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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

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Il y a 3 ans et 281 jours

Des archi-pirates à l’abordage de l’avant-garde !

Constitué d’individus de la même génération, un collectif d’architectes a créé en 2021 une revue critique d’architecture : POLYGONE. Quelle idée de lancer une revue uniquement papier ? A l’ère du numérique, c’est culotté. Le numéro 0 a pour titre PIRATE. Tout un programme ! La revue comme architecture construite Sous la bannière de la piraterie, […] L’article Des archi-pirates à l’abordage de l’avant-garde ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 282 jours

Lancement de la 3C.Académie du CCCA-BTP

Le CCCA-BTP, outil à gouvernance paritaire des branches du bâtiment et des travaux publics, qui représente 20 % de l’apprentissage en France tous secteurs professionnels confondus, lance le 13 septembre la 3C.Académie, une plateforme d’offre de connaissances pour accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP dans la montée en compétences de leurs collaborateurs. Elle est ouverte à tous leurs salariés, qui peuvent y accéder gratuitement en créant un compte sur la plateforme.Son objectif : contribuer au développement des compétences d’aujourd’hui et de demain, à travers une offre de connaissances qualitative, diversifiée et adaptée au plus près des réalités du terrain et aux besoins partagés, communs et transverses de tous les acteurs de la formation dédiée aux métiers du bâtiment et des travaux publics.En parfaite adéquation avec la réforme de la formation professionnelle de 2018, c’est dans le cadre de sa nouvelle offre de services au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP, pour les accompagner et leur permettre d’accroître leur performance et assurer le développement de leur activité et celui de l’apprentissage BTP grâce à une haute qualité pédagogique dans les parcours de formation et les modalités pédagogiques, que le CCCA-BTP crée la 3C.Académie.Un triple objectif pour viser l’excellence de la formation BTP1 | TRANSMETTRE, à travers une offre qualitative par ses modalités pédagogiques avec :une grande variété de contenus multimodaux (distanciel, présentiel et mixte) ;de nombreuses ressources pédagogiques en libre-service : guides pratiques, infographies… ;des parcours cours ou longs, tutorés ou non, organisés en modules composés de quiz, vidéos, études de cas, webinaires, classes virtuelles… ;des ateliers thématiques, micro learning, serious game… 2 | INNOVER, à travers une offre engagée vers la montée en puissance de l’innovation au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, en proposant :des contenus adaptés aux évolutions actuelles et futures des métiers, au contexte réglementaire et aux exigences des entreprises, des organismes de formation et plus largement du secteur du BTP ;des contenus spécifiques co-construits et animés par des experts du CCCA-BTP ou des opérateurs référencés.3 | PARTAGER, pour favoriser le développement des compétences, à travers :un espace d’animation des différentes communautés métiers, pour échanger entre pairs sur les bonnes pratiques ou les difficultés rencontrées, partager les retours d’expériences, les expérimentations et les actualités ;des forums de discussions dédiés aux parcours proposés, pour pouvoir questionner les experts ou témoigner de ses expériences.Neuf thématiques inscrites au programmeÀ l’ouverture de la plateforme le 13 septembre, neuf thématiques sont déjà inscrites au programme de la 3C.Académie ; d’autres thématiques viendront l’enrichir d’ici à la fin de l’année 2021.Communication digitale : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP, pour élaborer et déployer leur stratégie de communication digitale.Démarche innovation : inscrire les organismes de formation aux métiers du BTP, en qualité d’acteurs du développement économique de leur territoire, et leurs apprenants comme ambassadeurs de l’innovation au sein des entreprises.Démarche qualité : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP au management de la qualité et à la certification.Droit de la formation : aider les organismes de formation aux métiers du BTP à s’informer, comprendre et identifier les impacts de l’actualité juridique de la formation, à maîtriser le cadre juridique de la réforme de la formation professionnelle.Ingénierie et innovation pédagogiques : aider les organismes de formation aux métiers du BTP à repenser l’ingénierie de la formation, améliorer les pratiques et modalités pédagogiques, les espaces et moyens pédagogiques adaptés aux évolutions des matériels, matériaux ou équipements, pour les actualiser, promouvoir le numérique éducatif, afin d’améliorer les contenus de formation, et valoriser les parcours en alternance. Management de projets avec financement externe : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP à trouver des sources de financement. Management et pratiques RH innovantes : donner des clés en réponse à un environnement dans lequel les méthodes de management et de travail évoluent : donner du sens au travail, se développer, travailler en équipe….Pratiques pédagogiques et éducatives de l’alternance : proposer des parcours « Expertise apprentissage » pour les formateurs BTP et pour les responsables de centres de ressources.Process marketing et commercial : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP dans la construction de leur stratégie marketing et commerciale pour préparer, attirer, convertir, transformer et fidéliser les entreprises et les jeunes.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« C’est dans le cadre de son offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation qui forment à nos métiers du BTP, que nous lançons aujourd’hui la 3C.Académie. Transmettre, innover et partager sont les trois objectifs de cette nouvelle plateforme de connaissances, ouverte gratuitement aux femmes et aux hommes qui forment avec excellence au quotidien les futures forces vives de notre secteur. Afin d’assurer la haute qualité pédagogique des parcours et modalités pédagogiques que nous devons aux jeunes et aux entreprises, il est essentiel de contribuer au renforcement des compétences des collaborateurs des organismes de formation aux métiers du BTP. C’est une priorité qui est chère à notre organisme national à gouvernance paritaire, notamment en impulsant et permettant la montée en puissance de l’innovation au sein des organismes de formation, qui est un marqueur fort de notre action. La 3C.Académie propose une très grande variété de contenus, avec des ressources, parcours et ateliers thématiques co-construits et animés par nos experts métiers et confortés par l’expertise pédagogique de l’alternance de notre organisme à gouvernance paritaire, que nous déployons depuis près de 80 ans au service des entreprises et des jeunes. »Découvrez la nouvelle plateforme à cette adresse.
Il y a 3 ans et 282 jours

Le Groupe Elcia présente ses nouveautés sur Equipbaie Hall 1 Stand G32

#1 Le nouveau module Interventions de ProDevisProDevis étoffe sa palette de fonctionnalités : le logiciel n°1 de chiffrage et gestion commerciale Menuiserie, Store, Fermeture profite d’Equipbaie pour présenter son nouveau module Interventions ! Venant s’ajouter aux 9 déjà existants, son objectif est de permettre aux 20 000 menuisiers utilisateurs de ProDevis de gérer tous types d’interventions (dépannage gratuit ou payant, SAV, fin de chantier…) de manière globale, de simplifier leur traitement, tout en bénéficiant d’une analyse fine et précise de cette activité.De son côté, ProDevis START, l’application de chiffrage et commande 100% web pour les Artisans présentera ses modules Favoris et Médias pour la 1ère fois sur un salon.#2 Le 1er configurateur 3D fenêtres 100% web pour les IndustrielsFruit de l’alliance avec l’éditeur belge Ramasoft, c’est son tout 1er configurateur 3D fenêtres 100% web à destination des particuliers qu’ELCIA présentera sur Equipbaie. Mis à disposition des Industriels du secteur, ce configurateur 3D s’intègre dans leur site web ou encore leurs bornes de showroom. Leurs clients particuliers y modélisent leur projet Menuiserie en quelques clics, simplement et rapidement via une représentation 3D fidèle et précise. Véritable outil d’aide à la vente, le configurateur permet à l’industriel de générer des leads et capter de nouveaux clients. Déployée chez un client pilote, la solution sera dévoilée sur le salon.ELCIA poursuit également son objectif de démocratiser l’usage des configurateurs 3D grâce à l’interface entre ProDevis et BatiTrade (candidate aux Trophées de l’Innovation du salon). A découvrir sur le stand ELCIA !#3 Diapason innove dans la gestion des écrans AteliersIssue du programme de co-construction entre les équipes ISIA et les utilisateurs de Diapason, la gestion des écrans ateliers prend un nouveau virage. Spécialement dédiée aux ateliers de production, son objectif est d’optimiser le pilotage de la production, d’apporter un support « 0 papier » aux opérateurs et d’assurer un suivi qualité, le tout directement depuis les écrans ateliers. 100% Web, cette nouvelle brique est facile à déployer pour un gain de productivité immédiat.Autre nouveauté : Diapason s’interface également avec Microsoft Power BI pour créer des rapports et tableaux de bord dynamiques. Au travers d’un nouveau module, Diapason mettra à disposition un puissant moteur d’extraction pour permettre à des key users sans connaissance technique d’exploiter facilement toutes les données de l’entreprise.#4 Ramasoft et ProDevis se connectent pour simplifier la gestion commercialeLogiciel de fabrication de menuiseries PVC et Alu sur-mesure, Ramasoft se connecte à ProDevis pour offrir de nouvelles possibilités aux fabricants du secteur. Grâce à cette interface, après avoir chiffré leurs menuiseries les plus complexes avec Ramasoft, ces derniers pourront importer automatiquement leurs chiffrages et ainsi piloter toute leur gestion commerciale avec ProDevis. Inversement, toutes les commandes signées dans ProDevis pourront être transférées dans Ramasoft en un clic pour lancer en fabrication.AlloTools présent sur le stand ELCIA à Equipbaie pour présenter ses nouveautés autour des configurateurs 3D Stand ELCIA - Hall 1 Stand G32Un an après l’annonce de leur partenariat, AlloTools, éditeur des solutions BatiTrade (configurateurs 2D et 3D pour les produits de menuiseries, fermetures extérieures et aménagements intérieurs) sera pour la 1ère fois co-exposant sur le stand du Groupe ELCIA - Hall 1 Stand G32.Démocratiser la 3D dans le secteur Menuiserie, Store et Fermeture pour la rendre accessible dans tous les outils de vente des installateurs : c’est chose faite grâce à l’alliance entre ELCIA et AlloTools.Avec cette nouvelle interface, plus de 20 000 menuisiers accèdent aux configurateurs 3D BatiTrade directement depuis ProDevis, le logiciel n°1 de chiffrage et gestion commerciale Menuiserie, Store, Fermeture. Plus besoin de changer de solution pour réaliser leur projet 3D de portails, clôtures, portes de garage, garde-corps, portes d’entrée, pergolas, … moins de ressaisie pour plus de temps gagné !
Il y a 3 ans et 282 jours

Le manque d’offre pèse toujours sur les prix de l'immobilier neuf

Prix en hausse dans une centaine de villesTrois-quarts des villes de ce baromètre des prix de l’immobilier neuf voient leur prix augmenter lors des six derniers mois. Elles étaient 6 sur 7 en début d’année.Si l’on note proportionnellement moins de villes affichant des prix en hausse, Trouver-un-logement-neuf.com observe tout de même que l’offre y est de plus en plus restreinte. Le site spécialisé dans l’immobilier neuf enregistre que le nombre de villes comptant au moins 5 programmes neufs continue de se tarir : 141 précisément en cette rentrée, contre 150, début 2021. Moins d’offre, c’est indubitablement une pression sur les prix. D’autant que la demande reste forte, confirment les promoteurs immobiliers, dans la dernière enquête trimestrielle de l’Insee.Un T3 au-delà des 300 000 € en moyenneLe prix moyen d’un trois-pièces a ainsi augmenté de + 3,07 % en six mois, pour une inflation sur un an de + 1,9 % à fin août, selon l’Insee. En cette rentrée 2021, il faut donc compter en moyenne 302 484 € pour acheter un trois-pièces dans le neuf en France. Le cap symbolique d’un prix de mise en vente moyen à 300 000 € pour un T3, surface de référence dans la promotion immobilière, est donc franchi pour la première fois dans ce baromètre.« Si, globalement, moins de villes sont concernées par la hausse des prix en cette rentrée qu’en début d’année, cela n’empêche que le manque d’offre fait indubitablement grimper les prix dans ce baromètre », décrypte Céline Coletto, porte-parole de Trouver-un-logement-neuf.com. Exemple à Bayonne.Immobilier neuf Bayonne : la plus forte haussePlus forte hausse de ce baromètre : Bayonne. Avec un prix qui grimpe d’un tiers en six mois, à 412 300 €, la cité basque compte moins d’une dizaine de programmes neufs en commercialisation actuellement et l’arrivée d’un nouveau programme immobilier très haut de gamme fait s’envoler la moyenne. On peut toutefois toujours y trouver des trois-pièces à moins de 250 000 €.Contre-exemple : Ajaccio. La ville corse a encore moins de projets immobiliers en commercialisation mais des programmes neufs plus abordables qui lui permettent d’afficher un prix en baisse de presque -27% à un accessible 282 200 € pour un trois-pièces en moyenne.A noter que des grandes villes font leur retour dans le top 10 des plus fortes hausses : Lille : +17,5%, Caen : +16,5%, Toulon : +12,5%. Paris où les prix étaient en baisse ces derniers mois, enregistre une nouvelle progression importante : +7,6% à presque 856 000 € le trois-pièces.Les tops 5 des prix du neufParmi les villes les plus chères de France, à la suite de Paris, on retrouve à nouveau uniquement des villes des Hauts-de-Seine. Compter plus de 680 000 € pour acheter un trois-pièces à Issy-les-Moulineaux. Clichy, malgré une légère baisse de -1,78% complète le podium.Pour trouver des prix plus accessibles en Ile-de-France, il faut se tourner vers Meaux et Melun en Seine-et-Marne, les deux seules villes franciliennes où l’on trouve encore des trois-pièces à moins de 200 000 € en moyenne. Pour un appartement neuf à Paris, on peut désormais en acheter 4 à Meaux.Pourtant, parmi les villes les plus abordables, la hausse des prix se poursuit aussi. Tout en restant accessible, devenir propriétaire d’un trois-pièces à Saran au nord d’Orléans coute désormais 10,5% plus cher qu’il y a six mois. D’autres localités comme Perpignan, Tourcoing, Haguenau… restent sous la barre des 200 000 €, même si les prix y augmentent aussi ces derniers mois.Quelle ville est la plus demandée ?Berceau de l’investissement locatif, Toulouse, où le prix augmente de 3% environ à presque 260 000 €, repasse en tête des villes les plus recherchées sur le portail Trouver-un-logement-neuf.com à l’approche de cette rentrée, passant de la 5ème à la pole position. Elle devance Rennes et Nantes, qui perd sa première place, sur le podium des localités les plus demandées par les internautes. Toulouse profite peut-être du regain des requêtes pour l’investissement, qui a grimpé de 2,5 points en cette rentrée sur le portail dédié au logement neuf.ConclusionA voir maintenant si ce regain d’intérêt pour l’investissement locatif se traduira en réservations dans les semaines à venir. Pour l’heure, les ventes du deuxième trimestre restent en retrait de presque 14% à la période d’avant crise sanitaire, d’après les chiffres du ministère.D’importantes annonces, notamment à propos d’un Super Pinel pour 2023, mais aussi d’un référentiel pour du logement de qualité et de propositions pour soutenir l’immobilier, sont attendues d’ici la mi-octobre. Objectif : relancer la construction et donc l’offre. A suivre pour savoir si cela fera baisser la pression sur les prix.Les plus fortes évolutions de prix du neuf en France en six moisConsulter ici le prix de l’immobilier neuf ville par ville
Il y a 3 ans et 282 jours

Leica BLK3D : des mesures 3D sur photo, en temps réel avec une qualité professionnelle !

Photographiez et mesurez tout ce que vous voulezOn parle en l’occurrence de photogrammétrie pour désigner cette technologie qui permet de relever rapidement les cotes en trois dimensions sur une image numérique. Le procédé utilise des algorithmes qui détectent les contrastes dans une image, puis déterminent les intersections afin de mesurer les distances entre chaque point.Si la technologie n’est pas nouvelle, c’est en réalité le format du BLK3D et sa simplicité d’utilisation qui laisse entrevoir une véritable révolution dans les usages. Avec un poids de 480 grammes et une épaisseur de 27 millimètres, l’imageur 3D de Leica Geosystems possède des dimensions similaires à celles d’un smartphone. Et la ressemblance ne s’arrête pas là puisque le BLK3D embarque aussi un système d’exploitation Android, le Bluetooth, le Wifi et le GPS. Autant d’attributs qui permettent d’appréhender rapidement et facilement les fonctionnalités du BLK3D, afin d’exploiter pleinement la puissance de l’appareil dans toutes les tâches quotidiennes.Une meilleure productivité, sur site comme au bureau Grâce à la combinaison de son appareil photo calibré en stéréo et de ses algorithmes de traitement de données ultra performants, chaque photo capturée par le BLK3D est une documentation complète de mesures en 3D. Il vous suffit, en cliquant sur l’écran tactile, de désigner les extrémités des sections afin de pouvoir mesurer simplement les distances et les surfaces des éléments que vous avez photographiés.Il faut ainsi compter moins de 5 minutes pour prendre des façades en photo et obtenir toutes les distances , même dans les zones inaccessibles (balcons, fenêtres, etc…). Avec une portée allant jusqu’à 20 mètres et une précision garantie à +/- 3 mm, le BLK3D vous dispense de l’installation fastidieuse d’une échelle ou d’une nacelle pour réaliser vos mesures. Une seule personne peut dorénavant s’occuper de l’ensemble des relevés !Le gain de productivité ne s’arrête pas là. Les données recueillies (images, mesures ou plans) peuvent aussi être combinées et traitées via ordinateur. Elles s’exportent rapidement dans tous les formats courants (PDF, jpeg, etc) ainsi qu’en DXF ou DWG 2D ou 3D pour être utilisées directement sur votre logiciel de CAO. Et comme chaque photo contient toutes les données, plus besoin de retourner sur le chantier en cas de modification sur le projet. Bienvenue dans l’univers de la Numérisation !Commercialisé depuis le début de l’été, le BLK3D de Leica Geosystems est disponible dans l’ensemble du réseau TOPOCENTER.Pour en savoir plus et obtenir une démonstration gratuite : cliquez ici
Il y a 3 ans et 283 jours

Paris-Saclay : Carré Central totalement réversible pour Anne Démians

L’agence Architectures Anne Démians a révélé en août 2021 qu’elle réalisera un programme techtiaire* totalement réversible au sein du quartier mixte « Le Carré Central » au cœur du campus urbain Paris-Saclay à Palaiseau (Essonne). Communiqué. Architectures Anne Démians est associé au groupement d’opérateurs Demathieu Bard Immobilier (mandataire), Pitch Promotion, Sogeprom et 3F qui pilotera […] L’article Paris-Saclay : Carré Central totalement réversible pour Anne Démians est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 284 jours

Paris-Saclay : 90 logements pour l’AUC sur le quartier de Moulon

En juin 2021, l’agence AUC a été sélectionnée pour un programme de 90 logements familiaux sur le quartier de Moulon au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. Livraison 2024. Communiqué. A la suite de la consultation d’opérateurs lancée en mai 2019, l’EPA Paris-Saclay en concertation avec les collectivités du territoire avait désigné Nacarat lauréat de […] L’article Paris-Saclay : 90 logements pour l’AUC sur le quartier de Moulon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 286 jours

Soudeuses ou ingénieures, l'industrie peine encore à se féminiser

Au total, les femmes ne représentent que 30% des salariés de l'industrie et à peine plus de 15% de ses cadres dirigeants, déplorent en coeur les responsables industriels et politiques du pays à l'occasion du salon Global Industrie à Lyon."Dans les entreprises, les femmes sont souvent dans les ressources humaines ou les fonctions support comme la communication, plus on va vers les lignes de production, plus le chiffre est bas" reconnait Alexandre Saubot, président de France Industrie, l'organisme qui représente le secteur, et patron du groupe Haulotte (Matériels élévateurs).Pourtant, Ammana Kehalia, 20 ans, a trouvé sa voie: "radiologue des objets". Elle va commencer une formation pour contrôler la qualité de soudures sur des pièces de métal grâce à des machines "à rayons X". "Un métier de responsabilité, où il faut lire beaucoup d'études, ça me plait".Après une scolarité cabossée, troisième redoublée, CAP coiffure inachevé, la jeune Lyonnaise, passée par l'Ecole de la deuxième chance E2C, doit intégrer cet automne le campus Industreet à Stains (Seine-Saint-Denis)."Réparer quelque chose de cassé"Ouvert l'an passé par la Fondation Total Energies, il accueille sa deuxième promotion de jeunes âgés de 18 à 25 ans en décrochage scolaire, dans un département où le chômage des jeunes dépasse les 20%, pour des formations industrielles.Cette semaine, Ammana a rencontré la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, venue à Lyon encourager les filles scientifiques à s'orienter vers l'industrie. Ammana lui a demandé de "surtout mieux informer" les élèves très jeunes sur ces débouchés."Depuis toute petite, j'étais intéressée par le manuel, la mécanique, il y avait un garage près de chez moi à Vénissieux (banlieue de Lyon), j'y allais toute seule, j'étais passionnée par l'idée de réparer quelque chose de cassé", raconte-t-elle. Mais au moment de l'orientation, Ammana a été incitée à choisir un "métier de fille": Coiffeuse. Ce fut un échec sur toute la ligne.Inas Kaci, 21 ans, en master informatique à la Sorbonne à Paris, se dit, elle, "frappée" par "le très faible nombre de filles" dans sa promotion de matheux: 4 sur 32. Même phénomène dans beaucoup de promotions d'ingénieurs.Les stéréotypes de genre ont la vie dure, même si beaucoup a été mis en oeuvre dans l'Education nationale pour s'en affranchir dès la petite enfance. Par ailleurs, les études montrent que si elle sont meilleures élèves, les filles ont statistiquement moins confiance en elles."Ce n'est pas la fac qui fait ça, on dirait que ça se fait naturellement, mais je ne comprends pas pourquoi", dit Inas. La jeune fille milite à l'association Elles Bougent dont des représentantes ont également rencontré Mme Pannier-Runacher à Lyon."Alors que nous voulons relancer l'économie et faire de la France un pays plus écologique, compétitif et solidaire, il est impossible de faire l'impasse sur 50% de nos talents" soutient la ministre qui se dit déterminée à "faire bouger les mentalités dans le monde professionnel". Aussi bien au nom de l'égalité des chances que de la compétitivité des entreprises."La diversité donne plus de performance à toute organisation, et la plus facile à mettre en place est d'abord la féminisation", estime Mme Pannier-Runacher. "Si on prend toujours les mêmes, on finit par reproduire des erreurs".Frédéric Sanchez, président du groupe d'ingénierie Fives et responsable du Medef, présent lors de la rencontre, admet qu'il y a "des problèmes internes" dans les entreprises au moment des recrutements: "C'est sûr" dit-il."Je suis très insatisfait": Même en donnant des bonus aux chargés de recrutement pour des embauches féminines, "on n'y arrive pas". Pour lui, "c'est comme si des ingénieurs hommes de 40-50 ans étaient enclins à favoriser des hommes". Comme s'ils avaient du mal à faire confiance à des jeunes filles de 25 ans ou moins.
Il y a 3 ans et 286 jours

Le programme de réhabilitation des friches industrielles étendu au delà de 2022

Reconversion d'une ancienne usine, d'un garage ou d'une gare abandonné(e), le "fonds friche", initialement doté de 300 millions d'euros dans le plan de relance, a rencontré tellement de succès auprès des collectivités que Matignon avait plus que doublé son montant au printemps, à 650 millions d'euros.L'annonce de sa pérennisation, probablement jusqu'en 2026 selon la Gazette des Communes, a été faite par le président de la République mardi lors d'une rencontre à la Cité de l'architecture à Paris, portant sur le suivi du programme de revitalisation des centre-villes baptisé "Action coeur de ville".L'Elysée a par la suite détaillé mercredi dans un tweet l'ensemble des autres mesures prises pour soutenir l'aménagement des villes moyennes, notamment en poursuivant "la décentralisation des services publics".Selon le bilan marquant le premier anniversaire du plan de relance diffusé lundi par Matignon, le "fonds friche" a pour sa part déjà concerné plus de 500 projets en France, soit "1.365 hectares qui seront réhabilités et dépollués, l'équivalent de 2.500 terrains de football".Avec pour l'Etat un double objectif, soutenir financièrement les élus locaux dans des projets de reconversion de sites industriels, destinés à accueillir de nouveaux logements, entreprises ou équipements publics, et lutter contre l'artificialisation des terres.Parmi les projets retenus, le fonds a notamment permis de lancer la reconversion de l'ancienne usine à gaz de Blois, celle d'Annonay, des mines de fer de Caen, une caserne à Verdun ou un garage à Lamballe.En juin, un rapport parlementaire avait proposé la pérennisation de ce fonds pour "accélérer le rebond économique post covid" dans les zones en déprise économique.Il présentait alors ce fonds comme un "bouclier anti-déclin" dans la "France des gilets jaunes".La reconversion des friches est aussi l'un des leviers actionnés par le gouvernement pour atteindre son objectif de "zero artificialisation nette", inscrit en 2018 par Nicolas Hulot dans le plan biodiversité et repris par la loi Climat et résilience avec un horizon à 2050.En France, 20 à 30.000 hectares d'espaces naturels, agricoles ou forestiers sont artificialisés chaque année, une des causes premières du changement climatique, de l'érosion et de la perte de biodiversité.
Il y a 3 ans et 286 jours

Macron annonce de nouvelles mesures pour revitaliser les villes moyennes

"Nos compatriotes ne veulent pas juste de grands débats théoriques sur l'identité (...) Ils veulent retrouver le contrôle et la possession de leur vie, de leur ville, de leur paysage, de leur destin", a déclaré le chef de l'Etat en clôturant les 4e rencontres d'Action Coeur de ville, auxquelles ont participé des élus venus des quatre coins du pays.A sept mois de la présidentielle et alors que plusieurs candidats déclarés mettent en avant leur enracinement, Emmanuel Macron a affirmé que les Français demandaient "de la proximité, de l'efficacité et de l'ambition".Accompagné de la ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault, il a ainsi cité comme "modèle de l'action publique d'aujourd'hui et de demain" Action Coeur de ville, une opération lancée en 2018 avec une triple ambition: "revitaliser les centres des villes moyennes, améliorer les conditions de vie de leurs habitants et conforter le rôle moteur de ces villes dans le développement du territoire".Ce plan a été doté de 5 milliards d'euros - dont trois ont déjà été engagés et les deux autres le seront dans les prochains mois - pour intervenir dans 234 villes de la métropole et de l'Outre-mer, alors que près d'un quart des Français vivent dans une ville moyenne (20.000 à 100.000 habitants).Quelque 6.000 actions ont été engagées pour revitaliser les espaces publics, les commerces de proximité ou les lieux culturels, selon l'Elysée.Emmanuel Macron a confirmé que le plan serait prolongé jusqu'en 2026, au lieu de 2022, et a annoncé que 350 millions d'euros supplémentaires, issus des fonds européens, allaient être consacrés aux projets de redynamisation des centres-villes. Il a en outre prolongé les fonds pour remettre en état les friches et le programme de défiscalisation, dit "Denormandie", au delà de 2022 pour la réhabilitation de logements.Caroline Cayeux, présidente de l'Agence nationale de la cohésion des territoires et maire DVD de Beauvais, a souligné que les villes moyennes avaient "tous les atouts" pour répondre "aux attentes des Français après la crise du Covid-19", en particulier pour "la qualité de vie".Le prix de l'immobilier, longtemps en berne, a d'ailleurs commencé à remonter dans certaines d'entre elles.
Il y a 3 ans et 287 jours

Les premières fiches pratiques PROFEEL pour l'autocontrôle des travaux de rénovation énergétique disponibles gratuitement

Cinq premières fiches disponiblesCes cinq premières fiches d’autocontrôle disponibles gratuitement sur le site du programme PROFEEL couvrent les solutions techniques d’isolation par l’intérieur et d’isolation par l’extérieur. Pour chaque solution technique, une fiche dédiée :Fiche d’autocontrôle PROFEEL : ITI par doublageFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITI sur ossatureFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITI par enduit en mortier de chanvreFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITE avec enduit sur isolantFiche d’autocontrôle PROFEEL : ITE avec isolant sous bardageDes fiches utiles à chaque étape du chantierL’autocontrôle se fait sur toutes les étapes du chantier. Les artisans et entreprises du bâtiment retrouveront ainsi pour chaque typologie de travaux les principaux points de contrôle à vérifier pour réaliser une bonne conception, pour bien préparer son chantier puis, lors des travaux, pour garantir une mise en oeuvre de qualité. Sur chaque fiche, les points d’autocontrôle listés n’ont pas vocation à être exhaustifs.Les points-clés identifiés permettent cependant à l’artisan ou entreprise de s’assurer avec sérénité que la mise en oeuvre de l’ouvrage est conforme aux règles de l’art. Les non conformités majeures et mineures des grilles RGE sont identifiées afin de permettre aux professionnels de mieux préparer les audits.Ces fiches ont été élaborées de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC).Un service numérique et une collection complète à la rentrée 2021Au total, 49 fiches pratiques d’autocontrôle seront mises à disposition des professionnels du bâtiment d’ici la fin du mois de septembre 2021. Elles couvrent l’ensemble des lots de travaux éligibles aux aides à la rénovation énergétique.L’ensemble de ces fiches seront alors également accessibles depuis l’application numérique Chek’Réno. Cet outil gratuit permettra aux artisans et entreprises du bâtiment une gestion dématérialisée de leurs pratiques d’autocontrôle tout au long de leurs chantiers.Un service numérique et une collection complète à la rentrée 2021Au total, 49 fiches pratiques d’autocontrôle seront mises à disposition des professionnels du bâtiment d’ici la fin du mois de septembre 2021. Elles couvrent l’ensemble des lots de travaux éligibles aux aides à la rénovation énergétique.L’ensemble de ces fiches seront alors également accessibles depuis l’application numérique Chek’Réno. Cet outil gratuit permettra aux artisans et entreprises du bâtiment une gestion dématérialisée de leurs pratiques d’autocontrôle tout au long de leurs chantiers.
Il y a 3 ans et 288 jours

Se mettre au vert après le Covid? Des rêves mais encore peu d'actes

Pas d'exode urbain"On est loin des cohortes de citadins qui fuient les villes", a rappelé Frédéric Violeau, président de l'Institut notarial du droit immobilier, au cours d'une table ronde au ministère du Logement le 31 août.Si le nombre de transactions en France a nettement augmenté depuis la fin du premier confinement, à un niveau record depuis 2000 sur un an, les grands changements de lieux de résidence ne se sont pas tant multipliés: 26,7% des personnes qui ont déménagé au second semestre 2020 ont changé de départements, contre 23,5% sur la même période un an plus tôt."C'est une tendance notable, mais pas massive", commente M. Violeau, en évoquant d'autres signaux comme la baisse marquée des transactions à Paris intramuros, accompagnée d'un tassement des prix et d'un départ plus prononcé vers la proche banlieue. "On peut faire le même constat dans d'autres métropoles comme Lyon ou Toulouse".Mais les salariés restent attachés à leur bassin d'emploi. "On assiste à une volonté de +déconnexion connectée+, avec une envie de vivre plus loin de son lieu de travail tout en étant opérationnel", notamment grâce au travail à distance, estime le notaire.Au-delà du travail, "envisager un changement de vie pose de nombreuses questions, par exemple sur l'attractivité des offres des écoles et des formations", explique Henry Buzy-Cazaux, président de l'Institut du management des services immobiliers.Des villes moyennes plus attractivesLes villes moyennes ont profité des récents départs qui ont eu lieu depuis le coeur de métropoles, contrairement à la tendance observée sur la dernière décennie.En effet, la hausse des prix (+4,5%) a été plus dynamique sur une quarantaine de villes ne figurant pas dans les dix plus grandes de France, que dans ces dix villes (+4,1%), selon les données publiées mardi par la plateforme spécialisée Meilleurs Agents.Ainsi, à Quimper ou Reims, les prix ont grimpé deux fois plus vite entre 2020 et 2021 que sur la moyenne des trois années précédentes.Au début des années 2000, "il y avait encore une forte concurrence entre les villes et les territoires. Les métropoles voulaient +tuer+ les villes moyennes de leur périphérie, qui elles-mêmes n'avaient pas envie que des petites communes gagnent en attractivité", décrit Henry Buzy-Cazaux.Désormais, "ce n'est plus le cas. Une ville sait que si elle n'a pas d'alternative pour attirer des candidats, elle va congestionner son territoire. Bordeaux souhaite que des villes comme Angoulême ou Pau prennent le relais", poursuit-il.Tensions dans de nouvelles zones"Depuis un an, les maisons de campagne ont retrouvé un peu d'air. On fait de nouveau des transactions, alors que ce n'était presque plus le cas entre 2010 et 2015", remarque Olivier Colcombet, président du réseau immobilier Optimhome."Cela doit être une opportunité pour ces biens, car il y a maintenant un intérêt économique à les rénover, les remettre sur le marché", a déclaré la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon au cours de la table ronde, en annonçant une réflexion sur la "qualité de l'offre" de ces logements.Autre défi, "il faut être capable de lier les besoins des résidents actuels et des résidents futurs", afin que les seconds soit bien acceptés par les premiers, a prévenu Juliette Auricoste, directrice du programme petites villes."Il faut faire attention à ce que le renouveau des villes moyennes et des petites villes ne se traduise pas en un conflit identitaire" entre les anciens habitants, qui peuvent parfois souffrir de la hausse des prix, et les nouveaux, a également noté Mme Wargon.
Il y a 3 ans et 288 jours

L'Apec reconduit son dispositif pour l'emploi des jeunes diplômés

Après avoir "accompagné 50.000 jeunes diplômés" grâce à son dispositif "de septembre 2020 à l'été 2021", l'Apec veut désormais "accompagner 40.000 jeunes de l'enseignement supérieur dans leur recherche d'un emploi, stage ou alternance, entre la rentrée 2021 et l'été 2022", a-t-elle précisé.Selon l'association, "malgré une reprise des recrutements et un volume d'offres d'emploi qui retrouve son niveau d'avant-crise" sanitaire, "la situation reste préoccupante pour un certain nombre de jeunes" diplômés."Nous constatons malheureusement un +effet d'embouteillage+. Les jeunes diplômés des promotions 2020, voire 2019 n'ont pas encore tous trouvé un emploi" et "ils vont être rejoints par ceux de la promotion 2021 qui arrivent sur le marché du travail", a souligné le directeur général de l'Apec, Gilles Gateau, cité dans le communiqué.Le dispositif Objectif Premier Emploi offre aux jeunes diplômés des "services et conseils personnalisés, lors de rendez-vous individuels, en face à face ou à distance", rappelle l'Apec, qui propose aussi des ateliers collectifs.L'association a par ailleurs signé lundi avec l'État un "nouveau mandat de service public", portant sur la période 2022-2026, "en complémentarité avec le service public de l'emploi"."Le modèle de l'Apec a démontré toute son utilité, et en particulier dans la crise. C'est le cas du programme Objectif Premier Emploi qui a permis à de nombreux jeunes d'être épaulés dans leurs recherches d'emploi", a estimé la ministre du Travail, Élisabeth Borne, citée dans le communiqué.
Il y a 3 ans et 288 jours

Une halle aux 200 poteaux, par l'Atelier Nao en Haute-Savoie

Dans la commune de Faverges-Seythenex, nichée entre le lac d'Annecy et les reliefs de Savoie, cette « halle culturelle et économique » réalisée par l'Atelier Nao vise à créer un lieu de vie accessible à tous, en plein centre-ville. Au programme : une structure abritant 500 m2 destinés aux marchés hebdomadaires, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 288 jours

Services et espaces publics : les chantiers à venir à Strasbourg

À Strasbourg, diverses opérations portant sur de nouveaux services et espaces publics sont prévues dans le cadre de la réalisation du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU) 2020-2030.
Il y a 3 ans et 289 jours

Ener-J Meeting Paris : venez assister aux prises de parole des experts du CSTB le 7 septembre

Ils interviendront dans deux conférences pour présenter le programme Profeel avec l'Agence Qualité Construction, mais aussi la démarche prospective ADEME-CSTB. Ener-J meeting est le rendez-vous des acteurs de la construction et de l'aménagement sur la thématique de l'efficacité énergétique et environnementale du bâtiment. Au programme : nouvelles réglementations, tendances et retours d'expérience. Le CSTB partenaire de l'événement, participera à deux conférences. Olivier Greslou, de la direction Energie-Environnement, interviendra aux côtés de l'Agence Qualité Construction dans le cadre de la présentation du Programme partenarial PROFEEL, qui comporte 9 défis pour la rénovation énergétique. Il y présentera le projet RénoStandard, l'un des 4 projets portés par le CSTB au sein du programme, qui vise à déployer des solutions de rénovation globales pour des gammes de maisons individuelles standardisées. Rendez-vous à 9h30 dans la l'espace Exposants Conférence 2 Jean-Christophe Visier, directeur de la Prospective au CSTB, prendra quant à lui la parole dans le cadre de l'atelier d'immersion : « Prospective des bâtiments et de l'immobilier à 2050 », pour présenter la démarche prospective ADEME-CSTB, qui a pour ambition d'imaginer les bâtiments de demain, à horizon 2050. Une démarche collective qui réunit des professionnels venant de tous horizons - ingénieurs, sociologues, économistes et acteurs de la ville - pour réfléchir sur les avenirs possibles, et mieux éclairer les choix d'aujourd'hui. Pour assister à cet atelier, rendez-vous à 10h. dans le petit auditorium, 1er étage Ener-J Meeting, le 7 septembre 2021, au Palais Brongniart, Paris En savoir plus : Site Ener-J meeting S'inscrire à Ener-J meeting
Il y a 3 ans et 289 jours

Grands chantiers de rénovation énergétique sur les sites du CSTB

Bâtiment sur le site de Marne-la-Vallée faisant partie du programme de rénovation - Photo : Raphaël DautignyLes projets de rénovation énergétique lancés par le CSTB pour ses propres bâtiments, dans le cadre du Plan de Relance, constituent un terrain d'expérimentation en vraie grandeur, appliquée aux outils développés par ses équipes. À Sophia Antipolis, nous envisageons de réaliser un jumeau numérique du site pour gérer son exploitation et avoir ainsi un terrain d'expérimentation pour nos projets de recherche, au service de nos partenaires ou clients. Franck Andrieux, Directeur d'établissement CSTB Sophia Antipolis et Directeur adjoint Direction Technologies de l'information Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 289 jours

Sto intègre la Convention des Entreprises pour le Climat et s'engage dans une transformation environnementale ambitieuse

Son objectif ? Émettre des propositions audacieuses et impactantes concernant la transformation climatique, destinées à être mises en œuvre au sein des entreprises. Sto, le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, bardage ventilé – annonce sa sélection lors de la 4ème vague de recrutements. Cet engagement s'inscrit parfaitement dans la droite ligne de sa politique RSE et de sa devise « Bâtir en responsable ».La transition écologique : un sujet au cœur des préoccupations de StoLes sujets de la transformation climatique, la transition écologique et l'environnement de manière générale sont plus que jamais d'actualité. En tant que directeur général de Sto et président du Groupement du Mur Manteau, Philippe Boussemart est fortement impliqué dans le secteur de la transition énergétique. Et c'est peut-être dans la coopération et la collaboration entre les différentes entreprises qu'elle pourra être réussie !Philippe Boussemart a donc décidé de candidater à la Convention des Entreprises pour le Climat en expliquant son environnement, ses missions, son écosystème avec le Groupement du Mur Manteau, ses motivations, son intérêt et celui de Sto pour le sujet. Après deux entretiens passés avec le comité de sélection de la CEC, Sto a été retenu pour faire partie du collectif de 150 dirigeantes et dirigeants en cours de formation, pour co-construire les feuilles de route alignant leurs entreprises avec la trajectoire nationale de – 55 % d'émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 et les objectifs de décarbonation fixés par l'Europe en 2020.« La transformation climatique ne se conjugue plus au futur mais au présent ce qui crée une obligation d'engagement immédiat pour la protection de la planète et le futur de nos enfants. Je souhaite porter cette ambition avec les autres dirigeants de la CEC tout en préparant mon entreprise et son écosystème à réussir ce challenge écologique », indique Philippe Boussemart.Vers un changement climatique et environnemental meilleur porté par les entreprisesLa Convention des Entreprises pour le Climat s'articulera autour des mêmes thèmes que ceux de la Convention Citoyenne pour le Climat : consommer, produire, s'épanouir, se déplacer, se loger, se nourrir et services & autres. Sto, en tant que leader de l'isolation thermique par l'extérieur, prendra part logiquement à la thématique « se loger ».Dans ce cadre, Philippe Boussemart sera chargé de contribuer à l'intelligence collective en apportant son expérience acquise dans la performance énergétique des bâtiments. Les 150 dirigeantes et dirigeants collecteront des idées, échangeront et représenteront leurs salariés.« Ce qui est intéressant dans cette Convention des Entreprises pour le Climat, c'est qu'il y a à la fois la possibilité d'y contribuer, mais aussi celle de faire infuser et d'engager la transformation climatique au sein de Sto », soulève le directeur général de Sto.Philippe Boussemart sera épaulé dans sa tâche par Sophie Choplin, la directrice marketing de Sto, désignée comme « Planet Champion ». Elle agira en qualité de suppléante et sera le porte-drapeau des résultats du travail de la CEC au sein de l'entreprise.Un programme à la hauteur des enjeux écologiques !Les 150 dirigeantes et dirigeants devront suivre un parcours apprenant-agissant afin de mettre leurs feuilles de route à la hauteur des enjeux écologiques.Ce ne sont pas moins de 6 sessions qui sont programmées aux quatre coins de la France, de septembre 2021 à avril 2022, chacune permettant d'atteindre progressivement les objectifs fixés :Session du 9-11 septembre : Constat et monde d'après Vulnérabilité et contribution aux risques systémiques. Co-construction des contours d'un nouveau modèle économique soutenable, désirable et respectueux du vivant.Session du 20-22 octobre : Nouveau cap Projection, secteur par secteur, dans le monde de demain. Début de la réinvention de son organisation : raison d'être, offre, modèle d'affaires, gouvernance.Session du 2-4 décembre : Nouvelle boussole Mesure de ce qui aura demain de la valeur et valeur de ce qui ne se mesure pas. Étude des retournements à produire dans l'analyse de la performance et du financement des nouveaux modèles d'affaire.Session du 20-22 janvier 2022 : Génie humain Explorer les ressources émergentes pour un modèle d'affaires positif. Innover en régénérant le vivant : frugalité, bio-inspiration, symbiose, sobriété.Session du 10-12 mars 2022 : Embarquer l'équipage Opérer une transformation écologique qui embarque collaborateurs et parties prenantes. Faire naître un nouveau leadership, des nouveaux modes d'organisation et de coopération, de sensibilisation et de formation.Session du 22-23 avril 2022 : Témoigner Faire le bilan de ce qui a été appris et construit pendant 5 sessions et 8 mois. S'adresser aux mondes économiques, politiques et médiatiques pour défendre une ambition nouvelle et une vision d'accélération des entreprises et des pouvoirs publics.Pour en savoir plus sur le programme : https://cec-impact.org/convention/
Il y a 3 ans et 289 jours

Avec la tempête Ida, les sous-sols new-yorkais transformés en pièges mortels

Les célèbres "basements" de Manhattan, Brooklyn ou Queens sont parfois très rudimentaires, partagés en co-location - illégale ou non - entre des travailleurs ou étudiants à faibles revenus.Au contraire, ce que des agents immobiliers français appellent "souplex" peut être typique du charme de New York, prisé par des résidents aisés qui veulent toutefois réduire le coût exorbitant des loyers.Riches ou pauvres, onze personnes, dont un enfant de deux ans, sont mortes noyées chez elles dans le déluge qui s'est abattu mercredi soir. En pleine ville, elles ont été englouties dans leur logement, parfois sans fenêtre, avec une seule porte de sortie sur la rue. Coincées par la très soudaine et rapide montée des eaux qui ne leur a laissé aucune chance.La star de l'aile gauche du parti démocrate, Alexandria Ocasio-Cortez, élue de New York à la Chambre des représentants a dénoncé dès mercredi soir le risque d'habiter dans un sous-sol, en cas d'intempéries.Loués au noir"Ceux qui vivent dans des +basements+ d'habitation loués au noir et dans de mauvaises conditions de sécurité, sont parmi LES PLUS exposés aux inondations soudaines", a tweeté cette figure politique. Elle a enfoncé le clou en soulignant que les plus à risque étaient "les travailleurs, les immigrés et les familles à faible revenu".D'ailleurs, l'agence américaine de protection de l'environnement a dénoncé dans un rapport, révélé jeudi par le Washington Post, le fait que les minorités ethniques aux Etats-Unis seraient les plus affectées par le changement climatique, notamment en cas d'inondations soudaines.D'après le New York Times, qui a travaillé sur le parcours des victimes, une femme de 86 ans, morte chez elle mercredi soir, vivait dans un immeuble de Queens visé par des plaintes pour exploitation illégale de son sous-sol.Ce quartier du nord-est de New York abrite une forte population immigrée, souvent des travailleurs sans-papiers d'Amérique latine. L'un d'eux y est décédé mercredi soir dans les mêmes circonstances.A Brooklyn, un Equatorien de 66 ans s'est noyé dans une pièce sans fenêtre, a raconté le journal.OmertaIls seraient 114.000 à New York à vivre dans des "basements" illégaux selon une étude de 2008 du centre Pratt pour le développement des quartiers, dans une ville de 8,8 millions d'habitants qui a gagné 629.000 résidents en dix ans, d'après le dernier recensement américain en août. Les sous-sols loués au noir seraient aujourd'hui bien plus nombreux, pensent des chercheurs qui dénoncent une forme d'omerta."Le problème, c'est que ces logements sont illégaux, qu'il y a potentiellement de grosses amendes, que les locataires ont besoin de se loger et que les propriétaires ont besoin de revenus. Résultat, personne ne veut en parler", explique à l'AFP Rebekah Morris du centre Pratt.Pour sa collègue Nicole Gelinas, économiste au centre de recherche du Manhattan Institute, "il faudrait que les propriétaires qui louent illégalement des appartements à la découpe rendent des comptes".Mais "il y a une telle crise ici, il n'y a pas assez de logements", déplore Mme Morris qui ne croit pas à une répression contre les propriétaires peu scrupuleux et autres marchands de sommeil.Pour les défenseurs des mal-logés, c'est l'absence de conditions de sécurité minimale, notamment d'issues de secours, qui pose vraiment problème.Une campagne a été lancée - "Appartements en sous-sol sécurisés pour tout le monde" (Base en anglais) est en cours pour la création de quelque 200.000 souplex abordables et sûrs.Le maire de New York, Bill de Blasio, un démocrate en fin de mandat, a plaidé vendredi sur la chaîne MSNBC pour un "programme de relogement des gens qui vivent en sous-sol, en cas de forte pluie et d'inondation".
Il y a 3 ans et 289 jours

Le gouvernement annonce une réforme de l'hébergement d'urgence

Depuis plusieurs années, l'Etat créait des places d'hébergement d'urgence chaque hiver pour les plus précaires avant de les refermer le printemps venu avec la fin de la trêve hivernale.Le ministère du Logement a rompu avec cette "gestion au thermomètre" avec la crise du Covid-19, annonçant le 21 mai qu'il gardait les 43.000 places d'hébergement d'urgence créées depuis le premier confinement (mars 2020) ouvertes jusqu'à fin mars 2022 au moins.Au total, plus de 200.000 sans domicile fixe sont actuellement hébergés dans des centres d'hébergement ou des hôtels.La ministre du Logement Emmanuelle Wargon a estimé dans un communiqué publié lundi "nécessaire de mettre définitivement fin à la gestion dans l'urgence et de construire une politique structurelle, avec une visibilité sur le long terme, en lien avec les associations", qu'elle a reçues le même jour.Parmi elles, la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS, représentant 80% des gestionnaires de centres d'hébergement d'urgence), qui réclame une loi de programmation pluriannuelle intégrant l'hébergement d'urgence et le programme "Logement d'abord".Selon le ministère, du 1er janvier 2018 au 30 juin 2021, il a permis à 280.000 personnes sans domicile fixe, à la rue ou en centre d'hébergement d'accéder au logement.Dans une lettre adressée à Pascal Brice, président de la FAS, Emmanuelle Wargon se dit "très favorable au principe d'une programmation pluriannuelle de l'hébergement et du Logement d'abord".Cette programmation "permettra d'avoir une visibilité sur le nombre de places sur 5 ans, et de prévoir, programmer, anticiper et transformer les places en fonction des besoins des territoires et des publics" détaille la ministre dans son communiqué."Elle améliorera l'accompagnement des personnes en leur proposant des solutions dignes et adaptées", poursuit la ministre dans le communiqué."La question est +comment permettre à des personnes en hébergement d'urgence d'accéder au logement?+" et d'ainsi libérer des places d'hébergement d'urgence, a résumé l'entourage d'Emmanuelle Wargon à l'AFP.La ministre a chargé la Délégation interministérielle à l'hébergement et l'accès au logement (Dihal) de poser les bases de cette programmation avec la FAS et les acteurs du secteur, pour un rendu des groupes de travail au premier trimestre 2022."C'est une vraie satisfaction, un signal politique important dans le prolongement des décisions prises au sortir de la trêve hivernale, qui montre la volonté du gouvernement de changer d'approche et de culture", a réagi auprès de l'AFP Pascal Brice.Il a cependant estimé "important que ces discussions aboutissent et que les décisions prises par le gouvernement" dès l'hiver 2021-2022 soient "conformes à cette approche avant que les autorités du prochain quinquennat ne s'en emparent".
Il y a 3 ans et 289 jours

Le salon de l'immobilier mondial Mipim de retour pour préparer l'après-crise sanitaire

"On s'est dit qu'on devait anticiper dès septembre les prises de décision avant de se retrouver au complet en mars quand les sociétés lancent leur plan stratégique", explique à l'AFP Ronan Vaspart, directeur du Mipim. Ce salon, qui constitue chaque année en mars le principal rendez-vous mondial du secteur, a été annulé en 2020 et 2021 en raison de la situation sanitaire et des restrictions de déplacements.Ce "Mipim septembre" n'est toutefois pas considéré comme la 31e édition du salon, prévue mi-mars 2022, mais comme un point d'étape, la faute encore aux conséquences de la pandémie de Covid-19.La durée de l'événement cannois a été réduite de moitié, passant à deux jours, avec 5.000 personnes attendues sur place, cinq fois moins qu'en mars 2019.Les participants seront "à 90% européens" en raison des difficultés de déplacements inter-continentaux, même si la participation en ligne pour certaines conférences permettra à des acteurs du monde entier d'y prendre part."Pour nous, c'est un moment important pour rencontrer des investisseurs et les convaincre de notre projet pour continuer notre développement", illustre Stephane Bensimon, dirigeant de Wojo, qui propose des bureaux à louer dans des espaces au coeur des villes et dans des hôtels pour startups et plus grosses entreprises.Même allégé, le Mipim veut contribuer aux nouvelles dynamiques dès la rentrée, avant de les voir s'affirmer en septembre. "Nous sommes une industrie de long terme, les décisions d'aujourd'hui ne vont avoir une influence dans la ville que dans cinq ans. Pour l'instant, c'est un moment de flottement", avance M.Vaspart. L'édition a donc d'abord été placée sous le signe du "besoin de se reconnecter", selon le slogan. "L'immobilier est une famille d'acteurs qui ne négocient pas des projets à bas coût: la gestion de ces accords nécessite des rencontres, échanges et partage. On est un métier humain et c'était encore plus flagrant avec cette pandémie", argumente M. Vaspart.Les conférences sont avant tout consacrées à faire le point sur la situation des secteurs de l'immobilier, ou encore des pays, avec par exemple la présence du ministre de l'Investissement britannique Gerry Grimstone, ou de la maire de Rome Virginia Raggi.L'essor de la logistique, les nouvelles formes de l'immobilier de bureau avec le télé-travail, ou encore la prise en compte des critères écologiques, sociaux et de gouvernance (ESG), sont également au programme des interventions.
Il y a 3 ans et 289 jours

Castex en messager de la réindustrialisation au salon Global industrie

A huit mois de l'élection présidentielle, où le chômage et l'emploi restent des sujets essentiels, le Premier ministre a fait deux annonces sonnantes et trébuchantes lors du salon Global Industrie qui s'est ouvert à Lyon et durera jusqu'à la fin de la semaine.D'abord, la prolongation de six mois jusqu'en juin 2021 des aides du plan France Relance à l'apprentissage, ensuite, l'ajout de 150 millions d'euros au programme "Territoires d'industrie" qui permet des aides publiques pour relancer des activités dans les bassins les plus touchés par les restructurations."2,6 millions de jeunes au total ont bénéficié d'aides du plan de relance", a lancé M. Castex, avec notamment "plus de 500.000 contrats d'apprentissage ou d'alternance signés par les entreprises, un record historique".Même si le mot réindustrialisation fait partie des mots-clés de la prochaine campagne, le Premier ministre a admis l'état de "désindustrialisation" dans lequel se trouve le pays, révélé par la pandémie.La part des emplois industriels représentait "22%" du PIB en 1980, ce taux est tombé "à 13% en 2017", et le nombre de salariés de l'industrie est tombé à 3,2 millions contre 5,3 en 1980, a-t-il dit.Sa ministre de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, qu'il a fait applaudir par la salle, s'est prononcée pour "un choc de réindustrialisation"."Nous avons diminué de 40% l'empreinte CO2 de l'industrie ces dernières années en France, mais essentiellement en désindustrialisant: nous avons augmenté notre empreinte carbone globale puisque nous importons massivement des marchandises", a déploré Mme Pannier-Runacher.En attendant le futur plan d'investissement annoncé pour "courant octobre", le gouvernement utilise le salon, l'un des premiers à reprendre en présentiel, pour vanter l'effet de son plan de relance, lancé il y a tout juste un an.Près de la moitié des 100 milliards d'euros -dont 40% financés par l'Union européenne- pour endiguer la crise du Covid a été "engagé", et 70% le seront d'ici à la fin de l'année, a assuré le Premier ministre.Une entreprise industrielle sur trois en France a eu un projet financé, a résumé Mme Pannier-Runacher, avec 35 milliards pour l'industrie."Sortir de 30 ans de désindustrialisation"Des projets sont nés un peu partout, sélectionnés par des commissions locales pilotées par les préfets de régions: numérisation de PME, modernisation d'entreprises de l'agroalimentaire ou de la construction bois, aides ciblées à celles de l'aéronautique et de l'automobile pour se diversifier vers les mobilités décarbonées ou améliorer leur taux de recyclage des métaux et matériaux."La production industrielle a repris des couleurs, les carnets de commandes sont bien remplis", a acquiescé Alexandre Saubot, président de France Industrie, l'organisme qui représente l'ensemble du secteur.Mais il faudra longtemps pour "sortir de 30 ans de désindustrialisation" (...), "rembourser les dettes" de la crise et "retrouver une capacité d'investissement".Il demande la poursuite de la baisse des impôts de production, une accentuation de la simplification administrative pour les entreprises, ou encore un soutien clair et net au nucléaire pour décarboner l'industrie."On s'est aperçu de la vulnérabilité de nos chaînes de valeur pendant la pandémie, on ne pourra pas tout relocaliser mais il faut tout faire pour ramener l'activité sur le sol français, voire européen", dit à l'AFP Christel Bories, PDG du groupe minier Eramet, et membre du CNI."On ne peut pas rester dépendants des pays qui peuvent à tout moment fermer leurs frontières", ajoute-t-elle.Depuis l'an dernier, 553 projets de relocalisation ont été soutenus par France Relance, de l'installation d'une usine de bottes Aigle dans la Nièvre, à une start-up de terres rares à Lyon.Le Premier ministre se rend lundi l'après-midi dans une usine Seqens fabricant le principe actif du paracétamol, à Roussillon en Isère. La France s'est rendu compte avec effroi durant la pandémie qu'elle importait quasiment tout son paracétamol.
Il y a 3 ans et 290 jours

POINT.P continue de déployer une multitude de services pour accompagner les artisans

La période liée à la crise sanitaire de la Covid-19 et, aujourd’hui, les difficultés d’approvisionnement en matériaux ont des répercussions importantes sur la continuité des chantiers en France. Face à ces enjeux, POINT.P est un allié de poids pour aider les professionnels à saisir toutes les opportunités liées à ces changements mais aussi pour pérenniser leur activité. L’enseigne les accompagne au quotidien pour répondre aux exigences d’une construction durable ainsi qu’à celles des particuliers en recherche d’un cadre de vie plus confortable et durable. Ainsi, grâce à une vision d’entreprise forte et partagée par tous ses collaborateurs, POINT.P continue de déployer des projets d’envergure pour permettre aux artisans d’être toujours plus performants et de poursuivre leur montée en compétences.Accompagner les professionnels pour faire face aux défis de la construction durablePOINT.P est particulièrement attentif aux besoins qu’expriment les 300.000 clients de ses 1.000 points de vente. Parmi ces demandes, la construction durable est un sujet récurrent qui éveillent de nombreux questionnements. Pour y répondre, POINT.P développe des outils et des services pertinents qui s’attachent à faciliter la vie des artisans.Toujours plus de services digitauxEn 2020, POINT.P a lancé OBJECTIF RGE, une application qui permet de s’entraîner à son rythme au passage de l’examen pour obtenir la certification RGE en candidat libre. Avec OBJECTIF RGE, l’artisan peut ainsi réviser sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone et se préparer au passage de l’examen. Pour les artisans, l’avantage est double: le coût de la formation est réduit et ils peuvent gérer leur temps comme ils l’entendent sans contrainte et sans devoir bloquer 3 jours de formation. L’examen final se déroule en agence POINT.P, sous la supervision d’un collaborateur POINT.P accrédité, et peut avoir lieu même si le candidat est seul à se présenter. Ce service a démontré tout son intérêt puisque depuis son lancement en septembre 2020, ce sont 2.000 utilisateurs qui se sont connectés.Parmi eux, plus de 300 ont passé l’examen et le taux de réussite est de 88%. POINT.P déploie par ailleurs des outils digitaux mis à jour de manière régulière et toujours en phase avec les évolutions du secteur. Configurateurs, simulateurs, logiciels..., l’enseigne propose depuis plusieurs années déjà un large panel d’outils : SOLU+, CAP RENOV+, TOLTECK…L'innovation à l'honneurPOINT.P souhaite plus que jamais aider à la diffusion des innovations et notamment celles qui peuvent être liées à la construction durable. Pour cela, l’enseigne peut dorénavant compter sur Les Démos d’Estelle, une émission en direct diffusée chaque mois simultanément dans toutes les agences POINT.P via la plateforme Génération Artisans. Son ambition : faire connaitre les innovations des partenaires industriels de POINT.P à travers des démonstrations produits. À date, 6 émissions ont été visionnées par 10.000 clients venus en agence pour découvrir les innovations de 13 fabricants. 24 agences ont été mobilisées en multiplexe pour participer au direct. Les vidéos ont aussi généré plus de 15.000 vues en replay sur YouTube. Ces émissions de 45 minutes sont à retrouver sur le site pointp.fr et sur les réseaux sociaux de l’enseigne.La gestion des déchetsLa récupération et la gestion des déchets est un sujet phare de la construction. POINT.P travaille sur ce sujet afin de proposer aux professionnels des solutions de proximité. L’enseigne déploie ainsi des déchèteries multiflux avec ses partenaires nationaux Paprec, Veolia et Suez et avec des partenaires régionaux. En 2020, ce sont 1.600 clients qui ont utilisé les déchèteries déjà existantes et POINT.P ambitionne la mise en place de déchèteries supplémentaires en 2021. L’enseigne propose également depuis cette année des solutions de tri sur chantiers grâce à ses partenaires Ecodrop et Tri’n Collect.Aider les professionnels à répondre aux demandes des particuliersPOINT.P s’attache à être présent auprès des professionnels et notamment des plus jeunes et à les aider à monter en compétences tout au long de leur carrière, grâce à des outils, des services et une offre large de produits.Pack jeune artisan pour démarrer son activité en toute sérénitéPOINT.P a lancé en juin 2020 une offre destinée aux personnes de moins de 30 ans qui débutent dans l’artisanat du bâtiment. Cette offre, entièrement gratuite, s’inscrit dans le cadre de Génération Artisans et a pour objectif d’aider les jeunes et de les accompagner dans la création de leur entreprise. Grâce au Pack Jeune Artisan, ils disposent de l’ensemble des services de Génération Artisans mais aussi de nouvelles prestations qui leur sont dédiées comme une assistance juridique et comptable, une session de coaching pour leur faire connaitre les outils disponibles, le parrainage d’un artisan plus expérimenté, une meilleure visibilité sur le web… La promotion 2020 a permis à POINT.P d’accompagner plus de 300 jeunes. Pour la promotion 2021 qui vient d’être lancée, l’enseigne renforce son programme à destination des jeunes et propose toujours plus de services : recouvrement des impayés offert, logiciel de devis et facturation Tolteck offert pendant 6 mois, un pack photos offert pour améliorer le référencement Google, inscription gratuite sur le site La Maison Saint-Gobain pour obtenir des chantiers qualifiés, entraînement et passage de l’examen en agence offert sur Objectif RGE, formation installateur-conseil VELUX 100% remboursée, entre autres.Des outils et services pertinents pour faire gagner du temps aux professionnelsTrouver facilement le produit dont il a besoin, pouvoir le récupérer rapidement au moment où il le souhaite, disposer de toutes les informations utiles… tout doit aller le plus vite possible afin que le professionnel puisse gagner du temps. Pour répondre à cette tendance grandissante, POINT.P déploie un panel d’outils et de services :En agence : avec POINT.P Express, un format de libreservice qui répond en priorité aux besoins des artisans, TPE et PME spécialisés dans la rénovation grâce à une offre riche de plus de 5.000 articles.Par ailleurs, POINT.P étend et aménage ses horaires d’ouverture en fonction des besoins de la zone de chalandiseDans la cour (FAST) : POINT.P réduit le temps d’attente grâce à un système de préparation de commande digitalisée. Pour les professionnels, ce sont en moyenne 4 à 5 minutes de gagner sur un emploi du temps bien chargéAu téléphone : l’application Instaply permet de conserver un lien immédiat entre les équipes de POINT.P et les clients grâce à des SMS ou des messageries instantanéesSur les chantiers : POINT.P dispose d’une logistique puissante et efficace. Par ailleurs, L’enseigne dispose de 31 camions GNV qui desservent Paris intramuros et la petite couronnePOINT.P travaille aussi sur la disponibilité produits en augmentant ses stocks pour pallier aux allongements de délais d’approvisionnement dus aux pénuries de matériaux.Permettre aux artisans de répondre aux demandes des particuliersDisposer d’un cadre de vie confortable et durable est une demande forte de la part des particuliers. Les artisans doivent plus que jamais être capables de leur proposer les meilleures solutions, de les accompagner dans leurs travaux de rénovation, d’utiliser les matériaux les plus performants. POINT.P les aide dans cette relation avec les particuliers en leur donnant tous les éléments pour proposer des solutions en phase avec les besoins.En digital :POINT.P a lancé en 2020, MAGIC VIEW une application qui permet de visualiser plus de 3.000 références pour le sol (parquet, carrelage, stratifié) directement dans son intérieur. En 2021, l’application s’enrichit avec l’arrivée des revêtements murauxPOINT.P travaille avec La Maison Saint-Gobain afin de mettre en relation les particuliers et les artisans pour la réalisation de travauxEn agence :POINT.P dispose de 200 showrooms où venir s’inspirer, trouver des conseils et être mis en relation avec des professionnelsPar ailleurs, POINT.P et Décocéram ont décidé de rapprocher la compétence de leurs équipes et l’expertise de leurs agences revêtement pour proposer une offre large de spécialiste et créer le premier réseau national de distribution de carrelage et revêtements avec 200 showrooms sur toute la FranceAvec des produits spécifiques :La demande est aussi très forte de la part des particuliers pour une utilisation de produits vertueux pour l’environnement. POINT.P travaille sur une offre de produits biosourcés présents dans un catalogue dédié, dont une nouvelle édition est sortie en avril 2021, et mise en avant en point de venteTous ces produits sont aussi référencés dans le configurateur SOLU+ disponible pour les membres de Génération Artisans et référencés dans la rubrique Bâtir Durable de pointp.fr.Par ailleurs, POINT.P a lancé depuis le 1er juin son roadshow des produits biosourcés. Trois camions sillonnent la France pour venir à la rencontre des artisans dans 200 agences.Toutes ces actions démontrent l’engagement pris par POINT.P envers les artisans. L’enseigne souhaite plus que jamais les accompagner au quotidien, leur fournir les solutions et les outils les plus performants, leur apporter les meilleurs produits pour faire d’eux des acteurs performants de l’habitat et de la construction durable.
Il y a 3 ans et 290 jours

« Le noir en façade » : une conférence animée par D’A au Carreau du Temple

Pour sa 7e édition, Materials & Light se tiendra les 13 et 14 septembre au Carreau du Temple à Paris. Cet événement porté par D’architectures s’adresse aux concepteurs curieux de découvrir des solutions innovantes pour l’architecture. Au programme : une cinquantaine d’exposants, des workshops, formations certifiantes, remises de prix, et des conférences dont l’une porte sur la question du « noir en façade ». Les inscriptions sont gratuites. Une conférence sur le noir en...
Il y a 3 ans et 291 jours

A Lyon, dans l’Urban Village, l’Urban Garden de Valode & Pistre

En mai 2021, pour Sogelym Dixence maître d’ouvrage, l’agence Valode&Pistre a livré à Lyon sur 28 000 m² ‘Urban Garden’, un programme de bureaux et un ‘Urban Village’ (espaces de restauration, cafétéria, snacking, espace polyvalente et espace bien-être) ainsi qu’un parc de stationnement de 282 places. Communiqué. Ce projet se situe dans la partie sud […] L’article A Lyon, dans l’Urban Village, l’Urban Garden de Valode & Pistre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 292 jours

Après le niet des syndicats, la réforme des retraites compromise

Le président de la République avait réaffirmé le 12 juillet sa volonté d'engager la réforme "dès que les conditions sanitaires ser(aient) réunies", demandant au gouvernement de "travailler avec les partenaires sociaux sur ce sujet à la rentrée".Les organisations syndicales, reçues à Matignon depuis mercredi pour un large tour d'horizon des questions d'actualité, ont fermé la porte sans ambiguïté à d'éventuelles discussions, semblant sceller le sort d'une réforme qui fut une promesse de campagne du candidat Macron en 2017, et devrait revenir en 2022."Il n'y a pas de voie de passage pour une quelconque réforme d'ici 2022. Et donc toute concertation qui s'opèrerait serait un peu lunaire (...). On ne va pas se mettre à discuter avec un gouvernement pour nourrir le programme d'un candidat. Ça n'a pas de sens", a taclé le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger.Son homologue de la CGT, Philippe Martinez, a évacué la question en "trente secondes" lors de sa rencontre avec Jean Castex. "Il n'est pas question de se concerter sur les retraites. C'est un sujet de tensions, et si c'est pour discuter de l'allongement de l'âge de la retraite, on n'y sera pas", a-t-il résumé.Le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux lui-même a rappelé que s'il fallait "aborder le sujet de l'âge de la retraite, du nombre de trimestres de cotisations", on ne "pouvait pas le faire à la sauvette en quelques semaines". "C'est un sujet de débat démocratique pour la présidentielle", a-t-il tranché.Même son de cloche, côté syndical, pour Force ouvrière, la CFE-CGC, et la CFTC, et côté patronal, pour l'U2P. Plusieurs organisations se sont en revanche déclarées ouvertes à des discussions sur l'emploi des seniors, question connexe comme l'a souligné le président de la CFTC, Cyril Chabanier. Reculer l'âge de la retraite, "si c'est pour transformer des retraités en chômeurs, ça ne sert pas à grand chose", a-t-il dit."Pression sur les branches"Ce "niet" des syndicats et du patronat n'a pas surpris l'exécutif, qui souligne par ailleurs que même si la quatrième vague tend à refluer, la crise sanitaire n'est pas totalement finie. Et que le sujet des retraites n'en est qu'un parmi d'autres.La crise sanitaire s'est bien sûr imposée dans les discussions, Philippe Martinez faisant ainsi part de sa crainte d'une "catastrophe sanitaire", si "5 ou 10% du personnel" des hôpitaux s'en va en raison de l'obligation vaccinale. "Plutôt que de contraindre il (faut) continuer à discuter", a-t-il recommandé.M. Roux de Bézieux a redit son souhait que le pass sanitaire "dure le moins longtemps possible" et invité à en exempter les centres commerciaux.Il a suggéré au Premier ministre de réexaminer les règles concernant la restauration collective dans les entreprises, et fait part à la presse de "l'engagement" de l'exécutif à "revoir cette partie-là".Autre sujet brûlant - et polémique -, celui des salaires, que le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a lui-même remis sur la table la semaine dernière en invitant à se "reposer la question" d'une amélioration des rémunérations.La CFDT souhaite que le gouvernement fasse "pression sur les branches patronales quand elles ont bénéficié d'aides", tandis que la CGT et Force ouvrière appellent l'Etat à revaloriser le Smic et le point d'indice des fonctionnaires.A Matignon, on souligne que le gouvernement ne "va pas décréter une augmentation générale des salaires" et que des travaux sont entamés dans certaines branches pour discuter des "minima et des classifications".M. Roux de Bézieux a renvoyé la balle dans le camp de l'Etat, affirmant que pour "les salaires dans les métiers de services, qui sont les métiers les moins rémunérés mais qui ont aussi les plus faibles marges pour l'entreprise, l'exemple doit venir de l'Etat".Le gouvernement devrait par ailleurs faire connaître "très rapidement" ses arbitrages concernant le revenu d'engagement pour les jeunes, selon M. Martinez.
Il y a 3 ans et 292 jours

Généraliser des solutions bas-carbone

Développer des solutions industrielles, complètes, fiables et bas carbone pour le bâtiment, tel est l’objectif de Saint-Gobain Distribution France via le programme « Construire en terre ».
Il y a 3 ans et 294 jours

La 5G et la réalité augmentée catalyseurs de la digitalisation des chantiers

Si l’intervention sur les réseaux enterrés, donc invisibles, peut parfois s’avérer complexe, il est primordial pour la bonne exécution des travaux de détenir les dernières informations ou documents à jour et ce, pendant toute la durée du chantier.Afin de répondre aux besoins métier des entreprises de travaux public, Syslor a développé une solution de réalité augmentée permettant de visualiser sur un smartphone les réseaux enfouis. Sur l’un des chantiers de Colas, l’utilisation de cette solution connectée en 5G a permis de réaliser les tracés, d’accélérer les travaux d’excavation mais aussi d’identifier clairement les zones à risque. En fin de chantier, une capture vidéo des travaux a permis d’assurer un récolement plus agile et de qualité pour mieux satisfaire aux obligations légales de la réglementation DT/DICT.L’ensemble des informations recueillies tout au long des travaux a également assuré la création du jumeau numérique du chantier pour la planification des futures interventions.Grâce à la 5G de Bouygues Telecom, les chefs de chantiers Colas sur site ont pu échanger avec leur mobile directement et plus rapidement des fichiers très volumineux pour un maximum d’efficacité et de qualité. Ce gain de temps permet un plus grand confort de travail en optimisant la synchronisation des données garantissant ainsi une mise à jour rapide des dernières versions du projet.« Ce projet concrétise notre vision de la Construction 4.0. Les technologies numériques clefs (AR/VR/computer vision, big data, et Ia Blockchain) vont nous apporter une grande efficience par l’exploitation des données, au service de la qualité, de la sécurité et de l’environnement. Le haut-débit sur les chantiers va donc être essentiel. Nous pensons que la faible latence permettra la téléopération des engins et la mise en œuvre de systèmes intelligents de sécurité active », souligne David Lerouge, directeur Innovation du Groupe Colas.« La vision de Syslor est de permettre la capture en 3D, la cartographie et la visualisation en réalité augmentée de l’environnement avec un smartphone et une antenne GNSS apportant la précision centimétrique. La 5G démultiplie les bénéfices de notre innovation : les échanges chantier-bureau sont simplifiés, la remontée d’information se fait quasi-instantanément… tout devient encore plus fluide et plus simple pour le chef de chantier », déclare Sébastien Graziotin, directeur Commercial Syslor.« Grâce aux capacités de la 5G, nous permettons aux entreprises comme Colas d’exploiter dès à présent le potentiel de la 5G pour améliorer concrètement leur efficacité opérationnelle et entrer dans l’ère des chantiers 4.0 », souligne Stéphane Allaire, directeur du Programme 5G de Bouygues Telecom.
Il y a 3 ans et 294 jours

Egis remporte le plus grand projet de Zone à faibles émissions du Royaume-Uni

Transport for Greater Manchester (TfGM) a confié à Egis la mise en place et l’exploitation de son programme « Zone à faibles émissions » (Clean Air Zone - CAZ), le plus important projet du pays, pour les cinq prochaines années.
Il y a 3 ans et 294 jours

Attractivité : l’irrésistible remontada des villes moyennes

Les 222 agglomérations élues au programme Action cœur de ville tiennent leur dernière rencontre nationale avant les élections présidentielles, le 7 septembre à la Cité de l’architecture et du patrimoine. Cœur de cible, les chefs-lieux d’arrondissement et de département traversent la crise sanitaire la tête haute : les 5 Mds€ fléchés par l’Etat de 2018 à 2022 accélèrent un retour en grâce mesuré par les notaires de France à travers une forte croissance des ventes dans l’ancien.
Il y a 3 ans et 295 jours

L’Agence de l’Innovation pour les Transports lance le programme "Propulse" doté de 4 appels à projets

Ce programme d’accompagnement et d’accélération de l’innovation se décompose en 4 appels à projets : « Transports durables », « Communautés de données », « Intrapreneuriat » et « Aménagement des espaces pour un usage multiple : U-Space Together ». Le lundi 30 août 2021 a marqué le lancement des trois premiers appels à projets. L’enjeu est de soutenir les innovations les plus prometteuses et avec un fort impact de tous types : de services, d’usages, technologiques, sociales, organisationnelles, industrielles et d’accompagner les acteurs qui portent des solutions contribuant à l’atteinte des objectifs stratégiques de l’Etat en matière de transports durables, résilients, de qualité et accessibles, (facilitation de l’intermodalité, augmentation du taux de remplissage moyen des véhicules, décarbonation du parc de véhicules et de l’énergie utilisée, digitalisation des services et des infrastructures, nouvelles solutions de mobilités pour les territoires, …).Ces appels à projets s’adressent à tous ceux, acteurs publics, entrepreneurs, associations qui développent des projets innovants, exemplaires et susceptibles d’avoir un impact significatif sur le futur des mobilités. Les projets attendus sont ceux au stade de prototype et qui pourraient s’engager sur la voie d’un passage à l’échelle nécessitant l’appui des équipes du ministère. Les quatre volets correspondent ainsi aux quatre appels à projets : L’appel « Transports durables » vise à accompagner des projets externes à l’administration afin que des initiatives innovantes privées puissent bénéficier de l’appui de l’AIT. Jusqu’à 10 projets seront sélectionnés ;L’appel « Communautés de données » a pour vocation de regrouper les entités offreuses de données et les apporteurs de solutions au sein de l’écosystème des mobilités. Jusqu’à 5 projets de communautés de données seront sélectionnés ;L’appel « Intrapreneuriat » doit aider les agents publics à mener à bien leurs projets innovants pour améliorer le service public dans le secteur des transports. Jusqu’à 5 places sont offertes ;L’appel « Aménagement des espaces pour un usage multiple : U-Space Together » vise à expérimenter à grande échelle des services de gestion du trafic aérien des drones à très basse altitude et à partager l’espace aérien de façon sûre et efficace.Ces appels à projets font suite à la remise du rapport de préfiguration de l’Agence de l’Innovation pour les Transports au ministre délégué chargé des transports Jean-Baptiste Djebbari, le 13 juillet 2021, où figurait, parmi les 18 propositions, le lancement de ce programme d’accélération dès la rentrée.Calendrier :15 octobre : clôture des candidatures des appels à projets « Transports durables », « Communautés de données » et « Intrapreneuriat »Tenue des jurys à partir du 15 novembreLe cahier des charges est accessible sur la page web de l’AIT (cliquer ici).Pour candidater : Appel « Transports durables »Appel « Communautés de données » Appel « Intrapreneuriat » Appel à projets « Aménagement des espaces pour un usage multiple : U-Space Together » : lancement à compter du 15 septembre« Nous pouvons être fiers du programme Propulse : il constitue la première action d’accompagnement de l’Agence de l’Innovation pour les Transports. Il va nous permettre de détecter et de soutenir les révolutions technologiques qui feront les transports de demain et le rayonnement de la France.» - Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué auprès de la ministre de la Transition écologique chargé des transports
Il y a 3 ans et 295 jours

Logement, école, trafics, transport: les plaies de Marseille

ÉcolePréfabriqués parfois installés depuis 17 ans, et, dans certains établissements, rats dans les cours, toit qui s'effondre ou punaises de lit dans les dortoirs: l'état des écoles marseillaises a été régulièrement pointé du doigt. "Certaines sont dans un état pitoyable", reconnaît le recteur de l'académie Aix-Marseille.Élue en juin 2020, la nouvelle municipalité de gauche avait fait campagne en promettant de consacrer un milliard d'euros pour leur rénovation. Après 30 millions d'euros pour des travaux d'urgence, 85 millions ont ensuite été engagés lors du vote du premier budget, en avril, pour un programme de réhabilitation de 11 des 472 écoles de la ville --des travaux qui devraient débuter en 2022.Le maire Benoît Payan explique avoir travaillé avec l'Etat à un "grand plan de rénovation" estimé à 1,2 milliard d'euros pour "rénover, requalifier ou reconstruire" environ 200 écoles de la ville. "Ce chantier, c'est comme si on avait à reconstruire une ville de 20.000 habitants de A à Z", avait-il plaidé début juin.TransportVille où le "tout voiture" prédomine, qui compte de très rares rues piétonnes, Marseille est très en retard dans son offre de transports en commun --la ville est même classée par Greenpeace comme la lanterne rouge en France en termes de solutions de mobilité alternatives à la voiture.La deuxième ville de France ne compte que 1.129 kilomètres de lignes de bus, tramway et métro, contre 3.886 à Lyon par exemple, selon l'Union des transports publics. Dotée de deux lignes de métro, trois lignes de tramways --dont les parcours sont parfois parallèles--, et 93 lignes de bus, la cité phocéenne n'offre aucune liaison directe entre les quartiers pauvres du Nord et ceux plus aisés du Sud. Et les projets avancent au ralenti: il a fallu cinq ans pour mettre en service, en décembre 2019, une extension du métro M2 de... 900 mètres.La ville méditerranéenne est aussi classée bonne dernière et "très défavorable" pour la pratique du vélo par la Fédération des usagers de la bicyclette, avec seulement 130 km de pistes cyclables sur la métropole, contre 750 pour l'agglomération lyonnaise.Trafic de drogueAvec 156 "plans stups", soit "deux fois plus que des bureaux de poste", Marseille est gangrénée par le trafic de drogue. Derrière ce chiffre révélé par le quotidien La Provence, des dizaines de milliers de personnes vivent notamment dans des conditions souvent infernales dans une quarantaine de cités des quartiers populaires de la ville.Ces trafics génèrent des sommes considérables, jusqu'à 80.000 euros par jour dans la cité des Oliviers A, attisant les convoitises et des guerres de territoire, avec des victimes de plus en plus jeunes: le 18 août, un tireur arrosait de balles de Kalachnikov un point de deal, tuant un adolescent de 14 ans.Depuis, trois personnes ont été tuées, portant à 15 le nombre des victimes des règlements de compte depuis le début de l'année.Pour lutter contre ces réseaux, le ministre de l'Intérieur a promis 300 policiers supplémentaires à Marseille d'ici 2023, dont 100 sont arrivés cette année dans les Bouches-du-Rhône, en plus de deux compagnies de CRS (120 personnels) désormais basées en permanence dans la ville. Selon le maire Benoît Payan, 800 policiers nationaux manquent encore.LogementDès 2015, le rapport Nicol dénombrait 40.000 taudis à Marseille, soit 100.000 personnes concernées sur 860.000 habitants. En novembre 2018, la mort de huit personnes dans l'effondrement d'un immeuble rue d'Aubagne, à deux pas du Vieux-Port, avait illustré de façon dramatique l'état de délabrement avancé d'une partie du parc immobilier, plombant les derniers mois de Jean-Claude Gaudin à la mairie.La situation est critique dans le coeur historique et populaire de Marseille, mais aussi dans certains ensembles périphériques. L'incendie, sans doute criminel, d'un immeuble de la cité des Flamants et la mort de trois des migrants nigérians qui y squattaient, avaient jeté en juillet une lumière crue sur ces "bidonvilles verticaux" dénoncés par la Fondation Abbé Pierre.Autre écueil: le manque de logements sociaux, avec 41.000 dossiers sans réponse. Et si Marseille approche du seuil légal de 25% fixé par la loi SRU, ces logements sont quasiment absents dans les quartiers aisés du Sud ou au centre. Résultat: dans tout le centre ancien, ce sont des logements insalubres qui jouent le rôle de logements sociaux de fait, selon l'association Un centre ville pour tous.Après la rue d'Aubagne, Etat et collectivités ont signé un plan d'action pour répartir les 600 millions d'euros promis contre l'habitat indigne, avec une stratégie à 15 ans pour 1.000 hectares du centre-ville, soit 200.000 habitants. Mais la première phase de ce projet, de 217 millions d'euros, vise quatre îlots dégradés seulement, soit 7 hectares."Il faut que Marseille se recouse, se relève", plaide son maireIl faut que Marseille "se recouse, se relève", car la deuxième ville de France "n'est pas à la hauteur" de ce qu'elle devrait être, a plaidé mardi auprès de l'AFP son maire, Benoît Payan, avant une visite du président Emmanuel Macron.Question: Pourquoi Marseille appelle-t-elle l'Etat à l'aide?Réponse: "C'est une ville bouleversante, merveilleuse, une ville de résilience. Mais c'est une ville dans une situation financière exsangue, qui n'est pas à la hauteur de ce qu'elle devrait être. Ca fait longtemps qu'elle rate ses rendez-vous. Elle doit avoir un rôle dans le pays, en Méditerranée. Pour ce faire, il faut qu'elle se reconstruise, qu'elle se recouse, qu'elle se relève. On a une situation dans les services publics, dans les écoles, les équipements publics, sportifs, culturels qui ne va pas du tout. Les écoles sont indignes de la République, la situation du logement ne correspond pas à la sixième puissance du monde.Marseille, qui est une ville qui fait cinq fois Lyon en surface, a deux lignes de métro inaugurées il y a 40 ans. Une grande métropole en Europe n'a pas été capable de faire une ligne de métro (de plus) en 40 ans!"Q: Qu'attendez-vous de l'Etat exactement?R: "L'Etat a un rôle à jouer, pas pour venir nous faire l'aumône ou sauver Marseille, mais pour qu'on fabrique quelque chose ensemble. On a commencé à travailler à un grand plan de rénovation des écoles car c'est là que tout commence. On a fabriqué un plan à 1,2 milliard d'euros, c'est ce qu'il faut pour rénover, requalifier ou reconstruire. Au moment où je vous parle je n'ai pas la participation de l'Etat mais personne ne peut imaginer, au vu des attentes colossales et au vu de la réalité, que le président de la République vienne jeter de la poudre de perlimpinpin. Les gens imaginent que c'est une ville qui vit sous oxygène de la République, sous financement de l'Etat (...) mais dans la réalité, c'est une ville qui est parfois moins dotée que les autres grandes villes françaises. Je ne veux pas de chèque, parce que je veux (l'Etat) comme partenaire, pas comme financeur. Comme partenaire pour montrer qu'on avance, pour être transparent dans la manière dont je fais les choses, pour pas qu'on dise l'argent est englouti je ne sais où."Q: Mais les mairies successives, de gauche comme de droite, n'ont-elles pas une responsabilité dans cette situation?R: "Marseille a souffert d'un personnel politique, droite et gauche confondues, qui n'a pas peut-être su ou trouvé l'ambition nécessaire. Quand l'Etat fait le choix, il fait le choix du projet le plus pertinent (à soutenir financièrement) et Marseille a rarement eu des projets pertinents, de la part des administrations de droite ou de gauche.On a eu pendant des années une incapacité à aller récupérer des fonds à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine par exemple, à porter des projets, à consommer des crédits, évidemment que ça désespère l'Etat.Quand on est un minot à Marseille et qu'on est du mauvais côté de la barrière, c'est-à-dire dans des quartiers qui n'ont jamais été regardés par les élus pendant de trop nombreuses décennies, quand on a cette malchance, la mairie n'était pas là, mais quelque part aussi, la République n'était pas là."
Il y a 3 ans et 295 jours

Autodesk Construction Cloud s'enrichit

Novade annonce l'intégration avec Autodesk Construction Cloud pour connecter les équipes et exploiter tout le potentiel des données chantier.
Il y a 3 ans et 296 jours

Une charte volontaire pour verdir les bâtiments logistiques neufs

Le Gouvernement et plus d’une trentaine d’acteurs de la construction et de l’utilisation des bâtiments logistiques se sont mis d’accord sur un programme volontaire de six ans. Amazon n’a pas encore signé.
Il y a 3 ans et 296 jours

Un programme techtiaire totalement réversible dans le quartier mixte "Le Central" du campus urbain Paris-Saclay à Palaiseau

Ce projet accueillera 60.000 m² SDP de logements, commerces, services, locaux administratifs et associatifs et espaces techtiaires* destinés aux startups MedTech au sein du quartier de l’Ecole Polytechnique, à Palaiseau. Architectures Anne Démians aura en charge la réalisation d’un programme techtiaire baptisé « Carré Central » de 10.000 m² permettant une réversibilité totale bureaux/laboratoires pour le compte de BioLabs.Pour Anne Démians, « Nous sommes très fiers de participer à l’émergence de ce nouveau quartier au sein du campus urbain Paris-Saclay à Palaiseau, au cœur d’un programme mixte et ambitieux tant en termes d’architecture qu’en termes de développement durable et d’innovations. Nous allons construire un bâtiment techtiaire, pionnier, en R + 5 avec toiture accessible, totalement réversible, pour le compte de BioLabs**, entreprise américaine qui propose aux entrepreneurs de la santé des laboratoires partagés tout équipés, espaces de coworking et des bureaux privés de toute taille leur permettant d’accéder aux technologies de pointe dans leur secteur ».Les grands principes constructifs du « Carré Central »Une attention toute particulière a été portée à l’esthétique, l’identité environnementale et la maîtrise énergétique du projet.L’angle nord-ouest du site marque l’accès principal au bâtiment qui s’articule autour d’un noyau central. La distribution radiale équilibre la séparation en deux ailes aménageables en bureaux et laboratoires réversibles. Le rez-de-chaussée largement vitré offre des percées visuelles vers le jardin en cœur d’îlot. Le bâtiment se compose de bureaux, laboratoires, d’un restaurant, de cuisines, de parkings pour voitures et vélos.Un principe constructif lisible en façadePour Anne Démians « La préfabrication est son alphabet, la trame sa ponctuation ». L’exosquelette est composé d’une superposition de poteaux en T et de poutres. La dalle se raccorde à l’allège qui repose sur le corbeau des poteaux. La façade se caractérise par la forte présence de l’exosquelette de béton préfabriqué bas carbone teinté dans la masse. Une trame plus fine de fenêtres se glisse au second plan et se dédouble dans les étages.Appel à la préfabrication et au réemploiL’assemblage s’apparente à un jeu de construction dont la mise en œuvre en filière sèche garantie une construction rapide, propre et silencieuse. Les bureaux et espaces techtiaires, permettant l’accueil de laboratoires et de charges lourdes utiliseront notamment des planchers de réemploi.Excellence environnementaleDes moyens ambitieux combinés aux performances de l’enveloppe et aux solutions innovantes d’approvisionnement en énergie permettent d’atteindre les niveaux - Nf Habitat Hqe Niveau Excellent - E3c1 30% Sur Les Logements - E3c1 15% Sur Les Bureaux - Label Biosourcé Niveau 2 - Label Bois Biosourcés Du Pacte Fibois, Niveau Or - Label Biodivercity - Bbc Effinergie Niveau Excellent.Une attention à la lumièreLes stores extérieurs sont disposés dans le prolongement des allèges qui se lisent comme des impostes. Le linteau des fenêtres est minimisé alors que leurs larges rebords en béton clair orientent la lumière en profondeur dans les espaces de bureaux. La présence des allèges offre un éclairement optimisé et permet la réversibilité en laboratoires.Un nouveau quartier à Palaiseau au sein du cluster Paris-SaclayLe « Carré Central » s’inscrit dans le quartier de l’Ecole Polytechnique, à 5 minutes à pied de la future station de la ligne 18 de Palaiseau. Le groupement d’opérateurs est associé à six architectes (Baumschlager Eberle (Coordinateur) /Martin Duplantier / Nunc / Anne Demians / Hardel Le Bihan / Barrault Pressaco) et deux paysagistes (D’ici là et Base) pour réaliser :43.000 m² SDP de logements familiaux16.000 m² SDP de bureaux de laboratoires et d’espaces techtiaires2.700 m² SDP de commerces et de services de proximité600 m² SDP de locaux municipaux destinés à la ville de PalaiseauL’ensemble du programme doit être livré d’ici fin 2026, avec un début des livraisons en 2024/2025 pour la première partie.*Espaces techtiaires : espaces mixtes constitués de bureaux, laboratoires, salles modulables qui répondent aux besoins des entreprises de la Tech.**BioLabs : Architectures Anne Démians travaille également avec BioLabs dans le cadre de la rénovation et réhabilitation de l’Hôtel Dieu à Paris.
Il y a 3 ans et 296 jours

Villes moyennes 2/5 : Avignon encadre le renouveau de son patrimoine

Avignon fait partie des 13 bénéficiaires du programme Action Cœur de Ville en région Provence Alpes Côte d’Azur. Le chef-lieu du Vaucluse conforte et amplifie une politique communale de revitalisation du centre-ville engagée en 2014.
Il y a 3 ans et 296 jours

Expoprotection sécurité 2021 : le village start-up 100% innovation

A découvrir au Village Start-up :AVANT DE CLIQUER - CyberpréventionSolution complète et autonome de sensibilisation à la cybersécurité phishingAvant de Cliquer développe une culture de cybersécurité avec un programme autonome, accessible à tous, immédiatement opérationnel et inter services. Solutions Saas développant des alogrithmes intelligents associant audit de vulnérabilité, plateforme de e-learning, envoi de mails d’apprentissage et process d’alerte cyber pour les SI.AVEKIA - Protection incendieApplication pour la maintenance préventive des SSIUne application innovante et dédiée aux acteurs de la maintenance incendie permettant de gérer et de rédiger les comptes-rendus des visites de maintenance préventive des systèmes de sécurité incendie (SSI). L’application permet d’allier « qualité » et « productivité ». Elle assure la conformité des rapports avec les normes françaises et autres réglementations.CYBER4U - CyberpréventionCentre de cybersécurité dédié aux organismes et ETICyber4U est le 1er centre de cybersécurité dédié aux organismes et ETI. Ils proposent des offres de service packagées et managées ainsi qu’un accompagnent personnalisé avec des experts sécurité à temps parta­gé : RSSI, DPO, architectes, analystes SOC, etc. Tous les métiers de la sécurité sont réunis en une offre de confiance accessible à tous dans leur centre disponible 24/24 et 7/7.LiNA - Contrôle d’accèsSolution de contrôle d’accès basée sur la technologie Li-FiLiKEY est une solution de contrôle d’accès impiratable et compatible sur 100 % des smartphones, basée sur la technologie Li-Fi. Brevetée au niveau européen, LiKEY est unique : la plus sécurisée, la plus simple et la plus adaptée à nos usages actuels.Hoverseen - DronesDrones automatiques pour la surveillance et l’inspection des sites industrielsHoverseen développe des systèmes de drones automatiques pour la surveillance et l’inspection des sites industriels. Légers, au positionnement prix adapté au marché de la vidéosurveillance, ils sont reconnus par les VMS comme une caméra IP. Ils ont déjà reçu l’autorisation de vol sans télépilote.
Il y a 3 ans et 297 jours

ZWCAD 2022 sort le mercredi 1er septembre 2021

Vous pouvez retrouver la liste des nouveautés sur le site de ZW France (Flatshot, anticrénelage, impression en transparence, import IFC, réseaux paramétriques, liens bidirectionnels et bien plus encore...).Au programme : Rappel des nouveautés de ZWCAD 2021 Nouveautés de ZWCAD 2022 Session de questions/réponsesN’hésitez pas à rejoindre le chat en vous connectant sur YouTube : vous pourrez interagir avec Thomas et poser vos questions. Retrouvez la présentation en direct le 1er Septembre à 10:30 sur YouTube.Vous pouvez également vous abonner à la chaîne ZW France pour ne pas rater le direct.
Il y a 3 ans et 297 jours

Des finitions atypiques sur les grandes façades de la résidence du Moulin Vert à Sannois (95)

Avec ses 287 appartements, la résidence du Moulin Vert, à Sannois (Vald’Oise), est l’un des plus importants ensembles de logements du bailleur social francilien Immobilière du Moulin Vert (SAIMV). Entre 2017 et 2018 ses cinq immeubles R+3 et R+4 ont fait l’objet d’une réhabilitation visant à améliorer leur performance énergétique.Barre des années 60Les bâtiments en pierre de taille ont été construits dans les années 1960. Depuis, les façades n’ont pas évolué. Avant la réhabilitation, les logements affichent une étiquette énergétique E (consommation de 231 à 330 kWh/m² an). L’objectif est d’atteindre le niveau C (91 à 150 kWh/m² an). Le programme des travaux comprend la réalisation d’une isolation thermique par l’extérieur, l’installation d’une nouvelle chaufferie et de systèmes de ventilation dans les logements, ainsi que le remplacement des menuiseries extérieures et la réfection de la couverture.Alexandrin Chorao, dirigeant d’ECI Management, se voit confier la maîtrise d’œuvre de l’opération. Pour casser l’image des barres des années 60 et mieux identifier les entrées, il dessine des failles verticales de couleur foncée au niveau des halls, qui tranchent avec le blanc des parties courantes. Et pour ajouter du relief à ces murs blancs, chaque nez de plancher sera souligné par un profilé métallique horizontal de la même teinte que l’enduit.Toute une palette de finitionsCôté technique, l’architecte choisit pour les parties courantes un système d’isolation thermique extérieure StoTherm Mineral 1 constitué d’un enduit appliqué sur des panneaux de laine de roche de 160 mm d’épaisseur calés-chevillés. « Cet isolant incombustible est de plus en plus employé pour la rénovation énergétique des logements », souligne l’architecte.Pour l’enduit de finition, il préconise le Stolit Milano à l’aspect béton poncé.Quant aux failles verticales au droit des halls d’entrée, elles seront réalisées en bardage ventilé à enduire StoVentec R. Là encore, c’est l’enduit Stolit Milano qui est retenu, mais avec un aspect Marmorino et complété d’un revêtement en peinture aux effets métallisés StoColor Metallic de couleur brune. Le bardage étant ventilé, il peut supporter une teinte sombre sans risque d’échauffement excessif sous l’effet du rayonnement solaire.Enfin, les garde-corps qui présentent une partie en maçonnerie seront revêtus d’un enduit D3 armé Stolit MP à la finition lisse dont la couleur gris soutenu (référence 79203) justifie l’apport de la technologie X-black. Ce système composé d’un sous-enduit fibré, d’une trame en fibre de verre et d’une finition traditionnelle structurée apportera une meilleure résistance à ces éléments fissurés présentant des décollements d’enduit.Mise en œuvre patientePour l’entreprise GCEB en charge du lot façades, la finition Marmorino est une première « vraiment atypique et spéciale ». Pour Daniel Mendes, chargé d’affaires, l’aide à la mise en œuvre a été la bienvenue : « Sto propose des produits très innovants et nous accompagne sur le chantier pour les mettre en œuvre. A Sannois, nous avons réalisé un témoin à la demande de l’architecte. Un technicien Sto est venu nous assister pour démarrer la réalisation de ces finitions atypiques. »Pour obtenir l’aspect béton de l’enduit sur isolant, plusieurs étapes doivent s’enchaîner. Après l’enduit de base StoLevell Uni avec sa toile de verre marouflée, l’étape de la finition commence par l’application à la taloche d’une couche de Stolit K1.5. Après séchage, l’enduit Stolit Milano est à son tour posé en tenant la taloche plus inclinée que pour une application classique et en raclant légèrement. Le geste est droit, court et croisé pour une texture légèrement striée. Dans les jours qui suivent, une fois la surface bien sèche, on peut procéder au ponçage. « Une étape longue qui doit être réalisée lorsque l’enduit est sec mais pas trop, sinon il devient trop dur », se souvient Daniel Mendès.PastillageL’aspect Marmorino est quant à lui obtenu en déposant l’enduit Stolit Milano par pastillages aléatoires qui apportent des reliefs rappelant les façades traditionnelles méditerranéennes.L’application de l’enduit Stolit Milano est réalisée à la taloche inox en deux ou trois passes. La première est une couche d’égalisation. Après séchage, si nécessaire, et afin d’éliminer les défauts de planéité, une deuxième couche est souvent nécessaire. Enfin, l’opération de pastillage consiste à déposer de façon aléatoire des petites quantités de StolitMilano afin de recréer un relief. Les techniciens Sto conseillent ensuite de feutrer le produit avec une éponge légèrement humide afin d’éliminer les coups de taloche et les bavures de spatules qui restent visibles.Les travaux d’isolation de façades ont été complétés par l’application d’une étanchéité liquide Sto-Polydal sur les dalles des balcons, réalisée par la même entreprise GCEB.Les habitants de la résidence comme le maître d’ouvrage sont satisfaits de la transformation. « Nous privilégions sur toutes nos opérations de réhabilitation des matériaux de qualité qui durent dans le temps, pour un budget maîtrisé, souligne Pierre Bainson, responsable patrimoine et proximité de SAIMV. Sur cette résidence, nous avons réalisé un audit énergétique des différentes propositions. Celle que nous avons retenue présentait le meilleur rapport qualité-prix. »
Il y a 3 ans et 297 jours

Le programme VIPros révolutionne la promotion des ventes  !

Depuis près de 4 ans, le programme VIPros permet aux industriels partenaires d'aller à la rencontre des professionnels en facilitant la prescription de leurs produits et de leurs services. Fort de son succès et en constante évolution – 26 marques partenaires et 10 200 entreprises artisanales inscrites - le programme VIPros passe encore un nouveau cap en proposant une approche tout à fait inédite des offres promotionnelles, complémentaires aux VIPoints accordés lors des achats.
Il y a 3 ans et 297 jours

Guide « Solutions Planchers » Fabemi Gros Œuvre 2021

Le Groupe Fabemi, industriel français, vient de faire paraître l'édition 2021 du guide Solutions Planchers dédié à la mise en oeuvre de ses poutrelles, entrevous et accessoires. Spécialisé dans la fabrication d'éléments de planchers préfabriqués, Fabemi compte parmi les leaders sur le marché de la poutrelle. Véritable outil de travail, le catalogue réunit toutes les informations sur les produits Fabemi et les conseils de pose nécessaires aux professionnels, des prescripteurs aux poseurs. Chaque type d'ouvrage (maison individuelle, petit collectif, ERP…) trouve dans cette édition sa solution Fabemi détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés et les accessoires.
Il y a 3 ans et 300 jours

9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable

Le CNBD#9 – Le Congrès interNational du Bâtiment Durable – organisé par le Réseau National du Bâtiment Durable, aura lieu cette année en ligne et en semi-présentiel, en France, en…Cet article 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 300 jours

Expoprotection Sécurité 2021, le nouveau rendez-vous des professionnels de la sûreté-sécurité

Organisé du 28 au 30 septembre 2021 à Paris – Porte de Versailles (Pavillon 5), Expoprotection Sécurité s’impose comme le rendez-vous des experts de la sûreté et de la sécurité de la rentrée ; une offre unique couvrant trois grands secteurs : Sûreté-sécurité - Prévention et protection incendie – Cyberprévention ; un rendez-vous innovant et hybride, alliant physique et online, pour faire vivre aux participants, exposants comme visiteurs une expérience complète, avant, pendant et après le salon.Une offre large pour tous les experts de la sûreté-sécuritéExpoprotection Sécurité compte pas moins de 150 exposants tous experts dans les domaines de la sécurité électronique, sécurité physique et mécanique, Cyberprévention, sécurité privée, prévention et protection incendie. Parmi eux, de nombreux leaders de ces secteurs ont déjà confirmé leur présence.Un événement hybride pour une expérience augmentéeInnovant, Expoprotection Sécurité propose une formule hybride conjuguant expérience online et visite physique pour répondre aux attentes exprimées par les professionnels. Ainsi, Expoprotection Sécurité Physique + Online offrira véritablement une expérience « augmentée » aux participants qui pourront alterner et combiner à volonté : la visite physique, les rendez-vous d’affaires sur site ou en ligne, la participation aux conférences en présentiel ou à distance, des échanges directs à travers des groupes de discussion, des suggestions personnalisées d’offreurs et de solutions, des alertes en temps réel, etc.Un salon riche en contenusExpoprotection Sécurité sera rythmé par plusieurs rendez-vous incontournables :L’espace Cyberprévention englobera les sujets de Cyberculture et de Cyberprotection.Le Village Expert sera placé sous la thématique de la gestion de crise.Le Village des Startups mettra à l’honneur les « jeunes pousses » du secteur.Les Trophées de l’Innovation récompenseront les solutions les plus innovantes présentées sur le salon, révélant ainsi les grandes tendances en matière de prévention et de gestion des risques.Enfin, un programme de conférences riche et varié proposera une trentaine de sessions sur le salon ou en live sur Expoprotection Sécurité Online, sur diverses thématiques.
Il y a 3 ans et 301 jours

Guide « Solutions Planchers » Fabemi Gros Œuvre 2021 – Un précieux outil d’information pour les professionnels

Le Groupe Fabemi, industriel français, vient de faire paraître l’édition 2021 du guide Solutions Planchers dédié à la mise en œuvre de ses poutrelles, entrevous et accessoires. Spécialisé dans la fabrication d’éléments de planchers préfabriqués, Fabemi compte parmi les leaders sur le marché de la poutrelle. Véritable outil de travail, le catalogue réunit toutes les informations sur les produits Fabemi et les conseils de pose nécessaires aux professionnels, des prescripteurs aux poseurs. Chaque type d’ouvrage (maison individuelle, petit collectif, ERP…) trouve dans cette édition sa solution Fabemi détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés et les accessoires. Le guide Solutions Planchers 2021 apporte toutes les informations nécessaires à la conception et à la mise en œuvre de nombreux types de montages, classés par catégories : plancher toiture-terrasse, plancher intermédiaire, plancher vide-sanitaire et plancher haut de sous-sol. Dès les premières pages, il met en avant, sous forme de croquis en 3D avec coupes verticales, différents bâtiments correspondant à un projet de montage précis. Chaque partie de l’édifice est référencée, avec un renvoi aux pages consacrées aux produits et accessoires Fabemi préconisés.   Les montages planchers : une présentation efficace Trois grandes familles de montages planchers – Raidtherm®, Tradiraid® et Optiraid® – sont déclinées dans leurs différentes configurations et domaines d’emploi (Raidtherm® plancher isolant, Raidtherm® Duo plancher isolant sous chape flottante, Raidtherm® Décor plancher isolant finition décor…). Chaque montage est structuré de la même façon : photo en 3D, avec focus sur les avantages symbolisés par des pictos (thermique, économique, résistance au feu, facilité de pose…). Puis sont cités les domaines d’emploi du montage, auxquels succèdent les photos légendées de chacun des éléments employés, avec renvois de pages au chapitre « Les produits ». Les produits : poutrelles et entrevous suivent un ordre logique Ici encore, la maquette du guide Fabemi 2021 vise l’efficacité et adopte les mêmes grandes lignes de présentation que dans le chapitre précédent : photo de chaque élément, pictos, avantages, caractéristiques, avec l’accent mis sur les performances du produit. Les conseils de mise en œuvre sont illustrés par des schémas et des photos. Les accessoires De la poutre aux rupteurs thermiques en passant par les planelles et les suspentes, les nombreux accessoires Fabemi sont ici détaillés un par un, dans la continuité d’une présentation générale qui sert véritablement de fil conducteur. Les photos, schémas et conseils de mise en œuvre occupent une place importante, car la réussite du projet en dépend.   Cahier technique : exigences et préconisations de pose Dans ce chapitre, tout est dit sur les réglementations thermiques, acoustiques et incendies en vigueur. Calculs, mesures et cotes sont expliqués par des schémas pour chaque type de plancher et de bâtiment. Les préconisations de pose Poutrelles et Entrevous se réfèrent au stockage, à la manutention, à la préparation du plancher, à la mise en place des éléments, à l’étaiement et au coulage du béton. Les dernières pages de Solutions Planchers  fournissent des informations sur le logiciel Raid®, développé par le Bureaux d’Études Fabemi, qui permet de réaliser des plans de pose conformes aux réglementations en vigueur, en précisant le quantitatif complet des produits nécessaires à la réalisation du plancher.