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Il y a 2 ans et 309 jours

Inter Service Pompe : Pour le bien-être de ses collaborateurs

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine [©ISP] « A l’heure des problèmes de recrutement, il était important pour nous de “chouchouter” nos collaborateurs et de leur proposer une base vie de qualité sur les chantiers de pompage stationnaire. Nous avons voulu regrouper le tout dans un même bungalow sécurisé », explique Antonio Agostinho, président d’Inter Service Pompe (ISP). C’est ainsi que l’entreprise s’est tournée, il y a un an, vers Jérôme Hup, Pdg de Carrosserie Cavime et sa filiale espagnole Carros Cav, à Alicante. « Nous récupérons, recyclons et restaurons des conteneurs maritimes. Pour ISP, nous en avons transformé un en base vie complète avec chauffage, toilettes, douche, cuisine, salle de repos, vestiaires… Tout le confort ! Nous sommes partis d’un cube que nous avons isolé intérieurement avec la projection d’un éco-mélange de liège et d’eau pour couper les ponts thermiques. Puis, ont été posés des panneaux sandwich de 3 cm en aluminium isolés avec de la mousse compensée. C’est du “sur mesure” total. Nous espérons pouvoir réitérer ce genre d’opérations », indique Jérôme Hup. Le petit plus : l’intervention du graffeur espagnol RudiArt, alias Rudi Hernandez, qui a personnalisé le conteneur… pour éviter, à terme, les tags sauvages ! « Du Street Art sur les chantiers, ça change et ça donne un cachet supplémentaire à la base vie. Nous avons testé cette opération sur un conteneur pour voir l’impact sur les collaborateurs et les clients. Et tout le monde est content et satisfait au final. Le bien-être de notre personnel est vital pour nous. C’est le B.A.-ba du savoir-vivre », reprend Antonio Agostinho. Et Jérôme Hup, de conclure : « Le résultat est juste magnifique ». Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 309 jours

Location d’une benne à gravats : tout savoir

L’évacuation des gravats sur un chantier est indispensable pour éviter les encombrements inutiles. D’ailleurs, vous devrez vous occuper de ce sujet dès la fin des travaux. Il suffit de contacter une entreprise spécialisée pour louer une benne adaptée à cela. Vous pouvez en tout cas prendre note des points suivants avant d’envoyer une demande de location. Les premiers points à retenir sur la location d’une benne à gravats Il faut vous préparer à l’évacuation des gravats avant même de commencer des travaux de démolition. Vous pouvez pour cela contacter un professionnel qui saura vous proposer la meilleure option. Sinon, pensez à vérifier les services que la société qui vous intéresse peut vous offrir. Elle peut parfaitement se limiter à la livraison du produit sur le chantier. D’autres prestataires peuvent aller jusqu’à traiter vos déchets. Commencez par préparer une place sur votre chantier avant de louer le produit Il est important de trouver un emplacement pour la benne avant de la louer. Vous devrez aussi vous assurer que le livreur puisse manœuvrer facilement son camion. Il faut alors faire attention avec l’accès au chantier. L’emplacement peut alors avoir 2 ou 3 places de parking selon votre terrain. La première option peut suffire pour un modèle de 8 min 3 s au maximum. Il faudra aussi déposer une demande d’autorisation N’oubliez pas de demander une autorisation auprès de la mairie avant de faire appel à une entreprise de location benne. Cette étape peut s’avérer indispensable si vous comptez déposer le produit dans un espace public. Cela est aussi valable si l’équipement dépasse sur la voirie. Il faut envoyer votre dossier 8 jours avant le dépôt de la corbeille au minimum. Vous pouvez alors vous tourner vers le service de la voirie de votre commune ou la direction de l’urbanisme. Vous pouvez ensuite choisir la benne qu’il vous faut Vous êtes libre de choisir la benne à gravats que vous voulez louer une fois que vous obtenez l’autorisation de la commune. Il faut pour cela prendre en compte vos besoins ainsi que le volume de déchets que vous allez évacuer. Vous avez normalement le choix entre un modèle conçu pour les éléments de chantier ainsi que ceux qui sont considérés comme dangereux. Prenez aussi le temps de choisir la taille du produit qu’il vous faut.  En tout cas, vous pouvez toujours solliciter cette entreprise de location benne dans l’Oise sur ce site : https://www.ferrailleur-benne-60.fr/ si vous avez du mal à vous en sortir. Combien coûte ce type de location ? Le prix pour la location d’une benne peut varier entre 200 et 800 € en moyenne. Ce montant peut comprendre la livraison avec le dépôt du produit au bon endroit. À cela s’ajoute le loyer pour une journée ou plus ainsi que l’enlèvement des déchets. Vous pouvez parfaitement avoir un modèle de 10 à 40 min 3 s avec un tel budget. Il est plus judicieux de demander un devis pour obtenir la somme exacte que vous allez préparer. Votre budget peut dépendre de certains facteurs La somme à préparer pour la location d’une benne à gravats peut avant tout dépendre du volume total du produit. Il faudra aussi déterminer le type de déchets à évacuer ainsi que la durée de la prestation. À cela s’ajoute l’accès à votre chantier ainsi que la distance que le livreur doit faire. N’oubliez pas de prendre en compte les autres services qui pourront être proposés par l’entreprise de votre choix.
Il y a 2 ans et 309 jours

Béton Pratique : Comment bien poser une anode sacrificielle ?

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Les constructions en béton armé sont sujettes à des agressions halogène, pouvant impliquer une corrosion des aciers. [©RGD] 1 – Qu’est-ce qu’une anode sacrificielle ? En existe-t-il différents types ? Une anode est un dispositif mis en place pour répondre à une demande de corrosion dans un environnement donné, pour protéger un autre métal. Cette technique a été découverte, en 1815, par Humphrey Davy. Celui-ci a développé par empirisme une technique de pose de zinc sur les coques en fer des bateaux, pour les empêcher de se corroder au contact de l’eau de mer. L’idée est que l’on dispose un métal sacrificiel sur un métal plus noble à préserver. Par électro-positivité, le métal sacrificiel attire les éléments “corrosifs”. Dans les années 2000, avec le Dr Nigel Davison, nous avons, à notre tour, fait des expériences, en plaçant une anode en fer et une autre en zinc sur une poutre en fer. Le tout dans les mêmes conditions d’exposition aux éléments “corrosifs”. Nous avons pu constater que le zinc était 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer, et donc beaucoup plus protecteur. A partir de cette technique, une large gamme d’anodes est née chez CPT. Le but étant d’optimiser la solution en fonction de l’ouvrage et de son armature. Sur le marché, certaines anodes sont disponibles sous forme de feuille. D’autres sont “ponctuelles”, d’autres encore adaptées à la préfabrication. Pour les rénovations, notamment des angles, il est possible d’en poser en réseau. Enfin, d’autres sont proposées sous forme filaire. 2 – Quand utilise-t-on une anode sacrificielle et pourquoi ? Des aciers corrodés peuvent mettre en danger la viabilité des constructions. [©RGD] Il y a besoin de poser une anode sacrificielle, lorsque l’on est en présence d’un agent agressif que l’on n’a pas maîtrisé et qui a pénétré le béton. L’agent agressif halogène va alors causer des dégâts sur les armatures. Il faut donc agir. La mise en place de la protection sacrificielle va polariser l’armature et les éléments “corrosifs” vont migrer vers l’anode. L’armature du béton ne sera donc plus en situation d’agression. Ce qui permet de stopper la dégradation du béton si elle est en cours et de réduire les besoins d’intervention. C’est un bureau d’études spécialisé corrosion qui doit décider du type et de la quantité d’anodes à utiliser, leurs conditions de mise en œuvre et la mise en place de la politique de protection des ouvrages. Ce calcul est volontairement pessimiste. Il oblige à mettre, sans doute, un peu plus d’anodes que nécessaire, mais en matière de protection, le plus est toujours le mieux. Il faut cependant reconnaître que parfois certaines formes d’anodes sont très adaptées, parfois elles le sont moins. C’est au bureau d’études de trouver le meilleur compromis. 3 – Quelles sont les différentes étapes de pose d’une anode sacrificielle, dans le cadre d’un ouvrage existant ? Le préalable est, bien entendu, qu’un diagnostic de l’ouvrage ait été réalisé, que la pose d’anodes sacrificielles soit la solution la plus adaptée et qu’un plan d’action ait été élaboré par un bureau d’études. L’étape suivante est de se procurer le plan d’armatures et de vérifier leur position exacte par rapport à ce plan. Ces vérifications se font avec un profomètre et un pachomètre. Il faut ensuite repérer les bonnes zones d’intervention, en traçant sur l’ouvrage les lignes d’armatures, et les points de perçage pour la mise en place des anodes. Le percement, qui est l’étape suivante, doit se faire de façon très soignée. Il faut bien vérifier qu’il n’y a pas de risque de couper une armature et mettre ainsi en court-circuit un acier. Pour la protection, le court-circuit ne poserait pas de problèmes, mais en poserait pour le suivi. Les opérateurs doivent donc être formés à ce type d’interventions. Le zinc est 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer. Placée sur une armature, l’anode en zinc attire les éventuels polluants. [©RGD]Les anodes peuvent prendre différentes formes. Ici, elles sont montées en réseau. [©RGD]Les anodes pourraient être posées en préfabrication, afin de prévenir une éventuelle agression. [©RGD] Ensuite, il faut vérifier la bonne profondeur et si le diamètre est bien respecté. Il faut alors réaliser une pose à blanc pour vérifier la bonne disposition de l’ensemble. Quel que soit le type d’anodes, la pose se fait après avoir pré-mouillé le forage. Une fois l’anode placée en fond de trou, l’ensemble est recouvert soit par une pâte cimentaire, soit une pâte active, selon les recommandations du fabricant. Le rebouchage doit être soigné pour ne pas laisser d’entrée d’eau. Enfin, le contrôle doit être effectué par un opérateur spécialement formé. Il vérifie que l’installation correspond au plan, qu’elle est au bon potentiel et courant attendu. Une fois sa validation donnée, le rebouchage définitif est effectué. L’ensemble de ces opérations constitue de traditionnels gestes de maçons. Il faut les effectuer avec précaution. 4 – Qu’en est-il de l’utilisation d’anodes sacrificielles en ouvrages neufs ? Les ouvrages conçus avec des protections ne sont pas encore rentrés dans les mœurs. La protection est plutôt effectuée par protection cathodique, via un courant imposé. Nous pourrions tout à fait imaginer poser une série d’anodes, qui s’activeraient à l’entrée des éléments “corrosifs”. Ils agiraient alors comme un bouclier de protection. Dans un cas idéal, nous pourrions placer en phase de préfabrication des lignes d’anodes sur les points les plus critiques des pièces en béton. Ce serait une bonne chose vis-à-vis de la maîtrise d’ouvrage pour la pérennité de l’ouvrage. RGD en bref... Depuis 20 ans, RGD est un fournisseur de solutions techniques permettant de répondre à une large gamme de problématiques du béton. Avec une spécialité dans le génie civil et le BTP. Pour cela, RGD est constitué de plusieurs activités complémentaires, qui gèrent et trouvent des solutions pour toutes les étapes de la construction. Du bureau d’études à la réparation, en passant par l’approvisionnement des matières premières, le traitement de surface et les formulations spécifiques. RGD comprend les marques MP2, Shemrock-BTP et le totem BOB. Sujet réalisé en collaboration avecRichard Guérin, Pdg de RGD Shemrock et l’un des concepteurs de la méthode Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 309 jours

Arcade : Informatiser le secteur du béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Alice Ladet, responsable commerciale, Guillaume Cordel, dirigeant d’Arcade, et Anne Cordel, responsable recherche & développement. [©ACPresse] « Comment allier ce que j’aime avec ce que je connais ? » Telle est la question que s’est un jour posée Guillaume Cordel, fondateur et gérant de la société Arcade. « Mon histoire personnelle est liée à celle de la carrière, du BTP, secteurs dans lesquels évoluaient mes parents et mes grands-parents. Je connais donc ces métiers de l’intérieur. » A côté de cela, Guillaume Cordel cultive une passion pour l’informatique. Naturellement, il s’installe dans les bureaux de l’entreprise familiale. Lire aussi : Des abeilles sur le toit d’Arcade ! Là, il développe Icare, sa première solution informatique. « Il s’agissait d’un logiciel de pesage, d’édition de bons de livraison et de facturation », précise Guillaume Cordel. Icare a été installé sur quelques grosses carrières, au début des années 1990. C’est ainsi qu’est né Arcade en 1993. En parallèle, Icare intègre une fonction “laboratoire”, qui finit par aboutir à un nouveau logiciel autonome : Icare Labo, réécrit entre temps pour Windows. Son nom : Wil (pour Windows Icare Labo). L’arrivée des suites “full web” « Wil est devenu notre logiciel phare, décliné en différentes versions, dont Wil Béton », rappelle Guillaume Cordel. Cette solution permet aujourd’hui la formulation et la gestion des essais autour du matériau, intègre les obligations normatives, et assure le suivi métrologique des équipements. « Nous continuons à enrichir et à faire évoluer Wil, qui va encore être là pour longtemps. » D’un point de vue historique, Arcade a fini par proposer une large offre de logiciels : Icare pour la gestion, Wil pour le laboratoire, Mentol pour l’environnement et la sécurité, et Carmin pour la maintenance industrielle. Des outils performants, mais auxquels il manquait la dimension “full web”. Pour répondre à cette nouvelle attente, Arcade a fait le choix de refondre cette offre et de mettre sur le marché sa suite Massia. « Il s’agit d’une solution web nouvelle, complète, modulable et évolutive », confirme Alice Ladet, responsable commerciale d’Arcade. Elle se décline en cinq modules : Gestion (administration des ventes), Performance (suivi de la production des industries extractives), Laboratoire et sa version “tablette et smartphone” Labo Mobilité, QSE et Foncier, et Maintenance (gestion des installations et du parc matériels). Collaborations avec Delta Automation et Oris « Tous ces modules ou logiciels ont demandé un très important travail de développement, souligne Guillaume Cordel. On ne met pas au point une suite comme celle-ci en quelques mois. L’informatique, ce n’est plus de l’artisanat. Massia a nécessité 5 années de R&D et mobilisé 10 informaticiens ! » Aujourd’hui, l’aventure Arcade se poursuit. Déjà, l’entreprise va fêter ses 30 années d’existence en 2023. Ensuite, elle a signé un partenariat avec Delta Automation, spécialiste des logiciels et automatismes pour centrales à béton. « L’idée est de créer un éco-système complet, en développant les synergies possibles entre nos outils informatiques. Delta Automation apporte ainsi son expertise en matière de logiciels de production. » Lire aussi : Un nouveau site Internet pour Arcade Un autre partenariat vient d’être mis en place avec la plate-forme Oris. « Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux opérateurs de la construction routière pour sélectionner et comparer les solutions et les matériaux disponibles sur le marché. Dans ce cadre, Arcade va développer une passerelle pour permettre aux utilisateurs des suites Wil et Massia de déposer les fiches produits de leurs granulats sur la plate-forme Oris », conclut Guillaume Cordel. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 309 jours

Hauts-de-Seine : Des éléments préfabriqués en style Art Déco signés Cibetec

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Cibetec a réalisé 121 éléments préfabriqués pour ce bâtiment au style Art Déco. [©Cibetec] Dans un style néo Art Déco, un nouveau bâtiment situé au 39, rue Voltaire à Levallois-Perret, est récemment sorti de terre. Il bénéficie d’un béton architectonique, dont l’esthétisme et la teinte s’apparentent à la pierre. De plus, le matériau dispose d’une résistance élevée à l’encrassement dû à la pollution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France La construction s’élève sur 5 étages sous attique et se développe sur une surface de 1 405 m2 de logements et 207 m2 de commerces en rez-de-chaussée. A l’extérieur, le bâtiment est entouré de balcons et de terrasses finement ouvragés. Ainsi, les éléments décoratifs à l’image des balcons, des balustres, des corniches, mais aussi des bandeaux et des frontons, sont en béton préfabriqué blanc (signé Ciments Calcia). La préfabrication des 121 pièces a été réalisée dans les ateliers de Cibetec. Une vingtaine de moules ont été nécessaires pour les nez de balcons ou encore les modénatures… Au niveau de la mise en œuvre, chaque pièce préfabriquée a été numérotée et fixée à l’ossature. Et ce, par clavetage béton ou par fixation mécanique de type “porte-manteau avec cornières”. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 310 jours

Moselle : Béton Stone Consulting : Une palette de solutions industrielles

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BSC intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, Béton Stone Consulting (BSC) intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. A sa création en 2006, à Etzling, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortier au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international. Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’étranger. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est L’entreprise ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Elle dispose aussi de stations de micronisation dans son catalogue. Dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants : fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 310 jours

Minéral Service : La ville comme laboratoire d’expérimentations

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques sur un chantier d’aménagement à Sotteville-lès-Rouen, dont un béton végétalisé et un béton drainant. [©Minéral Service] Basée à Grand-Couronne, dans la Métropole de Rouen, Minéral Service a su au fil des années, affiné son savoir-faire dans le domaine du revêtement de sols décoratifs. « Pavages, dallages, bétons architectoniques… Nous nous intéressons principalement au marché de l’aménagement extérieur, mais intervenons aussi en intérieur, » explique Jérémy Jamelin, directeur d’exploitation. Minéral Service s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux collectivités. Un profil qui constitue une grosse part de marché pour l’entreprise. « Nous maîtrisons toutes les techniques de béton et réalisons des éléments préfabriqués, comme du mobilier urbain, dans nos ateliers de Grand-Couronne. » L’entreprise intervient surtout dans le quart Nord-Ouest de la France, mais suit aussi ses clients, au-delà sur les chantiers. Des techniques différentes pour chaque espace Récemment, Minéral Service a réalisé une zone témoin, pour l’aménagement d’une voie de circulation à Sotteville-lès-Rouen. « Le but était de faire des essais grandeur nature qui conditionneront la suite des travaux dans cet axe. » En effet, les maîtres d’ouvrage, la Métropole de Rouen et la Ville ont demandé la mise en place de solutions techniques et respectueuses de l’environnement. L’objectif ? Favoriser la bonne circulation et désimperméabiliser les sols. Ainsi, Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques en béton. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_3" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 310 jours

HEXAKIT, le nouveau concept de CLT, en format standard 100% français

PIVETEAUBOIS POURSUIT SON OBJECTIF DE DECARBONER LA CONSTRUCTION Dans l’optique d’accompagner les acteurs de la construction, PIVETEAUBOIS a décidé de créer un nouveau concept de CLT en format standard 100% français : HEXAKIT ! Une solution dont les bois sont tous issus de forêts locales gérées durablement et fabriquée dans son usine vendéenne pour optimiser l’impact carbone des chantiers. Depuis 2018, PIVETEAUBOIS continue ses investissements pour répondre aux nouvelles tendances du marché de la construction (ouvrages multi-étage) et son besoin croissant de nouveaux produits de structure bois comme le CLT (Cross Laminated Timbers). OUVREZ-VOUS À UN NOUVEAU STANDARD DE LA CONSTRUCTION Afin de répondre au besoin de réactivité des constructeurs et apporter des solutions pour construire bas carbone, PIVETEAUBOIS a développé une gamme de panneaux standard HEXAKIT de largeur 1,20 m, composés d’un mixte d’essences de provenance française : Pin et 1 face visible en Épicéa. Les longueurs des panneaux sont optimisées selon les portées sur 2 ou 3 appuis pour des applications en plancher, mur, toiture et support d’étanchéité. Un nouveau produit qui démocratise le CLT pour des constructions décarbonées.  Les +– Formats standards optimisés aux charges pour les habitations et les bureaux– Temps de pose au m² divisé par 3– Matériau protégé lors des phases chantiers avec sa protection PARKA (hydrofuge)– Epaisseur du plancher réduite– Sous-face visible épicéa pour conserver un plafond bois– Solution locale et bas-carbone accessible pour tous les types de chantiers– Livraison mixable avec d’autres produits PIVETEAUBOIS (ossature, BLC, BMA, bardage, terrasse, …) Le CLT Hexapli de PIVETEAUBOIS possède sa propre FDES validée et disponible sur inies.com avec une valeur de carbone stocké particulièrement avantageuse. Crédit photo : @Sylvain Malmouche – Architecte : Vincent Hemery – IE Architecture DÉCOUVREZ HEXAKIT EN VIDÉO www.piveteaubois.com/fr/nos-produits/nos-produits-clt-hexakit
Il y a 2 ans et 310 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 310 jours

Nova Crete : Occuper la place vacante

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete [©ACPresse] Avec les concentrations opérées ces dernières années dans le petit monde des sols décoratifs en béton, il s’est créé comme un vide que Nova Crete a choisi d’occuper. L’entreprise est née en novembre 2019, mais avec un véritable démarrage d’activité en mai 2020, en pleine période Covid. Pas top, mais ainsi vont les choses, parfois… « Nous nous positionnons comme un acteur indépendant et réactif des sols esthétiques », résume Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete. L’industriel assure la fabrication de produits minéraux destinés à ce secteur d’activité. Mais aussi la distribution des outils dédiés. Les solutions proposées concernent tant les sols intérieurs – avec des bétons millimétriques – que les sols extérieurs. Là, l’offre est plus large, allant des bétons imprimés aux bétons lissés, désactivés ou balayés. « Tous nos produits en poudre sont fabriqués dans notre usine de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 310 jours

Les malaxeurs pour centrales à béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine En France, la production du béton en centrales passe par l’utilisation d’un malaxeur. Les acteurs proposant cet équipement incontournable sont nombreux sur notre territoire. De quoi permettre à chacun de trouver la perle adaptée à son besoin précis. Arcen : Des classiques toujours au goût du jour Arcen privilégie sa gamme des turbo-malaxeurs MEV sur le marché français. [©Arcen] Au niveau international, Arcen s’appuie sur les ventes des MDE, sa gamme de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. Mais sur le marché français, ce sont les turbo-malaxeurs MEV qui restent la valeur sûre. « Ce sont des équipements que nous avons modernisés récemment, explique Emanuel Pinheiro, directeur général d’Arcen France. En effet, plus les bétons spéciaux se développent, avec leur forte adjuvantation, plus l’usure des équipements de production s’intensifie. Nous avons donc renforcé l’étanchéité des portes, la tenue des cuves ou encore le rotor, dont la mécanique a été revue. » En résumé, la gamme MEV, qui couvre des capacités allant de 500 l à 4 m3, a vu sa durabilité améliorée, ainsi que sa maintenance réduite et facilitée. « Certaines années, c’est notre produit le plus vendu », complète Emmanuel Pinheiro. Entre temps, Arcen a procédé à la “mise à jour” de sa gamme de malaxeurs planétaires MST. D’une capacité de production allant de 750 l à 4,5 m3, elle est à l’origine utilisée par les industriels du béton. Mais elle est de plus en plus demandé en BPE. BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology BHS-Sonthofen est historiquement un constructeur de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. [©BHS-Sontofen] L’industriel BHS-Sonthofen vient d’acquérir l’Italien de Eurostar Concrete Technology1. Ce rachat constitue une opportunité d’élargir son portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Le rachat Eurostar correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange. A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 310 jours

Ideal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. [©ACPresse] Jusqu’à son rachat par Bostik (groupe Arkema) en septembre 2020, c’est Eqiom qui assurait la distribution de la marque italienne Ideal Work sur le territoire national. Aujourd’hui, les choses sont différentes. Si Eqiom garde l’exclusivité sur l’Ile-de-France et le Grand Est – ses classiques zones de chalandise -, Ideal Work est en train de se déployer sur le reste du pays. « Nous sommes en train de développer nos équipes partout en France et sommes à la recherche de distributeurs locaux », explique Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. L’idée est de trouver 5 à 6 distributeurs régionaux pour assurer une proximité territoriale. En parallèle, Ideal Work continue à suivre en direct ses applicateurs historiques. Ceci, en attendant de trouver les distributeurs exclusifs ad hoc en mesure de le faire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 310 jours

Un sol pour les soutenir tous

Article paru dans le n°101 de Béton[s] le Magazine Les sols industriels ont vu le DTU 13.3 évoluer en début d’année, preuve de la vitalité d’un secteur qui compte de plus en plus d’acteurs et de solutions. Tour d’horizon de quelques-unes des possibilités offertes par le marché. Côté durcisseurs Korodur : Sol version endurcie Le Neodur signé Korodur est l’un des durcisseurs les plus utilisés du marché français. [©Korodur] Le nom de Korodur est issu d’un néologisme, issu du latin “korundum” (corindon) et “durus” (dur). Avec sa marque Neodur, l’industriel se veut le synonyme de sols industriels mécaniquement résistants. En plus de 50 ans de présence en France, près de 100 Mm2 de sols ont été posés. Neodur est basé, entre autres, sur l’utilisation du corindon. « Employé comme additif pour les sols industriels, il est résistant à l’abrasion. La teneur en corindon varie en fonction du degré attendu de résistance à l’usure du sol », explique Nikola Heckmann, co-dirigeante de Korodur, avec son frère, Michael, qui ajoute que : « La couche de matériaux du Neodur est appliquée sur un sol en béton par des entreprises spécialisées ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 310 jours

Meurthe-et-Moselle : Béton de l’Est s’installe aux portes de Nancy

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Béton de l’Est s’est implanté aux portes de Nancy pour mieux répondre à la demande en béton dans la région. [©Liebherr] Depuis trois mois, la région Grand Est accueille un nouvel acteur du béton. Béton de l’Est s’est implanté à Velaine-en-Haye, aux portes de Nancy. « A la base, nous sommes carriers, nous proposons des granulats à partir de nos 7 carrières et faisons du concassage mobile, explique Victor Cracco, gérant de Béton de l’Est. Notre activité se transmet de père en fils et existe depuis plus de 60 ans. » Pour se diversifier et écluser ses propres granulats, Béton de l’Est a vu le jour avec une centrale mobile flambant neuve. Signée Liebherr, la Mobilmix 2.5 dispose d’un malaxeur à doubles arbres horizontaux. De quatre silos à ciment et de six trémies pour granulats, dont deux cloisonnées. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est « Nous nous sommes implantés dans une zone stratégique au milieu de nos carrières, avec un accès facile dans la région ». Béton de l’Est dispose de sa propre flotte avec deux camions-toupies. Il propose tous types de formulations à la demande pour les entreprises du BTP et les particuliers. « Nous avons davantage de demandes sur les bétons courants, mais aussi sur des bétons colorés ou désactivés. Dans tous les cas, nous misons sur la qualité ». Au niveau de l’outil de production, l’industriel bénéficie de trois bassins de décantation. Lui permettant de réutiliser les eaux de process. « Les déchets de béton sont stockés sur notre site, pour être concassés et refaire des granulats que nous pouvons utiliser. » Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 310 jours

Vendée : Hoffmann Green Cement, Bouygues Construction et Chryso concrétisent leur partenariat

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Voile en béton d’argile décarbonée, formulé sur la base d’un liant H-Eva. [©HGCT] Depuis près de deux ans, les équipes de R&D d’Hoffmann Green Cement, de Bouygues Construction et de Chryso travaillent de concert pour mettre au point un béton décarboné. Et ce, sur la base de la technologie H-Eva. Développé par Hoffmann Green Cement, ce ciment ne contient pas de clinker. Et son empreinte carbone est divisée par 4 par rapport à un ciment classique. Il repose sur une technologie minérale par voie alcaline à base d’argile activée sous la forme d’une poudre stockable en silo. Il est compatible avec les process existants. Le trio formé par Hoffmann Green Cement, Bouygues Construction et Chryso a ainsi réalisé son premier chantier. Et ce, avec ce béton d’argile à Chaillé-sous-les-Ormeaux. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire « L’argile, au cœur de la technologie H-Eva, est un matériau disponible quasiment partout en large quantité qui peut être valorisée grâce à une adjuvantation très spécifique, explique Bruno Pellerin, directeur de la R&D chez Chryso. Notre gamme EnviroMix, et dans le cas présent EviroMix ULC1, a été développée pour répondre aux contraintes des bétons bas. Ou très bas carbone ». Pour le trio, cette première application ouvre la voie à de futures réalisations avec des bétons 0 % clinker H-Eva. « Nous mettons en œuvre des matériaux à impact toujours plus faible, conclut Christian Cremona, directeur R&D matériaux et structures de Bouygues Construction. Notre partenariat avec Hoffmann Green Cement participe aux réponses que le groupe apporte aux grands défis de la construction. Et ce, en maîtrisant notre impact sur l’environnement. » 1Ultra low carbon. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 311 jours

Holcim rachète un fabricant de béton prêt-à-l'emploi en Roumanie

ACQUISITION. Le cimentier suisse a fait l'acquisition de l'entreprise General Beton Romania. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué.
Il y a 2 ans et 311 jours

Saint-Gobain Glass innove avec une première gamme de verre bas carbone

INNOVATION. Le fabricant français de produits de construction a lancé sa gamme de verre à faible empreinte carbone. Plusieurs grands acteurs du secteur de l'immobilier ont déjà affirmé qu'ils utiliseraient cette solution dans leurs projets.
Il y a 2 ans et 311 jours

Le confort d’été et la RE 2020 selon le Filmm

Le Filmm décrypte des solutions constructives pour assurer le confort d’été. [©Filmm] Le Syndicat national des fabricants d’isolants en laines minérales manufacturées (Filmm) a édité une nouvelle brochure sur le thème du confort d’été. La RE 2020 a intégré une évolution importante avec l’introduction d’un nouvel indicateur dans les bâtiments : les degrés-heures d’inconfort (DH), exprimés en °C.h. Désormais, les hausses des températures et les vagues de chaleur provoquées par le réchauffement climatique ont été prises en compte avec une nouvelle méthode de calcul. Et afin que cette notion soit plus concrète, le Filmm illustre le principe de cet indicateur avec un graphique. Les solutions contre l’inconfort Pour faire simple, pour prendre en compte la durée de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de bien-être est dépassée. Pour effectuer ensuite la somme, heure par heure, des écarts de degrés entre la température mesurée dans le bâtiment et celle maximale dite de “confort”. Une fois le résultat obtenu, il est essentiel de savoir quelles solutions à mettre en œuvre. Pour déterminer cela, le Filmm a mandaté le bureau d’études “Bastide et Bondoux”, afin de réaliser une étude de sensibilité sur le confort d’été en lien avec la RE 2020. Lire aussi : Filmm : La RE 2020 plus aboutie que la RT 2012 ? Cette étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec des combles aménagés. Chacune possède une structure maçonnée, puis une structure en ossature bois. Le bureau d’études a pris en compte les méthodes de calcul des DH. Ainsi, la brochure fait la synthèse, donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été optimal. La brochure synthétise des informations essentielles à connaître pour s’orienter vers les bons choix techniques lors de la construction. L’étude est en accès libre sur le site du syndicat ici   
Il y a 2 ans et 311 jours

Revcoo : Quand innovation technologique rime avec transition écologique

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Revcoo a installé son innovation sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. [©Eiffage Route] En Europe, le secteur industriel représente 46 % des émissions de dioxyde de carbone. Dans un contexte où industrie devrait rimer avec écologie, les actions doivent être vite mises en place. Ainsi, Revcoo, une jeune start-up lyonnaise, œuvre pour la transition écologique. Elle a élaboré une nouvelle technologie capable de capturer le CO2 des usines. Cela, dans le but de limiter le réchauffement climatique de + 1,5 °C d’ici 2050. Ce procédé consiste à capter le carbone directement en sortie des cheminées d’usine par cryogénie. La technique se déroule ainsi en 3 étapes. Tout d’abord, le gaz à traiter est comprimé avant d’être déshumidifié. Il est ensuite filtré pour isoler le dioxyde de carbone, afin qu’il soit pur. Enfin, ce gaz conditionné est placé dans le désublimateur dans lequel le CO2 se transforme en neige carbonique. Lire aussi : Carbon8 Systems, de déchets à matériaux Des usines éco-responsables Des premières installations sont prévues prochainement sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. Au démarrage, Revcoo devrait capter environ 2 t/j de CO2. Pour la fin d’année, il espère monter à 20 t/j. La technologie permettrait alors d’éviter l’émanation de 95 % des émissions dans l’atmosphère. De plus, la technique ne perturbe pas la production et ne force pas les professionnels à changer leurs procédés. La start-up propose donc un moyen pour les usines industrielles de devenir éco-responsables. A cela s’ajoute un gain d’argent significatif. En effet, l’innovation permettrait d’optimiser les coûts carbone parmi les plus bas du marché avec un CO2 capturé pour moins de 19 €/t. Soit environ 4 fois moins cher que sa valeur actuelle ; En parallèle, Revcoo valorise une partie du carbone cryogénisé pour ses recherches, pour l’élaboration de carburants verts ou encore pour la construction en béton. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 311 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures  
Il y a 2 ans et 311 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures   Cet article Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 311 jours

Changing models : smart buildings et smart finance

La rénovation énergétique des logements privés et des bâtiments publics est donc une cible privilégiée pour les initiatives d’efficacité énergétique, notamment le plan France Relance qui lui consacre 6,2 milliards d’euros sur deux ans[2], et contribuera largement à l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050.Afin d'atteindre ces objectifs, il convient d'accorder une plus grande attention au parc immobilier commercial et public existant. En Europe, par exemple, près de 75% du parc immobilier est inefficace sur le plan énergétique.[3] Cela signifie qu'une grande partie de l’énergie consommée est en fait gaspillée. La rénovation des bâtiments existants pourrait réduire la consommation totale d’énergie de l'UE de 5 à 6% et diminuer les émissions de dioxyde de carbone d'environ 5%. Pourtant, en moyenne, moins de 1% du parc immobilier national est rénove chaque année. Pour atteindre les objectifs en matière de climat et d’énergie, les experts affirment que les taux de rénovation actuels devraient au moins doubler.[4]Sur l'ensemble du territoire de l'UE, l’amendement de la directive sur la performance énergétique des bâtiments[5] encourage une accélération de la transition vers des bâtiments écoénergétiques. La politique gouvernementale commence à faire avancer la réforme des bâtiments publics.Par exemple, la directive sur l'efficacité énergétique exige un taux de rénovation annuel de 3% pour les bâtiments dont les administrations centrales nationales sont à la fois propriétaires et locataires. [6]Au niveau local, il existe également des exigences obligatoires pour mettre à niveau les systèmes de gestion des bâtiments. Parmi les exemples, citons la loi ELAN en France, qui oblige les bâtiments commerciaux à atteindre certains objectifs d'efficacité énergétique. De plus, depuis 2021, le décret tertiaire oblige les acteurs du tertiaire français (propriétaires et locataires de bâtiments hébergeant des activités tertiaires) à réduire progressivement la consommation énergétique de leurs bâtiments en trois échéances : une réduction de 40% d’ici 2030, de 50% d’ici 2040, et de 60% d’ici 2050.[7]L'Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que pour atteindre un parc immobilier zéro carbone d'ici à 2050, les émissions directes de CO2 des bâtiments doivent diminuer de 50% et les émissions indirectes du secteur du bâtiment de 60% d'ici à 2030.En particulier, une annonce de l'Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction a note "Le rythme de la rénovation dans tous les pays concernes est insuffisant, restant bien en deca du potentiel. En effet, la rénovation annuelle doit passer dans les pays industrialisés a une moyenne de 2 % du parc existant par an d'ici 2025, et a 3% d'ici 2040."[8]Toutefois, une étude plus récente de Siemens Financial Services[9] calcule les volumes financiers de cet objectif d'investissement global jusqu'en 2040. La question émergente abordée dans cette étude consiste toutefois à estimer le déficit entre le taux actuel d'investissement dans les bâtiments intelligents à haute efficacité énergétique et le taux accéléré qui, selon les experts, doit être atteint pour respecter les objectifs de durabilité et de changement climatique. C'est dans ce déficit que la finance intelligente peut intervenir pour permettre l'investissement qui devrait être réalisé mais qui ne l'est pas encore.Pour combler le déficit d'investissement estimé dans cette étude, les propriétaires et les gestionnaires de bâtiments doivent envisager de modifier le mode de fonctionnement de leurs bâtiments, leurs modèles économiques et la manière dont ils vont financer les mises à niveau nécessaires.En ce qui concerne la technologie opérationnelle, les bâtiments commerciaux et publics vont devoir devenir plus intelligents pour faire face à ces nouvelles demandes de décarbonation. Les bâtiments intelligents permettent de travailler de manière flexible, que ce soit du point de vue du bureau nomade (hot desking), des changements d'utilisation, de la sécurité et de la sûreté, d'une plus grande efficacité et flexibilité ou de l'adaptation à des circonstances volatiles. S'il existe un large consensus sur la nécessité de rendre les bâtiments plus intelligents, tous les pays et tous les secteurs ont besoin d'un moyen de rendre cette conversion financièrement viable. Mais comment le faire dans la pratique ? Le point de départ est l'utilisation de technologies intelligentes pour réduire la consommation d'énergie des bâtiments. Cela permet de réaliser des économies substantielles qui, grâce à des mécanismes de financement intelligents, peuvent être exploitées pour subventionner de manière significative la rénovation énergétique des bâtiments existants. Dans certains cas, les économies d'énergie peuvent même payer l'ensemble de la conversion. Cela peut se faire au niveau de l'entreprise ou par petites étapes progressives, chacune d'entre elles prouvant son retour sur investissement. Les économies typiques d'efficacité énergétique des bâtiments sont généralement d'au moins 20% [10] (souvent bien plus), ce qui représente des économies d'exploitation très importantes.De nouveaux modèles pour un financement intelligentLe financement intelligent prend diverses formes, en fonction des processus opérationnels qui doivent être activés. Au niveau des composants technologiques, des outils de financement sont disponibles pour aider les vendeurs et les distributeurs à ajouter de la valeur grâce à des capacités de trésorerie pour leurs acheteurs. Pour les installations ou les systèmes de plus grande envergure, des modalités de financement intelligentes peuvent être adaptées et ajustées afin d'aligner les coûts sur le taux de bénéfice tiré de la technologie d'efficacité énergétique. Au niveau le plus complexe, les bâtiments intelligents en tant que services (Smart Buildings as a Service) fournissent la solution de financement, les économies futures attendues de l'efficacité énergétique étant exploitées et utilisées pour payer l'investissement en capital et plus encore. ConclusionsLes projets de rénovation visant à décarboner les bâtiments en les transformant en environnements intelligents et économes en énergie prennent du retard par rapport aux objectifs climatiques établis par les gouvernements du monde entier. De nombreux experts ont déclaré que le taux d'investissement annuel devrait être multiplié par trois ou plus pour atteindre les objectifs fixés.Afin de combler le déficit entre les taux d'investissement actuels et les volumes requis, des méthodes de financement intelligentes sont proposées par le secteur privé. Elles cherchent toutes à rendre abordable pour les propriétaires la conversion vers des bâtiments décarbonés, économes en énergie et intelligents. Au minimum, ces outils de financement facilitent le flux de trésorerie et alignent les coûts sur le taux des avantages obtenus. Dans le meilleur des cas, le financement intelligent rend la transition vers la décarbonation neutre sur le plan budgétaire, en exploitant les économies futures pour payer les investissements actuels.Tribune de Thierry Fautré, Président de Siemens Financial Services France (LinkedIn).[1] Ministère de la Transition écologique, La Rénovation énergétique, 22 juin 2021[2] Ibid[3] European Commission, In focus: Energy efficiency in buildings, 17 Feb 2020[4] Ibid[5] Directive UE 2018/844/UE[6] Parlement Europeen, Boosting Building, 2016[7] Siemens Financial Services, Combler le déficit d'investissement: Le financement intelligent pour la décarbonation des bâtiments, Sept 2021[1] Global ABC, COVID-19 response: Global ABC is encouraging massive renovation wave, 24 Sep 2020[2] Siemens Financial Services, Batiments intelligents : piloter l’ajout de valeur dans l’adoption de la ≪nouvelle norme≫, 2020[3] IPF Research Programme, Costing Energy Efficiency Improvements in Existing Commercial Buildings, Oct 2017
Il y a 2 ans et 311 jours

Jacques Ferrier et Chaix & Morel passent en CO’Met à Orléans

Il a fallu pas moins que Jacques Ferrier Architecture (coordinateur), Chaix & Morel Associés, Ferrier Marchetti studio et Populous pour réaliser le CO’Met d’Orléans (Loiret), un équipement composé de quatre structures : un Zénith, un parc d’exposition, un Palais de congrès et une salle sportive. L’ensemble est habillé par Gantois Architecture de 14 000m² de résille aux […] L’article Jacques Ferrier et Chaix & Morel passent en CO’Met à Orléans est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 311 jours

Avec Eva, Sika ouvre la route du bas carbone

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Avec sa démarche Eva, Sika cherche à accompagner les acteurs du BPE dans leur transition vers le bas et le très bas carbone. [©Sika] A partir de l’année 2021, Sika a commencé à déployer son offre Mix & Flow. Une approche d’adjuvantation s’articulant autour de trois briques, modulables à loisir. « On parle de trois adjuvants de base, à utiliser seuls ou en combinaisons et dans des proportions ajustables », rappelle Joachim Monge, chef de marché BPE chez Sika. Aujourd’hui, le chimiste suisse lance, en même temps, tous les autres étages de sa nouvelle fusée adjuvantaire. Son nom : Eva. Comme le petit robot féminin du film animé Wall-E ? Non ! Plutôt comme l’acronyme d’Environnement, Valeur et Accompagnement. « A travers Eva, nous cherchons à accompagner les acteurs du BPE dans leur transition vers le bas et très bas carbone », souligne Michèle Duval, directrice du pôle Béton de Sika. Performances et valeurs d’usage maintenues Ce n’est pas un luxe que de rappeler qu’avec l’entrée en application de la RE 2020, la donne change en matière d’approches constructives. Et même si nombre de professionnels estiment – à juste titre – que le béton a un rôle à tenir dans la construction du futur, il n’en reste pas moins pointé du doigt aujourd’hui. Son devenir est intimement lié à la baisse de son empreinte carbone. La démarche Eva est la contribution de Sika pour atteindre cet objectif crucial de décarbonation du secteur de la construction. Elle se décline en trois axes dont le premier doit, justement, permettre de formuler des bétons bas et très bas carbone, sur la base de nouveaux liants, en particulier. « Tout en maintenant les performances et les valeurs d’usage, y compris en conditions hivernales », insiste Joachim Monge. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 311 jours

Isère : La région Auvergne – Rhône-Alpes s’équipe en stations hydrogène

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La future station hydrogène d’HYmplulsion se situe sur le site de Saint-Egrève de Vicat. [©Vicat] Créée en 2018, HYmpulsion est une entreprise spécialisée dans la mobilité hydrogène en Auvergne – Rhône-Alpes (AuRA). Ses actionnaires se composent de la région AuRA, Engie, Michelin, le Crédit Agricole et la Banque des Territoires. En avril dernier, Laurent Wauquiez, président de la Région, Thierry Raevel, président d’HYmpulsion, et Guy Sidos, Pdg de Vicat, se sont réunis à Saint-Egrève (38). Les trois acteurs annonçaient ainsi la création d’une nouvelle station hydrogène sur le site du bétonnier. « Nous sommes fiers de contribuer activement à l’émergence de la filière hydrogène. Et à l’indépendance énergétique, grâce à la production locale de nouveaux vecteurs décarbonés : les carburants de synthèse », explique Guy Sidos. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Pour l’industriel, comme pour d’autres, cette énergie constitue un atout pour la décarbonation des transports et des process industriels. Au total, 5 stations d’hydrogène verront le jour courant 2022. Les usagers ayant fait le choix de cette mobilité pourront traverser la région sur un axe Est – Ouest et systématiquement disposer sur leur trajet d’une solution de recharge en hydrogène renouvelable. « Dans le contexte de crise énergétique actuelle, le développement de l’hydrogène est plus que jamais pertinent », conclut Pierre Fort, Dg du Crédit Agricole Sud Rhône Alpes. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 311 jours

Un projet d'usine à Fos-sur-Mer pour verdir l'acier

Un projet d'usine de production de fer et d'acier décarbonés, implantée à Fos-sur-Mer (13), a été annoncé le 30 juin par un consortium constitué par l'incubateur européen EIT InnoEnergy, avec notamment Engie et Forvia.
Il y a 2 ans et 311 jours

Configurateur Plancher dalle – un logiciel développé par RECTOR pour accompagner les architectes

Pour anticiper la transformation des bâtiments dès leur conception et réduire leur impact environnemental, RECTOR lançait, en 2020, Caméléo®, une structure révolutionnaire de plancher dalle préfabriquée en béton sans mur porteur, intégrant tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Cette nouvelle approche impactant la manière de construire, RECTOR crée, aujourd’hui, le configurateur Plancher dalle […]
Il y a 2 ans et 311 jours

Semin, des produits locaux, une ambition internationale

Le fabricant d’enduits a présenté début juillet à ses clients distributeurs sa nouvelle gamme 99, composée de quatre produits à très forte teneur en matières naturelles. Une stratégie de circuits courts, qui n’empêche pas le groupe de regarder toujours plus vers l’export.
Il y a 2 ans et 311 jours

L’innovation : la raison d’être de LOUINEAU depuis plus de 40 ans

 NOUVEAUX SYSTÈMES DE FIXATION ET D’HABILLAGE, ET NOUVEL OUTIL DIGITAL POUR FACILITER TOUJOURS PLUS LE QUOTIDIEN DES PROFESSIONNELS  Un industriel qui place le savoir-faire de l’artisan au coeur de ses lignes de production  Concepteur et fabricant français de systèmes de fixation et d’habillage pour les menuiseries et murs-rideaux, LOUINEAU cultive sa démarche d’innovation depuis plus de […]
Il y a 2 ans et 311 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre

"C'est une première mondiale qui démarre en France", a annoncé Patrice Richard, directeur de la distribution du groupe: un programme de masse visant à réutiliser à partir de 2023 la terre d'excavation de chantiers, aussi bien pour bâtir des maisons individuelles que des immeubles à étage.A l'origine, le groupe cherchait depuis 2019 à répondre à la demande d'un des plus grands aménageurs publics d'Europe, Euroméditerranée, qui pilote la rénovation des quartiers déshérités du nord de Marseille."Ils nous ont dit: +Le gouvernement et les normes françaises nous imposent du bois et des matériaux biosourcés pour faire baisser les émissions de CO2 de la construction, mais nous n'avons pas de bois: que peut-on faire avec de la terre? Parce que nous avons de la terre+", se souvient M. Richard.En alliant ses forces de recherche, ses usines et son réseau de distribution de matériaux Point P, Saint-Gobain a imaginé la possibilité de remplir des murs à ossature de bois avec un "béton de terre" projeté ou coulé, ou de construire avec des parpaings composés de terre, d'un liant à base de déchets de sidérurgie, de concassage de béton recyclé et de végétaux comme le chanvre.Des idées au MarocOutre le fait qu'elles sont économiques, les maisons en torchis ou en pisé, que l'on trouve du Maroc à l'Amérique latine en passant par le Sahara ou le Yémen, ont trois qualités: elles offrent un meilleur confort en été et en hiver, une meilleure hygrométrie, et une meilleure isolation phonique.Autant de facteurs issus des cultures traditionnelles très recherchés pour adapter la construction moderne au réchauffement climatique, tout en faisant baisser les émissions carbone du secteur de la construction, alourdies par celles de la fabrication du ciment. A lui tout seul, le ciment émet trois fois plus de carbone que le transport aérien.Le béton de terre, s'il ne permet pas encore de bâtir des murs porteurs, pourrait aussi permettre de réduire les consommations de sable, de plus en plus rare, soulignent ses promoteurs."Nous sommes allés prendre des idées au Maroc", précise M. Richard. "Ce que nous ne pouvions pas répliquer, ce sont des murs aussi épais que là-bas, et surtout nous devions trouver une solution demandant moins de main-d'oeuvre."Avec la technique de projection de béton de terre dans une structure porteuse en bois, on débouche sur un bâtiment "négatif en carbone", assure-t-il.Cette technique devrait aussi permettre de consommer moins d'énergie pour chauffer ou rafraîchir le bâtiment puisque la terre a la capacité de stocker la chaleur en été (au moins 15 heures), de freiner le froid en hiver, d'aspirer l'humidité quand il y en a trop, ou en rejeter si l'air est trop sec.Maisons "test""A condition de ne pas l'utiliser en façade", avertit néanmoins Manu Foucher, façadier qui craint les lézardes et craquellements dus à la sécheresse, malgré le chanvre incorporé dans la recette pour limiter le retrait de la terre lorsqu'il fait sec.A l'utilisation, avec un camion-pompe qui remplit de béton de terre l'ossature-bois, M. Foucher trouve "qu'on gagne du temps sur le chantier". Saint-Gobain s'est engagé à lancer des programmes de formation pour les artisans.Pour l'instant, une poignée de maisons "test" sont prévues en France et le groupe a signé deux projets d'immeubles dont la construction devrait démarrer en 2023.Côté coûts, le projet "était surnommé Dacia au début", du nom de la voiture à bas coût de Renault qui s'est avérée un succès commercial, explique M. Richard. "Un mur fourni et posé ne devait pas coûter plus qu'un mur de base" en béton, sinon il ne pourrait jamais prendre son envol, souligne-t-il."Les fabricants de béton ne sont pas des concurrents, ce sont des partenaires, car nous les aidons à décarboner les immeubles, et on ne pourra pas se passer de la portabilité des bâtiments (les fondations en béton armé), mais grâce à la terre on pourra être conforme aux nouvelles normes de construction françaises RE2020", espère Michel Daniel, directeur aménagement et ville durable chez Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 312 jours

Grégoire Poux-Guillaume prochain CEO d’AkzoNobel

AkzoNobel a annoncé que Grégoire Poux-Guillaume deviendra le nouveau CEO de l’entreprise au 1er novembre 2022. Il succédera à Thierry Vanlancker, actuellement CEO et membre du Conseil d’Administration depuis 2017, dont le mandat s’achève. Grégoire Poux-Guillaume (52 ans), de nationalité française, est un dirigeant international comptant 25 années d’expérience. Il s’est distingué en assurant la réussite et la rentabilité d’entreprises dans des environnements difficiles, où il a su accélérer la croissance et améliorer les marges. Précédemment, il a été CEO de Sulzer, CEO de GE Grid Solutions (anciennement Alstom Grid) et Directeur Général de CVC Capital Partners.
Il y a 2 ans et 312 jours

Gary HAWORTH nommé Président adjoint de la FIPEC

Gary HAWORTH, Directeur général du Groupe TOUPRET, vient d’être nommé Président adjoint de la Fédération des industries des peintures, encres, couleurs, colles et adhésifs, préservation du bois (FIPEC). Élu à l’unanimité le 2 juin 2022lors de l’assemblée générale de la Fipec, Gary Haworth a pris les fonctions de Président adjoint de la FIPEC pour 1 an. Aux côtés de Jacques MENICUCCI, Président, il a pour mission de soutenir et développer les actions de la FIPEC avec les institutionnels, les filières professionnelles et les autres organisations partenaires tant au niveau national qu’européen. Nommé Conseiller du Commerce Extérieur de la France par le Premier Ministre en novembre 2021, Gary HAWORTH a plus de 30 ans d’expérience sur les marchés du bricolage et de la construction, auprès de l’industrie, des circuits de distribution professionnels et grand public. Avec cette nouvelle fonction, c’est tout naturellement que Gary HAWORTH poursuit son engagement auprès des différents acteurs de la filière. Photo : FIPEC  
Il y a 2 ans et 312 jours

L'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) s'installe en Seine-Saint-Denis, "un symbole"

Installée, depuis sa création en 2004, rue de Vaugirard dans le VIème arrondissement de la capitale, l'agence a déménagé ses 130 salariés de l'autre côté du périphérique, dans un immeuble flambant neuf le long du canal de l'Ourcq, où le foncier disponible a fait fleurir les projets immobiliers."L'idée de venir en Seine-Saint-Denis s'est imposée compte tenu du fait que c'est le département sur lequel nous avons la plus grosse intervention en terme de renouvellement urbain", explique dans un entretien à l'AFP Anne-Claire Mialot, nommée en décembre dernier."Ça permet aussi de montrer qu'on croit concrètement à la possibilité de transformation des quartiers, et c'est aussi cela que symbolise notre arrivée", appuie-t-elle.Le nouveau siège doit être inauguré jeudi, en présence du nouveau ministre de la Ville et du Logement, Olivier Klein, qui occupait jusqu'alors la présidence de cet établissement public."C'est une fierté de voir le président accéder à ces fonctions qui sont essentielles pour l'avenir de notre pays. Il a l'expérience de la construction de logements, du renouvellement urbain et de la politique de la ville dans sa ville de Clichy-sous-Bois" dont il est maire, estime Mme Mialot.Au total, 453 quartiers sont ciblés par le nouveau programme national pour le renouvellement urbain mené par l'ANRU, qui dispose d'un budget de 12 milliards d'euros."Aujourd'hui, c'est le temps de l'opérationnel" avec une majorité de chantiers lancés, souligne sa directrice.Trente-sept quartiers de Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de France métropolitaine, sont concernés par ces opérations pour "plus de 2 milliards d'euros de concours financier", soit des subventions et des prêts bonifiés.Plus globalement, "l'Ile-de-France est la première région où on intervient", rappelle Mme Mialot, citant également des villes emblématiques telles Sarcelles (Val-d'Oise), Grigny (Essonne) ou Les Mureaux (Yvelines)."Une bosse" ?L'ANRU entend aussi se déployer massivement à Marseille, où le plan "Marseille en Grand" prévoit d'injecter 650 millions d'euros pour rénover les quartiers pauvres (Castellane, Kalliste...) et "le centre-ville où on met 200 millions d'euros pour travailler sur l'habitat privé".Des villes ouvrières du Nord tout comme la métropole lyonnaise verront également des programmes de rénovation se concrétiser.Avec partout, la même boussole: "travailler sur la rénovation de l'habitat, mais aussi sur la mixité sociale et fonctionnelle, faire revenir du développement économique et des activités dans les quartiers".Exit les "quartiers dortoirs", il faut "refaire des villes où toutes les fonctions sont présentes", annonce Mme Mialot.Par son action, l'ANRU a, selon sa directrice générale, "un effet levier sur d'autres problématiques comme l'inclusion, le développement durable, la résilience".Mais la reprise de l'inflation, qui frappe notamment le prix des matériaux et renchérit le coût des prêts, ne risque-t-elle pas de contrarier certains grands projets ?"Si c'est conjoncturel, c'est une bosse qu'on passera comme d'autres, si c'est un peu plus structurel, la question pourrait se poser de la soutenabilité d'un certain nombres de projets", glisse Anne-Claire Mialot."Pour l'instant, j'ai des élus et des bailleurs qui me disent, +c'est compliqué+, mais je n'ai personne qui m'a dit +j'arrête ce projet parce que je ne peux pas le financer+".Au-delà de l'amélioration du cadre de vie des habitants, les opérations de rénovation urbaine incluent la présence d'équipements publics (écoles, crèches) et "la diversification de l'habitat" pour accueillir différentes populations."La concentration des personnes les plus précaires dans un même lieu n'apporte rien de bon. La mixité permet l'entraide, le dialogue, le vivre-ensemble, la connaissance réciproque, de faire tomber les stéréotypes", juge Anne-Claire Mialot.
Il y a 2 ans et 312 jours

ONDULINE® FLEXOUTUILE – Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité des toitures en tuiles même après de grosses intempéries

En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir une étanchéité pendant 30 ans, il doit être associé à un système de sous-toiture adapté. Pour éviter les fuites et renforcer la protection des toitures en tuiles contre les risques d’infiltrations (fortes pluies, orages, grêle, neige) et le soulèvement des tuiles par le vent, le leader mondial des solutions de toitures légères ONDULINE a développé FLEXOUTUILE : ce système de sous-toiture ingénieux largement éprouvé assure une étanchéité parfaite et durable des toitures en tuiles. Économique, FLEXOUTUILE offre la possibilité de conserver et de réutiliser les tuiles originales, très pratique en période de pénurie de tuiles, grâce aux différents profils de plaques disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm). Légères et très flexibles, les plaques bitumées de sous-toitures ONDULINE FLEXOUTUILE sont très simples à installer. Elles s’adaptent à tous les types de tuiles y compris sur des charpentes anciennes. Ce système de sous-toiture assure la pérennité du bâti, en neuf comme en rénovation, en le protégeant des défauts d’étanchéité qui peuvent survenir au fil des années à cause des conditions climatiques ou suite à l’altération des tuiles. ONDULINE FLEXOUTUILE Une pose simplifiée qui s’adapte parfaitement à la charpente existante Les plaques ONDULINE FLEXOUTUILE sont hautement perméables à l’eau et offrent une protection durable et totalement étanche de la toiture contre l’humidité, le vent et la condensation, même lorsqu’une tuile se casse. Très simples à manipuler, à découper et à installer, ces plaques de sous-toitures légères (2,9 Kg/m2) et flexibles s’adaptent à tous les types de charpentes y compris les charpentes anciennes qui peuvent être un peu déformées. Différents profils de plaques sont disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm) afin d’être installés sur tous types d’ouvrages : les bâtiments historiques, les Établissements Recevant du Public, les bâtiments agricoles, les maisons individuelles et les bâtiments commerciaux. Les bâtiments sont hors d’eau dès la mise en place des plaques et cette étanchéité est garantie 6 mois sans tuiles. La sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE est dotée d’un système de marquage qui permet de positionner facilement et rapidement les tuiles, en assurant un alignement parfait. La pente de la couverture doit être de 18 % minimum. De plus, sa résistance accrue et sa grande rigidité permettent notamment de marcher sur les plaques, pour une pose facilitée et plus sûre. Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO² sont réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 2 ans et 312 jours

Négoce Connecté, 27 septembre 2022 à Paris

Comment transposer les atouts historiques du négoce dans un univers omnicanal et mobile first ? Quel peut être le rôle des négoces dans un monde dominé par les plateformes telle qu’Amazon et où les grandes marques sont tentées par la vente directe ? Comment répondre aux évolutions des comportements d’achat des PME, des pros, des artisans ?Autant de questions passionnantes qui seront abordées, mardi 27 septembre 2022 par des dirigeants et acteurs du négoce devant un public de retailers du secteur. Ne manquez pas la seconde édition du rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB organisé à Paris par Diamart Connect.Un programme exceptionnel, avec 4 Tables Rondes sur des sujets d’actualité :De crise en crise : quels défis et quelles réponses pour nos entreprises ?RSE et circulaire : comment transformer la contrainte en opportunité business ?La saga des données produitsAccélération digitale et stratégies clientsUne journée animée par un panel de speakers emblématiques Tels que : Olivier Mercadal, Directeur général adjoint chez Saint-Gobain Distribution Bâtiment, Fabio Rinaldi, Président du Directoire chez Bigmat, Marc Teulières Executiv Vice Président Customer Success chez Mirakl, Pauline Mispoulet - Présidente Directoire GROUPE SOCODA et Bertrand ALARD, Directeur marketing chez POINT.P - SGDB France, Aodren COSNIER - Directeur Achats et Offre Produits de LEGALLAIS accompagné de Patrice Gouineau, Responsable Data produits chez Rexel et de Jesse Créange, Co-fondateur et CEO d’Unifaï, Nathalie CHAPUSOT - DG déléguée Marketing/ Ventes et e-commerce – RAJA et Olivier Cianelli, Directeur Marketing & Commercial Sonepar France.Négoce Connecté, c’est aussi :Des rencontres avec les solutions technologiques les plus pertinentes lors de One-to-One qualifiés,Une journée ponctuée d’échanges et de networking entre acteurs clés du secteur.Des use cases avec Akeneo, Alkemics et Sum up.Partenaires gold de cette édition 2022; Mirakl et Unifai.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/* invitation gratuite pour tous les cadres et dirigeants du négoce et commerce B2B, sous réserve de programmer 2 à 3 rendez-vous one-to-one avec des acteurs technologiques qualifiés
Il y a 2 ans et 312 jours

L'usine de Renault Cléon "temple du moteur thermique" accélère son virage électrique

Située dans une boucle de la Seine, à quelques kilomètres de Rouen, l'usine qui a produit les moteurs des 4L, R5 ou Twingo est métamorphosée. Dans le très propre atelier électrique, sur un léger bruit de fond mécanique, quelques dizaines de salariés assemblent des pièces de moteur ou surveillent les machines qui enroulent du cuivre sur de l'aluminium.Après deux ans de rénovation, le constructeur a inauguré mardi la ligne de montage d'un moteur électrique de puissance moyenne (160 kilowatts, soit 220 chevaux). Il équipe son nouveau porte-étendard électrique et haut de gamme, la Mégane E-Tech.Refroidi à l'huile pour de meilleures performances, il est 25% plus compact et 15% plus léger que le moteur de la Zoé, souligne Thomas Denis, le directeur de l'usine.Ce nouveau moteur a été développé dans le cadre de l'Alliance avec Nissan, et son clone produit au Japon équipe aussi le nouveau SUV de la marque nippone, l'Ariya.En 2021, les salariés de Cléon ont encore produit 600.000 moteurs et boîtes de vitesse pour des modèles thermiques, ainsi que 167.000 moteurs hybrides et 150.000 moteurs électriques, notamment pour la Zoé. Mais la production de moteurs électriques devrait doubler dans les deux prochaines années.Un an en formationEt en ajoutant un moteur électrique plus petit pour la nouvelle R5, dont les lignes sont encore protégées par des bâches, la production devrait passer à 500.000 électriques et 510.000 hybrides à partir de 2024, avec un départ total des moteurs thermiques à l'étranger en 2030.Pour le directeur industriel de Renault, l'Espagnol Jose Vicente de los Mozos, "c'est l'exemple d'une transformation industrielle", avec "un avenir clair", a-t-il lancé lors de l'inauguration.L'usine doit aussi produire à partir de 2027 un puissant moteur de 200 kilowatts, conçu sans terres rares, et produit en partenariat avec l'équipementier français Valeo.Cléon aurait ainsi sa place dans la future entité électrique de Renault. Celle-ci doit rassembler 10.000 salariés en France à horizon 2023, avec notamment les trois usines de son pôle "ElectriCity", dans les Hauts-de-France.A la fin de la ligne de montage, Elise Delabrière, 33 ans, vérifie les moteurs avant leur transfert à l'usine d'assemblage de Douai. Embauchée à Cléon en 2017, elle a commencé sur les lignes de la Mégane thermique avant de partir en formation pendant un an. "J'ai découvert l'installation des machines. Au début, on n'était que dix", explique la conductrice de ligne.Moins de main-d'oeuvrePrès de l'entrée du site, le centre de formation interne doit accueillir en juillet ses premiers salariés. Cléon a annoncé fin juin l'embauche de 100 nouveaux collaborateurs en CDI "pour accompagner la transformation électrique du site".Le nombre de salariés n'a pourtant cessé de baisser à Cléon, notamment dans le cadre d'un plan de départ global lancé par Renault début 2021. "On a 3.096 CDI en activité, alors qu'on était à 3.600 il y a deux ans", souligne William Audoux, représentant de la CGT dans l'usine.Les moteurs électriques demandent moins de main-d'oeuvre: la direction de Renault indique que la fabrication du nouveau moteur est automatisée à 60%, contre 40% pour le moteur de la Zoé, et entre 7 et 30% pour un moteur thermique, selon les pays de fabrication.La direction dénombre de son côté 3.228 salariés. "On n'a laissé personne de côté", a assuré M. de los Mozos.Pour atteindre ses ambitieux objectifs ambitieux d'électrification, Renault devra également se sortir de la pénurie de puces électroniques, qui a ralenti la production à Cléon comme dans de nombreuses autres usines automobiles.Outre les suppressions de postes, la CGT critique le positionnement de Renault sur le haut de gamme, qui doit redorer le blason du Losange, mais met ces modèles hors de portée financière des ouvriers."Pour fabriquer les produits, il faut vendre les voitures, et pour les vendre, il faut que les gens aient du pouvoir d'achat", alors que l'inflation progresse et que les salaires n'augmentent pas assez, a souligné M. Audoux.
Il y a 2 ans et 312 jours

Bertrand Bedel réélu à la présidence de la Fédération de l'Industrie du Béton (FIB)

Bertrand Bedel a été réélu pour un nouveau mandat d'un an à la présidence de la FIB le 17 juin à Paris. Il est également président du Centre d’Études et de Recherches de l'Industrie du Béton (Cérib).
Il y a 2 ans et 312 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020

Le FILMM détaille les solutions pour un confort d’été efficient. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. À la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet, cette nouvelle brochure du FILMM permet de mieux comprendre le confort d’été dans le cadre de la RE 2020, synthétise des informations essentielles à connaître, pour s’orienter vers les bons choix techniques à faire, en matière de confort d’été. L’étude distingue les paramètres importants du confort d’été et souligne qu’une combinaison de solutions est la clé de voûte du confort d’été.
Il y a 2 ans et 312 jours

Edilians étend sa gamme de produits photovoltaïques et dispose aujourd’hui d’une offre complète pour répondre à toutes les configurations et tous les styles architecturaux

Même si l’installation de panneaux photovoltaïques s’est imposée ces dernières années en construction neuve, la production d’énergie solaire doit s’accélérer afin d’atteindre l’objectif de la loi Climat & Résilience qui vise la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour répondre au défi de l’urgence climatique, EDILIANS propose déjà des solutions toiture innovantes parmi lesquelles ses tuiles terre cuite solaires, le photovoltaïque ultra intégré, et la tuile Solaire Max, son best-seller depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui, l’acteur de l’éco-habitat passe à la vitesse supérieure et enrichit son offre destinée aux couvreurs et solaristes avec Easy Roof, une gamme complète de systèmes conçus pour faciliter l’intégration ou la surimposition de panneaux photovoltaïques en toiture, et le brise-soleil Umbra Solar Pro. EASY ROOF EVOLUTION et EASY ROOF ACCESS : des produits solaires intégrés au bâti pour une esthétique optimale en toiture Outre ses tuiles terre cuite solaires riches de 3 modèles disponibles en coloris rouge et noir (Alpha Solaire, HP 10 Solaire, Rhôna Solaire) et sa tuile solaire universelle (Tuile Solaire Max) déclinée également dans les même teintes, EDILIANS ajoute à sa gamme deux nouvelles solutions d’intégration de panneaux photovoltaïques en toiture : – EASY ROOF EVOLUTION, système de fixation ventilé dont l’ingénieux procédé breveté d’emboîtement permet aux différents éléments qui le composent de s’imbriquer les uns aux autres avec la plus grande précision (abergement haut intégré au cadre et centrage parfait des modules), sans découpe ni joint. L’étanchéité de la toiture est assurée par recouvrement. Rapide et facile à monter, puisque 6 heures suffisent pour une installation de 3kW à 2 personnes. Performant, il bénéficie d’une grande résistance à toutes les conditions climatiques (U.V., grêle, pluie, neige, vent) et d’une ventilation optimisée grâce à des entrées et sorties d’air présentes sous chaque module au service d’une meilleure performance énergétique. Compatible avec la majorité des modules photovoltaïques existants sur le marché, EASY ROOF EVOLUTION convient parfaitement aux toitures présentant une pente de 10 à 50°, quelles que soient les applications (résidentielles, commerciales, bâtiments publics, agricoles et industriels), – EASY ROOF ACCESS, un kit qui réunit en un système complet le panneau photovoltaïque et le procédé de fixation. Il associe la rapidité de montage et la fiabilité du système Easy Roof Evolution au panneau photovoltaïque Luxor Eco Line M120/340 W. Alliant esthétique et robustesse grâce à une sélection exigeante des composants, il garantit un excellent rendement énergétique avec une réflexion optimisée sur la surface cellulaire. L’ensemble constitue une solution idéale pour développer l’autoconsommation énergétique en toute sérénité (garantie 15 ans du module). EASY ROOF FLAT : simple à installer et de plus en plus plébiscité pour les toitures terrasse Ce système de montage pour panneaux photovoltaïques en toiture plate convient quels que soient l’orientation (Sud, Est/Ouest) et le type de revêtement (bitume, membrane, béton, graviers). Conçu pour accueillir la majorité des modules cadrés du marché ayant une largeur allant jusqu’à 1100 mm, il dispose d’une pente ajustable pour s’adapter à toutes les situations : parallèle au toit, de 10° à 14° (1 châssis par module), de 8° à 14° (configuration inter-module). Léger et résistant, chaque châssis Easy Roof Flat intègre tous les composants nécessaires à la fixation des modules par rail ou par socle. Sa mise en œuvre s’effectue ainsi de façon rapide et économique. EASY ROOF TOP : la solution photovoltaïque Edilians en surimposé Idéal sur toiture existante, Easy Roof Top rend possible la mise en œuvre de modules photovoltaïques cadrés sur tous types de toiture, présentant une pente de 8° à 50°, en tuiles (canal, à emboîtement, plate mécanique), en ardoise et sinusoïdales (fibrociment, plaque sous tuile) grâce à des crochets de fixation dédiés. Ce système en surimposition s’installe ainsi par-dessus la couverture existante tout en étant fixé directement sur la structure du bâtiment. Disponible en portrait, il peut également être posé en mode paysage. Grâce à une embase spécifique, une simple rotation de rail suffit, ce qui représente un véritable gain de temps lors de la mise en œuvre. Pour une esthétique irréprochable, le système Easy Roof Top se décline en deux finitions (aluminium, noir) et aucun élément (rail et fixation) ne dépasse du champ photovoltaïque. UMBRA SOLAR Pro : une alternative efficace ou complémentaire à une solution PV en toiture Pour concilier réduction des besoins énergétiques et confort d’été, EDILIANS présente UMBRA SOLAR Pro. Solution idéale en neuf, conformément aux exigences de la RE2020, comme en rénovation, ce nouveau modèle de marquise solaire permet de créer une avancée de toit au-dessus des ouvertures (fenêtres, baies vitrées, hall d’entrée) d’un bâtiment commercial, industriel ou même résidentiel collectif. A l’aide de son support en acier zingué qui assure une protection optimale contre la corrosion, il se pose simplement et rapidement en façade pour faire office de brise-soleil. Il protège alors de l’inconfort lié aux rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production en instantané de l’électricité. L’inclinaison optimale à 15° des modules garantit le meilleur compromis entre protection solaire et rendement énergétique, quelles que soient la saison et la zone géographique. Grâce à son esthétique épurée et à la possibilité d’aligner une succession de modules photovoltaïques, il s’intègre harmonieusement à toutes les architectures. En contribuant ainsi à réduire les besoins en climatisation tout en optimisant les économies d’énergie, UMBRA SOLAR Pro trouve naturellement sa place dans tous les projets BEPOS, BBC ou encore HQE. Rappelons qu’EDILIANS propose également la MARQUISE SOLAIRE, un kit complet prêt à l’emploi qui comprend la structure composée de 2 consoles avec système de fixation inclus, un ou deux panneaux photovoltaïques ainsi que le micro-onduleur. En enrichissant ainsi son offre solaire avec des produits photovoltaïques issu du savoir- faire français reconnu d’IRFTS*, EDILIANS propose aux couvreurs et solaristes une gamme étendue de solutions complètes pour répondre à toutes les configurations d’installations. En complément, afin d’aider ses clients couvreurs à se développer sur ce marché, EDILIANS déploie un panel de services dédiés : formation avec habilitation électrique BP, assistance 1er chantier, soutien dans la constitution du dossier administratif de raccordement et raccordements électriques, bureau d’études et hotline pour étudier les projets et répondre à toutes les questions techniques… Un véritable accompagnement clé en main pour leur simplifier toujours plus la vie au quotidien ! *Depuis le 1er février 2022, EDILIANS a officiellement intégré l’activité solaire en toiture d’IRFTS (technologies, brevets et systèmes). http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 312 jours

AGC et E.ON confirment leur partenariat pour améliorer l'efficacité énergétique et la décarbonation de sites

Dans ce contexte, l'énergéticien E.ON et le fabricant de verre AGC renforcent leur partenariat par un projet commun de récupération de chaleur résiduelle et de production d'énergie verte dans l'usine de verre flotté d'AGC à Seingbouse, en France. Le projet sera développé, mis en œuvre, financé et exploité par E.ON. E.ON et AGC Glass Europe ont lancé leur partenariat en 2019 et ont déjà mis en œuvre des projets d'efficacité énergétique dans divers pays européens. En outre, la construction de futures centrales photovoltaïques d'une capacité allant jusqu'à 20 mégawatts (MW) est prévue en Hongrie et en République tchèque.« Waste Heat to Power » Récupération de chaleur fatale pour produire de l'électricité neutre en CO2 La chaleur fatale est la plus grande source d'énergie inutilisée au monde. Environ la moitié de la chaleur utilisée dans l'industrie est ainsi perdue. Le cœur du processus de fabrication du verre est le four à verre flotté qui fonctionne à des températures élevées, supérieures à 1000°C. Environ 30 % de la chaleur nécessaire au processus de production est finalement perdue dans les gaz de combustion et restait, jusqu'à présent, inutilisée. E.ON et AGC Glass Europe veulent remédier à cela. Sur le site de production d'AGC à Seingbouse, cette chaleur sera récupérée pour générer de l'électricité neutre en CO2 en mettant en œuvre une centrale innovante à cycle organique de Rankine (ORC) d'une capacité de 1,3 mégawatts (MW).Pour poursuivre la décarbonation du site, E.ON installe également une centrale photovoltaïque (PV) d'une capacité de 2,7 MW sur le site de l'usine. Elle produira de l'électricité renouvelable sur une surface totale de 27 000 m2.Un « Green PPA » sur site pour réduire la dépendance aux marchés de l’énergieEn combinant une centrale électrique ORC avec une centrale PV, E.ON fournira à AGC environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité décarbonée par an à partir de 2023. Cette électricité est entièrement produite et consommée sur le site d'AGC et couvre une grande partie des besoins en électricité du site. Sur cette base, environ 595 tonnes de CO2 sont évitées chaque année.Le projet est structuré sous la forme d'un contrat d’achat d’électricité (PPA : Power Purchase Agreement) long terme où E.ON produira et vendra de l'électricité à un prix fixe. Cela permettra au site d'AGC de se prémunir du risque de volatilité des marchés de l'énergie. De plus, le projet ne nécessite aucun investissement de la part d'AGC car il est financé par E.ON et soutenu par l'Etat français dans le cadre du plan « France Relance » mis en place par l'ADEME*.Marc Bartheld, directeur d'usine AGC Seingbouse : « Notre usine est l'une des plus grandes lignes de production d'AGC pour le secteur du bâtiment avec une production annuelle de 240 000 tonnes de verre flotté. Notre objectif est de réduire nos émissions de gaz à effet de serre de 30 % et notre consommation d'énergie de 20 % d'ici 2030. Pour y parvenir, nous travaillons constamment à l'amélioration des performances environnementales de nos sites de production. Le projet de Seingbouse ici en France est un parfait exemple de la manière dont E.ON peut nous aider non seulement à atteindre nos objectifs de durabilité, mais aussi à garantir la compétitivité du site sur le long terme."Guenther Schneider, président d'E.ON France : « Outre la décarbonation, la sécurité d'approvisionnement et l'indépendance vis-à-vis des prix volatils des matières premières deviennent, dans le contexte de marché actuel, de plus en plus cruciales pour nos clients industriels. Par conséquent, ces objectifs peuvent être atteints en combinant mesures d'efficacité énergétique avec la réutilisation de la chaleur perdue et production locale d'énergie verte. Grâce à sa présence internationale, E.ON peut aider AGC à mettre en œuvre cette stratégie de développement durable de manière efficace sur l'ensemble de ses sites européens."(*) Le projet ORC a été financé par le Gouvernement français dans le cadre du plan de Relance opéré par l’ADEME. Le programme « France Relance », porté par l'ADEME, contribue à accélérer la décarbonation de l'industrie française.
Il y a 2 ans et 312 jours

Matterport lance Notes, un outil interactif de communication et de collaboration dans le jumeau numérique

Matterport Inc., le leader mondial de la technologie de capture 3D et des données spatiales, a annoncé l'ouverture de la beta de l'application Notes, un outil de conversation, de collaboration en équipe en temps réel et de partage de fichiers directement dans le jumeau digital Matterport.Avec Notes, les acheteurs et locataires de maisons peuvent inviter leurs amis et familles à localiser et étiqueter visuellement leurs pièces favorites et leurs caractéristiques préférées de leur habitat, les équipes d'entreprise sur le lieu de travail peuvent collaborer sur la planification de l'espace et l'aménagement des bureaux et les entreprises peuvent gérer les installations, attribuer des tâches et prendre des décisions opérationnelles clés plus rapidement sur un portefolio de sites distants.« Notes change la donne pour le travail d'équipe et l'efficacité », commente Japjit Tulsi, directeur technique CTO chez Matterport. « De plus en plus, les entreprises adoptent des fonctionnalités collaboratives et de communication afin d'améliorer le travail à travers des effectifs répartis afin de faire un gain de temps et d'argent. Notes est une première dans l'industrie, apportant des conversations collaboratives dans le jumeau numérique. En permettant les interactions directement avec des emplacements et des objets spécifiques dans le jumeau numérique, Notes fait gagner un temps considérable et améliore significativement le travail d'équipe, l'efficacité et la productivité à travers plusieurs parties prenantes. », ajoute-t-il.En utilisant Notes, les utilisateurs peuvent avoir des conversations directement dans un espace Matterport. N'importe qui étant invité à un espace peut poser des questions, écrire un commentaire, voir, répondre et créer des fils de discussion et recevoir une notification par courriel instantanément lorsqu'une activité se produit. De nouveaux utilisateurs peuvent être facilement ajoutés via @mentions.De plus, de multiples utilisateurs peuvent partager et accéder aux fichiers en toute sécurité et prendre part à des fils de discussion incluant des pièces-jointes, des images, des documents et des vidéos. Avec des fonctionnalités de confidentialité intégrées, seuls les participants ayant été invités peuvent voir et commenter sur Notes, et ce même si l'espace Matterport est publiquement disponible.
Il y a 2 ans et 312 jours

L'usine Lafarge La Malle passe à la biomasse

Afin de réduire la consommation d'énergie fossiles dans la fabrication de ses ciments, Lafarge a investi dans un nouvel atelier de traitement de fines de bois au sein de l'usine située à Bouc-Bel-Air (13).
Il y a 2 ans et 312 jours

Unique en France pour le collage des rails métalliques : Poly Max® High Tack Express Griffon bénéficie de la certification TÜV SÜD confirmée par le rapport d’essai CSTB N°DSSF 21-06581

Griffon, le spécialiste des systèmes d’assemblage, de collage, d’étanchéité et de protection dédiés aux professionnels, bénéficie d’un rapport d’essai CSTB et de la certification TÜV SÜD pour sa colle Poly Max® High Tack Express. Premier produit validé pour les installations sans vis de profilés métalliques, il répond à des exigences strictes, notamment en termes de […]
Il y a 2 ans et 312 jours

LA nouvelle laine ISOVER est de retour et s’étend aux solutions d’isolation des cloisons

LA nouvelle laine : 10 brevets et des qualités inédites Après la sortie de sa gamme d’isolants pour les combles perdus (IBR), ISOVER s’attaque aujourd’hui aux cloisons (PAR PHONIC) !Ce sont désormais plus de 50 % des surfaces isolées qui sont couvertes par LA nouvelle laine ISOVER.  Cette laine est fabriquée en France à partir de verre […]