Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35107 résultats)
Il y a 3 ans et 22 jours

Le Livret A a engrangé 3 milliards d'euros nets en mars

C'est peu ou prou le résultat de février dernier (2,94 milliards) ou de mars 2021 (2,8 milliards).Le Livret de développement durable et solidaire a pour sa part engrangé 650 millions d'euros nets, soit un peu plus que les 540 millions de février, mais moins que les 870 millions de mars 2021.Au total, le surplus de dépôts du Livret A et du LDDS a totalisé 3,67 milliards d'euros sur le mois, exactement comme en mars 2021, soit un encours total sur les deux produits de 483,6 milliards d'euros à fin mars.Et sur le trimestre, les deux livrets ont engrangé près de 14 milliards d'euros nets, contre 14,6 milliards à la même période l'année dernière et un peu moins de 10 milliards les années précédentes, signe que les Français n'ont pas relâché leurs efforts d'épargne.L'une des explications de la persistance de l'attrait du Livret A pourrait être le doublement du taux d'intérêt, passé de 0,5% à 1% au 1er février. Cette hausse, la première en plus de dix ans, a également concerné le LDDS.Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.Ils sont souvent considérés comme des placements refuge. L'année dernière, les Français ont déposé 15,17 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré sur leurs Livrets A, et 3,94 milliards d'euros sur leurs LDDS.
Il y a 3 ans et 22 jours

Lyon-Turin : Systra s'impose sur la maîtrise d'oeuvre des gares

CONTRAT. Telt, le maître d'ouvrage de la section transfrontalière du Lyon-Turin ferroviaire, a attribué les marchés de maîtrise d'oeuvre pour la construction des gares internationales, à Saint-Jean-de-Maurienne côté français, et à Suse côté italien, pour un montant total de 23 millions d'euros. Ce sont des sociétés d'ingénierie bien connues de part et d'autre des Alpes qui ont été choisies.
Il y a 3 ans et 22 jours

Le PIR pour le meilleur

Recticel, fabricant belge de panneaux en mousse polyuréthane rigide, recentre son activité sur l’isolation. De grandes ambitions pour le groupe qui doit également relever le défi carbone.
Il y a 3 ans et 23 jours

Inflation et déficit : comment présider la France dans une économie menacée

"Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L'économie française avance sur une route devenue plus glissante", a prévenu dans l'entre-deux tours le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.Alors que la croissance française a atteint 7% en 2021, une des plus importantes de la zone euro après la récession record de 8% de 2020, le paysage s'est assombri ces dernières semaines."On avait assez bien réussi en France la sortie de la crise du Covid-19, et même de manière surprenante", souligne Patrick Artus, chef économiste de Natixis, évoquant le faible nombre de faillites, un endettement des entreprises maîtrisé et la baisse du chômage.Mais la guerre en Ukraine a aggravé les perturbations des chaînes d'approvisionnement des entreprises, freinant l'activité dans l'industrie, et a renforcé une inflation (4,5% en mars) déjà importante du fait de la flambée des prix de l'énergie et des matières premières. "Le conflit vient encore affaiblir la croissance qui était en train de se tasser, avec une inflation qui grignote le pouvoir d'achat des ménages et érode les marges des entreprises", estime Emmanuel Jessua, économiste chez Rexecode, tablant sur une inflation autour de 4% cette année.Avec sans doute en perspective une "répercussion progressive" sur les salaires et les prix de vente, amenés à augmenter pour suivre le mouvement de hausse, ce qui va "encore alimenter l'inflation" dans les prochains mois, comme on l'observe déjà aux États-Unis, ajoute-t-il.Pour l'instant, l'économie française semble encore résister, avec une progression du PIB attendue à 0,25% au premier trimestre selon la Banque de France, et 0,3% selon l'Insee, mais les deux institutions se montrent beaucoup plus prudentes pour la suite.La guerre provoque "un choc de prix, d'incertitude et de confiance", a résumé mi-mars Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee. Ménages et entreprises montrent déjà des signes de pessimisme qui pourraient peser sur la consommation et sur l'investissement."Énorme problème" de finances publiques"Je pense qu'on va perdre 2 points de croissance cette année par rapport aux 4% qu'on pouvait escompter", estime Patrick Artus. Une moindre croissance à laquelle va s'ajouter une perte de pouvoir d'achat, qui frappera davantage les ménages les plus modestes, plus sensibles aux hausses des prix de l'énergie et des produits alimentaires.Le FMI a d'ailleurs abaissé mardi de 0,6 point à 2,9%, sa prévision pour la France.Comment, dans ce contexte, financer les investissements nécessaires pour la transition écologique, l'éducation, les compétences et la santé ? Et comment soutenir la réindustrialisation de la France alors que le déficit commercial a atteint des records ? C'est tout le défi du prochain quinquennat.Le ou la futur(e) président(e) de la République, devra sans doute muscler son action contre les effets du conflit, et en premier lieu l'inflation.Marine Le Pen propose notamment une baisse de la TVA, quand Emmanuel Macron promet par exemple une aide ciblée et une réévaluation des pensions de retraite à l'été prochain.Le tout dans un contexte budgétaire tendu, avec un déficit (6,5% fin 2021) et une dette gigantesques (112,9%) en sortie de crise sanitaire. "On a des programmes assez coûteux - même si celui d'Emmanuel Macron l'est beaucoup moins que celui de Marine Le Pen - et dont le financement n'est pas toujours explicite", pointe Emmanuel Jessua.Le président-candidat a chiffré le sien à environ 50 milliards d'euros, financé en partie par la réforme des retraites et l'atteinte du plein emploi, tandis que Marine Le Pen prévoit 68 milliards d'euros de dépenses, dont le financement prévu est mis en doute par la plupart des économistes."Quel que soit le candidat élu, de toute façon il aura un énorme problème de finances publiques et il ne faut pas croire qu'on pourra passer ça à la trappe", prévient Patrick Artus.Une situation d'autant plus inquiétante que pour faire face à l'inflation la Banque centrale européenne a ouvert la voie à un relèvement de ses taux d'intérêts, ce qui pourrait gripper encore davantage la croissance.
Il y a 3 ans et 23 jours

Les carriers demandent la reconnaissance de leur label RSE

DÉVELOPPEMENT DURABLE. L'association Unicem Entreprises Engagées, qui porte les démarches de responsabilité sociétale des industriels des carrières et des matériaux de construction, célèbre ses 30 ans d'existence en 2022. L'occasion de faire un bilan sur ses actions menées en matière de développement durable mais aussi de demander une nouvelle fois aux pouvoirs publics de reconnaître leur label RSE.
Il y a 3 ans et 23 jours

Stratégie et innovations bas carbone chez Lafarge

Lafarge France va commercialiser dès cet été deux nouveaux ciments ternaires bas carbone, un CEM II (produit à Sète) et le premier CEM VI disponible en France (fabriqué au Teil). Ces nouveaux ciments offrent une réduction carbone de -30% à -50% et viennent enrichir les offres bas carbone ECOPlanet (ciment) et ECOPact (béton). Dans le cadre d’une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la construction, Lafarge France accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs. Pour le secteur de la préfabrication, il s’agit dans un premier temps d’augmenter l’utilisation du CEM II, puis des ciments ECOPlanet, en lieu et place du CEM I tout en garantissant le même niveau de performance et l’absence d’impact sur les process de fabrication. Le groupe a également mis au point et testé avec succès un liant bas carbone nouvelle génération, bas clinker et sans laitier. Ce liant breveté permet la production de béton à -50% de CO2 sans utiliser le laitier. Il ne modifie pas les modes constructifs et les gestes chantiers. Cet article Stratégie et innovations bas carbone chez Lafarge est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 23 jours

L'Unicem attend toujours la reconnaissance de son label RSE par l'Etat

Unicem entreprises engagées (UEE) – l’association qui porte les démarches de progrès des producteurs de matériaux minéraux de construction a profité de l'anniversaire des 30 ans de sa création pour réitérer l’appel de la profession auprès des pouvoirs publics d’une reconnaissance de son Label sectoriel RSE.
Il y a 3 ans et 23 jours

Adeline Mourlevat prend la tête du Service Référencement Industriels d’Elcia

Adeline, vous venez d’être nommée Responsable du Service Référencement, mais vous êtes chez ELCIA depuis plus de cinq ans maintenant. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?« J’ai rejoint ELCIA en 2017, à la sortie de mes études à l’INSA de Lyon où j’ai été diplômée en Génie des matériaux. J’ai intégré le Service Référencement dans lequel j’ai occupé le poste d’Ingénieur Projets pendant deux ans. En 2019, j’ai sauté sur l’opportunité de devenir Ingénieure Commerciale afin d’accompagner nos commerciaux Industrie sur la partie technique. J’ai appris l’avant-vente, le commerce et le suivi clients. J’ai ensuite rejoint le Service Clients Industrie qui a été créé en 2021, en tant que Chef de projets clients : j’accompagnais nos partenaires industriels dans la mise en production de leurs projets EDI ou encore MyPricer. J’ai pu y développer mes compétences sur l’accompagnement, le suivi des projets, le conseil clients. J’ouvre aujourd’hui une nouvelle page de mon aventure chez ELCIA en devenant Responsable du Service Référencement. »Vous prenez la Direction du Service Référencement, qui est l’un des Services historiques d’ELCIA. Pouvez-vous nous le présenter ?« Le Service Référencement est l’un des piliers d’ELCIA ! C’est lui qui a référencé et qui est en charge du maintien à jour des 1 750 Bibliothèques de tarifs de nos 600 Industriels partenaires dans le Configurateur ELCIA. Ce Service est le garant de la fiabilité de nos Bibliothèques référencées ! C’est son travail qui fait que nos clients artisans, installateurs et revendeurs peuvent réaliser des devis justes, avec des prix à jour et qu’au final le produit chiffré soit fabricable. Pour cela, le Service Référencement travaille en toute confiance avec les équipes de nos partenaires industriels. Il faut comprendre leurs produits, leurs options et leurs règles métier, pour ensuite les paramétrer dans nos outils.Nous mettons donc un point d’honneur à ce que chaque membre du Service soit un véritable expert métier, qui parle le même langage que les industriels. Chaque nouvel arrivant suit une formation de plusieurs mois, sur nos outils internes, mais aussi sur le métier de nos partenaires, le secteur de la Menuiserie, son vocabulaire.Le Service Référencement est aujourd’hui composé de 19 Ingénieurs et 3 Techniciens, dont une partie sur notre site de Tarbes, notamment pour la gestion des projets transversaux avec ISIA. Depuis quelques années, nous avons organisé le Service en nous inspirant des étapes qui existent dans l’Industrie : études et estimations, planification, qualité et production. »Quelles seront vos missions sur ce nouveau poste ?Je prends la tête du Service Référencement avec deux grands objectifs ! Face aux variations de prix actuelles, nous devons garantir au marché que les mises à jour de nos 1 750 Bibliothèques de prix référencées soient livrées à la bonne date. C’est un vrai challenge ! Deuxième objectif : accompagner les industriels pour que la configuration de leurs produits soit plus riche et permette à leurs clients de passer commande en EDI. La dématérialisation des commandes facilite leur quotidien et évite à leurs équipes de perdre du temps à rappeler l’installateur parce qu’il manque des informations.Cela passe par le management du Service, le suivi de son activité et du respect de ses objectifs. Je veille au bon déroulement des projets de Référencement, j’accompagne les membres de l’équipe, les aide, les conseille. J’ai été Ingénieur Projets pendant deux ans, c’est indispensable pour comprendre le fonctionnement du Service. Je m’assure aussi de leur bienêtre dans le Service et de leur montée en compétences, que ce soit techniquement ou en gestion de projets. Je vais être épaulée par Jonathan Farge, qui fait partie du Service Référencement depuis 17 années. Nous allons former un véritable binôme.La stratégie d’amélioration continue du Service sera également au coeur de mes missions. Les besoins de nos partenaires industriels évoluent, les solutions ELCIA aussi. Il doit en être de même pour nos outils internes !Enfin, mon rôle est aussi d’échanger avec les autres services d’ELCIA. Par exemple, avec le Service Produit pour leur faire part des besoins techniques qui nous sont remontés par les industriels ou encore avec le Service Clients Industrie pour répondre de manière efficace aux problématiques de nos partenaires.Pour terminer, quel plus souhaitez-vous apporter ?Mes différentes missions chez ELCIA me permettent d’avoir aujourd’hui une vision à 360° de l’Industrie : technique, commerce, accompagnement. Cette vision globale, je l’ai aussi en interne. J’ai côtoyé plusieurs Services, je connais les besoins de chaque équipe. Je souhaite m’appuyer sur cette expérience pour fluidifier les relations entre les différents Services ELCIA : ce sont nos partenaires qui en sortiront gagnants !J’ai aussi à coeur d’apporter un regard neuf sur l’organisation du Service Référencement. Pouvoir réorganiser certains aspects de la vie de l’équipe, toujours dans ce souci d’amélioration continue, pour toujours plus d’efficacité et de qualité.Chez ELCIA, des femmes manageuses et heureuses !Girl Power ! Avec la nomination d’Adeline MOURLEVAT sur un poste de management, une barre symbolique vient d’être franchie : 58% des collaborateurs d’ELCIA sont désormais managés par des femmes !Alors que le ratio hommes/femmes chez ELCIA est de 68% contre 32%, la majorité des collaborateurs sont managés par des femmes en totale réussite sur leur poste d’encadrement. Pour Stéphanie ROBIN, DRH du Groupe : « Même si le monde de l’édition logicielle reste un secteur encore difficile à féminiser, chez ELCIA, nous travaillons à plus de parité. C’est un chiffre clé pour l’entreprise, il souligne le fait que les femmes accèdent à des postes d’encadrement et de direction autant que leurs collègues masculins »Manageuses et heureuses ! Pour célébrer la Journée des droits des femmes, ChooseMyCompany (à l’origine notamment du Label HappyAtWork), a publié le WomenTop40, son classement des 40 meilleures entreprises de 100 à 500 salariés où les femmes sont les plus heureuses et engagées. ELCIA se classe à la 23ème place, sur plus de 678 entreprises dans la catégorie. Une vraie fierté !
Il y a 3 ans et 23 jours

Résultats annuels 2021 amélioration de L’EBITDA

SUCCÈS DES PREMIERS RÉSULTATS DES CAMPAGNES DE PERFORMANCE ET PLAN DE MARCHE ENGAGÉ POUR UN RETOUR SUR LE MARCHÉ POUR L’HIVER 2023-2024  BOOSTHEAT (FR0011814938 / ALBOO), acteur industriel français de l’efficacité énergétique, publie ses résultats annuels 2021. Le Conseil d’administration de BOOSTHEAT, réuni le 14 avril 2022, a arrêté les comptes 2021. Le rapport relatif […]
Il y a 3 ans et 23 jours

Hörmann et Tubauto : un engagement environnement exemplaire pour des portes neutres en carbone

 Le Groupe Hörmann, leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, s’est engagé depuis des années dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE2020 et de la réduction des émissions de carbone, Hörmann est déjà opérationnel avec des solutions neutres sur […]
Il y a 3 ans et 23 jours

Le Danemark présente son plan pour se passer de gaz russe

La Première ministre Mette Frederiksen avait fixé début mars un objectif de sortie du gaz russe "le plus vite possible", alors que l'UE réfléchit à un arrêt des achats à la Russie pour sanctionner Moscou.Le plan présenté mardi par l'exécutif danois prévoit notamment que la moitié des 400.000 foyers du pays qui se chauffent actuellement au gaz basculeront vers un raccordement au chauffage urbain ou vers les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité d'ici à 2028.Pour les foyers restants et l'industrie, le plan prévoit aussi un développement du biogaz d'origine renouvelable, "qui assurera que nous soyons libres de Poutine", a déclaré le ministre du Climat et de l'Energie Dan Jørgensen lors d'une conférence de presse.Le Danemark va également "étudier la possibilité d'anticiper et d'augmenter temporairement la production de gaz de mer du Nord sur les gisements déjà exploités", en "dialogue avec les acteurs du marché", a expliqué le gouvernement dans un communiqué.Le gouvernement danois a également dopé son plan de développement des énergies renouvelables, et prévoit désormais un quadruplement des centrales solaires et surtout de l'éolien terrestre, à horizon 2030.Le royaume scandinave est déjà un des grands champions européens de l'éolien, qui lui fournit actuellement environ la moitié de son électricité - le reste étant dominé par la biomasse et le charbon."Nous voulons développer les énergies renouvelables autant qu'il est possible de le faire de façon intelligente", a assuré Mme Frederiksen.Le gaz fournit environ 18% de l'énergie consommée au Danemark chaque année, selon les statistiques officielles. Une grande partie est longtemps venue des gisements du pays en mer du Nord, mais ceux-ci sont en rapide déclin.En 2019, la production nationale n'a permis que de couvrir 72% du gaz consommé dans le pays, selon l'Agence danoise de l'énergie.La Russie figure parmi les principaux fournisseurs des importations danoises et fournit environ 40 à 45% du gaz importé dans l'Union européenne.Les 27 mettent les bouchées doubles pour sortir du gaz russe, mais cet effort prendra plusieurs années selon les analystes.Le Danemark avait voté en 2020 l'arrêt complet de sa production de gaz en mer du Nord d'ici à 2050, devenant le premier producteur significatif d'hydrocarbures à fixer une date de fin d'exploitation.L'exécutif ne prévoit pas de renoncer à cette mesure, a-t-il indiqué mardi.
Il y a 3 ans et 23 jours

"Nous souhaitons démocratiser le béton bas-carbone", O. Collin (Edycem)

INNOVATION. C'est à Montaigu, dans la région nantaise, que l'industriel Edycem a construit son nouveau siège social avec son dernier béton bas-carbone, baptisé Vitaliss. Nonobstant le matériau employé, ce chantier se distingue aussi par ses spécificités architecturales. Olivier Collin, le directeur général d'Edycem, revient sur le projet mais également sur la stratégie de l'entreprise dans un contexte économique compliqué.
Il y a 3 ans et 24 jours

Métal 57, vestige de l'ère Renault transformé par Dominique Perrault

EN IMAGES. A Boulogne-Billancourt, face à l'Ile Seguin, l'un des derniers actifs industriels de l'époque industrielle a été restructuré par Dominique Perrault Architecte pour BNP Paribas Real Estate, qui en a fait son nouveau siège. De l'usine d'hier au bureau de demain, plongée dans un bâtiment unique, flexible, polymorphe et ouvert sur la ville.
Il y a 3 ans et 24 jours

EurObserv’ER publie le Baromètre Éolien 2022

Chiffres clés du secteur éolien dans l'Union européenne en 202111,3 GW : Nouvelle capacité éolienne installée dans l'UE27 en 2021 (10,4 GW en 2020)187,8 GW : Capacité éolienne totale installée dans l'UE27 fin 2021 (177,0 GW en 2020)384,9 TWh : Production d'électricité éolienne dans l'UE27 en 2021 (397,4 TWh en 2020)0,6 GW : Nouvelle capacité éolienne offshore installée dans l'UE27 en 2021 (2,5 GW en 2020)15,1 GW : Capacité éolienne offshore totale installée dans l'UE27 fin 2021 (14,5 GW en 2020)Principaux enseignements du baromètre éolien 2022 d'EurObserv'ERLes installations onshore compensent à peine une année catastrophique pour l'éolien offshore (seulement 0,6 GW mis en service). L'industrie offshore est pourtant très innovante avec des prototypes de 15 MW en phase de test, mais les contraintes liées aux autorisations de nouveaux parcs brident cette dynamique. Pour atteindre 40 % de renouvelables dans la consommation finale d'énergie en 2030, il faudrait tripler les installations. La capacité totale installée (hors Royaume-Uni) s'élève donc à 187,8 GW dans l'Union Européenne. La production d'électricité de 384,9 TWh est en baisse (397,4 TWh en 2020) mais s'explique par une année 2020 exceptionnelle en termes de vent (362,5 TWh en 2019).Tendances de l'énergie éolienne mondialeLa puissance éolienne mondiale s'élevait à 737 GW en 2020 pour une production d'électricité de 1 592 TWh. Même si les derniers chiffres pour 2021 ne sont pas encore connus, il est très probable que les nouvelles installations soient largement insuffisantes par rapport à la trajectoire de l'AIE, nécessaire pour atteindre l'objectif du scénario Net Zero, soit une augmentation de la production éolienne de 18 % par an sur la période 2021-2030. Notons tout de même des déclarations ambitieuses aux États-Unis visant une réduction de 50 % des émissions en 2030 (par rapport à 2005), malgré une capacité éolienne installée de seulement 12,7 GW en 2021 (- 25 % par rapport à 2020). La Chine a, quant à elle, installé plus de 47,6 GW sur l'année (contre 72,1 GW en 2020), avec notamment un bond sur le marché offshore (16,9 GW en 2021 contre 3,06 GW en 2020).
Il y a 3 ans et 24 jours

Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte

Pour construire son nouvel espace jeunesse Guy Môquet, un équipement mixte de 1 700 m2, la mairie de Cabestany voulait un bâtiment attractif pour les enfants et adolescents. L’agence OECO ARCHITECTES a imaginé un monolithe de béton à la volumétrie atypique. Compact, pour répondre à l’enjeu de l’emprise au sol limitée, il s’élève sur plusieurs demi-niveaux. L’éclairage naturel constituait un enjeu essentiel pour créer des spatialités tout en connectant entre-elles les différentes entités. L’ouvrage se perce de multiples ouvertures en aluminium TECHNAL. Le centre de loisirs se déploie sur les trois demi-niveaux inférieurs. C’est un espace ouvert autour d’un hall, qui se recloisonne aisément selon les activités à l’aide de cloisons amovibles. Il s’habille de grands ensembles fixes/portes SOLEAL de 3,2 m de hauteur. La salle de danse bénéficie de la lumière du Nord à travers un mur-rideau GEODE de plus de 6 m de largeur sur 3 m de hauteur. Ce grand cadre est coupé en trois par des profilés en aluminium fins, tel un triptyque faisant l’éloge du paysage avoisinant. La façade s’anime et crée une sorte de repère dans la ville. Une porte repliable XXL AMBIAL, aux dimensions quasiment identiques, fait écho à ce mur de verre. Enfants et professeurs peuvent profiter de la terrasse qui s’ouvre totalement dès les premiers rayons du soleil. L’hébergement collectif (R+2 et R+3) accueille 6 dortoirs qui intègrent des châssis oscillo-battants SOLEAL pour faciliter la ventilation. La salle commune est pourvue d’un ensemble vitré de 11 m de large, composé de deux larges baies coulissantes, de châssis fixes et d’une porte SOLEAL. Elle permet de profiter de la terrasse au dernier niveau, qui domine et contemple le Canigou au loin, à l’abri de la Tramontane. Agence d’architecture : OECO ARCHITECTES (31) Maître d’ouvrage : MAIRIE DE CABESTANY (66) Fabricant Installateur : SPM (66) Photo : Technal – Kevin Dolmaire  
Il y a 3 ans et 24 jours

Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte

Pour construire son nouvel espace jeunesse Guy Môquet, un équipement mixte de 1 700 m2, la mairie de Cabestany voulait un bâtiment attractif pour les enfants et adolescents. L’agence OECO ARCHITECTES a imaginé un monolithe de béton à la volumétrie atypique. Compact, pour répondre à l’enjeu de l’emprise au sol limitée, il s’élève sur plusieurs demi-niveaux. L’éclairage naturel constituait un enjeu essentiel pour créer des spatialités tout en connectant entre-elles les différentes entités. L’ouvrage se perce de multiples ouvertures en aluminium TECHNAL. Le centre de loisirs se déploie sur les trois demi-niveaux inférieurs. C’est un espace ouvert autour d’un hall, qui se recloisonne aisément selon les activités à l’aide de cloisons amovibles. Il s’habille de grands ensembles fixes/portes SOLEAL de 3,2 m de hauteur. La salle de danse bénéficie de la lumière du Nord à travers un mur-rideau GEODE de plus de 6 m de largeur sur 3 m de hauteur. Ce grand cadre est coupé en trois par des profilés en aluminium fins, tel un triptyque faisant l’éloge du paysage avoisinant. La façade s’anime et crée une sorte de repère dans la ville. Une porte repliable XXL AMBIAL, aux dimensions quasiment identiques, fait écho à ce mur de verre. Enfants et professeurs peuvent profiter de la terrasse qui s’ouvre totalement dès les premiers rayons du soleil. L’hébergement collectif (R+2 et R+3) accueille 6 dortoirs qui intègrent des châssis oscillo-battants SOLEAL pour faciliter la ventilation. La salle commune est pourvue d’un ensemble vitré de 11 m de large, composé de deux larges baies coulissantes, de châssis fixes et d’une porte SOLEAL. Elle permet de profiter de la terrasse au dernier niveau, qui domine et contemple le Canigou au loin, à l’abri de la Tramontane. Agence d’architecture : OECO ARCHITECTES (31) Maître d’ouvrage : MAIRIE DE CABESTANY (66) Fabricant Installateur : SPM (66) Photo : Technal – Kevin Dolmaire   Cet article Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 24 jours

Le BLOC-BAIE CHRONO ONE DE SOPROFEN obtient l’avis technique du CSTB

Dans une démarche d’amélioration continue, SOPROFEN mobilise en permanence son service Recherche & Développement pour proposer des solutions toujours plus innovantes répondant aux directives réglementaires. C’est dans cette dynamique que l’expert du volet roulant présentait en parallèle du dernier salon EquipBaie, son nouveau bloc-baie Chrono One fabriqué en France en PVC recyclé (  hauteur de […]
Il y a 3 ans et 24 jours

Floorify remporte le prix Neb’Oscar du "Meilleur fournisseur de revêtements de sol 2021"

Nebopan est le premier groupement français de PME indépendantes actives dans le commerce du bois et de ses dérivés. Il compte actuellement 23 membres, 2 000 employés et plus de 30 000 clients dans toute la France.Floorify propose la gamme la plus belle, la plus qualitative et la plus complète de revêtements de sol en vinyle rigide distribués exclusivement par les meilleurs magasins spécialisés. Floorify est le meilleur du design, de la qualité et du service belge et en pleine expansion en France pour faire vivre son expérience.Pour le prix Neb’Oscar, tous les membres de Nebopan ont pu choisir leur fournisseur préféré. Floorify a été récompensé pour la qualité de son service, sa capacité à innover, à proposer des solutions durables et à rechercher sans cesse de nouveaux produits. "Pour nous, le prix du Neb’Oscar est inestimable. Le fait d'avoir été choisi par nos propres clients comme leur fournisseur préféré signifie que nous sommes sur la bonne voie et c'est un véritable triomphe pour toute l'équipe. Nous allons poursuivre dans cette voie et restons engagés dans l'optimisation des services, la recherche et le développement afin de proposer la collection la plus attractive et la plus innovante de revêtements de sol en vinyle rigide."
Il y a 3 ans et 25 jours

Avant-première Salone del Mobile : Calla et Joy Neo, dernières nouveautés des collections Atelier d’ldeal Standard

Ideal Standard enrichit ses collections Atelier avec Calla et Joy Neo, deux nouvelles gammes de céramique et de robinetterie magnifiquement conçues qui feront partie des produits phares présentés par Ideal Standard au Salone del Mobile, qui se tiendra à Milan du 7 au 12 juin prochains. Ideal Standard profitera de cette occasion pour exposer la manière dont son héritage en matière de design a influencé les dernières nouveautés de ses collections Atelier, combinant caractéristiques classiques, technologie moderne et design innovant pour créer des solutions de salle de bains inspirantes. Deux nouvelles collections pour un style éclectique Les nouvelles collections Calla et Joy Neo représentent une véritable fusion du design à travers les âges. Chaque gamme s’inspire d’éléments classiques de la salle de bain et les associe à d’autres plus contemporains afin d’offrir un nouvel éclectisme dans le design de cette pièce. Créés par Ludovica et Roberto Palomba, les produits des gammes Calla et Joy Neo ont été conçus dans un souci de flexibilité, ce qui leur permet de s’intégrer dans une grande variété de styles d’intérieur. Calla, une gamme de céramique inspirée de l’époque victorienne Inspirée de l’époque victorienne, la gamme Calla présente des formes géométriques claires et simples, avec des lignes horizontales et verticales fortes, au service d’un produit intemporel qui incarne le luxe discret. Calla se compose d’un large éventail de pièces en céramique, dont d’élégants lavabos et pieds, des toilettes et des bidets sophistiqués, ainsi qu’une superbe pièce maîtresse : une baignoire néoclassique sur pied. Les vasques Calla peuvent également être combinées avec l’ensemble des pieds plus contemporain, ce qui lui confère une identité complètement différente et permet aux clients de l’intégrer dans des salles de bains au design moderne. Joy Neo, quand le classique rencontre le contemporain Joy Neo représente une évolution du classicisme en conjuguant les caractéristiques de la collection Joy, plus contemporaine et cylindrique, avec des éléments au design plus classique et carré, et des poignées en forme de croix ou à levier. Joy Neo est ainsi une gamme de robinetterie très polyvalente et sophistiquée qui s’harmonise parfaitement avec des gammes de céramique néoclassiques comme Calla, mais aussi avec des lignes de céramique plus minimalistes comme Extra d’Ideal Standard. Ses formes géométriques simples et son design symétrique empruntent aux codes du luxe et lui confèrent une élégance discrète. Joy Neo offre une grande variété de modèles tels que : . des mitigeurs de lavabo à levier unique, . des mitigeurs de lavabo à double commande, . des mitigeurs de lavabo muraux, . et des mitigeurs de lavabo à 3 trous ainsi que différents produits pour la baignoire et la douche. Disponible en deux finitions, Gris Magnétique et Chrome, la collection s’adapte à tous les styles. Joy Neo, des technologies de pointe Bien qu’inspiré du passé, la gamme de robinetterie Joy Neo a été conçue à partir de technologies innovantes pour offrir la meilleure expérience possible aux utilisateurs. Le régulateur EcoFlow réduit la consommation d’eau à 5l/minutes pour une utilisation raisonnée de l’eau sans compromettre le confort. Le système de fixation EasyFix®, qui réduit le temps d’installation de 30%, facilite l’installation. La finition Gris Magnétique est fabriquée à partir de la toute dernière technologie de dépot physique en phase vapeur (PVD) afin de préserver l’éclat des articles en laiton coloré. Le dépot physique en phase vapeur (PVD) est une fine couche protectrice appliquée sous vide qui garantit une robinetterie dix fois plus résistante aux produits chimiques, à l’usure, aux chocs, à la décoloration et à la corrosion. Enfin, la finition SmartShine® accroît la durabilité des modèles chromés tout en facilitant leur entretien. S’exprimant sur les nouvelles collections Calla et Joy Neo, Roberto Palomba déclare :« nous n’avons jamais eu l’intention de créer des collections qui ne peuvent être utilisées que dans des intérieurs à la décoration classique. Notre objectif était plutôt de concevoir des produits qui s’harmonisent avec des éléments d’autres époques pour donner aux clients la liberté de s’exprimer. L’innovation, l’héritage et les besoins de l’époque actuelle constituent des éléments clés des deux gammes néoclassiques Calla et Joy Neo». Les nouvelles collections Calla et Joy Neo incarnent la nouvelle philosophie SingularTM d’Ideal Standard qui consiste à proposer, à partir des larges gammes de céramique, robinetterie, meubles, bain, douche et accessoires du fabricant, d’innombrables possibilités d’associations pour créer l’espace qui convient le mieux à chacun. Développé pour rationaliser la conception de la salle de bain et simplifier le processus de sélection, tout en inspirant la créativité, SingularTM repose sur la compréhension approfondie d’Ideal Standard des besoins de ses clients (architectes, designers, installateurs et particuliers) et du secteur. Pour cela, le fabricant s’est appuyé sur son expertise en matière de projet, de design et de performance de ses produits. https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 25 jours

Nouvelles infrastructures et projet d’investissement inédit pour la coopérative vendéenne UAB

UAB, 1ère coopérative d’achat des métiers du bois en France Située à la Ferrière « capitale des coopératives artisanales », l’UAB - Union des Artisans du Bois - a été créée en 1981 et n’a cessé de se développer. En 2021, elle a affiché une augmentation de 24% de son chiffre d’affaires pour atteindre 112 M€. Avec 400 adhérents en Vendée, Charente et Charente Maritime et 200 collaborateurs, la coopérative vendéenne est aujourd’hui la 1ère coopérative d’achat des métiers du bois en France. Entreprise humaine, solidaire et de proximité, l’UAB a basé son modèle économique sur la puissance du collectif. Sa vocation est d’apporter à ses adhérents - menuisiers, charpentiers, agenceurs, ébénistes, cuisinistes, plaquistes, étancheurs – tous les produits nécessaires à leur activité et de les accompagner au quotidien dans chacune de leurs fonctions (achats et logistique, technique, vente et communication, pilotage et gestion). Des nouvelles infrastructures performantes pour mieux accompagner les adhérents En 2018, dans un contexte de forte croissance, avec la volonté d’accompagner toujours mieux ses adhérents et d’améliorer la qualité de service, le conseil d’administration de l’UAB valide un programme d’investissement d’un montant de 7 millions d’euros visant à la construction sur son site de 2 bâtiments performants et structurants. Le premier, livré en octobre 2020, est un bâtiment logistique de 4.000 m2 dédié aux menuiseries extérieures et comprenant 2 zones : une zone de 2.500 m² pour le stockage des menuiseries sur 3 niveaux et une zone de 1.500 m² pour la manutention des menuiseries. Le second, livré en avril 2021, est le siège social de la coopérative. Le bâtiment administratif représente 2.000 m2 réalisés sur 3 niveaux. Avec l’objectif de réaliser un ensemble en cohérence avec son cœur de métier, l’UAB fait le choix d’un bâtiment en bois, fait de panneaux en lamellé croisé (CLT) réalisés par l’entreprise Piveteau basée à 20 km de l’UAB. Il s’agit de la première réalisation en Vendée de ce type pour l’entreprise PIVETEAU, un des fleurons de l’industrie vendéenne et partenaire privilégié de la coopérative UAB. Un nouveau programme d’investissement inédit dans l’histoire de l’UAB Avec 15 000 m2 de surface couverte supplémentaire, l’UAB souhaite se donner les moyens d’augmenter encore ses capacités de stockage, de rationaliser son organisation, de proposer de nouveaux services à ses adhérents à l’image d’un atelier de découpe de panneaux, et enfin d’améliorer la sécurité et le confort de travail de ses collaborateurs Ce nouveau projet, d’un montant de 15 millions d’euros et dont le démarrage est envisagé sur le second trimestre 2022, est l’investissement le plus significatif de l’histoire de la coopérative. Il témoigne à nouveau de la dynamique de l’UAB et de son ambition d’accompagner au mieux le développement de ses artisans adhérents. L’UAB, en chiffres 400 adhérents en Vendée, Charente et Charente Maritime 200 collaborateurs 112 M€ de CA un site de 100.000 m² avec 35.000 m² de bâtiments couverts (et bientôt 50.000 m2) 2.000 m² de salle d’exposition 10.000 références produits
Il y a 3 ans et 26 jours

En Espagne, l'éolien porté par des vents favorables

"Ici, on est sur un terrain propice", assure Joaquin García Latorre, directeur de projet chez Enel Green Power España, en désignant les gigantesques mâts dressés sur les hauteurs de Villar de los Navarros, village d'une centaine d'âmes de la région de Saragosse (nord-est).Le groupe hispano-italien a choisi ce site bien exposé au vent pour implanter l'une des plus grandes fermes éoliennes du pays : le parc Tico Wind, regroupant 43 turbines d'une puissance globale de 180 mégawatts-heure (Mwh)."Ce parc est entré en phase de production en novembre" et sera pleinement opérationnel "d'ici un mois", explique Joaquin García Latorre, alors que des ouvriers s'affairent autour de ces immenses machines, culminant à plus de cent mètres de hauteur."Il y a ici entre 2.500 et 3.000 heures de vent par an. Cela signifie que nous pourrons produire près de 471 gigawatts-heure (GWh) annuellement", soit "l'équivalent de la consommation de 148.000 foyers", ajoute le responsable d'Enel.De la Galice au Pays basque en passant par l'Andalousie, les projets de ce type se multiplient depuis plusieurs années en Espagne, deuxième pays d'Europe derrière l'Allemagne et cinquième pays au monde en matière de puissance éolienne installée.Selon le gestionnaire du réseau électrique espagnol, l'éolien est devenu la première source d'électricité dans le pays l'an dernier avec 23% contre 21% pour le nucléaire et 17% pour le gaz."L'éolien bénéficie d'une situation favorable", même s'il existe encore "des freins" à son développement, très dépendant des enchères organisées par le gouvernement, juge Francisco Valverde Sanchez, spécialiste du secteur au cabinet Menta Energia.Après un boom au début des années 2000 grâce à l'octroi d'aides publiques, la filière avait subi un brusque coup d'arrêt en 2013, suite à l'arrêt des subventions en pleine crise économique.Depuis, elle est repartie de l'avant : la puissance installée de l'Espagne,qui accueille au total 1.265 parcs éoliens, est ainsi passée de 23,4 gigawatts en 2018 à 28,1 gigawatts en 2021, selon l'Association espagnole des entreprises éoliennes (AEE)."Grenier énergétique"Nombreuses zones peu peuplées, cadre juridique porteur, tissu industriel de pointe... "L'Espagne est actuellement l'un des marchés les plus intéressants pour les investisseurs", souligne Juan Virgilio Márquez, directeur général de l'AEE.Troisième exportateur mondial d'aérogénérateurs, le pays accueille plusieurs poids lourds des renouvelables, à l'image d'Iberdrola ou de Naturgy. "Cela explique le dynamisme du secteur" et "l'appétit" qu'il suscite, insiste M. Márquez.Un appétit qui va au-delà des seuls acteurs de l'énergie : en novembre, le multimilliardaire espagnol Amancio Ortega, fondateur de Zara, a ainsi injecté 245 millions d'euros dans un parc du nord-est du pays.Cette dynamique va-t-elle se poursuivre? En 2020, Madrid s'est engagé à porter d'ici 2030 la part du renouvelable (éolien, solaire...) dans l'électricité à 74% contre 47% actuellement. Ce qui induit la mise en service de 22 gigawatts en huit ans.Pour atteindre cet objectif, le gouvernement compte sur l'essor de l'éolien offshore, à ce stade balbutiant, mais pour lequel l'Espagne dispose d'un fort potentiel, avec ses milliers de kilomètres de côtes."Il s'agit d'un objectif ambitieux" qui implique "d'accélérer encore le déploiement" du secteur, relève Francisco Valverde Sanchez. Ce qui ne pourra se faire, selon lui, qu'à condition d'alléger "la bureaucratie", qui retarde nombre de dossiers.Selon l'AEE, près de 600 projets sont actuellement en cours d'examen par les services de l'Etat. Dans le cadre de son plan de réponse économique à la guerre en Ukraine, Madrid s'est engagé à accélérer la procédure pour les projets inférieurs à 75 MW.L'Espagne "dispose des ressources suffisantes pour devenir le premier pays européen pour la production et l'exportation d'énergies renouvelables", indispensables pour "l'indépendance énergétique" de l'UE, a insisté mercredi le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez.Un message relayé par l'ensemble de la filière depuis l'invasion russe de l'Ukraine. "L'Espagne dispose d'un grand potentiel éolien (...) Elle pourrait devenir le grenier énergétique de l'Europe", résume Juan Virgilio Márquez.
Il y a 3 ans et 28 jours

Plancher préfabriqué associant CLT et plaques de plâtre

Le Plancher AZURTEC®/Placo® résulte de la complémentarité des expertises de Mathis, constructeur d’ouvrages en bois, et de Placo®. Leur objectif : enrichir le mode constructif bois en apportant aux architectes, promoteurs, entreprises de pose, maîtres d’ouvrage et bureaux d’études, plus de performances (acoustique, feu, thermique), de simplicité de mise en œuvre, de fiabilité et de sécurité, à un coût économique. Destiné aux logements collectifs et immeubles de bureaux, le système de plancher préfabriqué consiste à assembler dans l‘usine alsacienne de Mathis le plancher CLT nervuré AZURTEC®, un écran thermique constitué de plaques de plâtre techniques prédécoupées aux dimensions souhaitées au sein du centre d’usinage et de recoupe sur mesure de Placo®*. L’intégration de l’écran thermique Placo® directement à la structure bois affranchit le plafond des contraintes de sécurité incendie, nourrit la liberté architecturale et technique en permettant l’intégration de luminaires et le passage de gaines dans le plafond et réduit l’épaisseur du complexe de plancher avec un gain vertical de 10 à 12 cm.
Il y a 3 ans et 28 jours

Un nouveau vice-Président et Directeur Général Kawneer Europe

CARNET-NOMINATION. Déjà directeur général de Kawneer Europe du Sud (France, Espagne, Portugal), Raphaël Dericbourg avait en novembre 2020 vu sa fonction élargie à la direction générale de Kawneer Nord-Est Europe (Benelux et Allemagne). Aujourd'hui, il est nommé vice-président et directeur général Kawneer Europe.
Il y a 3 ans et 28 jours

"Nous avons réalisé 200 évolutions sur notre site en 2021", S. Daunis, DG, Pum

INTERVIEW. L'enseigne spécialisée dans les solutions plastique de Saint-Gobain distribution Bâtiment France, Pum, a fait évoluer son site internet autour d'une stratégie centrée sur les besoins client. Au-delà de cette approche, l'enseigne a décidé d'impliquer l'ensemble de ses équipes dans cette accélération digitale. Sibylle Daunis, la directrice générale, nous en dit plus.
Il y a 3 ans et 29 jours

Un nouvel établissement médico-social durable à Béziers

CEMEX fournit du béton bas carbone pour ce nouveau bâtiment dont la conception respecte de nombreux critères de durabilité.Un emplacement qui a du sensCe nouvel établissement de 4 500 m² remplacera l’actuelle maison d’accueil spécialisée « Château Saint Pierre » située à Mont-Blanc. L’architecture de cette dernière ne répondait plus aux normes d’accessibilité nécessaires aux résidents, tandis que sa vétusté et sa surface disproportionnée étaient génératrices de coût de maintenance trop élevés. APF France handicap a choisi d’implanter le nouveau pôle médico-social « Résidence Belles Terres » dans la ZAC de Mazéran ayant pour vocation de regrouper des entreprises de pointe, notamment dans le secteur de la santé et du para-médical. Ce technoparc bénéficie par ailleurs d’une proximité avec les grands axes de transport facilitant ainsi l’accès au futur centre socio-médical pour le personnel et les visiteurs.Sous le signe de la concertationLa durabilité est un enjeu prégnant du projet. L’aspect social a été soutenu dès le début puisque les résidents et le personnel ont été consultés très en amont, durant les phases de programmation et de conception, au côté d’APF France handicap. L’intégration à proximité d’un domaine viticole, la forte attente d’un environnement paysager de qualité, le besoin de créer un lieu de vie ou l’on soigne et non pas l’inverse, ont également été pris en considération ainsi que la volonté de favoriser des matériaux de construction locaux et recyclés, d’optimiser la performance énergétique et de réduire les nuisances vis-à-vis des entreprises riveraines durant le chantier. Au total, CEMEX aura ainsi fourni 5 000 m3 de béton bas carbone Vertua® classic et 200 m3 de béton architectonique matricé effet pierre à l’entreprise Olacia en charge des travaux de gros œuvre. Ces livraisons se sont effectuées depuis les unités de production voisines de Béziers et Lignan. Les bétons Vertua®, commercialisés par CEMEX dès 2018, sont largement plébiscités par les maîtres d’ouvrage et d’œuvre car ils permettent de diminuer le bilan carbone du béton au-delà de 60% et, optionnellement, de compenser les émissions restantes.Béton bas carbone et outils respectueux de l’environnementEn plus de la qualité du béton bas carbone et des livraisons sur chantier, l’entreprise Olacia a apprécié la disponibilité des équipes CEMEX quant à leur présence sur le terrain, leur écoute et la cadence des livraisons depuis le début du chantier démarré en juin 2021, ainsi que la digitalisation du parcours client via l’outil CEMEX Go qui facilite la vie des acteurs de la construction - commandes de matériaux, suivi des livraisons en temps réel, gestion documentaire, … - le tout sans papier. Les équipes du secteur Occitanie Est sont fières de contribuer à ce projet socio-économique vertueux qui a par ailleurs été reconnu « Bâtiment Durable Occitanie, niveau argent » pour sa phase conception. Les travaux de gros œuvre sont prévus d’être terminés en juin prochain.
Il y a 3 ans et 29 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure : "RE 2020 vs RT 2012, ce qui change"

La Réglementation Environnementale - RE 2020 - est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s'appliquera aux bâtiments de bureaux et d'enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l'accent sur l'isolation thermique des logements renforçant l'indicateur Bbio et introduit la notion d'analyse de cycle de vie.Sobriété énergétiqueLes besoins en énergie (indicateur Bbio) sont toujours calculés à l'aide d'une méthode de calcul au pas horaire mais les scénarios d'occupation ont été ajustés et les fichiers météorologiques actualisés. Le Bbio dépend de l'orientation du bâtiment (apports solaires), de sa forme (compacité), de l'étanchéité à l'air de son enveloppe et du niveau d'isolation. En repère, la brochure précise juridiquement dans un tableau, l'évolution des résistances thermiques en m², K/W à mettre en œuvre, entre les deux réglementations.Consommations d'énergiePour bien saisir les évolutions notables en matière de consommation d'énergie, la brochure fait le point sur les facteurs du calcul du Cep max. Le FILMM rappelle que dans la RT 2012, le calcul de la consommation des bâtiments inclut le chauffage, le refroidissement, l'eau chaude sanitaire, l'éclairage et les auxiliaires (pompes, ventilateurs, etc...). Alors que désormais, la RE 2020 y ajoute l'éclairage des parties communes, les consommations des parkings (éclairage et ventilation) ainsi que les consommations liées aux déplacements dans le bâtiment (ascenseurs, escaliers roulants).La RE 2020 a également ajouté un seuil pour les consommations d'énergie non renouvelables (Cep nr max) en KWhep/(m².an) et le calcul d'un nouvel indicateur sur l'impact des émissions de gaz à effet de serre de l'énergie consommée en kg CO² eq/(m².an).Confort d'étéC'est là le 3ème aspect de la brochure qui explique que la RE 2020 a complètement revu l'indicateur, devenu le nombre de degrés heures d'inconfort (DH), exprimé en heures. Il faut désormais identifier le nombre d'heures pendant lesquelles la température maximale de confort est dépassée, multiplié par l'écart de température (entre la température mesurée et la température maximale dite de confort). Cela prend donc en compte la durée de l'inconfort et l'intensité de l'inconfort et ce, sur l'ensemble de l'année.Changement climatiqueCe dernier volet explique le calcul de l'indicateur "IC Construction", une nouvelle notion intégrée à la RE 2020 même si, comme le rappelle le FILMM, la meilleure façon de lutter contre le changement climatique, c'est de consommer moins d'énergie.L'impact carbone des produits et équipements de la construction, "IC Construction", prend en compte l'ensemble des produits et équipements de la construction constituant le bâtiment ainsi que l'aménagement de la parcelle sur laquelle il est construit. À cela sont ajoutées les consommations liées au chantier (énergie et eau).Ce calcul se fait à partir des quantités de produit mises en œuvre et des déclarations environnementales de ces produits (FDES) que les membres du FILMM mettent largement à disposition dans la base INIES. La RE 2020 a fixé des seuils à ne pas dépasser sur ces 2 indicateurs et à déjà prévu leur renforcement tous les 3 ans (2025, 2028 et 2031).
Il y a 3 ans et 29 jours

Recyclage et la valorisation des déchets inertes du BTP – La CAPEB Normandie et l’UNICEM Normandie signent une convention de partenariat

 Mercredi 6 avril 2022 – Dans le cadre de la conférence économique CERC Normandie.  Dans le cadre des ambitions du gouvernement en matière d’économie circulaire et afin d’améliorer encore le niveau de valorisation des déchets du bâtiment en Normandie, l’UNICEM Normandie et la CAPEB Normandie s’engagent et signent une convention de partenariat.  Les actions menées […]
Il y a 3 ans et 29 jours

PLACO et MATHIS présentent le système de plancher préfabriqué AZURTEC et PLACO

  UNE INNOVATION POUR RELEVER LES DÉFIS DE LA CONSTRUCTION BOIS  Placo® ambitionne de devenir un industriel partenaire des nouveaux modes constructifs durables, en s’associant aux compétences d’autres acteurs majeurs de l’écosystème du bâtiment. Le pré-assemblage hors-site permet d’imaginer des systèmes innovants. Sa collaboration avec Mathis, constructeur leader d’ouvrages en bois, illustre sa volonté forte d’accompagner […]
Il y a 3 ans et 29 jours

Knauf Ceiling Solutions accroit ses capacités de production

La division de Knauf spécialisée dans la fabrication de solutions de plafonds aura investi 13 M€ en deux ans dans ses trois usines françaises.
Il y a 3 ans et 29 jours

Alkern mise sur la RSE

Industrie -
Il y a 3 ans et 29 jours

Les énergies renouvelables se taillent la part du lion des ajouts de capacité dans le monde en 2021

De nouvelles données publiées par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) montrent que les énergies renouvelables ont poursuivi leur progression et gagné du terrain malgré un contexte mondial difficile. À la fin 2021, la capacité mondiale de production d'énergies renouvelables s'élevait à 3 064 gigawatts (GW), soit une augmentation du stock de ces énergies de 9,1%.Bien que l'énergie hydroélectrique ait représenté la plus grande part de la capacité de production renouvelable totale dans le monde avec 1 230 GW, le rapport Renewable Capacity Statistics 2022 de l'IRENA montre que le solaire et l'éolien ont continué à dominer les nouvelles capacités de production. Ensemble, ces deux technologies ont contribué pour 88 % à la part de toutes les nouvelles capacités renouvelables en 2021. La capacité solaire est en tête avec une augmentation de 19%, suivie par l'énergie éolienne, qui a renforcé sa capacité de production de 13%. « Cette progression soutenue est un nouveau témoignage de la résilience des énergies renouvelables. Les excellentes performances enregistrées l'année dernière offrent aux pays la possibilité de bénéficier dans une encore plus large mesure des nombreux avantages socio-économiques des énergies renouvelables. Toutefois, malgré cette tendance mondiale encourageante, notre nouvelle publication Perspectives pour les transitions énergétiques mondiales montre que la transition énergétique est loin d'être suffisamment rapide ou généralisée pour éviter les conséquences désastreuses des changements climatiques », déclare Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA « La crise énergétique que nous traversons actuellement vient confirmer que le monde ne peut plus compter sur les combustibles fossiles pour répondre à sa demande énergétique. Les fonds versés dans les centrales électriques à combustibles fossiles produisent des résultats indésirables, tant pour la survie d'une nation que pour celle de la planète. Les énergies renouvelables devraient devenir la norme dans le monde entier. Nous devons mobiliser la volonté politique pour accélérer le Scenario 1,5 °C. » Pour atteindre les objectifs climatiques, les énergies renouvelables doivent croître à un rythme plus rapide que la demande énergétique. Or, malgré une augmentation significative de l'utilisation des énergies renouvelables pour la production d'électricité, de nombreux pays n'ont pas encore atteint ce stade.En 2021, 60 % des nouvelles capacités ont été ajoutées en Asie, portant le total des capacités renouvelables à 1,46 térawatt (TW). La Chine a été le principal contributeur, avec un ajout de 121 GW à la nouvelle capacité du continent. L'Europe et l'Amérique du Nord, les États-Unis d'Amérique en tête, occupent respectivement la deuxième et la troisième place, avec un ajout de 39 GW pour la première et 38 GW pour la seconde. La capacité d'énergie renouvelable a augmenté de 3,9 % en Afrique et de 3,3 % en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Malgré une croissance régulière, le rythme observé dans ces deux régions est beaucoup plus lent que la moyenne mondiale, ce qui souligne le besoin de renforcer la coopération internationale en vue d'optimiser les marchés de l'électricité et de stimuler les investissements massifs dans ces régions.Principales tendances par technologie :Énergie hydroélectrique : sa croissance a augmenté de façon continue en 2021, la mise en service de plusieurs grands projets ayant été reportée à cette année.Énergie éolienne : en 2021, son expansion s'est poursuivie, mais à un rythme plus lent qu'en 2020. (+93 GW contre +111 GW l'année précédente).Énergie solaire : avec l'augmentation des nouvelles capacités dans toutes les grandes régions du monde au cours des années précédentes, la capacité solaire mondiale totale dépasse aujourd'hui l'énergie éolienne.Bioénergie : l'expansion nette des capacités s'est accélérée en 2021 (+10,3 GW contre +9,1 GW en 2020).Énergie géothermique : la capacité géothermique a enregistré une croissance exceptionnelle en 2021, avec un ajout de 1,6 GW.Électricité hors réseau : la capacité hors réseau a augmenté de 466 MW en 2021 (+4 %) pour atteindre 11,2 GW.
Il y a 3 ans et 29 jours

Simpson Strong-Tie a acquis ETANCO

Simpson Strong-Tie, leader de l’industrie des connecteurs structurels et des solutions d’assemblage, a annoncé le succès de son acquisition du groupe ETANCO, concepteur et fabricant de premier plan de fixations et systèmes pour l’enveloppe du bâtiment pour le marché européen de la construction. « Notre objectif est de combiner les entreprises de manière à tirer parti de nos forces respectives sur le marché, au service de nos clients », a déclaré Michael Andersen, vice-président des opérations européennes de Simpson Strong-Tie. « Les clients du groupe ETANCO et de Simpson Strong-Tie peuvent s’attendre au même niveau de qualité de produits et de services qu’ils ont reçu par le passé. »
Il y a 3 ans et 29 jours

Un récif artificiel en impression 3D béton signé XtreeE

XtreeE a contribué à l’élaboration d’un récif artificiel fabriqué avec l’impression 3D en béton. [©Greg Lecoeur / DEEU] Octobre 2021, baie de Monaco. Un récif artificiel fabriqué en béton imprimé 3D vient d’être immergé. XtreeE est à l’origine de la fabrication de cet habitat pour la faune sous-marine. Mais revenons à la genèse du projet. Tout a commencé au printemps 2021. Le Prince Albert II de Monaco a fait appel à son ami Pierre Frolla, recordman du monde d’apnée et défenseur de la biodiversité. Il lui a demandé de réfléchir à la création d’un récif artificiel en hommage à l’océanaute Albert Falco, second du commandant Jacques-Yves Cousteau. Pierre Frolla a alors réalisé  des esquisses de récifs en forme pyramidale. Des éléments qui mesureraient environ 3 m de côté pour 3 m de haut. Puis, la Direction de l’environnement de la principauté, maître d’ouvrage de l’opération, s’est mise en quête d’une solution technique capable de respecter la date de mise à l’eau prévue pour octobre 2021. Le choix s’est alors tourné vers l’industriel spécialiste en impression 3D, XtreeE. XtreeE comme solution « Nous avons déjà partagé une expérience avec XtreeE, souligne Raphaël Simonet, chef de division du patrimoine naturel à la Direction de l’environnement de Monaco. En 2020, nous avions réalisé une vingtaine de panneaux de béton imprimé en 3D. » Avant de lancer la fabrication du récif, XtreeE et la Direction de l’environnement ont décidé de le séparer en sept modules indépendants. Lire aussi : L’incontournable XTreeE Cela, pour faciliter le transport et éviter la mobilisation d’un coûteux convoi exceptionnel. « Une fois les esquisses saisies, nous les avons retranscrites en modèles géométriques, indique Victor De Bono, ingénieur-architecte chez XtreeE. Après quelques allers-retours avec Pierre Frolla, nous avons traduit ces modules en parcours pour le robot d’impression. » La fabrication a été lancée en septembre 2021. Le système d’impression 3D a permis de concevoir jusqu’à deux modules par jour. Les avantages de l’impression 3D en béton La technologie XtreeE offre de nombreux avantages, en termes de rapidité de fabrication et de réduction des coûts. Mais elle assure aussi la protection de la faune sous-marine. En effet, le béton ne produit aucune interaction chimique ou physique avec son environnement. « Il s’agit d’un matériau spécialement formulé pour l’impression 3D par Lafarge France, » ajoute Victor De Bono. Non poreux, il reste aussi imperméable à l’eau, aucun échange n’intervient avec le milieu marin. L’utilisation de l’impression en béton revient ainsi à contrôler la rhéologie1 de la matière. C’est-à-dire sa capacité à couler, mais aussi à s’assembler de manière homogène avec la couche précédente. De plus, la rugosité du béton imprimé 3D permet aux micro-organismes et aux algues, entre autres, de s’installer. Déclenchant ainsi un cycle biologique. Enfin, grâce au procédé XtreeE, la liberté est totale pour créer des structures adaptées aux diverses espèces. Le récif offre alors un nombre important de cavités de tailles et de profondeurs différentes. Dont une petite grotte de 1,60 m de haut et 0,60 m de large pour accueillir des céphalopodes ou encore des crustacés. 1L’étude de l’écoulement de liquides ou de matériaux visqueux.
Il y a 3 ans et 29 jours

Le documentaire “Solving Zero” met à l’honneur Ecocem

Présentation du documentaire “Solving zero” à l’ambassade d’Irlande par Conor O’Riain, directeur général Europe et France d’Ecocem. [©Ecocem] En 2021, Ecocem, spécialiste européen des solutions liants bas carbone, avait annoncé la finalisation d’un investissement de 22,5 M€ réalisé par Breakthrough Energy Ventures (BEV) et Breakthrough Energy Ventures-Europe (BEV-E). Deux fonds créés par Bill Gates, qui ont ainsi rejoint le conseil d’administration du groupe industriel. « Ces fonds ont passé beaucoup de temps à vérifier notre travail. Des experts des industries cimentaires se sont déplacés pour nous “auditer” », se souvient Conor O’Riain, directeur général Europe et France d’Ecocem. Efforts de décarbonation Lorsque la plate-forme Wondrium a eu le projet de réaliser une série documentaire inspirée du best-seller de Bill Gates, “Solving Zero”, elle s’est rapporchée d’Ecocem comme représentant du secteur de la construction. « Une reconnaissance internationale pour nous ! Ecocem est très honoré d’être présent dans ce documentaire très pédagogique et engagé. Et de voir les solutions du groupe plébiscitées. Après l’eau, le ciment est la substance la plus utilisée dans le monde. Et cette série démontre le rôle dynamique mené par son industrie en vue de limiter son impact environnemental », déclareConor O’Riain. Dans ce contexte, Ecocem est le seul représentant de la construction pour illustrer les efforts de décarbonation, aux côtés d’acteurs de l’agro-alimentaire, de l’alimentaire, de l’énergie et du transport. « Cela prouve l’importance de notre entreprise pionnière et leader sur le marché des liants bas carbone à base de laitier moulu. » R&D : 15 % de l’effectif d’Ecocem Ecocem est le seul représentant de la construction pour illustrer les efforts de décarbonation, aux côtés d’acteurs de l’agro-alimentaire, de l’alimentaire, de l’énergie et du transport. [©Ecocem] « Nous avons passé 3 j avec l’équipe de Wondrium à Dunkerque et sur plusieurs chantiers du Grand Paris où sont utilisées nos solutions. Et une journée, au laboratoire “Matériaux cimentaires éco-efficaces” (MC²E), qui est commun à l’Ens Paris-Saclay, au CNRS et à notre groupe. Ce laboratoire apparaît dans le documentaire. Nous sommes aussi partenaires de l’Insa de Toulouse et du LMDC. Nous possédons un “Centre d’excellence”, un laboratoire 100 % Ecocem Group, basé à Champlan, au Sud de Paris. Sur ces 3 sites de Saclay, de Toulouse et de Champlan, 24 personnes sont dédiées à la R&D, dont 21 doctorants. Elles représentent 15 % de notre effectif groupe », détaille Conor O’Riain. Pour un large public La série prévoit un numéro pilote et dix épisodes, qui recueilleront les réflexions et les pistes possibles émises par des scientifiques. Ainsi que les propositions d’industriels pour atteindre ou s’approcher du zéro carbone. « Ces projets mettent en évidence des solutions intéressantes, qui, je l’espère, inciteront les gens à réfléchir à la question et à ce que chacun d’entre nous peut apporter pour lutter contre les changements climatiques », déclare Bill Gates. L’épisode pilote aborde les enjeux majeurs de la construction et explique les incidences des solutions Ecocem. Ceci, en termes de diminution d’empreinte carbone, au travers des exemples concrets. Tels que le Grand Paris ou le village olympique 2024. « Réinventer l’usage des matériaux traditionnels, tels que le ciment, est un des objectifs majeurs du groupe impliqué depuis une vingtaine d’années dans cette démarche, conclut Conor O’Riain. Ce documentaire s’adresse à tout le monde. Il va permettre à un plus large public de prendre conscience de la nécessité de la décarbonation du secteur. » Lien de la plate-forme de diffusion ici 
Il y a 3 ans et 29 jours

L’académie Testo obtient la certification QUALIOPI

Créée en 2006, et reconnue par les professionnels pour la pertinence de ses formations en thermographie infrarouge, prise de mesure, analyse de combustion…, l’Académie Testo vient d’obtenir la certification QUALIOPI par ICPF. Elle atteste de la qualité des prestations proposées par l’entreprise, leader des appareils de mesure, et permet aux stagiaires de bénéficier de la prise en charge de leur formation par les OPCO (Opérateurs de Compétences). L’Académie Testo : des formations techniques certifiantes La mesure en combustion, l’aéraulique et la thermographique sont des spécialités qui nécessitent un savoir-faire pour optimiser l’utilisation des appareils de mesure. Basé à Forbach, le centre de formation L’Académie Testo est destiné aux professionnels (bureaux d’études, installateurs chauffagistes et frigoristes, techniciens de maintenance, exploitants, …) souhaitant acquérir des compétences techniques nouvelles dans ces domaines. Alliant théorie et pratique, les sessions intra-entreprises, d’une durée d’un jour, sont structurées et organisées par spécialités : • Thermographie infrarouge appliquée au bâtiment, • Thermographie infrarouge appliquée à l’industrie, • Analyse de combustion afin d’acquérir les protocoles de prises de mesure et analyser les résultats, • Mesure aéraulique, • Mesure d’émission pour comprendre le fonctionnement d’un analyseur de combustion, • Minimiser le risque de propagation de la COVID. Les professionnels peuvent découvrir l’ensemble des offres de formation de l’Académie Testo sur le site https://www.testo.com/
Il y a 3 ans et 29 jours

Le projet “K6” d’Eqiom et Air Liquide reçoit 150 M€

K6 vise à capter près de 8 Mt de CO2 sur les dix premières années d’exploitation de la cimenterie Eqiom de Lumbres, “nouvelle version”, grâce à la mise en œuvre de technologies innovantes. [©Eqiom] Eqiom et Air Liquide se sont associés dans le cadre du projet baptisé “K6”. Son objectif : transformer la cimenterie Eqiom de Lumbres, en l’une des premières unités d’Europe neutres en carbone. Ce projet a été sélectionné par le Fonds européen d’innovation, qui finance les plus grands programmes mondiaux de promotion des technologies innovantes bas carbone. K6 est l’un des sept projets de dimension industrielle à avoir été sélectionné pour un financement par la Commission européenne dans le cadre de l’édition 2021 de son fonds. Et ce, parmi plus de 300 candidatures à subventions. L’obtention d’un financement de 150 M€ marque une étape essentielle pour la mise en œuvre de ce projet. K6 doit aussi faire l’objet de fonds publics additionnels, d’approbations réglementaires et d’évaluations de faisabilité internes avant son lancement. Qu’est-ce que K6 ? K6 vise à capter près de 8 Mt de CO2 sur les dix premières années d’exploitation de la cimenterie Eqiom de Lumbres, “nouvelle version”, grâce à la mise en œuvre de technologies innovantes. Il doit voir la mise en place d’un four à oxy-combustion, le premier de son genre, en grande partie alimenté par des combustibles alternatifs. Air Liquide fournit pour sa part de l’oxygène pour alimenter le processus de production. Par ailleurs, le spécialiste français des gaz industriels s’appuie sur sa technologie propriétaire Cryocap Oxy pour capter, puis liquéfier les émissions de CO2. Une fois purifié et liquéfié, le CO2 capté à la cimenterie de Lumbres pourrait être transporté par bateau vers des sites de stockage permanent actuellement en cours de développement en mer du Nord. Ou serait utilisé dans des matériaux de construction. La réalisation de ce projet à proximité immédiate du port de Dunkerque pourrait aussi contribuer au développement d’un nouvel éco-système de captage et de stockage du CO2 (CCS) en Europe. En effet, le projet K6 constitue une étape clef dans le développement du PCI (Projet d’intérêt commun) D’Artagnan de Dunkerque. Ce dernier va permettre de créer une plate-forme multimodale d’exportation de CO2 à partir du bassin industriel de Dunkerque et de sa zone élargie.
Il y a 3 ans et 30 jours

L’artisanat du bâtiment en danger selon une enquête de la CAPEB en région

C’est le triste constat qui résulte de l’enquête flash conduite par les CAPEB d’Auvergne-Rhône-Alpes auprès de leurs adhérents et c’est pourquoi la CAPEB est plus que jamais mobilisée pour demander des solutions d’urgence concrètes pour sauver l’artisanat.Des remontées inquiétantes du terrainLes entreprises artisanales du Bâtiment sont confrontées depuis la crise sanitaire à des augmentations de prix ininterrompues et imprévisibles et se heurtent à des difficultés d’approvisionnement depuis un an et demi et qui s’aggravent. S’y est ajoutée la hausse des prix de l’énergie depuis la fin 2021 qui s’accentue considérablement avec la guerre en Ukraine. Désormais, un certain nombre d’enseignes et d’industriels se refusent à s’engager sur les prix et les délais de livraison. Une situation brutale et particulièrement anxiogène pour les entreprises artisanales du Bâtiment qui se vérifient dans leurs réponses à l’enquête flash qu’ont conduite les CAPEB départementales auprès de leurs adhérents. C’est particulièrement le cas pour les plus petites entreprises :31% des entreprises ne pourront pas faire face aux difficultés engendrées par le contexte économique et géopolitique au-delà d’un an.18% seulement des entreprises sans salariés et 17% des entreprises entre 1 et 5 salariés pensent pouvoir résister 2 ans et plus.56% des artisans voient leur moral impacté contre 27% des entreprises de plus de 20 salariés.Des mesures insuffisantes du gouvernement – Les solutions de la CAPEBLe Ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, s’était engagé à intégrer le Bâtiment dans le plan de résilience du gouvernement. La CAPEB a pu constater que ce n’était pas le cas.Même si certaines mesures vont dans le bon sens, comme appeler une nouvelle fois les acheteurs publics à faire jouer la clause de l’imprévisibilité dans les contrats et à ne pas appliquer les pénalités de retard pour un chantier du fait de difficultés d’approvisionnement liées à la guerre en Ukraine, elles sont loin d’être suffisantes.En effet, les marchés publics ne représentent que 17 % des marchés des entreprises artisanales et faire jouer la clause d’imprévisibilité est tout sauf simple. Enfin, aucune disposition n’est prévue pour les marchés signés avec les particuliers qui représentent l’essentiel des marchés des entreprises artisanales du bâtiment.La CAPEB propose 8 mesures très concrètesVeiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs participent activement au comité de crise du BTP mis en place par le gouvernement, intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation et assument les risques d’augmentation des prix avec la filière dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du Bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils garantissent leur stabilité durant au minimum trois mois. En effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours ;Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Marchés publics. Rendre enfin systématique, au profit des entreprises, l’application de pénalités en cas de retard de paiement du maître d’ouvrage ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux. Quelques-unes de ces propositions ont d’ores et déjà été entendues. Ainsi, le communiqué de presse du ministère de l’Economie du 29 mars prévoit notamment la révision accélérée des index à partir de mai 2022, la mise en place d’une aide temporaire pour les entreprises de TP, l’organisation d’un comité de crise BTP départemental et la publication d’une circulaire aux maîtres d’ouvrage publics sur la révision des prix.Ces mesures restent cependant insuffisantes au regard de la situation et la CAPEB poursuit donc sa mobilisation.La CAPEB mobiliséePartout en France, les CAPEB départementales et régionales sollicitent leur préfet pour qu’il organise une table ronde avec l’ensemble des acteurs du Bâtiment, industriels et négociants, afin de rechercher les termes d’une « solidarité économique » permettant de limiter les hausses de prix et d’éliminer les comportements anormaux. Des rendez-vous sont également pris avec leurs députés et sénateurs.De nombreuses communications auprès des médias (presse, radio et TV) sont également organisées aussi bien au niveau national que dans les départements. C’est particulièrement le cas dans notre région.La mobilisation de la CAPEB commence à porter ses fruits. L’enseigne de distribution Saint-Gobain s’est récemment engagée par écrit auprès du Président national de la CAPEB pour encadrer la hausse des prix avec des propositions concrètes comme celle de l’autoriser seulement le premier de chaque mois. A destination des entreprises, les CAPEB départementales leur apporte tout l’accompagnement et le soutien dont elles ont besoin au quotidien. Une fiche pratique a été élaborée à cet effet pour les aider à mieux résister à la crise.Pour Dominique Guiseppin, Chef d’entreprise artisanale de peinture (Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « La situation est particulièrement inquiétante pour nos entreprises, c’est leur rentabilité et à terme la pérennité de l’artisanat qui est en jeu. Si l’activité ne manque pas pour l’instant, nous souffrons d’un manque de lisibilité sur nos approvisionnements qui ralentit considérablement nos chantiers et perturbe grandement leur organisation, sans compter l’augmentation des coûts qui a un impact très lourd sur nos marges. L’enquête flash que nous avons conduite avec les CAPEB départementales le montre bien, seulement 18 % des entreprises artisanales répercutent la hausse des prix sur leurs clients.À l’heure des élections présidentielle et législatives, il est grand temps que nos dirigeants entendent enfin la voix des entreprises artisanales et leur proposent des mesures adaptées. »
Il y a 3 ans et 30 jours

Isocoton, le nouvel isolant thermique et acoustique d’Isover, tout doux et biosourcé destiné à l’ITI

Isover a présenté le 7 avril 2022, son nouvel isolant biosourcé Isocoton. Il sera commercialisé dès le 18 avril dans la distribution professionnelle et en GSB, en panneaux souples et semi-rigides.
Il y a 3 ans et 30 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT D’EAS SOLUTIONS ENCORE PLUS RENTABLE FACE A LA FLAMBÉE DES PRIX DE L’ÉLECTRICITÉ !

Avec la flambée des prix de l’électricité, il est crucial pour les entreprises de baisser drastiquement leur consommation d’énergie. La rénovation d’un ancien éclairage énergivore par de nouvelles solutions d’éclairage LED intelligent est un moyen sûr, rapide et efficace d’y parvenir. Instantanément, l’éclairage LED connecté permet d’économiser entre 75 et 95 % sur les dépenses énergétiques et apporte une meilleure efficacité lumineuse ainsi qu’un confort visuel accru. Comme l’explique Didier Petit-Brisson, CEO d’EAS SOLUTIONS, « l’éclairage représente la solution la plus directe à mettre en place pour économiser immédiatement l’énergie. Concernant l’industrie et la logistique par exemple, c’est l’un des seuls postes dont l’optimisation n’a pas d’incidences sur la fabrication et le stockage. Chaque luminaire LED est entièrement paramétrable et modifiable une fois installé. Doté d’intelligence embarquée avec des capteurs de mouvements et de luminosité, il éclaire à bon escient, uniquement où cela est nécessaire. Si un luminaire fonctionne 90% du temps à 10% de sa puissance, on arrive à une consommation extrêmement basse, de l’ordre de 5W à 15W par luminaire ». Les possibilités sont infinies. L’éclairage intelligent contribue à augmenter l’efficacité, la productivité et la sécurité du site, sans oublier le bien-être de ses occupants en asservissant la solution à la lumière naturelle. Il prolonge également la durée de vie du luminaire à plus de 200.000 heures, permettant à EAS Solutions d’offrir des garanties commerciales allant de 5 à 10 ans. Depuis 13 ans, EAS SOLUTIONS a déjà permis à plus de 1000 clients d’économiser 395 millions de kWh et d’éviter le rejet dans l’atmosphère de 141 410 tonnes de C02. L’OFFRE LOCATIVE, UNE SOLUTION ADAPTÉE :  Face à la hausse du prix du kWh, EAS SOLUTIONS propose de « dématérialiser » l’éclairage avec des solutions locatives innovantes d’éclairage LED intelligent. L’offre locative jusqu’à 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS porte majoritairement sur des solutions d’éclairage garanties 10 ans avec des durées de vie de plus 200.000 heures. Pour l’entreprise, les avantages sont immédiats comme le démontre l’étude de cas ci-dessous : Relamping d’un entrepôt logistique d’une superficie de 45 000 m2 avec l’offre locative 60 mois d’EAS SOLUTIONS : L’entrepôt logistique est en activité 6 jours par semaine et 24h/24, toute l’année. Initialement, il était équipé de 542 luminaires Sodium 460 W y compris le Ballast (soit une puissance totale de 249,32 kW) qui nécessitaient une maintenance dont le coût était de 6.500 € H.T /an. Le relamping de l’entrepôt qui améliore considérablement la qualité de l’éclairage, comprend 542 luminaires LED intelligents 147 W dont le coût total s’élève à 287.000 € H.T. L’installation de la nouvelle solution d’éclairage LED intelligent avec capteurs de présence et de luminosité, génère instantanément de très importantes économies qui se traduisent par : –             une diminution de la facture d’électricité de 270.345 €/an, en se basant sur un prix du kWh de 0,15 €, soit une économie de 22.529 € H.T/mois. –             la suppression de la maintenance annuelle de 6.500 € H.T /an. Avec l’offre locative sur 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS, les mensualités du relamping s’élèvent à 5.370,73 € H.T, entraînant une économie nette de 17.158, 27€ H.T/mois sur la consommation et de 542 € H.T/mois sur la maintenance. EAS Solutions donne la possibilité pour une mensualité supplémentaire à la fin du contrat de location de devenir propriétaire de l’installation qui est encore garantie 5 ans. Sur 5 ans, l’économie globale réalisée s’élève à 1.056.655 € H.T et, sur 10 ans, l’économie globale réalisée (économies d’énergie et de maintenance) atteint 2.440.880 € H.T. Sans l’offre locative, l’investissement de cette nouvelle installation serait amorti en 13 mois.   A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 30 jours

Le TER de Dakar, une "vitrine" pour le Sénégal... et les industriels français

EN IMAGES. La capitale du Sénégal a inauguré fin 2021 son train express régional. Plusieurs groupes français ont participé à ce projet. Parmi eux, Equans et Thales ont oeuvré ensemble à la conception et la réalisation d'un système ferroviaire moderne et innovant.
Il y a 3 ans et 30 jours

CAP sur la croissance – Xella accélère sa capacité de production de 15 %

Dans un contexte actuel compliqué pour de nombreux industriels de la construction, Xella augmente sa capacité de production de plus de 15 % en France pour répondre à une forte demande, notamment dans la construction de logements résidentiels neufs, et l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation RE2020, qui favorise les solutions constructives décarbonées.  Pour […]
Il y a 3 ans et 30 jours

Le Groupement Actibaie prévoit une activité soutenue pour les filières stores, volets, portes et portails en 2022

Pour maintenir cette croissance, le Groupement Actibaie fait le point sur les chantiers majeurs pour 2022 : emplois, approvisionnement en matières premières et composants électroniques, économie circulaire et RE2020.2021, une année recordPour les filières représentées par le Groupement Actibaie, l’année 2021 aura été une année de croissance, plus élevée que la moyenne du secteur du bâtiment, qui malgré une hausse d’activité de 12,2 %, n’a pas encore retrouvé son niveau d’avant crise.Pour Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie : « Les carnets de commandes sont pleins et ce malgré les problématiques conjoncturelles, qui ont pourtant augmenté les tarifs comme les délais de livraison. Cette accélération est une conséquence directe de l’explosion de la demande en rénovation : suite aux confinements successifs, les Français ont désiré améliorer leur habitat. Une dynamique que l’on retrouve également dans la construction neuve. »Attirer de nouveaux talents par la formationPour les différentes filières, la hausse d’activité s’est accompagnée de recrutements sur 2021 : un exercice qui s’avère encore problématique sur certains métiers. En 2022, la FFB projette des besoins sur 25 000 postes. Pour adresser ce manque de main-d’œuvre, le Groupement Actibaie investit dans la formation initiale et continue, qui s’adresse à tous, notamment aux personnes en reconversion ou éloigné de l’emploi. C’est le cas de la formation Installateurs de stores et volets, lancé en janvier dernier.« Il s’agit d’un contrat de professionnalisation d’un an en alternance organisé en partenariat avec le GIEQ Ile de France (Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification). Ce type de formation permet aux entreprises partenaires de former en alternance à leurs méthodes de nouveaux profils, avec une embauche à la clé pour l’alternant. » précise le délégué général. A la fin de la formation, les stagiaires passent un examen pour obtenir un CQP « Installateur de stores et volets ».Limiter la hausse des prix et les délais d’approvisionnementGrâce à la dynamique de l’individuel, la FFB prévoit une hausse du logement neuf, les permis de vente ayant progressé entre 2019 et 2021. En effet, 398 000 logements seront commencés en 2022. Une perspective qui réjouit le Groupement Actibaie. « La RE2020, qui intègre en outre l’installation de protections solaires, va dynamiser grandement l’activité du neuf pour les filières stores et volets. »Néanmoins, il va pour cela falloir aux professionnels faire face à la hausse du prix des matières premières, qui se maintient sans perspective d’évolution.Pour Yannick Michon, président du Groupement Actibaie : « Les fabricants ont déjà dû répercuter la hausse des prix sur leurs tarifs, en moyenne de +10 % sur l’exercice 2021, impactant ainsi l’ensemble de la chaîne, du fabricant à l’installateur. Le client final est obligé d’absorber une partie de cette hausse. »Autre enjeu, la pénurie des semi-conducteurs, utilisés dans la motorisation et l’automatisation des stores et volets. Pour Pascal Cros, vice-président du Groupement Actibaie et représentant des métiers Volet, le problème est d’autant plus critique car le marché est détenu majoritairement par un acteur. « SOMFY ayant des difficultés d’approvisionnement, c’est l’intégralité de la chaîne de valeur qui se voit impactée. En neuf, la motorisation est quasiment systématique : difficile donc sans aucune visibilité sur cette sortie de crise de savoir quel impact cela aura sur le long terme. »Économie circulaire et REP BâtimentD’ici 2050, la Stratégie Nationale Bas carbone (SNBC) prévoit la décarbonisation quasi-complète du secteur du bâtiment, représentant à lui seul 30 % des émissions annuelles nationales. En effet, le secteur produit chaque année 42 millions de tonnes de déchets, soit l’équivalent de la quantité annuelle produite par les ménages. Afin de développer la collecte et la valorisation de ces déchets générés lors des opérations de déconstruction et de rénovation des bâtiments, la responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment entrera en vigueur au plus tard le 1er janvier 2023.Pour Hervé Lamy, délégué général du Groupement Actibaie : « L’un des dossiers majeurs pour le Groupement Actibaie cette année, sera de travailler conjointement avec les éco-organismes et les autres syndicats à la définition du barème d’écocontribution. La difficulté sera de simplifier au maximum les calculs tout en prenant en compte les problématiques liés à chaque matériau. Ce barème devrait être finalisé avant la fin de l’année. »Embarquer les professionnels dans une filière plus vertueusePour accompagner l’entrée en vigueur de la RE2020 et de la REP des produits de construction, le Groupement Actibaie a élaboré une Charte d’Engagements pour la Préservation de l’Environnement (CEPE), à destination de ses adhérents, afin d’adopter une approche plus écologique. À ce jour, 46 entreprises sont signataires et se sont ainsi engagées à faire évoluer leurs pratiques à tous les niveaux : conception des produits, approvisionnement, process de production et recyclabilité des produits. « Nous espérons à terme que ces bonnes pratiques soient partagées et mises en place par l’ensemble de nos adhérents industriels. » conclut le président Yannick Michon.
Il y a 3 ans et 30 jours

Une brochure pour comprendre la RE 2020

Le syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées (FILMM) édite une nouvelle brochure « RE 2020 vs RT 2012, ce qui change ». La RE 2020 est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s’appliquera aux bâtiments de bureaux et d’enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l’accent sur l’isolation thermique des logements renforçant l’indicateur Bbio et introduit la notion d’analyse de cycle de vie. Cette brochure présente de manière concise et claire les 4 grands piliers qui structurent la nouvelle réglementation des bâtiments neufs. www.filmm.org/re-2020-vs-rt-2012-ce-qui-change   Cet article Une brochure pour comprendre la RE 2020 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 30 jours

Panasonic étend sa capacité de production de pompes à chaleur en République tchèque

Pilsen, République tchèque – Multiplication par 4 de la production européenne de pompes à chaleur air-eau en 2022, par rapport à 2019. L’usine Panasonic de Pilsen, en République tchèque, a commencé à produire ses pompes à chaleur air-eau il y a 3 ans. La production n’a jamais cessé d’augmenter au sein de l’usine tchèque de Panasonic, […]