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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35109 résultats)
Il y a 3 ans et 30 jours

Une brochure pour comprendre la RE 2020

Le syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées (FILMM) édite une nouvelle brochure « RE 2020 vs RT 2012, ce qui change ». La RE 2020 est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s’appliquera aux bâtiments de bureaux et d’enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l’accent sur l’isolation thermique des logements renforçant l’indicateur Bbio et introduit la notion d’analyse de cycle de vie. Cette brochure présente de manière concise et claire les 4 grands piliers qui structurent la nouvelle réglementation des bâtiments neufs. www.filmm.org/re-2020-vs-rt-2012-ce-qui-change   Cet article Une brochure pour comprendre la RE 2020 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 30 jours

Panasonic étend sa capacité de production de pompes à chaleur en République tchèque

Pilsen, République tchèque – Multiplication par 4 de la production européenne de pompes à chaleur air-eau en 2022, par rapport à 2019. L’usine Panasonic de Pilsen, en République tchèque, a commencé à produire ses pompes à chaleur air-eau il y a 3 ans. La production n’a jamais cessé d’augmenter au sein de l’usine tchèque de Panasonic, […]
Il y a 3 ans et 30 jours

La croissance française se tasserait plus que prévu du fait de la guerre en Ukraine

La banque centrale française a abaissé sa précédente prévision de croissance qui était de 0,5%, quand l'Insee tablait encore mi-mars sur une progression du produit intérieur brut (PIB) de 0,3% au premier trimestre."Après avoir retrouvé son niveau d'avant-crise durant le troisième trimestre 2021, plus tôt que la moyenne européenne, le PIB (produit intérieur brut) resterait en croissance", au premier trimestre 2022, mais de façon "plus modérée, du fait de l'environnement international", estime la Banque de France dans son enquête mensuelle de conjoncture. Au dernier trimestre 2021, le PIB avait progressé de 0,7%.Ce ralentissement de l'économie française semble confirmer que la croissance sera sur l'année bien inférieure au 4% prévu initialement par le gouvernement, et le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a d'ailleurs déjà indiqué que le gouvernement réviserait sa prévision prochainement. Mi-mars, l'Insee avait indiqué s'attendre à une consommation des ménages en recul de 0,5% au premier trimestre, alors que leur pouvoir d'achat devrait avoir reculé de 1,4% du fait de l'inflation. C'est un élément d'inquiétude pour la croissance française, la consommation étant traditionnellement son principal moteur."Le mois de mars a été marqué par la guerre en Ukraine dont les premières conséquences se font sentir sur l'économie française. En outre, face au regain de l'épidémie de Covid-19, la Chine a réinstauré des mesures de confinement dans certaines régions, ce qui a pu renforcer les difficultés d'approvisionnement", des entreprises, explique aussi la banque centrale française après avoir interrogé plus de 8.000 entreprises pour son enquête."Route plus glissante""Le choc est beaucoup moins brutal que le choc Covid d'il y a deux ans, mais il pourrait durer plus longtemps et affecter notre croissance et l'emploi", a prévenu le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau dans un entretien aux journaux du groupe Ebra (L'Est républicain, Les dernières nouvelles d'Alsace, le Dauphiné libéré, etc.)."Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L'économie française avance sur une route qui est devenue plus glissante", a-t-il ajouté.Si l'activité a continué de progresser au premier trimestre, c'est surtout dans le secteur des services, notamment dans l'hôtellerie-restauration, qui se remet progressivement de la fin des restrictions sanitaires liées à l'épidémie.En revanche, dans l'industrie, la situation est plus contrastée. Dès février, la production industrielle française avait pris par surprise les observateurs, en reculant de 0,9%, selon les données de l'Insee, et la situation se serait encore aggravée en mars.Dans l'automobile, dont les chaînes d'approvisionnement sont très affectées par le conflit en Ukraine, 89% des entreprises interrogées par la Banque de France affirment désormais faire face à des difficultés d'approvisionnement, soit 10 points de plus qu'en février.Autre conséquence de la guerre, les entreprises de l'agro-alimentaire subissent elles aussi des problèmes d'approvisionnement, le pays étant un fournisseur important, notamment d'huile et tourteaux de tournesol. Elles sont désormais 59% à rapporter des difficultés, contre 45% en février (+14 points), souligne la Banque de France.Pour le mois d'avril, la banque centrale pointe une situation de "forte incertitude", notamment dans l'industrie, même si les entreprises s'attendent toujours une légère croissance de leur activité. Les services resteraient bien orientés, alors que les entreprises du bâtiment entrevoient une "très légère baisse" de leur activité.Outre les perturbations des chaînes d'approvisionnement, l'inflation suscite l'inquiétude. Elle a bondi à 4,5% en mars, son plus haut niveau depuis les années 1980, stimulée par la flambée des prix de l'énergie.
Il y a 3 ans et 30 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure : RE 2020 vs RT 2012, ce qui change ?

Elle présente les 4 grands piliers qui structurent la nouvelle règlementation des bâtiments neufs. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – est entrée en vigueur pour les logements neufs au 1er janvier 2022. Elle s’appliquera aux bâtiments de bureaux et d’enseignement au 1er juillet 2022 et aux autres bâtiments tertiaires un peu plus tard. Plus exigeante pour les bâtiments neufs pour lutter contre le changement climatique, elle met notamment l’accent sur l’isolation thermique des logements renforçant l’indicateur Bbio et introduit la notion d’analyse de cycle de vie. Sobriété énergétique : les besoins en énergie (indicateur Bbio) sont toujours calculés à l’aide d’une méthode de calcul au pas horaire mais les scénarios d’occupation ont été ajustés et les fichiers météorologiques actualisés. Le Bbio dépend de l’orientation du bâtiment (apports solaires), de sa forme (compacité), de l’étanchéité à l’air de son enveloppe et du niveau d’isolation. En repère, la brochure précise judicieusement dans un tableau, l’évolution des résistances thermiques en m². K/W à mettre en œuvre, entre les deux réglementations. Consommations d’énergie : pour bien saisir les évolutions notables en matière de consommation d’énergie, la brochure fait le point sur les facteurs du calcul du Cep max. Le FILMM rappelle que dans la RT 2012, le calcul de la consommation des bâtiments inclut le chauffage, le refroidissement, l’eau chaude sanitaire, l’éclairage et les auxiliaires (pompes, ventilateurs, etc.). Alors que désormais, la RE 2020 y ajoute l’éclairage des parties communes, les consommations des parkings (éclairage et ventilation) ainsi que les consommations liées aux déplacements dans le bâtiment (ascenseurs, escaliers roulants). La RE 2020 a également ajouté un seuil pour les consommations d’énergie non renouvelables (Cep nr max) en kWhep/(m2.an) et le calcul d’un nouvel indicateur sur l’impact des émissions de gaz à effet de serre de l’énergie consommée en kg CO2 eq/(m².an). Confort d’été : c’est là le 3ème aspect de la brochure qui explique que la RE 2020 a complètement revu l’indicateur, devenu le nombre de degrés heures d’inconfort (DH), exprimé en heures. Il faut désormais identifier le nombre d’heures pendant lesquelles la température maximale de confort est dépassée, multiplié par l’écart de température (entre la température mesurée et la température maximale dite de confort). Cela prend donc en compte la durée de l’inconfort et l’intensité de l’inconfort et ce, sur l’ensemble de l’année. Changement climatique : ce dernier volet explique le calcul de l’indicateur « IC Construction », une nouvelle notion intégrée à la RE 2020 même si, comme le rappelle le FILMM, la meilleure façon de lutter contre le changement climatique, c’est de consommer moins d’énergie. L’impact carbone des produits et équipements de la construction, « IC construction », prend en compte l’ensemble des produits et équipements constituant le bâtiment ainsi que l’aménagement de la parcelle sur laquelle il est construit. A cela sont ajoutées les consommations liées au chantier (énergie et eau). Ce calcul se fait à partir des quantités de produits mises en œuvre et des déclarations environnementales de ces produits (FDES) que les membres du FILMM mettent largement à disposition dans la base INIES. La RE 2020 a fixé des seuils à ne pas dépasser sur ces 2 indicateurs et a déjà prévu leur renforcement tous les 3 ans (2025, 2028 et 2031). Fascicule pédagogique compte tenu de la clarté des informations qui y sont présentées, le FILMM met à la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet sa nouvelle brochure « RE 2020 vs RT 2012 : ce qui change ? » : www.filmm.org/re-2020-vs-rt-2012-ce-qui-change.
Il y a 3 ans et 30 jours

Un quart des entreprises françaises menacées par la hausse de l'inflation et le manque de gestion efficace des prix

L’étude récente sur l'inflation* conduite par le cabinet de conseil international Simon-Kucher & Partners a révélé que 21% des entreprises françaises interrogées s'attend à ce que les coûts augmentent de plus de 6% au cours de l'année à venir, en raison de la forte hausse des coûts de main-d'œuvre et de production. Dans le même temps, une entreprise sur trois (29%) n'a pas augmenté ni prévu d'augmenter ses prix en réponse à la hausse des coûts et des taux d'inflation. Les pressions sur les prix continuent de s'accentuerPlus de la moitié des entreprises françaises interrogées (56%) reconnaissent l'importance d'augmenter les prix pour contrer la hausse des coûts. Elles hésitent cependant quant aux meilleures approches à adopter, la perte excessive de volume due aux augmentations de prix étant une préoccupation majeure pour 38% d’entre elles. Ces pressions sur les prix entraîneront des répercussions non seulement sur les entreprises, mais aussi plus globalement, notamment sur les consommateurs finaux et les marchés boursiers. David Vidal, Managing Partner France et Directeur de la division Europe et Amérique Latine, commente : « Nous constatons un manque de confiance de la part des entreprises quant à la manière et au moment d'appliquer leurs augmentations de prix. Compte tenu des niveaux d'inflation généralement faibles de ces dernières années, il s'agit d'un problème nouveau à gérer pour de nombreuses entreprises. Cependant, l'absence d'une gestion efficace des prix représente une menace réelle pour les entreprises. L'incapacité à répercuter les coûts risque d'entraîner une diminution importante des marges et de compromettre leur viabilité à long terme. »Les augmentations de prix auront un impact généraliséL'étude révèle que plus de la moitié des entreprises françaises interrogées (56%) ont une augmentation de prix en cours ou à venir. L'efficacité de ces augmentations comme lutte contre la hausse des coûts n'est toutefois pas claire. Lorsqu'on leur demande quelle part de l'augmentation des coûts prévue ils pensent pouvoir répercuter sur les prix, les répondants français l’estiment à 12% seulement. Sur la base d'une augmentation des coûts de 6%, cela représente 5,3% de coûts supplémentaires qui se répercutent sur leurs résultats.« Beaucoup d’entreprises n'ont pas encore répercuté leurs hausses de coûts. Cela suggère que lorsqu'elles le feront, les consommateurs ressentiront un impact inflationniste supplémentaire significatif », ajoute Martin Crépy, Partner et en charge de l’industrie ‘Consumer Goods’.Les taux d'inflation actuels exigent la mise en place de compétences de gestion des prixLorsque les entreprises appliquent des augmentations de prix, une sur quatre (27%) parmi celles interrogées en France les appliquent de manière uniforme à l'ensemble de leur clientèle, sans différenciation en fonction de la volonté de payer des clients, ou de la rentabilité réalisée avec différents segments de clients. Ce manque de différenciation représente une occasion perdue supplémentaire de maximiser l’efficacité de leurs programmes d'augmentation de prix.« Les augmentations de prix sont un sujet très sensible, en particulier pour les sociétés qui entretiennent des relations de longue date avec leurs clients. De nombreuses équipes de direction actuelles n'ont jamais vu l'inflation à de tels niveaux, ce qui signifie que les entreprises doivent rapidement mettre en place des capacités d’action sur le pricing, mises en veille trop longtemps », précise Franck Brault, Senior Partner et en charge de l’industrie ‘Chimie’. « A l'heure actuelle, une stratégie de communication et de pricing bien pensée est d'une importance capitale pour que les entreprises puissent survivre à la concurrence. »*A propos de l’étude : L'étude « Inflation Pricing Study » a été menée en ligne entre décembre 2021 et mars 2022 par le cabinet de conseil mondial Simon-Kucher & Partners (via YouGov). Plus de 3000 entreprises de 20 pays ont été interrogées sur les thèmes de l'inflation et de la hausse des prix.
Il y a 3 ans et 30 jours

Double nomination chez Demathieu Bard

De gauche à droite, François Barthélemy, nouveau directeur délégué des ressources humaines, et, Vincent Monnot, directeur financier. [©Demathieu Bard] Le groupe Demathieu Bard annonce la nomination de François Barthélemy au poste de directeur délégué des ressources humaines. Et de Vincent Monnot à celui de directeur financier. François Barthélemy remplace Jacques Perrin, qui se consacre désormais à sa fonction de secrétaire général du fonds de donation Demathieu Bard Initiatives. Grâce à son expertise dans le domaine des ressources humaines, François Barthélemy sera en charge de mobiliser l’ensemble des collaborateurs autour des valeurs de l’entreprise : l’engagement, l’énergie et l’enthousiasme. « Je suis honoré de la confiance qui m’est témoignée à travers cette nomination. Je souhaite accompagner la croissance du groupe, en m’appuyant sur ses valeurs humaines et authentiques ». De plus, François Barthélemy favorisera la prévention, la diversité et l’inclusion sous toutes ses formes. Il souhaite respecter les engagements sociétaux et de développement durable engager par l’entreprise et ses collaborateurs. Les missions de Vincet Monnot Quant à Vincent Monnot, il devient directeur financier. Il va ainsi poursuivre le développement mené par le groupe. Il aura pour mission de renforcer la fonction finance, qui est “partenaire” de la réussite et de la performance du groupe. Vincent Monnot rejoint ainsi le directoire aux côtés de René Simon, président, Franck Becherel, directeur général secteur construction, et Philippe Jung, directeur général secteur immobilier. « Je prends à cœur la mission qui m’est confiée d’accompagner la croissance de l’entreprise, en poursuivant le travail effectué jusqu’ici dans la gestion financière du groupe. Cette gestion devrait ainsi accompagner les ambitions futures de l’entreprise et s’ancrer dans les valeurs qui animent Demathieu Bard depuis plus de 160 ans », témoigne Vincent Monnot. Les parcours de François Barthélemy et Vincent Monnot Diplômé d’un master RH du Ciffop et d’un magistère en droit social à l’université de Paris-Nanterre, François Barthélemy possède une expérience de plus de 25 ans. Il a travaillé dans différents groupes dont Lapeyre, L’Oréal et Saint-Gobain … Il a notamment occupé des postes de DRH réseau, de pôle… au sein du groupe Saint-Gobain (Placo, Securite et Glassolution). Ingénieur de formation, Vincent Monnot est aussi diplômé d’un mastère économie et gestion à l’Essec. Il compte 30 années d’expérience en finance, dont 10 ans en cabinet d’audit. Il a occupé des postes au sein de directions financières et directions fusion-acquisition. Depuis 2014, Vincent Monnot était directeur général finance chez Idverde (service pour l’environnement).
Il y a 3 ans et 30 jours

Viessmann et Isolation by Tryba s'associent pour la rénovation énergétique globale

Un partenariat évident pour ces deux entreprises familiales, références sur leurs marchés et partageant des fondamentaux communs, comme expertise et savoir-faire, qualité et performances des produits et de la relation client. Cette innovante offre commune déployée sur tout l’Hexagone à partir du 1er mars 2022 au travers des 16 centres ISOLATION by TRYBA, propose en effet aux particuliers un interlocuteur unique et expert, afin de mener, en toute confiance, une rénovation énergétique globale réussie de leur habitat. Des travaux qui seront sources d’économies bien sûr, mais également d’un confort optimal et d’un bien immobilier revalorisé.Isolation par l’extérieur, ravalement de façade, bardages, isolation des combles, ventilation et désormais génie climatique (avec des solutions en pompes à chaleur, climatisation, eau chaude solaire), constituent autant de réponses pour une rénovation de qualité, certifiée par des organismes externes réputés (CERTIBAT RGE).Rappelons qu’à partir de 2022 et suite notamment aux évolutions visant les conditions à respecter pour la rénovation énergétique globale en maison individuelle, il devient impératif de déployer une approche globale mettant en œuvre un bouquet de travaux, optimal sur le plan technico-économique, afin de bénéficier d’aides financières, notamment des CEE.
Il y a 3 ans et 31 jours

Nelly Philipponnat, réélue présidente de CEKAL

Nelly Philipponnat, ingénieur ESTP, a depuis plus d’une vingtaine d’années assumé des postes de marketing, communication et de représentation au sein des différentes instances professionnelles en lien avec le matériau verre. Elle est actuellement directrice des bâtiments durables de Saint-Gobain Glass bâtiment France.Feuille de route 2022-2025Faire vivre le référentiel CEKAL au rythme des évolutions techniques pour un programme de certification exigeant, adapté à la réglementation et aux développements technologiques du secteur.Suivre les évolutions des textes européens et s’y adapter.Faciliter l’apprentissage des centres certifiés aux évolutions normatives relatives à la fabrication de produits entrant dans le domaine de compétence de CEKAL.Achever enfin le retour à un rythme de croisière après la crise de la pandémie, avec une vigilance toujours forte sur le suivi et l’évaluation des constituants qui équipent les vitrages.Mener à bien les évaluations annuelles du Cofrac.Échanger avec les centres certifiés et les informer, via les Rencontres régionales CEKAL organisées chaque année avec un nouveau programme. En 2022, elles se dérouleront à Nancy le 12 mai, à Grenoble le 5 juillet (avec la visite des laboratoires du CSTB), à Bordeaux le 19 octobre.Participer à la grande rencontre des acteurs du bâtiment avec la conférence CEKAL organisée le 5 octobre 2022 sur Batimat.Communiquer vers les utilisateurs, notamment au travers de la mise à disposition de vidéos sur les contrôles et le marquage pour les vitrages isolants, feuilletés et trempés et continuer à proposer un site Internet ouvert et transparent. Pour Nelly Philipponnat, présidente de CEKAL : "Le dévouement et l’implication à mes côtés des membres du nouveau Bureau, des présidents et membres des commissions et comités à notre cause commune seront, comme toujours, essentiels pour tenir l’objectif d'une certification rigoureuse qui bénéficie à toutes les parties prenantes. Nous aurons à cœur de faire vivre le référentiel au rythme des évolutions techniques, de suivre au plus près l'évolution des textes européens et s'y adapter, d’évaluer les constituants qui équipent les vitrages, et ne pas baisser la garde en matière de confidentialité et d'impartialité." Les membres du Bureau élus ou réélus sont les suivants : Nelly Philipponnat, présidenteJean-Claude Desnoues, vice-présidentJean-Paul Vieyres, trésorierJean-Marc Salzard, secrétaireEric Vivion et Jean Michel Lidou représentant les 2 collèges au sein de CEKAL
Il y a 3 ans et 31 jours

Chauffage et rafraîchissement : Acova FASSANE NEO, le radiateur réversible double fonction

Portées par les aides de l’état et la RE2020 pour favoriser la rénovation énergétique tout en visant la neutralité carbone, les PAC ont le vent en poupe et notamment les modèles air/eau dont les ventes ont augmenté de 57% en 2021 selon les derniers chiffres publiés par UNICLIMA. Offrant un rendement particulièrement élevé, le radiateur Acova FASSANE NEO a été spécialement conçu pour s’intégrer à ces installations basse température, en constructions neuves ou en rénovation. Utilisé avec une PAC air/eau réversible ou géothermique, il bénéficie ainsi d’une double fonction : il chauffe en hiver et rafraîchit aussi l’habitat en été ! LE CONFORT SANS CONCESSION À BASSE TEMPÉRATURE L’installation d’une pompe à chaleur nécessite des radiateurs aux performances élevées pour optimiser leur rendement et garantir des économies d’énergie. Bénéficiant de la technologie NEO, Nouvelles Energies Optimisées, le radiateur réversible Acova FASSANE NEO combine la puissance de la convection et le confort du rayonnement pour offrir la température souhaitée de manière réactive. ACOVA FASSANE NEO ET PAC, DES TEMPÉRATURES AGRÉABLES TOUT AU LONG DE L’ANNÉE Confort d’hiver En mode chauffage central, Acova Fassane Neo, alimenté par une PAC air/eau réversible ou géothermique, fonctionne comme un radiateur traditionnel. Le réglage des ventilateurs s’effectue en fonction de la puissance recherchée (3 vitesses au choix). Ils s’activent lorsque la température d’arrivée d’eau est supérieure à 25°C et la température de l’air est au moins 2° C inférieure à celle-ci. Lorsque l’écart est minime, les ventilateurs s’arrêtent. Confort d’été Durant les jours de fortes chaleurs, le radiateur Acova Fassane Neo, raccordé à ces types de pompes à chaleur, rafraîchit alors l’intérieur de l’habitat. Les ventilateurs s’allument lorsque la température de l’eau rafraîchie est inférieure à 21°C et la température de l’air au moins 2°C supérieure à celle-ci. A l’inverse, ils s’éteignent lorsque la température de l’eau de refroidissement dépasse les 21°C ou lorsque la température de l’air approche celle de l’eau à 2°C. Deux fois plus compact qu’un radiateur traditionnel à puissance équivalente, Acova FASSANE NEO permet de chauffer et rafraîchir de très grands volumes avec des modèles de pompes à chaleur basse température (air/eau réversible ou géothermique) dotées d’un meilleur coefficient de performance, jusqu’ici réservé au plancher chauffant et ventilo-convecteurs. LA PUISSANCE DE LA CONVECTION ET LE CONFORT DU RAYONNEMENT Horizontal ou vertical, il est composé en face avant d’un corps de chauffe entièrement irrigué d’eau qui délivre sa puissance en privilégiant le rayonnement. En partie arrière, un échangeur en cuivre et aluminium performant est associé à des ventilateurs ultra-plats qui, activés, génèrent un flux d’air à contre-courant de l’échangeur pour une meilleure efficacité thermique et une convection accélérée. Pour un confort parfait, le brassage d’air est imperceptible. Enfin, une attention particulière a été portée sur l’acoustique. Deux isolants phoniques encadrent l’échangeur pour le rendre quasi-silencieux. LA QUALITÉ SIGNÉE ACOVA Fabriquée en France, cette solution de chauffage et de rafraîchissement innovante bénéficie de la qualité reconnue des radiateurs décoratifs de la marque Acova : . profil allégé grâce à ses lignes bizeautées, . tête thermostatique et insert design, . habillage latéral et grilles de sorties d’air en acier, . disponible dans les 46 teintes du nuancier Acova. http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 31 jours

Un partenariat pour le développement des technologies du bâtiment et des territoires intelligents

Siemens Smart Infrastructure et l'Union des métiers du génie climatique, de la couverture et de la plomberie (UMGCCP) ont signé une convention de partenariat stratégique le 25 mars 2022.
Il y a 3 ans et 31 jours

Défaillances d'entreprises : 10.000 procédures au 1er trimestre 2022, pas de déferlante mais un dur retour à la réalité

Amorcée dès novembre 2021, la hausse des ouvertures de procédures s’accélère chaque mois. Tous les secteurs sont touchés, mais les activités en lien avec les consommateurs – restauration, commerce, service à la personne, etc. sont les plus fragilisées. En région, l’Ile-de-France et la Corse résistent le mieux.Thierry Millon, directeur des études Altares : « En 2020 et 2021, moins de 61 000 procédures collectives ont été ouvertes contre 107 000 lors des deux années précédentes. Plus de 46 000 entreprises ont été sauvées de la défaillance durant la longue période Covid. Sans le fameux « quoi qu’il en coûte » gouvernemental, la crise sanitaire aurait pu provoquer bien plus de procédures. Au 1er trimestre 2022, l’étau de la crise sanitaire se desserre et les aides s’arrêtent. Un retour à une forme de normalité qui implique aussi une reprise des défaillances. La hausse s’amorce donc et elle est déjà très nette dans les secteurs qui comptent sur la reprise des habitudes de consommation comme aller au restaurant ou chez le coiffeur. Aucun territoire n’est épargné par le phénomène. »En hausse de 34,6% sur un an, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux de début 20209 972 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er janvier et le 31 mars 2022, soit une hausse de 34,6% par rapport à la même période de 2021. Ces niveaux, proches du 1er trimestre 2020 (10 902), restent encore nettement inférieurs à ceux de 2019 ou de 2018 qui avoisinaient les 14 000 défauts.Avec 220 jugements enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde augmente de 29,4%. Ce dispositif représente seulement 2,2% de l’ensemble des procédures.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 46,6% pour 2188 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (22%), un taux très en-dessous des 30% relevés en 2018.Les jugements de liquidation judiciaire (LJ) augmentent également fortement (+31,7% ; 7 564 liquidations).Les jeunes entreprises sont les plus durement fragiliséesPrès de la moitié (48%) des entreprises entrées en défaillance au 1er trimestre ont été créées il y a moins de 5 ans. Plus sévère encore, les défaillances chez les entreprises fondées pendant ou juste avant la crise ont flambé de 52%. 1927 procédures concernent des structures de moins de 3 ans. 83,8% sont immédiatement placées en liquidation judiciaire.A noter qu’il s’agit à plus de 90% de sociétés commerciales (et non de micro entreprises). Les difficultés des jeunes entreprises sont particulièrement marquées dans les activités « magasins multi-rayons » (essentiellement des commerces d'alimentation générale) où les défauts sont trois fois plus nombreux ce trimestre ; mais aussi dans la restauration (+180%), où le nombre de procédures était exceptionnellement bas il y a un an.En hausse de 56% sur un an, le nombre de procédures chez les petites PME dépasse le niveau d’avant crise94% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. On observe en revanche des tensions plus remarquables chez les PME. En particulier pour les « petites » PME de 10-49 salariés où les défaillances s’envolent de 56% sur an (645), dépassant le niveau d’avant crise (632). Ces structures se concentrent dans les secteurs de la construction, le commerce et l’industrie. Les PME d’au moins 50 salariés résistent davantage avec des taux de défaillance quasi stables.Les défaillances en hausse dans les deux tiers des secteurs, dépassant parfois les niveaux de 2020Après un début d’année encourageant, la guerre en Ukraine et ses conséquences doivent inciter à la prudence.Thierry Millon conclut : « En ce début d’année 2022, la confiance en l’avenir gagnait du terrain : les niveaux de trésorerie, les carnets de commande bien remplis laissaient présager une reprise de l’économie. Toutefois, depuis le 24 février et le début de l’invasion russe en Ukraine, l’horizon s’assombrit : la flambée des prix de l’énergie, les difficultés d’approvisionnement, les pénuries de matériaux, l’inflation qui s’emballe… autant de signaux qui incitent à la prudence. A l’instar du « quoi qu’il en coûte » gouvernemental déployé pendant la crise sanitaire, le nouveau Plan Résilience de 7 milliards d’euros devrait contribuer à empêcher la faillite des entreprises directement impactées par la guerre et celles plus durement touchées par l’envolée des prix de l’énergie. Ce nouveau paquet de mesures (activité partielle, PGE, etc.) doit soulager les trésoreries, mais le gouvernement exhorte les entreprises à tout faire pour continuer à payer leurs factures dans les temps. En effet, si les délais de paiement interentreprises ont été bien maîtrisés jusqu’à présent, les turbulences de ce début d’année pourraient changer la donne. Les directions financières pourraient être tentées de temporiser de plus en plus sur le règlement des factures pour conserver leur trésorerie. Dans ces conditions, la trajectoire à la hausse des défaillances d’entreprises devrait se poursuivre mais sans laisser présager à ce stade, une déferlante de faillites, les entreprises disposant encore de liquidités. »Focus / La procédure de traitement de sortie de crise : 5 mois après où en sommes-nous ?Créée par la loi du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire dans son article 13, la procédure de traitement de sortie de crise (PTSC) doit permettre un rebond plus rapide aux entreprises en difficultés financières liées aux conséquences de la crise sanitaire. Elle s’adresse donc aux entreprises qui fonctionnaient dans des conditions satisfaisantes avant la crise Covid. En application depuis le 18 octobre 2021 au lendemain de la publication des décrets n° 2021-1354 et n° 2021-1355 du 16 octobre 2021, cette PTSC n’est pas destinée à être pérenne et devrait s’éteindre le 2 juin 2023.La PTSC peut concerner les entreprises de moins de 20 salariés à la date de la demande d’ouverture de la procédure et (critères cumulatifs) disposant de moins de 3 000 000 d’euros de total de passif hors capitaux propres. Les comptes annuels du dernier exercice sont exigés et doivent apparaître « réguliers, sincères et aptes à donner une image fidèle de la situation financière de l’entreprise ».En principe donc, cette nouvelle procédure peut concerner de très nombreuses entreprises en cessation de paiements. Cependant, ces dernières doivent pouvoir payer leurs salariés. En effet, à la différence du redressement judiciaire, la PTSC ne permet pas de bénéficier d’une avance du régime de garantie des salaires (AGS), ce qui peut s’avérer être un frein.La période d’observation est d’une durée maximale de 3 mois au terme desquels un plan de remboursement des dettes pourra être arrêté par le Tribunal pour une durée pouvant atteindre dix ans. A défaut d’avoir été en capacité d’élaborer un projet de plan d’apurement des dettes, le Tribunal ouvre un redressement judiciaire ou une liquidation judiciaire.Cinq mois après le démarrage de la PTSC, à peine plus d’une trentaine de procédures ont été ouvertes ; 18 sur le premier trimestre 2022 et 14 au cours du dernier trimestre 2021. Parmi ces dernières, 2 ont depuis fait l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire. 10 ont pu valider un plan dont la durée a été fixée entre 5 et 10 ans.Pour consulter l'étude complète : cliquez ici
Il y a 3 ans et 31 jours

Le bloc-baie chrono one de Soprofen obtient l’avis technique du CSTB

Dans une démarche d’amélioration continue, SOPROFEN mobilise en permanence son service Recherche & Développement pour proposer des solutions toujours plus innovantes répondant aux directives réglementaires. C’est dans cette dynamique que l’expert du volet roulant présentait en parallèle du dernier salon EquipBaie, son nouveau bloc-baie Chrono One fabriqué en France en PVC recyclé (à hauteur de 60%). Aujourd’hui, ce coffre intégré, véritable concentré de technologie vient de recevoir l’Avis Technique du CSTB. Illustrant une nouvelle fois le savoir-faire incontournable de SOPROFEN sur le marché du bloc-baie, cet Avis Technique (n°6/16-2339), publié le 22 février dernier, formule une appréciation favorable à la mise en œuvre du Chrono One en tableau avec isolation par l’intérieur ou par l’extérieur (enduit sur isolant et/ou bardage), dans des murs en maçonnerie ou en béton. Cette procédure très exigeante s’appuie en particulier sur les essais effectués par la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques du CSTB. Ceux-ci témoignent des performances exceptionnelles du Chrono One, obtenues notamment grâce à sa technologie brevetée de sous-face en nid d’abeille, en termes : – d’isolation thermique (jusqu’à Up 0,661 + 0,027/Lc) grâce aux planches PVC en nid d’abeille ainsi qu’à un isolant polystyrène dans les joues et le long de la trappe, – d’affaiblissement acoustique (jusqu’à 57dB Dne Atr), – de perméabilité à l’air, lui permettant d’atteindre une certification classe 4* (0,4m3/h.m2 pour une hauteur de coffre de 200 mm), conformément à la réglementation en vigueur, – de résistance mécanique du coffre et de sa liaison sur la menuiserie, en particulier sous les charges dues au vent, grâce à un adaptateur en aluminium et aux renforts d’inertie complémentaires à la traverse haute. Parmi les autres points relevés par le CSTB, figure la facilité de mise en œuvre du Chrono One sur les fenêtres, ce qui était l’une des volontés de SOPROFEN lors du développement de ce nouveau bloc-baie pour offrir un montage en moins de 8 minutes top chrono. Rappelons que SOPROFEN avait déjà reçu le 1er Avis Technique de la profession pour son bloc-baie Mono VR il y a 30 ans, suivi en 2020 par le 1er Avis Technique sur un bloc-baie en polystyrène pour le Chrono PSE2. Cette nouvelle distinction illustre une fois de plus la capacité d’innovation du leader français de la fermeture. http://www.soprofen.fr/
Il y a 3 ans et 31 jours

Cetih renforce son activité fenêtre

ACQUISITION. Le spécialiste de de l'enveloppe de l'habitat, Cetih (BeL'M, Zilten, Swao...) vient d'achever l'acquisition de l'entreprise Bignon, fabricant de fenêtres notamment bois et mixtes.
Il y a 3 ans et 31 jours

Arma-Chek® Silver, protection flexible, résistante aux impacts et aux U.V.

Le système de revêtement Arma-Chek® Silver est un système professionnel facile à installer qui intègre la solution d’isolation thermique AF/ArmaFlex®, qui se distingue par son excellente résistance à la diffusion de la vapeur d'eau qui permet de minimiser au maximum la conductivité thermique et le risque de corrosion. De plus, cette solution intègre la protection antimicrobienne active Microban®.Grâce à sa haute résistance mécanique, Arma-Chek® Silver s’impose comme une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels, il s'agit d'un isolant léger et flexible, particulièrement résistant aux chocs mécaniques et aux intempéries. Arma-Chek® Silver contribue à éviter la corrosion sous l'isolation, éliminant la corrosion galvanique et offrant une efficacité énergétique optimale à long terme.Contrairement aux revêtements métalliques conventionnels, Arma-Chek® Silver retrouve sa forme d'origine après avoir été soumis à une pression ou un impact. Cette propriété extraordinaire évite les marques permanentes et assure la durabilité de l’installation. Le revêtement Arma-Chek® Silver est particulièrement recommandé pour les installations dans le secteur de l’industrie alimentaire grâce à ses excellentes caractéristiques techniques et sa facilité d'installation, de nettoyage et d'entretien.
Il y a 3 ans et 31 jours

Tarkett publie son rapport 2021 de responsabilité sociale et environnementale

Entièrement audité par un tiers indépendant - KPMG -, ce rapport décrit les performances significatives de l'entreprise en matière de développement durable et sa forte ambition, dont de nouveaux objectifs climatiques.Tarkett a récemment défini sa feuille de route ambitieuse Climat 2030 sur l'ensemble de sa chaîne de valeur[1], visant à réduire de 30 % les émissions de gaz à effet de serre. Cela couvre les émissions des activités du Groupe (Scope 1) et de son énergie achetée (Scope 2) – ainsi que celles issues du reste de sa chaîne de valeur, des fournisseurs aux clients finaux (scope 3).« Au cours des deux dernières années, nous avons réduit nos émissions de gaz à effet de serre[2] de 27 %. Nous voulons désormais aller plus loin en mettant en place cette feuille de route climatique ambitieuse. Nous construisons de plus en plus de partenariats dans l'économie circulaire et l'action climatique, par nos choix engagés pour les personnes et la planète. Ensemble avec notre écosystème, nous contribuons activement aux objectifs de développement durable des Nations Unies et il est essentiel que nous nous lancions dans cette aventure avec nos clients », explique Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett.Au-delà de son ambition d’être un acteur clé dans l'économie circulaire, le Groupe met également l'accent sur l'utilisation de matériaux de qualité, contribuant à la santé et au bienêtre des personnes. Dans le cadre de sa responsabilité sociale, Tarkett protège et développe également ses équipes, crée une culture de la diversité et de l’inclusion tout en soutenant ses communautés locales.Tarkett a réalisé des progrès considérables avec son programme de reprise et de recyclage Tarkett a réalisé des progrès considérables avec ReStart®, son programme de collecte et de recyclage, en transformant les revêtements de sol en fin d’usage et les matériaux recyclés en nouveaux revêtements de sol. Cela permet de réduire les déchets et l'empreinte carbone, en diminuant le besoin de matières premières vierges tout en évitant l'enfouissement et l'incinération.Au cours des 11 dernières années, l'entreprise a collecté l'équivalent de 11 tours Eiffel (112 000 tonnes) de revêtements de sol dans le cadre de son programme ReStart® en Europe, en Amérique du Nord et au Brésil, dans huit centres de recyclage.De solides progrès dans ReStart® ont été réalisés au centre de recyclage de moquette unique de Waalwijk, aux Pays-Bas, au centre de recyclage de vinyle à Ronneby, en Suède et au centre de recyclage de linoléum à Narni, en Italie. Ensemble, ces centres de recyclage ont augmenté leur collecte ReStart® de 69 % par rapport à 2019. En complément des progrès réalisés avec ReStart®, 15% des matières premières (147 000 tonnes par an) sont des matériaux recyclés en 2021, l’objectif étant d'atteindre 30% en 2030. Tarkett a réduit son empreinte carboneDouze sites de production dans dix pays s'approvisionnent en électricité 100% renouvelable et 38% de la consommation totale d'énergie provient d'énergies renouvelables.Les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'électricité achetée, de la consommation de vapeur et de la combustion de carburant sur les 34 sites de production de Tarkett dans 19 pays ont été réduites de 44 % par rapport à 2010, ce qui correspond aux émissions annuelles de gaz à effet de serre de 21 000 habitants européens.[3]Les systèmes de chauffage à énergie fossile ont été remplacés par des systèmes électriques ou à biomasse. Par exemple, l'usine de Jacareí (Brésil) a changé la source d'énergie de sa presse à chaud du gaz naturel à l'électricité, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre associées. Jacareí s'approvisionne désormais en électricité 100 % renouvelable à partir de sources hydroélectriques, solaires et éoliennes.Des exemples récents illustrant notre performance RSEEn Suède et en Belgique, nous avons collaboré avec IKEA pour collecter et recycler les revêtements de sol usagés de leurs magasins à Stockholm (Suède) et Arlon (Belgique). Plus de 14 500 m2 de matériaux ont été collectés puis traités dans notre site de recyclage à Ronneby (Suède).Tarkett est le seul fabricant de moquette en Europe capable de recycler entièrement ses dalles de moquette commerciale, grâce à son centre de recyclage de moquette unique à Waalwijk (Pays-Bas) et en étroite collaboration avec son fournisseur Aquafil. Recycler 1 m² de revêtement de sol en dalles de moquette EcoBase® après utilisation permet d'économiser 10 kgCO2e.En Europe, nous déployons des couches de remplissage renouvelables à utiliser dans le gazon artificiel. Le remplissage PureMix, qui mélange des noyaux d'olive broyés avec un remplissage en liège existant, a été déployé sur le terrain de football de la municipalité de La Haye (Pays-Bas). A Saint-Ouen (France), lors de la rénovation du gazon artificiel du terrain d'entraînement de l'école de football Red Star, des matériaux recyclés et renouvelables ont été utilisés. Un remplissage composé de sable récupéré d'un ancien gazon artificiel a été utilisé avec des noyaux d'olives concassées PureSelect.En Europe, notre solution de remplissage sportif ProMax HydroFlex - fabriquée en Allemagne - est composée à 30% de polyéthylène recyclé provenant de terrains en gazon artificiel en fin d'usage.Aux États-Unis, nous avons incorporé du PVB recyclé post-utilisation dans notre ethos® Modular avec Omnicoat Technology™, une solution de revêtement de sol souple de haute qualité fabriquée à partir de matériaux sains et sûrs, dont 33 % de PVB recyclé post-consommation. De 2004 à 2021, nous avons réutilisé 37 000 tonnes de films PVB provenant de 36 millions de pare-brise.Dans le cadre de notre programme Tarkett Cares et afin de soutenir les communautés locales, nous avons impliqué nos équipes dans plus de 700 initiatives solidaires, avec 3 300 jours de bénévolat de nos collaborateurs et plus d'un million d'euros de dons de produits (2017-2021).1 Compare à 2019, scope 1, 2 and 32 Emissions de gaz à effet de serre comparées à 2019, Scope 1 & 23 EuroStat a rapporté en 2021 que l'empreinte carbone totale de l'UE-27 était égale à 6,7 tonnes de CO2 par personne en 2019. Les émissions absolues de GES (scope 1 et 2) des sites de production de Tarkett en 2021 représentent 177 500 tonnes de CO2e, ce qui correspond à une réduction de plus de 140 000 tonnes CO2e par rapport à 2010.
Il y a 3 ans et 32 jours

La seconde vie du métro SK de Noisy-le-Grand

On pénètre ici comme dans un monde post-apocalyptique… Le règne d’un milieu interlope et underground. [©ACPresse] Saviez-vous qu’il existe un mini-métro dans le ventre du quartier du Mont d’Est, à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis ? De cette ville nouvelle, on connaît surtout les programmes d’habitations des années 1970-1980. Des architectures telles que les Espaces d’Abraxas, de Ricardo Bofill, les Arènes de Picasso, de Manuel Nunez, ou encore La Noiseraie et le George Sand, d’Henri Ciriani. Alors qu’est-ce que cette curiosité ? D’une longueur de 518 m et doté de deux terminaux, ce mini-métro avait été conçu en 1993, pour un montant de plusieurs millions de francs. « Un immense gâchis pour un métro qui n’a jamais été mis en service », souligne Brigitte Marsigny, maire de Noisy-le-Grand. Le but de cette réalisation était de relier la gare RER du Mont d’Est au futur quartier d’affaires Maille Horizon, à l’Ouest. Mais le projet n’a jamais vu le jour, avalé par la crise immobilière du début des années 1990. Le métro SK en deux mots… Le SK était une ligne de transport de type “navette hectométrique”. Son principe : actionner des cabines-capsules au moyen de câbles, sur le modèle des téléphériques. Le nom “SK” rendait hommage à la fois au nom de son constructeur – l’entreprise Soulé – et de son concepteur – Yann de Kermadec. Durant quelques années, la RATP a fait fonctionner ce mini-métro, à raison d’une mise en marche mensuelle, avant de jeter définitivement l’éponge en 1999 ! Le mini-métro SK est à l’abandon depuis 1999, laissant le champ libre aux taggeurs. [©ACPresse]Le terminus du mini-métro SK est divisé en plusieurs espaces distincts. [©ACPresse]Conçue en 1993, la ligne SK n’a jamais été mise en service. [©ACPresse]Au bout du tunnel long de 518 m, la station Maille a été détruite. [©ACPresse]Les murs en béton sont aujourd’hui recouverts de taggs et autres graffitis. [©ACPresse]La ligne SK et ses cabines « qui ressemblent à des téléphériques » ont été laissés à l’abandon, faisant le bonheur des amoureux de l’urbex et de graffitis. [©ACPresse]Là était le quai du terminus de la ligne SK. Béante, la porte conduit au centre de commandes. [©ACPresse] Au fil du temps, les différents espaces composant la ligne SK, à l’écart de toute habitation, sont devenus le paradis des graffeurs et autres adeptes de l’urbex (exploration de lieux à l’abandon). Murs en béton, bruts ou recouverts de granite rose, et cabines-capsules couverts de graffitis, de tags, de fresques y côtoient, aujourd’hui, les armoires électriques éventrées et les escalators plus ou moins vandalisés… On pénètre comme dans un monde post-apocalyptique… Le règne d’un milieu interlope et underground. « Quand je suis arrivée aux affaires, en 2015, j’ai découvert ce lieu singulier, un peu hors du temps, reprend Brigitte Marsigny. Il est tout de suite devenu évident qu’il fallait en faire quelque chose. » Le projet K, symbole de la transformation de Noisy-Le-Grand Plus question de (re)mettre en service cette mini-métro fantôme. Les temps ont changé. Marcher 500 m n’est plus un concept abstrait, mais tout à fait dans les mœurs urbaines actuelles. D’autant plus que la promenade se passe dans un environnement dédié, aménagé… L’idée est donc de lui redonner vie, autrement. C’est le pari de la ville de Noisy-le-Grand, qui a lancé le 8 avril dernier, l’appel à projets baptisé “Station K”. Un hommage au nom d’origine – SK – et un clin d’œil à la Station F, à Paris, qui a vu la transformation de l’ancienne Halle Freyssinet en mini-Silicon Valley, sous la houlette de Xavier Niel, le patron de Free.   L’ancienne salle des commandes ou ce qu’il en reste… [©ACPresse]Tagguées à l’infini, les cabines du métro SK sont devenues des œuvres de Street-art. [©ACPresse]Bob l’Eponge s’est même invité sur une capsule laissée à l’abandon. [©ACPresse]Derrière les graffitis, on distingue encore les couleurs et le logo de la RATP. [©ACPresse]Le parking des cabines du mini-métro SK. [©ACPresse]On passe d’un espace à l’autre par des passerelles provisoires enjambant des plans d’eau souterrains apparus au fil du temps. [©ACPresse]Dans cet espace, sorte de cathédrale en béton, il est prévu de créer des murs d’escalades dans le cadre de nouveaux réaménagements. [©ACPresse]Une fresque fantasmagorique marque l’entrée – condamnée – de la ligne SK, juste à côté des accès à la station de RER Noisy-Mont d’Est à Noisy-le-Grand. [©ACPresse] Le projet vise à « créer différents lieux de vie hybrides et animés, regroupant sur un même site. Une brasserie conviviale, des cafés troglodytes, une salle de spectacles, un mur d’escalade. Mais aussi un espace d’expositions organisées dans le cadre d’une programmation culturelle et sportive », explique Téo Garcia, chargé d’opération à la Socaren, maîtrise d’ouvrage. Et, Brigitte Marsigny, de conclure : « Certains lieux, plus que d’autres, sont porteurs d’un imaginaire et d’un potentiel infini. A Noisy-le-Grand, nous avons la chance de disposer d’un tel endroit, magique et incomparable. Si l’ancien métro SK reste perçu comme un échec industriel, je suis restée ébahie par cette cathédrale souterraine où des artistes passionnés ont pu exprimer une forme d’art underground. Aujourd’hui, le SK est amené à devenir un lieu emblématique d’animation du Mont d’Est ».
Il y a 3 ans et 32 jours

Les nouvelles pompes à chaleur air/eau au R32, au R454C ou au R290 arrivent sur le marché français

Pilotées par inverter, utilisant le R32 à faible GWP ou le R290, au GWP extrêmement faible, monophasées ou triphasées, systématiquement connectées, les nouvelles pompes à chaleur sont disponibles. (Illustration ©Mitsubishi Electric)
Il y a 3 ans et 32 jours

TECHNAL lance le label « ALL FOR GOOD » qui guide et distingue les actions éco-responsables de son réseau des aluminiers agréés  

Dévoilé en avant-première lors de la 30ème Convention du Réseau national des ALUMINIERS AGRÉES TECHNAL fin 2021, le label TECHNAL « ALL FOR GOOD » est officiellement lancé en avril. Sa vocation : guider et améliorer les pratiques de ses 230 membres en matière de responsabilité sociétale et environnementale. Dans un processus d’amélioration continue, il […]
Il y a 3 ans et 32 jours

Saint-Gobain se sépare de son activité distribution en Pologne

CESSION. Saint-Gobain a décidé de vendre Tadmar, son activité de distribution spécialisée en plomberie, chauffage et sanitaire en Pologne.
Il y a 3 ans et 32 jours

Etanco passe sous pavillon Simpson Strong-Tie

Etanco intègre le groupe Simpson Strong-Tie. [©Simpson Strogn-Tie] « Etanco est une entreprise très prospère et rentable, qui a 70 ans d’histoire et dont la marque et la position sur le marché sont bien établies ». Ainsi Karen Colonias, présidente de Simpson Strong-Tie, a-t-elle annoncé l’intégration d’Etanco. Ceci, avant de poursuivre : « Nous pensons que son offre de produits étendue et complémentaire renforcera notre offre globale en Europe. Ce qui nous permettra d’apporter encore plus de valeur à nos clients. » Tout comme Etanco, le groupe Simpson Strong-Tie peut s’enorgueillir d’une longue expérience de fourniture de produits et de services d’exception. Les deux entreprises ont été fondées dans les années 1950 et sont ancrées dans des valeurs fortes. « Etanco et Simpson ont un ADN très similaire, car toutes deux s’appuient sur des produits de grande qualité et un service clients inégalé, souligne Ronan Lebraut, président du groupe Etanco. Ensemble, nous pouvons étendre et optimiser notre présence en Europe. Tout en proposant de nouveaux produits auprès de notre clientèle combinée. » Grâce à la forte position du groupe Etanco sur le marché, l’acquisition permettra à Simpson Strong-Tie d’accroître le portefeuille de ses produits et d’étendre sa présence sur les marchés existants. Elle assurera aussi l’essor des circuits de distribution en Europe, tout en renforçant l’offre de solutions dédiées à l’enveloppe du bâtiment pour le marché des professionnels comme des particuliers. Pas de changement organisationnel à court terme Côté organisation, dans l’immédiat, il n’y aura aucun changement dans les activités, dans les gammes de produits, dans la production. Ni, non plus dans les marques ou les collaborateurs d’Etanco et de Simpson Strong-Tie Europe. Les équipes de direction de Simpson Strong-Tie et d’Etanco travaillent déjà ensemble à la définition d’une stratégie commune pour l’avenir. Et assurent un fonctionnement sans faille pour les clients. « Notre objectif est de combiner les entreprises de manière à tirer parti de nos forces respectives sur le marché, au service de nos clients. Les clients d’Etanco et de Simpson Strong-Tie peuvent s’attendre au même niveau de qualité de produits et de services qu’ils ont reçu par le passé », déclare Michael Andersen, vice-président des opérations européennes de Simpson Strong-Tie. Et Karen Colonias, de conclure : « Nous sommes ravis d’accueillir les collaborateurs du groupe Etanco au sein de Simpson Strong-Tie. Nous sommes impatients de faire grandir l’entreprise ensemble ».
Il y a 3 ans et 32 jours

Un baromètre pour lever le tabou du handicap dans l'entreprise

Sur la base du volontariat, les entreprises peuvent publier sur le site www.lesentreprises-sengagent.gouv.fr des données brutes sur quelques indicateurs clés.Thales, Engie, Accor, Siemens, TotalEnergies ont déjà renseigné des indicateurs dans ce baromètre de même que des entreprises de taille intermédiaire comme Septodont ou Sterimed, ou des acteurs publics comme la ville de Nice.Ces données s'articulent autour de six thèmes: le taux de personnes handicapées employées dans l'entreprise, la sensibilisation du personnel et la politique handicap, le recrutement inclusif, le maintien en emploi des collaborateurs handicapés, les achats inclusifs (réalisés dans les secteurs où travaillent des handicapés) et l'accessibilité numérique.Un des objectifs est d'aider des personnes en situation de handicap à cibler les entreprises bienveillantes à leur égard et les inciter à aborder le sujet sans tabou avec le recruteur.Alors que la France compte 12 millions de personnes handicapées et que 80% des handicaps sont invisibles (cognitifs, sensoriels, maladies invalidantes chroniques, maladies psychiques...), un nombre important de salariés n'osent pas faire part de leur handicap."En faisant connaître qu'elles sont ouvertes et engagées sur le sujet, les entreprises permettront à des talents en situation de handicap de frapper à leur porte et de libérer la parole lors du recrutement, ce qui leur permettra d'obtenir les adaptations nécessaires pour faciliter leur quotidien professionnel", a expliqué à l'AFP Sophie Cluzel, secrétaire d'État chargée des personnes handicapées."D'un côté il y a des personnes qui ne se déclarent pas car elles pensent que c'est un frein à leur carrière, de l'autre des employeurs qui disent +je ne trouve pas de personnes en situation de handicap qui se déclarent", explique-t-elle.Le taux de chômage des personnes handicapés a baissé en cinq ans de 19 à 14%, indique la secrétaire d'Etat, qui relève qu'il y a une "pénurie de recrutements sur beaucoup d'offres d'emplois, et que les personnes en situation de handicap sont un vrai vivier de compétences".Ce baromètre veut aussi permettre aux entreprises de mesurer leur progression chaque année ou de se comparer avec des employeurs de secteur et de taille similaires. Les salariés pourront aussi comparer les branches professionnelles et orienter leurs recherches. L'employeur a la possibilité de faire connaître un contact pour adresser une candidature.
Il y a 3 ans et 32 jours

Publication des rapports annuels 2021 du notariat

Depuis 2015, la profession notariale a connu une mutation accélérée qui s’est poursuivie en 2021 : 16747 notaires (9802 en 2015) dont 9182 femmes et 7565 hommes. Au 31 décembre 2021, le nombre de femmes notaires titulaires ou associées (5189) était plus important que celui des femmes notaires salariées (3993), 64200 collaborateurs (vs. 49112 en 2015), 44 ans et 6 mois : l'âge moyen des notaires (48 ans en 2015), 6727 offices. Au total, 8091 lieux de réception de la clientèle (1364 bureaux annexes inclus), 24 millions de Français reçus chaque année, 10,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires et près de 35 milliards d’euros d’impôts collectés. Le notariat poursuit à bonne cadence en 2021 sa transition numérique : 20 millions d’actes sur support électronique, le cap a été franchi fin octobre 2021 : le premier million avait été atteint en février 2015, le 10 millionième acte authentique électronique avait été atteint en avril 2019, 90% des actes authentiques sont aujourd’hui signés électroniquement, Plus de 80% des offices sont équipés de systèmes de visioconférence.
Il y a 3 ans et 32 jours

Le nouvel ouvrage de référence "Mon Katalogue" de Knauf est disponible

Dignes reflets de cette évolution et de l’Offre Globale Knauf, les 6 nouvelles éditions des catalogues Knauf 2022 abordent différentes applications : Aménagement Intérieur (728 pages), Isolation du Gros Œuvre (216 pages), Isolation des Planchers (224 pages), Isolation Thermique par l’Extérieur (180 pages), Isolation-Étanchéité des Toitures (184 pages) et Remblais Allégés (56 pages). Knauf renforce encore plus le lien de proximité avec ses clients dès la page de couverture avec la dénomination « Mon Katalogue » pour une appropriation aisée. « La nouvelle identité graphique avec le symbolique K de la marque assure une reconnaissance immédiate des supports » précise Stéphanie Freitag Delizy, Responsable Référentiel Marketing Produits Knauf.Si les codes couleurs sont toujours présents pour distinguer en un clin d’œil son édition (jaune, rouge, verte, bleue…), un travail de réflexion a été mené tant sur le guide de choix (voulu plus proche, plus accompagnateur tout au long du process) que sur la facilité à trouver son information, identifier le bon produit en fonction de ses applications.Le rubriquage visuel aide rapidement à se repérer et le sommaire détaillé offre une vue d’ensemble des applications, mais aussi une mise en exergue des nouveautés. Ces éditions 2022 sont très complètes avec des fiches produits détaillées, des conseils et astuces mais encore un guide de mise en œuvre pratique et un rappel des informations réglementaires.Knauf a su conserver la qualité technique reconnue de ses éditions en les complétant également de valeurs de réchauffement climatique ; une démonstration de son engagement environnemental qu’il met à disposition de toutes ses cibles (prescription technique, négoces, entreprises de pose).Disponibles sur demande en version papier auprès des négoces partenaires, des commerciaux ou sur knauf.fr, ces ouvrages 2022 sont également consultables en ligne dès le 30 mars, avec une version interactive proposant la possibilité d’extraction et de téléchargement : www.knauf.fr/documentation/demande-de-catalogue
Il y a 3 ans et 33 jours

Le Groupe Velux supprime la quasi-totalité du plastique de ses emballages de fenêtres de toit

Le Groupe VELUX, premier fabricant mondial de fenêtres de toit, a choisi d’agir de manière massive en supprimant les composants plastiques en polystyrène expansé (EPS) de ses emballages. Cette démarche s’inscrit dans sa stratégie de développement durable visant à rendre ses emballages mono-matériau, sans plastique et 100% recyclables à l'horizon 2030. Cette mesure a un impact direct sur l’environnement, mais aussi sur le climat. Elle contribue à réduire de 13% l'empreinte carbone des emballages des produits du groupe. Le Groupe VELUX a prévu de diminuer l’empreinte carbone des produits de 50% d’ici à 2030. Enfin, l’opération simplifie le recyclage pour les clients lors de la séparation et du tri des déchets d'emballage, rendant ainsi les processus d'élimination à la fois plus efficaces et moins coûteux. « Chez VELUX, nos engagements pour la planète et la nature sont au cœur de nos décisions sur l’évolution de nos produits et notre manière de produire » déclare André Dot, Président de VELUX en France. « Les emballages constituent un élément important de nos produits. Ils doivent donc être aussi respectueux que possible de l'environnement. Nous sommes fiers de réduire sensiblement la quantité de plastique que nous utilisons pour emballer et protéger nos fenêtres de toit. Il s’agit d’une étape capitale vers la réalisation de notre objectif de développement durable consistant à “rendre nos emballages plus verts ” ». Lancée en 2020, la stratégie de développement durable du Groupe s’inscrit dans le cadre d’un parcours de transformation sur 10 ans au cours duquel le Groupe VELUX sera pionnier dans les actions en faveur du climat et de la nature, créera des produits durables innovants et mènera une activité responsable.
Il y a 3 ans et 35 jours

Cheminée de l’Usine Roubaix signée Nathalie T’Kint : de l’âme du lieu

L’agence lilloise Nathalie T’Kint Architecture, avec French Light, a livré à Roubaix (Nord) en 2018 l’extension d’une… cheminée d’usine. Une réalisation patrimoniale autant que création contemporaine rendue possible avec la gamme Rythmic EVO 6 de Gantois Architecture. Le projet Les restaurations et réalisations architecturales de Nathalie T’Kint, architecte du patrimoine, sont toujours ancrées dans un […] L’article Cheminée de l’Usine Roubaix signée Nathalie T’Kint : de l’âme du lieu est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 35 jours

Résultats en berne pour Vestas en 2021 à cause de la pandémie

Sur l'ensemble de l'année, le bénéfice net a été divisé par plus de quatre, à 167 millions d'euros contre 765 millions l'année précédente, le chiffre d'affaires a lui augmenté de 5,2% à 15,58 milliards d'euros, grâce à l'augmentation des prix.Les ventes réalisées sont conformes aux prévisions avancées auparavant par Vestas qui visait un chiffre d'affaires compris entre 15,5 et 16,5 milliards d'euros.Dans un secteur toujours tiré par les investissements mondiaux importants dans les énergies renouvelables, 2021 a aussi été une année record pour le carnet de commandes du groupe qui a atteint 47 milliards d'euros pour les éoliennes et les services.Pour 2022, le groupe table sur des ventes entre 15 et 16,5 milliards d'euros, avec un bond de 5% du chiffre d'affaires du secteur "services"."L'instabilité de la chaîne d'approvisionnement causée par la pandémie et entraînant une augmentation des coûts de transport et de logistique devrait continuer à affecter l'augmentation des coûts de transport et de logistique tout au long de l'année 2022", a relevé Vestas dans son rapport.Sur les années à venir, la demande pour l'éolien terrestre, où le groupe est numéro un, devrait rester à un niveau élevé.Pour l'offshore, dans lequel le fleuron danois entend rattraper son retard notamment face à Siemens Gamesa, l'activité devrait être forte l'an prochain d'après le carnet de commandes mais reculer légèrement à l'horizon 2025 et nécessiter de nouveaux investissements.A la Bourse de Copenhague, le titre reculait de près de 4% peu avant 10h00 GMT dans un marché en légère baisse (-0,58%).Fin 2021, Vestas employait quelque 29.000 personnes dans le monde, dont 6.000 au Danemark.
Il y a 3 ans et 35 jours

Le chantier Combo : une résidence en béton bas carbone ECOPact à Bordeaux

Combo : une résidence en béton bas carbone ECOPactLe projet Combo, une résidence de 35 appartements sur 5 niveaux a démarré en mai 2021 à Bordeaux, avec à la manœuvre le maître d’ouvrage Aquitanis, le cabinet d’architectes Leibar&Segneurin, le constructeur Ramery Bâtiment et l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine.La volonté du cabinet d’architecture pour ce chantier était de réaliser des voiles architecturaux légèrement colorés et surtout à faible impact carbone.Pour le cabinet Leibar&Segneurin : « Dans un souci de responsabilité sociétale, et le regard que nous portons vis à vis des enjeux environnementaux à l’œuvre dans nos vies et dans la construction, le béton nous est apparu comme un matériau en cohérence avec le territoire dans lequel s’inscrit la résidence Combo, quai de Brazza à Bordeaux. Sa production locale, dans les carrières aux alentours de Bordeaux, diminue son empreinte environnementale et permet à ce matériau de relever les enjeux de demain. De plus, sa plasticité et sa grande pérennité, alliées à une mise en œuvre exigeante et soignée, en font « une véritable pierre coulée». La maîtrise de son économie ainsi que le recul dont on dispose sur son comportement dans le temps, sont également des facteurs qui plaident en sa faveur. La rencontre de ce matériau avec la géométrie singulière du projet en font une véritable réussite. »C’est ainsi que l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine entre en jeu avec son offre de bétons bas carbone ECOPact. L’expertise de l’Agence, la réactivité de l’équipe qualité et la disponibilité du responsable technique ont été mis à disposition pour que chantier deviennent une référence locale.Pour Charles Descatoire, Chargé de Développements de Produits Spéciaux : « Ce chantier a été pour nous l’opportunité de tester notre gamme de béton bas carbone ECOPact en une application verticale. Cela nous a permis entre autres de mesurer la qualité de notre béton ainsi que d’éventuelles différences sur sa mise en œuvre. Le retour d’expérience est très positif et cela nous donne bon espoir pour l’avenir. Nos équipes qualité et commerciales sont désormais formées à répondre aux demandes de nos clients, de façon pertinente et précise. Le challenge a été relevé et nous sommes fier de cela.»Accompagnement et collaboration, clés de la réussiteAvant de couler le premier M3 de bétons, il y a eu différents échanges avec le cabinet d’’architectes et l’entreprise Ramery Bâtiment et des tests techniques pour obtenir le meilleur résultat possible :Des tests sur échantillons pour valider la teinte ;Des tests pour valider la méthode de coulage du béton pour garantir un parement parfait ;L’intervention du service qualité pour ajuster les formules ;Le suivi commercial et technique tout au long du chantier.Pour Anthony Rodrigues, Directeur Travaux chez Ramery Bâtiment : « Les conseils, les tests et le suivi des équipes Lafarge ont été précieux, nous avons travaillé ensemble à la réussite esthétique du projet. Nous avons été rassurés par le fait que ces bétons bas carbone ne changent pas la qualité et la mise en œuvre. L’utilisation de ces produits sera adaptée à la RE2020. »C’est ainsi que 1600m3 de bétons dont 1000M3 de bétons bas carbone ECOPact ont été coulés pour le chantier Combo, permettant de réduire l’impact carbone d’environ 100 tonnes.Pour Denis Garant, Directeur du Développement des Bétons Responsables : « Nous poursuivons le développement des bétons ECOPact partout en France et c’est très motivant lorsqu’on le voit des chantiers sortir de terre, comme c’est le cas à Bordeaux. Il est évident qu’avec la RE2020, nous verrons de plus en plus le béton bas carbone s’imposer pour le bien de l’environnement. »
Il y a 3 ans et 36 jours

"L’impact de la certification MASE sur la performance d’entreprise " : un très haut niveau de satisfaction des entreprises du BTP

La certification MASE valide la mise en place et le bon fonctionnement d’un système d’amélioration continue des performances Sécurité, Santé et Environnement. Le plus souvent, la première motivation des entreprises pour engager une telle démarche est de répondre à la demande d’un donneur d’ordre, généralement industriel. Cependant, l’enquête réalisée par l’OPPBTP et Mase montre que les entreprises retirent un intérêt fort de la certification MASE et font état de bénéfices pour la performance de l’entreprise qui vont bien au-delà de leurs attentes premières, exprimant un très haut niveau de satisfaction.« Au regard des résultats de cette enquête, la certification MASE représente indéniablement un outil au service de la performance, dont les bénéfices collatéraux se font ressentir à la fois sur l’image que l’entreprise renvoie à ses clients et partenaires, sur sa performance en prévention des risques, sur sa santé économique et la performance de son organisation mais également sur les équipes et la qualité de leur travail. Les difficultés exprimées par certains chefs d’entreprise à faire adhérer l’ensemble de leur personnel à cette démarche confirment par ailleurs la nécessité, en matière de culture de prévention, d’encourager la participation et l’expression des collaborateurs à tous les niveaux de l’entreprise, dès le début de la démarche, pour favoriser l’adhésion de tous. » analyse Virginie Renard, Directrice Prévention et Performance et Culture de prévention au sein de l'OPPBTP.Un niveau de satisfaction très élevé de la part des entreprises du BTP L’étude met en lumière une appréciation très positive de la part des dirigeants certifiés MASE, puisque 96% des entreprises interrogées déclarent que les efforts engagés pour la mise en place de la certification MASE en valaient la peine. En effet, la certification MASE rend les dirigeants plus confiants en l’avenir de leur entreprise (88% des entreprises interrogées). Cette confiance s’exprime par un sentiment de maîtrise des risques professionnels (84% des répondants - près d’un répondant sur deux donne cette raison en premier) et des situations du quotidien en général (69% des répondants).De plus, alors que 80% des entreprises ont entrepris une démarche de certification MASE afin de travailler avec certains donneurs d’ordre (pour 43% des entreprises interrogées, il s’agissait de leur première motivation), les bénéfices observés par les entreprises sont multiples et dépassent largement cet aspect marché. Un outil de consolidation de l’entreprise sur son marchéPremièrement, il apparaît que la certification MASE a un impact très positif sur l’un des aspects majeurs de la performance de l’entreprise : sa consolidation sur ses marchés.61% des dirigeants ont vu leur chiffre d’affaires progresser ou se maintenir grâce à la certification, et ce en particulier au sein des entreprises de moins de 20 salariés.Par ailleurs, la quasi-totalité des dirigeants (97%) souligne que la certification améliore nettement l’image de l’entreprise auprès de ses clients et partenaires. 81 % estiment qu’elle participe à améliorer leurs relations avec leurs partenaires et prestataires, et 80 % pensent qu’elle permet de fidéliser davantage leur clientèle. Enfin, la certification est également une source d’opportunités commerciales pour plus de 7 dirigeants sur 10.Un impact positif sur le travailUne très large majorité des dirigeants affirme que la certification améliore la qualité du travail (83%), et permet d’innover dans la manière de travailler au quotidien (80%).En revanche, l’appréciation est plus nuancée quant au gain de productivité que la certification peut leur apporter : 4 dirigeants sur 10 (42%) estiment que la certification a un impact positif sur la productivité.Des perceptions positives mais plus modérées concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes et du managementL’étude souligne également des résultats satisfaisants, concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes.66% des dirigeants estiment que la certification a amélioré la performance de leurs salariés, et 65% pensent qu’elle permet de les rendre plus autonomes sur le terrain. De plus, 62% estiment que la certification a eu un impact positif sur l’ambiance générale au sein de l’entreprise. Néanmoins, les résultats sont moins tranchés que pour les autres indicateurs, avec une part de réponse « Oui, tout à fait » plus faible.L’adhésion de l’interne, principal enjeu pour les chefs d’entreprisePar ailleurs, parmi les entreprises ayant estimé que la mise en place de la certification MASE avait été difficile (48%), 50% ont répondu spontanément que le plus difficile a été de faire adhérer le personnel à la démarche en faisant comprendre son utilité, les bénéfices pour tous et en partageant une vision. Or, l’adhésion des équipes est un critère important de la satisfaction des entreprises vis-à-vis de la certification MASE : plus les dirigeants perçoivent des bénéfices sur l’interne, plus la satisfaction est élevée. Cela pose donc la question de la présentation de la démarche MASE au sein de l’entreprise, puis de sa « traduction » en éléments concrets, compris et acceptés pour une application au quotidien. Les systèmes de management révèlent en effet toute leur efficacité lorsque l’ensemble de l’entreprise est embarqué, et que la culture prévention évolue à tous les niveaux.« MASE compte plus de 25 ans de retour d’expérience sur la réduction des accidents du travail grâce à la mise en place de notre système. Pour arriver à ces résultats et rester en phase avec les besoins d’aujourd’hui et de demain de nos adhérents, nous avons dû faire évoluer notre référentiel à plusieurs reprises. Même si nous en étions convaincus, cette enquête a permis de confirmer factuellement que notre système a non seulement un impact positif au niveau SSE, mais aussi sur la performance globale des entreprises du BTP. Et pour ceux qui penseraient que la sécurité coûte cher, détrompez-vous : seuls 9% des chefs d’entreprises interrogés pointent le coût lié à la démarche comme une difficulté. » commente Didier Méné, Président de MASE.« Cette enquête démontre tous les bénéfices qu’il y a à déployer une organisation d’entreprise sur la base d’un référentiel qui a fait ses preuves, et ce par la voix des personnes les mieux placées pour en témoigner. Nous sommes persuadés que ces systèmes doivent être promus et généralisés car ils représentent des opportunités de progresser de façon pérenne en prévention, en brisant le plancher de verre que tous déplorent aujourd’hui dans la diminution de la sinistralité. En effet, lorsque ces systèmes sont mis en oeuvre avec conviction et en partageant une vision mutuelle, alors ils sont incontestablement efficaces, tant en prévention que pour la performance globale des entreprises et de la société. » conclut Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.Retrouvez les principaux résultats de l’enquête et des témoignages de chefs d’entreprise sur preventionbtp.fr.
Il y a 3 ans et 36 jours

Var : bientôt une usine de valorisation des déchets à Bagnols-en-Forêt

La nouvelle usine de traitement des déchets de Bagnols-en-Forêt, dans le Var, entrera en service au début 2023.
Il y a 3 ans et 36 jours

Nouvel isolant biosourcé : la parole à Knauf

Présentation d’un nouvel isolant biosourcé de Knauf : Thermasoft® natura. Il contient du coton issu de chutes textiles, du lin français et du jute issu de sacs de denrées alimentaires… Avec Audrey Colantuono, Chef de produits Aménagement Intérieur – Knauf
Il y a 3 ans et 36 jours

Atteindre zéro émission nette – Forum Bois Construction 2022

La neutralité carbone est un terme ambigu, le moins 50 % ne concerne que la phase exploitation du bâtiment, il faut regarder le secteur industriel avec son objectif à moins 35 % pour trouver tous les matériaux de construction, il y a également la restauration des puits de carbone… Avec Cécile Thévenin, Directrice de la transition environnementale – Bouygues Bâtiment France Europe
Il y a 3 ans et 36 jours

Atteindre zéro émission net – Forum Bois Construction 2022

La neutralité carbone est un terme ambigu, le moins 50 % ne concerne que la phase exploitation du bâtiment, il faut regarder le secteur industriel avec son objectif à moins 35 % pour trouver tous les matériaux de construction, il y a également la restauration des puits de carbone… Avec Cécile Thévenin, Directrice de la transition environnementale – Bouygues Bâtiment France Europe Cet article Atteindre zéro émission net – Forum Bois Construction 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 36 jours

L'Allemagne va étoffer son réseau de stations hydrogène pour camions et bus

L'Allemagne qui compte déjà un réseau de 90 stations d'hydrogène, le plus dense d'Europe, devrait le voir tripler en taille, à 300 stations d'ici 2030, a indiqué mardi matin le principal investisseur de l'opération, le fonds spécialisé dans l'hydrogène Hy24. Ceci devrait permettre "d'accompagner le déploiement des flottes commerciales bas carbone en Europe", c'est-à-dire des camions, bus longue distance ou autres transports lourds ou intensifs qui auront besoin d'hydrogène pour remplacer les carburants fossiles responsables du réchauffement climatique.Les batteries des moteurs électriques remplaçant les moteurs thermiques des véhicules légers ne sont à ce jour pas jugées assez puissantes pour assurer la transition énergétique des poids lourds qui nécessitent des temps de charge rapides et des autonomies élevées.Hy24, le fonds spécialisé dans l'hydrogène décarboné créé en 2021 par les industriels français Air Liquide, TotalEnergies et Vinci en lien avec le fonds Ardian, en vue de développer les infrastructures liées à l'hydrogène partout dans le monde, va investir 70 millions d'euros dans la société H2 Mobility qui gère le réseau allemand de stations. Il deviendra ainsi l'actionnaire de référence du projet avec autour de 40% du capital.Les actionnaires historiques de H2 Mobility -les industriels du gaz, de l'automobile et de l'énergie Daimler Truck, Hyundai, Air Liquide, Linde, OMV, Shell et TotalEnergies- vont aussi de leur côté investir collectivement quelque 40 millions d'euros dans le même projet."L'Allemagne a développé une vision hydrogène très intégrée depuis très longtemps (...) et il y a déjà un bon maillage de stations dans le réseau national" développé depuis 2013, relève pour l'AFP Pierre-Etienne Franc, directeur-général de Hy24, au cours d'un entretien téléphonique : "Notre investissement va permettre d'augmenter la capacité de charge de certaines stations, qui seront adaptées à des camions ou bus longue distance, d'en développer de nouvelles en Allemagne, mais aussi en Autriche, Suisse, et dans les zones frontalières".L'hydrogène décarboné sera soit "bleu", c'est-à-dire avec un processus de fabrication où le CO2 émis est stocké, ou "vert", c'est-à-dire produit par électrolyse de l'eau à partir d'électricité renouvelable, photovoltaïque, éolienne ou hydro-électrique.Quatre réseaux dans le mondeSelon M. Franc, ancien haut responsable d'Air Liquide, cette stratégie "soutient les efforts de la Commission européenne pour mettre en œuvre le règlement sur les infrastructures de carburants alternatifs (AFIR)" qui vise à harmoniser le déploiement de bornes électriques et stations hydrogène sur l'ensemble du continent européen.Ce règlement devrait permettre "d'être prêt entre 2025 et 2027 pour que les constructeurs puissent déployer des véhicules bas carbone", a-t-il précisé. "Si on veut sérieusement décarboner les transports, le vecteur ne peut pas être seulement électrique, il doit être aussi gazeux ou liquide, et l'hydrogène est l'un des seuls vecteurs possibles", a-t-il affirmé. Surtout pour les transports lourds très gourmands en énergie.Le réseau allemand de stations hydrogène est l'un des quatre grands réseaux de ce type existant dans le monde, avec celui du Japon, de Corée du Sud et de Californie, eux-mêmes soutenus par une industrie automobile en pleine mutation. "Il y a aujourd'hui deux constructeurs qui ont une vraie stratégie hydrogène dans les voitures individuelles: le japonais Toyota et le Coréen Hyundai, qui ont réussi à baisser leurs coûts et à développer des chaînes d'approvisionnement en composants clés, par exemple pour les réservoirs, les piles à combustibles, les membranes, les produits de catalyse" relève M. Franc. "Tous les autres constructeurs ont plutôt pour stratégie d'accompagner la mobilité électrique par de la mobilité hydrogène pour des usages bien précis, intensifs et lourds, voitures commerciales, taxis, bus, livraisons dernier kilomètre, logistique", car sur ces usages "la différence avec la batterie est la plus forte".En France par exemple, "les derniers projets présentés par Stellantis montrent bien qu'ils vont avoir un développement de flottes commerciales hydrogène", a-t-il noté. Le virage est aussi pris par Renault.
Il y a 3 ans et 36 jours

J’ai posé de l’ISOCOTON c’est doux et très facile à poser.

ISOVER PRÉSENTE ISOCOTON, SON NOUVEL ISOLANT BIOSOURCÉ EN TEXTILES RECYCLÉS La nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure qui donne une seconde vie aux vêtements. Isover, nous a présenté ce matin un nouvel isolant biosourcé à base de textiles recyclés. Une nouvelle alternative pour les personnes, les collectivités ou les promoteurs qui souhaitent mettre dans leurs […]
Il y a 3 ans et 36 jours

Bouyer Leroux renonce au groupe Riaux évoquant le "contexte géopolitique"

ABANDON. Le groupe Bouyer Leroux ne fera finalement pas l'acquisition du groupe Riaux un expert de l'escalier sur-mesure. La Scop spécialisée dans la terre cuite se montre prudent "eu égard au contexte géopolitique".
Il y a 3 ans et 36 jours

Ecominero : Une marque pour valoriser les déchets inertes du bâtiment

Ecominéro est un éco-organisme, dont la mission est de valoriser les déchets inertes du secteur du bâtiment. [©Unicem] Ecominéro dévoile ses 30 premiers actionnaires, sélectionnés et contrôlés selon un cahier des charges rigoureux. L’éco-organisme a vérifié s’ils disposaient des assurances et des autorisations nécessaires pour la collecte et le traitement des déchets inertes. Parmi eux figurent des entreprises comme Alkern, Cemex, Eiffage, Eqiom ou encore Vicat. « Je suis très heureux de l’engagement fort des industriels de la filière minérale pour créer Ecominéro, se félicite Michel André, président d’Ecominéro. Notre éco-organisme est porté par 30 associés : 5 syndicats professionnels et 25 entreprises. Plus de 600 sociétés nous ont déjà adressé leur pré-adhésion. En vue de transférer leur responsabilité élargie du producteur à Ecominéro, dès l’attribution de son agrément par les pouvoirs publics. » Les valeurs d’Ecominéro Pour rappel, la Fib, Routes de France, le Sfic, le SNBPE, le SNRoc et l’UNPG ont lancé officiellement Ecominéro le 17 mars 2022. Et ce, dans l’optique de l’entrée en vigueur de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec) au 1er janvier 2022. Ecominéro est un éco-organisme pour valoriser les déchets inertes du secteur du bâtiment. Il a été créé, par et pour les fabricants de produits ou de matériaux de construction d’origine minérale. Ceci, dans le but de simplifier la vie des entreprises, afin qu’elles remplissent leurs obligations découlant de la mise en place de la responsabilité élargie du producteur (Rep) Lire aussi : Recyclage : La réponse des industriels Ecominéro fournira des solutions optimisées et adaptées pour la reprise des déchets inertes, sur l’ensemble de la France, y compris les territoires d’Outre-mer. Cet organisme mobilisera l’ensemble de l’éco-système industriel et territorial existant. A savoir, les déchèteries privées, les plates-formes de tri et de recyclage, les usines d’enrobés qui recyclent des matériaux récupérés et les publiques qui réceptionnent les déchets inertes des particuliers. Et ce, pour atteindre un taux de valorisation de 90 % en 2028.
Il y a 3 ans et 36 jours

1910-1939 : Architectures Art déco, 100 bâtiments parisiens

L’ouvrage “1910-1939 : Architectures Art déco” revient sur ce style, ce moment, cette tendance à la française, à travers 100 bâtiments emblématiques à Paris et ses environs. [©DR] Accusé de diverger des canons épurés promus par les avant-gardistes de l’entre-deux-guerres, le style Art déco a été stigmatisé comme un art peu innovant et bourgeois. Ceci, au contraire du Modernisme, porteur de progrès social et artistique. On retient pourtant l’Art déco comme spontanément associé aux “temps modernes”. Et ce, au travers du déploiement à l’échelle de tout le territoire de son répertoire. Ce mouvement est à la fois un style, un moment, une tendance française, puis internationale, qui n’a pourtant été porté par aucun manifeste. L’Art déco dans tous ses états L’appellation même est tardive. En effet, l’Art déco émerge en 1966, à l’occasion d’une exposition au musée parisien des Arts décoratifs. Il porte sur son heure de gloire en 1925, mais s’avère être un phénomène durable des années 1910 au milieu des années 1950. Tenant de l’art et de l’industrie, ce mouvement est l’expression d’une modernité, qui embrasse toutes les formes de création, du mobilier au bijou, en passant par le vêtement et l’architecture. L’Art déco est le digne héritier de l’éclectisme, qui a contribué à fabriquer la ville de la fin du XIXe siècle. Il se caractérise par la hiérarchisation des volumes, le retour à la symétrie, la simplification de l’ornement au moyen de motifs stylisés, le plus souvent issus d’une production industrielle. Il prospère en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas. Et bien sûr à Paris, porté par une pléiade d’architectes au premier rang desquels se distinguent Pierre Patout, Henri Sauvage ou Louis Süe. L’ouvrage “1910-1939 : Architectures Art déco”, revient sur 100 réalisations parmi les plus remarquables du style – immeubles d’habitation ou commerciaux, bâtiments administratifs, hôtels particuliers, théâtres, cinémas… Dont les lignes sobres et rigoureuses ont renouvelé l’aspect de la rue parisienne. Editeur : Editions Parigramme Auteur : Simon Texier Prix : 14 €TTC Retrouvez l’ouvrage ici 
Il y a 3 ans et 36 jours

Le secteur des piscines privées enchaîne une sixième année de croissance consécutive

"Pour la sixième année consécutive, le chiffre d'affaires du secteur des piscines a connu une hausse et a atteint en 2021 un niveau de croissance record", a ainsi souligné Jacques Braun, administrateur de la FPP, lors d'une conférence de presse. L'année 2021 avait déjà été "tonique avec une augmentation du chiffres d'affaires de 21,5%", a-t-il rappelé.Dans le détail, 244.000 piscines environ ont été construites en France en 2021 dont 86.000 bassins enterrés et 158.000 hors-sol, selon la fédération qui regroupe plus de 1.400 entreprises françaises spécialistes de la piscine et du spa.D'après leurs estimations, 80.000 piscines devraient compléter le parc en 2022 et jusqu'à 150.000 en 2024.Un chiffre record rendu possible par "la démocratisation" du marché des piscines privées ainsi que par la "généralisation des formes de travail hybride", à l'instar du télétravail depuis la crise sanitaire, estime le président de la FPP, Stéphane Figueora. La part des ouvriers, agriculteurs et employés possédant une piscine enterrée aurait bondi de 10% en quatre ans, passant de 14,1% des propriétaires de piscines en 2017 à 24,7% en 2021, soit près d'1/4 des propriétaires de piscines privées, a-t-il poursuivi, reprenant les chiffres d'une enquête menée par le cabinet Decryptis en février et mars 2022 pour le compte de la FPP, auprès d'un échantillon de 18.000 foyers habitant une maison individuelle.Au total, la France compterait aujourd'hui environ 3,2 millions de piscines privées dont 1,55 million de piscines enterrées et 1,64 million de piscines hors-sol, selon les chiffres de la fédération, réaffirmant la position de la France comme leader européen dans la construction de bassins.
Il y a 3 ans et 36 jours

Démarrage de l'usine d'éolienne Siemens Gamesa au Havre

Siemens Gamesa a annoncé le 30 mars le démarrage au Havre de son usine d'éoliennes, qui doit équiper une bonne partie des parcs offshore actuellement en projet en France et employer à terme 750 personnes.
Il y a 3 ans et 36 jours

Salamander et AGC Glass Europe concluent un partenariat stratégique d'innovation

Une combinaison qui soutient de manière optimale l'objectif de Salamander de toujours produire des fenêtres de qualité. Ce travail d'innovation de Salamander Industrie-Produkte GmbH a notamment convaincu la 29ème édition du concours TOP 100 de lui décerner le label TOP 100 2022 qui récompense sa force d’innovation supérieure à la moyenne.AGC Glass Europe est un leader européen du verre plat. Avec son vitrage isolant sous vide FINEO, AGC Glass Europe mise sur une technologie innovante. Ce vitrage ultra-mince (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) atteint des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. De plus, FINEO est 100% recyclable. Ainsi, les fenêtres Salamander associées au verre sous vide FINEO obtiennent de meilleurs résultats en termes d'isolation thermique et acoustique, de résistance au vent et d'étanchéité. Le vitrage plus fin, les valeurs de performance énergétique plus élevées, se traduisent également par des économies potentielles sur les profilés et donc par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. Les économies de poids permettent d'obtenir des tailles de fenêtres plus grandes ainsi que des formes, ce qui ne semblait pas possible jusqu'à présent dans le secteur du PVC et qui est totalement dans l'air du temps. Lors de la Fensterbau Frontale de Nuremberg en juillet, Salamander exposera cette "fenêtre du futur". En bref : la combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. "C'est pourquoi nous nous réjouissons de ce partenariat exclusif avec AGC et nous sommes convaincus que cela va changer la donne pour les futurs systèmes de fenêtres. N'hésitez pas à passer sur notre stand au salon Fensterbau Frontale en juillet pour découvrir cette fenêtre du futur", déclare Till Schmiedeknecht, co-CEO.Serge Martin, CEO de FINEO Glass, déclare : "Nous sommes très enthousiastes quant à ce partenariat avec Salamander. Cela permettra d'apporter des solutions exceptionnelles sur le marché, en mettant clairement l'accent sur la performance, le design et la durabilité."Avec sa "stratégie myWindow", Salamander définit la fenêtre comme un produit de design tangible et durable, mis en scène avec style comme un lien entre la façade du bâtiment et la conception de l'espace de vie. L'esprit pionnier de cette entreprise traditionnelle plus que centenaire se perpétue dans ses produits - tels que le système modulaire greenEvolution - et au travers de ses employés. Le système de fenêtres multicompatible greenEvolution - avec ses solutions d'applications numériques - n'est qu'un exemple et une conséquence de cette culture et de la stratégie d'entreprise actuelle. Dans cette approche, l'entreprise a participé au "TOP 100" pour la première fois cette année et a obtenu le label. "Cette récompense nous conforte dans nos efforts pour nous imposer comme un leader de l'innovation et du design", déclare le co-CEO Götz Schmiedeknecht.
Il y a 3 ans et 37 jours

Pierre Claudel, nouveau directeur général du CETIAT

Après des études d’ingénieur à l'Ecole Centrale de Marseille, formation complétée récemment d'un MBA de Direction Générale auprès de l'IFG/IAE Sorbonne, Pierre Claudel a rejoint le CETIAT en 1990. Il y a mené une carrière riche et diversifiée. Pierre Claudel a commencé par accompagner pendant 10 ans les professionnels du chauffage à travers des études pour améliorer les performances thermiques et réduire les émissions de polluants, des essais en vue de la certification des produits et de la formation. En 2000, il est nommé directeur de la Division Métrologie, en charge d'étalonnages de capteurs, d'études et de formation en mesures notamment des grandeurs énergétiques. Il œuvre à la reconnaissance de trois laboratoires d'étalonnage (en hygrométrie, anémométrie et débitmétrie des liquides) comme laboratoire de référence du Réseau National de la Métrologie Française. En 2014, il prend la responsabilité de la Direction des Essais, des Étalonnages et de la Certification pour structurer les activités du CETIAT reposant sur l'application de normes ou de référentiels reconnus.En parallèle de ses responsabilités au CETIAT, il a participé à la création en 2002 du Collège Français de Métrologie (CFM), association pour la diffusion des bonnes pratiques de la mesure industrielle, dont il a assuré la présidence entre juin 2010 et mai 2014. Il en reste un membre actif en tant que vice-président trésorier.Pierre Claudel est membre au titre de personne qualifiée du Comité de la Métrologie et membre élu du Comité de Section Laboratoire du COFRAC. Il participe également à la Commission Qualité, Normalisation et Évaluation de la Performance du Réseau CTI. Enfin, il est administrateur du Réseau Mesure, association de PME de la filière de l'instrumentation.Transition écologique, décarbonation de l'industrie, qualité de l'air intérieur, ce sont les enjeux majeurs pour lesquels le CETIAT s’est engagé aux côtés des professions. Pierre Claudel souhaite poursuivre et amplifier les actions initiées dans le cadre du Contrat d’Objectifs et de Performance 2020-2023 (COP) où le CETIAT affiche clairement ses ambitions telles que le développement des équipements aérauliques et thermiques à impact carbone réduit en réponse à la transition écologique et énergétique, la préservation du bien-être et de la santé dans les espaces intérieurs, l’accompagnement des industriels dans leur transition énergétique dans la stratégie menée autour de l’Industrie du futur. « Cette nouvelle responsabilité s’inscrit dans une continuité qui fait sens, c’est une passation assez sereine. J’ai poussé les portes du CETIAT il y a plus de 30 ans, j’ai pu y mener ma carrière et ce, à différents postes dans plusieurs services. La priorité sera d’assurer une réponse adaptée aux attentes très fortes de la profession et de nos clients dans un environnement en radicale transformation face aux différentes crises : climatique, sanitaire et, dernièrement, la guerre en Ukraine. », exprime Pierre Claudel, directeur général.
Il y a 3 ans et 37 jours

Paris : Freyssinet au secours de Freyssinet

Une des contraintes imposées par l’architecte des Monuments historiques est de laisser la nef centrale libre de toutes réalisations pour en mesurer toute la dimension. Au premier plan, la zone “Sud” des restaurants. [©ACPresse] Une mini-Silicon Valley au cœur de Paris : telle est l’ambition de Xavier Niel, le patron de Free, à travers le projet “French Tech”. Le complexe est implanté au sein de la Halle Freyssinet, une ancienne gare de marchandises située dans le XIIIe arrondissement de la capitale, construite à la fin des années 1920 et inscrite à l’Inventaire des Monuments historiques depuis 2012. Réalisée par l’entreprise Mercier, Limousin & Compagnie, dont Eugène Freyssinet était associé et directeur technique, la Halle a été réalisée en béton armé et précontraint. Elle se développe sur 310 m de long pour 59,20 m de large, et est divisée en trois nefs : une centrale de 25 m de large et deux latérales de 18 m et 16,20 m. A cela s’ajoutent deux auvents de 8,30 m et 4,50 m de part et d’autre du bâtiment. Quelque 13 000 m2 de voûtes, en partie ajourées, constituent la couverture. Confiée au cabinet Wilmotte & Associés Architectes, l’opération vise à transformer cette ancienne gare en un vaste incubateur d’entreprises. En fait, Xavier Niel veut en faire la plus grande pépinière numérique du monde. Dans le détail, le projet, d’une surface de 34 034 m2, se divise en trois parties distinctes. Au Nord, en prolongement d’un vaste parvis minéral, le forum de rencontre et de partage numérique comprendra un “Fab lab” (atelier de prototypage avec imprimantes 3D en accès libre), un auditorium de 370 places et des salles de réunion. Une construction classée Décapage de la peau du béton par cryogénisation. [©ACPresse] Le cœur de la Halle sera dédié aux espaces de travail des start-up, organisés en 24 villages (8 par niveau) intégrés sous les nefs latérales. Le cabinet d’architecture a voulu un lieu en réminiscence avec son histoire ferroviaire, l’imaginant sous la forme de conteneurs occupant une bonne partie de cet espace intérieur central. Enfin, le dernier tronçon, le plus au Sud, hébergera un restaurant multifonctionnel, ouvert 24 h/24. Deux passages publics transversaux et traversants permettront l’intégration totale de la nouvelle Halle dans son environnement urbain. Construction classée, plusieurs contraintes ont été imposées par l’architecte des Monuments historiques. Le premier était de laisser la nef centrale libre de toutes réalisations, ceci pour permettre d’en mesurer visuellement toute la dimension sur ses 310 m de long. Le second point touchait la structure même du bâtiment : il était indispensable de conserver la lecture du béton… Lire aussi : Naissance de la commission Patrimoine et Histoire du génie civil La rénovation et le réaménagement de la Halle Freyssinet sont traités en lots séparés. Le lot 5, celui dédié à la réparation des bétons, a ainsi été confié à l’entreprise… Freyssinet, dont le nom originel était “Société technique pour l’utilisation de la précontrainte (Stup)”, créée par Eugène Freyssinet et Edmé Campenon. D’un point de vue structurel, la Halle présente une conception répétitive : quatre poteaux à section variable (plus fine en tête) support deux poutres-chenaux de 10 m de portée. Cette longueur donne sa trame au bâtiment. Diagnostiquer avant de commencer Peu de carbonatation et un taux de chlorure quasi nul, des fissures présentes avec des dépôts de calcite, des épaufrures et des armatures apparentes, et des réparations antérieures assez visibles : tel est l’état général des bétons de la Halle. [©ACPresse] Minimalistes, comme Eugène Freyssinet savait le faire, les voûtes, très fines, entre 5 cm et 10 cm d’épaisseur, sont posées sur les poutres-chenaux. Ce système est repris en pied par des tirants noyés dans du béton. Les trois travées respectent le même schéma constructif. « La totalité des éléments constitutifs ont été coulés en place, précise Vincent Deniel, ingénieur travaux principal Freyssinet. Cela se voit du fait de la présence de veines de bois à la surface des bétons, empreintes des coffrages d’antan et d’anciennes réparations de béton d’origine. » La première mission de l’entreprise de réparation a été de diagnostiquer l’état général des bétons. Une mission menée en partenariat avec Studiolo, un spécialiste de la conservation du patrimoine. S’ils ne souffraient de pathologies gênantes ou de nature à affecter la pérennité du bâtiment, ces bétons n’en étaient pas moins affectés par la marque du temps. « D’une manière globale, il y a peu de carbonatation et le taux de chlorure est quasi nul. Des fissures sont présentes avec des dépôts de calcite, tout comme des épaufrures et des armatures apparentes. Des enduits ciments sont cloqués et les réparations additionnelles antérieures restent assez visibles », détaille Vincent Deniel. Et de poursuivre : « En revanche, l’intégralité des meneaux des fenêtres étaient très abîmés et ne permettaient pas leur remise en état. Nous en avons reconstruit 312 ». Techniquement parlant, les bétons ont une résistance oscillant entre 15 et 25 MPa, avec une porosité comprise entre 12 et 18 %. Trois mortiers à l’essai L’intégralité des 312 meneaux abîmés a été reconstruit à l’identique. [©ACPresse] Avant de lancer les travaux proprement dit, l’entreprise Freyssinet a dû se caler sur les obligations émises par l’architecte des Monuments historiques. A savoir, réparer le béton tout en préservant au maximum l’original, respecter les teintes initiales, refaire des liserés des planches de coffrage sur les bétons réparés, ne pas percer (sauf percement pour fixations définitives). Quelques prélèvements ont servi à définir la nature des mortiers de réparation. Ceux-ci devaient aussi présenter quelques caractéristiques particulière : ciment PMES, projetable, à la teinte, matriçage et posséder un module d’élasticité proche du béton d’origine. Un vrai casse-tête… « Nous avons testé trois solutions : le 734 Lankorep Patrimoine, le Sika Monotop 412 N et un mortier sur mesure développé par ECP. » Seul, le produit ECP était proposé au marché. Le premier ne convenait pas au mode opératoire choisi. Le second présentait une teinte trop foncée. Quant au troisième, malgré plusieurs tentatives, le bon compromis n’a pas été trouvé, notamment pour ce qui concerne le module d’élasticité. In fine, Freyssinet s’est rabattu sur le Foreva M110, un mortier labellisé par l’entreprise, qui autorise différents niveaux de teintes. Au total, quatre ont été choisies : une “extérieure”, deux “intérieures” et un “meneau”, toutes déclinées au fur et à mesure du chantier suivant les besoins. Décapage à – 80 °C De part et d’autre du bâtiment prennent place des auvents, dont les bétons ont quelque peu souffert… [©ACPresse] Les réparations ont débuté par un décapage des parois. En tout, il y avait près de 30 000 m2 de faces visibles sur le site. L’opération a été sous-traitée à l’entreprise Cryologie qui, comme son nom le laisse deviner, emploie la technique du froid extrême pour ses interventions. Le process consiste à projeter sur la peau du béton, à une pression de 3 bar, de pelées (petits cylindres de 3 mm de diamètre) de glace et du gaz carbonique à – 80 °C, le tout additionnée d’un peu de sable fin. A l’air libre, la glace va se sublimer (passer de l’état solide à l’état gazeux), créant ainsi une surpression local. Ceci provoque un décapage de la surface du béton sur une épaisseur de l’ordre de 500 µm. De quoi éliminer la sorte de badigeon (mélange de plâtre et de chaux) présent depuis l’origine à la surface du béton. En tant que tel, les réparations ont suivi un cheminement classique : purge des bétons malades (opérée avant même le décapage), traitement des armatures (les aciers ont aussi été cryogénisés), puis passivation à l’aide du 760 Lankopassiv. Suit alors la reconstitution du béton, en prenant soin de laisser libre une épaisseur de 2 cm pour assurer la finition et garantir l’uniformité de la teinte. Pour finir, le dernier volet de la remise en état voit l’application d’un hydrofuge sur les bétons extérieurs et le nez des auvents. « Nous avons pris le produit testé avec le Laboratoire de recherche des Monuments historiques, conclut Vincent Deniel. A savoir, le Sikagard 700 S. » Repères Maîtrise d’ouvrage : Xavier Niel/SEDCN Maître d’ouvrage délégué : Redman Maîtrise d’œuvre : Wilmotte & Associés Architectes Architecte des Monuments historiques : 2BDM Architectes Lot “Réparation des bétons” : Freyssinet Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 37 jours

Poutres contrecollées 100 % bois français chez Dispano

Avec une nouvelle gamme de poutres contrecollées 100 % bois français, Dispano franchit un pas de plus dans ses engagements en matière de développement durable. Elle provient de forêts jurassiennes, certifiées PEFC. Les poutres sont assemblées dans une usine française. Il s’agit de sapin-épicéa, intervenant dans la composition d’un grand nombre de produits. La gamme 100 % bois français distribuée aujourd’hui par Dispano est utilisée pour le bois de charpente ainsi que pour des maisons à ossatures bois, dans un cadre intérieur uniquement puisque le bois n’est pas traité. L’enseigne dispose de 6 références de poutres, disponibles dans les 40 agences Dispano sous un délai d’une dizaine de jours. L’enseigne bénéficie d’une vision totale sur la traçabilité du produit et sur toute la chaîne de production, de la forêt au produit fini. Elle peut ainsi garantir à ses clients une disponibilité des produits et s’engager sur des délais fiables, évitant ainsi tout risque d’interruption de chantiers. Elle répond aussi à une véritable tendance de fond qui tend à privilégier de plus en plus de produits locaux dont la production est parfaitement maîtrisée.
Il y a 3 ans et 37 jours

L’Europe peut s’affranchir des imports russes avant le milieu de la décennie grâce aux EnR

L'utilisation globale du gaz diminuera de 9% en 2024 par rapport au modèle d'avant-guerre de DNV. La plus forte croissance attendue est celle de l'énergie solaire qui, d'ici 2026, aura augmenté de 20%. Le report de la mise à la retraite de centrales nucléaires jouera également pour combler le déficit.Bien que le charbon soit nécessaire à très court terme pour répondre à la demande énergétique de l'Europe, d'ici 2024, le report de fermetures de centrales et la croissance du nucléaire joueront un rôle important pour combler le manque de gaz naturel. Les émissions liées à la consommation énergétique seront inférieures de 2,3% en Europe au cours de la période 2022-2030, par rapport à la trajectoire modélisée avant la guerre en Ukraine. Cela est dû à l'importance accrue des énergies à faible teneur en carbone (énergies renouvelables et nucléaire), à une plus grande efficacité énergétique et, à court et moyen terme, à une croissance économique plus faible."Comme ils l'ont fait pendant la pandémie de COVID-19, les dirigeants européens ont fait preuve de lucidité face à une crise, pour accélérer la transition énergétique du continent. Cette fois, l'Europe accroît sa sécurité énergétique tout en réduisant ses émissions", a déclaré Remi Eriksen, président du groupe et PDG de DNV.Le pivot de la Russie vers l'Est ne compensera pas entièrement la réduction des exportations de gaz vers l'Europe, en raison d'infrastructures limitées.En revanche, DNV estime que l'Europe elle-même produira 12% de gaz en plus en 2030, ce qui reflète la réaction de l'industrie à la hausse des prix du pétrole et du gaz à court terme et la réponse aux incitations de de l'UE. Le rôle du GNL importé est limité par la capacité de regazéification, la construction des infrastructures supplémentaires devant prendre de 2 à 5 ans. Toutefois, il constituera un volet de la stratégie globale de sécurité énergétique du continent.Il existe un risque de surcapacité dans le secteur du pétrole et du gaz vers la fin de la décennie, les entreprises cherchant à tirer parti des prix élevés et du déficit d'approvisionnement.La tendance à long terme reste baissière pour le pétrole, et la réduction de la croissance du PIB et le ralentissement de la mondialisation, conséquences du conflit, risquent de freiner davantage la demande. L'augmentation de la capacité pétrolière et gazière à l'horizon 2030 entraînera une baisse des prix, ce qui augmentera probablement un peu l'utilisation mondiale dans les années 2030."La guerre en Ukraine a secoué les marchés de l'énergie, mais la décarbonisation reste le thème central. Les entreprises du secteur de l'énergie devront trouver un équilibre prudent entre la nécessité de combler le déficit d'approvisionnement en pétrole et en gaz à court terme et celle d'éviter les actifs abandonnés à plus long terme", a déclaré Sverre Alvik, directeur de la recherche sur la transition énergétique chez DNV.Pour les consommateurs, il n'y a pas de fin immédiate en vue aux prix élevés de l'électricité. En 2024, les prix de l'électricité seront 12% plus élevés en Europe que si le continent ne s'éloignait pas de l'énergie russe. La hausse du coût des matières premières aura également un impact sur l'adoption des véhicules électriques, car le coût des batteries augmente. Pour l'Europe, cela signifie que la moitié des ventes de nouvelles voitures seront électriques en 2028 au lieu de 2027, bien que cela puisse être surmonté par des incitations politiques.*Dans le modèle de DNV, l'Europe comprend tous les pays européens, y compris les pays baltes, mais sans la Russie, l'Ukraine, la Biélorussie et la Turquie.