Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

A Caen, la bibliothèque Alexis de Tocqueville dite aussi Bibliothèque Multimédia à Vocation Régionale (BMVR) a ouvert ses portes en… Cet article Bibliothèque de Caen par OMA : un plan en croix est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

Le prix Europe 40 UNDER 40 récompensait l'année dernière 40 jeunes talents européens de l'architecture et du design, dont 16 agences françaises. Un palmarès remarquable qui a incité ces créateurs de moins de 40 ans à présenter chacun trois projets à l'occasion d'une exposition organisée à la Maison de l'Architecture d'Île-de-France, à Paris (10e). Une sélection à découvrir dès demain dans le cadre des Journées Nationales de l'Architecture. Installée au Couvent des Récollets " quartier général de la Maison de l'Architecture en Île-de-France ", la nouvelle scène de l'architecture et du design présente les propositions qui leur ont valu d'être lauréats du concours, dont la présidence était assurée par Christian Narkiewicz, directeur du Chicago Museum. Le lieu d'exhibition permet à cette génération de partager ses travaux et réflexions avec un public plus large que celui des professionnels de ces deux disciplines. Loin d'être homogène, la rétrospective mêle des propositions issues de commandes publiques " musée, écoles, commissariat, centre culturel et sportif, crèche ou encore lieu de culte ", à des réalisations privées " immeubles collectifs et maisons ", ainsi qu'à une recherche de développement urbain durable et de qualité. Un programme alléchant, qui ne se cantonne pas à la présentation de la maîtrise d'"uvre mais s'intéresse également aux thèmes du design ou de l'aménagement. Des jeunes pousses prometteuses qui nous offrent un aperçu de ce que seront les villes demain. Exposition " 40 Under 40 ", du 13 au 15 septembre 2017, Maison de l'Architecture " Couvent des Récollets, Paris 10e. Pour en savoir plus, visitez le site des Journées nationales de l'Architecture Photographies :  1) Pierre Audat2) Swan Architectes3) Laraqui Bringer Architecture4) Agnès&Agnès Architecture5) Evangelos Vasileiou6) Insitu Architecture7) DR Maison de l'Architecture

Au c"ur de Blue Mountains, bourgade canadienne située à deux heures de Toronto, un chalet contemporain imaginé par les architectes locaux de l'Atelier Kastelic Buffey détourne les codes typologiques de ces constructions hivernales. Un projet qui s'intègre parfaitement au paysage enneigé du Grand Nord tout en lui apportant de la contemporanéité. Conçue pour accueillir une famille de cinq personnes, la demeure de plus de 280 mètres carrés répartie sur deux étages prend place à l'extrémité d'une impasse tranquille et arborée. Si la toiture à deux pans de la demeure et son pignon, ainsi que le bardage en pin canadien font écho aux chalets locaux, son enveloppe se détache des lucarnes et autres avant-toits typiques de l'architecture d'altitude. L'organisation spatiale du logement s'en éloigne également, afin de bénéficier pleinement des vues offertes sur les pistes de ski environnantes. L'unique pièce de vie " comprenant cuisine, salon et salle à manger ", est ainsi installée au premier niveau ; tandis que le rez-de-chaussée accueille les quatre chambres, des salles de bain et un sauna. Chaque étage bénéficie en outre de sa terrasse privative, de façon à ce que les résidents puissent profiter du panorama et du grand air à tout moment de la journée. Si l'extérieur joue sur les contrastes entre les façades noires de l'habitation et blanches du garage, l'intérieur est quant à lui monochrome, à l'exception du parquet à larges lames en chêne et de quelques éléments de mobilier réalisés dans la même essence de bois. La clarté des murs amplifie la luminosité procurée par la neige et les rayons du soleil qui pénètrent le lieu par le biais d'une multitude de larges ouvertures rectangulaires. Seul élément chromatique qui tranche avec le reste de l'édifice : la cheminée contemporaine en acier noir, évoquant la dualité chromatique présente à l'extérieur. Un projet combinant architecture vernaculaire et contemporaine, dans lequel on rêve de pouvoir passer de longues soirées d'hiver. Pour en savoir plus, visitez le site de Atelier Kastelic Buffey Photographies : Bob Gundu

Le long de la Sarphatistraat, une des avenues principales d'Amsterdam (Pays-Bas), se trouve l'Hôtel Spinoza, un établissement contemporain de luxe de 17 000 mètres carrés mêlé aux vestiges d'un ancien hôpital détruit en 2012. L'agence d'architecture néerlandaise Van Dongen-Koschuch réinterprète différents éléments emblématiques du lieu dans une extension atypique. Cet hôtel cinq étoiles situé à l'angle de trois rues consiste en un parallélépipède rectangle biaisé de cinq étages comprenant 211 chambres " dont 15 suites ", un restaurant, un espace bien-être ainsi qu'un garage sous-terrain. Deux murs mitoyens de l'ancien hôpital pour enfants ont été conservés par les maîtres d'"uvres et dissimulent des pièces de service, un espace de conférence et des bureaux. Ces fragments datant de la fin du XIXe siècle, sont tous deux constitués de briques rouges, mais présentent cependant une expression architecturale qui leur est propre. L'un d'eux, l'ancien frontispice, disposé au milieu du bâtiment, arbore une grande corniche et des angles magnifiés par des pierres de tailles blanches. Entre cette partie et l'immeuble voisin, le second vestige du passé, plus haut d'environ deux étages, propose pour sa part une devanture très travaillée, avec des linteaux finement sculptés, dont les ouvertures ont été murées par des briques et ponctuées aléatoirement de larges baies aux cadres métalliques proéminents. Si ces deux morceaux d'archéologie ont été conservés, ils n'ont cependant pas été le prétexte à la réalisation d'un pastiche. L'agence Van Dongen-Koschuch a au contraire décidé d'en détourner les éléments, la matérialité et les volumes, pour faire fusionner les époques dans le nouvel ensemble associant rénovation et extension contemporaine. La nouvelle façade, recouverte de pavés de céramique orangés, est quant à elle un clin d'"il aux constructions historiques du quartier tout comme ses fenêtres aux joues biaisées creusées dans la masse. Prolonger l'environnement verdoyant du quartier, où se trouve le plus grand jardin botanique d'Amsterdam, dans les zones de plein air de la construction, était un enjeu important du projet. Les deux terrasses et le patio de l'hôtel ont donc été largement végétalisés et habillés de faïence verte. Cette ambiance se retrouve également à l'intérieur de l'établissement, avec une abondance de verdure du hall d'accueil aux chambres. Une manière originale de conserver le patrimoine historique tout en le détournant habilement. Pour en savoir plus, visitez le site de van Dongen-KoschuchPhotographies : Bart van Hoek

Les Puces du design... 37e ! Pour la nouvelle édition de ce qui a été le premier événement européen dédié au genre, c'est au tour du post-moderne Ettore Sottsass d'être mis à l'honneur dans une scénographie imaginée par le talentueux Studio 5.5. Une initiative qui s'inscrit dans la volonté de renouvellement constante de la manifestation. L'événement bisannuel fête ses 18 ans. Pour passer le cap de la majorité, les Puces du design ont choisi de mettre en avant les réalisations du déjanté Ettore Sottsass, dans une scénographie à l'image des réalisations de l'artiste post-moderne : un poil décalées. " "Pourquoi Sottsass ?" car il est un maître à penser. Quand il a créé Memphis, il a voulu mettre un coup de pied dans la fourmilière, faire autre chose, comme nous ! Il y a aussi dans sa production une forme d'humour. C'est une des valeurs que nous défendons. " Jean-Sébastien, Studio 5.5 Pour mettre en avant les "uvres de l'Italien né il y a cent ans, le Studio 5.5, qui entame ici sa troisième participation aux Puces du design, a fait le choix original de les confronter à des ballots en carton " cubes composés d'emballages compressés ", prêtés par la société Syctom, spécialisée dans le traitement et la valorisation des déchets ménagers. Après le rassemblement qui se déroulera du 9 au 12 novembre, ceux-ci seront rendus à leur propriétaire, avant d'être recyclés et de connaître une nouvelle vie... à l'image des objets et meubles d'occasion, conçus entre les années 1950 et 2000, vendus et exposées par la centaine de marchands présents lors de la foire " dont 40 % viennent de l'étranger.Cette scénographie constitue en outre une prise de position forte de la part des designers parisiens. Elle est en effet un clin d'"il au marché du mobilier actuel, dont les pièces tendent à devenir des objets de consommation jetables, à la durée de vie limitée " finie l'époque des bahuts solides qui traversaient les générations...   En charge de la direction artistique des Puces du design, le Studio 5.5 aménage les 5 000 mètres carrés du hall 3.1 de Paris expo (Porte de Verssailles), où est organisée la manifestation, avec des stands de taille variée. Une disposition dynamique et rajeunissante, tout comme les nouveautés proposées par le salon depuis peu, telles que la présentation de pièces contemporaines ; la rue des designers-makers, dédiée aux néo-artisans, à la fois producteurs et auto-éditeurs ; ou encore la designerie, investie à chaque édition par une célèbre marque qui y brade des objets iconiques. Après avoir présenté des "uvres du passé, peut-être l'événement annoncera-t-il celles du futur ? Les Puces du design, du 9 au 12 novembre à Paris Expo, Hall 3.1, Portes de Versailles, Paris (15e) Pour en savoir plus, visitez le site des Puces du design Photographies/Illustrations :1) Studio 5.5, exposition Ettore Sottsass2) UAU, Grow3) A Touch of Design, Jeanne Buisson4) E&E esprit XXe, Le hameau des Baux, David Andre5) Stand Relax Factory, Fabien Bonillo6) Lampadaire Callimaco, Ettore Sottsass, 19827) Canapé Westside, 1983, Knoll8) Vase sifflet, 1968, Habitat9) © Siraudeau, Grande-Motte10) Atelier Emmaus, Henri en folie11) Mamama, 3 assiettes12) Mamama, Neptune13) Mamama, Vase

A la suite de la décision du Conseil d'Etat du 19 juillet 2017 annulant plusieurs articles du Code de l'urbanisme, la mission régionale d'autorité environnementale (MRAE) Grand Est invite les collectivités compétentes en matière d'urbanisme à saisir systématiquement ladite autorité lors de l'élaboration ou de la modification de leur document de planification.

Que faire des édifices de l’Italie Fascistes ? – Dakar, mémoires en noir et blanc – Lénine, l’indéboulonnable Vladimir –… Cet article Villes et mémoires : l'espace urbain à l'heure du grand déboulonnage est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

Le mercredi 4 octobre 2017, les lascars de Réinventer Pourris invitaient à La Colonie, dernier bar à la mode signé de l'artiste Kader Attia en plein Xe arrondissement parisien, à une table ronde intitulée ?Réinventer pourquoi ?' Nous nous étions fait l'écho en juin dernier du concours burlesque Réinventer Pourris. Innovation ? Quelle innovation ? […] L'article Réinventer l'innovation, un pléonasme Hidalgien? est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

La Barquière est une opération de 3 737 m² pour 62 logements livrée à Marseille en novembre 2016 par Pietri Architectes pour Constructa Promotion/Eiffage Promotion, maître d'ouvrage. Dans un tissu urbain contrasté, à proximité d'une bâtisse du XVIIIe siècle et d'un parc classé, Jean-Baptiste Pietri exalte une architecture "solaire" et méditerranéenne. Coût : 6,1 M¤. […] L'article A Marseille, le Grand Blanc de Jean-Baptiste Pietri est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

L'aménagement du quartier du Mas de Rochet, sur un terrain de 4,7 hectares à Castelnau-le-Lez (Hérault) consiste en la réalisation de 413 logements collectifs et individuels (en accession, sociaux, seniors) et de 218 places de stationnement, commerces et espaces publics. Lauréate du concours en 2010, l'agence Montpelliéraine A+ Architecture a livré à l'automne 2017 ce […] L'article Géométrie dynamique pour le Mas de Rochet, signé A+ Architecture est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Si la Norvège est bien connue pour sa production de saumons, ces derniers fascinent bien au-delà de la période de Noël ! À Kvåsfossen (Norvège), les architectes locaux Rever & Drage ont conçu un espace d'exposition en bordure de falaise, accueillant les curieux désireux de voir évoluer les poissons dans leur environnement. Avec son implantation en L, le bâtiment de plain-pied de 450 mètres carrés est une ode à la montagne, dont il suit la courbe au plus près. Il se situe par ailleurs en contrebas d'une route, depuis laquelle on n'aperçoit uniquement ses deux toitures à quatre pans et leur cheminée, d'où aucune gaine technique disgracieuse ne dépasse. Les toits sont ici une cinquième façade à part entière de cet ensemble revêtu entièrement de lames de chêne teinté à base de goudron, qui rappellent les nuances de la végétation et des roches alentour. Pour profiter au maximum de vues sur cet environnement boisé d'exception, le centre bénéficie de larges baies vitrées, offrant un panorama à couper le souffle sur le cours d'eau et l'immense échelle à saumons, installée en 2014 et permettant aux smolts de remonter le courant malgré les barrages. En pénétrant à l'est dans ce lieu entièrement décloisonné, le visiteur découvre en enfilade un espace café/cuisine puis un grand espace d'exposition. La zone d'observation sur les rapides bénéficie d'une large baie vitrée avec banquette orientée au sud et une terrasse positionnée à l'extrémité ouest. Dehors, un escalier hélicoïdal mène à bassin souterrain permettant aux plus curieuxvisiteurs d'observer à hauteur d'"il les poissons peuplant la rivière. Un projet mettant en avant la production piscicole locale mais surtout le paysage prodigieux des cascades scandinaves. Pour en savoir plus, visitez le site de Rever & Drage Architects Photographies : Tom Auger

Sur une plaine bordant le cours d'eau Ragn d'Err (Suisse), trône une étrange boîte en bois de 265 mètres carrés. Loin de renfermer des mystères, la structure érigée par l'agence locale Vincenzo Cangemi Architects est en réalité une centrale hydroélectrique discrète, parfaitement intégrée au paysage alpin. Entre ouverture et fermeture, entre intégration paysagère et parti pris architectural fort, la force de cet édifice dans sa dualité : un ouvrage rectangulaire de plain-pied de 23,50 mètres par 11,30, dont la structure béton est laissée nue à l'intérieur et bardée de lames de bois à l'extérieur, qui prennent ainsi place entre les éléments de l'ossature et rythment le calepinage des façades, complété par les empreintes laissées par les banches sur les poutres et poteaux. Cette partie, aveugle, est surmontée d'une charpente mixte béton/métal dont l'inclinaison fait référence à la pente du site et à la topographie de la montagne située en arrière-plan. À contrario, la surélévation laisse entrer la lumière naturelle dans le bâtiment camouflant un générateur hydroélectrique semi-enterré. Une réalisation sobre, idéalement située qui ne perturbe ni la topographie de son site d'exception, ni le calme des habitations alentours. Pour en savoir plus, visitez le site de Vincenzo Cangemi Architects Photographies : Ralph Feiner

En 2019 ouvrira le M + Museum de Hong Kong (Chine), dédié à l'art visuel. Première pierre à l'édifice de la zone culturelle : le M + Pavilion, conçu par VPANG, JET et Lisa. Lauréats du concours lancé en 2013 par la ville, les architectes imaginent un bâtiment tripartite réfléchissant le paysage alentour. Pour héberger et apprécier les travaux d'art visuel, de design et d'architecture du M + Pavilion, les architectes conçoivent un espace épuré, en écho à la tranquillité du lieu, légèrement excentré du centre-ville, permettant ainsi aux spectateurs d'en fuir l'agitation l'instant d'une exposition. Pour ce faire, les concepteurs imaginent un ensemble aérien mêlant façades miroir et murs en béton blancs, semblant flotter dans les airs. Le bâtiment de 878 mètres carrés en Y, encastré dans une butte arborée en partie centrale, se compose de trois parties distinctes : l'accueil au nord-est " qui reliera la construction au futur musée " ; la galerie et les pièces de service au nord-ouest ; et un promontoire en porte-à-faux faisant face au port de Victoria , front de mer de la ville. La relation entre architecture et nature est ici primordiale. L'espace d'exposition comprend ainsi une multitude de baies vitrées, baignant les salles de lumière naturelle tout en les connectant visuellement à un extérieur arboré. Une réalisation qui offre la possibilité aux visiteurs de profiter des "uvres d'art dans un lieu où règnent quiétude et sérénité. Pour en savoir plus, visitez le site de VPANG, de JET et de Lisa Cheung Photographies : West Kowloon Cultural District Authority

Les 13 et 14 octobre, sous la houlette de l'Ordre des architectes, des centaines d'agences ouvriront leurs portes au public dans la France entière. L'occasion pour les acteurs de la discipline d'exposer toute leur créativité et de convaincre de la nécessité de faire appel à leurs services mais surtout à leur savoir-faire unique. Durant deux jours, près de 1 000 cabinets d'architecture accueilleront curieux et particuliers afin de faire découvrir un métier encore trop souvent mal ou peu connu du grand-public. Chacune à leur manière, les entreprises tenteront de montrer les coulisses de la profession et le riche panel de réalisations que leur pratique englobe : des plus petits projets aux équipements titanesques, en passant par la réhabilitation patrimoniale et bien entendu la maison individuelle. Outre la présentation de ces structures, l'événement prendra de multiples formes " conférences, visites de chantiers, concerts ou encore promenades urbaines ", qui dresseront un portrait complet de cette fonction. " Il y a une grande diversité dans ce métier, c'est toute sa richesse. " Catherine Jacquot, présidente du Conseil National de l'Ordre des Architectes (CNOA) Pour la quatrième année consécutive, l'enjeu revendiqué des Journées Portes Ouvertes, JPO pour les intimes, est de montrer à tout type d'habitant " périurbain, villageois comme citadins ", le bien-fondé du recours à un architecte et les répercutions d'une telle démarche sur la qualité de vie des villes et des logements. Car, malheureusement, faire appel à un spécialiste de la construction semble encore aujourd'hui, à tort, être réservé à une élite, alors que son intervention permet de mieux cerner et maîtriser les multiples problématiques qu'implique une réalisation bâtie, de la phase de conception à la livraison, qu'elles soient constructives, environnementales, patrimoniales ou économiques. Une initiative à souligner qui permet d'amener professionnels et particuliers à se rencontrer et à découvrir la réalité d'un métier. Les Journées Porte Ouverte du Conseil National de l'Ordre des Architectes, les 13 et 14 octobre 2017, dans toute la France.  Pour en savoir plus, visitez le site des Journées portes ouvertes du Conseil National de l'Ordre des Architectes Photos/illustrations : CNOA

L’Odyssée fantôme : paysages de demain est une exposition du collectif Sauvage Garage qui était présentée du 15 au 26 septembre… Cet article L'Odyssée fantôme : paysages de demain est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

Porté par Lucas Bacle (agence brumm*) et Killian Wieber, le projet Voie Urbaine a emmené le public d’Agora 2017 dans… Cet article Voie urbaine : les chroniques d'une ville par ses habitants est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

A l’heure de la métropolisation et de la perte irréversible des habitats naturels, le paysage devient un élément essentiel du… Cet article Les paysages augmentés de Bas Smets est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.