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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 64 jours

L’ambition d’Eco-mobilier pour le recyclage des produits et matériaux du Bâtiment

« La première raison de la candidature d’Eco-mobilier, ce sont ses adhérents. Les enseignes de bricolage, du négoce matériaux et les industriels des panneaux de process, notamment, sont concernés par ces nouvelles obligations de recyclage des produits et matériaux de construction. Nous souhaitons fidéliser ces clients et compléter nos services actuels en offrant une solution complète, simple et multi-produits. Nous nous adressons plus largement aux clients de ces distributeurs, les particuliers et les artisans. Élargir notre périmètre va nous permettre de massifier les collectes et proposer ainsi un coût économique et écologique maitrisé pour le consommateur qui paie le recyclage de ses produits au travers de l’éco-participation. Eco-mobilier est le premier fournisseur de bois de recyclage, de mousses recyclées et fournit aussi des résines et textiles recyclés. Notre objectif est de capitaliser au maximum sur nos forces.Pour les artisans, la clé c’est la proximité du point de collecte. Nous nous appuyons sur le plus gros réseau existant en France : 5500 points de collecte et 3600 déchèteries publiques. Les déchèteries publiques ouvertes aux artisans ne devront plus être les seuls points de collecte pour les artisans. Nous devons équiper les points de vente du négoce et les déchèteries privées pour étendre ce maillage afin de proposer à chaque artisan un point de collecte gratuit à moins de 10 km de son chantier dès le 1er janvier 2023. L’artisan disposera d’une carte et d’une application de géolocalisation simple et informative.Pour le bois, la massification de la collecte, déjà volumineuse chez Eco-mobilier (750.000 tonnes en 2021), permettra d’optimiser le schéma opérationnel avec un tri à la source. Les acteurs de la filière Bois ont un intérêt à se rassembler autour du projet présenté par Eco-mobilier dans le climat actuel tendu sur les matières premières. Se rassembler permet de maîtriser l’éco-participation et permet aussi de prendre possession de ces matières recyclées pour en maitriser les débouchés et renforcer la stratégie industrielle de recyclage sur le territoire national. Eco-mobilier possède déjà le réseau d’opérateurs nécessaire, puisque nous avons 600 partenaires industriels.L’investissement d’Eco-mobilier est fort en innovation et R&D dans le domaine de l’éco-conception à partir du bois et des mousses. Nous poursuivons cet engagement. C’est important dans la filière bâtiment car l’innovation matériaux est très forte et nous devons être à la hauteur des exigences des entreprises et de leurs clients. Notre ambition est d’être autonome en France en termes de capacité de recyclage et que les déchets soient recyclés le plus près possible de leur lieu de production. Ce sont des économies logistique et d’impact carbone. C’est une sorte de patriotisme écologique que j’assume totalement ».
Il y a 3 ans et 65 jours

Wehr et ses sœurs inventent la prime au CV

Le fabricant de portes et fenêtres, ainsi que d’autres entreprises de second œuvre ayant le même propriétaire, diversifie de manière originale ses canaux de recrutement : un site en ligne… assorti d’une loterie offrant à 1 000 euros par tirage au sort.
Il y a 3 ans et 65 jours

Portalp souffle ses 60 bougies en organisant dix journées d’anniversaire en région

Fondée en 1962 à Grenoble, Portalp, contraction de la « Porte des Alpes », célèbre cette année ses 60 ans d’existence. À cette occasion, le premier fabricant français de portes automatiques piétonnes organise dans toute la France « les Printemps Portalp », du 5 avril au 7 juin 2022. Un tour de France placé sous le signe de la convivialité Dès le 5 avril, Portalp donne le coup d’envoi des festivités. Pendant deux mois, dix événements sont prévus afin de fêter cet anniversaire et d’y associer tous les collaborateurs de l’entreprise et leur famille, mais aussi ses clients et partenaires les plus fidèles. Les « Printemps Portalp » attendent ainsi leurs invités dans chaque zone d’implantation des vingt-six agences régionales : • 5 avril à Nantes pour Portalp Centre-Ouest, • 12 avril à Bordeaux pour Portalp Sud-Ouest, • 26 avril à Strasbourg pour Portalp Nord-Est, • 3 mai à Lille pour Nord-Champagne Ardennes, • 10 mai à Caen pour Portalp Nord-Ouest, • 17 et 18 mai à Grenoble, site historique de production de l’ETI familiale, pour Portalp Rhône-Alpes-Auvergne, • 24 et 31 mai à Paris pour Portalp Ile-de-France, • 7 juin à Marseille pour Portalp Méditerranée. Dans chaque ville, Portalp prévoit un après-midi d’exception rythmé par un moment de partage autour d’activités spécifiques selon les régions. À l’issue de cette journée placée sous le signe de la convivialité, les participants assisteront alors à un dîner spectacle, fil rouge de cet anniversaire. Sous un magnifique chapiteau de cirque, des artistes de renommée internationale présenteront des numéros époustouflants. Pour annoncer et symboliser l’événement, Portalp a imaginé un logo mêlant l’infini aux étoiles scintillantes. Une image qui reflètera sans nul doute la magie de cette soirée. 60 ans d’une histoire familiale Cet anniversaire est l’occasion de retracer les grandes étapes de Portalp fondée en 1962 sous le nom de Réolon-Automation par Attilio Réolon, issu d’une famille d’origine italienne de Grenoble. Au cœur du village de Fontaine, dans la zone des Vouillants, il débute son activité alors essentiellement tournée vers l’électrotechnique et la mécanique pour les alarmes et l’interphonie. Petit à petit, le succès est au rendez-vous, soutenu par l’émergence de l’automatisation des portails, puis des portes. La société ne cesse alors d’innover pour lancer, dès 1967, la première porte automatique hydraulique, le premier modèle pneumatique en 1969 puis le premier opérateur de porte électrique en 1976. En 1977, l’entreprise prend alors le nom de Portalp SA, contraction de la Porte des Alpes, et se consacre à la conception, la fabrication et la vente de portes automatiques via un réseau de partenaires indépendants français, né en 1979, parmi lesquels Devos Automation dirigé par Daniel Duponchel. En 1987, Attilio Réolon transmet l’activité à son fils Philippe qui poursuit le développement de l’entreprise avec la création de Portalp International SA en 1989 puis, en 1992, de Portalp Agences, son propre réseau national de distribution et de pose des portes. Afin de le consolider, il fonde en 1999 Portalp France avec Daniel Duponchel, le distributeur exclusif de la marque, qui en prend la présidence. En 2017, il est temps pour Philippe Réolon de partir à la retraite. Daniel Duponchel devient alors l’unique actionnaire et le président du groupe Portalp. Tout au long de son histoire, Portalp n’a jamais cessé de se développer : • en France, par le biais de ses vingt-six agences régionales, • à l’étranger au travers de ses filiales présentes dans le monde (USA, Luxembourg, Belgique, Italie, Espagne, Autriche) ou de son réseau de distributeurs partenaires couvrant de nombreux pays en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie, Amérique du Nord et Amérique Latine, • mais aussi par l’acquisition d’entreprises complémentaires à son activité, dont la dernière en date la société Deveugle, qui lui permet de disposer d’une offre globale de produits et de services (installation, maintenance…) pour l’ouverture et la mise en sécurité des bâtiments. De huit employés au temps de son fondateur Attilio Réolon à 1035 collaborateurs en 2022, le premier fabricant français de portes automatiques piétonnes doit sa réussite à son savoir-faire « Made In France » ainsi qu’à sa stratégie tournée depuis toujours vers l’innovation et la satisfaction de ses clients. Aujourd’hui, le flambeau de l’entreprise familiale indépendante, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 105 millions d’euros en 2020, est repris progressivement par Maxime Duponchel, son vice-président, le fils de Daniel Duponchel. http://www.portalp.com/
Il y a 3 ans et 65 jours

Herige entre au capital de Valobat

Le groupe Herige entre au capital de Valobat. [©Herige] Spécialiste dans l’industrie et de la distribution du bâtiment, Herige entre au capital de Valobat. Ce dernier étant candidat à l’agrément d’éco-organisme pour la Rep PMCB1. Avec ses 3 activités dans le BPE (Edycem), la menuiserie (Atlantem) et le négoce de matériaux de construction (VM), Herige prend déjà part à des filières de recyclage. En témoigne la démarche d’Atlantem avec la création de Menrec, un centre de recyclage situé à Saint-Allouestre (56). Le choix de Valobat illustre donc son ambition de participer au succès de la Rep. Ainsi que de s’engager dans l’économie circulaire du bâtiment. Valobat et Herige : Des valeurs communes Avec cette entrée au capital de Valobat, Herige entame une nouvelle étape majeure dans la conduite de sa feuille de route. « Nous plaçons les enjeux sociétaux et environnementaux au cœur de notre stratégie, en nous engageant concrètement en faveur du développement de l’économie circulaire, du recyclage et de la RSE », déclare Benoît Hannaut, président du directoire de Herige. Lire aussi : L’UICB entre dans le capital de Valobat Et d’ajouter : « Un déchet doit être considéré telle une véritable matière première à reconfigurer. C’est toute l’opportunité que propose la Rep : recycler et réemployer de manière organisée et structurée. C’est aussi une opportunité de croissance, de valorisation, de création de nouvelles professions et d’innovation en matière d’éco-conception. Ceci, pour limiter l’impact environnemental de nos produits tout au long de leur cycle de vie. » 1Responsabilité élargie des producteurs pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 65 jours

KNAUF CEILING SOLUTIONS, un acteur industriel qui investit et recrute sur le territoire français

 Création de plus de 30 postes dans le Doubs (25) et l’Eure-et-Loir (28)  Le recrutement est aujourd’hui un véritable enjeu dans le secteur du bâtiment : besoin de retrouver une nouvelle attractivité des métiers pour les nouvelles générations, valoriser le bien-être en usine avec des lignes de production robotisées, et des postes de plus en […]
Il y a 3 ans et 65 jours

Invitation presse

Présentation du partenariat : Petit déjeuner Vendredi 4 mars 2022 à 9h IFA de Bourges 149-151 rue de Turly – 18000 Bourges Le projet : L’IFA BOURGES : Institut de Formation des Apprentis de Bourges, CHATREIX CARECO : Recycleur Automobile local membre d’un réseau National, MILWAUKEE  : Fabricant d’outillage électroportatif Marché Professionnel, s’associent autour d’un […]
Il y a 3 ans et 65 jours

Des constructions plus durables grâce à des matériaux innovants

Les fibres PVA KURALON™, alliées indispensables de tous les projets de construction exceptionnels en béton  Hattersheim, mars 2022 — Matériaux composites à base de ciment, façades décoratives en béton fibré ultra-haute performance ou encore infrastructures offshores en béton léger, le secteur industriel regorge de structures remarquables en béton.  Kuraray, l’entreprise spécialisée dans la production de […]
Il y a 3 ans et 65 jours

La transition écologique du bâti : faire de la transition écologique du bâti un sujet central du prochain quinquennat

Un comité de réflexion s’est réuni le mercredi 23 février 2022 pour réfléchir à des propositions concrètes et opérationnelles à présenter aux candidats à l’élection présidentielle. Acteurs privés, issus du secteur industriel, du conseil ou de la société civile, tous partagent le même constat : la transition écologique du bâti et l’enjeu environnemental que représente la […]
Il y a 3 ans et 65 jours

Transition Démographique & Adaptation du Logement. Un évènement proposé par le Club de l’Amélioration de l’Habitat (CAH).

 Mercredi 23 mars 2022 Salon des Seniors, Paris-Expo Porte de Versailles Hall 5.2-5.3   Rendez-vous autour de 3 temps forts: 11h30 : Echanges avec la presse sur le stand Saint-Gobain – CNAV – espace «Mon cadre de vie» aménagé sur 150 m2, intégrant 80m2 représentant un appartement adapté au maintien à domicile des seniors et 6 […]
Il y a 3 ans et 65 jours

JOSÉ MEDINA GALEOTE signe une collaboration design avec FORBO FLOORING

« Amener l’art dans la maison, sur le sol, et le laisser interagir pleinement avec le mobilier et la décoration « . José Medina Galeote Si Forbo Flooring a déjà inspiré nombre de créateurs emblématiques (comme Philippe Starck, Ettore Sottsass ou encore Tibor Reich), cette nouvelle collaboration avec l’artiste espagnol José Medina Galeote donne le coup d’envoi d’un […]
Il y a 3 ans et 65 jours

Bosch Thermotechnologie conforté dans sa stratégie multi-énergies

Le fabricant de solutions de chauffage affiche des résultats en forte hausse. Si le fioul n’est plus d’actualité, les pompes à chaleur, air-eau comme air-air, portent une offre désormais complète.
Il y a 3 ans et 66 jours

244 logements à Ivry par Tolila+Gilliland : nouveau monde ?

Architecte du lot D, l’atelier Tolila + Gilliland (Gaston Tolila et Nicholas Gilliland), avec Frédéric Lebard Architectes Associés, a livré en 2022 à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Nouveau Monde, une résidence pour étudiants de 170 logements et un bâtiment de 74 logements en accession avec commerces en rez-de-chaussée (43 300m² au total). Maîtrise d’ouvrage : Nexity et Linkcity. […] L’article 244 logements à Ivry par Tolila+Gilliland : nouveau monde ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 66 jours

Le temple mondial de la production de moteurs Diesel pour l'automobile se convertit à l'électrique

Cette transition est hautement symbolique pour la majorité d'Emmanuel Macron, qui affiche la réindustrialisation de la France comme une de ses priorités, à quelques semaines de l'élection présidentielle, mais les retombées en matière d'emplois sont à nuancer.A Trémery, une trentaine d'ouvriers travaillaient ainsi un après-midi de février sur la première petite ligne de moteurs électriques."Ça fait avant-gardiste. On nous demande tout de suite ce qu'on en pense, comment ça se passe, comment ça se monte", souffle Cédric Metz, des bouchons dans les oreilles contre le vacarme mécanique.L'opérateur a travaillé pendant 20 ans sur les moteurs essence et Diesel avant de passer à l'électrique.L'usine de Trémery, ouverte en 1979 par Citroën sur 89 hectares près de Metz, avait établi son record en 2017 avec près de deux millions de moteurs produits, dont 80% de Diesel. Mais l'étoile de cette motorisation a pâli avec le scandale du Dieselgate et le spectre d'une interdiction européenne des moteurs thermiques en 2035.Alors Trémery et ses 2.500 salariés, passés sous la bannière de Stellantis après la fusion de PSA avec Fiat-Chrysler, ont été convertis aux moteurs essence, et de plus en plus vite à l'électrique.La première ligne de montage électrique a remplacé en 2019 un des trois ateliers Diesel. Le moteur produit équipe désormais les Peugeot 208, Opel Corsa, DS3 ou Citroën C4 électriques.Guidés par un ruban magnétique, des chariots traversent la ligne, distribuant les pièces de poste en poste à une trentaine d'ouvriers. Des robots prennent la main sur certains postes et contrôlent le travail final."On est partis dans l'électrique, on y va et on ne va plus s'arrêter", lance le responsable de la ligne, Stanislas Kohout, qui vient aussi du Diesel. "On a la fierté d'être les premiers".A quelques mètres de là, une deuxième ligne tout aussi compacte est en cours de démarrage: si la première avait été conçue pour produire 120.000 moteurs par an, puis dopée à 180.000, la deuxième en promet 300.000."Occasion de relocaliser"Dans un bâtiment voisin, Stellantis et son partenaire japonais Nidec montent une ligne qui fabriquera des rotors et des stators, éléments essentiels du moteur électrique qui sont pour le moment largement importés d'Asie."La seule chose qui nous limite est le manque de composants électroniques, il y en a partout sur un moteur électrique", souligne le directeur de l'usine Marc Bauden.Les tâches n'ont pas beaucoup changé, mais "il y a moins de pièces à assembler", souligne M. Kohout. "C'est beaucoup plus automatisé, mais on crée de nouveaux métiers", explique-t-il. "Les îlots robotisés demandent un certain savoir-faire"."Je ne pense pas que ce soit inquiétant, parce qu'il y a de la demande", souligne Yosra Idir, 39 ans, une des rares femmes de la ligne, qui serre des boulons sur un moteur. "A un moment donné, il faudra ouvrir des lignes pour pouvoir suivre la demande des clients (...) On va tous finir à l'électrique".L'électrification de l'industrie automobile pourrait pourtant causer la suppression de 52.000 postes en France, notamment chez certains sous-traitants, selon une projection à 2030 du cabinet AlixPartners.A Trémery, avec l'automatisation et les délocalisations, le nombre de salariés a déjà été divisé par deux en vingt ans.A l'inverse, une vingtaine de milliers d'emplois pourraient être crées dans des nouveaux métiers, autour des bornes de recharge par exemple. La reconversion d'usines comme Trémery, ainsi que les trois usines de batteries électrique qui doivent ouvrir dans le nord de la France, célébrées par le gouvernement, ne vont pas tout compenser."Il y a beaucoup à faire autour de la croissance de l'électrique", c'est "une occasion de relocaliser", souligne l'économiste Bernard Jullien, de l'université de Bordeaux. Mais avec des moteurs qui demandent beaucoup moins de main d'oeuvre, "il va falloir se partager la rareté".Chez Renault par exemple, l'usine de moteurs de Cléon (Seine-Maritime) "pourrait satisfaire une très large part de la demande européenne" du groupe, souligne-t-il.Qui produira le dernier moteur Diesel? L'économiste mise sur l'Espagne, la Roumanie ou le Maroc, près des dernières grosses usines d'assemblage de Renault et Stellantis.
Il y a 3 ans et 66 jours

Béton cellulaire : Xella investit pour recycler ses chutes de production

OUTIL DE PRODUCTION. Le producteur de béton cellulaire, Xella, a lancé un plan de modernisation de son usine de Saint-Savin situé dans l'Isère. Un programme de 1,1 million d'euros qui s'étend sur 2 ans qui prévoit notamment le recyclage de chutes.
Il y a 3 ans et 66 jours

Face au réchauffement climatique, la protection solaire devrait être la première solution pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie pour le refroidissement des locaux dans les bâtiments européens jusqu'à 60 % d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros. Telles sont les conclusions de l’étude scientifique menée par Guidehouse, la première à comparer l'impact de la protection solaire avec l'utilisation de la climatisation dans les bâtiments. Selon ES-SO, l'organisation qui chapeaute l'industrie européenne de la protection solaire, l'étude prouve qu'il existe un besoin urgent de protection solaire automatisée pour rendre les bâtiments plus résilients face au climat et plus efficaces sur le plan énergétique. ES-SO souhaite donc que la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD) en tienne compte. Un constat partagé par le Groupement Actibaie, syndicat professionnel en France des protections solaires, qui milite pour une intégration des stores et volets aux dispositifs d’aides à la rénovation énergétique.Combattre la surchauffe dans les bâtimentsEn tant qu'organisation, ES-SO est convaincue que la protection solaire automatisée est la meilleure défense contre le changement climatique et pourrait faire partie de la solution structurelle. Sur la base des résultats de l'étude Guidehouse, ES-SO demande instamment aux décideurs politiques de l'UE de rendre la protection solaire obligatoire dans le cadre de la directive EPBD, en tant que première solution - avant l'utilisation du refroidissement actif, tel que la climatisation - dans la lutte contre la surchauffe.Pour Anders Hall, président d’ES-SO : "De nos jours, les bâtiments sont les plus gros consommateurs d'énergie en Europe. Ils consomment 40 % de notre énergie et sont responsables de 36 % des émissions de gaz à effet de serre. Les résultats de l'étude Guidehouse sont impressionnants, car ils démontrent une économie d'énergie potentielle de 60% sur le refroidissement des bâtiments d'ici 2050. Cette étude montre qu'il ne faut plus attendre et que la protection solaire doit être la première solution pour lutter contre la surchauffe des bâtiments. Nous nous projetons déjà dans un futur dans lequel les bâtiments devront être plus résilients face au climat et moins gourmands en énergie." Étude : Protection solaire vs. ClimatisationLe changement climatique va de pair avec des températures plus élevées et des canicules plus longues et plus intenses. On estime que les bâtiments nécessitant une climatisation vont augmenter de 60 %. Dans son étude, Guidehouse, qui conseille les marchés publics et commerciaux du monde entier, a analysé l'impact de la protection solaire par rapport à l'utilisation de la climatisation dans les bâtiments. Les simulations et les différents scénarios sont assez clairs : si la protection solaire est utilisée comme première mesure avant le refroidissement actif (scénario préféré), nous devrions être en mesure d'arrêter la croissance des bâtiments nécessitant une climatisation d'ici 2050. Impact positif de la protection solaire Les résultats de l'étude Guidehouse montrent que la protection solaire automatisée a un impact positif certain, et ce non seulement sur la planète, mais aussi sur la société et les personnes. La planète : Une stratégie de réduction du CO2Entre aujourd'hui et 2050, environ 100 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre (*) peuvent être évitées dans le scénario de protection solaire préféré de l'étude Guidehouse. Cette réduction de 100 millions de tonnes d'émissions de CO2 est équivalente aux émissions annuelles de CO2 de 22 millions de voitures.(*) Les facteurs de CO2 sont conformes à l'évaluation d'impact de la directive EPBD 2021 et basés sur le Plan d'objectifs climatiques 2030 de la Commission européenne. Société : une stratégie axée sur les économies d'énergieDans le scénario privilégié, la protection solaire peut réduire de 60 % l'énergie utilisée dans le parc immobilier de l'UE pour le refroidissement des locaux. Selon l'étude du Guidehouse, cette économie d'énergie (d'environ 870 térawattheures d'électricité) est à peu près équivalente à la consommation finale d'énergie de l'Espagne, qui compte 47 millions d'habitants. Les personnes : une stratégie rentableL'étude montre que la protection solaire est un investissement beaucoup plus rentable que le refroidissement actif des espaces, comme la climatisation, étant donné que cette solution pourrait permettre d'économiser jusqu'à 285 milliards d'euros d'ici à 2050. Ce montant est similaire au PIB de pays comme la Finlande et le Luxembourg réunis. Shady Attia, professeur en architecture durable et en technologie du bâtiment à l'université de Liège (Belgique), affirme que la protection solaire pourrait potentiellement apporter une énorme contribution au Green Deal européen. "Aujourd'hui, moins de 50% des bâtiments sont équipés de protections solaires, et une grande partie de celles-ci ne sont pas automatisées. Les résultats de l'étude Guidehouse confirment ma conviction que la protection solaire est une bien meilleure solution que la climatisation pour notre planète, et que nous devons de toute urgence envisager l'utilisation de protections solaires automatisées pour rendre les bâtiments plus résilients face au climat et plus efficaces sur le plan énergétique."
Il y a 3 ans et 66 jours

Qualifelec adresse ses propositions aux candidats à l'élection présidentielle 2022

Dans ce contexte de transition, la production, la distribution, l’utilisation et le stockage d’électricité sont, plus que jamais, des activités stratégiques.La prochaine élection présidentielle doit marquer une étape supplémentaire, dans la mise en œuvre de politiques publiques favorables à la transition énergétique et écologique.Dans ce contexte, Qualifelec, leader français de la qualification des entreprises du génie électrique, écologique et numérique, représentant plus de 7.000 entreprises qualifiées, a souhaité adresser aux candidats quatre propositions concrètes : la montée en compétences des professionnels ; l’électromobilité ; la production et le stockage d’énergies renouvelables ; la seconde vie de nos appareils électriques et électroniques. Ces propositions d’actions sont le fruit d’une réelle expérience de terrain, ainsi que d’un dialogue constant avec les pouvoirs publics, que Qualifelec interpelle aujourd’hui.4 propositions de Qualifelec pour l’élection présidentielle 2022La flambée des prix du carburant, loin d’être un phénomène conjoncturel lié à la sortie de crise sanitaire, résulte d’un changement profond qui va marquer durablement nos sociétés de consommation. Nous entrons dans une nouvelle ère, qui est celle de l’après-énergie fossile.Dans ce contexte, la production, la distribution, l’utilisation et le stockage d’électricité deviendront plus que jamais des activités stratégiques. Notre pays, dont les savoir-faire technologiques et les compétences professionnelles ne sont plus à démontrer en la matière, doit s’engager résolument dans la voie de la transition écologique.C’est pourquoi Qualifelec, principal organisme de qualification des entreprises françaises du génie électrique depuis 1955, est un partenaire privilégié des acteurs publics et privés en matière d’amélioration de la performance énergétique.Comme à l’époque de la création de Qualifelec en pleine reconstruction de notre pays, la qualification apporte aujourd’hui, dans une période de profondes transformations technologiques, un gage de sécurité, de fiabilité et de confiance pour les Français.En ayant recours à des professionnels qualifiés, le consommateur a l’assurance d’une installation électrique et d’une maintenance de qualité dans le respect des normes en vigueur. Il soutient également des femmes et des hommes de terrain qui contribuent à la richesse du tissu économique et à l’emploi au niveau local.Grâce à son maillage territorial en métropole et en Outre-Mer, Qualifelec possède une vision fine et précise des enjeux de la filière électrique, et, plus généralement, de la transition énergétique et écologique.Face aux défis qui nous attendent dans les prochaines années, c’est en effet au niveau régional que des solutions pertinentes pourront émerger.Fort d’une meilleure connaissance des besoins locaux, l’échelon territorial peut flécher plus efficacement les financements nécessaires aux changements structurels à venir et aux besoins des filières professionnelles.À l’heure des choix importants que le pays a à faire pour les cinq années à venir et après deux années au cours desquelles la crise sanitaire a remis en cause bien des certitudes, les professionnels qualifiés du génie électrique expriment les convictions suivantes :L’enjeu des compétencesCe qui nourrit le travail d’un professionnel, c’est la confiance que l’usager place en ses compétences et son savoir-faire.La compétence technique est au cœur du marché de la qualification, elle est liée à l’autorisation de réaliser certaines installations sous réserve d’avoir suivi les formations requises. L’entretien et le développement de ces compétences techniques est constant. C’est la garantie de gagner et entretenir la confiance des usagers et d’assurer la pérennité et l’attractivité de secteurs économiques, aujourd’hui en forte croissance (BTP, génie électrique, etc.)Avec l’avènement du numérique et des bâtiments connectés, les professionnels du génie électrique et du bâtiment au sens large doivent être, plus que jamais, des acteurs complémentaires, les premiers apportant une vision globale et stratégique des nouveaux usages du bâti.Avec la reprise économique, il va falloir recruter massivement, notamment dans le BTP. Le CREDOC estime que le secteur devrait recruter jusqu’à 30.000 personnes en 2022, alors que les besoins sont trois fois plus importants.Il est donc nécessaire d’entreprendre une action à deux volets : accompagner, en continu, la montée en compétences des professionnels du génie électrique, énergétique et numérique, et rendre plus attractif un corps de métier qui peine à trouver les professionnels de demain.Il faut améliorer la promotion de ces métiers, en valorisant les compétences de haut niveau qui sont indispensables à l’intégration des nouveaux usages, la maintenance des installations tout au long de leur cycle de vie, et la nécessité de pouvoir adapter, en permanence, nos infrastructures à l’ère du numérique.Selon l’Étude prospective emplois et compétences de la filière électrique1 de l’Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC), la filière fait face à trois problèmes principaux :« L’offre de formation professionnelle continue ne correspond pas pleinement aux besoins des entreprises ;La filière électrique est créatrice de nombreux emplois qualifiés et pérennes, qu’elle peine à pourvoir ;La filière électrique fait face à des enjeux nationaux communs, mais aussi à des défis spécifiques à chaque territoire. »Compte tenu du maillage territorial dont dispose Qualifelec, et de l’importance de la formation qui est au coeur de notre activité et de notre rôle dans l’écosystème, nous proposons de prendre en compte cette fracture territoriale spécifique dans l’approche appliquée aux politiques publiques du secteur.Proposition n°1 : Nous proposons de créer, au niveau régional, des observatoires de l’emploi dans la filière électrique et numérique. Ces outils, élaborés conjointement par les représentants sectoriels (FFIE, UNA3E, FFB, CAPEB), les pouvoirs publics (conseils régionaux, départements, agglomérations) et les organismes consulaires (CCI, Chambre des Métiers), auront vocation à promouvoir les offres de formation ainsi que l’image et les possibilités offertes par la filière.Les promesses de l’électromobilitéEn complément de la recharge à domicile, la France compte désormais environ 53.000 points de recharge ouverts au public (chiffre février 2022 - source Mobility Total Energies2) et enregistre, ces derniers mois, une très nette accélération du déploiement de ces Infrastructures de Recharge des Véhicules Électriques (IRVE).Côté filière, cette dynamique est soutenue par le nombre croissant d’installateurs électriciens qui s’investissent dans cette activité. Qualifelec compte déjà 3.000 entreprises qualifiées en IRVE, soit une croissance de 50% en 12 mois.La qualification est un gage de confiance pour les consommateurs qui garantit que les installateurs électriciens qualifiés maîtrisent le savoir-faire indispensable pour répondre aux normes de sécurité en vigueur.Qualifelec a été le premier organisme de qualification à proposer la reconnaissance de la compétence en IRVE, deux ans avant que le législateur ne rende la qualification obligatoire dans cette activité, dans le cadre du décret du 12 janvier 2017.L’arrêté du 27 octobre 2021 a renforcé les conditions et l’obligation du recours à un professionnel qualifié pour l’installation des IRVE, mais aussi leur maintenance.Pour tenir compte de ces évolutions réglementaires, le conseil d’administration de Qualifelec a adopté, dès le 17 novembre dernier, une nouvelle qualification dédiée qui tient compte des évolutions réglementaires et des attentes spécifiques de la maîtrise d’ouvrage.Avec l’aide de ses instances collégiales, Qualifelec observe en permanence les évolutions des marchés du génie électrique, énergétique et numérique et développe un outil de cartographie3 qui permet de localiser, sur l’ensemble du territoire national, les entreprises qualifiées en matière d’IRVE.Toutefois, à son article 22, le décret du 4 mai 2021 a exempté les infrastructures d’une puissance totale inférieure ou égale à 3,7 kW installées dans un bâtiment privé ou dont la fonction principale n’est pas de recharger des véhicules électriques et qui ne sont pas accessibles au public, de l’obligation de maintenance.Cela nous semble préjudiciable au regard de l’accélération du déploiement des installations privées et du développement des usages en matière d’IRVE. Par ailleurs, la maintenance et le pilotage des installations électriques font appel à une main d’oeuvre non-délocalisable et soutiennent l’économie locale.Proposition n°2 : Étendre l’obligation de maintenance à toutes les installations électriques utilisées pour la recharge des véhicules électriques, quelle que soit leur puissance. Cette maintenance devrait être réalisée par un professionnel qualifié.Il est important d’introduire la nécessité d’un contrôle périodique des installations électriques, pour sortir du contrôle curatif et éviter les déperditions d’énergie et les contraintes dont pâtissent, en premier lieu, les usagers.Le défi du tout électrique produit localementLe développement des énergies renouvelables, et particulièrement du solaire photovoltaïque, rend possible de nouvelles synergies entre le bâtiment et la mobilité électrique, en plein essor.De nouvelles synergies se créent entre production énergétique locale, autoconsommation et stockage.Le Gouvernement, conscient de ces opportunités, a lancé le « Plan 100.000 bornes », et le président de la République vient d’annoncer sa volonté de "multiplier par dix les capacités du solaire d'ici 2050".Cependant, le rapport 2021 du Ministère de la Transition Écologique relatif à « la part de la consommation finale brute d’énergie produite à partir de sources renouvelables » place la France à la 17ème place sur 27 pays européen.Il apparaît donc nécessaire d’augmenter la proportion d’énergies renouvelables produites dans notre pays, si nous souhaitons tenir nos engagements climatiques à l’horizon 2050.Un des freins identifiés est l’intermittence de la production d’énergie électrique. Celle-ci peut être palliée par des solutions de stockage, en attendant sa consommation, au moins au niveau journalier.Le stockage sur batterie de l’électricité produite renforce les interactions entre le bâtiment et la voiture électrique et dessine une nouvelle organisation du réseau électrique à l’échelle locale.Le bâtiment est amené à produire sa propre énergie, à l’autoconsommer (à titre individuel ou collectif), à la réguler, via des systèmes de pilotage, et à fournir des services de stockage.A chacune de ces étapes, la qualité des travaux d’installations est cruciale. Les entreprises qualifiées ont fait la preuve de leur maîtrise des compétences d’électricien, indispensables au fonctionnement optimum et sécurisé de tout équipement électrique. S’y ajoute la justification de formations spécifiques en fonction de l’activité exercée.Dans l’activité solaire photovoltaïque, nous vérifions régulièrement le savoir-faire technique des équipes et la couverture assurantielle des entreprises. Nous effectuons les contrôles réglementaires et délivrons les certificats de qualification requis. Qualifelec assure également la reconnaissance des compétences en mesure de répondre au déploiement prévisionnel de technologies nouvelles, comme le stockage.Proposition n°3 : Il est donc nécessaire que les pouvoirs publics français soutiennent les efforts de recherche et développement (R&D) en matière de stockage, ainsi que l’organisation d’une filière décentralisée, au plus proche des besoins des territoires, en s’appuyant sur le réseau des professionnels qualifiés du génie électrique, énergétique et numérique.L’espérance d’une seconde vieNos appareils électriques ont le droit à une seconde vie et pour cela à l’intervention de professionnels qualifiés.La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), en vigueur depuis le 10 février 2020, a prévu, à son article 62, la création d’un fonds de financement de la réparation dont la mise en oeuvre a été confiée à deux éco-organismes, Ecosystem et Ecologic.Pendant deux ans, Qualifelec s’est particulièrement impliqué dans la mise en oeuvre du fonds de réparation en engageant, dès le vote de la loi, le dialogue avec les deux éco-organismes chargés de sa mise en oeuvre.Malheureusement, deux problèmes se posent :De nombreux acteurs de l’écosystème ont publiquement déploré le manque criant de dotation du fonds5 (Directrice Générale de l’association Halte à l’obsolescence programmée (HOP) France Nature Environnement, Spareka, Amorce, Fedelec, Consommation Logement et Cadre de vie, Zero Waste France, les Amis de la terre, la Compagnie du SAV, Back Market) ;Le risque est grand de voir le marché de la réparation préempté par les grands acteurs nationaux de la vente des équipements électriques et électroniques (EEE).En effet, tel qu’il a été rédigé, le cahier des charges du marché néglige complètement les professionnels de proximité, les artisans et les électriciens qualifiés (qui sont aussi et souvent des réparateurs) au profit d’un processus de certification lourd administrativement et coûteux financièrement, qu’aucun artisan ou indépendant ne pourra traverser pour accéder aux financements.Le recours aux réparateurs qualifiés, présents partout sur le territoire national, au plus près des besoins des consommateurs, serait, selon nous, un gage de confiance pour les bénéficiaires du fonds qui disposeraient ainsi d’une réelle offre locale, alternative aux grandes enseignes.Enfin, cela constituerait un puissant outil de soutien en faveur de l’activité dans les territoires et les zones moins couvertes par les géants du secteur, en plus de favoriser l’artisanat local et les TPE présentes partout sur le territoire.Les récentes annonces des éco-organismes n’ont pas entamées notre inquiétude sur l’ensemble des points.Proposition n°4 : La mise en oeuvre du fonds de réparation destiné aux équipements électriques et électroniques (EEE), prévu dans la loi AGEC, doit, dans son cahier des charges, permettre l’accès au marché ainsi créé au plus grand nombre, notamment aux artisans et indépendants.Pour ce faire, nous proposons la mise en place d’un pourcentage de marché réservé aux structures de moins de 50 salariés et placé sous le contrôle des observatoires régionaux proposés plus haut.
Il y a 3 ans et 66 jours

Prix Paris Shop & Design 2022

La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Paris lance la 8ème édition du prix Paris Shop & Design qui valorise les initiatives les plus réussies en termes d’aménagement des espaces de vente et d’accueil du public. Jusqu’au 30 avril 2022. Le prix récompense les réalisations de moins de 3 ans (création ou rénovation de […] L’article Prix Paris Shop & Design 2022 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 66 jours

Cheminées Poujoulat part en tournée à la rencontre de ses clients à bord d'une semi-remorque

Un Tour de France de 15 dates et 8 étapes Le Tour de France Cheminées Poujoulat fera étapes dans 8 villes :Saint-Symphorien (79) les 2 et 3 mars 2022 > siège social de Cheminées Poujoulat et production de conduits de fuméeMauron (56) les 9 et 10 mars 2022 > production de granulés de boisBoulleville (27) le 22 mars 2022 > production de granulés de bois et bois densifiéTourcoing (59) les 24 et 25 mars 2022 > production de conduits de fuméeDemangevelle (70) les 29, 30 et 31 mars 2022 > production de bois bûches et bois densifiéNoirétable (42) le 5 avril 2022 > production de bois bûche et bois d'allumageMende (48) les 7 et 8 avril 2022 > production de granulés de boisLabouheyre (40) les 12 et 13 avril 2022 > production de granulés de bois Au programme de ce roadshow : des visites guidées d'usines, des moments de partage et de convivialité dans un cadre réceptif original, à bord d'une semi-remorque de 70 m2 répartis en 3 espaces à l'effigie de Cheminées Poujoulat. Pour l'occasion, Cheminées Poujoulat a fait appel au savoir-faire de la société de location de véhicules événementiels Podiocom basée près de Rennes (35) qui équipe entre autres des partenaires sur le Tour de France de cyclisme et qui a habillé le fameux camion de l'émission « C'est pas sorcier ». Sensibiliser les professionnels au potentiel du marché du bois énergieAvec cette tournée, le leader européen des conduits de fumée et sorties de toit entend faire découvrir à ses clients et prospects les nouvelles tendances du marché du bois énergie. Un secteur actuellement en pleine croissance grâce à un contexte réglementaire porteur : RE2020, rénovation énergétique soutenue par de nombreuses aides (MaPrimeRénov', Certificats d'Économies d'Énergie), interdiction des chaudières fioul neuves à partir du 1er juillet 2022, etc.À ce titre, un temps fort sera consacré à l'actualité de Cheminées Poujoulat, aux tendances marché du bois énergie, aux perspectives et au développement le tout dans une ambiance conviviale !
Il y a 3 ans et 66 jours

Weber à la conquête de la France

Weber se lance à la rencontre de centaines de négoces partout en France. [©Weber] Weber se lance dans un tour de France. La filiale du groupe Saint-Gobain a annoncé son Weberexpert Tour 2022, prévu entre mars et novembre. Cet événement permet de faire découvrir à des négoces situés partout en France les solutions Weber, via des démonstrations et des conseils. Qu’il s’agisse d’une rénovation de façade ou de la pose d’un carrelage, les clients bénéficieront aussi de vidéos ou de bornes digitales pour accéder à un ensemble de tutoriels. Ainsi, plus d’une centaine de rencontres vont être organisées cette année. Pour sa première étape, l’industriel a déjà rejoint les Alpes-Maritimes, et plus précisément à Cagnes-sur-Mer. Weber au service de ses clients Lors de cette opération, Weber propose des espaces de rencontres, d’échanges, d’expositions et d’expérimentations. Parmi ses installations, “l’atelier des experts” devrait être le stand le plus convoité. Il accueille une sélection de produits phares, d’innovations et la gamme “éco-conçue”. Très sollicitée par les professionnels de la construction, cette dernière présente diverses solutions biosourcées ou à empreinte carbone réduite. Lire aussi : Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical Permettant ainsi de répondre aux nouveaux enjeux environnementaux. En parallèle, la caravane du tour fait office de “café”, où sont servis petits-déjeuners, déjeuners et collations. Un “jeu des experts” est enfin organisé. Il permettra aux participants de gagner de nombreux lots. De quoi renforcer les relations entre les artisans et l’industriel.
Il y a 3 ans et 67 jours

Station avec services à Nouméa, Victoire pour Karine Demortier

La station Shell Victoire de Nouméa (Nouvelle-Calédonie), réhabilitée et agrandie, a été livrée début 2022 par l’architecte Karine Demortier. Parmi les solutions d’habillages décoratifs de Gantois Architecture, la femme de l’art a opté pour la gamme Rythmic Exau. Sur un terrain de 2 600 m², l’objectif du programme était d’augmenter le nombre de pompes et […] L’article Station avec services à Nouméa, Victoire pour Karine Demortier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 67 jours

87 logements avenue de France par Lambert Lénack

L’agence parisienne Lambert Lénack (Adrien Lambert et Etienne Lénack) a livré en 2021 avenue de France sur la ZAC Paris Rive Gauche (XIIIe) un programme mixte de 87 logements (6 456 m² SDP), bureaux (847 m²), commerces (390 m²). Communiqué. Situation, usage et structure Sur ce site exceptionnel, l’agence Lambert Lénack propose deux immeubles « […] L’article 87 logements avenue de France par Lambert Lénack est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 69 jours

Les représentants de 5 candidats à l’élection présidentielle se positionnent sur les grands enjeux en matière de dérèglement climatique et de logement

Les représentants suivants étaient présents lors de la table-ronde : David Belliard, adjoint à la maire de Paris en charge de la transformation de l'espace public et des transports, représentant de Yannick Jadot (EELV) ; Geoffroy Didier, député européen et secrétaire général délégué des Républicains, représentant de Valérie Pécresse (LR) ; Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin, ancienne secrétaire d'État chargée de la Politique de la Ville, représentante d'Anne Hidalgo (PS) ; Olivier Klein, maire de Clichy-sous-Bois, président de l'ANRU, relais pour la Majorité présidentielle et Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne, représentante de Jean-Luc Mélenchon (LFI). Les représentants de ces équipes de campagne ont échangé pendant deux heures de débat animées par Thomas Legrand. Cette rencontre exceptionnelle, enregistrée en direct et suivie en ligne par plusieurs milliers de personnes, était centrée sur deux enjeux essentiels autour desquels les architectes, qui portent une mission « d’intérêt public », s’engagent au quotidien et portent des solutions concrètes :Faire face au changement climatique : à l’heure où la planète connaît une phase de réchauffement climatique sans précédent, comment adapter les villes, les méthodes de construction et de rénovation à cette nouvelle donne ? Comment limiter l’impact de la construction sur l’environnement, pour éviter de subir davantage ce réchauffement ?Passer d’une politique du logement à une politique de l’habitat : 12 millions de personnes sont fragilisées par le logement, qui reste le premier poste de dépenses des ménages. Comment répondre à la demande de logements autrement qu’en proposant de « construire toujours plus et plus vite », au détriment de la qualité ? Au cours de ce débat, Christine Leconte, présidente de l’Ordre des architectes, a pu montrer le rôle de l’architecte en tant que partenaire-expert « transversal » au service de la transition écologique et sociale, garant d’une meilleure qualité d’habitat et de vie.Pour Christine Leconte, présidente de l’Ordre des architectes : « Nous avons souhaité entendre les candidats autour de ces enjeux clés pour les français en matière de cadres de vie car nous sommes convaincus que les politiques publiques des dernières décennies ont été trop souvent contreproductives. Il ne faut pas que les erreurs du passé se répètent en la matière, c’est la demande que nous avons formulée aux équipes des candidats. Nous devons par exemple avancer pour avoir une meilleure maîtrise des coûts du logement, à l’heure où les coûts du portage vont jusqu’à 30% sur le neuf ».
Il y a 3 ans et 69 jours

Sika se renforce dans les produits à base de ciment au Canada

ACQUISITION. Le groupe suisse de chimie, Sika, annonce l'acquisition de Sable Marco, un fabricant canadien de produits à base de ciment ainsi que des mortiers.
Il y a 3 ans et 69 jours

Le SNBPE et l’Unicem proposent un plan d’action environnemental pour ses adhérents

Le SNBPE et l’Unicem organisent, le lundi 7 mars prochain, une nouvelle “matinale environnement”. [©SNBPE/Unicem] En septembre 2021, l’Unicem Ile-de-France, Haropa Port et la Ville de Paris signaient une nouvelle édition de la charte d’amélioration des ports. L’Unicem et le SNBPE ont alors acté un plan d’action concret pour poursuivre la sensibilisation de leurs adhérents. Cela, afin d’améliorer l’exploitation des activités portuaires et industrielles en Ile-de-France. Après une première session, le 22 novembre dernier, les deux entités poursuivent les “matinales environnement”, dont la prochaine est prévue pour le lundi 7 mars 2022. Celle-ci s’adresse aux agents techniques et aux responsables de centrales à béton de la région, pour les sensibiliser aux bonnes pratiques environnementales. Le programme des “matinales environnement” Les matinales reviennent ainsi sur différentes thématiques. A l’image du régime règlementaire “installations classées pour la protection de l’environnement”. L’Unicem et le SNBPE décryptent aussi la pratique sur le terrain pour déterminer les bonnes pratiques à mettre en place. Lire aussi : Le SNBPE et Cimbéton lancent la 8e édition du concours d’idées Les conférences sont d’ailleurs organisées autour de plusieurs sujets. A savoir la gestion du stockage des matériaux, des eaux et le tri des déchets. Les participants peuvent ensuite partager leurs expériences en matière d’actions environnementales au sein de leur activité. Plusieurs autres sessions sont déjà programmées tout au long de l’année 2022.
Il y a 3 ans et 69 jours

Nouvelle gamme de PAC Aquarea ultra silencieuses

Même si les dernières générations de Pompes à Chaleur affichent d’ores et déjà de bonnes performances en matière sonore (les PAC Aquarea Panasonic revendiquent en moyenne une puissance sonore de 67 dB(A) maximum, soit le bruit d’un environnement de travail habituel), il reste encore des environnements sensibles au bruit (unité extérieure proche d’une autre maison, installation en toiture pour du résidentiel collectif) pour lesquels il est souhaitable de recourir à des matériels encore plus silencieux. C’est pour répondre à ce besoin spécifique que Panasonic a mis au point une nouvelle gamme de PAC encore plus silencieuses.Une technologie unique, ultrasilencieuse et ultraperformanteL’unité extérieure de la T-CAP SQ utilise un châssis différent, couplé à une isolation avancée du compresseur. Cette particularité permet à chaque modèle d’être « automatiquement » plus silencieux de 5 à 7 dB(A) par rapport à des produits similaires. De plus, les modèles SQ, comme les autres Aquarea, bénéficient de 3 niveaux de bruit qui peuvent être activés via la télécommande.L’autre intérêt majeur de cette technologique c’est que l’unité extérieure affiche un confort sonore inégalité sans aucune perte de puissance ni de performance. Les PAC Aquarea T- CAP SQ revendiquent donc les mêmes performances énergétiques que les autres solutions de la gamme avec un confort renouvelé.Aquarea T-CAP, le plus du maintien de puissanceLes PAC Aquarea T-CAP sont équipées de la technologie Total CAPacity, une exclusivité Panasonic. Cette dernière, via une réinjection de fluide avant l’aspiration du compresseur, permet de maintenir une puissance constante, ce qui évite les surdimensionnements. La PAC maintient ainsi sa puissance et sa température sans appoint électrique même par -20°C. Fortes de COP élevés même à basse température extérieure, les PAC T-CAP délivrent une température de sortie d’eau jusqu’à 60° ce qui en font une solution idéale en remplacement d’une ancienne chaudière voire d’une Pompe à Chaleur.Pour les nouvelles installations, les modèles de la série T-CAP peuvent également être combinés sans problème avec un chauffage au sol, des radiateurs ou des ventilo-convecteurs
Il y a 3 ans et 69 jours

La CAPEB et Rockwool renouvellent leur partenariat pour accompagner les artisans sur les enjeux d’efficacité énergétique

Ce partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, et Elisabeth Bardet, Directrice Commerciale France et Export de ROCKWOOL, permettra de proposer des solutions d’isolation robustes et modernes aux entreprises artisanales du bâtiment et de développer leurs connaissances sur les problématiques d’efficacité énergétique grâce à des formations adaptées.Dans le cadre de cet accord, ROCKWOOL concevra, donc, en collaboration avec la CAPEB, le contenu de formations destinées à développer les connaissances des entreprises artisanales du bâtiment. Ces modules seront différenciés en fonction des caractéristiques et activités des entreprises artisanales du bâtiment.ROCKWOOL fournira également des outils pédagogiques et d’aide à la vente pour permettre aux adhérents de la CAPEB de démontrer à leurs propres clients les bénéfices des solutions proposées. Des contenus et des outils seront développés notamment grâce à l’expertise de ROCKWOOL Campus, un organisme de formation dont l’objectif est de proposer aux professionnels des formations isolation adaptées à leurs besoins et à leurs niveaux d’expérience. Des programmes certifiés QUALIOPI sont proposés pour garantir la performance, la professionnalisation des métiers et la sécurisation des processus de la conception à la construction.ROCKWOOL mettra aussi à disposition des adhérents les services gratuits « Rénov’ » by ROCKWOOL dédiés à la mise en relation des particuliers et des artisans RGE, ainsi que la possibilité de devenir membre de son club de fidélité Rockclub. Enfin, ROCKWOOL renverra systématiquement toutes les entreprises artisanales du bâtiment qui souhaitent avoir des informations ou devenir ECO Artisan RGE vers les CAPEB départementales. De son côté, la CAPEB s’engage à informer le réseau CAPEB de la gamme d’offres et services de ROCKWOOL. Enfin, elle permettra aux entreprises artisanales du bâtiment, à travers son service de proximité, de bénéficier de l’offre de formation ROCKWOOL.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Après l’épisode de « l’isolation à 1€ », replaçons les solutions d’isolation comme un élément clef de la rénovation énergétique. Parce qu’elle est essentielle, il était donc important pour nous de continuer à travailler main dans la main avec le leader mondial de l’isolation en laine de roche. C’est une nouvelle occasion de poursuivre la sensibilisation de nos entreprises artisanales du bâtiment sur les enjeux de l’efficacité énergétique. »Pour Elisabeth Bardet, Directrice Commerciale France et Export de ROCKWOOL : « Partenaire historique de la CAPEB et des artisans, nous renouvelons avec plaisir notre partenariat qui va continuer de renforcer les liens qui nous unissent. Nos produits d’isolation et nos services, ainsi que notre nouvelle plateforme de mise en relation des particuliers et des artisans Rénov’ by ROCKWOOL, et enfin notre équipe de formation Campus, s’inscrivent pleinement dans les enjeux majeurs de la rénovation énergétique aux côtés des artisans, acteurs clés et garants de la bonne réalisation des chantiers. »
Il y a 3 ans et 69 jours

Colas Rail remporte un contrat de 760 millions d’euros sur la première ligne souterraine du métro de Manille

Colas Rail, mandataire d’un groupement comprenant Thales et Egis, a été choisi par Mitsubishi Corporation pour la conception et la construction clé en main du système ferroviaire de la première ligne souterraine du métro de Manille. Le montant total du projet s’élève à environ 1 milliard d’euros, dont 760 millions d’euros(1) pour Colas Rail. Ce […]
Il y a 3 ans et 69 jours

Rencontre de l’aluminium TECHNAL , du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

Située à Fontcouverte, dans une ancienne carrière de calcaire où la végétation laisse entrevoir par endroit la roche, cette maison de 150 m² s’insère perpendiculairement à la falaise. L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes […]
Il y a 3 ans et 69 jours

Nouvelle laine de roche pour une isolation extérieure sous enduit simple

Knauf Insulation a conçu la solution FKD-MAX C2 pour l’isolation des murs extérieurs sous enduits des bâtiments. Ces nouveaux panneaux support d’enduit en laine minérale de roche sont revêtus d’une pré-impression sur leurs deux faces. Cette solution a été mise au point pour permettre jusqu’à 25% de gain de temps lors de sa mise en œuvre. Selon l’industriel, ces nouveaux panneaux présentent la meilleure résistance thermique du marché en laine minérale de roche (λ = 0.034 W/(m.K)). Cette gamme s’adapte à tous les types de chevillage (à fleur, à cœur, hélicoïdales) en étant compatible avec tous les types d’enduits de finition. Les panneaux sont d’euroclasse A1, ils répondent aux exigences de la réglementation sécurité incendie (IT 249) pour toutes les typologies de bâtiments (particulièrement les IMH).
Il y a 3 ans et 69 jours

L’impact de la guerre en Ukraine sur l’aluminium

Les industriels de l’aluminium ont trouvé des solutions d’approvisionnement afin de se prémunir contre d’éventuelles restrictions russes. Néanmoins, ils craignent la flambée de l’énergie dont cette industrie est très gourmande
Il y a 3 ans et 70 jours

+4% sur le TRV depuis le 1er février 2022 : un impact bien plus important qu’annoncé sur les factures d’énergie des Français

À cela vient de s’ajouter un fort climat insécuritaire du fait de la crise ukrainienne et des conséquences actuelles et à venir sur le prix du gaz, entre autres. En septembre 2021, les experts de Cherpas publiait un rapport qui démontrait qu’opter pour le tarif heures pleines / heures creuses plutôt que le tarif de base n’était pas une alternative si avantageuse qu’elle y paraîtrait pour faire des économies. Loin d’être aussi rentable qu’espéré, alors que près de 50% des Français sont abonnés à ce type d’offre pour leur électricité, il ferait même plutôt perdre de l’argent à de nombreux ménages que l’inverse. Tenant compte de l’augmentation de +4% du TRV (Tarif Réglementé de l’Electricité) depuis le 1er février dernier, Cherpas a actualisé pour ce début d’année les données de son analyse, afin de voir si la confrontation entre le tarif de base VS le tarif heures pleines / heures creuses était toujours pertinente. Dans ce contexte de flambée des prix et malgré l’application du « bouclier tarifaire », la startup a constaté que cette hausse récente du TRV est venue changer totalement la donne, car même si elle se limite à 4% en moyenne, elle cache en réalité des évolutions tarifaires très disparates. Ainsi selon ses simulations, la plateforme Cherpas s’est aperçue que :Pour le tarif de base, le TRV subissait une augmentation moyenne de +11,6%.Pour le tarif heures creuses, le TRV augmente significativement de +8% alors que celui aux heures pleines ne subit qu’une hausse limitée de +1%.Qui sont les plus impactés par cette hausse du TRV ?Loin de mettre tout le monde sur un pied d’égalité, cette hausse de 4% du tarif réglementé de l’électricité fait majoritairement peser la hausse sur les foyers les plus modestes mais aussi les foyers les plus éco-responsables dans leur consommation. Effectivement, l’électricité des heures pleines est plus « charbonnée » car elle utilise les centrales de gaz et de charbon, tandis que l’électricité des heures creuses fait appel à l’énergie nucléaire. Comme l’indique le Syndicat de gestion des énergies de la région lyonnaise (Sigerly), « limiter les forts appels de puissance sur le réseau électrique en hiver limite la production d’électricité à partir d’énergies fossiles ».En d’autres termes :Sur les 11 millions de foyers concernés par les tarifs de base, 95% ont une consommation énergétique égale ou inférieur à 9kVA et cela concerne en grande majorité des foyers modestes. Pour ces consommateurs, la hausse du TRV depuis le 1er février 2022 atteint les 11,6%.Parallèlement, les ménages avec une part d’heures creuses dans leur abonnement supérieure à 70% subissent une hausse 2.6 fois plus importante que ceux ayant une part d’heures creuses inférieure à 30%.Cherpas, l’outil qui analyse gratuitement vos contrats et vous propose la meilleure offreFace à ces changements majeurs, le consommateur est légitimement perdu. Comment savoir si l’on paye le prix juste ? Qui croire ? Seul face à des conditions générales peu lisibles et des calculs complexes, il est difficile d’obtenir une réponse claire. D’autant plus en cette période géopolitique instable qui fait craindre le pire sur l’économie et notamment sur le prix du gaz. C’est ici que la plateforme Cherpas intervient en éclairant le consommateur face à l’opacité de l’évolution des politiques tarifaires.Alors que beaucoup de consommateurs l’ignorent encore, il est tout à fait possible de changer de fournisseur d’énergie à tout moment, sans frais et sans coupure, pour bénéficier d’offres plus intéressantes. L’application web Cherpas permet d’analyser en un rien de temps ses abonnements domestiques : électricité et gaz, internet et mobile. Une tâche fastidieuse, sur laquelle de nombreux consommateurs rechignent à se pencher.Grâce à un algorithme en veille constante sur les tendances du marché, Cherpas propose très rapidement des offres moins onéreuses et plus adaptées à la consommation quotidienne d’un foyer. L’entreprise se rémunère via les commissions proposées par certains fournisseurs, mais en mettant en avant toutes les offres du marché sans valoriser certaines par rapport à d’autres. Cela dans un souci de transparence et d’éthique.Grâce à Cherpas, ses membres ont réalisé en moyenne une économie de 219 € par an pour un foyer se chauffant à l’énergie électrique. Forte d’une croissance soutenue, l’application web compte aujourd’hui plus de 14 000 utilisateurs actifs (3 000 en septembre dernier) et supervise actuellement plus de 22 000 contrats.
Il y a 3 ans et 70 jours

Herige affiche ses ambitions dans le secteur de la menuiserie en Paca

ACQUISITION. Herige, qui s'illustre dans le négoce, le béton et la menuiserie, à travers VM, Edycem et Atlantem, annonce avoir fait l'acquisition des actifs de la société Activence, un fabricant de volets roulants et battants basé à Vitrolles.
Il y a 3 ans et 70 jours

La croissance française sera "immanquablement affectée" par la guerre en Ukraine annonce Macron

"J'ai demandé au Premier ministre d'élaborer dans les prochains jours un plan de résilience économique et social" pour répondre aux difficultés qui découlent du conflit, a déclaré le président de la République lors d'une allocution télévisée."Notre croissance, aujourd'hui au plus haut, sera immanquablement affectée par le renchérissement du prix du pétrole, du gaz, des matières premières et cela aura des conséquences sur notre pouvoir d'achat demain. Le prix du plein d'essence, le montant de la facture de chauffage, le coût de certains produits, risquent de s'alourdir encore", a-t-il averti.En 2021, la France avait connu une croissance de 7% du PIB, après une chute de 8% en 2020 durant la pandémie.Le président a cité deux secteurs économiques qui "souffrent" et "vont souffrir" particulièrement, l'agriculture et l'industrie. "Soit parce qu'ils dépendent des importations de matières premières venues de Russie ou d'Ukraine, soit parce qu'ils exportent vers ces pays", a-t-il expliqué.Alors que l'ensemble des 19 filières industrielles françaises ont été reçues dans l'après-midi par la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher pour faire le point sur les difficultés particulières des différents secteurs, le président a promis de "protéger" et "épauler" les secteurs économiques les plus exposés, "en recherchant de nouveaux fournisseurs, ou de nouveaux débouchés commerciaux"."C'est à cette fin que je me suis entretenu avec des homologues américains, européens, moyen-orientaux", a-t-il précisé."Nous apporterons des réponses adaptées face aux perturbations des flux commerciaux et à l'augmentation des prix", a-t-il promis.Sur le plan budgétaire, le président a indiqué que la France allait amplifier l'investissement dans sa défense "décidé dès 2017" et "poursuivra sa stratégie d'indépendance et d'investissements dans son économie, sa recherche, son innovation, déjà renforcés à la lumière de la pandémie", a-t-il indiqué.Evoquant, comme il l'a fait le jour de l'inauguration du salon de l'agriculture, le thème de la souveraineté, M. Macron a estimé que le pays devait "accepter de payer le prix de la paix, de la liberté, de la démocratie" en "investissant davantage pour moins dépendre des autres continents".Concernant l'énergie, il a indiqué qu'il "défendrait une stratégie d'indépendance énergétique européenne". "Nous ne pouvons plus dépendre des autres et notamment du gaz russe pour nous déplacer, nous chauffer, faire fonctionner nos usines", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 70 jours

Transair améliore l’expérience de ses clients et partenaires en s’inscrivant dans la démarche BIM

Parker Transair® est un spécialiste des systèmes de tuyauterie modulaires pour les réseaux de fluides d’utilités depuis plus de 25 ans. Acteur mondial, ce fabricant est le premier sur le marché à fournir des services BIM aux professionnels du bâtiment pour les systèmes de fluides industriels. Transair® a saisi le moment opportun pour digitaliser ses produits afin de répondre aux besoins des bureaux d’études, contractants et installateurs, qui cherchent à améliorer leur processus avec la méthode BIM.Découvrez la vision de Gaël Le Carrer, spécialiste Support Projets Transair®, sur la collaboration Transair et BIM&CO à travers notre communiqué de presse. Retrouvez également Transair sur le Pôle Fabricants de BIM&CO les 5 & 6 avril prochains lors du BIM World Paris 2022 !
Il y a 3 ans et 70 jours

Weber intègre l’offre Tradical® à sa gamme produits et étoffe son panel biosourcé

Saint-Gobain Weber France annonce avoir signé avec le Groupe belge Lhoist, l’un des leaders mondiaux de la production de chaux, chaux dolomitique et autres minéraux, un accord de partenariat concernant l’offre Tradical®  de sa filiale BCB. A compter du 1er mai, l’expert en mortiers industriels Weber va commercialiser, en exclusivité sur le territoire français, les […]
Il y a 3 ans et 70 jours

Lancement du partenariat entre Artizen et Téréva au service de la digitalisation des artisans du bâtiment

Artizen et Téréva unissent leurs forces pour accélérer la digitalisation des artisans en leur proposant une solution de gestion de leur administratif incluant directement leurs références fournisseur.  « Le constat est simple : Téréva et Artizen ont les mêmes clients. Ce sont des indépendants et TPE, électriciens ou plombiers.Téréva distribue des équipements pour les professionnels plombiers, chauffagistes, […]
Il y a 3 ans et 70 jours

ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950

Aubervilliers connaît un foisonnement de projets de réhabilitation d’entrepôts. Le bâtiment 211 des années 1950 fait partie d’une vaste opération impulsée par Icade Foncière Tertiaire, filiale de la Caisse des Dépôts. L’entreprise MB Peinture qui a remporté l’appel d’offres pour l’ITE a choisi la pose de plaquettes une à une sur site et le système StoTherm Brick. L’entrepreneur a convaincu le maître d’ouvrage et l’architecte en réalisant un témoin avec l’aide du service technique de Sto. Le choix s’est porté sur la plaquette vieillie Domus Colombe moulée à la main aux arêtes irrégulières de couleur blanc crème produite par Wienerberger. Une fois les façades débarrassées de leurs auvents et autres ajouts accumulés pendant des décennies, les travaux ont commencé par la mise en évidence de la structure de l’édifice. Des profilés en acier thermolaqué gris-noir (RAL 7021) simulant des poteaux métalliques rivetés et des cadres de la même teinte soulignant les menuiseries. L’habillage des rives de toit, a fait appel à une autre technique Sto : le système de bardage ventilé StoVentec R Enduit à base de panneaux de billes de verre expansé. Ces panneaux ont été fixés sur une ossature en chevrons de bois espacés de 40 cm, eux-mêmes solidarisés à la structure porteuse par des pattes métalliques. Les plaques ont été fixées verticalement en face avant et horizontalement en sous-face du débord de toiture, voire cintrées sous les parties arrondies. Elles ont reçu après leur pose un sous-enduit mince armé d’un treillis de fibre de verre. La finition a été assurée par un enduit à base de résine acrylique Stolit K1 teinté à l’aspect taloché mat. La teinte foncée de cet enduit (RAL 7021) bénéficie de la technologie X-black, développée par Sto, qui réfléchit le rayonnement infrarouge du soleil et permet de réduire le coefficient d’absorption solaire de l’enduit. Le dessus a été capoté par une couvertine en tôle métallique. Une fois le squelette en place, le revêtement de façade a pu être mis en oeuvre par une équipe de six compagnons. Les panneaux de laine de roche de 1 200 x 600 mm calés sur la façade en béton au moyen de plots de mortier StoLevell Uni à base de ciment. Le sous-enduit mince obtenu à partir de la même poudre StoLevell Uni mélangée à de l’eau, armé d’un treillis en fibre de verre, a été appliqué sur les panneaux en laine de roche avant d’assurer la fixation mécanique par chevilles sur le mur support en béton. Les plaquettes de terre cuite ont ensuite été collées sur l’enduit au moyen d’un mortier de collage spécifique pour les plaquettes S1. Des tasseaux de bois réalisés sur mesure pour l’entreprise ont permis d’assurer un joint uniforme de 10 mm entre les plaquettes. Le jointoiement a été réalisé avec le StoColl FM-K, une poudre à base de liant hydraulique et d’adjuvants spécifiques mélangée avec de l’eau. Surface de façade traitée : 1 200 m2 Maître d’ouvrage : Icade Maître d’œuvre : Studio IX Architecture Entreprise applicatrice : MB Peinture Cet article ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 70 jours

Korian répond au reportage de l'émission Cash Investigation

Selon le groupe Korian qui exploite dans 7 pays d’Europe un réseau de plus de 1000 établissements de santé et médico-sociaux pour les personnes âgées et fragiles, et propose des solutions d’habitat partagé ainsi que des services d’aide à domicile, cette émission contient des allégations trompeuses ou inexactes à l’encontre de l’activité maisons de retraite de Korian en France. Ces allégations sont principalement fondées sur les dires de deux anciens salariés, dont l’un reste anonyme et l’autre ancien directeur d’établissement jusqu’en juin 2016, est aujourd’hui en contentieux avec l’entreprise. Ce dernier, venu d’Orpea, était d’ailleurs déjà cité par le journaliste Victor Castanet dans le chapitre de son livre « Les Fossoyeurs » concernant Korian, chapitre auquel le groupe avait apporté des réponses détaillées.Les faits et documents dont ces deux personnes font état dans l’émission se réfèrent tous sans exception, à une période ancienne, antérieure à 2016 ou à 2017, pour les plus récents, soit il y a plus de cinq ans. Ils ne correspondent en rien aux méthodes ou à l’organisation actuelle du groupe Korian, profondément remaniée depuis 2016.Par ailleurs, l’émission contient une séquence en caméra cachée tournée en septembre 2020 par une journaliste qui s’est fait recruter dans une maison de retraite Korian en qualité d’auxiliaire de vie pendant une durée de trois jours, sur la foi d’un CV faisant état d’une expérience de trois ans (2016-2019) comme auxiliaire de vie à domicile auprès de personnes âgées. Cet établissement connaissait alors une pénurie temporaire de personnel, compte tenu du déclenchement de la seconde vague de Covid, et avait dû faire face au décès brutal de sa directrice quelques semaines auparavant.Korian condamne le recours à de tels procédés, particulièrement déloyaux et irresponsables dans ce contexte.Voici les réponses du Groupe Korian aux principales mises en cause faites par l’émission :« Sur le recrutement de salariés sans vérification de diplôme : Mme Marie Maurice, journaliste pour Cash Investigation, a été embauchée en CDD comme auxiliaire de vie le 5 septembre 2020, poste qui ne requiert pas de diplôme particulier. Dans le contexte d’urgence que connaissait l’établissement, qui recherchait des renforts extérieurs en pleine résurgence de la pandémie de Covid, les équipes locales n’ont pas vérifié les références présentées avant l’embauche. Mme Maurice n’a travaillé que trois jours dans cet établissement.Sur les « faisant fonction » : Comme toutes les structures du secteur, privées ou publiques, et dans un marché du travail structurellement sous tension dans les métiers de santé, nos établissements sont amenés à employer, par exception, des auxiliaires de vie (AVS) ou des AMP comme « faisant fonction » d’Aide-Soignant diplômé d’Etat (ASDE). Sont alors proposés à ces collaborateurs, dès lors qu’ils sont en CDI, des parcours de validation des acquis de l’expérience visant à leur permettre d’obtenir le diplôme d’ASDE. En 2021, 300 personnes ont suivi un tel parcours. La liste nominative des salariés employés dans un tel cadre dérogatoire est par ailleurs communiquée aux autorités de tutelle (ARS et conseils départementaux). Depuis plusieurs années, le groupe Korian promeut les parcours d’alternance et de qualification professionnelle pour pallier la pénurie de professionnels diplômés dans les métiers du soin et des services à la personne et favoriser la promotion de ses collaborateurs. En 2021, 2 700 personnes, sur les 25 000 salariés du Groupe en France, ont bénéficié d’une telle démarche, avec un taux de réussite particulièrement élevé pour la validation des acquis de l’expérience (78 % en moyenne, et spécifiquement 68 % pour le diplôme d’aides-soignantes, soit le double de la moyenne nationale de 30%).Sur la politique de remplacement de personnel : Korian incite les établissements à anticiper le remplacement des absences programmées sur l’ensemble des postes permanents, soit en prévoyant sur certaines fonctions un effectif permanent plus important pour internaliser les remplacements (CDI d’appui) soit en faisant appel à des intervenants réguliers dans l’établissement dans le cadre de CDD. En pratique, compte tenu des tensions rencontrées localement sur le marché du travail notamment durant les périodes de congés d’été ou de fin d’année, le remplacement à 100%, n’est pas toujours possible, surtout en cas d’absences non programmées. Les établissements tiennent compte de cette situation subie lorsqu’ils établissent leur budget prévisionnel.Sur le circuit du médicament : Conformément à la réglementation applicable, les protocoles du Groupe prévoient que l’administration de médicaments ne peut être faite que par un infirmier diplômé d’Etat (IDE). Celui-ci peut, par exception, déléguer l’acte d’administration à un aide-soignant diplômé d’Etat, l’acte demeurant néanmoins sous sa responsabilité, conformément l’article R. 4311-4 du Code de santé publique. Une liste des personnes habilitées à la Distribution/Dispensation au sein de chaque établissement doit être disponible et mise à jour régulièrement. L’IDE doit par ailleurs s’assurer que les aides-soignants travaillant sous sa responsabilité ont les connaissances, la compétence et l’information nécessaires pour assurer cette tâche (notamment les nouveaux salariés ou les vacataires). Tout manquement à ces règles constitue une faute susceptible d’être sanctionnée. Nos procédures d’audit et de contrôle interne portent une vigilance particulière sur ce point. S’agissant du cas spécifique de l’établissement montré dans l’émission, la nouvelle directrice de l’établissement a effectivement identifié et signalé dès son arrivée en septembre 2020 des défaillances dans le circuit d’administration du médicament portant en particulier sur la traçabilité. Des mesures correctrices, assorties de sanctions, allant jusqu’à un licenciement pour faute, ont donc été prises. Elles ont été portées à la connaissance de l’ARS, démontrant ainsi d’une part l’efficacité des systèmes de contrôle en place et d’autre part la totale transparence de Korian à l’égard des autorités de tutelle et de contrôle.Sur l’utilisation des dotations publiques : Les établissements Korian perçoivent des dotations publiques au titre du soin et de la dépendance conformément à la réglementation. Ces dotations se sont élevées à 532 millions d’euros en 2020. Ces dotations sont intégralement allouées aux dépenses de soin et de dépendance et le Groupe ne réalise aucune marge sur celles-ci.Pour rendre compte de l’utilisation de ces sommes, doivent être établis chaque année, pour chaque établissement, des états comptables (ERRD) qui sont soumis à l’approbation des autorités de tarification (ARS et conseil départemental) Ces états comptables retracent l’intégralité des dépenses effectivement exposées pour le soin et la dépendance.S’agissant des frais de personnel, les montants déclarés correspondent aux salaires et charges sociales tels que figurant dans les livres de paie de l’établissement. S’ajoutent à ces montants d’une part les versements effectués au titre de la taxe sur les salaires, de la participation ou des frais de formation ainsi que, d’autre part, les honoraires versés le cas échéant aux professionnels de santé libéraux intervenant dans l’établissement, dans le cadre du remplacement du personnel permanent. Ces différents postes représentent en moyenne environ 10% du total des charges de personnel déclarées dans les ERRD. En aucun cas, d’autres sommes, qui viendraient augmenter artificiellement les dépenses, ne peuvent être ajoutées par le contrôle de gestion comme allégué à tort dans l’émission.Sur l’alimentation et les achats externes : Korian dément formellement procéder à quelque rationnement que ce soit. Depuis 2016, la gestion de la restauration est entièrement internalisée au sein du groupe, avec un chef et une équipe dédiée par établissement. Les repas sont cuisinés chaque jour sur place à partir de produits non transformés dans un souci constant d’offrir des produits de qualité, adaptés aux saisons et aux besoins des résidents. Les menus sont revus régulièrement, selon un cycle de quatre semaines.Les faits allégués dans Cash Investigation, à savoir la suppression, en février 2016, pour des seules raisons d’économie, de croûtons dans une recette de soupe à l’oignon servie lors de la fête des grands-mères, ne correspondent absolument pas à la politique de l’entreprise. Au surplus, le document produit dans l’émission ne vise pas spécifiquement le menu de la fête des grands-mères ; il s’agit d’un ajustement des menus sur trois semaines, avec des modifications apportées sur 23 recettes (substitutions ou modifications de recettes). La présentation faite par Cash Investigation du document apparaît donc totalement tronquée. Sur les règles d’hygiène pour les résidents : L’hygiène corporelle est bien sûr assurée quotidiennement et plus si nécessaire, de même que l’hygiène bucco-dentaire, effectuée généralement le matin et le soir. Cet accompagnement est réalisé selon les standards et les bonnes pratiques de soin en vigueur dans nos établissements.Sur les objectifs de marge opérationnelle impartis aux établissements : le Groupe rappelle qu’il a réalisé en 2020 sur le périmètre France une marge opérationnelle avant loyer de 24,9% et un résultat net part du groupe de 4,2% du chiffre d’affaires, et qu’il vise en moyenne une marge opérationnelle de 26%. Il a réalisé un bénéfice net sur chiffre d’affaires de 4%.Il observe par ailleurs que les chiffres mentionnés par l’ancien directeur intervenant dans l’émission quant aux objectifs très importants de progression de marge opérationnelle qui lui auraient été impartis pour l’établissement qu’il dirigeait alors entre 2013 et 2016 ne correspondent pas aux résultats de cet établissement, dont la marge opérationnelle est restée stable sur ces quatre exercices.Le Groupe souligne enfin qu’il a investi depuis 2017 plus de 500 millions d’euros pour moderniser et développer le réseau de maisons de retraite français. Il prévoit d’investir 600 millions d’euros supplémentaires sur les quatre prochaines années. »
Il y a 3 ans et 70 jours

Viessmann et ISOLATION by TRYBA s’associent pour la rénovation énergétique globale

Viessmann, référence européenne de solutions de chauffage et de rafraîchissement, annonce la signature d’un partenariat national avec ISOLATION by TRYBA, l’expert en travaux énergétiques, pour accompagner la massification de la rénovation énergétique globale en maison individuelle. Un partenariat évident pour ces deux entreprises familiales, références sur leurs marchés et partageant des fondamentaux communs, comme expertise […]
Il y a 3 ans et 70 jours

La CAPEB et ROCKWOOL renouvellent leur partenariat pour accompagner les entreprises artisanales du bâtiment sur les enjeux d’efficacité énergétique

Paris, le 17 février 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, et ROCKWOOL, leader mondial de l’isolation en laine de roche, renouvellent leur partenariat afin d’accélérer la montée en puissance des entreprises du bâtiment sur les enjeux de rénovation énergétique des bâtiments.  Jean-Christophe REPON, Président de […]
Il y a 3 ans et 71 jours

2021, une année historique pour Wienerberger

RÉSULTATS. Le spécialiste de la terre cuite, Wienerberger, annonce signer "l'année la plus réussie de son histoire". Pour preuve, son bénéfice net est passé de 89 millions d'euros à 311 millions d'euros en un an.
Il y a 3 ans et 71 jours

Eolien Offshore : EnBW quitte le marché américain en cédant ses activités à TotalEnergies

RENOUVELABLES. Le fournisseur d'énergie allemand, EnBW, a décidé de se retirer du marché américain de l'éolien en mer. Il prévoit de céder ses activités EnBW North America et ses actifs à son partenaire TotalEnergie.
Il y a 3 ans et 71 jours

"La transition énergétique doit être compétitive et flexible", Jean-Marc Leroy (AFG)

INDUSTRIE. Forts de leurs propositions aux candidats à l'élection présidentielle, les gaziers entendent peser sur les débats autour de la transition écologique en insistant encore et toujours sur la nécessaire complémentarité des énergies. À la tête de l'Association française du gaz, Jean-Marc Leroy analyse pour Batiactu le fonctionnement du marché énergétique, et revient également sur la question de l'approvisionnement en gaz dans un contexte géopolitique très sensible.
Il y a 3 ans et 71 jours

ECOPHON ET PLAFOMETAL équipent l’aéroport de Marseille

L’aéroport de Marseille-Provence a entamé en 2019 une série de grands travaux destinés à améliorer l’accueil des voyageurs. Dans le cadre de cette réhabilitation, les marques Saint-Gobain Ecophon et Plafometal ont été choisies pour équiper les zones de débarquement et de récupération des bagages du Terminal 1.  L’aéroport de Marseille-Provence a franchi en 2019 la […]