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Il y a 2 ans et 363 jours

Lafarge en Syrie : décision en appel mercredi sur la "complicité de crimes contre l'humanité"

Dans le cadre de cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), ainsi qu'à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe avait investi 680 millions d'euros dans la construction de ce site, achevé en 2010.Il a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.Le groupe avait obtenu de la cour d'appel de Paris en novembre 2019 l'annulation de sa mise en examen en 2018 pour "complicité de crimes contre l'humanité".Mais en septembre 2021, la Cour de cassation, plus haute juridiction judiciaire française, avait cassé cette décision de la cour d'appel, ainsi que le maintien de la mise en examen du groupe pour "mise en danger de la vie d'autrui".Elle avait renvoyé ces deux questions devant la chambre de l'instruction, dans une composition différente.La Cour de cassation avait par ailleurs confirmé la mise en examen du cimentier pour "financement du terrorisme".L'audience s'est tenue le 24 mars, en présence de très nombreux avocats dans ce dossier qui compte plus d'une centaine de parties civiles, parmi lesquelles de nombreux anciens salariés locaux.A l'issue de cette audience, les avocats de Lafarge n'avaient pas souhaité s'exprimer."En connaissance de cause" ?Dans ses réquisitions écrites dont l'AFP a eu connaissance, le parquet général a demandé le maintien de la mise en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité" de Lafarge : il estime que l'entreprise "a financé, via des filiales, les activités de l'EI à hauteur de plusieurs millions de dollars, en connaissance précise des agissements".Le parquet a également requis l'annulation de la mise en examen de Lafarge pour "mise en danger de la vie d'autrui".Si la cour suit les réquisitions du parquet général et la volonté des parties civiles, "plus rien ne s'opposera à ce que soit démontré de manière incontestable que le groupe Lafarge a en connaissance de cause financé l'Etat islamique et le Front Al Nosra alors qu'(ils) commettaient les pires exactions", avait estimé Emmanuel Daoud, avocat de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH).Me Christophe Ingrain, avocat du cimentier avec Rémi Lorrain et Paul Mallet, n'a pas souhaité faire de commentaire avant le délibéré de mercredi.En septembre, Lafarge avait estimé que la décision en cassation "ne présumait en aucun cas de (son) éventuelle culpabilité", soulignant qu'il n'exerçait "plus aucune activité en Syrie depuis plus de six ans".En 2015, Lafarge avait fusionné avec le groupe suisse Holcim.Pour Me Joseph Breham, avocat d'une centaine de ces ex-salariés syriens, "il est maintenant certain qu'Holcim, malgré ses grandes déclarations d'attention, ne voudra pas indemniser ses ex-salariés et respecter sa propre politique interne". "Est-ce que la justice française forcera le groupe à respecter ses propres engagements et à les indemniser ?", interroge l'avocat.
Il y a 2 ans et 363 jours

Entre la maison et l'Ehpad, des habitats partagés pour seniors

Dans ce type de logement, les seniors "qui ne veulent plus ou ne peuvent plus rester chez eux", sans pour autant souhaiter rejoindre une maison de retraite, signent un bail de location classique.Ils disposent d'une chambre individuelle, mais également de pièces de vie partagées avec leurs colocataires, où une professionnelle s'occupe notamment des courses ou de la préparation des repas."Je ne me sentais pas mûre pour aller en maison de retraite", témoigne Marie-Thérèse Castillon, 89 ans, qui vit avec six colocataires dans un logement de ce type en banlieue bordelaise, à Pessac. Ici, "on connaît tout le monde", observe sa voisine Jeanne Choy, 94 ans, qui a quitté un Ehpad pour s'installer dans cette petite structure gérée par la société privée Domani.Les locataires, qui ont chacun leur chambre et leur salle de bains, se retrouvent pour le repas ou les loisirs dans une grande cuisine/salle à manger commune. "Qu'est-ce qui vous ferait plaisir pour le menu la semaine prochaine? Des melons, ça vous dit?" demande Laura Pouchat, une étudiante qui gère le quotidien aux côté de la coordinatrice de la maisonnée.Le soir et le week-end, un prestataire d'aide à domicile prend le relais. Et des étudiants, logés à l'étage du dessus, perçoivent 250 euros par mois pour être disponibles la nuit au cas où les résidents activeraient leur bouton d'appel à l'aide.Réduire le "sentiment d'arrachement"L'objectif est que les seniors "qui ne peuvent plus vivre chez eux" aient un "sentiment d'arrachement le plus faible possible", le tout pour un loyer environ inférieur de 20% au coût d'un Ehpad, soit "1.500 à 1.600 euros, aides déduites", détaille Jean de Miramon, l'un des cofondateurs de Domani.Et la demande est là: avant même l'ouverture de cette résidence de sept places, plus de 200 familles avaient manifesté leur intérêt.Dans toute la France, 100.000 seniors au total devraient pouvoir bénéficier d'un tel logement d'ici à 2030, préconisaient les auteurs d'un rapport remis en 2020 au gouvernement.Pour l'heure cependant, moins de 5.000 personnes résident dans des habitats de ce type, affirme un collectif récemment créé par une quinzaine d'opérateurs privés.Selon ces entreprises, l'"inertie" de l'administration complique l'avancement des projets. Parfois, le promoteur se voit ainsi refuser l'agrément qui lui permettrait de salarier lui-même les aides à domicile intervenant à titre individuel chez les seniors - par exemple pour l'aide à la toilette."dans une zone grise""Le problème, c'est qu'on est un peu dans une zone grise: on ne sait pas où nous mettre!", soupire Laurence Boluda, directrice générale de la "Maison de Blandine", qui crée des habitats partagés de 5 à 25 appartements."Il y a une volonté politique affichée mais il faut que ça suive du point de vue réglementaire", renchérit Maxence Petit dont la société Cosima a ouvert un "domicile partagé" à Lourdes (Hautes-Pyrénées) et en projette trois autres près de Marseille et en banlieue parisienne.La législation, pourtant, a justement évolué: depuis l'an dernier, les résidents peuvent théoriquement percevoir, sans condition de ressource, une "aide à la vie partagée" (AVP) destinée à financer les prestations communes aux habitants de la colocation, comme le salaire de la "maîtresse de maison"."Sur le principe, c'est formidable, mais dans la réalité rien n'est clair: d'un département à l'autre, nous n'obtenons pas la même réponse", souligne Simon Vouillot, co-fondateur de "Age et vie" à Besançon.Pour l'heure, en effet, seule une trentaine de conseils départementaux ont signé un accord avec l'Etat pour mettre en place cette aide - financée par les départements à hauteur de 20% -, explique à l'AFP Stéphane Corbin, directeur adjoint de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). Mais, selon lui, une soixantaine d'autres départements devraient les rejoindre cette année.
Il y a 2 ans et 363 jours

Innovation : Saint-Gobain revendique une "prémière mondiale" dans le verre plat

BAS CARBONE. Le fabricant français de produits de construction assure avoir réalisé, début mai, une "première mondiale", en usinant de manière totalement décarbonée 2.000 tonnes de verre plat.
Il y a 2 ans et 363 jours

Holcim se sépare de ses activités cimentières en Inde

CESSION. Dans le cadre de sa stratégie 2025 axée notamment sur sa nouvelle branche Solutions & Produits, le cimentier Holcim annonce vendre ses activités en Inde à un conglomérat du pays.
Il y a 2 ans et 363 jours

Invisible, fine, et solide : découvrez siMple la fenêtre

Imaginée et conçue sur le principe « moins, c’est plus », le résultat après 3 ans de recherche et développement s’est imposé tout naturellement avec siMple, la fenêtre.Cette menuiserie brevetée est la première fenêtre à frappe du marché en aluminium extérieur et en acier intérieur qui repose sur la technologie du MULTIMATÉRIAUX*.Les performances*Uw jusqu’à 1,2 W/(m².K)Tlw jusqu’à 69 %Sw jusqu'à 0,60A*4 E*9A V*A3* Perfomances maximales atteignables sur la gammesiMple, la fenêtre bénéficie de plusieurs innovations technologiques de rupture à savoir :siMple, la fenêtre INVISIBLE : un dormant caché, des paumelles invisibles et des poignées laquées à la couleur dela menuiserie pour plus de pureté.siMple, la fenêtre FINE : des profilés de 45mm et un meneau central de 60 mm, 30 % à 40 % plus fin qu’une fenêtre standard (90 à 100 mm le plus couramment) pour un gain de lumière allant jusqu’à 35 %.siMple, la fenêtre SOLIDE : un ouvrant en acier soudé pour atteindre des dimensions hors-normes jusqu’à 2.650 mm de hauteur sans imposte ou allège.Niveau performance, siMple la fenêtre défie tous les autres matériaux du marché avec un cœfficient thermique Uw de 1.2 W/(m².K) avantagé par un rupteur par chambre thermique qui permet d’isoler l’air chaud et froid pour un plus grand confort.Côté décoration, siMple la fenêtre profite du savoir-faire du Groupe MILLET en s’appuyant sur sa technologie unique de la MULTICOLORATION* sur plus de 27 coloris pour satisfaire toutes les envies de couleurs et épouser tous les styles d’architectures régionales.FRÉDÉRIC GUERET - manager produit aluminium, Groupe MILLETEn quoi siMple la fenêtre est une innovation concernant l’invisibilité ?" Pour rendre cette fenêtre jolie, il fallait qu’elle soit pure ! Nous avons donc, rendu invisible les traits de coupe grâce à un ouvrant soudé, laqué la poignée de la couleur de l’ouvrant. Enfin, les charnières et le dormant sont cachés et contribuent à avoir une fenêtre plus minimaliste. "...et la finesse ?" Aujourd’hui, le constat fait sur le marché est simple : la majorité des fenêtres 2 vantaux disposent d’un profil central de 94 mm. Notre souhait est d’apporter beaucoup plus de lumière et nous avons réussi à offrir 35 % de lumière en plus grâce au profil central de 60 mm et à l’ouvrant de 45 mm. "...et la solidité ?" Étant l’inventeur du concept multimatériaux, nous le maîtrisons parfaitement et pour répondre aux nouvelles demandes de nos clients - plus de robustesse, plus de sécurité, de plus grandes dimensions - nous avons donc tout naturellement fait le choix d’allier l’alu à l’acier. En couplant ces 2 matériaux à un ouvrant en acier soudé, nous pouvons désormais proposer des fenêtres de grandes dimensions allant jusqu’à 2,65 m de haut sans imposte ! "*LE MULTIMATÉRIAUX : Technologie brevetée inventée par le Groupe MILLET qui permet de combiner une façade extérieure en aluminium avec 3 matériaux intérieurs alu, bois et pvc.*LA MULTICOLORATION : Technologie qui permet de combiner les couleurs intérieures et extérieures sur 27 coloris au choix et plus de 500 combinaisons possibles.
Il y a 2 ans et 363 jours

Testo fait évoluer la thermographie avec ses nouvelles caméras thermiques intelligentes et connectées

Bénéficiant de plus de 60 ans d’expertise dans le domaine de la mesure, Testo est engagé depuis toujours dans l’innovation pour offrir aux professionnels de tous les secteurs d’activités (bâtiment, industrie, &#8230;) des appareils de qualité, faciles à utiliser. Après avoir lancé en 2007 la première caméra thermique entièrement développée en Allemagne, Testo n’a eu de cesse de faire évoluer ses solutions de thermographie infrarouge. Visant l’excellence, Testo lance une nouvelle gamme de caméras thermiques intelligentes et connectées disposant de la meilleure qualité d’image de leur catégorie, en plus de leurs fonctions avancées. Utilisée dans de nombreux corps de métiers, la thermographie infrarouge est indispensable pour détecter et visualiser les déperditions de chaleur ou les vices de construction cachés d’un bâtiment, les fuites sur des installations de chauffage, ou encore, en maintenance préventive des installations électriques. Permettant de mesurer les températures avec précision et sans contact, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge testo (testo 865s, testo 868s, testo 871s et testo 872s) se distingue par ses nombreux atouts. Des images thermiques de très grande qualité • Les caméras thermiques testo offrent une sensibilité thermique (NETD) très élevée puisqu’elles visualisent les différences de température à partir de 0,1 °C jusqu’à 0,05 °C. • testo SuperResolution pour une haute résolution d’image. Cette fonction multiplie le nombre de pixels par quatre et permet de visualiser directement sur l’écran de la caméra des images avec des résolutions pouvant atteindre jusqu’à 640 x 480 pixels selon les modèles. • testo ScaleAssist pour un réglage toujours optimal du contraste et l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective, quelles que soient les différences de température intérieure/extérieure. Cette fonction rend l’évaluation des anomalies et des ponts thermiques d’un bâtiment plus facile que jamais. En effet, la répartition des couleurs de l’image thermique est automatiquement adaptée pendant la mesure en fonction de la température intérieure et extérieure. Les erreurs d’interprétation dues à un mauvais cadrage thermique sont ainsi réduites. • l’avertisseur IFOV testo permet de voir, grâce à un curseur carré qui s’affiche sur l’écran de la caméra, si l’objet mesuré se trouve bien à l’intérieur de ce cadre. L’utilisateur peut ainsi éviter les erreurs de mesure. Ces deux dernières fonctions facilitent l’utilisation et l’interprétation. Des fonctions pratiques Outre la testo 865s, caméra idéale pour s’initier à la thermographie, les 3 autres modèles de la gamme (testo 868s, testo 871s et testo 872s) sont équipés d’un appareil photo numérique. Elles peuvent être connectés à l’Application testo Thermography, disponible sur IOS et Android, pour une analyse rapide sur site : génération de rapports succincts, enregistrement en ligne et envoi de ceux-ci par e-mail, ajout de points de mesure supplémentaires. Elle permet également de transmettre les images thermiques en direct à un Smartphone ou une tablette et de l’utiliser comme deuxième écran. Pratiques, les caméras testo 871s et 872s disposent, en plus, d’une connectivité sans fil avec le thermo-hygromètre testo 605 i et la pince ampèremétrique testo 770-3 pour rechercher les zones humides et à risque de moisissures dans un bâtiment ou pour détecter la charge d’une armoire électrique. Les valeurs de mesure des deux appareils de mesure sont transmises aux caméras via Bluethooth. Une manipulation aisée Grâce à une interface optimisée, la commande des caméras est intuitive. Elles sont faciles à tenir en main et assez robustes pour résister aux conditions de travail parfois extrêmes. Une gamme pour toutes les exigences Avec différents niveaux d’équipements et fonctions, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge de testo répond à tous les besoins : testo 865s Avec ses 160 x 120 pixels, cette caméra est idéale pour les novices en thermographie. Elle permet de visualiser les différences de température à partir de 0,10 °C et de détecter automatiquement les points chauds et froids. Elle intègre les fonctions testo SuperResolution (320 x 240 pixels) et ScaleAssist. testo 868s Appareil photo numérique et images thermiques de 160 x 120 pixels permettant de visualiser les différences de température de 0,08 °C. Fonctions SuperResolution (320 x 240 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Connexion avec l’Application testo Thermography via WiFi. testo 871s Résolution de 240 x 180 pixels, sensibilité thermique < 80mK et détection de différences de température à partir de 0,08 °C. Appareil photo numérique, fonctions SuperResolution (480 x 360 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Application testo Thermography et connectivité via Bluethooth avec testo 605i et testo 770-3. testo 872s Cette caméra thermique professionnelle convainc par une qualité d’image maximale (320 x 240 pixels) et une très bonne sensibilité thermique (
Il y a 2 ans et 363 jours

Les eurodéputés veulent accélérer la réforme du marché carbone sans peser sur les ménages

La commission Environnement du Parlement européen se prépare à adopter lundi et mardi ses positions sur sept des quatorze textes de la feuille de route proposée en juillet 2021 par la Commission européenne ("Fit for 55") pour réduire de 55% d'ici 2030 par rapport à 1990 les émissions de gaz à effet de serre de l'UE.Axes majeurs: l'élargissement controversé du marché du carbone européen (ETS) au transport routier et au chauffage résidentiel, et la disparition des quotas gratuits accordés aux industriels européens, à mesure que seront taxées les importations de secteurs polluants (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité) sur base du prix du CO2.Les eurodéputés devraient endosser cette semaine le compromis déjà conclu entre groupes politiques. Après approbation en séance plénière début juin, cela constituera la position du Parlement lors des négociations avec les États pour finaliser les textes."Cette réforme du marché carbone est le navire amiral de la réglementation climatique", observe Pascal Canfin (Renew, libéraux), président de la commission Environnement.Actuellement, le marché carbone européen, où s'échangent depuis 2005 les "permis à polluer" que doivent acheter certains secteurs (industrie, énergie) représente seulement 40% des émissions des Vingt-Sept.Les eurodéputés approuvent l'élargissement aux transports et au bâtiment mais veulent le cantonner d'abord aux professionnels (chauffeurs routiers, immeubles de bureaux), à partir de 2025, avant d'évaluer en 2026 s'il est nécessaire de l'imposer aussi aux particuliers (voitures, logements). Le cas échéant, ce ne serait qu'à partir de 2029."C'est un sujet politiquement sensible dans un contexte de prix d'énergie élevés" sur fond de guerre en Ukraine, et alors que "l'immense majorité de la consommation de carburant est contrainte" pour les ménages, fait valoir Pascal Canfin."Message très clair"Le projet de Bruxelles obligerait les fournisseurs de carburants et fioul domestique à acheter des quotas d'émissions sur un second marché du carbone, au risque de répercuter ce surcoût sur les ménages: une partie des États s'y oppose déjà, redoutant des contestations populaires en dépit du fonds social proposé par la Commission.Peter Liese (PPE, droite), négociateur du Parlement et favorable à l'inclusion rapide des particuliers au marché carbone, regrette un "compromis douloureux" mais se félicite que son idée d'un "bonus-malus" ait été retenue."Les entreprises qui émettent beaucoup moins recevront des quotas (gratuits) supplémentaires, mais les mauvais élèves ne faisant aucun effort pour se décarboner paieront une facture plus élevée", explique-t-il, saluant aussi l'accord pour gonfler le "fonds pour l'innovation climatique" soutenant les investissements."Les entreprises qui prennent les devants seront récompensées, le message est très clair", abonde Michael Bloss (Verts), évoquant "un succès pour le climat, l'industrie et les citoyens".Les eurodéputés s'entendent aussi pour accélérer l'inclusion du transport maritime dès 2024 (la Commission proposait 2027), faire payer aux compagnies aériennes dès 2025 la totalité du carbone émis sur les vols intérieurs comme les vols internationaux au départ de l'UE, et imposer des quotas d'émissions pour l'incinération des déchets.DécarbonationPar ailleurs, ils devraient voter pour mettre en place dès 2025 l"ajustement carbone aux frontières" sur les importations, avec une application complète en 2030, plus rapidement que la montée graduelle proposée par la Commission (2026-2035).Pour rester dans les clous de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), les eurodéputés proposent d'éliminer complètement dès 2030 (contre 2036 dans le plan initial) les quotas gratuits offerts dans l'UE aux secteurs concernés par la taxe aux frontières... tandis que les quotas aux autres secteurs seraient conditionnés à des plans de décarbonation.Ce calendrier accéléré devrait être âprement négocié avec les États, soucieux de ne pas déstabiliser la compétitivité de l'industrie européenne.Ces votes parlementaires, scrutés par les ONG environnementales, interviennent alors que Bruxelles dévoilera mercredi le deuxième volet de son plan pour éliminer d'ici 2030 la dépendance de l'UE aux hydrocarbures russes, notamment en relevant l'objectif pour la part des renouvelables dans le mix énergétique européen.Avec cette conjonction "on a la possibilité d'accélérer le Pacte vert (de l'UE) de manière significative", commente M. Canfin.
Il y a 2 ans et 363 jours

Du verre avec 100% de calcin, une première mondiale pour Saint-Gobain

Le groupe de matériau a testé - et réussi - sur son usine d'Aniche (Nord), la production d'un verre plat zéro carbone avec 100% de calcin (verre recyclé) en substitution du sable, avec 100% de biogaz et 100% d'électricité verte.
Il y a 2 ans et 363 jours

Le premier chantier 100% bétons bas carbone sort de terre en Auvergne-Rhône-Alpes

Les entreprises Lafarge et Mazaud ont annoncé le 6 mai la réalisation d'un ensemble immobilier à Lyon construit pour le compte de Nexity utilisant 100% de bétons bas carbone.
Il y a 2 ans et 363 jours

Saint-Gobain cède son activité de distribution spécialisée et deux usines au Royaume-Uni

"Saint-Gobain a signé des accords définitifs en vue de la cession de International Decorative Surfaces (IDS), son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés au Royaume-Uni, à Chiltern Capital", une société britannique de capital investissement, a indiqué le groupe dans un communiqué.La société de matériaux de construction n'a pas précisé le montant de la cession d'IDS, qui affichait en 2021 environ 130 millions de chiffre d'affaires, ni si les emplois de ses 500 employés étaient menacés."Saint-Gobain a également signé des accords définitifs en vue de la cession de deux sites de transformation de verre spécialisés dans la production de double vitrage au Royaume-Uni", a ajouté l'entreprise, précisant à l'AFP les céder à Clayton Glass, un fabricant britannique de verre.Ces deux centres situés à Motherwell (Écosse, proche de Glasgow) et à Canterbury (sud-est de l'Angleterre) ont généré en 2021 un chiffre d'affaires combiné d'environ 20 millions d'euros et emploient environ 80 personnes. Les deux transactions devraient être finalisées "d'ici la fin du deuxième trimestre 2022", précise le communiqué, et marquent "la sortie de Saint-Gobain de toutes ses enseignes de distribution spécialisée au Royaume-Uni".Une opération qui s'inscrit "dans la poursuite de la stratégie d'optimisation du profil du Groupe", a précisé celui-ci.Fin février, Saint-Gobain a annoncé pour 2021 des "records de croissance, de résultat et de marge" - avec un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros et un résultat net qui a quintuplé à 2,5 milliards d'euros-, porté par la reprise économique observée après la crise sanitaire et la vague de rénovation de logements lancée dans le monde entier pour répondre à l'urgence climatique.
Il y a 2 ans et 363 jours

Comment choisir sa peinture décorative ?

Pour rendre votre intérieur plus attrayant, il existe différentes solutions pour revêtir les murs et les sols de nos habitations. La plus tendance s’avère la peinture décorative. Cette dernière est un courant récent que vous pouvez adopter pour un rendu original ou fun selon votre envie. Outre sa fonction esthétique qui lui est attribuée, la peinture décorative présente aussi l’avantage de dissimuler les défauts des supports en mauvais état tout en apportant du cachet en intérieur. Toutefois, pour obtenir des finitions originales, il faut choisir attentivement sa peinture décorative. Quels sont les critères pour faire un choix optimal de sa peinture décorative ? Pour faire un choix adapté à vos besoins, voici les critères à prendre en compte avant d’acheter votre peinture décorative. Les types de peinture décorative Il existe différents types de peinture décorative : La peinture à effet naturel : elle propose une large gamme d’effet comme l’effet brillant, l’effet ciré et l’effet mat ; La peinture à paillettes : sous forme de gel, elle possède des paillettes et peut être appliquée sur des murs déjà peints ; La peinture à effet béton : compte tenu du rendu qu’elle offre, elle est très utilisée dans les industries modernisées ; La peinture à effet métal : peinture enduite, il faut l’appliquer en deux couches avant d’obtenir un effet oxydé. Par ailleurs, notifions que pour acquérir ces différentes peintures décoratives, il n’y a qu’une seule adresse : l’entreprise batinégoce. Cette boutique en ligne est spécialisée dans la vente de matériaux et accessoires de bricolage. Vous pouvez suivre ce lien pour bénéficier des réductions considérables lors votre achat. Les caractéristiques techniques de la peinture La peinture décorative que vous devez choisir doit correspondre aux exigences de votre maison. Il s’agit du style, du taux d’humidité, etc. Autrement dit, la peinture décorative que vous choisissez doit être adaptée à la pièce où vous allez l’appliquer. Pour ce qui est des pièces sèches généralement le problème ne se pose pas. Par contre, pour les pièces humides, il faut veiller à choisir une peinture spécifique. La couleur de la peinture Il est important de bien choisir la couleur de la peinture à appliquer si vous voulez profiter pleinement du côté esthétique de votre intérieur. La couleur que vous devez choisir doit correspondre à votre personnalité et vos goûts. Si les couleurs vives vous intéressent tant, choisissez plutôt de les appliquer sur un seul pan de mur. En revanche, si vous souhaitez peindre tous les côtés, privilégiez une couleur neutre de la gamme des gris ou de la gamme des bruns pour conserver une certaine sobriété. L’effet décoratif voulu La peinture décorative possède une forte personnalité et offre un large choix d’effets. Avant de faire votre choix, il est donc intéressant de la voir posée sur une surface de démonstration. Le but est de voir de vos propres yeux le rendu obtenu avant d’effectuer l’achat. Souvent, pour vérifier le rendu du produit une fois posé, les grandes surfaces de bricolage et les magasins spécialisés proposent le plus souvent des panneaux peints avec chaque type de peinture proposé. Cela vous permet de faire un choix en toute connaissance de cause. La méthode d’application Comme nous l’avons mentionné déjà, il existe plusieurs types de peintures décoratives. Cependant, chacune de ces peintures décoratives a une méthode d’application différente les unes des autres. Pour cela, vous devez acheter le matériel adéquat en fonction des indications du fabricant. Certaines peintures s’appliquent à l’aide d’une taloche, d’un pinceau ou d’une brosse plate, mais d’autres ne peuvent être appliquées qu’avec un rouleau spécial. Comment bien appliquer la peinture décorative ? Après avoir acheté votre peinture décorative chez batinégoce, vous devez suivre les instructions du fabricant pour l’appliquer sur vos murs. Les étapes suivantes sont à effectuer après avoir consulté la notice : La préparation du mur à peindre : la surface de mur à peindre doit être bien nettoyée et doit être sèche sans aucun défaut ; La protection du sol : couvrez le sol avec une bâche et installé des rubans de masquage sur les parties qui ne doivent pas être peintes ; La méthode d’application : premièrement, appliquez sur toute l’étendue de la surface à peindre la peinture d’accrochage. Ensuite, appliquez la peinture décorative après que la première couche est sèche. Pour finir, appliquez la couche de protection.
Il y a 2 ans et 363 jours

Revêtement décoratif en bois facile à poser

Silverwood lance sa gamme de revêtement décoratif en bois, facile et rapide à poser : Woodafix. Il s&rsquo;agit d&rsquo;un revêtement décoratif fabriqué à partir de panneaux en contreplaqué certifiés FSCR, imprimé en France avec des encres UV haute tenue. Le système de pose Woodafix ne nécessite ni trou, ni colle, ni vis, il permet de gagner du temps à l’installation et de changer facilement de décoration. Ce concept de pose permet aussi une grande liberté d’utilisation : en tête de lit, en cadre, à la verticale ou à l’horizontale en pose décalé, les panneaux offrent de nombreuses possibilités décoratives. Silverwood a développé un système de clips et de patchs adhésifs se fixant directement sur les panneaux décoratifs et ne nécessitant que quelques secondes de pression pour garantir la fixation au mur. La gamme se décline en 4 collections uniques aux décors très variés.
Il y a 2 ans et 363 jours

Les sept lauréats de Canopée Challenge

Forinvest Business Angels, l&rsquo;école d&rsquo;ingénieurs ESB, Fibois France et le Pôle de compétititvité Xylofutur ont dévoilé les sept lauréats de la seconde édition du Canopée Challenge, concours dédié à l&rsquo;innovation dans la filière forêt-bois. Organisé sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, il a permis de recenser 160 projets innovants. Sept lauréats ont finalement été mis en lumière, à travers trois catégories : Création, Développement et International. En complément de la dotation, les organisateurs prévoient un accompagnement en compétences qui permettra de faciliter leur éclosion. Les lauréats de la catégorie « Création » Ouverte à tout porteur de projet individuel (étudiants, chercheurs &#8230;) et aux entreprises de moins de trois ans dont le CA est inférieur à 100 000 €. Premier prix doté de 8 000 € : Woodtech (basée à Grenoble &#8211; 38) &#8211; procédé de modification de la structure moléculaire du bois compatible avec les essences françaises qui deviennent alors plus résistantes à l’humidité que les meilleurs bois tropicaux, pour un bilan environnemental et économique bien meilleur (multiplication de la durée de vie par 20). Parmi les marchés visés par Woodtech : les bois « de revêtements », menuiseries extérieures, bardages et terrasses, et plus précisément la frange « haute » de ces marchés, actuellement occupée par les bois tropicaux, les bois composites et d’autres matériaux à fort contenu carbone. Second prix doté de 5 000 € : Farm3 (basée à Verrières-de-Joux &#8211; 25) &#8211; projet de chambre de culture permettant un fort rendement, un contrôle précis des conditions de croissance, une économie en eau et la pulvérisation de nutriments biologiques. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l&rsquo;Institut Technique FCBA Les lauréats de la catégorie « Développement » Ouverte aux entreprises de plus de trois ans ou dont le CA excède 100 000 €. Premier prix doté de 15 000 € : Horizons Bois (basée à Rennes &#8211; 35) &#8211; HOBOA®, un système constructif bas-carbone et une solution de plancher mixte bois-béton adapté à l’habitat collectif de grande hauteur. En 2022, ce système constructif sera intégré à la construction d’un bâtiment R+11. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l&rsquo;Institut Technique FCBA Second prix doté de 10 000 € : Bio Stratège (basée en Guyane) &#8211; programme d’innovation Ecophyto-Guyane qui vise à développer des solutions naturelles et écologiques pour remplacer les engrais, pesticides et insecticides de synthèse. Les molécules actives sont obtenues à partir de la valorisation de déchets de l’industrie du bois guyanaise dans un modèle d’économie circulaire qui s’intègre en amont de la biomasse énergie. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l&rsquo;Institut Technique FCBA Troisième prix doté de 5 000 € : Wall’up Préfa (basée à Aulnoy &#8211; 77) &#8211; usine de production de panneaux préfabriqués ultra performants sur base ossature bois et isolés de béton de chanvre, au service des projets de construction biosourcés. Les lauréats de la catégorie « Internationale » : Ouverte aux porteurs de projets implantés hors des frontières de l&rsquo;Hexagone. Benjamin Droguet, chercheur à l’université de Cambridge, a été récompensé d’un prix de 5 000 € pour son projet de pigments et paillettes à base de cellulose de bois.
Il y a 2 ans et 364 jours

Au Brésil, la détresse des sinistrés après les inondations

Le bilan humain s'est encore alourdi, s'élevant à 21 morts depuis fin novembre, après le décès mardi d'un homme de 19 ans qui s'est noyé dans la ville d'Ilheus. Selon les autorités locales, il s'agit du plus grand volume de précipitations tombé en 32 ans à Bahia pour un mois de décembre. Dans certaines villes, l'équivalent d'un mois de pluie s'est abattu en quelques heures. Les inondations ont touché 136 communes, soit un tiers des municipalités de Bahia, affectant près d'un demi-million de personnes et faisant plus de 77.000 déplacés. Les météorologues craignent désormais que de violents orages chargés de pluie atteignent ces prochains jours les États très peuplés du sud-est du Brésil, notamment ceux de Minas Gerais, Rio de Janeiro et Sao Paulo. À Itapetinga, une des villes les plus touchées du sud de Bahia, Carlos Batista da Silva désigne sur le mur une trace au-dessus de sa tête qui montre à quel point le niveau de l'eau a monté. "On a essayé d'enlever les meubles, mais on n'a pas eu le temps. On a seulement pu sauver la télé", confie-t-il à l'AFP. Joao Vitor Gomes dos Santos, autre habitant d'Itapetinga, n'a pu que constater les dégâts. "L'eau est entrée dans la maison et a submergé les armoires, le lit... On a tout perdu", déplore-t-il. Dans les villes où le niveau de l'eau a commencé à baisser, des montagnes de décombres apparaissent, dans un paysage de désolation où l'accès aux quartiers les plus sinistrés se fait seulement par bateau pneumatique ou par hélicoptère. Mais d'autres localités, comme Itambé, Canavieiras, Mascote ou Candido Sales, restent sous la menace de nouvelles inondations et des habitants ont dû être évacués par mesure de prévention. Les pompiers de Bahia surveillent de près une dizaine de digues proches de la rupture et des cours d'eau qui menacent de déborder. Au total, plus de 40 routes ont été endommagées. Bolsonaro en jet-ski Le président d'extrême droite Jair Bolsonaro a signé mardi un décret autorisant un crédit extraordinaire de 200 millions de réais (environ 21 millions d'euros) pour la réparation des infrastructures de cinq États touchés par la pluie, dont 80 millions affectés à Bahia. Mais le gouverneur de Bahia, Rui Costa, a estimé mardi que ces fonds étaient "insuffisants". "L'étendue de la destruction est impressionnante. On dirait qu'il y a eu la guerre. Nous sommes encore en train d'évaluer les dégâts, il est trop tôt pour donner un chiffre concret", a insisté cet élu du Parti des Travailleurs (PT, gauche) de l'ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, favori contre Jair Bolsonaro pour la présidentielle d'octobre 2022. Lundi, Rui Costa décrivait déjà les inondations dans son État comme la "pire catastrophe de l'histoire de Bahia". Le président Bolsonaro a été très critiqué pour son absence sur le terrain. Plusieurs ministres ont survolé les zones sinistrées mardi, pendant qu'il s'affichait en jet-ski sur une plage de l'État de Santa Catarina (sud). "J'espère ne pas devoir écourter mes vacances", a déclaré le chef de l'État à des partisans, selon le site d'informations locales de Santa Catarina ND Mais. "Ce n'est pas juste de l'irresponsabilité, c'est un manque de compassion. Près de 500.000 personnes ont été affectées par les inondations à Bahia et où est le président de la République?", a lancé mercredi sur Twitter le député de gauche Marcelo Freixo. De nombreuses célébrités se sont mobilisées pour appeler aux dons afin de venir en aide aux sinistrés, notamment les chanteurs Gilberto Gil et Caetano Veloso, originaires de Bahia.
Il y a 3 ans et 1 jours

Le Groupe Apave lance son nouvel écosystème de solutions digitales dédiées à la maîtrise des risques

A travers ces solutions digitales, alliant expertises techniques et puissance du digital, Apave permet à ses clients de simplifier la gestion de leurs risques et de leurs actions de prévention Santé & Sécurité et de répondre ainsi aux nouveaux enjeux des entreprises.Des solutions digitales conçues avec et pour les clientsConçues et testées avec des clients, les solutions digitales Apave répondent aux enjeux de protection des personnes, des biens et de l’environnement. Elles se structurent autour de 4 gammes distinctes et complémentaires : ALERT, CHECK, PILOT et PREDICT.ALERT : des solutions dédiées à la remontée d'informations en temps réel permettant d’identifier et de partager des alertes dans une perspective de résolution ou de prévention active. Cette gamme vient notamment conforter les actions que mettent en œuvre les entreprises certifiées MASE, ISO 45001 et/ou ISO 14001.CHECK : des solutions permettant de réaliser des diagnostics de conformité et de mesurer la trajectoire d’amélioration qu’il est ou serait nécessaire de mettre en œuvre.PILOT : des solutions permettant de piloter tout ou partie d’un processus de maîtrise des risques et d’en améliorer la performance dans la durée. Automatisation de la maintenance corrective, pilotage de la performance, plateforme BIM unique et intuitive, gestion dynamique des risques professionnels…etc…sont autant de fonctionnalités couvertes et offertes par cette gamme de solutions.PREDICT : des solutions offrant une approche prédictive de l’analyse des risques analysant des probabilités de survenance.Chacune de ces 4 gammes de solutions se décline par domaine d’expertise avec une approche « besoins utilisateurs ». Ainsi, les solutions répondent directement et précisément aux besoins spécifiques des utilisateurs en fonction de leur champ d’action : Santé & Sécurité au Travail Environnement Exploitation …Focus : une ligne « Santé Sécurité » pour répondre aux nouveaux enjeux des entreprisesPromulguée le 2 août 2021, la loi dite de « Santé au Travail » vise à renforcer la prévention en entreprise et la culture sécurité dans les organisations et a vu ses premiers décrets d’application entrer en application le 1er avril 2022.La gamme de solutions digitales Apave dédiée à la « Santé & Sécurité au Travail » répond parfaitement aux nouveaux enjeux des entreprises. En effet, l’évaluation des risques qui constitue une étape cruciale d’une démarche de prévention est souvent réalisée et formalisée dans le « Document Unique » dans une approche statique et administrative, alors que le contenu peut et doit devenir le cœur de l’action.Ce que disent les clients …AlertAssocié à une politique volontariste, l’outil remplit parfaitement sa mission. Ce sont aujourd’hui environ 115 personnes qui l’utilisent au quotidien, essentiellement le personnel de maintenance intervenant chez nos clients et le personnel d’usine. Nous avons constaté une augmentation très significative des remontées d’informations sur nos sites clients » : Thierry Renaud, Responsable Santé Sécurité au Travail de la division Industrie du groupe industriel REEL.Check« Une application instinctive et simple. C'est très appréciable, de même que les propositions d'actions pré-remplies et les zones de commentaires libres pour compléter et affiner les actions ! La solution est aussi très visuelle, avec des graphiques par domaine” : Noémie Amalir, Chargée de Missions en Santé et Sécurité au Travail et Formations Règlementaires, Le Puy du FouPilot« La mise en place de Pilot Exploitation a fait diminuer indéniablement le délai moyen de levée de réserve. Le sujet du délai reste un moyen de pression pour confirmer ou infirmer si nos installations sont exemptes de risque, et du coup atteindre le risque « zéro accident » : M. Dufour, Responsable des services techniques et gestion du patrimoine immobilier du Crédit Agricole Industriel
Il y a 3 ans et 1 jours

"Les nuages vont s'accumuler mais nous restons optimistes", Benoît Hennaut (Herige)

STRATÉGIE. S'appuyant sur des résultats 2021 confortables et en progression, le groupe Herige met l'accent sur sa stratégie, à l'heure des bouleversements de l'après-Covid, de la guerre en Ukraine et des retours de boomerang de la mondialisation. Au programme pour l'industriel : développement et croissance bien sûr, mais aussi responsabilité, tant au niveau social qu'environnemental.
Il y a 3 ans et 1 jours

L’Unicem Entreprises Engagées souhaite renforcer ses démarches

L’Unicem célèbre ses 30 années de démarches en faveur du développement durable. [©Unicem] A l’occasion de ses 30 ans, l’Unicem revient sur trois décennies d’actions en matière de développement durable. Dès 1992, les producteurs de granulats se souciaient déjà de l’impact environnemental de leurs activités d’exploitations. Pour cela, ils ont créé la “Charte professionnelle des producteurs de granulats”. Cette dernière engageait les acteurs du secteur dans des actions responsables, portant notamment sur la préservation de l’eau et le respect de la biodiversité. Les adhérents se mobilisaient aussi pour la maîtrise de l’énergie et la réduction des émissions de poussière. Dans le prolongement, les industriels de la filière ont élaboré, en 2004, la “Charte environnement des industries de carrières”. Puis, c’est en 2017 que naît l’Unicem Entreprises Engagées. L’association a vu le jour pour faciliter et favoriser l’intégration de la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) dans la stratégie et les pratiques de la filière. Elle lance ainsi la “Charte RSE”. Les ambitions de l’Unicem Entreprises Engagées A partir de 2021, le nom des démarches évolue. La “Charte environnement des industries de carrières” devient “Cap environnement”. Tandis que la “Charte RSE” se transforme en “Label RSE”. A ce jour, près de la moitié des sites de production du béton prêt à l’emploi adhérents au SNBPE sont engagés dans cette démarche de responsabilité sociétale. Idem pour “Cap environnement” qui regroupe 50 % de la production de l’UNPG. «&nbsp;L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions, Lire aussi : L’Unicem Entreprises Engagées se mobilise pour la RSE souligne Louis Natter, président de l’Unicem Entreprises Engagées. Nous porterons une attention toute particulière à l’accompagnement des entreprises de toutes tailles, en particulier des PME et des TPE. Et surtout, nous nous mobiliserons pour que ce label, qui valide toutes les conditions requises, obtienne la reconnaissance qu’il mérite auprès des pouvoirs publics.&nbsp;» En complément, l’association souhaite que les entreprises labellisées puissent bénéficier d’aides relatives à la transition écologique et la décarbonation.
Il y a 3 ans et 1 jours

KS groupe annonce la création d'un nouvel espace multiactivités à Goxwiller (67) - Le César

Bâti sur un terrain vague, le César (qui doit son nom à sa situation géographique sur l’ancienne voie romaine du Piémont…ainsi que la route des vins d’Alsace !) devrait accueillir d’ici 2023 des activités d’artisanat et de services.Avec une emprise au sol de 2.540 m2 , ce bâtiment offrira 12 lots allant de 120 à 300 m2. Idéalement situé en bordure d’autoroute, à 5 min d’Obernai et 25 min de Strasbourg, il offre une localisation stratégique dans un parc d’activité déjà existant et en plein développement.Sa hauteur utile de 6,20m, permettra diverses activités (hall de stockage, bureaux, showroom, commerces…) ; Chaque lot bénéficie d’une mezzanine, d’espace bureaux, d’un point d’eau, d’une porte sectionnelle et d’une entrée classique ainsi que de 2 à 6 places de stationnement. Bordé par de la végétation, Le César bénéficie en outre d’une toiture 100% photovoltaïque.Indépendants, les 12 lots du bâtiment bénéficieront d’un espace de convivialité sur le terrain et entouré de verdure. En effet KS groupe a fait appel à M KUBE, un acteur local engagé et aux valeurs similaires à celles du constructeur pour l’installation de cet espace original tout en bois.En bref :8.700 m2 au total2.540 m2 d’emprise au sol (bureaux, showroom, hall de stockage et commerces/services)Des espaces verts paysagés et de voiries12 lots disponibles : de 120 à 300m2Investissement total : 3 millions d’€Commercialisation des lots : en coursDémarrage des travaux : septembre 2022Livraison des lots : septembre 2023
Il y a 3 ans et 1 jours

PlanRadar lève 69 millions de dollars pour numériser l'industrie mondiale de la construction et de l'immobilier

C’est la troisième plus importante levée de fonds de série B jamais réalisée en Autriche et la plus importante pour une société B2B. Elle a également bénéficié d’une participation importante de l’investisseur Cavalry Ventures. Parmi les autres participants figurent également les investisseurs actuels tels que Headline, Berliner Volksbank Ventures et aws Gründerfonds, ainsi que des nouveaux investisseurs Proptech1, Russmedia et GR Capital. Ce nouveau financement permettra à PlanRadar de fortement accroître son expansion internationale et son développement technologique. De nouveaux bureaux ouvriront aux États-Unis, en Australie, au Conseil de coopération du Golfe (CCG), en Asie du Sud-Est et en Amérique latine. L’entreprise augmentera également ses investissements de R&D avec la création d’un nouveau hub technologique et d’une équipe dédiée à l’innovation produit pour apporter à sa plateforme SaaS révolutionnaire de nouvelles technologies à la pointe de l’industrie. Au total, PlanRadar créera plus de 200 nouveaux emplois, doublant presque ses effectifs mondiaux au cours des 12 prochains mois. Depuis son lancement à Vienne (Autriche) en 2013, PlanRadar s’est rapidement imposée comme la solution Proptech leader en Europe grâce à sa plateforme intégrale de gestion de construction et d’immobilier, réputée pour créer une valeur ajoutée à chaque étape du cycle de vie d’un bâtiment. Au cours des 18 mois qui ont suivi son tour de série A de 34 millions de dollars, PlanRadar a vu ses revenus augmenter de plus de 250 % et sa clientèle a plus que doublé. Sa solution innovante lui vaut la confiance de 14 500 clients, et 100 000 professionnels du secteur dans plus de 60 pays l’utilisent au quotidien pour booster l’efficacité des projets et garantir une réalisation de haute qualité. La croissance rapide de PlanRadar a été portée par son engagement en faveur d’un déploiement au niveau mondial, y compris son lancement sur 10 nouveaux marchés en Europe et en Russie depuis 2020. Son équipe composée de plus de 200 employés, accompagne ses clients dans plus de 20 langues depuis ses bureaux de Vienne, Londres, Amsterdam, Moscou, Paris, Madrid, Milan, Zagreb, Varsovie et Bucarest. L’importante croissance de l’entreprise reflète également son engagement à innover au niveau de sa plateforme principale, avec notamment l’ajout récent du reporting, d’intégrations et de technologies BIM.Pour Ibrahim Imam, co-fondateur et co-PDG de PlanRadar : « Nous avons pour mission de faciliter la gestion des opérations dans la construction et le bâtiment, et nous avons prouvé qu’il existait un appétit mondial considérable pour notre technologie. Nous sommes très fiers de tout ce que notre équipe a accompli, et nous sommes reconnaissants du soutien de nos investisseurs en vue de la création de valeur ajoutée pour nos clients sur de nouveaux marchés et secteurs. »Pour Sander van de Rijdt, co-fondateur et co-PDG de PlanRadar : « En faisant de PlanRadar la première plateforme de Proptech au monde, nous transformons une industrie qui, jusqu’ ici, hésitait à passer au numérique. Nous sommes la preuve que si vous proposez aux clients une plateforme intuitive qui facilite leur travail et l’associez à des services d’assistance exceptionnels, ils seront impatients d’adopter des solutions de pointe. C’est aussi simple que cela. »Pour Thomas Krane, directeur général d’Insight Partners : « La croissance durable de PlanRadar témoigne du travail acharné et du dévouement de l’équipe. Nous avons immédiatement perçu le potentiel de PlanRadar, et l’équipe a continué de nous impressionner par son engagement à développer ses clients, ses revenus et ses talents. Le secteur de la Proptech est sur le point de connaître une énorme croissance, et PlanRadar fait entrer l'industrie mondiale de la construction et de l'immobilier dans l'avenir du numérique. »Pour Brice Delome, associé chez Quadrille Capital : « L’équipe de PlanRadar a identifié un besoin non satisfait lors de son lancement en 2013, et elle a exploité sa compréhension et ses connaissances inégalées des clients pour devenir un véritable leader du secteur. Nous sommes ravis de continuer à financer la croissance rapide de PlanRadar et de rejoindre un syndicat d’investisseurs solide. Nous avons été extrêmement impressionnés par la technologie, l'équipe et la manière dont l'approche de PlanRadar contribue à digitaliser le secteur de la construction et de l'immobilier. Nous sommes impatients de soutenir l’expansion mondiale actuelle de l’entreprise. »
Il y a 3 ans et 1 jours

Bouygues annonce un chiffre d'affaires en hausse de 6% au 1er trimeste mais avec une perte nette après la revente des parts d'Alstom

Le groupe subit une perte nette de 131 millions d'euros, contre un bénéfice l'an dernier à la même époque de 21 millions d'euros. Les parts que possédait encore le groupe dans Alstom y avaient contribué à hauteur de 120 millions d'euros.Autre facteur qui pèse sur les résultats du premier trimestre, "tous les travaux que nous faisons à la fois pour le rapprochement entre TF1 et M6 et les travaux que nous faisons pour préparer l'acquisition d'Equans", lesquels se traduisent par des frais d'avocats importants, a indiqué Pascal Grangé, directeur général délégué et directeur financier, lors d'une conférence téléphonique.Le premier trimestre n'est toutefois pas représentatif de l'année et se traduit souvent par une perte en raison de la forte saisonnalité de ses activités et notamment celles de sa filiale Colas, soumise en hiver aux aléas climatiques, qui freinent l'avancée des chantiers de construction et d'infrastructures routières."Fin mars 2022, le carnet de commandes des activités de construction et services est en hausse de 4% à 34,6 milliards d'euros, un niveau élevé qui offre une bonne visibilité sur l'activité future", a par ailleurs indiqué le groupe.L'activité construction (incluant la filiale de travaux publics Colas) progresse de 7% à 5,8 milliards d'euros. Bouygues Télécom réalise près de 1,8 milliard d'euros de chiffre d'affaires, soit 3% de plus. La filiale TF1 connaît elle une croissance de 10% de son chiffre d'affaires à 561 millions d'euros sur le premier trimestre."Vigilance" sur la situation en UkraineInterrogé sur le projet de fusion de TF1 avec M6, Pascal Grangé a indiqué que "le projet avance conformément à ce qu'on pensait", précisant qu' au cas il ne se ferait pas, le groupe disposait d'une alternative."Naturellement on a un plan B", a affirmé le directeur général délégué, ajoutant que "si ce scénario ne devait pas arriver, de toutes les manières l'évolution du marché telle que nous la constatons nécessitera une évolution chez TF1 et évidemment les équipes de TF1 travaillent dessus".Pour 2022, le groupe rappelle "attendre une nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant par rapport à 2021". Ces perspectives "s'entendent sur la base des éléments connus à date, hors nouvelle évolution défavorable de la situation liée à la Covid-19, hors acquisition d'Equans (une filiale d'Engie, NDLR), et hors rapprochement de TF1 et M6", indique le groupe.Le groupe indique par ailleurs être "très vigilant quant aux conséquences indirectes liées au conflit entre la Russie et l'Ukraine" et souligne que "ces perspectives sont soumises à l'absence de nouvelle détérioration majeure du contexte macro-économique et géopolitique actuel".A stade, le groupe déplore essentiellement des conséquences "indirectes", les activités du groupe en Russie, qui ont été arrêtées, étant "extrêmement faibles".Le groupe surveille essentiellement la hausse des prix des matières premières et les difficultés logistiques, qui "sont maîtrisées" à ce stade.Après l'annonce de ces résultats, l'action Bouygues perdait 1,70% à 30,70 euros vers 08H00 GMT, dans un marché en baisse d'environ 2%.
Il y a 3 ans et 1 jours

Atlantic veut accroître sa production de cartes électroniques "made in France"

INVESTISSEMENT. Le groupe Atlantic va débloquer une enveloppe de plus de 4 millions pour agrandir son usine de production de cartes électroniques "Made in France" implantée à La Roche-sur-Yon (85).
Il y a 3 ans et 1 jours

Stora Enso investit dans la préfabrication en France

Stora Enso a investi dans ACDF Industrie SAS, devenant actionnaire à 35 % de ce spécialiste français de la construction bois. Cet investissement, qui s’inscrit dans la stratégie de croissance du groupe dans le secteur de la construction en bois massif, lui permet de proposer à ses partenaires français de longue date des éléments à valeur ajoutée (murs et planchers) en CLT ou LVL. L’investissement d’ACDF Industrie SAS dans une deuxième chaîne de production se déroule conformément aux prévisions. Cette chaîne, qui doit renforcer la capacité de production d’éléments en bois massif transformé de l’entreprise, entrera en service en février 2023. Stora Enso développe par ailleurs son puissant réseau de partenariats français en concluant avec Bouygues S.A. un accord qui assurera aux chantiers de cette dernière des approvisionnements sûrs en CLT. Photo : Tiina Nykänen &#8211; Moholt 50|50 en Norvège &#8211; 6500 m³ de CLT &nbsp;
Il y a 3 ans et 1 jours

Chiffre d’affaires record pour le groupe Cosentino

Le groupe Cosentino, entreprise spécialiste de la production et la distribution de surfaces innovantes et durables pour l&rsquo;architecture et le design, réalise un chiffre d&rsquo;affaires record, et crée 685 nouveaux emplois en 2021. L&rsquo;entreprise a augmenté son chiffre d&rsquo;affaires de 30% à 1 401 millions d&rsquo;euros et son bénéfice net de 59 %. L&rsquo;entreprise a réalisé des investissements d&rsquo;un montant total de 105 millions d&rsquo;euros, et a augmenté ses effectifs pour la deuxième année consécutive avec la création de 685 nouveaux emplois. Le groupe espagnol poursuit son développement en France grâce à l’ouverture d’un Cosentino City à Paris. En renforçant son maillage du territoire, Cosentino renforce sa proximité avec ses clients et partenaires. La filiale française du groupe enregistre ainsi un chiffre d’affaires de 39 millions d’euros soit une croissance de +47% en 2021 sur l’hexagone. &nbsp;
Il y a 3 ans et 2 jours

Holcim renforce encore sa branche Solutions & Produits

ACQUISITION. Après avoir achevé l'acquisition de PRB le 9 mai dernier, Holcim annonce le rachat d'un acteur polonais spécialisé dans les mortiers secs, les systèmes d'isolation et les composants chimiques pour le bâtiment.
Il y a 3 ans et 2 jours

15 ans de marathon pour produire 21 000 logements en Guyane

Pour enrayer la dynamique du logement illégal et anticiper une démographie galopante, l’opération d’intérêt national multisite en démarrage en Guyane ne lésine pas sur l’ambition. Les 21 000 logements programmés d’ici à 2035 correspondent à un triplement du rythme de production et à un investissement total évalué à 3 milliards d'euros, avec les équipements publics associés
Il y a 3 ans et 2 jours

Plusieurs cessions pour Saint-Gobain au Royaume-Uni

CESSION. Le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce se séparer de son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés au Royaume-Uni. En parallèle, il va aussi vendre deux usines de transformation de verre dans le pays.
Il y a 3 ans et 2 jours

Construction modulaire hors-site : enjeux, évolutions et impacts sur les bureaux de contrôle

La construction hors-site et ses avantages pour le secteurElle est issue DFMA - Design for Manufacturing & Assembly -, “Concevoir pour la Préfabrication et l’Assemblage”. Cette méthode moderne de construction intègre dans un processus industriel tous les métiers du bâtiment et impose à l’ensemble de la filière de se réinventer et d’adapter ses méthodes.En pleine croissance, la construction hors-site représentera d’ici 2030, 20% des bâtiments construits dans le monde (source : McKinsey). Cet essor s’explique notamment par la raréfaction de la main d’œuvre qualifiée, la hausse du coût de la construction et des sinistres, l’allongement des retards sur les chantiers et la prise en compte croissante des impacts environnementaux du secteur de la construction.Les grandes différences entre les modes constructifsLa construction traditionnelleÉconomiqueLes retards de livraison sont en moyenne de 5 mois sur près de 30% des programmes immobiliers livrés (source : UFC Que Choisir, 2017).L’augmentation des coûts de construction est de +5,5% entre 2019 et 2021 en France (source : INSEE, 2022).La baisse cumulée de la productivité sur les chantiers est de 19,3% depuis 2001 (souce : Xerfi).ÉcologiqueLe béton représente 8% des émissions mondiales de CO2 (source : Guardian, 2019).L’équivalent d’1,5 milliard d’euros de produits et matériaux non utilisés sur les chantiers sont jetés, ou à minima stockés chaque année sans être répertoriés par les 400.000 entrepreneurs français du BTP.La sinistralité a augmenté de 75% en 10 ans (source : SMABTP).La construction hors-siteÉconomiqueLa productivité d’un ouvrier sur un chantier classique correspond à 20% de son temps, contre 80% pour une construction hors-site (source : Etude université de Aalto).La non-qualité dans le bâtiment coûte quasiment 10 milliards d’euros par an, soit environ 10% du chiffre d’affaires du secteur (source : Agence qualité construction).Les accidents de travail sont réduits car l’environnement de travail en usine présente moins de risques.ÉcologiqueLes coût des transports sont divisés par 5 car les matériaux peuvent être stockés en usine, à l’inverse des chantiers sur lesquels ils sont livrés au compte-goutte et où ils peuvent se dégrader. De plus, les ouvriers n’ont pas besoin de se déplacer sur chaque opération.Les ressources sont mieux gérées et triées ce qui permet une réduction du gaspillage.L’utilisation de matériaux renouvelables ou recyclables est facilitée : bois, acier, matériaux biosourcés, etc.Le recyclage des matériaux est mieux optimisé grâce à la démontabilité des éléments et modules ou leur réutilisation dans un autre lieu et parfois pour un tout autre usage.Construction hors-site et RE2020Construire hors-site permet de diminuer significativement l’empreinte carbone des ouvrages, ce qui fait de cette méthode constructive un atout majeur pour la mise en application de la RE2020.Entrée en vigueur le 1er janvier 2022, la RE2020 est la nouvelle réglementation environnementale qui vient remplacer la réglementation thermique 2012 (RT2012). Un de ses objectifs est de limiter les gaz à effet de serre générés par la construction du bâtiment et les consommations d’énergie.D'une démarche projet à une démarche produit : les impacts sur les bureaux de contrôleAlors que le développement de la construction hors-site en France en est à ses prémices, cette méthode constructive si particulière est une opportunité à saisir pour l’ensemble du secteur dont les bureaux de contrôle technique. Toutes ces évolutions engendrent un profond changement dans les méthodes de travail... et nécessitent l’engagement de tous les acteurs !L'évolution de la mission du contrôleur techniqueLe rôle d’un bureau de contrôle technique est de contribuer à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages.Dans le cadre d’un projet industrialisé, le contrôleur technique s’implique davantage en phase de conception. Son rôle est de vérifier la faisabilité de la conception, de la conformité des solutions industrielles mais aussi de détecter les techniques non- traditionnelles ou innovantes nécessitant des justifications spéciales de type ATEX.En phase exécution, la mission de contrôle technique sur le chantier est complétée par des vérifications hors-site en usine. En phase chantier, des points de contrôle spécifiques à ce mode constructif sont réalisés.Le contrôleur technique doit prendre en compte les spécificités de ce mode constructif, et comprendre sa philosophie pour remplir au mieux sa mission principale de prévention des risques et des aléas.Pour Elia Abou Chaaya, Directeur de l’Activité hors-site de BTP Consultants : « La construction hors-site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire, des autorités publiques jusqu’à l’utilisateur final, en passant par les assureurs, les concepteurs et les bureaux de contrôle. Actuellement, le rythme classique d’un contrôleur technique, même s’il intervient à toutes les phases, n’est pas adapté à l’industrialisation. C’est tout un état d’esprit qui évolue, en passant d’une démarche projet à une démarche produit. Par cette démarche de standardisation, les constructeurs ou les maîtres d’ouvrage cherchent l’optimisation du temps, des coûts des matériaux et des services intellectuels. La mission de contrôle technique initialement prévue pour un “projet”, s’adapte donc pour amener plus de valeur ajoutée en phase conception et est complétée par des vérifications en usine. »Les changements pour le coordinateur SPSLe coordonnateur SPS intervient à toutes les phases d’une opération de construction et a pour rôle d’évaluer les risques sur le chantier et les interventions ultérieures sur l’ouvrage.Sur des projets de construction hors-site, le coordonnateur SPS adapte sa vision pour prendre en compte le risque d’accidents maîtrisé en usine, la réduction de la phase chantier et le traitement particulier des livraisons et du mode de montage des modules. De plus, les interventions ultérieures sur l’ouvrage sont mieux définies et mieux maîtrisées que dans un schéma traditionnel.La nécessité de l'évolution de l'arsenal réglementaireLes normes, les règles et les validations des techniques “non-traditionnelles” allongent les délais et peuvent complexifier l’aboutissement d’un projet. La France doit savoir innover par rapport au cadre réglementaire actuel. Les concepts de mise en sécurité des bâtiments doivent être remis à plat et les règles de l’art de tous les corps d’état doivent être repensées autour d’un processus d’industrialisation de la construction.Comment BTP Consultants fait bouger les lignes de la construction hors-site ?Pour Roland Le Roux, Président du Groupe BTP Consultants : « Conscient des atouts et du potentiel de la construction hors-site en France, BTP Consultants s’est très tôt positionné comme précurseur du contrôle technique pour ce type de construction. Nous avons créé une direction dédiée aux projets hors-site et formé un réseau national d’une vingtaine de collaborateurs capables de répondre aux spécificités de ces interventions. À travers notre soutien au Campus Hors-Site lancé par Pascal Chazal et l’organisation d’événements sur le sujet, nous nous engageons au quotidien pour sa démocratisation en France. »Le bureau de contrôle est un acteur-clé dans un projet de construction, et son rôle est particulièrement central dans les projets de construction hors-site qui font parfois appel à des techniques et des méthodes innovantes.Pour Pascal Chazal, Fondateur du Campus hors-site : « BTP Consultants réalise un module dédié au contrôle technique sur la plateforme du campus hors-site. Son implication aux côtés des différentes parties prenantes du chantier, sa compréhension de l’approche industrielle et sa capacité à s’y adapter sont autant de facteurs essentiels pour que la mission de contrôle technique soit au service d’un projet de construction hors-site réussi. Avec l’industrialisation du concept et la reproduction des projets issus de la même conception, le contrôleur technique maîtrise de plus en plus sa démarche de vérification et de contrôle. Il adopte une approche industrielle et optimise ainsi le temps à passer pendant la réalisation. »Les chiffres clés 2021 de BTP ConsultantsChiffre d’Affaires : 57M€Nombre de collaborateurs : +450Nombre de projets en cours : +12000Nombre d’agences en France : 28Note moyenne de satisfaction clients : 8,7/10Note moyenne de satisfaction collaborateurs : 8,9/10
Il y a 3 ans et 2 jours

Jason deCaires Taylor : Pirates des Canaries

L’ensemble “Traverser le Rubicon” se compose d&rsquo;un groupe de 35 personnages, qui marchent vers une entrée et un mur sous-marins. Ce dernier, qui est à la fois industriel et organique, s&rsquo;étend de 30 m de long et 4 m de haut, et contient une seule porte en son centre. Il est la métaphore de l&rsquo;absurdité, des notions de territoires, dans le monde naturel, qui plus est, sous-marin. [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] Ouvert en 2016, le Museo Atlántico est le premier musée 100 % aquatique, en Europe. Dans la baie de Las Coloradas, à Yaiza, à la pointe Sud de Lanzarote, une île de l’archipel espagnol des Canaries, les plongeurs peuvent admirer les sculptures de l’artiste britannique Jason deCaires Taylor (né en 1974), organisées en douze groupes, créant un véritable dialogue visuel entre art et océan. Sur quelque 2 500 m2 sous la mer et à environ 15 m de profondeur, le sculpteur a immergé, parmi la faune et la flore marines endémiques, quelque 300 statues de béton, à taille et aux allures humaines. Tour à tour, ses sculptures évoquent la crise migratoire (“Le Radeau de Lampedusa”, un bateau transportant 13 réfugiés sculptés, version moderne du “Radeau de la Méduse” du peintre Théodore Géricault, datant de 1818), l’environnement ou la vie quotidienne. Elaborées en béton au pH neutre et en matériaux non-polluants, compatibles avec l&rsquo;environnement, elles créent des mini-éco-systèmes. La vocation du Museo Atlántico est à la fois « la préservation, la conservation et l’éducation sur le milieu marin et la nature » et « un appel à la défense des océans ». En harmonie avec la faune et la flore Une évidence pour cette île volcanique, qui, depuis les années 1970, a su préserver son identité, grâce notamment à l&rsquo;éco-tourisme. Et ce, sous l’action de l’artiste du pays César Manrique (1919-1992), à travers des sculptures monumentales, dont il a parsemé l’île, et à son engagement environnemental. Les sculptures de Jason deCaires Taylor s’inscrivent dans une démarche similaire, une vraie dynamique écologique. Ce pionnier du land art sous-marin reconnu depuis 2006 a très tôt été sensibilisé à la protection des fonds marins. C’est en 2006 que Jason deCaires Taylor, après avoir touché à la photographie, à la plongée et réalisé des sculptures de pierre, a fondé le premier parc de sculptures subaquatique au monde, sur la côte Ouest de la Grenade aux Antilles. Un succès qui le conduira à renouveler l’expérience, cette fois au large de Cancún (Mexique), en 2009, avec le Musa (dit “Underwater Art Museum”), puis à Lanzarote en 2016. [©Jason deCaires Taylor]Les sculptures de l’artiste britannique se font coloniser par la faune et la flore marines. Elles accueillent toutes sortes de poissons. En prenant les profondeurs comme “murs” d’une galerie géante, Jason deCaires Taylor donne à voir un spectacle inouï. [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote]Installées courant 2016 au Museo Atlántico de Lanzarote, les premières œuvres du sculpteur ont été “envahies” par les coquillages, les algues et les coraux. Et aussi “visitées” par les poissons. Elles sont même parfois méconnaissables : des objets inertes qui sont absorbés par l&rsquo;océan. En quelque sorte des « natures mortes, qui est un thème récurrent de mon œuvre, car il démontre assez simplement la beauté de l’évolution ». [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] Installées courant 2016 au Museo Atlántico de Lanzarote, les premières œuvres du sculpteur ont été “envahies” par les coquillages, les algues et les coraux. Et aussi “visitées” par les poissons. Elles sont même parfois méconnaissables : des objets inertes qui sont absorbés par l&rsquo;océan. En quelque sorte des « natures mortes, qui est un thème récurrent de mon œuvre, car il démontre assez simplement la beauté de l’évolution ». [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] La composition “The Human Gyre” met en scène plus de 200 figures, qui crée une vaste formation circulaire ou giratoire. « Cette installation incarne notre vulnérabilité face aux cycles de l’océan, qui fournit l&rsquo;oxygène que nous respirons, régule notre climat et est une source vitale de nutrition pour des millions de personnes. » [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] D’ailleurs, ses œuvres aident à reconstituer les récifs coralliens, très souvent menacés, transformant ainsi le Museo Atlántico en récif artificiel à grande échelle. La progressive disparition des sculptures est dans la logique même du projet de Jason deCaires Taylor. Elles sont vouées à se fondre dans leur milieu. L’éco-sculpteur présente des statues, qui « représentent un point d&rsquo;entrée vers un monde différent et favorisent une meilleure compréhension de notre précieux environnement marin et de combien nous dépendons de lui ». Les habitants de Lanzarote, eux-mêmes, ont servi de modèles pour la plupart des œuvres, créant un paysage sous-marin peuplé de gens ordinaires. Un clin d’œil pour un archéologue du futur…
Il y a 3 ans et 2 jours

Legrand annonce une progression de 13,3% de ses bénéfices net au 1er trimestre

Le fabricant français de matériel électrique Legrand a enregistré une hausse à deux chiffres de ses bénéfice net et chiffre d'affaires au premier trimestre, ce qui lui permet de maintenir ses objectifs pour 2022.
Il y a 3 ans et 2 jours

Nouvelle cheville bi-matière Duoxpand

Fischer, qui ne cesse d’enrichir cette gamme, lance une nouvelle cheville bi-matière pour tous les matériaux de construction, la DuoXpand. Universelle, cette cheville rallongée est conçue pour la fixation d’éléments d’ossatures, de menuiseries... et assure une transmission douce des forces dans les matériaux. En outre, elle bénéficie du nouvel agrément ETA-21/034 (Evaluation Technique Européenne) qui garantit une tenue sûre dans tous les matériaux.Fischer DUOLINE : La gamme bi-matièreHaute qualité, les chevilles de la gamme DUOLINE sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, élargissent le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité. Une cheville tout terrain La nouvelle cheville rallongée bi-matière DuoXpand fischer est conçue pour la fixation d’ossatures de façade en bois ou en métal, de carports, de menuiseries (portes, fenêtres...), de construction bois, de meubles de cuisine, d’installation électrique... Universelle, elle s’adapte à tous les matériaux : béton, béton cellulaire, brique pleine, brique creuse, parpaing... Une expansion douce qui n’endommage pas les matériauxLa cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon (1) de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire.Sa géométrie brevetée (2) assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord.Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation.La cheville est facile à mettre en œuvre. Une fois le trou foré, elle s’insère à l’aide d’un marteau. Le vissage de la vis dans la cheville va provoquer l’expansion des lamelles de blocage. Dans les matériaux de construction pleins, la conception de la cheville garantit une répartition égale de la charge dans le support.Dans les briques perforées, les lamelles s’expansent au niveau des parois et créent un verrouillage de forme dans les cavités. 2 versions pour répondre à toutes les applicationsLa DuoXpand avec la vis à tête fraisée est particulièrement adaptée à la fixation d’éléments en bois. Pour les structures métalliques, la DuoXpand avec vis hexagonale et rondelle intégré convient mieux car cela évite la corrosion de contact entre l’élément fixé et la vis.La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses,70 mm dans tous les autres matériaux de construction du béton au béton cellulaire.Deux profondeurs d’ancrage supplémentaires de 140 et 160 mm assurent un ancrage sûr dans le parpaing.Points de vente : Négoces, Négoces en matériaux et GSB
Il y a 3 ans et 2 jours

Nouvelle plateforme logistique de Reynaers Aluminium &amp; Forster France

Cet événement clé est une nouvelle étape dans le plan d'investissement industriel défini jusqu'à 2025 renforçant la position du groupe Reynaers en tant qu'acteur majeur dynamique et engagé depuis plusieurs années dans une politique de développement forte et affirmée. Un investissement de 6 millions d'euros pour répondre à la demande croissanteCe nouveau bâtiment porte les infrastructures du Groupe Reynaers à 15.000m² de surface logistique en France. L'investissement était devenu indispensable pour faire face à la demande croissante que connaissent les deux marques Reynaers Aluminium et Forster sur le marché français. Proche des principaux axes routiers qui desservent la France et la Belgique, ce site stratégique permet d'optimiser les transports de marchandises entre les sites de production et de renforcer la qualité de des services auprès des spécialistes de la menuiserie aluminium et acier.Une croissance soutenue des activités de Reynaers Aluminium et de ForsterFocus Reynaers Aluminium :Reynaers Aluminium a enregistré une croissance de 27% entre les années 2016 et 2019. En 2021, le chiffre d'affaires de l'entreprise a progressé de 24%, traduisant sa capacité à concevoir et à distribuer des solutions techniques pour les projets les plus variés en neuf comme en rénovation.Projet significatif Reynaers Aluminium : le savoir-faire de Reynaers Aluminium s'est illustré récemment dans la conception et la fourniture de solutions sur mesure pour le projet « Jardins du Lou » situé au cœur du quartier de Gerland à Lyon. Les six immeubles de bureaux , signés par l'agence d'architecture AIA Life Designers, représentent 28.000m² de surface et près de 13 000m² de façades.. Focus Forster :Partenariat, excellence et accompagnement sont les maîtres mots qui caractérisent l'offre de solutions techniques et de services proposée par la société Forster. Spécialisée dans la conception et la vente de systèmes de menuiseries en acier, Forster a repris ses ventes en direct en France depuis août 2020. La nouvelle organisation logistique sur le site de Brouchy permet de répondre aux projets les plus variés avec des délais de livraison optimisés. Les professionnels de la menuiserie acier bénéficient ainsi d'une offre complète permettant de réaliser tout type de portes, de fenêtres et de façades, sans oublier la profondeur de l'offre des solutions coupe-feu ou antieffraction indispensable pour les projets nécessitant un traitement spécifique en matière de sécurité des édifices et des occupants.Projet emblématique Forster : le savoir-faire des équipes projets de Forster a permis de répondre aux exigences réglementaires et architecturales de la rénovation de la Samaritaine. Les 800 châssis acier des séries Unico XS et Fuego Light fabriqués et installés dans le bâtiment ont permis de recréer à l'identique l'esthétique des menuiseries acier de cette architecture art moderne et art déco du 19ème siècle.Un investissement logistique pour gagner en performance ServiceCe nouveau site a permis de repenser et d'optimiser les flux logistiques. Ainsi, le site de Brouchy recentre son activité sur le pré équipement de profilés de la gamme Reynaers Aluminium, le stockage et la préparation des commandes en finition thermolaquée et anodisée . La plupart des produits proposés dans l'offre sont stockés dans les teintes blanche et «gris anthracite, permettant de livrer partout en France sous un délai de 8 jours. Afin de gagner en réactivité, les activités de stockage des profilés bruts seront centralisées en 2022 dans les usines de thermolaquage et d'anodisation du groupe en Belgique. Un bâtiment conçu pour améliorer les conditions de travail et réduire les coûts énergétiquesSoucieux de créer un cadre de travail agréable et sécurisant pour les salariés, le bâtiment s'est doté de nouveaux espaces favorisant l'échange entre le personnel administratif et la production. Pour gagner en confort d'été et minimiser les transferts de température toute l'année vers l'intérieur, la toiture de la nouvelle surface logistique est équipée du système CoolRoof (Soprema) limitant la température de surface à 42° durant les fortes chaleurs (72° pour une toiture traditionnelle). Conçue pour recevoir en 2022 des panneaux photovoltaïques, l'installation permettra de réduire de 14% la consommation électrique et d'ouvrir une partie du bâtiment à l'auto consommation. Une attention particulière a été portée également sur le traitement de l'éclairage avec LED, ce qui permet de renforcer le bien-être au travail et de diminuer de 11% la consommation électrique de l'ensemble du bâtiment.Un engagement au quotidien pour répondre aux enjeux environnementauxSensible aux enjeux environnementaux actuels et à venir, ce projet s'inscrit pleinement dans la démarche que le groupe Reynaers mène depuis plusieurs années visant à réduire son impact carbone.Grâce à cette nouvelle chaîne logistique optimisée, le groupe Reynaers diminue significativement les étapes de transports entre les différentes unités et renforce son engagement dans la protection de l'environnement. Les nouvelles installations ont permis de concentrer également les efforts sur la réduction des déchets et notamment sur la mise en place de nouveaux modes d'emballage des commandes clients. Grace à l'utilisation de films recyclables et de civières spécialement conçues pour garantir la qualité des produits transportés, la consommation de carton a été réduite de 50%, avec un objectif de -70% sur les prochaines années.Le Groupe Reynaers, acteur économique de la région PicardieLe site de Brouchy emploie 93 personnes dont 53 permanents et 40 salariés intérimaires permettant de s'adapter avec souplesse et efficacité aux pics d'activité de plus en plus réguliers. En se dotant de cette extension de 5.400m², Reynaers Aluminium et Forster affichent de belles perspectives laissant entrevoir un renforcement de ses activités économiques au plan local et national.
Il y a 3 ans et 2 jours

Nouvelle borne de charge communicante witty : prête pour le futur

Pionnier de la mobilité électrique depuis plus de dix ans, Hager lance sa première borne de charge witty compatible avec la norme ISO 15-118, qui s’appuie sur le protocole de communication OCPP. Ce protocole normé a pour vocation d’enrichir et de simplifier considérablement les échanges entre le véhicule électrique et la borne de recharge, pour rendre [&hellip;]
Il y a 3 ans et 3 jours

Une « accélération verte » des filières gaz, chaleur et solutions énergétiques permettrait jusqu’à 170.000 embauches d’ici 2030

Une filière attractive qui doit faire face aux enjeux de développement dans l’ensemble du territoireL’étude, conduite par LHH et Adecco Analytics, fait apparaitre le potentiel de développement de la filière pour la prochaine décennie par la concrétisation d’un scénario « d’accélération verte » et la convergence de plusieurs facteurs : les dépenses d’investissements de l’État, des collectivités publiques et des entreprises, une révolution comportementale des clients accompagnés par les acteurs de la filière, et la conversion des infrastructures vers les biogaz et l’hydrogène. Le bouleversement actuel des grands équilibres énergétiques et stratégiques, par l’urgence de la transition écologique et le contexte géopolitique mondial, est pleinement de nature à accélérer encore davantage la mobilisation des acteurs et l’investissement des entreprises.Ainsi, 170.000 nouvelles embauches sont attendues dans la production de gaz (dont hydrogène, biométhane et biopropane) et dans les services énergétiques (rénovation, installation, exploitation, maintenance des équipements et des installations). Qualifiées, durables, ouvertes à la mixité, elles profiteront à l’économie française, dans l’ensemble des régions et en particulier aux territoires ruraux.Elles s’ajouteront aux 231.400 salariés de la filière positionnés sur les cinq maillons de la chaîne de valeur : production, transport et stockage, distribution, commerce et vente, services énergétiques, équipements et installations, répartis sur l’ensemble du territoire de manière diffuse au sein d’entreprises très diverses, dont une majorité de TPE et PME.Des tendances d’évolution forte des métiers et compétences en lien avec des enjeux géopolitiques et de transition écologiqueEn lien avec l’objectif ambitieux de la France d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, cette étude prospective, au périmètre inédit, identifie plusieurs enjeux :la décarbonation des réseaux et de la distribution de l’énergie dans sa globalité grâce aux nouveaux procédés verts ;la poursuite, voire l’accélération des évolutions technologiques : digitalisation, internet des objets, pilotage à distance des installations, gestion automatisée des données, des réseaux et blockchain ;le développement de nouveaux usages de l’énergie en lien avec la performance énergétique réelle et le service aux occupants des bâtiments ;l'attractivité d’une filière qui présente de forts besoins de recrutement à horizon 2030 mais doit faire face à un vieillissement des effectifs et à des tensions déjà très fortes sur certains métiers.Un élargissement des besoins de compétences pour tous les métiers de la filièreCes tendances se traduisent par des attentes fortes des entreprises qui auront davantage besoin de salariés disposant d’un socle de compétences élargi et d’aptitudes à gérer la relation client, voire de nouvelles briques de compétences :l’agilité digitale devra être développée pour tous les métiers en particulier celui de technicien au contact d’outils et d’équipements de plus en plus automatisés ;l'amélioration de la performance énergétique sera au cœur des enjeux de demain (conception & exploitation d’ouvrages plus sobres, maintenance d’équipements et d’installations de plus en plus complexes, capacité à conseiller les solutions plus efficaces). Dans cette perspective de montée en compétences et au regard des enjeux d’attractivité et de recrutement auxquels fait face la filière, l’évolution de l’offre de formation (continue et initiale) est indispensable. Plus lisible, mieux répartie et adaptée en fonction des spécificités territoriales, l’offre devra être orientée sur les besoins des entreprises, notamment des TPE et PME, et plus accessible aux salariés qui souhaitent s’inscrire dans des parcours professionnels au service de la transition énergétique.Conscient de la transformation en profondeur de la filière, historiquement ancrée dans un système d’exploitation d’énergie fossile, l’ensemble des acteurs se mobilise pour offrir des formations, des métiers et des parcours au service de la maîtrise des consommations et de la décarbonation du mix énergétique des territoires.A ce titre, afin de développer son attractivité et accompagner ses transformations, les acteurs de l’EDEC travaillent dès aujourd’hui à la création d’un portail digital destiné à mieux faire connaître l’ancrage et l’empreinte sociale de leurs entreprises dans les territoires, les métiers qui recrutent, mais aussi l’offre de formation et les nombreuses initiatives régionales sur les énergies et les solutions de demain qui témoignent de la vitalité de la filière.Les signataires de l’EDEC des gaz, de la chaleur et des solutions énergétiques associées : Ministère du Travail Emploi et de l’Insertion, organisations professionnelles d’employeurs : UNEMIG Union nationale des employeurs des industries gazières, Fédération des services énergies environnement - FEDENE, organisations syndicales de salariés représentatives de la branche des Industries Electriques et Gazières : Fédération CFE-CGC Energies, Fédération Chimie Energie CFDT, Fédération FO Energie et Mines, les organisations syndicales de salariés représentatives de la branche des équipements thermiques et de génie climatique : Fédération Nationale de la Construction et du Bois CFDT, Syndicat National du Chauffage et de l’Habitat SNCH affilié à la fédération Enermine CFE-CGC, Fédération générale FO Construction, Fédération UNSA Industrie et construction, les associations syndicales professionnelles de la filière des gaz, de la chaleur et des solutions énergétiques associées : Association française du gaz – AFG, Syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique – SYNASAV, Union des métiers du génie climatique, de la couverture et de la plomberie – UMGCCP, France Hydrogène, France Biométhane, France Gaz Liquides.
Il y a 3 ans et 3 jours

Nouvelles menuiseries MILLET pré-équipées Verisure Inside

L’expertise de la sécurité est désormais intégrée aux portes et fenêtres du Groupe MILLET. Intégrer, détecter et protéger avec le service : Verisure Inside.Concrètement : Cette offre permet d’intégrer des capteurs Verisure invisibles au sein des menuiseries issues du Groupe MILLETPour les coulissants, cette nouvelle technologie permet d’intégrer l'équipement dans le montant centralCe pré-équipement est disponible sur tous les matériaux : Alu, Bois, PVC et Mixte Avec les nouvelles portes et fenêtres Verisure Inside du Groupe MILLET, protégez votre habitation et vos proches.Pour en savoir plus, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 3 jours

A Nanterre, deux escaliers remarquables pour le Carillon de Jean Willerval

Dans le cadre de la mise en conformité du Carillon de Nanterre (Hauts-de-Seine), Watt Design & Build a prescrit l’installation de deux escaliers monumentaux. Gantois architecture a transformé une idée audacieuse en réalité. Le projet A Nanterre (Hauts-de-Seine), le Carillon est un vaste ensemble de bureaux construit en 1991 par l’architecte Jean Willerval sur l&#8217;esplanade [&#8230;] L’article A Nanterre, deux escaliers remarquables pour le Carillon de Jean Willerval est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 3 jours

Dispano lance une gamme de poutres contrecollées 100% bois français

L’enseigne répond ainsi à une demande croissante de ses clients charpentiers qui souhaitent favoriser une consommation locale. Elle anticipe par ailleurs d’éventuelles pénuries en garantissant la disponibilité d’un produit conçu entièrement en France. Un engagement éthique et responsableDispano a toujours privilégié l’usage de bois issus de forêts gérées de manière durable et a fait certifier l’ensemble de sa chaine de contrôle par l’organisme certificateur Bureau Veritas. Pour les bois non certifiés, qui figure pour une part minime à son catalogue, l’enseigne s’impose également une exigence forte. Les bois sont refusés par ses spécialistes dès lors qu’il est impossible d’obtenir la preuve de leur légalité. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du plan d’action FLEGT (Forest Low Enforcement Governace and Trade[1]). Dispano est donc titulaire de la double certification FSC® et PEFC™.Avec cette gamme 100% bois français, Dispano franchit un pas de plus dans ses engagements. Une gamme 100 % bois français pour une parfaite traçabilitéLa gamme de poutres contrecollées proposée par Dispano provient de forêts jurassiennes, certifiées PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières). Les poutres sont assemblées dans une usine française. Il s’agit de sapin-épicéa, intervenant dans la composition d’un grand nombre de produits. La gamme 100 % bois français distribuée aujourd’hui par Dispano est utilisée pour le bois de charpente ainsi que pour des maisons à ossatures bois, dans un cadre intérieur uniquement puisque le bois n’est pas traité.L’enseigne dispose de 6 références de poutres de tailles différentes, disponibles dans les 40 agences Dispano sous un délai d’une dizaine de jours.Avec cette gamme, Dispano bénéficie d’une vision totale sur la traçabilité du produit et sur toute la chaîne de production, de la forêt au produit fini. L’enseigne peut ainsi garantir à ses clients une disponibilité des produits et s’engager sur des délais fiables, évitant ainsi tout risque d’interruption de chantiers. Elle répond aussi à une véritable tendance de fond qui tend à privilégier de plus en plus de produits locaux dont la production est parfaitement maîtrisée.[1] Application des règlementations forestières, gouvernance et commerce. Le FLEGT vise à :Dans les pays producteurs de bois : contrôler l’exploitation des forêts pour combattre l’illégalité par la mise en place d’Accords de Partenariat Volontaires (APV) entre les pays producteurs et les pays de l’UE.Dans les pays de l’UE : supprimer le commerce de bois illégal grâce au RBUE (Règlement sur le Bois de l’Union Européenne) qui fixe les obligations pour les opérateurs qui mettent du bois et des produits dérivés sur le marché européen. Il s’applique depuis le 3 mars 2013.
Il y a 3 ans et 3 jours

Cermix présente la brochure “Solutions expertes du gros œuvre”

Cermix dévoile une nouvelle brochure intitulée “Solutions expertes gros œuvre”. [©Cermix] Cermix dévoile une nouvelle brochure qui structure son offre dédiée aux solutions de gros œuvre. L’ouvrage est un outil qui permet, en 28 p. , de découvrir la gamme de Cermix. Il s’adresse aux entreprises du bâtiment, mais aussi aux négoces généralistes et spécialistes du secteur. L’industriel propose de découvrir des solutions complètes qui répondent à des problématiques spécifiques liées à la construction ou à la rénovation des bâtiments. Et qui contribuent à l’allongement de la durée de vie des constructions. Les problématiques du gros œuvre Ainsi, la brochure aborde 8 cas concrets représentant l’essentiel des problématiques rencontrées dans le gros œuvre. Et pour chacun d’entre eux, Cermix propose la solution adéquate avec une iconographie détaillée. Le document mentionne largement la protection du bâtiment, en particulier pour les fondations, les dalles de parking, les balcons classiques et carrelés. Lire aussi : Cermix : Le challenger De plus, Cermix met l’accent sur les travaux d’imperméabilisation et le traitement des fissures. Enfin, le ragréage des bétons, le scellement et le calage constituent les derniers cas soulevés. Le petit plus&nbsp;? Un encadré “Le conseil du pro” accompagne chacun des cas.
Il y a 3 ans et 4 jours

La première réunion plénière de la Feuille de route de décarbonation de la chaine de valeur du cycle de vie du bâtiment se tiendra le 13 mai

Le CSTB et Plan Bâtiment Durable ont été missionnés, aux côtés de la Direction générale de l'Aménagement, du Logement et de la Nature, pour organiser, piloter et animer la démarche d'élaboration de la Feuille de route de décarbonation de la chaine de valeur du cycle de vie du bâtiment, dont ils co-présideront le Comité de Pilotage. La feuille de route de décarbonation de la chaine de valeur du cycle de vie du bâtiment L'atteinte des objectifs climatiques aux échéances 2030 et 2050 va conduire à une accélération des actions à mener par tous les acteurs, publics comme privés, pour enclencher la décarbonation de notre économie. En particulier, elle entraînera des besoins d'investissement sans précédent. Pour relever ces défis d'une ampleur inédite, l'article 301 de la loi Climat et Résilience adoptée en août 2021, prévoit l'élaboration de feuilles de route de décarbonation pour les secteurs les plus émetteurs (transports, bâtiments, agriculture, etc.), dans la continuité des travaux pionniers déjà réalisés par certains comités stratégiques de filière pour la décarbonation de l'industrie. Un évènement de lancement de la démarche, organisé par le ministère de la Transition écologique et le ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance s'est tenu le 18 février dernier, réunissant les principales filières économiques les plus émettrices et les représentants des collectivités territoriales. La feuille de route de la chaîne de valeur du cycle de vie du bâtiment, dont les travaux d'élaboration ont débuté à la fin du mois d'avril, vise la réduction de toutes les émissions de carbone sur le cycle de vie du bâtiment, c'est-à-dire à la fois les émissions induites par la construction de bâtiments neufs (y compris les impacts environnementaux de la fabrication des composants du bâtiment et de leur transport) et celles associées à la gestion et exploitation ou encore à la déconstruction de bâtiments. Cette feuille de route cible également les réductions d'émission permises par la rénovation du parc existant. La démarche d'élaboration de cette chaîne de valeur sera organisée, pilotée et animée par le CSTB et le Plan Bâtiment Durable, aux côtés de la Direction générale de l'Aménagement, du Logement et de la Nature, qui co-présideront le Comité de Pilotage de la feuille de route. Les travaux seront organisés selon quatre groupes de travail thématiques qui seront encadrés par des acteurs de la filière, désignés par les co-présidents&nbsp;: GT&nbsp;1&nbsp;: Composants des ouvrages GT&nbsp;2&nbsp;: Construction neuve GT&nbsp;3&nbsp;: Rénovation du parc existant GT&nbsp;4&nbsp;: Exploitation et usage du bâtiment dans son environnement Élaborée par les représentants des acteurs économiques de la Construction et co-construite avec les pouvoirs publics, cette feuille de route s'inscrit comme une première étape d'une démarche de longue haleine devant engager l'adaptation de la chaîne de valeur du cycle de vie du bâtiment pour la mettre sur la voie de la neutralité carbone. Elle permettra d'une part d'identifier les leviers à même de réduire les émissions de gaz à effet de serre et les freins éventuels à surmonter pour les déployer, et d'autre part d'esquisser ce que pourrait être un chemin de décarbonation accompagnés de plans d'actions à mener par chacune des parties pour atteindre les objectifs de baisse des émissions de gaz à effet de serre de la chaine de valeur aux horizons 2030 et 2050. La feuille de route devra être établie avant le 1er janvier 2023&nbsp;; elle contribuera à alimenter l'élaboration de la future Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) ainsi que les dispositifs d'accompagnement de la transition écologique, tels que le plan France 2030. Réunion plénière&nbsp;: La première réunion plénière de la feuille de route de décarbonation du cycle de vie du bâtiment, dont les travaux d'élaboration se dérouleront tout au long de l'année se tiendra le vendredi 13 mai de 15h à 17h30 à Paris-La Défense (Tour Séquoia, Auditorium R2) ainsi qu'en visioconférence. Cette réunion&nbsp;: rappellera l'ambition climatique de la France et un état des lieux des réflexions déjà existantes sur la décarbonation de la chaîne de valeur du bâtiment&nbsp;; précisera la démarche d'élaboration de la feuille de route de décarbonation du cycle de vie du bâtiment, la gouvernance, le calendrier et les différents groupes de travail qui seront mis en place&nbsp;; organisera un temps d'échange avec les participants. Tous les acteurs souhaitant s'informer et participer à ces travaux ambitieux pour la décarbonation de notre économie sont invités à s'inscrire à cet évènement avant le mercredi 11 mai. En savoir plus&nbsp;: Inscrivez-vous Le communiqué de presse de l'évènement de lancement de la démarche des feuilles de route de décarbonation des différents secteurs de l'économie Julie Lodewyckx, julie.lodewyckx@developpement-durable.gouv.fr Patrick Morand, patrick.morand@cstb.fr Louis Orta, louis.orta@developpement-durable.gouv.fr
Il y a 3 ans et 4 jours

10ème Championnat de France Cordistes les Jeudi 19 &amp; Vendredi 20 mai 2022 à Lyon

Une décision prise collégialement par le conseil d'administration de France Travaux sur Cordes. En effet, les mesures sanitaires résultant de la pandémie risquaient de complexifier le déroulement et surtout de bouleverser l'une des valeurs principales : le professionnalisme de la compétition.Toute la profession et surtout les cordistes pourront enfin se retrouver les 19 et 20 mai prochains ! Et enfin décerner les 10ème titres de champions de France, individuel et par équipe !C'est le grand rendez-vous des cordistes. Durant deux jours, la compétition accueille plus de 100 participants venant d'une vingtaine d'entreprises. C'est surtout, le véritable rassemblement de la profession, avec des tables rondes, avec des échanges autour de la formation, de la sécurité, de l'évolution des techniques et du matériel, des stands de partenaires et fabricant de matériel spécialisé.« Le Championnat est pour l'ensemble des acteurs de notre profession un rassemblement fédérateur. Les contraintes liées aux mesures sanitaires du printemps dernier et les incertitudes trop grandes en avril ne permettaient pas de conserver la convivialité et les échanges propres à l'évènement. Nous espérons qu'au mois de mai, tout sera revenu un peu comme avant. Nous avons tous hâtes, de nous retrouver à la Sucrière à Lyon pour la première fois ! » affirme Jacques Bordignon, Président de France Travaux sur CordesUn rendez-vous fédérateur pour mettre sous les projecteurs un métier haut et physique !Les cordistes sont des ultras professionnels. Le championnat de France réunit l'ensemble des intervenants du bâtiment, de l'industrie ou des travaux publics, hommes et femmes qui exercent leur savoir-faire en utilisant les techniques d'accès et de déplacements sur cordes.C'est l'occasion de mettre en valeur la maîtrise technique, la performance physique et le savoir-faire de cette profession - Cordiste- un métier en expansion, aujourd'hui mis en lumière grâce à des chantiers historiques, tels que les travaux de consolidation de la cathédrale de Notre-Dame de Paris.Le métier de cordisteConditionné par une haute exigence en matière de sécurité, le métier de cordiste est unique par la diversité de ses activités (rénovation de bâtiments, maintenance de sites industriels, restauration de monuments historiques, travaux sur ouvrages d'art, sécurisation des voies de circulation, spectacle et événement, etc.) ainsi que par les différents environnements dans lequel il s'exerce.A ce jour, les métiers sur cordes représentent plus de 15 000 salariés et 656 entreprises répertoriées en France. Véritable corporation, le travail en commun, le professionnalisme, l'assistance mutuelle, le contrôle croisé et l'auto contrôle sont les mots d'ordre de ce métier hors du commun ou l'esprit d'équipe domine.10ème Championnat de France : deux jours, dix épreuves, cents participants hommes et femmes et des tables rondesC'est une grande compétition technique et pointue en perspective, complétée par des épreuves de secours. C'est un défi professionnel de taille pour tous les participants !Au-delà des épreuves en hauteur et spectaculaires, c'est une rencontre qui souhaite fédérer tous les acteurs de la profession. De nombreuses animations sont proposées sur les stands partenaires, favorisant les échanges et les rencontres professionnelles.Traditionnellement des tables rondes sont organisées autour de thématiques actuelle en collaboration avec des institutionnels indispensables pour la profession, donnant naissance à des avancées majeures.Suspendus sur les cordes à La Sucrière- LyonLieu emblématique des Docks au cœur du quartier Lyon Confluence, La Sucrière est un bâtiment industriel des années 30, entièrement rénové en 2011. Ce lieu chargé d’histoire a su conserver un patrimoine industriel en lui donnant une nouvelle vocation : la culture et l’événement. Le site accueille chaque année une cinquantaine de manifestations.Plus d’infos sur https://www.championnat-cordistes.com/
Il y a 3 ans et 4 jours

Le réseau Socoda lance des salons digitaux pour favoriser l'échange avec les fournisseurs

EVENEMENT. Socoda, réseau de distributeurs indépendants pour les secteurs du Bâtiment et de l'Industrie, propose à ses fournisseurs une nouvelle façon d'échanger avec ses membres via des salons digitaux.
Il y a 3 ans et 4 jours

Bilan 2021 de l’ensemble du marché immobilier résidentiel

La tendance haussière, portée par l’atterrissage des taux de rendement des autres classes (principalement bureau et logistique) et par des taux d’emprunt toujours très bas, semble se confirmer pour le début 2022. Il faudra tout de même rester attentif à l’évolution et la mise en place des nouvelles réglementations environnementales ainsi qu’aux incidences du conflit russo-ukrainien.Le marché de la Vente en Bloc de neuf confirme son attractivitéAvec un volume total investi de 7,4 milliards d’euros, soit 7% d’augmentation par rapport à 2020, le marché de la vente en bloc a donc battu un nouveau record en 2021, avec 299 transactions.Le neuf, figure de proue des investisseurs, représente 57% de ce marché. La préférence marquée pour la construction s’explique par le changement de stratégie des promoteurs (vente en bloc vs lot par lot). Elle devrait se poursuivre avec la promulgation de la loi Climat et Résilience qui pousse les investisseurs à privilégier les logements les plus énergétiquement vertueux.Le marché de l’Ancien profite d’une année 2021 en nette augmentationAvec 1.178.000 ventes en 2021, soit une progression de 15% par rapport à 2020, le marché de l’immobilier résidentiel dans l’ancien a atteint un niveau record. Cette augmentation se retrouve notamment au niveau des prix avec une évolution nationale pour les maisons de 9%, et pour les appartements de 4,6% (une différence qui ne s’est pas produite depuis 2016). Le phénomène pourrait être lié à un effet post crise sanitaire porté par un besoin d’espace et d’extérieurs plus important et par la généralisation du télétravail, mais également à la forte hausse des prix dans les grandes métropoles qui a contraint une partie de la population plus modeste à s’éloigner des centres-villes.Si un léger ralentissement des prix se fait sentir sur le marché parisien, avec en moyenne 10 600 €/m² (soit -0,9% intramuros et -0,8% en Ile de France), le marché en Régions tire son épingle du jeu – notamment les zones péri-urbaines et rurales - avec une croissance importante des volumes (+15,4%) et des prix (+9,4% pour les maisons et +8% pour les appartements).« A moyen terme, la remontée des taux d’emprunt de ce début d’année 2022 couplée à l’inflation généralisée des coûts de construction pourraient davantage impacter le volume et les prix de ventes sur les années à venir. » Stéphane Imowicz, Président d’IKORYLe marché du Neuf reprend légèrement malgré l’impact de la crise sanitairePour le marché du résidentiel neuf, l’année 2021 se termine sur une note positive avec plus de 116.000 ventes réalisées, soit une hausse de 15% par rapport à 2020. Les mises en vente prennent la même trajectoire avec une hausse de 21% sur un an. L’offre commerciale, quant à elle, se contracte avec une baisse de 2% par rapport à 2020 et de 4% par rapport à la moyenne décennale.Le marché du Neuf souffre d’une pénurie de produits – malgré une hausse des permis de construire de 19% sur un an - pouvant s’expliquer par du foncier plutôt rare et cher, une demande soutenue, des coûts de construction en hausse, des délais administratifs trop long et des recours trop nombreux mettant en péril la rentabilité économique des projets.A moyen terme, le développement du neuf peut se trouver d’avantage impacté qu’aujourd’hui par des réglementations environnementales plus complexes à mettre en place et leurs conséquences en termes de valorisation.L’immobilier résidentiel en transitionLe parc immobilier résidentiel français est soumis à une importante évolution réglementaire avec, d’une part, la promulgation de la loi Climat et Résilience en août 2021 et, d’autre part, la mise en œuvre de la norme RE2020 depuis le 1er janvier 2022 pour les constructions neuves.Concernant les opérations neuves, la RE2020 ne concerne que les permis de construire déposés après le 1er janvier 2022 (pour les immeubles d’habitation) ; il n’y a donc encore que très peu de recul sur l’impact réel de l’application de la règlementation.Concernant les bâtiments existants, 4,8 millions de logements sont classés F ou G (33% à Paris intramuros) et sont donc à terme condamnés à être retirés du marché locatif s’ils ne sont pas rénovés et ce dès 2025 pour les plus dégradés d’entre eux. On observe une hausse des mises en vente de logements énergétiquement dégradés (8% pour les appartements, 7,4% pour les maisons), montrant la volonté des propriétaires d’arbitrer en priorité leurs actifs condamnés à l’obsolescence.La rénovation du parc existant constitue donc un enjeu majeur. D’autant qu’une étude des Notaires de France montre que les actifs résidentiels dégageaient en 2020 une plus ou moins-value par rapport à la moyenne selon leur classe énergétique. La décote va jusqu’à 20% pour des maisons et 14% pour des appartements. Il est cependant difficile d’en déduire la présence d’une valeur verte ou une décote brune, l’obsolescence thermique d’un actif ne venant jamais seule.« L’aspect contraignant des nouvelles réglementations mises en place va nécessairement se manifester dans les statistiques de volume et de prix dans les prochains mois. Si nous manquons à ce jour de données pour suivre ces transformations, les propriétaires institutionnels et privés sont déjà sur le terrain pour réagir : verdissement du parc, arbitrage des passoires thermiques, travaux de rénovation énergétique, le marché a bien compris quel était l’enjeu et se préoccupe déjà de trouver des réponses. » Stéphane Imowicz, Président d’IKORY
Il y a 3 ans et 4 jours

Holcim se renforce en France en rachetant six carrières au groupe Famy

Le géant suisse de ciment et du béton Holcim se renforce en France en rachetant six carrières auprès du groupe Famy, actif dans les granulats, annonce-t-il le 3 mai 2022.
Il y a 3 ans et 4 jours

Nouveau siège de Nice Brésil, entre innovation et durabilité, signé par Mario Cucinella Architects

Le complexe futuriste, construit à Limeira au nord-ouest de São Paulo, s’étendra sur 20.000 m². Répondant aux exigences de la certification LEED, ce bâtiment deviendra une référence en matière d'architecture industrielle durable. Le nouveau siège de Nice au Brésil a été conçu comme un site de production intelligent, inspiré par les principes de l'industrie 4.0. Pensé autour d’un modèle économique durable, ce site utilisera des technologies de pointe, améliorant les conditions de travail, tout en augmentant le rythme et la qualité de la production des usines. Avec un investissement de plus de 20 millions d'euros, ce nouveau complexe sera également pour Nice, l'un des centres internationaux de Recherche & Développement.Signé par Mario Cucinella Architects, ce bâtiment se démarque avec une façade principale, très lumineuse. Il se déploie ensuite avec un hall d'entrée, deux étages de bureaux, des zones communes ainsi que plusieurs espaces de formation. La zone de production est connectée à l'atrium principal par une grande fenêtre permettant aux visiteurs d’observer le processus de production automatisé. Situé également à l’arrière du bâtiment, un système de chemins suspendus, comme une immersion dans la forêt, relie l'extension du bâtiment destinée aux employés.Nice, entreprise leader mondiale dans les domaines de l’habitat intelligent, de la sécurité et de l’automatisation de l’habitat, a confié au prestigieux studio Mario Cucinella Architects la conception et la construction de son nouveau siège brésilien. Les travaux de construction de ce bâtiment avant-gardiste et éco-durable, devraient s'achever en juin 2022.
Il y a 3 ans et 4 jours

Eiffage entre sur le marché des télécoms avec l'acquisition de Snef Telecom

Le montant de l'acquisition n'est pas précisé mais Snef Telecom a réalisé un chiffre d'affaires de 200 millions d'euros en 2021 et emploie environ 1.000 personnes en France, selon un communiqué.L'opération devrait être finalisée au cours du deuxième semestre."Cette acquisition permet à Eiffage Énergie Systèmes d'entrer dans le marché à forte croissance des télécommunications mobiles, porté par le développement des technologies 5G", ajoute Eiffage dans son communiqué, précisant compléter ainsi son offre auprès des acteurs de l'industrie et du tertiaire.Snef Telecom, dont la maison mère est basée à Marseille et est présente depuis "plus de 20 ans" dans les télécommunications, est un spécialiste de l'ingénierie, du déploiement, de la maintenance et de l'exploitation des réseaux fixe et mobile.Selon son site internet, il compte les principaux opérateurs français (Bouygues, Free, Orange, SFR) parmi ses clients, ainsi que les équipementiers Nokia, Huawei, Ericsson et Cisco ou encore Auchan, Ikea, la Gendarmerie nationale et de nombreuses collectivités.La division Énergie Systèmes d'Eiffage conçoit, exploite et maintient des systèmes et équipements en génies électrique, industriel, climatique et énergétique pour les marchés de l'industrie, des infrastructures et réseaux, des villes et collectivités et du tertiaire. Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 4,8 milliards d'euros en 2021.Le groupe dans son ensemble a enregistré un chiffre d'affaires de 18,72 milliards d'euros et un bénéfice net de 777 millions d'euros en 2021.