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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 45 jours

Nouvelle cheville DUOXPAND : L’ancrage ultra-performant en matériaux pleins et creux de la gamme de chevilles bi-matières DUOLINE

La gamme DUOLINE regroupe toutes les meilleures caractéristiques techniques en matière de fixation. Parfaitement identifiables avec leurs couleurs rouges et grises, les chevilles DuoPower, DuoTec et DuoBlade de cette gamme novatrice sont fabriquées à partir d’une combinaison de 2 matières qui assurent un ancrage optimal avec des performances élevées en termes de valeur de charges et de sécurité. Fischer, qui ne cesse d’enrichir cette gamme, lance une nouvelle cheville bi-matière pour tous les matériaux de construction, la DuoXpand. Universelle, cette cheville rallongée est  conçue pour la fixation d’éléments d’ossatures, de menuiseries… et assure une transmission douce des forces dans les matériaux. En outre, elle bénéficie du nouvel agrément ETA-21/034 (Evaluation Technique Européenne) qui garantit une tenue sûre dans tous les matériaux. Fischer DUOLINE : La gamme bi-matière Haute qualité, les chevilles de la gamme DUOLINE sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, élargissent le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité. Une cheville tout terrain La nouvelle cheville rallongée bi-matière DuoXpand fischer est conçue pour la fixation d’ossatures de façade en bois ou en métal, de carports, de menuiseries (portes, fenêtres…), de construction bois, de meubles de cuisine, d’installation électrique… Universelle, elle s’adapte à tous les matériaux : béton, béton cellulaire, brique pleine, brique creuse, parpaing… Une expansion douce qui n’endommage pas les matériaux La cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon (1) de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire. Sa géométrie brevetée (2) assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord. Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation. La cheville est facile à mettre en œuvre. Une fois le trou foré, elle s’insère à l’aide d’un marteau. Le vissage de la vis dans la cheville va provoquer l’expansion des lamelles de blocage. Dans les matériaux de construction pleins, la conception de la cheville garantit une répartition égale de la charge dans le support. Dans les briques perforées, les lamelles s’expansent au niveau des parois et créent un verrouillage de forme dans les cavités. 2 versions pour répondre à toutes les applications La DuoXpand avec la vis à tête fraisée est particulièrement adaptée à la fixation d’éléments en bois. Pour les structures métalliques, la DuoXpand avec vis hexagonale et rondelle intégré convient mieux car cela évite la corrosion de contact entre l’élément fixé et la vis. La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : • 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses, • 70 mm dans tous les autres matériaux de construction du béton au béton cellulaire. Deux profondeurs d’ancrage supplémentaires de 140 et 160 mm assurent un ancrage sûr dans le parpaing.
Il y a 3 ans et 45 jours

La société Rairies Montrieux habille Le Delta : nouveau siège social de Podeliha

Livré fin 2021, Le Delta, nouveau siège social de Podeliha est situé au cœur du quartier résidentiel de la gare d’Angers.Podeliha est un bailleur social et gestionnaire de 26.000 logements implantés sur 250 communes dans la région des Pays de la Loire. Son siège social accueille l’ensemble des activités de Podeliha dans ces nouveaux locaux à usage mixte (tertiaire et collectif).L’édifice a été conçu par le cabinet d’architecture Angevin Rolland & Associés.Le cabinet Rolland & Associés a travaillé en étroite collaboration avec Rairies Montrieux, afin qu’ils répondent au mieux à leurs attentes en leur proposant des formes et des couleurs en accord avec leur projet.Ils ont fait le choix de la plaquette en terre cuite Engobe, la brique Moucharabieh ainsi que la plaquette Hirondelle de sorte à mettre en valeur la façade. En effet, elle a, de façon tout à fait originale, été posée sous les allèges des fenêtres. La surface de ces plaquettes, légèrement ondulées, apporte une vibration à la façade.Nous retrouvons sur la majorité du bâtiment les coloris « Montblanc 17 » (notamment pour les plaquettes en briques Moucharabieh), mais aussi « Montgris 4 » et « Montgris 5 » de la gamme Engobe.C’est un aspect « tout en lumière » qui a été recherché par les architectes, à l’exemple des grandes baies vitrées en façade. Le siège Podeliha présente des notes blanches, majoritairement et grises.Ce projet est le fruit de deux ans et demi de collaboration entre le cabinet d’architecture Rolland et Associés et Rairies Montrieux. Le Delta devient un projet emblématique pour la société car il s’agit de leur plus grand chantier de plaquettes de parements à Angers.
Il y a 3 ans et 45 jours

Holcim quitte la Russie

Holcim vient de lancer un processus de sortie du marché russe. [©Holcim] Après avoir annoncé, le 11 mars dernier, suspendre ses investissements en Russie, le groupe Holcim informe, ce 29 mars, s’engager dans un processus de sortie du marché russe. Cette décision constitue la réponse à l’invasion de l’Ukraine par le pouvoir russe. Mais aussi, elle est conforme aux valeurs défendues par le groupe cimentier d’opérer de la manière la plus responsable. Ceci, quel que soient les marchés sur lesquels il est présent.  Le Conseil d’administration du groupe exprime sa profonde préoccupation face aux souffrances humaines tragiques qui se déroulent dans la région. Et s’engage à soutenir les personnes, les familles et les communautés touchées. Il remercie tous les collègues d’Holcim qui se mobilisent dans le monde entier aux côtés des ONG locales pour fournir un abri, des biens essentiels et des fournitures médicales. Pour Holcim, la Russie est loin d’être un marché stratégique. Ces activités locales génèrent un très faible pourcentage de ses ventes globales. Côté ukrainien, le groupe déclare ne pas y posséder d’activités… 
Il y a 3 ans et 45 jours

LCA Construction Bois en plein essor

Un résultat qui témoigne de la croissance du marché avec une demande forte en matériaux bois et une augmentation des chantiers de rénovations énergétiques auxquels LCA a su répondre. Un bilan engageant pour l’entreprise vendéenne qui amorce 2022 avec de nombreux projets. La montée en puissance de la construction bois En 2021, le spécialiste de la construction gros œuvre bois et de l’enveloppe extérieur comptabilise une hausse de presque 6 millions d’euros, passant ainsi de 9,6 à 15 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une progression conséquente, accompagnée d’une demande très forte du matériau bois en structure sur des chantiers très techniques. Cette croissance, l’entreprise a su y répondre en faisant preuve d’avant-gardisme notamment sur la rénovation énergétique hors-site. En effet, le premier chantier LCA sur le sujet remonte en 2014, l’entreprise entame aujourd’hui sa 5ème opération d’envergure aux côtés d’ALTEREA, qui vise le déploiement à grande échelle de rénovations énergétiques de logements sociaux à énergie zéro (Energie Sprong). Une belle année qui se clôture avec une distinction confirmant son potentiel, celle du Prix National de la Construction (catégorie clos-couvert) décernée par Le Moniteur.Un secteur bousculéEntre difficultés à s’approvisionner, hausse des prix, problématiques de recrutement, ralentissement des prises de décision de la commande publique lié à la COVID-19 et activité extrêmement forte, 2021 a été une année paradoxale pour le secteur bois. Cependant, LCA, approvisionnée en bois français à 75%, a su maintenir le rythme, s’adapter et anticiper pour éviter la pénurie.Une organisation interne renforcéeDébuté il y a 2 ans avec la Bpifrance, l’accélérateur de croissance a permis la création d’un management intermédiaire de pilotage des équipes.Un projet nécessaire puisque malgré un recrutement ralenti pour les acteurs de la filière bois, LCA a recruté 21 personnes dont 6 apprentis et termine l’année avec 74 salariés au total, soit 48% de plus qu’en 2020. Cette nouvelle organisation s’articule en quatre grandes activités : Grands travaux, travaux de proximité, production et fonctions supports.Pour Christophe Bonnin, co-dirigeant de LCA Bois Construction : « les perspectives de marché sont bonnes, malgré la pénurie d'emplois sur le secteur, nous recrutons de bons profils. Il nous faut être vigilant en 2022 à nouveau afin d'absorber les potentiels coups durs comme l'augmentation des prix des matériaux que nous avons vécu cette année. » Des chantiers engagés En 2022, LCA poursuit la digitalisation de ses services et des méthodes de travail afin de simplifier la communication interne et réduire la pénibilité de certaines tâches. Dans le cadre de la création de cette structure de management intermédiaire, la direction organise un transfert de savoir-faire afin de poursuivre la montée en compétences des collaborateurs. Côté recrutements, l’entreprise en attend 20 cette année et pour accueillir ces effectifs, des travaux d’agrandissement des locaux sociaux (bureaux, réfectoire et vestiaires) sont en cours. Côté innovation, LCA déploiera son atelier de fabrication d’ossature bois hors-site « WALL-E » (fabrication de mur wall.0). L’entreprise termine de livrer son 4ème chantier de rénovation énergétique d’un collège, un R+8 en région parisienne et un Lycée à Aizenay. Côté développement, LCA se positionne sur les conceptions-réalisations en renforçant l’activité entreprise générale. Un secteur bois solide, un avenir prometteur Le bois s’impose dans un milieu où il faut décarboner et va devenir un vrai choix de conception et de structure. De nombreux projets émergent, notamment grâce à la RE2020 qui met en avant les matériaux bio-sourcés dont le bois. Cette réglementation accélère le nombre de chantiers en rénovation énergétique. LCA, qui a vu son chiffre d’affaires augmenter de 50 %, en est témoin, un changement de mode de vie et de consommation s’opère. Selon la direction de LCA Construction Bois, l’avenir est à la construction intelligente qui met en avant la mixité des matériaux et qui intègre une réelle réflexion sur la mise en œuvre du chantier.Pour Edouard Bonnin, co-dirigeant de LCA Bois Construction : « Il est primordial de concevoir des projets en tenant compte de la durabilité des matériaux et en respectant les normes associées à la structure et à l’enveloppe du bâtiment. »Pour Karine Bouhier, co-dirigeante LCA : « La filière bois Pays de Loire se porte bien en termes d’activité ; les projets fleurissent sur le territoire et l’attrait du bois en tant que matériau biosourcé est favorisé par la RE2020 ; l’approvisionnement s’est détendu, mais la récente fluctuation des prix peut engendrer des inquiétudes des maitres d’ouvrage. Plusieurs projets d’extension de capacité sont en cours. Reste le nerf de la guerre : le recrutement, toujours extrêmement tendu. »
Il y a 3 ans et 46 jours

Geberit cesse toutes ses activités commerciales en Russie

INTERNATIONAL. Le fabricant suisse d'équipements sanitaires, Geberit, a décidé de stopper toutes ses activités commerciales en Russie avec effet immédiat.
Il y a 3 ans et 46 jours

L'industrie de la chimie face à une hausse des prix sans précédent et à des tensions d’approvisionnement sur les matières premières

Pour rappel, déjà depuis fin 2020, et tout au long de l’année 2021, les principaux industriels de l’aval de la chimie regroupés au sein de la FIPEC et représentant les syndicats SIPEV, AFICAM, AFEI, AFCALE et SPB (fabricants de peintures, enduits, vernis, colles, mastics, encres d’imprimerie, couleurs, protection du bois etc.) ont subi une pression sans précédent sur les matières premières qui s’est manifestée par :l’augmentation forte du coût de revient des produits qui comprime drastiquement les marges ;l’accès limité à certaines matières premières nécessitant des arbitrages là où des alternatives techniques n’étaient pas disponibles ;l’activation de plan d’urgence pour continuer à livrer tous les clients au mieux en temps et en heure ;la nécessité de transférer vers l’aval des hausses de prix lorsque certains seuils sont franchis.La guerre en Ukraine provoque une généralisation brutale des hausses tarifaires sur les coûts de productionAvec la guerre en Ukraine et ses conséquences sur les coûts de l’énergie (gaz et pétrole) dont les prix explosent, les industriels représentés par la Fipec subissent depuis mi-février une inflation sans précédent des coûts de l’ensemble des postes de production.Les matières premières utilisées dans la fabrication des mélanges chimiques sont toutes en augmentation tarifaire forte : les substances issues de la chimie minérale, servant principalement de pigments, et les substances issues de la chimie organique, pétro-sourcée ou biosourcée, produites à partir d’industries fortement électro-intensives, subissent des hausses de prix considérables. La situation du dioxyde de titane est particulièrement sensible. Les résines alkydes, les isocyanates, les époxy, certaines résines acryliques, certains solvants (MEK, MIBK) sont particulièrement sous tension. La quasi-totalité des entreprises adhérentes de la FIPEC constatent des difficultés d’approvisionnement pour le dioxyde de titane, la nitrocellulose, l’éthanol, l’acétate d’éthyle, le polyphosphate d'ammonium, les émulsions acryliques, les éthers cellulosiques, les résines alkydes, l’uréthane, les durcisseurs PU, la silice pyrogénée, le talc, la baryte, etc.Les emballages nécessaires au conditionnement des produits sont en situation de hausse excessivement forte : pour les emballages plastiques, comme pour les emballages métalliques. Le coût des palettes en bois atteint des montants historiques.Le coût de l’énergie augmente : comme tous les acteurs économiques, les adhérents de la FIPEC consomment de l’énergie dans leur process de fabrication et sont directement touchés par l’explosion des prix de l’énergie.Le transport des marchandises devient critique : le coût des carburants et la disponibilité des transporteurs est en forte tension.Aucune perspective positive envisagée à court et moyen terme : la Fipec appelle à une solidarité de filières et à une responsabilité de tous les acteursLa Fipec, auditionnée début 2022 par le médiateur des entreprises dans le cadre de la concertation de la filière BTP, ou impliquée au sein des comités stratégiques de filière chimie et industries pour la construction, appelle l’ensemble des acteurs à une solidarité de filières.Jusqu’à présent, les fabricants ont pris sur eux le choc en proposant, parfois avec difficulté, des hausses de prix contrôlées et mesurées par rapport à la capacité de l’aval à les absorber, sans commune mesure avec l’effondrement des marges provoquées par la flambée des hausses de prix des matières premières.L’allongement de la durée de la crise des matières premières et la forte augmentation de leur prix, accompagnés de la compression historique des marges va rendre indispensable la répercussion des hausses des prix sur toute la chaîne de valeur, amenant des réactualisations beaucoup plus fréquentes.Pour préserver le même niveau de qualité et de richesse du tissu industriel de la filière française, il est désormais crucial que l’ensemble des acteurs, des plus modestes aux plus importants, de l’amont vers l’aval, neutralise les rapports de force structurels au profit d’une approche pragmatique et responsable, à l’opposé des approches spéculatives ou opportunistes encore trop fréquentes.Des effets directs sont à prévoir sur les nombreux marchés aval de cette industrie : les marchés d’emballages imprimés de toutes les filières, dont la filière agro-alimentaire, le secteur de la construction et de la rénovation, les marchés anti-corrosion marine et industrielle, le secteur automobile, etc.La capacité des acteurs des filières à réagir positivement à l’appel à la responsabilité de la Fipec sera décisive pour assurer la survie d’une grande partie des PME et ETI de la Fipec, et par conséquent, contribuer aux objectifs de réindustrialisation du pays.
Il y a 3 ans et 46 jours

Un projet européen pour diminuer le bilan carbone du ciment

Un projet éco-responsable CO2REDRES (Traitement de ressources secondaires pour une réduction des émissions de CO2 dans l'industrie de la construction) est financé pour 2 ans par le programme européen Interreg Grande Région. Son objectif est de chercher à produire localement de nouveaux ciments et bétons à faible impact environnemental. La voie suivie est celle des argiles calcinées. Ces matières réactives peuvent être additionnées au ciment ou au béton, pour remplacer les laitiers de hauts fourneaux ou les cendres volantes de centrales à charbon, aujourd’hui quasi-disparus de la Grande Région.Ces argiles sont cuites à 750°C environ, température nettement inférieure aux 1450°C nécessaires pour obtenir le clinker, constituant de base du ciment. En dégageant beaucoup moins de CO2 par rapport à un ciment 100% clinker, les liants intégrant des argiles calcinées pourraient abaisser d’environ 30% le bilan carbone du ciment.Conserver et améliorer les propriétés du ciment Ces nouveaux liants, connus sous l’appellation LC3 (Limestone Calcined Clay Cement) font partie des thématiques d’étude de l’équipe Matériaux pour le Génie Civil de l’Institut Jean Lamour à Nancy (laboratoire du CNRS et de l’Université de Lorraine). 50% du clinker y est remplacé par des argiles calcinées et du calcaire.L’équipe a cherché à optimiser les proportions d’argiles calcinées (type métakaolin) et de fillers calcaires dans les mélanges. Ceci afin de conserver, voire d’améliorer, les propriétés du ciment frais et durci, les leviers étant notamment la finesse des produits et la nature des hydrates spécifiques formés.Quatre ressources argileuses prometteuses Une quarantaine d’échantillons issus de boues de lavage des granulats et de déblais divers ont été fournis par les partenaires du projet. Leur caractérisation a permis d’identifier 4 ressources argileuses prometteuses. Elles ont subi des essais de calcination afin de déterminer pour chacune d’elles les conditions optimales de leur cuisson. Des tests dédiés ont permis de comparer leur réactivité finale. Ces 4 argiles calcinées ainsi que 2 métakaolins de référence (commercialisés dans d’autres régions françaises) et 2 fillers calcaires ont été mélangés à 4 ciments produits par des cimentiers de la Grande Région, partenaires du projet.L’agencement de ces composants a été étudié au cas par cas, car des argiles calcinées de même réactivité peuvent impacter plus ou moins fortement la maniabilité des bétons, selon la nature des autres constituants présents.Leur structure en feuillets imbriqués forme en effet des «amas» poreux qui peuvent mobiliser beaucoup d’eau, en plus de celle nécessaire à la mise en œuvre du béton. Cette eau excédentaire altère alors la résistance mécanique et la durabilité du composite, réduisant ainsi l’effet d’une bonne réactivité. L’ajustement de la finesse et des proportions de chaque constituant, tant sur le plan expérimental que théorique, a permis de mieux comprendre le rôle respectif des paramètres impliqués.Bientôt des bétons témoins Des essais et des analyses réalisés sur pâtes de ciment et sur mortiers ont alors conduit à la sélection de 2 argiles calcinées avec lesquelles des bétons témoins seront prochainement fabriqués. Enfin, une analyse du cycle de vie doit évaluer l’impact environnemental du processus complet.L’ensemble des résultats obtenus devrait permettre d’offrir aux acteurs de la construction dans la Grande Région la possibilité de fabriquer des ciments bas carbone viables, contenant des argiles calcinées issues de ressources secondaires et locales.
Il y a 3 ans et 46 jours

Panasonic solutions chauffage et refroidissement présente ses dernières innovations sur le Salon NordBat

Gennevilliers, le 18 mars 2022 – Panasonic solutions chauffage & refroidissement annonce sa présence à la 12ème édition du salon NordBat, le rendez-vous des acteurs de la construction des régions nord de France. Les 30, 31 mars et 1er avril, le fabricant présentera sur son stand les dernières évolutions de ses solutions destinées au résidentiel. […]
Il y a 3 ans et 46 jours

ATLANTEM RENFORCE SA GAMME DE PRODUITS POUR UNE MAISON INTELLIGENTE À VIVRE

 SALON NORDBAT – STAND J2  Le salon NORDBAT sera l’occasion pour ATLANTEM, activité menuiserie du Groupe HERIGE, de présenter de nouvelles solutions domotisées s’inscrivant dans l’univers de la maison connectée. Ces équipements motorisés et pilotables par smartphone s’intègrent dans la conception de l’habitat intelligent, de plus en plus plébiscité par les foyers en quête de […]
Il y a 3 ans et 46 jours

LES SITES DE PRODUCTION BOUYER LEROUX DÉJÀ  DECARBONÉS  À 45% CONFIRMENT LEUR TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

Bouyer Leroux a depuis de nombreuses annÉes pris conscience des enjeux environnementaux et  économiques liés à l’utilisation d’énergie fossile. En ce printemps 2022, face à la flambée des prix des énergies, sa stratégie de développement durable renforcée en 2018 par un ambitieux programme de décarbonation permet, aujourd’hui, de limiter l’impact du gaz sur ses activités […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Relancer le solaire thermique pour remplacer le gaz russe

L’industrie du solaire thermique est prête à relever le défi du remplacement du gaz russe. Grâce à l’usine Viessmann de Faulquemont, la France est exportatrice nette de panneaux solaires thermiques.
Il y a 3 ans et 46 jours

Ouverture du nouveau siège social d’HeidelbergCement France Tour Alto à Paris La Défense

HeidelbergCement France annonce l’ouverture ce 21 mars 2022 de son nouveau siège social au sein de la Tour Alto au coeur du quartier d’affaires de Paris La Défense. Auparavant installée à Guerville dans les Yvelines, la nouvelle localisation du siège à Paris La Défense, dans le plus grand quartier d’affaires d’Europe, s’inscrit dans la transformation […]
Il y a 3 ans et 46 jours

Béton Solutions Mobiles : Le BPE le plus imposant de France

La nouvelle unité de production de BPE de Béton Solutions Mobiles s’inscrit dans un bâtiment fermé de 8 500 m2. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 M€ pour l’année 2021, la présence de quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ». Une stratégie qui va permettre à la marque de devenir le 1er acteur régional du BPE, devant Edycem et ses 33 centrales, dès la fin du 2e trimestre 2022. A l’échelle nationale, BSM arrivera à la 7e place des fournisseurs, derrière Colas qui est à la tête d’environ 67 unités de production. Belle performance pour une entreprise créée il y a tout juste de 8 ans. Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Est, à Lognes, siège de l’entreprise. « Cette dernière centrale sera une mobile que nous allons sédentariser, explique Maureen Pontié, responsable travaux neufs de BSM. Elle sera dédiée à la production exclusive de chapes fluides. » En effet, c’est une activité nouvelle que l’industriel a choisi de développer d’une manière importante. « Aujourd’hui, nous travaillons avec trois fournisseurs, reprend Philippe Tibère-Inglesse. A savoir, Bostik et sa Technis-R, Chryso Cemexa et ses Cemfloor, et Sika, avec ses Levelchape et ses Viscochape. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 46 jours

Limiter la construction neuve dans le cadre d’une transition bas carbone

« Transition(s) 2050. Choisir maintenant. Agir pour le climat » est une prospective de l’Ademe qui explore quatre scénarios pour atteindre la neutralité carbone en France en 2050. Ils visent à articuler les dimensions technico-économiques avec des réflexions sur les transformations de la société. Le rapport Transition(s) 2050, première étape de cet exercice, a été publié le 30 novembre 2021, aujourd’hui, l’Ademe étend ses analyses dans des feuilletons. Elle vient d’en présenter huit dont l’un d’eux aborde la modération de la construction neuve, il détaille les principaux enjeux pour les acteurs et propose des pistes pour accompagner les changements. Certains leviers de contribution des bâtiments à la transition écologique sont bien connus : isolation thermique, adoption d’énergies moins carbonées, évolution des modes de vie… Si les bâtiments neufs consomment de moins en moins d’énergie en phase d’usage grâce aux réglementations thermiques successives, les consommations d’énergie et émissions de CO2 associées à la fabrication des matériaux et des équipements imposent de reporter l’attention sur l’amont du cycle de vie d’un bâtiment. Selon les données issues de l’Observatoire E+C-2, les émissions d’un bâtiment sur sa durée de vie sont majoritairement liées aux produits de construction, qui représentent selon le type de bâtiment de 55 à 80 % des émissions totales. C’est pourquoi limiter la construction neuve est l’un des leviers à explorer dans le cadre d’une transition bas carbone. Cela permet également de contribuer à la lutte contre l’artificialisation des sols. La logique générale du scénario consiste à optimiser l’occupation du parc afin de limiter fortement la construction neuve : diminution des surfaces par personne, augmentation de l’intensité d’usage, transformation de résidences secondaires en résidences principales, résorption de la vacance, évolution des logements en fonction de la vie des ménages. Ces stratégies permettent de répondre à la demande (en logement, locaux…) tout en réduisant de façon significative les volumes construits et les pressions associées. Ce scénario voit un fort développement des matériaux et systèmes constructifs biosourcés, accompagné d’une décroissance des matériaux traditionnels tels que nous les connaissons aujourd’hui. L’industrie se transforme pour se décarboner. L’économie de la fonctionnalité et du réemploi se développe également de façon significative. Le scénario renforce le basculement des entreprises vers le marché de la rénovation. Télécharger le feuilleton… Cet article Limiter la construction neuve dans le cadre d’une transition bas carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 49 jours

Velux verdit ses emballages

Le premier fabricant mondial de fenêtres de toit a décidé de supprimer les composants plastiques de ses emballages. Un choix qui simplifiera le tri des déchets des négoces et des artisans.
Il y a 3 ans et 50 jours

Système inédit de protection solaire actionné par un alliage à mémoire de forme

Après 3 ans de recherche, Arcora présente Héméra, un nouveau système silencieux, compact et autonome, développé avec les chercheurs du laboratoire Navier de l’Ecole des Ponts ParisTech. Il s’agit du premier système de protection solaire actionné par un fil en alliage à mémoire de forme. Composés d’un alliage nickel-titane (NiTi), les Alliages à Mémoire de Forme sont fréquemment utilisés dans l’industrie biomédicale ou l’horlogerie. Ils possèdent deux propriétés exceptionnelles : la super-élasticité, qui peut atteindre dix fois celle de l’acier, et la mémoire de forme, car ils présentent la capacité de retrouver leur forme initiale, c’est-à-dire de se souvenir des traitements thermomécaniques qu’ils ont subis. Leurs propriétés exceptionnelles ont été le sujet d’étude de la thèse menée depuis 2015 par Philippe Hannequart, docteur et chargé de R&D chez Arcora, qui a abouti à Héméra, un système de protection solaire mobile avec des ventelles actionnées à la seule force du fil en alliage à mémoire de forme, stimulé par les températures extérieures. Le système est autonome en énergie grâce aux ventelles équipées de films photovoltaïques ASCA® composés de polymères organiques. Emmanuel Viglino précise : « Nous sommes convaincus que la mise en place de systèmes de protection solaire vertueux est une condition essentielle pour limiter l’empreinte carbone, tout en garantissantun confort aux utilisateurs. L’ajout de ventelles photovoltaïques est un atout considérable pour l’autonomie énergétique du système. ». Cet article Système inédit de protection solaire actionné par un alliage à mémoire de forme est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 50 jours

David Macdonald remplace Henk Bassie à la direction générale de Kingspan Insulation

Henk Bassie, directeur général de Kingspan Insulation Europe continentale, a annoncé qu’il avait accepté une nouvelle mission chez Kingspan Insulation. À compter du 1er avril, il occupera le poste de directeur général de Kingspan Insulation pour la région Afrique, Moyen-Orient, Asie-Pacifique. David Macdonald lui succède, il prendra ses fonctions le 1er avril 2022. David connait très bien l’industrie des matériaux du bâtiment, il a de nombreuses années d’expérience chez Kingspan et y a occupé diverses fonctions. En plus de son rôle de directeur général de Kingspan Insulation Continental Europe, il sera toujours responsable des produits de l’ensemble de la gamme Kingspan Unidek .  
Il y a 3 ans et 50 jours

Décision sur la "complicité de crimes contre l'humanité" de Lafarge en Syrie le 18 mai

L'audience à la chambre de l'instruction, présidée par le juge Eric Halphen, a duré environ trois heures, en présence de très nombreux avocats. Dans le cadre de cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes dont l'EI ainsi qu'à des intermédiaires afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe avait investi 680 millions d'euros dans la construction de ce site, achevé en 2010.Le groupe avait obtenu de la cour d'appel de Paris en novembre 2019 l'annulation sa mise en examen en 2018 pour "complicité de crimes contre l'humanité".Mais en septembre 2021, la Cour de cassation, plus haute juridiction judiciaire française, avait cassé cette décision de la cour d'appel, ainsi que le maintien de la mise en examen du groupe pour "mise en danger de la vie d'autrui".Elle avait renvoyé ces deux questions devant la chambre de l'instruction, dans une composition différente.Dans ses réquisitions dont l'AFP a eu connaissance, le parquet général demandait le maintien de la mise en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité" de Lafarge : il estime que l'entreprise "a financé, via des filiales, les activités de l'EI à hauteur de plusieurs millions de dollars, en connaissance précise des agissements".Le parquet a également requis l'annulation de la mise en examen de Lafarge pour "mise en danger de la vie d'autrui". A l'issue de l'audience, Me Christophe Ingrain, Rémi Lorrain et Paul Mallet, avocats du groupe Lafarge, n'ont pas souhaité faire de commentaires. Le groupe Lafarge avait estimé en septembre que la décision en cassation "ne présumait en aucun cas d'une éventuelle culpabilité de Lafarge SA"."Nous avons pris des mesures immédiates et fermes pour nous assurer que des événements similaires ne puissent plus se reproduire", avait-il assuré, précisant que Lafarge n'exerçait "plus aucune activité en Syrie depuis plus de six ans".La Cour de cassation avait par ailleurs confirmé la mise en examen du cimentier pour "financement du terrorisme".Pour Joseph Breham, avocat d'une centaine d'ex-salariés syriens, les avocats de Lafarge "ont nié l'existence de crimes contre l'humanité en Syrie" à la date des faits voire même "le concept de crimes contre l'humanité tel que défini en France depuis 50 ans".C'est selon lui "une défense sans subtilité", qualifiée également par l'avocat de la Ligue des droits de l'Homme Arié Alimi de "défense Robert Faurisson", en référence à l'universitaire négationniste mort en 2018.Si la cour suit les réquisitions du parquet général et la volonté des parties civiles, "plus rien ne s'opposera à ce que soit démontré de manière incontestable que le groupe Lafarge a en connaissance de cause financé l'Etat islamique et le Front Al Nosra alors qu'(ils) commettaient les pires exactions", a estimé de son côté Emmanuel Daoud, avocat de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH).
Il y a 3 ans et 50 jours

La guerre en Ukraine assombrit les perspectives de l'économie française

Selon deux indicateurs qui mesurent la confiance des entreprises, le conflit a pour l'instant surtout affecté l'industrie, avec des chaînes d'approvisionnement perturbées, tandis que les services et encore davantage le bâtiment, moins exposés à l'international, ont continué en mars à bénéficier de la reprise de l'activité avec la sortie de la pandémie."Globalement la dégradation de la confiance des entreprises pour l'instant n'a pas été très forte", constate Charlotte de Montpellier, économiste à la banque ING.Le cabinet IHS Markit a même mesuré une accélération de la croissance du secteur privé au mois de mars, après deux mois de tassement liés à la progression du variant Omicron.Une accélération qui a "exclusivement reposé sur les performances des prestataires de services". La hausse de la production manufacturière, elle, a "fortement ralenti sous l'effet du maintien des perturbations sur les chaînes d'approvisionnement et, selon certaines entreprises interrogées, de la crise en Ukraine", détaille le cabinet dans un communiqué.En dehors de l'industrie, le secteur du commerce, et particulièrement du commerce de détail, a ainsi vu selon l'Insee la confiance des chefs d'entreprise chuter fortement, traduisant l'inquiétude des consommateurs. D'une manière générale, le climat des affaires s'est nettement détérioré par rapport à février, tout en restant encore à des niveaux historiquement élevés.Incertitude et inflationContrairement à Markit, l'Insee, dont l'échantillon d'entreprises interrogées est plus large, a mesuré un fléchissement du climat des affaires également dans les services."Les entreprises sont attentistes en observant une inflexion de la demande", analyse Philippe Waechter, économiste chez Ostrum Asset Management.La semaine dernière, l'Insee avait déjà constaté dans sa note de conjoncture que la guerre provoquait un choc de prix, d'incertitude et de confiance.La situation "risque de se détériorer dans les prochains mois si le conflit continue", selon Charlotte de Montpellier pour qui, à l'inverse, "si le conflit s'arrête, on aura un redressement des indicateurs".Pour l'instant, le marché du travail reste solide mais il "réagit toujours avec retard", prévient cette économiste.Si la guerre "s'inscrit dans la durée, on aura une inflexion de l'activité, mais la vraie rupture, ce sera si les entreprises commencent à réduire l'emploi", analyse Philippe Waechter pour lequel un tel retournement serait alors "vraiment préoccupant".L'inflation qui s'accélère pourrait dans un premier temps entraîner une hausse des commandes des entreprises, celles-ci craignant que les prix n'augmentent encore davantage à l'avenir.Dans un second temps, "d'ici quelques mois", le risque est de "conduire à une détérioration forte de l'activité économique" lorsque ces achats anticipés cesseront, prévient Charlotte de Montpellier.Craintes pour l'emploiPhilippe Waechter ne croit pas à une telle hausse des achats à court terme, ni pour les entreprises ni pour les ménages."Quand on regarde la confiance des ménages à l'échelle de l'Union européenne, on voit qu'elle baisse déjà de façon significative", ce qui va entraîner un ralentissement de la consommation, estime-t-il.L'inflation "commence manifestement à avoir un impact sur le comportement d'achat des entreprises donc aussi sur les perspectives économiques globales pour les prochains trimestres", met en garde Charlotte de Montpellier, selon laquelle "on ne peut exclure" d'avoir un PIB en baisse au deuxième trimestre.Les statistiques du moral des ménages et de l'inflation pour le mois de mars, qui seront publiées la semaine prochaine par l'Insee, sont très attendues par les économistes.
Il y a 3 ans et 50 jours

Chatillon Architectes imagine la restructuration du Quadrilatère de Beauvais

ARCHITECTURE. Un ancien site industriel typique du XXe siècle, oeuvre d'André Hermant, va bénéficier d'un grand chantier de modernisation. Le bâtiment devrait être inauguré en 2024.
Il y a 3 ans et 50 jours

Présidentielle 2022 : en matière de logement, les Français plébiscitent le "quoi qu'il en coûte"

Important : les répondants ne connaissent pas le nom du candidat qui était l'auteur de chaque proposition, pour ne pas influencer leur vote. En synthèse : Ce sont les propositions les plus coûteuses pour les finances publiques (subventions, aides financières, baisse de la fiscalité) qui séduisent le plus, quel que soit le profil des répondants (locataires, propriétaires, investisseurs). Les mesures touchant à la ruralité font également l'objet d'un large consensus. Les clivages traditionnels propriétaires-bailleurs/locataires subsistent sur des thématiques comme l'encadrement des loyers, les expulsions locatives et la réquisition des logements.Les locataires n'entendent pas le rester et plébiscitent toutes les mesures favorables à l'acquisition de la résidence principale.Augmenter l'offre de logementTrois propositions visant à augmenter l'offre de logement ont été retenues parmi les mesures recensées dans les programmes de deux candidats à l'élection présidentielle : Philippe Poutou et Yannick Jadot.Proposition de Philippe Poutou : "Interdire les locations de type AirBnb sauf pour les résidences principales" Première proposition soumise aux votes des particuliers : "Interdire les locations de type AirBnB sauf pour les résidences principales" qui figure dans le programme du candidat Philippe Poutou et dont l'idée sous-jacente est de réinjecter des logements sur le marché locatif pour réduire la pénurie structurelle d'offres qui frappent certaines zones du territoire (Paris, Pays basque, etc…). Une proposition qui séduit 52,1 % des locataires et 45,3 % des propriétaires, hors investisseurs. Ces derniers sont les moins favorables à cette mesure qu'ils approuvent à 38,4 %.Proposition de Yannick Jadot : "Favoriser la transformation de bureaux en logements" Cette seconde proposition, dont les modalités pratiques et de financement ne sont pas connues, fait davantage consensus que la première puisqu'elle recueille, tous profils confondus, 88,1 % d'opinions favorables et une adhésion homogène quels que soient les profils : de 89,1 % d'opinions favorables chez les locataires à 86,1 % chez les investisseurs.Proposition de Philippe Poutou : "Réquisitionner tous les logements vides sur le territoire national" Cette autre proposition de Philippe Poutou qui entend lutter contre la pénurie de logements par la réquisition de tous les logements vides suscite des réactions très disparates selon les profils… En effet, si 77,2 % des locataires approuvent la mesure, le taux d'adhésion descend à 45 % chez les propriétaires de leur résidence principale pour dégringoler à 29,2 % chez les investisseurs, soit près de deux fois moins que les locataires. Pour autant, ce résultat étonne puisqu'il signifie que près de 30 % des investisseurs interrogés approuvent cette solution. Protéger les locatairesLes mesures visant à protéger les locataires se trouvent davantage dans les programmes des candidats étiquetés à gauche de l'échiquier politique. Six propositions piochées dans les programmes de Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo, Philippe Poutou, Yannick Jadot et Jean Lassalle ainsi que - faute de programme connu le 16 mars, jour du lancement du sondage - celle d'un député LREM qui travaille sur le programme Logement du candidat Emmanuel Macron, selon La Lettre A du 1er mars 2022.Proposition d'Anne Hidalgo : "Généraliser l'encadrement des loyers dans toutes les zones tendues en France"Cette proposition de la Maire de Paris vise à étendre à l'ensemble des zones tendues (territoires où il existe une très forte demande locative) l'expérience mise en œuvre dans la capitale. Une proposition qui recueille l'adhésion de 58,5 % des personnes interrogées (quel que soit leur profil) et davantage encore chez ceux ayant un projet immobilier en cours (64,8 %). Mais ces chiffres cachent de fortes disparités selon le statut du répondant. Les locataires sont 90,3 % à approuver la mesure tandis qu'à l'opposé, seuls 38,7 % des investisseurs sont d'accord.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Encadrer les loyers partout sur le territoire et baisser les plafonds de loyers dans les grandes villes"Cette proposition de Jean-Luc Mélenchon va plus loin que celle d'Anne Hidalgo puisque le candidat de La France Insoumise propose, tout à la fois, d'appliquer un dispositif d'encadrement des loyers sur l'ensemble du territoire (et non plus dans les seules zones tendues) mais également de revoir à la baisse les plafonds de loyers déjà en vigueur dans certaines grandes villes comme Paris, Lille, Lyon, Grenoble, Bordeaux et Montpellier, par exemple. Au global (tous types de profils confondus) cette mesure emporte le suffrage d'une personne interrogée sur deux : 49,6 % y sont favorables contre 50,4 % défavorables. Mais une nouvelle fois, le statut du répondant révèle des différences d'appréciation très notables. Les locataires approuvent la mesure dans la même proportion que celle d'Anne Hidalgo avec 88,9 % d'opinions favorables. Mais les investisseurs y sont nettement plus défavorables qu'à la mesure de la Maire de Paris : 73,4 % rejettent la mesure contre 61,3 % pour celle d'Anne Hidalgo. Rien d'étonnant à cela puisque dans l'hypothèse de Jean-Luc Mélenchon, plus aucun propriétaire n'échappe à la mesure : où que soit le logement loué, celui-ci sera soumis à encadrement des loyers. Sans compter que les loyers déjà encadrés seront revus à la baisse…Proposition de Philippe Poutou : "Arrêt des expulsions locatives, même en cas d'impayé"Cette proposition est celle qui entraîne le plus de rejet parmi toutes celles soumises aux votes des particuliers. Ce qui ne surprend guère compte tenu de l'émotion qu'avait suscité dans l'opinion publique plusieurs faits divers de squats, largement médiatisés à l'automne 2020, allant même jusqu'à réformer la loi. Dans l'ensemble, 83,3 % des personnes interrogées sont opposées à la mesure et ce taux monte même jusqu'à 94,5 % chez les investisseurs.Proposition de Yannick Jadot (et Marine Le Pen, Emmanuel Macron) : "Supprimer les cautions lors de la location qui seront remplacées par une Garantie Universelle des Loyers (garantie publique), financée conjointement et à parts égales par les propriétaires et l’État à travers une cotisation de 1 à 2 % du montant du loyer"Cette proposition de Yannick Jadot figure également dans le programme de Marine Le Pen mais de manière moins détaillée, puisque le candidat écologiste va jusqu'à en préciser les modalités pratiques. Emmanuel Macron semble également - depuis la divulgation de son programme le 17 mars - avoir une proposition en ce sens, même si elle est très floue : "Étendre la caution publique pour les locataires afin de faciliter l’accès au logement tout en sanctionnant les mauvais payeurs". Et ce sont certainement les modalités pratiques (cotisation de 1 à 2 % à charge des propriétaires, pour moitié avec l'Etat) qui expliquent le rejet de celle-ci par les Investisseurs : près d'un sur deux, 48,9 %, y est totalement opposé et 22,6 % plutôt opposé, soit au total 71,5 % qui n'en veulent pas. Les locataires, pour leur part, portent un regard bienveillant sur cette proposition - dans laquelle ils ne seraient pas mis à contribution financièrement - qu'ils approuvent à 77 %.Proposition de Mickaël Nogal, député LREM de Haute-Garonne en charge du logement pour le candidat Emmanuel Macron : "Pour toute location, rendre obligatoire l’intervention d’un professionnel de l’immobilier qui séquestrera le dépôt de garantie"Cette proposition de Mickaël Nogal, qui est en charge du volet logement du candidat Emmanuel Macron avait été déposée en février 2020 à l'Assemblée nationale avant d'être retirée de l'agenda parlementaire. Quoique mise de côté, elle constitue une des rares mesures phares sur la thématique du logement du quinquennat Macron et pourrait ressortir en cas de second mandat. Cette solution séduirait un peu moins d'un locataire sur deux (46,3 % y sont favorables contre 53,7 % qui y sont défavorables). Les investisseurs qui sont tout autant concernés rejettent largement cette mesure puisqu'ils sont 86 % à y être opposés dont 64,2 %, totalement opposés. NB : Depuis la réalisation de cette étude, Emmanuel Macron a dévoilé, jeudi 17 mars, ses mesures en matière de logement et ne semble pas retenir cette proposition de Mickaël Nogal.Proposition de Jean Lassalle et Jean-Luc Mélenchon : "Revenir sur la réforme 2020 des APL et augmenter l'allocation au logement"Cette mesure, qui se retrouve tout à la fois dans le programme de Jean Lassalle et de Jean-Luc Mélenchon, entend revenir sur la réforme des A.P.L. (la "contemporéanisation" pour reprendre l'expression de Jean-Luc Mélenchon) ainsi que sur leur baisse avec pour objectif, au contraire, de les augmenter. Et force est de constater qu'une telle mesure - dont le financement n'a pas été chiffré - emporte l'adhésion des locataires qui y sont favorables à 80,7 %. Mais cette mesure est accueillie favorablement par les propriétaires à 65,8 %, tandis que les investisseurs y sont également majoritairement favorables à 59,4 %. C'est du reste la proposition de Jean-Luc Mélenchon qui emporte le plus l'adhésion des investisseurs. Favoriser l'accès à la propriété Les mesures favorables à l'accession à la propriété, d'une manière générale, sont l'apanage des candidats situés sur la droite de l'échiquier politique. Trois propositions issues des programmes de Valérie Pécresse et Eric Zemmour ont été soumises au vote des particuliers.Proposition d’Éric Zemmour : "Exonérer de frais de notaires tous les primo-accédants qui achètent un bien immobilier de moins de 250.000 euros" Cette proposition non chiffrée du candidat-polémiste, est une des rares à séduire tous les profils de répondants et dans des proportions significatives : 89,7 % des locataires sont pour, de même que 81,8 % des propriétaires et 76,1 % des investisseurs. Le niveau élevé d'adhésion des locataires prouve, si besoin en était, que la location n'est pas une fin en soi et que l'acquisition d'une résidence principale est une aspiration naturelle.Proposition de Valérie Pécresse : "Créer une garantie immobilière solidaire pour annuler les surprimes d’assurance que subissent les personnes en risque de santé quand elles veulent emprunter et ainsi leur permettre d’accéder au logement" Cette proposition qui touche tout autant la santé que le logement est une de celles qui est la plus plébiscitée, toutes thématiques confondues. Elle emporte un niveau d'adhésion s'échelonnant de 86,8 % chez les Investisseurs à 91,9 % chez les propriétaires pour culminer à 94,1 % chez les locataires. Proposition de Valérie Pécresse : "Généraliser le prêt à taux zéro pour les primo-accédants sur tout le territoire français et pas seulement dans les zones tendues" L'esprit de cette proposition qui s'adresse aux primo-accédants est proche de celle d’Éric Zemmour mais agit sur un levier différent. Quand le candidat de Reconquête ! entend agir sur la fiscalité des frais de notaire (environ 8 % du prix d'achat d'un bien soit jusqu'à 20.000 € pour un bien à 250.000 €), Valérie Pécresse préfère élargir les conditions d'octroi du prêt à taux zéro, qui est actuellement limité aux zones tendues, en l'élargissant à toute la France. Une mesure dont l'intérêt est indexé sur les niveaux de taux de crédits : plus ceux-ci augmenteront plus le prêt à taux zéro se révèlera intéressant. La fiscalité immobilièreL'immobilier est fortement taxé en France et les mesures prises par le Président sortant, lors de son élection, ont creusé l'écart avec les valeurs mobilières (instauration de la Flat Tax, suppression de l'ISF mais création de l'IFI). Deux candidats ont formulé des propositions favorables à une baisse de la fiscalité : Nicolas Dupont-Aignan et Éric Zemmour. Quand un troisième candidat, Jean Luc Mélenchon, entend lui, créer de nouvelles taxes ciblées.Proposition de Nicolas Dupont-Aignan : "Supprimer les droits de succession sur la résidence principale" Si cette proposition non chiffrée relève davantage de celles ayant trait aux successions, elle souligne le caractère particulier de la résidence principale dans le patrimoine des Français. Ce que confirme la forte approbation à la mesure quel que soit le statut du répondant : de l'ordre de 90 % chez les propriétaires de leur résidence principale mais aussi des investisseurs et 78,1 % chez les locataires.Proposition d’Éric Zemmour : "Faire passer de 30 à 15 ans la durée de détention qui permet une exonération totale d’impôts et de prélèvements sociaux sur la plus-value immobilière" Cette proposition non chiffrée touche sa cible : les investisseurs qui seraient les premiers à en bénéficier puisque ceux-ci y sont favorables à 91,7 %. Mais sans que cela ne choque les autres propriétaires qui sont 86,7 % à l'approuver également. De même, les locataires sont 82,3 % à voir cette mesure d'un bon œil.Proposition de Nicolas Dupont-Aignan : "Plafonner les impôts sur les revenus locatifs à 35 %"Cette proposition non chiffrée semble vouloir réaligner la fiscalité des revenus de l'immobilier sur celles des valeurs mobilières (Flat tax à 30 %). Une idée qui semble largement approuvée, au-delà des seuls investisseurs (les premiers concernés par cette mesure).Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Imposer les hautes transactions immobilières par une taxe progressive pour financer la lutte contre le logement indigne"Cette proposition non détaillée de Jean-Luc Mélenchon entend taxer les hautes transactions immobilières (seuil déclencheur non connu) afin de pouvoir financer la lutte contre le logement indigne. Et si le taux d'adhésion à cette mesure décroit selon que l'on est locataire, propriétaire ou investisseur, celle-ci est approuvée par une majorité de français : de 65,3 % chez les investisseurs à 77,4 % chez les propriétaires et 87,5 % chez les locataires.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Augmenter la taxe sur les logements vacants en zones tendues à 50 % la première année et à 100 % la seconde" Actuellement, la taxe sur les logements vacants est de 12.5 % de la valeur locative la 1ère année, et 25 % à compter de la 2ème année. Jean-Luc Mélenchon propose de passer ces taux respectifs à 50 % et 100 %. Une idée à laquelle les investisseurs sont majoritairement opposés : 52,7 % désapprouvent cette mesure tandis que les locataires y sont, pour leur part, favorables à 74 %. Rénovation énergétiqueLogement et environnement sont deux thématiques en parfaite convergence depuis quelques années. Il faut dire que le bâtiment est l'une des premières sources d'émission de Gaz à Effet de Serre (GES) et logiquement la question de la rénovation des logements est intrinsèquement liée à la lutte contre le réchauffement climatique. Dans ce contexte, nombre de propositions sur la thématique du logement sont directement liées à la question de la rénovation énergétique. Parmi les nombreuses propositions des candidats, parfois redondantes, nous en avons soumises trois au vote des particuliers puisées dans les programmes d'Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.Proposition d'Anne Hidalgo : "Mettre en œuvre un grand plan pluriannuel de rénovation énergétique des bâtiments basé sur un nouveau dispositif : aucun frais à avancer au moment des travaux ; le remboursement se fera au moment de la revente ou de la succession" Cette proposition non chiffrée qui vise à accélérer sur le front de la rénovation énergétique des logements, se distingue par son mécanisme original qui repousse le financement des travaux à la charge des propriétaires, à la revente ou à la succession en prélevant sur celles-ci "en fonction des revenus" la part avancée par l'état. Et force est de constater que cette solution est accueillie favorablement par tous les profils y compris ceux qui sont les premiers concernés. Ainsi, 69,7 % des propriétaires de leur résidence principale se déclarent favorables à la mesure tandis que 61,5 % des investisseurs le sont également.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Rendre la rénovation des logements "passoires thermiques" obligatoire avant toute mise en location via un "permis de louer" partout en France" Cette proposition de Jean-Luc Mélenchon ressemble à s'y méprendre à la loi Climat et Résilience adoptée en 2021. Mais elle semble vouloir faire fi du calendrier existant (2025 pour les logements classés G puis 2028 pour les logements classés F) en rendant le permis de louer obligatoire immédiatement. Toujours est-il que cette mesure est accueillie plutôt favorablement, y compris par les Investisseurs même s'ils ne sont qu'un sur deux (51,9 %) à approuver cette idée.Proposition de Marine Le Pen : "Subventionner le remplacement des chaudières au fuel" Cette proposition non chiffrée de Marine Le Pen que l'on retrouve également dans le programme de Fabien Roussel - qui s'est fait le chantre du "grand remplacement… des chaudières au fuel" emporte une large adhésion parmi tous les profils de répondants. L'habitat en zone ruraleA l'instar des villes moyennes, les zones rurales bénéficient depuis la crise sanitaire d'un véritable regain d'intérêt et constituent désormais un territoire presque fantasmé. Trois propositions issues des programmes de Marine Le Pen, Éric Zemmour et Valérie Pécresse visant à y améliorer les conditions de vie ont été soumises au vote des particuliers.Proposition de Marine Le Pen : "Faciliter l'accueil des néoruraux avec la vente de logements à bas prix en échange d'un engagement d'installation d’au moins 10 ans"Cette proposition non chiffrée de Marine Le Pen entend permettre le repeuplement des zones rurales désertées en proposant à des ménages de s'y installer grâce à l'achat d'un logement en-dessous du prix du marché et en échange d'un engagement de l'occuper à titre de résidence principale pendant au moins 10 ans. Une idée que soutient majoritairement l'ensemble des profils interrogés : 79,7 % des locataires y sont favorables contre 74,9 % des propriétaires et 68,1 % des investisseurs.Proposition d’Éric Zemmour : "Réorienter les fonds affectés aux banlieues au profit des zones rurales"Cette proposition non détaillée d’Éric Zemmour vise à réaffecter les fonds de la politique de la ville à destination des banlieues au profit des zones rurales en y améliorant les infrastructures, les conditions de vie et d'équipement. Une proposition qui se distingue par son équilibre dans les réponses recueillies. Locataires, propriétaires et investisseurs partageant sur ce sujet le même point de vue avec une approbation de l'ordre de 62 à 64 % et un rejet de l'ordre de 36 à 38 %.Proposition de Valérie Pécresse : "Déploiement de l'accès à Internet à Très Haut Débit via fibre optique sur 100 % du territoire début 2024" Cette proposition non détaillée de Valérie Pécresse ne concerne pas directement le logement puisqu'il y est question d'infrastructure. Mais elle est révélatrice de l'intérêt porté aux zones rurales et au premier des équipements que l'on devrait pouvoir y trouver si l'on souhaite s'y installer : la fibre optique ! Et cette mesure est celle qui remporte le plus d'adhésion : pas moins de 92 % d'approbation quel que soit le profil des personnes interrogées… Le logement socialL'essentiel des propositions des candidats à l'élection présidentielle en matière de logement, concerne le logement social. Parmi les nombreuses propositions sur le sujet, nous en avons retenues deux qui ont la particularité d'impacter également les personnes qui ne sont pas éligibles au logement social : une d’Éric Zemmour et une autre, totalement inverse, de Jean-Luc Mélenchon. Proposition d’Éric Zemmour : "Abroger la loi SRU imposant un quota d’au moins 25 % de logements sociaux dans chaque commune de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France)" Cette proposition d’Éric Zemmour qui entend abroger la loi SRU fixant des seuils de logements sociaux dans les communes de plus de 3.500 habitants reçoit un accueil partagé : 35 % des locataires seulement y sont favorables. Les propriétaires, en revanche, y sont majoritairement favorables : 55% des propriétaires de leur résidence principale et 58,8% des investisseurs sont d'accord avec cette proposition.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Rehausser le quota de logements sociaux dans les villes à 30 % et aggraver les sanctions contre les communes hors-la-loi" Cette proposition de Jean-Luc Mélenchon est l'exact opposé de celle d’Éric Zemmour. Quand ce dernier entend abroger la loi SRU, Jean-Luc Mélenchon pour sa part souhaite l'étendre, en fixant le minimum de logements sociaux par commune à 30 % et en renforçant le dispositif de sanctions à l'égard des communes contrevenantes. Là encore, un clivage existe entre les locataires, les propriétaires et les investisseurs. Deux tiers des locataires (66,6 %) approuvent cette mesure contre 54,6 % des propriétaires. Les investisseurs y sont pour leur part majoritairement hostiles puisqu'ils ne sont que 31,5 % à l'approuver et 68,5 % à la rejeter. Méthodologie Enquête réalisée via un questionnaire en ligne, entre le 16 et le 18 mars 2022, auprès de 18.712 personnes dont :6.156 investisseurs disposant d'un ou plusieurs biens en location représentant 32,8 % des répondants.6.362 propriétaires de leur résidence principale n'étant pas investisseurs représentant 34 % des répondants.6.194 locataires de leur résidence principale représentant 33,1 % du total des répondants.Les propositions ont volontairement été anonymisées pour ne pas influencer les répondants en fonction de leurs orientations politiques.
Il y a 3 ans et 50 jours

Un isolant en laine de verre recyclée et une ligne de production en 2023

Revibat, start up industrielle, lance des isolants acoustiques puis thermiques composés intégralement de déchets de laine de verre. Le premier outil industriel de production automatisé est prévu en 2023 avec un investissement prévu de plusieurs millions d’euros.
Il y a 3 ans et 50 jours

Nouveau siège social pour HeidelbergCement France

« Notre arrivée à la tour Alto est l’aboutissement d’un projet au long cours. Nous emménageons dans un espace résolument moderne qui devrait favoriser le travail collaboratif », s’enthousiasme Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. [©HeidelbergCement] HeidelbergCement France vient d’inaugurer son nouveau siège social au cœur du quartier d’affaires de Paris La Défense. « Notre arrivée à la tour Alto est l’aboutissement d’un projet au long cours. Nous emménageons dans un espace résolument moderne qui devrait favoriser le travail collaboratif », s’enthousiasme Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. Ce déménagement s’inscrit dans la continuité de la transformation que l’industriel a engagée et qu’il va poursuivre dans les prochains mois. « Ce changement doit nous aider à relever les nombreuses gageures auxquelles notre filière est confrontée : le défi climatique, la nécessité de préserver les ressources naturelles et de protéger la biodiversité. Et bien sûr, contribuer à l’aménagement des territoires avec les matériaux du futur. » Un nouveau siège social pour HeidelbergCement France Le siège d’HeidelbergCement France était auparavant installé à Guerville dans les Yvelines. S’implanter à Paris La Défense marque aussi une accélération de sa transition écologique. En effet, HeidelbergCement France a annoncé, fin 2020, un investissement massif de plus de 450 M€ pour décarboner quatre de ses cimenteries. Sises à Airvault dans les Deux-Sèvres, à Bussac-Forêt en Charente-Maritime. A Beaucaire dans le Gard et à Couvrot dans la Marne. De plus, ce nouveau siège vise à permettre à l’industriel de se rapprocher de ses parties prenantes institutionnelles et commerciales Le site de Guerville modernisé Par ailleurs, le site historique des Technodes à Guerville sera modernisé. Il continuera à accueillir plus de 200 collaborateurs des directions régionales de Ciments Calcia. Mais aussi, d’Unibeton, de GSM, des fonctions mutualisées et des laboratoires. « L’arrivée à la tour Alto marque une étape majeure de la vie de l’entreprise en France. Nous sommes très heureux de rejoindre La Défense. Et d’intégrer cette tour Alto, qui incarne parfaitement le génie de la construction française. Elément de fierté supplémentaire, cette infrastructure a en partie été construite avec nos matériaux. Nos collaborateurs du siège bénéficieront d’un espace de travail moderne propice au travail collaboratif. Et à la créativité pour mieux servir nos clients », conclut Bruno Pillon.
Il y a 3 ans et 51 jours

ATLANTEM DÉVELOPPE SON ACTIVITÉ PORTAIL ALUMINIUM AVEC L’EXTENSION DE SON SITE DE CARENTOIR (56)

 ATLANTEM, activité menuiserie du Groupe HERIGE, poursuit l’accélération de sa transformation. L’industriel se saisit de la montée en puissance du portail aluminium dans son activité pour créer de la croissance et de l’emploi. Il a ainsi engagé des investissements importants de l’ordre de 2,5 millions d’euros sur son site de Carentoir, dédié historiquement aux portails […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Ryobi  poursuit le développement de sa gamme d’outils de mesure avec 4 nouveaux niveaux lasers pratiques et simples d’utilisation pour faciliter tous les travaux de bricolage, rénovation, décoration…

Réaliser des traçages précis et des cloisons bien droites, poser des cadres bien centrés, installer du carrelage ou des moulures d’équerre, fixer des étagères alignées… des tâches qui peuvent rapidement devenir mission impossible sans un bon niveau laser. Pour réussir ces travaux rapidement et sans difficulté, Ryobi® a conçu 4 nouveaux lasers simples et astucieux.  […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Crise sanitaire : du temps pour se former, mais inégalement réparti

"Si le temps dégagé par le chômage partiel ne suffit pas pour se former", la crise sanitaire a "ouvert des opportunités à certains salariés", peut-on lire dans le dernier bulletin du Centre d'études et de recherches sur les qualifications (Cereq Bref, numéro 420, mars 2022).Selon cette étude portant sur la période printemps 2020-printemps 2021, le contexte spécifique "a pu, sous certaines conditions, être favorable à la formation, y compris pour une partie des salariés qui en sont habituellement éloignés".Près d'un quart des salariés non formés entre 2014 et 2020 ont suivi au moins une formation, entamé une validation des acquis de l'expérience (VAE) ou un bilan de compétences entre mars 2020 et mai 2021."Face à l'impossibilité de proposer des formations en présentiel durant le premier confinement", le ministère du Travail a décidé "la mise à disposition massive de ressources pédagogiques en ligne par des organismes de formation". Au total, plus de 40% des salariés déclarent avoir suivi ou entamé une formation entre mars 2020 et mai 2021, un taux proche de la moyenne.L'étude relève toutefois de fortes inégalités dans l'accès à la formation. "La moitié des cadres contre un tiers seulement des ouvriers ont déclaré avoir suivi au moins une formation". Les salariés des grandes entreprises et ceux en CDI à temps plein ont été plus nombreux à se former que ceux en CDD ou à temps partiel.Le poids des contraintes familiales a pesé davantage sur les femmes. Seules 14% des femmes ayant suivi une formation sur la période étudiée ont pu le faire pendant le premier confinement, où les enfants étaient à la maison, contre 21% des hommes.L'étude souligne également "le rôle déterminant de l'employeur dans l'accès à la formation" de ses salariés. Priorité a été donnée "plus souvent aux catégories les plus qualifiées": 42% des cadres et 38% des professions intermédiaires ont reçu une proposition de formation de leur employeur sur la période étudiée, contre seulement 25% des employés et 27% des ouvriers.A contrario, les salariés sans diplôme ont été les plus nombreux à déclarer n'avoir reçu aucune proposition de formation de leur employeur (76% contre 67% en moyenne), de même que les salariés en contrat à durée déterminée ou à temps partiel (respectivement 76% et 85%).
Il y a 3 ans et 51 jours

Isolation thermique par l'extérieur : Parexlanko lance un produit biosourcé

PRODUITS. La société Parexlanko (groupe Sika) vient d'annoncer le lancement d'un nouveau produit biosourcé destiné à des opérations d'isolation thermique par l'extérieur en neuf et en rénovation.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le rapport des Français à leur immeuble d’habitation fortement marqué par la crise sanitaire et des aspirations environnementales

Les résultats révèlent ainsi que les habitants d’immeuble aspirent à un environnement « cocon », plus protecteur, plus serviciel, où les déplacements et les échanges sont fluides. Pour leur futur, les Français se projettent avant tout dans un immeuble plus éco-responsable et voient en la technologie un levier pour rendre leur lieu de vie plus économe en ressources, intelligent et coopératif. A l’aune de ces enseignements, KONE, leader de la mobilité dans les villes, exprime la nécessité d’accélérer les innovations et la coopération entre les acteurs de l’immobilier, au service du bâtiment durable et intelligent.Chiffres-clés de l’étude YouGov / KONE en un coup d’œil :Les trois priorités des Français habitant dans un immeuble 95% des répondants estiment que l’hygiène et la propreté est un élément important (dont 61% très important) : c’est la préoccupation n°1 des Français vivant dans un immeuble94% citent le bon fonctionnement des équipements comme un critère important, à égalité avec la sécurité (accès à l’immeuble et aux parties communes)87% des répondants estiment qu’une bonne information sur la vie de l'immeuble est importanteLes attentes en termes de services et de nouvelles technologies78% estiment que l'accessibilité pour tous (situation de handicap, personnes âgées) est importante : 43% des répondants habitant en immeuble ont un ascenseur et l’utilisent57% des habitants d’immeuble aimeraient disposer d’au moins un service ou espace partagé dans leur résidence, à l’instar de casiers pour les livraisons à domicile (30%), d’un jardin sur le toit (29%), d’une salle de sport (24%), ou encore d’une conciergerie (19%)Plus d’1 répondant sur 2 (55%) souhaite au moins une nouvelle technologie au sein de son immeuble : des matériaux antimicrobiens (31%), un écran d’information connecté (23%), un robot nettoyeur (20%)L’immeuble idéal de demain pour les FrançaisPour leur futur, les Français se projettent dans un immeuble éco-responsable à 41% (maîtrise des consommations d’eau et d’énergie, compost, projets d’agriculture urbaine, etc.)22% des répondants se projettent dans un immeuble proposant des services à la carte, à la fois plus connecté, plus éco-responsable et plus coopératifHygiène, sécurité et convivialité : des priorités qui portent la marque de deux années de crise sanitaireSelon l’étude YouGov / KONE sur les Français et leur immeuble, l'hygiène et la propreté sont les premières préoccupations des personnes vivant en logement collectif. Ménage effectué régulièrement, respect des mesures barrières sont choisis par 95% des répondants – parmi sept options de réponse – comme des critères importants au bien-vivre au sein de la copropriété. Parmi eux, 61% jugent même ce critère comme « très important ». Probablement exacerbée par la crise sanitaire, cette préoccupation existe plus particulièrement pour les plus de 55 ans qui déclarent à 98% prêter attention à l’hygiène et à la propreté.Les répondants placent la sécurité en 2e position de leurs préoccupations, s’agissant de l’accès à l’immeuble et aux parties communes : au total, 94% des répondants la considèrent comme importante, dont 64% très importante. Ce sont surtout chez les femmes et les plus de 55 ans que ce critère fait forte impression : dans ces deux catégories, 69% le qualifient de « très important ». Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France et spécialiste du segment résidentiel : « Confinements successifs, distanciation sociale, consignes sanitaires, semblent avoir marqué les Français dans leur rapport à leur immeuble : ils recherchent avant tout un environnement de vie sécurisé et protecteur. On peut parler d’immeuble « cocon », d’autant que bon nombre de répondants aspirent aussi à plus de convivialité. Au-delà de la conjoncture, ces attentes sont devenues structurelles et doivent être prises en compte dans la manière dont nous, professionnels du bâtiment, concevons et équipons les immeubles de logement. »Pour 79% des habitants d’immeuble, l’organisation d’animations et la bonne entente avec le voisinage au sein de l’immeuble sont importants. Ce besoin de convivialité s’exprime en priorité chez les plus de 55 ans (85%) par rapport aux 18-24 ans (61%).Accessibilité, bon fonctionnement des équipements et information : la fluidité, essentielle pour faciliter le bien-vivre ensemble ?Si l’hygiène et la sécurité constituent le socle des attentes des Français, d’autres critères apparaissent comme nécessaires pour faciliter le quotidien et le bien-vivre ensemble. C’est le cas du bon fonctionnement et de l’entretien des équipements, à l’instar des ascenseurs, du chauffage ou de l’interphonie. 94% des personnes habitant un immeuble considèrent ce critère comme « important » (dont 63% « très important »). Par ailleurs, la bonne information sur la vie de leur immeuble est au cœur des attentes des Français résidant en logement collectif. Ainsi, 87% des répondants estiment qu’être bien informé sur tout ce qui concerne leur immeuble est important : dates des travaux et des réunions, événements particuliers comme une coupure d’eau, etc.Enfin, l’accessibilité pour tous est plébiscitée par 78% des répondants. Cette préoccupation est d’autant plus grande pour les plus de 55 ans, qui la considèrent comme « très importante » à 89%. Sur cette question, l’ascenseur apparaît comme un équipement essentiel et nécessaire pour permettre la mobilité de tous au sein de l’immeuble. Ainsi, selon l’étude, 43% des répondants habitant en immeuble ont et utilisent un ascenseur, chiffre encore plus élevé pour les retraités (52%). A l’inverse, le nombre d’habitants ayant un ascenseur mais qui ne l’utilisent pas est faible en comparaison (10%), et concerne majoritairement les jeunes (17%).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’étude montre que tout ce qui permet des déplacements et des échanges fluides au sein des immeubles est déterminant pour les habitants. Cet enseignement m’intéresse particulièrement, car les flux au sein des bâtiments, c’est notre cœur de métier chez KONE. Ceux-ci s’organisent en effet bien souvent autour de l’ascenseur, qui est la colonne vertébrale de la mobilité au sein de l’immeuble, permettant à toutes et tous de se déplacer. Il est essentiel qu’il fonctionne de manière optimale, c’est le but d’un entretien régulier, si possible prédictif, mais il est aussi un « passage obligé », propice à l’information des habitants. »Nouvelles technologies et nouveaux services dans les immeubles : plus d’1 Français sur 2 s’y intéresse, en particulier les jeunes générationsEn échos à ces priorités, plus d’un répondant sur deux (55%) souhaiterait que son immeuble bénéficie d’une innovation technologique. Parmi celles proposées, l’utilisation de matériaux antimicrobiens est souhaitée par près d’un répondant sur trois (31%), assez logiquement au vu des attentes liées à l’hygiène, tout comme la mise à disposition de robots nettoyeurs pour les parties communes, qui intéresse 20% d’entre eux. Cette innovation technologique a notamment été placée en première position par les 25-34 ans. « Un écran d’information en temps réel dans le hall ou l’ascenseur, avec notification sur mon smartphone » intéresse par ailleurs près d’un quart des habitants d’immeuble (23%) : périodes de travaux, réunions, animations, horaires des transports en commun autour de mon immeuble, etc. C’est l’innovation qui séduit le plus la génération Z : 35% des 18-24 ans la choisissent.Au-delà de l’amélioration du fonctionnel, un Français sur deux se déclare intéressé par le déploiement d’au moins un service ou nouvel espace partagé au sein de son immeuble. Choisis par 30% des répondants, ce sont les casiers pour la livraison des achats en ligne qui se positionnent en tête. Ils sont suivis par un jardin sur le toit (29%), une salle de sport (24%), une conciergerie (19%) ou encore la présence d’un magasin au sein de l’immeuble (16%).Quelques disparités dans les attentes en fonction des profils des répondants sont à noter. En moyenne, les plus de 55 ans se montrent moins intéressés que les autres tranches d’âge par les services et les nouvelles technologies. Autre exemple, si la mise à disposition d’un espace de coworking ne séduit que 7% des répondants, on remarque que ceux-ci sont majoritairement des jeunes (56% de 18-34 ans), urbains (52% d’habitants de grandes villes) et issus des catégories sociales supérieures (51% de CSP+).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’immeuble connecté et serviciel a le vent en poupe, en particulier auprès des nouvelles générations. Avec le développement du télétravail, la plupart des Français ont passé beaucoup plus de temps chez eux depuis deux ans. Qu’ils aient plus d’attentes quant à leur résidence en termes de confort, de services de proximité et pourquoi pas de nouveaux espaces de type jardin partagé ou coworking, est finalement très logique. Et bonne nouvelle, beaucoup de choses sont déjà possibles aujourd’hui grâce à la connectivité des équipements. Le robot capable de se déplacer dans les étages pour livrer ou faire le ménage, ce n’est pas de la science-fiction ! Pour aller plus loin nous devons encore renforcer la coopération entre acteurs du bâtiment et travailler à l’ouverture des systèmes technologiques et des données. »Immeuble de demain : un logement connecté, éco-responsable et coopératifAu-delà des personnes résidant en logement collectif, l’étude YouGov / KONE s’est également penchée sur les attentes de tous les Français concernant l’immeuble du futur. Lorsqu’ils imaginent l’immeuble dans lequel ils aimeraient habiter, les Français privilégient un modèle d’immeuble éco-responsable (41%), devant l’immeuble intelligent et connecté (11%) et l’immeuble coopératif (10%). Cependant, 22% des répondants souhaitent un immeuble combinant les trois dimensions, avec la possibilité de choisir des services à la carte. A noter, les nouvelles générations montrent davantage d’appétence pour les nouvelles technologies : les 18-24 ans sont 18% à préférer ce modèle d’immeuble, soit 7 points de plus que la moyenne des répondants.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « Le modèle d’un immeuble éco-responsable est celui dans lequel se projette la majorité des Français, devant l’immeuble connecté et l’immeuble coopératif. L’écoresponsabilité et la coopération correspondent à des valeurs et à des modes de vie très en phase avec les préoccupations des Français et les nouveaux usages. Le numérique et la technologie sont quant à eux davantage des outils à notre disposition. Plus qu’une finalité, l’immeuble connecté est surtout considéré comme un moyen d’atteindre un mode de vie plus responsable et plus coopératif. »Cap sur le smart building résidentielPour KONE, les enseignements de l’étude plaident en faveur d’une accélération du smart building pour le marché du logement. Ceci implique notamment une meilleure coopération entre professionnels de l’immobilier pour parvenir à faire exister cet immeuble auxquels les Français aspirent : plus fonctionnel, plus serviciel, plus durable.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation KONE France : « C’est finalement un enjeu de maîtrise au sein des immeubles que souligne les résultats de l’étude YouGov / KONE : maîtrise des besoins, des équipements, des flux, des consommations… Pour y parvenir, les différents systèmes qui font fonctionner l’immeuble doivent être connectés entre eux, et les équipementiers doivent travailler ensemble pour y parvenir. A un autre niveau, c’est aussi par une meilleure coopération que l’on pourra améliorer le bilan carbone des chantiers de rénovation, en mettant en place des filières de réemploi des matériaux. »Depuis un an, la technologie DX de KONE permet de faire de n’importe quel ascenseur un objet connecté, et ainsi, de le faire communiquer avec les autres équipements du bâtiment dès lors que ceux-ci le permettent également. Cette ouverture permet de déployer une véritable plateforme de services, activables en fonction des besoins au sein de la copropriété. Par exemple, l’ascenseur peut être connecté à une intelligence artificielle et bénéficier d’un service de maintenance prédictive, qui permet d’anticiper les incidents et d’éviter jusqu’à une panne sur deux. Autre exemple, il est possible de connecter l’ascenseur à un robot afin qu’il puisse se déplacer dans l’immeuble. Il peut également être connecté à une application de gestion des portes et accès pour renforcer la sécurité, ou d’appel de l’ascenseur à distance, sans contact, pour lever certaines craintes en matière de propreté.
Il y a 3 ans et 51 jours

Convention de mécénat entre IMT Mines Alès et HeidelbergCement France

L’IMT Mines Alès annonce la signature officielle d’une convention de mécénat avec HeidelbergCement France. [©IMT Mines Alès] Courant mars, l’IMT Mines Alès annonçait la signature officielle d’une convention de mécénat avec HeidelbergCement France. L’école d’ingénieurs s’engage ainsi, avec la filiale de l’industriel allemand, pour une durée de 3 ans. Sur l’aspect financier, cette dernière va permettre à l’IMT Mines Alès de mieux déployer ses moyens pédagogiques sur l’ensemble des formations. Notamment dans les filières qui intéressent l’industriel, comme celles du département ingénierie du sous-sol et exploitation des ressources minérales. « Donner à ses élèves les meilleures chances de s’accomplir professionnellement pour être des acteurs responsables du développement de la nation, en préservant les richesses de la planète. » Telle est l’ambition de l’IMT Mines Alès, qui illustre l’intérêt de l’école envers HeidelbergCement France. HeidelbergCement France au service des étudiants Au-delà du soutien financier, le groupe cimentier organisera des échanges entre les étudiants, les chercheurs de l’école et ses représentants. Permettant ainsi de favoriser « un processus d’intelligence collective », souligne Romuald Bony, animateur du mécénat à l’IMT Mines Alès. Des thèmes comme la réduction de l’empreinte carbone et la préservation de la biodiversité dans l’exploitation minérale seront abordés. « L’école est concernée par une approche globale et sociétale de ces sujets majeurs Lire aussi : HeidelbergCement France, mécène des Arts et Métiers pour l’avenir de l’industrie cimentière et pour la formation de nos futurs ingénieurs », ajoute Romuald Bony. Et Bruno Pillon, président d’HeidelbergCement France, de conclure : « L’industrie cimentière est en première ligne face à l’urgence climatique. Et pour relever le défi de la transition écologique, nous avons besoin de forces vives et d’échanger avec de nouveaux talents. C’est le sens de ce mécénat. Nous sommes une industrie de proximité, très présente dans le Sud avec notamment une cimenterie à Beaucaire, dans le Gard, et cela fait sens de se rapprocher d’une école prestigieuse au cœur de ce territoire ».
Il y a 3 ans et 51 jours

Bouyer Leroux tente de juguler la hausse des prix de la brique

Face à la flambée des prix de l’énergie et malgré des usines décarbonées à hauteur de 45 %, le groupe coopératif Bouyer Leroux, numéro un français des briques en terre cuite, se voit contraint d’augmenter ses prix au négoce.
Il y a 3 ans et 51 jours

La filière des gaz liquides interpelle les pouvoirs publics français et européens

La filière des gaz liquides est convaincue qu’elle peut aussi contribuer à accélérer les objectifs d’indépendance énergétique et de diversification des sources d’énergie. Présents partout en France, notamment dans les territoires non desservis par le gaz naturel, elle propose à l’exécutif de compter sur ses capacités logistiques et de stockage sous utilisées. France Gaz Liquides considère que l’urgence climatique nécessite simultanément une accélération de la décarbonation des usages énergétiques à laquelle elle peut contribuer par la substitution des gaz liquides d’origine fossile par des biogaz liquides.Les gaz liquides consommés en France ne proviennent pas de RussieAdaptée à l’impératif d’une transition écologique et énergétique efficace et réaliste, l’énergie gaz butane propane alimente au quotidien 27 000 communes non raccordées au réseau de gaz naturel (méthane). Elle permet à 11 millions de consommateurs - soit autant que pour le gaz naturel - de cuisiner, se chauffer ou produire sans aucune dépendance aux importations de gaz russe. Cela inclut également 200.000 automobilistes qui roulent au GPL, carburant alternatif moins sensible aux hausses des prix des carburants conventionnels (0,90 €/l en moyenne le 9 mars). Les gaz liquides constituent donc une énergie utile à l’ensemble des Français, en ville, en zones rurales, montagneuses ou dans les îles, qu’ils soient particuliers ou professionnels.Le marché français des gaz liquides représente 1700 kt (22 TWh) par an de gaz propane, butane et carburant GPL. Dans un marché dont les ventes ont été divisées par deux en 20 ans - notamment grâce aux travaux d’efficacité énergétique réalisés par les clients - l’industrie a conservé la majorité de ses infrastructures et ses capacités de stockage et de distribution, dans la perspective de l’intégration des gaz renouvelables (biopropane).La transition vers ces gaz liquides renouvelables permettra de réduire la dépendance aux importations grâce à une production de biopropane française démarrée en 2019. La réduction des émissions atteindra alors 80% et ce sans changement d’infrastructure, ni pour les distributeurs, ni pour les consommateurs.La sortie de crise peut être facilitée par le rôle accru des gaz liquidesLe plan de résilience élaboré par le Gouvernement, tout comme le plan européen Re-Power doivent prendre en compte cette capacité offerte par les gaz butane propane et GPL en évitant de précipiter les consommateurs vers une seule technologie basée sur l’électricité. A cet égard, France Gaz Liquides soutient la position de Liquid Gas Europe, préoccupée par la recommandation simpliste de l’agence internationale de l’énergie d’accélérer le remplacement des chaudières à gaz par des pompes à chaleur. A contrario d’une neutralité technologique souhaitable et d’un objectif de diversification du mix énergétique, elle omet en outre le fait que ces appareils de chauffage peuvent également être alimentés avec des gaz d’origine renouvelable, sans modification de l’installation de chauffage ni des infrastructures de distribution. Il s’agit ainsi non seulement de ne pas forcer les consommateurs des zones hors réseau de gaz naturel à se priver d’une source d’énergie souveraine et abordable, mais aussi de conserver la possibilité d’une transition vers un combustible plus propre et respectueux de la qualité de l’air que le fioul, le charbon ou même le bois. C’est aussi la perspective d’une transition vers les gaz liquides renouvelables à ne pas entraver. Une recommandation si spécifique peut avoir un impact négatif, tant au niveau de la situation économique des ménages, notamment les plus fragiles, que sur les investissements dans les moyens de production de gaz renouvelables.Face à l’envolée des prix de l’énergie, les pouvoirs publics élaborent des dispositifs de soutien. Notre proposition est de proportionner l’aide aux ménages défavorisés en fonction des zones climatiques et du critère de ruralité de leur domicile.En effet, il ne faudra pas laisser pour compte les ménages résidant dans les zones rurales, plus impactés par le coût de l’énergie, et ce même hors contexte de tension sur les marchés de l’énergie. L’Insee a ainsi mis en exergue la forte augmentation de la vulnérabilité énergétique des ménages à mesure de l’éloignement des centres urbains (cf. Insee, Loin des pôles urbains, chauffage et carburant pèsent fortement dans le budget, 2015). Ils subissent un surcoût tant en matière de chauffage (+20%) que de mobilité (+40%).La filière alerte donc sur la nécessité de prendre en compte ces consommateurs des zones les plus éloignées des réseaux de gaz ou de chaleur dans les aides qui vont découler du plan de résilience. Il s’agit également d’inclure les gaz liquides renouvelables dans le plan de relance « France 2030 » qui permettrait d’accroître leur mise sur le marché. Accélérer la transformation de la filière nécessite d’être appuyé par les pouvoirs publics : pour la reconversion des raffineries, pour augmenter les financements pour la R&D et donner des perspectives plus favorables aux gaz liquides d’origine renouvelable.L’énergie gaz propane – biopropane, butane et GPL, qui ne souffre pas d’intermittence et couvre tout le territoire, qu’il soit continental ou insulaire, souveraine et moins carbonée que le fioul ou le charbon, peut continuer à œuvrer au service du mix énergétique français de demain, et dans le cadre de la Stratégie Française Energie Climat (SFEC) à laquelle elle entend contribuer.Les capacités de distribution de propane, butane et carburant alternatif GPL peuvent être doublées partout sur le territoireLa filière tient à rassurer les 11 millions de consommateurs comme les pouvoirs publics français, tant il est peu probable que la crise actuelle affecte l’approvisionnement sûr et sécurisé en propane butane et GPL des consommateurs, grâce à une multitude de producteurs opérant dans le monde entier, à des chaînes d’approvisionnement mondiales solides et à une distribution fiable aux consommateurs finaux. Le secteur des gaz liquides investit également à l’échelle européenne dans la capacité de production locale de bioGPL, ce qui renforcera aussi la sécurité énergétique de l’UE.Ainsi, devant la nécessité urgente de réduire la dépendance énergétique à la Russie, et alignés avec la poursuite de la décarbonation de l’économie, les gaz butane propane et GPL offrent d’ores et déjà en France la capacité de multiplier par deux leur contribution à la fourniture d’énergie aux Français, tout en permettant immédiatement un gain effectif d’émissions de GES de près de 20%* dans le cadre d’une substitution au fioul.Pour Natacha Cambriels, Présidente de France Gaz Liquides : « La place de l’énergie butane-propane, qui deviendra 100% renouvelable au plus tard en 2050, est à valoriser au sein d’un mix énergétique diversifié, souverain et plus rapidement tourné vers les énergies renouvelables. Déjà acteur de la transition pour le chauffage, la mobilité, les industries et les PME, il est devenu impératif de lui permettre d’évoluer et de continuer à répondre à la sécurité énergétique de plus de onze millions de Français. »
Il y a 3 ans et 51 jours

Jean-Baptiste Fayet, Terreal : "Des hausses de prix pour privilégier l'activité"

Le DG France de Terreal Jean-Baptiste Fayet revient sur les décisions récentes du groupe spécialiste de la terre cuite en termes de prix et de lignes de production.
Il y a 3 ans et 51 jours

Rockwool innove en proposant aux particuliers un accompagnement de A à Z pour la rénovation énergétique de leur logement

Pleinement engagé dans cette rénovation vitale pour des logements plus verts, ROCKWOOL, le leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, innove pour améliorer constamment la formation de son réseau d’artisans aux bonnes pratiques, mais aussi pour faciliter l’accès des particuliers aux travaux de rénovation dans leur logement. Devant la complexité des dispositifs d’aides, ROCKWOOL qui offre déjà des solutions qui aident à mieux comprendre la réglementation et les opportunités de financement, propose désormais aux particuliers un service de mise en relation avec son réseau d’artisans, Rénov’By ROCKWOOL.Des solutions d’isolation au service d’un meilleur confort thermique dans les logements et de la réduction des gaz à effet de serre En France, le secteur du bâtiment est le secteur le plus énergivore avec 44 % de l’énergie totale consommée et une production de 24 % des émissions nationales de CO2. En réduire la consommation est aujourd’hui une des actions prioritaires du Gouvernement, mais aussi des particuliers qui voient leurs factures énergétiques grimper au fils des années (+12,6% pour le gaz au 1er octobre 2021 et +4 % au 1er février 2022 pour l'électricité).Pour se faire, l’isolation thermique se présente comme l’investissement le plus rentable, à condition de choisir des matériaux de qualité. Issue d’une ressource naturelle et inépuisable, résistante et recyclable à l’infini, la laine de roche ROCKWOOL est l’une des solutions les plus efficaces et durables en matière d’isolation thermo-acoustique. Elle possède également d’excellentes propriétés en protection incendie et conserve ses performances pendant plus de 55 ans. Grâce à leur recyclabilité, les produits ROCKWOOL sont respectueux de l’environnement.Un accompagnement de A à Z pour rendre encore plus accessibles les travaux de rénovation énergétique et réduire la facture d’énergie Si de nombreuses mesures ont été mises en place par les pouvoirs publics pour tenter d’alléger la facture des particuliers tout en améliorant leur confort au quotidien, valorisant ainsi leur logement, le prix de l’énergie va continuer à augmenter alors que le fléchage des aides, tout comme la recherche de l’artisan qualifié et certifié restent pour nombre de particuliers extrêmement complexes.Pour faciliter la navigation dans le maquis des démarches, ROCKWOOL a ainsi développé des outils tels que le système de visualisation 3D qui aide les particuliers à mieux comprendre la rénovation par l’isolation de façon très visuelle, pièce par pièce et à définir les isolants les plus adaptés au projet. Également à disposition, un outil de calcul pour combles et toitures inclinées pour trouver la solution ROCKWOOL la plus adaptée à ses combles ou toiture inclinée.Afin d’accompagner encore davantage les particuliers sur les dispositifs d’aides et sur le choix des produits, ROCKWOOL innove également en déployant une plateforme interactive de conseils baptisée Rénov’By ROCKWOOL. Cette page comprend notamment un guide la rénovation énergétique à télécharger qui répertorie les aides de l’état actuelles, comme MaPrimeRénov’, associées à des simulations en fonction de chaque projet (situation géographique, typologie de maison et performance énergétique), les solutions adaptées à chaque projet et éligibles aux aides, les avantages de la rénovation, ainsi que les qualités de la laine de roche : résistance au feu et excellentes performances confort thermo-acoustiques permettant de réduire la facture d’énergie tout en limitant la pollution sonore à l’intérieur comme à l’extérieur. Également disponible sur la plateforme, un formulaire à remplir pour être mis directement en relation avec une équipe conseil dédiée et avec les artisans du réseau RGE recommandés par ROCKWOOL.Enfin, pour rassurer les particuliers et les inviter à aller vers des professionnels de confiance, ROCKWOOL déploie pour son réseau un partenariat avec Maxeem un nouveau service digital qui accompagne les artisans dans la gestion de leurs dossiers CEE. Une garantie supplémentaire qui permet de sécuriser le parcours des aides afin d’inciter davantage de Français à franchir le pas de la rénovation énergétique de leur logement. Ce service sera disponible à partir du 30 mars.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le bus rétrofité, la révolution verte des transports collectifs

Ces métropoles disposent de la compétence transport urbain et doivent dès à présent se préoccuper de la transformation de leur flotte.Un engagement fort mais qui peut s'avérer surtout très coûteux pour le contribuable, d'autant plus si ces véhicules étaient remplacés par des véhicules électriques neufs.C'est pour apporter une solution complémentaire, bien plus économique et vertueuse avec 87% de réduction des GES que l'entreprise à mission REV Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion ont conclu un accord pour transformer la motorisation des bus urbains et inter-urbains du thermique vers l'électrique. Le rétrofit électrique : la solution pour maintenir nos cars et bus en circulation dans nos agglomérations en les rendant non polluants et silencieuxAu sein de chaque agglomération, les mobilités sont devenues en quelques années des enjeux essentiels pour les décideurs publics en raison des pressions exercées par les habitants de plus en plus soucieux de solutions fiables, pratiques, économiques et vertueuses. Elles le sont également devenues en raison de l'urgence des réponses aux exigences des futures ZFE - zones à faibles émissions et aux nouvelles mesures en faveur de l'environnement en proposant aux Français une offre conjuguant disponibilité, accessibilité, confort et sécurité. Le bus est le moyen de transport collectif par excellence qui chaque jour transporte des centaines de milliers de personnes sur le territoire dont plus des 2/3 en dehors de l'Ile de France. Ces bus désengorgent la circulation dans les centres urbains et sont aussi une source non négligeable de mobilité active. La plupart des agglomérations et leurs délégataires disposent d'un parc d'un âge moyen à peine supérieur à 8 ans, bien inférieur au parc automobile qui est de 11 ans, mais avec des motorisations essentiellement thermiques (diesel et gaz). Pour accompagner les acteurs dans la transformation de leur offre de mobilité, Rev-Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion peuvent désormais convertir les flottes de cars et bus en électrique ce qui évite une mise au rebus ou des prix et délais d’acquisition forcément beaucoup plus importants. Une solution technique d'économie circulaire qui va permettre de conserver une grande partie du parc roulant, de le rendre totalement propre et silencieux, d'améliorer la qualité de l'air et surtout de faire des économies sur toute la ligne.Convertir les cars et bus en mode électrique, mais aussi les camions qui livrent dans les agglomérations En décembre 2021, REV Mobilities et pepper motion GmbH pionniers du rétrofit ont signé un accord de partenariat pour convertir des bus avec le même niveau de qualité que les constructeurs d’origine. Avec cette première coopération franco-allemande dans le domaine de la conversion électrique, les deux acteurs s’engagent sur l’un des plus solides marchés de bus et poids lourds d’Europe. Leur offre rétrofit répond aux enjeux environnementaux et économiques et ouvre un nouveau secteur économique à fort potentiel, s’appuyant sur l'utilisation d’une main d’œuvre locale qualifiée pour la transformation (plus de 600 heures par unité).Pour Arnaud Pigounides, fondateur et PDG de REV Mobilities : ''Pionnier et fondateur du secteur de la conversion électrique en France, REV Mobilities est spécialisé dans l’upcycling des mobilités. Face aux défis que représentent les zones de décarbonation/faibles émissions, la réduction des gaz à effet de serre des flottes publiques et privées, la réindustrialisation de la France et les économies budgétaires générales pour les particuliers et les entreprises, la conversion électrique est l’une des meilleures solutions possibles. Nous sommes ravis d’engager un partenariat avec le leader du marché pepper motion GmbH afin de fournir des solutions durables pour l’électrification des véhicules en France.''Pour Andreas Hager, PDG de pepper motion GmbH : ''Dans le cadre de notre stratégie de mondialisation, le marché français représente un potentiel similaire à celui de l’Allemagne pour pepper et constitue donc une priorité. La société pepper est déjà présente dans d’autres pays européens, comme la Pologne, l’Italie, l’Autriche et la Bulgarie. En tant que leader technologique, nous sommes convaincus que nos solutions novatrices, en étroite coopération avec notre nouveau partenaire REV Mobilities, nous permettront d’offrir aux décideurs politiques français, ainsi qu’à toutes les entreprises de transport et aux exploitants de flottes un moyen rapide et économique de respecter l’objectif zéro émission de la transformation de la mobilité."La société pepper motion GmbH, lauréate de plusieurs récompenses internationales pour ses technologies novatrices, propose des solutions d’électrification pour les véhicules commerciaux d’occasion par le biais de systèmes retrofit qui contribuent à leur donner une seconde vie à la pointe de la technologie.
Il y a 3 ans et 51 jours

Dunkerque: un démonstrateur de captage du CO2 prêt à démarrer sur le site d’ArcelorMittal

La plus grosse usine de production d’acier en Europe accueille un pilote de taille industrielle de captage du CO2. La présentation lundi 21 mars 2022 de ce dispositif inédit de 22 mètres de haut visant à baisser de 30 % les coûts de ce captage a été l’occasion pour le géant de l’acier de décrire son ambitieux programme de décarbonation de ses activités, hautement émettrices de gaz à effet de serre. Aperçu des prémices d’une révolution.
Il y a 3 ans et 51 jours

Cécile Taffin élue Présidente de l'UNGE

Une femme pour la première fois à la tête du syndicat représentatif des géomètres-expertsAprès deux années d’un contexte sanitaire compliqué, les adhérents de toute la France se sont réunis à Paris pour l’élection des membres du Comité Directeur, organe exécutif du syndicat. Cette instance, composée des présidents des chambres régionales de l’UNGE et de membres élus, élit ensuite les candidats aux postes du Bureau National. C’est donc Cécile TAFFIN, jusqu’alors Vice-présidente sous la présidence de Régis LAMBERT, qui a été élue Présidente pour les deux prochaines années. A ses côtés a été réélue Amandine BOUCHON dans ses fonctions de trésorière nationale. Wilfried MADULI et Emmanuel SIMON-BARBOUX, déjà membres du Bureau National, occupent désormais respectivement les postes de Secrétaire National et de Vice-Président.Quelques mots sur Cécile TAFFIN, 42 ans :2002 : diplômée de l’Ecole Supérieure de Géomètres et Topographes Dirige depuis 2009 le cabinet 2CT Géomètre-Expert, implanté dans le Pas-de-Calais.Parcours syndical :2014 : Présidente de l’UNGE Nord-Picardie et pilote du Groupe de travail Communication2016 : Secrétaire de l’UNGE national2018 : Vice-Présidente de l’UNGE nationalLe Comité Directeur renforce sa féminisationLe renouvellement des membres élus au Comité Directeur a également permis l’arrivée de deux nouvelles recrues, Pascale BONNIER et Delphine CASSASOLLES, toutes deux déjà investies dans les instances régionales de l’UNGE. Ces six membres auront donc maintenant à cœur de porter les ambitions du nouveau projet stratégique, Trajectoire 2026.
Il y a 3 ans et 51 jours

Les sites de production Bouyer Leroux déjà décarbonés à 45% confirment leur transition énergétique

Une nouvelle politique volontariste de transition énergétique a été engagée en 2018 avec comme ambition de décarboner 90% de l’activité production de briques à horizon 2025 - 2027 pour un budget global de 62 millions €.Cette politique d’anticipation commence à porter ses fruits puisque 5 sites de production de briques de mur -La Séguinière (49), Mably (42), Colomiers (31), Gironde sur Dropt (33), Saint-Martin des Fontaines (85)- affichent un taux moyen de décarbonation de 45% à fin février 2022. Par ailleurs, ils font l’objet de plans d’actions spécifiques qui permettront à très court terme de réduire les consommations énergétiques et l’impact carbone des 9 lignes de production de briques de mur.Sur le site de La Séguinière (49), plus grand site de production de briques en France, déjà décarboné à plus de 50% avec du biogaz et de la biomasse, un nouveau projet de foyer biomasse source d’énergie pour le séchage des produits entre dans sa phase de réalisation. La commande principale du foyer à VINCKE est en cours et les travaux préparatoires ont déjà commencé. Cet investissement supérieur à 10 millions € permettra de décarboner plus de 80% de sa consommation d’énergie à horizon 2024.Le site de Mably (42), historiquement alimenté par du biogaz et doté d’une cogénération, poursuit sa transition vers un objectif de décarbonation totale de son process. Un projet d’usine à sciure, également lauréat du programme France Relance, a été lancé en 2021 pour un investissement de 4,7 millions €. La première étape va démarrer en avril 2022 avec la mise en service d’une installation de porosage. Ceci se traduira par un ajout de biomasse dans le mélange d’argile permettant d’augmenter la part d’énergie renouvelable de 20 à 40%.Le site de Gironde sur Dropt (33), déjà décarboné à 70% fait l’objet d’un projet d’investissement de 7 millions €, lauréat du programme France Relance ; ce projet permettra de moderniser l’outil industriel et de réduire la consommation d’énergie thermique de 25%. Ainsi à horizon 2027, l’activité de ce site sera décarbonée à hauteur de 90%.Pour le site de Saint-Martin-des- Fontaines (85) : en collaboration avec la société NAODEN et avec l’aide de l’ADEME, Bouyer Leroux a initié la phase de mise en service du pilote industriel des gazéifieurs dédiés à l’industrie céramique. Cette phase de Recherche & Développement doit permettre à Bouyer Leroux de valider cette solution d’utilisation de la biomasse à grande échelle. Cette unité pilote de gazéification représente un budget d’investissement de 2,3 millions €.Fort de la transition énergétique qu’elle a déjà réalisée et mobilisée sur les actions et projets planifiés, la société Bouyer Leroux met en œuvre la stratégie volontariste qu’elle a décidé de déployer. Elle se montre confiante quant à la pertinence de la solution bio’bric pour répondre aux exigences de la RE 2020 et être à long terme un producteur de solutions constructives pour les maisons individuelles et les logements collectifs éco-performants.
Il y a 3 ans et 52 jours

Crues des Alpes-Maritimes : la concertation a rassemblé 10% des habitants

"Ca montre qu'il y a une envie de la part des gens de rebondir après la crise qu'ils ont vécue", a insisté M. Fesneau samedi dans un entretien à l'AFP. Au total, 1.421 des quelque 15.000 habitants des vallées de la Roya, de la Vésubie et de la Tinée, où les crues d'octobre 2020 ont fait 10 morts et huit disparus, ont participé à cette concertation. Un chiffre "très au-dessus de la moyenne pour des exercices similaires", selon la synthèse consultée par l'AFP.A partir de ces propositions, déjà partagées avec les maires, des discussions vont maintenant s'engager avec les collectivités territoriales, appelées à les financer. "Car l'idée est bien que ce soit l'Etat et les collectivités locales qui décident des projets à financer", a expliqué M. Fesneau.Sur les 572 millions d'euros consacrés à la reconstruction, l'Etat a réservé 50 millions d'euros à ces projets participatifs, financement qui pourra plus que doubler grâce aux collectivités et à l'Union européenne.Les projets retenus seront présentés à l'automne. "L'important c'est d'assumer nos choix et de les assumer publiquement", a plaidé M. Fesneau, selon qui le coût ne sera pas le seul critère : "La panoplie des projets choisis doit correspondre à l'envie du territoire, au-delà de la reconstruction stricte".Quatre axes principaux se sont dégagés, avec le souci de "vallées vivantes", notamment en redonnant vie aux centres historiques des villages par la réhabilitation des logements et l'accueil de nouveaux habitants.Deuxième axe, le besoin de "connexions adaptées" entre vallées. Ainsi faut-il "désenclaver le territoire, numériquement et physiquement", avec le développement d'un réseau haut débit ou la modernisation des lignes ferroviaires.Pour désenclaver Casterino, toujours isolé depuis les crues, à 1.550 m d'altitude dans la Roya, c'est un téléphérique qui a été suggéré, pour rejoindre les hôtels et le site de ski de fond du hameau.Dans le cadre d'un "autre équilibre avec la nature", les habitants appellent à une transition énergétique, notamment en développant les énergies renouvelables et en soutenant de nouveau la filière bois.Enfin, pour encourager une "nouvelle attractivité", une diversification de l'offre d'hébergement touristique semble nécessaire, toute comme la création de zones d'activités commerciales, d'une zone franche, ou la mise en valeur du patrimoine culturel.
Il y a 3 ans et 52 jours

Kingfisher : Castorama et Brico Dépôt confirment leur bonne santé en 2021

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, annonce des résultats en hausse, dans un contexte conjoncturel et géopolitique compliqué. Après quelques années difficiles, ses marques françaises, Castorama et Brico Dépôt affichent de nouveau des chiffres d'affaires en hausse.
Il y a 3 ans et 52 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ».
Il y a 3 ans et 52 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ». Cet article Certifications RSE chez EQIOM est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 52 jours

La filière de l'énergie solaire réclame "un plan d'urgence solaire"

"Nous sommes entrés dans un état d'urgence énergétique qui concerne l'ensemble des énergies décarbonées, dont le solaire en particulier, compte tenu de sa capacité à croître rapidement", souligne le syndicat Enerplan.Pour l'association du solaire (électrique et thermique), "il est désormais nécessaire de prendre des mesures radicales et immédiates, y compris dérogatoires, pour participer à cet effort national et européen de transformation et de restructuration du système énergétique".Mais la France est déjà en retard par rapport à ses objectifs fixés depuis 2020. Une situation dont les raisons "se résument à un cadre beaucoup trop rigide et à un manque de mobilisation des différents acteurs", déplore Enerplan.La filière réclame désormais "une franche accélération", avec un objectif de mise en service en 2025 de 10 gigawatts (GW) de centrales solaires, soit près de 4 fois plus qu'en 2021.Si 25 GW pouvaient être raccordés de 2022 à 2025, cela représenterait près de 30 TWh de production électrique supplémentaire, soit l'équivalent de 30% des importations de gaz russe (100 TWh), fait valoir le secteur. Soit aussi plus que la production annuelle de deux réacteurs EPR.Au total, le solaire générerait alors 10% de la production électrique française fin 2025, au lieu de 2028 comme le pays l'avait jusqu'ici prévu.Parallèlement, la chaleur solaire pourrait atteindre rapidement 1,5GW annuels à partir de 2025.Il faut pour ce faire établir "un plan, le plus vite possible, en concertation avec l'État", plaide Enerplan, qui relève que des pays européens (Allemagne, Italie, Espagne) ont déjà atteint ce niveau de 10 GW sur un an."Dans la conjoncture actuelle, le retard de la France dans son développement de l'énergie solaire coûte cher", souligne le président d'Enerplan, Daniel Bour.Le parc solaire français avait fin 2021 une capacité de 13 GW, loin de la trajectoire qu'imposent les derniers objectifs fixés en 2020 (20 GW à fin 2023 et 35-44 GW en 2028).
Il y a 3 ans et 52 jours

A Petra, savoir-faire Nabatéen, enjeu mondial de l’humanité ?

Trente ans plus tard, en mars 2022, j’ai redécouvert Petra, en Jordanie. Ce nouveau voyage avait pour but d’étudier la préservation d’un site classé patrimoine mondial par l’UNESCO : comment protéger une grande destination touristique et pour l’industrie hôtelière s’orienter vers un tourisme plus durable ? Carnet de dessins de Jean-Pierre Heim. Le Covid 19 a été […] L’article A Petra, savoir-faire Nabatéen, enjeu mondial de l’humanité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 52 jours

Wienerberger se résout à augmenter le prix de ses briques et tuiles françaises

Face à l’explosion du prix des énergies de son process, l’industriel relève ses tarifs au négoce.