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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 51 jours

Partie I – Cyber-malveillance : Les clefs de la sécurité numérique pour les TPE et PME

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine [©cybermalveillance.gouv.fr] A l’heure du tout numérique, smartphones, ordinateurs et autres tablettes font partie de notre quotidien. De plus, conséquence du Covid, le travail s’est transformé, en s’installant à domicile. Un changement de culture qui semble vouloir s’inscrire dans la durée, mais qui oblige les entreprises à adapter leurs outils de travail. Si les avantages en sont nombreux, les attaques de TPE et PME par ce que le gouvernement nomme la “cyber-malveillance” se sont multipliées. Pour se protéger, les entrepreneurs doivent prendre conscience de la menace et connaître les bonnes pratiques pour éviter une mauvaise expérience. La cyber-malveillance désigne l’ensemble des infractions liées au numérique. On y retrouve l’usage de moyens de paiements frauduleux, le piratage de compte, l’escroquerie, l’extorsion de fonds, l’usurpation d’identité ou la collecte illégale de données personnelles. Le site cybermalveillance.gouv.fr relève trois principales techniques utilisées par les cyber-criminels. La première est l’hameçonnage, qui consiste à récupérer des données personnelles et bancaires, en prenant l’apparence d’un tiers de confiance. Pour cela, faux mails bancaires, de réseaux sociaux, d’opérateurs de téléphonie, d’administration… Mais aussi SMS et appels téléphoniques. Et l’époque des logos douteux, des fautes d’orthographe et des traductions aléatoires est passée. Les mails sont de mieux en mieux élaborés et de plus en plus précis. Offrir un accès aux hackers Autre technique, le rançongiciel qui bloque l’accès à l’ordinateur ou à des fichiers, en les chiffrant. La victime se voit ensuite réclamer une somme d’argent, en général en monnaie numérique, afin d’avoir à nouveau accès à ses données. Une navigation sur des sites compromis ou un simple clic sur une pièce jointe malveillante peut offrir un accès aux hackers. Enfin, l’arnaque aux faux supports techniques est une solution en plein boom. Elle consiste à effrayer la future victime par SMS, téléphone, courriel ou par un message apparaissant sur un ordinateur prétextant un problème technique. La victime est incitée à se rendre sur un support technique qui paraît officiel, sur lequel le pseudo-dépannage est payant. Ces trois techniques peuvent être utilisées indépendamment ou l’une renforçant l’autre. Les données d’une personne sont récupérées par un premier criminel, puis revendues sur le marché noir (darknet), avant d’être utilisées pour construire une attaque plus complexe. Choyer ses mots de passe Dès lors, comment les TPE et PME peuvent-elles lutter ? Avec quelques bonnes pratiques, il est possible de réduire les risques… Premier élément de vigilance, les mots de passe (login). Le conseil principal est d’utiliser un mot de passe différent pour chaque service. Ainsi, si l’un d’eux est corrompu (piraté), il ne rendra vulnérable qu’un seul service. Le choix du mot de passe est aussi important. Il doit comprendre au moins douze signes, avec des majuscules, des minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux. Il ne doit pas non plus être devinable : il faut oublier les prénoms des enfants, des animaux de compagnie, de l’équipe de sport préférée… Bien entendu, il n’est pas possible à une personne normalement constituée de retenir tous ses mots de passe. C’est pourquoi le site cybermalveillance.gouv.fr propose le gestionnaire de mots de passe Keepass. En parallèle, il ne faut pas communiquer les mots de passe à une tierce personne ni les écrire. Il faut éviter aussi de les utiliser sur des ordinateurs partagés. Et, au moindre doute, il faut les changer. Enfin, le mot de passe de la messagerie, logiciel le plus fertile en données, doit être particulièrement choyé ! Retrouvez la partie II de cet article dans notre prochain numéro. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Gironde : Un projet bordelais en EcoPact de Lafarge

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine A Bordeaux, le projet Combo est signé du cabinet Leibar Segneurin Architectes. [©Lafarge] Le projet Combo, une résidence de 35 appartements sur cinq niveaux, a démarré en mai 2021 à Bordeaux. Le cabinet Leibar Segneurin Architectes souhaitait réaliser des voiles architecturaux légèrement colorés et surtout à faible impact carbone. « Dans un souci de responsabilité sociétale et par rapport au regard que nous portons vis-à-vis des enjeux environnementaux, le béton nous est apparu comme un matériau en cohérence avec le territoire dans lequel s’inscrit la résidence Combo, quai de Brazza, à Bordeaux, souligne le cabinet Leibar Segneurin Architectes. Sa production locale, dans les carrières aux alentours de Bordeaux, diminue son empreinte environnementale et permet à ce matériau de relever les enjeux de demain. La rencontre du béton avec la géométrie singulière du projet en fait une véritable réussite. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine C’est ainsi que l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine entre en jeu avec son offre de bétons bas carbone EcoPact. « Pour nous, ce chantier a été l’opportunité de tester cette gamme, en une application verticale, précise Charles Descatoire, chargé de développements de produits spéciaux de Lafarge France. Cela nous a permis, entre autres, de mesurer la qualité de notre béton, ainsi que les éventuelles différences sur sa mise en œuvre. » C’est ainsi que 1 600 m3 de bétons, dont 1000 m3 de bas carbone EcoPact ont été coulés pour le chantier Combo, permettant de réduire l’impact CO2 d’environ 100 t. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Sydney Build Expo

Sydney Build est le seul événement en Australie à offrir une plate-forme de rencontre pour tous les professionnels australiens de la construction, de l'architecture, de l'ingénierie, du transport, des infrastructures et de la conception. Les dernières nouveautés y seront présentées.
Il y a 3 ans et 51 jours

Procédure de travaux d’office pour l’ancien château du duc d’Epernon

L’ancien château du duc d’Epernon (Seine-et-Marne), joyau du XVIe siècle en péril depuis plusieurs années, va bénéficier prochainement d’une restauration complète, avec l’accompagnement de la Drac Île-de-France. Après avoir été converti en local agricole dans les années 1970, il a été progressivement laissé à l’abandon. En 1986, la Drac a fait poser des étaiements pour assurer la conservation du château. Au fil des années, les dégradations se sont accentuées : bâchage aléatoire des charpentes, fenêtres brisées, prolifération de la végétation. En 2014, le château a été partiellement incendié et occupé par des squatteurs. En 2008, comme en 2019, la Drac accompagne les propriétaires successifs dans des projets de restauration et des programmes de reconversion abandonnés en dépit des autorisations délivrées. Face à cette situation qui met en péril la conservation de l’édifice, la Drac active une procédure de travaux d’office en 2019, avec plusieurs objectifs : mettre l’édifice hors d’eau, en sécuriser la structure et empêcher les intrusions. Le code du patrimoine prévoit que, pour les édifices classés dont la conservation est menacée, l’État peut faire procéder d’office aux travaux indispensables et faire supporter au propriétaire négligent ou défaillant une part du financement. Le propriétaire est auparavant mis en demeure de réaliser les travaux lui-même, puis en cas d’inaction de sa part, un rapport sur l’état du monument accompagné d’un programme de travaux est réalisé par l’architecte en chef des monuments historiques territorialement compétent et présenté devant la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA). La procédure est lancée en 2019 et le projet de l’architecte en chef recueille un avis favorable de la CNPA le 24 septembre 2020. En l’absence de réponse de la part des propriétaires, l’architecte en chef est désigné comme maître d’œuvre de l’opération en février 2021. À la suite des alertes conjointes de la Drac, de la ville de Fontenay-Trésigny, d’Histoire & Patrimoine et d’associations de défense du patrimoine, un nouveau propriétaire potentiel s’est manifesté au cours de l’année 2021 et s’est finalement porté acquéreur du château. Histoire & Patrimoine a d’ores et déjà obtenu l’autorisation de travaux relative à la restauration de l’édifice et a déposé un permis de construire pour l’aménagement de quinze logements à l’intérieur. Aucune nouvelle construction de bâtiment contemporain ne viendra modifier son architecture. Le parti de restauration qui a été défini va rendre toutes ses qualités patrimoniales au monument : mis hors d’eau, consolidé, l’édifice sera restauré avec des matériaux traditionnels (grès, enduits à la chaux, ardoises), redonnant au château une esthétique conforme à son architecture du XVIe siècle et offrant la perspective d’une conservation durable. Photo : Projet de restauration du château, façade nord. © Image de synthèse Agence Captiv – Histoire & Patrimoine – Atelier Monchecourt & Co, 2021  
Il y a 3 ans et 51 jours

Val-d’Oise : rénovation énergétique de l'école de Mours

Les travaux visant une amélioration des performances énergétiques de l’école de Mours sont lancés.
Il y a 3 ans et 51 jours

Savoie : Soframat, nouveau représentant de Sipe

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Soframat assure la représentation de Sipe sur trois régions… pour le moment. [©Sipe] La société Soframat, loueur depuis 1979, a été reprise, il y a un an, par le groupe Tam. « Nous louons les centrales à béton de la marque italienne Sipe depuis plus de 20 ans sur la Savoie et la Haute-Savoie, explique Adrien Fernandez, gérant. Nous sommes désormais les représentants exclusifs pour l’Auvergne – Rhône-Alpes, la Bourgogne – Franche-Comté et le Grand Est. » Le choix a été fait par Soframat de se limiter, pour le moment, à trois régions, afin de rester à porter rapide d’intervention, si besoin. « Nous allons devenir le représentant de Sipe pour l’ensemble du territoire français dans les douze mois qui viennent. Mais nous avons décidé de temporiser pour installer notre structure, valider nos process et prendre le temps de trouver des partenaires. Nous cherchons aujourd’hui des représentants locaux, pour développer notre réseau. Dans l’idéal, un autre loueur de grues comme nous, les passerelles étant très nombreuses avec les centrales à béton… » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Sipe réalise la conception et la fabrication des centrales, Soframat gère la distribution, l’installation, le SAV et l’éventuel démontage des unités. « Le modèle qui est le plus sollicité reste la centrale à béton Torre 1700 Fast, qui possède un pré-chargement des granulats, et ne demande qu’une implantation au sol de 4 m x 4 m, hors rayon raclant. Elle offre une capacité de production de 35 m3/h. Et surtout, un malaxeur planétaire qui permet de garantir la qualité du béton.  Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Cimbat
Il y a 3 ans et 51 jours

Edilteco Group partenaire et distributeur exclusif de Carbon Cure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et la Hollande

S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2.Pour Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco France : « Chez Edilteco, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé - qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. »La technologie CarbonCureLa technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange.CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. En pratiqueChaque installation CarbonCure comprend 2 boîtiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boîtier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. Edilteco France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.
Il y a 3 ans et 51 jours

Show-room : Cemex hisse son Pavillon

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano] Au 26 quai d’Issy-les-Moulineaux, dans le XVe arrondissement de Paris, en bord de Seine, s’élèvent plusieurs unités de production de bétons, dont celle de Cemex France. La plus importante de France. Avec son ballet incessant de camions-toupies, d’hommes munis d’EPI, de silos qui pointent vers le ciel, de marquages au sol, de barges qui acheminent leur chargement, de zones sécurisées… Et, dans les bureaux administratifs, Le Pavillon by Cemex, un tout nouvel espace dédié au matériau béton et à ses solutions constructives. Qu’est-ce qui se cache derrière cette appellation ? « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. Un cadre propice à la discussion Le Pavillon by Cemex est un lieu moderne et convivial, situé à proximité immédiate de la Seine, axe stratégique et emblématique des activités franciliennes du groupe et de son origine en France. Son nom fait référence à un lieu d’accueil, au monde du bâtiment et à celui de la navigation. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation. Mais aussi, les écoles qui veulent se documenter », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de préciser : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. [©Philippe CastanoUn autre secteur reprend les chantiers marquants de la marque. [©Philippe Castano] Plusieurs espaces Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. « C’est ici que l’on identifie les besoins des acteurs du bâtiment. A l’aide d’un tableau digital, d’un tableau noir et d’un écran-vidéos qui abordent toutes les problématiques que l’on veut soulever. Nous les aidons de la conception à la réalisation d’un projet. Une fois les besoins identifiés, on passe dans un autre espace, celui-ci dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… Le tout, avec des échantillons de matériaux et des QR-codes qui permettent d’accéder à des documents, à des fiches de produits et à des vidéos. Tous ces éléments sont transmis aux participants à la fin de la visite. Enfin, la dernière partie du show-room est plus conviviale et permet un débriefing. Les visiteurs font le point sur ce que l’on leur a proposé », explique Dominique Sestillange. Et de poursuivre : « Ce pavillon n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges, qui apporte une vraie réflexion sur les matériaux et les services, et répond à un besoin précis ». Le Pavillon by Cemex a aussi vocation à évoluer. Au fur et à mesure de l’avancée de l’année, vont y être proposés des événements ponctuels autour de l’économie circulaire, de la RE 2020 ou encore du bas carbone. Et Dominique Sestillange, de conclure : « Nous avons de plus créé Le Pavillon Virtual Tour, permettant aux porteurs de projets de s’immerger à distance à 360° dans Le Pavillon by Cemex ». Pour prendre rendez-vous pour une visite en présentiel et pour accéder à une visite virtuelle Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Vendée : Deux maisons en béton bas carbone Edycem

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Vitaliss Score A d’Edycem a été coulé dans les Vertical Bloc de la marque. [©Edycem] Le Clos des Cerisiers est situé dans un quartier calme de Challans, à quelques minutes de la côte Atlantique. Sur des parcelles de 391 m2, deux maisons de plain-pied de 80 m2 sont en cours de construction et seront livrées à l’été 2022. Pour ce faire, le promoteur Novabita a fait le choix d’un béton de la nouvelle gamme bas carbone Vitaliss d’Edycem BPE. Avec son VitaScore A, ce béton offre une réduction de plus de 40 % de CO2 comparé à un béton standard. « J’ai toujours été très sensible et attentif au développement de produits novateurs, fait remarquer Philippe Fouquet, directeur du département logement et travaux construction chez Novabita. Nous avons à cœur d’être moteurs d’une démarche durable active. Cela est fondamental pour la planète, les futures générations, mais  aussi pour la pérennité de nos métiers et du mode constructif. De manière naturelle, nous avons fait le choix du nouveau béton bas carbone Vitaliss d’Edycem BPE pour ces deux maisons. Une innovation qui va dans le sens de notre volonté de réduire l’impact carbone de nos ouvrages. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Au total, ce sont 34 m3 de béton bas carbone Vitaliss Score A (- 41 % de CO2) qui ont été coulés en dallage, ainsi que dans les blocs béton Vertical Bloc de la marque. « Gaudin Maçonnerie collabore depuis toujours avec Edycem, explique Corentin Chaillou, co-gérant de l’entreprise. J’ai donc vu passer plusieurs générations de bétons. Et je peux dire que la gamme Vitaliss est non seulement un produit d’avenir, notamment pour la RE 2020, mais aussi une solution qui ne modifie pas le process de mise en œuvre pour les entreprises. » Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Bang Hai Ja crée quatre nouveaux vitraux pour la cathédrale de Chartres

La Conservation régionale des monuments historiques Centre-Val de Loire a engagé en 2017 la restauration extérieure de la chapelle Saint-Piat de la cathédrale Notre-Dame de Chartres, dans le but de livrer un monument apte à recevoir le futur Trésor. Elle a également mené un projet de réaménagement du lieu, en cours de finalisation, en utilisant les deux niveaux de la chapelle, reliés par une circulation aménagée dans la tourelle sud. Ce projet est placé sous la maîtrise d’oeuvre de Mme Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des monuments historiques. La salle capitulaire, sans aucune modification de l’accès au caveau des évêques, sera dévolue à la présentation du lapidaire avec, en particulier, les éléments sculptés du jubé du XIIIe siècle démonté à partir de 1763 et les statues colonnes déposées du Portail Royal. La chapelle Saint-Piat, accessible directement par un escalier droit depuis le déambulatoire du chœur de la cathédrale pour les visiteurs valides, recevra une série de vitrines principalement dédiées à l’orfèvrerie et aux textiles. Ses 7 verrières révisées dans les années 1950, ont été complètement restaurées avec suppression de la plupart des plombs de casse. Elles ont reçu des verrières de doublage extérieures pour assurer leur protection selon le principe de ce qui a été retenu depuis plusieurs années à la cathédrale. Pour les baies de la salle capitulaire qui disposaient de simples vitraux losangés modernes, le principe d’une création de verrières contemporaines a été retenu. En mars 2018, un jury dédié a retenu le projet artistique de Bang Ai Ja, calligraphe et peintre d’origine coréenne. Les vitraux ont été réalisés à l’atelier de maîtres-verriers Peters (Paderborn, Allemagne). Les quatre créations sont sous les thèmes de la lumière, de la vie, de l’amour et de la paix.
Il y a 3 ans et 51 jours

Gard : Premier automate de production Wayzz chez Béton du Gard

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La centrale de Salindres de Béton du Gard a été équipée de l’automate de production du béton signé Wayzz. [©Wayzz] Un an et demi de préparation… Et le voici qui prend vie. Wayzz a installé sur la centrale Béton du Gard de Salindres, son premier automate de production du béton. « Nous proposions une solution pour la dématérialisation et la gestion de la logistique du béton, explique Jérôme Braga, Pdg de l’entreprise. Ce qui permettait à nos clients de bénéficier du suivi dynamique du statut des toupies, de la gestion du temps d’attente et de la digitalisation des bons de livraison. En incluant désormais dans notre offre l’option de gestion de la centrale, nous permettons la prise de commandes, la production automatisée et la pré-facturation. » Les possibilités d’accompagnement de Wayzz touchent ainsi un spectre allant de la commande du BPE à sa livraison sur chantier. « En plus, gérer les données de production nous permet de dynamiser et d’optimiser notre solution. » Wayzz s’appuie sur un partenariat exclusif pour la France avec l’Autrichien Dörner pour fournir cette solution. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Béton du Gard est donc la première entreprise de BPE à bénéficier de cette nouvelle solution. Sur la centrale de Salindres, une semaine d’arrêt a été nécessaire pour réaliser la transition. Ceci, début mars. « Nous avons pris notre temps pour réussir cette première. En changeant notamment tous les capteurs. Mais dans un process normal, nous avons prévu de réaliser les transitions en 1 à 3 j. » Si ce sont les équipes de Wayzz qui ont œuvré à l’ensemble des tâches sur cette opération, Wayzz cherche des partenaires locaux pour le câblage de ses prochaines installations. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Maine-et-Loire : Tracer sa route bas carbone

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Application du Ligexia de Ciments Calcia près de Monts-sur-Guesnes. [©Ciments Calcia] Courant mai 2021, Ciments Calcia lançait deux liants hydrauliques routiers bas carbone – les Ligexia M4 et M4+ -, pour le traitement des chaussées en place. De son côté, Travaux Publics des Pays de la Loire (TPPL) entend, dès 2022, « sortir des liants routiers traditionnels » pour favoriser les solutions décarbonés. Tout naturellement, Ciments Calcia et TPPL se sont unis pour développer de manière optimale l’usage des liants Ligexia sur les chantiers. « Au sein de notre agence de Saumur, nous avons réalisé un bilan carbone de nos activités et celui des liants routiers se place dans le top 5, indique Thomas Maudet, directeur chez TPPL. Mais nous avons, d’une part, demandé à nos fournisseurs d’optimiser le bilan carbone de leurs produits dédiés aux opérations de voirie et terrassement. Et, d’autre part, sensibilisé nos clients à cette démarche de substituer les liants routiers classiques par des solutions alternatives. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire D’où le rapprochement avec Ciments Calcia. « A partir du moment où Ciments Calcia a mis sur le marché ses deux liants Ligexia M4 et Ligexia M4+ – qui affichent respectivement une réduction de 20 à 30 % et de 10 à 20 % des émissions de CO2, par rapport au produit référant Ligex -, nous les avons préconisés sur nos chantiers. Deux réalisations intègrent déjà ces références, l’une à Monts-sur-Guesnes, dans la Vienne, l’autre à Saumur, dans le Maine-et-Loire. » Au total, ces deux chantiers ont requis l’utilisation d’environ 1 000 t de liants Ligexia. En effet, en septembre 2021, ce ne sont pas moins de 5 000 m2 de couches de forme traitées au Ligexia, qui ont été mises en œuvre sur le chantier de liaison des départementales RD 46, RD 24 et RD 14 et de la déviation de Monts-sur-Guesnes. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Loire-Atlantique : Valobat accueille Cigo

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Une des carrières du réseau Cigo… [©Cigo] L’éco-organisme Valobat poursuit son renforcement et accueille un nouveau partenaire, le syndicat des Carrières indépendantes du Grand Ouest (Cigo). Ce dernier représente près d’une cinquantaine d’adhérents, soit un tiers de la production de granulats du Grand Ouest. Ainsi, il intègrera le capital de Valobat, le 23 février prochain et rejoindra le Comité de secteur “inertes”. En effet, les matériaux inertes, soumis à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep), représentent aujourd’hui le plus important flux de déchets : environ 33,5 Mt/an. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Pour l’éco-organisme, ce rapprochement permettra de mieux soutenir cette filière mature. Mais aussi, d’apporter des solutions innovantes pour monter en compétence, en termes de valorisation. Et pour développer de nouvelles opportunités de réemploi. « Nous avons fait le choix d’intégrer Valobat pour sa volonté et sa force à réunir et à traiter toutes les catégories de matériaux, dont les inertes », déclare Dominique Barbier, déléguée générale de Cigo. Créé il y a 20 ans, Cigo se développe dans plusieurs autres régions. « Notre syndicat a un rôle essentiel à jouer pour faciliter la mise en application de la Rep aux professionnels de notre filière déjà tournés vers le traitement et le recyclage des granulats », conclut Dominique Barbier. Le syndicat accompagne ainsi les entreprises de l’industrie extractive pour gérer au mieux l’exploitation des ressources naturelles et leur recyclage. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Maine-et-Loire : Néolithe crée son site industriel

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Néolithe transforme les déchets en granulats normés. [©Néolithe] Néolithe, qui a développé un procédé de fossilisation des déchets non recyclables, va créer son site industriel, à Beaulieu-sur-Layon, sur un premier terrain de 11 ha. Accompagnée par Alter Eco, l’entreprise va voir sortir de terre un atelier d’assemblage de 4 800 m2, à partir de septembre 2022. Suivront 1 700 m2 de laboratoire et 3 000 m2 de siège social. L’ensemble sera livré en juillet 2023. Sur un second terrain adjacent de 1 ha, une unité de production de liants de 1 000 m2 verra le jour. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Le procédé de Néolithe consiste à transformer les déchets non recyclables, non inertes et non dangereux, en granulats minéraux normés pour la construction. Outre la fabrication d’un liant bas carbone, élément indispensable permettant la transformation des déchets en minéral, l’entreprise conçoit et fabrique des fossilisateurs. Des unités de traitement des déchets, destinées aux opérateurs de traitement des déchets, aux industriels et aux collectivités territoriales. La vente de quatre fossilisateurs est déjà prévue, dès cette année.« Début 2022, nous avons passé le cap des 40 salariés et avons déjà de nouvelles perspectives de recrutement pour les mois à venir, explique Clément Bénassy, Dg de Néolithe. Nous espérons recruter 60 nouveaux collaborateurs cette année. Et dès 2023, nous allons avoir besoin d’améliorer nos capacités de production pour répondre à l’objectif que nous nous sommes fixés de produire quatre fossilisateurs par mois en 2024… » Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Loiret : Un duo pour l’économie circulaire

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le projet de La Fontaine, à Saran. [©Agyre] Agyre est un hub d’accélération national sur l’ensemble de piliers de l’économie circulaire dans la construction. Valor Promotion est un spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs sociaux et investisseurs. Ces deux entités se sont rapprochées pour inscrire la démarche d’économie circulaire plus en amont dans les projets de construction de logements. La première opération commune se nomme La Fontaine et a démarré à Saran, dans la banlieue Nord d’Orléans, en début d’année 2022. Dans l’idée d’en faire un démonstrateur transposable à d’autres initiatives, dans d’autres communes, après exploitation des retours d’expérience. Pour cela, le duo vise la certification Prestaterre mention Label BEE+ (Bâtiment Energie Environnement+). Avec l’option “Economie de charges et démarche de chantier propre”. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Pour pallier diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, de délais, de budget et de pollution, Agyre réalise un accompagnement méthodologique du chantier, depuis son démarrage en janvier dernier, avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970… Au quotidien, une attention particulière sera apportée à la logistique, au stockage, au tri et à la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets. Mais aussi d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Enfin, Agyre assurera la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire. Et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Elément de bordure en béton bas carbone prêt à être posé. [©Esitc Caen/JCoiffey] L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier pilote éco-responsable. Mené par Cléo Guis, Thomas Latini et Aude Bourgeois, élèves en 5e année, le projet vise à développer des bordures de trottoirs réfléchissantes conçues à partir d’un béton bas carbone incorporant des débris de verre recyclés. Réalisé du 7 au 18 février dernier sur un chantier avenue André Morice à Caen, le test avait pour objectif de valider en conditions réelles la pertinence de cette solution. C’est d’ailleurs Eurovia, filiale de Vinci, qui a réalisé ces travaux. Tandis que François Moreno, ingénieur diplômé en 2000 à l’ESTIC de Caen, pilotait le chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie Ainsi, le projet s’inscrit dans des thématiques importantes dans les recherches de l’Esitc : le développement durable et la sécurité routière. En effet, le ciment CEM III, retenu pour le chantier, est composé majoritairement de matières premières issues de l’économie circulaire. Il se complète alors avec les résidus de verre, eux-aussi utilisés de manière éco-responsable. La production des bordures est d’ailleurs confiée en partie à TEP Construction, une micro-entreprise gérée par des élèves de l’école. Pour les réaliser, les trois étudiants ont pu accéder aux ressources de l’école. Dans un premier temps en utilisant le laboratoire mis à disposition pour les recherches. Puis, dans un second temps, avec les partenariats de l’Esitc de Caen avec des acteurs institutionnels régionaux et industriels pour concrétiser le projet. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Ain : Lafarge Granulats acquiert les carrières du groupe Famy

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Six carrières du groupe Famy viennent d’intégrer Lafarge France. [©Groupe Famy] Lafarge Granulats a annoncé l’acquisition de 6 carrières de granulats du groupe indépendant Famy. Fondé dans l’Ain en 1860, ce dernier dispose de réserves importantes de matières premières dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ainsi, cette opération coïncide avec celle réalisée en mars 2021. En effet, Lafarge France avait fait l’acquisition de 24 centrales de BPE et d’une carrière dans la même zone géographique. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes De ce fait, le groupe Lafarge renforce sa présence en Auvergne – Rhône-Alpes, cette région limitrophe de la Suisse, où la demande en matériaux est très forte. « Cette opération avec un acteur historique de l’Ain nous permet de développer notre capacité à accompagner nos clients dans ce secteur très dynamique. Elle conforte notre stratégie de renforcement de l’activité au sein de Lafarge France. Et à accompagner le secteur de la construction pour faire face aux pénuries d’approvisionnement et d’accès aux ressources minérales », déclare Pablo Libreros, directeur de Lafarge Granulats. Et François Petry, Dg de Lafarge France, de conclure : « Nous allons ainsi pouvoir étendre la disponibilité de nos solutions bas carbone et d’économie circulaire auprès de nos partenaires régionaux ». Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

Centre–Val de Loire : Impacts sur la hausse des prix des matériaux

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La plupart des matériaux de construction sont touchés par des hausses de prix. [©ACPresse] Le Cerc a publié une étude sur l’évolution des prix des matériaux pour le Centre–Val de Loire, sur la période du 3e trimestre 2021. Une consultation locale qui permet d’avoir des données extrapolables au niveau national… Ainsi, l’évolution des prix concernant les matériaux et les matières premières a eu un impact significatif sur les entreprises du bâtiment dans cette région. En effet, près de 2 entreprises sur 3 qui ont répondu à cette consultation, déclarent avoir connu ce trimestre une hausse des matériaux utilisés supérieure à 10 %. Sur les derniers 3 mois, on observe une hausse moyenne de + 23 % (tous matériaux confondus) au niveau régional. Selon les entreprises interrogées, le Cher et l’Indre seraient les départements où cette hausse a été la plus forte, avec respectivement une progression de + 35 % et + 27 % , enregistrée en moyenne au cours du 3e trimestre. Et pas moins de 18 % des entreprises se trouveraient en difficulté de trésorerie. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Même si elle touche de manière globale l’ensemble des activités du bâtiment, cette augmentation du coût des matériaux impacte en particulier les secteurs de la charpente (+ 78 % des prix en moyenne), de la plâtrerie (+ 52 %) et de la métallerie (+ 51 %). Dans le détail des matériaux, la flambée des prix concerne, en premier lieu, le bois avec + 48 % enregistré sur le 3e trimestre 2021. On trouve ensuite les métaux avec + 34 % pour l’acier (dont celui pour armatures), + 33 % pour le cuivre et + 24 % pour l’aluminium, un peu plus loin derrière, la plaque de plâtre (+ 29 %). Les matériaux comme le béton et le ciment semblent moins impactés, pour le moment… Pour l’ensemble de ces entreprises, la crainte est le retard que pourraient accumuler certains chantiers, face aux difficultés d’approvisionnement. D’autant que 54 % d’entre elles déclarent en plus avoir des difficultés de recrutement. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
GDA
Il y a 3 ans et 51 jours

Béton[s] le Magazine n° 99 explore le bas carbone

Chassez ce carbone que je ne saurais plus voir… Tel est un peu le leitmotiv de l’ensemble du secteur du bâtiment et, plus largement, de celui des travaux publics. Matériau ultra présent dans la construction, le béton surfe à fond sur cette vague, semblant quelque peu y jouer son avenir. D’autant que les solutions alternatives se développent à mesure que la réglementation se durcit. Paraissant dans notre numéro 99, la partie #1 du dossier “Béton et éco-construction” explore plusieurs facettes de cette tendance lourde, a priori irréversible, développée sur plus de 12 pages rédactionnelles. Ainsi, les travaux autour du captage du CO2 ouvrent le bal. Suivis par le recyclage et la valorisation des déchets et autres bétons de déconstruction. La préfabrication dévoile aussi son approche du sujet. Enfin, les “autres” bétons et les liants alternatifs ferment le ban. Ceci, en attendant que les cimentiers et bétonniers “traditionnels” prennent la parole et expliquent leurs démarches. Une suite à découvrir dans la partie #2, détaillée dans Béton[s] le Magazine n° 100. En dehors cette l’actualité “carbonique”, le béton n’en délaisse pas moins ses champs de compétences classiques : les chantiers. A l’image de la construction de sept ponts sur les routes de la Côte d’Ivoire, à explorer p. 42. Compléments indispensables pour formuler les bétons d’aujourd’hui et de demain, les adjuvants ne cessent de se réinventer et en dévoilent certains aspects dans l’article qui leur est consacré (p. 52). Côté matériels, ce sont les pompes à béton qui sont mises à l’honneur (p. 56), dont l’actualité est, elle aussi, assez riche… Enfin, pour achever sa lecture sur une touche de nostalgie, quoi de mieux que Le Corbusier et son projet – non réalisé – de Ferme radieuse. La réponse de l’architecte à la condition paysanne des années 1930.   Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 51 jours

Vendée : La matrice prend son envol

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Building Partner Coffrages produit désormais des matrices sur mesure. [©Building Partner Coffrages] Derrière Building Partner Coffrages se cachent plusieurs spécialistes du coffrage. Des entités telles qu’Arles Coffrages, Coffrages Gaillard ou SFMB Coffrages. De quoi couvrir l’ensemble du territoire, tout en assurant une proximité régionale. Aujourd’hui, ce groupe s’enrichit d’une activité inédite : la création, la fabrication et la pose de matrices. « Nous concevons et fabriquons des moules en silicone et des matrices polyuréthane, explique Corentin Boissinot, responsable développement commercial. Les clients nous communiquent les contraintes liées au calepinage. A nous d’y adapter notre produit. De même, sur une banche qui a des rehausses et des sous-hausses, notre solution ne compte aucun joint horizontal. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Ainsi, l’originalité de Building Partner Coffrages est de créer des matrices à la demande du client. « Nous pouvons partir d’un simple dessin ou d’une forme. Ainsi, pour le collège de Luçon, en Vendée, nous avons récupéré des pierres sur chantier que nous avons posées en fond de moule et que nous avons retaillées pour créer nos négatifs. » Enfin et surtout, la marque assure la pose de ses propres matrices. « Nous nous déplaçons sur site pour préparer les banches et y appliquer nos matrices, dans le respect du cahier des charges fourni par l’entreprise, reprend Corentin Boissinot. Ce service permet un gain de temps pour les clients, avec l’assurance d’une excellente qualité de mise en œuvre. » Comme pour le coffrage, la solution de matriçage est, dès aujourd’hui, disponible sur l’ensemble du territoire national. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 51 jours

"DES LOGEMENTS-SERVICES POUR UNE POPULATION NOMADE", Augustin Rousseau, directeur du coliving chez Bouygues Immobilier

Dans le cadre de l'enquête "Le coliving, modèle résidentiel d'avenir?", Christine Desmoulins s'est entretenue avec Augustin Rousseau, directeur du coliving chez Bouygues Immobilier. Selon lui en France, ce marché devrait être multiplié par 5 ou 7 sur les cinq prochaines années.  Quelle place le coliving prend-il […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 51 jours

5 exemples de maisons bois compactes et confortables

La maison bois est une technique de construction reconnue dans le monde entier. Malheureusement, ce matériau est trop souvent utilisé à mauvais escient sur des surfaces qui dépassent l’entendement. Une conception qui demande trop de ressources pour sa construction, mais surtout pour son entretien et à son exploitation (énergie). Ne faudrait-il pas être plus raisonnable […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Professional Bosch

Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes une portée de travail jusqu'à 650 m de diamètre. Particulièrement robuste, il supporte les conditions et les environnements de chantier les plus rudes. Son boîtier, y compris le compartiment à piles/batterie, résiste aux chocs et aux poussières, et est étanche aux projections d'eau (IP 68), ce qui permet une utilisation même par mauvais temps. Les poignées latérales protègent efficacement le laser rotatif en cas de chutes ou de renversement du trépied, jusqu'à 2 m.
Il y a 3 ans et 51 jours

VASCO ET BRUGMAN EXPOSENT À NORDBAT

Les équipes Vasco et Brugman se réjouissent de l’imminence du salon Nordbat, le rendez-vous régional incontournable pour l’ensemble des acteurs de la construction du nord de l’Hexagone.  « Pour toute entreprise du bâtiment, prescripteur ou maître d’oeuvre et d’ouvrage, il est crucial de pouvoir faire le point avec ses fournisseurs. De même qu’il leur est indispensable […]
Il y a 3 ans et 51 jours

NOUVEAU JOINT DE DILATATION T26 VMZINC® AU SALON NORDBAT – STAND K58

 L’ÉQUIPE VMZINC®  VOUS INVITE À DÉCOUVRIR EN AVANT-PREMIÈRE   SON NOUVEAU JOINT DE DILATATION T26 VMZINC®  Un unique accessoire pour une double application sur gouttières et chéneaux en zinc selon le type d’ouvrage et leur développé. Pratique et rapide à mettre en oeuvre pour les installateurs et entreprises de couverture ! Composé d’une partie centrale étirable […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Aldes x Meersens – Pour une solution de monitoring de la qualité de l’air complète

Le groupe Aldes, spécialiste de la conception et la fabrication de systèmes aérauliques pour le bâtiment, s’associe à l’expert de la donnée environnementale Meersens. Cette collaboration offre aux professionnels comme au grand public une solution de monitoring de la qualité de l’air complète. Si la qualité d’air intérieur dépend majoritairement de la pollution générée à […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Gazole non routier : pour l'Etat, les conditions de la réforme "ne sont plus réunies"

HAUSSE DES COÛTS. Au vu des fortes tensions sur les coûts des matériaux et des énergies, les pouvoirs publics se montrent sensibles aux demandes des organisations professionnelles du BTP, en évoquant un possible report de la réforme de la taxation du gazole non routier (GNR).
Il y a 3 ans et 51 jours

A Tokyo, les appartements-capsules de la tour Nakagin vivent leurs dernières heures

Les propriétaires des modules de ce bâtiment dessiné par l'architecte Kisho Kurokawa et inauguré en 1972 veulent cependant tenter d'en sauver quelques-uns avant la démolition qui doit commencer le 12 avril, a déclaré à l'AFP l'un d'entre eux, Tatsuyuki Maeda.L'ouvrage, fait de deux tours mitoyennes de 11 et 13 étages, est composé de 140 "capsules", de petites chambres à large hublot de 10 mètres carrés à peine, réparties autour d'un pilier central.A l'origine, ces modules avaient été conçus pour être enlevés indépendamment les uns des autres et remplacés tous les 25 ans, mais cela n'a jamais été fait et ces éléments sont peu à peu tombés dans la décrépitude. "Nous ne savons pas encore combien de capsules nous allons pouvoir sauver, mais nous prévoyons de réparer certaines parties détériorées pour les rénover et les envoyer dans des musées, par exemple", a précisé M. Maeda qui a acheté sa première capsule en 2010."Ce n'est pas complètement fini pour ce bâtiment et j'ai hâte de voir les capsules dans leur nouvelle vie", a-t-il ajouté, précisant que l'agence fondée par Kisho Kurokawa, décédé en 2007, participait au projet.M. Maeda et d'autres propriétaires ont fait campagne pendant des années pour sauver la tour, emblème du mouvement architectural métaboliste né au Japon dans l'après-guerre, qui imaginait la "ville du futur".Ces dernières années, à mesure que les dégâts des eaux endommageaient la Nakagin Capsule Tower, de plus en plus de propriétaires se montraient en faveur de la démolition de l'ouvrage, plutôt que d'en payer le coûteux entretien.Les amoureux de ce pan de patrimoine se désolaient sur les réseaux sociaux de sa démolition annoncée, tout en se montrant résignés."Elle est précieuse, mais la démolir était la bonne décision, car elle était très abîmée", a écrit l'un d'eux sur Twitter.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le Réseau de pré-fabricants Solutions Pro Sapa met à l’honneur son partenaire FERMETURES 113 (30), entreprise portée par sa dirigeante Aurélie COSTE

Entreprise implantée dans le Gard, à Bernis, FERMETURES 113, est spécialisée dans la fabrication de menuiseries aluminium et volets roulants prêts à la pose. Elle a rejoint le Réseau Solutions Pro Sapa fin 2021, portant à 18 le nombre de partenaires. L’âme de cette société à taille humaine, qui compte neuf collaborateurs, est sa présidente […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Lancement d’un appel à projets pour le développement du Pôle de Loisirs de Saint-Crépin à Soissons

Dans le cadre des projets de transformation visant à valoriser et dynamiser le territoire, la Ville de Soissons lance ce jour une consultation pour le développement du pôle de loisirs de Saint Crépin. Cet appel à projets a pour objectif de rénover et moderniser le site, de participer au rayonnement de l’offre touristique et de […]
Il y a 3 ans et 51 jours

Journée Mondiale de l’Eau 2022 : le Groupe SFA réitère une fois de plus son soutien à la fondation Planet Water

Depuis 1993, à l’initiative de l’ONU, la Journée Mondiale de l’Eau célèbre, chaque 22 mars, cette ressource essentielle en sensibilisant le plus grand nombre à l’enjeu sanitaire de sa gestion.  La COVID-19 a notamment fait prendre conscience de l’urgence de donner à tous la possibilité de se laver correctement les mains : au début de […]
Il y a 3 ans et 51 jours

JO-2024 : une dizaine de travailleurs sans-papiers sur le chantier du village des athlètes

Sur ce gigantesque chantier, situé dans la ville de Saint-Denis, travaillent plusieurs entreprises sous l'égide de la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques, 4 milliards d'euros de budget dont 1,5 d'argent public), pour pouvoir livrer le village des athlètes censé abriter plus de 10.000 sportifs dans deux ans.Ce contrôle a été opéré dans la cadre d'une enquête de l'inspection du travail déclenchée suite à un signalement de la CGT, qui a prévenu également Bernard Thibault, ex-secrétaire général de ce syndicat, qui siège au conseil d'administration de la Solideo."Dès que nous avons appris qu'une entreprise sous-traitante employait possiblement des sans-papiers, nous avons saisi la Dijop (délégation interministérielle des JO de Paris), et les services de l’État ont pris le dossier en main", a assuré Bernard Thibault à l'AFP.Ces travailleurs sans-papiers, "près d'une douzaine", étaient employés par une société sous-traitante, "dont les ramifications et l'implication vont au-delà des chantiers des JO", a précisé une des sources à l'AFP."Nous n'avons pas un retour formel de l'inspection du travail, mais si les faits étaient avérés, la Solideo les condamnera fermement, de telles pratiques étant contraires au droit du travail", a réagi mercredi auprès de l'AFP la Solideo au lendemain d'un conseil d'administration où la situation a été évoquée."C'est également aussi contraire à l'esprit des JO. Nous allons saisir l'ensemble des maîtres d'ouvrage pour leur rappeler leurs obligations", a ajouté la société olympique."Il n'y avait aucune raison que les chantiers des JO échappent à la pression classique qui existe dans la construction et les travaux", a expliqué Bernard Thibault. "On sait que l'ensemble de la filière est en sous-effectif, et qu'inévitablement certains vont tenter d'employer de la main d’œuvre immigrée dans l'illégalité", a-t-il ajouté."Mais sur les chantiers des JO, le niveau de contrôle est assez exemplaire, et j'oserais dire sans équivalent", a assuré l'ex-secrétaire général de la CGT, à l'origine d'une charte sociale promue par le comité d'organisation des JO (Cojo) et la Solideo en vue de JO exemplaires socialement.Près d'une centaine de contrôles ont été opérés depuis le lancement des chantiers des JO, selon une des sources.La Solideo est chargée de construire ou de rénover des ouvrages pour les JO, qui vont du village des athlètes, en passant par la rénovation de gymnases ou des échangeurs ou ponts routiers, ce qui représente une soixantaine d'ouvrages.
Il y a 3 ans et 51 jours

Bond des permis de construire de logements en février

Pour le seul mois de février, selon les données corrigées des variations saisonnières, quelque 49.200 permis de construire ont été délivrés, un record depuis mai 2007.Ces autorisations, note le ministère, ont été octroyées "à la suite de demandes de permis déposées en décembre 2021, probablement en lien avec l'entrée en vigueur de la réglementation environnementale 2020 au 1er janvier 2022."La "RE2020", qui vise à décarboner la construction de logements, impose des normes plus strictes pour l'isolation thermique des bâtiments, l'impact environnemental de leur construction et de leur cycle de vie.Elle encourage notamment l'utilisation de matériaux "biosourcés", comme le bois.Déjà en février 2013, l'entrée en vigueur d'une nouvelle norme environnementale avait provoqué un afflux de demandes de permis dans les mois précédents, relève le ministère.Le bond des permis de construire, déjà entamé en janvier, est presque exclusivement le fait des maisons individuelles. Le phénomène ne semble pas toucher le logement collectif, où le nombre d'autorisations varie très peu par rapport aux derniers mois de 2021.Sur les 12 derniers mois, 484.000 permis de construire ont été délivrés. C'est 24% de plus qu'un an auparavant, mais les chiffres étaient alors au plus bas, souffrant de l'impact des confinements successifs.Le nombre de mises en chantier sur 12 mois atteint 390.700, soit 12,8% de plus qu'un an auparavant. Le rebond observé dans les permis de construire ne s'y traduit pas encore.
Il y a 3 ans et 51 jours

Holcim va engager un processus de sortie du marché russe

INTERNATIONAL. Le cimentier suisse Holcim annonce qu'il va sortir du marché russe. Une décision qui fait suite au conflit entre l'Ukraine et la Russie engagé depuis près d'un mois.
Il y a 3 ans et 51 jours

GNR : une aide, oui, un report de la fin de l'avantage fiscal, non

Dans un communiqué publié mardi 29 mars, le gouvernement fait le point sur les mesures en passe d'être adoptées pour soutenir les entreprises du BTP impactées par les conséquences du conflit russo-ukrainien. Pour le gazole non routier, pour lequel les professionnels demandait le prolongement de l'avantage fiscal au-delà du 1er janvier 2023, seule une baisse de tarif a été consentie.
Il y a 3 ans et 51 jours

Palmarès des jeunes urbanistes 2022 : les candidatures sont ouvertes

DISTINCTION. La neuvième édition de cette récompense visant à donner à voir les initiatives des jeunes urbanistes est officiellement lancée. Les professionnels de moins de 40 ans peuvent candidater jusqu'au 6 mai.
Il y a 3 ans et 51 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Professional Bosch : Une résistance extrême aux conditions les plus rudes

Une conception robuste pour une utilisation dans des conditions difficiles et par mauvais temps Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes une portée de travail jusqu’à 650 m de diamètre. Particulièrement robuste, il supporte les conditions et les environnements de chantier les plus rudes. Son boîtier, y compris le compartiment à piles/batterie, résiste aux chocs et aux poussières, et est étanche aux projections d’eau (IP 68), ce qui permet une utilisation même par mauvais temps. Les poignées latérales protègent efficacement le laser rotatif en cas de chutes  ou de renversement du trépied, jusqu’à 2 m. Un laser vert pour une meilleure visibilité Polyvalent, le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch est idéal pour les travaux de mise à niveau en extérieur – terrassement, pose de coffrage pour béton, aménagement paysager, ravalement de façades… – mais aussi en intérieur : pose de plafonds et de murs, installation de systèmes de chauffage et climatisation… La technologie de laser vert lui assure une excellente visibilité quelles que soient les conditions d’éclairage sur le chantier. Une connectivité pour un travail plus rapide Le GRL 650 CHVG Professional Bosch peut être connecté par Bluetooth à un Smartphone pour être piloté, contrôlé et personnalisé via l’application Levelling Remote. L’écran intégré à commande intuitive permet d’avoir une vue d’ensemble des paramètres et de piloter le laser rotatif à distance pour gagner du temps. Grâce à la fonction «uCal», l’assistant de calibrage, le calibrage est facile, rapide et précis (± 1,5 mm par 30 m). Il suffit de suivre les instructions pas à pas de l’application. L’application Levelling Remote permet de garder en mémoire des valeurs d’inclinaison et d’utiliser la fonction de double pente, en ajustant les valeurs de pente sur les axes X et Y de ± 8,5 %. Pour les inclinaisons supérieures à 8,5 %, le professionnel peut passer en mode manuel. D’autres fonctionnalités sont également disponibles : l’angle de balayage, la vitesse de rotation et le système d’avertissement de chocs automatique (ADS). Ce dernier limite la sensibilité de l’appareil, empêchant qu’il ne se déclenche à cause des vibrations engendrées par des véhicules de chantier par exemple. Enfin, très pratique, le « mode masquage » de l’application évite les interférences avec les autres appareils connectés présents sur le chantier. Une détection rapide du faisceau de laser vert grâce à la cellule de réception LR65G Le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch fonctionne avec une cellule de réception de grande qualité, la LR 65 G Professional. Cette dernière est équipée d’une longue fenêtre de réception (125 mm) et ses deux écrans LED rétro-éclairés – un à l’avant et l’autre à l’arrière – facilitent la lecture de la position du faisceau laser. Lorsque la fonction « CenterFind » est activée, le laser rotatif trouve automatiquement le centre du récepteur, il est alors aligné sur celui-ci et l’inclinaison est affichée en pourcentage. Par ailleurs, grâce à la nouvelle fonction « CenterLock », le laser rotatif peut conserver sa position exacte d’alignement au centre du récepteur tout au long de la journée. De conception robuste, cette cellule est idéale pour les chantiers les plus rudes. Elle est dotée de touches en caoutchouc très résistantes, d’une très bonne protection contre l’eau et la poussière (IP67) et d’un revêtement softgrip protecteur. Elle peut être tenue en main, suspendue par un crochet ou fixée à des surfaces métalliques. Une alimentation Dual Power Grâce à une double alimentation, le GRL 650 CHVG Professional est toujours prêt à fonctionner. Il offre une grande autonomie (50 à 60 h selon la batterie) et permet une utilisation prolongée avec une batterie 18 V ou des piles alcalines. Il est compatible avec toutes les batteries du système Bosch Professional 18 V jusqu’à 8,0 Ah.
Il y a 3 ans et 51 jours

En France, Loxam retrouve ses niveaux de 2019

RÉSULTATS. Le loueur de matériels, Loxam, annonce des résultats 2021 records, dépassant les 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Il s'agit de "la meilleure année de son histoire".
Il y a 3 ans et 51 jours

Face à la crise de l'énergie, GRDF plaide pour le gaz vert

ÉNERGIE. À l'occasion de la conférence de presse annuelle de GRDF et la présentation de leurs résultats, la directrice générale du groupe, Laurence Poirier-Dietz, a plaidé pour le développement des gaz renouvelables, notamment le biométhane, en rappelant la nécessité du mix énergétique pour assurer la transition énergétique et faire face aux conséquences de la crise russo-ukrainienne.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le numérique au service du confort au théâtre Mogador

Afin d’améliorer le confort thermique de ses 1 600 spectateurs, un scan 3D en temps réel associé à la maquette numérique permet en temps réel de localiser les zones d’inconfort ou les surconsommations énergétiques.
Il y a 3 ans et 51 jours

Présidentielle : L’Institut Montaigne analyse les propositions des candidats pour le logement

À quelques semaines de l'élection présidentielle, la question du logement abordable, digne, et respectueux de l'environnement, figure dans les programmes des candidats à l'élection présidentielle. Dans le cadre de son opération Présidentielle 2022, l'Institut Montaigne a chiffré quelques mesures saillantes en la matière : construction de nouveaux logements sociaux, encadrement des loyers à l'ensemble du territoire, massification de la rénovation énergétique des bâtiments...Les propositions des candidats pour la constructionRendez-vous sur le site Présidentielle 2022 pour comparer les propositions des candidats, plonger au cœur des programmes et comprendre leur impact budgétaire.Pour aller plus loin, consultez à ce lien le décryptage de Iona Lefebvre, chargée d'études sur les dynamiques territoriales, ainsi que la note Logement : rebâtir nos ambitions publiée en février dernier.Candidat : Yannick JadotMesure : Construction de 700.000 logements sociaux et rénovation de 800.000, sous réserve que ces derniers restent dans le parc social au moins 20 ans.Chiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montaigne : Coût de 1 milliard d'euros par anFaisabilité : Faible faisabilité avec les seuls dispositifs en vigueur, faisable avec un soutien supplémentaire de l'État à définirCandidat : Marine Le PenMesure : Construire 100.000 logements sociaux par an, dont 20.000 en faveur des étudiants et jeunes travailleursChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 500 millions d'euros par anFaisabilité : Faible faisabilité avec les seuls dispositifs en vigueur, faisable avec un soutien supplémentaire de l'État à définirCandidat : Marine Le PenMesure : Proposer un prêt de l'État de 100.000€ à taux zéro pour l'accès à la propriété des jeunes couplesChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 12,6 milliards d'euros par anFaisabilité : La proposition passera par adoption d'une loi, voire une modification des statuts de la Banque de FranceCandidat : Emmanuel MacronMesure : Rénovation de 700.000 logements par anChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 2,24 milliards d'euros par anFaisabilité : La proposition passera par décret réglementaire du gouvernementCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Construction de 200.000 logements par an pendant cinq ans soumis aux normes écologiques les plus ambitieusesChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 2,1 milliards d'euros par anFaisabilité : Immédiate, sous réserve de disposer des capacités de construction et de financement nécessairesCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Construire 15.000 logements étudiants chaque annéeChiffrage candidat : Coût de 470 millions d'euros par anChiffrage Institut Montagne : Coût de 80 millions d'euros par an (le chiffrage du candidat pourrait inclure de nouveaux dispositifs de subvention non pris en compte ici)Faisabilité : Faible faisabilité avec les seuls dispositifs en vigueur, faisable avec un soutien supplémentaire de l'État à définirCandidat : Valérie PécresseMesure : Abaisser de 10 % à 5,5 % la TVA sur la construction de logements sociauxChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût entre 400 et 600 millions d'euros par anFaisabilité : Requiert l'adoption d'une loi de finances pour modifier le code général des impôts sur la TVACandidat : Valérie PécresseMesure : Construire 500.000 logements par an dont 125.000 logements sociaux et 375.000 logements dans le parc privéChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 1,1 milliard d'euros par anFaisabilité : La faisabilité de la proposition est limitée par l'absence de levier direct de l'État et sous réserve de disposer des capacités de constructionCandidat : Valérie PécresseMesure : Pérennisation et généralisation du prêt à taux zéro à l'ensemble du territoireChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 224 millions d'euros par anFaisabilité : La faisabilité de la proposition est immédiate si appliquée par une loi de financesLes propositions des candidats pour la réglementationCandidat : Anne HidalgoMesure : Généraliser l'encadrement des loyers à l'ensemble du territoireChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Cette mesure vise à réguler le marché de la location privée et n'implique aucune mesure fiscaleFaisabilité : Mise en œuvre conditionnée par le vote d'une loi afin de modifier la législation existante. Une fois la loi votée, l'application par les collectivités et le représentant de l'État dans le département peut être immédiateCandidat : Yannick JadotMesure : Renforcement des sanctions contre les communes qui ne respectent pas les quotas de logements sociaux prévus par la loi SRUChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Économie de 50 millions d'euros par anFaisabilité : Immédiate, pas de difficulté technique de mise en œuvreCandidat : Yannick JadotMesure : Instauration d'une garantie universelle des loyers destinée à fournir une garantie contre les loyers impayés (prise en charge du financement par l'État et les propriétaires)Chiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 1,1 milliard d'euros par anFaisabilité : Cette mesure peut être mise en œuvre par voie législativeCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Encadrer les loyers partout sur le territoire et à la baisse dans les grandes villesChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Cette mesure vise à réguler le marché de la location privée et n'implique aucune mesure fiscaleFaisabilité : Mise en œuvre conditionnée par le vote d'une loi afin de modifier la législation existante. Une fois la loi votée, l'application par les collectivités et le représentant de l'État dans le département peut être immédiateCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Instauration d'une garantie universelle des loyers destinée à fournir une garantie contre les loyers impayésChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 2,3 milliards d'euros par anFaisabilité : Cette mesure peut être mise en œuvre par voie législativeCandidat : Éric ZemmourMesure : Abroger la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) qui impose aux villes un quart de logements sociauxChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Économie de 1,1 milliard d'euros par anFaisabilité : L'abrogation de la loi SRU ou, a minima, de ses articles relatifs aux quotas de logements sociaux nécessite l'adoption d'une nouvelle loiL'opération d'analyse et de chiffrage Présidentielle 2022 Europe, compétitivité et économie, pouvoir d'achat, santé, territoires, Europe et international... L'Institut Montaigne reconduit son opération de chiffrage et d'analyse des programmes des principaux candidats à l'élection présidentielle 2022, opération menée avec succès en 2012 et 2017. Avec l'appui d'une équipe de plus de 25 experts, près de 250 mesures seront progressivement passées au crible par l'Institut Montaigne. Elles seront sélectionnées selon l'importance de leur impact budgétaire, leur incidence environnementale mais aussi leur pertinence au regard du débat public. Un dialogue contradictoire avec les équipes de campagne est organisé pour chaque mesure chiffrée afin que celles-ci puissent faire valoir leur point de vue. En cas de désaccord sur l'analyse d'une mesure, celui-ci sera expliqué dans l'analyse et l'estimation du candidat affichée à côté de celle de l'Institut Montaigne.Pour Victor Poirier, directeur des publications de l'Institut Montaigne : « Avec ce travail, l'Institut Montaigne se propose d'apporter un éclairage étendu et approfondi sur les programmes et les propositions des candidats, dans le cadre de la présidentielle 2022. Nous souhaitons contribuer à la crédibilité de la parole et de l'action politique, nourrir le débat démocratique d'éléments objectifs ainsi que sensibiliser les citoyens comme les responsables politiques aux enjeux économiques, environnementaux et budgétaires induits par les propositions des candidats. »