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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

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Il y a 3 ans et 203 jours

Sarthe : Girpav ouvre une nouvelle usine près du Mans

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La dernière-née des usines Girpav est entrée en service sur la commune de Maresché. [©Méhat Girpav] Depuis plus de 75 ans, Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Au programme, plaques de soubassement en béton pour clôtures métalliques, composite, aluminium, clôtures traditionnelles et décoratives en béton, produits de sol en pierre reconstituée : pavés, dalles, bordures et caniveaux. L’ensemble est commercialisé sous les marques Girpav, Méhat et Clôtures Nicolas.  Pour renforcer son outil de production, l’industriel vient de mettre en service une toute nouvelle usine de préfabrication à Maresché, commune située à environ 25 km au Nord du Mans. Il bénéficie ainsi d’un emplacement stratégique, en plus du soutien de la Région Pays de la Loire. Lire aussi les autres actualités en région Complétant les usines déjà implantées dans le Calvados, le Loiret, le Morbihan, l’Oise et les Vosges, la nouvelle unité vise à répondre aux demandes de ses clients historiques du Grand Ouest : négoces matériaux et distributeurs spécialisés. Et devrait permettre de conquérir de nouveaux clients sur tout le territoire français… Après 18 mois de travaux, l’usine de 6 500 m2 implantée sur une parcelle de 10,5 ha vient de démarrer sa production. Une vingtaine de collaborateurs travaillent actuellement sur le site (production et administratif), et quelques embauches sont prévues dans les mois à venir… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 203 jours

Côtes-d’Armor : Perin & Cie bascule chez Marcotte

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La centrale à béton de l’usine Perin & Cie de Saint-Maudez est la première à avoir basculé vers la solution Marcotte. [©ACPresse] Hasard du calendrier, le groupe Perin & Cie a profité des périodes de confinement pour commencer le basculement de ses centrales à béton vers un nouvel automatisme de pilotage. « Nous avons fait le choix de la solution proposée par le Canadien Marcotte », indique Dominica Lizarazu, directrice générale du groupe industriel breton. La première unité à avoir adopté le système n’est autre que l’usine de Saint-Maudez,  (dont l’ouverture est intervenue en 2019). Suivie par celle de Vern-sur-Seiche. « Nous avons profité de l’arrêt pour refaire le stockage à granulats de la centrale à béton, mission confiée à Fameto. » Noyelle-Pontivy est le site suivant sur la liste. Au total, Perin a programmé cette migration au niveau de ces six unités de production, avec la fin 2022 comme date butoir. « Nous avons bénéficié d’une aide de la région dans le cadre du Plan France Relance, sur le volet “numérisation” », reprend Dominica Lizarazu.  Lire aussi les autres actualités en région Avec le système Marcotte, le groupe Perin estime entrer dans une nouvelle dimension, en termes de modernité, de fiabilité et de précision. « Au moment du choix, l’ensemble des collaborateurs ont beaucoup apprécié l’ergonomie globale de l’application. » Les fonctions intelligentes du système Marcotte permettent d’ajuster la quantité requise de chaque constituant de lot, en temps réel, pendant l’exécution du lot. Tout en préservant les ratios clefs et le rendement volumétrique. Une de ses particularités du système est aussi d’offrir une très grosse sécurité quant à un redémarrage du système de pilotage de la centrale à béton. Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 203 jours

Voyage au cœur des centrales à béton

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine En 2020, selon les chiffres Evolis/Seimat, il s’est vendu 35 centrales à béton neuves sur l’ensemble du territoire national. L’année précédente, ce nombre était de 43… Quant à 2021, les choses ne se présentent pas bien du tout, avec un recul de près de 50 % des commandes sur le premier semestre. Le contrecoup de la période Covid, sans doute. En parallèle subsiste le marché de la rénovation/modernisation des outils industriels. Mais là, aucun chiffre ne permet d’évaluer son poids. Toutefois, l’important est qu’il crée des opportunités de collaborations pour les acteurs de la centrale à béton. Aujourd’hui, on en dénombre une quarantaine. Les pages qui suivent permettent de les découvrir… A2P Concept : En neuf et en rénovation A2P Concept propose aussi bien de la rénovation de centrales à béton que des projets neufs sur mesure. [©A2P Concept] Basée en Dordogne, A2P Concept est une société exerçant une double activité. D’un côté, le conseil en engineering de process. De l’autre, le développement de centrales à béton (BPE et préfabrication), mais aussi d’équipements de carrières, de gestion du recyclage des eaux et des poussières.  Dans le domaine plus particulier de la centrale, A2P Concept propose aussi bien de la rénovation d’outils existants que des projets neufs sur mesure. Ou, tout simplement, la vente de pièces détachées. « Par exemple, notre prestation de rénovation peut aller du simple remplacement de la bascule à eau à l’installation d’un bloc-malaxeur dans son ensemble », indique Alexandre Pascale, directeur général d’A2P Concept. Pour les projets neufs, l’industriel offre plusieurs solutions d’implantation de centrales : horizontale ou verticale, suivant le cahier des charges. Mais aussi, en fonction de la topographie du terrain ou des contraintes d’accès. L’ensemble, depuis l’étude jusqu’à la réception finale. Quant à la fourniture des pièces détachées, elle est, bien entendu, orientée vers la centrale à béton. Et peut intégrer une prestation de montage. Le programme est vaste, allant des simples pièces d’usure du malaxeur jusqu’aux sécurités de remplissage des silos à ciments. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 203 jours

On the road again avec le Road Show Oknoplast 2021

Le road show OKNOPLAST c’est l’occasion pour l’équipe commerciale de retrouver et rassembler tous leurs partenaires premium dans chaque région. Après cette année 2020 marquée par la crise sanitaire, il était essentiel pour OKNOPLAST de pouvoir retourner à la rencontre de ses clients. Bien évidement des temps forts avaient été organisés en version 2.0 pour s’adapter au contexte sanitaire, mais ces rencontres « en vrai » étaient attendues par tous. L’occasion également pour Romain Somet, Directeur Commercial OKNOPLAST France, de faire son baptême du feu pour sa première édition, entouré de toute son équipe commerciale.Des rencontres riches et formatricesL’OKNOLIVE TOUR 2021 en chiffres :7 dates : du 26 octobre au 18 novembre7 villes : Lille, Strasbourg, Paris, Deauville, Lyon, Bordeaux et Aix-en-Provenceplus de 4.700 km parcourusplus de 30 heures d’oration9 temps forts d’informationplus de 170 participantsAu programme de ces rencontres, Romain Somet et les membres de l’équipe commerciale sont venus présenter notamment : un bilan plus que positif sur l’actualité du Groupe OKNOPLAST, la présentation de la société espagnole Ampuero, les produits OKNOPLAST, les nouveautés, les prix obtenus notamment celui du Meilleur Design de point de vente, l’association avec le CSTB et la remise de prix à ses partenaires premium. Ces rencontres ont également permis aux clients de découvrir en exclusivité la future campagne TV Oknoplast qui aura lieux dès la fin novembre.En route pour la convention 2022 et les 10 ans d’OKNOPLASTLe prochain rendez-vous pour OKNOPLAST et ses partenaires est pris ! Le groupe a la joie de pouvoir convier tous les revendeurs premium OKNOPLAST France à l’occasion de la convention OKNOPLAST 2022. L’évènement sera spectaculaire puisque les 10 ans de la filiale France y seront célébrés. L’année 2022 sera sans nulle doute très festive pour OKNOPLAST France, ses équipes et ses partenaires !
Il y a 3 ans et 203 jours

Façade repensée pour immeuble restructuré

Engagée il y a deux ans, la restructuration de l’immeuble « Axe Défense » opérée par Rehagreen, l’entité spécialisée dans les restructurations d’immeubles tertiaires de Bouygues Immobilier, touche à sa fin. Le nouvel ensemble, désormais dénommé NE.ST, vient d’être livré. Après une opération de réhabilitation lourde et complète, l’immeuble, conçu par l’agence d’architecture 163 Ateliers, a vu sa surface croître de 30% pour atteindre 12 380 m². Le bâtiment s’insère dans une trame urbaine existante, tout en proposant une architecture significative porteuse d’une image identitaire. Après avoir été désamianté, le bâtiment a été enveloppé d’un bardage en aluminium anodisé et de verre émaillé. Côté cour, l’extension R+9 en forme de triangle, a été rapportée au bâtiment existant. Pour donner durythme à l’ensemble, le cabinet d’Architecture 163 Ateliers a imaginé une façade reprenant le principe descréneaux avec des cadres en aluminium posés en quinconce. Pour accentuer cette impression devibration, l’architecte a opté pour un système « inversé » où le vitrage se situe en retrait tandis que leséléments de décoration sont au premier plan. Deux autres particularités caractérisent les façades de cet immeuble : d’une part, le traitement thermique et aéraulique du bâtiment est assuré par des unités de confort individuel (UtCI) dissimulées en façade assurant à la fois le renouvellement de l’air sans réseau de gaine, la récupération d’énergie thermique, le chauffage et le rafraichissement du bâtiment. D’autre part, des brise-soleil orientables (BSO) en lame d’aluminium sont gérés automatiquement par la GTB du bâtiment. Dans ce contexte et compte tenu de l’exiguïté du site, les équipes du poseur et WICONA ont recommandé le recours à une façade cadre, pré-montée en atelier. Cette dernière a fait l’objet d’une création spéciale. Chaque bloc étant constitué de trois éléments : un panneau vitré fixe ou un ouvrant WICLINE 65 de WICONA avecintégration d’un BSO en imposte et du système de ventilation UtCI en allège. Cette façade côté cour compte au total 530 blocs, de 3 350 mm de large par 3 000 mm de haut, dont lamoitié avec des ouvrants WICLINE 65 de WICONA. Sur l’extension en triangle, la pose a été effectuée entredalles poteaux en R+ 9. Sur le bâtiment existant de forme arrondie, en R+8, la façade cadre a été posée à l’extérieur dans un voile percé. L’extension repose sur un socle au rez-de-chaussée et en R+1 constitué de façades WICTEC 60 WICONA qui enlacent le bâtiment, se prolongent sous le porche. Ces systèmes de façades ont également été mis en oeuvre sur un autre espace symbolique du programme : la surélévation en attique. En effet, les niveaux R+9, R+10 et R+11, en charpente métallique reliés avec un bardage métallique, ont été ajoutés au bâtiment initial. Ils s’ouvrent pleinement sur l’extérieur grâce au système de façade WICTEC 60 avec des éléments vitrésde 2,5 m de haut par 2 m de large. Maître d’ouvrage : Rehagreen Architecte : cabinet d’Architectures 163Ateliers Entreprise : AZA Photo : Franck Deletang  
Il y a 3 ans et 204 jours

Le nombre de formations s'est maintenu en 2020 grâce au boom du CPF

Ce rapport est le second publié par le comité scientifique d'évaluation du Plan d'investissement dans les compétences, le PIC. Lancé en 2018 et doté de 15 milliards d'euros sur cinq ans, ce programme phare de l'exécutif a pour objectif de susciter la formation de deux millions de demandeurs d'emplois, jeunes ou peu diplômés, sur la période 2018-2022.Selon les auteurs, "en 2018, année d'amorçage du PIC, les principaux programmes de formation et d'accompagnement ont enregistré près de 820.000 entrées de personnes en recherche d'emploi". Ce nombre est monté à 1,018 million en 2019 et à 1,107 million en 2020.Mais ce maintien est en trompe-l'oeil, car il est dû à la "montée en charge extrêmement rapide", avec 307.000 entrées en formation en 2020, du CPF autonome (une innovation de la loi Avenir professionnel qui permet aux actifs de s'inscrire directement auprès des centres de formation). "Les CPF ont surtout financé des formations courtes alors que l'objectif du PIC est plutôt de développer des formations longues et qualifiantes", soulignent les auteurs.Hors CPF, le nombre d'entrées en formation a diminué de 21% (de 1,018 million à 800.000)."Ceci est lié à la fois aux effets directs du confinement, malgré l'effort des organismes de formation pour fournir des solutions de continuité, et au fait qu'une part importante des formations proposées notamment par Pôle emploi préparent directement à des embauches qui n'avaient plus lieu", notent-ils.32% des formations en cours ont ainsi pu être maintenues lors du premier confinement, 79% au deuxième.Autre point qui amène à avoir une vision nuancée du PIC, "les moins diplômés, cible du programme, voient leur accès à la formation augmenter, mais pas davantage que les autres catégories". Alors qu'ils représentent 56% des demandeurs d'emploi, les personnes peu diplômées "ne représentent que 52% des entrées en formation, une part qui n'a pratiquement pas évolué sur la période", souligne le comité présidé par l'économiste Marc Gurgand."Autre cible prioritaire du PIC, les jeunes, en particulier non qualifiés, ne semblent pas non plus avoir relativement plus bénéficié de l'augmentation des entrées en formation", ajoute-t-il.Et les auteurs de conclure que, "si une partie de ce constat s'explique par la crise sanitaire, il semble peu probable que l'objectif de fournir 2 millions de formations supplémentaires au bénéfice des publics les plus éloignés de l'emploi puisse être tenu sur les cinq années initialement prévues par le plan".Apprentissage: le record de 2020 déjà "battu", annonce BorneLe nombre de contrats d'apprentissage signés en 2021 a déjà "battu le record de l'an dernier", a indiqué vendredi la ministre du Travail Élisabeth Borne, soulignant "la reprise très dynamique" de l'emploi ces derniers mois."On est déjà à 560.000 contrats d'apprentissage signés cette année", contre 526.000 pour toute l'année 2020, a précisé Mme Borne sur France Info."C'est une très bonne nouvelle, on a battu le record de l'an dernier", s'est-elle félicitée, saluant également la forte baisse du nombre de chômeurs en octobre (-113.000 selon Pôle emploi)."Sur six mois, on a 500.000 demandeurs d'emploi sans activité en moins, ça montre que la reprise est très dynamique", a-t-elle affirmé.La ministre du Travail a néanmoins estimé "normal" de renforcer les contrôles de chômeurs, afin "de s'assurer qu'ils recherchent activement du travail", rappelant son objectif de "25% de contrôles de plus dans les six prochains mois".
Il y a 3 ans et 204 jours

VIPros 4 ans après… bilan et perspectives

C’est lors des salons Batimat-Interclima et Ideobain en Novembre 2017 que VIPros, le premier programme de fidélité multi-marques, multi-enseignes et multi-canal du marché, a été officiellement lancé. Avec l’aide de quelques industriels précurseurs, VIPros a initié un dispositif unique en France, capable : • D’identifier les entreprises artisanales susceptibles d’acheter leurs produits (les industriels s’arrêtaient jusqu’à lors aux seuls contacts distributeurs), • D’être en capacité de dialoguer directement avec elles pour prescrire les produits-services les plus adaptés à leurs besoins et les amener à un meilleur usage, • De s’appuyer sur un collectif de marques complémentaires pour les fidéliser, avec à la   clé, le programme le plus animé et le plus généreux du marché, • De capitaliser sur le retour d’expérience partagé avec l’ensemble des marques pour identifier des besoins, anticiper des renouvellements, faire des offres ciblées et donc plus intéressantes pour les artisans. En 4 ans, le programme VIPros a : • Enregistré une base hyper qualifiée de 11 000 entreprises artisanales, représentant selon les classifications de l’Insee,entre 45 000 et 85 000 utilisateurs professionnels, • Développé l’outil le plus élaboré du marché pour gérer une relation permanente avec ces entreprises, • Créé un dispositif totalement inédit d’animation commerciale, via 3 leviers promotionnels : VIPoints, Cashback (bien plus performant et porteur d’image que les classiques Offres De Remboursement) et Réductions Immédiates (B.R.I. unique en France, en cours de déploiement pour des 1ers tests physiques et en ligne), • Initié un programme de recherche en Data Science, validé par l’Etat, pour optimiser l’animation des communautés VIPros (marques, artisans, distributeurs). Tous ces investissements sont mutualisés et constituent le 1er R.O.I. des industriels partenaires. Mais l’aventure ne va pas s’arrêter là , VIPros va amplifier ses efforts et ses investissements pour : • Valoriser le programme au travers d’actions collectives financées par le socle commun nouvellement acté : marketing direct, offres promotionnelles à forte attractivité, exposition et animations lors des prochains salons Batimat-Interclima-Idéobain, • Accélérer le déploiement des leviers « Cashback »et « Réduction Immédiate » chez les distributeurs physiques et en ligne, • Apporter des réponses pertinentes et des offres ciblées aux artisans VIPros, grâce à l’analyse de leurs besoins.  Un objectif de 50 partenaires industriels et 40 000 entreprises artisanales à l’horizon    2023 pour le seul secteur du Bâtiment Français… De quoi conforter la position de VIPros sur le marché et rendre ses liens toujours plus forts avec ses différents acteurs…
Il y a 3 ans et 204 jours

Feebat Partenaire Des Premières Assises Nationales Des Écoles D’architecture

En octobre dernier, dans l’agenda des Journées Nationales de l’Architecture 2021 s’inscrivaient les premières Assises nationales des écoles nationales supérieures d’architecture et de paysage (ENSAP). Un événement majeur organisé par le ministère de la Culture, en collaboration avec l’ENSA Normandie et l’École de Chaillot, dont FEEBAT était partenaire. Le thème « TRANS-FORMER : l’intervention de l’architecte sur l’existant » entre en résonance avec les objectifs du programme FEEBAT : accompagner la montée en compétences des acteurs sur la rénovation énergétique des bâtiments. En ouverture, la ministre de la Culture, Roseline Bachelot, a salué l’organisation de ces Assises dédiées aux mutations à l’œuvre dans le métier d’architecte face au défi d’un bâtiment plus économe et plus respectueux de l’environnement. Retour sur les Assises des ENSAP.
Il y a 3 ans et 205 jours

Testo Saveris Cockpit, un logiciel intuitif aux nouvelles fonctionnalités pour une utilisation facilitée

Dans l’industrie pharmaceutique, la surveillance permanente des conditions de température ambiantes, régie par de nombreuses réglementations, est impérative pour assurer la qualité des médicaments, des vaccins… Conforme à la norme 21 CFR part 11, le système centralisé de monitoring des données de mesure testo Saveris est une solution fiable pour la surveillance multisites. Pour simplifier l’utilisation de testo Saveris, Testo fait évoluer les fonctionnalités de son logiciel associé testo Saveris Cockpit. Intégré au système automatisé de surveillance et d’enregistrement de température et d’humidité testo Saveris, le module testo Saveris Cockpit permet la consultation des données et la détection des alarmes de différents sites, via un navigateur web. Autorisant des actions correctives à tout moment, il se dote de nouvelles fonctionnalités pour toujours plus de simplicité et de fiabilité : • accès simple aux données de mesure et acquittement des alarmes, indépendamment du lieu, via un smartphone ou une tablette ; • interface utilisateur intuitive avec hébergement des données en local pour une prise en main facilitée du logiciel ; • gestion performante des utilisateurs et sécurisation des données avec Active Directory Windows de l’entreprise ; • gestion des droits d’accès et d’acquittement des alarmes : testo Cockpit vérifie les autorisations d’accès chaque fois qu’il doit répondre à une demande. Un mappage des utilisateurs et des autorisations est stocké dans la base de données et interrogé chaque fois que nécessaire ; • personnalisation du système par téléchargement des plans et logos de l’entreprise. Grâce à l’intégration complète des plans des différents sites, les alarmes sont clairement identifiées à l’écran. Chaque acquittement d’une alarme doit être terminé par une signature électronique personnalisée, ainsi que par un commentaire obligatoire sur l’événement ; • création de rapports personnalisés en PDF ; • traçabilité des activités des utilisateurs grâce à l’Audit Trail qui reprend toutes les activités générées dans le système et documente le moment, le nom d’utilisateur, l’action effectuée, le composant testo Saveris et les détails se rapportant à l’action concernée ; • une structure géographique hiérarchique permettant de zoomer dans des systèmes complexes avec un grand nombre de points de mesure. Avec les nouvelles fonctionnalités de testo Cockpit, Testo met à la disposition des industriels du secteur pharmaceutique une solution complète de surveillance et d’enregistrement des conditions de température ambiantes intuitive, sûre et conviviale. https://www.testo.com/  
Il y a 3 ans et 206 jours

Dans les Hautes-Alpes, le programme Haute-Durance de RTE touche à sa fin

En présence des élus et des représentants de l’Etat, Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE, a inauguré, le vendredi 26 novembre, le programme Haute-Durance qui permet d’alimenter le nord du département des Hautes-Alpes. Pour insérer au mieux dans l’environnement ce nouveau réseau, restructuré autour de deux lignes principales à 225 000 volts, l’opérateur a multiplié les initiatives : enfouissement des lignes, travaux par hélicoptère, mesures compensatoires…
Il y a 3 ans et 206 jours

Notre-Dame veut rajeunir et ouvrir sur le monde son décor et sa liturgie

Au programme de cette "modernisation": lumière à hauteur de visage, bancs à roulettes dotés de lumignons pour remplacer les vieilles chaises séculaires qui descendront dans la crypte, art contemporain et phrases bibliques projetées dans plusieurs langues sur les murs, explique à l'AFP le père Gilles Drouin.Le projet, mûri "depuis deux ans et demi", lui a été confié par l'archevêque de Paris Mgr Michel Aupetit. Il sera présenté le 9 décembre à la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), chargée de donner son avis.De quoi alimenter l'inquiétude des défenseurs de l'histoire de France et du patrimoine ainsi que les moqueries de la presse étrangère qui l'a qualifié de nouveau "Disneyland politiquement correct" (The Telegraph)."L'Eglise peut se montrer moderne en faisant entrer une lumière plus spirituelle plutôt qu'une lumière rasante sur les visages", commente auprès de l'AFP l'animateur Stéphane Bern, chargé par Emmanuel Macron d'une mission pour la sauvegarde du patrimoine.Pour lui, "le vrai enjeu" sont "les abords de Notre-Dame". "Il faut, dit-il, faire un musée de l'histoire de France pour le monde entier avec les trésors de Notre-Dame", déplorant le sort de l'Hôtel-Dieu, plus vieil hôpital de Paris situé juste à côté de la cathédrale. Il aurait pu, selon lui, abriter ce musée mais doit céder un tiers de sa surface à un promoteur immobilier.Le père Drouin, directeur de l'Institut supérieur de liturgie, défend son projet. Il dément toute tentative de transformation radicale: l'objectif, dit-il est de conserver Notre-Dame comme "lieu de culte" et de "mieux accueillir" et informer le public qui "n'a pas toujours de culture chrétienne".Lorsqu'ils retrouveront Notre-Dame en 2024, selon le calendrier des travaux prévu à ce jour, les fidèles et visiteurs du monde entier devraient entrer par la grande porte centrale et non plus par les portes latérales, et bénéficier d'un parcours aéré autour de l'axe central allant de la nef au choeur.L'autel restera au même endroit. Un tabernacle (meuble qui abrite hosties et ciboire) qui "était mal placé" sera installé au fond du choeur et un nouveau baptistère (petit édifice servant traditionnellement aux baptêmes), dans l'entrée de la nef. Seuls "quatre des confessionnaux" seront conservés. Les "six ou sept autres seront remontés au premier étage de la cathédrale", détaille-t-il.La Nativité expliquée aux ChinoisPour faciliter encore plus la circulation en cas d'affluence, les chaises en paille séculaires descendront à la cave ou crypte Soufflot située sous la cathédrale et qui sera utilisée "comme espace de stockage" rendu plus accessible grâce à un "monte-charge".Quant aux chapelles latérales de l'édifice, elles étaient "dans un état épouvantable" avant l'incendie et seront complètement rénovées au profit de la mise en valeur d'oeuvres d'art: "des tableaux anciens des XVIe et XVIIIe siècles qui dialogueront avec des objets d'art contemporains"."Un cycle de tapisseries" notamment, dit l'ecclésiastique sans laisser filtrer de nom. "La cathédrale s'est toujours ouverte à l'art de son époque jusqu'à la grande croix dorée du sculpteur Marc Couturier installée par le cardinal Lustiger en 1994", souligne-t-il.Pour illuminer le tout, le diocèse souhaite "des lumières plus douces à hauteur de visage d'homme" qui donneront une ambiance plus intimiste aux 2.400 messes et 150 concerts annuels. Il a confié ce travail à un collectif d'artistes parmi lesquels le sculpteur de lumière Patrick Rimoux.Enfin, pour une meilleure compréhension de l'histoire du christianisme, il souhaite projeter sur les murs "des phrases bibliques ou de tradition spirituelle chrétienne" dans plusieurs langues dont le choix n'est pas encore arrêté."Un Chinois par exemple ne comprend pas forcément la Nativité de la Vierge. Or, depuis qu'il y a des caractères chinois inscrits sur des bannières dans la chapelle de Saint-Paul Cheng (martyr chinois) dans la cathédrale, les visiteurs de l'Empire du Milieu s'arrêtent et allument des bougies", relève-t-il.
Il y a 3 ans et 206 jours

La jeunesse porte l’espoir de l’habitat rural

Du logement à l’aménagement des territoires, les Etats généraux de l’habitat ont répondu aux attentes des parcs naturels régionaux et du programme des Petites villes de demain. Les deux réseaux ont posé les jalons d’un réenchantement du monde rural, au cours des journées d’échanges accueillies par l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine, les 25 et 26 novembre.
Il y a 3 ans et 209 jours

Regards croisés autour de l’architecture en béton

Eglise Saint-François d’Assise, à Belo Horizonte, au Brésil, œuvre d’Oscar Niemeyer. [©Andreborgeslopes] A vos agendas. “Regards croisés France/Brésil : restauration et gestion des bâtiments en béton dans le site patrimoine mondial” : tel est l’intitulé du webinaire du YouTube le 1er décembre prochain à partir de 13 h 00 (9 h 00, heure de Brasilia). Ce rendez-vous inédit est organisé par Sinduscon-DF (Syndicat brésilien de l’industrie de la construction civile – District fédéral) et Icomos (Conseil international des monuments et des sites) Brasil France.  Il présentera des cas pratiques de restauration de bâtiments et abordera la gestion des sites historiques patrimoine mondial de l’Unesco. Ceci, aussi bien en Europe, qu’en Amérique latine et, en particulier, au Brésil. De quoi ravir les passionnés de patrimoine et de construction en béton. A l’occasion de ce webinaire sera conclu un accord de coopération entre Icomos-BR et Sinduscon-DF. Le Corbusier et Niemeyer au programme Le programme des “Regards croisés France/Brésil” est riche et débutera par une présentation des Journées scientifiques 2022, organisées à Brasilia. S’en suivra un focus sur la restauration en site “patrimoine mondial”. Ceci, à travers deux exemples marquants : le couvent de Sainte-Marie de La Tourette, à Evreux, signé Le Corbusier, et l’église Saint-François d’Assise, à Belo Horizonte, au Brésil, œuvre d’Oscar Niemeyer.  Enfin, “Modernité et patrimoine mondial” permettra de mettre en avant deux cas pratiques. D’une part, la maison du docteur Curutchet, à La Plata, en Argentine. Il s’agit de l’un des deux seuls bâtiments de Le Corbusier construit sur le continent américain. Et, d’autre part, la cité industrielle d’Ivrée, en Italie, berceau de la société Olivetti, construite entre 1930 et 1960, à l’initiative et pour les besoins de la société Olivetti. La diffusion du webinaire doit s’achever à 16 h 00, heure de Paris, soit une durée totale de 3 h. Les inscriptions sont déjà ouvertes. Il suffit de suivre ce lien pour en savoir plus. 
Il y a 3 ans et 210 jours

Numérisation des démarches d'urbanisme : l'État veut accompagner, pas remplacer

URBANISME. Le ministère du Logement vient de détailler la mise en place du programme de dématérialisation des demandes d'autorisation d'urbanisme, institué par la loi Elan, et qui concerne en premier lieu le dépôt des permis de construire en ligne. Si l'État ne se substituera pas aux services instructeurs des collectivités, il veut néanmoins simplifier et accélérer les démarches grâce à ce "hub logistique".
Il y a 3 ans et 210 jours

Au Mapic de Cannes, l'immobilier commercial met le lien social au centre de sa stratégie

Le rendez-vous revient en version physique après une édition 2020 exclusivement numérique, confinement oblige. 4.000 participants de 42 pays sont attendus au Palais des festivals et des congrès - soit un peu moins de la moitié de l'édition 2019 - et les conférences pourront aussi être suivies en ligne.Pendant trois jours, 1.000 représentants d'enseignes et de marques rencontreront des promoteurs immobiliers et investisseurs et se pencheront sur les tendances du secteur grâce au programme de conférences.Elles s'articuleront autour du thème "People and places: a new chapter" ("Personnes et lieux: un nouveau chapitre")."Le besoin de socialiser, de vivre une émotion, n'a jamais été plus fort que depuis qu'on a vécu ce moment difficile des confinements", analyse Nathalie Depetro, directrice du Mapic, auprès de l'AFP.Les commerces physiques doivent donc selon elle appuyer sur cette dimension de lien social, difficile à retrouver en achetant devant un écran, pour attirer à nouveau du public. "Et qui dit lien social dit loisirs, restauration et événementiel", ajoute Mme Depetro.La pandémie a ainsi renforcé une tendance déjà existante: celle de mélanger le commerce avec ces activités, en créant par exemple des installations sportives ou des espaces jeux et en augmentant la surface occupée par les restaurants.Cette année, la moitié de la surface d'exposition du salon sera dédiée à des enseignes de loisirs, de restauration ou de culture, désireuses de s'installer dans des espaces commerciaux.Se réinventer pour retrouver les clients"Revisiter la façon dont a été imaginé l'aménagement des lieux commerciaux, c'est obligatoire, sinon il n'y aura pas de trafic", estime Mme Depetro.En effet, avec la crise sanitaire, le commerce spécialisé a perdu 10% de son activité en magasins entre les dix premiers mois de 2021 et la même période en 2019, selon les chiffres de la fédération Procos. La fréquentation peine à reprendre, en particulier dans les centres commerciaux, qui ont dû fermer entre février et mai et imposer le passe sanitaire dans certaines zones en fonction du risque épidémique.Certains secteurs comme la beauté ou l'habillement ont plus souffert que les autres. "Tous les promoteurs s'accordent à dire qu'il faut limiter la part du textile", explique à l'AFP Gontran Thuring, délégué général du Comité national des centres commerciaux (CNCC).Pour reconquérir les clients, les professionnels de l'immobilier commercial n'ont qu'un mot à la bouche: "l'omnicanalité", le fait de pouvoir vendre et communiquer de manière à la fois physique et numérique.Plutôt que de voir le numérique comme l'ennemi à abattre, ils tentent d'en faire un outil complémentaire, en s'aidant par exemple des réseaux sociaux et des données collectées en ligne pour mieux connaître les clients, et personnaliser l'expérience d'achat."Un des enjeux très importants, c'est la capacité des enseignes et des lieux de commerce d'échanger ces données", assure Mme Depetero.Ce passage au e-commerce permet aussi aux enseignes de réduire la taille de leurs magasins, pour en faire des vitrines de la marque ou des boutiques éphémères, dans lesquelles on peut aussi récupérer des articles en "click and collect".Mais au-delà de la "complémentarité" affichée entre vente en magasins et vente en ligne, quelques rivalités subsistent. Les professionnels de l'immobilier commercial n'ont notamment pas tous digéré l'interdiction dans la loi Climat de construire de centres commerciaux de plus de 10.000 mètres carrés pour limiter l'artificialisation des sols, alors que les entrepôts de e-commerce y ont échappé.
Il y a 3 ans et 211 jours

Humidité : l’église Notre-Dame de la Chaussée traitée

L’église Notre-Dame de La Chaussée dans la Vienne a fait l’objet de plusieurs campagnes de travaux : les façades et la structure du clocher ont été restaurées et un drainage partiel a été réalisé en 2000, les maçonneries du clocher et la couverture de la nef en 2002 et la mise en accessibilité pour les personnes à mobilité réduite a été réalisée avec la modification de la porte sud en 2014. La dernière campagne de restauration, engagée en 2018, concerne la restauration des deux premières travées de la nef. Une campagne de sondages réalisée en 2016, par Brice Mouliniers – restaurateur, a révélé des décors datant du XIIIe siècle dans celle-ci. Le fort encaissement de l’église a généré d’importants problèmes d’humidité et notamment le décollement des enduits et le développement de micro-organismes sur les murs et le sol. Le traitement de l’humidité est devenu urgent pour préserver ces décors gothiques exceptionnels. Un programme de travaux a été élaboré par M. Quintrie-Lamothe – architecte du patrimoine, prévoyant la réalisation en 3 phases : assainissement extérieur de l’église avec la création d’un drainage,  restauration du porche d’entrée et dégagement et restauration des décors peints intérieurs. Le suivi de chantier, dans le cadre du contrôle scientifique et technique a été assuré par la Conservation régionale des monuments historiques (Poitiers). Cette campagne de travaux a été programmée avec un budget de 92 787,20 € HT. La part État – ministère de la Culture de 37 114,88 € représente 40 % du montant des travaux, soutien financier du Fonds incitatif et partenarial pour les petites communes.
Il y a 3 ans et 212 jours

Contre le réchauffement, l'agriculture française expérimente des "parasols" mobiles

"Une ombrière c'est comme quand un humain a chaud et qu'il prend un parasol pour s'abriter de la chaleur. Donc la vigne on la protège d'une grosse partie des gros coups de chaud" pour garder le même cycle de mâturation du raisin qu'il y a dix ans, explique Gautier Hugues au milieu de ses vignes, dans la terre rouge des collines provençales, à Rians (Var)."Depuis dix ans, chaque année est pire. Aussi bien au niveau du froid de printemps que des périodes de forte chaleur sans pluie", raconte ce fils d'agriculteur.Le constat du vigneron rejoint celui des scientifiques. Le bassin méditerranéen dans son ensemble se réchauffe 20% plus vite que le reste du monde, selon un rapport du réseau des experts méditerranéens sur le climat et le changement environnemental (MedECC)."Les extrêmes climatiques sont une menace pour le secteur agricole. Le rendement des récoltes devrait baisser dans les décennies à venir dans la plupart des zones actuelles de production (...) si aucune adaptation n'a lieu", souligne le rapport.Gautier Hugues a donc décidé de placer des panneaux photovoltaïques coulissants au-dessus d'une petite parcelle de vigne et s'en montre satisfait. A côté, une parcelle témoin sans ombrière montre une vigne moins vigoureuse.L'électricité produite par les panneaux est revendue au réseau, ce qui assure le paiement de l'installation. L'équilibre à trouver est complexe car une plante a besoin du soleil pour produire fleurs et fruits."Si vous donnez de l'ombre à une plante qui n'en n'a pas besoin c'est la catastrophe", relève Christian Davico-Pahin, un horticulteur qui a fondé Ombrea fin 2016 après avoir perdu un quart de sa récolte sur un "coup de chaud".L'entreprise, qui emploie une quarantaine de salariés à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) a placé des capteurs dans la vigne pour mesurer humidité, vitesse du vent, luminosité, état du sol... Toutes les 15 à 20 secondes, ces masses de données - 16 millions sur un an - sont transmises à un logiciel "qui, en les analysant, va piloter à distance les panneaux de manière à recréer un microclimat idéal", affirme M. Davico-Pahin.Raisins, pommes et tomatesToujours en Provence, au coeur d'un des principaux bassins de production de pommes et poires en France, la station d'expérimentation agricole La Pugère teste depuis 2019 des ombrières mobiles sur un verger de pommiers de 700 m2 avec la société de production d'énergie Sun'R."Lors des périodes caniculaires, on a jusqu'à quatre degrés de moins sur le feuillage, donc on réduit le risque de brûlure sur la feuille et le fruit", relève Vincent Lesniak, chargé d'étude à La Pugère."On étudie d'abord le comportement que ça peut avoir sur le végétal avant de se dire que ça devient un modèle économique viable, aussi bien pour le producteur d'énergie que pour le producteur agricole", souligne M. Lesniak.Car si les ombrières mobiles permettent de limiter l'évaporation des eaux de pluie et de réduire les besoins en irrigation, l'humidité supplémentaire peut aussi parfois augmenter les risques de champignons.Sur la dizaine d'expérimentations actuellement menées en France, pays dans "le peloton de tête sur les ombrières mobiles, il y a encore des inconnues et nous ne sommes pas sûrs de tous les bénéfices", relève Nicolas Tonnet, spécialiste énergie et innovation à l'Agence de la transition écologique (Ademe), l'établissement public encadrant ces développements.D'où le lancement de quelque 70 nouveaux projets qui devraient être suivis sur plusieurs années par l'Ademe."Dans des zones où l'ensoleillement est de plus en plus fort, cet ombrage peut être intéressant pour la vigne, pour les tomates ou en arboriculture", relève Nicolas Tonnet, mais dans d'autres, manquant de luminosité, cela peut avoir des conséquences "négatives".D'où la vigilance de l'Ademe pour que la course à l'énergie renouvelable ne grignote pas des terrains agricoles, déjà mités par l'urbanisation.
Il y a 3 ans et 212 jours

Chronique du Geek – Les 10 meilleures applications vues en 2021

Le top 10 des meilleures applications de l’année 2021, selon leur catégorie, est au programme de cette dernière chronique du Geek, laquelle vient clore plus de quatre années à tester et présenter des applications avec comme seul objectif de vous faciliter le quotidien en utilisant l’outil le plus présent dans nos vies… un smartphone ! […] L’article Chronique du Geek – Les 10 meilleures applications vues en 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 212 jours

Le label "Bois de France" lance un outil unique pour optimiser l’empreinte carbone de la construction publique

Le label BOIS DE FRANCE, qui œuvre depuis janvier 2020 au développement et à la pérennité de la filière française du bois, présente aujourd’hui le Guide d’utilisation du label BOIS DE FRANCE dans les marchés publics. S’inscrivant pleinement dans la stratégie nationale bas carbone, cet outil unique dédié aux maîtres d’ouvrage s’appuie sur l’analyse du cycle de vie des produits pour offrir une garantie élevée de résultat, dans le respect du code des marchés publics.Un outil unique au service des maîtres d’ouvrage publicsDans le cadre de la passation et de l’exécution de marchés publics, les maîtres d’ouvrage souhaitant construire en bois doivent répondre à des enjeux économiques et environnementaux. C’est pour les accompagner de façon optimale qu’a été conçu le Guide d’utilisation du Label BOIS DE FRANCE dans les marchés publics.Le guide a pour objectif de fournir aux acheteurs soumis au Code de la commande publique un contenu pratique et directement utilisable leur permettant l’intégration dans leurs marchés des engagements et exigences liés aux critères « empreinte carbone » et « traçabilité des bois et objectifs de gestion durable des forêts » pour concourir pleinement à la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'atteinte de la neutralité carbone d'ici 2050.Il s'appuie sur l’analyse de cycle de vie dynamique introduite dans la réglementation française par la RE 2020, une solution technique qui apporte une garantie élevée de résultat.Ce guide est le fruit d’un partenariat avec l’interprofession régionale de la forêt et du bois, FIBOIS Île-de-France, qui s’est engagée dans cette même démarche avec le pacte Bois-Biosourcés signé en 2020 avec plus de 30 maîtres d’ouvrage.“Co-construit avec des acteurs publics et privés de la région IDF, le pacte Bois Biosourcés vise à massifier l’utilisation du bois dans la construction en Île-de-France à travers des engagements chiffrés. C’est cet objectif que nous partageons avec le label BOIS DE FRANCE. Nous souhaitons contribuer ensemble à un véritable changement systémique du secteur de la construction” explique Paul JARQUIN, Président de Fibois Île-de-France.Pour la rédaction de ce guide, les partenaires ont également bénéficié de l’accompagnement du cabinet juridique FIDAL et du bureau d’étude ESTEANA.En pratique, le guide apporte aux acheteurs publics des clés pour :les guider en matière de sourcing, ce qui leur permet notamment d’évaluer la capacité des entreprises à répondre à leurs besoins, en termes de conditions de délais et de coûts ; de qualité, de process ou d’innovation ; d’exigences environnementales ;intégrer les exigences et les engagements en matière d’empreinte carbone, de traçabilité et de gestion forestière durable au stade de la définition des besoins et de l’élaboration du programme, étape essentielle de la passation d’un marché public ;insérer des objectifs environnementaux dans l’objet du marché et l’avis d’appel public à concurrence ;sélectionner les candidatures : l’acheteur pourra privilégier des critères fondés sur des capacités et des références, notamment techniques, en rapport avec les exigences environnementales du marché et en particulier la capacité pour les candidats à fournir les FDES (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire) adaptées au marché ;prendre en compte l’empreinte carbone, la traçabilité et la gestion forestière durable dans le cadre des critères de notation prévues par le règlement de la consultation (RC). Dans ce cadre, les acheteurs doivent privilégier une évaluation de ces émissions fondée sur l’ensemble du cycle de vie des produits, ce que propose la méthodologie développée par la RE2020 et reprise par le label BOIS DE FRANCE.Un label pour accélérer le développement du bois français dans la constructionLancé en janvier 2020 à l’initiative de professionnels de la Fédération Nationale du Bois, le label Bois de France défend un marché en plein essor et fédère des acteurs ayant choisi de s’engager collectivement afin de créer un écosystème vertueux qui favorise les circuits courts, valorise la matière première et soutient l’ensemble des acteurs de la filière. En offrant l’assurance d’un bois produit et transformé en France, le label illustre son engagement environnemental et social ; il permet en effet de valoriser la ressource forestière française, le savoir-faire des professionnels de la transformation du bois, tout en contribuant positivement à la réduction de l’empreinte carbone de la construction et au maintien des emplois locaux.Repères : Les exigences du label BOIS DE FRANCELe label BOIS DE FRANCE s’appuie sur deux grands principes :Des bois issus des forêts françaises certifiées PEFC ou FSC, ou récoltés en appliquant les principes du Règlement Bois de l’Union Européenne ;Une transformation de ces bois à proximité de leur lieu de récolte sur le territoire national afin de limiter les transports et leur émission de GES.Grâce à un référentiel de traçabilité et des audits réalisés annuellement, le label garantit qu’un produit fini, identifié BOIS DE FRANCE, contient au minimum 80% de bois des forêts françaises et une transformation de ce bois à 100% en France.Près de 100 entreprises françaises sont déjà engagées depuis la création du label en janvier 2020. Parmi elles, REI Habitat, premier promoteur immobilier labellisé BOIS DE FRANCE. “Nous sommes spécialisés depuis la création de l’entreprise dans la construction bois. La labellisation BOIS DE FRANCE s’inscrit donc dans cette continuité. Nous sommes certifiés à l’échelle de l’entreprise, cela se traduit par un engagement à utiliser du bois de France sur chacun de nos projets. Ce référentiel permet de sensibiliser l’ensemble des acteurs de la chaîne à s’engager pour développer la notion de circuits courts, une nécessité notamment dans les consultations des collectivités” précise Sophie RAMASWAMI, responsable technique REI Habitat.Cruard Charpente, Concepteur, fabricant et poseur de charpente et structure bois depuis 60 ans, fait également partie des premières entreprises engagées dans la démarche de labellisation BOIS DE FRANCE. Christophe TRAVERS, Responsable Achats / QSE, explique : “Travailler avec des fournisseurs français et locaux a toujours été pour nous une priorité. Nous sommes d’ailleurs fiers du fait que sur ces deux dernières années, 100% du lamellé-collé que nous utilisons provient d’entreprises françaises. Le label BOIS DE FRANCE fait écho à notre démarche. C’est en fédérant ainsi l’ensemble des acteurs de la chaîne, que nous développer la filière. En ce qui concerne les marchés publics, qui représentent 60% de notre activité, on commence à observer des demandes de bois français, et le label permet de garantir que les engagements en matière d’origine et de lieu de transformation du bois seront respectés”.
Il y a 3 ans et 213 jours

20 ans de l'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) : participez au colloque 100% digital

Un rendez-vous programmé le 2 décembre 2021 pour partager avec le plus grand nombre les résultats des travaux de l'Observatoire, dans le cadre d'une journée intégralement dédiée à la qualité de l'air intérieur, thématique majeure de santé publique. Présentation des résultats et avancées de l'OQAI en lien avec les campagnes nationales de mesure de la qualité de l'air menées dans les principaux lieux de vie, retours d'expérience de professionnels de la santé et du bâtiment, mise en perspective avec les travaux européens, etc., découvrez ou redécouvrez les projets et actions significatives qui ont fait avancer les connaissances et ont jalonné les 20 années de travaux de l'observatoire. Cet événement permettra de dresser un vaste état des lieux des connaissances actuelles en matière de qualité de l'air intérieur, de mieux comprendre comment ces connaissances éclairent les décisions publiques, les développements technologiques, etc., et d'échanger autour des enjeux d'aujourd'hui et de demain. Proposé intégralement en distanciel, ce rendez-vous verra la participation de nombreux acteurs français et européens, il sera organisé autour de plusieurs tables rondes thématiques : Le logement, un déterminant de notre santé Apprendre dans un environnement sain et confortable Travailler dans un environnement de qualité Habiter dans des bâtiments sobres et performants en énergie La qualité de l'air intérieur, un critère déterminant au cœur des projets La qualité de l'air intérieur, une filière source d'innovations, de métiers et d'opportunités économiques Qualité de l'air intérieur : quel chemin parcouru depuis 20 ans ? L'OQAI face aux défis du futur L'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) a été créé par les Pouvoirs Publics en 2001 pour déterminer l'exposition des populations à la pollution de l'air intérieur et ainsi, proposer des actions de prévention et d'amélioration de la qualité des lieux de vie. En savoir plus : S'inscrire au colloque « Les 20 ans de l'OQAI » Site web de l'OQAI
Il y a 3 ans et 216 jours

L'ex-adjoint d'Hidalgo à l'urbanisme de la mairie de Paris démissionne d'une mission pour Novaxia

M. Missika, adjoint à l'innovation lors du deuxième mandat de Bertrand Delanoë (2008-2014), puis à l'urbanisme lors du premier mandat d'Anne Hidalgo (2014-2020), a démissionné en raison d'un "problème déontologique majeur, un conflit d'intérêt pouvant le cas échéant devenir un problème pénal", a déclaré jeudi à l'AFP le président de la commission Yves Charpenel.La commission, qui a rendu son avis les 3 et 5 novembre, avait été saisie "toute fin octobre" par Anne Hidalgo "à la suite d'informations parues", a indiqué M. Charpenel.L'opposante LFI Danielle Simonnet avait dénoncé dans un communiqué le "pantouflage" - action, pour un fonctionnaire, de quitter le service public pour le privé - du "rédacteur du programme d'Anne Hidalgo" en 2014 et 2020, et "artisan de la braderie d'un tiers de hôpital Hôtel-Dieu au profit de cette entreprise de l'immobilier Novaxia".Une fois l'avis rendu, M. Charpenel s'est entretenu avec M. Missika qui "a immédiatement démissionné, avant de prendre ses fonctions" et donc d'être rémunéré.Pour l'ancien premier avocat général près la cour de Cassation, il s'agissait d'un "conflit d'intérêt évident" puisque M. Missika "avait participé lui-même à des délibérations sur ces sujets-là et notamment à l'égard de la société Novaxia".Le "droit de suite" prévu par la loi oblige tout agent public, pendant les trois années qui suivent la fin de ses fonctions, à "indiquer ses projets professionnels pour vérifier qu'ils ne sont pas en contradiction avec les principes déontologiques qui régissent la vie publique", rappelle M. Charpenel.Contacté par l'AFP, l'ancien élu dit se sentir "sali", reconnaissant avoir commis "une erreur" dans une "zone grise" mais pas de "faute" sur le plan légal."Un comité de mission, c'est une structure totalement indépendante de l'entreprise, chargée de surveiller que cette entreprise remplit bien les missions d'intérêt général qu'elle s'est fixées, donc on est à des années-lumière du marché de l'immobilier. C'est la raison pour laquelle j'ai pensé que cela ne posait pas de problème", a-t-il expliqué"J'ai eu tort, j'aurais dû consulter la commission de déontologie et je me suis retiré instantanément de ce comité", a encore fait valoir l'ancien adjoint, qui devait pour cette activité recevoir "une indemnité de quelques centaines d'euros".
Il y a 3 ans et 216 jours

Un nouveau plateau TV Bati-Journal au salon BePositive 2021

À l’occasion du salon BePositive, qui se tiendra à Lyon du 14 au 16 décembre prochain, les équipes de Bati-Journal proposent une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement…Cet article Un nouveau plateau TV Bati-Journal au salon BePositive 2021 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 217 jours

Le Cerema et Villes de France s'engagent pour les territoires

Cette convention entre le Cerema et Villes de France permettra de mettre en place des synergies de collaboration entre l'établissement public et l'association d'élus pour accompagner les collectivités face aux enjeux de transition écologique.Grâce à la signature de cette convention, le Cerema et Villes de France pourront entreprendre des actions communes pour appuyer les collectivités dans la mise en œuvre de politiques publiques ciblées. Dans le cadre de leurs activités respectives, Villes de France pourra mobiliser l'expertise du Cerema, ce dernier pouvant également solliciter Villes de France et ses collectivités adhérentes.Le Cerema et les collectivités membres de Villes de France collaboreront sur des sujets tels que :la revitalisation des cœurs de ville (dans le cadre du programme Action Cœur de Ville),l'observation de l'habitat,les mobilités,l'adaptation au changement climatique, la résilience, la gestion des risques,la rénovation énergétique des bâtiments, etc.« La signature de cette convention entre Villes de France qui fédère les villes de 10 000 à 100.000 habitants et leurs intercommunalités, et le Cerema vient sceller une collaboration fructueuse de longue date entre nos deux organisations. Les maires des villes moyennes savent pouvoir bénéficier de l'expertise du Cerema dans le développement de leurs projets, notamment dans le cadre du déploiement du programme Action Cœur de Ville, mais également pour accompagner la transition écologique des territoires », déclare Caroline CAYEUX, présidente de Villes de France.« Les villes et agglomération moyennes déploient des projets et politiques publiques déterminants pour l'organisation de nos territoires, dont ils constituent un maillage indispensable. Le Cerema travaille ainsi très régulièrement aux côtés de ces collectivités et se félicite d'officialiser ce partenariat avec Villes de France, qui les représente avec beaucoup de dynamisme. », déclare Marie-Claude JARROT, présidente du conseil d'administration du Cerema.
Il y a 3 ans et 217 jours

GCC et Knauf signent un accord pour la gestion des déchets de démolition d’isolants en polystyrène expansé

Ce partenariat débute avec le chantier de réhabilitation de plus de 550 pavillons individuels, réalisé pour le maître d’ouvrage ICF La Sablière, dans le quartier de la cité Cheminote située dans les communes de Chelles et Brou-sur-Chantereine (77).Ce chantier pilote d’ampleur innove à bien des égards et constitue une première française. GCC, en charge des travaux, récupère les déchets de PSE issus de la dépose de l’isolation par l’extérieur, les sépare des impuretés (enduits, fixations…) avant de les compacter puis de les palettiser sur le site même. Ensuite, KNAUF IDF Ouest stockera ces palettes de déchets, effectuera les démarches réglementaires complexes de leur transfert transfrontalier avant de les faire acheminer jusqu’à l’usine de démonstration de la PolyStyreneLoop, située à Terneuzen aux Pays-Bas.Le projet européen Life PolystyreneLoop est mené par la coopérative du même nom qui rassemble plus de 70 membres dont l’Association Française de l’Isolation en Polystyrène Expansé dans le Bâtiment (AFIPEB) au sein de laquelle KNAUF est un adhérent majeur. Ce projet vise à démontrer la faisabilité technico-économique d’un procédé unique de traitement, basé sur la technologie CreaSolv®, permettant de séparer les composants dont l’ignifugeant HBCD. Celui-ci sera ensuite détruit, dans le respect de la réglementation, tout en récupérant le brome. Le polystyrène récupéré pourra ainsi être recyclé.Précurseurs, GCC et KNAUF, au travers de ce partenariat, permettront de réaliser une première livraison française, de plusieurs tonnes, à la PolyStyreneLoop.Pour Nicolas MINARD, Chef de Groupe GCC Réhabitat : « Nous sommes fiers de relever le défi de ce chantier atypique. Il illustre pour la première fois notre label "Objectif 100% valorisation" qui nous permet de démontrer notre savoir-faire en matière d’économie circulaire grâce au réemploi, à la réutilisation et au recyclage des matériaux récupérés directement sur les lieux mêmes des chantiers. »Pour Nicolas PERRIN, Président de KNAUF IDF Ouest : « Avec ce partenariat et ce chantier d’importance, nous faisons un grand pas en avant dans le recyclage des déchets de PSE issus de la démolition. Si à ce jour en France, peu de bâtiments isolés sont déconstruits, dans les prochaines décennies, les solutions de recyclage seront maîtrisées grâce au programme pilote PolyStyreneLoop, mais aussi à une mobilisation et une organisation éprouvée des acteurs en amont, comme GCC. KNAUF est un acteur majeur mais aussi local des isolants en PSE. Dans ce partenariat, nous apportons nos ressources logistiques de proximité, notre expérience du recyclage du PSE, acquise sur nos sites KNAUF Circular® dans la valorisation de chutes de chantiers neufs, et surtout notre engagement et notre conviction à mettre en œuvre une économie circulaire des PSE de construction. »
Il y a 3 ans et 218 jours

Franciaflex présente ses solution de pilotage des ouvertures de la maison

Un gain de confort sans grands travaux Développés en partenariat avec Delta Dore, leader français de l'électronique embarquée dans les systèmes d'alarme et de régulation de chauffage, le service Well'com® propose des scénarios multiples qui permettent aux produits de communiquer entre eux grâce à divers capteurs. Avec la nouvelle technologie sans fil X3D (protocole radio conçu par Delta Dore), l'offre de solutions de pilotage des équipements de la baie du programme Well'com® permet de moderniser facilement un logement sans grands travaux. Il suffit de relier les équipements filaires existants (éclairage, volets, stores, portes de garage…) à de simples micro-récepteurs pour les rendre pilotables à partir de l'ensemble des points de commande Wellcom®.L'utilisateur a alors toute la liberté de personnaliser son installation : nommer chaque produit ou groupe de produits et scénariser les actions aux heures désirées. Le système est évolutif, et peut s'adapter à de nouveaux besoins (un store qui vient d'être installé, une porte de garage que l'on souhaite désormais automatiser…). Les installations obéissent au doigt et à l'œil pour un confort optimiséUne solution qui participe activement à la sécurité du foyerCôté sécurité des personnes, en cas d'incendie, le détecteur de fumée autonome siffle et ouvre les volets pour préserver les issues et laisser entrer les secours. Concernant la sécurité des biens, les volets s'allient au système d'alarme en se fermant lorsque l'alarme est activée, s'ouvrant en cas d'intrusion pour exposer le cambrioleur à la vue des passants. Avec la technologie Well'com®, il est possible de :Visualiser sur sa télécommande si les ordres de fermetures envoyés sont bien exécutés,Superviser à distance les différents accès de la maison.Simuler une présence en programmant des ouvertures / fermetures des volets, idéal lorsque l'on part en week-end ou en vacances quelques temps.Avec Well'com®, Franciaflex contribue à réduire la facture énergétique de la maisonEn fonction des scenarios en mémoire, les capteurs d'ensoleillement et de température agissent sur l'installation pour déployer les stores avant la surchauffe ou baisser les volets en hiver pour éviter les déperditions de chaleur en interaction avec les consignes de chauffage. Ainsi, l'utilisateur fait des économies d'énergie en toute simplicité.Qwidi, le service connecté dédié aux installateursDans le déploiement de ces nouvelles technologies, Franciaflex a aussi pensé aux installateurs, en lançant « Qwidi » ! Ce service permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de maintenance des volets et protections solaires motorisés Well'Com depuis un smartphone ou une tablette. La mise en service de Qwidi s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play. Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth de manière sécurisée.
Il y a 3 ans et 219 jours

Adoption du pacte de Glasgow pour le climat à la COP26 : une dynamique à poursuivre

Cette COP était particulièrement importante car, comme le rappelle le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) publié en août 2021, le monde n'est pas sur la bonne voie pour rester en dessous des 2 °C voire 1,5 °C de réchauffement global par rapport à l'ère préindustrielle, objectif à long terme de l'Accord de Paris. Les deux semaines de négociations ont permis d'aboutir le 13 novembre à l'adoption du « Pacte de Glasgow pour le climat », permettant notamment de finaliser les règles d'application de l'Accord de Paris, mais ne répondant pas totalement aux ambitions qui étaient fixées.Le Pacte de Glasgow pour le Climat a permis d'aboutir sur plusieurs points importants qui étaient en discussion :Finalisation de l'Accord de Paris, le rendant pleinement opérationnel, six ans après son adoption, par des règles robustes :Adoption de l'article 6, qui prévoit des mécanismes autorisant les Parties à échanger des réductions d'émissions afin d'atteindre leur CDN, sans double-comptage ;Adoption du cadre de transparence renforcée (article 13) : les Parties devront désormais rapporter leurs émissions de gaz à effet de serre de la manière la plus détaillée possible et de façon comparable.Atténuation : le Pacte de Glasgow pour le climat demande aux Parties de rehausser leur ambition dès 2022 dès lors que leur contribution déterminée au niveau national ne serait pas dans la trajectoire de l'Accord de Paris. L'ensemble des contributions nationales seront désormais transmises au secrétariat des Nations-Unies, et feront l'objet d'un rapport de synthèse annuel.Adaptation : création d'un programme de travail 2022-2023 visant à la mise en œuvre de l'objectif mondial d'adaptation. Les pays développés s'engagent à doubler la finance pour l'adaptation d'ici 2025 par rapport au niveau de 2019.Biodiversité : la contribution des écosystèmes en tant que puits et réservoirs de gaz à effet de serre et l'importance de les protéger pour atteindre l'objectif des 1,5° sont ancrées dans les décisions. La France regrette néanmoins que les « Solutions fondées sur la nature », qui permettent d'agir sur la lutte contre le changement climatique ou la gestion des risques naturels grâce aux écosystèmes, n'apparaissent pas dans le texte.Pour la première fois dans un document de la Convention climat, la réduction des énergies fossiles est mentionnée dans la déclaration finale. Néanmoins, la France regrette que le terme "disparition progressive" du charbon ait été remplacé in extremis par "diminution progressive".Malgré des avancées sur les pertes et les préjudices (notamment l'adoption des fonctions du Réseau de Santiago, qui visent à faciliter la mise en œuvre de mesures de soutiens, et l'accès aux mesures d'assistance), les pays les plus vulnérables jugent celles-ci insuffisantes. De nouvelles discussions sont déjà à l'ordre du jour de la COP27.La France s'est également engagée dans plusieurs coalitions pour accélérer sa lutte contre le changement climatique :Fin des financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022La France a rejoint l'accord mettant fin aux financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022. Cette déclaration concerne à la fois l'aide publique française au développement bilatérale et les financements à l'export. Elle fait écho à la dynamique initiée par la France à travers la coalition internationale Export Finance for Future (E3F).La France a également rejoint la coalition internationale Beyond Oil and Gas (BOGA). En créant une communauté internationale de pratiques, cette alliance aide les Gouvernements à respecter leur engagement en faveur d'une élimination progressive de la production de pétrole et de gaz.Réduction des émissions de méthane de 30% par rapport à 2020 d'ici 2030Plus de 100 pays ont rejoint le Gobal Methane Pledge, lancé par les États-Unis et l'Union européenne en septembre 2021. Cet engagement mondial, qui vise à réduire les émissions de méthane (2e gaz à effet de serre, après le CO2) de 30 % d'ici à 2030, par rapport aux niveaux de 2020, est le premier en la matière. « Si on réduit de 30% les émissions de méthane, d'ici 2030, c'est comme si on se débarrassait de tous les bateaux, de tous les avions, de tous les camions qui sont sur terre, en termes d'émissions » a précisé John Kerry.Soutien financier à la transition énergétique en Afrique du SudL'Afrique du Sud, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union européenne ont annoncé le lancement d'un partenariat pour la transition énergétique juste en Afrique du Sud. L'Afrique du Sud s'engage à décarboner sa production d'électricité (fermeture des centrales à charbon) et à investir dans la mobilité électrique et l'hydrogène, tandis que les cinq partenaires promettent un soutien financier de 8,5 milliards de dollars sur les 3 à 5 prochaines années.Rehaussement de la contribution de la France pour la finance climat à hauteur de 7 milliards de dollars par anS'agissant de l'objectif des 100 milliards de dollars annuels pour les pays en développement, la France a rehaussé sa contribution à 7 milliards de dollars (6 Md€) par an, dont un tiers pour l'adaptation. Elle a aussi annoncé une contribution au Fonds pour les pays les moins avancés d'un montant de 20 millions d'euros.Soutien aux « Glasgow Breakthroughs » pour rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 203042 pays, dont la France, se sont engagés à soutenir les « Glasgow Breakthroughs » (avancées de Glasgow), visant à rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 2030. Les cinq secteurs d'activité les plus émissifs sont concernés : électricité, acier, hydrogène, véhicules, agriculture.Accélération des investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques vertsLe Royaume-Uni, l'Inde, la France, les États-Unis et l'Australie, en lien avec l'Alliance solaire internationale, ont lancé l'initiative Green Grids Initiative-One Sun One World One Grid afin d'accélérer les investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques verts.Arrêt de la déforestation et de la dégradation des terres d'ici 2030Une centaine de chefs d'États et de gouvernements ont adopté une déclaration sur les forêts et l'utilisation des terres. Les pays signataires, dont la France, s'engagent ainsi à stopper et inverser la déforestation et la dégradation des terres d'ici 2030. Un engagement financier collectif sur 2021-2025 de 12 milliards de dollars, le « Global Forest Finance Pledge », est publié (1 Md pour l'UE, 800 M pour la France).Parallèlement, 12 pays, dont la France, ont présenté un engagement pour la protection du bassin du Congo (2e forêt tropicale du monde) et ont annoncé un financement à hauteur de 1,5 milliards de dollars pour les 5 prochaines années.Réaffirmation du soutien à la Grande muraille verteLes chefs d'État et de Gouvernement de la Grande muraille verte ont réaffirmé leur soutien à l'initiative lancée lors du One Planet Summit de janvier 2021. Près de la moitié des 19 milliards de dollars promis pour la construction de la Grande muraille verte ont déjà été engagés.Troisième déclaration de l'initiative Because the Ocean pour accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime internationalL'initiative Because the Ocean (BTO), signée en 2015 à la COP21 par 23 pays, dont la France, a lancé sa troisième déclaration. Elle y réaffirme notamment que la protection de l'océan est indispensable à lutte contre le changement climatique et propose d'accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime international.Signature de la « Clydebank Declaration » pour soutenir la création de corridors verts entre deux portsLa France a signé la « Clydebank Declaration » visant à soutenir l'établissement de corridors verts (routes maritimes zéro émission) entre deux ports. Pour y parvenir, la déclaration s'appuie sur la collaboration internationale et la mise en place de partenariats entre les acteurs concernés : armateurs, ports, énergéticiens… L'objectif collectif des signataires est la mise en place d'au moins 6 corridors d'ici 2025.Ralliement à la coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale, pour réduire les émissions du secteur aérienLa France a rejoint la nouvelle coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale (International Aviation Climate Ambition Coalition) lancée le 10 novembre lors de la journée dédiée au transport, avec la signature d'une déclaration sur l'ambition climatique. Les signataires s'engagent notamment à promouvoir des mesures spécifiques pour réduire les émissions du secteur aérien (carburants durables, régime de compensation et de réduction de carbone pour l'aviation internationale, nouvelles technologies).Signature d'un appel à l'action sur les infrastructures de recharge pour véhicules électriques dans le but d'atteindre le zéro émission du transport routierLa France a signé le 10 novembre, avec d'autres États, des villes, régions, entreprises, un « Call to action » sur les infrastructures de recharge pour les véhicules électriques. S'inscrivant dans l'ambition commune d'atteindre le zéro émission du transport routier, cet Appel doit inciter les acteurs à déployer ces infrastructures.
Il y a 3 ans et 219 jours

Deltamod livre 1.700 m² de bureaux modulaires reconditionnés en Ile de France

L’objectif de ce projet était de mettre en place une capacité d’accueil dans les meilleurs délais, avec une forte valeur ajoutée quant aux besoins d’usage et une approche constructive responsable. 1.700 m² issus du reconditionnement de 2 bâtiments modulairesPrécurseur sur ce métier émergent du réemploi immobilier, l’entreprise nantaise Deltamod, spécialiste du rachat, reconditionnement et transfert de bâtiments hors-site modulaire en France depuis 2013, s’appuie sur sa nouvelle usine de 3.000m², unique en France, parce que conçue et dédiée au reconditionnement de constructions industrialisées, et les 30.000 m² de surface de stockage pour accueillir des bâtiments modulaires disponibles afin de répondre immédiatement aux demandes des clients mais pas seulement.DELTAMOD assure un "sourcing" permanent des opportunités et disponibilités de bâtiments modulaires inexploités afin de proposer des solutions de valorisation à toutes les parties prenantes. C’est le cas de ce projet de reconditionnement pour lequel Deltamod a recensé 2 bâtiments modulaires disponibles auprès de deux grandes entreprises françaises, PSA (Peugeot, Citroën) et SANOFI."Ce projet reflète l’excellence et le savoir-faire de notre entreprise." évoque Pierre VISONNEAU, Directeur général de Deltamod, sourcing, valorisation, transformation autour de process constructifs hors site et une approche globale bas carbone. "Nous avons créé un seul et même bâtiment de 1 700 m² de surfaces à partir de 2 structures existantes que nous avons reconditionné sur site pour une grande partie intégrant toute la gestion de maîtrise d’ouvrage dans le but de répondre au nouvel usage de notre client. Nous avons ainsi diminué les coûts d’installation ainsi que l’impact carbone sans oublier le temps d’installation réduit à son maximum par rapport à du neuf" ajoute Pierre Visonneau.1.700 m² transférés, reconditionnés, achevés en 10 moisDeltamod a ainsi transféré du groupe PSA Sochaux (25), 1.270 m² de bureaux jusque-là utilisés au développement de la marque Citroën DS sur le nouveau site pour engager le reconditionnement et le nouvel agencement sous la direction des équipes Deltamod et l’assistance de partenaires/prestataires.En ce qui concerne les 430 m² suivants, Deltamod s’est tournée vers SANOFI (60) qui n’avait plus l’usage d’un bâtiment administratif. Ce programme a été entièrement "retrofité" dans l’usine de reconditionnement Deltamod avant de rejoindre le site final pour compléter les besoins en un seul corps.Résultat, deux sources distinctes mais un seul bâtiment final avec un niveau de finitions intérieures proche d’une opération neuve, sur 3 niveaux (R+2) en un temps record de 5 mois pour la partie opérationnelle et de 10 mois intégrant la période d’étude.L'économie circulaire et le hors-site ouvrent le champ des possiblesLes enjeux environnementaux font du réemploi une priorité et permet le développement d’un nouveau modèle, plus économique, plus vertueux parce que plus sobre. Le choix d’utiliser le reconditionné devient une marque d’engagement autant que d’être une opportunité économique. Il gagne désormais tous les secteurs d’activité (téléphonie, automobile) et la construction hors-site ouvre aussi le secteur immobilier et de la construction à ce potentiel.Tout le potentiel du réemploi immobilierUn bénéfice environnementalLes systèmes constructifs hors site ont la même durée de vie qu’une construction traditionnelle, c’est à dire environ 50 ans. Les systèmes modulaires parce qu’assemblables, démontables, transférables et transformables, représentent un potentiel unique de réemploi et d’économie de ressources naturelles. Modernisables, réalisés à partir de matériaux recyclables, ils accompagnent aussi l’approche bas carbone en devenant, comme toute construction, de moins en moins énergivore.A qualité égale, la construction hors-site est toujours plus rapideEn combinant les atouts de la construction hors site modulaire et le reconditionnement de cette typologie constructive, on arrive à des délais de mise en œuvre incomparables quand la réactivité devient clé.Économiser du temps, de l’argent et préserver l’avenirA usage comparable, la réponse constructive hors-site devient plus compétitive grâce à l’économie d’échelle industrielle et au gain de temps. Dans le secteur modulaire, la logique de réemploi accélère encore le champ des possibles et des délais ! Sans compter le bénéfice économique en valorisant une structure existante et l’économie environnementale par la préservation de ressources naturelles (matériaux de construction). Avec une durée de vie structurelle de 50 ans en moyenne, c’est 50 ans de valorisation immobilière possible parce que modifiable, optimisable, transformable.Deltamod, l'industrialisation d'un nouveau service immobilierA cette échelle programmatique et au regard des normes constructives en vigueur, Deltamod propose une solution globale à partir d’une organisation et des moyens industriels en phase. Ingénierie et transfert sont gérés par le bureau d’études intégré et le service logistique. La capacité à reconditionner près de 400 m² dans une unité industrielle dédiée montre la pertinence de l’offre technique et industrielle de Deltamod. C’est la prestation complète du projet qui apporte la cohérence finale à la solution de réemploi de la société Deltamod.Une gestion globale pour une maîtrise technique, économique et calendaireDeltamod assure la totalité des opérations du projet, du terrassement en passant par le transport jusqu’à la mise en service final des bâtiments reconditionnés sur-mesure."Maîtriser la chaîne globale du réemploi est notre force. Référent sur ce marché depuis 2013, nous avons bâti des relations de confiance avec des prestataires sur tous les domaines périphériques au reconditionnement du bâtiment modulaire hors-site. Nous sommes l’interlocuteur principal de notre client et nous gérons l’ensemble du chantier et des corps d’état nécessaires. Expertise, réactivité, maitrise, économie et développement durable sont donc au rendez-vous" conclut Pierre Visonneau.Des bâtiments modulaires réutilisés dans 6 ansSi l’utilisation du bâtiment modulaire est actée par notre client pour une durée de 6 ans, la vie du programme immobilier perdure… En effet, il est fort à parier que ces 1.700 m² de bureaux reconditionnés et modernisés seront disponibles à un nouvel usage sur un nouveau site, grâce à l’offre Deltamod.
Il y a 3 ans et 219 jours

Unilin Insulation intègre CIRCULAR FOAM

Leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, Unilin Insulation s’engage dans l’économie circulaire en rejoignant le nouveau programme CIRCULAR FOAM dont l’objectif est de recycler la mousse de polyuréthane rigide. Coordonné par l’entreprise Covestro, CIRCULAR FOAM réunit 22 partenaires issus de l‘industrie, du monde universitaire et de la société civile de 9 pays. Le projet contribuera également à la mise en place et au fonctionnement des systèmes logistiques et de collecte des déchets, à l’élaboration de solutions de démantèlement et de tri, ainsi qu’à la conception de futurs produits plus faciles à recycler. Partenaires impliqués : Covestro Deutschland AG als projectcoördinator, Interseroh Dienstleistungs-GmbH, BT-Wolfgang Binder GmbH, Unilin Insulation, Kingspan Research and Developments Limited, Electrolux Italia SPA, Circularise BV, BioBTX BV, Rijksuniversiteit Groningen, Rheinisch-Westfälische Technische Hochschule Aachen, Technische Universität Dortmund, Stichting Hogeschool van Amsterdam, Stichting Nederlands Wetenschappelijk Onderzoek Instituten, Uniwersytet Ekonomiczny we Wroclawiu, Eidgenössische Technische Hochschule Zürich, Fraunhofer Gesellschaft zur Förderung der Angew. Forschung, Ruhr-Universität Bochum, Forschungszentrum Jülich GmbH, Gornoslasko-Zaglebiowska Metropolia (METR), Park Naukowo Technologiczny Euro-Centrum sp. z o.o., IZNAB Spolka z Ograniczona Odpowiedzialnoscia en DECHEMA Gesellschaft für Chemische Technik und Biotechnologie e.V.  
Il y a 3 ans et 219 jours

Unilin Insulation intègre CIRCULAR FOAM

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Il y a 3 ans et 219 jours

Économiser l'énergie pour le Froid - Armacell au SIFA 2021 à Paris

Les entreprises à travers le monde répondent au changement climatique et anticipent de nouvelles mesures et réglementations pour limiter l'impact sur l'environnement. Dans ce contexte, les professionnels du Froid se mobilisent : fabricants, installateurs, bureaux d'études, tous les acteurs du Froid ont les solutions pour participer à la diminution des impacts climatiques. L'efficacité énergétique est devenue le mot d'ordre. Les mesures prises récemment contribuent à cette évolution notamment avec la nouvelle réglementation RT2020. La généralisation des bonnes pratiques s'impose. Le Programme CEE mis en place pour obtenir de réelles économies d'énergie permet de participer à un inversement de la situation dans laquelle tous les industriels sont impliqués, du fabricant à l'utilisateur final.Armacell est en phase avec cette évolution. Les systèmes AF/ArmaFlex®, solutions d'isolation thermique, sont particulièrement adaptés aux applications du Froid pour une isolation optimale des réseaux. Ce système complet flexible est très performant grâce à sa structure de cellules fermées d'une grande résistance à la diffusion de la vapeur d'eau, et d'une très faible conductivité thermique. Il permet également un contrôle fiable et continu de la condensation réduisant ainsi les risques de corrosion. Sa protection antibactérienne Microban® intégrée améliore la qualité de l'air intérieur et fait d’ArmaFlex une solution idéale dans les bâtiments recevant du public et les industries agroalimentaires. Le système complet bénéficie d'une garantie de 10 ans, preuve de sa fiabilité et de sa durabilité.En effet, Il est primordial, dès la conception, de prévoir d'isoler et de protéger les tuyauteries, gaines de ventilation, réservoirs, coudes, raccords, etc.… La condensation et les pertes doivent être impérativement évitées. En maîtrisant ce phénomène, les indispensables économies d'énergie seront enfin réalisées.Au SIFA, les experts d'Armacell interviendront d'une part, lors de la conférence sur les CEE du 16 novembre à 14h30 sur le thème du calorifugeage pour limiter les pertes d'énergie tout en garantissant une installation économique et durable.D'autre part, les techniciens hautement qualifiés vous invitent, le 18 novembre à 11h à participer à l'Atelier Expert qui donnera aux professionnels du secteur les clés pour renforcer la longévité des réseaux Froid. L’exposé d'un cas pratique de solutions pour une application dédiée à l'agroalimentaire et vitivinicole sera présenté.Les experts techniques d’Armacell vous donnent rendez-vous sur leur stand J21, téléchargez votre badge ici : https://www.expo-sifa.com
Il y a 3 ans et 220 jours

A Strasbourg, le plan « vert » d’investissements dépassera 800 millions

La nouvelle municipalité EELV officialise ce lundi 15 novembre son programme d’investissements du mandat. Son montant est en hausse d’un quart par rapport au précédent mandat et son contenu est nettement réorienté vers les quartiers populaires.
Il y a 3 ans et 220 jours

Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre

Le projet I-LOOP coordonné par ISOVER France a reçu le financement du programme LIFE de l’Union Européenne. En France, la quantité de déchets de laine de verre produits sur les chantiers devrait doubler d’ici 2030. Dans les années 1970/1980 elle atteignait environ 150 000 tonnes par an. Ce projet vise à réduire de manière significative les déchets de construction et de démolition en développant et mettant en oeuvre une nouvelle technologie de recyclage de la laine de verre. Le projet va permettre de démontrer la faisabilité technique du recyclage de grandes quantités de déchets de laine de verre. L’industriel prévoit une capacité de recyclage de plus de 20 000 tonnes d’ici 2030 tout en réduisant la consommation d’énergie et les émissions de CO2.
Il y a 3 ans et 220 jours

Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre

Le projet I-LOOP coordonné par ISOVER France a reçu le financement du programme LIFE de l’Union Européenne. En France, la quantité de déchets de laine de verre produits sur les…Cet article Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 220 jours

Airbnb soutient le patrimoine

Airbnb souhaite soutenir la cause de la protection du patrimoine en France à travers une importante opération de mécénat au bénéfice de la Fondation du patrimoine. Avec une donation de 5,6 millions d’euros, la plateforme de location de meublés touristiques est devenu le principal mécène du programme « Patrimoine et Tourisme local » de la Fondation du patrimoine. Ce programme permettra de soutenir des projets publics, associatifs ou privés de rénovation, de préservation ou de sauvetage d’édifices ou de biens d’intérêt patrimonial, intéressants pour le tourisme local et la mise en valeur du patrimoine architectural, culturel, naturel ou historique des territoires. Il soutiendra jusqu’à 200 projets, dont une majorité de projets privés, monuments historiques ou ayant reçu le label de la Fondation du patrimoine. La Fondation du patrimoine décidera de la sélection des projets et des fonds qui leur seront attribués.
Il y a 3 ans et 223 jours

Vent d'opposition contre des projets de carrières de sable dans les campagnes

A Saint-Colomban, deux carrières appartenant à GSM et Lafarge extraient 700.000 tonnes de sable alluvionnaire par an sur plus de 100 hectares. Les industriels envisagent d'exploiter 70 ha supplémentaires sur des terres classées "espaces agricoles pérennes", suscitant l'opposition locale."Les sablières sont éloignées de trois kilomètres, mais elles se rejoindront probablement à terme, ce qui représenterait 300 ha exploités, car il y a une forte demande en béton dans la région", s'inquiète Benjamin Boileau, membre du collectif La tête dans le sable (LTDS).Consommation de terres agricoles, assèchement des ressources en eau, hausse du prix du foncier, perte de biodiversité, paysages constellés de "gigantesques trous d'eau" entourés de merlons de terre: les griefs ne manquent pas contre les carrières. La France consomme 350 millions de tonnes de granulats par an pour la construction.Jean-Claude Camus, riverain, redoute notamment une baisse du niveau des nappes phréatiques. "Quand vous creusez un trou à 18 mètres, vous pompez l'eau environnante. GSM est déjà venu chez moi six fois pour remplir mon étang", raconte le retraité.Interrogé par l'AFP, l'industriel répond que "tout est mis en oeuvre pour maîtriser les éventuelles incidences". Lafarge assure, lui, surveiller "de près l'effet potentiel de [ses] activités sur (...) le niveau des nappes et des plans d'eau"."Davantage qu'une +consommation+ des terrains, nous considérons notre exploitation comme un +emprunt+", plaide Loïc Leuliette, directeur de la communication de Lafarge France. Une fois exploités, "les terrains sont rapidement remis en état pour leur redonner une vocation agricole à chaque fois que c'est possible", précise-t-il.Mais pour les opposants, "retrouver une terre agricole avec les qualités d'origine est illusoire"."bétonisation"Face à cette contestation, le maire de Saint-Colomban Patrick Bertin prévoit de consulter la population le 9 janvier."Si le sable vient de plus loin, on multiplie les camions. S'il est extrait en mer, on détruit l'écosystème marin. Or dans le Pays de Retz, on a programmé la construction de 1.600 logements par an, et un logement, c'est 200 à 300 tonnes de sable. Qu'on me dise comment on fait des logements sans sable?", interroge-t-il.Des collectifs anti-carrières, "contre la bétonisation", voient le jour partout en France: en Savoie, dans le Var, les Yvelines, la Loire, l'Eure, l'Ardèche... "Il y a de plus en plus d'opposants à l'ouverture de nouvelles carrières, mais c'est souvent par méconnaissance", estime Sébastien Colin, géologue au Bureau de recherches géologiques et minières.Dans son Livre blanc présenté en 2017, l'Union nationale des producteurs de granulats, qui représente la profession, en appelle à "plus de transparence et de participation du public pour améliorer l'acceptabilité de l'activité".Deuxième ressource naturelle la plus exploitée en volume après l'eau, avec une demande qui a triplé en vingt ans, selon l'ONU, le sable entre dans la composition du béton, du verre, des microprocesseurs, routes, engrais, pneus, peintures, cosmétiques, etc...En France, qui compte 2.300 carrières de granulats, il n'y a "pas de pénurie" mais "une problématique d'accès à la ressource", explique Sébastien Colin. "Certaines régions sont sous tension en raison d'un déficit de carrières, d'un épuisement des gisements ou de leur inaccessibilité avec l'urbanisation".En Loire-Atlantique, le sablage des cultures maraîchères pour favoriser la pousse et le ramassage mécanique, suscite aussi beaucoup de questionnements. Interrogée, la Fédération des maraîchers nantais évoque une consommation "ancestrale indispensable, stable et hyper optimisée" d'environ 500.000 tonnes annuelles."On consomme trop de sable dans le monde", avertit Eric Chaumillon, professeur de géologie marine joint par l'AFP. "Ce n'est pas durable pour une ressource non renouvelable qui met au minimum plusieurs millénaires à se former", poursuit-il.Pour préparer l'avenir, les carriers assurent économiser la ressource et développer le recyclage des bétons de démolition.Mais pour Jean-Christophe Gavallet, président de la FNE des Pays de la Loire, "le sable est encore trop peu coûteux pour justifier des politiques innovantes de recherche de matériaux alternatifs".
Il y a 3 ans et 223 jours

Nicoll renouvelle son partenariat avec Nexity et signe avec Aegide-Domitys

De l’évacuation des eaux aux réseaux de distribution et à la ventilation des bâtiments, l’entreprise a su se distinguer au fil du temps par la qualité, la fiabilité et la durabilité de ses produits et services. Déjà partenaire de Nexity depuis 2019, Nicoll est de nouveau choisi par le premier promoteur immobilier français pour équiper ses logements neufs. De plus, Nicoll va également équiper désormais les résidences seniors d’Aegide-Domitys, leader du secteur.Nicoll, partenaire du premier groupe immobilier français intégréActeur français majeur de l’immobilier, Nexity intervient sur l’ensemble des métiers de la promotion et des services. Le Groupe, qui collabore avec Nicoll depuis 2019, vient de renouveler ce partenariat avec le référencement de produits sanitaires pour équiper ses logements neufs. Pour répondre aux demandes croissantes de WC suspendus, à la fois modernes, hygiéniques et ergonomiques, Nexity a en effet référencé le bâti support Nicoll SOLEMUR®.Laetitia MOUSTIE, Directrice Achats & Process Nexity Immobilier résidentiel précise : «Nexity place de la satisfaction de ses clients au cœur de ses priorités et choisit pour eux les équipements les plus sains et les plus robustes. Nous sommes très heureux de poursuivre aujourd’hui notre partenariat avec Nicoll pour équiper nos logements neufs avec des solutions de gestion des fluides fiables et efficaces ».La fabrication française des solutions Nicoll est également un critère de choix. Nexity privilégie les circuits courts et cette proximité garantit en outre une grande réactivité. Pour des équipements esthétiques et parfaitement personnalisés, les plaques de commande double volume à boutons ronds et Rec viennent compléter cet équipement.Les solutions Nicoll sont exposées au sein des showrooms régionaux, dans lesquels les acquéreurs d’un logement neuf peuvent se projeter et découvrir les collections et notices correspondantes, chaque “notice” se rapportant aux gammes de logements Nexity et à un certain nombre d’options. Les produits Nicoll équipent ainsi les logements haut de gamme de Nexity (“Anthracite” et “Black”) et sont proposés en option premium dans les logements “entrée de gamme” (“White” et “Perle”). Les produits Nicoll participent ainsi pleinement à la montée en gamme de l’offre de logements Nexity.Les solutions Nicoll sont en outre référencées dans l’outil de prévisualisation «Inside» que vient de lancer Nexity. Ce logiciel permet une immersion (en 2D, 3D et en mode piéton) dans les appartements ou lots proposés par Nexity.L’investisseur et/ou l’acquéreur peuvent ainsi personnaliser leur intérieur en choisissant les produits et options et en obtenant un aperçu du rendu final.Nouveauté cette année, Nicoll a été choisi par Nexity pour l’équipement des résidences seniors de sa filiale Aegide Domitys. Les produits référencés sont également le bâti-support SOLEMUR et les plaques de commande REC mais aussi les plaques Sourire.Focus sur Nicoll SOLEMUR®Développé par Nicoll et fabriqué en France, le bâti-support SOLEMUR® s’impose dans de nombreux projets comme une solution universelle technique, grâce à son design et à sa facilité de pose. Côté technique, son châssis autoportant NF et sa pipe orientable de diamètre 100 mm lui permettent de s’adapter à un maximum de configurations de chantiers.De plus, SOLEMUR® allie performance et sécurité feu pour l’installation, avec accès au réservoir par gaine technique : manchon, tube de rinçage et pipe en PVC NFMe. Sa conception a été étudiée pour simplifier l’intervention des installateurs. Muni de deux trappes d’accès, l’équipement permet un raccordement facile à l’alimentation et une bonne visibilité. Le raccordement s’effectue de plus à l’intérieur du réservoir, ce qui réduit les risques de dégât des eaux : en cas de fuite, l’eau s’écoule dans la cuvette par le trop-plein du réservoir.Titulaire de la marque NF017 Appareils Sanitaires, SOLEMUR® peut résister à une charge de 400 kg et répond à la norme NF D12-208, comme l’atteste le CSTB. Le mécanisme à câble préréglé dont dispose SOLEMUR® est gage d’une installation et d’une maintenance aisées. Enfin, la gamme offre une garantie de 10 ans sur les châssis et réservoirs, et de 5 ans sur les mécanismes et robinets flotteurs.
Il y a 3 ans et 223 jours

Les Canalisateurs du Sud-Est se mobilisent contre le changement climatique et la raréfaction de l'eau en PACA-Corse

Dans l'objectif d'agir pour anticiper le changement climatique, les participants à cette 9e édition ont travaillé sur la sécurisation de la ressource en eau et la valorisation des eaux usées.Collaboration entre le Canal de Provence et le Canal de Marseille, stockage de l'eau, installation prochaine d'un Parlement de l'Eau, prise en considération des milieux aquatiques et « Re-Use », les solutions... et les défis sont nombreux. Si l'esprit visionnaire des anciens a été salué à plusieurs reprises, de la qualité du lien qui unit collectivités locales et entreprises de la région dépend la gestion durable de l'eau ainsi que... son succès, même si une prise de conscience nationale est urgente et nécessaire.« La gestion durable de l'eau est un équilibre subtil et fragile entre pompage, stockage et partage » souligne Yves BOURDAIS délégué régional PACA Corse des Canalisateurs du Sud-Est, en accueil de ces 9e rencontres, qui contribuent à renforcer le lien entre entreprises, collectivités et syndicats des eaux du territoire. « Agriculture, industrie, énergie, tourisme, consommation d'eau potable et milieux naturels aquatiques longtemps négligés..., tous ont besoin de ce bien devenu rare et... trop bon marché ! Il est vital que collectivement, nous travaillons main dans la main à la gestion globale de l'eau, pour nous et nos générations futures. C'est le sens de cette journée de travail qui nous uni ! » précise Yves BOURDAIS.« Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, la gestion de la ressource en eau nous concerne tous ! Nous n'allons pas créer de l'eau en plus. Il faut donc maîtriser cette richesse absolue, cet or bleu qui nous est confié, en le canalisant et en l'économisant ! » précise Michel REGUILLON, président des Canalisateurs du Sud « nous posons des maillons étanches et nous canalisons l'eau pour tous les usagers, dans le respect des milieux naturels ; nous sommes des acteurs de la réduction de la consommation d'eau et pas de simples poseurs de tuyaux ! » Les Canalisateurs du Sud-Est - qui ont accusé en 2020 une baisse de 13% d'activité par rapport à 2019 - vont continuer les actions en faveur du grand cycle et du petit cycle de l'eau, dans le cadre du plan d'action 2021-2024. Sur cette période, les Canalisateurs du Sud-Est - qui représentent 118 entreprises pour un total de 9 000 salariés en Rhône-Alpes-PACA-Corse continueront à fédérer toujours plus les entreprises adhérentes pour défendre les intérêts de la profession, promouvoir ses métiers et agir pour la transition écologique. « Avec des rencontres comme celle d'aujourd'hui, nous renforçons le partenariat entre entreprises de canalisations, maîtres d'ouvrage et maîtres d'œuvre, tout en sensibilisant les pouvoirs publics et le grand public sur les enjeux liés à l'eau. » souligne Michel REGUILLON.Sécuriser la ressource en eau devient impératif ; Il y a déjà des conflits d'usage...Si l'approvisionnement en eau de la région PACA est relativement sécurisé grâce au barrage de Serre-Ponçon (83), la vision est un peu faussée ...« Le changement climatique d'ici à 2050 et la baisse de 10 à 20% de la ressource naturelle vont mettre le système en tension et la distribution va être compliquée ! alerte Philippe PICON, directeur de la ressource en eau du Syndicat Mixte d'Aménagement de la Vallée de la Durance (SMAVD) qui porte une démarche de gestion devenue « ultra-fine » entre l'impétuosité de la Durance et les impératifs du barrage de Serre-Ponçon construit en 1962 initialement pour recueillir l'eau de la fonte des neiges afin de faire face à un manque d'eau.Le ton de la journée est donné, repris par Hervé PAUL, président de la Régie Eau d'Azur, Vice-Président de Métropole Nice Côte d'Azur (MNCA) mobilisé à la fois par la reconstruction complète des assainissements de la vallée de la Vésubie (sans pénurie d'eau), par l'augmentation des capacités de pompage en raison des étiages mi-août- pendant la période de plus forte consommation - et des conflits d'usages en alimentation d'eau potable Var v/s Nappe phréatique...qui commencent à émerger.Le changement climatique influe également sur la qualité de l'eau dont la température de 25 °C augmente régulièrement chaque année ! « Notre action est de veiller à sa potabilité. Pour cela, nous amenons de l'eau pure plus froide grâce à une collaboration entre le Canal de Provence et le Canal de Marseille » soulignent à l'unisson Didier REAULT, Vice-Président Environnement, Eau & Assainissement de la Métropole Aix Marseille Provence (MAMP), Administrateur de l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse, Vice-Président du Conseil Départemental des Bouches du Rhône et Benoit MOREAU, directeur du développement du Canal de Provence. « Et pourquoi ne pas couvrir les canaux de panneaux solaires pour maintenir la qualité d'eau fraiche en dessous ? » souligne ce dernier qui rappelle que le principe de financement de l'eau « l'eau paie l'eau » a pour objectif d'investir et de rénover les infrastructures et que son excédent n'a pas vocation à financer la biodiversité.Le prochain Parlement de l'Eau permettra d'envisager l'avenir collectivementPartagée entre agriculteurs, industriels, consommateurs d'eau potable, touristes, énergéticiens et milieux aquatiques, la ressource en eau et sa sécurisation sont les enjeux collectifs des prochaines décennies. La mise en place prochaine d'un Parlement de l'Eau, dans le cadre du Schéma Aménagement Gestion des Eaux, est très attendue ! Il réunira près de 120 personnes Collectivités, Usagers de l'eau et Administrateurs de l'Etat « Nous allons pouvoir faire de la prospective pour envisager l'avenir, préserver l'accès à l'eau pour tous tout en préservant les milieux aquatiques et optimiser l'utilisation des fonds européens ! » soulignent Philippe PICON et Hervé PAUL enthousiastes mais néanmoins inquiets pour l'avenir de leur territoire !Le taux d'eaux usées réutilisées est de 98% en Israël, 80% en Espagne et 0,6% en France. Le Re-Use a fait ses preuves... à l'étranger. En France, il y a trop de contraintes !« Au Qatar où le stress hydrique est fort et où la température monte à 54°C l'été, 100% des eaux usées sont réutilisées, mais il n'y a pas de schéma directeur et les camions font la queue à la station d'épuration... En Israël, le taux d'eaux usées réutilisées est de 98%, 80% en Espagne et 0,6% en France. » souligne Gautier MAIN, Directeur Pôle technique eaux urbaines d'EGIS Eau.Le Re-Use a fait ses preuves et a donc de beaux jours devant lui comme le souligne Eric LAHAYE, Directeur Régional de VEOLIA PACA, qui a mis en place la réutilisation, dès 2006, les eaux usées pour arroser le Golf de Sainte-Maxime (83), et ce dans le respect des qualités physico-chimiques. « Nous avons contribué à la réduction de 12% de la consommation d'eau potable du golf, qui avec des besoins de 12 000 m3 par jour, est le plus gros consommateur d'eau potable du département du Var », précise-t-il.Cette solution pourrait être étendue aux nettoyages et arrosages des centre-ville ainsi qu'à l'irrigation des terres agricoles, mais elle se heurte en France à une réglementation qui fixe une qualité d'eau forte. Malgré la surveillance et des règles draconiennes, l'Agence Régionale de la Santé (ARS) souhaite éviter tout risque sanitaire. L'élimination du paracétamol par exemple et autres perturbateurs endocriniens reste problématique. « Il y a des néanmoins des signes encourageants » souligne Marion BOUCAULT, Directrice régionale d'EGIS Eau, et « l'état d'esprit des décideurs et du grand public évoluent ; les nouveaux projets imposent des critères eaux durables comme pour nettoyer les bateaux par exemple ! ».L'objectif serait d'aller vers 100% des eaux issues des stations d'épuration (STEP) soulignent les trois intervenants, sans rêver. Il y a bien à ce jour quelques projets, comme à Cannes (06) pour nettoyer les véhicules techniques de la ville avec des eaux usées et Sables d'Olonne en Vendée (85) avec le Projet Jourdain de la STEP qui crée une zone de rejet bio pour alimenter l'eau potable... mais c'est bien trop peu.La nappe du Var est un véritable enjeuL'occasion pour Annick MIEVRE, Directrice de la Délégation PACA Corse de l'Agence de l'Eau (photo de gauche) de rappeler son action au service des collectivités pour aider les projets dans le domaine du petit cycle et grand cycle de l'eau. A ce jour, la moitié du programme est utilisé pour des projets d'assainissement ainsi que pour des actions de mesure du SDAGE, des projets de désimperméabilisation, rétention et séparation de réseaux Eaux Pluviales Eaux Usées afin de limiter le déversement d'eaux usées dans les milieux... Et sur les 180 millions € du plan de rebond mis en place dans le cadre de la crise sanitaire, 43 millions € ont été consommées en PACA Corse. « Mais aujourd'hui un usager souffre, c'est le milieu naturel. Il n'a pas suffisamment d'eau pour fonctionner normalement. La nature rend des services gratuits, le cours de l'eau recharge la nappe mais la biodiversité s'éteint. Il faut économiser l'eau potable pour résoudre les problèmes à venir de déficit en eau » alerte Annick MIEVRE comme un cri d'alarme.... « Nous n'en sortirons que par la solidarité, que si on travaille ensemble, la nappe du Var est un véritable enjeu ! »Il faut une ambition nationale !Le président des Canalisateurs Alain GRIZAUD (photo de droite) souligne que la prise de conscience collective qui ressort de cette journée de travail riche en témoignages et exemples doit non seulement se faire à l'échelle des métropoles mais aussi à l'échelle de tout le territoire national. « Nous ferons remonter au gouvernement les initiatives du terrain et nous recevrons les candidates et les candidats à l'élection présidentielle. Il faut une ambition nationale ! »
Il y a 3 ans et 223 jours

De belles « Promisces » en développement

Dépollution - Un nouveau programme européen teste des technologies innovantes pour surveiller et éliminer les molécules toxiques détectées dans les friches.
Il y a 3 ans et 225 jours

Les syndicats prudents suite à l'annonce de Macron sur la construction de nouveaux réacteurs nucléaires

Mardi, Emmanuel Macron a annoncé que la France allait relancer un programme nucléaire et construire de nouveaux réacteurs sur son sol, en reportant toutefois à plus tard les précisions sur ces futurs EPR.Le renouvellement du parc nucléaire "est un défi industriel et social sans précédent", a estimé auprès de l'AFP Virginie Neumayer, représentante syndicale CGT chez EDF."Le président ne cherche pas à entraîner les salariés avec lui", a-t-elle déploré car dans le même temps, "on a des annonces de régression sociale sans précédent".Chez EDF, "les exigences de rentabilité sur le court terme sont incompatibles avec un engagement d'investissement sur le nucléaire", détaille Mme Neumayer.Le son de cloche est différent chez Nicolas Vincent, secrétaire général CGT de la centrale de Penly (Seine-Maritime), désignée mercredi pour accueillir un futur réacteur EPR. "La nouvelle est très bien perçue", a-t-il relayé.La centrale, âgée de 30 ans, "pouvait envisager une exploitation vers les 60 ans mais là, c'est vraiment prolongé", a-t-il salué, indiquant que le défi résidait désormais dans le besoin de main d'oeuvre pour réaliser les travaux - entre 8 et 10.000 personnes selon M. Vincent."Construire de nouveaux outils nucléaires est incontournable si on veut continuer la transition énergétique", a indiqué Dominique Bousquenaud, secrétaire général de la fédération chimie-énergie à la CFDT. Il a également appelé à "continuer le développement de l'ensemble des énergies décarbonnées" pour limiter la part du nucléaire dans la production d'électricité à "50%".Chez SUD Energie, on se refuse à toute prise de position sur le bien-fondé du nucléaire ou non. Mais "il faudrait que ce soit un choix démocratique", par le biais d'un référendum, plaide Anne Debrégeas, porte-parole du syndicat."Le choix du nucléaire ou non ne peut pas être basé sur un choix économique, c'est un choix politique", estime-t-elle. "Est-ce que les gens préfèrent le risque d'accident et des déchets nucléaires ou bien avoir plein d'éoliennes ou de panneaux solaires ?", interroge-t-elle.D'après Mme Debrégeas, "on a les moyens de mener ce débat grâce aux travaux de RTE" et d'autres, mais "le président s'assoit dessus alors qu'il y a un vrai enjeu à impliquer les gens dans ces choix".
Il y a 3 ans et 225 jours

Restauration de la chapelle Saint-Hubert du château royal d’Amboise

Le programme de restauration de la chapelle Saint-Hubert du château d’amboise porte sur les charpentes et couvertures suivant le dernier état connu et voulu par Ruprich-Robert (architecte en chef des monuments historiques en charge des travaux de restauration à la fin du XIXe), ainsi que sur une reprise de maçonnerie des façades. Une harmonisation des pierres, une restauration des sculptures et des verrières est également prévue. En parallèle, sera menée la reprise de l’étanchéité du parvis. Le chantier a débuté en octobre 2021 pour se terminer en octobre 2023. L’État a pris pleinement mesure du caractère majeur de ce chantier (représentant au total 2,7 millions d’euros), puisqu’il contribuera au budget des différents travaux engagés sur le site (intégrant, donc, ceux sur la chapelle) à hauteur de 2,16 millions d’euros, au titre du Plan de relance économique. Il s’agit là de la dotation la plus importante accordée à un édifice privé, propriété de la Fondation Saint-Louis. Celle-ci intervient opportunément pour cet édifice et dont les charpentes présentaient des fragilités dont il fallait se préoccuper sans délai au moment où le monument subissait de plein fouet les effets de ses fermetures successives et de la raréfaction des visiteurs. Placé sous l’autorité de l’architecte en chef des Monuments historiques, Etienne Barthélémy, ce chantier de restauration de la Chapelle Saint-Hubert revêt un caractère tout à fait exceptionnel puisque les derniers travaux d’une telle ampleur opérés sur la chapelle datent du milieu du XIXème siècle et de l’après-guerre. Il sera fait appel aux savoir-faire régionaux contribuant, ainsi, à mobiliser les entreprises du patrimoine vivant. La DRAC Centre-Val de Loire a initié l’opération : « Une école, un chantier… des métiers » afin de porter de nouvelles ambitions en faveur de la jeunesse autour des métiers et des savoir-faire. L’accueil de 4 classes des collèges du secteur est prévu, pour un suivi tout au long des phases du chantier, avec des visites incluant l’intervention de professionnels des entreprises artisanales (techniciens dédiés), et du patrimoine. Source et photo : Drac Centre-Val-de-Loire
Il y a 3 ans et 225 jours

Une journée consacrée à la restauration d’un pavement au Centre de conservation du Louvre à Liévin

La Drac des Hauts-de-France, le musée du Louvre et le Louvre-Lens organisent une journée consacrée à la restauration du pavement de Saint-Martin-d’Hardinghem mercredi 1er décembre au Centre de conservation du Louvre à Liévin. Le public est invité à découvrir la restauration d’un pavement du Moyen Âge sauvé des eaux de l’Aa. En 2016, des pavements médiévaux de 200 m2 ont été mis au jour au lieu-dit La Cour Lévêque, identifié comme une résidence de campagne des évêques du diocèse de Thérouanne. La restauration d’envergure de cet ensemble patrimonial exceptionnel a débuté en 2021 et se poursuit actuellement. Inscriptions : – au programme de la matinée, dans la limite des places disponibles : laetitia.maggio@culture.gouv.fr – aux ateliers en famille l’après-midi au Louvre-Lens, sur louvrelens.fr Conférences : 9h00 – 11h20 • « Mot d’ouverture » Hilaire Multon, Directeur régional des affaires culturelles des Hauts-de-France Marie-Lys Marguerite, Directrice du Centre de conservation du Louvre Liévin • « De la fouille à l’exposition : le sauvetage d’un ensemble patrimonial majeur » Laetitia Maggio, Conservatrice du patrimoine – DRAC – Service régional de l’archéologie Hauts-de-France • « La fouille d’une résidence de campagne des évêques de Thérouanne à Saint-Martin-d’Hardinghem » Guy Flucher, Responsable d’opération – Institut national de recherches archéologiques préventives • « Les pavements médiévaux de Saint-Martin-d’Hardinghem : l’étude de l’archéologue » Laetitia Dalmau, Archéologue départemental – Direction de l’archéologie du Pas-de-Calais • « Les étapes de la conservation-restauration des pavements de Saint-Martin d’Hardinghem » Natacha Frenkel, Conservatrice -restauratrice – Atelier Art’s du feu • « Une découverte archéologique en 2021 : le pavement de l’abbatiale Notre-Dame à Hénin-Beaumont » Jean-Jules Tronquoy, Archéologue – Direction de l’archéologie de Douaisis Agglo • Visites commentées de l’atelier de restauration : 11h20 – 13h  Pour les participants à la matinée : départ toutes les 20 minutes. Projection de vidéos sur la fouille et la restauration des pavements. Au Louvre-Lens, après-midi pour les familles  • Visites commentées de l’atelier de restauration : 14h – 17h30  par petits groupes pour les individuels et les familles : départ toutes les 30 minutes. Projection de vidéos sur la fouille et la restauration des pavements.     Ateliers pédagogiques pour les enfants accompagnés (6-12 ans)   Source : Ministère de la culture                
Il y a 3 ans et 226 jours

1er Baromètre de la santé financière des « Petites villes de demain »

Réalisé à partir de la note attribuée par l’AFL à chaque collectivité, ce baromètre permet de dresser un état des lieux de la spécificité de ces collectivités, sélectionnées par le programme « Petites villes de demain » de l’Agence nationale de la cohésion des territoires. Quelle santé financière pour ces Petites villes de demain par rapport à l’ensemble des communes françaises ? Quelles évolutions au cours des dernières années et quelles perspectives ?Un premier baromètre de la santé financière des Petites villes de demain« Alors que la reprise est en marche, bon nombre d’experts ont mesuré l’impact financier, économique, social et démocratique pour nos collectivités, nos territoires et leurs administrés. Les études montrent globalement que nos collectivités ont maintenu le cap et affichent une santé financière solide à l’aube de 2022. Mais cette tendance masque l’impact très différencié de la crise sur les finances des collectivités locales. Forte de son partenariat avec l’ANCT (Agence nationale de la cohésion des territoires), elle a décidé de consacrer une étude spécifique aux collectivités sélectionnées par le programme Petites villes de demain (PVD) » rappelle Jérôme Pasco, Maire de Conches-en-Ouche, Membre du Conseil d’administration de l’AFL-ST.L’AFL, la banque détenue par les collectivités, a souhaité dresser un état des lieux précis de la santé financière des Petites villes de demain sur la période 2016-2020, après avoir publié en juin dernier un baromètre complet sur la santé financière des collectivités locales. Les principaux enseignements de l’étudeL’analyse financière réalisée par l’AFL met en exergue les difficultés financières rencontrées par les communes PVD, dans la majeure partie du territoire français.Cela s’explique entre autres par le fait que les communes PVD assument des charges de centralité, tout en étant situées dans des territoires ruraux.Toutefois, l’analyse révèle qu’entre 2016 et 2020, les notes financières des communes PVD se sont globalement davantage redressées (+8%) que celles de l’ensemble des communes françaises (+6%). Retrouvez l'étude en intégralité à cette adresse.
Il y a 3 ans et 226 jours

Le maire du XVe arrondissement de Paris demande le report de la Tour Triangle

Dans un vœu transmis à l'AFP et qui doit être soumis au conseil municipal débutant le 16 novembre, l'élu demande "qu'il soit sursis au projet de Tour Triangle dans l'attente de l'adoption du nouveau PLU (Plan local d'urbanisme) bioclimatique" qui règlementera les constructions dans la capitale, fin 2023.Le bailleur, le géant des centres commerciaux Unibail-Rodamco-Westfield (URW) qui sera propriétaire pendant 80 ans, a annoncé lundi que le chantier démarrerait d'ici 2022, avec le soutien financier de l'assureur Axa, pour s'achever à l'horizon 2026.Mais pour M. Goujon, "les arguments avancés en 2008 pour justifier la construction" de cette tour, qui "obstruera le paysage du sud du XVe et bien au-delà", sont "obsolètes"."Datée", la Tour Triangle "ne répond sans doute plus aux besoins des entreprises que la crise du Covid-19 et le développement du télétravail amènent à repenser", souligne M. Goujon, opposé au projet depuis son lancement en 2008.Autres opposants historiques au projet, les Verts soumettront également un voeu au prochain Conseil de Paris, demandant lui l'abandon d'un projet qu'ils voient comme une "aberration écologique"."Mathématiquement, il y a une majorité contre ce projet. Ce serait dommage qu'on n'arrive pas à la trouver", a réagi Emile Meunier (EELV), interrogé par l'AFP sur la possibilité d'une alliance entre les écologistes, alliés de la maire PS Anne Hidalgo, et l'opposition de droite et du centre.L'élu écologiste, président de la commission urbanisme et logement, demande à ce que "tous les moyens soient mis en oeuvre, y compris politiques, pour faire tomber cette tour".Le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire a estimé mercredi que la ville de Paris "ne pouvait plus faire obstacle" à la construction de cette tour de 180 mètres de hauteur depuis le feu vert donné par le Conseil de Paris en 2015 et la délivrance du permis de construire en 2017.Le projet définitif pour l'immeuble de 42 étages, qui doit notamment héberger un hôtel quatre étoiles, plus de 2.000 mètres carrés d'espace de travail partagé (coworking), un centre de santé et un espace culturel, n'est "pas totalement arrêté en détails", a indiqué M. Grégoire pour lequel "on a encore beaucoup de temps pour affiner le programme".
Il y a 3 ans et 227 jours

Un projet de centrale solaire refait surface dans le Larzac, en version allégée

Lors d'une visio-conférence de presse, les dirigeants de la société basée près de Montpellier ont annoncé la tenue d'une consultation publique entre le 16 au 29 novembre, expliquant que rien n'était encore décidé."On ne vient pas avec une proposition de scénario, mais avec des résultats de nouvelles études, donc on propose de débattre de quatre grandes thématiques de manière très ouverte, afin de créer un projet de territoire", a expliqué le responsable du développement éolien et solaire d'Arkolia Energies, Mickaël Scudeller.Avec son projet Solarzac, Arkolia Energies envisageait initialement de couvrir 220 à 400 hectares de panneaux solaires sur la petite commune du Cros, située dans une zone classée Natura 2000 et patrimoine mondial de l'Unesco au titre des paysages culturels de l'agropastoralisme méditerranéen.L'initiative avait été massivement rejetée localement et fustigée par des organisations de défense de l'environnement et du foncier agricole lors d'une première consultation, en 2019. Sans renoncer, Arkolia Energies s'était engagée à proposer une version plus réduite de son projet.L'entreprise songe dorénavant à une surface de panneaux solaires de 150 à 200 ha, capable de produire l'équivalent de la consommation électrique de 100.000 à 130.000 personnes (hors chauffage). Elle veut aussi renforcer la dimension agropastorale du projet, les installations permettant selon elle la présence de troupeaux d'ovins."Le reste de la surface (800 ha minimum) pourrait être mis en gestion auprès d'organismes oeuvrant pour la biodiversité" et des "activités de tourisme (randonnée, VTT) pourraient également trouver leur place sur le site", ont expliqué les promoteurs de Solarzac, dont la mise en service est envisagée en 2026. L'investissement, d'environ 150 millions d'euros, serait entièrement pris en charge par Arkolia Energies.Le programme des consultations est disponible sur le site www.solarzac.fr. La réunion publique de clôture est prévue le 2 décembre à Salelles du Bosc, non loin du site prévu pour la centrale solaire.