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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 16 jours

Pierre de Charente et couverture en zinc

La Maison Rémy Martin, reconnue à travers le monde pour ses Cognacs a entrepris la construction de nouveaux bureaux et espaces collectifs à Merpins. Ce bâtiment de 5 000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Au total, 7 000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons. Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Maître d’ouvrage : Maison Rémy Martin Maîtres d’œuvre : Inca Architectes – Innovation Création & Architecture Et Aia Life Designers Entreprise de Pose : Alain COUTANT Couverture Photo : VMZINC – Franck BOUILLET
Il y a 3 ans et 16 jours

Matterport lance le fichier BIM et un plug-in Autodesk Revit pour l'industrie du bâtiment

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a présenté aujourd'hui le fichier BIM de Matterport, un nouveau service qui réduit considérablement le temps et les coûts de la modélisation des informations du bâtiment (Building Information Modeling, BIM) pour le secteur de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC). Désormais inclus dans l’abonnement Matterport, les clients peuvent en un clic transformer un jumeau numérique Matterport capturé par une caméra 3D compatible en un fichier BIM prêt à l’emploi. Le résultat est fourni en quelques jours, prêt à être introduit dans l'application BIM de leur choix. Ce nouveau service accélère considérablement les projets et réduit jusqu’à 70% des coûts associés, en éliminant le processus manuel traditionnel qui demande beaucoup de temps et d'efforts. En complément, Matterport a également annoncé un nouveau système de plug-in pour les clients d'Autodesk® (Nasdaq : ADSK) Revit®, le principal logiciel BIM utilisé dans l'industrie pour créer des modèles d'espaces pour la conception, la visualisation, l'analyse et la construction. Désormais, les architectes, les concepteurs et les ingénieurs du bâtiment peuvent immédiatement télécharger le fichier BIM de Matterport dans Revit et commencer à créer et à gérer les informations d’un projet de construction ou de conception étape par étape. « Les lancements du fichier BIM et du plug-in Revit de Matterport témoignent de l'engagement de Matterport envers les secteurs de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction. Il montre aussi comment l'utilisation des pratiques BIM et des plateformes technologiques peut accroître le niveau d’efficacité et automatiser la gestion de certaines activités pour les clients d'Autodesk », déclare Jim Quanci, directeur principal d'Autodesk Developer Network. « Nous sommes ravis de travailler aux côtés de Matterport pour rendre le BIM "as built" plus facile. »Stimuler la productivité tout en réduisant les coûts de modélisation de 70%L’offre BIM rassemble en un seul endroit toutes les informations relatives à chaque composant d'un bâtiment. Les parties prenantes du projet peuvent inclure dans le modèle BIM des informations sur les performances, les types de matériaux, les coûts, etc. Jusqu'à présent, ce processus nécessitait une quantité considérable de travail de mesure et de traduction CAO (conception assistée par ordinateur) pour introduire des quantités phénoménales de données dans le système, ce qui pouvait prendre plusieurs semaines, voire plus, selon la taille et la complexité du projet. Avec le fichier BIM de Matterport, les équipes peuvent générer le même résultat pour un coût qui s’élève à une fraction du coût habituel de développement de la documentation adéquate, tout en réduisant les coûts de modélisation pour leurs clients.« Les coûts de modélisation qui se répercutent sur le client peuvent être très élevés. L'économie de 70 % réalisée avec le fichier BIM de Matterport est significative, et nous pensons que nos clients seront très satisfaits de l’adoption de ce nouveau système de numérisation vers le BIM », a déclaré Akira Jones, directeur des services numériques chez HH Angus and Associates Ltd. « Comme nous utilisons déjà Matterport pour capturer des jumeaux 3D précis de tous nos espaces, il nous suffit de commander le fichier BIM en quelques clics et de le mettre dans Revit. Nous avons supprimé plus de 40 heures/personnes sur un travail récent, ce qui a permis à notre équipe de consacrer plus de temps pour offrir un excellent travail de conception pour nos clients. »Simplifier le flux de travail BIMLe fichier BIM de Matterport permet aux clients d'adopter facilement ce nouveau système de numérisation vers le BIM. Tout d'abord, un jumeau numérique est créé en scannant l'espace avec une caméra 3D comme la Matterport Pro2 ou en programmant un technicien hautement qualifié par le biais de Matterport Capture Services. Ensuite, le fichier BIM peut être commandé à partir de son compte Matterport. A la réception, les clients peuvent l'importer dans l'application BIM de leur choix. Pour ceux qui utilisent le plug-in Revit, le fichier BIM peut être immédiatement téléchargé dans leur espace Autodesk.« Nous avons travaillé avec Autodesk sur notre plug-in Revit et collaboré avec certaines des entreprises les plus importantes et les plus reconnues de l’industrie pour développer l'offre de fichiers BIM de Matterport. Avec le lancement de ces deux solutions pour le secteur de la construction, nous sommes ravis d'offrir le moyen le plus rapide et la plus pratique pour passer d'une numérisation 3D Matterport à un fichier BIM en quelques jours seulement et enun simple clic », a déclaré Preethy Vaidyanathan, vice-président des produits chez Matterport. « Le fichier BIM de Matterport n'offre pas seulement un retour sur investissement révolutionnaire pour nos clients du bâtiment, il sert aussi de source unique et fiable pour la conception, la construction et la gestion des propriétés.»
Il y a 3 ans et 16 jours

Schneider Electric va vendre ses activités en Russie

CESSION. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, a annoncé ce mercredi 27 avril vouloir se séparer de ses activités en Russie. Il prévoit de les vendre à l'équipe dirigeante locale.
Il y a 3 ans et 16 jours

Knauf Ceiling Solutions : 13 millions d'euros pour améliorer sa capacité de production

STRATÉGIE. Né en 2019 de plusieurs rachats dont celui d'Armstrong Ceiling Solutions, le fabricant de plafonds Knauf Ceiling Solutions a rapatrié des productions dans ses unités françaises et débloquer une enveloppe de plus de 10 millions d'euros pour améliorer ses process. Des initiatives révélatrices de ses ambitions.
Il y a 3 ans et 16 jours

Lames sur Tribord

Implanté port des Minimes, à La Rochelle, le centre Tribord Sailing Lab a été équipé de 18 modules (12 droits livrés montés ; 6 d’angle non montés) de brise-soleil à lames fixes en aile d’avion, posés en casquette contre les façades. Les lames en aluminium extrudé et usiné (57 longueurs et découpes ; 198 lames en coupe droite ; 54 en coupe d’angle) sont reprises sur structure porteuse métallique par visseries inox entre plats usinés (36 dimensions) en aluminium. Cette solution d’ombrage passive contribue à l’obtention de la certification Breeam du bâtiment dédié à l’univers nautique. Maîtrise d’ouvrage : Décathlon Maîtrise d’œuvre : groupe Essor Architecte : PVA Architecture Fabricant : Tellier Brise-Soleil Entreprise : CSI Réseau Miroiterie Mélusine
Il y a 3 ans et 17 jours

Étude annuelle sur les placements immobiliers : "40 ans de performances comparées – 1981-2021"

En couvrant 4 décennies complètes, marquées par quatre crises économiques majeures (krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 entraînant la crise financière globale, choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la crise sanitaire), l’étude de l’IEIF aboutit à des conclusions robustes sur l’évolution longue des principaux placements.Cette édition 2022, avec les caractéristiques des placements à fin 2021, couvre la période de rebond économique et mesure les impacts majeurs laissés par la crise pandémique sur l’univers des placements quant à la hiérarchie des actifs.Au préalable, l’étude 40 ans de performances fait le point sur les caractéristiques des patrimoines des ménages pour appréhender leurs attentes en matière de placements mais également l’évolution de leurs comportements d’épargne.Un surplus d’épargne financière toujours très élevé en FranceSelon la Banque de France, le surplus d’épargne financière des ménages, constitué sur deux ans (entre le premier trimestre 2020 et le quatrième trimestre 2021) calculé comme la différence entre les flux d’épargne financière observés et les flux qu’on aurait obtenus en prolongeant la tendance pré-Covid, est estimé à 175 milliards d’euros, après 113 milliards à fin 2020.En moyenne sur l’année, le taux d’épargne des ménages en France s’établit à 19,5% en 2021 selon l’Insee après 21,4% en 2020. Le taux d’épargne financière a également reculé : il s’établit à 8,7% en 2021 après 12,2% en 2020.En 2021, l’épargne financière s’est principalement portée sur les dépôts bancaires qui ont progressé de plus de 104 milliards d’euros : dépôts à vue et dépôts rémunérés dont les encours s’établissent respectivement à 672 milliards d’euros et 1.161 milliards d’euros à fin 2021. L’assurance-vie a progressé de 39 milliards d’euros et représente désormais un encours de 2.178 milliards d’euros.En lien avec les performances de 2021, la Bourse continue d’attirer un nombre croissant d’investisseurs : 1,6 million de particuliers ont passé un ordre d’achat ou de vente en 2021, dont 217.000 nouveaux entrants.Des classements de performances différents selon les périodesSur 5 ans (2016-2021) : les performances des locaux Industriels (couvrant la logistique et les locaux d’activité) sont particulièrement élevées, en raison de la forte appréciation des valeurs vénales de la Logistique sur la période. Alors que les Actions présentent un TRI 5 ans de plus de 10%, l’immobilier coté est en territoire négatif, en lien notamment avec le comportement en bourse des Foncières Commerces.Sur 10 ans (2011-2021) : les Actions sont en tête du classement des performances avec un TRI 10 ans de 12,4% devant l’immobilier direct : les locaux Industriels sont en deuxième place avec un TRI 10 ans de 11,4% suivis par les Bureaux (7,8 %) et les Commerces (7,2%).Sur 20 ans (2001-2021) : comme sur 15 ans, les Commerces sont nettement en haut du classement avec un TRI 20 ans de 17,6%, suivi par les Foncières (TRI 20 ans : 12,3%). Les autres actifs immobiliers direct se positionnent ensuite : les locaux Industriels (TRI 20 ans : 10,4%) puis les Bureaux (TRI 20 ans : 10,3%) et le Logement (TRI 20 ans : 10,1% pour le Logement France et 9,4% pour le Logement à Paris).Sur longue période : Sur 30 ans (1991-2021), les Actions et l’Immobilier coté délivrent des niveaux de performances comparables. Le Logement est particulièrement performant sur 30 ans et distance les autres classes d’actifs immobiliers. Les TRI des SCPI et des Bureaux sont très proches, en lien avec la forte exposition historique des SCPI aux Bureaux. Sur 40 ans (1981-2021), les placements en bourse sont les plus performants : les Actions devancent l’Immobilier coté de 2 points. Le Logement à Paris présente un TRI supérieur à 10% sur 40 ans. L’immobilier non coté présente des performances supérieures à celles des obligations.Un couple rendement/risque toujours attractif pour l’immobilier vis-à-vis des autres classes d’actifsDe part ces caractéristiques, l’immobilier se positionne à mi-chemin entre les actions d’une part et les obligations d’autre part et présente un couple rendement -risque attractif par rapport à ces 2 références. Les couples rendement-risque permettent de positionner les différents placements les uns par rapport aux autres selon les durées observées, en distinguant pour un niveau de risque comparable, les niveaux de performances obtenus des différents placements ou à niveau de performance comparable, les placements qui se révèlent plus volatils, donc plus risqués.Les Bureaux et le Logement présentent des performances et des niveaux de volatilité proches sur 5 ans et sur 10 ans. Sur 10 ans, les Actions distancent les Foncières avec une performance plus élevée et une volatilité nettement plus contenue. Sur 15 ans, Le Logement, les Bureaux et les SCPI présentent des performances supérieures à celles des Actions. Comparés au Logement et aux Bureaux, les Commerces sont sur des niveaux de volatilité proches mais délivrent des performances plus faibles que ce soit sur 5, 10 ou 15 ans. Sur 30 ans, le Logement France présente une performance légèrement supérieure à celles des actifs côtés, mais avec deux fois moins de volatilité.Sur 40 ans, les Actions présentent des niveaux de performances et de volatilités plus élevés que ceux des autres actifs.ConclusionPour Stéphanie Galiègue, Directrice Générale déléguée de l’IEIF : « les résultats de l’édition 2022 confirment ceux de 2021 avec une dichotomie plus forte entre les classes d’actifs immobiliers dont les performances sont les plus robustes à l’image de l’Industriel, (en particulier la Logistique) et du Logement (faible volatilité) et celles dont le modèle a été fragilisé par la crise sanitaire malgré le rebond économique qui a suivi : Bureaux, Commerces. Seulement, les performances des actifs sur les 40 dernières années ont été portées par un environnement économique mondial particulier : les prochaines décennies risquent d’être marquées par la déglobalisation, les échéances climatiques et le vieillissement de la population, dans un contexte de faible croissance économique et d’inflation élevée. Cela modifiera nécessairement la structure de l’économie, de l’épargne et donc le comportement des différents placements. »
Il y a 3 ans et 17 jours

La chimie parie sur les chaudières biomasse pour se décarboner et se détacher du gaz

Le plan de Relance a permis d'accélérer les projets de décarbonation de l'industrie chimique qui compte notamment sur les chaudières biomasse pour se passer des combustibles fossiles, a indiqué France Chimie le 20 avril.
Il y a 3 ans et 17 jours

Wienerberger France mobilise ses salariés à l'occasion de la journée de la terre

Le 22 avril, journée internationale de la terre, sera l'occasion pour Wienerberger France de mobiliser ses salariés sur des actions liés à la décarbonation, l'économie circulaire et la biodiversité.
Il y a 3 ans et 17 jours

Crise de l'énergie : "100% de nos fours fonctionnent", J-B. Fayet, (Terreal)

INTERVIEW. Jean-Baptiste Fayet, directeur général de Terreal, fabricant de solutions en terre cuite, nous a accordé un entretien pour faire le point sur l'entreprise, après l'annonce de la fermeture de quelques fours en mars dernier. Comme d'autres sociétés de cette filière, Terreal est confrontée à une hausse de la demande et à une explosion des prix de l'énergie.
Il y a 3 ans et 17 jours

Le Groupe HPG accroît ses capacités de production de menuiseries aluminium

Alu PréférenceMarque du Groupe dédiée à la fabrication de menuiseries aluminium, Alu Préférence s’adresse aux négoces spécialistes et généralistes. Aujourd’hui, Alu Préférence augmente de nouveau ses capacités de production. Après avoir mis en oeuvre en 2019 un investissement lui ayant permis d’accroître ses capacités de production de 30%, Alu Préférence va intégrer en son giron Espace Aluminium. Cette filiale d’HPG située à St André de Cubzac, à proximité du site historique d’Alu Préférence, permettra d’étendre les capacités de cette dernière de 30% à partir de l’été 2022. La marque Alu Préférence se dotera ainsi des moyens lui permettant de répondre au mieux à la demande de ses clients.BieberUn nouvel atelier de production de menuiseries aluminium, opérationnel dès l’été 2022, va être créé sur le site historique de la marque basé à Waldhambach, en Alsace. À cette occasion, Bieber prévoit de recruter une trentaine de personnes. En regroupant l’ensemble des productions de la marque sur un seul site, Bieber se dotera des moyens lui permettant d’accompagner au plus près ses clients.Le Groupe HPG en quelques chiffresLe Groupe HPG est un industriel français de référence dans le secteur de la menuiserie extérieure. C'est au travers de ses quatre marques commerciales, Préfal, Préfalu, Alu Préférence et Bieber qu'il évolue sur ce marché depuis 1989. Avec près de 10 usines de production réparties sur tout le territoire français, le Groupe HPG réalise un chiffre d'affaires de 140 millions d'euros et regroupe plus de 600 collaborateurs.
Il y a 3 ans et 17 jours

Antoine Renaux nommé directeur des opérations WICONA France

Cinq ans après avoir rejoint le groupe Hydro Building Systems, en tant que Responsable Technique en charge des services support : méthodes / projets / amélioration continue, maintenance, HSE et Qualité des sites industriels et logistiques WICONA France, implantés à Courmelles, dans l’Aisne (02), au sud de Soissons, et à Bonneuil-sur-Marne (94), Antoine Renaux prend la Direction des Opérations des deux sites et succède ainsi à Michel Bafoil. Précédemment, cet ingénieur diplômé de l’ENSIAME et d’un master en administration des entreprises, obtenu à l’IAE de Valenciennes, a travaillé durant six ans, de 2011 à 2017, pour Le Creuset. Il a notamment piloté l’installation des nouvelles lignes de production du leader mondial des cocottes en fonte émaillée en tant que chef de projet. Antoine Renaux a commencé sa carrière dans le secteur automobile, où il a successivement occupé les postes de chargé de projet, chef de projet et responsable manufacturing pour différents constructeurs et fournisseurs de rang 1 de 2005 à 2011. La nomination d’Antoine Renaux s’inscrit dans une réorganisation interne plus large visant à développer les « Opérations » du concepteur-gammiste pour préparer l’avenir, anticiper l’augmentation des volumes sur le site industriel et logistique de Courmelles et mieux répondre aux besoins des clients. Un Master Plan pour préparer l’avenir Cette réorganisation se traduit par la mise en place d’une feuille de route, synthétisée dans un Master Plan qui se déploiera jusqu’en 2026, et dont Antoine Renaux est le chef d’orchestre pour les sites de production WICONA de France. Cette démarche d’amélioration continue se traduit par le renforcement de l’équipe de direction du site de Courmelles avec la nomination de quatre responsables : un responsable Technique, un responsable Production, un responsable Chaine logistique et un responsable HSE pour un pilotage optimisé, plus réactif, et au plus près du terrain. Les postes sont actuellement ouverts. Cette organisation RH fait écho à une réorganisation au sein du groupe Hydro Building Systems, selon laquelle toutes les usines du groupe en Europe sont appelées à fonctionner de manière plus autonome, à gérer leurs propres approvisionnements et sourcing pour gagner en réactivité. Elles sont désormais toutes rattachées à Gøte Nordh, Vice-Président des opérations Europe. Cette nouvelle organisation a pour objectif de favoriser une meilleure coopération entre les usines du groupe, renforcer les synergies, et partager les bonnes pratiques. Pour faire face au développement du volume de ses activités, WICONA France a par ailleurs validé la modernisation et l’agrandissement de son site de Courmelles.  La construction d’un bâtiment de 2 500 m2 jouxtant le grand hall portera à 21 700 m2 l’ensemble. L’extension permettra de : Redéployer et automatiser certaines activités pour faciliter le travail des techniciens. Améliorer la sécurité des équipes et la qualité de service offerte, notamment en répondant aux besoins exprimés par les clients. Les travaux d’agrandissement doivent commencer cette année et le projet devrait s’étaler sur 4 ans.
Il y a 3 ans et 17 jours

Cem’In’Eu s’engage dans la démarche Fret21

Pour réduire encore de près de 2 000 t ses émissions de CO2 liées au transport, Cem’In’Eu a identifié 5 actions concrètes à mettre en œuvre. [©Cem’In’Eu] Cem’In’Eu a ratifié un engagement avec Fret21 dans le cadre du programme Eve Transport et Logistique (Engagement volontaire pour l’environnement). L’industriel renforce ainsi son engagement en faveur de la protection du climat. Il souhaite ainsi réduire ses émissions de CO2 de 20 % supplémentaires en 3 ans. Ceci, en agissant sur l’optimisation des taux de chargement, sur la modulation des modes de transport. Et enfin, sur les achats responsables grâce au choix de partenaires. Réduire encore de près de 2 000 t ses émissions de CO2 Chaque implantation d’usines Cem’In’Eu a en effet été choisie pour respecter cet impératif. A savoir, disposer de connexions fluviales et/ou ferroviaires pour garantir une logistique amont bas carbone. Au total depuis sa création, cette organisation a permis d’éviter l’émission de 2 500 t de CO2. Pour réduire encore de près de 2 000 t ses émissions liées au transport, Cem’In’Eu a identifié 5 actions concrètes à mettre en œuvre : Action 1 : pour le fret maritime, augmentation du remplissage des vraquiers en provenance de Turquie de 20 % par voyage.Action 2 : pour le fret ferroviaire, renforcement du remplissage des trains de 18 % par voyage. Et ce, grâce à la hausse de la taille de la rame, de nouveaux conteneurs et wagons en cours de mise en service.Action 3 : toujours pour le fret ferroviaire, passage d’une locomotive diesel à une hybride électrique/diesel, afin d’atteindre 80 % du flux réalisé par traction électrique.Action 4 : augmentation de 25 % par usine du nombre de transporteurs engagés dans une démarche Eve Transport et Logistique et dédiés à la livraison des clients.Action 5 : pour chacune des deux usines, transformation d’un véhicule gasoil en véhicule B100 pour le transport du vrac à destination des clients.
Il y a 3 ans et 17 jours

Lilian Daurie devient directeur du développement du groupe Vega

Lilian Daurie, nouveau directeur du développement du groupe Vega. [©Groupe Vega] Spécialiste de la fabrication de mortiers et d’enduits, le groupe Vega annonce la nomination de Lilian Daurie au poste de directeur du développement. L’ancien directeur général opérationnel de l’industriel Saint-Astier sera chargé de stimuler la croissance de Vega autour de la thématique de la rénovation. Fort de 13 années d’expérience dans le secteur du bâtiment, Lilian Daurie participera à l’essor du groupe au travers d’actions et d’investissements organiques et externes. « C’est avec un grand plaisir que j’intègre le groupe Vega qui, en plus de son expérience prouvée dans le secteur du bâtiment, incarne des valeurs familiales et humaines dans lesquelles je me retrouve », témoigne Lilian Daurie.
Il y a 3 ans et 17 jours

Zehnder ComfoTube Therm, nouvelle gaines de ventilation double-flux isolées

Adaptées au chauffage en hiver et au rafraîchissement sur l’air en été, les nouvelles gaines de ventilation isolées Zehnder ComfoTube Therm 90 et Zehnder ComfoTube Therm flat 51 offrent non seulement aux bâtiments performants une solution limitant les pertes de charge et les déperditions thermiques, mais évitent également la condensation générée par de trop grands écarts de température.Performances thermiques élevéesLes solutions de ventilation double-flux Zehnder récupèrent la fraîcheur en été et la chaleur en hiver. S’adaptant automatiquement, elles constituent un moyen durable pour créer un climat intérieur sain et confortable dans une habitation en toute saison. Dotées d’une couche extérieure d’isolation d’une épaisseur de 9 mm en caoutchouc cellulaire, les nouvelles gammes de gaines semi-rigides en PEHD Zehnder Comfotube Therm 90 et Zehnder Comfotube Therm flat 51(de forme oblongue et extra plate) participent aux performances thermiques du système de ventilation.Isolées, ces nouvelles gaines permettent de limiter les pertes de charge, d’éviter la condensation, mais également de réduire les déperditions thermiques liées au réseau, entre la batterie et le soufflage à la bouche. Elles sont particulièrement adaptées aux longueurs de gaines réduites (inférieures à 10 mètres) grâce à leur bonne conductivité thermique : λ=0,035 W/m*K à 20°C.FlexiblesLa couche d’isolation n’étant pas collée, les gaines de ventilation conservent tout leur rayon de courbure afin de s’intégrer facilement à l’architecture du bâtiment (en faux- plafond, au sol ou derrière des cloisons).DurablesLes nouvelles gaines isolées sont constituées d’une paroi extérieure ondulée et d’une paroi intérieure lisse, Clinside, favorisant le nettoyage à plus de 98% et garantissant la durabilité de l’ensemble. Sans couture, la couche d’isolation ne risque pas de se détacher dans le temps.Montage simple et rapideLivrées isolées, les gaines Zehnder Comfotube Therm et Zehnder Comfotube Therm flat 51 sont prêtes à installer et ne nécessitent ainsi pas de temps de main d’œuvre supplémentaire.Les manchons de raccordement isolés Zehnder ComfoFit Therm en polypropylène expansé complètent cette offre réseau afin de réaliser des connections sans pont thermique.Avec cette nouvelle offre complète de réseaux isolés, Zehnder pense à la fois au confort des habitants en toute saison mais aussi à celui des installateurs lors de la pose du système de ventilation double-flux.
Il y a 3 ans et 17 jours

« Les villes complices peuvent retisser la nation », Charles Lambert, urbaniste

Loin de tout dogmatisme, Charles Lambert se veut précis dans le choix des mots : « Je parle de transformations, et non de solutions », décrypte-t-il à propos des « 36 transformations heureuses » qui jalonnent sa « France à l’âge des villes », publiée ce printemps par les éditions du Cerf. Le titulaire du grand prix européen de l’urbanisme (1991) propose d’enrichir la notion de « terrain équipé », en y ajoutant la desserte par les transports publics.
Il y a 3 ans et 17 jours

RSE, entreprise à mission dans le Bâtiment : un business responsable est-il possible ?

RETOURS D'EXPERIENCE. Comment déployer sa stratégie RSE en embarquant l'ensemble des ses collaborateurs ? La RSE constitue-t-elle une première étape pour devenir une entreprise à mission ? Lucile Charbonnier, directrice RSE et développement durable chez Isover-Placo et Caroline Barbin-Siraudin, directrice marketing et communication chez Cetih (BeL'M, Zilten, Swao...), entreprise à mission, nous partagent leur vision.
Il y a 3 ans et 18 jours

Potentiel des gaz renouvelables : l'Association française du gaz présente sa vision à horizon 2050

Ces rendez-vous ont mis l’accent sur les technologies gazières d’aujourd’hui et de demain, leur potentiel et les mesures prises pour accélérer leur développement.Voici une synthèse de ces échanges qui ont rappelé le rôle primordial des gaz renouvelables et bas carbone pour favoriser la transition énergétique et ce pour plusieurs raisons : une production en continu, une facilité de stockage, des installations existantes, un réseau de transport et de distribution disponible, la contribution à la gestion des déchets, un enjeu des territoires... L’industrie gazière dispose actuellement de 5 briques technologiques et d’innovation : la méthanisation, le méthane par fermentation ;la pyrogazéification, le méthane par traitement de déchets carbonés ;la gazéification hydrothermale, le méthane par traitement aqueux à haute température ;la méthanation, le méthane issu du CO2 et de l'hydrogène ;l’utilisation des gaz fossiles couplés à la capture et stockage de carbone.Ces technologies se situent à différents stades de maturité être présentent un potentiel total significatif supérieur à 335 TWh à l'horizon 2050. Une vision d’ensemble montre que ce potentiel identifié s’inscrit dans une complémentarité des différents usages et couvre largement l’ensemble de ces usages.La méthanisation : le méthane obtenu par fermentation > un potentiel de 190 TWh en 2050 pour une production à cette même date de 135 TWh ;La pyrogazéification : le méthane par traitement thermique de déchets carbonés > un potentiel de 180 TWh pour une production à cette même date de 90 TWh ;La gazéification hydrothermale : le méthane par traitement aqueux à haute température > un potentiel de 100 TWh pour une production à cette même date de 50 TWh ;La méthanation : le méthane issu du CO2 et de l’hydrogène > un potentiel de 120 TWh pour une production à cette même date de 60 TWh. La troisième révolution gazière repose sur le développement de ces nouvelles technologies conditionné par un cadre réglementaire et financier stable. L’avis des experts participants* : Pour Jean-Marc Leroy, Président de l’Association française du gaz : « Les gaz renouvelables et bas carbone vont permettent d’assurer l’autonomie énergétique du pays et sa compétitivité. Nous souhaitons que ces nouveaux gaz soient complémentaires aux autres énergies pour tirer le meilleur parti de chacune d’entre elles. » Pour David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe : “Le gaz reste présent dans nos 4 scénarios prospectifs de neutralité carbone pour la France à horizon 2050 à des niveaux assez significatifs allant de 150 TWh à plus de 350 TWh. Dans 3 scénarios sur 4 le gaz est à plus de 80% renouvelable."Pour Alexis Masse, Délégué Stratégie chez GRDF : « Les 5 briques technologiques et d’innovation peuvent couvrir plus que les usages de la France à 2050. » Pour Élodie Le Cadre Loret, Lead Science Advisor chez Engie : « À ces chiffres sur le potentiel des technologies actuelles s’ajoutent différentes options pouvant apporter plus de souplesse, comme des solutions de capture de stockage de carbone, un potentiel de développement de bio-propane ; la France pourrait représenter une plaque tournante du e-méthane en transit ou importé ou encore la présence d’hydrogène renouvelable et bas carbone sur laquelle s’appuyer. » Pour Frédéric Martin, Directeur général adjoint chez GRDF : « La méthanisation a été deux fois plus vite que prévu nous avons 383 méthaniseurs opérationnels et 1000 autres sont en projet. » Pour Thierry Trouvé, Directeur général de GRTgaz : « Nous traversons une crise énergétique durable en Europe c’est pourquoi il faut aller à fond sur le solaire, l’éolien et le biométhane, nous n’avons plus le luxe de nous passer de quoi que ce soit. » Trois autres ateliers thématiques auront lieu prochainement, ils aborderont : la mobilité, l’industrie et le bâtiment.*Les intervenants ayant participé à ces ateliers : Élodie Le Cadre, Lead Science Advisor chez ENGIE - Laurent FULCHERI, Directeur de recherche au centre Persée de Mines-ParisTech - Frédéric Martin, Directeur général adjoint de GRDF - Thierry Caquet, Directeur scientifique Environnement à l’INRAE, Isabelle Moretti de l'Académie des technologies, pôles énergie et culture - Alexis Masse, Délégué Stratégie de GRDF, Président de la commission « Gaz renouvelables » de l’AFG - Jean-François DELAITRE, Président de l’AAMF, Thierry TROUVE, Directeur général de GRTgaz - David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe - Olivier GUERRINI, Senior Vice President Biogas Business Unit, TotalEnergies - Charles-Antoine GAUTIER, Directeur Adjoint pour l’énergie de la FNCCR - Frédéric MARTIN, Directeur Général Adjoint, GRDF - Philippe BOUCLY, président de France Hydrogène, Monique AXELOS - Directrice scientifique pour l’alimentation et la bioéconomie, à l’INRAE.
Il y a 3 ans et 18 jours

Le préfabricant Citygie fait le choix d’un béton bas carbone

Le groupe Citygie exploite une nouvelle recette de béton bas carbone dans son usine de préfabrication, à Chaleins (01). [©CapCross] Le groupe Citygie est la maison-mère de Bihr Environnement et Francioli. Depuis peu, il exploite une nouvelle recette de béton dans son usine de préfabrication, à Chaleins (01). Celle-ci est dédiée au mobilier urbain et aux sanitaires publics. Le matériau est formulé autour de ciments CEM III/A développés par Lafarge Ciment dans son usine au Teil (07). Ceci, afin de réduire l’impact carbone du matériau. Le CEM III/A remplace dans sa composition une certaine quantité de clinker par du laitier de hauts fourneaux. Lire aussi : La préfabrication à la mode du bas carbone 20 à 25 % d’émissions carbone en moins Le choix de ce béton n’impacte en rien la qualité des produits finaux, mais impose de nouvelles contraintes à l’outil industriel, comme un temps de séchage plus long. « Nous avons travaillé avec les fournisseurs pour adapter le produit à notre processus de fabrication », souligne Eric Piroud, directeur général de Citygie. L’intégration de ce nouveau matériau permet de réduire de 20 à 25 % l’impact carbone des produits finis, en fonction de la quantité de béton utilisée. Pour les sanitaires publics, la structure béton représente plus de 95 % de la masse du produit fini. « L’intégration du ciment CEM III/A à nos processus de fabrication constitue la première étape d’une démarche globale de réduction de notre empreinte environnementale. Pour ce volet matériaux, nous expérimentons, d’ores et déjà, avec nos fournisseurs les futures générations de ciments et bétons bas carbone, conclut Eric Piroud. Nous sommes par ailleurs engagés dans une fabrication 100 % française, grâce à des approvisionnements locaux. »
Il y a 3 ans et 18 jours

L'activité des matériaux résiste en janvier-février 2022, selon l'Unicem

L'activité s'est plutôt bien tenue pour les granulats et le béton prêt à l'emploi en janvier-février, mais les mois à venir seront décisifs. (Photo de béton prêt à l'emploi © Lafarge)
Il y a 3 ans et 18 jours

Zehnder se renforce dans le domaine de la ventilation

ACQUISITION. Le groupe Zehnder, spécialiste de la ventilation, du rafraîchissement, du chauffage et de la purification d'air, annonce avoir fait l'acquisition de Filtech, un expert des filtres à air de haute qualité.
Il y a 3 ans et 18 jours

La startup Waste Marketplace lève 2 millions d’euros pour financer son développement commercial et sa solution digitale

Fondée en 2018 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat de VINCI, Waste Marketplace propose une application qui simplifie la gestion des déchets de chantiers et industriels. Waste Marketplace mutualise les recherches et les audits chez les prestataires et sélectionne, pour ses clients, le meilleur rapport taux de valorisation/prix et localisation, pour chaque type de déchets.Waste Marketplace s’occupe de tout pour ses clients : démarches administratives, devis des prestataires, reporting précis sur les émissions de carbone générées, traçabilité des contenants. Tout est accessible en 1 clic sur l’application.SMABTP a fait le choix d’entrer au tour de table de Waste Marketplace pour participer au développement d’une offre de service utile à ses clients, acteurs du BTP. VINCI Construction reste un soutien actif dans le développement de la startup.L’objectif de cette levée de fonds par augmentation de capital, est de poursuivre le développement commercial de Waste Marketplace sur tout le territoire national et de continuer le développement fonctionnel et technologique de sa plate-forme digitale.Pour Jérôme de Tomasi, CEO de Waste Marketplace : "Cette levée de fond va nous permettre de développer davantage notre force commerciale pour mailler encore plus finement le territoire national afin de proposer le prestataire le plus adapté pour chaque besoin. Les fonds serviront également à perfectionner l’outil digital, notamment sur la traçabilité des déchets pris en charge."Pour Hervé Leblanc, directeur général adjoint grands comptes et international, groupe SMA : "Les échanges que nous avons eus avec Waste Marketplace nous ont permis de constater que cette société présente un intérêt indéniable pour les professionnels du BTP. Elle leur permet de simplifier la gestion de leurs déchets, un véritable enjeu pour le secteur qui doit intégrer le renforcement de la réglementation dans ce domaine. C’est pourquoi, nous avons fait le choix d’accompagner cette startup afin de soutenir une solution utile à la protection de l’environnement et à nos sociétaires."Pour Thierry Mirville, président de VINCI Construction Invest : "VINCI Construction fait de l’économie circulaire un axe fort de son développement et de ses savoir-faire techniques. Nous sommes particulièrement fiers du développement ambitieux de Waste Marketplace qui démontre que pour favoriser le réemploi et le recyclage des matériaux depuis et sur nos chantiers, il faut des solutions simples, économiques, locales et intégrant la traçabilité de leur origine à leur mise en œuvre."Pour Julien Villalongue, directeur, Leonard : "Parmi les nouvelles filiales et activités du groupe VINCI nées du parcours Intrapreneurs animé par Leonard, Waste Marketplace a rapidement trouvé son marché grâce à son excellente adéquation avec les besoins des acteurs du BTP et de l’industrie, pour qui l’enjeu environnemental s’affirme désormais comme une priorité."Chiffres clés :400 chantiers et site industriels actifs500 prestatairesPrès de 3.000 mouvements par moisPlus de 5.000 tonnes de déchets traitées chaque mois87% de valorisation en moyenne+263% : croissance du CA entre 2020 et 2021
Il y a 3 ans et 18 jours

Arcadis enjambe les voies de la Gare d’Austerlitz

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, dévoile le pont de franchissement du faisceau ferré de la gare d’Austerlitz, visant à désenclaver le quartier de la Gare d’Austerlitz. Ce tablier en acier de 2 100 tonnes a été poussé, pour la seconde fois, au-dessus des voies ferrées avec une vitesse moyenne de 2m à l’heure entre samedi 16 et dimanche 17 avril. Par sécurité, le trafic ferroviaire a été complètement interrompu sur 7 voies. « Lancer le pont au-dessus des voies avec un seul point d’appui intermédiaire est à la fois une grande prouesse technique et une opération emblématique qui vient concrétiser le travail de plusieurs années. » déclare Arnaud NAËL, Directeur de projet chez Arcadis. Les équipes Arcadis ont dû faire face à des contraintes fortes liées aux infrastructures existantes (voies ferrées, ligne 10 du métro, hôpital de la Salpêtrière…) sans en impacter le fonctionnement quotidien. Au-delà de la complexité structurelle liée à l’architecture du pont, l’autre défi de taille était d’insérer harmonieusement la nouvelle liaison dans un contexte architectural très divers : de nombreux bâtiments historiques dont la chapelle Saint-Louis de la Salpêtrière côté boulevard de l’Hôpital et des nouveaux bâtiments dont le siège du groupe Le Monde côté avenue Pierre Mendès-France. Enfin, des obstacles climatiques ont donné du fil à retordre aux équipes : la crue du Rhin en juillet 2021 a ralenti le transport par voie fluviale de la charpente métallique, préassemblée dans l’usine de Lauterbourg en Alsace et acheminée sur site pour y être finalisée.D’une longueur de 87 mètres et d’une largeur variable de 19 à 32 mètres, le pont a été pensé comme une place publique visant à créer un nouveau lien piéton, cycliste et routier entre deux quartiers de Paris Rive Gauche en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz. En tant que maître d’œuvre (mandataire), Arcadis a remporté, aux côtés de Wilkinson Eyre Architects et Arpentère (paysagiste), le concours lancé en 2016 par la SEMAPA (aménageur de la ZAC Paris Rive Gauche) et la Ville de Paris, pour la réalisation du pont reliant les deux secteurs du quartier Austerlitz de part et d’autre des voies ferrées. « Avec le pont Mère-Teresa qui franchit le faisceau Saint-Lazare, nous sommes les concepteurs des deux derniers ponts enjambant des faisceaux ferrés parisiens : des opérations complexes et peu courantes dans un environnement bâti extrêmement dense. Notre maîtrise de l’opération dans son ensemble et notre expérience éprouvée avec le pont Mère-Teresa nous ont permis d’accompagner la SEMAPA dans ce projet emblématique qui constitue un défi à la fois technique, architectural et urbain, dont nous sommes très fiers. » déclare Claire RAVETTI, Cheffe de projet chez Arcadis. Le chantier, qui a démarré en juin 2020, devrait prendre fin courant 2023 avec les travaux d’accostage et d’aménagement de surface. En attendant l’ouverture du pont au public à l’issue des travaux du secteur Austerlitz, la SEMAPA a salué cette dernière grande opération de lançage. « Relier les berges de Seine aux quartiers existants du XIIIème arrondissement de Paris en franchissant l’obstacle du faisceau ferroviaire de la gare d’Austerlitz est une véritable prouesse technique et offre une ouverture du quartier Austerlitz-Gare. Une fois mis en service, le nouveau pont devrait permettre aux piétons de gagner 15 minutes de marche ! » conclut la SEMAPA.Arcadis possède une expertise reconnue dans la conception d’ouvrages d’art et les projets d’ingénierie civile complexes avec des réalisations majeures comme le Viaduc de Millau, la couverture du périphérique à Porte de Vanves ou en encore les bâtiments-ponts tels que la Tour de la Biodiversité dans le 13ème arrondissement de Paris et l’ensemble immobilier « Les Vergers » à Cergy-Pontoise.
Il y a 3 ans et 18 jours

BYSprong, l’innovation de Bouygues Construction pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments

Son caractère innovant : des solutions industrialisées pour réduire les coûts et la durée des travaux tout en augmentant la performance énergétique du bâti.Développée par la direction Recherche & Développement de Bouygues Construction, BYSprong apporte une réponse industrialisée pour accélérer la rénovation énergétique du parc immobilier. Une offre qui permet à la fois aux clients de transformer un bâtiment énergivore en bâtiment à énergie positive, et aux occupants de respecter leur confort, grâce à une exécution des travaux dans un délai optimisé.Comment ? L’offre BYSprong repose sur 5 solutions majeures. Industrialisées et standardisées, ces solutions de rénovation énergétique apportent des économies d’échelle aux clients et peuvent être mises en place collectivement ou séparément selon les besoins :Automatisation des études : le bâtiment est scanné. Les données 3D obtenues sont traitées informatiquement pour produire un bilan carbone, une étude thermique, une analyse des coûts et des plans de fabrication.Préfabrication de l’enveloppe isolante en atelier : BYSprong fait appel à des partenaires locaux et recourt à des matériaux biosourcés pour réaliser une enveloppe sur mesure à assembler sur site.Optimisation de la production et de la consommation énergétique : un module énergétique « tout en un » est intégré. Il assure la production du chauffage, de l’eau chaude sanitaire, la ventilation et la gestion de l’éventuelle installation photovoltaïque. Il est accessible pour la maintenance sans gêner l’occupant.Compensation de la consommation énergétique par la production d’électricité issue de panneaux photovoltaïques.Contrôle et pilotage de la consommation : Le locataire, le bailleur et le mainteneur peuvent surveiller et optimiser la consommation. La détection en temps réel de tout dysfonctionnement permet une intervention extrêmement rapide.Pour Nicolas Borit, directeur général délégué de Bouygues Construction : « Le parc social français représente cinq millions de logements, dont 25% sont dits « énergivores ». La réhabilitation de ce patrimoine est essentielle pour répondre à l’urgence climatique et notre volonté avec BYSprong est clairement de contribuer à cet enjeu majeur. »D’abord mise en œuvre sur plusieurs opérations (exemple dans l’encadré ci-après), l’offre BYSprong peut maintenant être déployée massivement. Deux projets vont notamment commencer en 2022 : 207 logements pour Vilogia à Hem (département du Nord, 59) et de 318 logements pour Maisons & Cités dans les Hauts-de-France.Un exemple concret de rénovation énergétique avec BYSprong à Longueau près d'AmiensCe premier projet BYSprong a permis de rénover douze maisons des années 1960, près d’Amiens, en les rendant autonomes en énergie.Le projet, qui couvrait les phases conception, réalisation, exploitation et maintenance, a été mené par les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest et par Dalkia (groupe EDF) pour la maintenance.Les équipes ont réalisé le scan 3D des façades d’origine pour permettre la production d’une enveloppe préfabriquée (40 cm d’épaisseur) et adaptée à l’existant.Les systèmes énergétiques ont été installés dans un module à l’extérieur des maisons, et mutualisés pour des ensembles de trois logements.Grâce à ces améliorations, les logements affichent un niveau A de Diagnostic de Performance Energétique (DPE), contre D ou E avant les travaux.La production annuelle d’électricité par les capteurs photovoltaïques en toiture (7 000 kWh par logement) couvre la consommation énergétique des habitants.Chiffres clés :7 000 kWh /par logement. C’est la production annuelle d’électricité par les capteurs photovoltaïques.30 ans de garantie de performance énergétique.
Il y a 3 ans et 18 jours

L'usine Nexans d'Autun se prépare aux nouveaux enjeux du groupe

À Autun, Nexans produit des câbles depuis plus de 40 ans et dispose depuis 1997 d’un magasin de stockage grande hauteur totalement automatisé. Ce site pilote constitue un maillon central pour satisfaire les clients de la distribution. L’usine entre en résonnance avec la stratégie de recentrage de l'industriel, tourné vers câbles de demain.
Il y a 3 ans et 18 jours

La gamme Inspirio d'Argeton : une source de créativité pour des façades en terre cuite inédites

6 collections inspirées des éléments de la nature composent la gamme Inspirio (minéral, métal, béton, nature, classique et graphique) et se déclinent dans une grande variété de coloris. La gamme Inspirio bénéficie de tous les avantages de la terre cuite : économe en énergie pour sa fabrication, recyclable et résistante au temps.Inspirio, une nouvelle créativitéGrâce à la grande diversité esthétique et technique de ses bardages en terre cuite, Argeton a su, ces dernières années, donner une dimension de modernité aux systèmes d’habillage de façades.Aujourd’hui, Argeton va plus loin en propulsant la créativité dans une nouvelle dimension, celle de l'Engobe Digital Inspirio.Innovante, la gamme de bardage en terre cuite Inspirio exploite la technologie d’engobe digital, pour proposer de nouveaux designs et l’ouverture vers la concrétisation d’idées créatives inédites pour tous les projets architecturaux.Les engobes sont des pigments minéraux de surface de haute qualité appliqués sur les bardeaux en terre cuite avant le processus de cuisson.L’avantage de l’application des pigments minéraux et de leur cuisson est que tous les composants sont fusionnés ensemble : contrairement aux revêtements organiques, les surfaces ne peuvent pas se délaver ou se décolorer avec le temps. Cela confère aux façades Inspirio d’Argeton une qualité et une finition haut de gamme.Enfin, en associant les propriétés naturelles des matériaux de construction en terre cuite aux nouvelles esthétiques innovantes et respectueuses de l’environnement d'aujourd'hui, les bardeaux Inspirio sont adaptés pour toute démarche de construction durable.Inspirio, des expressions uniques pour les façadesConçue pour offrir un choix illimité en matière de formes, de surfaces et de coloris, la gamme Inspirio d’Argeton se compose de 6 collections inspirées des éléments issus de la nature. Elles comprennent à ce jour 41 modèles disponibles et se déclinent à l’infini grâce à la possibilité de créer des décors sur-mesure.Spécialiste des systèmes de bardage en terre cuite, Argeton de Wienerberger innove avec la gamme Inspirio. Celle-ci s’appuie sur la technologie de l’engobage digital afin de proposer une source inégalée de créativité pour tous les projets architecturaux. 6 collections inspirées des éléments de la nature composent la gamme Inspirio (minéral, métal, béton, nature, classique et graphique) et se déclinent dans une grande variété de coloris. La gamme Inspirio bénéficie de tous les avantages de la terre cuite : économe en énergie pour sa fabrication, recyclable et résistante au temps.Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier Européen. Présent dans 28 pays, ses usines emploient plus 17 624 personnes à travers le monde. En France, 749 collaborateurs travaillent dans les 8 usines de tuiles et de briques détenues par le Groupe. Le chiffre d’affaires 2021 atteint 202 240 millions d’euros avec 6 marques reconnues : Aléonard (solutions toiture), Argeton (solutions façade), Climamur (solution à isolation répartie),Koramic (solutions toiture et façade), Porotherm (solutions mur) et Terca (solutions façade). La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de construction à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et les tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans.Inspiration minéraleLa collection "Inspiration minérale" offre subtilement l’aspect de la pierre naturelle. Les bardages reproduisent fidèlement les veines subtiles et les motifs présents dans ce matériau. La collection se compose de 6 modèles (Venere, Travertino , Sandro, Maestro, Palazzo et Juno) et se décline dans 9 coloris : light grey, dark grey, blue grey, white, red, rose, brown, orange brown et beige.Inspiration métalLa collection "Inspiration métal" exprime toute la puissance esthétique de ce matériau vivant. Les reflets subtils et les ombres sur les nombreuses facettes confèrent aux surfaces du bardage une valeur esthétique très forte. Tout en représentant les aspects du métal, la collection bénéficie des avantages de la terre cuite contre la corrosion, l'abrasion, la longévité des couleurs, ainsi que son respect de l’environnement. La collection "Inspiration métal" se compose de 3 modèles (Comet, Patino, Verona) et se décline dans 6 coloris : rusty, blue, rusty blue, rusty orange, grey, light grey.Inspiration bétonLa collection "Inspiration béton" simule l’esthétique du béton brut. Les travaux de transformation tels que l'acidification, le sablage, le lavage et le ponçage apparaissent aussi réalistes grâce à l’engobage numérique qu'avec le béton coulé. Grâce à ce nouveau design, il est enfin possible de bénéficier d’une esthétique béton tout en profitant du naturel de la terre cuite et des avantages d’une façade ventilée.La collection "Inspiration béton" se compose de 4 modèles (Marbeto, Griseo, Terrazzo, Marlo) et se décline dans 6 coloris : grey, light grey, medium grey, warm grey, dark grey, cream.Inspiration natureLa collection "Inspiration Nature" associe le charme et la chaleur des surfaces naturelles à une touche d’ingéniosité humaine. Les nuances de couleurs, les nœuds et les stries sont reproduits si fidèlement sur le bardage en terre cuite qu’ils n’ont rien à envier aux sources d’inspiration. La collection "Inspiration Nature" se compose de 4 modèles (Quercia, Ebano, Carbone, Rustico) et se décline dans 7 coloris : brown, medium brown, light brown, reddish brown, black, ash grey et washed out grey.Inspiration classiqueLa collection "Inspiration classique" offre une façade rustique et minimaliste. Bénéficiant des avantages de durabilité et économe en énergie de la terre cuite, « Inspiration classique" est résistante aux chocs, facile à nettoyer et pratiquement sans entretien. Elle se compose d’un modèle (Aurea) décliné dans 3 coloris : (light grey, dark grey et reddish brown).Inspiration graphiqueLa collection "Inspiration graphique" a été réalisée en collaboration avec des architectes pour créer des visuels inédits basés sur des lignes géométriques ou des formes organiques et donner ainsi aux façades une vivacité et une profondeur particulière. La collection "Inspiration graphique" se compose d’un modèle (Génio) décliné dans 4 coloris : mars, blue marble, blue triangle et beige circle.
Il y a 3 ans et 18 jours

Un centre culturel et un hôtel en bois local, par White arkitekter en Suède

L'agence White Arkitekter, basée à Stockholm (Suède), a pensé ce vaste complexe regroupant un centre culturel et un hôtel, comme un manifeste bas carbone. Rassemblant 72 000 habitants à 200 km au sud du cercle polaire, Skelleftea, ancienne cité minière, s'apprête à accueillir la plus grande usine de batteries lithium […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 18 jours

Xella recycle les chutes de production

lus grand producteur de béton cellulaire et de pierre silico-calcaire, le groupe Xella a à cœur d’améliorer sans cesse la durabilité de ses solutions constructives et de contribuer à réduire son empreinte carbone dans l’industrie de la construction. Son site de production de Saint-Savin, situé dans la région de Lyon, fabrique et commercialise les blocs en béton cellulaire Ytong et Siporex. Ce matériau 100 % minéral est composé de ressources naturelles locales : eau, sable (60 %), chaux (15 %), ciment (15 %) et anhydrite (10 %), sa production est peu énergivore car elle se limite à la mise en pression des autoclaves. Dans le cadre de son plan de modernisation 2020-2022, Xella a investi 1,1 million d’euros dans la chaîne de production de Saint-Savin. L’objectif est de limiter la consommation des ressources et leurs coûts, et recycler les déchets issus de la production en les réinjectant. Les 170 000 m3 de béton cellulaire fabriqués annuellement génèrent des poudres issues du perçage et de l’usinage des blocs de chaînage (environ 30 000 m3) et des chutes de matériaux. Ces chutes de production étaient jusqu’alors expédiées vers d’autres sites. Les équipes de l’usine ont donc travaillé sur une recette qui permettrait de substituer 15 % de sable par de la poudre de béton cellulaire recyclé. Aujourd’hui, cette poudre entre dans la composition du béton cellulaire. Les chutes sont revalorisées grâce à un investissement de 1,1 million d’euros dans un nouveau système concasseur et crible. La mise en place de cette nouvelle recette et l’investissement dans les équipements permettent de réduire de 15 à 20 % la consommation de sable nécessaire à la production de béton cellulaire. Le recyclage de reliquats de béton cellulaire permet de réaliser des économies de transport. Pour les rebuts : 1 camion par jour, au lieu de 2 camions auparavant, ce qui permet une réduction de 220 camions par an. Pour le sable : Pratiquement 2 camions sur 10 par jour en termes de trajets de réapprovisionnement entre la carrière de sable et l’usine. Cet article Xella recycle les chutes de production est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 19 jours

Airina, un nouveau purificateur d'air professionnel autonome et silencieux 100% Made in France

Les chiffres sont éloquents. Alors que nous passons près de 90% du temps dans des espaces clos (maison, travail, transports en commun...), l'air intérieur est 8 fois plus pollué que l'air extérieur. Une situation qui n'est pas sans conséquence sur notre organisme : 20 000 décès prématurés chaque année sont causés par les polluants présents dans l'air intérieur, qui provoque aussi 28% des AVC, 17% de cancers et de nombreuses pathologies (asthme, allergies respiratoires, fatigue, vertiges, maux de tête...). C'est pour cela que l'Anses considère aujourd'hui qu'il s'agit d'un véritable enjeu de santé publique (source) et que certains ERP ont l'obligation de surveiller la qualité de l'air intérieur (QAI). Oui mais... en pratique comment faire pour garantir un air pur et sain lorsque les surfaces sont importantes ? Les appareils actuels sont complexes à utiliser, souvent bruyants et fabriqués à l'autre bout de la planète. D'où l'innovation apportée par Airina, un purificateur d’air professionnel développé et produit en France, qui améliore en continu la qualité de l’air intérieur sur de larges superficies en détectant et filtrant 99.995% des particules fines, virus & bactéries, germes & moisissures, COV, allergènes & odeurs. Un concentré d'innovation pour purifier vite et bien jusqu'à 200m² Airina est le fruit de plus de 40 années d'expérience dans le traitement de l'air. Ce purificateur d'air "nouvelle génération" est d'ailleurs né bien avant la pandémie : il a été conçu à l'origine pour répondre à la réglementation édictée par le décret 2015 – 1000, relatif aux modalités de surveillance de la qualité de l'air intérieur dans certains établissements recevant du public (en priorité les crèches, écoles maternelles et primaires). Le gouvernement souhaite en effet limiter les concentrations de polluants et impose aux ERP certains seuils à ne pas dépasser pour le Formaldéhyde, le Benzène et le CO2. Mais au-delà de cette obligation, offrir aux usagers, clients et collaborateurs une bonne qualité de l'intérieur doit être une priorité pour toutes les organisations, notamment dans le cadre de leur démarche RSE. Toutes les études montrent en effet un impact positif sur la santé et la réduction des maladies, le bien-être, l'attention et par conséquent sur le taux d'absentéisme. Aujourd'hui, Airina accompagne les écoles/lycées, restaurants, lieux de culture, entreprises, collectivités et établissement disposant de salles d'attentes et/ou de réception en leur permettant de les informer sur la qualité de l'air intérieur et de le purifier efficacement sur de grands espaces. "Airina peut réaliser jusqu'à 5 renouvellements d’air complets par heure (en lien avec la recommandation de la haute autorité de la santé) et donc 200 m2, ce qui en fait un purificateur à haute performance." Un appareil "plug & work" qui sait se faire discret Pour utiliser Airina, rien de plus simple : il suffit de le placer dans la zone à traiter, de le brancher et de l'allumer. Et c'est tout ! Grâce à sa petite taille (67 cm longueur, 69.1 cm largeur et 112.8 cm hauteur) et à ses roulettes, le purificateur est mobile et il se positionne sans problème à l'endroit souhaité. Avec une garantie de résultats : le renouvellement intégral de l'air est effectué en 15 minutes à peine, pour éliminer plus de 99,99% des virus et bactéries en mode "zéro prise de tête". Car Airina se fait facilement oublier. Ultra-silencieux (47 dB(A) à 1 m), il peut aussi être totalement personnalisé (couleurs, motifs, etc.) pour se fondre dans le décor. Un must pour ne pas perturber la concentration des équipes ou altérer le confort de la clientèle, ni nuire au design des lieux. Une utilisation intuitive qui simplifie le quotidien La troisième et dernière version d'Airina a été spécialement conçue pour mettre le meilleur de la technologie au service des utilisateurs. En quelques clics sur son interface tactile, il est ainsi possible de :Visualiser rapidement tous les indices de la qualité de l'air (indicateur visuel - selon ATMO)Mesurer la qualité de l'air intérieur : taux de CO2 en temps réel, informations sur les particules fines, quantité d'air traitée, évolution détaillée de la QAI sur 12h ;Contrôler le purificateur, en adaptant notamment sa vitesse de purification ;Sélectionner le mode auto pour que sa vitesse s'adapte à la qualité de l'air environnant ;Programmer les horaires de fonctionnement de l'appareil ;Choisir de recevoir des alertes SMS (maintenance & qualité de l'air) ; Airina, une marque française du groupe NEU-JKF Delta NEU Le purificateur d'air Airina est conçu et fabriqué en France, à La Chapelle-D'armentières, juste à côté de Lille. Cette marque dynamique appartient au groupe NEU-JKF Delta NEU, expert dans le captage et le traitement de l'air en milieu industriel depuis plus de 60 ans. "Airina est née de notre solide expérience industrielle à destination de tous les professionnels recevant du public et souhaitant les protéger." Le groupe représente aujourd'hui plus de 650 collaborateurs, 10 filiales dans le monde, 1 centre de formation, 1 station d’essai et accompagne plus de 35 000 clients. Il est membre de la French Lab qui regroupe les acteurs industriels français défendant le savoir-faire français et la fabrication française.
Il y a 3 ans et 19 jours

Forte de 30 ans d’actions, l'UNICEM demande aux pouvoirs publics la reconnaissance de son Label RSE sectoriel

Elle profite de cet anniversaire pour réitérer l’appel de la profession auprès des pouvoirs publics d’une reconnaissance de son Label sectoriel RSE.Pour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. »Les industries de carrières et matériaux de construction extraient et produisent les matériaux minéraux nécessaires aux secteurs de la construction et des travaux publics. L’UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction), qui représente la profession, rassemble près de 1400 entreprises, TPE, ETI patrimoniales, groupes d’envergure internationale, qui font fonctionner plus de 7000 sites répartis sur l’ensemble du territoire.Par ce maillage territorial, ces entreprises participent pleinement au maintien de l’activité économique, industrielle et de l’emploi au cœur des régions. Il permet aussi d’établir une proximité géographique entre les sites d’extraction, de production et les zones de mise en œuvre (chantiers), diminuant, de fait, les distances et donc l’empreinte carbone liée au transport des matériaux. Conscients de leur responsabilité sociétale et environnementale et soucieux de contribuer positivement aux enjeux de développement durable, la filière et ses acteurs, font de ces sujets une priorité et déploient, depuis trois décennies déjà, de nombreuses actions...La célébration, symbolique, de ces 30 ans d’engagement en matière de développement durable, est l’occasion de revenir sur les temps forts qui ont jalonné ces années : les actions mises en place, les progrès enregistrés et les résultats obtenus. C’est aussi l’occasion pour la profession de lancer un appel, auprès des instances publiques, tant nationales qu’européennes à la reconnaissance des labels sectoriels RSE,et au soutien des PME qui s’engagent dans la RSE.1992-2022 : 30 ans de progrès en matière de développement durable1992 : Création de la charte professionnelle des producteurs de granulatsDès 1992, les producteurs de granulats, soucieux de mieux cerner l’impact environnemental lié à leur activité d’exploitation de carrières, se mobilisent et créent la charte professionnelle des producteurs de granulats. Grâce à l’adhésion de nombreux sites et en partenariat avec des centres de recherche reconnus*, plus d’une centaine d’études** scientifiques sont menées sur un peu plus de 10 ans. Ces études ont permis d’aboutir à des recommandations et à la rédaction d’un socle commun de bonnes pratiques portant, entre autres, sur la préservation de la ressource en eau, l’amélioration de l’insertion paysagère, le respect de la biodiversité, la réduction des émissions de poussière, la maîtrise de l’énergie, l’organisation de concertations avec les parties prenantes.* Les partenaires de ces études : BRGM (Bureau des Recherches Géologiques et Minières), Cemagref (Centre d’Étude du Machinisme Agricole et du Génie Rural des Eaux et Forêts (CEMAGREF), CNRS (Centre National de Recherche Scientifique), Muséum national d’histoire naturelle, Laboratoire des ponts et chaussées, INERIS (institut national de l’environnement industriel et des risques) et plusieurs universités.** Ces études sont aujourd’hui regroupées dans un catalogue mis à la disposition via ce lien2004 : La Charte environnement des industries de carrièresDans le prolongement des recommandations et bonnes pratiques formulées par la charte professionnelle des producteurs de granulats et afin d’encourager la progression des acteurs du secteur des industries de carrières sur le plan environnemental, un référentiel est créé : la Charte environnement des industries de carrières dont l’objectif est d’évaluer, d’une part et valoriser, ensuite, les progrès effectués par les industriels en matière de développement durable. Plus de 900 sites se sont engagés dans cette démarche. Ils ont pu à ce titre bénéficier d’un accompagnement qui leur aura permis de progresser dans la maîtrise de l’impact environnemental et développer, grâce à des recommandations et formations spécifiques, leurs compétences et celles de leurs collaborateurs.2017 : Création d’UNICEM entreprises engagéesAprès plusieurs décennies d’actions engagées et déployées sur le terrain, c’est de la volonté de rassembler les différents acteurs des industries de carrières et matériaux de construction qu’est née UNICEM entreprises engagées.Afin de faciliter et favoriser l’intégration de la RSE dans la stratégie et les pratiques des acteurs de la filière, UNICEM entreprises engagées lance la Charte RSE à destination de ses adhérents, un référentiel solide, évalué par des organismes tiers indépendants. Déployée dans un premier temps au sein des entreprises productrices de béton prêt à l’emploi, la Charte RSE est étendue à l’activité extractive en 2018.UNICEM entreprises engagées partenaire de la Plateforme RSE En 2018, l’UNICEM est retenue par les instances publiques pour participer à une expérimentation nationale pilotée par la Plateforme RSE (organisme gouvernemental directement rattaché au premier ministre) sur les labels sectoriels RSE. Le référentiel RSE porté par UNICEM entreprises engagées a su répondre aux préconisations de la plateforme et contribue à la reconnaissance de la filière comme un acteur engagé en faveur de la RSE.2021 : Label RSE et CAP Environnement, les nouvelles signatures des engagements de la professionL’association UNICEM entreprises engagées se dote d’une charte d’engagement et formalise ainsi la vision et les valeurs communes à l’ensemble de ses adhérents, ainsi que les objectifs qu’ils poursuivent. En parallèle, le nom des démarches évolue. La Charte environnement des industries de carrières devient Cap environnement et la charte RSE prend le nom de Label RSE.CAP Environnement signe les engagements de la professionCap environnement, la démarche de progrès des industries de carrières, repose sur un référentiel environnemental appliqué site par site par les adhérents de l’association, avec l’intervention d’un auditeur conseil externe.Ce cadre rigoureux mis en place afin d’allier au mieux développement économique et respect de l’écosystème tout en favorisant une écoute mutuelle et constructive avec les acteurs locaux a permis des progrès considérables au sein de la profession : meilleure maîtrise et réduction des impacts, valorisation de la biodiversité, réaménagements et amélioration de sites, développement de l’économie circulaire, renforcement de la concertation…Evalués par des organismes tiers, plus de 600 sites de carrières sont, à ce jour, engagés dans la démarche Cap environnement.Nombre de sites engagés dans la démarche Cap environnement (avril 2022)635 sites / 262 entreprises50% de la production de l'UNPGLe Label RSE : une reconnaissance pour la professionL’engagement des entreprises dans la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) correspond à une attente renforcée par la crise sanitaire. Appelant les entreprises, quelle que soit leur taille, à plus de résilience, la RSE devient un réel gage de performance qui doit être promu par des démarches sectorielles et volontaires.Les entreprises qui s’engagent dans cette démarche réalisent d’abord une auto-évaluation de leurs pratiques et de leurs performances suivant les 35 items du référentiel. Elles font ensuite l’objet d’une évaluation plus poussée effectuée sur site par un organisme tiers indépendant (OTI), sur l’ensemble des grandes thématiques du label :GouvernanceCapital humainEnvironnementClients consommateurs fournisseursAncrage localUn comité d’évaluation associant des parties prenantes externes valide le niveau attribué par l’OTI.À ce jour plus de 1000 sites sont engagés dans la démarche du label RSE de l’UNICEM.Nombre de sites engagés dans le label RSE (avril 2022)Béton Prêt à l’Emploi : 685 sites, 47% de la production du SNBPECarrières et Recyclage d’inertes : 406 sites / 28% de la production de l’UNPG Les facteurs de réussiteOutils, formations et accompagnementAfin d’encourager et aider les entreprises à s’investir toujours plus dans ses démarches, UNICEM entreprises engagées a développé une forte culture de l’accompagnement par la mise en place de nombreuses méthodes et outils :Publication de guides pédagogiques accessibles via un espace internet réservé aux adhérents,Organisation de sessions régionales de formation ciblées,Programmation régulière de webinaires,Déploiement en régions d’opérations pilotes d’accompagnement à la RSE.Concertation et dialogue avec les parties prenantesLe dialogue avec les parties prenantes (collectivités territoriales, associations…) est au cœur des démarches portées par UNICEM entreprises engagées. Des partenariats ont été développés dans ce sens avec notamment l’association Humanité et Biodiversité. Un comité des parties prenantes est réuni au moins une fois par an. De nombreuses initiatives locales et territoriales sont également mises en œuvre (journées portes ouvertes et découverte, sensibilisation auprès des écoles, chantiers nature solidaires).Témoignage Sandrine Bélier, Humanité et Biodiversité En tant que membre du comité des parties prenantes et du comité d’évaluation du label RSE de l’UNICEM, que pensez-vous de ce label ? « Je pense que c’est un outil très intéressant et important d’amélioration continue tant sur les aspects environnementaux que sociaux. C’est un label exigeant, sérieux et robuste. »Qu’apporte-t-il aux entreprises ? « Je pense que cela apporte de la crédibilité à l’entreprise tant vis-à-vis de ses salariés, que de ses clients mais aussi vis-à-vis des acteurs du territoire où elle est implantée. Par cet engagement, elle peut participer à créer de la valeur éthique. »Quel est votre rôle en tant que partie prenante ? « J’ai été, au nom d’« Humanité et Biodiversité » associée à toutes les étapes d’élaboration de ce label, dès sa création et nos propositions pour faire évoluer le référentiel d’évaluation ont été prises en compte et intégrées. Je participe, avec exigence, au processus d’évaluation des entreprises candidates au label RSE de l’UNICEM et veille au sérieux et à la réalité des démarches engagées par ces entreprises. »Et demain ? Perspectives et objectifs pour les années à venirPour Louis Natter, président UNICEM entreprises engagées : « En 30 ans, nous avons démontré notre capacité à répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sociétaux liés à nos activités. Nous l’avons fait progressivement et collectivement, en accueillant au sein de l’association des entreprises toujours unies par cette volonté d’améliorer constamment leurs pratiques. L’avenir nous invite à poursuivre nos efforts et à renforcer nos ambitions. Si les attentes de nos parties prenantes, notamment celles de nos clients, nous confortent dans cet élan, la complexité des obligations réglementaires et normatives auxquelles nous devrons tous répondre demain ne nous facilitera pas la tâche. Les évolutions en matière d’information extra-financière et de transparence illustrent bien ce point. Nous porterons donc une attention toute particulière à l’accompagnement des entreprises de toutes tailles, en particulier des PME, en les aidant à anticiper ces changements. Immanquablement, nous ajusterons nos référentiels et nos programmes de formations ; nous veillerons aussi à établir, dès que possible, un maximum d’équivalence entre nos démarches et les systèmes d’évaluation RSE, publics ou privés, toujours plus nombreux et exigeants. Et surtout, nous nous mobiliserons pour que ce label, qui valide toutes les conditions requises, obtienne la reconnaissance qu’il mérite. En particulier, après avoir participé aux expérimentations conduites par la Plateforme RSE, nous sommes impatients de voir ce label sectoriel reconnu - enfin ! - par les pouvoirs publics. »Fédérer et élargir le cercle des entreprises engagéesUNICEM entreprises engagées (UEE) entend, dans les années à venir, fédérer davantage de PME et d’entreprises familiales dans ses actions et élargir la typologie des activités concernées.Dans cet objectif, elle développe différents outils et met en place des opérations d’accompagnement. Elle a ainsi publié, en 2020, un guide méthodologique à destination des PME afin de faciliter leur engagement dans la RSE et va, prochainement, éditer un recueil des bonnes pratiques RSE et proposer, sous forme de quiz, une approche pédagogique de sensibilisation à la RSE.S’investissant aussi sur le terrain, UNICEM entreprises engagées a lancé en 2021 une opération d’accompagnement dans six régions. Depuis le début de l’année 2022, une cinquantaine de nouveaux sites issus de PME et d’entreprises familiales ont ainsi rejoint la démarche. Ces dernières représentent à ce jour près de 70% des entreprises adhérentes au label RSE.L’association entend également élargir la typologie des activités qu’elle représente. Aujourd’hui, peuvent s’engager dans le label RSE les industries extractives, les plateformes de recyclage de déchets inertes et unités de production de béton prêt à l’emploi. Les récentes évolutions apportées au référentiel le rende désormais applicable à l’activité « roches ornementales » et les premiers granitiers vont rejoindre, prochainement, la démarche.UNICEM entreprises engagées reste prête à accompagner toute autre activité de la filière minérale afin de faciliter son engagement dans le label RSE.Quelques témoignages Stephan HELMBACHER, PDG des Sablières et ballastières Helmbacher Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Après plus de 10 ans d’engagement dans la Charte Environnement, nous avons souhaité nous remettre en question et nous réinventer à travers le label RSE qui présentait une vision plus large de nos responsabilités. »Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « En interne, les premiers résultats sont la belle capacité à mobiliser une équipe. Plus globalement, la démarche nous permet de gagner en crédibilité et en respectabilité auprès de nos parties prenantes. »Pierre-Yves BEAULIEU, Directeur, Carrières et Béton B. BRONZO Pourquoi vous êtes-vous engagés dans le label RSE ? « Étant engagé dans la démarche de la Charte Environnement depuis le début en 1992, l’engagement dans le label RSE est pour nous un prolongement. Tous les items de la démarche font déjà parti de notre quotidien. » Quels sont les résultats / bénéfices de cette labellisation ? « Je reste convaincu qu’à moyen terme cela fera la différence en termes d’embauche, de pérennité des emplois et de regard de nos parties prenantes, collectivités locales, riverains, fournisseurs. Nos relations seront plus sereines et plus durables tout en montrant que notre profession est sincèrement Responsable. »Encourager l’engagement des PME-TPE dans la démarche RSETrès souvent le manque de temps et de moyens se révèlent un frein pour les PME-TPE dans le déploiement de la RSE. Partant de ce constat et de leurs observations, UNICEM entreprises engagées souhaite que les pouvoirs publics apportent un soutien au développement de la RSE dans les PME en :Finançant en partie l’accompagnement d’un expert pour réaliser un état des lieux, construire un plan d’action puis le mettre en œuvre,Facilitant l’accès aux dispositifs d’aides publiques octroyées par certaines régions (comme celle des Pays de la Loire* ) aux entreprises qui s’engagent dans un label RSE,Encourageant la création d’un prêt RSE aux conditions avantageuses (taux d’intérêt inférieurs ou sans garantie) à l’image du prêt vert financé par BPI France et l’ADEME pour les TPE-PME* Sous réserve d’éligibilité, la Région peut cofinancer cet accompagnement, par le biais d’une subvention de 50% maximum du montant hors taxes (H.T.) des coûts de l’étude, et ceci dans une limite de 15.000 €. Plus d’informations à cette adresse.Accélérer la reconnaissance du label RSEUNICEM entreprises engagées plaide pour une reconnaissance par les pouvoirs publics des labels sectoriels répondant aux préconisations formulées dans les rapports publiés suite à la loi PACTE et demande la mise en place d’une charte publique qui servira de cadre à la reconnaissance de ces labels.En complément, UNICEM entreprises engagées souhaite que les entreprises labellisées RSE soient dispensées de répondre aux questionnaires des donneurs d’ordre sur les aspects RSE. SNCF Réseau s’est montrée pionnière en la matière : les prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation.Le label RSE de l’UNICEM reconnu par SNCF RéseauPour Bérangère GALLAND, Chef du Département RSE & Communication DGFA - DIRECTION DES ACHATS SNCF RESEAU : « L’évaluation réalisée dans le cadre du label RSE UNICEM entreprises engagées par un organisme tiers indépendant permet de répondre à l’obligation de diagnostic des performances RSE demandée par SNCF Réseau à ses fournisseurs. Ainsi, nos prestataires de matériaux bénéficiant du Label RSE UNICEM peuvent se prévaloir de ce référentiel sans avoir à passer par un autre mode d’évaluation. »UNICEM entreprises engagées demande, depuis plusieurs années, que la commande publique soit un véritable levier pour encourager la RSE. Pour répondre à cet enjeu, l’UNICEM propose que l’État et les collectivités territoriales soient encouragés à recourir aux entreprises labellisées RSE.En parallèle, le débat doit être réengagé sur les règles européennes des marchés publics, afin d’autoriser les donneurs d’ordre à valoriser les prestataires labellisés RSE.Enfin, pour aller plus loin, UNICEM entreprises engagées propose, aussi, que les entreprises labellisées RSE puissent bénéficier :D’une bonification des aides publiques relatives à l’innovation, la transition écologique, la décarbonation ;De garanties publiques permettant de limiter les cautions à fournir vis à vis des banques et assurances ;D’un allègement du montant des garanties financières au titre de la remise en état (carrières, installations de traitement des déchets) ;De taux privilégiés auprès des banques et des assurances.
Il y a 3 ans et 19 jours

Ingérop acquiert Acterra, un cabinet précurseur dans le domaine du changement climatique

Cette acquisition répond à la volonté d’Ingérop de renforcer son offre d’ingénierie et de conseil par des expertises pointues et d’amplifier son action dans toutes ses activités en faveur de la transition écologique, axe prioritaire de sa stratégie d’entreprise « Vision 2025 ».Acterra, précurseur de l’adaptation et de la résilience au changement climatiqueDepuis plus de 15 ans, Acterra accompagne ses clients à chaque étape de leur action : apport d’expertise dans les phases de diagnostic des impacts du changement climatique, définition de stratégies et de programmes d’actions, accompagnement du changement et assistance à la maîtrise d’ouvrage, réformes institutionnelles et organisationnelles, suivi et évaluation de politiques et projets, accès à la finance climat, recherche & innovation. Le cabinet intervient auprès de bailleurs de fonds (AFD, GIZ, FFEM, Banque Mondiale, etc.), d’organisations internationales (PNUE, PNUD, FAO, Green Climate Fund), de gouvernements et d’agences nationales (ADEME, Agences de l’Eau, OFB, Ministères de l’Ecologie), de collectivités locales (Métropole Aix-Marseille, Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise) et d’entreprises privées.Basé à Marseille, le cabinet Acterra emploie 8 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 1,2 million d’euros, en progression constante depuis sa création.Un rapprochement synonyme de synergie, de complémentarité et d’engagementTout en restant une entité indépendante, pilotée par son dirigeant actuel, Stéphane Simonet, Acterra rejoindra Ingérop Méditerranée, dont le siège est également basé à Marseille, faisant jouer de ce fait pleinement la synergie et la complémentarité des équipes.L’expertise de l’entreprise viendra naturellement irriguer l’ensemble des projets portés par Ingérop dans ses différentes missions et activités (bâtiment, eau, énergie, industrie, infrastructures & mobilité, transport, ville) et permettra ainsi à Acterra d’élargir son champ d’action. En effet, la capacité d’adaptation et de résilience au changement climatique est un enjeu primordial aujourd’hui, quel que soit le projet - public ou privé, son échelle - locale à internationale, ou la nature de la mission confiée.Enfin, Acterra renforcera le savoir-faire d’Ingérop en matière de recherche et de développement de services climatiques, comme de formation, pour renforcer l’expertise de l’ensemble des collaborateurs et clients du groupe.« Je me réjouis de ce rapprochement avec le cabinet Acterra, qui s’inscrit parfaitement dans notre vision stratégique 2025. En effet, les enjeux liés au changement climatique sont aujourd’hui au cœur des préoccupations de tous nos clients et des projets que nous portons. L’expertise des équipes d’Acterra et la reconnaissance de leur savoir-faire au niveau international sont pour nous de véritables atouts pour l’avenir. », précise Yves Metz, président d’Ingérop.Pour Stéphane Simonet, dirigeant du Cabinet Acterra: « Acterra a connu ces dernières années une croissance importante de ses activités en France comme à l’international. Le rapprochement avec Ingérop va nous permettre de poursuivre ce développement et d’enrichir notre gamme de services et de solutions grâce aux synergies créées avec les différentes entités du groupe. Il s’agit donc pour nous de la bonne décision, au regard de l’urgence climatique et des besoins en constante évolution de nos clients, et du bon partenaire, dont la stratégie, les valeurs et le modèle de gouvernance s’inscrivent pleinement dans notre vision entrepreneuriale. »
Il y a 3 ans et 19 jours

Lhyfe annonce l’approbation du document d’enregistrement par l’Autorité des marchés financiers dans le cadre de son projet d’introduction en Bourse sur le marché réglementé d’Euronext à Paris

Une ambition : devenir un leader européen de la production d’hydrogène vert Un pure player français indépendant de la production d’hydrogène vert issue d’énergies renouvelables Un site industriel en France déjà opérationnel : 1ère unité au monde en connexion directeavec des éoliennes produisant de l’hydrogène vert destiné à la mobilité Une capacité démontrée à remporter des projets de premier plan à […]
Il y a 3 ans et 19 jours

Isolation biosourcée : levée de fonds pour Gramitherm

Le fabricant de panneaux isolants à base d'herbe de prairie annonce un tour de table et un nouvel actionnaire de référence.
Il y a 3 ans et 20 jours

Comment stocker vos marchandises et entreposer vos machines ?

Le désordre peut s’installer très vite lorsqu’on ne prête pas attention aux systèmes de stockage des marchandises dans une entreprise. En effet, le flux des produits à vendre mélangé avec les stocks ainsi que les machines de production vont devenir ingérables si on ne choisit pas une méthode qui s’adapte à nos produits. L’espace de stockage doit être facile d’accès et bien organisé pour pouvoir optimiser au maximum son exploitation. Quels sont donc les méthodes de stockage de marchandises et les systèmes utilisés pour entreposer les machines ? Les différents types de méthodes pour stocker les marchandises Un espace se doit d’être bien organisé pour que son exploitation soit pratique et opérationnelle. Pour y arriver, il faut prendre en compte la nature des produits, leur importance et leurs caractéristiques. –      La méthode de stockage ABC Il s’agit d’une technique de gestion de stock qui va mettre de l’ordre dans un entrepôt par l’intermédiaire du classement des produits par leur degré d’importance. Ainsi, les marchandises seront catégorisées en 3 classes à savoir A, B et C. Les marchandises qui sont dans la classe A sont celles qui ont le plus de valeur, pendant que la classe B renferme la valeur moyenne et la classe C celles de moindre valeur. Pour que la chaîne logistique soit efficace, il faut que la méthode de stockage suive certaines règles. Entre autres, les marchandises dans la classe A, les plus demandées doivent être placées dans les rayons qui sont au milieu de l’entrepôt. Celles qui sont dans la classe B ou C peuvent être sur le côté ou en arrière-plan. Par la suite, les produits les plus importants doivent être placés le plus proche des entrées et des sorties. Ceci va permettre de diminuer les va-et-vient et va améliorer le flux de marchandises. –      Les méthodes de stockage LIFO et FIFO Notons que l’acronyme FIFO signifie First In First Out. Ce qui veut dire « premier entré, premier sorti ». Le principe est de gérer le système de rayonnage de telle sorte que les marchandises arrivent d’un côté et sont prélevées de l’autre côté des rayons. Il s’agit donc d’une méthode qui respecte l’ordre d’arrivée des produits. Ce qui rend ce système idéal pour gérer les produits comestibles. Pour avoir plus de rapidité, il est possible d’avoir une manutention en double accès c’est-à-dire que l’accès aux produits peut s’effectuer des deux côtés du rayon, à savoir l’entrée et la sortie. Quant au système LIFO, le principe est tout le contraire de FIFO. Notons d’abord que LIFO veut dire Last In, First Out. Ainsi, les derniers arrivés sont les premiers à sortir. Ce système est adapté pour les produits qui ne périssent pas et qui n’ont pas de date de limite de consommation. Il va permettre de limiter l’empilement des marchandises. Les différents types de rayonnages dans les bâtiments de stockage Le système de stockage par l’intermédiaire des rayonnages permet d’optimiser l’espace et d’exploiter chaque mètre carré disponible. Cependant, il existe plusieurs types de rayonnages en fonction des dimensions et des rotations des produits. Le système est également choisi en fonction du type de bâtiment, si il est démontable comme les tentes industrielles ou un bâtiment en dur équipé logistiquement. Ainsi, pour un stockage industriel, le choix va se faire entre le système à accès direct et le système compact en prenant en compte le nombre de références avec la quantité de produits pour chaque référence et la fréquence du flux. –      Le système de rayonnage à accès direct Les rayonnages à accès direct bénéficient d’un accès facile car les produits de base ou les produits récupérés fréquemment sont placés dans les allées de travail. Sauf que, ce système va rapidement encombrer les rayons principaux en cas d’une gestion de stock non maitrisée. Par ailleurs, ce type de système comprend trois catégories de rayonnages. –      Le rack à palettes qui peut être à simple ou à double profondeur : il s’agit d’un système de stockage pratique que ce soit pour un entrepôt de petite, de moyenne ou de grande taille. En effet, les racks à palettes peuvent s’adapter à n’importe quelle charge et à n’importe quel volume de produits. –      Le rayonnage qui est sur des bases mobiles : la mobilité est acquise par l’intermédiaire des rails. Aussi, les rayons sont équipés de moteurs avec un dispositif de contrôle pour sécuriser le déplacement des racks. Ce système est surtout employé dans les entrepôts frigorifiques. –      Les rayonnages cantilever: il s’agit du système utilisé pour stocker les machines industrielles dans les grands bâtiments de stockage. En fait, les rayons sont composés de colonnes où des bras en porte à faux facilement emboitables se fixent pour pouvoir supporter le poids des charges importantes. Ces derniers vont permettre aux rayons d’accueillir des tuyaux, des profilés en métal ou des machines surdimensionnés. Ce système est utilisé par les entreprises dans le secteur de l’automobile ou dans la fabrication des machines industrielles et des pièces détachées. –      Le système de rayonnage compact Ce système de stockage va permettre de disposer d’une plus grande capacité de stockage par rapport au système à accès direct. Ainsi, on peut distinguer le rayonnage drive-in ou drive-through qui consiste à introduire une allée dans les rayonnages pour permettre aux chariots élévateurs de déposer les charges. Ces allées comportent des rails pour faciliter le va-et-vient des machines. Ensuite, il y a les rayonnages push-back qui consistent à incliner légèrement les canaux de stockage pour que le retrait des palettes se fasse par la gravité. En effet, la partie en avant est construite avec une hauteur plus faible. D’autre part, le rayonnage avec le système Pallet Shuttle assure le chargement et le déchargement des palettes avec une navette motorisée. D’un autre côté, le rayonnage dynamique se caractérise par des canaux à rouleaux qui sont légèrement inclinés pour faciliter le déplacement des palettes. Même si celui-ci se fait suivant la gravité, la vitesse peut être contrôlée. Enfin, il est possible d’automatiser les différents types de rayonnages par l’intermédiaire des transstockeurs. Il s’agit d’utiliser des navettes de transfert placées à chaque niveau de rayon pour augmenter la fréquence du flux des marchandises.
Il y a 3 ans et 21 jours

Architecture en bois et nature pour le siège social d’ASI Reisen

L’entreprise ASI Reisen (Alpin-Schule Innsbruck), spécialiste des vacances écologiques actives et des voyages d’aventures, propose à ses clients un programme alternatif à mille lieues de l’« overtourisme » et de l’industrie des croisières. Afin de communiquer ces valeurs même à l’extérieur, le cabinet international d’architectes Snøhetta a conçu un bâtiment en bois original pour le siège social de l’entreprise à Natters. ASI Reisen s’est installé dans un coin tranquille au beau milieu de la forêt et des champs, littéralement bien nommé « Au calme ». L’intérieur du bâtiment prolonge cette tranquillité promise. Les concepteurs ont habillé les plafonds avec des panneaux acoustiques Ligno® Acoustique light. Les espaces « open office » généreux sont ainsi préservés du bruit et du stress. Le profil irrégulier « nature » des panneaux ennoblit l’espace intérieur avec une surface de lattes esthétique en sapin blanc clair. Les fenêtres généreuses offrent une vue imprenable sur la forêt et les montagnes du Tyrol. Les clients et les visiteurs sont accueillis dans le Base Camp, un hall d’entrée représentatif sur deux étages. La partie centrale de la zone de bureaux s’élève sur plusieurs étages à travers des galeries ouvertes. Elle comprend des espaces de travail individuels, des niches de réunions, une pièce de repos et une cafétéria. Son intérieur à la conception essentiellement ouverte offre au bâtiment une grande flexibilité aux besoins futurs. La façade en bois utilise une méthode de finition issue du Japon. La technique Shou Sugi Ban (Yakisugi) conserve le bois grâce à la carbonisation. Le bois clair des espaces intérieurs forme ainsi un contraste élégant avec la façade sombre. Photo : Lignotrend Maître d’ouvrage : ASI Reisen – Alpinschule Innsbruck GmbH Maîtrise d’œuvre : Cabinet d’architectes Snøhetta, Osl
Il y a 3 ans et 22 jours

Journée de la Terre : selon une nouvelle étude, 1 Français sur 5 est climatosceptique

Dans le même temps, l’environnement, supposé être l’une des préoccupations majeures des Français (sondage Elabe), n’a été que peu abordé dans le cadre des débats à la Présidentielle. Si certains experts évoquent une forme de déni collectif sur le sujet, d’autres une méconnaissance persistante ou encore un enjeu tellement intériorisé qu’il ne représenterait plus véritablement une bataille à mener, qu’en est-il réellement ? L’urgence climatique est-elle perçue comme telle par les Français ? Sont-ils prêts à changer ou pensent-ils qu’il est simplement trop tard et qu’il faudra « faire avec » ? Décryptage de l’étude OpinionWay réalisée pour PrimesEnergie.fr, principal financeur privé de la transition énergétique.« Nous entendons régulièrement une petite musique qui nous raconte que l’enjeu climatique est désormais intégré par le plus grand nombre, les résultats de l’étude nous montrent que ce n’est pas tout à fait vrai. Non seulement 1 Français sur 5 ne croit pas au réchauffement climatique, mais parmi les autres, la moitié ne semble pas prendre la mesure du défi qui nous attend », constate Nicolas Moulin, fondateur de PrimesEnergie.fr.« Une part significative des répondants ne fait pas de lien direct entre le dérèglement climatique et les thématiques sociales et pourtant, les périodes de sècheresse de plus en plus intense en France et dans le monde, comme actuellement dans l'Ouest des Etats-Unis, vont avoir des conséquences directes sur la production alimentaire et donc générer ou renforcer une inflation préexistante. Opposer la lutte pour le climat aux enjeux sociaux est un contresens total, le niveau de réchauffement sur lequel nous pouvons agir aujourd’hui va totalement conditionner l’ensemble des autres sujets jugés plus prioritaires par la majorité des Français ».1 Français sur 5 est climatosceptique21% des Français sont climatosceptiques avec des différences très sensibles selon la région et l’âge.Les habitants du Sud-Est, particulièrement confrontés à des phénomènes météorologiques extrêmes ne sont « que » 18% à ne pas croire au réchauffement climatique. Une proportion qui monte à 26% soit plus d’1 Français sur 4 dans le Nord-Ouest du pays.Les plus climatosceptiques (25%) vivent dans des communes de 2 000 à 20 000 habitants contre 20% dans les zones rurales et 18% en région parisienne. Le critère de l’âge est le plus déterminant avec des écarts de 15 points entre les plus climatosceptiques (29% des 35-49 ans) et les moins climatosceptiques (14% des + de 65 ans). En revanche pas de différence significative entre les femmes et les hommes (respectivement 21% et 20%).Conflit générationnel ?Si une majorité de Français (79%) ne doutent pas du réchauffement du climat, ils sont toutefois 63% à considérer qu’il y a des sujets plus prioritaires (emploi, sécurité, pouvoir d’achat, santé). A nouveau, le critère le plus déterminant pour observer des différences de perception est générationnel avec 71% des 35-49 ans qui considèrent que d’autres sujets sont prioritaires contre 52% des 18-25 ans, soit près de 20 points d’écart.Lutter pour le climat… sans changer nos modes de vie ?Par ailleurs, 75% considèrent qu’il est possible de concilier lutte pour le climat, croissance économique et mode de vie des pays développés en réalisant des économies d’énergie. A nouveau, les 35-49 ans sont les plus enclins à penser cela possible (81% contre 70% chez 25-34 ans et chez les 50 – 64 ans).Dans le même temps, près de la moitié des Français (47% des personnes interrogées) pensent qu’il est trop tard pour inverser le cours du réchauffement climatique et même 57% pour les 35-49 ans.A contrario, 44% des jeunes de 18 à 24 ans et seulement 39% des + de 65 ans pensent qu’il est trop tard. Les plus jeunes et les plus anciens se rejoignent dans une forme d’optimisme.Méthodologie : étude et analyse réalisée au 1er trimestre 2022 par OpinionWay auprès d’un échantillon de 1022 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Il y a 3 ans et 22 jours

Présidentielles : qui est le plus eco-responsable ?

En chiffrant le poids carbone de chaque mesure, elle fait apparaître l’influence déterminante du choix pro-nucléaire des candidats, et les lacunes de Marine Le Pen dans les autres domaines. Son choix de privilégier le pouvoir d’achat n'intègre pas l’impératif de décarbonation.En matière d’énergie nucléaire, les deux candidats font le choix de nouveaux réacteurs pour accélérer la décarbonation, avec un léger avantage pour Marine Le Pen: le programme d'Emmanuel Macron prévoit 6 nouveaux réacteurs pour économiser 32 Mt CO2 éq par an, soit de 7% de l’empreinte totale de la France, contre 10 nouveaux réacteurs pour Marine Le Pen, et une économie potentielle 54 Mt CO2 éq par an, soit 12% de l’empreinte nationale annuelle une fois les centrales actives.En matière de renouvelables, Marine Le Pen recule sur les éoliennes, avec un excès potentiel de 6 Mt CO2 éq de plus par an, soit 1,5% de l’empreinte nationale annuelle, alors qu'Emmanuel Macron propose de poursuivre leur développement.En matière d’énergies fossiles, Emmanuel Macron propose la fin du charbon, pour une économie potentielle de 14 Mt CO2 éq par an, ce qui représente 3,2% de l’empreinte nationale annuelle. Marine Le Pen ne s’engage pas.Pour décarboner l’industrie, Emmanuel Macron propose un investissement de plus de 5 milliards d’euros, qui ferait économiser 5 Mt CO2 éq, soit 1,1% de l’empreinte carbone annuelle. Mme Le Pen ne se prononce pas sur le sujet.Pour réduire les émissions des transports, Emmanuel Macron et Marine Le Pen souhaitent développer les technologies hydrogène. Cette dernière propose de remonter la limite de vitesse à 90 km/h, ce qui engendrerait des émissions estimées à 0,4 Mt CO2 éq, soit 0,1% de l’empreinte carbone annuelle de la France.En matière de logement, les deux programmes manquent de précision pour bien chiffrer l’impact, même si Emmanuel Macron avance plus d'objectifs sur la rénovation des logements, et que Marine Le Pen évoque simplement un prêt d’aide à la rénovation.Pour Alexis Normand, CEO de Greenly : "La campagne présidentielle est encore une occasion manquée de sensibiliser les Français aux enjeux climatiques qui assombrissent pourtant leur avenir. Dans son sixième rapport paru le 4 avril 2022, le GIEC a présenté une feuille de route complète des actions à mettre en œuvre dès à présent, pour limiter efficacement le réchauffement à 1.5° degrés."Malgré la clarté des propositions et l’urgence, les discussions sur le climat n’ont représenté que 2,7% du temps de parole des candidats. Stratégie délibérée ou faible niveau de conscience, les candidats n’ont pas souhaité utiliser ce temps de débat privilégié pour sensibiliser leurs électeurs. Il ne reste que peu d’études qui ont tenté d’évaluer l’impact climatique des propositions des candidats.Pour Alexis Normand, CEO de Greenly : "Les experts climats de Greenly ont souhaité pallier ce manque d’information en chiffrant les propositions des candidats du second tour. L’étude mesure l’impact des propositions des candidats par secteur, au regard de la trajectoire sectorielle prescrites par GIEC et des recommandations."Le GIEC évoque une fenêtre de tir de trois ans pour agir avant que l’objectif des 1.5° devienne inatteignable. Les programmes des candidats sont-ils de taille pour affronter le problème majeur de ce siècle ?MéthodologieCet exercice de chiffrage s’est concentré sur les propositions les plus précises, en donnant des ordres de grandeur étayés par des hypothèses scientifiques, sur l’impact estimé pour chacun des secteurs les plus émissifs : Énergie, Industrie, Transports, Construction/Logements.
Il y a 3 ans et 22 jours

Seigneurie veut aller plus vite sur le verdissement de ses peintures et l'ITE

STRATÉGIE. La marque Seigneurie, du groupe PPG, vient de présenter son plan de responsabilité sociale et environnementale (RSE). Il prévoit vingt-trois actions dans les domaines de l'environnement, l'humain et la santé.
Il y a 3 ans et 22 jours

Hydrogène vert : 10 milliards d’euros de retombées économiques en France d’ici à 2030 pour les fabricants de matériel électrique

Avec l’étude de marché du GIMELEC, le syndicat professionnel de la filière électronumérique, publiée le 14 avril, Le potentiel économique colossal que l’hydrogène décarboné représente en France est maintenant connu, évalué jusqu’à 10 milliards d’euros cumulés d’ici 2030 pour les fabricants de matériel électrique et d’automatismes, dont une grande partie de PME et d’ETI.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « L’hydrogène est déjà massivement utilisé dans l’industrie sous sa forme dite grise, c’est-à-dire produite à partir d’énergies fossiles. Il y a aujourd’hui un véritable regain d’intérêt pour le substituer par sa forme verte, ou décarbonée, conséquence collatérale de l’explosion du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. On entend beaucoup parler de l’hydrogène pour son usage dans les transports, des voitures aux trains en passant par l’aviation légère. L’étude du GIMELEC montre quant à elle que la performance environnementale et énergétique de l’hydrogène se joue surtout et d’abord dans l’industrie. C’est là, à court terme, dans les usines sidérurgiques, chimiques et de raffinage qu’il permet le plus fort gain en termes de décarbonation. On parle de 11 millions de tonnes de CO2 pouvant être évitées chaque année soit 15% des émissions de l’industrie. » Plusieurs Gigafactories d’électrolyseurs s’apprêtent à sortir de terre en France : Aspach (2022), Béziers (2023), Belfort (2024), et Vendôme (2025). Elles devront répondre aux besoins qui vont exploser d’ici 2030. L’étude du GIMELEC confirme le potentiel d’environ 6,5 GW d’électrolyseurs à installer d’ici 2030 en France, puis 18 GW sur la décennie suivante. Ces potentiels, ventilés sur les sept principales régions industrielles du pays, font ressortir le défi de construction des infrastructures nécessaires. Ce potentiel devrait être repris dans la prochaine Stratégie Nationale Bas Carbone afin que la France se mobilise pour la décarbonation de son industrie puis la promotion des alternatives de mobilité propre, en complément de l’électrification directe. La réussite de la stratégie hydrogène de la France dépendra en grande partie de la mobilisation des acteurs industriels, constructeurs de matériel électrique et d’infrastructures, pour coordonner leurs efforts et répondre ainsi à la croissance exponentielle de ce marché. Cela est d’autant plus nécessaire que la concurrence internationale se met en place, notamment dans les pays asiatiques.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « Oui, nous identifions un potentiel en forte croissance atteignant, dès 2030, 3 milliards d’euros par an de retombées économiques pour les fabricants de matériel électrique en France. Oui, il y aura des recrutements massifs, en particulier dans les territoires où se concentreront les efforts de développement de l’hydrogène, en Méditerranée et dans la Vallée de la Seine, mais aussi partout sur le territoire national et européen, notamment dans les usines de composants électrotechniques qui sont à la base de ces nouvelles infrastructures énergétiques. Mais il faut pour cela que tout l’écosystème industriel travaille de concert. C’est tout l’objet du groupe hydrogène constitué par le GIMELEC à l’issue de son étude : fédérer les offreurs de technologies au service du développement des capacités industrielles et de la compétitivité de ce secteur. »
Il y a 3 ans et 22 jours

Rencontre de l'aluminium Technal, du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes les pièces de l’habitation. Une collaboration père/fils en toute confiance, qui a permis de réaliser des ouvertures en aluminium TECHNAL à la fois architecturales, épurées et aux détails complexes : baies coulissantes XXL ou à galandage double, fenêtres et portes sur pivot désaxé...Ce projet minimaliste, qui fait l’éloge du minéral et du végétal, a reçu le Prix HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELS lors du dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre 2021. La couleur gris métal givré TECHNAL des menuiseries aluminium rappelle celle du bois de l’enveloppe.Ouvertures architecturales du rez-de-chausséeLes occupants entrent sous un volume en bois, porté par deux murs monolithiques en béton. Cette séquence est mise en valeur par une porte d’entrée SOLEAL sur pivot désaxé (L. 1,4 x H. 2,6 m), qui offre une emprise visuelle minimale sur ces deux murs. Les occupants semblent glisser dans la maison à travers cette ouverture !Dans toute sa largeur, le salon s'ouvre sur le jardin au travers d’une baie coulissante LUMEAL qui s’étire sur 15 m (6 vantaux). Son orientation plein Sud maximise les apports de lumière. À ouvrant caché, elle est naturellement anti-effraction. Un gage de sécurité optimal ! Des brise-soleil en bois créent de l’ombre et participent au contrôle de la chaleur.Ouvertures architecturales à l'étageEn empruntant l'escalier, une diagonale visuelle se dessine au travers d'une grande fenêtre carrée SOLEAL 65 (L. 1,9 x H. 1,9 m). Une fois à l'étage, cette ouverture originale sur pivot offre un cadrage intimiste sur la falaise.Une large circulation, baignée d'une lumière zénithale, accueille bureaux et rangements. Elle dessert les trois chambres des enfants, ouvertes sur l’extérieur grâce à des coulissants à galandage double SOLEAL. Ces baies spécifiques permettent de créer à la fois une ouverture et un système d’occultation à l’intérieur. Leur retrait d’un mètre, par rapport à la façade, protège des rayons du soleil et facilite l’intégration de rangements dans l’épaisseur du mur.
Il y a 3 ans et 22 jours

Fundo Ligno et Fundo RioLigno, deux receveurs Wedi pour intégration en plancher bois

Comme tous les produits wedi, le Fundo Ligno et le Fundo RioLigno sont 100% étanches, fiables, testés et certifiés. En tant qu’expert de l’étanchéité, wedi ne fait aucune différence technique entre l’installation d’un receveur sur béton ou sur un plancher bois et propose deux produits dédiés zéro ressaut !La construction bois est actuellement favorisée par un cadre réglementaire, la RE2020, qui vise à diminuer l’impact carbone des bâtiments tout en poursuivant l’amélioration de leur performance énergétique. Pourtant, il est complexe de faire viser auprès du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et des assureurs, des systèmes de douches sur supports bois, alors que dans le même temps, les majors de la construction intègrent de plus en plus le bois dans leurs projets.Pour répondre à ces évolutions réglementaires et à ce besoin, les industriels doivent à la fois bien sûr, développer des solutions adaptées mais aussi tenter d’apporter des garanties. C’est le cas de wedi dont tous les produits sont compatibles sur supports béton ou bois.En développant deux solutions spéciales bois, le constructeur a la volonté de contrer les idées reçues sur ce matériau, de valoriser l’installation de douches en et sur structures en bois et d’accompagner les professionnels du secteur en apportant son expertise et ses garanties propres.Le contexte règlementaireLe bois est fortement plébiscité sur le marché de la construction. Au-delà de ses vertus esthétiques qui rappellent la nature, le bois est un matériau biosourcé reconnu pour son empreinte carbone extrêmement performante.L’utilisation du bois est en pleine croissance dans la construction de bâtiments publics et de logements individuels puisqu’il confère un excellent bilan carbone. D’ailleurs, des majors du bâtiment prennent en compte la pertinence de ce matériau, comme Bouygues notamment avec sa filiale WeWood qui annonce la construction de 30% de logements en bois pour 2024 dans leurs opérations.Aujourd’hui, la problématique des ouvrages en bois réside dans leur assurabilité. Le CSTB, les contrôleurs techniques et les assureurs sont assez méfiants face à l’étanchéité des salles d’eau sur support bois. Ils craignent qu’en cas de dégâts des eaux, la fuite touche la structure en bois de l’ouvrage et que les dommages deviennent alors plus graves que sur support béton.A cela s’ajoute un autre frein : la question du zéro ressaut. Depuis le 1er juillet 2021, les logements neufs doivent obligatoirement être équipés d’une douche zéro ressaut, mesure qui renforce la crainte d’une salle de bain sinistrée.Pour wedi, le zéro ressaut n’a jamais posé de problème étant donné la maitrise acquise depuis de très nombreuses années sur ces procédés, partout en Europe et en Amérique du nord. De plus, l’expertise wedi réside dans la maitrise de l’étanchéité et la fiabilité de ses systèmes garantie au minimum 10 ans.Le spécialiste de la salle de bain souhaite rassurer les profes-sionnels et installateurs de douches en proposant des systèmes complets parfaitement compatibles entre eux qui permettent de réaliser intégralement des salles de bains zéro ressaut, 100% étanches.Les majors font confiance à wedi dans le cadre de constructions bois. Ils s’appuient sur le savoir-faire de l’entreprise, l’accompagnement du responsable technique wedi et sur leurs bureaux de contrôle qui échangent avec le service technique avant de réaliser chaque projet. C’est notamment le cas du groupe Leco, spécialiste de la conception et de la construction modulaire en bois.Xavier Jaffray, Président du groupe Leco, revient sur son partenariat avec wedi : « Avoir wedi comme partenaire est essentiel pour la recherche et le développement. Avec l’accord des bureaux de contrôle, nous avons pu réaliser avec wedi plusieurs opérations sur des planchers en bois. Cela n’a été possible que parce qu’on avait pu définir ensemble un cadre de validation réglementaire des processus. La solution wedi est plus qualitative que des douches normales. En règle générale on la met en oeuvre quand on veut monter en gamme tout en répondant à des contraintes réglementaires. »Christophe Gay, Kasteliades, témoigne également de son choix des solutions wedi dans son activité, la rénovation de châteaux pour en faire des résidences de vacances haut de gamme. « Les solutions wedi sont parfaitement adaptées à nos besoins, que ce soit pour la mise en oeuvre facile ou pour la garantie d’étanchéité ! » « …dans les châteaux on retrouve souvent du parquet dans l’intégralité des pièces. On ne peut donc pas se permettre d’utiliser un joint qui ne serait pas fiable dans le temps et se retrouver face à une inondation des parquets et des étages inférieurs où se trouvent des fresques de plus de 200 ans. »Des produits wedi adaptés aux constructions en boisLes receveurs Fundo Ligno et RioLigno ont été développés pour faciliter l’intégration de receveurs dans les planchers bois, en affleurement, supprimant ainsi les travaux de réajustement.L’installateur gagne ainsi un temps considérable et doit simplement découper la zone de plancher nécessaire pour mettre en oeuvre le receveur. Par ailleurs, les deux produits sont 100% étanches ce qui leur permet de s’adapter aux planchers en bois, supports sensibles à l’humidité. Tous les receveurs wedi sont soumis à des tests d’étanchéité en usine ce qui leur confère une haute fiabilité. Ils sont également entièrement compatibles avec les produits de la gamme wedi ce qui leur confère un réel avantage.Le Fundo LignoLa gamme de receveurs de douche de plain-pied Fundo Ligno, avec écoulement classique en un point, est dédiée au montage sur plancher bois, qu’il s’agisse d’un chantier neuf ou en rénovation.Avec 20 mm d’épaisseur, il s’intègre parfaitement au plancher bois, évitant ainsi les travaux de ragréage.Garanti 100% étanche, il assure une fiabilité digne de l‘expertise wedi.Disponible en version carré et rectangulaire, il s’adapte à tous les designs.Le Fundo RioLignoComme le Fundo Ligno, le Fundo RioLigno rectangulaire avec écoulement linéaire a été conçu pour être installé sur plancher bois.Proposé sous plusieurs dimensions, le receveur mesure 25 mm de hauteur ce qui lui permet de s’intégrer facilement au plancher existant.Par ailleurs, le Fundo RioLigno est compatible avec les barrettes de finition ainsi qu’avec les profilés de pente de la gamme wedi.Filière bois : un marché complexe en FranceD’une manière générale, la construction bois est traversée par des enjeux contradictoires. D’un côté, elle est fortement encouragée par la stratégie de décarbonation engagée en réponse à la situation climatique. De l’autre, elle engendre des craintes sur le plan assurantiel.Aujourd’hui, de nouveaux acteurs sont appelés à intervenir sur le marché de la construction bois, tant au niveau du gros oeuvre que des corps d’état secondaires. Habitués aux structures en béton ou maçonnées, ils doivent acquérir une nouvelle expérience et se former à la manipulation du bois.En effet, le bois est évidemment plus sensible à l’humidité que le béton. Pour autant, les acteurs de la filière rappellent qu’en Amérique du Nord, dans les pays nordiques, le bois est depuis longtemps admis dans les constructions. Les assureurs et contrôleurs français quant à eux restent préoccupés par les coûts d’assurabilité, les pratiques de constructions bois et les questions d’étanchéité.Autant d’interrogations qui amènent à l’élaboration, la révision ou la simple adaptation des règles et référentiels susceptibles à la fois de conforter et sécuriser la construction bois.
Il y a 3 ans et 22 jours

« Un tel niveau d'inflation, c'est du jamais-vu ou presque », Jean-Claude Fayat, président du groupe Fayat

Industrie et BTP - Flambée des prix, pénuries de matériaux, rebond épidémique et guerre en Ukraine : le patron du groupe Fayat n'élude aucun sujet.
Il y a 3 ans et 22 jours

Paré pour l'été : des chemises, des polos et des pantalons de travail pour les chaleurs estivales

L'été approche à grands pas ! Dans l'artisanat, à l'atelier, sur les chantiers ou dans l'industrie, l'exigence envers ses vêtements de travail évolue soudainement dès les premières chaleurs printanières. La demande des clients s'oriente alors vers des vêtements de travail plus légers et plus respirants.
Il y a 3 ans et 22 jours

La balance connectée testo 560i destinée à la charge des installations frigorifiques et des pompes à chaleur

Le fabricant Testo commercialise une nouvelle balance connectée testo 560i pour la charge des installations frigorifiques et des pompes à chaleur. Couplée à une vanne intelligente, un manomètre électronique de la marque et/ou l'App testo Smart, cette dernière réalise l'opération automatiquement, avec précision et rapidité.
Il y a 3 ans et 22 jours

GREE optimise l'expérience de ses clients avec un nouveau site Internet

Afin de s'adapter aux évolutions numériques, GREE, le plus grand fabricant de climatiseurs au monde, présente son nouveau site internet, conçu pour mieux répondre aux besoins du marché et de ses clients.