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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Industrie

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Il y a 3 ans et 71 jours

Comment Veka affronte la hausse de 100% du prix du PVC

INDUSTRIEL. Le groupe industriel spécialisé dans les menuiseries PVC s'organise pour encaisser le doublement des prix de sa matière première, à hauteur de 100%. Et annonce de nouveaux investissements en France.
Il y a 3 ans et 71 jours

La solution CERAMIQUE Villeroy & Boch qui répond à l'arrêté du 11 septembre 2020

Cette nouvelle réglementation s’appliquera également aux logements situés dans les étages lorsqu’ils sont desservis par un ascenseur depuis le 1er juillet 2021.Pour répondre à la norme zéro ressaut, Villeroy&Boch lance le tout nouveau receveur de douche en céramique naturelle : Le Valence. Le Valence est le receveur de douche parfait. Il s'intègre de manière universelle dans votre espace douche et/ou salle de bains car il est parfaitement zéro ressaut. Grâce à son design extraplat, toute la famille peut profiter d’une douche reposante en toute sécurité, et ce pendant des années. Fabriqué à Valence d’Agen (France), Le Valence est conçu à partir de céramique naturelle, matériau durable et recyclable.Retrouvez le receveur Le Valence en 5 dimensions allant de 90 x 90 cm à 140 x 90 cm dans un coloris épuré blanc, norme NF et avec la classe anti-glissance B (PN 18).Découvrez Le ValenceN’hésitez pas à jeter un coup d’œil du côté des autres collections Villeroy & Boch qui répondent également à la norme zéro ressaut. En effet, la plupart des receveurs de douche Villeroy&Boch sont extraplats. Par conséquent, vous avez le choix entre des receveurs de douches en céramique avec Le Valence et Subway Infinity, receveurs en Quaryl ® avec Squaro Infinity ou encore, des receveurs en acrylique avec Planeo et Architectura MetalRim.Véritable outil professionnel, le Club V&B est une plateforme en ligne, entièrement gratuite, qui vous permettra, en tant qu’adhérent, de bénéficier de nombreux avantages.Partenaire de vos projets, le Club V&B vous permet d’avoir un accès simple à toutes les actualités de la marque Villeroy&Boch et de pouvoir profiter de nombreuses informations produits et d’offres privilèges.Rejoignez le Club V&B en vous connectant sur clubvb.fr.
Il y a 3 ans et 72 jours

Le protocole de financement pour la nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur est signé

Conformément à un accord conclu en avril 2020, le document signé par le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari porte sur un montant total de 3,5 milliards d'euros, qui doit être pris en charge à 40% par l'Etat et 40% par les collectivités de Provence-Alpes-Côte-d'Azur, les 20% restants devant être demandés à l'Europe.La première phase comprend pour 900 millions d'euros la construction d'une gare près de l'aéroport de Nice, l'ouverture d'un RER toulonnais et des aménagements à Marseille, qui doivent être mis en service d'ici 2030.La deuxième phase concerne essentiellement, pour 2,6 milliards d'euros, des aménagements entre Cannes et Nice et le percement d'un tunnel sous Marseille, dont l'ouverture est envisagée vers 2035."Les premiers travaux sont programmés dès 2024", a noté le ministère dans un communiqué, alors que l'enquête publique concernant ces deux premières phases s'achève lundi.Une phase 3 ultérieure prévoit la construction d'une ligne nouvelle entre Nice et Cannes, tandis qu'une phase 4 envisage des sections entre Aubagne (Bouches-du-Rhône) et Toulon et entre Cannes et Le Muy (Var). Aucune échéance n'est encore avancée pour leur réalisation.Les collectivités concernées sont la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, les départements des Bouches-du-Rhône, des Alpes-Maritimes et du Var, les métropoles d'Aix-Marseille, Nice et Toulon, et les agglomérations de Cannes, Draguignan et Grasse.
Il y a 3 ans et 72 jours

Thierry Scotton, nouveau directeur général France de Lakal

CARNET-NOMINATION. Le fabricant allemand de volets roulants, portes de garage, brise-soleil orientables, Lakal, dispose d'un nouveau directeur général France en la personne de Thierry Scotton.
Il y a 3 ans et 72 jours

Adjuvantation : “Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille”

Guillaume Francqueville, président de Master Builders Solutions France, alerte sur la pénurie des matières premières et l’importante hausse de leurs prix. [©MBCC Group] Pénurie, quand tu nous tiens… Comme bien des secteurs, le monde de la chimie est impacté d’une manière très importante par un manque de disponibilité des matières premières. Ceci, lié à un contexte mondial particulier consécutif à la crise du Covid et au ralentissement économique généralisé qui l’a accompagnée.  En effet, après deux années de pandémie, la reprise a été fulgurante, avec un redémarrage massif des marchés asiatiques et nord-américains. A elles seules, ces deux zones ont commencé à absorber une partie importante des ressources de matières premières, saturant au passage le transport maritime mondial. Ainsi, on a pu voir les prix des conteneurs de 40’’ multipliés par cinq, par huit. Et comme une plaie n’arrive jamais seule, le coût des énergies ne cesse de grimper. Entre avril 2020 et janvier 2022, le prix du baril de pétrole a presque quintuplé, passant de 18,50 $ à 86,50 $ (16,50 € à 77,10 €). Une situation qui ne va pas s’améliorer avec le contexte géopolitique actuel, dont l’évolution est des plus incertaine… Une reprise non anticipée et sous-estimée De longue dates, les adjuvantiers ont axé leur développement sur les chimies nouvelles. « Pour une grande partie de nos productions, nous utilisons des polymères, issus de monomères souches », rappelle Guillaume Francqueville, président de Master Builders Solutions France (MBCC Group). Souci, le secteur des plastiques fait appel aux mêmes matières premières (monomères) que les adjuvantiers.  Quant aux sources d’approvisionnement, elles sont limitées à une petite poignée de producteurs fournisseurs mondiaux, dont les outils industriels sont à saturation. « Avec le Covid, ils ont mis un gros coup de frein sur les développements, investissements et capacités de production. » A vrai dire, ces industriels, comme bien d’autres, n’ont pas anticipé un niveau de reprise aussi fort et rapide. En même temps, la crise du Covid était “seulement” sanitaire et non économique et certains l’ont peut-être oublié.  Les chimies “anciennes” touchées à leur tour Aujourd’hui, la situation est telle qu’elle est : il n’y a pas assez de matières premières pour contenter tout le monde. De fait, ceux qui acceptent de payer le prix fort sont servis en premier. « A ce niveau, la filière construction n’est pas toujours la mieux placée », analyse Guillaume Francqueville.  Cette pénurie de monomères/polymères existait déjà dans le passé (avant la crise du Covid), mais restait limitée, même si elle gênait les adjuvantiers. Aujourd’hui, la “nouveauté” vient d’une brusque évolution tarifaire à la hausse des chimies que l’on pourrait qualifier “d’anciennes”. « Il s’agit de dérivés du sucre, de l’azote, d’acides de base. Toutes ces chimies qui ont permis l’essor de l’adjuvantation pour bétons avant l’arrivée des polymères. » Les huiles végétales et autres matières biosourcées sont impactées de la même manière. « Les hausses oscillent entre + 15 % et + 150 %, confirme Guillaume Francqueville. Elles sont arrivées très tard, en fin d’année dernière, sans signes annonciateurs… » Ces chimies sont aussi captées par l’Asie. Et par de nouveaux entrants, qui ont identifié des débouchés inédits pour ces produits. Des utilisations à plus forte valeur ajoutée que celles de la construction ! Une hausse qui n’épargne aucun adjuvantier Même s’ils représentent une part minoritaire du chiffre d’affaires des adjuvantiers, les produits basés sur ces “anciennes” chimies n’en restent pas moins demandés et utilisés par les acteurs du béton. « On parle là de solutions éprouvées, qui répondent parfaitement à certains besoins pour lesquels les nouvelles réponses d’adjuvantation restent surdimensionnées. » Mais cette hausse substantielle, qui n’épargne aucun adjuvantier, pourrait rapidement rendre ces chimies beaucoup moins attractives dans les semaines ou mois qui viennent. Car – il ne faut pas se voiler la face -, il y aura une répercussion sur les prix finaux. « En 2021, nous avons déjà absorbé une bonne partie des hausses, mais cette nouvelle salve affiche des niveaux jamais atteints, auxquels nous ne pouvons plus faire face », insiste Guillaume Francqueville. En effet, comme toutes entreprises, celles du secteur de l’adjuvantation n’échappent pas aux règles de rentabilité dictées par l’économie de marché.  L’élégante formule de Jacques Chirac Dans ce contexte, les adjuvantiers ne vont pas rester les bras ballants. Ils travaillent déjà à plusieurs scénarii. Le premier consiste à revoir les formulations de leurs adjuvants de base, en continuant à utiliser les chimies “anciennes”. Le second – plus plausible – est de procéder à une montée en gamme, en remplaçant les gluconates et autres lignosulfonates par les polymères de dernière génération. Mais à des concentrations bien moindres que celles nécessaires pour les adjuvants les plus récents et performants. Autrement dit, de faire profiter des progrès les plus récents de la chimie à des adjuvants éprouvés. Une substitution rendue possible par un delta de prix de moins en moins important entre “anciennes” et “nouvelles” chimies.  Aujourd’hui, l’industrie de l’adjuvantation pour bétons semble être à la croisée des chemins, entre hausses de prix permanentes, pénuries de matières premières et difficultés pour identifier de nouveaux sourcings. De quoi lui permettre de reprendre à son compte l’élégante formule de Jacques Chirac : « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille ».  Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 72 jours

Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement

De droite à gauche : Jonathan Chemouil, directeur de l’innovation technique chez Demathieu Bard, Franck Becherel, directeur général en charge de la construction chez Demathieu Bard, Julien Blanchard, président du directoire d’Hoffmann Green Cement, et François Simon, prescripteur région Ile-de-France chez Hoffmann Green Cement. [©Yann Bresson] Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement ont signé un contrat de partenariat de 3 ans pour la fourniture de ciments décarbonés. Ainsi, le groupe de construction mosellan va utiliser des ciments décarbonés sans clinker issu des technologies H-UKR et H-Iona fournis par l’industriel vendéen. « Parce que le développement d’une activité pérenne passe par le respect des hommes et de leur environnement, ce partenariat avec engagements de volume matérialise la volonté de la part des deux entreprises de promouvoir la construction de bâtiments éco-responsables performants », commente le groupe. Et Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement, de déclarer : « Nous sommes ravis de signer ce contrat de fourniture avec Demathieu Bard, acteur à la fois historique dans l’environnement de la construction et de l’immobilier et innovant par ses actions en faveur d’une construction responsable et durable. Ce nouveau partenariat avec l’un des principaux acteurs du secteur démontre, une nouvelle fois, l’attractivité de nos technologies, dont notamment celle de la dernière en date, H-Iona. Et constitue aussi une formidable opportunité de participer à des chantiers d’envergure dès 2022 ».
Il y a 3 ans et 72 jours

Interview Aurélie Bareille, responsable de la division Certification et Évaluation

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Aurélie Bareille, responsable de la division Certification et Évaluation au sein de la Direction Enveloppe du Bâtiment, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis Aurélie Bareille. Avec mon diplôme d'ingénieur Matériaux en poche et l'expérience de mon stage de fin d'étude chez Saint-Gobain Glass, je suis arrivée en 2006 au CSTB en tant qu'ingénieure évaluation dans le domaine des façades. Je suis ensuite devenue Rapporteure de Groupe Spécialisé et responsable du pôle Façade. Depuis juillet 2021, je suis en charge de la division Certification et Évaluation au sein de la Direction Enveloppe du Bâtiment. Sur quels types d'essais/évaluations travaillez-vous dans le cadre de vos activités destinées à favoriser l'émergence d'innovations ? Au CSTB, j'ai toujours travaillé dans le domaine de l'évaluation et de la certification des produits et procédés. Au début dans le domaine de la façade légère en verre puis, de manière plus globale, pour l'ensemble des procédés qui constituent l'enveloppe du bâtiment. Notre mission est d'accompagner les différents acteurs de la construction et de favoriser la mise sur le marché de leurs produits et procédés innovants. En tant qu'ingénieure Évaluation et responsable de la division Certification et Évaluation de la direction Enveloppe du bâtiment au CSTB, comment percevez-vous l'égalité femmes/hommes et les actions mises en place pour l'améliorer en sein de l'entreprise ? Depuis mon arrivée au CSTB, je n'ai jamais ressenti de différence à mon égard sur le fait que je sois femme ingénieure. En 2006, j'étais pourtant la seule femme ingénieure au sein de l'équipe, à l'exception de la responsable de la division. Au CSTB, nous avons la chance de pouvoir mener en parallèle une vie professionnelle et une vie de famille. Être maman de jeunes enfants ne m'empêche pas de mener une carrière riche et épanouissante. Aujourd'hui, mon équipe est composée de 44 personnes, comprenant 25 femmes à des postes d'ingénieure, auditrice et assistante, ce qui démontre une réelle évolution depuis ces dernières années. Au CSTB, la part des femmes se renforce à tous les niveaux de l'organisation, et notamment dans l'encadrement. A vos yeux, en quoi est-ce une avancée majeure ? Le fait de ne plus cantonner les femmes à certains métiers, comme cela a été le cas pendant des décennies, est pour moi une avancée majeure. Cela démontre que le CSTB, organisme scientifique et technique, a pris conscience de cet enjeu. Certaines femmes au CSTB vont même suivre le 8 mars une formation de Negotraining visant à les former à la négociation salariale, dans le but de réduire l'écart salarial qui subsiste entre hommes et femmes. Grâce à la commission égalité professionnelle Hommes-Femmes, ces actions vont, je l'espère, continuer de se développer au CSTB. Le milieu du bâtiment et de la construction est souvent perçu comme étant majoritairement masculin. Quel est votre sentiment à ce sujet ? Au début de ma carrière, lors des différentes réunions de travail, de normalisation, ou autre, les femmes étaient souvent en minorité. J'étais souvent la seule ! Depuis quelques années, le changement est réel et la mixité bien présente. Il me semble essentiel que les femmes puissent accéder à tous les métiers, même dans le monde du bâtiment et de la construction, souvent encore trop masculin. Cette mixité est essentielle pour notre société. Quelle femme vous inspire le plus et pourquoi ? Pour moi, Marie Curie est une femme inspirante. Jeune, elle a fui son pays pour pouvoir suivre des études supérieures à la faculté des sciences de Paris. En tant que physicienne et chimiste, détentrice du prix Nobel, elle a fait prendre conscience à la société que les sciences n'étaient pas réservées exclusivement aux hommes. Un modèle pour nous toutes !
Il y a 3 ans et 72 jours

Premier investissement majeur dans l'hydrogène "vert" en Europe par le fonds Hy24

Associé à la société de gestion Mirova, la Caisse de dépôts et placement du Québec et Technip Energies, le fonds a investi dans Hy2Gen, société pionnière de l'hydrogène vert basée à Wiesbaden en Allemagne.Le capital sera utilisé pour développer des sites industriels (deux au Canada, deux en France, un en Allemagne et un en Norvège) qui produiront de l'hydrogène notamment pour des carburants de synthèse dits "e-carburants" ou "efuels" destinés au transport maritime et terrestre, à l'aviation et à l'industrie."Pour s'assurer que l'électricité que nous utilisons pour fabriquer l'hydrogène par électrolyse de l'eau (opération qui permet de dissocier dans H2O, la formule chimique de l'eau, les molécules H de l'hydrogène des O2 de l'oxygène, NDR) est verte, nous avons deux cas de figure selon les projets" explique Cyril Dufau-Sansot, Pdg d'Hy2gen à l'AFP."Soit nous sommes en raccord direct avec des sociétés de production d'énergie renouvelable (hydro-électrique au Canada et en Norvège par exemple), soit nous prenons de l'électricité sur le réseau (France, Allemagne), mais après des accords avec des sociétés d'électricité verte" qui nous "garantissent" la simultanéité "de leur production et de notre consommation" a-t-il affirmé.En France, le projet Sunrhyse est situé sur le plateau de Signes dans le Var, il doit servir à alimenter en hydrogène divers usages maritimes ou routiers, avec une capacité de production de 12 tonnes d'hydrogène par jour, grâce à un accord avec le producteur photovoltaïque Voltalia.Le deuxième projet français, également en région PACA, s'appelle Hynovera. Il doit permettre la production de e-kérosène sur une friche industrielle de l'ancienne centrale à charbon de Gardanne."On fait venir de la biomasse sous forme de plaquettes forestières : du bois déchiqueté, que l'on utilise en combustion pour produire du monoxyde de carbone, auquel on rajoute de l'hydrogène dans une réaction de synthèse qui produit un e-carburant" explique M. Dufau-Sansot. "Et ainsi on produit une molécule qui dans son usage va éviter les émissions de gaz à effet de serre".Fondé en 2017, Hy2gen est un pionnier de la production d'hydrogène vert par électrolyse, avec des installations d'une capacité de 880 MW en cours de construction.Pour créer Hy24, le plus grand fonds d'infrastructure hydrogène propre au monde qui vise à terme 1,5 milliard d'euros de portefeuille, Air Liquide, TotalEnergies et Vinci se sont associés à des acteurs industriels internationaux, comme le pionnier américain de l'hydrogène Plug Power, le spécialiste américain de la liquéfaction Chart Industries et le groupe de services pétroliers Baker Hughes.
Il y a 3 ans et 72 jours

Le Groupe Bouyer Leroux a engagé des négociations exclusives pour l’acquisition du Groupe Riaux

Le Groupe Riaux compte 5 filiales : les sociétés de fabrication RIAUX Escaliers et MAUGES Escaliers ; les sociétés de pose CONCEPT & POSE et MENUISERIE MACAIROISE ; ESCA SERVICES qui regroupe les fonctions commerciales et supports du Groupe.Originaire de l’ouest de la France et fondé en 1977 par Monsieur Jean-Paul RIAUX, Compagnon du Tour de France, il dispose de 2 sites industriels (Bazouges La Pérouse-35 et La Pommeraye-49) et de 2 sociétés de pose qui lui permettent d’offrir une prestation globale de grande qualité intégrant la prise de cotes, la conception, la fabrication sur-mesure, la finition, la livraison et la pose des escaliers sur les chantiers. Il s’adresse à une clientèle de professionnels tels que les constructeurs de maisons individuelles et les artisans menuisiers via la société RIAUX Escaliers, et les promoteurs via la société MAUGES Escaliers. Il a créé récemment son réseau d’installateurs sous la marque Skali qui regroupe déjà une quarantaine d’artisans qualifiés et offre un fort potentiel de développement. Le Groupe RIAUX emploie environ 220 collaboratrices et collaborateurs dont 40 menuisiers – poseurs, et a réalisé un chiffre d’affaires de 22 millions d’euros en 2021.Cette acquisition s’inscrit parfaitement dans la stratégie de développement équilibré et durable du Groupe BOUYER LEROUX, et elle permettra d’exploiter de nombreuses synergies entre les 2 Groupes. Elle permettra au Groupe Bouyer Leroux de renforcer son offre de solutions éco-performantes et de se développer dans l’aménagement intérieur des logements.Le Groupe BOUYER LEROUX et le Groupe RIAUX dont les cultures d’entreprises sont proches, travaillent à la réalisation de cette opération qui devrait être finalisée dans le courant du 1er semestre 2022.
Il y a 3 ans et 72 jours

Colas Rail, Thales et Egis remportent un contrat d'un milliard d'euros aux Philippines

"Colas Rail, mandataire d'un groupement comprenant Thales et Egis, a été choisi par Mitsubishi Corporation pour la conception et la construction clé en main du système ferroviaire de la première ligne souterraine du métro de Manille", a indiqué la société dans un communiqué."Le montant total du projet s'élève à environ 1 milliard d'euros", a-t-il précisé, dont 760 millions d'euros pour le seul Colas Rail.La ligne de métro doit desservir 15 stations sur 35 kilomètres, entre East Valenzuela, dans le nord de la capitale des Philippines, et l'aéroport Ninoy-Aquino, au sud de la capitale. Elle devrait ainsi permettre de gagner "plus d'une heure sur la totalité du tracé par rapport à un trajet identique en voiture", a assuré Colas Rail.La phase d'étude doit commencer en 2022 et la fin des travaux est prévue en 2027.Il s'agit du premier contrat remporté par Colas Rail aux Philippines. La société a indiqué qu'elle réaliserait "l'ingénierie et l'intégration système, les voies ferrées, la signalisation CBTC (Communication Based Train Control), la distribution d'énergie, la caténaire ainsi que les équipements du dépôt".Colas, qui appartient au groupe Bouygues, a affiché en 2021 un carnet de commandes record de 10,7 milliards d'euros, a indiqué jeudi Bouygues lors de la publication de ses résultats annuels. Cela est notamment lié à ce contrat aux Philippines, intégré dans le bilan du quatrième trimestre à hauteur de 680 millions d'euros, ou encore au contrat d'entretien de l'autoroute Area 9 au Royaume-Uni, d'un montant de 400 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 72 jours

Isolation sous dallage Knauf : de nouvelles possibilités en phase avec le DTU 13.3 révisé

En effet, le DTU 13.3 révisé autorise désormais l’augmentation des épaisseurs maximales des isolants mis en œuvre sous dallage pour certains types de bâtiments sans charges particulières et hors maisons individuelles. Il s’agit des logements collectifs, des bâtiments d’hébergement, des bureaux, des locaux de santé, scolaires ou universitaires avec une charge d’exploitation inférieure ou égale à 5 kN/m2 sans charges ponctuelles, ni charges roulantes. Ainsi, la gamme Knauf offre dorénavant, pour ces bâtiments, des épaisseurs et donc des résistances thermiques allant jusqu’à :4,80 à 7,00 m².K/W pour ses solutions PSE d’épaisseur 160 à 230 mm ;8,30 ou 10,00 m².K/W pour ses solutions PU en 2 couches de 90 ou 110 mm;10,30 m².K/W pour ses solutions XPS en 2 couches de 150 mm.Pour présenter les atouts de son offre dans le cadre de la révision du DTU 13.3, Knauf vient donc d’éditer une documentation spécifique téléchargeable et commandable sur knauf.fr. Celle-ci propose un guide de choix des solutions par type de bâtiment et par critère recherché : facilité de mise en œuvre, possibilité de recyclage des chutes avec Knauf Circular®, ou encore épaisseurs et dimensions de panneaux disponibles. Les acteurs du bâtiment pourront ainsi sélectionner rapidement la solution d’isolation sous dallage Knauf en fonction des exigences de leur chantier, et en particulier du niveau d’isolation requis.Pour Gérard Persuy, Responsable du Pôle Isolation gros-œuvre, « Cette nouvelle offre d’isolants sous dallage Knauf, adaptée à tous les types de bâtiment, répond parfaitement aux objectifs de réduction de consommation énergétique de la RE2020. Chaque prescripteur peut donc aisément s’en emparer grâce à la documentation que Knauf leur dédie. »
Il y a 3 ans et 73 jours

Holcim affiche des performances record et mise sur son segment Solutions & Produits

RÉSULTATS. Le cimentier suisse, Holcim, annonce des performances record pour l'année 2021, notamment grâce à son acquisition de Firestone Building Products, spécialiste des produits de toiture.
Il y a 3 ans et 73 jours

Rénovation énergétique : Hellio alerte sur le reste à charge des familles en situation de précarité

Entre 600.000 et 900.000 : c'est le nombre de logements insalubres estimés en France. Selon ce rapport, en 2020, les rénovations subventionnées par l'Anah via le programme Habiter Mieux sérénité à destination des ménages modestes et très modestes, avec au moins 35 % de gain énergétique, n'ont augmenté que de 7 %, passant de 41.000 rénovations en 2019 à 52.000 en 2020, et stagnent en 2021. Après la mobilisation de toutes les aides possibles, les propriétaires très modestes en maisons individuelles subissent un reste à charge en moyenne de 39 % au lieu de 10 % du montant des travaux. Pour les ménages modestes, c'est 56 %.De plus, ces Français, qui vivent avec moins de 800 euros par mois, ont perdu 0,5 % de pouvoir d'achat, soit 39 euros par an. Cela se manifeste notamment par la difficulté à payer ses factures d'électricité. Engagé dans la lutte contre la précarité énergétique et membre historique du collectif STOP Exclusion Énergétique, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, milite et agit pour éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. En ce sens, le groupe apporte son soutien à la démarche exemplaire menée par Réseau Éco Habitat. Lancé en 2019, le programme “1DigneToit!” rassemble Réseau Éco Habitat, structure fondée sur une logique associative et coopérative dans le Nord de la France, le Secours Catholique et Hellio. Son but ? Aider les ménages en situation de précarité énergétique à retrouver un logement décent grâce aux travaux de rénovation énergétique et d'adaptabilité en les accompagnant tout au long du processus. Depuis sa création, ce programme conventionné est venu en aide à une cinquantaine de familles. Grâce à une dotation de 45.000 € allouée par Hellio, 13 d'entre elles ont pu bénéficier d'une aide au financement de leur reste à charge. L'objectif de Réseau Éco Habitat pour 2022 est de réaliser 40 chantiers, avec une progression visée de 10 chantiers supplémentaires par an.Les ménages précaires moins enclins à réaliser des travaux de rénovation énergétique Pour sortir de la précarité énergétique les 3,5 millions de ménages qui connaissent des difficultés à payer leurs factures d'énergie, tous les acteurs de la rénovation énergétique des bâtiments doivent se mobiliser. Même si le soutien financier de l'État s'est incontestablement fait plus massif ces cinq dernières années, notamment avec la montée en puissance du rôle de l'Anah et de la distribution de l'aide MaPrimeRénov', celui-ci n'a cependant pas permis aux ménages les plus modestes de bénéficier de travaux de rénovation énergétique globale. Le “reste à charge“ qui s'élève en moyenne à 10 % du coût des travaux selon l'État, et à 39 % selon la fondation Abbé Pierre dans son rapport sur le mal logement de 2022, rend en effet inaccessible la possibilité de sortir de la précarité énergétique pour des familles qui vivent parfois avec moins de 10 € par jour. L'aide Habiter Mieux Sérénité dédiée à la rénovation globale pour ces ménages est, elle, peu lisible et moins facile d'accès. Transformée en MaPrimeRénov' Sérénité au 1er janvier 2022, ses modalités de distribution sont certainement encore à éclaircir au regard de son évolution en juillet prochain Sans compter que depuis 2021, les ménages précaires doivent faire face à plusieurs baisses successives des aides à la rénovation énergétique. Mais pour Hellio, la lutte contre la précarité énergétique n'est pas simplement qu'une question de financement. La difficulté première consiste à identifier et localiser les personnes en situation d'exclusion énergétique, parfois “invisibles” des services sociaux, car cette forme de précarité ne se voit pas de l'extérieur. De plus, 2/3 des logements insalubres appartiennent à des propriétaires occupants. Une fois identifiées, la prise de contact avec ces personnes a plus de chances d'aboutir avec des tiers de confiance. Pourtant, des solutions financières et opérationnelles existent. En combinant la relance de la construction de logements performants énergétiquement avec des aides sociales immédiates revalorisées pour alléger les factures d'énergie, et des solutions systémiques comme la rénovation globale et performante des logements, il est possible d'éradiquer la précarité énergétique d'ici 2030. Preuve, en est l'action menée par Réseau Éco Habitat.Une dotation de Hellio de 45.000 euros pour aider au financement du reste à charge de 13 familles Toutes deux membres du collectif STOP Exclusion Énergétique, Réseau Éco Habitat et Hellio ont décidé d'unir leurs forces. Via Hellio Care dédié au soutien d'actions RSE, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité ajouter une pierre à l'édifice en donnant un coup de pouce à plusieurs familles accompagnées par Réseau Éco Habitat pour le financement de leur reste à charge. Un sujet qui tient beaucoup à coeur à l'entreprise, consciente que la massification de la rénovation énergétique ne pourra se faire qu'avec des solutions de financement innovantes et pérennes. Hellio a ainsi mis à disposition de Réseau Éco Habitat une enveloppe de 45.000 €.Pour Claire Gagnaire, secrétaire générale de Hellio : « Chez Hellio, la responsabilité environnementale est au coeur de notre ADN : nous sommes engagés dans les économies d'énergie en France depuis 2008. Notre mission est d'intensifier nos actions de terrain avec les entreprises de travaux, les artisans pour créer de l'emploi, des filières de formations adaptées aux nouveaux métiers, et d'accompagner le plus grand nombre de sociétés privées et publiques, des collectivités et bien entendu les particuliers. Nous voulons mettre notre expérience à disposition du collectif STOP Exclusion Énergétique et de ses engagements. C'est pourquoi nous sommes profondément engagés dans l'action menée conjointement avec Réseau Éco Habitat dans le financement du reste à charge des ménages en situation de précarité pour leurs travaux de rénovation énergétique. »La démarche exemplaire de Réseau Éco HabitatLes bénévoles du Secours Catholique sont la clé d'entrée de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat car ils sont souvent sollicités par des personnes qui rencontrent des difficultés pour payer leurs factures d'énergie. Celles-ci habitent la plupart du temps dans des passoires thermiques. Face à l'envolée des prix de l'énergie, certaines se chauffent à peine et vivent dans des logements où le thermomètre affiche seulement 14°.Les bénévoles ont ainsi pris conscience que le chèque énergie n'était pas suffisant et que les travaux de rénovation énergétique seraient bien plus efficaces. Pour Franck Billeau, fondateur et directeur de Réseau Éco Habitat : « Les bénévoles sont la passerelle avec les familles. Ils jouent un rôle de repérage et sont présents du début à la fin, lors du passage des artisans jusqu'à la livraison du chantier. Ils rassurent les familles qui ont peur d'être arnaquées. Sans eux, on n'existe pas ! » La première étape consiste à étudier en détail le profil des ménages – leur composition, leurs revenus – afin d'aller chercher le maximum de subventions possibles pour limiter le reste à charge. C'est ensuite au tour du logement d'être passé à la loupe. Un audit est alors réalisé par un bureau d'études pour évaluer les travaux de rénovation énergétique à réaliser, mais aussi d'accessibilité. Place aux travaux qui consistent généralement à isoler, changer le système de chauffage et les menuiseries, pour passer par exemple d'une étiquette G à D. Les travaux durent en général entre 6 et 8 semaines, avec, si possible, une organisation en milieu occupé car le relogement des personnes n'est pas toujours possible. Réseau Éco Habitat s'entoure au maximum d'entreprises générales afin de limiter le nombre d'interlocuteurs pour les familles et ainsi simplifier la démarche. L'association compte sur l'appui de plusieurs entreprises fidèles : « Nos valeurs se fondent sur notre capacité à créer des liens de coopération et d'entraide entre tous les acteurs membres du réseau. Il y a une volonté commune de réduire les marges pour trouver le juste prix dans tout l'écosystème », précise Franck Billeau. Réseau Éco Habitat se charge de toutes les démarches pour demander l'ensemble des aides qu'il est possible de mobiliser : Anah, aides régionales, départementales, etc. L'association a même constitué une caisse pour pouvoir avancer les aides. « Avec l'ensemble des aides, on arrive à atteindre 90 % de prise en charge. On demande toujours une petite participation aux familles pour les impliquer dans le projet », précise Franck Billeau. TémoignagesArtiste peintre, Erlina élève seule ses 3 enfants. Après sa séparation, n'ayant pas accès à un logement HLM du fait de son statut de propriétaire, elle achète une petite maison, avec pour seul moyen de chauffage une cheminée. Mais au moment du ramonage, c'est la douche froide : la cheminée n'ayant jamais été entretenue, elle ne peut être utilisée en l'état. Pendant 2 ans, la famille vit dans le froid, elle ne se chauffe qu'à l'aide d'un convecteur électrique prêté par des amis, et voit ses factures d'électricité s'envoler pour atteindre 600 € pour 2 mois en période hivernale. L'assistante sociale qui l'accompagne la met alors en relation avec Réseau Eco Habitat en 2019. Les démarches ont été longues pour démarrer les travaux, le temps de constituer le dossier, réaliser les devis, les refaire en abandonnant certains travaux car le reste à charge était trop important. Les travaux sont réalisée entre mars et juin 2021 : isolation haute, isolation des murs périphériques intérieurs, pose de radiateurs électriques et d'un poêle à bois, renforcement du plancher de la cuisine, suppression de la tuyauterie en plomb (arrivée d'eau), remplacement des fenêtres de toit, pose de menuiseries en PVC, électricité et VMC. Le montant total des travaux s'élève à 41 636 €, pour un reste à charge de plus de 7 687 € financé par la dotation Hellio et un prêt de la CAF.« Avant, il faisait 14° dans notre maison car on ne chauffait pas beaucoup. En hiver, mes enfants dormaient dans les combles avec des manteaux tellement il faisait froid, et en été, il y faisait une chaleur étouffante. Maintenant, la maison est très bien isolée, on utilise principalement le poêle à bois pour se chauffer, on allume les radiateurs seulement lorsqu'il fait très froid. Mes enfants vivent désormais dans des conditions correctes et je travaille aussi dans un meilleur environnement. Je peux également de nouveau recevoir chez moi », raconte Erlina. « C'est un très beau projet pour Erlina ! Les travaux lui ont permis de valoriser son patrimoine et de lui redonner une dignité. Elle a été très impliquée dans la démarche, très conciliante, et elle entretient bien cette maison. Ça fait plaisir de voir que les travaux sont appréciés et qu'ils permettent un redémarrage dans la vie »”, se réjouit Catherine, bénévole au Secours Catholique.Alexandre est agriculteur dans les céréales. Avant de bénéficier de l'accompagnement de Réseau Éco Habitat, il occupait un logement sans isolation et payait 1 600 € d'électricité par an, une fortune ! Membre du CCAS (centre communal d'action sociale) de Compiègne, mandaté par le Secours Catholique et président de Réseau Éco Habitat, Pierre Chevillotte a accompagné Alexandre dans les démarches. Les demandes de subventions ont été un véritable parcours du combattant, entre l'identification des aides de l'Anah, de la région, du département et de la communauté de communes !Après un an pour boucler le dossier, les travaux d'un montant de 52 000 € peuvent enfin être réalisés en février 2021 : isolation des murs intérieurs et des combles, changement de menuiseries et du système de chauffage, adaptation de la salle d'eau.« Aujourd'hui, mon logement est confortable, je chauffe à 19° sans problème grâce à une meilleure isolation et une nouvelle chaudière gaz », constate Alexandre.« Avant ma retraite, je n'avais aucune notion de ce qu'était la précarité énergétique. Je me suis rendu compte que les personnes en situation de précarité énergétique étaient “indivisibles”. Quand on passait devant la maison d'Alexandre, on ne pouvait pas deviner les conditions dans lesquelles il vivait. Ces personnes ne se plaignent jamais, leur repérage est lié à un concours de circonstances. Mon devoir est que les communes arrivent à identifier ces personnes en situation de précarité », confie Pierre Chevillotte.
Il y a 3 ans et 73 jours

ABB ENRICHIT SES GAMMES DE MATÉRIELS ÉLECTRIQUES DANS LE LOGICIEL ELEC CALC™

Trace Software International, éditeur de logiciels pour le bâtiment et l’énergie, et ABB, leader des technologies numériques pour l’industrie, annoncent l’intégration de nouvelles références de matériels électriques dans le catalogue multi-fabricants du logiciel elec calc. Des milliers de références ABB disponibles dans le logiciel elec calc. Déjà présent dans le catalogue multi-fabricants d’elec calc, ABB propose désormais aux utilisateurs du logiciel l’accès à une base de données techniques enrichie de près de 5 000 nouvelles références de disjoncteurs dont celles de la gamme de disjoncteurs boitier moulé Tmax XT. Ce sont au total plus de 29 000 références ABB de disjoncteurs et autres composants qui sont disponibles dans le catalogue elec calc et qui permettent de proposer aux professionnels un large choix de références techniques. « Nous avons souhaité être référencés dans elec calc car ce logiciel représente un important relais d’informations pour faire découvrir nos produits directement aux bureaux d’études. De plus, Trace Software dispose d’un service dédié à l’enrichissement des bases de données de leur logiciel ce qui nous a fait gagner un temps précieux pour l’intégration de nos références. Nous savons que la cohérence des données techniques avec le logiciel est contrôlée et, pour nous, ce paramètre est essentiel en termes de sécurité. » Patrick Domange, ABB   « L’enrichissement des catalogues constructeurs est une démarche permanente qui assure à nos utilisateurs de disposer de nombreuses références à jour. Avec l’intégration des références d’un constructeur comme ABB, nous avons encore enrichi notre catalogue afin de proposer à nos utilisateurs un large choix de matériels. Ils bénéficient de données et de références à jour pouvant être directement exploitées dans les nomenclatures et les calculs » Martial Leroy, Trace Software Grâce à l’expertise reconnue d’ABB en distribution basse et moyenne tension et à l’expertise du calcul électrique de Trace Software avec elec calc, les professionnels peuvent réaliser leur conception avec une garantie de flexibilité et de conformité avec la norme électrique. A propos de Trace Software Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des logiciels pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation, en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine.
Il y a 3 ans et 73 jours

Saint-Gobain annonce des résultats record en 2021 grâce à l'isolation des logements

Le groupe français a annoncé un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros en 2021, en hausse de 15,8% par rapport à celui de 2020.Son résultat net a quintuplé à 2,5 milliards d'euros contre 456 millions en 2020, et 1,4 milliard en 2019.Le résultat net courant s'inscrit à un "record historique" de 2,8 milliard d'euros. Et, "pour la première fois", le groupe a atteint "une marge à deux chiffres" (+10,2%), a indiqué son directeur-général Benoit Bazin au cours d'une conférence téléphonique.Le groupe a vécu une "très belle année 2021", a résumé M. Bazin qui a pris les rênes du groupe mi-2021, succédant à Pierre-André de Chalendar.Il attribue les résultats notamment à son modèle d'organisation local. Celui-ci lui permet de réagir au plus près des demandes de ses clients, et notamment de régler les problèmes d'approvisionnement qui se sont multipliés en 2021 avec la crise logistique qui a suivi les confinements, mis à profit par beaucoup de gens pour rénover leur intérieur ou isoler leur logement."35 millions de bâtiments à rénover en Europe""Il y a 35 millions de bâtiments à rénover et isoler en Europe d'ici 2030" pour faciliter la transition énergétique, a souligné M. Bazin, qui compte pour 2022 sur l'ouverture du marché de la rénovation des bâtiments publics en France, et sur l'ouverture de mesures de soutien dans la rénovation énergétique en Allemagne.En France, l'an passé, le groupe a tiré parti du dispositif de soutien aux ménages MaPrimeRenov' qui représente quelque 2 milliards d'euros distribués pour plus de 800.000 dossiers.Il a aussi bénéficié de "trois à cinq millions d'euros" de subventions distribuées dans le cadre du plan de relance pour investir sur des projets de décarbonation liés notamment à l'achat de fours électriques, a indiqué M.Bazin.Deuxième explication évoquée par le dirigeant pour expliquer les bons résultats : une "allocation rigoureuse et disciplinée du capital".En clair, le groupe s'est délesté l'an passé d'actifs jugés "sous performants" ou pas suffisamment dans ses priorités stratégiques, comme la chaine française d'ameublement Lapeyre, alors qu'il a investi dans des acquisitions jugées "rentables", notamment dans le secteur de la chimie de la construction.Enfin, Saint Gobain s'est aussi félicité de "fortes avancées" sur les aspects sociaux et environnementaux. En particulier il s'est dit "en ligne" avec son objectif de réduire de 33% ses émissions de gaz à effet de serre (scope 1 et 2) d'ici 2030, validé par l'organisme Science-Based target (SBT).Alors que les déchetteries sauvages liées aux déchets du bâtiment continuent de se multiplier en France, le groupe affirme avoir baissé de 24% le volume de ses déchets non valorisés depuis 2017.Il a aussi souligné que les investissements en Norvège visant à faire de son usine de Fredikstad la première usine du monde de plaques de plâtre neutre en carbone "ont bien progressé".Les actionnaires sont récompensés : le conseil d'administration de jeudi a décidé du versement d'un dividende de 1,63 euro par action, en hausse de 23% par rapport à celui de 2020, ce qui représente 30% du résultat net courant.Le groupe allouera aussi "au moins" 400 millions d'euros en rachat de ses propres actions en 2022 pour continuer à réduire le nombre de ses titres en circulation. Le prix d'achat sera relevé de 80 à 100 euros par action.
Il y a 3 ans et 76 jours

Résultat net en hausse de 91% pour Saint-Gobain en 2021

RÉSULTATS. Le géant français des matériaux de construction, Saint-Gobain, a dévoilé ses résultats pour l'année 2021. Le groupe affiche des résultats record, en grande partie grâce à la rénovation.
Il y a 3 ans et 76 jours

Un contrat de 760 millions d’euros pour Colas aux Philippines

Colas Rail, mandataire d’un groupement comprenant Thales et Egis, a été choisi par Mitsubishi Corporation pour la conception et la construction clé en main du système ferroviaire de la première ligne souterraine du métro de Manille.
Il y a 3 ans et 76 jours

Top départ pour le Start-up Accelerator

La 3e édition du programme Start-up Accelerator est lancée. [©Holcim] Holcim lance la 3e édition de son programme Start-up Accelerator, avec le concours de Bertrand Piccard, explorateur et environnementaliste suisse. Ainsi, l’industriel appelle les start-up du monde entier à candidater, jusqu’au 27 mars aux “défis” de l’accélérateur. En effet, Holcim a identifié neuf thématiques en lien avec la construction de demain. Parmi lesquelles figurent, l’économie circulaire, les solutions de ciments biosourcés. Ou encore, la réutilisation des matériaux de démolition ou encore la maison intelligente… Différents pays et plusieurs industriels du secteur, comme Sika, portent un défi. Le Start-up Accelerator compte aussi de nouveaux partenaires. A l’image de Bouygues Construction et le cabinet de conseil en ingénierie britannique Mott MacDonald. Lire aussi : LafargeHolcim : Douze start-up en accélération Les start-up sélectionnées intégreront le programme d’accélération, qui se déroulera de mai à novembre 2022. Elles seront ensuite suivies par un expert qui aidera à la mise en place d’un plan d’action stratégique, en définissant des objectifs de développement. Pour les candidats et les partenaires, c’est aussi une façon de tisser des liens durables. « Chez Holcim, nous travaillons avec des centaines de start-up dans le monde entier pour accélérer l’innovation et la construction durable, explique Jan Jenisch, Pdg du groupe. Start-up Accelerator nous permet d’entrer en contact avec les esprits les plus brillants du monde, afin de favoriser des percées révolutionnaires. » Pour conclure l’édition, une journée de démonstration se déroulera, en décembre 2022, avec l’ensemble des lauréats.
Il y a 3 ans et 76 jours

Weber investit dans les matières premières de substitution

La RSE toujours au cœur de sa stratégie de développement et en droite ligne de son programme #VertEtFier, Weber continue d’agir activement dans la perspective de réduire de 30 % son empreinte CO2 d’ici 20251 et de 20 % sa consommation de matières premières primaires. C’est ainsi que l’industriel a déjà intégré, sur plusieurs sites […]
Il y a 3 ans et 77 jours

Le comité d'action sur les approvisionnements et les conditions de paiement est opérationnel

Pierre Pelouzet, médiateur des entreprises, et Frédéric Visnovsky, médiateur national du crédit, qui co-animent ce comité, se félicitent de l’engagement des organisations interprofessionnelles (AFEP, CPME, MEDEF, U2P) et des chambres consulaires à lutter collectivement contre les mauvaises pratiques liées aux tensions sur les approvisionnements et les conditions de paiement. Le comité d’action se réunira autant que nécessaire avec l’appui de la DGCCRF.Le comité d’action sur les approvisionnements et les conditions de paiement permet de détecter les comportements anormaux d’acteurs économiques structurants, privés ou publics, susceptibles d’accroître significativement les tensions du marché, par remontées d’informations des organisations professionnelles. Il traite les situations critiques en toute confidentialité, à la recherche de solutions équilibrées. Il valorise les comportements solidaires et les bonnes pratiques, notamment en termes d’achats responsables. Le comité conduit ses travaux en étroite coordination avec les filières concernées via France Industrie et les acteurs du BTP en particulier.Dans le contexte de tension sur les approvisionnements, le comité appelle à adopter une ligne de conduite solidaire dans la gestion des relations contractuelles entre partenaires économiques. Il encourage tous les acteurs à transmettre les informations concernant les comportements aussi bien exemplaires que non-solidaires via leurs fédérations professionnelles ou les chambres consulaires qui les consolideront pour le comité (voir fiche en annexe). La priorité du comité d’action est de privilégier le dialogue avec les entreprises identifiées. Cependant, si aucune solution équilibrée n’est trouvée, il informera le ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, qui appréciera les suites à donner aux comportements « non solidaires ».
Il y a 3 ans et 77 jours

2022 : Année Internationale du verre, une double cérémonie d'ouverture à l'ONU à Genève et au Palais du Luxembourg à Paris

Les interventions de 30 experts ont permis de mettre en lumière les dernières réflexions sur la manière dont le verre peut contribuer au développement de sociétés plus justes et durables, ainsi que les dernières avancées scientifiques et techniques.En France, le 11 février 2022, la Fédération des Industries du Verre et la Fédération du Cristal et du Verre ont organisé la conférence d'ouverture « Le verre pour un quotidien durable », au Palais du Luxembourg sous le parrainage de Catherine Dumas, Sénatrice de Paris et Présidente du Groupe Métiers d'Art.En introduction, la présentation de l'atelier Barrois a permis de mettre en avant le potentiel créatif et d'innovation du verre.« Le verre pour un quotidien durable » Deux tables rondes ont été ensuite organisées. La première dédiée au changement climatique a mis en avant les engagements et les actions concrètes de l'industrie verrière avec le témoignage de trois entreprises. Cette table ronde a démontré que la décarbonation est la priorité dans l'agenda de l'industrie verrière.La seconde a été consacrée à la diversité des usages du verre au travers de plusieurs témoignages d'utilisateurs (design, architecture, univers du luxe). Elle a ainsi présenté le formidable potentiel du verre dans le domaine de la création de formes et de produits, dans celui de l'habitat durable avec l'accès à la lumière renforcé et des performances thermiques améliorées. Et enfin dans le domaine du luxe, l'accent a été mis sur la contribution du verre aux succès des grandes marques françaises au niveau mondial. Pour Jacques Bordat, président de la Fédération des Industries du Verre : « le verre, omniprésent dans notre vie au quotidien, s'inscrit parfaitement dans une logique d'un monde durable. La transition de l'industrie verrière vers un monde décarboné est en marche. » Pour Jérôme de Lavergnolle, président de la Fédération du Cristal et du Verre : « la fierté de toute une profession de participer à cette formidable aventure grâce un matériau durable aux multiples usages et à la mise en œuvre de savoir-faire d'exception ». De très nombreux événements seront organisés tout au long de l'année 2022 afin de mieux faire connaître le verre, mettre en avant l'excellence et la diversité de ses métiers et savoir-faire et informer les jeunes générations des perspectives que l'industrie du verre peut leur offrir.Le site anneduverre2022 montrera les actions menées par la communauté verrière sur l'ensemble du territoire notamment à travers les routes du verre, initiative visant à faire connaître les sites verriers en France au plus grand nombre.
Il y a 3 ans et 77 jours

Tarkett prévoit de ne pas verser de dividendes pour l'exercice 2021

RÉSULTATS. Dans un contexte incertain, le spécialiste des revêtements de sols, Tarkett, joue la carte de la prudence et a annoncé qu'il ne devrait "pas verser un dividende au titre de l'exercice 2021". Ces résultats pour l'année écoulée sont néanmoins rassurants avec un chiffre d'affaires en hausse et un bénéfice net de nouveau dans le vert.
Il y a 3 ans et 77 jours

En quête de modernité, le château d'Amboise s'équipe de nouvelles technologies

REPORTAGE. Le palais des rois de France à la Renaissance se modernise en faisant appel à l'entreprise Siemens Smart Infrastructure. Le géant mondial a déployé plusieurs services et solutions de détection incendie, de contrôle d'accès et de détection intrusion pour le château royal.
Il y a 3 ans et 77 jours

La SNCF veut installer des panneaux solaires dans les gares

Le partenaire sera chargé de la conception, de l'investissement, de la réalisation, de l'exploitation et de la maintenance des installations photovoltaïques qui doivent d'abord être installées d'ici 2024 sur les parkings de 156 gares, a précisé le gestionnaire des gares françaises dans un communiqué.Cette première phase concernant 190.000 m2 aurait une capacité de 25 à 30 mégawatts-crête (MWc, unité mesurant la puissance maximale), l'électricité produite étant destinée à être revendue au réseau public de distribution, selon SNCF Gares & Connexions.L'objectif est d'installer 1,1 million de mètres carrés de panneaux solaires sur le patrimoine foncier des gares d'ici 2030, avec une capacité de 150 à 200 Mwc.A cette échéance, SNCF Gares & Connexions veut avoir réduit de moitié ses émissions de gaz à effet de serre par rapport à 2019, et avoir une consommation d'électricité inférieure ou égale à la production d'énergies renouvelables sur son foncier.
Il y a 3 ans et 77 jours

Résultats 2021 record pour Schneider Electric

Schneider Electric a publié des résultats record pour 2021 le 17 février, porté par la reprise post-Covid et par l'expansion des marchés de l'électrification et de l'efficacité énergétique.
Il y a 3 ans et 77 jours

La Vie en Pierre vulgarise désormais la pierre sur toute la France

Depuis sa création, la marque La Vie en Pierre est pensée comme un outil de pédagogie qui valorise l’utilisation de la pierre au quotidien. Huit ans après son lancement à l’initiative de l’UNICEM Rhône-Alpes, la marque devient une démarche nationale soutenue par l’ensemble des 12 syndicats régionaux métropolitains de l’UNICEM. L’occasion de poursuivre sa mission d’information sur les atouts de la pierre et ses nombreux usages au quotidien, auprès du plus grand nombre. En 2022, l’objectif de reste le même : informer et partager, faire découvrir les petites histoires de la pierre au cœur de la grande histoire de nos villes, de nos territoires, de notre pays et parfois bien au-delà… Transmettre l’anecdote ou le chiffre pour briller lors des repas de famille, lors des sorties entre amis ou dans la voiture, lors des longs voyages où le paysage devient l’unique sujet de discussion. La volonté est de vulgariser et de susciter de la curiosité, de la sympathie et de l’intérêt pour la pierre sous toutes ses formes, en s’appuyant sur l’expertise de l’UNICEM, d’industriels engagés et responsables, d’un réseau de professionnels de la filière Carrières et Matériaux de construction et de nos patrimoines. https://lavieenpierre.com  
Il y a 3 ans et 78 jours

Sika affiche de fortes ambitions en Afrique

EXPANSION. Le spécialiste suisse de la chimie, Sika, annonce avoir déménagé dans un plus grand site en Tanzanie et avoir étendu son usine en Côte d'Ivoire.
Il y a 3 ans et 78 jours

Parquet point de Hongrie Design Parquet : l’authenticité au naturel

Présent dans les palais anciens les plus renommés, le parquet Point de Hongrie a traversé les époques. Toujours synonyme d’élégance, il s’invite aujourd’hui dans les habitats les plus contemporains, les commerces et l’hôtellerie. Doté de nombreux atouts, le parquet en chêne Point de Hongrie, qui ravit tous les adeptes d’authenticité, constitue un des best-sellers de la gamme Naturel de Design Parquet, fabricant français. Élément décoratif à part entière, le parquet en chêne massif ou Loft Pro Point de Hongrie de la gamme Naturel de Design Parquet se distingue par la disposition caractéristique de ses lames de même longueurs assemblées en chevrons et leurs extrémités coupées en onglet. Formant un véritable tableau, il apporte un réel cachet à toutes les pièces. Posées en chevrons avec un angle de 45°, les lames du parquet Point de Hongrie de Design Parquet sont un véritable guide pour la lumière extérieure qui donne de la profondeur à l’espace. Grâce à son aspect brossé, aux différentes largeurs de lames (70 – 90 et 130) et aux nombreuses finitions proposées (vernis incolore, mat ou satiné, huile Natura ou incolore, vernis Roc naturel ou couleur), la gamme Naturel de parquets Point de Hongrie répond à tous les besoins, en neuf ou en rénovation. Authentiques, ils n’en restent pas moins des revêtements de sol offrant tout le confort d‘aujourd’hui : pose sur sol chauffant rafraîchissant basse température, entretien facilité,… http://www.designparquet.fr/
Il y a 3 ans et 78 jours

VIPros, bien plus qu’un simple programme de fidélité !

Après avoir réussi à fédérer les industriels, puis à gagner sa légitimité auprès des artisans du Bâtiment, VIPros va plus loin encore avec une offre de services unique sur le marché… La relation client, un enjeu stratégique Durant des années, le schéma classique « industriel > distributeur > client professionnel » régissait toute la promotion des ventes et la fidélisation clients. Si les 3 acteurs de ce triptyque conservent leur importance, force est de constater que leur rôle évolue au sein de cette relation et qu’il devient stratégique pour chacun de mieux connaître les 2 autres… C’est en partant de ce constat que depuis 4 ans, VIPros facilite la relation et les échanges entre Industriels et Clients professionnels, tout en favorisant la concrétisation des transactions auprès des réseaux de distribution. Fort de cette nouvelle dynamique, et fidèle à cette stratégie, VIPros va plus loin aujourd’hui en associant la conquête de nouveaux clients à l’animation de la relation et à la fidélisation des plus actifs d’entre eux. Du Cash et des Points cadeaux Si le point cadeau reste l’ADN du programme VIPros, la conquête de nouveaux clients passe par des offres plus immédiates et plus « matérialisables ». Voilà pourquoi, VIPros propose désormais des offres Cashback et des réductions immédiates pour développer les relations commerciales, tout en conservant les VIPoints cadeaux pour fidéliser les clients les plus impliqués. Bien mieux qu’un simple centre de gestion De nombreuses offres de remboursement partiel (O.D.R.) sont régulièrement proposées aux clients professionnels, mais toutes reposent sur un même processus, à la fois laborieux et dissuasif : découpe de code-barres, preuve d’achat, coordonnées du bénéficiaire, Iban… pour un remboursement effectif sous 6 à 8 semaines ! Désormais cela relève du passé grâce à un dispositif VIPros « clé en main » : • Inscription rapide sur vipros.fr • Enregistrement unique de son Iban Professionnel • Liberté d’acheter ses produits là où l’on veut • Cumul des offres Cashback de toutes les marques partenaires • Remboursement sous 6 à 8 jours… Sans oublier qu’une marque partenaire peut activer et piloter très simplement ses offres via la plateforme VIPros… De même qu’elle peut négocier des bonus supplémentaires valables chez tel ou tel distributeur. Parole au grand gagnant de l’opération Série illimitée VIPros Entreprise 1000 Jardins : Rémi IMPELLETIERI – Matthieu VAGLIENTI Rémi IMPELLETIERI « Avec mon ancienne société j’étais déjà très actif dans le programme VIPros, l’équipe est au top, et toutes les actions proposées sont attractives. Fraîchement associés et une nouvelle société créée, j’ai décidé de nous inscrire très rapidement et nous avons participé l’année dernière à l’opération « Série Illimitée VIPros » avec comme gros lot « Le fameux camion Ford Transit Custom » ; comme tout le monde, je pensais qu’on gagnerait une gourde ! Finalement mi-novembre, je reçois un coup de téléphone de l’équipe VIPros. Mon associé n’en revenait pas, il ne m’a pas cru de suite, il lui a fallu un nombre incalculable de preuves pour enfin me croire.  Nous avons gagné le camion… Incroyable, cela n’arrive pas qu’aux autres !! L’accueil de toute l’équipe a été formidable du début à la fin. Merci encore à eux et à toutes les marques partenaires pour toutes ces offres tout au long de l’année, les points cadeaux et les réductions (cashback) gagnés facilement. » Bien plus économique qu’un dispositif mono-marque ou mono-enseigne La mutualisation des investissements constitue le premier R.O.I. pour les industriels partenaires du programme VIPros. De tels dispositifs nécessitent une rigueur, des contrôles (notamment juridiques), et des niveaux de sécurisation que peu d’acteurs peuvent assumer. Sans oublier le recrutement constant de nouveaux clients, l’information et l’animation permanente des entreprises inscrites, l’analyse des besoins et le ciblage des offres… Autant de moyens que VIPros peut déployer grâce à la force collective de ses partenaires. Nicolas GROS – Directeur Division Outillage Bosch « Bosch fait partie des pionniers au sein du programme VIPros car dès le début nous avons cru à l’intérêt de mutualiser nos investissements et nos actions pour aller au devant des professionnels. Un tel dispositif nous permet de capter l’attention de ceux qui sont amenés à utiliser, et donc acheter nos produits… Nous pouvons y valoriser nos innovations et nos services. Les synergies et l’équipe dédiée nous permettent de gagner un temps précieux dans cette démarche ! » Sabrina ROUGET – Responsable de la Promotion des Ventes ACOVA « Depuis des années, chez Acova, nous avons la volonté de récompenser nos clients installateurs pour leur fidélité, et grâce au programme VIPros, nous sommes heureux de leur offrir un avantage supplémentaire. Ce concept de partenariat entre plusieurs marques nous a semblé très pertinent et adapté aux besoins des artisans. Il était important pour nous, en tant que marque de référence sur le marché français des radiateurs, d’intégrer ce programme dynamique et innovant, qui nous permettra également de toucher de nouveaux installateurs et d’élargir notre visibilité auprès des artisans. » Un dispositif unique sur le marché La combinaison des offres promotionnelles, couplée à des outils de communications ciblés, des opérations de recrutement de nouveaux membres, des animations régulières des communautés et une analyse pointue des besoins des professionnels confèrent au programme VIPros un intérêt grandissant pour tous les acteurs du marché… Une expérience et une avance que l’équipe VIPros entend maintenir et dupliquer dans tous les secteurs du BtoB.
Il y a 3 ans et 78 jours

Valérie Gourvès, nouvelle directrice opérationnelle du CSTB

Portrait de Valérie Gourvès, nouvelle directrice opérationnelle sécurité, structures et feu du CSTB [© Raphaël Dautigny] Le CSTB annonce la nomination de Valérie Gourvès au poste de directrice opérationnelle sécurité, structures et feu. Ingénieure chimiste de formation, Valérie Gourvès intègre une équipe qui regroupe une centaine de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens. Forte de son expérience, elle souhaite contribuer aux enjeux clefs pour la filière. Et plus largement, à l’intérêt général. La direction opérationnelle sécurité, structures et feu a pour mission d’évaluer les risques liés à la sécurité incendie, des personnes et des structures. De plus, le CSTB doit faire face aux défis environnementaux et démographiques. Le service se mobilise, afin d’accompagner et de répondre à ces problématiques. « La direction opérationnelle sécurité, structures et feu travaille sur des enjeux fondamentaux de la construction, notamment la maîtrise des risques. Et contribue à faire progresser les connaissances au service de la filière », témoigne Valérie Gourvès. De ce fait, l’évaluation d’un matériau pour son aptitude en structure ne peut plus se faire sans penser aux défis environnementaux. Son parcours Diplômée de l’Ecole nationale supérieure de chimie de Montpellier et de l’Institut d’administration des entreprises de Paris, Valérie Gourvès débute sa carrière, en 1990, en tant qu’assistante chimiste pour Kodak. Elle devient ensuite ingénieure recherche et développement chez Colart, grand fournisseur de matériaux d’art. En 1996, Valérie Gourvès intègre le Centre technique du bois et ameublement (CTBA) au poste d’ingénieure conseil en veille technologique. Le centre devenu FCBA, Valérie Gourvès est nommée, en 2003, responsable laboratoire. Elle évoluera sur plusieurs activités. Elle a, entre autres, piloté le laboratoire d’essais de réaction au feu. Valérie Gourvès a ensuite pris la direction de l’unité certification. Et enfin, la direction du pôle multi-activités “Ameublement et aménagement des espaces de vie”. Arrivée au CSTB en novembre 2021, Valérie Gourvès se dit « ravie de prendre la direction d’une très belle équipe, qui rassemble des compétences riches et témoigne d’un engagement fort au service de nos clients et partenaires ».
Il y a 3 ans et 78 jours

Restauration de la cathédrale de Valence

Bâtie au XIIe siècle et en partie reconstruite au XVIIe siècle, la cathédrale de Valence a conservé ses formes romanes. Cet aspect préservé a subi plusieurs campagnes de restaurations, assez lourdes, au cours des XIXe et XXe siècles pour compenser une faiblesse de l’édifice étroitement liée à son matériau de construction : la pierre de Châteauneuf‐sur‐Isère (la molasse), employée à l’origine sur l’ensemble de la construction. Cette pierre étant particulièrement sujette à l’altération, les interventions des deux siècles précédents ont préféré remplacer les blocs « malades » par du calcaire, plus claire que la molasse. Les façades sont alors passées d’un aspect monochrome à un aspect composite, sans régler le problème de la conservation de la pierre d’origine. L’édifice ne souffre pas de problèmes de stabilité. La dégradation des parements et moulurations est parfois tellement forte que les pertes de matière sont très importantes. Les contreforts en molasse et la galerie d’arcatures aveugles couronnant le haut de la nef sont les parties les plus lourdement érodées. La coexistence des pierres en molasse et des greffes en calcaire ou en grès n’est pas un facteur aggravant des pathologies. C’est principalement la différence de nu qui, créant des zones de rétention d’eau, accentue le processus. En 1997, Allain Tillier avait proposé la création de solins de mortier pour assurer l’interface entre la molasse abimée et les greffes. Cette solution conservatoire s’est montrée efficace et durable. La première phase du chantier débutera par la restauration des façades sud et nord. Le parti de restauration sera double, d’abord conserver un maximum de matière d’origine par la consolidation des parements de molasse en place par application d’un produit durcissseur reminéralisant. Des solins seront réalisés pour gérer l’écoulement des eaux entre les blocs sains et les blocs fortement desquamés. Certains parements en molasse, trop altérés seront remplacé par du grès des Vosges, cette pierre est parfaitement compatible puisque ses propriétés sont proches de celles de la molasse. Ensuite, redonner de la cohérence historique aux élévations en harmonisant les greffes de calcaire aux parements anciens en molasse. « Ce traitement permettra à la fois d’intégrer les surfaces trop lisses du calcaire aux surfaces irrégulières de la molasse mais aussi de garantir une meilleure accroche de l’eau‐forte d’harmonisation ». En complément, les verrières, les menuiseries et les systèmes de gestion des eaux pluviales seront restaurés. Les vitraux feront l’objet d’une restauration légère ils seront déposés et nettoyés en atelier. Leur repose sera associée avec la pose de raquettes de protection en laiton. Les couvertures en tuiles canal seront ressuivies, notamment côté nord. La couverture en plomb de la tourelle côté place des Clercs sera restaurée en totalité. Montant de l’opération Le montant total des travaux s’élève à 2 281 489 € HT est financé à 100% par l’Etat dans le cadre du plan cathédrales Durée du chantier de restauration des façades : 16 mois Maîtrise d’ouvrage : Direction régionale des affaires culturelles Auvergne-Rhône-Alpes – Conservation régionale des monuments historiques Maîtrise d’œuvre : Michel Trubert, architecte en chef des monuments historiques Les entreprises Maçonnerie- Pierre de Taille : Vivian et Cie Menuiserie-Bois : sarl Sud France Vitraux : Thomas Vitraux Source : Drac Auvergne-Rhône-Alpes Photo : Drac Auvergne-Rhône-Alpes – Claude Niski
Il y a 3 ans et 78 jours

Les grandes ambitions de Bosch Thermotechnologie en pompes à chaleur et climatisation

Pompes à chaleur, climatisation à détente directe en tertiaire, en maison individuelle et en logement collectif, préparation de l’après-gaz naturel, … voici les objectifs de Bosch Thermotechnologie.
Il y a 3 ans et 78 jours

Tracktor lève 12 millions d’euros pour simplifier la location de matériel de chantier partout en France et en Europe

La startup souhaite continuer à investir massivement pour offrir la meilleure expérience client du marché, devenir le standard de la location en France et étendre son réseau de loueurs en Europe.Lancée en 2017 par deux ingénieurs experts du secteur, TRACKTOR digitalise l’activité de location des PME du BTP et de l’industrie. La plateforme permet aux professionnels de s’affranchir de toutes les contraintes de la location traditionnelle : ils accèdent instantanément aux prix déjà négociés de plus de 400 loueurs partout en France. Toutes leurs locations sont centralisées dans un outil unique qui leur donne plus de visibilité pour optimiser leurs dépenses.Tracktor a déjà conquis plus de 3.500 entreprises des secteurs de la construction et de l’industrie, à qui elle permet de louer du matériel en 3 clics, quel que soit leur besoin, leur faisant ainsi gagner jusqu’à 3h sur la gestion de chaque location. L’entreprise, qui connaît une forte croissance, souhaite en 2022 multiplier par trois le volume d’affaires réalisé en 2021.Cette nouvelle levée de fonds va permettre à Tracktor de recruter de nouveaux talents pour doubler ses effectifs d’ici la fin de l’année. L’entreprise a pour ambition d’offrir la meilleure expérience client du marché en investissant massivement dans sa technologie et le développement de son produit : une application mobile viendra intégrer les besoins de ses clients sur le terrain, et un outil de gestion permettra de centraliser 100% de l’activité de location et de dématérialiser les flux internes des PME. Le deuxième enjeu sera de développer sa notoriété pour devenir le standard du secteur en France et de préparer son expansion en Europe dès 2023.Les nouveaux investisseurs ont apprécié cette proposition de valeur unique sur un marché de la location de matériel de chantier en très forte croissance et encore très peu digitalisé qui pèse plus de 5 milliards d’euros en France et 30 milliards d’euros en Europe (et plus de 70 milliards d’euros en Europe d’ici 10 ans).Pour Idir Ait Si Amer, co-fondateur de Tracktor : « Nous avons choisi AXA Venture Partners et Bpifrance car nous partageons une vision et une ambition communes : nous souhaitons devenir le 1-stop shop de la location de matériel de chantier en offrant la meilleure expérience client du secteur grâce à la Tech. »Pour François Robinet, Managing Partner d'AXA Venture Partners : « La crise du Covid a été un catalyseur pour l'adoption de solutions digitales notamment pour les particuliers mais aussi pour les entreprises. Nous pensons que les années qui viennent verront l'avènement d'un grand nombre de marketplaces BtoB. Dans cette optique et en établissant une véritable place de marché dédiée à la location de matériels, Tracktor peut profondément transformer le marché pour l'industrie du BTP. Nous avons été convaincus par cette vision portée par Idir et Julien et pensons qu’ils sauront la mettre en œuvre en France et à l'étranger. »Pour Victoire Millerand, Directrice d’investissements, et Claire Castel, Chargée d’investissements sénior au sein du pôle Digital Venture de Bpifrance : « Nous sommes convaincus de la pertinence de la proposition de valeur de Tracktor et de leur capacité à transformer fortement ce marché vaste et peu digitalisé à ce jour. Nous sommes ravis d’accompagner cette équipe de qualité dans la prochaine étape de son développement. »
Il y a 3 ans et 78 jours

L’entreprise alsacienne CLIPSO rejoint le groupe Ecophon Saint-Gobain

Concepteur & fabricant français de solutions techniques pour plafonds & murs Suite à un accord exclusif, l’entreprise CLIPSO rejoint le Groupe Ecophon Saint-Gobain, leader mondial de système d’absorption acoustique. CLIPSO conçoit, fabrique et commercialise des revêtements textiles pour les plafonds et les murs. Ces solutions techniques offrent une excellente performance acoustique et une installation rapide […]
Il y a 3 ans et 78 jours

Le Syndicat Français de l’Industrie Cimentière et le CementLAB, accélérateur de start-up, seront présents sur le Forum de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « Investir la transition écologique »  

L’Industrie Cimentière engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions, souhaite profiter de cette occasion pour partager les contributions du béton dans la décarbonation des infrastructures. La baisse de l’empreinte carbone des ouvrages ainsi que la capacité du béton à répondre aux enjeux de résilience climatique seront abordés lors du Forum 2022 de […]
Il y a 3 ans et 78 jours

BOOSTHEAT et le CETIAT signent un contrat de collaboration annuel la performance de sa pompe à chaleur thermique en production d’eau chaude sanitaire (ESC) est confirmée

 BOOSTHEAT (FR0011814938 / ALBOO), acteur industriel français de l’efficacité énergétique, et le CETIAT (Centre Technique des Industries Aérauliques et Thermiques) annoncent avoir signé un contrat de collaboration d’un an renouvelable dans le but d’accompagner la mise au point de la Pompe à Chaleur Thermique (PAC) BOOSTHEAT dans différentes applications. Une deuxième campagne de mesure s’est […]
Il y a 3 ans et 78 jours

L'éclairage architectural Delta Light au cœur d'un espace de travail d'architectes

Le cabinet w : Architeckten s'est lancé pour objectif de construire son propre univers de travail dans lequel les employés partagent un environnement ouvert et aéré, laissant place à la convivialité et la collaboration. Entre des matériaux bruts et un intérieur baigné de lumière naturelle, les différentes gammes de luminaires apportent la touche finale de modernité au bâtiment. Des espaces ouverts délimités par la lumièreAu sein du bureau d'architecture, la sensation de grandeur de l'espace central est renforcée grâce à une façade Ouest complètement vitrée et l'absence de frontières entre les bureaux. En harmonie avec la lumière naturelle traversante, des plafonniers Delta Light subliment l'étage ainsi que le toit à double pente, typique de la région. Les luminaires délimitent les espaces en se concentrant sur les postes de travail, et apportent une lumière chaleureuse et conviviale. Les matériaux mis en lumièreDes projecteurs éclairent les couloirs, les galeries et les escaliers et diffusent la lumière en se reflétant contre les parois de béton, de vitre et de bois. L'objectif est d'embellir les matériaux et de réchauffer la froideur du béton brut tout en apportant une atmosphère plus enveloppante. Le toit plat offre un accès à la terrasse extérieure dont les lattes en bois verticales sont révélées après le coucher du soleil grâce à des projecteurs extérieurs fixés au niveau du sol.
Il y a 3 ans et 78 jours

SPÉCIAL BAS CARBONE ET RE2020 : L’APPROCHE PRAGMATIQUE DE KNAUF POUR ACCOMPAGNER LES ACTEURS DU BÂTIMENT

Avec des cahiers thématiques commandables gratuitement en ligne et un mini-site web dédié :  bas-carbone-re2020.knauf.fr Knauf souhaite faciliter l’accès aux données environnementales, donner des repères en proposant un tour d’horizon des réponses les plus adaptées pour la construction bas carbone et la RE2020.  Afin d’accompagner les concepteurs de bâtiments (architectes, BE, économistes…), les entreprises générales […]
Il y a 3 ans et 79 jours

Projet "Grand Stade" : la Fédération de rugby condamnée à payer 150.000 euros

Dans sa décision, le tribunal a considéré "que la résiliation du contrat de promotion immobilière pour la construction du Grand Stade avant la fin de la seconde phase était prématurée et que la FFR a rompu le contrat au cours d'une phase et non après l'achèvement de cette phase", a indiqué à l'AFP une source judiciaire.La FFR a été reconnue coupable d'avoir réalisé une "résiliation fautive" du contrat avec le consortium selon cette source, précisant que le "surplus des demandes a été rejeté".La Fédération devra acquitter la somme de 150.000 euros au titre du "préjudice" du fait de cette résiliation avec Ibelys, qui avait réclamé devant le tribunal plus de 16 millions d'euros en guise de réparation, a expliqué à l'AFP Alexandre Martinez, le trésorier général de la Fédération.Dans ce dossier, la FFR, dont le président Bernard Laporte avait fait de l'abandon de ce projet de "Grand Stade" l'une de ses promesses de campagne, a déjà été condamnée à verser 3,36 millions d'euros à la communauté d'agglomération Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, en juillet 2020.La Fédération avait fait appel de la décision dans cette affaire qui, pour l'instant, n'a pas été été à nouveau examinée par la justice.Le projet de "Grand Stade", sur le territoire des communes de Ris-Orangis et Bondoufle (Essonne), avait été abandonné par Bernard Laporte dès son élection à la présidence de la FFR en décembre 2016.Quant à la décision du tribunal d'Evry, notifiée aux parties jeudi, "nous n'avons pas encore décidé si nous allons faire appel", a encore souligné vendredi M. Martinez, mais "la probabilité est assez faible".Elle constitue "une excellente nouvelle et démontre que notre approche était pertinente", étant donné que le total des sommes réclamées à la FFR pour rupture de contrat dépassait les 50 millions d'euros et qu'au final la Fédération n'a été condamnée à verser "que 3,5 millions environ", a ajouté son trésorier général : "C'est toujours trop mais ça aurait pu être bien plus".D'une capacité prévue de 82.000 places, le Grand Stade, appelé à devenir le phare du rugby français et initié par l'ex-président de la FFR Pierre Camou, avait un coût estimé à 581 millions d'euros."Maintenant que l'on connaît l'épilogue de cette affaire, côté Fédération en tous les cas, cette décision (d'abandon du projet) a eu des conséquences extrêmement positives pour les clubs et le rugby français en règle général : ça nous a libéré des contraintes financières qui (nous) pesaient dessus et ça nous donne de fait une vraie marge de manœuvre en terme de gestion financière", a conclu le dirigeant.
Il y a 3 ans et 79 jours

Philippe Colin, directeur de l'organisation et des ressources humaines de Lafarge France

Philippe Colin a rejoint Lafarge France fin 2021 en tant que de directeur de l'organisation et des ressources humaines. Membre du comité de direction, il reporte directement à François Petry, président directeur-général.
Il y a 3 ans et 79 jours

2021, une année au top pour Schneider Electric

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, annonce une année 2021 record avec de nombreux résultats à "leurs plus hauts niveaux historiques".
Il y a 3 ans et 79 jours

Les professionnels de la rénovation énergétique alertent le gouvernement sur les conséquences dramatiques de l’arrêt des aides

Une situation inquiétante...Un an plus tard le constat est préoccupant, selon la lettre ouverte du Symbiote adressée au gouvernement le 22 février : Les chantiers de rénovation de l'isolation de combles, de murs, de planchers, ainsi que des mises en places d'équipements performants ont diminué de 80%.Les rénovations performantes en application avec la fiche BAR-TH 164 sont inexistantes.Des licenciements massifs se produisent, accompagnés de fermetures des entreprises depuis les 6 derniers mois avec une estimation d'environ 13 000 pertes d'emplois.Les ventes d'isolants et d'équipements subissent également une baisse de l'ordre de 50% malgré les investissements des industriels et le fait que l'industrie des produits d'isolation soit une industrie nationale et locale.Les particuliers semblent eux aussi dans l'incompréhension face à l'arrêt du dispositif d'aide pour la rénovation énergétique au moment où l'inflation des coûts d'énergie est particulièrement forte.... mais des solutions sont possibles pour sortir de la criseAfin de permettre la relance des travaux de rénovation, le syndicat demande donc :La mise en place d'un nouveau dispositif coup de pouce pour limiter l'effondrement complet des travaux d'isolation via un changement de méthode de calcul de la bonification et du forfait.Une augmentation de la bonification de la fiche BAR-TH 164.Une augmentation de 500TWh pour les CEE réalisés chez les ménages précaires.Un encadrement contrôlé pour éviter les dérives et les éco-délinquants.Pour lire la lettre ouverte du Symbiote, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 79 jours

Les maisons intelligentes : un atout pour l'indépendance des personnes âgées

Aujourd'hui, la technologie des capteurs intelligents est présente dans le monde entier dans les maisons intelligentes, les immeubles de bureaux, les systèmes modernes de contrôle des bâtiments et l'industrie 4.0. La mise en réseau d'équipements intelligents joue un rôle de plus en plus important, rendu possible par l'utilisation de données transmises par des capteurs. Ces données sont utilisées dans les bâtiments principalement pour économiser des coûts et de l'énergie. Mais dans les maisons intelligentes, l'accent est plutôt mis sur les besoins des habitants, sur le confort et la sécurité.L'assistance à l'autonomie à domicile appartient à cette dernière catégorie, car l'accent est davantage mis sur la sécurité, le confort et l'indépendance que sur l'efficacité et la réduction des coûts. Le vieillissement de la population dans les pays développés pose des défis majeurs au secteur de la santé. La population mondiale est de plus en plus âgée, les personnes ayant besoin de soins sont plus nombreuses, mais le personnel soignant disponible n'augmente pas dans la même proportion. En conséquence, les soins de santé pour les personnes âgées sont de plus en plus coûteux. Par ailleurs, de plus en plus de personnes âgées souhaitent rester le plus longtemps possible à leur domicile.Les technologies modernes peuvent contribuer à la mise en place de solutions adaptées. Les développements et les innovations dans les domaines de l'automatisation des bâtiments et de la maison intelligente peuvent apporter une contribution importante à cet égard. Les capteurs sans fil basées sur le standard radio EnOcean peuvent être facilement installées dans des infrastructures existantes et peuvent ainsi contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes au quotidien, notamment lorsqu’elles sont entrées dans la vieillesse. Ces solutions peuvent également apporter un soutien, voire un soulagement, aux proches et au personnel soignant.Sécurité et confort à la maison - même à un âge avancéLes capteurs de mouvements dans les matelas et les chambres, les détecteurs de présence et de chute ou les boutons d'appel d'urgence et de commande simples à installer fournissent des informations importantes et nécessaires pour permettre de vivre en toute sécurité et confortablement chez soi, même à un âge avancé. Il est important que cette assistance s’intègre de façon transparente dans la vie quotidienne. Un autre aspect significatif est l'utilisation simple et intuitive des équipements, comparable aux applications des smartphones. La maison intelligente peut être la bonne solution pour cela. La commande intelligente de la lumière, du chauffage, des stores et d'autres appareils électriques augmente le confort de vie de toute la famille. Des aides pour les personnes âgées peuvent venir s'y ajouter facilement et de manière invisible. Il peut s'agir de capteurs qui enregistrent l'activité et le bien-être, par exemple. L'un des avantages est qu'ils ne fournissent une assistance qu'en cas de besoin et en cas d'urgence.Des systèmes radio adaptables en toute flexibilitéUne condition importante pour ces solutions est qu'elles puissent être facilement installées dans des environnements existants, tant à domicile que dans les établissements de soins. Cela permet aux personnes ayant besoin d'aide de vivre de manière aussi indépendante que possible dans leur environnement familier, et ce le plus longtemps possible. Ces solutions sont également avantageuses pour certains établissements de santé, mais si elles doivent être mises en place dans des installations existantes, les activités quotidiennes doivent être perturbées le moins possible. C'est pourquoi les systèmes câblés ne sont pas adaptés à ce cas de figure, car l'effort à fournir pour équiper chaque capteur d'un câble serait bien trop important. En outre, la flexibilité des solutions serait grandement altérée, car une fois installés, les capteurs seraient très difficiles à démonter et installer ailleurs. C’est pourquoi les systèmes sans fil ont clairement l'avantage : Sans être tributaires d’un quelconque câblage, les interrupteurs, les détecteurs de fumée, les capteurs de présence, de température, de qualité de l'air et de lumière ne nécessitent aucun entretien et peuvent être installés simplement là où ils sont vraiment nécessaires, même sur des meubles, des vitres ou des portes : par exemple, un détecteur de mouvement pour la commande de la lumière sur le cadre du lit ou un capteur tactile intégré dans le matelas pour la commande de la lumière et du chauffage, qui signale également si la personne âgée s'allonge de manière inhabituelle le matin ou quitte le lit de manière inattendue la nuit. En même temps, ces capteurs peuvent aussi être intégrés à tout moment dans des systèmes existants.Fonctionnement entièrement sans pilesDe nombreuses solutions qui fonctionnent sans alimentation électrique externe présentent un inconvénient majeur : des piles doivent générer l'énergie nécessaire aux interrupteurs et aux capteurs. Ceci a un impact négatif sur les coûts de maintenance d'une part et sur l'environnement d'autre part. Les piles doivent être contrôlées et remplacées régulièrement, ce qui est très coûteux avec un grand nombre de capteurs. L'élimination des piles pose également problème, car leur contenu toxique, nocif pour l’environnement, impose un traitement spécifique.La technologie EnOcean empreinte une voie radicalement différente : Les interrupteurs et capteurs sans fil captent et stockent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Lorsqu'un interrupteur est actionné, le convertisseur d'énergie électromécanique situé à l'intérieur convertit le mouvement en énergie. Ce signal peut être utilisé pour allumer et éteindre des appareils ménagers et des lumières, par exemple. Les modules alimentés par de petites cellules photovoltaïques peuvent se contenter de faibles intensités lumineuses, ne dépassant pas 50 lux. Il peut s'agir de capteurs de température, de CO2 et de présence, par exemple, mais aussi de contacts fixés su des fenêtres ou de capteurs d'humidité. Toutefois, les capteurs peuvent également fonctionner sans piles si l'apport de lumière est trop faible : une différence de température de seulement deux degrés Celsius fournit suffisamment d'énergie pour actionner une vanne de chauffage autoalimentée.Une assistance automatisée au quotidienGrâce à leur fonctionnement par signal radio, ces solutions peuvent être adaptées progressivement à l'évolution des besoins. Les lumières peuvent être allumées et éteintes automatiquement grâce à des détecteurs de présence, et des contacts magnétiques sur les fenêtres et les portes permettent de baisser automatiquement le chauffage lorsque la fenêtre est ouverte ou lorsque tout le monde a quitté la maison. Lorsque les lieux sont inoccupés, tous les appareils électriques tels que la cuisinière et la machine à laver peuvent être éteints par sécurité.Alors que de nombreuses personnes âgées souhaitent rester dans leur environnement familier le plus longtemps possible, de nombreuses applications basées sur le standard radio EnOcean peuvent contribuer à faire de ce souhait une réalité.ConclusionAvec l'aide des technologies modernes, il est possible de rester indépendant même à un âge avancé. Parmi ces technologies, les capteurs autonomes et sans fil occupent une place de choix et prennent de plus en plus d'importance dans le secteur de l'assistance à l'autonomie à domicile, car ils offrent aux personnes âgées un degré élevé d'indépendance et de confort. Toutefois, cette forme d'assistance ne doit pas être imposée et ne doit pas porter atteinte à la vie privée des individus (comme les caméras). Les solutions basées sur des capteurs au standard radio EnOcean sont particulièrement adaptées à ce type d'application. Une fois installés et mis en service, ils fonctionnent sans aucune maintenance et fournissent des données fiables pour contrôler et surveiller l'état de santé des personnes ayant besoin d'aide. Tribune d'Emmanuel FRANCOIS, Sales Manager West Europe chez EnOcean GmbH (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 79 jours

Futur des entreprises et de leur lieu de travail : 2021 vs 2022, qu’est-ce qui a changé ?

En 2022, Génie des Lieux renouvelle cette enquête auprès de 3 512 personnes qui renforce certaines attitudes ou au contraire qui met en lumière de nouveaux comportements.81 % des entreprises veulent faire revenir leurs collaborateurs au bureau en 2022, elles étaient 77 % en 2021 ! Pas de télétravail dans des espaces de coworking pour 71 % d’entreprises en 2022 (67 % en 2021). 67 % ne prévoient toujours pas de consulter les salariés sur l’évolution du travail (61% en 2021). 57% des sociétés ne laisseront pas aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail (52% en 2021).Les incontournables dans le futur qui sont renforcés :Une grande proportion de collaborateurs en télétravail : 72 % en 2022 (contre 64 % en 2021).La possibilité aux collaborateurs de travailler en tiers-lieux : 58 % (contre 61 % en 2021).Une surface de bureau réduite au minimum : 62 % (contre 57 % en 2021).La bonne question à se poser : le retour au bureau oui, mais pour quoi faire ?Pour Romain Millet, Ergonome, directeur New Ways of Working chez Génie des Lieux : « Cette enquête met en évidence les grandes questions des entreprises que nous accompagnons. Le retour au bureau est le sujet principal, mais la question primordiale est : « pour y faire quoi ? ». Car oui, le télétravail a fait son entrée fracassante avec la crise sanitaire et il est aujourd'hui une caractéristique essentielle de la situation. Nous sommes passés de l'adaptation forcée à l'anticipation pour demain. Le Future of Work est bien la question qui taraude les entreprises. Elles sont en demande d'une expertise pour établir une analyse poussée de leurs activités et penser à la meilleure organisation pour un modèle hybride. C'est seulement après ce travail introspectif que l'on pourra adapter les aménagements et les outils à ces nouveaux modes de travail, et cela clairement, au service de la performance du collectif. »2022 : Une adaptation à la crise sanitaire bien meilleure qu’en 2021 Depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises françaises ont pu opérer de nombreux changements. Ainsi, en 2021, 41 % des Français estimaient que leur société s’était « moyennement » adaptée à la situation et seulement 28 % que celle-ci était « bonne ». En 2022, il semble que les entreprises se sont bien améliorées puisque 37 % estiment que l’adaptation de leur entreprise est « bonne », 14 % « très bonne » et voir « excellente » pour 7 %. Des évolutions différentes en seulement 1 an Tout comme en 2021, c’est le télétravail qui reste la préoccupation majeure : 46 % en 2021 et 41 % encore en 2022. La communication interne qui enregistrait 19 % de représentativité en 2021 a certainement eu moins de nécessité en 2022 avec seulement 10 % et se trouve remplacée par la mise en place de nouvelles règles de fonctionnement avec 16 % (12 % en 2021) juste devant la formation des managers avec 15 % (13 % en 2021). Les nouvelles grandes réflexions : adaptation des espaces et des outils En 2021, l’adaptation des espaces était déjà envisagée ou en cours pour 61 % des entreprises. En 2022, c’est encore plus une réalité avec 69 % de représentativité (34 % oui et 35 % en cours). Même constat pour l’adaptation du management qui comptabilisait 48 % de « oui » en 2021 et 49 % en 2022. D’autres projets restent encore en cours comme le positionnement de l’entreprise à 51 % en 2021 et 48 % en 2022, ainsi que la mise en place de nouveaux modes d’organisation à 55 % en 2021 et 51 % en 2022. Le développement de nouveaux outils fait également un bon en 2022 avec 45 % « d’en cours » contre 44 % de qui ne l’avait pas envisagé en 2021.Toujours pas de télétravail en coworking Déjà en 2021, très peu d’entreprises (seulement 9 %) proposaient à leurs collaborateurs de télétravailler dans des espaces de coworking à proximité de leur domicile. En 2022, ce taux a baissé pour atteindre 7 % et les réfractaires sont encore plus nombreux aujourd’hui avec 71 % contre 67 % en 2021.Encore moins de concertation A la question « Votre entreprise a-t-elle consulté les collaborateurs sur leur souhait d'évolution des pratiques de travail, du management, des environnements de travail, etc.? », la réponse qui était « non » à 61 % en 2021 l’est toujours en 2022 pour 67 % des personnes interrogées. Choisir son lieu de travail ? Laisser totalement le choix aux salariés du télétravail ou du présentiel n’était pas au goût du jour en 2021… et encore moins en 2022 ! En effet, 52 % des entreprises déclaraient l’année dernière ne pas laisser aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail et elles sont aujourd’hui plus de 57 % à le revendiquer. Seulement 24 % sont susceptibles d’accorder cette liberté pour du télétravail de 1 ou 2 jours par semaine (15 % en 2021). Un fort besoin d’accompagnement pour réaménager les espaces ! La question du réaménagement des espaces de travail reste la priorité et surtout le sujet qui nécessite un véritable accompagnement. C’est ce que déclarent 77 % des professionnels interrogés en 2022 et qui étaient déjà 64 % dans ce cas en 2021. L’organisation des modes de travail intéresse également 68% des sociétés (contre 61 % en 2021) ainsi que les nouvelles façons de manager à 62 % (contre 59 % en 2021). Les objectifs pour 2022 ? Les mêmes qu’en 2021 ! Le télétravail c’est bien, mais faire revenir les collaborateurs au bureau reste la préoccupation N°1 de 81 % des entreprises en 2022 (77 % l’année dernière). Le deuxième objectif pour 75 % concerne l’amélioration des espaces afin de mieux gérer l’hybridation quasi inévitable du travail : à distance et en présentiel. A la troisième place, 55 % des entreprises veulent rassurer leurs équipes sur les enjeux sanitaires (61 % en 2021). Retour vers le futur du travail ?Même si les entreprises veulent plus de présentiel, le télétravail fait désormais partie intégrante du quotidien. Ainsi, plus de 72 % des entreprises envisagent une grande proportion de collaborateurs en home office dans le futur et étaient déjà 64 % à le penser en 2021. La possibilité de travailler dans différents lieux ne fait plus partie de leur vision du travail dans l’avenir et enregistre 58 % de votes contre 61 % l’année dernière. En revanche, la réduction des surfaces de bureau à son strict minimum est plus envisagée pour 62 % en 2022 alors qu’ils n’étaient que 57 % en 2021.