Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

(35102 résultats)
Il y a 3 ans et 53 jours

A Corbeil, réhabilitation et extension des Grands Moulins par VLAU

Les Grands Moulins de Corbeil (Essonnes) reprennent forme avec un ambitieux projet de transformation dirigé par l’agence Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU) pour Cogedim et Histoire & Patrimoine. Date de livraison non indiquée. Communiqué. Fleuron du patrimoine industriel de la Ville de Corbeil-Essonnes, l’ancienne fabrique de farine dite des Grands Moulins (propriété du groupe Soufflet, […] L’article A Corbeil, réhabilitation et extension des Grands Moulins par VLAU est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 53 jours

Pritzker 2022: visite en images des réalisations de Diébédo Francis Kéré

Dans le cadre du cycle "1 architecte, 1 bâtiment", l'architecte Lina Ghotmeh donnera une conférence ce mercredi 23 mars 2022, au Pavillon de l'Arsenal à Paris et en direct sur les réseaux sociaux, à propos de l'immeuble "Stone garden", érigé sur le port de Beyrouth (Liban). Situé en pleine zone portuaire, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 55 jours

Assises de la Forêts et du Bois : objectifs ambitieux et augmentation des aides

Le 16 mars 2022, Julien Denormandie et Bérangère Abba, secrétaire d’État chargée de la Biodiversité, ont clôturé les Assises de la Forêts et du Bois. Ces Assises ont été lancées en octobre 2021 à l’initiative du Premier ministre. L’objectif a été de faire converger les différentes stratégies et les intérêts de l’ensemble des acteurs autour d’une vision multifonctionnelle de la forêt, richesse de la France. Les Assises ont permis de réunir près de 480 participants via les quatre groupes de travail associant élus, représentants de la filière, scientifiques et principales ONG engagées sur le sujet. Les territoires de métropole et d’Outre-Mer ont participé aux travaux par des contributions des Commissions régionales de la Forêt et du Bois et du Comité consultatif des forêts d’Outre-Mer de l’Office national des forêts (ONF). Pour les membres du gouvernement, l’objectif est aujourd’hui pleinement atteint avec des avancées concrètes pour la pérennité des forêts et le développement de la filière bois-forêt et bois-construction. Quatres piliers ont été définis : relever le défi de la connaissance pour dresser un état détaillé de la forêt, suivre et anticiper ses évolutions, et accompagner les propriétaires forestiers dans leurs choix face au changement climatique ; poursuivre et pérenniser les financements dédiés au renouvellement de forêts plus résilientes et riches de biodiversité ; investir massivement pour assurer l’innovation et la compétitivité de la filière industrielle bois (plus de 400 millions d’euros nouvellement mobilisés avec France 2030 pour développer une industrie du bois souveraine) et expérimenter des nouvelles formes de dialogue national et territorial pour la conduite des politiques forestières et pérenniser la dynamique des Assises. Soutenir les maillons industriels de la filière Face aux besoins croissants liés à la construction bas-carbone, il est indispensable de disposer d’un outil industriel plus structuré et capable de mieux valoriser la ressource disponible au plan national. Face à l’importation massive de produits transformés à partir du bois, parfois même de bois français, il existe un véritable enjeu à renforcer le circuit court, en augmentant la part de produits issus de nos massifs forestiers et transformés sur le territoire national. 400 millions d’euros sont déployés dès le mois de mars 2022. Lancé en juillet 2021, l’appel à projets « Industrialisation des produits et systèmes constructifs bois et biosourcés » est renforcé de 180 millions d’euros, il s’inscrit dans le cadre du PIA 4, pour la stratégie d’accélération « Ville Durable et Bâtiments innovants » dont un des objectifs est de soutenir la massification de la construction et de la rénovation bois et d’anticiper une montée en charge de la construction bois et biosourcée avec la mise en œuvre de la RE2020. Cet appel à projets soutient des entreprises innovantes et mobilisées dans la valorisation industrielle du bois-construction. Il a déjà présenté en novembre 2021 les 10 premiers lauréats pour un montant global de près de 16 millions d’euros dont le projet « BLC » de l’entreprise MANUBOIS, située aux Grandes Ventes (76) qui a d’ores et déjà bénéficié du dispositif pour la création d’une unité de production industrielle de poteaux et poutres en bois lamellé collé valorisant les grumes de hêtres locales et de basses qualités pour le marché en France pour 1,6 M€. Le projet « CLT INNOVANT » de l’entreprise Schilliger Bois, située à Volgelsheim (68) pour la production d’une ligne de Bois lamellé croisé (CLT) a bénéficié de 1,8 M€. Ces investissements permettront également d’aider les entreprises à développer les outils en termes de numérisation, d’organisation de la chaine d’approvisionnement, et de modernisation des équipements pour favoriser notamment le développement des relations contractuelles entre les acteurs de la filière (mesurage fiabilisé, données interopérables, informatique embarquée pour optimisation logistique…).
Il y a 3 ans et 56 jours

Xella, un industriel engagé qui investit : Economie circulaire, réduction de l’empreinte carbone, et démarche RSE

Plus grand producteur de béton cellulaire et de pierre silico-calcaire, le groupe Xella a à cœur d’améliorer sans cesse la durabilité de ses solutions constructives et de contribuer à réduire son empreinte carbone dans l’industrie de la construction. Préserver les ressources et limiter leur consommation, recycler les déchets, rechercher l’efficacité énergétique, valoriser l’économie circulaire, optimiser les process de fabrication et les outils de travail, garantir la sécurité de ses équipes… sont autant de piliers qui régissent la stratégie environnementale et sociétale de Xella. Si le secteur du bâtiment est le plus gros producteur de CO2, les solutions constructives Xella offrent un bon bilan carbone tant par leurs qualités intrinsèques (thermiques et mécaniques) que par leur process de fabrication. Elles sont une alternative certaine en matière de construction bas carbone, et répondent à la nouvelle réglementation environnementale RE2020. Présent depuis plus de 30 ans en France, Xella couvre l’ensemble des besoins du marché en matière de solutions constructives saines et durables mais aussi de protection incendie grâce aux qualités coupe-feu du béton cellulaire. A travers ses 5 marques – Ytong, Siporex, Silka, Multipor et Hebel – elle peut répondre aux multiples projets de maison individuelle, logement collectif, bâtiment tertiaire et industriel, en neuf comme en rénovation ou réhabilitation grâce à la légèreté des produits. Ses 3 sites de production, basés à Saint-Savin (38), Mios (33) et Saint-Saulve (59), lui permettent de réaliser un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros en 2021. Pour limiter son bilan carbone et développer une production plus respectueuse de l’environnement, Xella a lancé un plan de modernisation de 1,1 million d’euros dans son usine de Saint-Savin, le siège social de Xella France et l’usine historique de la marque Ytong. Investissement sur le site de Saint-Savin pour recycler les chutes de production Le site de production de Saint-Savin, situé dans la région de Lyon, fabrique et commercialise les blocs en béton cellulaire Ytong et Siporex. Ce matériau 100 % minéral est composé de ressources naturelles locales : eau, sable (60 %), chaux (15 %), ciment (15 %) et anhydrite (10 %), et sa production est peu énergivore car elle se limite à la mise en pression des autoclaves. Sébastien Ray – Directeur du site de Saint-Savin explique « Le béton cellulaire est un matériau porteur et isolant qui répond aux problématiques actuelles de la construction. Ecologique, il nécessite peu d’énergie pour sa fabrication car il n’y a pas besoin de four mais d’un autoclave alimenté par de la vapeur d’eau à 180 degrés. » Dans le cadre de son plan de modernisation 2020-2022, Xella a investi 1,1 million d’euros dans la chaîne de production de Saint-Savin. L’objectif est de limiter la consommation des ressources et leurs coûts, et recycler les déchets issus de la production en les réinjectant. En effet, les 170 000 m3 de béton cellulaire fabriqués annuellement génèrent des poudres issues du perçage et de l’usinage des blocs de chaînage (environ 30 000 m3) et des chutes de matériaux. Ces chutes de production étaient jusqu’alors expédiées vers d’autres sites. Les équipes de l’usine ont donc travaillé sur une recette qui permettrait de substituer 15 % de sable par de la poudre de béton cellulaire recyclé. Aujourd’hui, cette poudre entre dans la composition du béton cellulaire. Les chutes sont revalorisées grâce à un investissement de 1,1 million d’euros dans un nouveau système concasseur et crible. La mise en place de cette nouvelle recette et l’investissement dans les équipements permettent de réduire de 15 à 20 % la consommation de sable nécessaire à la production de béton cellulaire. Les chutes sont transformées pour moitié en poudre et en concassés. « Le recyclage de nos rebuts, 50 tonnes de poudres et 25 tonnes de concassés, est totalement internalisé. L’installation d’une ligne de traitement, de silos de stockage et un système de transport ont été nécessaires. L’amortissement de l’installation de ce cercle vertueux se traduit par l’économie générée par le remplacement du sable et la baisse du transport.», précise Sébastien Ray. L’intégralité de la poudre de béton cellulaire générée par l’activité est recyclée. Le recyclage de reliquats de béton cellulaire permet de réaliser des économies de transport : – Pour les rebuts : 1 camion par jour, au lieu de 2 camions auparavant, ce qui permet une réduction de 220 camions par an. – Pour le sable : Pratiquement 2 camions sur 10 par jour en termes de trajets de réapprovisionnement entre la carrière de sable et l’usine. « Notre activité est intimement liée à l’extraction de sable, il est donc opportun de trouver des solutions pour prélever le moins de sable possible tout en conservant la qualité de nos matériaux. De plus, la mise en place de ce recyclage permet de limiter le transport du sable et donc de réduire l’impact sur la qualité de l’air du territoire. » Moins de camion sur les routes, moins de ressources utilisées, la démarche est vertueuse. Le retour sur investissement est estimé à 2,5 ans. « Avec ce geste en faveur des ressources naturelles, Xella ambitionne une économie de 350 000 euros par an grâce à sa nouvelle installation. » Le béton cellulaire, une solution bas carbone qui répond à la RE2020 Les solutions constructives Xella sont durables, tant au niveau du process de fabrication, des matériaux utilisés que de leur mise en œuvre. Fabriquées à partir de matières premières naturelles et minérales, elles s’intègrent parfaitement dans le concept d’économie circulaire. Les blocs en béton cellulaire comprennent 20 % de matière et 80 % d’air ce qui les rend porteurs et leur confèrent d’excellentes qualités isolantes. Utilisés pour les murs et les cloisons, ils contribuent à l’efficacité énergétique des bâtiments et à construire de manière décarbonée. En ce sens, ils répondent aux problématiques actuelles et entrent dans la RE2020 qui vise la baisse de la consommation énergétique des constructions neuves et la réduction des émissions de carbone tout au long du processus de construction. Avec une production respectueuse de l’environnement, des ressources économisées, une réduction des émissions de CO2 de ses sites de production de 30 % d’ici 2030 (grâce à l’utilisation d’énergie renouvelable ou de solutions moins énergivores), un approvisionnement local de 80 % de matières premières utilisées, un plan transport camion réduit, des approvisionnements clients par voie ferrovière… Xella entend réduire significativement son empreinte environnementale. Bien-être et sécurité au travail, un engagement fort chez Xella Dans la stratégie Xella, l’environnement de travail est également très important. L’objectif d’ici à 2025 est : – De réduire les accidents de travail avec blessures. D’ailleurs le site de Saint-Sauvin est l’un des fleurons en matière de sécurité. Il peut se prévaloir de 1180 jours sans accident de travail. – D’augmenter les heures de formation annuelle de 10 % pour améliorer les perspectives d’évolution professionnelle et les connaissances des collaborateurs.
Il y a 3 ans et 56 jours

Le gouvernement augmente les aides pour remplacer les chaudières à gaz ou au fuel par des solutions de chauffage renouvelable

"Nous allons renforcer MaPrimeRénov' afin d'accélérer le remplacement de chaudières à énergie fossile par des solutions de chauffage renouvelable" comme "les pompes à chaleur y compris hybrides, ou les chaudières biomasse", a indiqué la ministre Barbara Pompili lors de la présentation du plan de résilience de l'économie face à la flambée des prix de l'énergie. "Le gouvernement a décidé d'augmenter de 1.000 euros à partir du 15 avril prochain et jusqu'à la fin de l'année 2022 les aides MaPrimeRénov' accordées pour l'installation d'un système de chauffage vertueux qui permet de sortir du gaz ou du fuel" et ainsi de réduire la dépendance du pays aux importations d'énergies fossiles, a-t-elle précisé."Pour ne plus inciter les ménages à rester dépendants du gaz, les forfaits pour l'installation de chaudières au gaz seront parallèlement arrêtés", a ajouté la ministre.Mme Pompili a annoncé parallèlement des incitations pour les collectivités afin de changer de système de chauffage.Pour les entreprises, le gouvernement compte lancer début avril un "appel à projet exceptionnel" pour "accélérer la décarbonation de notre industrie". "Nous souhaitons cibler les entreprises les plus exposées à la hausse des hydrocarbures pour qu'elles accélèrent les projets d'efficacité énergétique ou de substitution du gaz naturel par de la biomasse", a ajouté la ministre.
Il y a 3 ans et 56 jours

Emploi, retraites : le bilan contrasté d'Emmanuel Macron

Une batterie de réformes "structurelles"La réforme du Code du travail par ordonnances est le premier gros chantier du quinquennat en 2017. Répondant à la volonté du chef de l’État de "libérer le travail", elle se heurte d'emblée à des oppositions de gauche très remontées contre une "liquidation" du Code du travail.Parmi les points les plus controversés figurent le plafonnement des indemnités prud'homales, la fusion des instances représentatives du personnel ou le poids accru de l'accord d'entreprise par rapport à la branche. Dans les rangs syndicaux, les effets des ordonnances sur le dialogue social sont aujourd'hui vivement critiqués. La CFDT a notamment dénoncé début 2022 une réforme qui a engendré une "disparition massive des représentants de proximité".En 2018, est venu l'acte II de la "rénovation du modèle social" avec la réforme de la formation professionnelle. Celle-ci a revu en profondeur l'apprentissage, en assouplissant les conditions d'entrée et d'ouverture de CFA (centres de formation d'apprentis). Le nombre d'apprentis a depuis atteint des records avec plus de 700.000 contrats en 2021, une hausse portée par l'enseignement supérieur, avec comme revers un déséquilibre financier. La réforme a aussi revu le fonctionnement du CPF (Compte personnel de formation), désormais monétisé et utilisable librement par chaque salarié via une application. Cela a engendré un boom de formations, avec en corollaire un démarchage abusif en masse et des fraudes.Autre gros morceau avec la réforme de l'assurance chômage, l'une des plus contestées du quinquennat. Présentée en juillet 2019, elle connaît un parcours chaotique: son application est reportée à plusieurs reprises du fait du Covid et de la bataille judiciaire acharnée des syndicats. Le très décrié nouveau calcul de l'allocation chômage, qui pénalise l'indemnisation des demandeurs d'emploi alternant périodes de travail et d'inactivité est entré en vigueur le 1er octobre. Ses effets, progressifs, n'ont pas encore été mesurés.L'emploi : de bons chiffres malgré la criseAvec un taux de chômage ramené à 7,4% au 4e trimestre 2021, contre 9,5% audébut du quinquennat, le chef de l'Etat peut se targuer de s'approcher de sonobjectif d'atteindre 7% en 2022. La hausse provoquée par le Covid en 2020 -moins catastrophique que ce qui avait été un temps anticipé - a été effacée.Le taux de chômage est au plus bas depuis près de 15 ans.Soutenus par le plan "un jeune, une solution", les 15-24 ans ont vu leur taux de chômage descendre à 15,9%, son plus bas niveau depuis... 1981. Mais le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en incluant l'activité réduite (catégories A, B et C), reste élevé à 5,659 millions. Et les demandeurs d'emploi de longue durée (inscrits depuis un an ou plus) représentent 49,6% du total.Retraites : le minimum et la glaneSeule promesse tenue en la matière, le minimum vieillesse a bien été augmenté de 100 euros par mois: l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) est en effet passée de 803,20 euros en 2017 à 903,20 euros en 2020 et s'établit désormais à 916,78 euros.En revanche, le grand dessein présidentiel d'un "système universel" – censé remplacer la quarantaine de régimes existants - n'a pas survécu au Covid. Après des semaines de grèves et de manifestations, le projet de loi voté au forceps du 49-3 début mars 2020 a aussitôt été "suspendu" et jamais remis sur le métier.Et pour cause: Emmanuel Macron a renoncé à maintenir l'âge légal de départ à 62 ans et souhaite désormais le repousser à 65 ans, tout en supprimant au passage les régimes spéciaux de la RATP, d'EDF et des sénateurs. Pour contrebalancer, il promet une pension minimum de 1.100 euros pour une carrière complète.Soit peu ou prou ce qu'il a accordé aux agriculteurs (85% du Smic) et à leurs "conjoints collaborateurs", revalorisés à quelques mois des élections, en reprenant à son compte deux propositions de loi du député communiste André Chassaigne. Pour mieux cultiver son bilan.
Il y a 3 ans et 56 jours

Une nouvelle DG pour Etex France

Le groupe, connu en France pour ses marques Siniat et Promat, nomme à la tête de son activité française une spécialiste des produits de la construction.
Il y a 3 ans et 56 jours

Lafarge accélère sa transformation bas carbone

En tant que leader, l’entreprise s’engage et donne une nouvelle dynamique à la construction durable et à tout un secteur.Des investissements industriels massifsLa ligne de production la plus moderne de France à Martres-Tolosane (dép.31) et une plateforme d’innovation ouverte sur le traitement du CO2 en 2024Le nouveau four de la cimenterie de Martres-Tolosane est entré en production en février. Résultat d’un investissement de 120 millions d’euros du groupe Holcim, le plus important en France depuis 40 ans, le tout nouveau four permet d’augmenter la productivité de l’usine tout en réduisant son impact environnemental. La tonne de ciment affiche désormais un poids CO2 réduit de 20%.Par ailleurs, équipée des dernières technologies pour la valorisation des déchets en cimenterie (comme source d’énergie et comme matière première recyclée dans le clinker), l’usine divise par 3 son utilisation de combustibles fossiles. La part des combustibles de substitution, sourcés localement, passe ainsi de 30 à 80% et contribue au développement de l’économie circulaire dans le grand Sud-Ouest.Pour atteindre ces résultats, le plus gros chantier industriel en Occitanie, qui a duré près de 3 ans, a permis :Le remplacement des deux fours existants (construits en 1956 et 1966) par un four unique de 60 mètres de long et de 4 mètres de diamètre, permettant de diminuer la consommation d’énergie ;La construction d’une tour de préchauffage haute de 110 mètres, permettant de porter le mélange de calcaire et d’argile à 500°C avant son introduction dans le four, grâce à la récupération des gaz chauds du four ;La rénovation et la création de nouveaux ateliers de stockage et de traitement des déchets servant de combustible de substitution.Le site de Martres-Tolosane accueillera également en 2024 une plateforme R&D en open innovation pour tester des nouvelles technologies de capture de CO2 plus efficaces, plus économiques et plus respectueuses de l’environnement. Une quinzaine de partenaires européens sont regroupés autour de cette initiative qui est candidate à des financements communautaires et sera référencée dans le réseau européen de recherche sur la capture de CO2.Un nouvel investissement de 40 millions d’euros à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (dép. 53) et de 6 millions d’euros à La Malle (dép. 13) pour produire un nouveau composant décarbonéDès cette année, 40 millions d’euros seront investis dans la construction d’une nouvelle ligne de production à la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour (53) et dans l’adaptation du processus industriel de La Malle (13) pour produire des ciments bas et très bas carbone (ECOPlanet), à base d’argile calcinée.Lafarge a développé une technologie propriétaire, proximA Tech, permettant d’industrialiser la transformation de l’argile en addition fortement décarbonée. L’utilisation de l’argile présente un triple intérêt : elle nécessite une température plus basse pour sa cuisson (800°C au lieu de 1 400°C pour le clinker) et donc moins de combustible. Elle a aussi une faible décarbonation lors de ce chauffage contrairement au calcaire qui se décarbonate à 100%. Enfin, elle est largement disponible et locale.La future installation de la cimenterie de Saint-Pierre-La-Cour est conçue pour n’émettre quasiment aucun carbone grâce à l’utilisation exclusive de combustibles alternatifs et pour produire des ciments dont le taux d’émission de carbone sera réduit de 50%.Ces investissements participent à la réalisation de l’objectif 2023 : disposer d’une capacité de production d’1 million de tonnes de ces ciments bas carbone ECOPlanet.Une stratégie et des innovations pour construire bas carboneLafarge lance deux nouveaux ciments ternaires offrant de 30% à 50% de réduction carboneLa révision de la norme européenne ciment NF EN 197-5, publiée en octobre dernier, a rendu possible la formulation de nouveaux ciments avec une part de clinker réduite au profit d'une part d'additions plus importante, réduisant ainsi les émissions de CO2 à la tonne produite.Lafarge France va donc commercialiser cette année deux nouveaux ciments ternaires bas carbone, un CEM II/C produit à Sète (dép. 34) et le premier CEM VI disponible en France. Ce CEM VI ECOPlanet, fabriqué au Teil (dép. 07) sera disponible dès la sortie de la nouvelle norme béton attendue pour mai ou juin prochain. Ces nouveaux ciments offrent une réduction carbone de -30% à -50% et viennent enrichir les offres bas carbone ECOPlanet (ciment) et ECOPact (béton).Lafarge accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs, une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la constructionDans le cadre d’une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la construction, Lafarge France accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs. Pour le secteur de la préfabrication, il s’agit dans un premier temps d’augmenter l’utilisation du CEM II, puis des ciments ECOPlanet, en lieu et place du CEM I tout en garantissant le même niveau de performance et l’absence d’impact sur les process de fabrication.Lafarge a mobilisé les compétences de son laboratoire de L'isle D'Abeau afin de garantir la conformité des performances techniques requises (rhéologie, adjuvantation, résistances à jeune âge, à 28 jours, teinte...). L’accès aux produits a également été facilité pour les clients pour leur permettre de réaliser leurs propres essais, avec leur outil industriel, avec ou sans le soutien de notre support technique. Il s’agit de les conforter sur les performances réelles du ciment de remplacement et sa conformité à leurs cahiers des charges, le tout leur permettant ainsi un premier pas vers la réduction carbone de leurs volumes de produits courants.Une innovation de rupture Lafarge : le liant nouvelle génération bas carbone, bas clinker et sans laitierLafarge France a mis au point et testé avec succès un liant bas carbone nouvelle génération à taux de clinker réduit et qui permet de se passer du laitier.Un procédé sous brevet permet de réduire la quantité de clinker nécessaire dans le liant et de réduire l’empreinte carbone du béton jusqu'à 50% et cela sans recours au laitier, une réponse à sa raréfaction annoncée pour les prochaines années.Les bétons fabriqués avec ces liants peuvent couvrir les classes de résistance et d'exposition traditionnelles (C20 à C35/XC à XF…). Ils sont destinés à tous types d'ouvrages et toutes applications (planchers, fondations, voiles etc).Cette technologie n'impacte pas les délais de chantier et s'adapte aux températures. Elle permet une production locale et donc une mise sur le marché massive et rapide.Les normes correspondant à ce nouveau produit n’existent pas pour le moment, même si plusieurs tests chantier expérimentaux ont déjà été réalisés. Lafarge a donc engagé une procédure de certification ATEX sur le béton et une Évaluation Technique de Produits et Matériaux (ETPM).
Il y a 3 ans et 56 jours

Tunnel sous la Manche : contrat renouvelé pour Colas Rail

Colas Rail a remporté deux contrats pour la maintenance des 200 km de voies ferrées du Tunnel sous la Manche attribués par Eurotunnel. Le montant total des deux contrats s’élève à 10,4 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 56 jours

Nouvelle solution de fermeture destinée au logement collectif : Des coffres de volet roulant invisibles de l’intérieur du logement, performants thermiquement et facilitant les opérations de maintenance

Bouyer Leroux lance le CVR Collectif C35 bio’bric, un nouveau coffre gros œuvre en terre cuite destiné à recevoir les menuiseries BBI (Bloc Baie Inversé) équipées du bloc-baie Stylbloc de SPPF. En forme de « C », ce nouveau coffre dispose d’une sous-face prête à enduire, ce qui le rend invisible de l’extérieur du bâtiment. Le bloc-baie Stylbloc, […]
Il y a 3 ans et 56 jours

Les activités de Lafarge en Syrie examinées en justice le 24 mars

La cour d'appel de Paris examinera de nouveau la possible "complicité de crimes contre l'humanité" du groupe cimentier français Lafarge dans l'enquête sur ses activités en Syrie jusqu'en 2014.
Il y a 3 ans et 56 jours

Bourneuf refond complètement son site internet pour plus de cohérence avec les évolutions de la marque

Créé il y a 13 ans, le site Internet des Menuiseries Bourneuf vient d’être renouvelé et modernisé pour mettre en lumière toutes les évolutions qui ont donné lieu, ces 10 dernières années, à des innovations notables en matière de sécurité, de thermique et d’acoustique. Bourneuf, expert de la menuiserie bois de prestige, s’est doté d’un site moderne, enrichi d’informations sur les spécificités de leurs menuiseries et de réalisations exemplaires. Mis en ligne depuis le début du mois de décembre 2021, le site www.bourneuf.fr permet une navigation fluide et agréable, apportant une plus grande visibilité grâce à une ergonomie aérée et esthétique. Par ailleurs, le site a été paramétré de manière à être lisible aussi bien sur ordinateur que sur Smartphone ou tablette. La refonte du site s’est faite autour de rubriques thématiques axées sur la présentation de l’entreprise, son savoir-faire, ses réalisations et les spécificités techniques de ses menuiseries. Les références exceptionnelles des Menuiseries Bourneuf soulignent parfaitement leur singularité. La marque gage sur cette distinction et a fait le choix de valoriser ses chantiers à travers son nouveau site, avec de nombreuses photos. L’aspect visuel met également en évidence toute l’esthétique des menuiseries Bourneuf. La notion de proximité avec le client est également plus en phase avec les évolutions de la marque sur le territoire national. Ces dernières années, Bourneuf a ouvert des agences en région ; 4 au total. En effet, au-delà de son siège social placé au cœur de La Sarthe, Bourneuf s’est implantée à Paris en 2012, à Lyon en 2016 et depuis 2020, a ouvert ses agences de Nantes et de Bordeaux, afin de répondre rapidement et efficacement à la demande. Pour finir, une vidéo, disponible dans l’onglet « Qui sommes-nous », emmène le visiteur au cœur du savoir-faire de la menuiserie et détaille avec attention le geste du menuisier, l’industrialisation de pointe, le sur-mesure et le service de pose. Des compétences essentielles et garantes d’une menuiserie et d’un service haut de gamme. Architecte, professionnel du bâtiment, entreprise ou particulier pourront découvrir au travers de ce nouveau site, l’ensemble des prestations que propose les Menuiseries Bourneuf ; mais également comprendre que l’entreprise cultive l’exigence du travail bien fait. La refonte de ce nouveau site Internet transcrit parfaitement cette vision. Partager la publication « Bourneuf refond complètement son site internet pour plus de cohérence avec les évolutions de la marque »
Il y a 3 ans et 56 jours

Fusion 25 : DAIKIN EUROPE annonce la création de 4000 postes et un plan d’investissement de 840 millions d’Euros d’ici l’année fiscale 2025

La direction européenne du groupe Daikin, acteur majeur sur le marché mondial du génie climatique, du chauffage, de la ventilation et de la réfrigération a dévoilé son plan stratégique “Fusion25“.  Il s’agit d’un projet d’envergure dont l’objectif est de répondre aux besoins d’un monde en pleine mutation, et de confirmer la position de leader du […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Nette amélioration du trafic des aéroports parisiens, les prévisions ne sont pas affectées par la guerre

Les installations de Roissy et d'Orly ont vu transiter le mois dernier 4,5 millions de voyageurs, en hausse de 3,3 millions par rapport à février 2021, a précisé le Groupe ADP dans un communiqué.En retrouvant plus d'un passager sur six d'avant la crise sanitaire, les aéroports desservant l’Île-de-France enregistrent un bond de plus de 10 points sur un mois : janvier n'y avait vu transiter que 52,2% du trafic de 2019, mieux toutefois que la moyenne de 2021, 38,8%.Le niveau de fréquentation de février, dans une période traditionnellement creuse, rapproche le Groupe ADP de la fourchette de ses objectifs pour ses plateformes franciliennes lors de l'exercice 2022, c'est-à-dire entre 65% et 75% du nombre de passagers de 2019.Comme depuis le début de la crise en mars 2020, Roissy et Orly ont connu des situations contrastées: le premier a continué à pâtir de la fermeture de certaines destinations, ne retrouvant que 57,8% du trafic de février 2019, tandis qu'Orly a atteint 72,9% du niveau de passagers d'il y a trois ans.Pour l'ensemble du Groupe ADP, qui gère en direct ou via des filiales près de 30 aéroports dans le monde, de Santiago du Chili à Almaty en passant par Amman et New Delhi, le trafic passagers du mois dernier s'est établi à 62,5% de celui de février 2019. L'objectif 2022 est de 70% à 80% de l'avant-crise, après 45,6% réalisés en 2021.Mais l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février a conduit les pays européens à fermer leur espace aérien aux compagnies russes. Moscou a pris des mesures réciproques."En 2019, le trafic avec l'Ukraine et la Russie représentait 1,4% du trafic total" des aéroports desservant Paris, mais "17,1% du trafic total de (la filiale turque d'ADP) TAV Airports", a expliqué le groupe.Ce dernier, "à ce stade, n'anticipe pas que les conséquences du conflit soient de nature à remettre en question ses hypothèses de trafic", a-t-il ajouté.ADP, contrôlé par l'État français, prévoit un retour aux bénéfices en 2022 après avoir subi en 2021 une perte de 248 millions d'euros, divisée par quatre par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 57 jours

Menuiserie bois-aluminium : MéO débloque 20 millions d'euros

INVESTISSEMENT. Le fabricant de menuiseries bois-aluminium, MéO, débloque une enveloppe de 20 millions d'euros afin d'accroître son site de production de Cugand en Vendée.
Il y a 3 ans et 57 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE MILLET, UNE SUSPENSION LED À DOUBLE ÉMISSION LUMINEUSE QUI DÉLIVRE UN ÉCLAIRAGE SUR-MESURE TRÈS ÉCONOME EN ÉNERGIE

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente MILLET, un module sur-mesure d’éclairage LED à double émission lumineuse avec éclairage direct et indirect pour les bureaux, commerces, zones d’accueil, locaux d’enseignement etc. Associant une haute efficacité lumineuse, jusqu’à 167 lm/W, et un faible éblouissement (UGR
Il y a 3 ans et 57 jours

Hager Group lance l’activité de sa nouvelle usine de production de relais à Obernai

Hager Group compte doubler sa capacité industrielle de production de relais avec l’inauguration d’une nouvelle usine sur son site d’Obernai. Objectif : répondre à une demande toujours plus forte de la part des clients en augmentant la production de relais, composant essentiel des disjoncteurs et interrupteurs différentiels fabriqués par l’entreprise. Après trois années de travaux, le bâtiment de 2 600m² est achevé et son activité lancée. Les premières livraisons pour les usines du groupe sont prévues à partir du mois d’avril 2022. L’objectif est de répondre à la demande des clients avec une augmentation capacitaire progressive de 40% la première année pour arriver à un doublement de la capacité d’ici deux ans. A l’occasion de l’inauguration officielle en présence des élus et acteurs économiques du territoire le mardi 15 mars 2022, Daniel Hager, Président du directoire de Hager Group, témoigne : « Depuis plus de 60 ans, nous nous développons et nous investissons en Alsace. Cet investissement de 29 millions d’euros fait partie d’une stratégie de développement globale au service de notre avenir mais aussi de nos clients. » Conçu sur deux niveaux (rez-de-chaussée dédié à la production et un étage accueillant des fonctions supports), ce nouveau bâtiment se situe dans le prolongement de l’usine actuelle fabriquant des appareils modulaires de protection électrique (disjoncteurs et interrupteurs différentiels). Cette nouvelle usine comptera à terme près de 80 personnes dont les deux-tiers seront recrutés sur les deux prochaines années. Ce projet a pu bénéficier d’une subvention de 200 000€ de la région Grand-Est. Une usine connectée au service des clients Depuis 1995, Hager Group fabrique des relais sur son site d’Obernai. Afin de répondre à une évolution technologique et une demande commerciale augmentant entre 5% à 10% chaque année, le groupe a investi dans une nouvelle usine avec un processus industriel intégrant les dernières innovations technologiques. La fabrication de ce composant se fait dans un environnement à très haute propreté et à un très haut niveau de précision. Le relais, une technologie de pointe Le relais est un composant de quelques cm³ intégré au cœur des disjoncteurs et interrupteurs différentiels. Ce dispositif de sécurité, qui fonctionne à de très faibles courants, analyse en temps réel le courant de l’installation électrique. En cas de défaut différentiel détecté (fuite de courant), il coupe l’alimentation électrique, protégeant ainsi les biens et les personnes. Chiffres clés de la nouvelle usine de relais à Obernai : • 2 600m² de surface répartis sur deux niveaux • 29 millions d’euros d’investissement • 80 salariés à terme • 60 000 relais fabriqués par jour à terme • Plus de 60 références différentes produites • 250 000km de fil de cuivre / an
Il y a 3 ans et 57 jours

Le gouvernement présente son plan de résilience sans convaincre les professionnels du BTP

Les annonces du GouvernementAfin de faire face aux conséquences du conflit russo-ukrainiens, le Gouvernement a pris des dispositions immédiates pour soutenir les entreprises et secteurs directement impactés et des mesures pour renforcer la résilience énergétique de la France dans les prochains mois. Le but affiché est de sortir de la dépendance du gaz et du pétrole russes au plus tard d'ici 2027. Concernant les approvisionnements en gaz pour l'hiver prochain Sécuriser le remplissage des stocks de gaz dans les mois à venir. Renforcer les capacités d'importation du GNL par les 4 ports méthaniers français. Augmenter les capacités de production de biogaz. De nouvelles mesures de simplification sur les énergies renouvelables seront mises en place dans les prochaines semaines afin d’accélérer leur déploiement dans les territoires, par exemple la prise en charge accrue de 40 % à 60 % des frais de raccordement pour les installations de biogaz, effective depuis cette semaine.L'approvisionnement en produits pétroliers La dépendance européenne au pétrole russe étant moindre qu'avec le gaz, le pétrole étant plus facile à transporter et la France disposant de stocks stratégiques allant jusqu'à 90 jours, le pays dispose de plusieurs mois d'autonomie en cas de rupture d'approvisionnement. La réorganisation des flux observée actuellement à l’échelle européenne peut néanmoins induire localement des tensions logistiques, auxquelles le Gouvernement est vigilant, tout particulièrement dans l’ouest de la France.Réduire la demande en pétrole et gaz naturel, afin de limiter la dépendance française Le Gouvernement a déclaré mettre en place des outils adaptés à chaque consommateur qui désire accélérer sa transition énergétique et réduire sa facture à court terme. Des mesures à court terme ont déjà été annoncées : Dès cette année, accroître de 40% les crédits d'intervention du fonds chaleur. Ces 150 millions d’euros de moyens supplémentaires permettront par exemple de soutenir rapidement des projets de conversion de réseaux de chaleur à la biomasse, moyen efficace de réduire la demande en gaz naturel. Renforcer le dispositif MaPrimeRénov' afin d’accélérer le remplacement de chaudières à énergies fossiles par des solutions de chauffage renouvelables, comme les pompes à chaleur. Le Gouvernement a décidé d’augmenter de 1.000 €, à partir du 15 avril prochain et jusqu’à la fin de l’année 2022, les aides MaPrimeRénov’ accordées pour l’installation d’un système de chauffage vertueux qui permet de sortir du gaz ou du fioul, comme les pompes à chaleur (y compris hybrides) ou les chaudières biomasse. Et pour ne plus inciter les ménages à rester dépendants du gaz, les forfaits pour l’installation de nouvelles chaudières au gaz seront parallèlement arrêtés. En cumulant les aides MaPrimeRénov’ et les certificats d’économie d’énergie, il sera ainsi plus avantageux pour les ménages les plus modestes de choisir une pompe à chaleur ou une chaudière biomasse et de se passer du gaz. Début avril sera lancé un appel à projets de France 2030 pour accélérer la décarbonation de l'industrie. Le Gouvernement souhaite cibler les entreprises les plus exposées à la hausse du prix des hydrocarbures pour qu'elles accélèrent leurs projets d'efficacité énergétique ou de substitution du gaz naturel par de la biomasse. Un plan de sortie accéléré des hydrocarbures est lancé pour les bâtiments de l'État et de ses opérateurs. Cette action s’accompagnera de la mise en place d’un fonds qui financera des travaux à impact rapide sur la réduction de consommation de gaz et de fioul, en particulier des remplacements de chaudières fossiles par des solutions renouvelables. Par souci d’exemplarité, le Premier ministre signera également dans les jours à venir une circulaire appelant l’ensemble des services publics à réduire d’1°C la température de chauffage afin d’économiser l’énergie et de réduire la facture.Le mécontentement des organisations professionnellesLa CNATP, l'organisation professionnelle des artisans des Travaux Publics et du Paysage, a annoncé via un tweet que les mesures du Plan de Résilience "ne correspondent absolument pas à la situation d'urgence que connaît" le secteur de l'artisanat du BTP. La CNATP bloque depuis mardi 15 mars le dépôt pétrolier du port de Lorient afin d'obtenir un gel de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP).La FFB, la Fédération Française du Bâtiment, a annoncé dans un communiqué être globalement satisfaite des mesures annoncées telles que la révision des prix et le gel des pénalités de retard dans les marchés publics, ainsi que l’accélération du calcul des index BT, qui étaient des mesures attendues par le secteur ou encore la remise de 15 centimes sur les carburants pendant 4 mois et le report des charges fiscales et sociales.En revanche, la fédération regrette "que la prolongation des Prêts garantis par l’État (PGE) déjà signés n’ait pas été retenue, pas plus que la prise en charge de l’activité partielle provoquée par une pénurie de matériaux."Mais la principale critique faite au Plan de résilience annoncé est la suppression "quasi immédiate" du dispositif MaPrimeRénov' pour toutes les chaudières à gaz. Cette mesure est jugée incompréhensible par la FFB qui craint une fragilisation du secteur et demande à ce que cette partie du Plan soit retravaillée. Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « ce plan constitue une première étape et a vocation à évoluer, selon les propos du Premier ministre lui-même. Eu égard à la gravité de la situation pour la profession, la Fédération continuera donc à travailler quotidiennement avec le gouvernement pour relayer les difficultés immédiates des entreprises, renforcer l’action en faveur du bâtiment et alertera les pouvoirs publics en cas de manquement à la solidarité de filière. »
Il y a 3 ans et 57 jours

Harmonie entre un bâtiment contemporain et un bâtiment ancien

Situé au cœur de la ZAC de l’industrie dans le 9ème arrondissement de Lyon, le bâtiment « HIGH FIVE » est une création architecturale sans nulle autre pareille, qui associe la rénovation du bâtiment datant de 1882 et l’intégration d’une nouvelle construction à l’architecture moderne et discrète. Signé par l’agence d’architecture SOHO ATLAS IN FINE, cet ensemble immobilier de 3000m2 s’inscrit parfaitement dans les tendances architecturales et sociétales actuelles avec le besoin de créer des espaces de travail, de commerce et de vie au quotidien. Son emplacement privilégié ouvre les futurs occupants sur un parc situé au premier plan, sur les bords de Saône dans son prolongement et sur des immeubles de logements et de commerces à proximité. Selon Patrick Miton, président de l’agence SOHO, « Avant on concentrait les bureaux, c’est à dire les mêmes besoins, dans des zones de ségrégations spatiales, à l’image des gratte-ciel aux Etats-Unis, traduisant un véritable pragmatisme exacerbé. On était dans une conception architecturale mono pragmatique, alors qu’aujourd’hui la tendance s’oriente de plus en plus vers la mixité ». HIGH FIVE, une véritable passerelle entre le passé et le futur « Comment coller un bâtiment contemporain contre un bâtiment ancien en respectant celui-ci et en les faisant dialoguer entre eux », tel était le pari architectural auquel l’agence SOHO a dû répondre. Le projet consistait à faire coexister les valeurs patrimoniales avec celles d’une architecture moderne et affirmée pour donner vie à un seul et unique ensemble immobilier cohérent et parfaitement intégré dans son environnement. Pour y répondre, l’agence a créé un espace tampon entre le passé et le futur qui se matérialise par une rue intérieure distributive recouverte d’une verrière CW50 de la gamme Reynaers Aluminium, profitant ainsi des apports énergétiques et lumineux naturels. En fonction du moment de la journée et du rayonnement du soleil, l’espace intérieur de la rue est magnifié par les reflets dorés, plus ou moins marqués, des pierres de la construction traditionnelle. HIGH FIVE, moderniser sans trahir l’histoire Successivement utilisé comme brasserie, puis comme atelier de filature et enfin comme atelier d’artiste, l’exigence était totale quant à la conservation de l’esthétique du bâtiment existant. Sans être classé au patrimoine architectural, le projet a été réalisé en tenant compte des exigences des architectes des bâtiments de France. La partie ancienne a été entièrement rénovée dans les moindres détails tout en conservant l’architecture traditionnelle. L’agence SOHO a fait le choix des fenêtres en aluminium TS68 à ouvrants visibles permettant de s’adapter aux encadrements cintrés ou droits des ouvertures existantes. Pour faciliter et sécuriser les espaces de travail entre le bâtiment historique et la nouvelle construction attenante, les portes CD68 de Reynaers Aluminium font la jonction de part et d’autre de la rue intérieure. « Le nouveau bâtiment à l’architecture prismatique s’est voulue simple dans son volume. Cette nouvelle peau, vient exprimer une sorte d’amabilité avec le bâtiment ancien » explique Patrick Miton. Ce parti pris se voit renforcé par l’intégration de systèmes de type « shadow box » dans la façade mur rideau laissant apparaître une finition intérieure tôlée rappelant la couleur dorée des pierres du mur d’origine. « Cette technique permet de travailler les façades extérieures tout en offrant une esthétique vibratoire et aléatoire subtile entre les surfaces pleines et vitrées » conclût Patrick Miton. Une façade mur rideau « cadre » spécifique pour habiller la partie neuve La réussite de ce projet tient en partie au travail réalisé très amont entre les différents intervenants, maitre d’ouvrage, maitre d’œuvre, façadier et gammiste aluminium. « Un projet comme celui-ci demande une mobilisation rapide des équipes afin de respecter toutes les exigences techniques et esthétiques. Dès la phase de conception, on a pu apprécier le travail collaboratif dans la prise en compte de tous les détails et dans la réalisation des plans d’exécution ; éléments indispensables pour coller au plus près à l’image du projet architectural souhaitée » souligne Patrick Miton. Une attention particulière a été portée à la conception et à la mise en œuvre de la façade qui habille la partie neuve du bâtiment. La grille mur rideau aux trames soulignées et étroites a permis de répondre aux exigences esthétiques souhaitées et à un maximum de souplesse dans les aménagements intérieurs. « Dans un bâtiment prévu en blanc, comme « High Five », on ne connait pas à l’avance l’utilisation définitive des espaces ; cette contrainte a permis de concevoir un bâtiment au caractère affirmé, tout en offrant au futur occupant une vraie liberté dans la réalisation de bureaux fermés, de salles de réunions et/ou de larges espaces de travail ouverts » se félicite Patrick Miton. La façade grille, de type « cadre », a été réalisée sur la base du système à ouvrant caché TS68 HV. Pour répondre aux exigences économiques et esthétiques du projet, la création de profilés spécifiques s’est avérée indispensable. « Le principe technique a permis d’optimiser au maximum les étapes de la fabrication de menuiseries vitrées prêtes à poser et de réduire considérablement les temps de transport et d’intervention sur le chantier » poursuit Benjamin Marin, chargé d’affaires Reynaers Aluminium dans la région sud-est. D’un point vue esthétique, la solution a permis de répondre à l’exigence d’une façade sans rupture visuelle, au vitrage affleurant les parties fixes et ouvrants en aluminium. Le choix s’est porté sur des menuiseries thermolaquées au coloris gris anthracite rappelant la tonalité du vitrage utilisé. Quand un vitrage n’est pas éclairé de l’intérieur, il prend une couleur grise sombre, légèrement anthracite. Solutions techniques : Fenêtre à ouvrant visible Thermo System 68 Fenêtre à ouvrant caché Thermo System 68 HV Verrière Curtain Wall 50 Développement spécifique pour façade mur rideau cadre sur base Thermo System 68 HV Stores californiens (lames d’occultation verticales) Agence d’architecture : Agence SOHO ATLAS IN FINE (Lyon) Façadier entreprise de menuiseries : société GAUTHIER (43370 Cussac-sur-Loire)
Il y a 3 ans et 57 jours

Comparateurs d'énergie : comparez plus pour économiser plus

Pour être sûr de faire les bons choix, vous pouvez alors avoir recours à des plateformes comparatives des tarifs pratiqués par les fournisseurs d’énergie. Le comparateur d’énergie vous permet d’avoir accès aux meilleures offres du marché et d’avoir une vision globale sur les abonnements proposés. En d’autres termes, il vous permet de choisir le fournisseur et la formule qui vous conviennent.La vulgarisation : une des missions du comparateurUn comparateur vous propose notamment des guides pratiques, avec des informations concrètes sur les fournisseurs d’énergie, un suivi du prix et du cours du kilowatt, ainsi que sur les contrats et formules proposés par les fournisseurs.Ce guide comprend un simulateur qui vous permet de réaliser un devis en une minute ! Vous renseignez toutes les informations concernant votre situation et votre logement, afin que le devis soit le plus fiable et le plus pertinent possible : type d’énergie actuel, nombre de personnes résidant dans le logement, surface de celui-ci, type de résidence (la consommation d’un foyer peut varier de manière importante qu’il s’agisse d’un appartement ou d’une maison), situation géographique (maison mitoyenne ou isolée, à la ville ou à la campagne), puissance du compteur électrique.Plus encore, ces plateformes vous offrent les moyens de vous tenir informés, par le biais d’articles rédigés par des experts du marché de l’énergie. Grâce à ceux-ci, vous pouvez aussi vous faire une meilleure idée du marché de l’énergie, de ses tendances, et pourquoi pas anticiper certains changements.Le changement, c’est maintenant !Vous souhaitez optimiser votre consommation énergétique ? Vous avez toutes les bonnes raisons du monde de le faire : dépenser moins ne fait jamais de mal au porte-monnaie et la planète vous en sera reconnaissante. Vous êtes de bonne volonté, mais vous ne vous sentez pas prêts à vous lancer dans la paperasse et dans les coups de téléphone pour changer de formule ? Pas de panique, un comparateur en énergie va plus loin que la simple comparaison. Et changer n’a jamais été aussi simple.La première étape de votre changement consiste à comparer et dénicher la formule la plus avantageuse pour vous. Comme susmentionné, cela prend une minute chrono. Il vous faut ensuite simplement sélectionner l’offre en question. Votre souscription se fait alors auprès de votre nouveau fournisseur, qui contactera lui-même votre ancien fournisseur afin de résilier votre contrat. Cette bascule est totalement gratuite, ne nécessite aucune intervention physique ni de coupure. Votre nouvelle souscription sera, de plus, sans engagement, ce qui vous permettra de changer à nouveau de fournisseur d’énergie si vous trouvez une meilleure formule ailleurs.Les comparateurs sont le meilleur moyen de dénicher l’abonnement idéal, en fonction de vos besoins, exigences et contraintes. Cet outil gratuit peut vous permettre de réaliser des économies significatives et de consommer de manière plus éco-responsable, alors profitez-en !Pour allez plus loin sur le sujet :A l'approche de l'élection présidentielle : l'énergie en cinq chiffresL’initiative "Rénovons !" réclame un "Bouclier Énergie" pour tousFlambée des prix de l'énergie : quelles solutions ?
Il y a 3 ans et 57 jours

Des associations dénoncent une décision prématurée du Gouvernement concernant les éoliennes en Méditerranée

"Nous ne sommes pas opposés aux projets d'éoliennes en mer, mais les études préalables sont faibles ou pas réalisées", a estime Serge Briez, président de l'association Les peuples de la mer.De ce fait, "l'impact réel" sur les oiseaux marins, les cétacés, comme le grand dauphin, ou les grands poissons, "reste méconnu", a-t-il ajouté.Le Premier ministre Jean Castex a lancé lundi deux appels d'offres pour construire à l'horizon 2030 deux parcs éoliens flottants en mer Méditerranée, qui pourraient alors alimenter en électricité un million de personnes.Or, de nombreux participants à un vaste débat public sur l'installation d'éoliennes flottantes en Méditerranée organisé entre juillet et octobre derniers avaient demandé le report de ces projets afin de mieux étudier leurs effets sur l'environnement."Tout se passe comme s'il fallait jouer à demander l'avis des gens tout en estimant que leur manque de compétences obérait leur jugement", a regretté Michèle Solans, du collectif TNE (Toutes Nos Energies) Occitanie Environnement."Cela ne peut conduire qu'à éloigner un peu plus les citoyens qui ont compris qu'on ne les consulte que pour qu'ils valident des décisions déjà prises", a-t-elle ajouté.Pour Kevin Jeanroy, de l'association Sites et monuments, "après un débat très enrichissant, on se rend compte qu'on se fait un peu mener en bateau"."Nous sommes contre cet éolien industriel, géant, surpuissant", a-t-il précisé, préconisant l'installation de "petits générateurs" éoliens ou photovoltaïques "adaptés aux besoins locaux".
Il y a 3 ans et 57 jours

Nouvelle pelle Doosan : la plus performante des pelles de 100 tonnes

Équipée du moteur le plus puissant dans la catégorie des pelles de 100 tonnes, la DX1000LC-7 offre également un débit hydraulique inédit pour une machine de cette taille, ce qui se traduit par des performances hors pair, une productivité plus élevée, une consommation de carburant réduite et des commandes plus souples. Comme toutes les pelles Doosan, ce modèle a bénéficié d’une attention particulière en ce qui concerne le confort et la sécurité de l’opérateur. La DX1000LC-7 reçoit une nouvelle cabine très spacieuse, équipée de commandes et d’instruments à l'ergonomie soigneusement étudiée. Le niveau sonore a été réduit au maximum en perfectionnant l’isolation du compartiment moteur et en utilisant une grande quantité de matériaux insonorisants.Tous les composants et assemblages ont été conçus, fabriqués et testés de sorte à assurer la plus grande longévité dans les applications lourdes. Les filtres à plusieurs étages et d’autres éléments tels que les guides de chenilles, les protections des vérins de flèche et de balancier, le système de graissage automatique et les maillons de chenilles scellés et graissés à vie permettent d’obtenir une fiabilité supérieure et une longévité maximale. Pour réduire ses temps d'immobilisation au strict minimum, la DX1000LC-7 est également très facile à entretenir.Le plus puissant moteur Phase V de sa catégorieLa pelle DX1000LC-7 est entraînée par la nouvelle version Phase V du moteur diesel Perkins 2806J aux performances amplement éprouvées. Il développe une puissance impressionnante de 469 kW (629 Ch), inédite pour une machine de cette catégorie. Ce moteur répond aux exigences des normes antipollution Phase V en combinant plusieurs technologies de traitement de l'échappement : recirculation de gaz d’échappement (EGR), réduction catalytique sélective (SCR), oxydeur catalytique (DOC) et filtre à particules (DPF). Le filtre à particules se régénère automatiquement toutes les 25 heures. Pendant la régénération, la pelle continue de travailler normalement. L’opérateur peut à tout moment contrôler l’état du filtre à particules grâce à un indicateur situé sur l’écran de contrôle dans la cabine. Le plus haut débit hydraulique dans la classe des 100 tonnesLa puissance du moteur combinée au système hydraulique VBO (Virtual Bleed Off) (D-ECOPOWER+) auquel la machine doit son débit hydraulique hors pair de 1569 L/min et sa pression de service de 360 bar, ainsi que ses commandes par des manipulateurs électriques (FEH), font de la DX1000LC-7 la machine la plus performante sur le marché des pelles de 100 tonnes.La technologie D-ECOPOWER+ FEH de Doosan repose sur une pompe à régulation de pression électronique avec un système hydraulique à centre fermé permettant d’optimiser la productivité et la consommation de carburant en fonction du mode sélectionné. Le distributeur principal à centre fermé minimise les pertes de charge tandis que la pompe à régulation de pression électronique gère et optimise au mieux la puissance fournie par le moteur.Un logiciel est utilisé pour reproduire électroniquement les avantages d'un système hydraulique à centre ouvert avec très peu de pertes d'énergie. Le système hydraulique et la puissance du moteur sont parfaitement optimisés et harmonisés de sorte à réduire encore davantage les pertes d'énergie.L'opérateur bénéficie de meilleures sensations de retour au niveau des manipulateurs, ce qui se traduit par une précision accrue et moins de fatigue. L'accélération et la décélération des mouvements du groupe de travail sont plus souples, permettant ainsi à l'opérateur de combiner des mouvements d'excavation et d'orientation répétitifs sans subir de secousses.Mode flèche et mode orientation Afin d’optimiser les opérations, l’opérateur peut basculer entre le mode flèche et le mode orientation, qui donnent respectivement la priorité aux mouvements de la flèche ou aux mouvements d’orientation, de sorte à adapter au mieux la machine à l’application en cours. Le système de régénération à 2 tiroirs activé pendant l’abaissement de la flèche autorise des vitesses de travail plus élevées tout en réduisant la consommation de carburant. Le système hydraulique à 2 tiroirs pour le vérin de godet accroît également le débit hydraulique et la vitesse du godet tout en réduisant lui aussi la consommation de carburant. La DX1000LC-7 est enfin dotée de série de clapets de sécurité de charge sur les vérins de flèche et de balancier pour prévenir les accidents liés à la rupture de flexibles hydrauliques sur les chantiers.Plus de confort et de maîtriseDéjà remarquable par l'excellence de son espace intérieur et de son ergonomie, la nouvelle cabine de la DX1000LC-7 réussit à atteindre des niveaux inédits de confort et de facilité d'utilisation. Outre un nouveau siège de haute qualité, la cabine offre de série plus d’équipements et de fonctionnalités que les autres machines disponibles sur le marché, assurant ainsi une maîtrise parfaite de la machine et une précision extrême dans toutes les applications. Les principales nouveautés de la cabine sont les suivantes :Nouvel écran LCD couleur de 20 cm (8") à commande tactile affichant plus d'informations sur une surface accrue de 30 %Système stéréo intégré dans l’écran de contrôle (avec fonction streaming Bluetooth)Système de démarrage sans cléÉquipement intérieur amélioré avec : Climatisation / dégivrage plus performantsSiège chauffant (2 niveaux)Caméras de vision sur 360o (système de surveillance périphérique AVM)Ensemble complet de feux de travail LEDProtections latérales et passerellesProtection contre la chute d'objets (FOPS niveau 2), obligatoire pour le travail en carrièresCompresseur d’air et pistolet pneumatique pour nettoyer la cabine (option)Prévu en équipement standard, le système complet de caméras comprend une caméra avant, deux caméras latérales et une caméra arrière. Séparé de l’écran de contrôle, l’affichage des caméras offre une visibilité panoramique autour de la machine et permet à l'opérateur d'avoir une vue en plongée sur la machine et la zone environnante. Cet équipement est complété de série par un système de surveillance périphérique (AVM).Sont également inclus dans l'équipement standard de la DX1000LC-7 des feux de travail LED fournissant jusqu’à 75 % d’éclairage en plus autour de la pelle et permettant de travailler de façon plus productive en fin de journée et la nuit tout en réduisant les risques d'accident sur site.La nouvelle DX1000LC-7 est équipée d'origine du système de surveillance télématique de dernière génération DoosanCONNECT. Le système DoosanCONNECT offre une solution télématique de gestion et de surveillance extrêmement utile pour contrôler la condition et les performances des machines, renforcer leur sécurité et organiser une maintenance préventive plus efficace.Facilité de maintenanceLe système de refroidissement de la DX1000LC-7 offre une capacité de refroidissement accrue tout en fonctionnant avec un régime ventilateur moins élevé et en consommant moins de puissance. La DX1000LC-7 est équipée de série d’un ventilateur réversible dont le sens de rotation peut être inversé pour éjecter la poussière du radiateur et du refroidisseur d’huile. Cette fonctionnalité réduit le temps et l'effort consacrés aux opérations d'entretien et rend la DX1000LC-7 idéale pour les applications dans des environnements éprouvants. Pour compléter ses performances hors pair, la DX1000LC-7 a également été conçue pour une disponibilité maximale sur site, grâce à des composants robustes, amplement éprouvés et de haute qualité, tels que le distributeur principal et les pompes hydrauliques Bosch Rexroth, le moteur d’orientation Doosan Mottrol et le châssis inférieur à haute résistance Berco. La DX1000LC-7 reçoit un nouveau groupe de travail renforcé, disponible en deux versions basées soit sur une flèche courte de 7,20 m, soit une flèche longue de 8,40 m. Le contrepoids a été repensé et inclut désormais un système de fixation horizontal, plus robuste et facilitant la dépose et la pose du contrepoids.La DX1000LC-7 est équipée de série d’une pompe électrique de remplissage de carburant (ETP). Il suffit à l’opérateur d’appuyer sur un contacteur pour lancer le remplissage du réservoir, ce qui réduit le temps et le travail consacrés au service courant. Les passerelles de la DX1000LC-7 ont également été élargies à 520 mm pour permettre aux techniciens de maintenance de travailler avec plus d’aisance tout en réduisant les risques d'accident.Applications intensives La DX1000LC-7 est principalement destinée aux applications dans les mines et les carrières, pour l’évacuation de mort-terrain et le chargement de gros volumes de matériau dans des tombereaux articulés ou rigides. La DX1000LC-7 est parfaite également pour les grands projets de construction et d’infrastructure, tout particulièrement lorsqu'il s'agit de creuser, d'empiler ou de charger des volumes considérables de matériaux. Avec cet élargissement de sa gamme de pelles, Doosan est désormais en mesure de proposer des machines de 1 à 100 tonnes répondant à un large éventail de besoins dans les secteurs de la construction, de l’exploitation minière, de la location, de l’aménagement paysager, du traitement des déchets, du recyclage et de la démolition.
Il y a 3 ans et 57 jours

Lorenove dresse le bilan de sa convention annuelle des concessionnaires

La convention 2022 du réseau de concessionnaires Lorenove, qui s’est tenue en janvier dernier, a, cette année encore, proposé un format inédit afin de dominer les contraintes sanitaires mais sans s’affranchir de leur respect. Ainsi, la convention nationale s’est muée en 3 rendez-vous régionaux à Massy le 19/01, Lyon le 20/01 et Angers le 21/01, en remplacement de la convention annuelle. Lors de chacune des 3 réunions, l’équipe tête de réseau, ainsi que Thierry Luce, Président du Groupe Lorillard, et Pierre Lorillard, Directeur Général délégué au commerce, au marketing et à la communication, sont allés à la rencontre des 60 points de vente du réseau répartis sur les 3 dates. En synthèse, le bilan de l’année 2021, la stratégie de l’enseigne et du réseau, le développement des points de vente, l’offre de produits, les actions mises en place dans le cadre du plan de communication étaient les grands sujets attendus et évoqués. Rendez-vous annuels récurrents, des opérations promotionnelles seront planifiées cette année pour animer les points de vente et favoriser la rénovation des anciennes menuiseries. Elles seront relayées par un dispositif mixant des leviers de communication traditionnelle et digitale. 2022 marquera également le retour de Lorenove à la télévision, en utilisant un dispositif télévisuel innovant, permettant de cibler les téléspectateurs destinataires du spot télé en paramétrant certains critères (géographiques, centres d’intérêts, CSP, etc.), afin d’adresser les messages à une audience captive. En synthèse, ce dispositif combine la puissance d’un média de masse et la précision du digital. Au total, l’activation des différents leviers retenus permettra d’agir de façon tactique sur la notoriété de la marque, sa visibilité, l’acquisition de contacts et leur conversion. Les réunions ont aussi été l’occasion de remettre les Trophées de la Performance qui récompensent l’engagement des concessionnaires chaque année. Mais le plan stratégique qui se dessine sur les 3 prochaines années a laissé percevoir des changements factuels qui s’appuieront sur un mouvement disruptif et des évolutions novatrices. Le recrutement s’externalise Avec l’objectif de 100 points de vente d’ici 3 ans, Lorenove se fixe un cap pour le recrutement de nouveaux partenaires. Les profils recherchés demeurent des menuisiers mais l’enseigne est tout aussi intéressée par des profils d’entrepreneurs ayant l’envie de réorienter leur avenir professionnel. Cependant, cette expertise de recrutement sera désormais externalisée afin que la tête de réseau se dédie entièrement à l’animation, l’accompagnement et le suivi des concessionnaires. La formation, fil conducteur d’une amélioration continue Doté d’une école de formation le Groupe Lorillard a toujours placé la formation au centre de sa politique d’amélioration. Ces dernières années Lorenove a consacré des investissements pour une montée en compétences des membres du réseau par une offre de formations sur des sujets variés : commerce, pose, technique, finance, etc. Ces efforts s’étaient poursuivis en 2021 avec des nouveaux modules de formations portant sur les gammes de menuiseries mais également des modules s’adressant à tous les types de profils rencontrés dans le réseau : assistants commerciaux, commerciaux chevronnés, dirigeants, etc. La formation 2022 se voudra différenciante. Proposée à l’intégralité des effectifs du réseau – près de 500 personnes – et à l’appui de son école de formation mais également avec l’intervention de formateurs extérieurs au sein de l’école Lorillard, le panel de formations va s’élargir aux sujets et métiers inhérents au marché de la menuiserie. Réglementation, gestion de point de vente, développement commercial, vente et technique de pose de porte, porte de garage, volet, store et portail sont autant de formations qui seront proposées. L’objectif visé étant la parfaite maîtrise des diverses composantes du marché de la menuiserie. Des étapes clés jalonnent le chemin formatif, tel un fil conducteur d’amélioration : état des lieux des savoirs, formations, validation des acquis et contrôles sur la durée pour une parfaite connaissance des sujets. Cette offre de formation différenciante brigue une évolution notable du réseau. Elle entre dans la mise en œuvre d’une stratégie de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences que Lorenove a nouvellement établie, pour développer une pépinière de ressources humaines, disposées à servir l’évolution et les besoins du réseau. L’achat et le référencement des produits centralisés La tête de réseau va désormais centraliser le référencement et les achats des produits connexes à la menuiserie chez les partenaires industriels spécialisés. Jusqu’à présent, chaque concessionnaire travaillait en direct auprès de différents fournisseurs référencés et chaque achat du réseau était considéré comme individualisé. La tête de réseau a dès à présent la fonction stratégique d’acheteur pour mutualiser les volumes de produits dont le réseau a besoin et offrir, tout d’abord aux clients du réseau, la meilleure solution du marché et aux concessionnaires les meilleurs avantages. 2022, le printemps LORENOVE D’autres changements, portant sur la gamme des produits de Lorenove, vont être amorcés dans le courant 2022. Ces changements, que l’on pourrait tout aussi qualifier d’évolutions commerciales, vont permettre à la marque d’harmoniser son offre mais également de se différencier sur le marché par un clivage commercial au sein de ses gammes. L’enseigne qui « dépoussière » son offre commerciale pourrait bien enchérir son mouvement disruptif sur des changements emblématiques. Une réflexion est conduite pour traduire en image et en concepts cette révolution de l’enseigne. Les Trophées de la Performance Illustration de la bonne santé du réseau, chaque année, les Trophées de la Performance de Lorenove viennent récompenser les efforts et le travail des concessionnaires. Cette année, le Trophée du meilleur chiffre d’affaires Concessions a été remis à SEVESTRE MENUISERIES (Bourges, région ouest), avec un CA facturé record. Le Trophée de la meilleure progression des achats de menuiseries Lorenove à ATLANTIQUE CONCEPT HABITAT (Eysines, région sud), avec une augmentation de 105 %. Le Trophée de la meilleure performance web à HABICONFORT (Montluçon – région sud), avec 100% des contacts traités et un excellent taux de transformation. Le Trophée de la meilleure expérience client en magasin à GL2 HABITAT (Pacy sur Eure, région nord / Ile de France), avec un nouveau showroom ouvert en mars 2021 réunissant visibilité, accessibilité, atmosphère propice et mise en avant de l’univers Lorenove. Le Trophée coup de cœur à FENÊTRES ET BAIES (Nantes – région ouest), pour son implication dans le réseau et au sein du Comité H2E, notamment en partageant des informations terrain, de la concurrence, tout en s’impliquant dans la vie du réseau. « Les moments de convivialité ont été très restreints, mais l’essentiel est que nous ayons pu échanger en direct avec les membres du réseau, ce qui n’était pas arrivé sous cette forme depuis 2 ans car la convention 2021 était sous format digital », conclu Marion Macchi, Chef de Projet communication du réseau Fenêtres Lorenove. Pour répondre à ce besoin d’union et pour mieux se retrouver, pour la première fois, une convention à mi année sera organisée en juillet. Elle permettra de faire un bilan des 6 premiers mois et d’évoquer l’avancée des dossiers en cours.
Il y a 3 ans et 57 jours

Journée Mondiale du Recyclage : Isover Recycling, la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre

Le secteur du bâtiment génère 46 millions de tonnes de déchets par an en France, soit plus que les ménages (environ 30 millions de tonnes) et cinq fois moins que les travaux publics (220 millions de tonnes). Les déchets du bâtiment proviennent pour plus de 90 % des travaux de déconstruction et de réhabilitation et pour le reste de la construction neuve (7 %).D’autre part, le contexte du recyclage va aussi fortement évoluer dès le 1er janvier 2023 avec l’entrée en vigueur de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). ISOVER Recycling répond parfaitement à ces exigences à venir en assurant la reprise des laines de verre usagées issue du BTP.Pour ISOVER, “déchets” rime avec “ressources”En 2018, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. ISOVER Recycling est la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée par la marque afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles.Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation.La démarche répond par anticipation aux enjeux de collecte des déchets de la laine de verre qui représentera :plus de 150.000 tonnes par an à l’horizon 2030. Un gisement qui pourrait encore augmenter avec le plan de rénovation énergétique des bâtiments.Aujourd’hui, ce gisement s’élève à environ 100.000 tonnes.ISOVER s’engage pour l’économie circulairePrévention, tri sur chantier, recyclage, réutilisation, réemploi sont autant de leviers qui contribuent à la mise en place d’une économie circulaire pour une utilisation plus efficace des ressources.En plus d’ISOVER Recycling, ISOVER travaille à une nouvelle technologie de recyclage de la laine de verre au sein de son usine de Chemillé (49). Subventionné par la Commission Européenne et le programme Life, ce projet, nommé I-LOOP, a pour objectif de parvenir à une diminution significative des déchets de construction et de démolition mis en décharge d’ici fin 2023.Les ambitions d’ISOVER avec le projet I-LOOP sont de démontrer et de valider la faisabilité technique du recyclage de grandes quantités de déchets de laine de verre pour la fabrication du calcin, ainsi que la viabilité d’un modèle d’économie circulaire impliquant diverses parties prenantes tout au long de la chaîne de valeur de la déconstruction.
Il y a 3 ans et 57 jours

Saint-Gobain Weber travaille sur la substitution de matières premières

Le site Weber de Sorgues vient de bénéficier d’un investissement de plus de 60 000 €. [©Saint-Gobain Weber] Les matières premières sont sous le feu des projecteurs depuis quelque temps. Que ce soit à cause de la crise économique que connaissent les différents secteurs industriels en ce moment. Ou dans la lutte pour la préservation des ressources. Saint-Gobain Weber mène plusieurs actions et projets dans ce sens. Et ce, dans la perspective de réduire son empreinte carbone (30 % en 2025). Mais aussi, sa consommation de matières premières (20 %). Lire aussi :Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical « Plusieurs technologies exclusives basées sur la réduction des matières premières primaires ont été développées par notre centre de R&D depuis 2012. Ceci, pour un certain nombre de produits finis, explique Lionel Raynaud, directeur recherche et développement chez Saint-Gobain Weber France. A date, nous estimons que cela a permis d’éviter 50 000 t de CO2, ce qui correspond à plus de 310 Mkm parcourus par une voiture de catégorie compacte. » Des matériaux recyclés et issus de la biomasse En 2021, les usines de Bonneuil-sur-Marne (94), de Ludres (54) et de Nemours (77) ont commencé à utiliser en substitut des cendres de biomasse issues de l’industrie locale du papier. Les ciments des mortiers-colles gris se composent désormais à 15 % de cendres de biomasse. Ce chiffre passe à plus de 30 % pour les mortiers et bétons d’usage courant. Lire aussi :Weber à la conquête de la France Cette année, Saint-Gobain Weber entend bien poursuivre ses ambitions. En effet, le site de Sorgues (84) compte substituer à 100 % son sable siliceux naturel dans certains mortiers par un sable de moulage recyclé. Ce dernier sera issu de l’industrie des céramiques, en provenance de Saint-Gobain Sepr, située à quelques kilomètres de l’usine de Sorgues. Des ajustements de process ont été réalisés, en décembre dernier, pour un montant de 60 000 €. Ainsi, les werbercol dur gris, webercol pro gris, webercol grès gris et weber mortier bénéficieront de ce nouveau sable. Enfin, en cette année 2022, le site de Bonneuil-sur-Marne passera aux granulats recyclés pour la conception du weber béton.
Il y a 3 ans et 58 jours

Exit les emballages plastique pour Velux

ENGAGEMENT. Le spécialiste de la fenêtre de toit, Velux, annonce que "90 % des emballages utilisés pour ses fenêtres de toit sont désormais sans plastique". Détails.
Il y a 3 ans et 58 jours

Le fournisseur d'énergie verte Planète Oui tombe dans l'escarcelle de Mint

ACQUISITION. Mint, fournisseur de services Energie et Telecom éco-responsables, annonce avoir fait l'acquisition de Planète Oui, fournisseur d'électricité et de biogaz.
Il y a 3 ans et 58 jours

Investissements et innovations, les nouveaux objectifs de Lafarge France

Lors d'une conférence de presse le 10 mars 2022, Lafarge France, acteur majeur dans la production de ciments, granulats et béton, a présenté ses nouveaux objectifs d'accélération et transformation bas carbone.
Il y a 3 ans et 58 jours

EDILTECO® Group partenaire et distributeur exclusif de CarbonCure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.

Edilteco® Group a conclu un partenariat de distributeur exclusif avec la société de technologie d’élimination du carbone « CarbonCure Technologies ». Ce partenariat va permettre à Edilteco® Group d’offrir à ses clients des solutions innovantes et éprouvées pour la réduction de leur empreinte carbone dans la construction. S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2. « Chez Edilteco®, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm® R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé – qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite », explique Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco® France.   LA TECHNOLOGIE CARBONCURE La technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange. CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m³. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m³ de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. CarbonCure Technologies   EN PRATIQUE Chaque installation CarbonCure comprend 2 boitiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boitier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2 . Edilteco® France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco® a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.   À PROPOS DE CARBONCURE Fondée il y a 10 ans, CarbonCure s’est rapidement développée, avec maintenant plus de 500 systèmes dans le monde. L’entreprise CarbonCure commercialise depuis 5 ans sa technologie. Breakthrough Energy Ventures, Amazon, BDC Capital, Pangea, Microsoft, 2150, Carbon Direct, GreenSoil Investments, Taronga Group ou encore Mitsubishi Corporation sont autant d’investisseurs qui ont fait confiance à CarbonCure. Lauréate du second appel à projet (2020) du club Sekoya créé par Eiffage et Impulse partners – consacré à la conception et la construction bas carbone et aux usages et exploitation bas carbone – CarbonCure offre la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique et plus solide. Les architectes, ingénieurs et entrepreneurs obtiennent le même produit de construction fiable et de haute qualité, mais avec une empreinte carbone plus faible. En France, ce sont 1800 centrales, dont 1300 sous certification NF qui sont concernées par cette technologie bas carbone. CarbonCure Technologies Depuis sa création en 1981, EDILTECO® Group n’a cessé d’acquérir de multiples compétences qui la placent en interlocutrice indispensable du monde de la construction. Aujourd’hui encore, l’entreprise passe les frontières de l’hexagone pour fonder un partenariat exclusif lui permettant de proposer à ses clients des solutions toujours plus durables. Avec CarbonCure, Edilteco® Group répond à la demande croissante de solutions de construction durable. C’est au salon Bas Carbone, les 5 et 6 avril 2022, Porte de Versailles, que EDILTECO® France présentera officiellement la solution CarbonCure sur son stand H60 – Hall 5 et lors de 2 workshops. Nous vous présenterons le procédé lors de nos workshops : le 5 avril à 11h30 – salle 7 le 6 avril à 10h00 – salle 7
Il y a 3 ans et 58 jours

CarbonCure traverse l’Atlantique avec Edilteco

La technologie CarbonCure sera distribuée en France par Edilteco. [©CarbonCure] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. « Nous sommes présents sur différents marchés et disposons d’un bon réseau de distribution auprès des BPE dans ces pays », explique en exclusivité Franck Pied, directeur marketing, communication et technique de la marque. Edilteco s’occupe ainsi de la mise en relation avec la start-up, de l’installation. Mais aussi, de la maintenance et du SAV des “box”. « Nous avons monté une équipe dédiée à CarbonCure. En France, entre notre siège de Sèvremoine, à côté de Cholet, et les bureaux du Pontet, proche d’Avignon, nous pouvons vite intervenir sur tout le territoire. » L’industriel commence tout juste à démarcher les fabricants de béton et de centrales. Mais devrait déjà équiper deux premiers sites, courant avril. « L’installation ne demande pas beaucoup de temps et ne met pas en arrêt l’outil industriel, reprend Franck Pied. Nous présenterons, entre autres, cette solution à l’occasion du salon Solutions Bas Carbone, debut avril prochain. » Pour rappel, CarbonCure voit le jour il y a une dizaine d’années. La start-up a développé un procédé d’injection de CO2 lors de la fabrication du béton. Une façon de réduire l’usage du ciment (6 à 7 %), en conservant les résistances techniques et mécaniques du matériau. Un système éprouvé et vertueux Après cinq années de recherche, l’entreprise a pu éprouver sa technologie au sein de 500 centrales à béton en Amérique du Nord. Soit l’équivalent de 13 Mm3 de béton “CarbonCure” en cinq ans. Dans le détail, la technologie demande l’installation d’une cuve de CO2, qui serait alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette dernière se raccorde au malaxeur de la centrale (à une distance de 18 m au maximum). CarbonCure a ainsi conçu deux box mises en place au niveau du poste de commande de la centrale et sur la cuve de carbone. [©CarbonCure] CarbonCure a ainsi conçu deux box mises en place au niveau du poste de commande de la centrale et sur la cuve de carbone. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige. Et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2, tout en diminuant son empreinte environnementale.
Il y a 3 ans et 58 jours

Beissier l’ultra-spécialiste des enduits du peintre fête ses 150 ans

Beissier SAS, le leader des enduits de peintre, célèbre ses 150 ans d’histoire en 2022 avec une actualité particulièrement riche entre nouvelle stratégie de marque, nouvelle vitrine digitale et innovation produit. Réalisant en 2021 un chiffre d’affaires de l’ordre 40 millions d’euros (correspondant à 90 000 tonnes de produits, soit une croissance de + 30 […]
Il y a 3 ans et 58 jours

Ursa rejoint l’actionnariat de Valobat

Ursa intègre l’actionnariat de l’éco-organisme Valobat. [©Ursa] Le spécialiste dans la production de laine minérale de verre et de polystyrène extrudé, Ursa intègre l’actionnariat de Valobat. Après un premier positionnement au sein de l’éco-organisme en tant que pré-adhérent, l’industriel confirme son engagement. Ainsi, il s’inscrit dans la démarche collective de la Rep des produits et des matériaux de construction pour le bâtiment. Et permet à Valobat de renforcer son expertise en matière d’économie circulaire, de recyclage et de RSE. Les ambitions communes de l’Ursa et de Valobat « Par cette prise de participation, nous souhaitons accélérer ses actions liées à l’économie circulaire, et plus particulièrement, se positionner en acteur d’un éco-système vertueux », déclare Shadé Olajide, chef de projet économie circulaire d’Ursa. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Et Jean-Pierre Laherre, Dg d’Ursa France, de conclure « Nous sommes engagés dans une démarche de transformation de nos modèles, dans le cadre de nos ambitions RSE. Aussi, être au cœur des décisions stratégiques de Valobat, qui rassemble de grands acteurs industriels et distributeurs du bâtiment, constitue une opportunité majeure. Plus largement, cela va nous permettre de contribuer à la transition écologique de la filière. »
Il y a 3 ans et 58 jours

Le centre national des arts plastiques s’engage dans la restauration du CYCLOP de Jean Tinguely

Le Centre national des arts plastiques a lancé en mars 2021 le chantier de restauration du Cyclop, œuvre d’art total initiée par l’artiste suisse Jean Tinguely au cœur des bois de Milly-la-Forêt dans l’Essonne. Le site a fermé ses portes en octobre 2020 pour laisser place à un vaste chantier de restauration qui va durer […]
Il y a 3 ans et 58 jours

GROHE QUICKFIX : les rénovations de cuisine et de salle de bains facilitées et accessibles pour tous

Après avoir passé beaucoup de temps à la maison pendant ces deux dernières années, les consommateurs ont montré un intérêt accru pour le réaménagement de leur intérieur. L’amélioration de l’habitat peut être très simple, même dans des pièces comme la salle de bains et la cuisine qui peuvent sembler complexes pour un amateur. GROHE, marque […]
Il y a 3 ans et 58 jours

“Réinventons les villes” : Tarkett publie un livre blanc qui  éclaire sur les changements profonds survenus chez les propriétaires et locataires suite à la pandémie.

Février 2022 – Le livre blanc « Réinventons les villes » de Tarkett analyse en profondeur comment les acteurs de l’habitat collectif peuvent aider les propriétaires et résidents à réinventer la vie en ville, en matière de confort, de développement durable et d’investissements pour améliorer la vie en collectivité et le bien-être des personnes. « Il était très […]
Il y a 3 ans et 58 jours

Hager renouvelle essensya, sa gamme d’appareillage mural résidentielle

Hager fait évoluer sa gamme d’appareillage essensya, avec 6 nouveaux coloris et de nouvelles fonctionnalités. Tout en conservant son design épuré, essensya adopte de nouvelles tonalités très actuelles pour s’accorder à tous les styles de décoration. Déjà appréciée des installateurs pour sa simplicité de mise en œuvre, elle se dote de fonctionnalités intelligentes, pour répondre […]
Il y a 3 ans et 59 jours

Biométhane : les coûts de raccordement aux réseaux davantage pris en charge

RENOUVELABLES. C'est dans un contexte énergétique très tendu que le ministère de la Transition écologique a publié un arrêté relevant de 40% à 60% le niveau de prise en charge des coûts de raccordement des installations de production de biométhane aux réseaux de gaz naturel. Bien avant le déclenchement de la guerre en Ukraine, l'industrie gazière plaidait déjà pour une meilleure considération des gaz renouvelables.
Il y a 3 ans et 59 jours

Edma se renforce dans l'instrumentation de mesure

ACQUISITION. Le fabricant d'outils, Edma, annonce avoir fait l'acquisition de la société Topomesure, un spécialiste de l'instrumentation de mesure, qui distribue en France la marque Condtrol.
Il y a 3 ans et 59 jours

De nombreux métiers du BTP parmi les plus porteurs d'ici 2030 selon un rapport du ministère du Travail

Cet exercice prospectif, réalisé par le service des statistiques du ministère du Travail (Dares) et France Stratégie, organisme de réflexion auprès du Premier ministre, porte sur 2019-2030 et aurait dû être publié en 2020 mais il a été revu à la lumière de la crise du Covid.Pour les auteurs, ces besoins de recrutement seraient massivement (à 89%) liés aux départs en retraite et alimentés seulement à 11% par un million d'emplois supplémentaires créés entre 2019 et 2030, dont deux tiers dans les services.Le rapport confirme la poursuite de la tertiarisation de l'emploi au bénéfice des services aux entreprises, des professions de santé et d'aide aux personnes fragiles.Pour autant, du fait notamment de la volonté de limiter la dépendance industrielle, la part de l'industrie ne diminuerait plus. Alors que 170.000 postes industriels ont été détruits entre 2009 et 2019, le rapport prévoit 45.000 emplois supplémentaires à l'horizon 2030. Et 20.000 de plus en cas d'accélération de la transition écologique, qui bénéficierait aussi fortement à la construction.Parmi les métiers comptant le plus de postes à pourvoir, le rapport distingue trois catégories.La première comprend les métiers qui créeraient peu ou pas d'emplois, avec essentiellement des départs en retraite : c'est le cas des agents d'entretien, des enseignants ou des conducteurs de véhicules.La deuxième catégorie regroupe "les métiers où les créations d'emplois représenteraient au moins un quart des postes à pourvoir" : les aides à domicile, les aides-soignants, les infirmiers, les sages-femmes, les cadres administratifs, comptables et financiers, les cadres commerciaux, les ouvriers qualifiés de la manutention et les techniciens de maintenance.La troisième catégorie est constituée des ingénieurs de l'informatique et des ingénieurs et cadres techniques de l'industrie. Ces professions se distinguent par leurs créations d'emplois qui représenteraient "au moins la moitié" des besoins. "Ce sont des métiers relativement jeunes qui conjuguent un fort dynamisme de l'emploi et de faibles départs à la retraite", selon le rapport.Des difficultés dès le recrutement Si on confronte ces besoins de recrutement avec le vivier potentiel de jeunes, le rapport met en évidence des "déséquilibres potentiels" selon les professions.Les difficultés de recrutement se maintiendraient pour deux métiers sur cinq, notamment les aides-soignants, les techniciens et cadres du bâtiment et des travaux publics, les ingénieurs de l'informatique et les ingénieurs et cadres de l'industrie.Elles s'aggraveraient dans certains cas en raison d'une faible attractivité des métiers. C'est le cas par exemple des conducteurs d'engins du bâtiment et des travaux publics.Ces déséquilibres pourront être réduits "par la mobilité professionnelle, la diminution du chômage, le recours aux inactifs ou à l'immigration", a souligné Cédric Audenis, commissaire général adjoint de France Stratégie, lors d'un point de presse.Le rapport prévoit 1,8 million de créations nettes d'emplois pour les diplômés du supérieur et 800.000 destructions pour les non diplômés du supérieur. En France, même s'il y aune demande pour certains métiers peu qualifiés comme la manutention, "il y a bien au total une baisse de l'emploi non qualifié", a souligné M. Audenis.
Il y a 3 ans et 59 jours

A l'aune de la crise ukrainienne, l'Etat veut plus que jamais soutenir la pompe à chaleur

ÉNERGIE. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a apporté un soutien franc et massif à la filière de la pompe à chaleur, lors d'un déplacement ce 15 mars 2022 dans les locaux du groupe Atlantic, dans le Val-de-Marne.
Il y a 3 ans et 59 jours

Une carrière installée illégalement condamné à 150 000€ d'amende

L'Unicem Occitanie se félicite du dernier jugement du tribunal d'Alès qui a rendu un jugement correctionnel concernant notamment l'exploitation d'une carrière sans autorisation sur la commune de Sauve.
Il y a 3 ans et 59 jours

Trace Software et BIM&CO – Les données fabricants au cœur de la conception électrique

Trace Software International et BIM&CO annoncent un partenariat pour le développement d’une passerelle entre la base de données des produits de la construction bimandco.com ainsi que la plateforme de gestion de contenus BIM Onfly, et le logiciel de calcul d’installations électriques elec calc.  Tout projet de conception d’installations électriques requiert l’intégration de matériel électrique. Pour répondre à cet enjeu, le logiciel elec calc met à disposition des professionnels un large choix de fabricants au travers d’un catalogue de références matériels. Grâce à la passerelle Onfly – elec calc,  il sera possible d’aller chercher des références de matériel électrique sur bimandco.com & Onfly et de les intégrer directement dans son projet elec calc. Cette approche complémentaire au catalogue standard permet à tous les concepteurs d’installations électriques d’aller encore plus loin dans la gestion du matériel fabricant. “La communication entre BIM&CO et elec calc va apporter une nouvelle dimension à l’utilisation des données fabricants. Nos utilisateurs auront à leur disposition une bibliothèque de matériel électrique, facilement accessible, qui leur permettra d’enrichir les bases de données déjà disponibles dans leur catalogue elec calc » , indique Martial Leroy, Product Manager Trace Software. Découvrez tous les détails de ce partenariat dans notre communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 59 jours

Isolation FOAMGLAS Enrobé – Des toitures accessibles solides et étanches

La forte résistance à la compression sans tassement du FOAMGLAS® offre une réponse innovante pour les toitures accessibles aux Piétons, et pour les parkings Véhicules Légers et Véhicules Lourds. Un nouveau cahier des charges visé par SOCOTEC vient valoriser cette solution (décembre 2021). Le parking de l’Institut Gustave Roussy de Villejuif (94) est actuellement en rénovation, et la solution FOAMGLAS® Enrobé a été sélectionnée par la maîtrise d’œuvre, le bureau d’études techniques E-LEVEN. Deux couches d’enrobé, de 5 cm chacune, forment la couche de roulement et la protection du complexe isolant (FOAMGLAS® READY F) + étanchéité (Derbicoat Uni et Derbigum GC4). Les valeurs des résistances à la compression des isolants sont validées en sortie d’usine, et il n’est pas encore demandé aux fabricants de s’engager sur 10 ans in situ sur une valeur minimale pour ces caractéristiques physiques. L’un des secrets du verre cellulaire FOAMGLAS® Pour ce type de toiture, la force de l’isolation en verre cellulaire FOAMGLAS®, constituée de bulles étanches et rigides, 100 % en verre, sans résine ni liant, provient de sa résistance à la compression : elle est élevée et surtout, elle ne diminue pas dans le temps, comme le démontrent des analyses faites sur des réalisations datant de plus de 40 ans. Le FOAMGLAS® F, utilisé pour le parking de l’Institut Gustave Roussy, est doté d’une résistance à la compression de 1 600 kPa (160 T/m2). En utilisant cette propriété physique du verre cellulaire, Pittsburgh Corning France a développé un système « iso-étanche » pour toiture accessible protégé directement et seulement par de l’enrobé. Il économise la dalle traditionnelle en béton de protection au-dessus de l’étanchéité pour les parking VL et PL. Il diminue les épaisseurs des complexes destinés aux toitures accessibles aux Piétons. Il se distingue aussi par une rapidité de mise en œuvre très appréciée, la toiture devenant exploitable dès le lendemain du coulage des enrobés. C’est cette rapidité de mise en œuvre, en plus de la sécurité qu’elle apporte face aux risques de tassement et aux risques d’infiltration d’eau (toiture compacte FOAMGLAS®) qui a été décisive dans le choix de cette solution pour le parking de l’Institut Gustave Roussy.
Il y a 3 ans et 59 jours

1992 - 2022, le Club de l’Amélioration de l’Habitat fête ses 30 ans

30 ans d’engagements et d’actions pour l’amélioration de l’habitat et le confort de l’habitantLe Club de l’Amélioration de l’Habitat, fondé il y a 30 ans à l’initiative conjointe de l’ANAH, du Ministère du Logement, de la Fédération du Bâtiment et de quelques grands industriels œuvre en permanence pour mesurer, comprendre et dynamiser le secteur d’activités de la rénovation-entretien des logements.Deux motivations majeures ont constamment guidé et stimulé ses actions :La nécessité de soutenir un marché économique important de l’ordre de 50 milliards d’€ chaque année mais au demeurant assez peu évolutif.Ainsi que la volonté d’apporter toute solution à l’amélioration du confort de vie des habitants dans leur logement comme au sein de leur quartier.Aujourd’hui encore et très probablement pour les 30 ans à venir, cette détermination soutient les ambitions du Club.Depuis sa création son tour de table s’est fortement étoffé : Services publics (Ministères et leurs agences), organisations professionnelles métiers et bon nombre de leurs adhérents (fabricant, distributeur, prescripteurs, installateurs), énergéticiens, banques, assurances, organismes sociaux… Le Club mène ses travaux autour de 3 axes majeurs : L’observation du marché sous les angles tant économiques que sociologiques.Les solutions expérimentales pour massifier et intensifier la rénovation du parc résidentiel.Les approches sociétales pour mieux comprendre les mécanismes comportementaux des habitants-consommateurs.Pour Jean-Pascal Chirat, Délégué Général du CAH : “ Nul doute que la décennie engagée, malgré un contexte sociétal singulier, ou peut-être justement grâce à celui-ci ? pourra consacrer une large part de sa dynamique économique “durable” à l’évolution de l’Habitat existant et à une meilleure intégration des Habitants dans la transformation de l’urbanisme en lien avec notre évolution sociétale. Le Club forme ainsi le voeu, en son trentième anniversaire, de pouvoir accompagner cette mutation profonde avec la raison et la passion qui inspirent ses membres et son encadrement. ”Les temps forts du Club en 2022Webinaire “Rénover les quartiers : quelles priorités ?”Une rencontre d’experts et de personnalités qualifiées autour des grands programmes de renouveau urbain et requalification architecturale des îlots de quartier.Lancement du Groupe de travail “Accessibilité, adaptation du logement pour les seniors” dans le cadre du Salon des seniors programmé à Paris-Expo Porte de Versailles.Assemblée Générale OrdinairePrésentation en avant-première des premiers résultats de l’enquête CAH-Qualitel/IPSOS 2022 réalisée auprès de propriétaires-occupants.Colloque “30 ans du Club” et restitution des résultats de l’enquête IPSOSPrésentation du livre “L’habitat d’Hier, d’Aujourd’hui et de Demain” dans le cadre sur Salon du Mondial du Bâtiment qui aura lieu du 3 au 6 octobre à Paris-Expo Porte de Versailles.Une chronique radio intitulée “Améliorer nos lieux de vie” chaque premier vendredi du moisDe janvier à septembre 2022, le Club de l’Amélioration de l’Habitat s’exprimera sur une nouvelle thématique dans l’émission de radio “Les Rendez-Vous du Mondial du Bâtiment”.