Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255529 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 50 jours

Le Groupe Duval prend une participation au capital de Maison Demeurance et acquiert le constructeur de maisons individuelles Bessin

Maison Demeurance s'est ainsi récemment illustrée dans la construction de maisons passives innovantes.Ces acquisitions permettront, par ailleurs, de continuer à répondre aux besoins des bailleurs sociaux tout en développant une nouvelle offre de rénovation énergétique des maisons individuelles.Cette alliance illustre par ailleurs la volonté du Groupe Duval de renforcer sa position d’acteur-clé de l'immobilier au cœur des territoires au service des collectivités.Pour Eric Duval, Président-Directeur Général du Groupe Duval : « Ce rapprochement entrepreneurial crée une alliance stratégique pour notre Groupe qui affirme ainsi son ambition d’associer à la puissance de ses métiers liés à la promotion immobilière la pertinence du modèle des maisons individuelles responsables ».Pour Louis-Victor Duval, Directeur Général Adjoint : « Cette nouvelle étape stratégique va offrir une puissance supplémentaire à nos ambitions de développement territorial. Nous sommes heureux d'entretenir la dynamique d'impact de notre Groupe familial avec des entrepreneurs régionaux incontournables et responsables dont nous partageons les valeurs ».Chiffres clés :Forts de 30 ans d’expériencePlus de 5000 maisons déjà construites, soit 500.000 m² avec des maisons allant jusqu’à 300 m²Une quinzaine d’agences réparties en Normandie, en Bretagne et en Loire-AtlantiqueUn réseau de 200 artisansUn carnet de commandes de 50 M€ de chiffre d’affaires (contrat de maisons individuelles) cette annéeL'objectif : 200 M€ annuel de chiffres d’affaires grâce à une extension des zones géographiques d'intervention, le développement du logement social et de la rénovation énergétique dont la demande ne cesse de croître.
Il y a 3 ans et 50 jours

Une plate-forme pour les entreprises impactées par la guerre en Ukraine

Pour y voir plus clair suite à l'annonce du plan de résilience économique, une plateforme de contact spécifique pour les entreprises a été mise en place le 21 mars sur le site de la CCI.
Il y a 3 ans et 50 jours

900 tonnes de plastiques économisés par an par Velux France

Lorsqu'un groupe comme Velux décide d'éliminer les composants plastiques de 90% de ses emballages, le résultat est conséquent. Les nouveaux emballages sont 100% recyclables.
Il y a 3 ans et 50 jours

Rhône : travaux dans le quartier de Cusset à Villeurbanne

La municipalité de Villeurbanne (Rhône) réaménage le quartier de Cusset afin d’offrir un cadre de vie plus agréable aux habitants.
Il y a 3 ans et 50 jours

Pyrénées-Atlantiques : la mairie de Bayonne poursuit le développement de son réseau cyclable

À Bayonne, plusieurs opérations seront réalisées par la Mairie afin de renforcer le réseau de voies cyclables de la ville.
Il y a 3 ans et 50 jours

Oise : un projet de crématorium à Nogent-sur-Oise

La Ville de Nogent-sur-Oise (Oise) souhaite diversifier l’offre funéraire par la création d’un crématorium et d’un jardin du souvenir.
Cimbat
Il y a 3 ans et 50 jours

La construction modulaire se sent pousser des ailes

En colloque à Nantes, le secteur de la construction modulaire voit la vie en rose. Sa gestion naturellement économe des ressources et la capacité de réemploi de ses produits la place dans l’air du temps. Reste de nouvelles priorités : renforcer l’isolation de ses bâtiments, travailler sur le « confort d’été » et apprendre à « compter carbone ».
Il y a 3 ans et 50 jours

La rigueur et la liberté, 8 logements en pierre à Paris par Jean-Christophe Quinton

    La généralisation de l'isolation par l'extérieur, le besoin de protection solaire, la recherche d'une plus grande durabilité des matériaux, associés à la volonté fréquente d'afficher en façade une image signifiante, concourent à faire du travail sur l'enveloppe du bâtiment un sujet […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 50 jours

Bas-Rhin : restauration de cinq immeubles de la rue de l’Oignon à Saverne

À Saverne, une opération de restauration immobilière sera réalisée sur cinq immeubles de la rue de l’Oignon.
Il y a 3 ans et 50 jours

Matériels : 2021 reste l’année du rebond post-épidémie

En 2021, les ventes de toupies ont progressé de plus de 29 % en France. [©ACPresse] A ne pas en douter, l’année 2021 fut celle de la reprise pour les constructeurs de matériels. Il est vrai qu’après le passage à vide de 2020 – pour cause de pandémie mondiale -, il ne pouvait pas en être autrement. Après tout, nous n’étions pas dans une crise conjoncturelle, mais plutôt dans une mise entre parenthèses forcée de l’activité. Ainsi, les ventes d’équipements pour la construction ont augmenté de 24 % sur la période, selon les données du Cece (Comité européen des équipements de construction). Dans le détail, ce sont les machines routières qui ont le plus progressé, avec une hausse de 30,3 % en comparaison à 2020. Elles sont suivies de très près par les équipements pour bétons, qui plafonnent à + 29,5 %. Le Cece distingue aussi les outils de vibration du béton, qui affichent une augmentation de leur vente de 21,5 %. A titre indicatif, la plus faible croissance a été celle des machines de terrassements compactes, avec un “modeste” + 18,4 %. L’Allemagne : n° 1 européen Côté perspectives dans le domaine plus particulier des équipements pour bétons, les industriels tablent sur une année 2022 stable en matière de ventes. Du moins sur le premier semestre. Seulement 24 % des intéressés attendent une hausse, mais limitée à 10 %. Tandis que 4 % des industriels pensent qu’un recul, de l’ordre 10 % est à prévoir… Pour l’année 2021, toujours selon les données du Cece, l’Allemagne s’octroie la première place, avec 23 % de parts de marché, toutes ventes de matériels confondues. Avec 13 %, le Royaume-Uni monte sur la deuxième marche, suivi de très près par la France et ses 12 % de parts de marché. Toutefois, la guerre en Ukraine devrait largement modifier ce classement et, sans doute, les perspectives de vente. Ainsi, les 8 % de parts de marché russes seront très certainement corrigés à la baisse ! Au niveau de la France, l’évolution du marché sur les douze mois de l’année 2021 a été de 11 %. Les industriels y ont écoulé quelque 54 000 machines, pour un chiffre d’affaires d’environ 2,7 Md€. Soit une hausse de 12,5 %, estime le Seimat. Un joli rebond par rapport à 2020, même si la comparaison devrait se faire vis-à-vis de 2019. Année qui avait vu s’écouler pas moins de 60 000 unités… Les toupies ont le mieux progressé Durant 2021, ce sont les toupies qui ont le mieux tiré leur épingle du jeu, avec une progression de plus de 29 %. Et presque 900 toupies de vendues, mais moins bien que les 1 150 unités qui ont trouvé preneur en 2019 ! Les centrales à béton ont connu une hausse tout aussi belle, bien que moindre, car limitée à “seulement” 20 %. Sur l’année 2021, quelque 42 unités de production de béton ont été vendues, contre 35 en 2020 et 43 en 2019. Enfin, les pompes à béton ont connu une embellie de + 10,1 %, pour 76 équipements livrés chez les utilisateurs. En 2020, les ventes ont été à peine plus mauvaises, stabilisées à 76 unités. L’année 2019 reste plus l’heure, la référence, avec 84 pompes vendues en France. Et l’avenir ? Concernant 2022, le Seimat reste souriant, estimant la progression du marché à environ 5 %. Mais ça, c’était une conclusion qui date d’avant le début de la guerre de Poutine. Là aussi, la donne pourrait changer, mais pas forcément en bien.
Il y a 3 ans et 50 jours

Présidentielles : L’Ordre des architectes publie son plaidoyer

L’Ordre des architectes dévoile son plaidoyer “Habitats, Villes, Territoires, l’architecture comme solution”. [©DR] L’Ordre des architectes a rendu public un plaidoyer “Habitats, Villes, Territoires, l’architecture comme solution”, en faveur de la création architecturale. L’objectif est de replacer l’intérêt public au cœur de la fabrication de la ville. Le syndicat professionnel entend défendre un nouveau modèle. Il propose un programme structuré autour de cinq grands axes : renforcer les territoires pour permettre un développement mieux équilibré ;passer d’une politique du logement à une politique de l’habitat ;réparer la ville, en donnant la priorité à la réhabilitation ;faire évoluer les pratiques face au changement climatique. Lire aussi : Lettre ouverte aux candidats à l’élection présidentielle 30 000 architectes Ainsi, pour Christine Leconte, présidente de l’Ordre des architectes, « la création architecturale apporte des solutions au service des habitants et de la planète, qui ont été jusqu’ici trop peu exploitées par les décideurs publics. Elle permet de concevoir des bâtiments qui répondent aux nouvelles contraintes climatiques, en “renaturant” les sols. Mais aussi de rénover le bâti dans le respect du patrimoine. En pensant l’aménagement en lien avec la société, l’architecture devient un levier économique majeur et territorialisé. Ces solutions doivent désormais être entendues et appliquées, car l’heure est à l’action ». Lire aussi : Les propositions de la Filière Béton aux candidats à la présidentielle Ainsi, à travers ses conseils régionaux, l’Ordre des architectes présentera aux décideurs locaux ce plaidoyer dans lequel ces acteurs pourront puiser des solutions pratiques à l’appui de stratégies locales ambitieuses. Retrouvez ici le plaidoyer : https://www.architectes.org/actualites/habitats-villes-territoires-l-architecture-comme-solution-l-ordre-publie-son-plaidoyer
Il y a 3 ans et 50 jours

Éric Stroppiana élu président de l'Union Française du Levage (UFL)

Lors de son assemblée générale le 16 mars 2022, l'UFL a élu son nouveau président, Éric Stroppiana, du groupe Foselev.
Il y a 3 ans et 50 jours

Procore annonce son arrivée en France pour soutenir la transformation numérique du secteur de la construction

De l’avant-projet à la clôture et au-delà, les maîtres d'ouvrages et maîtres d'œuvres, ainsi que les entreprises générales et spécialisées, ont accès à une source de données unifiée et unique pour obtenir des informations précises et en temps réel tout au long du cycle de vie du projet.Un besoin de visibilité et de contrôle renforcé sur les projets de constructionLes professionnels de la construction en France accélèrent leur transformation digitale et recherchent de nouvelles solutions pour optimiser leur gestion des projets, qu’il s’agisse de gérer les délais ou leurs performances, tout en permettant une collaboration simplifiée entre toutes les parties prenantes. Pour soutenir cette transformation et l'ensemble des acteurs de l'industrie de la construction en Europe, Procore lance désormais sa plateforme en France.Pour Laurence Caron, Directrice Principale, Responsable Ventes en Europe du Sud chez Procore : “Procore a été conçu par des professionnels de la construction pour les professionnels de la construction afin d’améliorer leur quotidien. Nous sommes ravis de pouvoir aujourd’hui contribuer à soutenir le secteur français de la construction. Procore est une plateforme de gestion de projets de construction qui permet à tous les acteurs du secteur d’unifier leurs données tout au long de leurs projets. Procore propose une expérience simple et unique depuis la conceptualisation jusqu’à la livraison, permettant aux professionnels d’avoir une vue d’ensemble en temps réel sur leurs projets.” Procore rassemble les équipes de projets et les données en une seule plateformeAujourd’hui, Procore est le logiciel de gestion de construction le plus utilisé du monde, avec plus de 12.000 clients impliqués dans plus d’un million de projets, à travers 150 pays. Depuis sa création en 2002, Procore a été développé autour d’une seule philosophie : c’est en connectant toutes les personnes, tous les systèmes et toutes les données sur une seule plateforme que nous pouvons réaliser le plein potentiel des technologies de construction. Procore est une plateforme de gestion de construction tout-en-un qui connecte les équipes et les données en offrant une expérience utilisateur simple et unique du début à la fin d’un projet (de l’appel d’offre jusqu’à la livraison).Chaque professionnel du secteur de la construction a besoin de visibilité, de traçabilité, de simplicité d’utilisation et d’interopérabilité avec ses outils habituels pour favoriser la collaboration et avancer plus sûrement et plus efficacement.Pour Tooey Courtemanche, fondateur et PDG de Procore : "Depuis ces 20 dernières années, nous avons œuvré à relier tous les acteurs de la construction sur une plateforme mondiale. Procore est aujourd'hui utilisé dans plus de 150 pays, et nombreux sont nos clients qui ont des projets en cours en France. S'étendre officiellement en France permettra à Procore d'être le meilleur partenaire des leaders de la construction dans cette région et dans le monde entier."Première participation officielle à un grand salon professionnel français : BIM WorldLa première rencontre officielle de Procore avec l'industrie française aura lieu au BIM World (5 & 6 avril, Paris), grand salon des professionnels et des collectivités utilisant le Building Information Modeling et les technologies numériques au service de la construction, de l'immobilier et de l'aménagement urbain. A cette occasion, Laurence Caron tiendra une conférence axée sur l'approche de la plateforme tout-en-un de Procore pour soutenir les projets de construction français le 5 avril à 12h00. Les participants pourront également assister à des démonstrations en direct des solutions.
Il y a 3 ans et 50 jours

Bien plus qu'une chambre

Personnalisation de l'expérience usager et démarche environnementale sont désormais les grands axes de développement des hôtels et viennent s'ajouter aux exigences classiques de sécurité et de confort.
Il y a 3 ans et 50 jours

Édition Spéciale depuis EnerJ-Meeting : revivez nos émissions TV

RETOUR EN VIDÉO. À l'occasion du salon EnerJ-Meeting, la rédaction de Batiactu vous a proposé des émissions TV en live du salon. Devant nos caméras, Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable, Denis Valode de l'agence Valode & Pistre mais aussi des débats sur les matériaux biosourcés et traditionnels, sur l'énergie ainsi que des zooms innovations et des chroniques de la rédaction. Revivez les moments forts.
Il y a 3 ans et 50 jours

Expérimenter la paille, la terre ou encore l'ossature bois à la Bap! 2022

Une série de workshops ouverts aux étudiants en école d'architecture et au grand public accompagneront l'exposition "Visible, invisible" présentée à l'Ensa Versailles dans le cadre de la Bap!, du 13 mai au 13 juillet 2022. Les inscriptions sont ouvertes. Dans le cadre de l’exposition "Visible, Invisible", […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 50 jours

Les mesures concernant le retour au travail après un problème de santé sont renforcées

Ces mesures contre "la désinsertion professionnelle" sont détaillées dans deux décrets parus au Journal officiel jeudi en application de la loi santé au travail adoptée cet été, qui transpose un accord national interprofessionnel.Selon une estimation de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas), 1 à 2 millions de salariés, soit 5 à 10% d'entre eux, sont à court ou moyen terme exposés à ce risque de "désinsertion professionnelle".Alors que 100.000 personnes sont licenciées chaque année pour inaptitude professionnelle, la loi "nous fournit une boîte à outils qui va nous permettre de mieux anticiper les situations difficiles", selon M. Pietraszewski.Concrètement, pour anticiper davantage ces situations à risque, la loi instaure "un rendez-vous de liaison" qui permettra - avec l'aval du salarié - un échange après 30 jours d'arrêt avec l'employeur et le service de santé au travail pour préparer le retour à l'emploi et les adaptations éventuelles."Aujourd'hui, il n'y a pas d'échange pendant l'arrêt, on a une sorte de tunnel. Pendant ce tunnel, l'employeur ne connait pas la situation du salarié et le salarié n'a pas conscience des difficultés le jour J", explique-t-on dans l'entourage du secrétaire d'Etat."C'est un point d'information, pas une visite médicale. L'objectif c'est de renouer le contact avec l'accord du salarié", insiste-t-on.La loi, qui crée une visite médicale de mi-carrière, prévoit aussi que la visite de pré-reprise intervienne pour les arrêts de plus d'un mois au lieu de trois mois aujourd'hui."Il y a 840.000 arrêts de travail par an de plus de trois mois et 1,7 million de plus d'un mois. Aujourd'hui il y a 300.000 visites de pré-reprise, on peut les doubler", a-t-on souligné."Cela ne va pas se faire dès la première semaine d'application des textes mais nous pensons que c'est absorbable car la loi va permettre de dégager du temps médical en déléguant des tâches aux infirmières de santé au travail", juge-t-on.Enfin, la loi élargit l'accès à la "convention de rééducation professionnelle en entreprise" (CRPE), jusqu'ici réservée aux travailleurs handicapés, aux salariés jugés inaptes ou à risque par un médecin du travail.Ces derniers pourront désormais bénéficier de ce dispositif pour se former jusqu'à 18 mois à un autre métier au sein de leur entreprise d'origine ou une autre, tout en conservant leur contrat de travail et leur rémunération.
Il y a 3 ans et 51 jours

Les gaz renouvelables au cœur du système énergétique français d’aujourd’hui et de demain

La maîtrise des consommations passe dès aujourd’hui par la sobriété énergétique La crise actuelle rappelle qu’il faut pour toutes les énergies, dès aujourd’hui, consommer moins et de manière plus efficace. C’est pourquoi Laurence Poirier-Dietz a souligné lors de sa prise de parole qu’il était primordial de s’engager dans une logique de sobriété à la fois pour le climat, pour le pouvoir d’achat mais aussi pour l’équilibre du système énergétique. Au-delà des mesures volontaires d’économies d’énergie que chaque citoyen peut appliquer - comme réduire la température de son logement -, le compteur communicant gaz permet de suivre sa consommation de gaz et de réaliser des économies d’énergie. Laurence Poirier-Dietz a attiré l’attention des pouvoirs publics sur les discussions en cours quant aux futures réglementations et perspectives énergétiques : « La question du pouvoir d’achat est centrale. Prendre des décisions rapides sans en mesurer les effets à long terme, c’est risquer demain de faire basculer un grand nombre de Français dans la précarité énergétique. »Maintenir une diversité de solutions, indispensable pour atteindre l’objectif de neutralité carbone à un coût acceptable pour le consommateurDans les logements collectifs chauffés au gaz, la généralisation de la chaudière à très haute performance énergétique est la solution pertinente compte tenu des contraintes techniques s’opposant à l’installation de pompes à chaleur (PAC). Elle permet de réduire immédiatement de 30 % les consommations, les émissions de gaz à effet de serre et la facture des particuliers et des entreprises. Dans les logements individuels déjà raccordés au gaz, et dans les bâtiments neufs à proximité du réseau de gaz, l’installation de PAC hybride permet de décarboner les bâtiments au moins aussi efficacement qu’une PAC électrique seule, à un coût moindre à l’échelle de l’ensemble du système énergétique. Laurence Poirier-Dietz a mis en avant la dynamique des gaz verts dans les territoires français en insistant sur le fait que « la mise en œuvre de la décarbonation des bâtiments sera plus rapide, moins coûteuse et moins risquée si elle laisse aux gaz verts un rôle significatif dans la couverture des besoins de chauffage, en complémentarité avec une électrification raisonnée des usages reposant notamment sur le déploiement de solutions hybrides. »Libérer le potentiel bien réel des gaz renouvelables : une nécessité absolue pour atteindre 20 % dès 2030 Les gaz renouvelables, en premier lieu le biométhane, sont une opportunité pour décarboner et relocaliser une part de la production au service de la souveraineté énergétique. Le potentiel réaliste de 420 TWh/an de gaz verts à horizon 2050 peut largement dépasser la consommation de gaz française à cette échéance. La filière porte des mesures efficaces qui ne peuvent attendre : raccourcissement des délais d’obtention des autorisations administratives, allongement de la durée réglementairement autorisée pour mettre en service les installations, certificats de production de biogaz et appel d’offres pour les grandes installations. Les gaz verts pèsent peu sur les finances publiques et profitent de réseaux déjà dimensionnés et adaptés.
GDA
Il y a 3 ans et 51 jours

Vinci Concessions trace durablement sa route en Grèce

CONTRAT. Dans le Péloponnèse, la branche concessions du groupe Vinci s'est vu confier, avec ses partenaires, l'extension et l'exploitation pour six années supplémentaires de l'autoroute reliant Athènes, Corinthe et Patras.
Il y a 3 ans et 51 jours

Crise des matériaux : la FFB veut revoir la composition des index

La FFB annonce travailler sur la composition des index, parfois jugés déconnectés de la réalité.
Il y a 3 ans et 51 jours

Avec sa gamme 99., Semin mise sur les matières naturelles et la production locale

La gamme 99., présentée sur Nordbat, rassemble quatre enduits dépassant les 99 % de matières naturelles.
Il y a 3 ans et 51 jours

Zan : "On est en train de créer une crise pour préserver 1% du territoire" (Unam)

URBANISATION. Pour l'Union nationale des aménageurs, le déficit de construction provoqué par la règle de zéro artificialisation "comptable" telle qu'imaginée par le Gouvernement serait encore plus important qu'aujourd'hui. Or le rythme de consommation foncière, qui a largement ralenti, permettrait de la souplesse.
Il y a 3 ans et 51 jours

Une méthode de rénovation radicale, Net Zéro Energie garantie, en logement et en tertiaire

EnergieSprong souhaite déployer à grande échelle des rénovations énergétiques zéro énergie en démocratisant l’accès au plus grand nombre grâce à l’atteinte d’un équilibre économique sans subvention.
Il y a 3 ans et 51 jours

Alkern se veut responsable, social et environnemental

L'industriel spécialisé dans les produits en béton préfabriqués s'apprête à publier un rapport RSE dont le président du groupe Xavier Janin a présenté les grandes lignes mercredi 30 mars.
Il y a 3 ans et 51 jours

Bâtir durable : nouveau catalogue matériaux naturels ISOLATION de France Matériaux

Alliant confort d’hiver, confort d’été et faible empreinte carbone, les isolants biosourcés sont portés par la RE 2020 et sont de plus en plus utilisés dans la construction et la rénovation durable des bâtiments. Pour présenter son offre sur cette famille de produits, France Matériaux, groupement national de négoces en matériaux indépendants, lance son premier catalogue dédié aux isolants biosourcés. Véritable guide de choix, le nouveau catalogue consacré aux isolants biosourcés de France Matériaux a pour objectif d’aider les professionnels à bâtir durablement. Conçu pour une recherche facilitée en fonction des besoins du chantier, il décline l’offre produits en 6 thématiques : • la fibre de bois en panneaux semi-rigides, rigides ou en vrac pour le doublage de mur par l’intérieur, l’isolation thermique par l’extérieur, la toiture, le plancher et les combles ; • la ouate de cellulose en panneaux semi-rigides ou en vrac pour l’isolation des murs et des combles perdus ; • le chanvre, en vrac ou en panneaux rigides, pour conjuguer isolation thermique et perspirance du bâtiment ; • la chaux, qui associée au chanvre, offre des qualités d’isolation thermique pour les maisons en pierre ou aux murs maçonnés ; • le liège, doté de performances thermiques et acoustiques, présenté en panneaux ou en vrac, pour le remplissage des murs et des combles, par exemple ; • les accessoires associés aux différents isolants biosourcés pour une pose dans les règles de l’art : pare-vapeurs, ruban adhésif, … Pour simplifier la sélection, chaque descriptif est accompagné de pictogrammes représentant la destination du produit : combles aménagés, combles perdus, mur intérieur, mur extérieur, plancher, ITE. A la fin du catalogue, une carte de France et le nouveau site internet https://www.france-materiaux.fr/ permettent au client de retrouver le point de vente le plus proche de chez lui parmi les 242 négoces indépendants du groupement. LE BUREAU DE LA PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE : UN SERVICE FRANCE MATÉRIAUX ASSOCIÉ Toujours dans un souci d’accompagnement de ses clients disposant du label RGE, rappelons que France Matériaux met à leur disposition un service, le Bureau de la Performance Energétique, pour les conseiller, les former et les accompagner à constituer leurs dossiers d’aide à la rénovation énergétique (MaPrime Rénov, dispositif CEE). Pour en bénéficier, il suffit de le contacter par mail – contact@bpe-france-materiaux.fr ou par téléphone au 04 79 62 75 57
Il y a 3 ans et 51 jours

Plus de 10% de l'électricité mondiale est venu du solaire et de l'éolien en 2021

ENERGIE. La part des énergies renouvelables continuent d'augmenter dans le monde. Le solaire et l'éolien devraient peser pour 20% de l'électricité en 2030.
Il y a 3 ans et 51 jours

Présidentielle : quelle place pour l’efficacité énergétique dans les programmes des candidats

C’est sous ce prisme que Sonergia a souhaité analyser les programmes des principaux candidats à l’élection présidentielle 2022. Les mesures et actions proposées par les 6 candidats ayant le plus d’intention de voix ont ainsi été passées au crible et un podium établi sur la base d’informations factuelles (présence ou non de mesures en lien avec l’efficacité énergétique).Quelle appropriation de l’efficacité énergétique par les candidats ?Une approche en entonnoir a été adoptée pour juger de la place donnée par chaque candidat à l’efficacité énergétique. Sujet relativement technique, voire de spécialistes, il a donc été regardé dans un premier temps quelle était la place de l’écologie dans le programme de chaque candidat. La réponse est sans appel et certains clichés ont encore de beaux jours devant eux : la place donnée à l’écologie reste très directement liée à la tendance politique et les partis de gauche en font en thème central quand la droite et l’extrême droite l’abordent en dernier ressort, voire ne l’abordent pas.En affinant l’analyse sur les sujets énergétiques, un premier constat se dégage : si tous les candidats abordent le sujet de l’énergie dans leur programme, c’est avant tout sous l’angle des moyens de production (nucléaire, EnR…) et non dans une logique de réduction des consommations. Cette thématique de l’énergie est également amenée, au niveau de l’Etat sous l’angle de la souveraineté et donc de l’indépendance quand elle est vue pour les professionnels sous l’angle de la compétitivité et pour les ménages sous l’angle du pouvoir d’achat. L’énergie est donc en bonne place dans les programmes des candidats mais pas sous l’angle de la réduction de sa consommation.Pour preuve, peu de candidats se sont au final appropriés le champ lexical de l’efficacité énergétique. L’expression ‘économies d’énergie’ n’est présente dans aucun programme et celle de ‘rénovation énergétique’ se limite à quelques occurrences. La ‘sobriété’ est presque inexistante et sans surprise, les certificats d’économies d’énergie sont inexistants. Par contre, les candidats sont nombreux à proposer des mesures que nous pourrions qualifier de pansements pour limiter l’impact de la hausse du prix de l’énergie sur le portefeuille des ménages. Baisse de TVA, réhausse du chèque énergie, 1ers KWh gratuits ou encore élargissement de la prise en charge des trajets domicile-travail : les mesures de compensation sont nombreuses mais ne vont pas résoudre le problème de fond lié à la consommation.Comme mentionné précédemment pour réduire les consommations, il faut attaquer le problème à la base : si le changement des comportements peut permettre un gain dépassant les 10% (voir bilan programme ECORCE), les travaux de rénovation énergétique restent l’action de long terme privilégiée. Mise en avant par le plan de relance Covid 19, la rénovation est depuis le fer de lance des politiques publiques. Il est donc naturel de retrouver cette mesure en bonne place dans le programme des candidats :Le constat est moins reluisant concernant les bâtiments tertiaires, qui, s’ils ne peuvent prétendre être les grands oubliés des programmes, ne sont que peu mis en avant. L’attendue « exemplarité de l’Etat » qui possède un patrimoine très important de bâtiments n’est jamais abordée, que ce soit sur ce sujet de l’efficacité énergétique ou plus largement sur les autres thèmes des programmes.Autre sujet très parlant dans le quotidien des Français, le transport, qui est par ailleurs une source d’émissions de gaz à effet de serre à réduire drastiquement. C’est une quasi-unanimité des candidats sur le sujet et plus précisément sur la question de rail. Qu’il s’agisse de fret de marchandises ou encore de transport de personnes, les candidats s’accordent sur la place centrale du réseau ferré dans les décennies à venir. Les mobilités douces sont plus boudées, même si le co-voiturage et la pratique du vélo restent valorisés chez 2 candidats :Sortant de ce spectre du bâtiment et des transports qui parlent très directement aux Français et donc aux électeurs, les autres pans de l’efficacité énergétique sont à la peine. Clairement, aucun des candidats ne dévoilent de mesures concernant l’agriculture et les réseaux. Il y a bien entendu des propositions sur ce thème mais elle ne concerne nullement le spectre des économies d’énergie. L’industrie est un peu plus chanceuse, considérée comme fleuron de notre pays sur certaines activités et très empreinte de décarbonation. La mise en place d’un Ministère commun Industrie-Energie ou encore de feuille de route spécifique pour faire évoluer les filières sont des mesures sur la table. Le spectre pris est donc celui du pilotage et de la planification, plus que des actions concrètes et de soutien dans un premier temps.Quels sont les enseignements transversaux de l’analyse des programmes des candidats ?L’ensemble de ces mesures et engagements mériteraient d’être passés au crible de la faisabilité technique & économique : principe de réalitéLe sujet de l’énergie est bel et bien présent dans chaque programme mais généralement pris sous le prisme de la production et non de la réduction des consommationsQuand la réduction durable des consommations d’énergie est affichée par les candidats, c’est très majoritairement sous le prisme du gain de pouvoir d’achat des ménages et de la compétitivité pour les entreprisesLes candidats ont une approche de l’électorat en tant qu’individu, au sein d’un ménage, et non dans le cadre de leur secteur d’activité professionnelle : de fait les mesures sur l’industrie, l’agriculture ou encore les réseaux sont sous-représentéesLa rénovation énergétique, mise en lumière dans le cadre du plan de relance Covid-19, est clairement le sujet de positionnement partagé par tous les candidats quand il s’agit de parler d’économie d’énergieMême si les sujets de transition écologique ne se réclament d’aucun parti, force est de constater que l’ancrage historique du sujet au sein des gauches tend à perdurerAlors, qui serait le président de l’efficacité énergétique ? Afin de ne pas tomber dans le jugement et de rester le plus factuel possible, une grille d’analyse a été travaillée afin de distribuer une note non contestable aux candidats. Elle est basée sur des questions fermées relatives à la présence ou la place de telle ou telle mesure dans le programme. Cette grille d’analyse est la suivante :Ne voulant pas être pénalisant, il a été retenu que la présence d’une mesure par sujet était suffisante pour obtenir le point. Il convient donc de garder en tête que cette notation ne relève de la profondeur du candidat sur un sujet mais dans un premier temps du fait qu’il l’ait traité ou non.Cette grille donne ainsi le podium suivant :Yannick Jadot sort donc en tête de la prise en compte des mesures d’efficacité énergétique dans son programme, suivi d’assez près par Jean-Luc Mélenchon. Le président candidat Macron obtient la moyenne et se classe en 3ème position sur le podium. A noter que si ces scores permettent aux candidats d’être sur le podium, ils ne sont pas non plus exceptionnels et qu’ils posent une question de fond de la prise en compte du sujet dans les politiques publiques.Les candidats auraient-ils pu faire mieux ?Très vraisemblablement. Le spectre de l’efficacité énergétique n’a pas été porté comme un sujet fort dans le programme des candidats alors même que la question de la dépendance énergétique de notre pays est sur toutes les lèvres depuis plusieurs semaines. Mais il n’est pas trop tard et heureusement que le programme d’actions des candidats pour le quinquennat ne se résume pas aux quelques pages publiées sur internet dans le cadre de la campagne présidentielle. Sonergia souhaite donc transmettre les quelques messages forts suivants, sous forme de propositions à tous les candidats et plus largement toutes personnes s’intéressant au sujet de l’efficacité énergétique :
Il y a 3 ans et 51 jours

L’Insee réduit les délais de production des index Bâtiment, Travaux publics et divers de la construction

L’institut a développé une nouvelle méthodologie pour réduire les délais de publication des index Bâtiment, Travaux publics et divers de la construction (Index BT-TP). Ces derniers sont principalement utilisés par les professionnels à des fins d’indexation des contrats et des marchés publics.Les index BT-TP : un outil très important pour les professionnelsLes index Bâtiment, travaux publics et divers de la construction sont des indices composites de coûts de différentes activités ou sous-activité du secteur de la construction. Au nombre de 78, ils sont calculés comme une somme pondérée d’indices très détaillés représentatifs des différents postes de dépenses des professionnels (travail, énergie, matériaux, services, transports, déchets). Ils sont destinés à l’actualisation et à la révision des prix des marchés de construction. Ils servent notamment à indexer des contrats et particulièrement les marchés publics et les contrats de construction de maison individuelle.Une réduction des délais pour refléter plus rapidement les variations de prix, notamment des matières premièresLes index BT-TP sont diffusés mensuellement sur le site de l’Insee et au Journal officiel. Ils sont actuellement publiés avec un délai de 80 jours environ après la fin du mois considéré (M + 80), sans révision ultérieure. Les index seront désormais publiés avec une réduction des délais de publication à 45 jours après la fin du mois considéré (M + 45). Ce changement de calendrier est rendu possible par une évolution de la méthodologie tout en conservant sa qualité.Un calendrier à M + 45 jours après une phase transitoireLa dernière publication des index relatifs au mois de décembre 2021 a été diffusée au 15 mars 2022. Les prochaines publications des index interviendront le 21 avril 2022 pour les index de janvier 2022 (date déjà annoncée), le 3 mai pour les index de février 2022 (au lieu du 19 mai) et le 13 mai 2022 pour les index de mars 2022 (au lieu du 16 juin), puis de façon pérenne à M + 45.
Il y a 3 ans et 51 jours

Bientôt un "3ème coup d'arrêt" à la rénovation énergétique, alertent plusieurs acteurs

LETTRE OUVERTE. Un collectif d'acteurs du secteur de la rénovation énergétique demande un geste au Premier ministre afin de relancer le marché.
Il y a 3 ans et 51 jours

L'immobilier à usage professionnel doit s'adapter à la transition énergétique

Les bonnes intentions sont parfois difficiles à mettre en œuvre, mais le secteur de l’immobilier commercial va devoir se pencher sur ce sujet, si l’Europe veut atteindre ses objectifs "zéro émission nette". Les promoteurs et propriétaires de bâtiments devront prochainement se conformer à des réglementations, nouvelles ou actualisées, visant à réduire les émissions de dioxyde de carbone. Celles-ci sont principalement issues du programme législatif "Fit for 55" de l’UE et pourraient permettre aux entreprises d’y trouver un intérêt financier.En effet, la possibilité de réduire rapidement et définitivement les coûts énergétiques en développant une stratégie axée sur des bâtiments commerciaux durables pour soutenir la production d’énergie renouvelable sur site ou le stockage de l’énergie représente un excellent exemple de résultat immédiat.Le concept de transition énergétique est en train de s’imposer et la législation et la réglementation, aussi bien au sein de l’UE qu’en dehors, sont sur le point d’accélérer le processus. Deux ensembles d’initiatives sont à l’avant-plan : le Pacte vert pour l’Europe, lancé en 2019, et le plan législatif Fit-for-55, publié en 2021.Respecter les délaisLe Pacte vert engage les États membres à la neutralité climatique d’ici à 2050. L’accord Fit-for-55 vient soutenir ce plan en encourageant la législation européenne sur le climat et l’énergie à se conformer à l’objectif de réduction de 55% des émissions carbone, par rapport aux niveaux de 1990, d’ici à 2030. Pour tenir les engagements du Pacte vert et de l’accord Fit-for-55, les promoteurs et propriétaires de bâtiments commerciaux vont devoir respecter des délais serrés, en particulier pour l’objectif de 2030, qui devra être rempli en seulement huit ans. Les bâtiments représentent environ 40% de la consommation d’énergie totale de l’UE, c’est pourquoi ils devront contribuer à une grande partie de la réduction imposée dans le cadre de l’accord Fit-for-55.Pour le secteur des bâtiments commerciaux, l’accord Fit-for-55 va permettre de réviser certaines règlementations telles que L’AFIR (qui était jusqu’à peu connu sous le nom d’AFID, la Directive sur les infrastructures pour carburants alternatifs) qui vont impacter les promoteurs et propriétaires de bâtiments. En effet, cette règlementation sera désormais applicable dans les États membres et affectera directement les bornes de recharge « accessibles au public », incluant probablement celles situées sur des terrains privés, bien que la définition de l’expression « accessible au public » n’ait pas encore été confirmée.Développer une stratégie Fit-for-55Les échéances réglementaires sont cruciales, tant pour la planification de nouvelles constructions que pour la préparation de rénovations. Celles-ci soulèvent donc plusieurs questions pour les professionnels du secteur. Concernant l’accord Fit-for-55 par exemple, il est important de savoir quand le chauffage à combustible fossile appartiendra au passé, dans quelle mesure les systèmes de ventilation et de climatisation seront affectés, et l’énergie nécessaire pour prendre en charge le nombre croissant d’appareils intelligents.La question n’est plus de savoir s’il faut ou non installer des bornes de recharge pour véhicules électriques, mais plutôt combien d’entre elles seront nécessaires, ainsi que la vitesse et la provenance de l’énergie fournie.Une approche stratégique est essentielle pour entreprendre la transition énergétique dès maintenant plutôt que d’attendre l’entrée en vigueur de nouvelles réglementations, d’autant plus qu’il existe des avantages immédiats. Un point de départ simple est de stocker de l’énergie peu chère pour l’utiliser lorsque les prix sont élevés : il s’agit d’un moyen sûr de faire des économies tout en répartissant la charge, réduisant ainsi l’encombrement de réseau.La technologie de stockage d’énergie a fait ses preuves et peut être installée dans la plupart des établissements commerciaux. On commence désormais à prendre conscience de son potentiel dans la transition énergétique, notamment pour aider à réduire l’encombrement réseau. Couplage sectorielSi le stockage de l’énergie est si utile pour aider les bâtiments à s’adapter à la transition énergétique, c’est grâce au "couplage sectoriel", qui permet d’utiliser l’énergie, en particulier l’énergie renouvelable, de manière plus efficace en associant la consommation à la production. Le lissage des pics et creux de la demande qui en résulte contribue également à équilibrer le réseau.Dans un bâtiment commercial, le couplage sectoriel implique souvent de combiner le stockage de l’énergie avec la production sur site et l’infrastructure de recharge pour véhicule électrique (qui peut stocker de l’énergie et la consommer, permettant au propriétaire du bâtiment de facturer les frais de recharge de véhicules). Ce type de stratégie fournit aux bâtiments un certain degré d’autosuffisance, ce qui permet de réduire la quantité d’énergie achetée sur le réseau, de stocker de l’énergie à faible coût pour l’utiliser lorsque les prix sont plus élevés, et bien entendu, de se conformer à de nombreuses réglementations susceptibles d’entrer en vigueur avec l’accord Fit-for-55.Les propriétaires de bâtiments doivent toujours vérifier la conformité aux réglementations locales, en gardant à l’esprit que les pays européens hors de l’UE, comme la Norvège, la Suisse et le Royaume-Uni, mettent en place leurs propres réglementations afin de lutter contre le changement climatique. La législation et les réglementations font partie d’initiatives politiques complexes et risquent donc d’être interprétées de différentes manières.Cependant, opter dès maintenant pour une approche axée sur la transition énergétique permettra aux constructeurs de chaque bâtiment construit de manière appropriée de faire un pas de plus vers la neutralité carbone.Tribune de Christophe Bourgueil - Business Developer des solutions de transition énergétique et de stockage d’énergie chez Eaton (LinkedIn)
Il y a 3 ans et 51 jours

Vendée : une nouvelle voie verte pour Fontenay-le-Comte

La municipalité de Fontenay-le-Comte poursuit son engagement en faveur de la mobilité douce en inaugurant une nouvelle voie verte.
Il y a 3 ans et 51 jours

Reckli et Keim invitent les maîtres d’œuvre au “Concrete Show”

Les responsables d’opérations Reckli France et les chargés d’affaires Keim France, dont (au centre face) Cécile Moura, chargée du marketing et de la communication chez Reckli France, et (centre, gauche) Virginie Grelot, responsable marketing et communication chez Keim France. [©Photocall] « Reckli fabrique des matrices de coffrages et Keim, des peintures et des lasures minérales. Nous avons uni nos savoir-faire pour lancer un procédé appelé Reckli Color by Keim », explique Cécile Moura, chargée du marketing et de la communication chez Reckli France. Et Virginie Grelot, responsable marketing et communication chez Keim France, de poursuivre : « C’est assez naturellement que ce partenariat entre Reckli et Keim s’est noué. Deux PME allemandes, qui se retrouvaient souvent sur des chantiers. Un accord entre un fabricant de couleurs et un industriel des textures. Nous avons formulé un produit adapté à leur matrice et au béton matricé, qui est très texturé. C’est un procédé global, pour accompagner la maîtrise d’œuvre dans la sélection de sa matrice de coffrage et dans l’application d’une lasure pour embellir le béton. Mais aussi le protéger ». Un afterwork convivial Ainsi, courant mars, s’est déroulée à la galerie Sakura, dans le IVe arrondissement de Paris, une soirée de démonstration avec les équipes Reckli et Keim. « Nous avons décidé de faire trois évènements dans l’année : un à Paris en mars, un à Nantes en juin et un dernier à Marseille en octobre. Des rendez-vous à destination des maîtres d’œuvre. Le but est de promouvoir un nouveau produit pensé par rapport aux besoins des architectes », reprend Cécile Moura. A la galerie Sakura, se mêlaient exposition du moment, échantillons de matrices et de bétons, photos de projets. Très conviviale, la soirée a privilégié le contact entre les responsables d’opérations Reckli France, les chargés d’affaires Keim France et les prescripteurs. A suivre en juin… pour les maîtres d’œuvre qui ont manqué la session parisienne. Courant mars, s’est déroulée à la galerie Sakura, dans le IVe arrondissement de Paris, une soirée de démonstration avec les équipes Reckli et Keim. [©Reckli]Les démonstrations des spécialistes Reckli France et Keim France se sont déroulées dans l’exposition de la galerie Sakura. [©Reckli]Les démonstrations des spécialistes Reckli France et Keim France se sont déroulées dans l’exposition de la galerie Sakura. [©Reckli]
Il y a 3 ans et 51 jours

Engie poursuit son désengagement de GTT

Engie, qui cherche à recentrer ses activités, a annoncé le 23 mars une nouvelle réduction de sa participation dans GTT, entreprise spécialiste des systèmes de confinement pour le gaz liquéfié.
Il y a 3 ans et 51 jours

BIM : création du Dictionnaire de données de l’Industrie du Béton

Une dynamique sectorielle en faveur de la transition numérique portée par la FIB et le CERIB Dans ce cadre, l’Industrie du Béton s’est lancée dès 2015 dans un travail pionnier d’exploration du BIM pour inscrire la numérisation dans la construction et créer une dynamique sectorielle en faveur de la transition numérique. Cet engagement a été porté par la FIB (Fédération de l’Industrie du Béton) et le CERIB (Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton). Ces travaux aboutissent aujourd’hui à la constitution d’un premier dictionnaire de données portant sur la description des systèmes constructifs proposés par les industriels des produits préfabriqués en béton. Le rapport « Retour d’expérience autour de la création d’un dictionnaire de données pour l’Industrie du Béton », qui vient d’être publié, rend compte des travaux effectués par le CERIB, avec le soutien de la FIB et le concours de nombreux industriels du béton. Il constitue avant tout un état de compréhension de l’impact du numérique et du BIM sur une filière industrielle de la construction et la manière dont celle-ci s’est emparée du sujet pour en faire un projet collectif de développement et d’innovation. Il souligne que l’intégration du BIM, parfaitement adapté aux systèmes préfabriqués en béton, permettra à tous les acteurs d’être plus efficaces et de mieux échanger pour rationnaliser toutes les étapes de la construction. Ce document a pour objectif d’exposer la compréhension du « BIM sémantique » par l’Industrie du Béton, qui s’attache avant tout à la qualification des objets en vue d’être utilisés dans des maquettes numériques. Il est illustré par les retours d’expériences des travaux menés, propres au développement de l’Industrie du Béton, mais aussi capables d’être transposés vers d’autres filières industrielles. Il témoigne de la volonté de l’Industrie du Béton d’encourager la dynamique numérique, en intégrant intelligemment toutes les dimensions du BIM, à travers la maquette numérique et les données utiles et structurées qu’elle embarque. Le rapport d’une trentaine de pages décrit les principes de base d’un dictionnaire de données, clarifie les notions de modèle et objet dans un processus BIM, explicite le processus de création de modèles d’objets BIM dans un dictionnaire de données. Il présente le catalogue d’objets BIM de l’Industrie du Béton et la classification actuelle des produits en béton préfabriqués, tels que disponibles dans la base de données d’objets génériques BIM de l’Industrie du Béton (17 familles contenant une quarantaine de sous-familles) comme une manière de ranger des livres dans un bibliothèque. Le développement de la base de données d’objets génériques BIM de l’Industrie du Béton C’est la notion de l’objet et des données allouées qui ont permis de faire le lien entre l’Industrie du Béton et le BIM : un objet assimilable à un produit industriel, la plupart du temps utilisé avec d’autres pour former des systèmes constructifs. Ainsi, les premiers travaux ont débuté autour du développement d’objets BIM, calqués sur les habitudes de descriptions des produits par les industriels dans leurs catalogues. C’est à partir de ces éléments qu’a été développée la base de données d’objets génériques BIM de l’Industrie du Béton : la BDD BIM G.IB. Ces travaux ont été complétés par la participation du CERIB au projet POBIM, lancé par la Plan de Transition Numérique du Bâtiment (PTNB) et piloté par l’AFNOR et qui se poursuit avec le Plan BIM 2022. La BDD BIM G.IB est composée de deux entités distinctes qui se complètent :Un ensemble de propriétés et de modèles d’objets, assimilés par la suite au Dictionnaire de données de l’Industrie du Béton ;Un catalogue d’objets, issus de modèles d’objets enrichis de valeurs génériques, permettant de définir les composants et les systèmes génériques propres à l’Industrie du Béton. Centrés sur la caractérisation des propriétés des objets génériques, les travaux ne faisaient initialement pas de distinction entre les objets et les modèles d’objets, qui n’intervenait qu’une fois les produits à intégrer dans la base étaient sélectionnés, décrits et caractérisés comme des objets BIM. Les travaux du CERIB et de la FIB ont permis dans un second temps de distinguer modèles et objets afin que l’ensemble de la filière de la construction puisse plus facilement assimiler la démarche. Une réponse aux besoins métiers de tous les acteurs de la construction La somme des travaux réalisés par le CERIB et la FIB autour des bases de données d’objets numériques s’inscrit dans une vision résolument globale pour impliquer l’ensemble des acteurs gravitant dans l’environnement de l’Industrie du Béton. Ces travaux mettent en évidence la nécessité de partager avec tous les professionnels de la construction leur gestion et de mutualiser leur utilisation. Cette dynamique s’inscrit dans une profonde évolution des pratiques méthodologiques développées dans les projets de construction. L’ingénierie système devient, dès lors, une condition nécessaire à l’industrialisation de la filière de la construction, qui loin d’une contrainte, doit être perçue comme une formidable opportunité de structurer et rationaliser les pratiques métiers. Et dans un contexte où les nouvelles exigences environnementales complexifient les analyses techniques, la mise à disposition de bases de données objets s’avère aujourd’hui encore plus indispensable. En figurant l’ouvrage réel, grâce à son jumeau numérique, et en intégrant l’ensemble des informations nécessaires aux calculs, par exemple ceux de la RE2020, cette démarche de recensement s’appuie aussi sur l’expertise des industriels. L’Industrie du Béton est fière de l’avoir impulsée pour répondre au plus près aux besoins métiers de tous les acteurs de la construction.
Il y a 3 ans et 51 jours

Seine-et-Marne : la maîtrise d’œuvre pour le projet de rénovation et d’extension du tribunal de Meaux est attribuée à Atelier du Pont

Les travaux de réhabilitation et d’agrandissement du tribunal de Meaux débuteront en 2024, avec une fin de chantier programmée pour 2027.
Il y a 3 ans et 51 jours

Les écologistes parisiens veulent "rehausser" l'ambition du PLU

URBANISME. Plus une tour, plus un mètre carré de bureau : le groupe écologiste au Conseil de Paris demande que le futur PLU de la capitale, dont le PADD (document programmatique), est mis à la consultation du public, ait des ambitions environnementales "largement réhaussées" par rapport à la version proposée.
Il y a 3 ans et 51 jours

Hauts-de-Seine : signature de la convention de renouvellement urbain du quartier de la Pierre-Plate à Bagneux

Les travaux dédiés à la rénovation urbaine du quartier de la Pierre-Plate, à Bagneux, vont se poursuivre jusqu’en 2029-2030.
Il y a 3 ans et 51 jours

Vaucluse : la construction de l’école Joly-Jean à Avignon est lancée

La future école Joly-Jean, construite à Avignon, ouvrira ses portes en 2024.
Il y a 3 ans et 51 jours

Var : la police de La Seyne-sur-Mer disposera d’ici peu d’un nouveau centre de supervision urbain

Un centre de supervision urbain est en cours d’aménagement à l’hôtel de police de La Seyne-sur-Mer. Il devrait entrer en service en avril 2022.
Il y a 3 ans et 51 jours

Les inscriptions aux Victoires du Paysage, édition 2022, sont ouvertes

Ce concours national bisannuel a pour objectif de valoriser les commanditaires ayant eu recours à la démarche paysagère dans leurs projets d'aménagements. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 16 mai. 
Il y a 3 ans et 51 jours

Var : création d’un bassin de rétention sur le site de la Vaulongue à Saint-Raphaël

Un bassin de rétention sera aménagé à Saint-Raphaël. Cette infrastructure permettra de prévenir les risques de crues de la Garonne.