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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 52 jours

A Montpellier, d’une ancienne caserne, l’ESMA de Josep Lluís Mateo

En 2021, mateoarquitectura (Josep Lluís Mateo) a livré à Montpellier (Hérault) l’École Supérieure des Métiers Artistiques (ESMA), un ouvrage de 7 300 m², ainsi que des logements pour étudiants (8 300 m²) et un parking (6 600 m²). Communiqué. L’ESMA (Ecole Supérieure des Métiers Artistiques) est située dans l’enceinte d’une ancienne caserne de l’armée, sur la […] L’article A Montpellier, d’une ancienne caserne, l’ESMA de Josep Lluís Mateo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 52 jours

Les abords de Notre-Dame peuvent-ils être traités comme un jardin ?

L’appel à projet lancé à l’automne 2021 par la mairie de Paris sur le réaménagement des abords de la cathédrale suscite un débat dans la profession. Quatre équipes - 3 paysagistes et 1 agence d’architecture - ont été sélectionnées pour concevoir l’intégration du monument dans son environnement. Le programme de cette consultation est-il à la hauteur des enjeux de ce site d’exception ? L’opération est-elle assimilable à une intervention d’ordre paysager ? Par l’examen...
Il y a 3 ans et 52 jours

La justice déboute neuf associations contre le permis de construire de la gare du Triangle de Gonesse

"Les associations requérantes ne sont pas fondées à demander l'annulation de l'arrêté du préfet du Val-d'Oise du 14 septembre 2018" délivrant le permis de construire de cette gare du Grand Paris Express, a estimé le tribunal dans un jugement rendu mardi.Cette "infrastructure en plein champ que le gouvernement s'obstine à vouloir construire" en dépit de l'urgence écologique pâtit d'un manque de concertation et d'informations sur son impact environnemental, dénoncent les opposants.Le tribunal s'est opposé à leurs arguments, considérant que le permis n'était entaché d'aucune irrégularité et "n'avait pas à prévoir de mesures de compensation"."Cette décision montre que les terres agricoles sont secondaires", a regretté Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), parmi les requérants. Les associations vont faire appel, a-t-il ajouté. Elles avaient rapidement saisi la justice après le feu vert du préfet, il y a plus de trois ans.Entre-temps Europacity, le mégacomplexe de loisirs censé s'y implanter initialement, a été abandonné par l'État en 2019. Mais pas la gare. Une ribambelle de projets sont égrainées depuis pour s'implanter autour, jusqu'à une extension du marché de Rungis.Par des pétitions, manifestations et actions en justice dont ils sont sortis défaits à ce stade, les opposants demandent de favoriser des projets agricoles à taille humaine et de flécher les investissements sur les transports en commun existants. Des travaux préparatoires de la ligne 17 nord ont démarré sur le site. Cette nouvelle ligne de métro entre Bonneuil-en-France et Le Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) doit passer par le parc des exposions de Villepinte et surtout l'aéroport de Roissy.Sa mise en service est prévue pour 2030.
Il y a 3 ans et 52 jours

La ville de Rochefort en Charente-Maritime met un prix sur ses arbres

"Dernièrement, un riverain a estimé que trois frênes le gênaient devant chez lui, alors il les a coupés", raconte à un correspondant de l'AFP Christèle Morin, adjointe au maire LR de Rochefort Hervé Blanché, en charge des Espaces verts."Dans un parc, des jeunes se sont amusés à arracher l'écorce. Parfois ce sont des travaux de terrassement qui détruisent le système racinaire. Mais les arbres c'est la vie, ça nous fait respirer ! Les gens ont oublié ce phénomène et les traitent comme du mobilier urbain", déplore-t-elle.Pour lutter contre ces dégradations, le service municipal qu'elle dirige calcule en ce moment leur valeur financière. Ainsi le majestueux hêtre qui surplombe le port de plaisance de la ville berceau du navire L'Hermione vient d'être estimé à 26.000 euros. La trentaine de platanes qui bordent le boulevard de la Résistance valent désormais entre 6 et 10.000 euros chacun. Les 11.000 arbres que compte la ville vont tous être estimés."Nous appliquons le 'barème de l'arbre' élaboré par le Centre technique national sur les espaces verts et la nature en ville Plante et Cité, le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE) de Seine-et-Marne et Copalme" (association d'arboristes élagueurs grimpeurs), explique Christèle Morin."La loi ignore l'arbre"Ce barème s'articule autour de deux notions. La "Valeur intégrale évaluée" de l'arbre, exprimée en euros, intègre l'âge, les dimensions, l'espèce, le caractère remarquable ou non de l'arbre et son environnement paysager.Ensuite un second calcul est effectué pour définir le "Barème d'évaluation des dégâts" causés à l'arbre, qui permet d'estimer le préjudice en cas de dommages. Un montant auquel s'additionnent "le coût des heures d'intervention des agents et la location du matériel", souligne Eric Bourdajaud, directeur des Espaces verts rochefortais.Ce double barème de l'arbre est disponible sur le site internet éponyme depuis deux ans mais de tels modes de calcul existaient bien avant. "Les premiers sont le fait d'associations ou de collectivités. Ils remontent aux années 1960, détaille François Freytet, membre de Copalme et co-créateur de cet "outil modernisé, plus accessible et qui entre dans un ensemble de dispositions de protection de l'arbre déjà existantes".Outre Rochefort, port de quelque 25.000 habitants, plus de 640 villes ont adopté le barème de l'arbre pour protéger une végétation urbaine régulièrement malmenée. Le site baremedelarbre.fr recense des utilisateurs comme les municipalités de Lyon, Grenoble, Nancy, Orléans ou encore l'Office national des forêts (ONF).Les compagnies d'assurances ne le reconnaissent pas officiellement mais "on n'a pas de retour d'une assurance qui le refuse", indique François Freytet. "En revanche, ajoute-t-il, la loi ignore l'arbre, notamment au profit de la propriété privée. Des réflexions sont en cours pour une prise en compte".
Il y a 3 ans et 52 jours

Une nouvelle directrice pour le collectif Effinergie

CARNET-NOMINATION. Yann Dervyn quitte le poste de directeur général d'Effinergie, qui regroupe de nombreuses structures de la filière du bâtiment.
Il y a 3 ans et 52 jours

Des jeunes du Bâtiment parmi les "meilleurs apprentis de France"

CONCOURS. Des jeunes originaires de tout l'Hexagone ont été récompensés pour leur savoir-faire, dans le cadre d'un concours national. Ferronnerie, électricité, maçonnerie... De nombreux métiers sont représentés.
Cimbat
Il y a 3 ans et 52 jours

Permis de construire : Emmanuel Macron envisage d'égratigner le pouvoir des maires

PRÉSIDENTIELLE 2022. En l'absence du "choc de l'offre" tant espéré dans le secteur du logement, le président-candidat Emmanuel Macron cherche des solutions visant à libérer la délivrance des permis de construire.
Il y a 3 ans et 52 jours

La FFB annonce du nouveau dans les certifications professionnelles du BTP

Pour répondre aux besoins des entreprises du secteur sur les fonctions d’encadrement et afin que les compétences liées au CQP Assistant Technicien de Chantier soient reconnues au niveau 4 du Cadre Européen des Certifications, la FFB souhaite inscrire ce CQP au Répertoire National des Certifications Professionnelles.A cette occasion, la FFB a mis à jour le référentiel d’activités, de compétences et d’évaluation du CQP et a procédé à son découpage, en blocs de compétences. Lorsque le CQP sera inscrit au RNCP, les entreprises et les salariés pourront bénéficier d’une prise en charge :De la formation permettant d’accéder à la certification, via le Compte Personnel de Formation.De l’accompagnement à la Validation des Acquis de l’Expérience, si le candidat possède les prérequis nécessaires. Les prises en charge dans le cadre du plan de développement des compétences et du contrat de professionnalisation restent, quant à elles, inchangées. Le dossier sera déposé dans les prochains jours.
Il y a 3 ans et 52 jours

Décrets artificialisation : "on tombe des nues" (J. Prévereaud, Pôle Habitat FFB)

CONSTRUCTION. Les constructeurs et promoteurs dénoncent des textes "nettement plus restrictifs" sur l'artificialisation des sols, que le consensus qui semblait se dégager quelques semaines avant leur mise en consultation. Au centre des débats : les jardins des particuliers, considérés comme surfaces artificialisées.
Il y a 3 ans et 52 jours

BHS-Sonthofen : Une centrale à béton, 1 000 m sous terre

BHS-Sonthofen a installé une centrale à béton au fond de la mine de Schachtbau Nordhausen, en Allemagne. [©BHS-Sonthofen] Que faire lorsqu’il n’existe pas de données empiriques pour des conditions de production spécifiques ? Que faire encore lorsque le chantier n’est pas simple d’accès pour un malaxeur ? Tels étaient les postulats de départ pour BHS-Sonthofen dans le cadre du projet du groupe ETS Schachtanlage Konrad, à Salzgitter-Bleckenstedt, en Allemagne. Celui-ci prévoyait la conception d’un malaxeur discontinu à doubles arbres horizontaux et la livraison d’une centrale à béton spéciale… Cette dernière devait permettre d’obtenir un produit final optimal. A savoir, un béton projeté par voie mouillée, d’une granulométrie 0/4 mm, obtenu à partir d’un prémix sec. Le tout, au fond d’une mine, à 1 000 m sous terre ! « Lorsque nous ne disposons pas d’exemples concrets pour certaines exigences, nous commençons par utiliser notre malaxeur de laboratoire de type DKX 0,06 S », explique Eckhard Rössner, responsable du service extérieur “Machines pour matériaux de construction” de BHS-Sonthofen. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 52 jours

L'industrie de la chimie face à une hausse des prix sans précédent et à des tensions d’approvisionnement sur les matières premières

Pour rappel, déjà depuis fin 2020, et tout au long de l’année 2021, les principaux industriels de l’aval de la chimie regroupés au sein de la FIPEC et représentant les syndicats SIPEV, AFICAM, AFEI, AFCALE et SPB (fabricants de peintures, enduits, vernis, colles, mastics, encres d’imprimerie, couleurs, protection du bois etc.) ont subi une pression sans précédent sur les matières premières qui s’est manifestée par :l’augmentation forte du coût de revient des produits qui comprime drastiquement les marges ;l’accès limité à certaines matières premières nécessitant des arbitrages là où des alternatives techniques n’étaient pas disponibles ;l’activation de plan d’urgence pour continuer à livrer tous les clients au mieux en temps et en heure ;la nécessité de transférer vers l’aval des hausses de prix lorsque certains seuils sont franchis.La guerre en Ukraine provoque une généralisation brutale des hausses tarifaires sur les coûts de productionAvec la guerre en Ukraine et ses conséquences sur les coûts de l’énergie (gaz et pétrole) dont les prix explosent, les industriels représentés par la Fipec subissent depuis mi-février une inflation sans précédent des coûts de l’ensemble des postes de production.Les matières premières utilisées dans la fabrication des mélanges chimiques sont toutes en augmentation tarifaire forte : les substances issues de la chimie minérale, servant principalement de pigments, et les substances issues de la chimie organique, pétro-sourcée ou biosourcée, produites à partir d’industries fortement électro-intensives, subissent des hausses de prix considérables. La situation du dioxyde de titane est particulièrement sensible. Les résines alkydes, les isocyanates, les époxy, certaines résines acryliques, certains solvants (MEK, MIBK) sont particulièrement sous tension. La quasi-totalité des entreprises adhérentes de la FIPEC constatent des difficultés d’approvisionnement pour le dioxyde de titane, la nitrocellulose, l’éthanol, l’acétate d’éthyle, le polyphosphate d'ammonium, les émulsions acryliques, les éthers cellulosiques, les résines alkydes, l’uréthane, les durcisseurs PU, la silice pyrogénée, le talc, la baryte, etc.Les emballages nécessaires au conditionnement des produits sont en situation de hausse excessivement forte : pour les emballages plastiques, comme pour les emballages métalliques. Le coût des palettes en bois atteint des montants historiques.Le coût de l’énergie augmente : comme tous les acteurs économiques, les adhérents de la FIPEC consomment de l’énergie dans leur process de fabrication et sont directement touchés par l’explosion des prix de l’énergie.Le transport des marchandises devient critique : le coût des carburants et la disponibilité des transporteurs est en forte tension.Aucune perspective positive envisagée à court et moyen terme : la Fipec appelle à une solidarité de filières et à une responsabilité de tous les acteursLa Fipec, auditionnée début 2022 par le médiateur des entreprises dans le cadre de la concertation de la filière BTP, ou impliquée au sein des comités stratégiques de filière chimie et industries pour la construction, appelle l’ensemble des acteurs à une solidarité de filières.Jusqu’à présent, les fabricants ont pris sur eux le choc en proposant, parfois avec difficulté, des hausses de prix contrôlées et mesurées par rapport à la capacité de l’aval à les absorber, sans commune mesure avec l’effondrement des marges provoquées par la flambée des hausses de prix des matières premières.L’allongement de la durée de la crise des matières premières et la forte augmentation de leur prix, accompagnés de la compression historique des marges va rendre indispensable la répercussion des hausses des prix sur toute la chaîne de valeur, amenant des réactualisations beaucoup plus fréquentes.Pour préserver le même niveau de qualité et de richesse du tissu industriel de la filière française, il est désormais crucial que l’ensemble des acteurs, des plus modestes aux plus importants, de l’amont vers l’aval, neutralise les rapports de force structurels au profit d’une approche pragmatique et responsable, à l’opposé des approches spéculatives ou opportunistes encore trop fréquentes.Des effets directs sont à prévoir sur les nombreux marchés aval de cette industrie : les marchés d’emballages imprimés de toutes les filières, dont la filière agro-alimentaire, le secteur de la construction et de la rénovation, les marchés anti-corrosion marine et industrielle, le secteur automobile, etc.La capacité des acteurs des filières à réagir positivement à l’appel à la responsabilité de la Fipec sera décisive pour assurer la survie d’une grande partie des PME et ETI de la Fipec, et par conséquent, contribuer aux objectifs de réindustrialisation du pays.
Il y a 3 ans et 52 jours

Quelles solutions pour sauver la filière française de la rénovation énergétique du naufrage ?

La transition écologique nécessite une action politique forte, immédiate et pérenne puisque les enjeux sont de long terme. Les instruments de planification nationale ne sont malheureusement que de simples vœux, or, ils devraient constituer le cadre pour toutes actions des décideurs politiques. Les décisions prises au niveau national comme au niveau concernant les politiques et leurs mesures ou l’orientation des investissements ont donc l’obligation d’être ambitieuses à court terme au regard des objectifs de moyen et long terme.Pour rappel, au niveau international (Accord de Paris) l’objectif est de contenir le réchauffement climatique nettement au-dessous de + 2°C, si possible à 1,5°C. En Europe, cet objectif international se traduit par -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030, et une augmentation sensible de l’usage des énergies renouvelables.Ces objectifs imposent donc de diminuer la quantité d’énergie nécessaire à la satisfaction d’un même besoin grâce à l’efficacité énergétique. L’isolation des bâtiments (notamment du secteur résidentiel qui représente plus de 57% des consommations du secteur) est la priorité car c’est l’action la plus efficace sur le court et le long terme. Le recours aux énergies renouvelables pour leur faible impact sur l’environnement et leur caractère inépuisable doit être favorisé car ce sont des énergies de flux, contrairement aux énergies de stock qui sont des réserves finies (charbon, pétrole, gaz fossile et uranium).En France, la neutralité carbone détermine l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre et la division par deux de la consommation d’énergie finale d’ici 2050 en réduisant la part du nucléaire et augmentant significativement le recours aux énergies renouvelables.La formation des professionnels du bâtiment est indispensable et le financement pérenne d’un grand programme de rénovation complète et performante des logements est un chantier prioritaire.Générateur de centaines de milliers d’emplois. Les mesures actuelles comme les CEE, MaPrime Rénov, … ne sont pas à la mesure des enjeux et leur instabilité permanente ont pour effet une grande déstabilisation de la filière qui se solde par plusieurs milliers d’emplois supprimés en quelques mois et des particuliers qui sont extrêmement inquiets ne pouvant pas financer les travaux tout en subissant une perte de pouvoir d’achat et de leur qualité de vie du fait de l’augmentation du coût des énergies.2022 doit être l’année de la remise à plat de ce système pour orienter une politique financière et une ambition pour la rénovation. En agissant ainsi l’Etat garantira à tous les Français un habitat sain, confortable, et peu coûteux en énergie. Il permettra enfin d’éradiquer la précarité énergétique.Pour arriver à une rénovation énergétique performante de la quasi-totalité du parc immobilier existant d’ici 2050, les logements classés F ou G sont rénovés en priorité, il faut selon le SYMBIOTE (SYndicat Multi Branches des Industries et des Opérateurs de la Transition Energétique) :Réorienter l’ensemble des financements dédiés à la rénovation vers le niveau BBC avec des dispositifs stables de financement permettant à chaque ménage quel que soit son revenu de financer ses travaux, notamment grâce aux économies d’énergie réalisées. L’isolation étant prioritaire pour toute rénovation. Les aides doivent impérativement être stables pour permettre aux filières et aux particuliers de s’engager ;Revoir le dispositif des CEE et Ma Prim Rénov pour que le reste à charge soit supportable pour les ménages aux revenus moyens et faibles et que le signal soit positif pour un engagement fort des professions et des particuliers ;Augmenter l’objectif de la 5° période des Certificats d’Économies d’Énergie pour le rendre compatible avec les objectifs nationaux et européens en portant à 3500 TWh le montant de la période dont 450 TWh chez les ménages aux revenus moyens et modestes ;Rendre progressivement obligatoire et systématique la rénovation des maisons individuelles à l’occasion du changement de propriétaire ou de locataire et la rénovation énergétiques des copropriétés lors des ravalements ;Assujettir à un contrôle tous les travaux du fait qu’ils font l’objet d’aide de l’État ;Renforcer la formation de l’ensemble des acteurs du bâtiment à la rénovation complète et performante, en promouvant une filière de formation initiale ou continue dédiée à la rénovation ( BTS,…). Cette formation regrouperait trois volets (les financements, la gestion administrative des dossiers de financement, la technique) ;Lancer un plan d’implantation des énergies renouvelables pendant 10 ans (20 Milliards d’euros) afin de permettre l’autonomie et l’autoconsommation de plus de 3 millions de maisons individuelles. La filière avale de la rénovation a lourdement investi pendant 5 ans pour satisfaire les objectifs fixés dans le cadre des CEE. Cette filière s’effondre car les objectifs et le dispositif ne cessent d’être modifiés dégradant tout le système.Pour plus d'information sur la situation chaotique de la filière vous trouverez la dernière tribune rédigé par symbiote sur ce sujet ICI.
Il y a 3 ans et 52 jours

Quelles solutions pour sauver la filière de la rénovation énergétique du naufrage en France ?

La transition écologique nécessite une action politique forte, immédiate et pérenne puisque les enjeux sont de long terme. Les instruments de planification nationale ne sont malheureusement que de simples vœux, or, ils devraient constituer le cadre pour toutes actions des décideurs politiques. Les décisions prises au niveau national comme au niveau concernant les politiques et leurs mesures ou l’orientation des investissements ont donc l’obligation d’être ambitieuses à court terme au regard des objectifs de moyen et long terme.Pour rappel, au niveau international (Accord de Paris) l’objectif est de contenir le réchauffement climatique nettement au-dessous de + 2°C, si possible à 1,5°C. En Europe, cet objectif international se traduit par -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030, et une augmentation sensible de l’usage des énergies renouvelables.Ces objectifs imposent donc de diminuer la quantité d’énergie nécessaire à la satisfaction d’un même besoin grâce à l’efficacité énergétique. L’isolation des bâtiments (notamment du secteur résidentiel qui représente plus de 57% des consommations du secteur) est la priorité car c’est l’action la plus efficace sur le court et le long terme. Le recours aux énergies renouvelables pour leur faible impact sur l’environnement et leur caractère inépuisable doit être favorisé car ce sont des énergies de flux, contrairement aux énergies de stock qui sont des réserves finies (charbon, pétrole, gaz fossile et uranium).En France, la neutralité carbone détermine l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre et la division par deux de la consommation d’énergie finale d’ici 2050 en réduisant la part du nucléaire et augmentant significativement le recours aux énergies renouvelables.La formation des professionnels du bâtiment est indispensable et le financement pérenne d’un grand programme de rénovation complète et performante des logements est un chantier prioritaire.Générateur de centaines de milliers d’emplois. Les mesures actuelles comme les CEE, MaPrime Rénov, … ne sont pas à la mesure des enjeux et leur instabilité permanente ont pour effet une grande déstabilisation de la filière qui se solde par plusieurs milliers d’emplois supprimés en quelques mois et des particuliers qui sont extrêmement inquiets ne pouvant pas financer les travaux tout en subissant une perte de pouvoir d’achat et de leur qualité de vie du fait de l’augmentation du coût des énergies.2022 doit être l’année de la remise à plat de ce système pour orienter une politique financière et une ambition pour la rénovation. En agissant ainsi l’Etat garantira à tous les Français un habitat sain, confortable, et peu coûteux en énergie. Il permettra enfin d’éradiquer la précarité énergétique.Pour arriver à une rénovation énergétique performante de la quasi-totalité du parc immobilier existant d’ici 2050, les logements classés F ou G sont rénovés en priorité, il faut selon le SYMBIOTE (SYndicat Multi Branches des Industries et des Opérateurs de la Transition Energétique) :Réorienter l’ensemble des financements dédiés à la rénovation vers le niveau BBC avec des dispositifs stables de financement permettant à chaque ménage quel que soit son revenu de financer ses travaux, notamment grâce aux économies d’énergie réalisées. L’isolation étant prioritaire pour toute rénovation. Les aides doivent impérativement être stables pour permettre aux filières et aux particuliers de s’engager ;Revoir le dispositif des CEE et Ma Prim Rénov pour que le reste à charge soit supportable pour les ménages aux revenus moyens et faibles et que le signal soit positif pour un engagement fort des professions et des particuliers ;Augmenter l’objectif de la 5° période des Certificats d’Économies d’Énergie pour le rendre compatible avec les objectifs nationaux et européens en portant à 3500 TWh le montant de la période dont 450 TWh chez les ménages aux revenus moyens et modestes ;Rendre progressivement obligatoire et systématique la rénovation des maisons individuelles à l’occasion du changement de propriétaire ou de locataire et la rénovation énergétiques des copropriétés lors des ravalements ;Assujettir à un contrôle tous les travaux du fait qu’ils font l’objet d’aide de l’État ;Renforcer la formation de l’ensemble des acteurs du bâtiment à la rénovation complète et performante, en promouvant une filière de formation initiale ou continue dédiée à la rénovation ( BTS,…). Cette formation regrouperait trois volets (les financements, la gestion administrative des dossiers de financement, la technique) ;Lancer un plan d’implantation des énergies renouvelables pendant 10 ans (20 Milliards d’euros) afin de permettre l’autonomie et l’autoconsommation de plus de 3 millions de maisons individuelles. La filière avale de la rénovation a lourdement investi pendant 5 ans pour satisfaire les objectifs fixés dans le cadre des CEE. Cette filière s’effondre car les objectifs et le dispositif ne cessent d’être modifiés dégradant tout le système.Pour plus d'information sur la situation chaotique de la filière vous trouverez la dernière tribune rédigé par symbiote sur ce sujet ICI.
Il y a 3 ans et 52 jours

Le projet d'hôpital Grand Paris-Nord déclaré d'utilité publique

Le projet de campus hospitalo-universitaire Grand Paris-Nord prévu pour 2028 à Saint-Ouen a été déclaré d'utilité publique par la préfecture de Seine-Saint-Denis.
Il y a 3 ans et 52 jours

Découvrez le programme de Yannick Jadot pour le BTP en infographie

INFOGRAPHIE PRÉSIDENTIELLE. Le candidat représentant le parti Europe Écologie-les verts dévoile un programme focalisé sur la transition écologique. Énergies renouvelables, fiscalité "au service" du climat... Batiactu décrypte en trois points et une infographie son programme.
Il y a 3 ans et 52 jours

Amazon abandonne son projet d'entrepôt près de Rouen

LOGISTIQUE. Après des recours contre le projet de construction d'un bâtiment de stockage, le géant américain renonce à son entrepôt. La municipalité qui devait accueillir l'édifice regrette cette décision.
Il y a 3 ans et 52 jours

Un projet européen pour diminuer le bilan carbone du ciment

Un projet éco-responsable CO2REDRES (Traitement de ressources secondaires pour une réduction des émissions de CO2 dans l'industrie de la construction) est financé pour 2 ans par le programme européen Interreg Grande Région. Son objectif est de chercher à produire localement de nouveaux ciments et bétons à faible impact environnemental. La voie suivie est celle des argiles calcinées. Ces matières réactives peuvent être additionnées au ciment ou au béton, pour remplacer les laitiers de hauts fourneaux ou les cendres volantes de centrales à charbon, aujourd’hui quasi-disparus de la Grande Région.Ces argiles sont cuites à 750°C environ, température nettement inférieure aux 1450°C nécessaires pour obtenir le clinker, constituant de base du ciment. En dégageant beaucoup moins de CO2 par rapport à un ciment 100% clinker, les liants intégrant des argiles calcinées pourraient abaisser d’environ 30% le bilan carbone du ciment.Conserver et améliorer les propriétés du ciment Ces nouveaux liants, connus sous l’appellation LC3 (Limestone Calcined Clay Cement) font partie des thématiques d’étude de l’équipe Matériaux pour le Génie Civil de l’Institut Jean Lamour à Nancy (laboratoire du CNRS et de l’Université de Lorraine). 50% du clinker y est remplacé par des argiles calcinées et du calcaire.L’équipe a cherché à optimiser les proportions d’argiles calcinées (type métakaolin) et de fillers calcaires dans les mélanges. Ceci afin de conserver, voire d’améliorer, les propriétés du ciment frais et durci, les leviers étant notamment la finesse des produits et la nature des hydrates spécifiques formés.Quatre ressources argileuses prometteuses Une quarantaine d’échantillons issus de boues de lavage des granulats et de déblais divers ont été fournis par les partenaires du projet. Leur caractérisation a permis d’identifier 4 ressources argileuses prometteuses. Elles ont subi des essais de calcination afin de déterminer pour chacune d’elles les conditions optimales de leur cuisson. Des tests dédiés ont permis de comparer leur réactivité finale. Ces 4 argiles calcinées ainsi que 2 métakaolins de référence (commercialisés dans d’autres régions françaises) et 2 fillers calcaires ont été mélangés à 4 ciments produits par des cimentiers de la Grande Région, partenaires du projet.L’agencement de ces composants a été étudié au cas par cas, car des argiles calcinées de même réactivité peuvent impacter plus ou moins fortement la maniabilité des bétons, selon la nature des autres constituants présents.Leur structure en feuillets imbriqués forme en effet des «amas» poreux qui peuvent mobiliser beaucoup d’eau, en plus de celle nécessaire à la mise en œuvre du béton. Cette eau excédentaire altère alors la résistance mécanique et la durabilité du composite, réduisant ainsi l’effet d’une bonne réactivité. L’ajustement de la finesse et des proportions de chaque constituant, tant sur le plan expérimental que théorique, a permis de mieux comprendre le rôle respectif des paramètres impliqués.Bientôt des bétons témoins Des essais et des analyses réalisés sur pâtes de ciment et sur mortiers ont alors conduit à la sélection de 2 argiles calcinées avec lesquelles des bétons témoins seront prochainement fabriqués. Enfin, une analyse du cycle de vie doit évaluer l’impact environnemental du processus complet.L’ensemble des résultats obtenus devrait permettre d’offrir aux acteurs de la construction dans la Grande Région la possibilité de fabriquer des ciments bas carbone viables, contenant des argiles calcinées issues de ressources secondaires et locales.
Il y a 3 ans et 52 jours

Panasonic solutions chauffage et refroidissement présente ses dernières innovations sur le Salon NordBat

Gennevilliers, le 18 mars 2022 – Panasonic solutions chauffage & refroidissement annonce sa présence à la 12ème édition du salon NordBat, le rendez-vous des acteurs de la construction des régions nord de France. Les 30, 31 mars et 1er avril, le fabricant présentera sur son stand les dernières évolutions de ses solutions destinées au résidentiel. […]
GDA
Il y a 3 ans et 52 jours

ATLANTEM RENFORCE SA GAMME DE PRODUITS POUR UNE MAISON INTELLIGENTE À VIVRE

 SALON NORDBAT – STAND J2  Le salon NORDBAT sera l’occasion pour ATLANTEM, activité menuiserie du Groupe HERIGE, de présenter de nouvelles solutions domotisées s’inscrivant dans l’univers de la maison connectée. Ces équipements motorisés et pilotables par smartphone s’intègrent dans la conception de l’habitat intelligent, de plus en plus plébiscité par les foyers en quête de […]
Il y a 3 ans et 52 jours

EuB SuperHub en images

Il y a 3 ans et 52 jours

LES SITES DE PRODUCTION BOUYER LEROUX DÉJÀ  DECARBONÉS  À 45% CONFIRMENT LEUR TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

Bouyer Leroux a depuis de nombreuses annÉes pris conscience des enjeux environnementaux et  économiques liés à l’utilisation d’énergie fossile. En ce printemps 2022, face à la flambée des prix des énergies, sa stratégie de développement durable renforcée en 2018 par un ambitieux programme de décarbonation permet, aujourd’hui, de limiter l’impact du gaz sur ses activités […]
Il y a 3 ans et 52 jours

Palazzo della Pilotta – La famille Farnèse. Architecture, Art, Pouvoir

Le Complexe Monumental de La Pilotta, à Parme, en Italie, accueille une vaste exposition dédiée aux œuvres commanditées par la famille Farnèse. Jusqu’au 31 juillet 2022. L’exposition La famille Farnèse. Architecture, Art, Pouvoir a pour objectif d’interroger l’extraordinaire affirmation de la maison Farnèse dans les milieux politiques et culturels européens du XVIe au XVIIe siècles, […] L’article Palazzo della Pilotta – La famille Farnèse. Architecture, Art, Pouvoir est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 52 jours

Relancer le solaire thermique pour remplacer le gaz russe

L’industrie du solaire thermique est prête à relever le défi du remplacement du gaz russe. Grâce à l’usine Viessmann de Faulquemont, la France est exportatrice nette de panneaux solaires thermiques.
Il y a 3 ans et 52 jours

Ouverture du nouveau siège social d’HeidelbergCement France Tour Alto à Paris La Défense

HeidelbergCement France annonce l’ouverture ce 21 mars 2022 de son nouveau siège social au sein de la Tour Alto au coeur du quartier d’affaires de Paris La Défense. Auparavant installée à Guerville dans les Yvelines, la nouvelle localisation du siège à Paris La Défense, dans le plus grand quartier d’affaires d’Europe, s’inscrit dans la transformation […]
Il y a 3 ans et 52 jours

Le loueur de matériel Kiloutou réalise sa "plus grosse acquisition" avec le rachat du danois GSV

L'acquisition de GSV, qui réalise des ventes annuelles de 130 millions d'euros, "va nous permettre d'approcher le milliard d'euros de chiffre d'affaires", a expliqué à l'AFP le Président exécutif de Kiloutou Olivier Colleau. "J'ai l'espoir que pendant l'année 2022 on dépassera ce cap".Kiloutou a réalisé en 2021 un chiffre d'affaires de 793 millions d'euros, dont les deux tiers auprès de sociétés de construction du bâtiment ou des travaux publics.Cette opération représente à la fois "la plus grosse acquisition de Kiloutou", a affirmé le dirigeant de l'entreprise numéro 2 du marché en France et troisième au niveau européen.Elle est aussi majeure pour le fonds HLD, qui détient 69% du capital de la société, a ajouté auprès de l'AFP l'associé Jean-Hubert Vial. "Accompagné depuis 2018 par HLD et Dentressangle", Kiloutou franchit "une nouvelle étape dans son développement international en entrant sur le marché danois", a annoncé le groupe dans un communiqué publié mardi soir.GSV, leader du marché au Danemark (22% de parts de marché) qui compte 485 employés et 19 agences, rejoint les 5.000 employés et 550 sites du groupe déjà présent en France, en Pologne, en Espagne, en Italie et en Allemagne.Jusqu'ici de 18%, la part du chiffre d'affaires réalisée à l'étranger du groupe français va atteindre 30%: "une prise de risque modérée", selon Olivier Colleau alors que le Danemark est "une économie peu endettée et qui dans notre marché a des perspectives solides sur les prochaines années".Le montant de l'opération n'a pas été communiqué par le fonds d'investissement ni par la société, mais il est "autour de 300 millions d'euros", a indiqué une source proche du dossier à l'AFP. L'acquisition sera financée en puisant dans la trésorerie de Kiloutou et avec "des lignes de financement complémentaires" sans que les actionnaires ne rajoutent de fonds propres, a précisé Jean-Hubert Vial. De la dette sera émise sur les marchés financiers "dans un deuxième temps".L'équipe de GSV et la marque, "extrêmement connue des clients danois", resteront "en place", a précisé le dirigeant Olivier Colleau. L'actuel patron de la société danoise, Dan O. Vorsholt, entrera au Conseil exécutif de Kiloutou comme neuvième membre lorsque l'acquisition sera effective le 11 avril.
Il y a 3 ans et 52 jours

Les UVpro Abiotec comme alternative au tout air neuf

Grâce à l’intégration des lampes UV (UVpro FM 40) germicides en sortie des Centrales de Traitement d’Air (CTA), différents bactéries et virus (y compris le SARS-Cov-2) peuvent être éliminés dans les gaines de ventilation. La solution idéale pour tout type d’établissement (bureaux, hôtels, universités, théâtres etc.) afin d’améliorer la qualité d’air, continuer à utiliser l’air recyclé et garantir un environnement sain et purifié pour les salariés et les visiteurs.La désinfection de l’air recyclé par UVQue ce soit en entreprise ou dans un bâtiment destiné à recevoir du public, l’interaction avec les autres, ainsi que l’utilisation d’appareils communs, sont propices à la prolifération des bactéries ou autres éléments nocifs pour la santé. Afin d’apporter une solution efficace et rassurante, notamment en cette période de crise sanitaire, Abiotec commercialise un système de traitement d’air pour purifier l’air dans un bâtiment entier via le conduit de ventilation.Les lampes de la gamme UVpro sont installées dans les gaines de ventilation. Ainsi, le système réussit à éliminer 99,99% des agents pathogènes en suspension dans l’air. Moisissures, bactéries, virus, y compris le virus Covid, sont inactivés instantanément.Comment cela fonctionne ? Les lampes à haut rendement Abiotec UVpro traitent les agents pathogènes en suspension dans l’air distribués par les systèmes de climatisation et de ventilation. Lorsque l’air passe devant les lampes à très haute intensité, les agents nocifs aéroportés sont inactivés, ce qui réduit la transmission. Grâce à un dimensionnement précis par logiciel CFD, l‘installation délivre une dose UV qui assure l’inactivation des virus, garantissant l’efficacité du dispositif.L’installation est simple et rapide : avec des modules de 1 ou 2 lampes, elle s’adapte à toute Centrale de Traitement d’Air. Il est possible par conséquence de traiter en continu un flux d’air complet et minimiser le risque de transmission des éléments nocifs. Le système est complètement étanche (IP68) et à haute fiabilité, ce qui permet une installation sur la toiture ou dans un local technique.Système UV, une alternative sans chimie pour un air sainL’air sain est primordial pour le bien être des personnes qui fréquentent un établissement au quotidien et limiter l’absentéisme. Que ce soit dans un bureau, une salle de réunion, ou un cinéma, une bonne qualité d’air garantit un environnement pur et confortable.La désinfection de l’air par le système UV d’Abiotec permet de recycler l’air en toute sécurité et ainsi d’éviter le « tout air neuf » pour réaliser des économies d’énergie. Autre avantage, la désinfection UV ne créer pas de perte de charge contrairement au filtre HEPA. La maintenance se limite au simple remplacement des lampes UV toutes les 12 000 heures.La solution écologique de désinfection d’air Abiotec (traitement non chimique) garantit un flux d’air purifié en continu.Il s’agit d’un système sécurisé, qui est asservi à la CTA et peut être installé dans tous les établissements équipés d’un système de ventilation générale qui cherchent à détruire les agents pathogènes présents dans les conduits d'aération (établissement de santé, bureaux, cinémas, salles de spectacles, grande distribution, hôtel, restaurant, centres commerciaux...).L’estimation du prix se fait sur devis et l’installation doit être réalisée par un professionnel de la ventilation.
Il y a 3 ans et 52 jours

A Mont-de-Marsan, plateau technique pour Art&Build et Moon Safari

L’agence Art&Build, avec Moon Safari, a gagné en 2021 le concours pour le nouveau plateau technique du Centre Hospitalier de Mont-de-Marsan (Landes). Surface : 8 700 m². Budget : 25,7 M€ HT.  Communiqué. Un plan agile C’est sur le nouveau site Layné que viendra s’implanter le plateau technique du Centre Hospitalier de Mont de Marsan. Lisibilité, […] L’article A Mont-de-Marsan, plateau technique pour Art&Build et Moon Safari est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 52 jours

Commandes de maisons et bénéfice en hausse pour Hexaom

Le résultat net de l'ancien Maisons France Confort s'est établi à 22,7 millions d'euros, en hausse de 15,2% par rapport à 2020, année où il avait déjà progressé malgré la pandémie et les confinements.Un indicateur de plus de l'engouement des Français pour les maisons individuelles, avec des permis de construire et des prix qui augmentent plus vite que la moyenne.Le groupe familial frôle le milliard d'euros de chiffre d'affaires : 997 millions, dont 719 pour sa branche construction de maisons.Les prises de commandes de cette branche représentent 1,15 milliard d'euros de chiffre d'affaires, selon le groupe.La direction de l'entreprise basée à Alençon (Orne) va se partager entre père et fils : Loïc Vandromme va devenir directeur général à partir du 1er juin, tandis que son père Patrick Vandromme, l'actuel PDG, conservera la présidence du conseil d'administration.Pour 2022, Hexaom prévoit "une production en croissance" mais "restera cependant très vigilant sur le maintien de ses marges dans un contexte de tensions sur les matériaux et la sous-traitance (inflation et disponibilité), ainsi que d'application de la nouvelle réglementation RE 2020".Entrée en vigueur au 1er janvier pour les logements neufs, la réglementation RE 2020 impose des normes plus strictes pour l'isolation thermique des bâtiments, l'impact environnemental de leur construction et de leur cycle de vie.Elle vise à diminuer la contribution au réchauffement climatique du bâtiment, qui représente près d'un quart des émissions de CO2 de la France.
Il y a 3 ans et 52 jours

Une opération de collecte organisée par les menuisiers français pour l'Ukraine

L'UFME, le SNFA et Menuiseries 21 apportent leur soutien à une importante opération humanitaire d'aide aux réfugiés ukrainiens. 
Il y a 3 ans et 52 jours

Manteau de pierre massive pour neuf logements sociaux à Paris, par Raphaël Gabrion

Raphaël Gabrion est diplômé de l'Ensa Normandie en 2001. Depuis la création et la nomination aux Ajap de son agence en 2008, il privilégie le travail en petit comité. L'équipe, installée à Paris, travaille sur des projets choisis, pour davantage de maîtrise des processus de création et de construction.  […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 52 jours

Béton Solutions Mobiles : Le BPE le plus imposant de France

La nouvelle unité de production de BPE de Béton Solutions Mobiles s’inscrit dans un bâtiment fermé de 8 500 m2. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 M€ pour l’année 2021, la présence de quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ». Une stratégie qui va permettre à la marque de devenir le 1er acteur régional du BPE, devant Edycem et ses 33 centrales, dès la fin du 2e trimestre 2022. A l’échelle nationale, BSM arrivera à la 7e place des fournisseurs, derrière Colas qui est à la tête d’environ 67 unités de production. Belle performance pour une entreprise créée il y a tout juste de 8 ans. Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Est, à Lognes, siège de l’entreprise. « Cette dernière centrale sera une mobile que nous allons sédentariser, explique Maureen Pontié, responsable travaux neufs de BSM. Elle sera dédiée à la production exclusive de chapes fluides. » En effet, c’est une activité nouvelle que l’industriel a choisi de développer d’une manière importante. « Aujourd’hui, nous travaillons avec trois fournisseurs, reprend Philippe Tibère-Inglesse. A savoir, Bostik et sa Technis-R, Chryso Cemexa et ses Cemfloor, et Sika, avec ses Levelchape et ses Viscochape. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 53 jours

Limiter la construction neuve dans le cadre d’une transition bas carbone

« Transition(s) 2050. Choisir maintenant. Agir pour le climat » est une prospective de l’Ademe qui explore quatre scénarios pour atteindre la neutralité carbone en France en 2050. Ils visent à articuler les dimensions technico-économiques avec des réflexions sur les transformations de la société. Le rapport Transition(s) 2050, première étape de cet exercice, a été publié le 30 novembre 2021, aujourd’hui, l’Ademe étend ses analyses dans des feuilletons. Elle vient d’en présenter huit dont l’un d’eux aborde la modération de la construction neuve, il détaille les principaux enjeux pour les acteurs et propose des pistes pour accompagner les changements. Certains leviers de contribution des bâtiments à la transition écologique sont bien connus : isolation thermique, adoption d’énergies moins carbonées, évolution des modes de vie… Si les bâtiments neufs consomment de moins en moins d’énergie en phase d’usage grâce aux réglementations thermiques successives, les consommations d’énergie et émissions de CO2 associées à la fabrication des matériaux et des équipements imposent de reporter l’attention sur l’amont du cycle de vie d’un bâtiment. Selon les données issues de l’Observatoire E+C-2, les émissions d’un bâtiment sur sa durée de vie sont majoritairement liées aux produits de construction, qui représentent selon le type de bâtiment de 55 à 80 % des émissions totales. C’est pourquoi limiter la construction neuve est l’un des leviers à explorer dans le cadre d’une transition bas carbone. Cela permet également de contribuer à la lutte contre l’artificialisation des sols. La logique générale du scénario consiste à optimiser l’occupation du parc afin de limiter fortement la construction neuve : diminution des surfaces par personne, augmentation de l’intensité d’usage, transformation de résidences secondaires en résidences principales, résorption de la vacance, évolution des logements en fonction de la vie des ménages. Ces stratégies permettent de répondre à la demande (en logement, locaux…) tout en réduisant de façon significative les volumes construits et les pressions associées. Ce scénario voit un fort développement des matériaux et systèmes constructifs biosourcés, accompagné d’une décroissance des matériaux traditionnels tels que nous les connaissons aujourd’hui. L’industrie se transforme pour se décarboner. L’économie de la fonctionnalité et du réemploi se développe également de façon significative. Le scénario renforce le basculement des entreprises vers le marché de la rénovation. Télécharger le feuilleton… Cet article Limiter la construction neuve dans le cadre d’une transition bas carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 53 jours

Disneyland Paris annonce un plan de transformation pluriannuel pour Disney Village

Disneyland Paris partage aujourd’hui un premier aperçu de ce que les visiteurs pourront découvrir à l’avenir au sein de ce complexe, qui s’étend sur près de 40 000 mètres carrés.Un plan de transformation pluriannuel pour une expérience enrichie à Disney VillageSitué en plein cœur de Disneyland Paris - entre les parcs à thèmes et les hôtels Disney - Disney Village est un complexe qui réunit boutiques, restaurants et lieux de divertissement. Célébrant ses trente ans en 2022, cet espace a plus que doublé de taille depuis son ouverture, en ajoutant continuellement de nouveaux éléments permettant de réinventer l’expérience visiteurs. Les travaux débuteront d’ici la fin de l’année afin de transformer progressivement la zone et de lui donner une toute nouvelle identité visuelle, tout en proposant de nouvelles expériences attractives.En associant le savoir-faire exceptionnel de Disney et une sélection de concepts de marques aux univers complémentaires, la version ré-imaginée de Disney Village proposera un cadre intemporel et familial, propre à l’univers Disney. Alors que de somptueuses boutiques et des restaurants au concept innovant accueilleront les visiteurs en journée, des milliers de lumières transformeront les lieux en un endroit enchanteur et animé à la tombée de la nuit.À l’issue de cette transformation, Disney Village comportera de luxuriants espaces verts ainsi qu’une promenade en bord du lac, des allées embellies, de toutes nouvelles façades, et des terrasses invitant à la relaxation. Ses divers restaurants et boutiques permettront d’offrir davantage d’options en termes de restauration et de shopping pour les visiteurs grâce à des concepts novateurs proposés par des marques figurant parmi les plus attractives au monde, proposant ainsi une expérience optimale complémentaire à celle proposée dans les parcs à thèmes.Pour Natacha Rafalski, présidente de Disneyland Paris : « Notre projet de transformation de Disney Village illustre une fois de plus la manière dont nous continuons à réinventer notre destination, dans la lignée du plan d’extension pluriannuel d’envergure que nous avons entrepris au Parc Walt Disney Studios. Nous sommes enthousiastes à l’idée d’enrichir Disney Village avec de nouveaux concepts emblématiques et intemporels, qui plairont à une nouvelle génération de visiteurs provenant des hôtels de notre destination ou des villes environnantes. Nous avons hâte de surprendre et ravir nos visiteurs avec toutes ces nouveautés. »Rosalie, une nouvelle brasserie française au bord du lac, qui ouvrira en 2023La première étape de ce projet de transformation consistera à remplacer l’actuel Café Mickey par une brasserie française contemporaine. Le Groupe Bertrand, déjà propriétaire de plusieurs brasseries parisiennes réputées, a été choisi pour prendre la gestion du restaurant et y introduire un tout nouveau concept, qui permettra d’optimiser l’expérience culinaire et élargir l’offre en matière de restauration pour les visiteurs en quête de cuisine française à Disney Village.Rosalie, le nouveau restaurant qui s’étendra sur deux étages, proposera 500 places dans des intérieurs contemporains inspirés par les brasseries parisiennes. Il célèbrera l’art de vivre à la française avec sa cuisine traditionnelle, et ce, dans un cadre moderne mais élégant, disposant de vastes terrasses offrant une vue sur le Lac Disney. Mettant à l’honneur à la fois la diversité régionale et les produits de saison, le restaurant ravira toutes les envies. Proposant un service à table, il comportera également un comptoir offrant des produits de boulangerie française (viennoiseries, pâtisseries, sandwichs et salades) pour une consommation à emporter, ainsi qu’une sélection de produits visant à répondre à toutes les envies. Lors des beaux jours, une terrasse aménagée accueillera les visiteurs en bord de lac.Pour Laure Albouy, vice-présidente Stratégie Commerciale et Intégration de Disneyland Paris : « Dans le cadre de nos collaborations continues avec des entreprises exceptionnelles, avec lesquelles nous partageons des valeurs fortes, nous sommes ravis d’ouvrir un nouveau restaurant géré par le Groupe Bertrand pour marquer la première étape du projet de transformation de Disney Village. Nous sommes convaincus que ce restaurant, au positionnement unique et familial, permettra d’enrichir l’expérience des visiteurs au sein de notre destination, en proposant des spécialités françaises dans un cadre unique. Nous avons hâte de concrétiser ce partenariat ! »
Il y a 3 ans et 53 jours

MycoBamboo : étude de l’empreinte carbone d’un composite en mycélium et bambou

Une équipe a étudié l’empreinte carbone d’un nouveau composite en matériaux biosourcés (bambou et mycélium), appelé MycoBamboo. L’isolation permet de réduire les pertes de chaleur des bâtiments et, par conséquent, d’améliorer la consommation d’énergie, jouant ainsi un rôle dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre. De nombreux matériaux d’isolation conventionnels sont […]
Il y a 3 ans et 53 jours

Croissance à deux chiffres pour Panasonic

La pompe à chaleur et la climatisation portent l'ambition de Panasonic.
Il y a 3 ans et 53 jours

40 under 40 : les 24 lauréats français

L’European Centre for Architecture Art Design and Urban Studies et le Chicago Athenaeum ont dévoilé les lauréats de l’édition 2021/2022 du programme « Europe 40 Under 40 ». Dans cette sélection de jeunes professionnels prometteurs de l’architecture et du design, 24 français parmi lesquels EGR, Vincent Eschalier, Tautem, Bond […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 53 jours

Halle des Saveurs de L’Haÿ-les-Roses : Baltard réinventé par Greig & Stephenson ?

La Ville de L’Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne) a confié CITALLIOS la mission de construire une halle de marché « moderne, attractive, innovante et à l’architecture de qualité » afin de réinventer le marché historique. L’agence britannique Greig & Stephenson a donc ‘’réinventé’’ Baltard. Communiqué de l’aménageur. La Halle des Saveurs, qui a ouvert ses portes le 13 mars à […] L’article Halle des Saveurs de L’Haÿ-les-Roses : Baltard réinventé par Greig & Stephenson ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 54 jours

Pompe à chaleur 3 en 1 Qlima

Les pompes à chaleur (PAC) air/air connaissent un fort engouement en France. Ces systèmes, au mode de fonctionnement simple mais ingénieux, permettent d'allier confort et économies d'énergie, avec un impact moindre sur l'environnement. Assurant à la fois le chauffage de l'habitation et son rafraîchissement, les pompes à chaleur réversibles offrent un confort thermique idéal dans les régions où les hivers sont froids et les étés sont chauds.
Il y a 3 ans et 54 jours

Isolation FOAMGLAS Enrobé

La forte résistance à la compression sans tassement du FOAMGLAS® offre une réponse innovante pour les toitures accessibles aux Piétons, et pour les parkings Véhicules Légers et Véhicules Lourds. Un nouveau cahier des charges visé par SOCOTEC vient valoriser cette solution (décembre 2021).
Il y a 3 ans et 54 jours

EDMA acquiert TOPOMESURE

EDMA étend son offre d'outillage pour les professionnels du BTP avec une large gamme d'instruments de mesure laser et de détection.
Il y a 3 ans et 54 jours

Chantier - Les plaques stabilisatrices de gravier pour zone urbaine URBANGRAVEL de JOUPLAST séduisent à Chambéry

L'imperméabilisation des surfaces urbaines va de pair avec le phénomène de ruissellement des eaux pluviales, dont les conséquences dommageables sont connues : inondations, concentration de pollution, impact sur le cadre de vie et jusqu'à la sécurité des biens et des personnes. C'est pourquoi, les revêtements drainants sont de plus en plus mis en oeuvre par les professionnels du BTP pour rétablir la perméabilité des sols.
Il y a 3 ans et 54 jours

CHANGEMENT DE DESIGN POUR LE CONCEPT ATELIER COULEURS

Ces dernières années ont vu l'émergence d'un réel engouement des français pour la décoration d'intérieur et la demande des utilisateurs en matière de peintures personnalisées ne cesse de croître. Soucieuse de répondre à ces nouvelles envies, la marque Cecil Professionnel propose un concept sur-mesure de mise à la teinte : l'Atelier Couleurs, décliné en 3 niveaux, pour répondre aux besoins des magasins distributeurs. Le design de ces concepts fait aujourd'hui peau neuve grâce à une finition tendance gris et bois qui s'adapte facilement dans tous les points de vente. Véritables valeurs ajoutées pour les partenaires distributeurs, ces machines à teinter offrent un accompagnement complet dans la réalisation des projets des artisans multispécialistes et des particuliers chevronnés en extérieur comme en intérieur.