être mal exécutés, ce qui engendrera des risques de malfaçon. Or, cette défaillance fragilisera votre édifice en provoquant des soucis graves, à l’instar de : Problème de fissurations, Phénomène affaissement de terrain, Effondrement… Pour ce faire, le spécialiste réalisera des opérations spécifiques, telles que : Le terrassement, Le soubassement, La fondation. Concrètement, elles ont pour finalité d’édifier les structures fondamentales de votre habitation qui sont destinées à : Soutenir son poids total, Assurer sa protection contre les intempéries. Dans cette optique, selon les circonstances, il peut prévoir de former l’ossature de votre construction ou bien d’en modifier la structure. Il est effectivement probable que soyez amené à planifier : La création d’une extension ou une dépendance, L’installation d’un portail, la démolition da façon partielle de vos murs porteurs, L’agrandissement de votre bâtiment, La mise en place d’une fenêtre ou d’une porte… Fourchette de prix sur le marché Comme le coût d’un projet en maçonnerie peut varier selon l’envergure de vos travaux, il est effectivement plus que recommander de demander un devis au préalable. A titre indicatif, vous trouverez ci-après les prix moyens sur le marché. Pour une installation d’un mur en brique, il faut prévoir 35 à 65 euros/m² ; s’il s’agir d’un monomur, comptez plutôt entre 50 à 80 euros/m². Si vous voulez des parois en béton cellulaire, tablez entre 30 à 90 euros/m², contre 40 à 100 euros/m² pour des revêtements en parpaing. Si vous souhaitez entreprendre le coulage d’une chape en béton, le prix sera de 35 à 45 euros/m² en intérieur et de 40 à 55 euros/m² en extérieur. Pour une dalle en béton, le tarif est estimé à 130 à 220 euros/m² en intérieur et de 100 à 200 euros/m² en extérieur. Autrement, pour des interventions de création : Une dépendance vous coûtera 400 à 600 euros/m², Une fondation vous reviendra entre 100 à 200 euros/m³. En somme, le bon déroulement de vos travaux de maçonnerie dépendra de différents facteurs tels que l’ampleur de votre chantier et le budget y afférent. Afin d’avoir la sérénité de mener à bien votre projet, il est fortement recommandé de faire appel à un maçon expérimenté comme sur ce site : https://www.macon-varois.fr/ . Ainsi, vous serez à l’abri d’éventuels risques de malfaçon.
Il y a 3 ans et 234 jours

Bientôt un nouveau centre commercial à Persan

La construction de la future zone commerciale de Persan a commencé. Elle devrait être opérationnelle fin 2022.