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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 62 jours

Construction d’un Antiquarium de verre à Ajaccio pour valoriser les vestiges du Baptistère San Ghjuvà

Le projet conduit par la Ville consiste en la réalisation d’un Antiquarium de verre pour mettre en lumière un patrimoine archéologique et historique exceptionnel, classé au titre des Monuments historiques en 2013.Les objectifs du projetLe site du baptistère paléochrétien a été mis au jour il y a plus de 10 ans par une équipe de l’Institut National de recherches archéologiques préventives (INRAP). Identifié dans un état de conservation exceptionnel, l’ensemble architectural dévoile une abside au centre de laquelle se trouve une grande cuve baptismale cruciforme, associé à un bassin cylindrique de moindre dimension.La municipalité a orienté son projet de valorisation et de conservation des vestiges archéologiques vers la création d’un petit Antiquarium, inspiré de celui de Séville.L’opération revêt plusieurs objectifs :Créer des espaces de médiations intérieurs et extérieurs pour favoriser la tenue de conférences, ouvrir ce patrimoine aux visites, favoriser la présentation des objets archéologiques et du sarcophage, situé à proximité et découvert en 1938 ;Créer un espace public apaisé, au cœur d’un quartier en pleine mutation, où beaucoup de projets urbains sont menés simultanément (un nouvel hôtel, les futurs locaux du CIAS, ou la construction du nouveau CampusPlex).Proposer un lieu ouvert, qui offrira un nouvel accès piéton entre le quartier Saint-Jean et le cours Napoléon.Les aménagements prévusLe projet, qui a été confié au groupement « Orma Achitettura-CGZ Architecte- Beaumeco-Sinetic-Ingenia », prévoit deux grands aménagements. Une salle de médiation patrimoniale et de conférence verra le jour au rez-de-chaussée de l’immeuble ALBAN, qui accueille déjà les locaux de la CAPA. À l’extérieur, l’ouvrage ouvert prévoit de mettre en valeur le baptistère et les vestiges, de jour comme de nuit, grâce à un éclairage spécifique. La structure qui viendra abriter les vestiges sera constituée d’une sous-face réalisée à partir de terre du Mont Gozzi, située dans la région ajaccienne. Par cette touche minérale, le but est de donner l’impression que la couverture est extraite du sol pour mieux mettre en valeur les vestiges antiques de la ville. Le site archéologique sera protégé par un revêtement en verre courbé, afin de pouvoir l’apprécier « à 360° ». Aux abords, des gradins positionnés à l’antique permettront d’ouvrir l’espace, avec la volonté de proposer un lieu de vie et d’échanges favorisant les rencontres culturelles et la contemplation du site archéologique.La fin des travaux est prévue pour le printemps 2022Le coût des travaux est évalué à 1,3 millions d’eurosFinancement :Dotation de soutien à l’investissement (Etat) : 60%Ville d’Ajaccio : 27%Agence de Tourisme de la Corse (ATC) : 13%
Il y a 4 ans et 62 jours

A peine préfigurée, la REP contestée

Pour de nombreux professionnels, le dispositif de l'Ademe s'avérerait coûteux et trop éloigné des réalités du terrain et des chantiers.
Il y a 4 ans et 62 jours

Projet de troisième ligne de métro à Toulouse : des travaux de forage rue Velasquez

Les travaux de forage dans la rue Velasquez sont en cours à Blagnac. Ils sont réalisés par la société Ginger.
Il y a 4 ans et 62 jours

Biarritz : 3,1 M€ consacrés au plan de réfection de la voirie 2021

Plusieurs travaux de voirie sont prévus cette année à Biarritz. La municipalité leur a réservé un budget de 3,1 M€, conformément à son plan d’investissement de réfection de voirie 2021.
Il y a 4 ans et 62 jours

Rétrospective: Hogna Sigurdardottir, moderne islandaise

Le groupement formé par Insolites Architecture, Corinne Vezzoni, Ilex et Tribu se voit confié la mission d’études, d’expertise et de conseil  pour le suivi de la mise en œuvre du plan guide du projet urbain de Gerland, à Lyon. Implanté sur plus de 700 hectares d'anciennes friches industrielles au cœur de Lyon, dans un secteur […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 62 jours

Le fisc peut "rectifier" toute vente immobilière

L'administration n'est pas tenue par le prix convenu par acheteur et vendeur, rappelle la Cour de cassation.En principe, les taxes et droits sont liés au prix exprimé dans l'acte, rappellent les juges, mais comme dans toute déclaration, le fisc peut décider d'une rectification si ce prix lui paraît insuffisant au regard du marché.La rectification peut avoir un coût important compte tenu du nombre de taxes liées à la vente immobilière. Lors d'une vente en effet, l'acquéreur paie les "frais de notaire", c'est-à-dire essentiellement les droits de mutation, alors que le vendeur peut être soumis à diverses taxes comme l'impôt sur l'éventuelle plus-value, à la CSG sur cette plus-value ou le cas échéant plusieurs taxes cumulées sur les terrains devenus constructibles.En théorie, le prix conclu devrait représenter le prix du marché puisqu'il s'agit de la "rencontre des volontés" des deux intervenants, selon les juges. Le vendeur cède au prix qui le satisfait, auquel il estime son bien, et l'acquéreur accepte au prix qu'il est prêt à payer.Cependant chacun peut avoir intérêt à minimiser le prix officiel et l'administration a le pouvoir de contrôler les actes qui servent de base à l'établissement des impôts et taxes, qu'il s'agisse d'une mutation à titre onéreux comme une vente, à titre gratuit comme une donation ou succession, ou d'une simple déclaration comme l'IFI.Il s'agit de vérifier que l'acte mentionne bien la valeur vénale de l'immeuble, c'est-à-dire le prix qui pourrait être obtenu à cette date par le jeu de l'offre et de la demande dans le marché réel. L'administration, pour appuyer son point de vue, doit fournir des "termes de comparaison", c'est à dire les prix déclarés lors de mutations comparables récentes, dans le même secteur.Le 27 juin 2018, la Cour de cassation a allégé les obligations des services fiscaux en la matière, expliquant qu'il s'agissait de comparer à des biens globalement semblables et non plus à des biens identiques ou "intrinséquement similaires".(Cass. Com, 20.2.2019, G 17-24.593).
Cimbat
Il y a 4 ans et 62 jours

Butte Rouge : une consultation, pourquoi faire ?

Trois ans après l'annonce de la démolition-reconstruction de la cité-jardin de la Butte rouge par la Ville de ...En savoir plus Cet article Butte Rouge : une consultation, pourquoi faire ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 62 jours

Oknoplast, un réseau premium qui ne cesse de grandir

Une croissance continue pour OknoplastLe groupe a été à même de maintenir ses campagnes promotionnelles en suivant le calendrier prévu avec une campagne promotionnelle de printemps, une sur l'automne et l'hiver. Ces prises de paroles ont été extrêmement bénéfiques pour conserver un lien avec le grand public afin de travailler la notoriété du groupe, mais également auprès des professionnels de la menuiserie qui sont toujours plus nombreux à le rejoindre.Cela s'est d'ailleurs révélé par un franc succès au niveau des volumes de commandes, ainsi qu'au niveau du nombre de nouveaux clients puisque le groupe a obtenu une croissance de +8% par rapport à 2019.Un réseau qui s'étoffe sur le territoire nationalOknoplast a enregistré 17 nouveaux partenaires Premium depuis le début de l'année 2020 montant ainsi le nombre de partenaires à 209 revendeurs sur le territoire national. Le groupe compte bien poursuivre sur cet élan pour les années à venir.Oknoplast vous invites à découvrir le portrait d'un de ses nouveaux partenaires, Monsieur Mickael Ruz de la Société MRM sur Saint-Gaudens (31) :Depuis combien d'années votre entreprise existe ?J'ai créé ma société il y a 8 ans en tant qu'auto-entrepreneur. Au fil des années, l'entreprise a bien grandit. Je me suis alors entouré de poseurs dans un premier temps afin de répondre à la demande sur notre secteur. Depuis maintenant deux 2 ans, j'ai souhaité prendre une toute nouvelle orientation en intégrant la vente de notre propre sélection de produits. La société MRM s'est alors solidement agrandie et compte aujourd'hui 12 collaborateurs : 2 commerciaux, 1 directrice commerciale, 1 assistante de direction, 1 apprentie commerciale, 1 chargé d'affaire sur la partie isolation, 2 équipes de pose et 1 métreur.Comment avez-vous découvert OKNOPLAST ?J'ai découvert les produit OKNOPLAST grâce à leur première campagne publicitaire TV. J'ai alors entrepris des recherches sur internet afin d'en apprendre un peu plus sur le groupe, leurs gammes et les avis qui pouvaient circuler sur les produits. J'ai alors pris contact avec le commercial en charge du secteur sud-ouest d'OKNOPLAST afin d'obtenir une présentation de l'entreprise et ses produits.Qu'est-ce qui vous a séduit dans le partenariat premium proposé par OKNOPLAST ?J'ai eu un très bon feeling avec mon interlocuteur commercial. Une présentation claire et complète d'OKNOPLAST, ses produits, son réseau, sans aucune sensation de forcing. Notre collaboration a débuté avec 1 à 2 commandes afin de tester les produits et d'éprouver la pose et le service logistique. Mon équipe de pose et moi-même avons validé les tests, qui ont été vraiment concluants et satisfaisants. Souhaitant conforter mon choix d'aller plus loin dans la collaboration avec OKNOPLAST j'ai participé à l'une des visites usine proposée par le groupe. J'ai ainsi pu en apprendre plus sur OKNOPLAST, sa structure et son organisation. Mon souhait n'était absolument pas d'aller chercher du prix. Ce que je souhaitais avant tout, c'était de trouver un fabricant qui m'accompagnerait avec des produits de qualité, une offre complète et des services qualitatifs. Et c'est ce que j'ai trouvé avec OKNOPLAST.Comment s'est passée votre intégration au sein du réseau ?L'intégration au sein d'OKNOPLAST est agréable et plutôt simple. De nombreux outils sont mis à notre disposition pour nous aider au quotidien comme My Oknoplast qui nous permet d'avoir un suivi en ligne simple et rapide sur nos commandes, nos livraisons, nos demandes SAV, les retours de palettes, les commandes d'outils marketing, etc… Notre commercial nous accompagne sur la mise en place de l'Atelier Oknoplast afin de donner naissance à un véritable showroom en partenariat avec le groupe. Nous avons également pu bénéficier de formations à Rennes au siège avec Monsieur Jean-Luc Schlosser. L'occasion pour mon équipe et moi-même de rencontrer les collaborateurs du pôle de la filiale France, aussi bien les techniciens, que le service administration des ventes et le marketing. Nous conservons un lien de proximité avec notre commercial qui vient régulièrement nous voir et avec qui nous avons un soutien constant dans la recherche éventuelle de solutions en cas de problèmes mais également pour faire naître des évolutions en réponse aux nouveaux projets à venir.Quelles sont vos premières impressions après ces premiers mois depuis la mise en place de votre collaboration avec le groupe ? Et que pouvons-nous vous souhaiter pour la suite ?Nous sommes très satisfaits de cette collaboration pour le moment. Nous avons reçu un bon accompagnement lors de notre intégration dans le réseau ce qui fut très appréciable. A présent, nous espérons pouvoir continuer de grandir, gagner de plus en plus de parts de marché sur notre secteur afin de venir y ouvrir de nouvelles agences.
Il y a 4 ans et 62 jours

Nouvel enduit de rénovation de façade 2 en 1

Pour compléter son offre et pour répondre à la demande spécifique de chantiers parisiens et franciliens SAINT-ASTIER propose “PC TEINTÉ”, un mortier plâtre chaux teinté 2 en 1 pour enduire, restaurer les maçonneries hourdées au plâtre et créer des moulures, des bandeaux et chaîne d’angles de façade. Le nouveau mortier assure à la fois la sous-couche et la finition pour un gain de temps sur chantier. Imaginé pour faciliter son application sur les chantiers de rénovation, ce mortier s’utilise aussi bien en enduit de forte ou de faible épaisseur. Composé de chaux naturelle, de plâtre gros, il contient également du sable sélectionné de granulométrie 0/1 mm pour une finesse du résultat final sans égal. Les pigments minéraux présents dans sa composition lui confèrent une parfaite homogénéité de teinte dans sa masse. Il offre ainsi les couleurs subtiles du bassin parisien permettant de révéler le caractère de l’ouvrage qu’il recouvre. Une solution complète, facile à mettre en œuvre et à travailler sur chantier grâce à son ouvrabilité de deux heures selon les conditions climatiques. 
Il y a 4 ans et 62 jours

Une microexposition en vitrine au pavillon de l’Arsenal, à Paris

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 63 jours

Campagne ordinale 2021 : la liste Défense profession Architecte (DpA) prend la parole

Le second tour des élections ordinales va prendre fin le 8 mars 2021. Pour faire suite à l’entretien mené avec la liste Mouvement des Architectes publié dans le but de mobiliser l’électorat, nous donnons la parole à la liste Défense profession Architecte qui se présente également au Conseil régional de l’Ordre des architectes d’Île-de-France. La discussion a été menée avec Vanessa Fernandez, Marie-Jeanne Jouveau et Jean-François Parent candidats aux élections ordinales en...
Il y a 4 ans et 63 jours

Les différentes sortes de travaux de toiture

La toiture est une partie de la maison qu’il ne faut surtout pas négligée. Elle contribue au confort à l’intérieur de la maison, et assure même un rôle de protection. Lorsqu’elle est en mauvais état, plus de 30 % de la chaleur à l’intérieur du domicile s’échappe par ses parois. Il en va de même quand des matériaux inadaptés sont utilisés au cours de sa mise en place. En outre, des opérations de différentes natures peuvent être entreprises sur celles-ci. Justement, nous allons aborder les diverses formes que peuvent revêtir les travaux de toiture. Découvrez ! Le démoussage du toit De tous les éléments d’une habitation, le toit est le plus exposé aux agressions externes et à la pollution. Quand le revêtement vieillit ou lorsqu’il manque d’entretien, il prend une couleur verdâtre, grise ou noire. En effet, cela est dû à l’accumulation de résidus et au développement de champignons parasitaires (mousses, lichens, algues) à sa surface. Pour que la toiture retrouve son éclat, il faudra la nettoyer. Le démoussage est un terme utilisé pour désigner son nettoyage en général. Cela implique l’enlèvement des souillures qui la recouvrent. Pour ce faire, les professionnels se servent le plus souvent d’un nettoyeur à haute pression. L’utilisation d’un tel appareil n’est cependant possible que sur les toitures en bon état. La pose de nouveaux revêtements de toit Les tuiles et les ardoises s’usent avec le temps. Des fissures apparaissent et elles permettent les infiltrations d’eau. Pour redonner un coup de jeune à votre toit, la pose d’une nouvelle couverture s’impose. Toutefois, il faut remarquer que certaines démarches administratives sont requises selon les cas. Ainsi, si les travaux impliquent le remplacement de la couleur ou du modèle des tuiles, une déclaration préalable des travaux devra être déposée auprès de la mairie. Pensez donc à vous renseigner sur la démarche à accomplir avant d’entamer la moindre chose. A titre d’information, la rénovation de la toiture peut être complète ou partielle. En outre, il est conseillé de choisir un matériau qui sera adapté à votre type de charpente. En conséquence, il faut s’assurer que cette dernière est capable de supporter la charge des nouveaux revêtements. Quant à leur mise en place, l’idéal est de faire appel à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-22.fr/ . La mise en place des isolants Une toiture mal isolée ou non isolée occasionne des pertes énergétiques considérables. Il est donc préconisé d’investir dans l’installation des isolants. Cela permet d’éviter la surconsommation d’énergie. De tels travaux ont également une grande influence sur le confort à l’intérieur de la maison. Pour la pose des isolants, les couvreurs professionnels ont recours à deux techniques. Ils procèdent soit à une isolation thermique par l’intérieur (ITE), soit à une isolation thermique par l’extérieur (ITE). Cette deuxième méthode est la plus prisée du fait de son efficacité. Les travaux de gouttières Nous avons tendance à l’oublier, mais les gouttières font partie intégrante de la toiture. Elles constituent même des pièces maitresses, car elles participent à la protection de l’habitat. En effet, les eaux de pluie qui tombent sur la toiture finissent dans les gouttières. Elles les reçoivent et les acheminent le plus loin possible de la façade et des fondations. En l’absence des gouttières, la demeure subirait donc de sérieux problèmes d’infiltration d’eau et d’humidité. Toutefois, il ne suffit pas de les installer. Au même titre que la toiture, les gouttières nécessitent un entretien régulier.
Il y a 4 ans et 63 jours

Tours Duo : des équipements techniques à la pointe et une haute qualité de connectivité

Plafonds rayonnants, alimentation électrique haute tension, courants faibles et connectivité... Les Tours Duo ont servi de test pour mettre au point la certification R2S (Ready to Service) certifiée par Certivea.
Il y a 4 ans et 63 jours

Yoonseux Architectes : Groupe scolaire Élisabeth Badinter

L’agence d’architecture Yoonseux Architectes, fondée par le duo franco-coréen Kyunglan Yoon et Philippe Seux, vient de livrer le Groupe Scolaire Élisabeth Badinter, une intervention qui attire l’attention et contribue au renouveau de friches industrielles d’Asnières-sur-Seine (92). Implanté dans la ZAC Asnières - Bords de Seine sur d'anciens sites industriels, dans le secteur des Grésillons, le Groupe scolaire Élisabeth Badinter est bâtiment formant un socle surélevé signé B. Ropa (2013). À la demande de la Ville d’Asnières-sur-Seine, les architectes ont surélevé l’édifice, afin de mettre en évidence l’environnement bâti, le gabarit des lignes de toitures et l’architecture de l’établissement.La surélévation se développe en strates horizontales, qui s’accumulent verticalement et se décalent à chaque niveau vers l’Est. Les dix classes, l’atelier, la bibliothèque centre documentaire et les locaux annexes s’étagent désormais en terrasses successives du premier au troisième niveau. Le projet se déploie en trois strates horizontales : une bande de classes maternelles (R+1), une bande de classes élémentaires (R+2), ainsi qu’un un atelier lumineux et ouvert se prolongeant sur une terrasse extérieure (R+3). Subtilement conçue, la surélévation laisse un recul important à l’Ouest, et crée ainsi un front horizontal de constructions en balcon les unes sur les autres. Destiné à accompagner le renouveau du quartier des Grésillons, la surélévation du Groupe scolaire Élisabeth Badinter se démarque par la simplicité de ses volumes, le vocabulaire sophistiqué de ses façades et l’usage singulier de ses matériaux, ainsi que par ses espaces modulables. Le volume de l'atelier et l'échelle des volumes soulevés, par exemple, confèrent au projet sa forte identité. Volume flottant au-dessus du socle initial, la nouvelle architecture de l’établissement multiplie les expérimentations. Les matériaux, choisis selon la typologie des espaces, définissent à la fois le système fonctionnel et la contemporanéité de l’architecture, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’équipement. La palissade de béton percée et l’enveloppe en cuivre prennent des couleurs changeantes, tandis que les classes, très lumineuses, s’habillent de bois clair. Avec ce beau projet de surélévation, l’agence Yoonseux Architectes propose un équipement scolaire contemporain, chaleureux et ouvert, adapté aux nouvelles pratiques pédagogiques. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Yoonseux Architectes. Visuels : © Yoonseux ArchitectesLa rédaction
Il y a 4 ans et 63 jours

Xavier Niel va financer une école gratuite d'agriculture

L'objectif de cette école, qui verra le jour dans la commune de Lévis-Saint-Nom, est de former "un public adulte en reconversion professionnelle afin d'être salarié agricole ou repreneur" d'exploitation, a précisé la source."Il y aura tout un écosystème sur place, de startup, d'espaces partenaires, d'espaces d'expérimentation", a-t-elle ajouté, précisant que 2.000 personnes seront formées chaque année au sein de cette école baptisée "Hectar".Le magazine Capital a affirmé mercredi que le milliardaire - qui a déjà lancé l'école 42, une formation gratuite en informatique - sera associé à Audrey Bourolleau, ancienne conseillère agriculture d'Emmanuel Macron à l'Elysée."L'établissement sera semble-t-il opéré par une société créée pour l'occasion, S4H, au capital de 100.000 euros, détenue à 51% par Audrey Bourolleau et à 49% par NJJ Exclusive, la société personnelle de Xavier Niel", a détaillé le magazine.Avec une surface qui dépasse les 600 hectares, l'école comportera une cantine de 200 places, des cultures certifiées bio ou encore une laiterie qui produira du lait et du fromage.
Il y a 4 ans et 63 jours

Le logement social et la VEFA : deux outils indispensables dans la lutte contre la crise du logement

Cette étude intitulée « Construire Plus de logements sociaux grâce à la VEFA : une solution pragmatique à la Crise du Logement » permet de préciser la forme que prend la crise majeure du logement que subit la France depuis des décennies :La crise du logement, multiforme, est liée à la profonde mutation de la demande depuis 50 ans : développement de la décohabitation (baisse du nombre de personnes par foyers) qui a absorbé 60% de la construction, concentration des emplois et donc des besoins de logements sur certaines zones, recherche de davantage de confort qui attire la population vers certaines régions et des logements plus spacieux.L'offre de logement ne se développe pas assez vite pour s'adapter à la demande notamment dans les zones tendues.Les prix du logement (+ 114% de 2000 à 2019) s'élèvent plus vite que le revenu des ménages (+ 51 % de 2000 à 219).L'étude montre que pour faire face à ces crises : Le développement de l'habitat social est indispensable car il permet aux ménages modestes de faire face à la hausse des coûts avec des prix jusqu'à 3,7 fois inférieurs dans les zones tendues, mais le niveau de construction des HLM est insuffisant et pas assez concentré dans les zones avec la plus forte demande ;Le recours à la VEFA, parfois contesté par certains acteurs du logement, est un outil précieux pour construire des HLM en zone tendue et favoriser la mixité sociale. En 2019, 54% des logements sociaux ont été construits en VEFA, contre 3% seulement en 2007 .A terrain et coûts de construction identiques, la VEFA est plus compétitive que la maîtrise d'ouvrage directe, avec des prix de revient jusqu'à 6,1% inférieurs Le plafonnement des prix de la VEFA pratiqué par certaines collectivités est contre-productif et limite la part des logements sociaux dans les programmes.« Cette étude montre avec une rigueur impressionnante l'étendue et la gravité de la crise du logement que traverse la société française depuis des décennies. Elle montre aussi à quel point le logement social est indispensable pour répondre à l'étendue des besoins de la population de notre pays. Plus que jamais, la mobilisation pour le logement pour tous passe par l'utilisation de tous les outils disponibles et notamment la VEFA qui est un instrument souple et efficace pour développer des programmes de logements adaptés aux spécificités de chaque agglomération » déclare Hervé Legros, président du groupe ALILA.« Le succès de la VEFA sociale s'explique aisément : il s'agit du levier idéal pour construire plus, plus dense, aux meilleurs endroits, à coûts maîtrisés et avec plus de mixité »Nicolas Bouzou, directeur du cabinet AsterèsPrincipaux chiffresSynthèse de l'étude Les mutations de la société entrainent une crise multiforme du logementL’étude revient sur les mutations qui traversent la société depuis 50 ans et qui provoquent une évolution structurelle de la demande :Certains territoires attractifs, comme les métropoles dynamiques en termes d’emploi et leurs périphéries connaissent un accroissement de la demande et des besoins de logements neufs. A l’opposé, certains territoires se caractérisent par une baisse globale de la demande, entraînant une hausse du taux de logements vacants parmi le parc ancien.La hausse de la demande de logements est structurellement supérieure à celle de la population, notamment à cause du phénomène de décohabitation, c’est-à-dire la baisse du nombre moyen de personnes vivant sous le même toit (à cause du vieillissement, de la montée du célibat, des séparations), qui a absorbé 60% de la construction de logements depuis 1968.Les ménages recherchent un plus grand confort, cherchant à s’installer dans les régions de l’arc atlantique et méditerranéen, et ayant des exigences plus hautes en matière de qualité de logement, avec un développement de l’habitat individuel et la hausse des surfaces habitables. Or, plus que d’autres pays, la France se caractérise par la faible réaction de l’offre à la demande : lorsque celle-ci croît de 1,0%, le nombre de logements nouveaux n’augmente que de 0,36% (contre 2% aux États-Unis, et + de 1% en Suède), en raison notamment de la pénurie de foncier disponible dans les zones les plus tendues, et de la concurrence avec l’immobilier tertiaire ou les résidences secondaires. En conséquence, le prix de l’immobilier croit plus rapidement que le revenu des ménages.L’habitat social, qui constitue une réponse pertinente a cette crise, éprouve des difficultés a ajuster son offre en zone tendueLe mouvement de l’habitat social constitue une réponse pertinente à la crise du logement et à la hausse des prix qu’elle entraîne. Il permet aux ménages modestes de se loger pour des prix jusqu’à 3,7 fois inférieurs au prix de marché dans les zones tendues, mais aussi d’accéder à la propriété grâce aux 13 000 cessions par an.Mais les nouveaux logements sociaux sont trop peu construits là où se situent les besoins :53% des mises en service de logements sociaux neufs se trouvent dans les zones tendues, alors que 73% de la demande s’y concentre. En conséquence, les délais d’attente s’allongent et les ménages les plus modestes sont exclus des zones les plus recherchées.Face à cette difficulté, la VEFA est un levier efficace pour construire plus vite et favoriser la mixité socialeLa VEFA (Vente par des promoteurs privés de logements en l’état futur d’achèvement) est désormais le principal mode de production d’habitat social, puisqu’en2019, ce mode de maîtrise d’ouvrage représente 54% des constructions, contre 3% seulement en 2007.La VEFA HLMcentrée sur le logement social, permet de construire plus rapidement, grâce à des procédures plus légères. Les économies réalisées permettent d’acquérir des terrains plus recherchés et plus chers.En parallèle, les promoteurs privés peuvent développer du logement social au sein de grands projets d’aménagement comportant à la fois commerces et équipements, logements libres et logements sociaux.C’est le principe de la VEFA diffuse, qui apparaît comme le meilleur outil pour permettre aux collectivités locales d’atteindre l’objectif de mixité sociale fixé par la loi, Solidarité et renouvellement urbain (SRU) qui impose un taux minimal de 25% de logements sociaux. Hors charge foncière, le cout de revient de la VEFA est moins élevé que celui de la maitrise d’ouvrage directeEn moyenne nationale, les prix de la VEFA sont supérieurs à ceux de la MOD (Maîtrise d’Ouvrage Directe) mais cela s’explique uniquement par le coût du foncier. Les promoteurs privés construisent dans des régions et des endroits plus recherchés, avec un foncier plus cher pour maximiser le bénéfice de la vente. A l’inverse, les bailleurs sociaux privilégient des terrains moins onéreux, le plus souvent cédés par des collectivités locales ou des établissements publicsA terrain et coût de construction identiques, la VEFA est plus compétitive que la maîtrise d’ouvrage directe, avec des prix de revient inférieurs de 3,6% à 6,1% selon les zones. Cette différence de prix s’explique par deux facteurs principaux : Les conditions de financement, plus favorables pour les promoteurs privés puisque leurs projets sont rapidement amortis car destinés à la vente à un tiers dès la construction ;les procédures réglementaires que suit la MOD qui affectent les coûts et la rapidité d’exécution (un concours d’architecte prend ainsi 6 à 8 mois).La différence de coût entre VEFA et MOD permet au promoteur d’appliquer sa marge commerciale en conséquence, sans pour autant devenir plus cher que les bailleurs sociaux. Le plafonnement des prix de la VEFA HLM risque de conduire a la baisse de l’offre socialeL’étude montre également que la pratique par les collectivités de prix plafonds de la VEFA HLM, dans l’espoir de diminuer les prix du marché, risque d’aboutir à une diminution du volume de l’offre sociale.En effet, les promoteurs qui subissent ce plafonnement ne sont pas responsables de l’évolution de la hausse des prix du marché : les coûts du terrain, du bâti, et des prix de vente du libre s’imposent à eux. Les prix fonciers connaissent une hausse constante, même en cas de ralentissement de la conjoncture.Leur niveau de marge ne peut que faiblement être révisé à la baisse puisque les banques refusent d’accorder leur financement à des projets qui ne seraient pas assez rentables. La seule conséquence rationnelle d’un plafonnement des prix de la VEFA HLM serait une diminution de la proportion des logements sociaux que les promoteurs pourraient construire dans le cadre d’un projet mixte.Le modèle théorique construit par Asterès chiffre l’hypothèse de diminution de la proportion de logements sociaux pour un projet donné.En appliquant ce modèle à un échantillon de huit collectivités territoriales situées en zone tendue et qui ont effectivement imposé des prix plafonds inférieurs de 55% en moyenne à ceux du libre, Asterès chiffre à 27 points la baisse de proportion envisageable du nombre de logements sociaux (de 50 à 23%), pour des programmes comportant initialement autant de libre que de social.
Il y a 4 ans et 63 jours

Les acteurs de la menuiserie travaillent à la collecte des fenêtres en fin de vie

RECYCLAGE. L'union des fabricants de menuiseries (UFME) assure accélérer la mise en place d'un réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres en fin de vie.
Il y a 4 ans et 63 jours

Un nouveau directeur marketing, achats, digital et expérience client pour VM

CARNET-NOMINATION. Matthieu Durand devient le nouveau directeur marketing, achats, digital et expérience client de VM, distributeur de matériaux de construction.
GDA
Il y a 4 ans et 63 jours

Planet SN – Pour rendre les portes coulissantes tout simplement étanches

Les joints à abaissement au niveau des portes intérieures augmentent sensiblement le confort de l'habitat privé. En effet, si l'interstice entre le vantail de porte et le sol est comblé par un joint à abaissement, la protection phonique, l'atmosphère intérieure et la convivialité s'améliorent comme par magie.
Il y a 4 ans et 63 jours

Le transport fluvial de marchandises a fait preuve de "résilience" en 2020

BILAN. Après un exercice 2019 marqué par une forte croissance, Voies navigables de France a vu ses résultats se rétracter en 2020 pour se rapprocher de leur niveau de 2018. Les matériaux de construction, première filière utilisatrice du transport fluvial de marchandises, ont contribué à ces mauvais chiffres.
Il y a 4 ans et 63 jours

Savamment restaurée, cette maison ancienne gagne... 180 m2

AMBITIEUX. Cette maison ancienne s'est offert une époustouflante cure de jouvence. Restaurée avec minutie pour en préserver le caractère historique, elle s'est également agrandie grâce à un nouveau volume, habilement construit à l'arrière.
Il y a 4 ans et 63 jours

BNP Paribas Real Estate se réorganise pour mieux coller à la réalité

CARNET-NOMINATION. La filiale de promotion de la banque française fusionne plusieurs de ses branches, pour "mieux servir ses clients" sur des projets urbains devenus "toujours plus mixtes et hybrides".
Il y a 4 ans et 63 jours

A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable

Question « esthétique », la mairie de Paris se pose là. De fait, jamais l’usage des palettes et autres éléments de récup’ – pardon de réemploi – n’a depuis la Biennale de Venise en 2018  trouvé plus éclatante démonstration que dans la capitale. Explications. Dans un entretien accordé au magazine Grand Paris Développement (N° 35, novembre 2020), […] L’article A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

La maison individuelle, l’indépassable modèle hasardeux

Quand la bamboche était possible, dans le monde d’avant, il était fréquent que le logement, la qualité de vie des quartiers, les prix de l’immobilier s’invitent dans les conversations. Aujourd’hui c’est encore et toujours le cas. Les gens comparent les confinements en fonction de leur condition de vie, donc de leur logement. Bref, confiné ou […] L’article La maison individuelle, l’indépassable modèle hasardeux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

Epiphragme et glossaire à la mode

C’est un des effets de l’évolution urbaine de n’être possible, réglementation thermique après réglementation thermique, que grâce à l’apport d’inflexions administratives. De la génétique comportementale des fonctionnaires ? Les stratégies du vivant pour lutter contre les évolutions, notamment les changements climatiques, sont nombreuses et variées selon les espèces. Plus ou moins rapides, selon la sophistication de […] L’article Epiphragme et glossaire à la mode est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

Un nouveau visage pour le stade Yves-du-Manoir de Colombes

Le mythique stade francilien connaîtra en 2024 ses deuxièmes Jeux olympiques en accueillant les épreuves de hockey sur gazon des Jeux de Paris 2024.
Il y a 4 ans et 63 jours

La réforme d'Action Logement devrait être fixée fin avril

LOGEMENT SOCIAL. La ministre du logement et les dirigeants d'Action Logement se sont retrouvés, sur le terrain, pour montrer leur volonté d'aboutir à une réforme de la gouvernance de l'organisme paritaire. Les discussions commencent cette semaine.
Il y a 4 ans et 63 jours

DPE : pour Équilibre des Énergies, le gouvernement doit admettre que la meilleure énergie est celle qui n’émet pas de CO²

« Le nouveau DPE considère enfin les émissions de CO², c’est une avancée importante. Mais le compte n’y est pas. La nouvelle échelle du DPE n’est pas en ligne avec l’objectif de neutralité carbone et des logements pourront continuer à sortir du statut de passoire thermique en passant de l’électricité au gaz ».Brice Lalonde, président de l’organisation Équilibre des Énergies et ancien ministre de l’Environnement Le diagnostic de performance énergétique prend enfin en compte les émissions de CO² des logementsAvec le nouveau DPE, le gouvernement met fin aux errements de la politique suivie depuis des années consistant à évaluer la performance des logements en fonction de leur seule consommation d’énergie primaire. La prise en compte dans la nouvelle échelle de performance des émissions de CO² est une avancée qu’Équilibre des Énergies préconisait depuis des années et qu’il faut saluer.Théoriquement, si un propriétaire souhaite que son logement soit bien classé dans le DPE, il devra faire en sorte qu’il ait à la fois de faibles émissions de CO² et consomme peu d’énergie. Mais le gouvernement reste très laxiste sur l’échelle climatParadoxalement, alors que le gouvernement veut prendre des mesures supplémentaires pour lutter contre le dérèglement climatique, la nouvelle échelle proposée pour les émissions de CO² est assouplie d’environ 30% par rapport à l’échelle actuelle. Elle a été calée pour conforter le positionnement des logements chauffés au gaz dans le DPE et institue ainsi une sorte de droit à émettre à leur profit.Au lieu d’inciter tous les logements à progresser vers la neutralité carbone, l’échelle Climat n’aura qu’un effet illusoire et n’invitera pas les Français à s’orienter vers des solutions bas-carbone. C’est donc à un recalage de l’ensemble de l’échelle carbone auquel il faut procéder sur la base des considérations suivantes : L’étiquette A devrait être réservée aux logements très performants, c’est-à-dire aux logements neufs qui en 2050, permettront d’assurer la neutralité carbone. Le seuil carbone ne devrait pas excéder 3 kg de CO²/m².an L’étiquette B devrait représenter l’objectif à atteindre par les logements existants après rénovation complète et servir de base à l’octroi du label BBC Rénovation. Pour les autres étiquettes, l’ambition climatique doit aussi être revue à la hausse afin d’éviter les rénovations à contre-courant de la volonté de décarbonation et de sobriété. Ainsi, avec le nouveau DPE, un logement chauffé à l’électricité peut sortir de la catégorie des passoires thermiques, étiquette F ou G, avec la simple installation d’une chaudière à gaz. Cette pratique récurrente, qui dégrade les émissions de CO² et n’amène pas à un renforcement de l’isolation, doit impérativement cesser. Équilibre des Énergies estime qu’entre le discours tenu par le gouvernement en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et les modalités effectives de ce nouveau DPE, le fossé doit impérativement être comblé. Équilibre des Énergies formule quatre propositions :Revoir les échelles de changement d’étiquette carbone de façon à leur donner une signification réelle. En particlier la fixation des seuils de passge dans la catégorie des « passoires thermqies » à 350 kWhep/m².an (dont 20 kWh au titre des usages non pris en compte antérieurement) et 60 kg CO²eq/m².an serait un pas dans la bonne direction et éviterait d’avoir des étiquettes Climat vides de sens. Redéfinir le label BBC Rénovation sur la base de l’étiquette B du nouveau DPE, complétée une exigence de consommation d’énergie finale < 60 kWhef/m².an ; Instaurer une clause de non-augmentation des émissions de CO² comme préalable à l’octroi de tout soutien public à la réhabilitation thermique des logements ainsi qu’à la sortie du statut de passoire thermique ; Mettre en harmonie les exigences de la RE2020 avec l’étiquette A du nouveau DPE en introduisant dans la RE 2020, pour tous les logements neufs y compris les logements collectifs, une cible d’émission de 4 kg CO²eq/m². an1, au plus tard à l’horizon 2028.1 Les m² sont calculés différemment entre la RE 2020 et le DPE
Il y a 4 ans et 63 jours

Les chefs d'entreprises n'ont jamais été aussi fatigués et stressés qu'avec le Covid

SANTÉ. L'épuisement des chefs d'entreprises a atteint un niveau record à cause de la crise sanitaire et économique du Covid, d'après une enquête sur la santé des dirigeants réalisée par l'Observatoire Amarok. L'apparition inédite d'un "syndrome d'empêchement" est également mis en avant dans l'étude, et s'explique par un fort sentiment d'impuissance et une vigilance considérablement réduite.
Il y a 4 ans et 63 jours

Les destins contrariés de Michel Guy et Françoise Giroud à la Culture

Avec Valery Giscard d’Estaing, la culture descend d’un cran. Malraux était ministre d’État, à ce titre numéro 2 du Gouvernement. Sous Giscard, Michel Guy, horticulteur de formation, et Françoise Giroud ne seront que secrétaires d’État. Place aux duettistes de la rue de Valois, qui tiendront 26 mois pour le premier, sept mois seulement pour la [&#8230;] L’article Les destins contrariés de Michel Guy et Françoise Giroud à la Culture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

International Writer’s Day à la fondation Jan Michalski

À chacun son « jour international ». Hier, mercredi 3 mars, était célébré le « International Writers' Day ...En savoir plus Cet article International Writer&rsquo;s Day à la fondation Jan Michalski est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 4 ans et 63 jours

Entre l’espace et le temps | Impressions optiques

L&#8217;architecture, sous toutes ses formes, est essentiellement un artefact, c&#8217;est-à-dire une construction artificielle. Elle participe à la fois aux sphères temporelle et spatiale et, en conséquence, procède de séquences embarquées qui fusionnent le temps et l&#8217;espace. Chroniques photos d’Erieta Attali. Le but de l’investigation photographique est d&#8217;explorer les relations entre le temps et l&#8217;espace. Le [&#8230;] L’article Entre l’espace et le temps | Impressions optiques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

L’Office Public d’Aménagement et de Construction de l’Oise rénove un immeuble à Sérifontaine

Un immeuble hébergeant quatre familles se refait une beauté dans la commune de Sérifontaine.
Il y a 4 ans et 63 jours

Bilan et perspectives FEEBAT : un engagement affirmé au service de la formation à la rénovation énergétique

1 – Objectif formations initialesLes importants travaux conduits en 2020 vont déboucher en 2021 sur la conception de parcours de formation de grande envergure, destinés aux enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP*.Les enjeux de la formation initiale à la rénovation énergétique, toutes voies confondues (scolaire, apprentissage, etc.), sont cruciaux. Bien former les enseignants et formateurs et leur donner tous les moyens de transmettre, à leur tour, aux futurs professionnels du bâtiment et de l'architecture sont des objectifs majeurs pour FEEBAT. Le défi est de taille car il s'agit de créer des formations ex nihilo. Depuis 2018, FEEBAT travaille à l'élaboration de ces nouveaux programmes de formation. Deux années de travaux collégiaux, menés avec des experts métiers, pédagogiques, techniques, les ministères et partenaires concernés, etc. ont permis de lancer deux consultations. En ligne de mire : la construction en 2021 des premiers dispositifs de formation pour les enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP ; la conception des ressources pédagogiques qu'ils pourront utiliser auprès de leurs élèves, apprentis ou étudiants. À titre d'exemple :Plus de 140 formations concernées par FEEBAT ont été identifiées pour les lycées et CFA. Un groupe de travail a réfléchi à la prise en compte de la rénovation énergétique dans les examens des niveaux CAP, Bac professionnel et BTS ;Quant à l'enseignement de l'architecture, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, déclarait il y a quelques semaines qu'il devait s'adapter, notamment aux implications de la transition énergétique**. Le programme FEEBAT répond parfaitement à ces attentes. Les formations, qui intègrent l'écosystème des ENSAP, seront déterminantes pour que les futurs architectes conçoivent ou réhabilitent des édifices intégrant les exigences de la transition énergétique.2 – De nouveaux modules innovants pour les professionnels en activité2020 aura été une année de fortes innovations pour la formation à la rénovation énergétique, avec AUDIT Reno pour les entreprises et les artisans, et DynaMOEpour les architectes et maîtres d'œuvre. Conçus dans un souci de qualité pédagogique et de modalités adaptées au contexte actuel, ces modules sont disponibles sous plusieurs formats, mixant présentiel et distanciel ou 100% distanciel.« Toutes les modalités (classes virtuelles, jeux de rôle, quizz, travail individuel et débriefing collectif, échanges entre apprenants et formateur, etc.) sont mobilisées pour favoriser une pédagogie active, adaptée au distanciel » selon Catherine Gillet, pilote de FEEBAT. Organismes de formation et formateurs ont par ailleurs bénéficié d'un accompagnement renforcé : mise à disposition de ressources pédagogiques, sessions d'appropriation, jurys de formateurs, etc. et continuent d'être animés par le programme FEEBAT. Pour 2021, FEEBAT travaille sur d'autres modules de ce type parmi lesquels des formations pour les entreprises et artisans en Outre-Mer et un module pour les architectes portant sur l'audit énergétique en copropriété, là où l'audit n'est pas obligatoire.3 – L'atout FEEBAT : la prise en charge des formationsMalgré le contexte sanitaire, ce sont plus de 3 000 stagiaires (chiffre non définitif) qui auront vu leur formation prise en charge en 2020 par FEEBAT dans le cadre du dispositif des CEE. Depuis 2020, en partenariat avec Qualit’EnR, FEEBAT accompagne aussi financièrement la formation des professionnels aux Énergies Renouvelables thermiques (EnR). Alors qu’aujourd’hui, seul un stagiaire sur cinq bénéficie du co-financement possible de sa formation par le programme FEEBAT, cette nouvelle incitation pour les EnR vient renforcer celles déjà en vigueur pour les modules FEEBAT hors EnR. La prise en charge, complémentaire aux conditions en vigueur au sein des OPCO et FAF, s’élève ainsi à : 30% pour les professionnels cotisant à Constructys et au FAFCEA ;50% pour les professionnels libéraux cotisant au FIF PL.En savoir plus : https://www.feebat.org/aides/financer-ma-formation/* École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage** Le 15 janvier 2021, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, a indiqué que « l’enseignement de l’architecture dans sa formation initiale doit également s’adapter aux évolutions de la société et aux besoins de la profession ». Les architectes doivent « être encore mieux préparés à l’exercice concret de leur métier en particulier pour ce qui relève des implications de la transition énergétique. L’intégration de ces nouveaux enseignements devra bien sûr être pensé dans une vision globale de l’évolution de la pédagogie en école d’architecture ».
Il y a 4 ans et 63 jours

Gamme O’ d’Alkern pour voiries drainantes

Alkern présente la gamme O’ pour voiries drainantes avec les dalles d’infiltration. [©Alkern] Les solutions en béton d’Alkern pour perméabiliser les espaces publics. Qu’ils soient dédiés au trafic de véhicules, au stationnement ou à un usage piétonnier, sont regroupées au sein de sa gamme O’, dont les dalles d’infiltration (Hydrodalle et Betogreen). Grâce aux alvéoles qui les composent, les dalles d’infiltration en béton offrent des zones perméables, drainantes, végétalisables. Et donc aptes à lutter contre les îlots de chaleur.  Hydrodalle et Betogreen, 2 dalles d’infiltration Utilisée en module complet (50 cm x 25 cm x 13 cm) ou en demi-dalle (25 cm x 25 cm x 13 cm), la dalle Hydrodalle stabilise tous les espaces urbains. Tout en affichant un coefficient de perméabilité performant (K > 65 000 l/s/ha en remplissage par gravillons). Manuportable et facile à mettre en œuvre, cette dalle s’adapte à tous les projets paysagers. Puisque ses alvéoles peuvent être engazonnées ou emplis de gravillons. En plus de sa fonction stabilisante, Hydrodalle assure une perméabilité importante (35,8 % de vide) et permet de créer une délimitation aisée des espaces en mixant les matières.  Quant à la dalle Betogreen, elle est idéale pour stabiliser et végétaliser des zones carrossables. Tout en leur conservant un haut coefficient de perméabilité&nbsp;de K > 1 530 l/s/ha, lorsque la dalle est végétalisée. Ou de K > 41 800 l/s/ha, lorsque les alvéoles sont remplies de gravillons. Grises et déclinées en deux versions Betogreen O et Betogreen C, les dalles Betogreen sont faciles à entretenir.
Il y a 4 ans et 63 jours

Immobilière 3F : 87 logements dans la Zone d’Aménagement Concerté de l’écoquartier du Louvres, livrés en janvier 2021

Un lot de 87 nouveaux logements est disponible depuis janvier 2021 dans la Zone d’Aménagement Concerté de l’écoquartier du Louvres.
Il y a 4 ans et 63 jours

Les architectes acteurs impuissants et contemplateurs enchaînés ?

De quoi l’intelligence artificielle dans le bâtiment est-elle le nom&#160;? Tom Benoît, philosophe* à Marseille, s’est penché, dans le cadre d’une commande, sur l&#8217;intelligence artificielle dans l&#8217;architecture. Tribune. Rivalités des intelligences et incapacités des aptitudes – architectes, artistes, habitants, spectateurs ; acteurs devenus impuissants et contemplateurs enchaînés. L’intelligence artificielle n’est vraisemblablement pas subordonnée au pouvoir [&#8230;] L’article Les architectes acteurs impuissants et contemplateurs enchaînés ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 63 jours

Mennecy : travaux en cours pour la réhabilitation du gymnase Guitton

En Essonne, le gymnase René Guitton, à Mennecy, fait l’objet de travaux de réfection de toiture et de réhabilitation partielle.
Il y a 4 ans et 63 jours

Roland Le Roux, Président de BTP Consultants, parie sur le diagnostic immobilier

N&eacute; en 1996, le Groupe BTP Consultants s&rsquo;appuie sur une nouvelle gouvernance &agrave; compter du 1er mars 2021. Roland Le Roux, nouveau pr&eacute;sident, nourrit une forte ambition sur le diagnostic immobilier.
Il y a 4 ans et 63 jours

Le transport fluvial de marchandises en repli en 2020

Au total, 50,4 millions de tonnes ont été transportées (-10,6% sur un an) sur les 6.700 km du réseau géré par VNF, contre 56,3 millions en 2019, année qui avait été marquée par une forte croissance du transport fluvial.En tonnes-kilomètriques, -soit le nombre de tonnes transportées multiplié par le nombre de kilomètres parcourus-, le trafic a baissé de 11,5% par rapport à l'année précédente, et reste légèrement en deçà de son niveau de 2018 (6,7 milliards de t-km à l'époque, contre 6,5 en 2020), a détaillé l'établissement dans un communiqué.Premier utilisateur de la logistique fluviale avec près de 45% des volumes transportés en 2020, le transport des matériaux de construction a été fortement pénalisé (-11,8% en volumes) par l'arrêt des chantiers lors du premier confinement de mi-mars à mi-mai l'an passé.Deuxième activité du trafic fluvial, le transport de céréales a reculé de 8% en 2020, mais se maintient à un niveau supérieur à celui de 2018, malgré une mauvaise récolte céréalière au second semestre.Le repli des échanges internationaux sur fond de crise sanitaire a également plombé le trafic avec une baisse - toujours en volumes- de 17,4% des marchandises exportées et de 8,8% pour celles importées.Par bassins, le trafic dans le nord de France est en hausse de 4,7% en t-km, porté par l'activité du port de Dunkerque sur les céréales et les produits pétroliers, tandis que les bassins de la Seine (-9,2% en t-km) et l'axe rhénan (-17,4% en t-km) ont subi la baisse des échanges internationaux.
Il y a 4 ans et 63 jours

Propriétaires bailleurs : une enquête de l’Anil sur les freins aux travaux

L&rsquo;Anil* a engag&eacute;, avant la r&eacute;forme de MaprimeRenov (1), une &eacute;tude destin&eacute;e &agrave; mieux comprendre le comportement des bailleurs du parc priv&eacute; vis &agrave; vis des travaux.