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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 2 ans et 356 jours

TECHNAL lance la 2ème édition de son concours d’architecture international WATA

Organisé tous les deux ans, le concours TECHNAL WORLD ARCHITECTURE AWARD (WATA) témoigne du rayonnement international de la marque française. Pour cette deuxième édition, les architectes et clients TECHNAL des quatre coins de la planète peuvent candidater en ligne jusqu’au 31 mai prochain. En France, en Espagne et au Portugal, les projets représentant ces pays seront issus du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL des dernières éditions. Le concours WATA confirme une nouvelle fois la collaboration étroite qu’entretiennent TECHNAL et les prescripteurs. Il distinguera les ouvrages portant haut les couleurs de l’architecture et de la marque à travers neuf catégories : – Prix HABITER – Logements Individuels – Prix HABITER – Logements Collectifs – Prix RÉHABILITER – Rénovations – Prix RÉHABILITER – Extensions – Prix ÉTUDIER – Culture et enseignement – Prix TRAVAILLER – Tertiaires, bureaux, commerces, industries, établissements de santé… – Prix GRATTE-CIEL – Prix DÉCOUVRIR – Loisirs, tourisme et divertissement – Prix DURABILITÉ Deux Prix Spéciaux seront également décernés : le Prix « NEXT TALENT » pour lequel les étudiants en architecture pourront voter en juillet et le Prix «IMAGINE WATA» attribué par les partenaires de l’évènement. Le jury, qui se réunira le 22 juin prochain, se compose de sept architectes internationaux. La remise des prix se déroulera en France, en octobre, à l’occasion de BATIMAT. Tous les lauréats seront invités à Paris. Ils visiteront le salon ainsi que les ouvrages parisiens les plus emblématiques. Pour promouvoir leur créativité architecturale sur la scène internationale, un livre d’architecture, présentant chaque projet primé, sera édité. http://www.registration.imaginewata.com  
Il y a 2 ans et 359 jours

La Nouvelle-Calédonie en quête d'un label "nickel vert"

"On ne sera jamais moins cher que nos concurrents indonésiens ou philippins, c'est pourquoi on veut se poser en champion du nickel +vert+, qui sera pour nous un avantage sur le marché mondial", explique Christopher Gygés, membre du gouvernement calédonien chargé de la transition énergétique.Cette semaine, il doit présenter une révision du Schéma de transition énergétique de Nouvelle-Calédonie (Stenc), qui prévoit à horizon 2030 le recours à 50% d'énergies renouvelables dans la métallurgie.Un objectif ambitieux, alors que les trois usines du territoire fonctionnent actuellement avec des centrales au fuel ou au charbon, émettrices de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique, pour un seul barrage hydraulique, source d'énergie climatiquement compatible.A cause de son industrie minière, poumon de l'économie, l'archipel français de l'océan Pacifique affiche l'un des taux d'émission de CO2 par an et par habitant les plus élevés au monde (29,6 tonnes), selon la direction des mines et de l'énergie néo-calédonienne.L'opérateur métallurgique le plus avancé dans le domaine du "nickel vert" est Prony Resources, qui a repris en 2020 le complexe industriel du géant brésilien Vale, alimenté par le richissime gisement de Goro (sud).L'unité produit un nickel peu raffiné destiné au marché des batteries de véhicules électriques. Elle a pour principal client le N.1 mondial du secteur, le groupe Tesla, avec un mégacontrat de 42.000 tonnes sur cinq à sept ans."Neutralité carbone""Prony Resources s'est engagé dans une démarche ambitieuse de décarbonation de sa production et vise la neutralité carbone en 2040", a indiqué Gabriel Bensimon, responsable marketing et vente de l'entreprise, aujourd'hui adossée à une centrale thermique au charbon.En décembre, l'industriel a conclu un partenariat avec TotalEnergies pour la construction d'une méga-centrale photovoltaïque d'une puissance de 160 MGW et d'une capacité de stockage de 340 mégawattheures.La centrale (168 millions d'euros) entrera en service en 2025 et couvrira près de deux tiers des besoins en électricité du site."Nos émissions de CO2 liées à l'énergie seront ainsi réduites de moitié, à 230.000 tonnes par an", a indiqué M. Bensimon, précisant qu'une première tranche de la centrale photovoltaïque venait d'être autorisée par le gouvernement (40 MGW) et fonctionnerait en 2023.Prony Resources - qui a bénéficié d'un solide soutien financier de l'Etat lors de son rachat par des intérêts calédoniens publics et privés – investit par ailleurs 300 millions d'euros pour stocker ses résidus miniers à sec et non sous forme humide, dangereuse pour l'environnement.A la traîneOpérateur historique du nickel calédonien, la Société Le Nickel (SLN), filiale du français Eramet, est plus à la traîne.Son usine métallurgique de Doniambo, à Nouméa, est essentiellement alimentée par une centrale au fuel en fin de vie et très polluante, qui va être remplacée à compter de juillet et jusqu'en 2025 par une centrale "temporaire" au fuel de 200 MGW, ancrée dans la rade.Une solution provisoire née des années de tergiversations des autorités pour remplacer la centrale thermique SLN.L'option récemment retenue reposera sur des grands projets photovoltaïques, des unités de stockage, trois petites centrales à gaz et une station de transfert d'énergie par pompage.La SLN n'obtiendra le feu vert environnemental de la province sud de Nouvelle-Calédonie, compétente en matière d'environnement, pour sa centrale flottante que "si elle s'engage clairement dans une démarche visant 70% d'énergies renouvelables à l'horizon 2030", prévient toutefois Christopher Gyges.Le troisième site métallurgique de l'île, Koniambo Nickel (KNS), est le moins avancé en matière de transition énergétique."Dans le nickel vert, il y a une locomotive Prony Resources, un wagon, la SLN, et une vache qui regarde passer le train, Koniambo Nickel (KNS)", tacle Hubert Géraux, directeur du WWF (Fonds mondial pour la nature) en Nouvelle-Calédonie.Opérée par Glencore et un mineur local, cette usine située dans le nord, fonctionne avec sa propre centrale au charbon.L'unité a été confrontée à des problèmes de montée en production et de flambée des coûts qui sont en passe d'être résolus, selon les récentes déclarations de ses dirigeants."On a commencé à discuter pour dimensionner les énergies renouvelables en intégrant KNS, qui se raccorderait dans le futur au réseau public", espère M. Gygès sans mention d'objectif précis ni de date.
Il y a 2 ans et 359 jours

Jean-Philippe Vacher rejoint Fortera

Ce spécialiste de l'industrie du béton annonce sa nomination comme VP de Fortera.
Il y a 2 ans et 359 jours

2ème édition du concours « WATA » de Technal

Organisé tous les deux ans, le concours TECHNAL WORLD ARCHITECTURE AWARD (WATA) témoigne du rayonnement international de la marque française. Pour cette deuxième édition, les architectes et clients TECHNAL des quatre coins de la planète peuvent candidater en ligne. Jusqu’au 31 mai 2022. En France, en Espagne et au Portugal, les projets représentant ces pays […] L’article 2ème édition du concours « WATA » de Technal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 359 jours

NOUVEAU ONDULINE EASYFIX® COMPACT – Des plaques compactes, faciles à manipuler et à installer

En résidentiel, les travaux d’amélioration de l’habitat sont multiples : création d’abris, de carports, de garages, de cabanes d’enfants, d’ateliers, de refuges pour animaux… Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, ONDULINE, expert en toitures et sous-toitures légères, lance une nouvelle plaque bitumée légère et compacte qui simplifie l’installation grâce à son format malin : ONDULINE EASYFIX® COMPACT. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT – composées à 50 % de matière recyclée – sont d’ores et déjà disponibles en 3 couleurs (rouge, noir et vert) et 3 autres couleurs (brun, orange et gris anthracite) seront commercialisées dès 2023 pour s’intégrer à la perfection aux différents aménagements, en neuf comme en rénovation. Mesurant 1 x 0,82 m et pesant seulement 1,7 kg, elles sont facilement transportables dans le coffre d’une voiture et offrent une mise en œuvre aisée. En effet, la pose ne requiert aucun équipement spécifique : leurs petites dimensions permettent une installation très facile et sur mesure.   Légère, souple, facile à manipuler, à installer et garantie 10 ans, ONDULINE EASYFIX® COMPACT offre une couverture durable et respectueuse de l’environnement. NOUVEAU ONDULINE EASYFIX® COMPACT Une toiture simple d’installation Légères et souples, les nouvelles plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Utilisées seules ou en complément des plaques ONDULINE EASYFIX® standard (2 x 0,82 m), elles évitent les découpes ou gâchis de matière et peuvent ainsi servir de plaques de complément pour les toitures. Ces nouveautés ONDULINE sont dotées d’un système de marquage et guide de recouvrement innovant sur les plaques qui simplifient la pose et assurent une étanchéité parfaite. Le bricoleur n’a pas besoin de gros outils pour la coupe : les plaques se découpent très facilement au cutter ou à la scie. Un mètre, un marteau, une visseuse, des pointes et des vis conçues pour la gamme ONDULINE EASYFIX® COMPACT suffisent pour poser et fixer simplement ces nouvelles plaques bitumées. Un support de 21 mm d’épaisseur minimum est recommandé pour la pose. Les plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 28 cm sur une pente de 15 % minimum. Outre le format intéressant qui en fait l’alliée des bricoleurs, ONDULINE EASYFIX® COMPACT bénéficie de la marque CE et affiche une résistance à toute épreuve et une imperméabilité parfaite. Pour répondre à toutes les attentes, les plaques de toiture ONDULINE EASYFIX® COMPACT et leurs accessoires seront disponibles en six couleurs (rouge, noir, vert, brun, orange et gris anthracite) et offrent une finition harmonieuse et contemporaine des abris de jardin, des maisons de jeu pour enfants, des pergolas… Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 2 ans et 359 jours

Eiffage construit une gigafactory de batteries électrique dans les Hauts-de-france

Eiffage a remporté en groupement le marché attribué par ACC pour la construction de sa future usine dédiée à la production de cellules et modules de batteries pour véhicules électriques, près du site PSA au sein du Parc des industries Artois-Flandres, à Douvrin/Billy-Berclau dans les Hauts-de-France. Le montant global des travaux s’élève à près de 75 M€ dont 48,7 pour Eiffage.
Il y a 2 ans et 359 jours

Double nomination chez Ecominéro

A gauche, François Demeure dit Latte, directeur général, et à droite, Mathieu Hiblot, directeur technique. [©Ecominero] Président de l’éco-organisme Ecominéro, Michel André annonce les nominations de François Demeure dit Latte et de Mathieu Hiblot. Avec cette double prise de postes, Ecominéro confirme sa volonté de se développer. Ainsi, François Demeure dit Latte devient le premier directeur général. Il aura pour mission de développer les solutions les plus efficaces, afin d’augmenter le recyclage des déchets inertes. Par ailleurs, l’objectif de la nouvelle équipe dirigeante sera d’agir pour permettre d’atteindre collectivement les objectifs nationaux de valorisation et de recyclage. Quant à Mathieu Hiblot, il prend le poste de directeur technique innovations et relations institutionnelles. Il accompagnera les acteurs de la filière dans l’atteinte des objectifs nationaux bas carbone. Rappelons qu’Ecominéro a pour objectif de valoriser 90 % des déchets inertes du bâtiment d’ici 2028, en France. Une démarche qui s’inscrit dans une logique d’économie circulaire et d’éco-conception. Parcours de François Demeure dit Latte Diplômé de l’ESTP et titulaire d’un Executive MBA obtenu à HEC Paris, François Demeure dit Latte débute sa carrière, en 1999, comme auditeur financier dans le cabinet Arthur Andersen. En 2004, il devient contrôleur des finances, puis directeur financier au sein du groupe Suez. Il prend ensuite la direction financière de Citeo, premier éco-organisme français. En 2014, il est nommé directeur général d’Adelphe, filiale spécialisée, de Citeo dans le recyclage des emballages des vins et spiritueux, et des médicaments. En 2018, il réintègre le groupe Suez en tant que directeur administratif et financier de la Business Unit “Recyclage”. C’est à partir de juillet 2022 qu’il prendra ses nouvelles fonctions au sein d’Ecominéro. Parcours de Mathieu Hiblot Mathieu Hiblot est diplômé d’un master en management des associations professionnelles obtenu à la Sorbonne. Il est aussi spécialiste de l’évaluation environnementale et de la sûreté des systèmes industriels. Il débute sa carrière, en 2005, en tant que chargé de mission pour l’Unicem Champagne-Ardenne. Pendant 5 ans, il y évoluera à différents postes. En 2015, Mathieu Hiblot est nommé secrétaire général de l’UNPG, poste qu’il a occupé jusqu’en avril 2022.
Il y a 2 ans et 359 jours

Recours devant le tribunal administratif contre le projet de l'hôpital Grand Paris-Nord

Les requérants, SUD Santé Solidaires AP-HP, le collectif Inter-Hôpitaux, le Collectif Inter-Urgences, le collectif de riverains "Pas ça, pas là, pas comme ça !" et des représentants des usagers ont demandé d'annuler l'arrêté du 14 mars du préfet de Seine-Saint-Denis Jacques Witkowski, d'après le recours déposé vendredi et consulté par l'AFP.Ils estiment que l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) "n'a pas apporté de réponse satisfaisante aux trois réserves" émises par les commissaires enquêteurs dans leur avis.Elles portent sur "la capacité d'accueil de l'hôpital", "les conditions d'accès pour les véhicules d'urgence" et "la présence d'un service de maternité dans l'hôpital".D'une capacité de 900 lits, le futur hôpital Grand Paris-Nord remplacera les actuels hôpitaux Bichat à Paris et Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine) et abritera également des activités d'enseignement et de recherche.Porté par l'AP-HP et l'Université de Paris pour un coût estimé à 1,3 milliard d'euros, le campus est prévu pour 2028 et sera installé sur le site de l'ancienne usine PSA de Saint-Ouen."Comment considérer d'utilité publique un projet qui conduira à la disparition de centaines de lits par rapport à l'offre actuelle ?", s'insurge Olivier Milleron, cardiologue à Bichat et membre du collectif Inter-Hôpitaux.Les opposants appellent "le nouveau ministre de la Santé à prendre position rapidement sur ce dossier emblématique et prouver que sauver l'hôpital public devient enfin une priorité du gouvernement".Sollicité par l'AFP, les maîtres d'ouvrage Université de Paris et l'AP-HP n'étaient pas en mesure de faire de commentaire "sans connaître le contenu exact" du recours.
Il y a 2 ans et 360 jours

Ilot mixte - La préfabrication quadrille la gare

Un ancien site ferroviaire breton accueille désormais un ensemble de 25 000 m² aux éléments conçus en usine.
Il y a 2 ans et 360 jours

Sika se muscle dans les produits d'étanchéité aux Etats-Unis

ACQUISITION. Le spécialiste suisse de la chimie, Sika, expert en matériaux de construction, annonce avoir mis la main sur un fabricant américain de produits d'étanchéité.
Il y a 2 ans et 360 jours

La décarbonation des bâtiments nécessite des milliards d'investissements supplémentaires pour atteindre les objectifs climatiques

Le dernier document d’une série de trois sur le financement de la décarbonation, cette étude se concentre sur les bâtiments – qui représentent 45% de la consommation finale d'énergie française – en tant que cible principale des initiatives d'efficacité énergétique et contributeur potentiel majeur à l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050. Ce « déficit » représente une lacune importante dans chacun des 4 pays étudiés, notamment : États-Unis (5,3 milliards de dollars pour les bureaux, 1 milliard de dollars pour les hôpitaux, 3,8 milliards de dollars pour l'éducation) ; Chine (respectivement 12,7 milliards de dollars, 2,7 milliards de dollars et 10,8 milliards de dollars) ; Inde (respectivement 0,9 milliard de dollars, 0,6 milliard de dollars et 6,2 milliards de dollars) ; et Europe (respectivement 7,8 milliards de dollars, 2,2 milliards de dollars et 5,5 milliards de dollars). L'étude révèle que les bâtiments intelligents – qui intègrent les postes de travail non attribués (hot desking), la santé au travail, les contrôles d'accès aux informations, la sécurité, l'atténuation des infections et bien plus encore – sont les mieux adaptés pour assurer une utilisation plus efficace des bâtiments commerciaux et publics, une consommation d'énergie et des émissions considérablement réduites et la transformation des bâtiments en actifs beaucoup plus durables pour la société. Afin de combler l'écart entre les niveaux d'investissement actuels et les volumes requis, des méthodes de financement intelligent sont proposées par la finance du secteur privé. Ces solutions visent à rendre la conversion vers des bâtiments intelligents, décarbonés et économes en énergie, abordables pour les propriétaires. Ces outils de financement peuvent faciliter les flux de trésorerie et aligner les coûts sur le taux des bénéfices obtenus. La finance intelligente a également le potentiel de rendre la transition vers la décarbonation neutre sur le plan budgétaire, en exploitant les économies futures pour payer les investissements actuels. « Notre utilisation des bâtiments a été perturbée et altérée par la pandémie », déclare Thierry Fautré, Président de Siemens Financial Services France. « Non seulement un parc immobilier plus intelligent peut mieux faire face à ce changement, mais il contribuera de manière significative à un avenir plus propre et plus vert. Des solutions de financement intelligent peuvent accélérer le rythme de transformation, aidant les propriétaires d'immeuble à atteindre un parc immobilier zéro carbone d'ici 2050. »Pour plus d'informations, cliquez ici.
Il y a 2 ans et 360 jours

Une politique soutenue d’investissements pour le site de production Watts/Socla de Virey-le-Grand (71)

Présentation du site de production Créée en 1951 par la famille Trémeau Jambon à Chalon-sur-Saône, l’unité de production SOCLA est implantée aujourd’hui à Virey-le-Grand, au cœur de la région Bourgogne Franche Comté, sur un site d’une surface de 20.600 m2. Filiale du groupe WATTS Water Technologies Inc. depuis 2011, l’entreprise, dont le nom signifie SOciété des CLApets, a développé son savoir-faire au fur et à mesure de différentes acquisitions pour devenir la marque leader dans les domaines de l’eau et du contrôle des fluides en mouvement. Son expertise s’articule autour de 4 thématiques principales : – la protection des réseaux d’eau potable au travers d’une large gamme de clapets anti-pollution avec dispositifs de contrôle d’étanchéité et de vidange de l’installation, mais surtout de disconnecteurs hydrauliques à la pointe de la technologie, dont l’un des modèles s’est imposé comme une référence sur le marché (BA2860). Des solutions pour lesquelles Socla associe un service dédié, le CRAN ou encore l’application DigiscoTM, afin de répondre aux exigences de la réglementation qui impose l’entretien annuel obligatoire des disconnecteurs. – le non-retour grâce à une offre complète de clapets allant de 15 à 800 mm, d’une fiabilité à toute épreuve et proposant différentes technologies (16 systèmes d’obturation intérieurs) pour s’adapter aux contraintes liées à chaque installation (pression, étanchéité, perte de charge, type de fluide…), – la régulation au travers d’une large gamme de vannes de régulation automatiques, de réducteurs de pression, ventouses, dispositifs anti-bélier destinés à contrôler ou réguler la pression, niveau de l’eau et de l’air dans les réseaux de distribution d’eau potable, – l’obturation grâce à la richesse d’une offre de vannes papillon proposées en standard et sur-mesure, les seules sur le marché à disposer d’un papillon flottant sur un axe traversant, garantie d’étanchéité et de maintenance facilitées. Elles équipent les réseaux afin de réguler ou d’interrompre le débit qu’il s’agisse d’eaux ou de fluides industriels. Autant de produits phares qui bénéficient d’agréments reconnus (NF, ACS, Bureau Veritas, WRAS, Kiwa, VA, Uni, Belgaqua) et d’une garantie de 5 ans. D’une capacité de production de plus de 9,5 millions de produits, le site de Virey-le-Grand dispose d’un laboratoire d’analyse à la pointe de la technologie, d’une surface de 620 m2. Equipé d’une piscine d’une capacité de 340 m3, il permet à l’entreprise de réaliser une multitude de tests tels que des essais d’endurance ou encore de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité de ses solutions à la corrosion. Fonctionnant en circuit fermé, le débit maximum de ces installations est de 3400 m3/heure soit l’équivalent de 5,5 baignoires (170 litres) par seconde. Par ailleurs, dans une véritable démarche d’amélioration continue, le site de production de Virey-le-Grand est certifié ISO 9001 (management de la qualité), 14001 (management environnemental) et 45001 (management de la santé et de la sécurité au travail). Une politique soutenue d’investissements Afin de moderniser son site de production et ce, dans une volonté d’augmenter l’engagement qualité et d’optimiser la sécurité des équipes sur le site, SOCLA a investi près de 900.000 € à raison de : – 450.000 € pour automatiser la production des clapets incorporables afin de gagner en productivité sur certaines opérations (montage des joints, tests d’étanchéité, marquage) et d’améliorer le process en remplaçant l’utilisation des encres à solvant par des cartouches d’impression, – 300.000 € pour l’usinage des vannes papillon de gros diamètre (supérieur à 400 mm) afin d’améliorer la sécurité des opérateurs, d’optimiser la flexibilité de la ligne de production et ainsi de gagner en réactivité pour répondre aux demandes des clients, – 140.000 € pour maîtriser son empreinte carbone via la récupération de chaleur du compresseur situé dans le laboratoire d’analyse pour chauffer en autonomie différents locaux (service maintenance, laboratoire), mais aussi en remplaçant dans les bâtiments de grande surface les anciens éclairages par des lampes LED dimmables qui captent la lumière naturelle et s’ajustent en fonction. En plus d’offrir un meilleur confort visuel et de chauffe à ses collaborateurs, cette démarche environnementale a permis au site d’économiser 548.516 kWh par an. La protection de l’environnement s’inscrivant au cœur de la stratégie de SOCLA, d’autres investissements sont d’ores et déjà à l’étude avec pour objectifs, d’ici 2023-2024, de : – récupérer la chaleur des fours de l’activité poudrage pour chauffer une partie de l’usine, – mettre en place des panneaux photovoltaïques sur les parkings et ainsi produire de l’énergie verte, – tondre naturellement les espaces verts grâce à des ovins. Un site en constante évolution qui participe au dynamisme de la région Après une première campagne de recrutements initiée en 2021 qui lui a permis de passer de 180 à 204 collaborateurs, SOCLA propose actuellement une quinzaine de postes supplémentaires à pourvoir immédiatement en CDI afin d‘accompagner son évolution. En parallèle, plaçant l’inclusion au cœur de sa démarche RSE, le site de production de Virey-le-Grand accorde sa confiance à des travailleurs handicapés issus des Etablissements ou Services d’Aide par le Travail depuis  bientôt 10 ans. Grâce à son partenariat avec l’ESAT Georges Fauconnet, une équipe d’une vingtaine de personnes en situation de handicap travaille au sein de l’usine pour assurer des opérations telles que le contrôle et le conditionnement de certaines solutions du fabricant (réducteurs de pression, robinets de purge, clapets), la soudure de composants sur des machines semi-automatiques ou encore le test de produits finis. Un peu d’histoire 1951 : Création de la société à Chalon sur Saône par la famille Trémeau Jambon 1973 : Introduction du nom de SOCLA (SOciété des CLApets TJ) 1992 : Rachat de la société par le Groupe Danfoss 1996 : Acquisition de Oreg, ajout de la gamme des vannes papillon 2003 : Acquisition de la société Desbordes, ajout de la gamme des réducteurs de pression 2006 : Acquisition de la société BAR, actionneur pneumatique 2008 : Acquisition de la société Valpes, actionneur électrique 2011 : Rachat de la société par le groupe Watts Quelques chiffres clés – plus de 70 ans d’expérience – plus de 77 pays utilisateurs des produits SOCLA – plus de 25.000 références – plus de 6 millions de vannes papillons en service – plus de 8 millions de réducteurs de pression installés http://www.wattswater.fr/
Il y a 2 ans et 360 jours

Un nouveau sommet dédié à l’innovation béton s’ouvre à Berlin

Luxatia International organise sur deux jours un nouveau sommet dédié au béton, aux matériaux à base cimentaire et à leurs évolutions. [©Luxatia International] Sur deux jours, les 9 et 10 juin prochains, Luxatia International organise un nouveau sommet dédié au béton, aux matériaux à base cimentaire et à leurs évolutions. Baptisé Innovative Concrete Design & Application, ce sommet se concentre sur les dernières innovations du secteur. En particulier, sur l’impression 3D, la préfabrication, la durabilité, le bas carbone, le digital ou encore sur le recyclage du béton. Le nouveau rendez-vous sera présidé par Frédéric Ljung, président d’Australe Concrete et Nova Crete. Et sera rythmé par de nombreuses conférences et tables rondes. « L’évènement se veut le plus interactif possible pour favoriser l’échange, détaille Frédéric Ljung. Il rassemblera un large spectre de profils : architectes, ingénieurs, fabricants… » Empreinte béton bas carbone à l’honneur Parmi les intervenants, Thorsten Hahn, président d’Holcim Allemagne, animera la conférence “Comment peut-on construire plus avec moins ?” Troels Dam Madsen, directeur associé chez Henning Larsen Architects, interviendra sur la prochaine génération d’imprimantes 3D béton. Ou encore, Riccardo Stoppa, Dg marketing, et Helen Frape, business analyste innovation et changement chez GCP Applied Technologies, échangeront sur la place des solutions digitales et chimiques pour Lire aussi : Impression 3D béton : La genèse de la construction durable ? réduire l’empreinte carbone du béton. Au total, une quinzaine de conférences sont prévues. Toutes ces interventions seront ponctuées par des espaces de rencontre et de discussion. Pour ceux qui ne pourraient pas faire le déplacement jusqu’à la capitale allemande, une retransmission en distanciel des rendez-vous est prévue. Infos pratiques : Du 9 au 10 juinHôtel Riu PlazaMartin-Luther-Strasse 110777 Berlin, Allemagne Le programme et plus : ici
Il y a 2 ans et 360 jours

Saint-Gobain cède son activité de distribution spécialisée au Royaume-Uni

Le spécialiste des matériaux de construction Saint-Gobain a annoncé deux acquisitions et une série de cessions, qui aboutissent à la sortie du groupe de toutes ses enseignes de distribution au Royaume-Uni.
Il y a 2 ans et 360 jours

Décarbonation, valorisation... Weber veut "embarquer le BTP" dans la construction durable

STRATÉGIE. Le spécialiste des mortiers industriels ambitionne de décarboner la production de sa gamme, de générer moins de déchets - tout en valorisant davantage ceux qui sont malgré tout produits - et de proposer aux professionnels du secteur des systèmes constructifs durables. Au vu de sa position sur le marché, la filiale de Saint-Gobain espère ainsi emmener avec elle l'ensemble des acteurs de la construction sur la voie de la transition écologique.
Il y a 2 ans et 360 jours

Wilo contribue au « Ruban de glace » de l’Anneau national de patinage de vitesse

De 2008 à 2022, le gouvernement chinois a construit des sites de compétition et des installations ultramodernes pour les Jeux olympiques d’été et d’hiver. Comme la pompe à eau est considérée comme l’équipement important des sites sportifs, Wilo, le premier fabricant mondial de pompes à eau et de systèmes de pompes à eau, a également contribué aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver !L’anneau national de patinage de vitesse « Ice Ribbon » est le site emblématique de la principale zone de compétition des Jeux olympiques d’hiver de Beijing 2022, et c’est également le seul site de compétition sur glace nouvellement construit. Pour obtenir une couverture complète de tous les sports de glace tels que le patinage de vitesse, le patinage de vitesse sur piste courte, le patinage artistique et le hockey sur glace, l’Anneau national de patinage de vitesse est conçu comme un site entièrement sur glace, couvrant une surface de glace de 12 000 mètres carrés, également le plus grand d’Asie. L’immense surface de glace est faite du « matériau le plus respectueux de l’environnement », le réfrigérant au dioxyde de carbone, établissant une nouvelle référence pour les Jeux Olympiques en termes de protection de l’environnement et de durabilité.Wilo fournit des solutions de pompage pour le Capital Gymnasium Le Capital Gymnasium a commencé à être rénové le 16 novembre 2018 et a été officiellement achevé le 25 décembre 2020. Construit en 1968, il est en activité depuis 53 ans. Aujourd’hui, il a la capacité d’accueillir toutes les compétitions de patinage de vitesse sur piste courte et de patinage artistique, où un total de 14 médailles d’or sont décernées.Le patinage artistique et le patinage de vitesse sur piste courte nécessitent une température et une dureté différentes pour le plancher de glace, et ce changement doit être effectif en deux heures. Face à ces exigences, l’équipe de conception a mené des recherches et des discussions approfondies avec les experts en fabrication de glace du Comité d’organisation olympique, et a finalement adopté la nouvelle technologie de refroidissement direct transcritique au dioxyde de carbone respectueuse de l’environnement dans le système de fabrication de glace de la grande patinoire, fabriquant ainsi de la glace de manière rapide et uniforme.Grâce à des installations avancées de récupération de la chaleur, la chaleur est réutilisée sur les lieux de la compétition pour chauffer l'eau destinée à l'arrosage de la glace et à la rotation des déshumidificateurs, etc., réalisant ainsi l’utilisation de la chaleur résiduelle et réduisant considérablement les coûts d’exploitation ultérieurs. Lors de la conversion de la température de surface de la glace, la puissance de refroidissement de l’unité de réfrigération est contrôlée en temps réel, grâce au capteur de température, tandis que la glace est arrosée avec de l’eau chaude pour assurer la conversion rapide de la température de la surface de la glace. Wilo a démontré son extraordinaire capacité technique lors des Jeux Olympiques d'hiver de Pékin, notamment en contribuant au projet de reconstruction et d'extension du Capital Gymnasium. Wilo a fourni d'excellentes solutions de pompes à eau pour différents sous-systèmes du Capital Gymnasium :Salle de déshumidification du site, salle de l'unité d'injection directe de l'air conditionné : 12 pompes centrifuges horizontales à aspiration en bout Wilo-GIGA N.Salle de bains du sous-sol : 2 dispositifs de relevage des eaux uséesInstallations d'évacuation des eaux usées et de fonte de la glace pour chaque salle des machines : 16 pompes submersibles eaux usées Wilo-FAG ; 7 armoires de commande de support Wilo-CORCentre national de motoneige et de lugeEn plus d'entreprendre les deux projets des Jeux olympiques d'hiver ci-dessus dans le secteur des bâtiments commerciaux, Wilo Chine a également obtenu des commandes dans le secteur de l'eau municipale. En 2018, Wilo a entrepris le projet de dérivation de l'eau de neige et d'approvisionnement centralisé en eau dans la zone de compétition de Yanqing des Jeux olympiques d'hiver de Pékin.Les Jeux olympiques d'hiver de Pékin comptent trois zones de compétition, et la zone de compétition de Yanqing est celle qui compte le plus de nouveaux sites, et elle est également considérée comme la zone de compétition ayant la période de construction la plus courte, le plus de difficultés et le niveau le plus élevé dans l'histoire des Jeux olympiques d'hiver. Il y a deux sites de compétition dans la zone de compétition : le Centre national de ski alpin et le Centre national de motoneige et de luge.Les deux sites de compétition nécessitent un grand volume de glace artificielle et de services d'enneigement. La source d'eau est principalement fournie par le réservoir de Foyukou dans le district de Yanqing, qui est adjacent à la zone de compétition. L'eau est acheminée du réservoir de Foyukou vers un petit réservoir situé à l'intérieur de la zone de compétition via la station de pompage située à l'extérieur de la zone de compétition, puis pompée vers le réservoir de retenue via la station de pompage. Enfin, les trois autres stations de pompage alimentent en eau les équipements d'enneigement de la zone de compétition.La pompe multicellulaire horizontale segmentée Wilo-RSPH, un produit de la série de transport d'eau claire sur de longues distances de Wilo, est appliquée au projet de station de pompage d'entrée d'eau de première classe pour la fabrication de neige et la dérivation de l'eau et la source d'approvisionnement en eau centralisée dans le district de Yanqing des Jeux olympiques d'hiver.Wilo fournit un total de 11 pompes multicellulaires RSPH pour ce projet. Les pompes multicellulaires RSPH de différents modèles ont une hauteur de refoulement maximale de 499 m et un débit maximal de 430 m³/H h.La pompe centrifuge multicellulaire horizontale Wilo-RSPH est une pompe à eau à haut rendement énergétique.Wilo a testé les performances de chaque pompe de manière exhaustive. Le projet nécessite une courte période de construction et un délai de livraison urgent. En moins de cinq mois, Wilo mobilise tous ses services pour livrer les produits dans les temps, ce qui prouve la force de Wilo sur le marché de l'eau municipale.
Il y a 2 ans et 360 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 360 jours

Les interrupteurs et prises gallery de Hager sont disponibles avec un traitement antibactérien

Hager complète sa gamme d’appareillage mural gallery avec des références de prises et interrupteurs dotées d’un traitement antibactérien. Elles répondent aux besoins de tous les lieux où l’hygiène est primordiale : établissements de santé, maisons de retraite mais aussi les écoles, les espaces collectifs. Risque de prolifération et d’infection réduit 23 références blanches sont concernées par cette option dans la gamme d’appareillage mural gallery. Le traitement antibactérien est obtenu par application d’un vernis transparent à base de verre de phosphate d’argent. Ce procédé prévient la prolifération des bactéries et diminue considérablement le risque d’infection. En effet, le verre de phosphate d’argent* présent dans le vernis arrête naturellement la dispersion des micro-organismes et cela sans traitement chimique. Cette technologie est produite conformément aux exigences du monde médical**. *Aucune présence de nanotechnologie. CAS N°308069-39-8 PT.9. **Norme ISO 22196:2011 sur le mesurage de l’action antibactérienne sur les surfaces plastiques et les surfaces non poreuses.   Un marquage spécifique Le vernis donne aux plaques, aux enjoliveurs et aux obturateurs un rendu blanc mat. Un marquage antibactérien spécifique est appliqué sur les références concernées.   Protéger les personnes dans les environnements sensibles Le choix d’un appareillage mural antibactérien protège les personnes qui utilisent des points d’éclairage et de branchement partagés, en particulier dans des environnements sensibles :  – Établissements de santé : hôpitaux, cliniques, EPHAD…  – Environnements alimentaires : restaurants, cuisines…  – Environnements accueillant un public sensible : écoles, crèches, cabinet         médicaux… - Autres lieux où l’hygiène est incontournable : sanitaires publics, hôtels, salles de réunion…
Il y a 2 ans et 360 jours

Le marché des pompes à chaleur en 2050 selon l’AFPAC

90% de part de marché en maisons neuves, 80% en collectif neuf, 2 millions de pac vendues par an en 2050, toutes techniques confondues, … l’AFPAC est très optimiste, au prix de quelques non-dits.
Il y a 2 ans et 360 jours

L’usine Viessmann de Faulquemont a 50 ans et hâte l’avènement d’un monde tout ENR

Viessmann investit résolument dans les énergies renouvelables, dans le stockage d’électricité en batterie et renforce la capacité son usine de Faulquemont.
Il y a 2 ans et 360 jours

Energies renouvelables : Siemens Energy veut sortir de la Bourse sa filiale en difficultés Siemens Gamesa

La direction de Siemens Energy "envisage une offre en numéraire pour toutes les actions en circulation" de Siemens Gamesa -dont il détient 67% du capital- avec "l'intention d'une sortie de la Bourse" de cette entité, selon un communiqué.Le résultat de ladite réflexion "reste ouvert" et "aucune décision n'a été prise" à ce jour, conclut ce communiqué publié après que l'agence Bloomberg a révélé mercredi l'existence du projet.Dans les minutes qui ont suivi cette information de presse, le gendarme boursier espagnol a annoncé la suspension temporaire du titre de Siemens Gamesa à la bourse de Madrid "en raison de circonstances susceptibles de perturber le déroulement normal des opérations sur les titres" du fabricant d'éoliennes terrestres et en mer.Réintroduit au négoce depuis, le titre Siemens Gamesa gagnait en matinée plus de 11% à Madrid, tandis que Siemens Energy progressait de près de 4% à Francfort.Siemens Energy, qui réunit la construction de turbines électriques et la transmission d'énergie, pâtit ces derniers temps des mauvaises performances financières de Siemens Gamesa.Cela a obligé en avril le munichois à revoir ses prévisions globales pour 2022, après la lourde perte au premier trimestre dévoilée plus tôt par sa filiale espagnole en raison d'une hausse de ses coûts et d'un manque de compétitivité.En intégrant à 100% cette entité en lutte avec son rival danois Vestas, Siemens Energy pourrait simplifier sa communication financière et espérer davantage de synergies en interne dans des projets liés à l'éolien.Siemens Energy tiendra mardi prochain une journée investisseurs à Berlin qui pourrait livrer plus de détails sur ce projet.
Il y a 2 ans et 360 jours

La construction hors site en plein essor

Prémur préfabriqué en usine et prêt à l’emploi. [©AC Presse] La construction hors site permet de fabriquer et de pré-assembler des composants de bâtiments, en usine, pour une installation sur l’emplacement final. C’est ce que l’on appelle “préfabrication” dans le secteur du béton. Et ce, depuis les années 1920. La société BTP Consultants1 a observé l’évolution et l’impact du hors site dans le secteur de la construction. En effet, ce dernier représenterait 20 % des bâtiments construits dans le monde d’ici 2030, selon le cabinet McKinsey. L’essor de cette technique s’explique notamment par les avantages économiques ou écologiques qu’offrirait la construction hors site par rapport à la construction traditionnelle sur chantier. En effet, l’association UFC-Que Choisir démontre que cette dernière est soumise à des retards de livraisons d’en moyenne 5 mois sur près de 30 % des programmes immobiliers. D’après l’institut Xerfi, elle subit aussi la baisse de 19,3 % de la productivité des ouvriers sur les chantiers depuis 2001. De plus, elle jette l’équivalent de 1,5 Md€ de produits et matériaux non utilisés. De son côté, la construction hors site propose des avantages au niveau de la gestion des ressources. Elle facilite l’emploi de matériaux recyclés ou réutilisés, limitant ainsi le gaspillage de matières premières. L’impact de la construction hors site D’après une étude de l’université d’Aalto, en Finlande, cette technique permet aussi une productivité quatre fois supérieure à un chantier classique. En outre, les coûts des transports sont divisés par cinq, car les matériaux sont stockés en usine. Par ailleurs, le développement de « la construction hors site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire », déclare Elia Abou Chaaya, directeur de l’activité hors site de BTP Consultants. Les bureaux de contrôle, qui contribuent à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages sont en particulier touchés. Lire aussi : La préfabrication à la mode du bas carbone « Le rythme classique d’un contrôleur technique n’est pas adapté à l’industrialisation, ajoute Elia Abou Chaaya. C’est tout un état d’esprit qui évolue. » Leur mission est de vérifier la faisabilité de la conception et la conformité des solutions industrielles. Tout en détectant les techniques non traditionnelles ou innovantes nécessitant des certifications spéciales de type Atex2. Les coordonnateurs SPS, qui évaluent les risques sur le chantier, sont aussi concernés par ce changement. Ils doivent adapter leur vision pour prendre en compte le risque d’accident en usine, la réduction de la phase chantier, le traitement des livraisons et du mode de montage des modules. 1 BTP Consultants est un bureau de contrôle technique de construction et de coordination SPS. Il est le premier à être certifié Iso 9001 et Iso 14001.2Procédure d’évaluation technique formulée par un groupe d’experts sur un produit ou un procédé innovant. 
Il y a 2 ans et 360 jours

Les effets de la guerre en Ukraine impactent l’activité des matériaux

Selon le dernier baromètre conjoncturel de l’Unicem, l’activité des matériaux accuse les premiers effets du conflit ukrainien. [©ACPresse] Selon le dernier baromètre conjoncturel de l’Unicem, l’activité des matériaux accuse les premiers effets du conflit ukrainien. Si le secteur s’était montré résilient début 2022, il enregistre un recul ce mois de mars. Ainsi, selon les premières enquêtes provisoires, la production de granulats aurait régressé de 2,6 % par rapport au mois de février et de 2,1 % par rapport à mars 2021. Au premier trimestre et grâce à un bon début d’année, les volumes demeurent en hausse de 5,1 % comparé au quatrième trimestre 2021 et progressent de 1,5 % sur un an. L’activité est donc restée dynamique au cours des trois premiers mois de l’année 2022 et surpasse sensiblement la moyenne constatée sur cette période depuis 2010. En cumul sur les douze derniers mois, la production de granulats s’affiche en hausse de 5,7 % aux douze précédents. Du côté du BPE, les livraisons ont aussi baissé de 1,9 % comparé à février et de 3,8 % en glissement annuel. Même si le trimestre s’inscrit en hausse de 2,2 % en comparaison avec le trimestre précédent et de 1,2 % comparé à 2021. Une période mi-figue mi-raisin « Les volumes de BPE surplombent largement le niveau moyen constaté sur une longue période pour un premier trimestre, détaille l’Unicem. Ce qui traduit une activité encore soutenue en ce début d’année. En cumul sur douze mois, l’activité BPE s’inscrit en hausse de 5,2 % en comparaison des douze mois précédents. » Si la dernière étude de l’Insee, menée en avril dernier, enregistrait un climat très favorable pour l’industrie du bâtiment, les chefs d’entreprise restent prudents pour les prochains mois. En effet, les difficultés d’approvisionnement s’intensifient. Lire aussi : Pénurie de matériaux : “La grande débrouille” Près de 39 % des entreprises interrogées y sont confrontées. A cela s’ajoutent la flambée des coûts énergétiques, et la fragilisation des chaînes de valeur et de la logistique. « L’opinion des chefs d’entreprise sur leurs carnets de commandes se dégrade un peu. Ce qui constitue sans doute d’ailleurs un premier signal d’affaiblissement de nouvelles entrées de commandes. Cependant, le volume des chantiers, en cours et à réaliser, reste élevé : environ 9,4 mois de travaux dans le gros œuvre. » Par contre, cette demande se confronte à une tension sur les intrants et la main-d’œuvre. Une conséquence directe sur les délais de réalisation des chantiers et les coûts de production. Des chefs d’entreprises sur la réserve « De fait, les chefs d’entreprise sont de plus en nombreux à annoncer qu’ils augmenteront leurs prix dans les prochains mois. Tandis que, dans le même temps, les trésoreries commencent à se dégrader, notamment dans le gros œuvre. » De son côté, la demande montre des signaux de fragilisation. L’inflation impacte, y compris immobilière, impacte directement le pouvoir d’achat et la solvabilité des ménages. Toujours selon l’Insee, la demande en logements neufs se dégrade fortement en avril. Même constat dans le secteur de la maison individuelle. Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste « Le baromètre Markémétron, qui signalait déjà un début d’année très ralenti, confirme un net repli des ventes au premier trimestre, de – 25,7 % en glissement annuel. » Pour ce qui est des travaux publics, les entrepreneurs du secteur se montrent moins optimistes qu’en janvier pour les prochains mois à venir. Si le manque de demande ne semble pas constituer un frein majeur à l’activité, les incertitudes économiques sont prégnantes. « Confrontés comme le reste de la filière à l’inflation des coûts produite par le double choc sanitaire et sécuritaire, les travaux publics peinent à résoudre la difficile équation. Laquelle consiste à pouvoir honorer les commandes et à réaliser les chantiers sans mettre en péril les trésoreries. » A suivre…
Il y a 2 ans et 360 jours

Herige monte en puissance pour l’année 2022

Benoît Hennaut, président du directoire d’Herige. [©Charles Marion/Herige] En 2020, le groupe Herige annonçait les grandes lignes de son projet de transformation articulé autour de trois piliers : “l’humain”, “l’environnement”, “l’innovation et le digital”. Il a pour ambition d’être un acteur majeur pour tous ses clients et tous ses territoires. Tout en contribuant à l’évolution et à la décarbonation des secteurs de la construction et de l’industrie. Cet objectif se caractérise par une montée en puissance du groupe. En effet, le chiffre d’affaires d’Herige a atteint 720 M€ en 2021. Un record ! Les trois corps de métiers du groupe, que sont la menuiserie industrielle (Atlantem), le béton (Edycem) et le négoce (VM), ont contribué à cette croissance. Tout comme les récentes acquisitions d’Activence (Paca) et d’Audoin & Fils Béton (Aquitaine). Ces filiales s’adaptent aux nouvelles normes du secteur et proposent des solutions capables de répondre aux enjeux actuels. Ainsi, Herige place l’environnement au cœur de ses activités. Il a mis en place une politique RSE qui touche tous les métiers. En témoigne la filiale de négoce VM qui développe ses offres biosourcées pour contribuer à la rénovation énergétique des bâtiments. Herige engagé dans la RSE Mais aussi, le groupe lutte contre la surexploitation de matières premières. Il veut privilégier l’économie circulaire et mieux valoriser les déchets. « La priorité est d’être dans le “faire”, en encourageant la prise d’initiative, déclare Caroline Lutinier, directrice RSE et communication d’Herige. Cela, afin de favoriser au mieux l’appropriation de ces enjeux par toutes nos parties prenantes. Nous voulons aussi nous inscrire dans une démarche de dialogue à la fois à l’interne et à l’externe. La communication sera donc essentielle, afin de fédérer et d’encourager l’engagement de chacun. » Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Par ailleurs, Herige a signé un partenariat avec WWF, en 2021, pour une durée de trois ans. Cette collaboration porte sur plusieurs thématiques comme le climat ou encore la biodiversité. Elle a pour objectif de réduire l’empreinte carbone du groupe et de préserver les forêts françaises, en soutenant le projet “Cœur Forestier de la France”. En ce qui concerne le pilier “innovation et digital”, la data est au cœur des priorités d’Herige. Le groupe s’ancre pleinement dans la transition numérique. Il compte bien enrichir les données BIM de VM, moderniser les outils d’Edycem ou encore accompagner Atlantem dans la transformation digitale, avec la solution Digit’Am. Les services d’Herige Au niveau des datas, Herige a pour ambition d’exploiter au mieux ces données. Une réflexion a été engagée en interne, afin de mieux valoriser la donnée au service du pilotage de la performance interne (économique, RH, et environnementale), des clients, des fournisseurs et des parties prenantes. Après avoir déjà analysé les pratiques et dégagé une trentaine d’usages identifiés, Herige prépare une stratégie de budgétisation et de déploiement de nouveaux procédés dans les mois à venir. La RSE d’Herige place aussi l’humain au cœur de sa politique RH. Le groupe propose des opportunités de formation et de développement de carrière. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Il souhaite mettre en œuvre des dispositifs comme la digitalisation du système d’information RH. Cela, afin d’assurer le suivi des entretiens annuels. Ainsi, il adapte ses moyens pour répondre aux attentes des équipes et attirer de nouveaux talents. Il a notamment lancé la Herige Académie, qui propose des parcours de formation “leaders” et “sprint managers”. Cette dernière place la RSE au cœur de l’enseignement. Enfin, Herige a créé “Graines d’impact”. Ce collectif a pour objectif de partager, en interne, la feuille de route de la société pour renforcer l’engagement RSE. Pour cela, une newsletter est diffusée chaque mois. Elle permet d’informer les collaborateurs sur les actions en cours.
Il y a 2 ans et 360 jours

Saint-Gobain Ecophon lance deux solutions pour faire face à la problématique du bruit et des basses fréquences en milieu scolaire

Pourtant, la mise en œuvre de solutions de plafonds modulaires et de panneaux muraux adéquates permet de répondre aux différentes problématiques liées au bruit, pour rendre les établissements scolaires plus agréables et propices à l’apprentissage. Aujourd’hui, Saint-Gobain Ecophon lance deux nouvelles solutions permettant d’améliorer efficacement l’acoustique au sein des établissements scolaires :Akusto Wall C Extra Bass, un panneau mural dont les performances acoustiques répondent aux besoins de basses fréquences ;Super G Plus A, une solution de plafond modulaire acoustique particulièrement adaptée aux salles de sport grâce à sa résistance aux chocs.Le bruit en classe, une réalité qui impacte le quotidien des élèves comme des professeursSaint-Gobain Ecophon s’est penché sur les conséquences des nuisances sonores en milieu scolaire, en réalisant, en partenariat avec la Semaine du Son de l’UNESCO, deux sondages OpinionWay auprès des élèves1, puis des enseignants2. Les résultats sont sans appel. En effet, la première étude fait apparaître que la plupart des élèves (86%) considèrent qu’il y a trop de bruit dans leur établissement, notamment dans les espaces suivants :La cantine (89%)Le couloir (83%)Le hall d’entrée (83%)Le gymnase (79%)Les salles de cours (34%)Les salles d’études (33%)Ces nuisances ont inévitablement des conséquences sur le bien-être et la concentration des élèves. Ainsi, 3 élèves sur 4 déclarent éprouver des difficultés à se concentrer à cause du bruit. Pour 74% des élèves interrogés, le bruit empêche également d’entendre correctement la voix de leur professeur.Le constat est le même du côté des enseignants, pour qui le bruit a également un impact important sur la qualité de leur travail, voire leur santé. Ils sont en effet 66% à trouver leur classe trop bruyante, et 69% à déclarer que le bruit est difficilement supportable dans les couloirs. Sur le long terme, l’impact du bruit sur leur santé physique et mentale est considérable.« Les résultats des sondages démontrent que le bruit dans les établissements scolaires représente un véritable enjeu de santé publique. Ce n’est pourtant pas une fatalité : des solutions de traitement acoustique adaptées existent afin de réduire le niveau sonore tout en améliorant la clarté de la parole. Celles-ci favorisent à la fois l’apprentissage des élèves et le confort des enseignants. » Sylvain Coudret, Concept Developer Education & Bureau Ecophon.Akusto Wall C Extra Bass, un panneau mural adapté aux basses fréquencesSystèmes de ventilation, conversations, bruit du mobilier dans les classes, passage dans les couloirs sont autant de bruits du quotidien qui viennent perturber élèves et enseignants en milieu scolaire. Ces bruits sont majoritairement composés de basses fréquences, gênantes pour l’oreille. En effet, celles-ci se propagent facilement, y compris à travers les murs, et dégradent la capacité à entendre des fréquences plus élevées. La perception de la parole se fait alors plus difficilement.La nouvelle solution murale Akusto Wall C Extra Bass de Saint-Gobain Ecophon est un système unique sur le marché. Composé de la solution Ecophon Akusto Wall C et d’un absorbant Extra Bass supplémentaire, le panneau combine une absorption acoustique de classe A à une action ciblant particulièrement les sons à basses fréquences. Cela permet de les traiter pour mieux entendre des fréquences plus élevées, comme les consonnes.De plus, sa conception ingénieuse intègre une coulisse à joint creux ConnectTM dont le design crée un effet d’ombre, ce qui donne au panneau une apparence de 40 mm seulement.Le panneau est disponible dans une large gamme de couleurs et surfaces intemporelles, et en dimensions 2 700 x 600 x 40 mm. Il peut être posé à la verticale comme à l’horizontale, pour une installation modulable, au gré des besoins des espaces.Super G Plus A, une solution de plafond acoustique résistant aux chocsSaint-Gobain Ecophon étend également sa gamme de plafonds acoustiques Super G, consacrée aux environnements nécessitant des solutions d’absorption acoustique particulièrement robustes et capables de résister aux chocs.La solution Super G Plus A a été développée pour les espaces dans lesquels une résistance maximale aux impacts est requise, tels que les gymnases et salles de sport. Ce système dispose d’une ossature robuste composée de profilés semi-encastrés, fixés directement sur le plancher support ou sur une ossature suspendue.Cela permet de maintenir les panneaux en place et de mieux résister à des chocs mécaniques élevés. De classe 1A, Super G Plus A peut ainsi résister à des impacts jusqu’à 60 km/h.Par ailleurs, conscient des enjeux environnementaux actuels et engagé en faveur de bâtiments durables, Saint-Gobain Ecophon s’appuie sur des matériaux plus durables et une politique de transparence vis-à-vis de ses produits. Aussi, comme l’ensemble de ses panneaux absorbants acoustiques, ces nouvelles solutions contiennent au minimum 42% de matières recyclées. L’entreprise a également réalisé l’Analyse du Cycle de Vie de ces produits et les rend publics dans des Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES), disponibles en téléchargement sur la base INIES.1 Sondage réalisé du 4 au 6 janvier 2021 auprès d’un échantillon de 506 élèves représentatif de la population des collégiens et lycéens de France.2 Sondage réalisé en ligne du 1er au 6 décembre 2021 auprès d’un échantillon de 318 enseignants représentatif de la population des enseignants de primaire, collège et lycée.
Il y a 2 ans et 361 jours

La mise en examen de Lafarge pour "complicité de crimes contre l'humanité" en Syrie confirmée

La chambre de l'instruction parisienne était invitée à se prononcer une nouvelle fois sur les demandes du groupe Lafarge d'annulation de ses mises en examen pour l'infraction, rarissime pour une entreprise, de "complicité de crimes contre l'humanité", et pour celle de "mise en danger de la vie d'autrui".En novembre 2019, cette chambre d'appel avait accédé à la première demande du groupe, estimant que la seule intention du groupe était "la poursuite de l'activité de la cimenterie", tout en rejetant la seconde. Mais en septembre dernier, la Cour de cassation l'avait invitée à revoir sa copie.Sa chambre criminelle avait estimé que, pour que cette complicité de crimes contre l'humanité puisse être retenue, il suffisait que l'auteur de l'infraction "ait connaissance de ce que les auteurs principaux commettent ou vont commettre un tel crime contre l'humanité et que par son aide ou assistance, il en facilite la préparation ou la consommation".Après un retour à la chambre de l'instruction et une longue audience en mars, la cour d'appel de Paris a donc décidé de maintenir la "complicité de crimes contre l'humanité" et la "mise en danger de la vie d'autrui" au dossier pour le groupe cimentier.Ses avocats n'ont pas souhaité commenter la décision.Faits "cachés" à Holcim ?Dans le cadre de cette information judiciaire ouverte en juin 2017, le groupe désormais filiale d'Holcim est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale syrienne Lafarge Cement Syria (LCS), plusieurs millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), ainsi qu'à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie à Jalabiya alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.L'enquête a évalué que ces versements pourraient avoir atteint entre 4,8 et 10 millions d'euros pour le seul groupe EI.Lafarge est également suspecté d'avoir vendu du ciment de l'usine à l'EI et d'avoir payé des intermédiaires pour s'approvisionner en matières premières auprès de factions jihadistes.Le groupe avait investi 680 millions d'euros dans la construction du site de Jalabiya, achevé en 2010.Une représentante de l'association ECCHR (European Center for Constitutional and Human Rights), dont le statut de partie civile dans ce dossier a été confirmé par la cour d'appel mercredi, a salué auprès de la presse "une décision emblématique". "On espère que les juges d'instruction vont pouvoir finir leur travail", a-t-elle ajouté."C'est un pas de plus contre l'impunité des auteurs des pires crimes d'acteurs économiques: aujourd'hui, il n'est plus possible de se cacher derrière le petit doigt de l'ignorance organisée", a applaudi Me Joseph Breham, avocat d'une centaine d'ex-salariés syriens."C'est un soulagement et une étape importante pour les anciens salariés syriens", "exposés (...) à un risque immédiat de mort et de blessure grave par des groupes armés (...) alors même que l'ensemble des salariés expatriés étaient évacués de manière définitive en 2012", ont aussi relevé Me Mathieu Bagard et Elise Le Gall, avocat d'une cinquantaine d'autres salariés syriens parties civiles."Il faut désormais faire la lumière sur les responsabilités et le degré de connaissance de cette complicité de crime contre l'humanité des acteurs publics", a demandé Me Arié Alimi, avocat de la Ligue des droits de l'homme (LDH).Deux des qualifications pénales retenues contre le groupe Lafarge, "complicités de crimes contre l'humanité" et "financement d'une entreprise terroriste", sont très lourdes en termes d'image publique.Dans un interrogatoire de novembre révélé mardi par Le Parisien, le président du conseil d'administration d'Holcim, Beat Hess, a accusé les anciens dirigeants de Lafarge d'avoir "caché" leurs activités en Syrie lors de la fusion en 2015 des deux groupes. Holcim a été "trahie", a-t-il asséné.Dans ce dossier, huit cadres et dirigeants, dont l'ex-PDG de Lafarge Bruno Lafont, mais aussi un intermédiaire syro-canadien ou un ex-gestionnaire des risques jordanien sont mis en examen.Les dates clés de l'affaire Lafarge"Arrangements troubles"Le 21 juin 2016, Le Monde affirme que Lafarge a tenté, en 2013 et 2014, de faire fonctionner "coûte que coûte" son usine en Syrie "au prix d'arrangements troubles et inavouables avec les groupes armés environnants", dont l'organisation Etat islamique (EI).Ces "arrangements" visaient à poursuivre la production jusqu'au 19 septembre 2014, quand l'EI s'est emparé du site et le cimentier a annoncé l'arrêt de toute activité.Lafarge, qui a fusionné en 2015 avec le suisse Holcim, assure que sa "priorité absolue" a "toujours été d'assurer la sécurité et la sûreté de son personnel".Située à 150 km au nord-est d'Alep, la cimenterie a été achetée par Lafarge en 2007 et mise en route en 2011.PlaintesEn septembre 2016, le ministère de l'Economie dépose plainte, déclenchant l'ouverture d'une enquête préliminaire par le parquet de Paris et la saisine du service national de douane judiciaire (SNDJ).La plainte porte sur une interdiction d'acheter du pétrole en Syrie, édictée par l'Union européenne dans le cadre d'une série de sanctions contre le régime de Bachar al-Assad.En novembre, Lafarge est visé par une autre plainte déposée par deux ONG, qui vont jusqu'à réclamer des poursuites pour "complicité de crimes contre l'humanité" : l'association Sherpa et le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR).Une autre association, la Coordination des chrétiens d'Orient en danger (Chredo), se joindra à elles par la suite.EnquêteLe 9 juin 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".Le SNDJ conclut dans un rapport d'enquête que Lafarge Cement Syrie (LCS), branche syrienne du groupe, a "effectué des paiements aux groupes jihadistes" pour que son site continue à fonctionner. La direction française de Lafarge a, selon lui, "validé ces remises de fonds en produisant de fausses pièces comptables".Mises en examenLe 1er décembre, deux anciens directeurs de la filiale syrienne, Bruno Pescheux et Frédéric Jolibois, ainsi que le directeur de la sûreté du groupe, Jean-Claude Veillard, sont mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".Quelques jours après, Bruno Lafont, ex-PDG (2007-2015), Eric Olsen, DRH à l'époque des faits, et l'ex-directeur général adjoint opérationnel, Christian Herrault, sont mis en examen.Au total, huit cadres sont mis en examen pour financement d'une entreprise terroriste ou mise en danger de la vie d'autrui.En outre, un des hommes soupçonnés d'avoir servi d'intermédiaire, un Syro-Canadien, a été mis en examen fin août 2019 pour "financement du terrorisme"."Complicité de crimes contre l'humanité"Le 28 juin 2018, Lafarge est mis en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité", "financement d'une entreprise terroriste", "mise en danger de la vie" d'anciens salariés et "violation d'un embargo".Le groupe et trois dirigeants font appel et contestent les fondements de l'enquête.Le 24 octobre 2019, la cour d'appel déclare irrecevables les constitutions de partie civile de quatre associations plaignantes (Sherpa, l'ECCHR, le Chredo et Life for Paris). Les deux premières décident de se pourvoir en cassation.Le 7 novembre 2019, la cour d'appel annule la mise en examen de Lafarge pour "complicité de crimes contre l'humanité", la plus grave, mais elle maintient les trois autres mises en examen.Mises en examen confirméesEn septembre 2021, la Cour de cassation, plus haute juridiction judiciaire française, casse la décision de la cour d'appel d'annuler les poursuites pour"complicité de crimes contre l'humanité".Elle casse parallèlement la décision de la cour d'appel de maintenir la mise en examen du groupe pour "mise en danger de la vie d'autrui" et renvoie ces deux questions devant la chambre de l'instruction, dans une composition différente.Selon des sources proches du dossier, la cour d'appel de Paris a confirmé ce mercredi 18 mai la mise en examen du groupe pour "complicité de crimes contre l'humanité" et maintenu celle pour "mise en danger de la vie d'autrui".
Il y a 2 ans et 361 jours

Bruxelles veut plus d'énergie verte pour s'affranchir de la Russie

La récente interruption par Moscou des livraisons de gaz à la Pologne et à la Bulgarie a montré l'urgence d'agir pour sécuriser les approvisionnements européens."Nous devons réduire le plus vite possible notre dépendance énergétique à l'égard de la Russie. Nous le pouvons", a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à la presse.Mais réduire les importations d'énergies fossiles est aussi crucial pour atteindre les objectifs climatiques de l'UE, soit une baisse des émissions de gaz à effet de serre d'au moins 55% d'ici 2030 et la neutralité carbone en 2050."Les économies d'énergie sont le moyen le plus rapide et le moins cher pour répondre à la crise énergétique actuelle et réduire les factures", souligne l'exécutif européen dans ce plan, qui avait été réclamé fin mars par les chefs d'Etat et de gouvernement des 27 Etats membres de l'UE.Bruxelles estime que "des changements de comportement pourraient réduire de 5% à court terme la demande de gaz et de pétrole", et préconise des campagnes de communication dans chaque Etat membre auprès des entreprises et des ménages.La Commission propose de rehausser son objectif de part des renouvelables dans le mix énergétique à l'horizon 2030, qui passerait de 40% à 45%. Pour cela, elle mise notamment sur un doublement des installations photovoltaïques d'ici à 2025 et sur un allègement des contraintes administratives pour accélérer les procédures de déploiement des projets solaires et éoliens."Nous proposons d'imposer des toitures solaires pour les bâtiments commerciaux et publics d'ici à 2025 et pour les bâtiments résidentiels neufs d'ici à 2029", a détaillé Mme von der Leyen.Le plan fixe également un objectif de 10 millions de tonnes d'hydrogène d'origine renouvelable produit en Europe d'ici à 2030, ainsi que 10 millions de tonnes d'importations, pour remplacer le charbon, le pétrole et le gaz dans certains secteurs de l'industrie et des transports.Bruxelles reconnaît toutefois que l'UE ne pourra se passer rapidement du pétrole et du gaz et a déjà engagé une diversification de ses fournisseurs, en se tournant notamment vers les Etats-Unis, l'Algérie et le Moyen-Orient. La Commission envisage un mécanisme d'achat conjoint pour négocier de meilleurs tarifs.L'accélération de la transformation du système énergétique européen va nécessiter un investissement supplémentaire de 210 milliards d'euros d'ici à 2027, a calculé l'exécutif. L'essentiel du financement proposé proviendrait de prêts déjà inclus dans le plan de relance européen NextGenerationEU mais non encore utilisés. Ces prêts représentent déjà 225 milliards d'euros immédiatement mobilisables.A court terme, l'UE devra également augmenter sa production d'électricité dans les centrales nucléaires et à charbon, a reconnu un responsable européen.Les Européens ont déjà annoncé la fin des importations de charbon russe à partir d'août prochain et un embargo sur le pétrole pour la fin de l'année est en cours de discussion parmi les Etats membres. La Commission avait affirmé en mars vouloir réduire des deux tiers ses achats de gaz russe dès cette année et en totalité avant 2030.En 2019, 25% de l'énergie consommée en Europe provenait de Russie, son premier fournisseur, selon l'Institut Jacques Delors. Depuis le déclenchement des hostilités en Ukraine fin février, l'UE a déjà versé 52 milliards d'euros à Moscou, soit presque autant en deux mois et demi que son budget militaire annuel de 60 milliards d'euros, souligne ce centre de réflexion bruxellois.
Il y a 2 ans et 361 jours

Performance environnementale : Weber prend des engagements durables

En ligne avec les objectifs du plan Impact & Grow, de sa maison mère Saint-Gobain, dans la continuité de sa démarche RSE #VertEtFier et sous l’impulsion de sa nouvelle directrice générale, le spécialiste des solutions de façades et de sols va engager tous ses projets sur une ligne écoresponsable.
Il y a 2 ans et 361 jours

La réforme du marché du carbone franchit une étape-clé au Parlement européen

La commission Environnement s'est prononcée sur plusieurs textes de la feuille de route proposée en juillet 2021 par la Commission européenne ("Fit for 55") pour réduire d'au moins 55% d'ici 2030 par rapport à 1990 les émissions de gaz à effet de serre de l'UE.Les positions adoptées par la commission Environnement devront encore être approuvées en séance plénière début juin, avant que ne s'engagent des négociations avec les Etats pour finaliser les textes.Actuellement, le marché carbone européen, où s'échangent depuis 2005 les "permis à polluer" que doivent acheter certains secteurs (industrie, énergie) représente seulement 40% des émissions des Vingt-Sept.Les eurodéputés de la commission ont approuvé l'élargissement du marché carbone aux transports et au bâtiment en le limitant aux professionnels (chauffeurs routiers, immeubles de bureaux), à partir de 2025, selon un communiqué du Parlement.Les particuliers (voitures, logements) devraient en être exclus jusqu'en 2029, afin de ne pas peser sur les ménages, sur fond de flambée des cours de l'énergie.Ils seront éventuellement concernés après "une évaluation rigoureuse" de la Commission européenne suivie d'une nouvelle proposition législative qui devra faire l'objet d'un accord entre le Parlement et le Conseil, selon la même source.Les eurodéputés se sont également entendus pour accélérer l'inclusion du transport maritime dès 2024 (la Commission européenne proposait 2027).Pour la commission parlementaire, l'"ajustement carbone aux frontières", qui permet d'imposer les contraintes climatiques européennes aux produits importés, s'appliquerait de façon "complète" en 2030, "soit 5 ans plus tôt" que ce qui est proposé par l'exécutif bruxellois, souligne le communiqué.Afin de respecter les principes de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), ils se prononcent pour l'élimination complète dès 2030 des quotas gratuits offerts dans l'UE aux industriels européens, à mesure que seront taxées les importations de secteurs polluants (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité) sur base du prix du CO2.Ce calendrier accéléré devrait être âprement négocié avec les États, soucieux de ne pas déstabiliser la compétitivité de l'industrie européenne.Cette taxe carbone serait aussi élargie à d'autres produits que ceux proposés par la Commission, comme l'aluminium, l'hydrogène, la chimie organique et les polymères.
Il y a 2 ans et 361 jours

L’activité des matériaux de construction accuse les premiers effets du conflit ukrainien

Un premier repli des volumes est observé en mars pour les granulats et le BPE, repli qui devrait s’amplifier en avril selon les estimations de l'UNICEM. Aux contraintes sur l’offre (tensions sur les approvisionnements, difficultés de recrutement...) héritées de la crise sanitaire, s’ajoute désormais un choc inflationniste majeur sur l’énergie (pétrole, gaz, électricité) et les matières premières qui affecte l’ensemble de la filière BTP. Cette flambée des prix renchérit les coûts de production et menace les trésoreries tandis que, à terme, les perspectives de demande se fragilisent. Même si les carnets se regarnissent graduellement côté TP et restent bien remplis côté bâtiment, la réalisation des travaux demeure plus que jamais sous contraintes...Recul des productions en marsSelon les résultats provisoires de l’enquête mensuelle de mars, l’activité aurait reculé dans le secteur des matériaux. La production de granulats se serait repliée de -2,6% par rapport à février et de -2,1% au regard de mars 2021 (données CVS-CJO). Au premier trimestre et grâce à un bon début d’année, les volumes demeurent en hausse de +5,1% comparé au quatrième trimestre 2021 et progressent de +1,5% sur un an. L’activité est donc restée dynamique au cours des trois premiers mois de l’année 2022 et surpasse sensiblement la moyenne constatée sur cette période depuis 2010. En cumul sur les douze derniers mois, la production de granulats s’affiche en hausse de +5,7% en comparaison des douze mois précédents. Côté BPE, les livraisons ont également baissé, de -1,9% comparé à février et de -3,8% en glissement annuel (CVS-CJO). Cependant, le premier trimestre 2022 s’inscrit lui aussi en hausse, de +2,2% par rapport au trimestre précédent et de +1,2% comparé à l’an passé. Là encore, les volumes de BPE surplombent largement le niveau moyen constaté sur longue période pour un premier trimestre, ce qui traduit une activité encore soutenue en ce début d’année. En cumul sur douze mois, l’activité BPE s’inscrit en hausse de +5,2% en comparaison des douze mois précédents.L'indicateur matériaux UNICEM, encore provisoire sur mars, indique aussi un net fléchissement d’activité avec un recul de -3,3% sur un an. De fait, après une année 2021 en progression de +9% (données CJO), le premier trimestre revient sur une tendance haussière bien plus modeste, de +0,9% en glissement annuel, certains matériaux ayant par ailleurs connu un début d’année en net freinage.Bâtiment : les difficultés s'accentuentSelon la dernière enquête menée par l’INSEE dans l’industrie du bâtiment en avril, le climat des affaires est resté très favorable, atteignant même son point haut depuis ces quinze dernières années. Toutefois, si les chefs d’entreprise se montrent plus positifs qu’en mars sur leur activité passée, ils sont moins optimistes sur leur activité future même si le solde d’opinion correspondant demeure très largement au-dessus de sa moyenne de long terme.Le conflit russo-ukrainien, au moins en partie, explique sans doute ce mouvement de repli. En effet, les difficultés d’approvisionnement s’accroissent nettement selon l’enquête, puisque 39% des entreprises y sont confrontées, soit un pourcentage jamais atteint depuis le début de cette série (1998) et bien supérieur au ratio moyen sur la période (5%). Dans un contexte économique encore perturbé par la pandémie (confinement en Chine avec la politique zéro-COVID) et ébranlé depuis fin février par la guerre en Ukraine, la flambée des coûts énergétiques et la fragilisation des chaînes de valeur et de la logistique viennent aiguiser les difficultés d’offre, déjà prégnantes avant le déclenchement du conflit ; car même si l’opinion des chefs d’entreprise sur leurs carnets de commandes se dégrade un peu, ce qui constitue sans doute d’ailleurs un premier signal d’affaiblissement de nouvelles entrées de commandes, le volume des chantiers, en cours et à réaliser, reste élevé (environ 9,4 mois de travaux dans le gros œuvre). Face à cette demande vigoureuse, les tensions sur les intrants et la main-d’œuvre conduisent à allonger les délais de réalisation des chantiers (ce qui maintient à haut niveau les carnets) et à renchérir les coûts de production. De fait, les chefs d’entreprise sont de plus en nombreux à annoncer qu’ils augmenteront leurs prix dans les prochains mois tandis que, dans le même temps, les trésoreries commencent à se dégrader, notamment dans le gros œuvre.Côté demande, les signaux de fragilisation se multiplient. L’accélération de l’inflation (y compris immobilière) rogne le pouvoir d’achat et la solvabilité des ménages. Bien que la remontée des taux d’intérêt s’amorce à partir de niveaux historiquement bas (1,27% en moyenne en avril, soit +20 points de base comparé à avril 2021 selon l’OCL/ CSA), le climat d’incertitude, la crainte du chômage et le durcissement des conditions d’octroi de crédits constituent un ensemble de facteurs plutôt propice à l’attentisme et à un comportement de sur-épargne. La dernière enquête de l’INSEE menée auprès des promoteurs en avril indique que la demande de logements neufs se dégrade fortement, les incitant à revoir à la baisse leurs projets.Côté maison individuelle, le baromètre Markémétron, qui signalait déjà un début d’année très ralenti, confirme un net repli des ventes au premier trimestre, de -25,7% en glissement annuel. Il est vrai qu’il fait suite à une année 2021 exceptionnelle, portée par l’anticipation de l’arrivée des nouvelles normes et réglementations au 1er janvier 2022 (RE2020, loi ZAN). Ainsi, au premier trimestre, les permis de construire de logements ont grimpé de +25% sur un an pour atteindre un cumul de 496.900 unités sur douze mois à fin mars (soit une hausse de +26%). Dans le même temps, les mises en chantier gagnaient +4,8%, laissant le cumul annuel à 394000 unités, en hausse de +9,7% comparé aux douze mois précédents. Même si cette forte hausse des autorisations, sans doute liée à la ruée sur les permis déposés avant fin décembre, sera probablement suivie d’un fort contrecoup en 2022, elle alimente pour l’heure une demande constructive déjà élevée.TP : du mieux côté carnetsInterrogés en avril par la FNTP, les entrepreneurs des travaux publics se montrent moins optimistes qu’en janvier sur leur activité prévue au cours des prochains mois. Cependant, leur activité passée s’est raffermie et leur opinion sur les carnets de commandes s’améliore tant pour la clientèle publique que privée, se situant bien au-dessus de leur moyenne de long terme. Si le manque de demande ne semble pas constituer un obstacle à l’activité (ce facteur figure en troisième position avec 25% des réponses, après les contraintes financières à 30% et les difficultés de recrutement à 36%), l’inquiétude et les incertitudes économiques grandissent parmi les professionnels du secteur. Confrontés comme le reste de la filière à l’inflation des coûts produite par le double choc sanitaire et sécuritaire, les travaux publics peinent à résoudre la difficile équation qui consiste à pouvoir honorer les commandes et réaliser les chantiers sans mettre en péril les trésoreries.Chiffres clés :1er trimestre 2022 : une activité bien supérieure à l'activité moyenne constatée sur cette période au cours des dix dernières années :+12,5% pour le BPE+9% pour les granulats (données brutes)
Il y a 2 ans et 361 jours

Complicité de crimes contre l'humanité : la mise en examen de Lafarge confirmée

JUSTICE. La cour d'appel de Paris maintient la mise en examen du groupe Lafarge pour "complicité de crimes contre l'humanité".
Il y a 2 ans et 361 jours

"Le bois-énergie est la calorie la moins chère", F. Coirier, PDG de Poujoulat

ENTRETIEN. En cette période de crise majeure des prix de l'énergie, le bois pourrait tirer son épingle du jeu, assure Frédéric Coirier, PDG du groupe Poujoulat. La société, en pleine croissance, vient d'inaugurer sa plus grande usine de production de bois bûche, en Haute-Saône, "Bois factory 70".
Il y a 2 ans et 361 jours

VEKA Spectral : une offre exclusive pour des menuiseries PVC architecture contemporaine de haute qualité

Grâce à ces nombreux atouts, VEKA SPECTRAL est donc en mesure de séduire architectes, maîtres d’ouvrage, fabricants de menuiseries, poseurs et amoureux de design à la recherche de produits durables. Ainsi, pour le fabricant, VEKA SPECTRAL s’impose comme une véritable opportunité : différenciation et exclusivité sur son marché, création de valeur ajoutée, le tout sans avoir à investir dans un nouveau processus d’assemblage. Pour l’installateur/artisan, cette finition VEKA SPECTRAL, en plus d’apporter un design unique et abouti, se veut résistante et incomparable. Enfin, le particulier y trouvera un rendu inédit visuellement et étonnant par le toucher, le tout associé à des menuiseries VEKA performantes et recyclables. VEKA SPECTRAL : 10 teintes disponibles pour habiller profilés PVC et produits complémentaires S’appuyant sur une technologie maîtrisée, associant laquage et plaxage, VEKA propose VEKA SPECTRAL. Cette finition couleur exclusive allie design et technologie et s’inscrit parfaitement dans les tendances architecturales actuelles, ainsi que dans la progression des menuiseries couleurs sur le marché.VEKA SPECTRAL séduit immédiatement par ses qualités esthétiques et sensorielles, inédites dans le monde de la menuiserie. Sa technologie brevetée génère un aspect ultramat qui absorbe la lumière, plutôt que de la réfléchir. Son interaction avec la lumière crée une qualité de couleur particulièrement dense et riche, pour un aspect unique. Son apparence interpelle également et incite à tester de ses propres mains, pour expérimenter un toucher velours exceptionnel ; une sensation inhabituelle et très agréable.VEKA SPECTRAL se décline en un large éventail de coloris, idéal pour accompagner des projets modernes et élégants, et d’ores et déjà riche d’une dizaine de possibilités : Blanc Pur, Blanc, Gris, Anthracite, Noir Graphite, Umbra, Vert Sapin, Vert Noir, Bleu Acier ou encore le tout nouveau Bordeaux. Cette palette couleur s’enrichit régulièrement de nouveaux tons pour répondre aux dernières évolutions et tendances du marché.Mentionnons aussi que VEKA SPECTRAL propose la possibilité de réaliser des menuiseries plus personnelles, en bicoloration, pour une plus grande harmonie avec la décoration intérieure et l’architecture extérieure.Par ailleurs, l’étendue de la gamme de profilés PVC proposés en VEKA SPECTRAL ainsi que les accords noués avec de nombreux partenaires* de produits complémentaires à la menuiserie (portes d’entrée, portes de garage, bardages, coffres de volet roulant, panneaux de remplissage, habillages et croisillons…) permettent de proposer une collection complète et harmonisée de produits destinés à l’habitat.Une finition haute qualité répondant aux exigences de durabilité et de stabilité Si cette nouvelle technologie de colorisation s’adapte particulièrement aux architectures contemporaines de haute qualité, le rendu haut de gamme des profilés VEKA SPECTRAL s’allie à des qualités techniques appréciées aujourd’hui tant en neuf qu’en rénovation. Ainsi, le film de plaxage laqué associé à une résine de protection Radcure®, durcie par faisceaux d’électrons, rend la surface des profilés VEKA SPECTRAL particulièrement résistante aux variations de température comme à l’humidité, aux rayures ou à l’abrasion. Cette surface s’avère d’ailleurs plus globalement insensible à toutes les influences climatiques, chimiques et mécaniques de l’environnement extérieur. Ce traitement exclusif, antistatique et très résistant, prodigue aussi stabilité et durabilité des teintes et de leur aspect.Les films exclusifs VEKA SPECTRAL sont certifiés QB33-CSTB et RAL et sont produits dans l’usine CELOTEC du groupe VEKA (20 000 m² spécialement dévolus à la fabrication des films VEKA SPECTRAL ; un marché d’ailleurs ouvert à d’autres acteurs du bâtiment, comme les industriels du bardage PVC).Pour continuer d’accompagner ses clients dans leurs activités, VEKA propose également des kits complets pour rénover les surfaces qui auraient subi des dégradations (que ce soit en atelier durant la phase de production comme lors de la mise en œuvre in-situ). Gommes pour effacer les marques surfaciques, stylos de peinture pour faire disparaître les rayures, Celotape pour restaurer les surfaces plus abîmées : toutes les situations trouvent une solution simple, efficace et durable dans l’exhaustivité de l’offre VEKA SPECTRAL.Une gamme étendue sans changement du process industriel pour les fabricants VEKA propose un large choix de profilés PVC pour fabriquer des menuiseries VEKA SPECTRAL. Cette gamme étendue et les accords noués avec de nombreux partenaires* permettent de répondre à tout type de marché, en neuf comme en rénovation.Solution industrielle par excellence, VEKA SPECTRAL rime avec simplicité et valeur ajoutée pour les fabricants de menuiseries. Rappelons en effet que VEKA SPECTRAL ne nécessite aucune modification des processus de fabrication. Usinage, soudure et ébavurage sont standards. Les performances thermique, acoustique et mécanique de la fenêtre PVC restent par ailleurs inchangées.Une finition couleur 100 % recyclableLes films VEKA SPECTRAL sont conçus et développés par la filiale CELOTEC du groupe VEKA. Intégrant une ligne de production et une ligne de découpe, le site CELOTEC de 20 000 m² est situé à Sendenhorst, près du siège social du leader allemand. Il respecte parfaitement l’engagement environnemental de la marque VEKA avec des films qui sont totalement recyclables.Le groupe VEKA intègre en effet les enjeux de développement durable dans sa stratégie d’entreprise depuis plus de 30 ans. Conscient de l’impact de ses activités sur l’environnement et sur l’homme, il prend en compte le cycle de vie de ses produits et s’attache à utiliser des matières premières de manière responsable. Par ailleurs, le Groupe compte pas moins de 3 unités de recyclage en Europe, dont VEKA Recyclage en France, à Vendeuvre-sur-Barse (10).Une large panoplie de supports d’aide à la vente disponibleParce que VEKA se tient toujours aux côtés de ses clients directs ou indirects pour les accompagner dans leur démarche commerciale, l’entreprise a conçu de nombreux outils d’aide à la vente destinés aux maîtres d’œuvre, fabricants de menuiseries, entreprises de pose ou encore au grand public.Alliant outils numériques (site internet, galerie virtuelle**, vidéos), supports physiques (brochure B2B, documentation grand public, nuanciers, coffrets d’échantillons, signalétique pour showroom) et argumentaires commerciaux adaptés à chaque équipe commerciale, la panoplie des supports d’aide à la vente de VEKA SPECTRAL répond là-encore à chaque besoin.Précisons aussi que cette démarche d’accompagnement se double d’un fort investissement de VEKA dans les médias digitaux et traditionnels, et d’un effort particulier pour la mise en avant de VEKA SPECTRAL dans les points de vente du réseau Fenétrier® VEKA.Pour en savoir plus et découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL, rendez-vous sur la galerie virtuelle dédiée : www.veka.fr/experience-spectral* EURADIF, ISOSTA, VOLMA, Novatech Europe, Rodenberg, Frager Fralu, Europlacage, Sunclear, Indupanel, Elibois, Profiline, SPPF, Geplast, Coprodex, PBI, SDA, Vnylit… ** Rendez-vous sur la galerie virtuelle pour découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL : www.veka.fr/experience-spectral Ce qu’en disent les fabricants VEKA Une source de nouveaux chantiers pour BIASON FENÊTRES « Depuis quelques années, la part de marché représenté par le PVC plaxé chez BIASON FENÊTRES était supérieure à celle du marché français. Néanmoins, nous rencontrions un plafond chez le particulier sur le segment CSP+. Le ressenti qualitatif du plaxé « classique » restait une barrière psychologique. La finition VEKA SPECTRAL nous a semblé la réponse à cette problématique. En effet, avec cette finition, les menuiseries PVC à frappe présentent un ressenti qualitatif digne de l’aluminium tout en conservant la performance thermique du PVC. Pour compléter ce tableau, le positionnement tarifaire est plus intéressant que les frappes en aluminium. Nous avons donc mis VEKA SPECTRAL à notre offre.Dans un premier temps, l’offre VEKA SPECTRAL nous a permis de concrétiser des dossiers volumes, initialement voués à l’Aluminium. Ce n’est que dans un second temps, avec la mise à disposition progressive de produits complémentaires (cornières, panneaux de portes, coffres de volets roulants, croisillons...), que la finition SPECTRAL a été adoptée par nos clients artisans et fenêtriers. Ils disposent désormais d’une offre étoffée, permettant de répondre aux attentes d’harmonisation du client final CSP+. Ce marché du particulier est en plein essor actuellement et reste prometteur. L’augmentation du prix de l’énergie et la tension sur le pouvoir d’achat des ménages sont deux facteurs qui devraient ancrer durablement cette finition VEKA SPECTRAL dans notre offre produit et développer nos ventes.Côté fabrication, nous avons fait le choix de rester avec des soudures ébavurées et l’intégration de cette nouvelle finition dans notre process industriel a quasiment été transparente. » - Hugo Van den Eede, Directeur Commercial, GROUPE BIASON FENÊTRESUn positionnement haut de gamme et gagnant pour VMA Fenétrier® VEKA« Il a toujours été dans l’ADN de VMA Fenétrier® VEKA de proposer à ses clients les dernières innovations et nous avons rapidement cru au potentiel de la finition VEKA SPECTRAL. Celle-ci fait partie des solutions haut de gamme de notre offre commerciale et nous permet de véritablement nous démarquer sur notre marché. En cohérence avec notre offre, nous avons décidé de proposer VEKA SPECTRAL uniquement avec notre gamme premium HP Line 82. Nous sommes le seul fabricant à commercialiser ce type de menuiserie, ce qui nous permet de proposer une solution véritablement différenciante.En termes de couleurs, le Noir Graphite Ultramat et le Blanc VEKA Ultramat rencontrent le plus de succès auprès de nos clients particuliers. Cet engouement pour des couleurs plus contemporaines confirme que la fenêtre est devenue un objet de décoration à part entière.VEKA SPECTRAL se révèle donc comme un pari gagnant pour notre entreprise et sa part de marché ne cesse de croître. » - Marc Rechard, Président-Directeur Général, VMA Fenétrier® VEKA
Il y a 2 ans et 362 jours

"Notre challenge est de répondre au marché des renouvelables", P. Bassetti (Viessmann)

STRATÉGIE. Avec 92% de ses ventes qui partent à l'export et une forte croissance enregistrée au cours des deux dernières années, l'usine Viessmann de Faulquemont (Moselle) célèbre ses 50 ans d'existence en regardant obstinément vers l'avenir, surtout en cette période où la transition énergétique constitue un débouché plus que prometteur. Le groupe familial d'origine allemande y consacrera un milliard d'euros d'investissements au cours des trois prochaines années.
Il y a 2 ans et 362 jours

Atlantic investit 4,3 millions d'euros pour ses cartes électroniques "made in France"

Avec le lancement de son "plan électronique 2024, le groupe Atlantic prévoit l'extension de son usine de production de cartes électroniques dans le cadre de France Relance.
Il y a 2 ans et 362 jours

Des bâtiments en bois pour la décarbonation

Ingénieur en construction bois formé à Nantes, Mathieu Robert, responsable des solutions de construction du groupe suédo-finlandais Stora Enso Wood Products se félicite de la mise en place de la RE 2020, pionnière en Europe, qui doit permettre à terme le développement de l'industrie de la construction bois dans toute l'Union.
Il y a 2 ans et 362 jours

Casino a mis en vente sa filiale énergie GreenYellow sur fond de désendettement

Le groupe de distribution Casino, engagé depuis plusieurs années dans un vaste de plan de cessions pour désendetter ses sociétés de contrôle, a confirmé lundi avoir mis en vente sa filiale dédiée à la production d'énergie renouvelable GreenYellow.Dans un communiqué lundi, le groupe a confirmé "avoir lancé un processus de cession de GreenYellow en vue d'une potentielle opération d'ici la fin de l'année", mais dit n'avoir reçu à date "aucune offre engageante". En outre, "aucune décision définitive n'a été prise sur ce projet".Cette communication fait suite aux publications de plusieurs médias, dont Le Figaro et Les Echos, qui précisaient notamment que TotalEnergies ou Engie pourraient se montrer intéressés, et que Casino espérait 1,5 milliard d'euros de la vente.L'information a été bien accueillie par les marchés puisque l'action de Casino s'appréciait de plus de 5,5% lundi à la mi-journée, à plus de 19 euros. Depuis le début de l'année toutefois, Casino a perdu plus de 18% de sa valeur en Bourse.TotalEnergies et Engie, interrogés par l'AFP, n'ont pas souhaité commenter des "rumeurs de marché", pas plus que le fonds d'investissement Tikehau Capital, qui avait pris en octobre 2018 aux côtés de la banque publique Bpifrance 24% du capital de GreenYellow en échange de 150 millions d'euros.A destination des entreprises et collectivitésCréé en 2007 par Casino, GreenYellow vend à ses clients la possibilité de "réduire leur consommation énergétique et leur impact carbone", via l'installation de panneaux solaires, "des contrats de performance énergétique" et "différents services" comme le conseil ou l'achat d'énergie.Dans la communication financière du groupe Casino, GreenYellow est présenté comme une entreprise "B2B", s'adressant aux entreprises et aux collectivités dans les 16 pays où il est présent, avec une "puissance totale installée ou en cours de construction" de 740 MW à fin 2021.Son nom a fait l'actualité dernièrement dans le cadre de la fourniture de gaz à des particuliers, une activité qui est ciblée par une action de groupe pilotée par l'association de défense des consommateurs Consommation Logement Cadre de vie (CLCV).Cette dernière reproche à l'entreprise des "pratiques trompeuses" pour pousser ses clients à renoncer à une offre tarifaire fixe avantageuse dans un contexte de forte inflation du coût de l'énergie. Le groupe souhaite mettre un terme à cette activité mais a indiqué début avril qu'"à ce jour", "aucune date de cessation de notre activité de fourniture en gaz n'est arrêtée en accord avec les administrations compétentes".Plan de cession d'actifsLe groupe Casino cherche en tout cas à vendre pour encore au moins 1,3 milliard d'euros d'actifs, dans le cadre d'un vaste plan de cessions de 4,5 milliards engagé en juillet 2018 et dont l'échéance, initialement fixée en mars 2021, a été repoussée en raison de l'épidémie de Covid-19. Casino entend désormais la mener à bien "au plus tard fin 2023".Jusqu'à présent, le groupe s'était toujours abstenu d'indiquer lesquels de ses actifs pouvaient être cédés. Outre GreenYellow, il détient le site d'e-commerce CDiscount, ou encore les enseignes Monoprix, Franprix, Géant, Naturalia, ainsi que Asai ou Pao de Acucar en Amérique latine...Le plan de cessions s'inscrit dans le cadre du plan de sauvegarde de la maison-mère de Casino, Rallye, et de sa cascade de holdings (Foncière Euris, Finatis et Euris), lourdement endettées. Décidé en février 2020 par le tribunal de Commerce de Paris, il prévoit un remboursement des créanciers via la remontée de dividendes de Casino vers ses holdings, ainsi que la cession de ces actifs "non stratégiques".Un report de deux ans de l'échéancier des remboursements a été accordé en octobre 2021, en raison du Covid-19, et une importante échéance de remboursement de créances interviendra non plus en février 2023 mais 2025.En attendant, l'activité commerciale de Casino souffre avec des ventes en recul notamment en France, où elles se sont établies en 2021 à 14 milliards d'euros (-7,5%), sur un total de 30,5 milliards d'euros.Hasard du calendrier, la communication de Casino sur GreenYellow lundi intervient alors que le média spécialisé dans la distribution LSA détaille le dernier panel des parts de marchés françaises établi pour la période 21 mars-17 avril par Kantar.Ce dernier vient de modifier sa méthodologie de calcul, ce qui a eu pour conséquence de faire reculer d'un rang Casino (7,1% de parts de marché), en septième position, doublé par l'Allemand Lidl (7,6%) et derrière E.Leclerc (22,1%), Carrefour (20,1%), Les Mousquetaires (15,8%), Système U (11,9) et Auchan (9,2%).
Il y a 2 ans et 362 jours

Un nouveau nuancier Acova pour de nouvelles inspirations

Inventeur du radiateur décoratif en 1964 et du sèche-serviettes en 1978 en France, ACOVA a été la première marque à proposer ses produits en couleur afin de les harmoniser, avec style, à la décoration intérieure de l’habitat. Aujourd’hui, Acova s’associe à Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations intemporelles ou tendances. Fruit de cette collaboration, un nuancier riche de 46 teintes, déclinées au travers de 5 univers décoratifs, élaborés à partir d’une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, du design et des matériaux utilisés dans le bâtiment. La crise sanitaire a accentué l’engouement des Français pour l’aménagement de leur habitat, le considérant comme un lieu de refuge. Leur leitmotiv à cela : se sentir bien chez soi. C’est ainsi, qu’en fonction des aspirations et des styles de vie de chacun, la couleur a pris de plus en plus d’importance dans la décoration que ce soit pour agrandir ou illuminer un espace ou créer une atmosphère agréable. Peinture, tissus, accessoires et équipements participent à cet équilibre tant recherché. Un concept basé sur des tendances décoratives durables Dans ce contexte, Acova a souhaité renouveler son nuancier et s’est entourée de l’expertise de Juliette Baugartner, consultante en architecture et spécialiste des tendances colorielles. « Acova étant déjà synonyme de couleur, la nouvelle palette a été travaillée dans un esprit de continuité. En me basant sur une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, des matériaux, du design des objets et en tenant compte qu’un radiateur n’est pas un équipement que nous changeons souvent, j’ai recherché un équilibre entre couleurs tendances et intemporelles. Lors du choix d’un radiateur et de sa finition, je me suis aussi demandé avec quel type de robinet, de céramique, de carrelage ou d’accessoire il serait associé afin que le particulier profite longtemps de celui-ci », explique Juliette Baumgartner. Un équilibre entre couleurs chaudes et froides Divisé en tons chauds et froids, le nouveau nuancier se compose de 46 couleurs teintées d’élégance dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques (Cement Grey, Olive Green, Terracotta Faded, Champagne, Gentian Blue, Pigeon Blue, Blue Night…) pour offrir une sélection tout à fait en phase avec les aspirations des consommateurs d’aujourd’hui. 5 univers décoratifs inspirants pour choisir la couleur de son radiateur Pour inspirer et accompagner les particuliers et les professionnels, Acova propose de sélectionner la couleur de son radiateur au travers de 5 univers décoratifs, chacun reflétant une ambiance unique, définie par Juliette Baumgartner. A partir de ces 5 déclinaisons, Acova invite ainsi le particulier à se projeter dans des harmonies de teintes, de matériaux et de style qui lui ressemblent le mieux : La douceur du cocon Minimalisme, pureté et simplicité sont les maîtres mots de cet univers dans lequel la maison et la salle de bain sont des lieux de repos dans lesquels se ressourcer est essentiel. Les blancs (Pure White, Cream, …), les tons brun clair (Champagne) et gris (Telegrey) associés à des matières naturelles (le bois), des surfaces en métal brossé (le laiton) sont la clé d’un environnement sobre et confortable, dédié à la détente. La chaleur de la terre Tous les amoureux de la terre vont se retrouver dans cet espace dans lequel les nuances d’ocre, de terracotta, de rouge brique (Ruby Red) et de brun (bronze, brown quartz) réchauffent les pièces. Du séjour à la cuisine, en passant par la chambre et la salle de bains, elles créent une ambiance chaleureuse, intemporelle et au charme authentique. Côtés matériaux et textiles, le bois et le lin restent des valeurs sûres. Invitation à l’évasion Des atmosphères raffinées caractérisent cet univers. Les finitions brutes contrastant avec des intérieurs raffinés créent une expérience multi- sensorielle. Les teintes graphites (Titane, Telegrey 2) et taupe (Beige Grey) accentuées par les palettes de bleus (Blue Night, Gentian Blue) permettent de concevoir un espace tranquille et serein propice à la rêverie et l’évasion. L’esprit de la nature Renouer avec la nature, tel est le credo ! Les tonalités vertes (Olive Green, Reseda Green) qui investissent les murs, les sols, en passant par les radiateurs sèche-serviettes reflètent le désir d’un environnement naturel. Leur association avec des couleurs nude (Edelweiss), brun clair (Beige Quartz) et gris (White Aluminium) favorisent l’harmonie et la tranquillité. La matière à l’état brut Inspiré par l’architecture brutaliste, cet univers met en scène des formes géométriques anguleuses, des matériaux bruts comme le béton, des finitions noires mates, des accessoires en métal brossé. L’utilisation d’une seule matière crée une homogénéité visuelle et donne une continuité à l’espace. En total look (Black Quartz, Anthracite Grey) ou en contraste avec des tons bruns naturels (Brown Quartz, Concrete Grey), l’intérieur de l’habitat adopte une ambiance contemporaine, masculine. En complément des 46 couleurs du nouveau nuancier Acova, les 5 univers décoratifs sont présentés sur le site internet, dans les guides d’aide au choix et sur les PLV de la marque en salles d’exposition. De quoi laisser aux particuliers et professionnels (architectes, designers, artisans) exprimer leur créativité et harmoniser parfaitement les radiateurs et radiateurs sèche-serviettes à tous les intérieurs, des plus classiques au plus modernes ! http://www.acova.fr/
Il y a 2 ans et 362 jours

Le site de production historique d’Acova : des investissements au service de la qualité et de l’environnement

2022 est l’année du renouveau pour ACOVA, fabricant français et inventeur du radiateur décoratif et du sèche-serviettes. Cette dynamique se traduit par la collaboration avec Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations. D’un point de vue industriel, la création de ce nouveau nuancier a eu un impact sur le process de fabrication, notamment pour la qualification des couleurs. Ceci a également engendré des investissements sur la ligne de peinture pour garantir une qualité constante des radiateurs tout en améliorant l’ergonomie des postes de travail et en limitant l’impact environnemental. 2022 a également été l’occasion pour la marque d’adopter une nouvelle signature de marque : « créons du beau, créons durable », reflet de ses valeurs. Comme l’explique Fernando Ribeiro, Directeur Marketing : « Chez Acova, nous proposons une très large gamme de radiateurs qui, au-delà du confort qu’ils procurent, permettent à chacun d’embellir son intérieur de manière personnelle. C’est ainsi qu’ensemble, nous créons du beau. Et comme nous pensons qu’il n’y a rien de plus beau que ce qui dure, nous travaillons au sein de nos ateliers, avec nos fournisseurs, nos partenaires et nos clients, dans une exigence de durabilité. Ensemble, nous créons durable. C’est-à- dire, des produits de qualité qui durent dans le temps et dont la fabrication est la plus respectueuse possible de l’environnement. » L’Atelier de Construction de Vaux Andigny, le site de production historique d’Acova Unité de production historique de la marque en France, l’Atelier de Construction de Vaux-Andigny, qui a donné son nom à ACOVA, marque du groupe Zehnder, existe depuis plus de 100 ans. Aujourd’hui sont fabriqués dans ce village de l’Aisne : • des radiateurs et radiateurs sèche-serviettes en acier à tubes plats électriques, eau chaude et mixtes, • des radiateurs électriques en aluminium, • des radiateurs sur-mesure. D’une capacité de production d’environ 1000 radiateurs par jour, elle emploie 185 salariés et comprend également un laboratoire certifié disposant d’une chambre bi-climatique. Dans une démarche d’amélioration continue, le site de Vaux Andigny est certifié ISO 9001 (management de la qualité) et ISO 14001 (management environnemental). Des investissements au service de la qualité et de l’environnement Riche de 46 teintes dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques, le nouveau nuancier Acova a mobilisé pendant 6 mois les équipes de l’unité de production de Vaux Andigny. Plaçant la qualité au cœur de leurs préoccupations, ces dernières ont dû s’assurer, avant leur validation, de la qualification des nouvelles couleurs dans le process industriel sur la base de deux critères essentiels : • Tests de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité du radiateur à la corrosion, • Tests de colorimétrie pour vérifier le niveau de brillance, l’uniformité, la restitution des couleurs par rapport à un échantillon de départ et leur reproductibilité selon les différentes gammes. Cette première étape décisive s’est accompagnée de la modernisation de la ligne de peinture avec des équipements de dernière génération. D’un montant de 1,3 millions d’euros, cet investissement, qui s’inscrit également dans la démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Enteprises) d’ACOVA, avait un triple objectif : • Augmenter la performance et la qualité grâce notamment à l’installation d’un tunnel de lumières en fin de process permettant une inspection visuelle et l’identification d’éventuelles irrégularités avec précision ; • Améliorer l’ergonomie des postes de travail et réduire la pénibilité pour les opérateurs : Mise en place d’un système de stockage dynamique de poudre plus proche de la machine pour éviter les manipulations et réduire les distances à parcourir pour les peintres. La cabine de peinture manuelle est, quant à elle, dotée d’une meilleure aspiration des poudres limitant ainsi la poussière et le bruit. • Réduire les déchets et l’impact environnemental en utilisant par exemple : — des sacs de poudre recyclables de 300 kgs au lieu de cartons de 20 kgs. — des camions roulant au biogaz qui effectuent les navettes, reliant deux à quatre fois par jour l’usine au centre logistique, — 40% des approvisionnements venant à moins de 500 km autour de l’usine. Des résultats déjà perceptibles Cet investissement, qui a bénéficié du Plan France Relance, s’ajoute à celui déjà effectué par ACOVA en 2021 pour la modernisation de l’ensemble du process de traitement de surface, représentant un montant de 3 millions d’euros, et qui portait sur : • Le remplacement de la ligne automatisée de traitement de surface, fonctionnant initialement sur le principe de protection anticorrosion par cataphorèse, par un nouveau traitement basé sur l’autophorèse. Cette technologie innovante de protection anticorrosion est beaucoup moins énergivore : consommation d’eau diminuée de 27% grâce à 3 cuves en cascade, 70% de rejet d’eau en moins, diminution de 90% des boues. • Le changement du four de cuisson par un modèle fonctionnant au gaz, doté d’un meilleur rendement et d’une récupération d’air chaud pour chauffer les bains de traitement de surface. Cet équipement et l’étuve de séchage ont permis une diminution de 53% de la consommation d’énergie (gaz et électricité). http://www.acova.fr/
Il y a 2 ans et 362 jours

Poujoulat continue ses investissements dans le bois de chauffage

Après l’usine BF 36 à Buzançais dans l’Indre, mise en service en 2011, et BF 42 à Noirétable dans la Loire, opérationnelle depuis 2014 , le Groupe Poujoulat inaugure en Haute-Saône, à Demangevelle, un nouveau site de production de combustibles bois bûche de haute qualité : BF 70. Ces trois usines « nouvelle génération » au process exclusif ont été conçues par le groupe pour garantir la production de biocombustibles de qualité constante toute l’année et ainsi répondre à la demande croissante du marché. L’objectif du groupe : obtenir la qualité, le volume et la disponibilité qui font défaut sur ce marché encore peu structuré. Poujoulat s’est ainsi doté d’une gamme complète de combustibles bois de qualité, certifiés NF biocombustibles, vendue sous les deux marques Woodstock® et Crépito®. BF 70 vise une production de 150 000 stères de bois bûche, 20 000 m³ de bois d’allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées par an, ce qui en fait le 1er site du groupe en termes de capacité.
Il y a 2 ans et 362 jours

Rockwool mécène de l’exposition « Ré-Génération » célèbre la photographie africaine à Arles

Fidèle à ses engagements pour la transition sociale, économique et environnementale, le Groupe ROCKWOOL, leader de la fabrication de produits, systèmes et solutions en laine de roche, est fier de participer à l’exposition « Ré-Génération » et de contribuer ainsi à la mise en valeur du talent des artistes africains exposés par la galerie La Grande Vitrine à Arles dédiée à la scène photographique africaine.La Grande Vitrine poursuit sa volonté d’être un révélateur de talents. Repérés sur les réseaux sociaux ou via des expositions, les trois photographes réunis à cette occasion Françoise Benomar, Malik Kébé et O’Kiins Howara, ont tous en commun une énergie vitale générée par la couleur. Ils bousculent les codes, apportent une touche supplémentaire à leur œuvre en associant portraits et peinture. Ils partagent cette soif de rassembler tradition et modernité. Leurs modèles, tous Africains, sont magnifiés par la couleur et l’exposition qui relaie toute l’énergie et la fierté de l’Afrique parle au coeur et à l’âme.Des valeurs partagées par ROCKWOOL qui à travers le développement de son activité en Afrique, a à cœur de mieux connaitre la culture et l’architecture de ses pays, de ses typologies de maisons et de bâtiments par le biais d’une démarche toujours plus responsable.Un vernissage aura lieu le 5 mai en présence des artistes, de personnalités locales, des représentants du Maroc et de Côte d’Ivoire, du monde politique, économique et artistique ainsi qu’un représentant de ROCKWOOL.
Il y a 2 ans et 363 jours

A Rennes, siège régional du Groupe Vinci signé Parc architectes

A Rennes (Ille-et-Vilaine), l’agence Parc Architectes (Brice Chapon et Émeric Lambert) est lauréate en 2021 du prochain siège régional du Groupe Vinci. Cet immeuble de bureaux de 7 000 m² SDP propose « de l’air à tous les étages ». Coût et date de livraison non indiqués. Communiqué. Avec la crise sanitaire, le confinement et le télétravail, […] L’article A Rennes, siège régional du Groupe Vinci signé Parc architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 363 jours

Thermotechnologie , Nouvelle gamme de climatisation réversible mono-split Climate 5000 L dédiée au résidentiel et au petit tertiaire

Bosch Thermotechnologie poursuit le renforcement de son offre de pompe à chaleur air/air (climatisation réversible) avec la nouvelle gamme Climate 5000 L. Couvrant un spectre de puissances élargi de 3,5 kW à 16 kW, elle se destine aux habitations individuelles et au tertiaire tels que les restaurants, les salons de coiffure, les cabinets médicaux, les […]
Il y a 2 ans et 363 jours

Stora Enso renforce sa présence en France et investit dans la préfabrication

Stora Enso investit dans ACDF Industrie SAS, devenant actionnaire à 35 % de ce spécialiste français de la construction bois. Cet investissement, qui s’inscrit dans la stratégie de croissance de Stora Enso dans le secteur de la construction en bois massif, lui permet de proposer à ses partenaires français de longue date des éléments à […]