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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

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Il y a 3 ans et 349 jours

Groupe scolaire René Beauverie : Imbrications azurées

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine En fonction du temps, les couleurs évoluent donnant ainsi un mouvement au bâtiment. [©Eugeni Pons] Lorsque les nuages se dispersent et que le bleu du ciel couve Vaulx-en-Velin (69), le groupe scolaire René Beauverie se confond avec l’azur. Le bâtiment aux multiples fonctions attire le regard avec son camaïeu de bleus. Tantôt intenses, presque hypnotiques, tantôt douces et apaisantes, les couleurs sont assumées et s’adaptent à la lumière. Des blancs et des gris viennent çà et là rehausser l’ensemble, comme autant de points lumineux. Changeantes au gré du temps, ces teintes donnent une impression de mouvement au bâtiment.  Les façades du groupe scolaire sont ponctuées d’éléments blancs et gris. [©Eugeni Pons] Habituée des programmes publics, l’agence Dominique Coulon & associés en est le maître d’œuvre. « Vaulx-en-Velin est une ville en devenir et le lieu d’implantation du projet est en pleine reconversion, explique l’architecte Dominique Coulon. Sur une parcelle réduite, ce programme n’est pas seulement un groupe scolaire. Il rassemble une salle de sport, une bibliothèque, une salle de danse, des classes, une crèche, un restaurant scolaire… C’est un programme imbriqué avec différentes échelles et espaces. Il est aussi tourné vers les habitants du secteur. Le bâtiment apparaît comme une masse creusée. Les différents patios et cours irriguent de lumière naturelle le cœur du bâtiment et lui donnent une échelle intérieure assez douce. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 349 jours

Projet Lilitegia : reconversion du site de Trikaldi avec la construction de 174 logements

À Saint-Jean-de-Luz, 174 logements verront le jour dans le cadre du programme immobilier Lilitegia.
Il y a 3 ans et 350 jours

Feu vert du Sénat à un texte visant à renforcer la prévention en santé au travail

Députés et sénateurs vont tenter de s'accorder sur un texte commun, dans l'objectif d'une adoption définitive avant la fin du mois. En cas d'échec, l'Assemblée nationale, qui l'a adopté en première lecture en février, aura le dernier mot.Le texte est principalement la traduction d'un accord national interprofessionnel (ANI), le premier du genre sur le sujet, signé le 9 décembre dernier, afin de relancer une réforme reportée depuis des années. Parent pauvre des politiques publiques, le secteur est revenu sous les projecteurs avec l'épidémie de Covid-19.La proposition de loi prévoit une "offre socle" supposée plus accessible aux services de santé au travail (SST), qui deviennent des services de prévention et de santé au travail (SPST).Elle entérine, sur la base du volontariat, le recours aux médecins généralistes, appelés "médecins praticiens correspondants" pour pallier la pénurie de médecins du travail. Il sont environ 5.000 pour 18 millions de salariés, selon les données officielles.Autre mesure phare: le médecin du travail pourra consulter le dossier médical partagé (DMP) avec l'accord du salarié.Pour la corapporteure Pascale Gruny (LR), le texte "répond à un enjeu majeur: le renforcement de la prévention primaire". "Il est une reconnaissance -enfin!- de la contribution de la santé au travail à la santé publique", a déclaré le centriste Olivier Henno.Parmi les modifications apportées, les sénateurs ont prévu de maintenir l'obligation d'élaborer un programme annuel de prévention des risques professionnels et d'amélioration des conditions de travail pour les seules entreprises de plus de 50 salariés.Ils ont encadré le recours au médecin correspondant et prévu, à titre expérimental, une extension du droit de prescription du médecin du travail. La gauche a ferraillé sur ce texte qui, selon Émilienne Poumirol (PS), "ne répond pas à la pénurie de médecins du travail".Pour Cathy Apourceau-Poly (CRCE à majorité communiste), "cette proposition de loi LREM est un leurre. Rien sur la pénibilité, sur le temps de travail, le travail de nuit, la prévention des violences sexuelles". Elle "marque une dégradation des services de santé au travail", a accusé l'écologiste Raymonde Poncet Monge.
Il y a 3 ans et 351 jours

Le gouvernement annonce une aide de 15 millions d'euros pour accompagner la transition écologique des PME, artisans et indépendants

L’accélération de la transition écologique, l’une des 3 priorités de France Relance, est un enjeu collectif majeur et une opportunité pour, notamment, les TPE et les PME. Afin de les accompagner dans leur transition, les TPE et PME pourront, grâce à France Relance, bénéficier d’un diagnostic individuel gratuit réalisé par un conseiller d’une Chambre des métiers et de l’artisanat (CMA) ou d’une Chambre de commerce et d’industrie (CCI) pour mesurer la maturité écologique de l’entreprise dont découlera un plan d’actions concret que l’entreprise pourra mettre en oeuvre.Les entreprises qui souhaitent bénéficier d’une aide plus approfondie à la mise en oeuvre de ces préconisations, pourront être accompagnées pour concrétiser les actions et valoriser leurs démarches, par exemple :Dans la recherche d’un financement (investissement, étude, formation),Dans l’optimisation de leur mode de production ou de fonctionnement (énergie, locaux, matières premières, déchets, eau, mobilité)Pour engager une démarche de reconnaissance environnementale individuelle ou collective (label Envol, Imprim’vert, Eco-défis, Répar’acteurs…).Grâce aux 15 millions d’euros alloués par France Relance, les réseaux des CCI et des CMA France réaliseront 35.000 diagnostics et 10.000 actions d’accompagnement dans le cadre de ce dispositif exceptionnel. Un comité de pilotage composé de la Direction générale des entreprises, du Commissariat général au développement durable, de l’ADEME ainsi que des deux réseaux consulaires sera mis en place. Ce dispositif vient en complément des mesures pour la transition écologique des TPE et PME déjà mises en oeuvre dans le cadre de France Relance.A cette occasion, Barbara Pompili a déclaré : « Les entreprises qui réussiront demain sont celles qui auront intégré suffisamment tôt les enjeux de la transition écologique dans leur stratégie. Avec France Relance, nous accompagnons massivement les chefs d’entreprises dans cette transformation, à tous les stades de leur réflexion : diagnostic, études, soutien aux investissements. »Alain Griset a déclaré : « La transition écologique, enjeu majeur pour notre économie, s’est aussi imposée comme une nécessité pour une croissance responsable des TPE et PME. Je me réjouis de lancer ce dispositif de France Relance, qui permettra de sensibiliser mais surtout d’accompagner les chefs d’entreprise dans leur transition, avec à la clé un plan d’action individualisé et adapté à leurs activités. »Pierre Goguet, président de CCI France a déclaré : « Dessinons collectivement les contours d’une économie plus durable et responsable ! Participons ensemble à la dynamique économique du pays avec ce dispositif France Relance. Pour cela, le réseau des CCI s’engage auprès de l’État pour renforcer sa mobilisation au profit des TPE PME. En tant que partenaire de proximité dans les territoires, les CCI sont aux côtés des chefs d’entreprise pour les sensibiliser, les soutenir et les accompagner dans leur transition écologique. Ensemble, relevons le défi et bâtissons une économie plus verte ».Joël Fourny, président de CMA France a déclaré : « Beaucoup d’entreprises artisanales sont, parfois sans le savoir, des acteurs concrets et efficaces du développement durable et du respect de l’environnement. Circuit de proximité pour les approvisionnements, réduction des emballages, lutte contre le gaspillage alimentaire, rénovation énergétique des bâtiments, réduction des consommations d’énergie par la domotique, activités de réparation permettant de réduire l’achat de produits importés…, toutefois nous devons aller plus loin dans notre rôle d’ambassadeurs de l’économie verte, durable et circulaire. Grâce à ce programme ambitieux et innovant, l’objectif du réseau des CMA est bien d’accompagner sur les territoires une nouvelle dynamique vertueuse à grande échelle et ainsi démontrer qu’il est possible de concilier enjeu écologique, intérêts économiques et développement des entreprises artisanales ».
Il y a 3 ans et 351 jours

Caserne de Reuilly : Le rouge comme marqueur urbain

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Les corniches fines d’étages, comme celles, plus marquées, des toits sont en correspondance entre les différents bâtiments. [©ACPresse] Sise au cœur du XIIearrondissement parisien, la caserne de Reuilly a connu deux vies. La première, aujourd’hui achevée, fut militaire et dura pas loin de deux siècles. Auparavant, le site avait même accueilli la Manufacture royale des glaces et miroirs, devenue, plus tard, Saint-Gobain… La seconde vie de la casernedébute tout juste, à l’issue de quelques années de transition et d’une lourde phase de transformation, sous la maîtrise d’ouvrage de Paris Habitat. Le projet visait à la création de 600 logements, d’une crèche et d’espaces d’activités. C’est le cabinet H20 Architectes qui a assuré la mission d’aménagement global et de maîtrise d’œuvre de l’espace public.  Le plus petit lot du programme Les façades sont structurées, révélant les corniches, les poteaux et les zones de remplissage. [©ACPresse] L’ouverture du site sur l’extérieur constituait le changement majeur du réaménagement. Pour cela, trois nouvelles entrées ont vu le jour, permettant d’accéder à l’ex-place d’armes transformée en un vaste jardin paysager. Côté rue de Chavigny, le passage Jacqueline Giraud – du nom d’une résistante ambulancière -est l’un des accès créés. C’est à ce niveau qu’H2O Architectes ont positionné le lot B1, sur une parcelle presque carrée. « C’était le plus petit lot du projet et un des deux programmes neufs,indique l’architecte Charles-Henri Tachon. Nous avons choisi de répondre et avons été retenus, sans esquisse. »Il y avait seulement un cahier d’intention à suivre. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 351 jours

Réalisation d'un éco quartier avec des logements à haute performance énergétique à Lunéville

Le 15 avril dernier, les premiers habitants de l’éco quartier Libération, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), emménageaient dans leur logement. Entre l’avenue de la Libération et l’allée des Lilas, sur un peu plus d’un hectare, une ancienne pépinière a laissé la place à un programme de construction neuve de 31 logements à haute qualité environnementale conduit par l’Office Public de l’Habitat (OPH) de Lunéville à Baccarat.Énergie positiveCe nouvel espace d’habitat social alliant urbanisme durable et performance énergétique combine habitat individuel et collectif tout en favorisant une forte mixité sociale. Il compte vingt maisons individuelles et un immeuble abritant onze appartements.« La performance énergétique est notre cheval de bataille, souligne Adrien Kremer, chargé d’opérations à l’OPH. Lorsque nous avons lancé le concours de conception-réalisation, notre cahier des charges imposait une consommation d’énergie inférieure de 20 % aux exigences de la réglementation en vigueur RT 2012. En option, nous envisagions une cibleRT2012 -50 %. Nous avons eu l’opportunité de répondre à l’appel à projetE+C- pour des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone répondant à la future réglementation environnementale RE 2020. Le bâtiment collectif est labellisé avec un niveau E3C1. »Pour assurer la maîtrise des charges locatives, le bailleur social vise aussi la pérennité des performances. Celle-ci passe par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et réutilisables. Adrien Kremer rejette tout gadget sophistiqué et favorise les solutions simples ayant fait leurs preuves, comme l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) pour une enveloppe de bâtiment pérenne et performante.Haute isolationL’ITE est la solution retenue pour assurer une haute isolation à l’immeuble collectif par l’équipe lauréate du dialogue compétitif, conduite par Eiffage Construction Lorraine. Pour abriter les onze logements, les architectes de l’agence Bagard & Luron et le bureau d’études Huguet conçoivent un bâtiment R+2 constitué de deux ailes encadrant les circulations verticales.« Cette partie centrale n’étant pas chauffée, les deux ailes nord et sud sont traitées comme des bâtiments séparés dotés chacun de leur enveloppe », décrit Jérôme Guillaumond, l’architecte de l’agence en charge de l’opération. Les deux parallélépipèdes construits en blocs de béton, simples et compacts, sans décrochements autres que les dalles de balcons, sont enveloppés d’une ITE sous enduit. Les façades sont animées par un jeu de contrastes entre des corps de bâtiments blancs et des pignons gris foncé.Label E+CCette conception simple du bâtiment et de son enveloppe s’avère très efficace, comme le confirme l’étude thermique réalisée par le bureau d’études Huguet. En effet le coefficient Bbio (besoin bioclimatique conventionnel), qui mesure la performance thermique du bâtiment indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, est ici très favorable. Il est de 45,3 pour l’aile nord et 38,6 pour l’aile sud, soit respectivement 46,1 % et 54 % de moins que le Bbio maximum fixé par laRT 2012 (84) pour tous les bâtiments neufs.Autre exigence de la réglementation thermique RT 2012, la consommation d’énergie primaire conventionnelle est limitée à 76,1 kWh/m2.an pour l’aile nord et 77,9 kWh/m2.an pour l’aile sud. Or, elle n’atteint respectivement que23,7 kWh/m2.an (soit - 68,9 %) et 27,2 (soit - 65,1 %) pour les deux parties du bâtiment dotées de chaudières à gaz.Pour compléter ces excellents résultats, une quarantaine de mètres carrés de panneaux solaires posés sur le toit de l’immeuble fournissent suffisamment d’électricité pour offrir au bâtiment un bilan énergétique positif : il produit plus d’énergie qu’il en consomme. L’objectif du label E+C- est ainsi atteint avec un niveau E3C1.Des produits de qualité bien mis en œuvreL’application de l’ITE sur les façades de l’immeuble a été confiée à la société Enduiest. Depuis une trentaine d’années, cette entreprise familiale réalise des chantiers de ravalement et d’ITE en Lorraine et en Champagne. Recruté il y a deux ans et demi pour développer l’activité dans les bâtiments neufs, le chargé d’affaires Sébastien Piernot a suivi le chantier du quartier Libération de Lunéville depuis le chiffrage jusqu’à la réception. L’ITE prescrite sur cette opération est le StoTherm Vario 1. « Nous sommes très vigilants quant au choix des produits employés et la gamme Sto offre une solution complète permettant de répondre qualitativement à ce type d’opération. Mais un produit de qualité doit aussi être bien mis en œuvre.Pour cela le site internet de Sto est une aide appréciable, il permet de consulter les différents carnets de détails, les guides d’applications, etc…Toutefois, lorsqu’il y a une interrogation technique nous sollicitons l’avis du conseiller technique Sto, pour cette opération nous avons eu recours à lui deux fois, ce dernier a été très réactif et nous a apporté les solutions. »Système d’ITE hydrauliqueLes panneaux de polystyrène expansé Sto-Panneau PS 15 SE de 200 mm d’épaisseur sont d’abord collés sur les 650 m2 de façade en blocs de béton au moyen de Sto-Mortier Colle B. Puis est appliqué le sous-enduit minceStoLevell Uni armé d’un treillis Sto-Fibre de verre standard. Ce sous-enduit est obtenu en mélangeant une poudre à base de liant hydraulique avec de l’eau. « Le StoTherm Vario 1 est un système d’ITE que nous connaissons bien puisque l’entreprise Enduiest l’utilise sur 80 % de ses chantiers d’isolation thermique par l’extérieur. Habitués au gâchage de produits en poudre, nos compagnons enduiseurs apprécient le sous-enduit hydraulique livré en sacs », précise Sébastien Piernot.Afin de protéger des chocs les parties basses de l’immeuble, l’entreprise aposé sur toute la hauteur du rez-de-chaussée un treillis d’armature complémentaire renforcé en fibre de verre, le Sto-Fibre de Verre Blindaget. Cette armature est marouflée dans l’enduit StoLevell Uni avant une deuxième passe armée du treillis Sto-Fibre de verre standard.Couleurs contrastéesLa finition est enfin assurée par un enduit organique taloché prêt à l’emploi à base de résine acrylique Stolit K 1.5. Blanc sur les trois quarts de la façade, l’enduit est teinté d’un gris soutenu sur trois murs. Afin d’éviter l’absorption de chaleur qui pourrait réduire la durabilité du système en provoquant des fissures ou des déformations, cet enduit foncé est doté de la technologie X-black développée par Sto.Il ne reste plus aujourd’hui qu’à terminer l’aménagement du parc pour favoriser les rencontres entre les habitants et mettre en valeur les nouveaux bâtiments.
Il y a 3 ans et 352 jours

Ilot Bacalan à Bordeaux, COSA fait l’hôtel, et l’hôtel, et l’hôtel et l’hostel

L’agence parisienne COSA (Benjamin Colboc et Arnaud Sachet) a livré sur l’îlot Bacalan des bassins à Flots à Bordeaux (Gironde) un impressionnant programme comprenant :  un Hôtel**** Renaissance de 150 clés desservi par deux anciens silos réhabilités en espaces d’accueil ; un Hôtel*** Moxy de 133 chambres ; un programme para-hôtelier de 159 appartements en résidence […] L’article Ilot Bacalan à Bordeaux, COSA fait l’hôtel, et l’hôtel, et l’hôtel et l’hostel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 352 jours

Fédérer la communauté des couvreurs

Face au contexte particulier de sortie de crise, à la multiplication des réglementations et aux mutations du secteur, TERREAL a souhaité créer un espace de rassemblement, d’accompagnement et de fédération pour les couvreurs :  LE CLUB by TERREAL. Il souhaite rassembler et fédérer une communauté de professionnels de la couverture et de la rénovation. Bien plus qu’un simple programme de fidélisation, il revêt trois enjeux majeurs. Un enjeu métier : faire progresser les clients et le métier de la couverture, au travers de formations, d’informations réglementaires, de nouveaux outils (notamment digitaux) et ancrer la marque TERREAL dans une démarche d’intérêt général pour la profession. Un enjeu business : développer les activités innovantes comme le solaire photovoltaïque ou le Sarking, et accompagner les nouveaux couvreurs « à potentiel ». Un enjeu relationnel : fidéliser et rassurer les entreprises par des actions et services dédiés qui portent les valeurs de professionnalisme et de convivialité de Terreal.   Photo : Prix Terreal
Il y a 3 ans et 352 jours

RTE lance le 1er réseau "au monde" de stockage d'électricité piloté par robots

Le soleil brille de tous ses feux, le vent souffle à décorner les boeufs: la production des éoliennes ou des fermes solaires connaît parfois des pics de production qui se moquent des besoins de consommation.Que faire de ce surplus d'énergie? "Aujourd'hui, il est perdu: on demande alors d'arrêter une éolienne par exemple", explique Christian Poumarède, attaché de direction chez RTE. Pourtant, à des centaines de kilomètres de l'éolienne ou des panneaux photovoltaïques, une ville a des besoins.Mais, pour y acheminer l'électricité depuis les régions rurales où sont généralement installés les champs éoliens ou solaires, il faudrait augmenter la capacité des lignes à haute tension, dont le coût, déjà élevé, serait d'autant moins justifié que ces surplus de production n'interviennent que "200 à 300 heures par an", selon M. Poumarède.La solution s'impose donc d'elle-même: il faut stocker le surplus "le temps qu'une capacité se libère dans la ligne", indique Mathieu Pafundi, chef de projet chez RTE.Bref, c'est un problème "de tuyaux", résume Christian Poumarède. "On crée comme un bassin de rétention (...) qui permet de ne pas engorger les tuyaux".D'où "Ringo", un réseau de stockage sur batteries, d'un coût de 80 millions d'euros, sur trois sites: Fontenelle (Côte d'Or), Bellac (Haute-Vienne) et Ventavon (Hautes-Alpes).Les trois centres regroupent au total 16.800 batteries, d'une capacité "cinq fois supérieure à une batterie de voiture", précise le président du directoire de RTE Xavier Piechaczyk.Ce n'est pas le plus important réseau sur la planète, mais la "première mondiale" réside dans le fait qu'il est entièrement piloté par des robots, assure le patron de RTE devant les conteneurs emplis de batteries de Fontenelle, près de Dijon, installés en plein champ, non loin d'éoliennes.Appelé NAZA (Nouveaux automates de zones adaptatifs), le robot informatique déclenche automatiquement le stockage et le déstockage de l'électricité sur les batteries de tel ou tel site.Et ce, "en moins d'une seconde", relève Franck Girard, PDG de Nidec ASI, la société du groupe nippon Nidec qui a développé le site de Fontenelle. Chaque centre de stockage a une puissance de 12 mégawatts, soit la production de 5 éoliennes ou la consommation d'une ville de 10.000 habitants pendant deux heures l'hiver.Ringo sera testé pendant trois ans, le temps nécessaire, selon le patron de RTE, d'apprendre comment "piloter mieux" les énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 355 jours

Pourquoi Macron pourrait revenir à la réforme des retraites

Un oui de principe"La question n'est pas si, mais quand", a récemment déclaré le chef de l'Etat en Conseil des ministres. Depuis plusieurs semaines, il prépare l'opinion. Début juin, dans le Lot, il a prévenu qu'il devrait prendre "des décisions difficiles" cet été pour que la dernière année du quinquennat soit "utile". "Une réforme des retraites est indispensable", a-t-il répété lundi devant des grands patrons.Pourquoi ?Argument économique : le système est déficitaire, avec un besoin de financement de 7 à 10 milliards d'euros par an. Argument systémique: il faut que les Français travaillent "progressivement plus longtemps", a répété l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. Argument politique : si Emmanuel Macron parvenait à faire voter une réforme des retraites avant l'élection présidentielle de 2022, "il mettrait dans la nasse une partie de la droite qui a souhaité cette réforme" et "on pourra dire qu'il aura pris son risque", ajoute un cadre de la macronie.Quelle réforme ?Avant 2020, Emmanuel Macron prônait une refonte totale, avec un passage à un système à points, et s'opposait au simple relèvement de l'âge de départ. Cette fois, c'est plutôt le contraire. Une hausse de l'âge de départ, préconisée haut et fort par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, est envisagée, possiblement à 64 ans, selon un conseiller de l'exécutif. Pour la rendre acceptable, elle pourrait être accompagnée d'un coup de pouce aux petites retraites, aux personnes ayant eu une carrière hachée, notamment les femmes, ou ayant commencé à travailler très jeunes. La suppression des régimes spéciaux, mesure qui selon l'exécutif fait consensus dans l'opinion, reste au programme.Le système à points, pourtant promesse de campagne, semble lui enterré. "Il était tellement juste que les grands gagnants n'y comprenaient rien et les grands perdants étaient déjà dans la rue", résume amèrement un proche du président.Avant 2022 ?Si à l'Eysée on indique que rien n'est tranché, de plus en plus de voix dans la majorité prennent position en faveur d'une action dès cette année. "Je crois que le président souhaite engager le pays dès maintenant dans l'après Covid", glisse un conseiller. Quelles annonces ?Le chef de l'Etat compte s'exprimer d'ici le 14 juillet, selon le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. Mais ce dernier a aussi averti que toute réforme des retraites dépendrait de la situation épidémique, menacée par le variant Delta. Le chef de l'Etat pourrait donc choisir d'annoncer en juillet le principe et le cap d'une réforme, quitte à renvoyer à septembre pour ses modalités, le temps d'examiner l'évolution estivale des courbes du Covid, estime un conseiller.Quels obstacles ?Tous les syndicats, y compris la CFDT initialement favorable à une refonte du système, ont mis en garde l'exécutif contre l'adoption d'une telle réforme avant 2022, dans une économie encore convalescente. Même le Medef, partisan d'un relèvement de l'âge de départ à 64 ans, estime qu'il faut repousser son application après la présidentielle, de peur de déclencher des mouvements sociaux qui entraveraient la relance. "Pour faire cette réforme, il faut un capital politique", a déclaré son président Geoffroy Roux de Bézieux. Même avis chez certains responsables de la majorité, notamment la patron du MoDem François Bayrou ou encore le président de l'Assemblée Richard Ferrand qui souhaite "un débat présidentiel là-dessus" et pointe la précarité de la reprise. Quant à Jean Castex, favorable en privé à un relèvement de l'âge de départ, il ne serait selon plusieurs sources "guère allant" sur l'idée de précipiter le calendrier. Quel soutien des Français ? Interrogé sur le sujet, Gabriel Attal a fait valoir que "le constat de la nécessité d'une réforme est partagé, y compris par les partenaires sociaux", au vu des prévisions de déficit du système. Si un sondage Opinionway pour Les Echos paru mi-juin confirme ce sentiment (69% des personnes interrogées la juge nécesaire), 55% des Français estiment que ce gouvernement ne doit pas engager de mesures et attendre la présidentielle.
Il y a 3 ans et 355 jours

Anru : 90% des projets éligibles au NPNRU ont été validés

RÉNOVATION URBAINE. L'Anru a présenté, à l'occasion des Journées d'échanges sur la rénovation urbaine (Jéru), un bilan de ses engagements dans les quartiers du programme. La contractualisation s'est accélérée ces derniers mois grâce à la rallonge consentie en début d'année. Le budget de l'agence a fait "plus que doubler", a rappelé la ministre du Logement Emmanuelle Wargon.
Il y a 3 ans et 355 jours

Travail post-Covid: des salariés nomades, des mètres carrés en moins et des économies

En dépit de conditions très variables, la grande majorité des salariés souhaitent continuer à télétravailler de leur domicile ou d'un endroit extérieur à leur entreprise à raison d'un à trois jours par semaine, attestent plusieurs enquêtes.L'occasion pour les entreprises de "repenser l'occupation et l'organisation de leurs espaces de travail", dit Pierre-Yves Guice, directeur général de l'établissement public d'aménagement de la Défense."C'est le cas pour presque toutes. Nombreuses sont celles aussi qui l'ont expérimenté avant la crise du Covid, qui les a confortées dans leur choix" au profit d'économies locatives, ajoute cet observateur privilégié du quartier d'affaires parisien. Il cite des "estimations" tablant sur "15 à 20% de demandes en espaces de bureaux en moins chaque année en Île-de-France après la crise".A la Défense, "le loyer de référence" (bureaux) "est de 540 euros par mètre carré et par an (hors taxes, hors charges) pour des baux de trois, six ou neuf ans" qui "laissent peu de flexibilité aux entreprises". Nombreuses sont celles à se tourner vers des espaces de coworking (espaces de travail partagés par des salariés et des entreprises), louables en nombre de "postes" de travail, à raison de "500 à 600 euros par mois en moyenne" et facilement résiliables, précise à l'AFP Yannis de Francesco, directeur grands projets chez JLL, acteur du conseil en immobilier d'entreprise."Il y a toujours une bonne équation à trouver en termes d'économies", admet Séverine Legrix de la Salle, directrice du projet du tout nouveau siège social d'Orange à Issy-les-Moulineaux, envisagé dès 2015, confirmant une réduction des coûts "confidentielle" à la faveur du déménagement.Congés, RTT, formations, déplacements, maladies... "Avant la crise", dit-elle, "entre 30 et 40% des postes du tertiaire étaient déjà inoccupés quotidiennement en Île-de-France". Chez Orange, 40% des salariés exerçaient déjà en télétravail, y compris les vendeurs et salariés des plateaux d'appel.L'opérateur télécom a abandonné Paris pour "regrouper" ses équipes et "répondre aux nouveaux besoins" et "pratiques collaboratives" des 2.850 personnes qui fréquenteront son nouveau siège à l'avenir, selon la responsable."Très horizontal avec seulement huit étages, il est organisé autour d'un immense atrium couvert d'une structure vitrée, très végétalisé, et comprend un auditorium, trois restaurants dont celui d'entreprise, un espace sportif et nombre de cafétérias, machines à café", soit "30% d'espaces de réunion et de convivialité contre 10 à 15% auparavant", précise-t-elle."Beaucoup plus qu'avant la crise, venir au travail va devoir être générateur de valeur ajoutée", estime M. Guice. Cela "se traduit par une tendance à l'expansion du flex-office (pas de bureau attitré) avec moins d'open space et de plateaux traditionnels pour dégager des surfaces nouvelles dédiées aux lieux de rencontre, de création, de présentation"."Rentabiliser les surfaces"Certains grands groupes situés dans le quartier d'affaires "commencent à rapatrier ou à regrouper des filiales, des équipes" pour mieux rentabiliser leurs surfaces de bureaux à la Défense. "Dans certaines tours, une entreprise qui occupait dix étages envisage d'en abandonner un ou deux", et dans le même temps des entreprises basées dans des sites périphériques "envisagent de se réinstaller dans le quartier d'affaires car elles ont besoin de moins de mètres carrés mais des services qu'il offre", détaille M. Guice.Benoît Serre, vice-président délégué de l'Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH), observe lui aussi "un mouvement de réflexion pour repenser les métiers, les rendre +télétravaillables+ et gagner en nombre de sites"."Les petits sites, surtout, sont concernés par des fermetures. Dans les grands, c'est plutôt une réduction de mètres carrés, une réorganisation. Il va falloir trouver le juste équilibre entre le télétravail, attractif, et le maintien du service de proximité. Cela ne se pense pas uniquement en termes de réduction de mètres carrés", dit-il.Car "la tentation de faire des économies sur la location de bureaux peut être préjudiciable à l'exercice du collectif de travail", met en garde Thomas Coutrot, chef du département conditions de travail à la Dares, le service statistique du ministère du Travail. "L'ultraformalisation du fonctionnement collectif risque de faire disparaître le fonctionnement informel, très important pour la régulation quotidienne", fait-il valoir.Attentes fortes"On ne reviendra pas au schéma antérieur", estime Sébastien Desideri, responsable des études stratégiques chez Malakoff Humanis, pour qui "le télétravail est généralisable"."Moins de bureaux individuels, plus d'espaces de convivialité, mais aussi un travail sur l'acoustique - en raison de la multiplication des réunions en ligne - sont au programme", précise Jean-François Colle, directeur de l'environnement de travail au sein de ce groupe de protection sociale.A la Société Générale, on "repense" aussi la donne. La banque transforme l'espace et ajoute "des espaces de coworking et de brainstorming (réflexion)", plus de "petites salles" de rencontre, dit Caroline Guillaumin, DRH.On revient au bureau "pour le lien social mais aussi parce que tous les outils (Teams, Skype...) bloquent la créativité. L'objectif est d'avoir des espaces de convivialité. Quand les gens reviennent sur site, ils doivent retrouver ce qui leur manque à la maison", estime-t-elle.A la tête de Freelance.com, spécialisée dans la transformation digitale, Laurent Lévy envisage de quitter la Défense et "réunir (ses) deux sites parisiens" dans un espace de coworking du 17e arrondissement."Nous ne réfléchissons pas en termes d'économies locatives mais les tours de la Défense ont tendance à favoriser le travail en silos (cloisonné). Les espaces libérés nous permettront d'aménager plus d'espaces collaboratifs". Objectif ? "Un mode de fonctionnement dans la durée avec seulement trois jours sur site et la totalité des équipes (220 personnes) en flex-office", dit-il."La crise a tellement ancré le télétravail dans les habitudes que les équipes attendent vraiment un autre mode de fonctionnement; c'est beaucoup plus profond qu'une question de quantité de jours de télétravail", insiste-t-il.
Il y a 3 ans et 356 jours

A Paris Masséna, 34 logements en accession signés Valero Gadan

L’agence parisienne Valero Gadan (Bernard Balero et Frédéric Gadan) a livré fin 2020 boulevard Masséna à Paris (XIIIe) pour le Groupe Atland maître d’ouvrage un programme de 34 logements en accession. Coût des travaux : 2.9 M€ HT ; 1 700 m² SDP / 1 500 m² SHAB). Communiqué. L’aménagement des différents logements a fait l’objet d’une […] L’article A Paris Masséna, 34 logements en accession signés Valero Gadan est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 356 jours

M Connect, vos échanges avec le Groupe Millet à portée de main

Conscient que le temps est précieux pour chacun et encore plus pour ses partenaires commerciaux, la société toujours en prise avec son époque, a lancé M Connect, une application pensée pour faciliter la vie de ses clients. Une solution utile, facile et globale pour leur permettre de piloter leur activité à chaque instant.Millet dans votre pocheÀ l’écoute de ses clients, le Groupe Millet réfléchit sans cesse à des solutions qui puissent faciliter la gestion de leur activité.Conscient que nous vivons aujourd’hui dans un monde où l’immédiateté de l’information est primordiale, le groupe a décidé de développer en interne un programme numérique qui permet à ses partenaires de suivre en temps réel leurs relations commerciales avec la société.C’est ainsi qu’est née M Connect, une application téléchargeable sur Android et iOS. Désormais, votre business avec le Groupe Millet se trouve à portée de main et de clic 24 h/24 et 7j/7. Plus besoin de téléphoner pour demander un devis, se renseigner de l’état d’avancement d’une commande, déclencher un SAV... Toutes ces informations sont disponibles en temps réel grâce à M Connect.M Connect : une application utile, facile, globaleM Connect, l’application UTILE.Grâce à elle, l’utilisateur pilote son business depuis son portable ou sa tablette, où il veut, quand il veut. Devis, factures, commandes, SAV, toute la relation d’une entreprise avec le Groupe Millet se retrouve compilée en une seule application. Renseignés en permanence sur les livraisons à venir, les professionnels de la menuiserie peuvent planifier leur activité, organiser leurs chantiers, rassurer leurs clients sur la progression de leur projet.M Connect, l’application FACILE.Pensée pour simplifier la vie de son utilisateur, M Connect possède une interface ergonomique. Ainsi il est possible d’accéder rapidement et aisément à l’information voulue via un module de recherche simple et intuitif. Le programme rappelle également aux professionnels les échéances en cours : livraison, devis en attente de signature, interventions...M Connect, l’application GLOBALE.M Connect est une solution complète qui au-delà de permettre de suivre l’état d’avancement d’une commande, d’un SAV, donne la faculté aux clients du Groupe Millet d’avoir une vision à 360° de sa relation avec l’entreprise. Ainsi l’utilisateur peut avoir un accès illimité et immédiat à tous les services du groupe, du commerce à la logistique en passant par la production. Il peut également obtenir d’autres informations précises sur l’ensemble de ses activités avec Millet : CA, encours clients, avoirs, taux de qualité, prélèvements à venir...Pour plus d'information, consultez le site du Groupe Millet
Il y a 3 ans et 356 jours

Lons : début des premiers chantiers de voirie durant les grandes vacances scolaires

Le programme annuel 2021 de travaux de la Ville de Lons prévoit de nombreuses réfections de trottoirs, de parkings et d’allées. Les premières opérations seront engagées durant les vacances d’été.
Il y a 3 ans et 357 jours

« patrimoine pour tous », les Journées européennes du patrimoine se dérouleront les 18 et 19 septembre 2021

Après la longue période de fermeture des lieux culturels, les Journées européennes du patrimoine offriront à tous l’occasion de se rassembler autour de la richesse du patrimoine français avec un thème fédérateur : « Patrimoine pour tous, ensemble, faisons vivre le patrimoine ». En métropole comme dans les territoires d’Outre-Mer, les propriétaires publics et privés de monuments historiques, les associations de sauvegarde et de valorisation du patrimoine, les restaurateurs et conservateurs de biens patrimoniaux, guides conférenciers et architectes se mobiliseront pour accueillir le public dans une multitude de lieux. Le programme complet des Journées européennes du patrimoine 2021 sera accessible en ligne dans le courant de l’été.
Il y a 3 ans et 358 jours

Samedi 3 juillet. Etape 8 : OYONNAX > LE GRAND BORNAND (150 km)

Première grande étape de montage avec au programme trois cols de 1ère catégorie toujours plus hauts au fur et à mesure que le peloton se rapproche de l’arrivée. Les cadors ne vont évidemment pas encore dévoiler leur jeu, juste montrer un peu leurs muscles. Mais, quand les sprinteurs calculeront les délais pour finir au chaud […] L’article Samedi 3 juillet. Etape 8 : OYONNAX > LE GRAND BORNAND (150 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 359 jours

Action coeur de ville : Action Logement et Cerqual signent un partenariat

QUALITE DE L'HABITAT. Action Logement et Cerqual ont signé un partenariat spécifique aux villes concernées par le programme Action coeur de ville. Une subvention supplémentaire sera disponible pour certains logements certifiés.
Il y a 3 ans et 359 jours

Action coeur de ville : Action Logement et Cerqual s'engagent pour la qualité des logements

QUALITE DE L'HABITAT. Action Logement et Cerqual ont signé un partenariat spécifique aux villes concernées par le programme Action coeur de ville. Une subvention supplémentaire sera disponible pour certains logements certifiés.
Il y a 3 ans et 359 jours

En quoi consiste la RSE ?

Nombre d’entreprises souhaitent déployer une stratégie RSE (Responsabilité sociale / sociétale des entreprises) pour répondre à différents enjeux sociaux et environnementaux… L’objectif étant de chercher à avoir un impact positif sur la société et de respecter l’environnement tout en étant économiquement viable. Il s’agit d’une démarche totalement volontaire de la part des entreprises. Qu’est-ce que la Responsabilité Sociétale des Entreprises ?   « La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. »  Qui est concerné ?  Toutes les entreprises, peu importe leur taille ou encore le secteur d’activité, peuvent déployer une stratégie RSE.  Cependant, les entreprises cotées sont soumises à certaines obligations, comme pour la déclaration de performance extra-financière (ou reporting ESG), pour publier les informations sur leurs impacts environnementaux et sociaux. A savoir, les fournisseurs de ces grandes entreprises sont donc également incités à déployer une stratégie RSE pour répondre aux obligations des grandes entreprises.  Depuis 2019, la loi PACTE oblige toutes les entreprises françaises à prendre en compte les différents enjeux environnementaux et sociaux dans leur gestion quotidienne. Il s’agit d’un minimum légal intégrant une dimension RSE pour les entreprises. Cette loi relative à la croissance et à la transformation des entreprises introduit la création du statut d’entreprise à mission. Elle permet à une entreprise de préciser sa raison d’être avec un ou plusieurs objectifs sociaux et environnementaux que la société souhaite poursuivre. Ainsi, la RSE va certainement devenir un sujet de plus en plus important pour toutes les entreprises et une exigence de la part de leurs clients et partenaires.  Pourquoi mettre en œuvre une politique RSE ?   Opportunité ou contrainte ? La mise en œuvre d’une politique RSE permettra à l’entreprise de collecter, mesurer et analyser l’impact de ses activités.  Bénéfices :   Des achats plus responsables. De nos jours, le consommateur final est de plus en plus attentif à la provenance de ses produits.  C’est pourquoi il est important pour les entreprises de saisir cette opportunité pour répondre aux nouveaux comportements.  Une meilleure image de l’entreprise : la mise en place d’une stratégie RSE bénéficiera à l’image de l’entreprise auprès des différentes parties prenantes. Comme cité précédemment, les consommateurs souhaitent une transparence totale sur leurs produits. Plus l’entreprise est responsable, respectueuse de l’environnement et transparente, plus elle sera attractive aux yeux des clients.  Une organisation efficiente : la qualité de vie des salariés est primordiale et fait partie intégrale dans la stratégie RSE. Investir sur des personnes avec un management ouvert permettra de pousser votre entreprise vers le haut.  Réponse aux obligations réglementaires : l’objectif de la direction RSE est également de répondre aux défis réglementaires comme la loi Grenelle (Bilan des émissions de Gaz à Effet de Serre BEGES, la loi ELAN avec le décret tertiaire, le décret BACS, l’obligation de reporting ESG extra-financier…)  Une maitrise des risques : en collectant les données de consommation de votre entreprise, vous pourrez identifier les dysfonctionnements dans l’entreprises et donc maîtriser les risques afin de réduire les dépenses inutiles.  Des économies énergétiques et financières : en maîtrisant les risques, en collectant les différentes données pour réduire les consommations, l’entreprise pourra donc réaliser des économies énergétiques. Comment déployer sa stratégie RSE dans l’entreprise ?  Avant de vous lancer dans une démarche RSE, il est important de vous poser sur les différentes étapes à mettre en place et définir votre plan d’action.   Réaliser un état des lieux : réalisez un état des lieux actuel de votre entreprise pour identifier les différents points d’amélioration possible. Discutez avec les différentes parties prenantes (fournisseurs, salariés, investisseurs, clients…) pour prendre en compte leurs besoins et attentes. Collectez toutes vos données de consommation afin d’identifier les gisements d’économies d’énergie et les points les plus consommateurs.  Mettre en place un plan d’actions : maintenant que vous connaissez les différentes attentes, besoins, axes d’amélioration, vous pouvez établir votre stratégie RSE et définir votre plan d’actions. Déployez un dispositif de pilotage et d’indicateurs de résultats, développez les compétences internes, intégrez la RSE dans votre organisation à tous les niveaux de responsabilité et construisez vos indicateur RSE au niveau économique, social et environnemental.  Analyse des résultats : après le déploiement de votre stratégie, analysez les résultats. Les attentes de vos parties prenantes sont-elles comblées ? Qu’en est-il de votre impact environnemental ? Avez-vous amélioré la performance énergétique de votre entreprise ?   Valoriser et communiquer sur votre stratégie RSE : mettez en place vos reportings RSE pour valoriser votre stratégie et communiquez auprès du grand public sur vos efforts afin d’améliorer votre image et montrer que vous souhaitez être le plus transparent possible. Comment Green Systèmes vous aide dans votre stratégie RSE ?  Chez Green Systèmes, nous avons développé un logiciel permettant la collecte des données de consommation (eau gaz, électricité…) le suivi et le pilotage. Ce logiciel entre totalement dans une démarche RSE.  Il vous aidera à :  Centraliser vos données de consommations au sein d’un seul logiciel pour un ou plusieurs bâtiments afin d’avoir une vue d’ensemble.  Analyser vos consommations afin d’identifier les gisements d’économies d’énergie de votre bâtiment.  Être alerté(e) en cas de dysfonctionnement dans le bâtiment afin de prendre le problème à temps et éviter les dépenses.  Construire vos indicateurs de performance énergétique pour votre stratégie RSE.  Nous accompagnons également les professionnels à répondre au différentes opportunités réglementaires (ISO 50001, décret tertiaire).  Concernant le décret tertiaire, nous vous aidons à centraliser l’ensemble de vos données pour définir votre année de référence, définir également quel objectif choisir entre l’objectif relatif ou absolu, envoyer de manière automatique vos données de consommation annuelles auprès de la plateforme l’ADEME et mettre en place un plan d’action d’amélioration de votre performance énergétique.  N’hésitez pas à nous contacter pour échanger directement avec nos équipes sur votre stratégie RSE. 
Il y a 3 ans et 359 jours

Programme National Action Cœur de Ville : Action Logement et CERQUAL Qualitel Certification s’associent

Action Logement, partenaire du Programme National Action Cœur de Ville (ACV), a pour objectif de proposer aux habitants des 222 villes moyennes, réparties dans l’ensemble du territoire, des logements de…Cet article Programme National Action Cœur de Ville : Action Logement et CERQUAL Qualitel Certification s’associent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 359 jours

Programme National Action Cœur de Ville : Action Logement et CERQUAL Qualitel Certification s’associent

Action Logement, partenaire du Programme National Action Cœur de Ville (ACV), a pour objectif de proposer aux habitants des 222 villes moyennes, réparties dans l’ensemble du territoire, des logements de haute qualité technique, énergétique et environnementale, qui répondent aux enjeux de transition écologique, de confort et de santé. Pour répondre aux ambitions du programme, Action Logement déploie une offre de financements dédiés et adaptés à la spécificité des opérations immobilières sur le bâti existant de centre-ville. CERQUAL Qualitel Certification, filiale de l’Association QUALITEL a pour mission de promouvoir et valoriser la qualité du logement par la certification. L’organisme délivre la certification NF Habitat – NF Habitat HQE qui atteste de la qualité et de la performance environnementale des logements en construction et en rénovation. Engagés dans des démarches complémentaires, Action Logement et CERQUAL Qualitel Certification se sont rapprochés pour conclure un partenariat en faveur d’une meilleure qualité des logements. Les projets d’habitat locatif social, PLUS-PLAI (Prêt Locatif à Usage Social ; PLAI= Prêt Locatif Aidé d’Intégration) et PLS (Prêt Locatif Social) si non majoritaires et mixés avec PLUS et/ou PLAI, répondant aux exigences du label BBC Rénovation, HPE Rénovation ou à celles de la certification NF HABTAT HQE RT 2012-20%, pourront ainsi bénéficier d’une subvention forfaitaire d’Action Logement dans des conditions d’instruction simplifiée. Une remise sur les coûts de certification sera également proposée aux Maîtres d’ouvrage. CERQUAL Qualitel Certification accompagnera les maîtres d’ouvrage dans la formation et la démarche de certification NF Habitat – NF Habitat HQE, ainsi que dans l’obtention des labels énergétiques : HPE Rénovation et BBC Rénovation (Bâtiment Basse Consommation Rénovation).
Il y a 3 ans et 360 jours

Travaux de rénovation : pourquoi utiliser un scanner laser?

L’arrivée des scanners laser 3D dans le secteur du bâtiment et des travaux publics a changé radicalement les méthodes de travail. Si ces outils sont utilisés dans la construction, ils sont également bénéfiques pour réaliser différents travaux, comme la rénovation de façades. Zoom sur le fonctionnement d’un scanner laser 3D pour bâtiment Un scanner laser 3D pour bâtiment est un outil qui utilise les technologies, telles que la lasergrammétrie et la photogrammétrie. On s’en sert dans plusieurs domaines, comme l’architecture, l’arpentage ou encore l’archéologie. Dans le BTP, il a été conçu afin de scanner un terrain ou une bâtisse. Grâce à un système de numérisation 3D, on obtient une représentation numérique d’un objet scanné. Pour cela, on place le scanner sur un emplacement fixe. En réalité, l’outil envoie des lumières à grande vitesse dans toutes les directions. Pour la photogrammétrie, l’appareil prend des photos d’un bâtiment, et cela, sous différents angles. L’image virtuelle obtenue est représentée par des nuages de points. D’habitude, le laser scanning 3D est placé sur un trépied. Mais il est possible de l’installer sur un drone ou une voiture. L’objectif ici est d’obtenir différentes portées. L’outil est fourni avec un logiciel. Ensuite, il traite de manière basique les données capturées. Cependant, les professionnels utilisent des logiciels spécifiques pour exploiter les données au maximum. On utilise le plus souvent cet appareil pour préparer un terrain avant la réalisation des travaux de grande envergure. Pour des bâtiments existants, le scanner permet de réaliser une maquette BIM à partir des nuages de points. Ainsi, on transmet plus facilement les plans à l’ensemble des acteurs d’un projet. Concernant les travaux de rénovation, l’utilisation du scanner laser 3D peut être salutaire. Projet de rénovation : pourquoi utiliser un scanner laser 3D ? Avant tout, l’usage d’un scanner laser est inutile pour certains travaux. C’est notamment pour une seule pièce à rénover. Cet engin est surtout utilisé dans le cadre des travaux de réhabilitation majeure. Dans ce cas, l’utilisation d’un scanner 3D facilite le contrôle géométrique en cours de chantier. Effectivement, les relevées 3D montrent la dimension, l’orientation, la surface d’un objet scanné. Cela facilite grandement le travail des chefs de chantier. Il permet également d’identifier rapidement les structures fragiles d’une ancienne construction. Les accidents et les risques sont ainsi minimisés afin de garantir la sécurité des ouvriers. Les maquettes BIM sont essentielles pour réhabiliter un bâtiment. Le scanner laser permet d’en créer une rapidement, surtout pour les bâtisses qui n’en disposent pas. Les ingénieurs se basent donc sur le modèle numérique pour finaliser les plans de construction. Mais le plus grand avantage de cet outil, c’est le gain de temps et l’efficacité. Il permet d’obtenir des mesures précises. Cela réduit grandement le temps de traitement et les erreurs de calcul. Pendant la réalisation des travaux, le scan 3D est un excellent moyen de suivre l’avancée en comparant les plans et les relevées obtenus. En outre, il permet également de prévenir les malfaçons. Pour bien utiliser le scanner laser 3D, il est préférable de suivre des formations spécifiques ou recourir à un professionnel pour effectuer le scan.
Il y a 3 ans et 362 jours

L'exécutif parie sur la relance pour regagner l'opinion

La semaine prochaine, dès le lendemain du 2e tour, priorité à l'économie: le chef de l'Etat ira sur le site de la future usine de batteries électriques d'un grand groupe chinois à Douai - Xavier Bertrand, candidat déclaré à la présidentielle, est invité - puis recevra 150 grands patrons français et internationaux à Versailles, avant d'inaugurer mardi les nouveau locaux parisiens de la banque américaine JP Morgan. "Du résultat !": c'est le mot d'ordre d'Emmanuel Macron à ses ministres, après un scrutin calamiteux pour ses troupes, dont il s'est tenu soigneusement à l'écart, refusant d'en dire un seul mot lors de ses récents déplacements.Tout comme des couacs ou de la passe d'armes entre ses ministres de l'Intérieur et de la Justice Gérald Darmanin et Eric Dupond-Moretti qui a accusé le premier de "trahison".Comme Emmanuel Macron l'a encore répété mercredi en Conseil des ministres, il s'agit pour lui d'un scrutin local dont il ne veut tirer aucune leçon au plan national, sauf sur le niveau inquiétant de l'abstention.La feuille de route fixée au gouvernement reste donc d'accompagner les réouvertures, déployer la vaccination, soutenir la relance économique et sociale et de déployer les actions en matière d'écologie, de sécurité et d'égalité des chances.Il s'appuie sur le plan de relance de 100 milliards d'euros, dont 40 milliards donnés par l'Europe, qui vient d'être validé par Bruxelles. Un feu vert mis en scène mercredi dans les jardins de l'Elysée, avec une Ursula von der Leyen tout sourire.Autre satisfaction, la hausse du chômage a été limitée. "Il y a eu +9% quand c'était +25% après la crise de 2009", souligne un membre du gouvernement. Mais le front de l'emploi, bataille essentielle pour 2022, reste tendu, avec environ 300.000 chômeurs de longue durée de plus, des emplois non pourvus dans la restauration ou le bâtiment et l'afflux de jeunes qui ont retardé leur entrée sur le marché du travail.ArbitragesS'il compte continuer à arpenter la France jusqu'à mi-juillet, personne autour de lui ne s'avance à prévoir ses décisions.Faut-il relancer les réformes et si oui lesquelles ? Celles de l'assurance-chômage, la seule clairement remise sur les rails ces derniers mois et qui devait s'appliquer en juillet, vient d'être coupée en plein élan par le Conseil d'Etat.La réforme des retraites, à laquelle le chef de l'Etat tient toujours -- "la question n'est pas de savoir si, mais quand", a-t-il lancé en Conseil des ministres, selon un proche - est combattue non seulement par les syndicats mais par une partie de la Macronie."La priorité c'est de faire repartir le pays, et pas de risquer de le bloquer" avec des mouvements sociaux de contestation, fait valoir une ministre.La réforme pourrait, prône une partie de la majorité, se limiter à une simple "mesure d'âge", autrement dit augmenter l'âge du départ en retraite.Le chef de l'Etat est aussi attendu sur une "garantie jeune", dont le nombre de bénéficiaires fait débat entre ministres sociaux et économes, et qui ciblerait plutôt des jeunes qui s'engagent à suivre une formation.L'idée reste de proposer aux Français avant la mi-juillet un nouveau projet et de commencer à l'appliquer, pour en faire le socle d'un programme avant la présidentielle de 2022, selon son entourage.L'argument de "la compétence" est aux yeux du chef de l'Etat le plus efficace pour contrer la candidate du RN Marine Le Pen, dans un scénario de duel au 2e tour toujours privilégié.Et la "prime au sortant" dont a bénéficié Xavier Bertrand comme les autres présidents de région pourrait profiter à son tour à Emmanuel Macron en 2022."Il existe un sentiment de dépossession, économique, social et culturel, qui pousse les Français à choisir des figures connues", analyse un proche.Pour le reste du quinquennat, un remaniement est-il à prévoir ?"Il n'y aura pas de changement de Premier ministre. Il fait le job", avance une ministre."On ne va pas vers un grand soir ministériel", dit un proche du président, qui s'attend cependant à de grandes manoeuvres. "Son silence est lourd de possibilités", glisse-t-il.
Il y a 3 ans et 363 jours

Saint-Jean-de-Luz : bientôt plus de 100 nouveaux logements dans le quartier Fargeot

Un programme immobilier baptisé « Résidence Santiago » est en cours de construction dans le quartier Fargeot, à Saint-Jean-de-Luz.
Il y a 3 ans et 363 jours

Zoom sur : la façade tout en courbes de Christophe Rousselle

L’architecte Christophe Roussel a réalisé un ensemble de 134 logements complétés de cinq locaux commerciaux à Colombes (92). Un programme tout en courbes, comme son nom l’indique, puisqu’il est identifiable grâce à sa multitude de balcons tortueux qui caractérisent sa façade. Retour sur un geste architectural fort. L’opération de 9 071 mètres carrés se compose de deux bâtiments en béton et en inox longeant la ligne de tramway de la commune des Hauts-de-Seine. Des commerces en double hauteur au rez-de-chaussée sont ainsi surplombés de logements, tous dotés d’espaces extérieurs singuliers. Ces terrasses, variées en formes et hauteurs, constituent la volumétrie si particulière de Courbes.Chaque étage fait l’objet d’un traitement spécial permettant de mettre son orientation en valeur et atténuant également les contraintes liées aux voisinages – vis à vis ou ombrage trop présent notamment. Les logements bénéficient ainsi de balcons uniques, d’une surface moyenne de 22 mètres carrés, dont les sols en bois sont délimités par des gardes corps vitrés jouant avec les rayons du soleil. Un traitement chaleureux qui vient alléger le caractère massif de l'ensemble.Pour en savoir plus, visitez le site de Christophe Rousselle.Visuels : © Takeji ShimmuraLa rédaction
Il y a 3 ans et 363 jours

Une installation électrique communicante Hager pour le Crédit Agricole Brie-Picardie

Au-delà de la réponse technique, Hager a mis les compétences de ses équipes au service des différents acteurs, EIE, tableautier, bureau d'études, pour que ce projet remarquable soit un succès.L'objectif est réussi, avec ce programme mixte de 14 000 m2, intégrant un bâtiment de bureaux de 9 000 m2, qui visait à réunir l'ensemble du personnel du Crédit agricole Brie-Picardie sur un même site, à proximité immédiate des transports. Certifié HQE excellent, l'ensemble, inauguré fin 2020, est situé à Chessy (77), dans le nouveau quartier de la ZAC des Studios et Congrès, à proximité du parc Disneyland Paris.Pour ce bâtiment très lumineux conçu comme un jardin urbain, le maître d'ouvrage avait des exigences fortes quant à l'installation électrique : « Qu'elle soit fiable, sécurisée, de haute technologie, qu'elle nous permette de réaliser des économies d'énergie et d'optimiser les performances de nos équipements », détaille Vincent Baron, responsable de département IML CA Brie Picardie.Une installation communicanteL'installation proprement dite comprend un TGBT (tableau général basse tension) et 53 armoires réparties sur l'ensemble du site. Ces équipements bénéficient des dernières avancées technologiques, telles que les boîtiers moulés H3+ energy communicants, disjoncteurs débrochables de tête (ACB) de 2000 ampères, compteurs Modbus et serveurs de surveillance de l'énergie agardio.manager. Ces serveurs détectent les passerelles et compteurs présents sur la boucle et en remontent automatiquement les informations. Ces systèmes performants mesurent, comptent, centralisent les informations de consommation d'énergie, tout en surveillant l'état physique de l'installation : le moindre défaut ou problème remonte aussitôt, ce qui permet d'analyser les données du site.L'enjeu majeur du chantier fut sans doute l'implantation du TGBT connecté dans un local exigu. Là encore, l'expertise de Hager fut au rendez-vous pour déterminer, avec le tableautier et l'entreprise, les solutions techniques permettant un gain de place et l'installation d'un TGBT adapté.CitationsVincent Baron, responsable de département IML CA Brie Picardie« Hager fait partie des majors dans son domaine. C'est un leader au niveau tertiaire, et c'est donc un gage de qualité et l'assurance d'un matériel à la pointe. »Damien Dollé, responsable d'affaires EEP« En phase travaux, nous avons eu l'aide d'Hager pour les plans, les schémas, les notes de calcul, et celle du tableautier pour les implantations. Bien sûr, c'est nous qui avons pris en charge la réalisation sur site et l'accompagnement. Il y a donc vraiment un fil conducteur, c'est un travail d'équipe qu'on ne retrouve pas sur tous les dossiers. ».Christophe Delique, gérant Etablissement Delique« Un véritable partenariat entre Hager, EEP et nous-mêmes. Tout s'est vraiment bien passé et nous étions tous contents. C'est important de le souligner. Ce n'est pas tous les jours qu'il y a une telle entente sur chantier. »Fiche techniqueMaître d'ouvrage : Crédit agricole Brie PicardieMaître d'œuvre : PCA-Stream Philippe Chiambaretta ArchitectePromoteur constructeur : Legendre ImmobilierInstallateur : EEP VinciTableautier : ETS Delique
Il y a 3 ans et 364 jours

Chai bordelais à empreinte carbone limitée

Le Dôme est un Saint-Émilion grand cru né dans les années 1990, il se dote, aujourd’hui, d’un chai dédié, projet auquel CEMEX participe vertueusement. La conception du nouvel outil de…Cet article Chai bordelais à empreinte carbone limitée est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 364 jours

Monteux : travaux avenue René-Cassin

À Monteux, le réaménagement de l’avenue René-Cassin a commencé début juin 2021. Le projet fait partie du programme d’amélioration continue du cadre de vie de la ville.
Il y a 4 ans et 0 jours

Nouveau directeur des systèmes d’information pour VM

Hervé Petit devient le nouveau directeur des systèmes informatiques de VM. Il sera en charge du nouvel ERP. [©VM] Hervé Petit est le nouveau directeur des systèmes d’information de l’entreprise VM (ex-VM Matériaux), faisant partie du groupe Herige. Il fait ainsi partie du comité de direction et est rattaché à Eric Rouet, directeur général de VM. Fort de son expérience dans le domaine de la gestion des systèmes d’information, il aura pour mission la mise en place dunouveau progiciel de gestion intégrée (ERP) de l’entreprise. Ce nouveau système permettra de répondre aux attentes et aux évolutions des métiers de la distribution. Ainsi, Hervé Petit aura un rôle des plus importants pour la suite du développement digital de VM. C’est à la demande d’Eric Rouet, qui souhaite prendre le virage du digital, afin de répondre aux besoins futurs du secteur, qu’est né ce projet. Ce dernier a demandé la participation et l’adhésion de l’ensemble des équipes de VM.  Le parcours d’Hervé Petit  « La mise en place de notre nouvel ERP et la mise à niveau de notre infrastructure et de nos applications actuelles constituent des briques essentielles pour la transformation digitale de VM. Un projet d’ERP réussi, c’est avant tout un projet d’entreprise porteur et fédérateur pour les équipes »,témoigne Hervé Petit. Pour rappel, VM, est un distributeur de matériaux de construction et de rénovation. Présent sur le Grand Ouest de la France, les produits vendus par VM sont destinés aux professionnels de la construction. Mais aussi aux particuliers avec des projets d’envergure.  Hervé Petit est ingénieur en informatique et mathématique appliqué, spécialisation intelligence artificielle. En 1990, il intègre Rhône Poulenc en tant que chef de projet ERP. Il restera à ce poste pendant 7 ans, avant de rejoindre Ernst & Young, en qualité de directeur d’études. En 1998, Hervé Petit devient directeur projet ERP Amérique Latine chez Carrefour International. En 2004, il intègre Agrial Europe comme directeur des systèmes informatiques et directeur de projet ERP. Après 12 années, Hervé Petit décide de fonder sa propre entité. Il évolue donc et devient associé fondateur de Heptic Consulting pendant 4 ans. 
Il y a 4 ans et 0 jours

Le CSTB participe au BIM World 2021 à Paris

Les salons en présentiel font leur retour ! Les 23 et 24 juin se tiendra le BIM World 2021 à Paris Expo Porte de Versailles. L'événement réunit tous les acteurs du numérique pour la construction, l'immobilier et l'aménagement du territoire. Le CSTB ainsi que SITOWIE et EPIDHERM, start-ups du CSTB'Lab, participeront à ce grand rendez-vous. Recherche d'un accompagnement dans la transition numérique, de services numériques innovants ou déploiement du BIM (Building Information Management) dans vos projets ? Venez sur notre stand à la rencontre de nos experts pour découvrir nos offres, comme le BIM-CIM au service des aménageurs et des collectivités, et échanger sur la démarche BIM GEM au service de la mise en place d'un jumeau numérique. Cette édition abordera parmi les grandes thématiques : Construction, matériaux & performance environnementale, Rénovation, énergie & performance d'exploitation, Quartiers, smart territoires & performances d'usages ou encore Réglementation et label RE2020 pour laquelle le CSTB tiendra une conférence. Rendez-vous au BIM World et congrès Low Carbon, les 23 et 24 juin, Paris Expo Porte de Versailles, Paris. Stands CSTB : E28/F29, Hall 6 Au programme Le CSTB sera mobilisé pour accueillir ses clients et aussi pour animer des ateliers et conférences organisées par Bim World et Low Carbon, des ateliers et faire des démonstrations. Mercredi 23 juin À 11 h – Salle 3 Conférence « Le numérique au service de la rénovation énergétique » Intervenants : Julien Hans, directeur Energie Environnement CSTB, Frédéric Gailliot, directeur marketing Vertuoz, Engie Solutions, Tomas Blaha, Channel Sales Manager, Central and Eastern Europe, Geoslam À 11 h - Salle 2 Conférence « Loi Agec, Loi Climat… Décryptage de l'actualité réglementaire et législative, impacts pour le bâtiment » Intervenants : Sylvain Laurenceau, responsable économie circulaire CSTB, Amélie Diaz, Responsable des études et de la prospective, Institut National de l'Économie Circulaire Juliette Simonetto, Chargée de mission et développement, Institut National de l'Économie Circulaire. De 15h à 15h30 – Espace Talk Rouge Atelier « Comment prendre le virage de la RE2020 » Intervenant : Marine Vesson, ingénieure expertise environnement CSTB À 16h – Studio vert Conférence « L'Europe du BIM : quels projets pour quelles exigences stratégiques ? » Nicolas Naville, chef de mission division Développement des usages numériques CSTB, représentant Digiplace, Sara ANGOTTI, cheffe de projet affaires européennes de la construction, DHUP, Pierre BENNING, co-directeur, PN MINnD, Atlas À 17h – salle 6 Conférence « Accélérer la transition numérique du marché : bilan et prochaines étapes du Plan BIM 2022 » Intervenants : Etienne Crépon, président du CSTB, Emmanuel Acchiardi, sous-directeur de la qualité et du développement durable dans la construction Ministère de la Transition écologique et solidaire, Gilles Charbonnel, président ADN Construction et Yves Laffoucrière, président Plan BIM 2022 Jeudi 24 juin De 10h30 à 11h - Espace Talk Rouge Atelier : Approche et enjeux BIM GEM CSTB au service du jumeau numérique Intervenant : Audrey Vial, référente thématique BIM GEM CSTB De 15h à 15h30 - Espace Talk Rouge : Déploiement du BIM dans les collectivités territoriales : applications concrètes autour du cas d'usage de la gestion du Covid dans les ERP Intervenants : Thibaut Delval, chef de division adjoint maquette & ingénierie concourante CSTB + Christophe Sauvage, chef du service Maintenance nord CD92 À 15h – Salle 2 Conférence : « Europe : quels indicateurs pour la performance environnementale des bâtiments ? » Intervenant : Sylvianne Nibel, ingénieure études et recherche en bâtiments et quartiers durables CSTB, Estelle Réveillard, directrice Alliance HQE/GBC, Nadège Oury, chargée de mission, Alliance HQE/GBC Formations Devenir Référent BIM L'offre de formations BIM et maquette numérique Logiciels Élodie, logiciel d'évaluation de la performance globale des bâtiments AcouBAT by CYPE, logiciel de simulation des performances acoustiques des bâtiments CYPETherm Cometh Logiciel de simulation dynamique des performances thermiques et énergétiques des bâtiments Éditions L'offre BIM et maquette numérique
Il y a 4 ans et 0 jours

Vinci obtient un contrat de près de 500 millions d'euros pour la gestion de bâtiments militaires au Royaume-Uni

Le contrat remporté par Vinci Facilities UK court sur sept ans et concerne la maintenance d'un total de 59 sites comprenant 6.200 bâtiments et infrastructures dans le sud-est du Royaume-Uni."Il pourrait être complété par un programme de travaux de 850 millions d'euros et comprend également une option de prolongation de trois années", ajoute Vinci, selon qui il va permettre la création de "plus de 800 emplois directs et indirects".
Il y a 4 ans et 1 jours

Eiffage livre la plus haute tour en structure bois de France

INNOVATIONS. La tour Hypérion, à Bordeaux, est en cours de livraison. C'est, à ce jour, le plus haut immeuble en structure bois construit en France d'après Eiffage Immobilier, qui a porté ce programme conçu par Jean-Paul Viguier sur le territoire de l'Opération d'intérêt national Bordeaux Euratlantique.
Il y a 4 ans et 1 jours

Ravalement, ITE, bardage : la triple expertise de Sto pour la réhabilitation des façades du Président au Touquet

Au programme des 12 prochains mois : une isolation thermique par l’extérieur, un ravalement et la réhabilitation de 477 balcons. Au total, ce sont 3 000 m² de façades qui seront traitées en ravalement et 2 600 m² en ITE. La résistance thermique visée par cette rénovation est R = 3,70 m².K/W.Au Touquet Paris Plage, dans le Pas-de-Calais, la résidence « Le Président » s’apprête à bénéficier d’un profond lifting. Situé sur le littoral, aux abords dela mer, ce bâtiment historique de la station balnéaire construit dans les années 70 subit régulièrement les assauts de la pluie, du vent, du sable, du sel et des embruns. Résultat : ses façades sont soumises à rude épreuve et se dégradent plus rapidement qu’en circonstances ordinaires. Il y a 10 ans, l’immeuble fait l’objet d’une première rénovation avec des pierres agrafées et collées mais celles-ci se détériorent très vite. En 2017, le conseil syndical décide de prévoir une nouvelle rénovation.À la genèse du projet : le bardage StoVentec Glass pour reproduire la mosaïque existanteLa copropriété se met alors en quête d’une solution rapide à mettre en œuvre et pérenne, capable de se rapprocher des mosaïques en pâte de verre existantes. En effet, les Architectes des Bâtiments de France (ABF) veulent reprendre certains codes historiques de la station balnéaire et avoir au moins un rappel de ces mosaïques. Le service prescription de Sto intervient alors pour proposer sa solution de bardage StoVentec Glass qui offre toutes les qualités requises : une souplesse graphique à souhait qui lui permet de reproduire n’importe quel dessin et une grande durabilité.Trois choix esthétiques successifs sont proposés : le 3ème sera le bon, validé par la copropriété et les ABF.La première idée était de reproduire la Grande Vague japonaise de Kanagawa.La 2ème proposition, issue d’un concours de designers, dont l’un a été épaulé par le service StoDesign, consistait en un dégradé de couleurs.Le choix final se porte sur le projet imaginé par l'architecte Pascal Morchain, à l’origine de la 1ère idée : un modèle qui reprend les basiques de son dessin de la vague et ceux du dégradé de couleurs bleu, la couleur du Touquet, avec une impression d’ondulation dans l'horizontalité et des variations de hauteur. Un important travail de recherche esthétique est mené quant à l'agencement des carreaux afin d'éviter une répétition successive identique.« Il y a eu un gros travail pour rassurer la copropriété sur la pertinence du système StoVentec Glass, cette dernière ayant été un peu échaudée par la rénovation précédente. Il a fallu faire preuve de beaucoup de pédagogie et démontrer que cette solution réunissait toutes les qualités en termes de vitrage, de tenue et garantie dans le temps, d'émaillage, de sérigraphie, de pérennité du collage et de protections périphériques (encollage). Nous avons monté un dossier technique qui a été remis au bureau de contrôle APAVE pour valider notre système complet en front de mer, avec la prise en compte du risque d'érosion (sable et vent projetés sur le StoVentec Glass), de corrosion des rails... Tout a été passé à la loupe ! », raconte Lionel Guerin, chargé de prescription du secteur des Hauts-de-France chez Sto.Le choix de la solution, et donc du fabricant, s'est appuyé sur des prototypes. Sto a proposé une solution en verre émaillé en face interne d'un vitrage. Le verre émaillé en face interne du vitrage a fait la différence tant en termes de rendu esthétique que de pérennité dans le temps.Avec le soutien du service technique, un prototype a été conçu : celui-ci a été mis en place sur l’un des balcons, faisant office de façade témoin. À souligner que chaque panneau est fabriqué sur-mesure : il n'y a pas de dimension standard ni de découpe répétée égale de balcon à balcon, en raison de la conception originelle.Avril 2021 : coup d’envoi du ravalement et de la pose de l’ITEL’une des forces de Sto est de pouvoir proposer une triple expertise en façade, soit, en plus du bardage, des solutions pour le ravalement et l’ITE.Démarré en février 2021, le chantier devrait durer un an. Après la dépose de l’existant en février 2021, le chantier est entré dans sa première phase : depuis début avril 2021 et pour environ 6 mois, plusieurs opérations seront menées de front, sur les 216 mètres de longueur et les 11 étages de l’immeuble.L’entreprise spécialisée en rénovation énergétique, les ECO-Isolateurs Pro, en sous-traitance de l’entreprise générale Cabre, œuvre actuellement à la préparation des supports, à la réhabilitation des bétons et à la décontamination pour éliminer les couches de peintures existantes. Pour ce faire, l’entreprise a fait le choix d’utiliser Sto-Décap Protect, un décapant qui agit en profondeur tout en étant très respectueux des applicateurs et de l’environnement.Une isolation thermique par l’extérieur sera en parallèle retenue sur les pignons et les fonds de loggias, de manière à améliorer la performance énergétique de la résidence. Les pignons seront isolés à l’aide du systèmeStoTherm Mineral 1, utilisant comme isolant des panneaux en laine de roche mono-densité ininflammable Sto-Panneau Minéral (λ de 0,036 W/m.K) pour garantir la bonne résistance au feu de ce bâtiment R+11. Les panneaux seront calés-chevillés et fixés mécaniquement par chevilles sur le support en béton. Le sous enduit hydraulique mince armé StoLevell Uni, produit de calage et de marouflage, sera appliqué directement sur les panneaux isolant.La finition sera ensuite assurée par un enduit grésé ignifugé StoSilco K 1,5, à base de résines micro-siloxanes en phase aqueuse, appliqué à la taloche, de couleur bleu ciel, toujours dans le respect des codes du Touquet. En fonds de balcons, pour éviter une emprise trop importante du complexe isolant et offrir un gain de place maximal, le système StoTherm Minéral 1 est remplacé par StoTherm Resol. Au lieu de la laine de roche, ce sont des panneaux rigides de mousse phénolique qui assurent l’isolation. La conductivité thermique λ certifiée par Acermi de ce matériau est de 0,022W/m.K, ce qui en fait l’isolant le plus performant du marché. On atteint la même résistance thermique avec une épaisseur d’isolant moins importante.Le même enduit de finition StoSilco K 1,5 sera également mis en œuvre pour le ravalement du reste des façades pour une homogénéité parfaite avec les parties traitées en ITE.Depuis mi-avril, l’entreprise générale Cabre, a également démarré la mise en œuvre des ossatures métalliques qui serviront à fixer le bardage StoVentec Glass. En juin, les panneaux du StoVentec Glass seront livrés et la grande partie du chantier sera entamée.
Il y a 4 ans et 2 jours

A Aubusson, de l’ENAD à la Cité de la tapisserie par Terreneuve

Pour le Syndicat mixte de la Cité internationale de la tapisserie, maître d’ouvrage, Terreneuve architectes (mandataire – Nelly Breton & Olivier Fraisse) a livré en 2016 à Aubusson (Creuse) la transformation de l’ENAD en musée contemporain. Au programme : exposition & réserves, plateforme de création contemporaine, ateliers professionnels, atelier de restauration de tapisseries du Mobilier National, […] L’article A Aubusson, de l’ENAD à la Cité de la tapisserie par Terreneuve est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 3 jours

A Beaucouzé, le siège social de TGS France selon Rolland & Associés

Le Groupe TGS France a inauguré en mars 2021 son nouveau siège social (1 600 m²) conçu à Beaucouzé (Maine-et-Loire) par l’agence angevine Rolland & Associés. Hypermobilité et multifonctionnalité pour décloisonner le travail étaient au programme ? Communiqué du maître d’ouvrage. Un siège social conçu pour favoriser la créativité et la formation D’une surface de 1 600 […] L’article A Beaucouzé, le siège social de TGS France selon Rolland & Associés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 4 jours

Bpifrance et l'Ademe présentent les 20 entreprises de la deuxième promotion de l'Accélérateur Transition Énergétique

Bpifrance et l’ADEME ont souhaité renouveler leur soutien en faveur des entreprises du secteur de l’énergie, en lançant la deuxième promotion de l’Accélérateur Transition Energétique. Ce programme d’accompagnement personnalisé de 12 mois a pour ambition d’accompagner les entreprises dans leur croissance au service des enjeux de la transition énergétique.Cette nouvelle promotion de l’Accélérateur Transition Énergétique est composée de 20 entreprises disposant de 29 collaborateurs en moyenne et d’un chiffre d’affaires compris entre 2 et 54 millions d’euros.Durant leur accompagnement, les dirigeants auront l’occasion d’échanger avec des pairs et afin de mieux appréhender les chaînes de valeurs, écosystèmes et équipements français pour identifier les synergies et saisir les opportunités du marché. Cet Accélérateur leur apportera une meilleure connaissance des projets collaboratifs axés sur la transition énergétique développés sur le territoire et leur permettra de renforcer leur positionnement à l’international.Durant les 12 mois du programme, les dirigeants de cette promotion bénéficieront d’un accompagnement innovant, sélectif et personnalisé, axé sur les enjeux de la filière :Conseil : Dès les premiers mois, réalisation d’un diagnostic 360° de l’entreprise et un accès à des journées de conseil pour établir une feuille de route personnalisée ;Formation : Cinq journées de séminaires en partenariat avec l’école Audencia, permettant aux entreprises de renforcer leurs compétences, nourrir leurs réflexions stratégiques et travailler entre pairs au sein d’atelier thématique ;Mise en réseau : un accès privilégié au réseau des entrepreneurs et partenaires Bpifrance et filière.« Accompagner les entreprises prometteuses du secteur de la croissance verte et contribuer à la montée en puissance de champions internationaux est un enjeu majeur pour Bpifrance, dans le cadre de son Plan Climat. En partenariat avec l’ADEME, nous avons conçu cet Accélérateur dédié à la filière de l’énergie pour apporter aux entreprises tous les outils nécessaires dans le but de les aider à se développer plus rapidement et renforcer leur positionnement à l’international pour ainsi favoriser l’énergie verte. Nous sommes fiers de lancer cette deuxième promotion qui témoigne de l’engouement des dirigeant.e.s pour ce dispositif. » déclare Guillaume MORTELIER, Directeur exécutif en charge de l’Accompagnement chez Bpifrance.« Les entreprises du secteur de la transition énergétique ne s’identifient pas toujours à celui-ci. Pourtant les enjeux sont là, avec un marché de plus de 80 milliards d’euros, qui progresse de 130% dans les dix dernières années. Avec cette deuxième promotion de l’Accélérateur transition énergétique, l’ADEME aide au soutien de l’accélération de la transition des PME de la promotion et plus globalement soutient la structuration de cette filière qui représente plus de 350 000 emplois en France. » souligne Baptiste PERRISSIN FABERT, Directeur Exécutif de l’Expertise et des Programmes de l’ADEME.Les 20 entreprises de la deuxième promotion de l’Accélérateur Transition Énergétique :
Il y a 4 ans et 5 jours

Le centre de formation Sto certifié Qualiopi pour la qualité de ses formations

Avec quelques mois d’avance, Sto vient de recevoir la certification Qualiopi (CertificatN° FP 2021/0026-0) pour la qualité de ses formations dans le domaine de la façade (ITE, ravalement, bardage) dispensées dans son centre de Bezons (95).Situé au sein de son siège social à Bezons, le centre de formation de Stoentend soutenir ses partenaires en mettant à leur disposition toutes les clés pratiques et théoriques pour faire monter leurs équipes en compétences.La certification Qualiopi, gage de qualité des formationsObtenir la certification Qualiopi était un enjeu de taille puisque cette qualification permet aux clients Sto de faire financer leurs formations par lesOPCO (OPérateur de Compétences, organisme agréé par l'État chargé d’accompagner la formation professionnelle). Beaucoup de fonds de formations auxquels adhèrent ses clients favorisent déjà cette certification, avant même 2022.Pour obtenir la certification, d’une durée de validité de 3 ans, le référentie ldu centre de formation et son équipe pédagogique ont été passés à la loupe, selon sept critères :Information au public des formations proposéesIdentification précise des objectifsAdaptation aux publics bénéficiaires des prestations et modalités d’accueilAdéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement Qualification des formateurs Investissement du prestataire dans son environnement professionnelLe centre a enfin été audité sur place pendant une journée.Un centre de formation boosté par la rénovation énergétiqueDepuis 2019, le centre de formation de Sto ne désemplit pas ! A l’image de la forte activité, les demandes en formations sont très nombreuses, surtout pour le marché de la maison individuelle. Il faut dire que le secteur de l’isolation thermique par l’extérieur bénéficie d’un contexte réglementaire actuel très porteur (plan de relance, MaPrimeRénov’, etc.).Toutefois, les travaux de façade nécessitent un savoir-faire pour livrer des projets de qualité, dans les règles de l’art. Qui dit pose de qualité, dit nécessité de se former ! Un sujet d’autant plus d’actualité pour faire face aux malfaçons constatées en 2020 qui ont donné lieu à une diminution des aides de MaPrimeRénov’ pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur en juillet 2020. L'acquisition et le rappel des bonnes pratiques s’avèrent plus que jamais nécessaires.En outre, la qualification RGE, obligatoire pour la réalisation de travaux d’ITE afin de pouvoir bénéficier des aides de l’État, demande, depuis 2021, des attestations de formations, comme celles délivrées par Sto.« Nos sessions de formations pour mai et juin sont déjà complètes, celles de juillet se remplissent très vite et nous avons déjà des demandes pour les mois de septembre à novembre ! », constate Laurent Girardey, responsable des Techniciens d'application et du Centre de formation et d'animation.Face à cette activité soutenue, Sto a décidé de renforcer son équipe avec le recrutement d’un deuxième concepteur / formateur. Le centre sera ainsi en capacité d’ouvrir de nouvelles sessions.Les formations au programme de 2021 / 2022 Au vu du contexte sanitaire actuel, les formations ont été adaptées et se déroulent selon un protocole strict : gestion des flux, distanciation sociale, masques obligatoires, effectifs limités, etc.Les formations en présentiel : Chantier école ITE enduit mince sur isolant et bardage ventiléFormation phare de son programme, le « Chantier école ITE enduit mince sur isolant » est dispensée sur 2 jours. Elle porte sur l’apprentissage de la pose dans les règles de l’art d’un système d’enduit mince sur isolant, jusqu’à l’application de l’enduit de finition, en passant par le traitement des points singuliers (encadrement de fenêtre).Autre module en présentiel, exercices pratiques obligent : le « Chantier école ITE bardage ventilé ». A l’issue de cette formation, les stagiaires professionnels seront en mesure de mettre en œuvre un projet de bardage ventilé avec le système à enduire StoVentec R.Ce parcours de 14 heures réparties sur 2 jours allie théorie et pratique, pour bien identifier les différents éléments d’un système de bardage, maîtriser les étapes d’un chantier et acquérir les bons gestes pour mettre en œuvre le système.Les formations mixtes présentiel / digital : entretiens et rénovations d’ITE et pathologies de façade et solutions en ravalementAu programme de la formation « Entretiens et rénovations d’ITE » à partir de juin 2021 : la compréhension des principales causes de désordres d’un enduit mince sur isolant, la connaissance des règles professionnelles pour l’entretien et la rénovation des systèmes, l’assimilation des différents procédés ainsi que leur mise en œuvre. A l’issue d’une ½ journée en e-learning et d’une journée en présentiel, les professionnels (architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, et entrepreneurs) sauront appliquer les bonnes pratiques pour les projets de rénovation d’ITE dans le respect de la réglementation.Une nouvelle formation sur les pathologies de façade et l'aide au diagnostic sera également proposée à partir de novembre 2021. Dispensée sur ½ journée en e-learning et sur une journée en présentiel, elle s’adresse aux techniciens et ingénieurs des maîtres d’ouvrage et des bureaux d’études, responsables chargés du suivi des travaux de rénovation des façades, commerciaux, conducteurs de travaux et dirigeants. A l’issue de la formation, les apprenants seront en mesure d’identifier les pathologies d‘une façade et d’y apporter la solution adaptée. Une formation 100 % digitale : la réglementation incendieEn parallèle des formations en présentiel, Sto a inauguré en novembre2020 une formation digitale : la formation Réglementation incendie (ITE, bardage et ravalement). Au programme : le rappel des fondamentaux, la préconisation des solutions Sto conformes à la réglementation incendie sur maçonnerie et béton, et la mise en œuvre des solutions constructives d’ITE avec isolants PSE.« Avec un contenu plutôt théorique sans nécessité de recourir à des travaux pratiques, cette formation se prête bien au format digital. Celle-ci se déroule en deux temps : un e-learning pour l’assimilation des prérequis, suivi de deux classes virtuelles de 2h réparties sur deux semaines pour ancrer les compétences, délivrer des conseils techniques et répondre aux questions. Nous privilégions les quiz, les jeux et les animations afin de rendre vivante cette classe virtuelle et faire participer au maximum les stagiaires », décrit Laurent Girardey.Des outils pédagogiques et une équipe dédiéeLe Centre de formation de Sto se caractérise par des outils pédagogiques et efficaces, pensés pour faciliter l’acquisition des savoirs et savoir-faire :une expertise métiers des formateurs qui sont tous des professionnels de la façade (les formations Chantier école sont dispensées par des techniciens d’application terrain ; les formations Techniques par des ingénieurs du service technique),une méthode éprouvée : exercices pratiques, quiz interactifs, études de cas et application concrètes,280 m² de plateforme pratique sur le site de Bezons.En contribuant à développer les compétences des hommes, compagnons et encadrants chez ses partenaires, Sto entend participer à un cercle vertueux. Des collaborateurs reconnus pour leur savoir-faire font la satisfaction des clients et s'épanouissent plus longtemps au sein de leur entreprise.Toutes les dates de formation et l’intégralité des parcours sont à retrouver sur sto.fr / Rubrique formation.
Il y a 4 ans et 6 jours

Les villes moyennes proches des métropoles profitent de la crise sanitaire

"En comparaison avec certains territoires métropolitains qui ont connu une forte baisse de leur volume de ventes, ces chiffres montrent plus qu'une résistance des villes moyennes", précise le baromètre co-réalisé par le Conseil supérieur du notariat et la direction du programme ACV.Lancé à la fin 2017 et doté d'une enveloppe de cinq milliards d'euros sur cinq ans, ce programme a pour objectif de revitaliser et soutenir le développement de 222 villes intermédiaires (entre 10.000 et 100.000 habitants).A l'échelle des agglomérations répertoriées par ACV, malgré une année "marquée par une crise sanitaire", le volume des ventes a continué de progresser, passant de 283.290 en 2019 à 296.160 ventes en 2020 (+ 12.870).D'importants volumes de ventes ont été observés à Moulins, Besançon, Pau, Lisieux, Saintes ou Autun, selon le directeur du programme ACV, Rollon Mouchel-Blaisot.Ce constat est particulièrement significatif dans les départements situés à proximité de la région Ile-de-France, tirés par un marché de l'immobilier "particulièrement dynamique", où les achats sont en augmentation.Entre le troisième trimestre 2019 et le troisième trimestre 2020, la part des acquéreurs franciliens a particulièrement progressé dans les départements de l'Yonne (27% d'acheteurs franciliens, +9 points en un an), l'Eure (22%, +6 points) et l'Orne (21%, +6 points)."On peut penser que la restriction de circulation à 100 kilomètres du premier confinement a joué dans la réflexion des acquéreurs", analyse Peggy Montesinos, membre du bureau du conseil supérieur du notariat.Sans parler d'"exode urbain", ces nouveaux acquéreurs ont été "aidés par le télétravail", précise Mme Montesinos."Jusqu'à Limoges en passant par le Cher, le Loir-et-Cher, l'Indre ou la Creuse, il y a eu un intérêt sur ces territoires qui sont bien reliés à Paris", observe M. Mouchel-Blaisot."Les investissement commencent à porter leurs fruits", ajoute-t-il, précisant que les actions du programme ACV continueront à se déployer pour que "le cadre de vie de ces villes à taille humaine soit encore plus attractif".Sur les 5 milliards d'euros du programme Action coeur de ville, quelque 2,1 milliards d'euros ont été engagés sur plusieurs centaines de projets concernant la rénovation de l'habitat, le développement économique ou la transition numérique des villes moyennes.
Il y a 4 ans et 6 jours

Le salon Construction Days prend ses marques

Isabelle Alfano, directrice du salon Construction Days : « Ce rendez-vous s’affiche comme l’évènement de la reprise ». [©DR] Plus que l’été à passer avant de pouvoir se retrouver. C’est un peu le message que font passer Comexposium et Seimat à propos de ses Construction Days. « Ce sera le premier évnement national d’ampleur en 2021 dédié au secteur de la construction », confirme Isabelle Alfano, directrice du salon. Et de poursuivre : « Il offrira aux exposants comme aux visiteurs l’opportunité de retisser des liens et de débattre à nouveau ». Rendez-vous est ainsi donné au Parc Eurexpo-Lyon, du 14 au 16 septembre prochain. Les Construction Days s’affichent donc comme l’évènement de la reprise. Ceci, dans un format inédit qui fera la part belle aux démonstrations. Principalement de matériels de terrassement… Dans ce contexte, tout ou presque se passera en extérieur. Le béton bénéficiera d’une zone dédiée où doivent être regroupés les exposants de la filière. Pour l’heure, peu d’entre eux ont confirmé leur présence. « Mais les inscriptions sont loin d’être closes, remarque Isabelle Alfano.Nous attendons quelque 200 exposants et à mi-juin, un peu plus de 100 ont signé ».   360SmartConnect annonce deux nouveautés PL2M fait partie des participants “béton”. L’industriel a souhaité exposer pour « remplacer notre présence prévue à Intermat, pouvoir renouer des liens et présenter nos nouveautés ». Ainsi, du côté de Lancy, c’est la nouvelle pompe à chape fluide TF400-G qui sera visible “en vrai”. Quant à Putzmeister, il présentera sa pompe à béton compacte tractable P730. Lire aussi : Lancy : Un réseau, deux marques Spécialiste de la banche métallique, Sateco fera aussi le déplacement depuis Poitiers. Il exposera ses outils coffrants et équipements de sécurité pour les chantiers. Et dévoilera un tout nouveau service : l’appli Sateco Tuto. Celle-ci est dédiée à la formation des utilisateurs de coffrage. Lire aussi : Putzmeister lance les nouvelles pompes P720 et P730 Le village “start-up” constitue un des autres temps forts des Construction Days. 360SmartConnect y a déjà confirmé sa présence. Mais surtout annoncé le lancement de deux solutions inédites. Tout d’abord, un système de traçabilité de l’empreinte carbone d’un ouvrage, de la production des matières premières jusqu’à sa livraison (plus d’informations dans Béton[s] le Magazine n° 96 – Septembre/octobre 2021). Ensuite, le 360Sérénité&Contrôle, développé pour permettre la traçabilité des équipements soumis à contrôle.  9 ha d’exposition et de démonstration en extérieur Le programme des conférences du Forum s’est, lui aussi, précisé. « Il y aura deux rendez-vous par jour et un, le jeudi de la clôture », souligne Isabelle Alfano.  “Rationalisation des process : le chantier connecté, un choc de la simplification” est le premier d’entre eux. Suivra “Garantir un environnement de travail sécurisé grâce aux nouvelles technologies”. Le second jour verra la tenue de l’atelier “Un chantier toujours plus vertueux : les nouvelles technologies au service de la transition énergétique”, puis “Comment démarrer/améliorer la transition énergétique”. Enfin, le dernier jour, le “Focus emploi-formation : nouvelles compétences et nouveaux métiers, accompagner la digitalisation” clôturera les conférences.  A l’heure actuelle et sur la base de son expérience d’organisateur de salon, Comexposium table une 10 000 visiteurs, nationaux pour l’essentiel. Ces derniers auront à l’heure disposition 9 ha d’exposition et de démonstration… Ceci, autour de six secteurs d’activité. Outre le “Terrassement, démolition & manutention” et la zone “Filière béton”, il y aura celle dédiée à “Route, Industries des matériaux & fondations”. Puis, celles parlant du “Levage & manutention”, Gros œuvre du bâtiment” et enfin, aux “Nouvelles technologies”.  En dernière minute, Comexposium a dévoilé la tenue d’une vente aux enchères de matériels d’occasion. Cette animation inédite sera opérée par Ritchies Bros.  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 7 jours

Appel de fonds pour réaménager l'intérieur de la cathédrale de Notre-Dame de Paris

Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, a expliqué vouloir "faire entrer la cathédrale dans le XXIe siècle, tout en maintenant la préservation de son identité propre, dans l'esprit de la Tradition chrétienne".La collecte du "Fonds Cathédrale" effectuée sous égide de la Fondation Notre-Dame, sera désormais consacrée à cet objectif: un vaste programme d'aménagements intérieurs qui "nécessite une nouvelle levée de fonds évaluée pour au moins 5 à 6 millions d'euros".Parmi les artistes retenus, plusieurs feront don de leur création. Du mécénat va être recherché. La fondation américaine "Friends of Notre Dame de Paris" accompagnera cette campagne.La loi de juillet 2019 sur la restauration de l'édifice encadre strictement la souscription nationale, qui porte sur la conservation et la restauration de l'édifice, propriété de l'Etat.La Fondation Notre-Dame, choisie après l'incendie en avril 2019 comme une des quatre fondations habilitées à recevoir des fonds de la souscription nationale, a déjà recueilli 85,8 millions d'euros sur un total de 267,7 millions d'euros de dons qui lui ont été promis. Plus que 800 millions d'euros de dons et promesses de dons ont été récoltés au total pour les travaux sur le monument gravement endommagé par l'incendie du 15 avril 2019.Au 10 juin, 85,8 MEUR de dons ont été recueillis par la Fondation Notre Dame. Le total des engagements de dons à recevoir s'élève à 267,7 MEUR.Le programme d'aménagements intérieurs est lui entièrement à la charge de l'affectataire, l'Eglise. Les travaux viseront notamment à proposer un nouveau parcours de visite aux six millions de fidèles, pèlerins et touristes annuels.Les projets couvrent, entre autres, le mobilier, la mise en lumière, le son, une extension de l'orgue de chœur.Après une phase de plusieurs mois consacrée à la consolidation du bâtiment, les travaux de restauration à proprement dit démarreront après l'été.
Il y a 4 ans et 7 jours

Les villes moyennes consolident leur attractivité immobilière

Les villes moyennes ont enrayé la spirale du déclin. Publiée le 15 juin, la seconde édition du baromètre des Notaires de France et du programme national Action cœur de ville en apporte une démonstration chiffrée : dans les 222 agglomérations concernées, les immeubles se vendent autour d’un prix médian de 1385 euros/m2, au lieu de 1294 euros/m2 en 2018. La consolidation globale de l’attractivité dissimule un tableau hétérogène.
Il y a 4 ans et 7 jours

Action coeur de ville : l'attractivité immobilière se confirme, mais pas partout

VILLES MOYENNES. Les chiffres des notaires viennent confirmer ce qu'annonce le directeur national du programme Action coeur de ville, Rollon Mouchel-Blaisot : les volumes et les prix des logements dans les villes du programme continuent d'augmenter, avec toutefois de fortes disparités géographiques.
Il y a 4 ans et 7 jours

NOUVELLE STRATÉGIE DE MARQUE : SIPOREX devient la nouvelle marque forte multicanal dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

Jusqu’alors, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques SIPOREX et YTONG. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en oeuvre de murs coupefeu. Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers : SIPOREX devient la marque dédiée au second oeuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage…) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux. YTONG devient la marque dédiée au gros oeuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.   François CHARDON – Directeur Marketing et Prescription Xella « Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers – SIPOREX pour le second oeuvre et YTONG pour le gros oeuvre – avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers.»   Nouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagement Idéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure… Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques : – Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cm – Des carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm – Des linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cm – Des accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.   Les carreaux SIPOREX Les carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications. Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en oeuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage. De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine…   Innovation : SIPOREX Easyfix Une colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREX Pour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en oeuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage ! Un véritable gain de temps. Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux. La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m2, et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX. Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériaux   Une nouvelle communication orientée «projets utilisateurs» Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose…) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs… et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » : PERFORMANT ! Un matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique. FACILE ! Un matériau pour de multiples applications, mêmes les plus créatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix. PRATIQUE ! Un matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions. ECONOMIQUE ! Un matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.   Un accompagnement soutenu des points de vente partenaires Pour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec : – une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! » pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes, – un guide de choix, – les règles de montage pour les cloisons et les rangements. Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin. Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit. Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.