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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

(8207 résultats)
Il y a 3 ans et 245 jours

Des travaux "complémentaires" vont avoir lieu sur la Philharmonie de Paris

RÉSOLUTION. Les Ateliers Jean Nouvel et la Philharmonie de Paris annoncent, dans un communiqué de presse commun, avoir trouvé un accord financier mettant fin aux différends qui étaient en cours entre eux. Un programme de travaux "complémentaires" va être mené.
Il y a 3 ans et 245 jours

Onfly dévoile sa nouvelle intégration, qui facilite la collaboration entre CAD et BIM

Onfly dévoile sa nouvelle intégration, qui facilite la collaboration entre CAD et BIM !   Après Rhino, c’est désormais au tour d’AutoCAD de s’ajouter à la liste des plugins d’Onfly. Ce nouveau connecteur permet au logiciel Saas de passer d’une gestion de données BIM à une gestion simplifiée, et cela pour l’ensemble des métiers de la construction. Découvrez dans notre communiqué de presse en quoi ce plugin s’imbrique dans la stratégie de continuité digitale d’Onfly.
Il y a 3 ans et 245 jours

Bilan de la campagne nationale SOLIHA sur le Logement d'abord

Une mobilisation du réseau SOLIHA avec l’organisation de plus de 80 actions locales Un programme d’actions et d’évènements a permis de présenter les actions conduites par le Mouvement SOLIHA, notamment à destination des élus et des propriétaires bailleurs solidaires : visites de pensions de famille SOLIHA, présentation des Agences immobilières sociales, inauguration de logements d’insertion, tables rondes sur le Logement d’abord, etc. Un webinaire pour sensibiliser les propriétaires bailleurs aux avantages de la location solidaireSOLIHA a organisé le webinaire « Propriétaire d’un logement ? Alliez rentabilité et solidarité avec SOLIHA ». Destiné aux propriétaires bailleurs, ce webinaire avait pour objectif de présenter en détail les conditions et avantages de la location solidaire. Plusieurs spécialistes SOLIHA – juriste, responsable d’Agence immobilière sociale, experte nationale de la gestion locative- sont intervenus pour présenter les avantages des dispositifs d’intermédiation locative et répondre aux questions des propriétaires bailleurs. Ce webinaire a réuni plus de 80 participants.Une rencontre nationale a Marseille pour dresser un bilan-perspective sur la politique du logement d’abordLa Fédération SOLIHA et SOLIHA Provence ont organisé une rencontre nationale sur le Logement d’abord le 14 octobre, associant plus de 340 personnes à Marseille (190 en présentiel et plus de 150 en distanciel). Après une ouverture par Patrick Amico, Adjoint au maire de Marseille en charge de la politique du logement et de la lutte contre l’habitat indigne, qui représentait le Maire de Marseille et Philippe Olivero, Président de SOLIHA Provence, deux tables rondes ont été organisées. La première « La politique du Logement d’abord, quel bilan ? » a réuni Sylvain Mathieu, Délégué interministériel à l’hébergement et à l’accès au logement, Valérie Mancret-Taylor, Directrice générale de l’Anah, Marie-Françoise Lavieville, Vice-Présidente de la Fédération SOLIHA et Michel Pelenc, Directeur général de la Fédération SOLIHA. La seconde, « La politique du Logement d’abord sur la métropole Aix-Marseille-Provence et la ville de Marseille, quelles perspectives ? » a donné la parole à David Ytier, Vice-président de la Métropole Aix Marseille Provence délégué au Logement, à l’Habitat, à la Lutte contre l’habitat indigne, Patrick Amico, Adjoint au maire de Marseille en charge de la politique du logement et de la lutte contre l’habitat indigne, Nathalie Daussy, Directrice de la DDETS des Bouches-du-Rhône, Pascal Gallard, Directeur de l’ARHLM PACA Corse et Jean-Jacques Haffreingue, Directeur général de SOLIHA Provence.En clôture, Hélène Pélissard, Présidente de la Fédération SOLIHA a interpellé les pouvoirs publics pour plus de sécurité dans la programmation et plus de simplification des dispositifs. Et dans une vidéo, Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, s’est adressée aux participants. La Ministre a appelé à « travailler collectivement pour créer plus de logements sociaux, plus de logement accompagné, favoriser une meilleure mobilisation du parc privé, accélérer la fluidité de l’accès de l’hébergement vers le logement. ». Une plaquette SOLIHA sur le logement d’abordLa Fédération SOLIHA a réalisé une plaquette pour présenter les missions que le Mouvement SOLIHA conduit dans le cadre du Logement d’abord. Elle donne notamment la parole aux bénéficiaires de projets, de salariés SOLIHA et d’élus.Cinq operations mises en valeur a marseille dans le cadre de la rencontre nationale SOLIHA le 14/10/21150 personnes ont participé aux visites organisées par SOLIHA Provence à Marseille associant partenaires et bénéficiaires des projets.La Caserne Bugeaud : l’accompagnement et relogement des ménagés évacués suite à des arrêtés de péril à Marseille. Le foyer d’accueil de mineurs non accompagnés.« Un chez soi d’abord », présentation du dispositif et des modalités de prise en charge pérenne des personnes « Un lieu de répit », lieu alternatif à la psychiatrie. La pension de famille de l’ADRIM.
Il y a 3 ans et 245 jours

Vinci poursuit un redressement progressif au 3e trimestre

Mais le géant français du bâtiment et des infrastructures de transport prévoit des résultats pour l'année 2021 toujours "inférieurs à leur niveau de 2019", après une chute de 61,9% de son bénéfice net en 2020, à 1,24 milliard d'euros.Entre juillet et septembre, Vinci a dégagé un chiffre d'affaires de 13,2 milliards d'euros, soit une hausse de 0,8% par rapport à la même période en 2019 et de 7,8% comparée à celle de 2020.Le pôle Construction continue de tirer le groupe, avec Vinci Energies qui confirme sa dynamique: les deux branches révèlent des chiffres d'affaires à leurs niveaux d'avant-crise.En effet, Vinci Construction réalise un chiffre d'affaires à environ 7,1 milliards d'euros (+5,1%) sur le troisième trimestre, soit plus de la moitié des recettes totales du groupe. Son marché français, qui représente 49% de son activité, est notamment porté par les projets du Grand Paris Express.Quant à Vinci Energies, son chiffre d'affaires progresse de 7,3% rapport à 2020 et 8% par rapport à 2019.La branche aéroport reste la seule à pâtir très largement de la crise sanitaire avec des niveaux de chiffres d'affaires et de trafic passagers plus de deux fois inférieurs à ceux de 2019. Toutefois, le groupe "observe un redressement progressif de son trafic après un début d'année difficile" et "table sur un trafic passagers en 2021 très proche de celui de 2020".Signe de la "bonne situation financière" du groupe, Vinci va reprendre son programme de rachat d'actions, dans la limite de 200 millions d'euros, interrompu en mars 2020.
Il y a 3 ans et 246 jours

La question des énergies renouvelables et de la fin du nucléaire, s'invite dans le débat présidentiel

Le réseau d'experts, pionnier dans la réalisation de ce genre d'exercice prospectif, avance son nouveau scénario à horizon 2050 quelques jours avant que le gestionnaire du réseau électrique à haute tension RTE présente les siens, très attendus par les pouvoirs publics.NégaWatt constate d'abord que l'on pourrait réduire nettement les besoins énergétiques en rénovant efficacement les bâtiments : en passant de 30.000 à 800.000 rénovations thermiques globales par an d'ici 2030, avec des travaux globaux et pas par morceaux.L'électrification des voitures, complétée par de l'hybride biogaz (pour limiter le recours au lithium), le report modal, ainsi qu'une redevance pour les transports routiers permettant de financer le ferroviaire ("l'idée n'étant pas de moins partir en vacances") forment l'autre levier d'action sur la demande pour sortir des fossiles, sources du réchauffement.In fine, la consommation d'énergie se trouve divisée par deux en 2050 par rapport à aujourd'hui.L'approvisionnement, lui, repose sur les éoliennes dont il faudra doubler le nombre, à 18.500, quand l'Allemagne en compte déjà 30.000. "Ce n'est pas une invasion comme certains veulent le faire croire", commente Marc Jedliczka, un porte-parole.Mais aussi le photovoltaïque, en doublant la croissance annuelle actuelle. Le scénario table aussi sur une forte hausse du biogaz agricole.Corollaire : nul besoin de construire de réacteurs nucléaires, ni même de démarrer l'EPR de Flamanville, qualifié d'"échec industriel majeur".Et "en fermant les anciens réacteurs entre leur 40e et 50e année, le système électrique peut se passer de l'atome tout en assurant la sécurité d'approvisionnement via le stockage et le pilotage des flexibilités électriques" générées par les renouvelables, a calculé l'association."Loin du renoncement ou de l'illusion de solutions faciles", ces propositions s'ancrent dans "un réalisme opérationnel", dit le porte-parole de négaWatt, Yves Marignac.Selon l'association, la neutralité carbone du pays pourrait être atteinte dès 2047, avec des puits de carbone permis par l'agroécologie et "zéro artificialisation nette"."Une feuille de route""À rebours des injonctions à produire et consommer toujours davantage, au mépris des limites planétaires", le scénario, qui se veut "une feuille de route pour le quinquennat" à venir, prône aussi une relance industrielle "vertueuse" combinant filières d'avenir (éolien offshore, batteries, électrolyseurs...) et optimisation des ressources (recyclage, matières biosourcées, écoconception...).Cette publication quinquennale, prenant aussi en compte les besoins en minerais et les émissions de nos importations, intervient en plein débat sur l'avenir énergétique de la France, qui s'est engagée à la neutralité carbone en 2050. Comment y parvenir ?À la demande du gouvernement, RTE a travaillé plus de deux ans à imaginer la production électrique de demain, mais aussi la demande, qui pourrait être soutenue avec l'essor du véhicule électrique et de l'hydrogène.Plusieurs scénarios devraient ainsi être présentés lundi, pointant tous le nécessaire essor des renouvelables : des hypothèses allant du 100% jusqu'au renouvelable-nucléaire à 50-50.L'atome produit aujourd'hui plus de 70% du courant en France, un record mondial. Le gouvernement a choisi de le ramener à 50% d'ici 2035 pour diversifier son bouquet, mais la suite fait l'objet de rugueux débats, ravivés dans le contexte électoral.L'État devait se prononcer sur la poursuite du programme de construction d'EPR au plus tard en 2023, lorsque Flamanville aura normalement démarré.Dans l'immédiat, le président Emmanuel Macron a déjà acté du soutien à la fabrication de prototypes de "petits réacteurs" SMR, via le plan d'investissement "France 2030"."Le futur électrique de la France est-il une affaire déjà conclue?", s'est inquiété mercredi le Réseau action climat. "L'étude de RTE et les autres scénarios récents doivent permettre un débat démocratique", réclame la fédération d'ONG, pour qui l'option de nouveaux réacteurs sera "trop lente pour agir sur le climat dans la décennie".Les écologistes, avec Yannick Jadot et Matthieu Orphelin, doivent aussi tenir un point presse, accusant Emmanuel Macron de sortir "l'artillerie lourde pour tenter de démontrer que le lancement d'un nouveau programme d'EPR s'impose d'urgence".
Il y a 3 ans et 246 jours

Le projet de R&D « Quartier Energie Carbone » livre une méthode opérationnelle accessible à tous

Soutenu financièrement par l'ADEME et piloté par un consortium fédérant le CSTB, Efficacity, Elioth, l'Alliance HQE-GBC, Effinergie, Certivéa, l'Association BBCA et Atlantech, avec la participation au Comité de Pilotage du Ministère de la Transition Ecologique, il livre aujourd'hui une méthode opérationnelle accessible à tous, la méthode Quartier Energie Carbone, permettant d'évaluer par une approche en Analyse de Cycle de Vie (ACV) les impacts énergie et carbone d'un projet d'aménagement ou de rénovation urbaine.Au-delà de cette évaluation, la méthode est une véritable aide à la décision permettant d'améliorer le projet en identifiant les meilleurs leviers à mobiliser et en quantifiant leur impact carbone potentiel.Enfin, cette méthode est un outil de dialogue entre les différents acteurs de l'aménagement : elle offre aux collectivités, aux aménageurs et à leurs partenaires la possibilité de fixer des objectifs à la fois ambitieux et réalistes, d'objectiver les choix et de déterminer si leurs projets s'inscrivent en cohérence avec la trajectoire des Accords de Paris.La méthode quartier énergie carbone : un outil de performance et de dialogueDans sa phase de développement et de validation, la méthode Quartier Energie Carbone s'est appuyée sur une première implémentation dans un logiciel, UrbanPrint, codéveloppé par le CSTB et Efficacity. Cette phase de validation, menée sur 8 projets pilotes représentant une grande diversité de type d'opérations d'aménagement, a démontré le caractère opérationnel de la méthode.La plus-value de la méthode est double :La quantification rigoureuse, par une approche en ACV reconnue internationalement, des performances énergie et carbone d'un projet urbain, et la comparaison à un projet de référence permettant de déterminer les « score énergie » et « score carbone » du projet ;la prise en compte de tous les contributeurs et usages présents à l'échelle du quartier (bâtiments, systèmes énergétiques, eau, déchets, espaces extérieurs, mobilités…).La méthode se révèle être un outil efficace d'aide à la décision et de dialogue entre acteurs décideurs :en phase amont des projets, par l'identification des leviers d'actions ayant le plus d'impact carbone,en phase plus avancée, dans une optique d'évaluation des performances du projet avec un jeu de données plus précis.Mobilité, produits de construction et énergie = trois principaux contributeurs dans les émissions carbones :Sur les 8 opérations pilotes, les évaluations réalisées ont permis de dresser un premier constat : la Mobilité, les Produits de construction (bâtiments) et l'Energie (systèmes énergétiques) sont, dans l'ordre, les 3 plus importants contributeurs dans les émissions carbone totales des quartiers neufs aujourd'hui.1. La mobilitéLe secteur des transports est responsable d'une part importante des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) (29% des émissions de GES - AEE - Agence Européenne pour l'Environnement - 2018). La conception urbaine, les aménités, l'offre de transports collectifs et la promotion des modes de déplacement doux contribuent fortement à la réduction des émissions de carbone liées aux déplacements.2. Les produits de constructionLe choix des produits de construction a un impact sur l'empreinte finale du quartier Le réemploi, la réutilisation et le recyclage offrent des pistes pour réduire les émissions de carbone nécessaires à la construction de nos lieux de vie.3. L'énergieLe carbone est fortement présent dans les consommations énergétiques notamment celle liées au chauffage et à la production d'eau chaude sanitaire. La création de solutions mutualisées ou en réseaux est un axe majeur de diminution de l'empreinte carbone, en réduisant les besoins de production et en favorisant la pénétration des énergies renouvelables et de récupération. Elles apportent en outre une efficacité énergétique et une évolutivité que la production individuelle ne peut atteindre.Accroitre l’expérience pour ouvrir les perspectivesForte des premiers retours d'expérience, la méthode, testée grandeur nature, présente des atouts et un fort potentiel.Tout en permettant d'avancer sur la compréhension des leviers de l'aménagement bas carbone à l'échelle des quartiers et d'en mesurer l'efficacité, elle donne des clefs opérationnelles aux collectivités, aménageurs, promoteurs, etc. pour faire des choix en parfaite cohérence avec le défi climatique. Elle leur permet en effet d'arbitrer en tenant compte non seulement des contraintes de financement et des besoins du territoire auquel le projet répond (logements, services, emplois, inclusion, etc.) mais également des impacts énergie et carbone du projet.En s'appliquant à l'avenir à un plus grand nombre d'opérations d'aménagement de typologies différentes, elle participera, à terme, à l'élaboration de valeurs de référence au niveau des quartiers et à l'enrichissement des leviers d'action.
Il y a 3 ans et 246 jours

« Nous voulons créer la plateforme qui couvrira l'ensemble du cycle de vie des ouvrages », Nicolas Mangon (Autodesk)

Editeur de logiciels pour le BTP, Autodesk a réalisé plusieurs acquisitions cette année, dont Innovyze, spécialisé dans les outils numériques de gestion de l’eau. Nicolas Mangon, vice-président en charge de la stratégie pour l’architecture, l’ingénierie et la construction détaille la stratégie globale derrière ses rachats.
Il y a 3 ans et 246 jours

Nantes : une future maison de quartier à Halvêque-Beaujoire

À Nantes, la nouvelle maison de quartier Halvêque-Beaujoire comprendra des espaces coconstruits. Le début des travaux est programmé à l’horizon 2022.
Il y a 3 ans et 247 jours

Louineau dévoile ses nouveaux systèmes d'habillage et de fixation

Il développe des produits inédits sous certifications et améliore constamment ses solutions éprouvées afin d'anticiper les réglementations, de s'adapter aux normes, aux nouveaux procédés de constructions, aux enjeux environnementaux… La facilité de mise en oeuvre et la durabilité de ses systèmes performants sont également au coeur de chaque conception.Les nouveautés présentées au salon EQUIPBAIE illustrent cette philosophie, qui anime les équipes LOUINEAU, du département R&D au bureau d'études, en passant par la production, le commerce, le marketing… :L'Encadrement de baie monobloc exclusif PRECWOOD 1400, seule solution certifiée dédiée à l'étanchéité (1 400 Pa) des constructions bois,L'Encadrement de baie rapporté en kit PRECHABKIT, système d'habillage rapide à mettre en oeuvre adapté aux maisons à ossatures bois,Les Pattes à Bords Tombés (BT) pour renforcer les cornières filantes (CFIL BT) et précadres (PRECFIX BT),Le Manchon Monobloc en 200 mm de hauteur (MCHM200) intégré à l'offre standard, fixation pour murs-rideaux qui optimise la pose et simplifie le quotidien des façadiers.Solution pour l'étanchéité en constructions bois : encadrement de baie monobloc exclusif PRECWOOD 1400Le PRECWOOD 1400 est un encadrement de baie qui assure la continuité du plan d'étanchéité entre le pare-pluie et la menuiserie grâce à sa conception monobloc et à ses soudures continues dans les angles. Inédit sur le marché de la construction en ossature bois, il est certifié CTB Composants et Systèmes Bois par FCBA (catégorie Assemblages & Connexions - N° d'identification 211). Ce centre technique industriel a réalisé des tests à la pluie battante sur un banc d'essai AEV, qui a validé une résistance à 1 400 Pa. Une performance requise pour les constructions bois (COB) dont les Immeubles de Grande Hauteur (IGH) jusqu'à 60 m.Une lame d'air autour de la structure bois garantit une ventilation optimale, limitant ainsi les risques de condensation. Préfabriqué et livré prêt à poser, le PRECWOOD 1400 facilite la mise en oeuvre. Environ 30 minutes suffiront, à deux personnes, entre le déballage du précadre et la pose en applique sans retour de pare-pluie qui n'est plus nécessaire.En acier galvanisé, le PRECWOOD 1400 offre une liberté de conception tant en termes de dimensions que de thermolaquages. Il permet l'intégration de volets-roulants, brise-soleil, garde-corps ou seuils PMR dans le cadre d'une porte-fenêtre ou d'un coulissant. Il est disponible en deux finitions, avec ou sans recouvrement, et peut être doté d'un système antivibratoire. Il convient à toutes les façades (enduit, zinc, bois, brique…).Solution pour l'étanchéité des maisons à ossatures bois : nouvel encadrement de baie rapporté en kit PRECHABKITLes maisons à ossature bois (MOB) ont le vent en poupe ces dernières années ! LOUINEAU a conçu et standardisé un nouvel Encadrement de baie rapporté en kit (PRECHABKIT) qui permet de préserver une lame d'air entre le précadre et le pare-pluie. Cette solution d'habillage est conforme aux préconisations des DTU 31.2 et 31.4. Livrée en kit, elle optimise le temps de mise en oeuvre et simplifie la réalisation de l'encadrement de baie :l'assemblage est facilité par le repérage de chaque élément,la pose en applique extérieure est rapide et ne nécessite aucune découpe.L'Encadrement de baie rapporté en kit (PRECHABKIT) est fabriqué en acier galvanisé prélaqué (10/10ème). Il peut être thermolaqué à la demande pour des couleurs spécifiques et intégrer un antivibratoire afin de limiter les bruits d'impact de la pluie sur la bavette. Ses fixations sont dissimulées permettant d'obtenir un tableau épuré pour une harmonie visuelle.Solutions pour renforcer les cornières filantes et précadres : nouvelles Pattes à Bords Tombés (BT)En fonction du poids de la menuiserie, le professionnel qui réalise la pose d'une cornière filante ou d'un précadre aura besoin de renforts afin de garantir la reprise des efforts. En complément de la Patte à Gousset (PG), le département R&D LOUINEAU a imaginé un deuxième type de renfort présenté en avant-première à EQUIPBAIE : les nouvelles Pattes à Bords Tombés (BT).Intégrées aux solutions LOUINEAU, ces Pattes BT permettent de proposer en standard :Une Cornière filante renforts BT (CFIL BT)Elle assure linéarité et reprise de charges. Sa conception en forme de « C » rend aisée la mise en oeuvre. L'artisan n'est pas gêné par l'isolant et il peut ensuite installer facilement la membrane. Elle s'adapte à toutes les longueurs et à tous les types d'isolation.Un Précadre de fixation renforts BT (PRECFIX BT)Conçu avec quatre cornières filantes mécano-soudées entre elles, ce précadre monobloc PRECFIX BT facilite la mise en oeuvre des menuiseries. Les renforts, sur trois ou quatre côtés, sont mis en place en partie basse ou sur l'ensemble du support selon le poids de la menuiserie.Le [+] LOUINEAU : L'ajout de renforts n'est pas systématique ! LOUINEAU accompagne les entreprises via son logiciel de chiffrage en ligne Mes Devis. Une fois les paramètres de la pièce et le poids de la menuiserie renseignés, l'outil indique si la solution supportera ou non la charge. Dans le second cas, il faudra donc ajouter des renforts.Solution pour murs-rideaux : MCHM200, Manchon Monobloc en 200 mm de hauteurLe Manchon Monobloc en 200 mm de hauteur (MCHM200), intégré à l'offre standard LOUINEAU, est pensé pour simplifier la pose des murs-rideaux. Il possède deux atouts majeurs pour les façadiers et entreprises de pose :le trou oblong est décalé au-dessus de la traverse, afin de faciliter le passage de la vis,un point de fixation supplémentaire garantit la reprise de poids, en complément des reprises au vent et au sismique. Le professionnel aura désormais le choix d'une reprise de poids sur la pièce ou sur le gros oeuvre selon les cas de montage.Le MCHM200, de forme oméga (double), est fixé en partie haute et/ou basse des épines dans le cadre d'une pose en tableau. Intégré dans le profil aluminium, il est totalement invisible. Il s'adapte au standard de chaque mur-rideau du marché.Le [+] réglementationLOUINEAU est le seul industriel à posséder un protocole d'essais de justification des pièces d'ancrage de façades légères validé par le CSTB sous la forme d'une ETPM, n°18/0057. Ce référentiel valide les résistances admissibles aux actions du poids, du vent et des effets sismiques ainsi que la méthode de justification associée. Valide jusqu'au 30 novembre 2023, l'ETPM est complémentaire aux Eurocodes et au DTU 33.1 relatif à la pose des éléments en façade.
Il y a 3 ans et 248 jours

Une application pour réussir le dimensionnement des Pac en maison

OUTIL. Le programme Profeel met à disposition des professionnels une application permettant de faciliter le dimensionnent des pompes à chaleur (Pac) en habitat individuel.
Il y a 3 ans et 248 jours

Remonter l'histoire de l'enseignement de l'architecture

Soutenu par le Comité d’histoire du ministère de la Culture et le service de l’architecture de la direction générale des patrimoines, le programme de recherche "Histoire de l'enseignement de l'architecture au XXe siècle" se clôture les jeudi 21 et vendredi 22 octobre 2021, par deux journées de colloque à […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 248 jours

A Caen, le Norway entre quai et pelouse selon VIB

L’agence parisienne VIB architecture (Bettina Ballus et Franck Vialet) a livré à Caen (Calvados), pour Sedelka Normandie maître d’ouvrage, le Norway, un programme mixte de 8 000 m² comptant 78 logements, commerces, locaux d’activité, parking et pavillon restaurant. Coût : 12 M€ HT. Un phare ? Communiqué. L’opération occupe une parcelle exceptionnelle à Caen, au droit du […] L’article A Caen, le Norway entre quai et pelouse selon VIB est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 251 jours

Rencontre avec Denis Roblin, Directeur Vente France – Cadwork

Denis Roblin fait une démonstration d’une extension de Cadwork, le logiciel spécialisé dans la construction bois, qui permet d’optimiser le chargement des camions. Le chargement des camions détermine l’ordre de pose des éléments, un chargement optimisé permet également de limiter le nombre de rotations des camions… Artibat 2021 / Intervenant : Denis Roblin, Directeur Vente France – Cadwork Interrogé par Stéphane Miget Voir les vidéos d’Artibat 2021
Il y a 3 ans et 251 jours

Expoprotection Sécurité 2021 remporte un franc succès

Cette audience, particulièrement ciblée, est venue découvrir les nouveautés présentées par les 167 offreurs de solutions présents contre 150 en 2019, soit une augmentation de 11%. En effet, véritable tremplin pour l'innovation, Expoprotection Sécurité a consacré, cette année encore, un large volet aux technologies, solutions et services développés par les exposants, dont certains ont été mis à l'honneur lors des Trophées Expoprotection Sécurité. Enfin, la formule hybride du salon a enregistré ses premiers résultats : près de 40% des visiteurs inscrits ont activé leur compte sur Expoprotection Sécurité Online.« Nous sommes évidemment très heureux du résultat enregistré par cette première édition d'Expoprotection Sécurité. Au-delà de l'ambiance « business » qui a marqué ces trois journées, je retiens que nous avons pu proposer une offre plus large mais surtout plus riche que sur APS 2019 en accueillant notamment la Cyberprévention et la Prévention et Protection Incendie à côté de l'offre Sûreté-Sécurité. En termes d'audience, les visites ont été équivalentes à 2019, malgré le contexte Covid, alors même que de nombreux visiteurs étrangers n'ont pas pu se rendre au salon du fait des restrictions de voyage encore en vigueur. A l'inverse, nous avons enregistré une croissance forte des visiteurs venus de province, qui souligne l'attractivité du salon et le besoin de reconnexion physique des acteurs sur un marché de la sécurité toujours très dynamique. En alternance avec Expoprotection, le salon de la prévention et de la maîtrise des risques qui se tient les années paires, Expoprotection Sécurité nous permet de proposer chaque année en France un rendez-vous de qualité, en phase avec les évolutions de la mission Sûreté-Sécurité », souligne Jean-François Sol Dourdin, Directeur du Salon.Une édition plébiscitée par les visiteursExpoprotection Sécurité 2021 s'installe d'emblée comme l'événement spécialisé référent de la filière Sûreté – Sécurité privée en France avec 167 exposants (en augmentation de 11% par rapport à l'édition d'APS précédente) et 6 400 visites. Une fréquentation qui n'a pas encore montré tout son potentiel du fait du contexte Covid, en particulier pour les nombreux visiteurs étrangers qui n'ont pas pu se rendre au salon cette année. En revanche, le visitorat français s'est mobilisé autour de l'événement, avec une participation forte des visiteurs de province qui représentent près de 40% du total, en hausse de 22%.En termes de segments, la répartition s'établit comme suit :63% d'intermédiaires professionnels : intégrateurs, installateurs, distributeurs, consultants et prestataires de services ;37% de clients finaux, très largement décideurs ou prescripteurs au sein de leur entreprise en matière d'achat d'équipements ou de services de sécurité.Première édition de la formule hybrideInnovant, Expoprotection Sécurité a proposé une formule hybride conjuguant expérience online et visite physique pour répondre aux attentes exprimées par les professionnels. Expoprotection Sécurité Physique + Online a offert une expérience de participation « augmentée » aux participants qui ont pu alterner et combiner à volonté : la visite physique, les rendez-vous d'affaires sur site ou en ligne, la participation aux conférences en présentiel ou à distance, des échanges directs à travers des groupes de discussion, des suggestions personnalisées d'offreurs et de solutions, des alertes en temps réel, etc., Ainsi, près de 3 000 messages y ont été échangés entre exposants et visiteurs tandis que 50% des rendez-vous « Connect » ont été réalisés en ligne.Un programme riche et completPendant 3 jours, le salon a proposé un programme riche et complet :Le Village Start-up a mis en avant huit jeunes pousses du secteur et les pépites entrepreneuriales de demain.L'Espace Cyberprévention a regroupé 10 exposants experts prêts à répondre à l'ensemble des questions des visiteurs et un programme de conférences dédiées à la thématique Cyberprévention.Le Village « Gestion de crise » a permis de répondre à tous les enjeux auxquels sont confrontées les organisations, afin de mieux protéger leurs collaborateurs et de garantir leur résilience.Un programme de plus de 40 conférences, sur le salon ou en live, sur Expoprotection Sécurité Online. Des conférences à retrouver en replay sur la plateforme jusqu'à fin décembre 2021.Le salon de l'innovationEpoprotection Sécurité 2021 a été l'occasion de distinguer et de mettre à l'honneur une sélection des solutions parmi les plus innovantes grâce au palmarès de ses Trophées. Réuni début septembre, un jury de 10 experts (directeurs sécurité-sûreté, responsables incendie…) a étudié les dossiers déposés par les exposants candidats et a désigné les 8 lauréats. Ces derniers ont été mis en vedette sur le salon à travers un parcours de visite « spécial Trophées de l'Innovation » permettant de découvrir et de voir lors de démonstration les solutions qui feront la sécurité de demain.Ils parlent de leur expérience sur Expoprotection Sécurité 2021…« Proximité - Efficacité – Qualité »« Nous n'avons que 2 ans d'existence et nous sommes très satisfaits de cette première expérience et, notamment, de la proximité avec les distributeurs qui pour une fois viennent à nous. Cela représente un précieux gain de temps et d'énergie, ajouté à cela la proximité avec les équipes d'organisation très efficaces et agréables. Nous reviendrons à la prochaine édition » Steve Tenneroni et Jean-Baptiste Dozolme, Co-Fondateurs – DOEMOS Plans de Sécurité Incendie« L'occasion d'entamer des collaborations qui durent dans le temps »« C'est une réussite avec près de 1 200 contacts enregistrés en 3 jours. Nous étions déjà présents sur APS 2017 et 2019 et il y a très clairement plus de monde qu'il y a 2 ans. Expoprotection Sécurité permet une convivialité avec les interlocuteurs et offre la possibilité de faire connaissance avec des gens qui ne sont pas toujours référencés dans certains groupements ou bases de données. De plus, débuter les rencontres sur le salon nous permet d'entamer des collaborations qui durent dans le temps » Philippe Leroux, Sales Manager - Smart SD« Nous sommes là depuis la création du salon ! »« Nous sommes très satisfaits ! Nous sommes un client historique, depuis la création du salon APS et aujourd'hui sur Expoprotection Sécurité. Nous avons reçu plus de 620 visiteurs sur 3 jours, des gens intéressants et intéressés par nos produits ». Justine Pauper Responsable Marketing – NEUTRONIC« Un emplacement judicieux – des contacts facilités »L'emplacement de notre stand juste devant l'entrée était particulièrement judicieux. Les clients venaient naturellement voir Spot, le petit chien robot d'Intuitive Robots, ce qui a facilité le contact avec les équipes qui ont ainsi pu faire connaître les autres partenaires technologiques du groupe. Nous avons pu présenter de manière optimale la convergence de nos systèmes de sécurité » Jean-Marie De Troy, Directeur Commercial France – HIKVISION
Il y a 3 ans et 251 jours

Journée nationale de la qualité de l'air : isoler son logement pour mieux respirer ?

A l’occasion de la journée mondiale de la qualité de l’air, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation par laine de roche dresse le bilan des solutions pour mieux construire tout en préservant la santé.Si la nécessité d’une meilleure qualité de l’air intérieur ne date pas de la crise sanitaire et mobilise depuis de nombreuse années les acteurs du bâtiment, il est désormais indispensable d’y associer des solutions efficaces, mais aussi plus durables. Selon la dernière enquête « DIAGNOSTIC BÂTIMENT SANTÉ » réalisée par l'association Bâtiment Santé Plus, avec la collaboration du Conseil national de l’Ordre des Architectes, 55 % des acteurs interrogés considèrent que la santé est la préoccupation numéro 1 à intégrer dans les projets et la conception des produits.«La qualité de l’air intérieur est maintenant reconnue comme un enjeu majeur de santé publique, car les concentrations de divers polluants 5 à 10 fois plus élevées à l’intérieur qu’à l’extérieur. Aussi, est-il important que les produits de construction ne soient pas des sources d’émission de polluants dans l’air en répondant aux exigences de la classe A+ de l’étiquetage obligatoire. Les laines minérales utilisées doivent avoir la certification EUCEB d’exonération de la classification cancérogène. Les produits en laine de roche ROCKWOOL satisfont à ces critères sanitaires. En outre, en raison de leur composition minérale, ils ne favorisent pas le développement de moisissures » souligne Suzanne Déoux, docteur en médecine, spécialiste ORL, Présidente de Bâtiment Santé Plus, fondatrice de MEDIECO et initiatrice de l’ingénierie de santé dans le cadre bâti et urbain.Santé et durabilité au cœur des solution ROCWOOLCes deux dimensions, santé et durabilité, sont le cœur des préoccupations de ROCKWOOL fabriquant des solutions en laine de roche engagé pour des bâtiments durables qui protègent la santé. En effet, la laine de roche est issue d’un matériau naturel, inépuisable et recyclable à l’infini, le basalte. « Il s’agit de l’une des solutions les plus efficaces et les plus durables en matière d’isolation thermo-acoustique. Des essais réalisés par des laboratoires indépendants ont pu ainsi démontrer que des laines de roche ROCKWOOL installées sur des bâtiments depuis plus de 55 ans ont conservé toutes leurs performances thermiques et mécaniques. Par ailleurs, les produits d’isolation en laine de roche ROCKWOOL sont très faiblement émetteurs de composés organiques volatils ce qui se traduit par une étiquette sanitaire A+ pour la grande majorité de nos produits d’isolation par l’intérieur » explique Colas Lévêque, Responsable Prescription Nationale chez ROCKWOOL France. Associés à une bonne ventilation, les matériaux isolants durables, tels que la laine de roche, contribuent à améliorer la qualité de l’air intérieur et donc à préserver la santé et le bien-être des occupants des bâtiments isolés avec ces matériaux. En effet, une bonne isolation contribue à réguler notamment l’humidité des pièces, dont le niveau à l’intérieur des bâtiments doit se situer entre 40 et 60 % pour que l’on observe une amélioration de la santé des personnes. La qualité de l'air intérieur arrive d’ailleurs en tête des préoccupations des acteurs du bâtiment (86 %) suivi de près par le confort thermique (65%) toujours selon l’enquête « DIAGNOSTIC BÂTIMENT SANTÉ ».Le recyclage des déchets participe aussi à la santé, car il permet de réduire les émissions de gaz à effet de serreLa laine de roche, étant recyclable à l’infini, ROCKWOOL va encore plus loin avec son programme ROCKCYCLE qui permet de collecter les chutes de laine de roche sur des chantiers neufs ou de rénovation ainsi que les plastiques d’emballage et les palettes ayant servi à livrer les produits. Les chutes de laine de roche sont utilisées en tant que matière première secondaire pour fabriquer de la laine de roche neuve. Les plastiques d’emballage sont transmis à des filières spécialisées pour leur recyclage et les palettes sont, soit réutilisées en l’état soit réparées dans un atelier dédié au sein de l’usine en vue de leur réutilisation.
Il y a 3 ans et 252 jours

" Le BIM permet de relever les défis de la transition énergétique et environnementale "

Dans le cadre des Trophées BIM d'Or, Emmanuel Di Giacomo, responsable du développement des écosystèmes BIM Europe d'Autodesk revient sur l'importance et les avancées de la maquette numérique en France. Pour lui, le BIM est un phénomène international qui permet de relever les défis de la transition énergétique et environnementale. Les Trophées du BIM d'OR sont un baromètre des projets BIM en France. Ils démontrent qu'en France, on a vraiment envie d'avancer dans le digital.
Il y a 3 ans et 252 jours

Une ambitieuse rénovation architecturale et muséographique à Orléans

La municipalité d’Orléans s’est engagée dans un vaste programme de modernisation pour son muséum créé en 1823, fermé en août 2015 et renommé MOBE (muséum d’Orléans pour la biodiversité et l’environnement) en 2017. Après 7 ans de travaux, il ouvre enfin ses portes. La réussite de ce triple chantier (architecture, muséographie, collections) consiste à immerger les visiteurs dans l’extraordinaire complexité de notre écosystème par un parcours de visite à la fois exigeant, accessible et élégant. En sus de leur restauration, l’informatisation en cours des 435 000 spécimens est un défi brillamment relevé afin de diffuser largement ces trésors nationaux. Source : Drac Centre-Val de Loire  
Il y a 3 ans et 253 jours

Un outil pour évaluer les îlots de chaleur urbains

Spacemaker, acquise en 2020 par Autodesk, propose désormais un outil permettant aux promoteurs immobiliers, urbanistes et architectes d'évaluer rapidement le confort thermique des espaces extérieurs, notamment les îlots de chaleur.
Il y a 3 ans et 253 jours

Les candidats à la présidentielle appelés à se positionner sur la question du nucléaire

"Le point crucial" sur lequel les candidats doivent se positionner, "ce n'est pas +pour ou contre le nucléaire+, mais +êtes-vous pour la construction de nouveaux réacteurs+", au moment où le parc nucléaire français vieillit, souligne auprès de l'AFP Daniel Boy, directeur de recherche au Cevipof.Dans ce débat sensible, les Français sont partagés: 51% se disent "favorables" à la construction de nouveaux réacteurs "dans les prochaines années", contre 49% qui affirment l'inverse, selon un sondage Ifop pour le JDD publié début octobre.Emmanuel Macron, lui, se positionne clairement: il présente mardi "France 2030", un plan de plusieurs dizaines de milliards d'euros, qui prévoit notamment la construction de petits réacteurs nucléaires dits SMR ("Small Modular Reactors").Après avoir programmé la fermeture progressive de douze réacteurs vieillissants, le chef de l'Etat compte ainsi réinvestir dans la filière, avec l'objectif d'une part du nucléaire réduite à 50% du "mix énergétique" d'ici à 2035, contre quelque 70% actuellement.Pour les écologistes, c'est niet."On ne va pas mettre de l'argent aujourd'hui dans des petits réacteurs qui seront disponibles dans au moins 20 ans, quand on aura gagné, ou perdu, la bataille du climat", a critiqué le candidat EELV Yannick Jadot lundi sur franceinfo.Sortie totale ou énergie "de transition"M. Jadot juge possible de sortir du nucléaire "en 20 ans", "progressivement", mais se dit "pragmatique" - "s'il faut mettre cinq ans de plus, on mettra cinq ans de plus" - et "parfaitement responsable" - "personne ne dit qu'on va fermer les centrales nucléaires demain".Il prône ainsi d'investir dans toute la palette des énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, hydraulique, géothermie, biomasse) et dans l'isolation des logements.Sur la même ligne, le candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon veut toutefois aller plus vite, estimant qu'un horizon 2030, "c'est trop long".Face aux dix années de retard et quelque 16 milliards d'euros de surcoûts du chantier de l'EPR de Flamanville (Manche), il compte abandonner ce type de projets ainsi que celui de "grand carénage" du parc existant (estimé à 40 milliards par EDF), au profit d'un bouquet énergétique "100% renouvelables" et d'une "sobriété dans la consommation" d'énergie.Les candidats Vert et LFI font figure d'exception dans les rangs de la gauche.Au Parti socialiste, Anne Hidalgo ne parle pas de sortir du nucléaire: sans plus de précisions, elle dit vouloir "aller beaucoup plus vite" que l'objectif de M. Macron à l'horizon 2035, ce qui "passe par le développement des énergies renouvelables".Le patron du PS Olivier Faure considère, lui, le nucléaire comme une énergie "de transition": à utiliser tant que les renouvelables ne sont pas en capacité de prendre complètement le relais de l'atome.Programme "digne de ce nom"L'ex-PS Arnaud Montebourg et le PCF Fabien Roussel prônent également un "mix énergétique" alliant nucléaire et renouvelables.Zéro émission de carbone, facture moindre pour les consommateurs, indépendance énergétique sont les arguments mis en avant par la droite, pro-nucléaire de longue date.Dans leur projet présidentiel, Les Républicains prônent d'"arrêter la fermeture des centrales nucléaires" et de "prolonger la durée de vie des réacteurs jusqu'à 60 ans". Des idées reprises par les candidats à l'investiture pour 2022.L'ex-LR Valérie Pécresse compte ainsi "accorder à EDF le lancement d'une série industrielle de six nouveaux EPR" et relancer "le projet de réacteur de 4e génération Astrid", tandis que Xavier Bertrand (ex-LR) promet un programme nucléaire "digne de ce nom", avec l'annonce "dès l'été 2022" de la construction de nouveaux réacteurs.Le LR Michel Barnier entend "réévaluer un certain nombre de décisions" comme "celle de fermer 12 réacteurs d'ici 2035".A l'extrême droite, Marine Le Pen a promis, si elle est élue, de lancer "immédiatement" la construction de trois nouveaux EPR" et le "grand carénage" du parc actuel de centrales.A droite comme à l'extrême droite, les éoliennes concentrent les critiques des candidats.
Il y a 3 ans et 253 jours

Focus sur le plan ambition bois construction 2030

La RE 2020 donne un avantage au matériau bois, la filière bois est prête à répondre aux questions du BTP concernant le bois dans la construction. 10 engagements sont pris dans le cadre du plan ambition bois construction 2030. Cependant, la filière est dépendante à environ 50 % du bois d’importation… La Bretagne a anticipé la situation avec un programme de plantation… Artibat 2021 / intervenant : Olivier Ferron – Délégué Général de FIBOIS Bretagne Interrogé par Stéphane Miget   « 1 / 3 »Focus sur le plan ambition bois construction 2030Industrialiser la rénovation énergétique, pourquoi ? Comment ?Tension sur les prix, pénurie de matériaux, à quand un retour à la normale ?Mettre en adéquation besoins des entreprises et formations« 1 / 3 » Voir les vidéos d’Artibat 2021  
Il y a 3 ans et 255 jours

Paris annonce des travaux resserrés par quartier afin de limiter les nuisances

Une centaine d'arbres plantés par quartier, des rues plus apaisées et accessibles: l'opération "embellir votre quartier" qui débutera fin 2021 vise, sans surprise compte tenu du programme de la maire PS Anne Hidalgo, à "végétaliser, piétonniser la ville", a expliqué à l'AFP Jacques Baudrier, l'adjoint (PCF) à la construction publique.Mais la "démarche" vise aussi à "éviter d'empoisonner la vie des Parisiens avec une succession de chantiers mal coordonnés", a indiqué le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire vendredi lors d'un point presse.Cette nouvelle "philosophie" est de "concentrer dans des fenêtres précises, au même endroit, des travaux" classiques de la ville, des concessionnaires (entretien des réseaux d'eau, gaz, chauffage urbain, téléphonie) et "les grands chantiers" déjà connus, afin d'offrir ensuite plusieurs années de tranquillité aux riverains, a assuré M. Grégoire.Parmi les 15.000 chantiers annuels que subissent les chaussées de la capitale - autant que les bâtiments -, selon M. Baudrier, 80% sont effectués par la douzaine de concessionnaires de la Ville (RATP, Enedis, GRDF, CPCU...) et 20% par la municipalité elle-même.Dans le premier mandat d'Anne Hidalgo (2014-2020), "chacun des acteurs, y compris les concessionnaires, définissait un programme de travaux annuel", ce qui pouvait occasionner différents travaux "quatre années de suite" pour un même trottoir, retrace l'élu communiste.Désormais, "il y a 17 quartiers de Paris où il y a beaucoup de travaux en ce moment et il n'y en aura plus pendant cinq ans", résume-t-il.Une enveloppe de 5,5 millions d'euros - 7 millions pour la vingtaine de quartiers définis comme "populaires" - est prévue pour chacun des 83 quartiers parisiens, découpés sur la base d'une échelle de 30.000 habitants.Les concertations publiques pour définir les chantiers prioritaires ont débuté fin 2020. Les maires d'arrondissement ont ensuite choisi leur premier quartier où concentrer ces travaux, validés en réunion publique.A la fin de son premier mandat, Anne Hidalgo, critiquée pour le nombre de chantiers en cours dans la capitale, avait reconnu une "gêne réelle". Ce qui ne l'a pas empêchée d'être largement réélue en juin 2020, avant de se lancer en septembre dans la course à la présidentielle.
Il y a 3 ans et 255 jours

Marseille présente son plan de rénovation des écoles à 1,2 milliard d’euros

Ce 11 octobre, le maire de Marseille, le socialiste Benoît Payan, a dévoilé le plan de rénovation des 470 écoles municipales qui respectera un même référentiel en termes de confort des élèves et enseignants ainsi que de qualité du bâti. Une société publique dédiée partagée avec l’Etat déroulera sur les neuf prochaines années ce programme représentant 1,2 milliard d’euros d’investissements et 600 000 m².
Il y a 3 ans et 255 jours

Patrimoine et Territoires au Salon International du Patrimoine Culturel 2021

La 26ème édition du Salon International du Patrimoine Culturel se tiendra du 28 au 31 octobre 2021, au Carrousel du Louvre à Paris. Près de 350 exposants, des professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine, associations de sauvegarde du patrimoine, fournisseurs du patrimoine bâti, collectivités locales, créateurs de nouvelles technologies et acteurs innovants, sont attendus. Le thème choisi : « Patrimoine et Territoires », résonne particulièrement dans la période actuelle, comme en témoignent le succès touristique rencontré par les territoires français habituellement peu fréquentés ou encore l’appétence accrue pour la consommation locale, durable et responsable dans laquelle s’inscrivent tout particulièrement les professionnels des métiers d’art et du patrimoine. Une riche programmation de conférences, démonstrations et remises de prix rythme les 4 jours de l’événement. Cette année, en plus du programme habituel, le Salon propose une série de nouveautés, comme l’exposition « Restaurons Notre-Dame ! » fruit d’un partenariat entre Ateliers d’Art de France d’une part, la Fédération des Compagnons du Tour de France et l’association Restaurons Notre-Dame, Le Forum du Patrimoine. Le Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine à l’occasion de l’Edition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel en 2020, a été reconduit pour l’édition 2021. Il prendra la forme d’un plateau télé TV au coeur du Salon. Il comprendra un programme exceptionnel de douze émissions – des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Ce format mêlant le présentiel et le digital avec une retransmission en ligne en léger différé, viendra compléter l’offre de conférences physiques du salon.
Il y a 3 ans et 255 jours

Territoires d'industrie : 209 relocalisations sur 1416 projets subventionnés

Lancé en novembre 2018, le programme Territoires d’industrie a permis de soutenir 1416 projets dans 146 bassins industriels. La Nouvelle-Aquitaine et l'Ile-de-France ne sont pas à plaindre.
Il y a 3 ans et 259 jours

Avec sa nouvelle stratégie digitale, l'OPPBTP veut être au plus près des professionnels

NUMÉRIQUE. Fiches pratiques, e-formations, actualités spécifiques à certains métiers... L'organisme professionnel de prévention du BTP déploie un vaste programme pour s'adapter aux nouveaux modes d'usages en ligne. Cela passe par la mise en relation de conseillers disponibles à distance.
Il y a 3 ans et 259 jours

Cébazat : un chantier d’assainissement impasse de la Chute et allée des Peupliers

L’opération s’inscrit dans un programme de travaux portant sur la modernisation et la mise en conformité du réseau d’assainissement du secteur nord de la ville.
Il y a 3 ans et 259 jours

Compiègne : restructuration de l’espace du Puy du Roy

L’état technique du bâtiment et le programme de reconfiguration de l’édifice du Puy du Roy feront l’objet d’études en 2022. Le début des travaux est prévu en 2024.
Il y a 3 ans et 259 jours

Paris lance son projet de végétalisation massive avec une première "forêt urbaine" à Montparnasse d'ici 2024

"D'ici 2024, on aura la première forêt urbaine sur la place de Catalogne, entièrement minérale aujourd'hui et qui va devenir beaucoup plus végétale", a déclaré l'adjoint en annonçant le début de la concertation "la semaine prochaine" sur ce projet.Parmi la dizaine de sites de la capitale encore à l'étude pour accueillir ces forêts urbaines, deux autres dossiers "sont plus avancés", a indiqué son entourage: le parvis de l'Hôtel de Ville et la place du Colonel-Fabien.Ces projets faisaient partie du programme, tourné vers l'écologie et une "végétalisation massive", de la maire de Paris Anne Hidalgo (socialiste) lors de sa campagne de réélection en 2020.Mme Hidalgo s'est lancée le 12 septembre dans la course à la présidentielle française d'avril.Le dossier du parvis de l'Hôtel de Ville, "plus complexe", "reviendra dans quelques mois", a promis M. Najdovksi, dont l'équipe a assuré qu'il pourrait être tenu pour 2024.Le projet initial consistait à remettre en terre tout le premier niveau du parking souterrain mais "si on devait planter sur le parvis, là où se situe aujourd'hui le parking, on ne serait pas dans un objectif de 2024", a dit l'adjoint qui privilégie les plantations en pleine terre "sur les côtés" du parvis.M. Najdovski était interrogé en marge de la présentation de son Plan arbre, dont l'un des objectifs est d'aboutir à la plantation d'environ 156.000 arbres supplémentaires - 170.000 nouvelles plantations, dont 14.000 arbres abattus et replantés - à Paris d'ici la fin du mandat en 2026, une autre promesse de campagne.
Il y a 3 ans et 259 jours

La Ferme du rail, un programme mixte et solidaire sur la petite ceinture parisienne, par Grand Huit

Installée le long de la Petite Ceinture de Paris, dans le XIXe arrondissement, la Ferme du rail est un programme mixte articulé autour de l'agriculture urbaine, fruit de cinq années de concertation entre la maîtrise d'ouvrage, les futurs exploitants et la Scop d'architecture Grand Huit. Solidaire, il vise l'insertion de personnes […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 260 jours

Avec Spacemaker, l'analyse climatique au secours des projets d'urbanisme

Après deux ans de recherche, la filiale d’Autodesk, Spacemaker lance "Climate analysis", un outil de simulation des conditions météorologiques et des températures ressenties localement.
Il y a 3 ans et 260 jours

Découvrez les 5 axes du nouveau plan stratégique de Saint-Gobain

STRATÉGIE. Après le plan "Transform and grow" (2018-2020), le géant français des matériaux de construction, Saint-Gobain, lance un nouveau plan baptisé "Grow and Impact" (2021-2025). Au coeur de ce programme, la rentabilité et la durabilité.
Il y a 3 ans et 260 jours

La première forêt urbaine parisienne verra le jour à Montparnasse

ENVIRONNEMENT. La maire de Paris Anne Hidalgo déploie un vaste programme de végétalisation de la capitale. D'ici 2026, 170.000 arbres seront plantés.
Il y a 3 ans et 260 jours

RénoStandard, des solutions de rénovation globale optimisées pour les maisons individuelles

Pour faciliter la rénovation globale de maisons individuelles en secteur diffus, le CSTB pilote le projet grâce à des solutions standardisées. « Les maisons individuelles standardisées peuvent être réhabilitées grâce à une offre de solutions globale » : c'est la conviction des porteurs de RénoStandard, l'un des neuf projets développés dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer et accompagner l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 260 jours

Référence : Louis Arretche, bâtisseur prolifique et pluriel

L’architecte Vincenzo Amantea est décédé fin aout 2021, à l’âge de 61 ans. Il a été chef d'agence et associé au sein du studio de Massimiliano Fuksas, et travaillait en son nom depuis 2004. Vincenzo Amantea avait obtenu son diplôme d’architecte à l’Université de Reggio Calabria, en Italie, en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 261 jours

Les Journées nationales de l'architecture se réinventent pour leur sixième édition

GRAND PUBLIC. À quelques jours des Journées nationales de l'architecture, le gouvernement dévoile le programme complet de cet événement exceptionnel. Depuis cinq ans, le ministère de la Culture se donne pour mission de rendre ce domaine accessible au plus grand nombre à travers les réseaux d'architecture existants et des sites patrimoniaux.
Il y a 3 ans et 262 jours

La soutenabilité financière de MaPrimeRénov’ n’est pas avérée

La Cour des comptes a publié un audit sur le dispositif MaPrimeRénov’, programme d’aide à la rénovation énergétique des logements mis en place pour atteindre les objectifs nationaux en matière…Cet article La soutenabilité financière de MaPrimeRénov’ n’est pas avérée est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 262 jours

Oknoplast offre à ses partenaires premium l'accès à la Certification « QB service pose de fenêtres » du CSTB

Les certifications du CSTB ont pour vocation première de valoriser la qualité sur le marché. « Ceci en premier lieux aux yeux des professionnels, mais aussi avec pour objectif de sensibiliser les particuliers sur le gage de qualité et de sécurité supplémentaire dont ils bénéficieront en choisissant un partenaire revendeur disposant d'une certification CSTB » comme l'évoque Romain Somet, directeur commercial OKNOPLAST.Forcé de constater que plus de 50% de la non-qualité révélée sur les chantiers en France est la conséquence d'une mauvaise mise en oeuvre, OKNOPLAST souhaitait plus que tout accompagner ses clients sur la valorisation de leurs compétences et expertises qui ont loué notre confiance. Les particuliers auront ainsi la garantie de choisir une entreprise fiable, qui dispose de personnel formé régulièrement aux règles de l'art, dont les compétences sont évaluées et dont l'organisation est auditée par le CSTB.Une démarche volontaire de l'entrepriseLes Partenaires Premium OKNOPLAST ont tous été conviés à l'occasion du salon Equipbaie, qui se déroulait à Paris du 21 au 24 septembre 2021, pour venir assister à une présentation de ce nouveau partenariat. Au cours de cette rencontre avec les équipes du CSTB, 2 axes d'accompagnement de la certification QB Service pose de fenêtres ont été présentés : la formation des équipes de pose et le diagnostic de l'organisation interne pour assurer la qualité de service. L'objectif est de venir accompagner les différents corps de métier afin d'avoir une organisation harmonieuse et équilibrée. En accédant à cette certification, nos partenaires premium auront toutes les cartes en main pour valoriser leur entreprise et les compétences de leurs collaborateurs.OKNOPLAST est fier d'être parmi les premiers réseaux à entamer cette démarche de certification en France. Tous les partenaires premium OKNOPLAST seront ainsi accompagnés dans ce programme au cours de l'année 2022, ainsi que chaque nouvel arrivant.
Il y a 3 ans et 262 jours

Des façades plus contemporaines et performantes pour une résidence des années 60

La résidence de la Saussaie, à Thiais (Val-de-Marne), vient de connaître une rénovation énergétique qui apporte à ses locataires plus de confort et la satisfaction d'habiter un immeuble à l'aspect redynamisé et plus contemporain.Propriété du bailleur social francilien Immobilière du Moulin Vert (SAIMV), cet immeuble R+4 abrite soixante logements desservis par quatre cages d'escaliers. Construit dans les années 1960 en pierre naturelle, il a déjà bénéficié du remplacement de ses menuiseries extérieures mais aucune isolation des murs de façade n'a été réalisée. Il présente une étiquette énergétique E (consommation de 231 à 330 kWh/m2 an). L'objectif est d'atteindre le niveau C (91 à 150 kWh/m2 an).Objectif énergétique ambitieuxCette intervention est réalisée dans le cadre d'un plan lancé en 2014 par cette entreprise sociale pour l'habitat. « L'objectif était d'amener l'ensemble de notre parc de 9 000 logements à l'étiquette énergétique C, explique Pierre Bainson, responsable patrimoine et proximité de SAIMV. Le but est aujourd'hui atteint à 90% ».Le programme des travaux comprend la réalisation d'une isolation thermique par l'extérieur, le remplacement des chauffe-eaux individuels par le raccordement à la chaufferie collective et la réfection des systèmes de ventilation dans les logements.Un jeu de teintes subtilC'est à ECI Management, dirigée par Alexandrin Chorao, qu'est confiée la maîtrise d'œuvre de l'opération. Pour donner une image plus contemporaine au bâtiment, l'architecte propose de réaliser une isolation thermique extérieure revêtue d'un enduit lisse beige clair. Les fenêtres sont soulignées par des cadres en tôle d'aluminium laqué pliée de teinte grise ou, aléatoirement, de couleur rouge. « Ces pastilles de couleur viennent dynamiser la façade », expose Alexandrin Chorao. Les façades des halls d'entrée, en décrochement, sont marquées par une couleur grise qui se prolonge sur le soubassement, lui-même séparé de l'enduit beige par une large bande blanche.Assistance au démarrage de chantierLorsqu'elle se voit attribuer le lot façades, la société FPRS Maillard se tourne vers Sto, son fournisseur favori, pour l'aider à choisir les produits les mieux adaptés. Les solutions préconisées par la chargée d'affaires de Sto sont l'ITE StoTherm Mineral 1 avec finition Stolit K1 teinté (référence 31437) pour les parties courantes et le système de bardage StoVentec R avec finition Stolit Milano poncé à l'aspect béton pour les halls d'entrée. Avant de démarrer le chantier, des tests d'arrachement sur la pierre sont effectués afin de choisir les chevilles les mieux adaptées à ce support.Des témoins des deux types de revêtements sont réalisés et validés par l'architecte. Les travaux peuvent ensuite commencer, avec l'assistance d'un technicien Sto. L'opération est réalisée en deux tranches, d'abord une moitié d'immeuble sur ses deux faces puis l'autre moitié pour gêner le moins longtemps possible les locataires des logements traversants.Enduit aspect bétonLes panneaux de laine de roche de 140 mm d'épaisseur de l'ITE sont calés et chevillés sur le mur de façade. L'enduit de base StoLevell Uni blanc est posé manuellement, à la taloche, et une trame en fibre de verre est marouflée dans cet enduit. L'enduit de parement teinté Stolit K1 est ensuite appliqué avec une finition talochée. Les garde-corps existants, conservés, ont été déposés avant la réalisation de l'ITE et leurs pattes de fixation rallongées avant de les refixer sur la façade.L'habillage des avancées des halls d'entrée est réalisé au moyen du bardage ventilé StoVentec R. Les panneaux de billes de verre expansé supports de l'enduit sont fixés sur une ossature verticale en chevrons de bois eux-mêmes chevillés directement sur le support en béton. Les panneaux reçoivent après leur pose un sous-enduit mince à base de liant organique ou minéral, armé d'un treillis de fibre de verre. La finition est assurée par un enduit à l'aspect de béton. Il s'agit du Stolit Milano, appliqué à la spatule en plusieurs étapes, à la manière d'un stucco. Une couche de Stolit K1 est d'abord appliquée. Après séchage, l'enduit Stolit Milano est à son tour posé en raclant légèrement dans toutes les directions. Les jours suivants, lorsque la surface est bien sèche, on procède au ponçage.Les locataires sont aujourd'hui satisfaits. Ils habitent un immeuble aux façades plus contemporaines et ils vont voir leurs charges de chauffage réduites. Quant à l'architecte, il estime avoir réussi à réaliser une façade esthétique et performante pour un budget limité : « Nous avons uniformisé la façade qui comporte de nombreuses baies tout en la dynamisant avec les encadrements de fenêtres en relief et colorées de rouge aléatoirement. Le tout avec assez peu de moyens. » Fiche techniqueType de bâtiment : réhabilitation de logements collectifsLocalisation : 103-107 rue de la Saussaie, 94320 ThiaisSurface de façade traitée : environ 2 000 m2 Maître d'ouvrage : Société Immobilière du Moulin Vert (SAIMV)Maître d'œuvre : ECI Management, Alexandrin ChoraoEntreprise applicatrice : FPRS MaillardDate de livraison : 2021Solutions utilisées : ITE StoTherm Mineral 1 finition Stolit K1 teinté, bardage ventilé StoVentec R finition Stolit Milano aspect béton, peinture StoColor Jumbosil
Il y a 3 ans et 264 jours

Le Centre socio-culturel de Cabrières, architecture de Combas

L’agence niçoise Atelier Combas Architectes (Sophie Delage, Pierre Le Quer, Mathieu Grenier, Éric Grenier) a livré en novembre 2020 le nouveau Centre socio-culturel de Cabrières (Gard). A programme simple (salle polyvalente de 300 places, aménagement d’un parvis, 560 m², 1,12 M€ HT), sculpture élémentaire ? Communiqué. Paysage tellurique Implanté sur les coteaux d’un massif situé à […] L’article Le Centre socio-culturel de Cabrières, architecture de Combas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 264 jours

L'administration Biden mise gros sur l'énergie solaire aux États-Unis

En 2020, les panneaux photovoltaïques et les centrales solaires thermiques ont produit un peu moins de 80 gigawatts (GW) aux Etats-Unis, soit de quoi répondre à 3% de la demande en électricité du pays.Pour atteindre les ambitions présentées dans un rapport du ministère de l'Energie mercredi, il faudrait quadrupler le déploiement de l'énergie solaire en moins de dix ans: en l'augmentant de 15 GW en 2020 à 30 GW chaque année d'ici 2025, puis à 60 GW par an entre 2025 et 2030.Cela nécessite "des réductions de coûts importantes", "le soutien des politiques publiques" et "une électrification à grande échelle" de l'énergie solaire, a reconnu le ministère.Le réseau électrique, initialement plutôt conçu pour les centrales à charbon, à gaz ou nucléaire, doit notamment fortement évoluer pour s'adapter à l'énergie intermittente du soleil.Et les Etats-Unis doivent compter sur des panneaux solaires fabriqués en grande partie en Chine.Électricité propre en 2035L'administration de Joe Biden souhaite que l'électricité ne soit plus, dans son ensemble, une source d'émissions polluantes d'ici 2035 et mise pour ce faire sur les vastes plans d'investissement dans les infrastructures encore en discussion au Congrès.Dans son arsenal de mesures, le président américain compte aussi sur l'énergie du vent et a donné son impulsion à plusieurs grands projets d'éoliennes en mer.Mais le rapport diffusé mercredi "met en lumière le fait que l'énergie solaire, notre source d'énergie propre la moins chère et à la croissance la plus rapide, pourrait produire suffisamment d'électricité pour alimenter toutes les maisons aux Etats-Unis d'ici 2035 et employer dans le même temps jusqu'à 1,5 million de personnes", a commenté la ministre de l'Energie, Jennifer Granholm, dans un communiqué.Cela "nécessite un déploiement massif et équitable d'énergies renouvelables et de solides politiques de décarbonation - exactement ce qui est énoncé dans la loi soutenue par les deux partis sur l'investissement dans les infrastructures et l'emploi et dans le programme +Build Back Better+ ("Reconstruire en mieux") du président Biden", a-t-elle ajouté.Selon le scénario développé par ses services, l'énergie solaire représenterait 37% de l'électricité en 2035, le reste étant fourni par l'énergie éolienne (36%), l'énergie nucléaire (11%-13%), l'énergie hydroélectrique (5%- 6%), la biomasse et la géothermie (1%).Il s'agirait d'un tournant majeur par rapport au schéma actuel: en 2020, l'énergie renouvelable fournissait 21% de l'électricité aux Etats-Unis, le reste étant produit par le gaz naturel (40%), le nucléaire (20%) et le charbon (19%).Crédits d'impôtDans une lettre adressée aux responsables politiques, près de 750 entreprises du secteur de l'énergie solaire ont insisté sur la nécessité d'étendre les politiques de soutien en place et de les installer sur le long terme.Quadrupler le rythme actuel des installations d'ici 2030 représente "une course contre la montre", affirment-ils en demandant notamment un renforcement de l'actuel crédit d'impôt sur les investissements dans le solaire.En visite mardi dans le New Jersey et à New York pour évaluer les dégâts de la meurtrière tempête Ida, le locataire de la Maison Blanche a une nouvelle fois appelé à agir sans tarder contre le changement climatique, en particulier pour adapter les infrastructures vieillissantes à la multiplication redoutée d'événements météorologiques extrêmes.Pour le spécialiste du secteur énergétique Dan Pickering, les objectifs fixés mercredi par l'administration sont plus "une source d'inspiration" que des ambitions "pragmatiques"."Des milliers de milliards de dollars vont être dépensés pour tenter d'y parvenir. Il est absolument essentiel de fixer un cap de façon efficace", a-t-il estimé sur Twitter.L'ONG environnementale NRDC a pour sa part, sur le réseau social, "exhorté le Congrès à financer entièrement les investissements dans l'électricité propre dans le processus budgétaire actuel pour faire de ce plan une réalité".
Il y a 3 ans et 265 jours

La Cour des comptes salue le succès de MaPrimeRénov' mais note des points d'améliorations

OBSERVATIONS. Une procédure d'audit accéléré de la Cour des comptes conclut au succès de la mise en place de MaPrimeRénov' mais conseille aussi au gouvernement de faire évaluer l'efficacité énergétique du programme. Quelques recommandations sont émises à ce sujet.
Il y a 3 ans et 265 jours

Enseignement de la CAO : Les compagnons du Tour de France sur ZWCAD (interview)

La structure des Compagnons du Tour de France à Mouchard accueille des jeunes compagnons dès l’âge de 14 ans pour les former. Même si les formations sont intenses, les jeunes montrent beaucoup de motivation et gagnent en autonomie. Le taux de réussite est d’ailleurs proches de 100 % !Les jeunes Compagnons ont pu apprendre la Conception Assistée par Ordinateur avec le logiciel ZWCAD, alternative d’AutoCAD®. Même pour ceux qui n’avaient jamais travaillé en CAO-DAO, l’utilisation du logiciel ZWCAD s’est avérée simple et intuitive.Retrouvez l’interview de Mr Cavenne, plombier, formateur aux Compagnons du Tour de France.Vous en apprendrez plus sur le compagnonnage, le profil des jeune compagnons, leur expérience, l’établissement à Mouchard, les exercices réalisés sur ZWCAD par les élèves et sur les licences éducation (licences gratuites).En savoir plus.
Il y a 3 ans et 266 jours

La Cour des comptes fait un premier bilan du dispositif « MaPrimeRénov' » déployé par l'Anah

Le programme vise la rénovation de 500 000 logements par an et s'est en conséquence ouvert, depuis 2021, à la quasi-totalité des propriétaires qui peuvent recevoir une aide dégressive selon leur niveau de revenu. Le pilotage du programme est confié à l'Agence nationale de l'habitat (Anah). Ce dispositif est financé jusqu'en 2022 à hauteur de 2 Md€ dans le cadre du plan de relance. La procédure accélérée – « flash » – d'analyse du déploiement de cette nouvelle mesure d'aide publique permet de poser des constats et observations utiles à la poursuite de la politique d'aide à la rénovation thermique au regard de l'importance des enjeux de rénovation énergétique et des moyens déployés.La massification de la rénovation énergétique : un nouveau modèleLa mise en place du dispositif MaPrimeRénov' s'inscrit dans une dynamique de relèvement des ambitions de rénovation thermique par les pouvoirs publics. Contrairement aux dispositifs antérieurs, notamment le programme « Habiter mieux agilité », les aides de MaPrimeRénov' ne visent pas prioritairement à réduire la précarité énergétique des propriétaires très modestes, mais à soutenir plus largement la rénovation énergétique. En créant ce dispositif, l'Etat a ainsi privilégié l'incitation par des subventions plutôt que par des allègements d'impôt, conformément aux recommandations formulées à plusieurs reprises par la Cour[1], qui y voit des instruments plus efficients et mieux suivis.Une mise en œuvre réussie qui pose des questions budgétaires et opérationnellesLe démarrage du dispositif a été probant et contrôlé. Avec 574 000 dossiers déposés et près de 300 000 financés en un peu plus d'un an, pour un montant de primes de 862 M€, le programme MaPrimeRénov' répond bien aux objectifs de massification de la rénovation énergétique et son déploiement peut être considéré comme réussi. Cependant, sa soutenabilité financière n'est pas avérée. Le coût budgétaire du dispositif, à son lancement, avait en effet été mal évalué, ce qui a nécessité plusieurs réajustements à la hausse en cours d'année 2020. Ensuite, si l'objectif de massification est très perceptible, la vérification de la qualité et de l'efficacité des travaux en matière de lutte contre les passoires thermiques et la précarité énergétique n'est pas assurée. Le débat entre les tenants de la massification, qui permet d'espérer un premier geste de travaux en appelant d'autres, et ceux d'une approche plus exigeante sur le plan des gains d'énergie et de l'objectif social de réduction de la précarité énergétique devra trouver une réponse publique équilibrée.Vers une évaluation de politique publiqueUne évaluation, au plus tard en 2023 et à laquelle la Cour serait susceptible de contribuer, sera nécessaire pour apprécier le flux réel des aides et des travaux réalisés, la simplicité et la rapidité d'instruction et de versement, ainsi que l'efficience énergétique, sociale et en matière de qualité de l'air du programme MaPrimeRénov'.[1] Cour des comptes, L'efficience des dépenses fiscales relatives au développement durable, communication à la commission des finances du Sénat, septembre 2016.
Il y a 3 ans et 266 jours

Suspension DPE : point de vue de Denis Mora, président du groupe AC Environnement

Une annonce brutale du Gouvernement en contradiction avec sa volonté au début de l’été de déployer coûte que coûte le nouveau DPE dès le 1er juillet dernier alors que pour la majorité des professionnels du diagnostic immobilier, les logiciels de calcul n’étaient pas fiables. AC Environnement était d’ailleurs favorable au report sine die de l’application de la loi au 1er juillet, estimant qu’il fallait plus de temps à la filière et surtout aux développeurs de logiciels pour mettre en place la nouvelle méthode de calcul.La décision de ce début d’automne prise par le Gouvernement pénalise ouvertement les vendeurs de logements d’avant 1975, à commencer par tous ceux qui ont mené des transactions depuis le 1er juillet. Qu’en sera-t-il de leur vente ? Verront-ils les acquéreurs la contester si le DPE ne correspond pas à la réalité des performances énergétiques du logement ?Elle démontre sa méconnaissance du métier de diagnostiqueur et de la profession qui se trouve elle aussi pénalisée. En effet, les conséquences sont colossales sur les plans juridiques (recrudescence de litiges potentiels), financières (pertes de chiffres d’affaires et de rentabilité) et économiques d’un arrêt de la production de DPE pour les biens d’avant 1975.Une fois encore, les diagnostiqueurs se retrouvent entre le marteau (le Ministère de la Transition Ecologique) et l’enclume (les clients), alors même qu’ils subissent depuis plusieurs semaines les approximations de la réforme du DPE 2021… Au cours des derniers mois, les diagnostiqueurs, les entreprises et leurs collaborateurs ont investi un temps considérable en formation, en adaptation de leur système de calcul des DPE et ont mené leurs missions de manière très professionnelle, respectant scrupuleusement toutes les directives qui leur ont été imposées, pour satisfaire au mieux leurs clients.Sur la forme, AC Environnement déplore le manque de communication et d’écoute. La profession a été prise au dépourvu et mise devant le fait accompli par cette annonce en catimini en fin de semaine, sans concertation avec les diagnostiqueurs. Or, tous les professionnels le savent : nous ne pouvons pas arrêter du jour au lendemain la production de nos rapports sous peine de mettre en difficulté nos clients, nos hommes et notre réputation. Quant à nos partenaires notaires, comment pourraient-ils suivre cette recommandation alors que cette décision n’a pas force de loi ? Nous partageons pleinement leur analyse et leur posture.Dans ce contexte, AC Environnent décide de poursuivre la production de ses DPE et proposera à ses clients une réactualisation gratuite le cas échéant.La méthode 3CL, et plus particulièrement le moteur de calcul DPE fourni par le gouvernement aux éditeurs de logiciel depuis le 1er juillet dernier, a subi de très nombreuses modifications, changeant en profondeur les résultats pour certains cas. A chaque évolution, AC environnement a su maintenir la continuité et la fiabilité du calcul malgré les évolutions. AC environnement a même actualisé les DPE réalisés antérieurement à la date du 1er juillet 2021, au prix d’efforts douloureux pour nos équipes. Chez AC environnement, nous sommes donc capables de continuer à produire des DPE, même sur les biens d’avant 1975 et de garantir au client que son DPE pourra être réactualisé gratuitement, sans déplacement, en cas d’évolution de méthode à venir (sous réserve que l’évolution de la méthode ne contienne pas de nouvelles valeurs non relevées lors de notre intervention initiale). Nous allons intégrer au plus vite dans nos rapports une phrase de réserve indiquant que, du fait de la position du Ministère de la Transition Ecologique dans son communiqué de presse, notre DPE perd son caractère opposable et n’a qu’une valeur informative. Son utilisation dans le cadre d’une vente ou d’une mise en location est de la seule responsabilité du propriétaire et/ou du notaire. Nous ajouterons aussi que nous nous tenons à disposition du client pour modifier son DPE en cas d’évolution de la méthode 3CL. Nous avons conscience que la question du DPE est une source de tensions et d’incertitudes pour l’ensemble des professionnels du diagnostic immobilier. AC Environnement et la filière du diagnostic en entier, sont déterminés à sortir rapidement de cette période instable pour tous les professionnels : diagnostiqueurs, agents immobiliers, notaires… et exploitants du bâtiment.Tribune de Denis Mora, Président du groupe AC Environnement (Linkedin)