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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35109 résultats)
Il y a 3 ans et 37 jours

Point.P continue de muscler son offre sur le bois

RACHAT. Point.P annonce avoir fait l'acquisition de trois points de vente MBA (Matériaux et Bois d'Aquitaine). Une opération qui marque la volonté de l'enseigne de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France de densifier son offre bois.
Il y a 3 ans et 37 jours

"L'enjeu réside à passer les hausses de prix", DG, Etex Building Performance France

INTERVIEW. Valérie Lebon a pris son poste de directrice générale d'Etex Building Performance France (Siniat, Promat) début novembre 2021. Elle fait le point pour Batiactu sur sa feuille de route ainsi que sur les difficultés conjoncturelles qui impactent le secteur de la construction ces derniers mois.
Il y a 3 ans et 37 jours

"Je veux lancer un plan d'isolation des bâtiments particuliers", Nicolas Dupont-Aignan

PRÉSIDENTIELLE 2022. Dans une interview à Batiactu, Nicolas Dupont-Aignan détaille les mesures de son programme relatives aux secteurs de la construction, du cadre de vie et de l'énergie. Le candidat de Debout la France compte notamment faire du "fabriqué en France" le fer de lance de sa politique économique et industrielle, et promeut une vision "pragmatique" du logement et de l'artificialisation des sols. Sur le plan énergétique, il ambitionne de soutenir massivement les filières nucléaire et hydroélectrique, mais écarte tout projet de parc éolien. Entretien.
Il y a 3 ans et 37 jours

68% des Français déclarent ne pas être accompagnés par leur banquier sur la rénovation énergétique

A partir du 15 avril 2022 et jusqu’à la fin de l’année, le montant de MaPrimeRénov’, accordée pour remplacer les chaudières fioul et gaz par un système de chauffage vertueux, sera augmenté de 1.000 euros. Une mesure bienvenue pour les familles, mais qui ne suffira pas pour leur permettre d’engager une transformation profonde des passoires thermiques - et donc de faire des économies conséquentes sur le long terme.Un sondage Pretto/ Happydemics (réalisé du 24 février au 8 mars 2022 auprès de 1.053 personnes) démontre que les Français sont aujourd'hui nombreux à porter un vif intérêt à la rénovation énergétique, mais admettent manquer d’accompagnement. Un enjeu pourtant central pour les propriétaires - occupants et bailleurs - puisque qu’à partir de 2023 les logements F et G seront exclus du parc locatif.68% des Français déclarent ne pas être accompagnés par leur banquier sur la rénovation énergétiqueD’après un récent sondage Pretto/Happydemics, 52% des Français sont attentifs au Diagnostic de Performance Energétique (DPE) - 28% des Français sont assez attentifs au DPE/ très à 24%. Seuls 18% des sondés ignorent ce qu’est le dispositif.Malgré cette attention particulière, ils sont 47% à ne pas connaître les aides et dispositifs à la rénovation énergétique. Ils sont même 20% à attendre une meilleure aide sur ce point de la part des candidats à la présidentielle “pour les logements et immeubles”.Outre une méconnaissance globale des différents dispositifs d’aides en particulier celles en banque, 68% des sondés déclarent que leur conseiller bancaire n’a pas su leur fournir de conseil sur les dispositifs de financement.”L’intérêt accru autour du DPE s’explique par une volonté des Français de réduire leur facture énergétique - notamment dans un contexte inflationniste. Cependant, pour plusieurs raisons, ils se sentent démunis car ils ne savent pas vers qui se tourner pour avoir une meilleure connaissance des dispositifs qui existent pour les aider à la rénovation énergétique de leur logement”, explique Pierre Chapon, co-fondateur de Pretto.Les banques sont conscientes du sujet mais sont encore loin d’être mobilisées à 100%Le manque d’accompagnement pointé par les Français s’explique en partie par une mobilisation très progressive des banques sur ces sujets. En effet, elles sont conscientes des enjeux autour du DPE, et plus globalement sur la rénovation énergétique, mais éprouvent encore des difficultés à bien identifier la composition de leur portefeuille. Un manque de visibilité qui ne permet pas d’identifier la part des DPE des biens classés F et G.A cela vient s’ajouter une difficulté à maîtriser certaines aides. "L'éco-PTZ peut présenter certaines difficultés de traitement pour des acteurs bancaires, notamment en raison du processus administratif”, rappelle Pierre Chapon.Cependant, les banques commencent à se mettre en ordre de bataille, à travers notamment:des actions de sensibilisation en interne auprès de leurs conseillers,la mise en place d’une politique de RSE,le conditionnement du financement de biens classés F et G à des travaux de rénovation énergétique.Il faut inciter les acteurs du financement à accélérer la rénovation énergétiquePour Frédéric Utzmann, Président d’Effy : “Aux côtés de l’État et des fournisseurs d’énergie, la place des banques dans le financement de la rénovation énergétique est encore trop souvent négligée. Elles sont pourtant en première ligne lors de l’achat d’un bien immobilier. Leur implication dans le financement de la rénovation énergétique est essentielle pour éviter la dévalorisation patrimoniale de ces biens et, demain, l’interdiction de leur mise en location après les récentes évolutions du DPE. Nous sommes convaincus que des leviers financiers et incitatifs peuvent être facilement actionnés pour leur permettre de se saisir pleinement du sujet”.Afin d’inciter les banques à se mobiliser davantage en faveur du financement de la rénovation énergétique, Pretto et Effy ont esquissé 3 propositions simples et efficientes :Relever le taux maximum d’endettement à 37% ou 38 % pour l’octroi d’un crédit immobilier afin de permettre le financement de travaux de rénovation énergétique. Interrogées par Pretto, certaines banques considèrent envisageable de permettre à la seule enveloppe travaux de dépasser les 35% d’endettement.Inciter les banques à proposer davantage l’éco-PTZ en augmentant de manière significative leur rémunération en contrepartie d’une obligation quantitative dans la distribution de ce prêt.Intégrer les activités de Retail banking à la démarche environnementale des banques : leur mobilisation autour des enjeux de rénovation énergétique des logements pourrait représenter un levier majeur de réduction de leur empreinte carbone.
Il y a 3 ans et 37 jours

The BIG 5 Dubai

Middle East Concrete et The Big 5 se regroupent pour former un seul et même évènement. Il permet aux industriels du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Asie du Sud de présenter leurs nouveautés dans le secteur de la construction et particulièrement dans l'industrie du béton et de la construction lourde.
Il y a 3 ans et 37 jours

BAUMA Allemagne 2022

Bauma est le rendez-vous incontournable pour l'ensemble des industriels de la construction. Avec un rayonnement international, ce salon est l'occasion pour chacun de rencontrer des potentiels clients et partenaires. Le salon est divise en quatre zones : chantier, production de matériaux de construction, industrie minière avec extraction et traitement de matières premières, fournisseurs et services.
Il y a 3 ans et 37 jours

Nouveau DPE : les radiateurs et chauffe-eau électriques solutions optimales pour un logement bas carbone selon le Gifam

Solutions bas carbone par excellence, les radiateurs électriques de dernière génération connectés et dotés de dispositifs de pilotage intelligent constituent l’une des meilleures options de chauffage disponibles sur le marché, tant en termes de contribution carbone, de coûts d’installation, de fonctionnement, que de confort.Le Gifam, le groupement des marques d’appareils pour la maison et de solutions de thermique électrique, salue cette évolution qui permet aux consommateurs de disposer d’un classement plus représentatif de son logement en matière d’efficacité énergétique et qui lui donne les moyens d’agir concrètement sur celui-ci. En outre, les nouveaux critères pris en compte dans le calcul du DPE mettent en lumière les avantages des radiateurs et chauffe-eau électriques dans le cadre des rénovations thermiques pour des logements bas carbone.L’estimation donnée par la nouvelle étiquette du DPE, allant de A à G, apporte une information très concrète sur les performances environnementales du logement. Deux critères concomitants sont maintenant évalués : le critère énergétique, pour connaître la consommation d’énergie, qui prend en compte l’isolation, le chauffage, la production d'eau chaude sanitaire, le refroidissement, l’éclairage et la ventilation, et le critère climat pour connaître la quantité de gaz à effet de serre émise par le logement.« Le nouveau DPE permet de mieux tenir compte des enjeux climatiques. Il incite désormais les Français à rénover leur logement au profit de solutions peu émettrices de CO2, comme les radiateurs électriques. » explique Éric Baudry, Président de la Commission Thermique du Gifam.Obligatoire lors d’une vente ou d’une mise en location du logement, le nouveau DPE encourage les propriétaires à engager des travaux de rénovation afin d’afficher une meilleure classe et de rendre leur bien plus attractif. En l’absence de travaux après le calcul de leur DPE, les propriétaires des logements classés F et G auront l’obligation de réaliser un audit énergétique visant à identifier le coût de la rénovation énergétique et les postes de rénovations pour faire passer le logement d’une catégorie F ou G à B. Changer ses radiateurs électriques pour des modèles de nouvelle génération s’avère être une bonne option pour améliorer le confort et la performance du logement. En outre, les logements classés G ne pourront plus être mis à la location d’ici 2025, ceux classés F en 2028 et ceux classés E en 2034.Le Diagnostic de Performance Energétique est aussi un formidable outil pour les propriétaires occupants. Il fournit les consommations d’énergie annuelles ainsi que des recommandations pour mieux les maitriser.L’allié bas carboneL’introduction de l’incidence des émissions de CO2 dans la définition des classes du DPE, conforte le radiateur électrique comme une solution efficace pour contribuer à réduire les consommations d’énergie et les émissions de CO2, puisque, pour rappel, les appareils de chauffage électrique utilisent une énergie décarbonée à plus de 93% en France. Les chauffe-eau thermodynamiques permettent quant à eux de réduire de 80% la consommation d’électricité pour la production d’eau chaude sanitaire.Aujourd’hui, 1/3 des logements sont équipés de radiateurs électriques, représentant un total de 70 millions d’appareils dont 14 millions à rénover. Dans ce cadre, les solutions de chauffage électrique sont économiques, écologiques et durables. De plus, elles sont faciles à installer, ne nécessitent pas de maintenance contraignante à l’usage pour le consommateur, sont réparables et recyclables.L’allié du confortCouplé à des travaux d’isolation thermique, le recours aux appareils de chauffage électrique permet une nette amélioration de la sensation de confort thermique au sein des foyers grâce aux innovations apportées ces dernières années. Faciles d’utilisation, les appareils de chauffage électriques s’adaptent aux besoins réels des occupants avec une régulation de la température pièce par pièce, la détection de présence ou de fenêtre ouverte… Selon l’étude Gifam Insights menée en 2021, 6 propriétaires de logements chauffés à l’électricité sur 10 souhaitent s’équiper d’un système de chauffage connecté.Les chauffe-eau programmables appliquent également les consignes qui leur ont été données tout au long de la journée, et en fonction des jours de la semaine. Ainsi, ils ne chauffent que la quantité d’eau nécessaire au moment opportun pour maximiser le confort de tous.L’allié de la maitrise du budgetEn matière de chauffage, l’intégration de nouvelles technologies permet des économies d’énergie conséquentes : lors du remplacement d’un appareil de première génération par un appareil de dernière génération, les économies d’énergie sont de l’ordre de 30%, en fonction de l’usage et des caractéristiques de l’appareil ainsi que du comportement du consommateur.Les bénéfices sont d’autant plus grands avec les appareils programmables et intelligents qui permettent de chauffer uniquement au bon endroit et au bon moment et ainsi de réduire sa facture d’électricité.[1]Après la refonte des coefficients en novembre dernier, les propriétaires de logements construits avant 1975 ont jusqu’au 30 avril pour demander la réédition de leur DPE réalisé entre le 1er juillet et le 31 octobre 2021.
Il y a 3 ans et 37 jours

A Belfort, Métal déployé conducteur pour General Electric selon RR&A

Depuis 2009, sur le Territoire de Belfort, la restructuration du bâtiment industriel N° 66 et la création de bureaux pour le centre d’études de G.E.E.P.E. (General Electric Energy Products Europe) réalisées par Reichen et Robert & Associés (RR&A) certifie d’une intervention réussie sur le patrimoine industriel, fut-il « mineur ». Métal déployé en fil conducteur ? […] L’article A Belfort, Métal déployé conducteur pour General Electric selon RR&A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 37 jours

Lancement de l’espace en ligne personnalisable MYTECHNAL : accéder à tous les services TECHNAL en quelques clics

TECHNAL a créé un nouvel outil en ligne « MyTechnal » qui centralise toute son offre de services afin de faciliter le quotidien de chaque professionnel. Cet espace à l’arborescence intuitive est accessible sur ordinateur, tablette et smartphone depuis le site professionnel TECHNAL. En quelques clics, les menuisiers, les ALUMINIERS AGRÉÉS TECHNAL et les prescripteurs, […]
Il y a 3 ans et 37 jours

Hoffmann Green lance la construction de sa centrale à béton R & amp D sur le site de Bournezeau

Chaillé-sous-les-Ormeaux, le 24 mars 2022 – 18h00 CET : Hoffmann Green Cement Technologies (ISIN : FR0013451044, Mnémo : ALHGR) (« Hoffmann Green Cement » ou la « Société »), acteur industriel engagé dans la décarbonation du secteur de la construction qui conçoit et commercialise des ciments innovants sans clinker, annonce le lancement de la construction […]
Il y a 3 ans et 37 jours

Nouvel isolant : PARNATUR isolant fibres de bois destiné à l’isolation thermique par l’extérieur

Depuis plus de 40 ans, PAREXLANKO propose des solutions destinées à la décoration des façades du bâti neuf comme du bâti ancien ainsi qu’à l’isolation thermique par l’extérieur (ITE). PAREXLANKO propose désormais un isolant en fibres de bois : PARNATUR ISOLANT FIBRES DE BOIS. Celui-ci s’intègre dans le nouveau système PARISO FB-M. Parnatur isolant fibres de […]
Il y a 3 ans et 37 jours

WoodTechno, le granulé de bois en circuit court

La société WoodTechno, créée fin 2021 dans le Cantal, a été présentée jeudi 24 mars par l'incubateur Pulsalys, qui accompagne son projet, sur le campus universitaire de la Doua à Villeurbanne.Elle est née de la rencontre entre un professionnel de la filière et un chercheur du laboratoire Ingénierie des Matériaux Polymères (universités de Saint-Étienne et Lyon, Insa et CNRS).L'idée ? Utiliser pour le bois la technologie de l'extrusion, employée ordinairement en plasturgie. Ce procédé thermomécanique consiste à faire avancer un matériau dans un tube, boyau ou profilé, aux dimensions du produit à obtenir, en jouant sur la pression et la température pour le transformer durant sa progression.Un défi "car l'extrusion est faite pour des matériaux qui réagissent à la chaleur, alors que le bois n'aime pas ça", souligne José Brunet, président de WoodTechno, basée près de Saint-Flour où il possède une scierie. Dix-huit mois de recherche "ont permis de démontrer que nous étions en capacité d'extruder du bois pour produire des granulés à destination du marché du chauffage", grâce à des innovations qui ont été brevetées.Cette technologie peut être utilisée pour les feuillus comme les résineux, alors que les granulés viennent pour l'heure des seuls résineux, les feuillus - au bois plus dur - s'adaptant mal aux presses à galets traditionnelles.Autres atouts : le granulé obtenu a un pouvoir calorifique renforcé, il est moins cher à produire et le procédé mis au point est "accessible à toutes tailles de scieries", alors que de gros investissements sont actuellement nécessaires."Beaucoup de petites et moyennes scieries doivent vendre leurs résidus à de gros acteurs économiques, sans valeur ajoutée", explique José Brunet. L'objectif de WoodTechno est de permettre à ces PME de produire leurs propres granulés pour les vendre localement, "au plus près des forêts et des consommateurs".Le marché est en pleine croissance, les ventes de chaudières à granulés ayant doublé l'an dernier en France selon la filière. La consommation en Europe s'élève à 30 millions de tonnes par an, dont 23 produites sur le continent.WoodTechno, soutenue par la Région et la BPI, cherche à lever 700.000 euros pour installer un pilote semi-industriel à Saint-Étienne et produire 300 kilos de granulés à l'heure début 2023 - avant un démonstrateur dans le Cantal, d'une capacité de 4 tonnes par heure, à l'horizon 2024.
Il y a 3 ans et 38 jours

KNAUF lightboard horizon 4 : la 1ere plaque de plâtre du marché qui allège les chantiers

Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, la première plaque de plâtre à 4 bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation novatrice de son cœur de gypse permet en effet un gain de poids de près de 25 %, de quoi faciliter les chantiers au quotidien.  […]
Il y a 3 ans et 38 jours

BATIMAT 2022

Batimat est le salon multi-spécialiste et international de l’industrie et des métiers du bâtiment. Tous les décideurs et les professionnels de la mise en œuvre s’y rencontrent pour choisir les solutions innovantes matériels ou matériaux, qui construisent les bâtiments d’aujourd’hui et de demain.
Il y a 3 ans et 38 jours

Les travaux du tunnel de Tende dans la vallée de la Roya devraient reprendre en avril côté français

La réunion de la Conférence Intergouvernementale (CIG) des Alpes du Sud a validé le 1er avril une solution technique qui "permet la relance des travaux et notamment la reprise du percement du tunnel sur le front d'attaque français avant la fin du mois d'avril 2022, les travaux du tunnel côté italien étant en cours depuis novembre 2021", a indiqué le ministère dans un communiqué.La délégation française souhaiterait autoriser la circulation des usagers locaux avant la mise en service au trafic général. L'organisme de gestion des routes italiennes, l'Anas, s'est engagée à chercher à apporter une réponse favorable à cette demande, tout en soulignant les difficultés d'une telle solution, selon le ministère."Cette liaison est vitale pour relancer l'activité de la Roya", a souligné Charles-Ange Ginesy, président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes, sur Twitter. "Or la Commission intergouvernementale prévoit l'achèvement du nouveau tube du tunnel pour l'automne 2023 et le rétablissement d'une pleine circulation mi-2025".Le doublement du vieux tunnel de Tende, datant de 1882, avait déjà dû être stoppé en 2017 par un scandale de vol de matériaux et de fraude. Le percement de la deuxième galerie venait de reprendre quand la catastrophe météorologique a eu lieu.Côté rail, la conférence a approuvé le lancement d'études sur la mise en sécurité et la pérennisation de la ligne Coni-Tende-Vintimille, qui a repris partiellement fin décembre 2021. Financées à parts égales par la France et l'Italie, elles seront menées pendant deux ans par SNCF Réseau.En octobre 2020, la tempête Alex a provoqué des crues exceptionnelles dans les Alpes-Maritimes, causant au total dix morts, huit disparus et deux milliards d'euros de dégâts, en particulier dans les vallées dévastées de la Vésubie et de la Roya.
Il y a 3 ans et 38 jours

Eau et changement climatique : entre urgence et résilience

Décliné simultanément dans 16 régions de France par les délégations territoriales de l’organisation professionnelle, cet évènement national était placé sur le thème « Eau et changement climatique : entre urgence et résilience ».Interviewée en duplex par le Président des Canalisateurs Alain GRIZAUD, la célèbre hydrologue Emma HAZIZA a rappelé les impacts du changement climatique sur les ressources en eau douce française qui ont vu apparaitre en 2020 les premiers conflits d’usages. Dans cet inquiétant contexte, syndicats et régies des eaux, représentants locaux de la maitrise d’œuvre et de la maitrise d’ouvrage ont témoigné de leur engagement, pour préserver une ressource en eau de plus en plus rare, et pour maintenir impérativement la qualité des infrastructures de réseaux d’eau potable et leur pérennité.« Avec le changement climatique, l’équilibre du cycle de l’eau douce est en danger dans notre département ! Les nappes phréatiques sont fragiles, elles accusent une diminution de 20% en moyenne chaque année » alerte Régis RIQUE délégué départemental Allier des Canalisateurs Auvergne. Ce constat a été illustré par l'hydrologue Emma HAZIZA.Un Européen consomme en moyenne 5.000 litres d’eau par jour ! « Il y a toujours eu des épisodes climatiques extrêmes dans l'histoire » rappelle en préambule la scientifique. Mais au-delà de la variabilité naturelle, Emma HAZIZA note des phénomènes nouveaux : « On est maintenant face à des paramètres qui sont de l'impensable, de l'impossible. » Des signes sont apparus à partir de 2014 jusqu'à la « cassure » de 2017 où la sécheresse a duré jusqu'à fin décembre avant de basculer en 2018, sur trois semaines de pluies provoquant une crue de la Seine, pour se prolonger en 2019 par des chaleurs historiques de 42 ºC à Paris et 46ºC dans le Gard puis par des feux de champs en Picardie en 2020 avec des premiers conflits… d’usage de l’eau ! Et 2021, marquée par des dômes de chaleur ayant provoqué épisodes pluvieux et crues dévastatrices en Allemagne et en Belgique ! Pourquoi de telles variations ? « Parce que l'eau est instable. Plus les sécheresses sont intenses, plus l'eau s'accumule dans l'atmosphère alors qu'elle n'est pas capable d'y rester », répond la scientifique. Or un Européen consomme en moyenne 5.000 litres d’eau par jour (nourriture, hygiène, déplacements, etc.) : les besoins sont colossaux. « Derrière tout ce qu’on achète se cache de l’eau, de l’eau « indirecte ». Et quand l’eau « indirecte » commence à manquer, cela influe sur les prix ». Blé, énergie… tout dépend de l’eau. Car une calorie nécessite un litre d’eau pour être produite ! Sécuriser et renouveler les réseaux d’eauAvec les Assises de l’eau sur le petit et le grand cycle de l’eau d’août 2019, une véritable prise de conscience a été actée. Depuis la crise sanitaire, le plan de relance national de 2021 a réactivé la nécessité de la sécurisation des réseaux. Au niveau régional, c’est entre 20% et 25% de l’eau traitée qui repart dans la nature faute de renouvellement des réseaux ! » s’alarme Stéphane GRAUPNER, délégué régional Rhône-Alpes Canalisateurs du Sud-Est, en soulignant avec Jean-Luc GARCIA, président de Canalisateurs Auvergne le besoin de sécuriser la ressource en eau et ses financements.Gestion de l’eau sur les territoiresSavoir se réorganiserAvec la loi NOTRe, la gestion de l’eau est devenue compétence communautaire au 1er janvier 2020. Loire Forez Agglomération (87 communes) par exemple hérite ainsi de 1 890 km de réseau, 140 réservoirs, 22 sites de forage et 40 stations de pompage sur un territoire où cohabitaient 47 gestionnaires de l’eau, avant le transfert de compétence… « Nous avons travaillé sur les dynamiques locales, ce qui a permis de réorganiser un modèle plus collaboratif entre les territoires » souligne Patrice COUCHAUD, Vice-Président de Loire-Forez Agglomération. Avec cette nouvelle organisation, la collectivité va harmoniser le prix de l’eau d’ici 2026. « Dans cinq ans, tous les abonnés paieront légèrement plus cher leur mètre cube d’eau. Cette légère hausse financera un plan d'investissement pluriannuel pour mettre à niveau nos infrastructures ! » souligne l’élu qui prévoit d'investir 5,7 millions € pour refaire ses canalisations les plus âgées.Jouer collectif et investir« Il y a urgence ! » alerte Denis DELHOMME, administrateur de CINOV Ingénierie. « Il est nécessaire d’investir dans le renouvellement des réseaux ! Seulement 0,6%* des réseaux sont renouvelés par an en France ! Ce n’est pas suffisant. A ce rythme, il faut 150 ans pour renouveler la totalité des réseaux ! » (*sources SISPEA 2019) ajoute le représentant des maitres d’œuvre qui encourage les collectivités à signer des accords-cadres, à faire appel aux cabinets d’ingénierie pour continuer à innover, trouver de nouveaux outils, rechercher les fuites… et investir dans le renouvellement des infrastructures en eau en encourageant les élus à faire de l’eau un pilier de leur politique.Avec un taux de rendement du réseau d'eau de 84%, le département de l’Allier est au-dessus de la moyenne nationale (80%). Selon François LIPONNE, Directeur général délégué au Cycle de l'Eau à Vichy Communauté, ce « bon résultat » s’explique par la structuration très ancienne de la maîtrise d'ouvrage, surtout en secteur rural. Dès les années 50-60, les communes rurales se sont regroupées en syndicats de plusieurs dizaines de communes, ce qui leur a permis d’avoir la capacité technique de pouvoir gérer ses équipements et les maintenir en bon état.« Grâce à cette force de frappe collective, une dynamique forte de renouvellement des réseaux s’est engagée et le mouvement est bien en marche ! Le département a un rôle majeur dans l’aménagement technique » ajoute-il. Le Conseil Départemental de l’Allier prévoit en effet d’investir entre 200 à 250 millions d'€ pour les réseaux d’eau sur les 25 ans à venir : sécurisation, capacités de production supplémentaires, création de nouveaux réseaux avec gros diamètres pour amener l'eau à tout point du département avec groupes de pompage et réservoirs de secours. Du Val de Loire au Val d'Allier, du Val d'Allier au Val de Cher, le département sera interconnecté… en eau.Vichy Communauté fera des investissements marqués sur le cycle de l’eau avec 6 millions € au total pour la rive gauche de l’Allier, le Sichon et l’aménagement des bases de loisirs/tourisme de Saint-Yorre, Abrest et Saint-Germain-Billy, soit près de 15% de son budget d’investissement 2022.Plusieurs autres organisations ont lancé leur schéma directeur d'alimentation en eau potable qui a permis de bâtir un programme pluriannuel d'investissement, suite à l’étude patrimoniale de leur réseau, comme le témoigne Guillaume DAUPHANT, Vice-Président du Syndicat Intercommunal d’Adduction d’Eau Potable Basse Limagne, dans le Puy de Dôme.Innover et formerAméliorer la performance des réseaux et mieux gérer la ressource en eau est possible grâce à l’apport de l’innovation. « La généralisation des détecteurs de fuite avec puces RFID et l’utilisation accentuée de logiciels de gestion prédictive viennent renforcer efficacement les outils actuels de surveillance (télégestion) et de comptages sectoriels » souligne François LIPONNE qui met l’accent sur la formation des agents qui permet de les impliquer sur des « métiers passion » en les faisant monter en compétence. L’agglomération de Vichy travaille également sur des nouveaux aménagements pour réduire la pollution des sols d’origine agricole, qui passe par des procédés innovants de filtration d’eau.Faire de la pédagogie pour « rendre visible l’invisible » et agir sur les territoiresPrix de l’eau et communicationSelon le Vice-Président du SIAEP Basse Limagne, le prix de l’eau et la communication qui en découle sont au cœur des problématiques : le prix de l’eau est un indicateur important pour les collectivités locales et son impact psychologique est fort. « Mais parler de prix de gestion de l’eau plutôt que du prix de l’eau serait plus juste ! Car cela permettrait de mettre de la valeur sur l’ensemble des acteurs de l’eau, entreprises, maitrise d’œuvre, maitrise d’ouvrage, élus locaux, régies et syndicats dont le travail de qualité demeure capital et encore trop inconnu, voire… invisible ! ».Les territoires Eau-Responsables en Auvergne-Rhône-AlpesEchanger, communiquer et partager. C’est l’enjeu des nécessaires échanges d’expériences à encourager entre collectivités au niveau national qui permettent de mutualiser les pratiques. C’est aussi l’enjeu de stratégies « Eau » récemment mises en place au niveau régional par plusieurs collectivités d’Auvergne-Rhône-Alpes engagées pour des territoires "Eau-Responsables" dossier téléchargeable ICI coordonnés par le Groupe de Recherche, Animation technique et Information sur l'Eau (GRAIE) et l’Association scientifique et technique pour l'eau et l'environnement (ASTEE).La maitrise d’œuvre et l’action pédagogique constituent des fondamentaux dans la connaissance du réseau d’eau par les collectivités. « La généralisation de territoires "Eau-Responsables" à l’échelle régionale permettrait par exemple de retrouver une eau durable et saine, de recharger les nappes souterraines, d’améliorer la qualité de vie en zone urbaine et de mieux gérer le risque inondation, comme c’est le cas dans la vingtaine de territoires Eau Responsables actuels » souligne Patrice COUCHAUD. Ce sont des bonnes réponses à l’urgence climatique !En cette Journée Mondiale de l’Eau et pour clôturer ces échanges, Pierre BERGER, Président de la FRTP Auvergne Rhône-Alpes rappelle que la profession est particulièrement engagée dans la décarbonation et travaille, au niveau national, sur les projets de réutilisation des eaux usées (re-use) afin de faciliter leur mise en œuvre.En remerciant l’ensemble des intervenants pour la qualité des échanges, Michel REGUILLON , président des Canalisateurs du Sud-Est, souligne l’importance de préserver ces rendez-vous professionnels qui permettent « de dialoguer, de rester solidaire face aux problématiques que nous rencontrons, et aussi de renforcer le partenariat entre nos entreprises, les maitres d’ouvrage et les maitres d’œuvre pour une gestion de l’eau à la hauteur des enjeux climatique actuels. »
Il y a 3 ans et 38 jours

Velux va stopper définitivement ses activités en Russie

INTERNATIONAL. Le groupe Velux a décidé de mettre fin définitivement à ses activités en Russie et en Biélorussie. Au début du mois de mars, le spécialiste de la fenêtre de toit avait annoncé la suspension de ses opérations en raison de la guerre en Ukraine.
Il y a 3 ans et 38 jours

Le gouvernement détaille les nouvelles mesures de soutien en faveur des entreprises du BTP

Publication d’une circulaire précisant les modalités de prise en compte des conséquences de la crise dans le cadre des marchés publicsLa pénurie des matières premières et la hausse des prix des approvisionnements sont susceptibles d’avoir des conséquences sur les conditions techniques d’exécution des contrats.Une circulaire viendra préciser les modalités de modifications des contrats de la commande publique lorsqu’elle est nécessaire à la poursuite de l’exécution des prestations. Cette circulaire précisera par ailleurs les modalités de l’application de la théorie de l’imprévision aux contrats publics. Enfin, cette circulaire encouragera les acteurs publics à suspendre les pénalités contractuelles et à insérer une clause de révision des prix dans tous les contrats de la commande publique à venir.Accélération de la publication des index du BTPLes index du BTP sont actuellement publiés 80 jours après la fin du mois. Ces index seront désormais publiés 45 jours après la fin du mois afin d’actualiser plus rapidement les prix des matières premières dans l’exécution des contrats.La nouvelle méthodologie s’appliquera début mai par la mise à jour des index du mois de février ; les index du mois de mars seront publiés mi-mai au lieu de mi-juin.Réactivation des cellules de criseDans chaque département, les cellules de crise BTP (prévues par la circulaire D20016941 du 27 novembre 2020) seront réactivées, réunissant, sous l’égide des Préfets, les fédérations professionnelles de la filière, les distributeurs et industriels locaux et les donneurs d’ordre publics et privés pour offrir un espace de concertation sur les sujets de tension pour le secteur.Par ailleurs, dans chaque région un « référent résilience » sera nommé pour animer les réseaux d’acteurs dont la mobilisation est indispensable, et pour assurer un suivi régulier et lever les éventuelles difficultés susceptibles de freiner l’activité.Mise en place d’une aide temporaire pour les entreprises des travaux publicsLes petites et moyennes entreprises[1] des travaux publics, particulièrement impactées par la hausse du prix du gasoil non routier, qui a connu une hausse plus sensible que le gasoil routier, bénéficieront d’une aide spécifique. Cette aide, d’une enveloppe globale de 80 M€, sera versée en une fois et sera au prorata du chiffre d’affaires des entreprises éligibles. Elle permettra de compenser en partie la hausse des prix du GNR avec l’estimation que les coûts du GNR représentent en moyenne 2,5% du chiffre d’affaire des entreprises du secteur.Il est à noter que les entrepreneurs du BTP bénéficient également de la remise de 15cts/litre qui s’applique au GNR.Réforme sur le GNRLe Gouvernement prend acte de la demande des professionnels de reporter la réforme supprimant l’avantage fiscal sur le GNR, qui doit en principe entrer en vigueur au 1er janvier 2023. A ce stade, les conditions ne sont pas réunies pour ouvrir ce sujet, qui nécessite une loi de finance. Compte-tenu de l’augmentation des prix, le Gouvernement reconnaît toutefois que les conditions de mise en oeuvre de cette réforme ne sont plus réunies et qu’il appartiendra au Parlement d’établir un calendrier lors de la prochaine loi de finances.[1] Entreprise qui emploie moins de 250 salariés et dont le chiffre d’affaires annuel n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total de bilan n'excède pas 43 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 38 jours

Les experts de l'ONU remettent leur nouveau rapport sur l'évolution du climat

La croissance des émissions ralentit...Si l'on continue de rejeter trop de CO2 dans l'atmosphère, le rythme a ralenti ces dernières années. Les émissions ont même baissé en 2020, d'environ 5,8% sur un an selon les estimations, avec les confinements et le ralentissement de l'économie liés à la pandémie de Covid-19.La demande en énergie a été réduite quasiment dans tous les domaines, sauf pour les bâtiments résidentiels. Les émissions issues du secteur de l'aviation ont chuté de 45%.Par ailleurs, au moins 24 pays ont réussi à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et la pollution au CO2 depuis une décennie ou plus. Presque tous sont en Europe, mais la liste compte également les Etats-Unis et la Jamaïque. ... mais elles doivent chuter. Et vite.Les émissions ont déjà rebondi à leur niveau d'avant pandémie. Les pays en développement, qui partent d'une base inférieure, connaissent de fortes augmentations.Les émissions par habitant des pays riches restent obstinément élevées, avec une empreinte carbone individuelle en Australie, au Canada et aux Etats-Unis deux fois plus marquée que dans les autres nations occidentales.Nous avons les moyens...Installations photovoltaïques (solaires), éoliennes sur terre et en mer, batteries.... ces technologies bas carbone ont vu leur coût beaucoup baisser."Dans de nombreuses situations, le photovoltaïque et l'éolien terrestre sont désormais compétitifs par rapport aux énergies fossiles", note le rapport.... mais les mauvaises habitudes persistentToute l'électricité devra provenir de technologies bas carbone d'ici 2050 pour se conformer à l'accord de Paris. Une aspiration "mise au défi" par la demande grandissante en électricité.Actuellement, le photovoltaïque et l'éolien représentent moins de 10% du marché. Certains pays et même des banques internationales de développement continuent de subventionner et développer des centrales au charbon.Le transport, la construction et l'industrie peuvent être transformés...L'électrification est une option "faisable, extensible et abordable" pour décarboner les transports.Les véhicules électriques sont en forte croissance. Rechargés avec de l'électricité bas carbone, ils peuvent réduire considérablement les émissions.Il est possible de rendre tout immeuble existant ou neuf quasiment neutre en énergie ou à basse émission.D'une manière générale, la plupart des procédés industriels peuvent être décarbonés via diverses technologies ayant recours à l'électricité ou l'hydrogène, le captage de carbone et l'économie circulaire (recyclage et réutilisation).... mais le changement est lentLes émissions liées au transport ont progressé en moyenne de 2% par an entre 2010 et 2019, à cause d'une "forte demande pour voyager, de véhicules plus lourds, de faibles efficiences, et d'un développement organisé autour de la voiture".Mais le transport maritime et aérien doit aussi être décarboné. Dans le bâtiment, le peu d'ambition politique inquiète. Et la demande en matériaux de base doit être fortement réduite, en même temps que les innovations bas carbone changent d'échelle.L'action pour le climat s'amplifie...Un nombre croissant de pays, et d'entreprises, ont annoncé un objectif de neutralité carbone d'ici le mitan du siècle.Les politiques contraignantes telles que la tarification du carbone se sont développées.Le militantisme climatique se développe, les syndicats commencent à s'impliquer, tandis que la couverture médiatique du changement climatique reflète mieux la réalité scientifique.... mais doit survenir plus rapidementLes engagements actuels des Etats ne permettront pas de limiter le réchauffement à 1,5°C.De nombreux objectifs de neutralité carbone sont "définis de manière ambiguë" et les lois nécessaires ne sont pas encore votées.Les alternatives à faible émission nécessitent beaucoup plus d'investissements, tandis que les partisans du "statu quo" bloquent les progrès.Enfin, rappelle le Giec, les informations erronées en ligne et dans les médias ont "miné de manière significative" la compréhension de la science du climat.
Il y a 3 ans et 38 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Une résistance extrême aux conditions les plus rudes

UNE CONCEPTION ROBUSTE POUR UNE UTILISATION DANS DES CONDITIONS DIFFICILES ET PAR MAUVAIS TEMPS Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes […]
Il y a 3 ans et 38 jours

Eqiom se lance dans la valorisation des déchets de béton

Le cimentier a ouvert en Ile-de-France une plateforme pilote de recyclage et de valorisation de déchets de béton issus de chantiers de démolition qui s’inscrit dans sa politique d’économie circulaire.
Il y a 3 ans et 38 jours

Le panneau d’isolation thermique en polyuréthane accélère son positionnement sur le marché

C’est une nouvelle année record qu’annonce le SNPU pour le panneau d’isolation en mousse rigide de polyuréthane en 2021. Au total, 31,4 millions de m2 ont été posés en France, tout type de bâtiments et d’applications confondus, soit une augmentation de 15,3 % par rapport à 2019 et à 2020. Des résultats spectaculaires, malgré quelques […]
Il y a 3 ans et 38 jours

ECOVEGETAL végétalise le boulevard périphérique et deux stations Total en vis-à-vis porte d’Aubervilliers

ECOVEGETAL (1), coleader des toitures végétalisées et leader des parking perméables, vient de réaliser la toiture végétalisée des deux stations d’essence Total, situées en vis-à-vis, porte d’Aubervilliers, pour un total de 1240 m2. La première station Total, située sur le boulevard périphérique extérieur, représente 600 m² de toiture végétalisée, y compris les zones stériles sur plancher […]
Il y a 3 ans et 39 jours

Vinci signe pour étendre l'autoroute Athènes-Corinthe-Patras jusqu'à Pyrgos

Olympia Odos, filiale à 29,9% de Vinci Concessions, concessionnaire de l'autoroute reliant Athènes à Corinthe et Patras mise en service en 2017, a signé avec les autorités grecques une extension de la concession portant sur le prolongement de l'autoroute jusqu'à Pyrgos, dans l'ouest du Péloponnèse.Vinci Concessions et ses partenaires, Hochtief PPP Solutions, Avax SA, Aktor Concessions et Gek Terna, seront chargés "de la conception, du financement, de la construction de cette nouvelle section, puis de son exploitation jusqu'en 2044", est-il précisé dans le communiqué diffusé lundi.Le financement du projet, qui représente un investissement de 331 millions d'euros, comportera une contribution de 217 millions d'euros de l'État grec, le solde étant financé par un prêt bancaire à échéance de près de 15 ans, détaille le groupe.En parallèle, Olympia Odos "aura refinancé avec succès ses prêts bancaires existants, pour un montant d'environ 495 millions d'euros", ajoute-t-il. La nouvelle section, qui portera à 544 kilomètres le longueur totale du réseau exploité par Vinci en Grèce, devrait réduire d'environ 40 minutes le temps de trajet entre Patras et Pyrgos, renforcer les connexions avec les ports et faciliter l'accès au site historique de l'ancienne Olympie.
Il y a 3 ans et 39 jours

Un projet européen pour diminuer le bilan carbone du ciment

Diminuer d’environ 30% le bilan carbone du ciment est l’objectif du projet européen CO2REDRES. Il rassemble les universités de Lorraine (Institut Jean Lamour), du Luxembourg, de Liège, de Trèves et 14 partenaires industriels de la Grande Région.  Un projet éco-responsable  CO2REDRES (Traitement de ressources secondaires pour une réduction des émissions de CO2 dans l’industrie de […]
Il y a 3 ans et 39 jours

Précadres saillants pour extension d’une polyclinique à Caen

Le projet d’extension de la Polyclinique du Parc à Caen, entrepris par GCI Construction début 2019 et livré en octobre dernier, a pour ambition d’accompagner son développement médical et d’améliorer l’accueil des patients. D’une superficie de 5 360 m2 sur 5 niveaux, ce bâtiment héberge notamment 60 chambres d’hospitalisation supplémentaires (en ambulatoire et en hospitalisation), un pôle de douleur chronique et une salle de rééducation physique. Le programme constructif et l’insertion urbaine ont été imaginés par l’architecte Colin SUEUR, qui souhaitait créer en façades des jeux de volumes 3D. Cette enveloppe animée se compose de panneaux de béton brut en extrémité Ouest et d’un bardage, en position intermédiaire, assurant la liaison avec l’existant. 18 précadres d’habillage saillants « PrecHab Façade », verticaux et horizontaux, ont été fabriqués et livrés prêts à installer par LOUINEAU. Leurs dimensions variées et XXL (jusqu’à 8 400 mm de longueur et 8 600 mm de hauteur), conjuguées à une masse vue imposante de 220 mm, participent à la dynamique visuelle de ce bâtiment apparaissant comme une proue à l’angle de deux rues**. Le bureau d’études LOUINEAU et l’entreprise locale ALUTIL, qui les a mis en œuvre, ont travaillé de concert pour retranscrire à l’identique cette signature architecturale. Pour les 83 ouvertures sans précadre d’habillage, des bavettes en aluminium LOUINEAU recouvrent les appuis de fenêtre. Tous les châssis sont posés en applique, nécessitant l’utilisation de cornières filantes (CFIL) pour garantir la reprise de charge. Ces solutions de l’industriel disposent d’une rupture de pont thermique intégrée qui renforce les performances de l’ouvrage et le confort des occupants. Exploitant : Polyclinique du Parc – ELSAN Maîtres d’ouvrage : ICADE Santé – ELSAN Maître d’œuvre : GCI Construction Architecte : Colin SUEUR Entreprise de pose : ALUTIL Photo et menuiseries : LOUINEAU
Il y a 3 ans et 39 jours

Somfy signe un accord avec Elcia pour l'accompagner dans son développement européen

Partageant des valeurs communes d’innovation et de service clients, SOMFY et ELCIA souhaitent mettre en place ce partenariat pour répondre au double objectif de développement du groupe ELCIA en Europe et d’accompagnement des installateurs de menuiseries dans la vente de solutions connectées.Fondée en 1999, ELCIA rassemble 210 collaborateurs en France, et compte plus de 24 000 utilisateurs. Le Groupe commercialise notamment ProDevis, logiciel n°1 de chiffrage et de gestion commerciale pour les installateurs Menuiserie, Store et Fermeture, une solution permettant d’optimiser les échanges entre les industriels, leurs réseaux de vente et les clients particuliers.Accompagnement de la croissance d’ELCIA Cette opération va permettre d’accompagner l’ambition de croissance du groupe ELCIA en Europe, et notamment en Allemagne. Le groupe SOMFY y a développé un solide réseau d’experts depuis la création de sa filiale en 1969, et connaît les enjeux de ce marché, le plus important d’Europe dans le domaine de la menuiserie.Développement des outils digitaux nécessaires aux réseaux d’installation et de distribution Ce partenariat va également permettre de développer des outils digitaux innovants auprès des réseaux d’installation et de distribution de menuiseries. L’offre d’ELCIA s’est construite pour connecter l’univers de la menuiserie et répondre aux évolutions des besoins et des usages du secteur. Fort de cette expertise, ELCIA va enrichir ses solutions pour élargir sa proposition autour des menuiseries connectées, répondant ainsi aux grandes tendances d’évolution de l’habitat et de la maison connectée. Cette collaboration vise notamment à apporter un accompagnement approfondi de toute la chaîne de valeur dans sa digitalisation et permettre la poursuite de la structuration des réseaux d’installateurs pour garantir un service de grande qualité aux consommateurs.Sous réserve de la levée des conditions suspensives usuelles, cette prise de participation sera effective le 14 avril 2022. SOMFY financera cette prise de participation par sa trésorerie existante. « Le rapprochement avec SOMFY nous permet de bénéficier de l’expertise d’un Groupe industriel français tourné vers l’international, au capital stable et avec une vision long terme, pour notre développement en Europe, et va apporter de la valeur pour les clients en simplifiant la vie de tous les acteurs du marché grâce à nos solutions logicielles et des services innovants. » commente Franck Couturieux, Président-Fondateur d’ELCIA.« Nous nous réjouissons d’accompagner les équipes d’ELCIA au travers de cette prise de participation. L’innovation et le service clients sont des valeurs que nous partageons largement avec cette pépite française et cela va permettre de renforcer l’offre digitale pour les installateurs, optimisant la satisfaction des consommateurs » conclut Pierre Ribeiro, Directeur Général de SOMFY.
Il y a 3 ans et 39 jours

EHRET matérialise des panneaux de volets coulissants en mousse d’aluminium. Une prouesse sans pareil pour le nouveau centre de compétences de la société Materialise.

Il y a déjà quelques années que les mousses d’aluminium sont devenues des objets de design attrayant pour les surfaces. Mais c’est bien la toute première fois que des panneaux en plaques de mousse d’aluminium transformée sont utilisés à l’instar de protections solaires.  EHRET signe là une performance en matière de design. Inspirés de la […]
Il y a 3 ans et 39 jours

Au Val-Fourré, la foudre perdue de la tour Jupiter, coulée par les impayés

"Ça se dégrade mais malgré tout, on est bien ici, on a vécu ici, on y restera", ne démord pas Madeleine Lino, 51 ans, jogging gris et bras croisés.La concierge a "sacrifié" le poste qu'elle partageait avec son mari. Elle espérait soulager Jupiter gangrénée par les charges impayées et rester dans "sa tour", "la seule du Val-Fourré avec des fleurs" à ses pieds. Quelques tulipes orangées, jacinthes et rosiers jouxtant des poubelles pleines.Malgré ces ornements, Jupiter ne peut tenir la concurrence imposée par Neptune.Tout juste ravalée, celle-ci domine, en face, la froide dalle de béton qui tient lieu de forum public. Sa façade d'un blanc éclatant détonne dans la palette de gris de l'immense cité: 6.000 logements dont 5.000 sociaux, tassés sur les bord de Seine.A elle deux, les tours quasi-jumelles illustrent ces rêves urbains des années 1960 rattrapés par la pauvreté, ces copropriétés torpillées par des copropriétaires mauvais payeurs et des marchands de sommeil.Charges impayéesElles sont aujourd'hui au coeur de l'une des quatre opérations franciliennes de requalification des copropriétés dégradées d'intérêt national (Orcod-In): un plan de sauvetage exceptionnel, piloté par l'Etablissement public foncier d'Ile-de-France (Epfif). Plus largement, 400 millions d'euros sont prévus pour "ouvrir sur la ville" ce quartier prioritaire d'ici 2030.Neptune, majoritairement occupée par des propriétaires, sera maintenue à flot. Jupiter, de plus petites surfaces habitées à 80% par des locataires, doit disparaître."Quand j'ai acheté en 1982, on m'a vendu qu'ici c'était le XVIe arrondissement de Paris mais à Mantes-la-Jolie", assure Mohamed Hzeg. Le quartier est "calme" et le F4, acquis pour l'équivalent de 35.000 euros actuels, parfait pour ses enfants, songe alors l'ingénieur géomètre. "Il y avait une bijouterie, des marchands de costumes, c'était un bon standing", abonde Jean Bégué, président du syndic et fondateur en 1975, au rez-de-chaussée, d'un laboratoire d'analyses médicales encore en activité."On n'était pas au courant des comptes de la copropriété en achetant. A un moment, on se réveille et on comprend qu'il y a autant d'impayés, et là, on a commencé à tirer la langue", explique M. Hzeg, 80 ans, toujours dans son confortable F4.La situation s'est dégradée "petit à petit". Les procédures en justice, chronophages, n'y font rien, pas plus que les relances. Certains débiteurs renflouent, une dizaine non. Les charges s'alourdissent, 1.000 euros par trimestre pour un 82 m2. Les impayés dépassent les 200.000 euros fin 2020."Délabré, ça ?Alors que le quartier entame sa mue dans les années 1990 en faisant tomber les tours HLM pour dédensifier la zone, des bouées financières publiques sont lancées à Jupiter et Neptune."On a réalisé les travaux. Regardez les peintures, les boîtes aux lettres, c'est délabré ça ?", désignent les propriétaires dans des étages globalement propres.Il y a des cafards, des habitats indignes, rétorque l'Epfif, sans compter "les cas de suroccupation assez importants" et les "installations électriques insalubres". "Il n'y a plus d'autres options" que la destruction annoncée à l'automne pour 2026, assure Guillaume Idier, directeur de la communication de l'Epfif.Déjà quatorze propriétaires ont vendu leurs biens, sur la base "des prix du marché et de la valeur d'usage".Vendre à l'Epfif un 90 m2 pour, au mieux, 75.000 euros ? Lahcen Tioual s'y oppose. "Je ne vendrai pas pour des miettes", martèle l'ex-ouvrier de l'usine Simca de Poissy qui dit s'être "serré la ceinture" pour acheter neuf des 105 appartements de la résidence.Il s'affirme d'autant plus spolié que les propriétaires de Neptune n'ont déboursé en moyenne que 700 euros chacun, à comparer aux 3,3 millions injectés pour rénover cette passoire thermique.Dans Neptune aujourd'hui, "c'est beaucoup mieux", confirme sous le couvert de l'anonymat une de ses locataires. Même si l'un des deux ascenseurs est "hors service depuis trois ans" et que "ceux qui ne payaient pas leurs charges hier ne paieront pas demain".
Il y a 3 ans et 39 jours

Un nouveau directeur à la tête de l'activité "Construction & grand public" de Bostik

CARNET-NOMINATION. Spécialisé dans les solutions adhésives, Bostik (groupe Arkema) dispose d'un nouveau directeur France de l'activité "Construction & grand public" en la personne de Morgan Malecotte.
Il y a 3 ans et 39 jours

Somfy va entrer au capital d'Elcia

PRISE DE PARTICIPATION. Le spécialiste de l'automatisation des ouvertures et des fermetures pour la maison, Somfy, annonce avoir prendre une participation dans Elcia, un expert des solutions et logiciels pour le secteur menuiserie, store et fermeture.
Il y a 3 ans et 39 jours

La certification RSE “Exemplarité” pour Eqiom Bétons

Eqiom Bétons reçoit le plus haut niveau du label RSE pour ses agences situées en Alsace, en Bourgogne, en Ile-de-France et au Nord-Pas-de-Calais. [Eqiom Bétons] L’Unicem récompense les bons élèves. Eqiom Bétons reçoit le plus haut niveau du label RSE pour ses agences situées en Alsace, en Bourgogne, en Ile-de-France et au Nord-Pas-de-Calais. L’union leur a ainsi délivré la certification “Exemplarité”, le plus haut niveau d’exigence du label. Cette distinction reconnaît la performance des initiatives sociales et environnementales du groupe. Quant aux agences de la Franche-Comté et de la Lorraine, elles conservent le même niveau d’excellence obtenu auparavant. L’attribution du label RSE s’est faite suite à une série d’audits externes dirigée par le Cérib sur chaque thématique de la charte du label (gouvernance, environnement, capital humain…). L’exemplarité RSE d’Eqiom Bétons Et il semble qu’Eqiom Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. « L’obtention de cette certification est une fierté pour Eqiom Bétons, déclare Anne-Lise Mignot, coordinatrice RSE et environnement Eqiom Bétons. Elle reconnaît notre engagement sociétal, l’implication de nos équipes. Mais aussi, la mutualisation de nos bonnes pratiques et la performance de notre politique RSE, appliquée depuis plusieurs années par l’ensemble de nos agences. Lire aussi : Christophe Bignolas, à la tête d’Eqiom Bétons Tous nos efforts portent leurs fruits et se voient aujourd’hui récompensés. Ce résultat motive et stimule tous nos collaborateurs qui s’investissent davantage chaque année pour le bien commun. » De plus, l’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être salué par le niveau “Maturité”. La prise en compte des remarques des évaluateurs, le partage des valeurs entre les agences et la mobilisation de tous les collaborateurs ont ainsi permis à Eqiom Bétons de remplir les conditions requises.
Il y a 3 ans et 39 jours

Le Groupe BOUYER LEROUX renonce à l’acquisition du Groupe RIAUX

Le Groupe BOUYER LEROUX renonce à l’acquisition du Groupe RIAUX, leader sur le marché de l’escalier sur-mesure, à cause du contexte géopolitique actuel. Cette acquisition qui s’inscrivait dans la stratégie de développement du Groupe devait lui permettre de renforcer son offre de solutions éco-performantes et de se développer dans l’aménagement intérieur des logements. Le Groupe affiche, fin février, 5ème mois de son exercice 2021- 2022, une croissance de 22% de ses activités et se dit confiant quant à sa capacité à être résilient face au ralentissement des marchés de la construction. Un ambitieux programme de transition énergétique permettra au leader français des briques de mur en terre cuite de décarboner 90% de sa production à horizon 2025-2027.
Il y a 3 ans et 39 jours

Flash Info Presse Les stores à bandes verticales et panneaux japonais de Franciaflex

Stores à bandes verticales et panneaux japonais d’exception Select : des solutions pour donner une nouvelle dimension décorative et aménager l’espace intérieur en toute liberté. Franciaflex revisite l’art d’habiller la baie et de moduler les volumes intérieurs avec une large gamme de stores et panneaux au design contemporain. Sur-mesure et polyvalents, ils associent esthétisme, fonctionnalité […]
Il y a 3 ans et 39 jours

Un éco-organisme dédié à la responsabilité élargie des producteurs pour les produits et matériaux de construction

Ecominéro : l’éco-organisme de la filière minérale dévoile l’identité de ses 30 premiers actionnaires   Ce 17 mars, Michel André, président d’Ecominéro et directeur général de CEMEX Matériaux Europe de l’Ouest, a annoncé la création officielle de l’entreprise Ecominéro : l’éco-organisme de la filière minérale. Il est créé par et pour les fabricants de produits ou […]
Il y a 3 ans et 40 jours

A Grenoble, pour Schneider Electric, IntenCity selon Groupe-6

Groupe-6 a livré en 2020 dans le quartier de la Presqu’Ile Scientifique, à Grenoble (Isère), IntenCity, un ouvrage de 26 000 m² devant accueillir 1 350 personnes. Conçu pour Schneider Electric, maître d’ouvrage, le bâtiment se veut un emblème durable aux performances exceptionnelles. Communiqué. Désignée lauréate du concours initié par Schneider Electric, GROUPE-6 Architectes a conçu […] L’article A Grenoble, pour Schneider Electric, IntenCity selon Groupe-6 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 40 jours

Nomination de Louis-Victor Duval au poste de Directeur Général Adjoint du Groupe Duval

Âgé de 30 ans, Louis-Victor Duval est titulaire d’un Master de l'Ecole Supérieure des Professions Immobilières (ESPI). Il a précédemment passé 4 ans chez Linkcity dans le montage d’opérations immobilières avant de devenir Directeur de la stratégie et du développement du Groupe Duval.Pour Éric Duval, Président-Fondateur du Groupe Duval : « Au nom du Comité exécutif ainsi qu’en mon nom personnel, je tiens à remercier Louis-Victor Duval pour sa contribution marquante au développement et au succès du Groupe au cours des deux dernières années en tant que Directeur de la Stratégie et du Développement. Je suis heureux qu’il rejoigne le Comité exécutif et prenne des responsabilités de premier plan aux côtés de Pauline Duval, pour faire vivre nos valeurs entrepreneuriales. »Pour Louis-Victor Duval, Directeur général adjoint du Groupe Duval : « L'indépendance du Groupe Duval couplé à sa vision à long terme lui permet de servir pleinement sa vocation entrepreneuriale. Guidés par une vision commune de l'impact et de l'innovation, nos collaborateurs sont portés par des valeurs humaines et entrepreneuriales dont j'ai à cœur d'être l'ambassadeur au quotidien : agilité, créativité et exigence. »
Il y a 3 ans et 42 jours

Massification de façades isolantes en bois

Plurial Novilia, filiale d’Action Logement, expérimente actuellement l’industrialisation et la massification des façades isolantes en bois dans le cadre de la réhabilitation de 127 logements à Reims. Le procédé s’appuie sur la pose en extérieur de la solution Panobloc© de la société Techniwood, une solution de façade en bois de 200mm d’épaisseur isolée avec de la laine de roche, préfabriquée en usine puis assemblée sur site. Outre son excellente performance énergétique, ce treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés à 90%, décalés et collés entre eux, permet de réduire de manière drastique le temps de travaux, les délais et les nuisances pour les locataires lors de la mise en œuvre. Cette solution bas carbone s’appuie sur un matériau bois biosourcé de fabrication française, sa mise en œuvre ne nécessite que peu d’intervenants et peu d’équipements, limitant ainsi les nuisances et les déchets. Elle offrira un gain de 20 à 30% sur la performance thermique, tout en supprimant les ponts thermiques et améliorant l’acoustique et l’étanchéité aux éléments naturels (air, eau, vent). Au total, les logements qui présentent actuellement une étiquette énergétique de E ou F selon les lots passeront en moyenne à une étiquette C, pour une réduction des consommations estimée à environ 40% en moyenne. Visuel : Equateur Architecte
Il y a 3 ans et 42 jours

Massification de façades isolantes en bois

Plurial Novilia, filiale d’Action Logement, expérimente actuellement l’industrialisation et la massification des façades isolantes en bois dans le cadre de la réhabilitation de 127 logements à Reims. Le procédé s’appuie sur la pose en extérieur de la solution Panobloc© de la société Techniwood, une solution de façade en bois de 200mm d’épaisseur isolée avec de la laine de roche, préfabriquée en usine puis assemblée sur site. Outre son excellente performance énergétique, ce treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés à 90%, décalés et collés entre eux, permet de réduire de manière drastique le temps de travaux, les délais et les nuisances pour les locataires lors de la mise en œuvre. Cette solution bas carbone s’appuie sur un matériau bois biosourcé de fabrication française, sa mise en œuvre ne nécessite que peu d’intervenants et peu d’équipements, limitant ainsi les nuisances et les déchets. Elle offrira un gain de 20 à 30% sur la performance thermique, tout en supprimant les ponts thermiques et améliorant l’acoustique et l’étanchéité aux éléments naturels (air, eau, vent). Au total, les logements qui présentent actuellement une étiquette énergétique de E ou F selon les lots passeront en moyenne à une étiquette C, pour une réduction des consommations estimée à environ 40% en moyenne. Visuel : Equateur Architecte Cet article Massification de façades isolantes en bois est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 42 jours

Présidentielle : Les géomètres-experts publient 10 propositions pour l’équité territoriale et environnementale

Paru dans l’après-guerre, l’ouvrage « Paris et le désert Français » de Jean-François GRAVIER témoignait d’une France déséquilibrée, dans laquelle les pouvoirs politiques, économiques et culturels étaient concentrés à la capitale. Aujourd’hui, le déséquilibre est également environnemental.Consciente de la nécessité de lutter contre la fracture territoriale et environnementale, l’Union Nationale des Géomètres- Experts souhaite être force de propositions dans le débat public et partager ses 10 propositions développées à la suite de Forums des Territoires réunissant politiques, experts et universitaires.« Notre ambition est de réconcilier France urbaine et France rurale, notamment en soutenant les élus dans leurs politiques environnementales et de dynamisation du territoire », précise Régis LAMBERT, président d’honneur de l’UNGE, qui pourra compter pour cela sur Cécile TAFFIN, la nouvelle présidente du syndicat.Parmi les mesures fortes, l’UNGE préconise notamment de mettre en place un chèque forfaitaire d’ingénierie territoriale et un « pacte de subsidiarité » sous l’égide de l’Etat, d’organiser des « Etats généraux du foncier » et de créer d’un guichet unique « maîtrise du foncier ». Pour ce faire, l’Union Nationale des Géomètres-Experts a développé une plateforme de propositions à destination du grand public, des spécialistes, mais également des candidats qui peuvent s’engager à soutenir ses propositions grâce à un outil dédié.
Il y a 3 ans et 42 jours

Alkern met en place sa stratégie de développement

Xavier Janin, président d’Alkern, dévoile sa stratégie de développement pour les années à venir. [©Alkern] Alkern voit l’avenir avec ambition. Le spécialiste de la préfabrication en béton souhaite mettre en place sa stratégie de développement pour les années à venir. Et son objectif est de renforcer son expertise sur le béton préfabriqué, « un matériau d’avenir ! », affirme Xavier Janin, président d’Alkern. En effet, le matériau offre des performances acoustiques et thermiques qui permettent de bénéficier d’un bon confort de vie. Il demeure aussi peu consommateur en énergie et 100 % recyclable. Enfin, de nouveaux liants bas carbone seront utilisés pour apporter des réponses aux enjeux liés à la baisse de l’utilisation de ciment de clinker et à la préservation des ressources naturelles. A l’horizon 2024, Alkern investira 10 M€ pour développer des solutions responsables sur ses trois secteurs d’activité. A savoir, le bâtiment, l’aménagement extérieur et les travaux publics. Le but étant de décarboner ses systèmes constructifs et ses produits pour limiter leur impact à moins de 10 kgeqCO2/m2. De plus, l’industriel souhaite aussi diversifier ses matières premières. Cela, en favorisant l’utilisation de matériaux issus de la biomasse ou recyclés. Il est d’ailleurs un des membres fondateurs d’Ecominéro, l’éco-organisme de la filière minérale créé pour répondre à la mise en place de la Responsabilité élargie des producteurs (Rep). Cette dernière vise à valoriser les déchets inertes du secteur du bâtiment. Et sur ce point-là, le groupe poursuit son engagement avec un objectif de 90 % de déchets recyclés en 2028. Les affaires d’Alkern se portent bien Les ambitions d’Alkern se caractérisent en majeure partie grâce à ses bons résultats. L’entreprise a dévoilé son bilan de 2021 et les perspectives pour 2022. En ce qui concerne les chiffres pour le bâtiment, plus particulièrement la maison individuelle et les aménagements extérieurs, les conséquences de la crise Covid semblent s’être dissipées. En effet, ces segments enregistrent une hausse de + 7 % en 2021, en comparaison à l’année 2020 et de + 2 % par rapport à 2019. Du côté des travaux publics, le secteur connaît aussi une nette augmentation avec + 10 %. Lire aussi : Alkern : Entre performance et durabilité Cependant, « nous n’avons parcouru que la moitié du chemin », explique Xavier Janin. Le groupe reste à – 10 % d’activité en comparaison à 2019, qui reste « l’année de référence ». Malgré des résultats encourageants, le groupe doit faire face aux conséquences de la crise en Ukraine et à la reprise du Covid en Chine. « Nos secteurs seront forcément touchés, surtout sur le plan des coûts de construction », souligne Xavier Janin. Néanmoins, Alkern ne redoute pas le risque des pénuries de matériaux. Le groupe étant peu gourmand en énergies fossiles. « La seule matière première qui pourrait nous poser problème est le métal pour nos matériels, explique Xavier Jenin. Sinon, nous sommes prêts à surmonter  cette crise. » « Pas dans une RSE de bobo » Par ailleurs, Alkern renforce sa démarche RSE. « Nous ne nous sommes pas lancés dans une RSE de bobo qui consiste à placer deux ou trois ruches pour rappeler la question de la biodiversité », ajoute Xavier Janin. En effet, le travail de l’industriel porte sur des produits éco-conçus bas carbone et sur une consommation réglementée des ressources comme l’eau ou le bois. En témoigne la mise en place, il y a 10 ans, d’un système de consignation pour ses palettes bois qui atteint déjà 77 % de retour palettes. Représentant environ près de 40 000 m3 de bois préservés chaque année. A cela s’ajoute son implication pour la ville durable, afin d’apporter des réponses aux enjeux de la perméabilité des sols et des îlots de chaleur. Notamment, avec ses pavés coquillages composés de coquilles Saint-Jacques broyées pour remplacer le granulat. Enfin, Alkern a signé, en février dernier, un partenariat avec Engie Green pour l’intégration de centrales solaires en ombrières. Ces dernières serviront d’abris pour les zones de stockage dans une sélection des sites français du groupe. Ce projet permettrait la production de 35 000 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 15 000 habitants.
Il y a 3 ans et 42 jours

La construction hors site poursuit sa montée en puissance sur le salon Batimat

Avec son partenaire, le Groupe Hors Site, BATIMAT est le seul salon à donner une telle visibilité à ce mode constructif à travers un espace dédié, un baromètre exclusif et des contenus riches (ateliers, colloque, rencontres...).Sujet aujourd’hui incontournable dans le domaine de la construction, la construction Hors- Site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens. L’ACIM (Association des Construction Industrialisées et Modulaires) estime ainsi que le marché français représentait en 2019 un chiffre d’affaires de 854 M€ et un effectif de 3 688 salariés pour un volume de 439.000 m2 d’unités implantées. Du 3 au 6 octobre BATIMAT met, une nouvelle fois, en lumière ce mode constructif avec des acteurs incontournables du secteur, un espace de 3 000 m2 et des événements dédiés.Les exposantsDes start-ups : Clovis Technologies, Vestack... ;Des sociétés de conseil et de lean management : Delta Partners... ;Une offre multi-matériaux : Sybois, Rector Lesage, Containex...Parmi ces exposants, certains, déjà présents en 2019, font leur retour sur cet espace : Cougnaud, Technologies&Habitat, Avelis, Normétal.De nouveaux venus font leur apparition, et parmi eux, de grands noms tels que : Araymond (un leader de grands marchés industriels automobile), Eiffage ou ARCELOR avec Steligence®, mais aussi E-Loft, GSCM ou encore GoBo House. La participation d'ultra spécialiste comme Wieland Electric ou Ipelec ou de leaders industriels comme Araymond, valident l’accélération de l'industrialisation du secteur de la construction.Liste des exposants du secteur HORS SITE au 21 mars 2022 :Araymond, France (nouveau)Arcelormittal Europe SA, Luxembourg (nouveau)Avelis, FranceClovis Technologies, France (nouveau)Containex, Autriche (nouveau)Cougnaud, FranceCubeco, France (nouveau)Delta Partners, France (nouveau)Eiffage Construction, France (nouveau)E Loft, France (nouveau)Gobo.House, France (nouveau)Groupe Briand, France (nouveau)GSCM, France (nouveau)Ipelec, France (nouveau)Mitek Industries SAS, France (nouveau)Normetal Construction Modulaire, FrancePagin SRL / Gold Infissi SRL, Italie (nouveau)Pinnacle LGS DMCC, Émirats Arabes Unis (nouveau)Sybois, France (nouveau)Technologies et Habitats, France (nouveau)Techno Pieux, France (nouveau)Tecnostrutture, Allemagne (nouveau)Vestack, France (nouveau)Wieland electric, France (nouveau)Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des ateliers pratiques de 30 minutes chacun, animés par les exposants du secteur Hors site. Au total, ce sont 35 ateliers qui auront lieu durant les 4 jours du Salon. Un Colloque international du hors site sur le thème « Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone » se tiendra aussi pendant le salon.Une étude inéditeAfin d’accompagner la filière de la construction Hors-Site et accélérer la reprise du bâtiment en France, BATIMAT, Campus Hors-Site et TBC créent un baromètre prospectif pour le secteur de la construction Hors-Site en France.Les premiers résultats de l’étude, dévoilés en novembre 2021, révèlent que 82 % des non- utilisateurs de cette méthode pensent y avoir recours dans le futur et 71 % que la part de la construction Hors-Site va augmenter dans les 12 prochains mois. Toutefois, le manque de connaissance sur les procédés (65 %) et sur l’écosystème des acteurs présents sur le marché (51 %) restent des freins pour un passage à l’acte. « Ce premier baromètre nous démontre bien que le Hors-Site est largement connu des professionnels, qu’ils soient utilisateurs ou non, et qu’ils éprouvent finalement beaucoup d’intérêt pour cette méthode constructive » indique de son côté Guillaume Loizeaud, Directeur de Batimat.Il ajoute : « S’il existe des attentes qui n’ont pas encore été comblées, il ne fait aucun doute que les avantages identifiés feront largement pencher la balance en faveur du Hors-Site.Un nouveau baromètre sera édité et les résultats dévoilés à l’occasion du salon BATIMAT.Une série de podcastsPour diffuser les savoirs et aider les professionnels à se former et s’informer, Pascal Chazal (CEO de Campus hors-site) anime une série de podcasts sur Batiradio, 9 épisodes sont déjà disponibles.
Il y a 3 ans et 42 jours

EcoVadis décerne une médaille d’or à la politique RSE de Rockwool

Alors que les attentes des clients, fournisseurs, collaborateurs, partenaires et actionnaires dans les domaines économiques, sociaux et environnementaux sont plus fortes que jamais, ROCKWOOL milite pour une économie décarbonée afin de protéger efficacement la planète tout en assurant le confort et la sécurité des usagers des bâtiments. Dans ce contexte ROCKWOOL s’est notamment engagé à atteindre 10 des ODD (Objectifs de Développement Durable) définis par l’ONU (Organisation des Nations Unies).Le certificateur indépendant EcoVadis valide une nouvelle fois les engagements de ROCKWOOL en matière de protection de l’environnement, d’éthique et de respect du travail des équipes, de loyauté dans les affaires et d’achats responsables. Particulièrement mis en valeur, le service d'économie circulaire, ROCKCYCLE et la politique sociale de l’entreprise.Depuis 2012, ROCKWOOL propose à ses clients son service ROCKCYCLE qui permet le recyclage des chutes de laine de roche, des palettes ainsi que des emballages plastiques dans lesquels sont conditionnés les produits. Ces éléments sont conduits dans des centres de tri avant d’être valorisés par les filières adéquates. Les palettes sont réparées si nécessaire et réutilisées. Les emballages plastiques sont recyclés. Les chutes de laine de roche sont réintégrées dans le process de fabrication de la laine de roche, à Saint-Éloy-les-Mines et bientôt à Soissons. Grâce à ROCKCYCLE, ROCKWOOL soutient le développement de l’économie circulaire.Également validés, les engagements sociaux de ROCKWOOL : conditions de travail, protection des salariés, développement des compétences, prévention des risques sont autant de bons points soulignés par EcoVadis France. La démarche exigeante de certification poursuivie par ROCKWOOL est aussi mise en avant. En effet, pour anticiper l’avenir et confirmer l’engagement de ROCKWOOL à déployer une dynamique de progrès continu dans le cadre de sa politique de développement durable, l’usine de Saint-Éloy-les-Mines de ROCKWOOL France a obtenu quatre certifications internationales pour l’environnement, l’énergie, la santé et la qualité : ISO 9001 (management de la qualité) ISO 14 001 (management environnemental) ISO 50 001 (management de l’énergie) OHSAS 18 001 (management de la santé et de la sécurité du travail). Des certifications qui seront mises en œuvre pour la future usine de Soissons. Dans une logique d’amélioration continue de son action, ROCKWOOL va poursuivre ses efforts sur plusieurs axes de travail identifiés par EcoVadis France.
Il y a 3 ans et 42 jours

Référence Chantier : Le Porzo

Un peu d’histoire… Le canal de Nantes à Brest est un canal à petit gabarit qui relie les villes de Nantes et de Brest et emprunte les vallées de l'Erdre, de l’Isac, de l’Oust, du Blavet, du Doré, du Kergoat, de l’Hyères et de l’Aulne ; ces rivières sont reliées par trois canaux de jonction franchissant des lignes de partage des eaux. Sa construction remonte à la première moitié du XIXe siècle et sa longueur totale est de 364 km. D’abord construit pour désenclaver le Centre-Bretagne et faciliter l’activité économique et industrielle, il a laissé aujourd’hui place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs. Gabares et chalands disparus, le canal n’ouvre plus ses écluses qu’aux amateurs de canoës ou kayaks, aux plaisanciers sur voiliers, vedettes et autres bateaux motorisés, l'outil industriel et commercial s'étant mué en axe touristique. A partir de Pontivy pour se rendre à Nantes, les plaisanciers doivent utiliser un canal devenu artificiel. Le bief de partage n’étant plus alimenté par l’étang, en 1995 la Région Bretagne a dû construire une station de pompage au bord du blavet de la ville de Porzo pour récupérer l’eau du blavet et alimenter le bief de partage.Focus Cycle de l’eau – Approche « Preferred SOLUTION Partner »Être porteur de solution pour ses clients permet à Wilo France de se différencier, d’apporter une valeur ajoutée et une approche globale en tant que partenaire de transfert des fluides. Ainsi, l’approche globale « Preferred SOLUTION Partner » a permis aux équipes de Wilo France, avec le concours de leurs collègues de la Division Services pour toutes les prestations de services, de remporter un appel d’offre public pour le transfert d’eau du canal de Nantes à Brest avec une application de surpression dans un ouvrage en position horizontale et d’installer deux pompes de forage Wilo-EMU 24’’. La première pompe a été installée en 2020, la seconde en fin d’année 2021.Pour Ludovic Audic, Chargé de missions Génie Mécanique et Automatique Région Bretagne : « Les fournisseurs de pompes avec un tel débit aujourd’hui sont rares. Les pompes qui ont été fournies par la société Wilo, sont des pompes capables de pompés jusqu’à 750m3/h. »