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Toute l'actualité du bâtiment

255045 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 64 jours

L’électricité renouvelable couvre un quart de la consommation

La puissance totale du parc électrique EnR – hydroélectricité, éolien, solaire photovoltaïque, et bioénergies confondus – s’élève, fin 2020 à 55 906 MW. Cela représente une hausse de 2 039…Cet article L’électricité renouvelable couvre un quart de la consommation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 64 jours

Appel à innovation « matériaux biosourcés »

Après un premier brief sur la filière béton ainsi qu’un book innovation, le hub des prescripteurs bas carbone veut décrypter la filière des matériaux biosourcés sous l’angle de la neutralité…Cet article Appel à innovation « matériaux biosourcés » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 64 jours

Lancement de la construction du parc éolien en mer du Calvados

D’une capacité de 448 MW, le projet du parc éolien en mer du Calvados est composé de 64 éoliennes localisées à plus de 10 km au large des côtes du Bessin, sur une surface d’environ 45 km².
Il y a 4 ans et 64 jours

Cromology étend Rekupo, son service de collecte gratuite des déchets de chantier

Le groupe spécialisé dans la peinture déploie une offre ambitieuse pour la récupération des déchets, classés dangereux par la réglementation.
Il y a 4 ans et 64 jours

TAM Groupe, le dernier né du béton français

Les quatres entreprises françaises de béton Technique Béton, Arteon... Cet article TAM Groupe, le dernier né du béton français est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 64 jours

Report de l’édition EnerJ-meeting Paris

Les conditions sanitaires et les restrictions actuelles ne permettent pas de prévoir avec sérénité l’édition du 15 avril. L’ADN d’EnerJ-meeting est basé sur la rencontre – le meeting – autour…Cet article Report de l’édition EnerJ-meeting Paris est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Cimbat
Il y a 4 ans et 64 jours

L’Ademe préside le Club EnR

Le Club EnR, est un réseau qui rassemble 25 agences nationales de maîtrise de l’énergie, chargées de programmes nationaux de recherche, de développement, de démonstration ou de diffusion dans les…Cet article L’Ademe préside le Club EnR est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 64 jours

La délicatesse de l'hospitalité, 30 habitation de transition à Stains par OBOH

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 64 jours

A Lyon, laboratoires et bureaux pour l’ANSES & ANSM, signés Pargade

Ce projet de 9 700 m² (SDO) et 75 places de parking au sous-sol (estimatif travaux : 24.8M€ HT) concerne le regroupement des agences de l’ANSES Lyon, de l’ANSM Lyon et de l’ANSM St-Denis au sein d’un équipement neuf. L’ouvrage proposé par Jean-Philippe Pargade Architectes (mandataire) et Moon Safari (associé) entend exprimer par son architecture […] L’article A Lyon, laboratoires et bureaux pour l’ANSES & ANSM, signés Pargade est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 64 jours

Rassemblement à Paris contre la gare du Triangle de Gonesse "au milieu des champs"

Sur la place Stalingrad (XIXe arrondissement de Paris), de nombreuses personnalités politiques de gauche et écologistes ont apporté leur soutien au Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Aux pancartes "Gare de Gonesse, laisse béton", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Front de Gauche."Protégeons les terres de Gonesse", a déclaré Clémentine Autain, la députée LFI, lors du rassemblement."On projette dans nos imaginaires des centres commerciaux dont on a plus besoin. On a besoin de terres fertiles en Ile-de-France, car seuls 2% des produits que l'on mange proviennent de cette région", a ajouté la députée de Seine-Saint-Denis.Selon Mme Autain, il s'agit "d'une bataille politique" qui doit s'opposer à celle de la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse (Libres!), qui est "une droite libérale productiviste qui signe les accords de Paris et détruit des terres".Pour la sénatrice EELV Esther Benbassa, "la gare égarée au milieu des champs ne sert pas aux habitants.""L'enjeu est de mettre de l'argent dans les transports du quotidien, qui sont le RER B et D", a expliqué Carlos Bilongo, militant et professeur en économie.Lors du rassemblement, les citoyens qui ont occupé la ZAD de Gonesse pendant 17 jours ont été applaudis. "C'était un moment de partage, le Triangle de Gonesse reste à défendre", a témoigné ému, l'un d'entre eux."Nous craignons que le gouvernement se prononce pour une situation d'entre-deux, qui est de garder des champs et une gare, ce qui n'est pas compatible pour mettre en place le projet Carma" d'une coopérative agricole, s'est inquiété Bernard Loup, le président du CPTG."Une procédure judiciaire est en cours, la lutte n'est pas terminée, le Triangle de Gonesse est toujours-là", a conclu le militant.La ligne 17 doit relier Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) à l'aéroport de Roissy-CDG en 2030, en passant par le Triangle de Gonesse, où elle devait initialement desservir le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity.Mais depuis qu'Emmanuel Macron a annoncé en novembre 2019 l'abandon de ce projet phare, le sort de ces 280 hectares de terres agricoles, stratégiquement situées à une quinzaine de kilomètres au nord de Paris, reste incertain.
Il y a 4 ans et 64 jours

A Marseille, la lutte contre l'habitat indigne au ralenti

"On a l'impression d'avoir perdu deux ans", regrette Emmanuel Patris, du Collectif du 5 Novembre, né après la catastrophe survenue dans le quartier de Noailles, en plein coeur populaire de Marseille.L'ampleur de l'habitat insalubre dans la deuxième ville de France avait été révélée en 2015 par le rapport Nicol. Qualifié de "fumisterie" par l'ex-maire LR de Marseille Jean-Claude Gaudin, il recensait 40.000 taudis dans la deuxième ville de France, soit 100.000 personnes concernées sur 860.000 habitants.Et Florent Houdmon, de la Fondation Abbé Pierre à Marseille, de sortir sa calculette. Il y a eu 5.000 évacués et relogés, à la suite de dizaines d'arrêtés de péril pris dans les mois ayant suivi le choc de la rue d'Aubagne: "Donc il y a encore 95.000 personnes dans des logements insalubres...".De fait, rue d'Aubagne, tout semble figé. Du côté des numéros impairs, au-delà du grand vide laissé par les 63 et 65, les immeubles allant jusqu'au 83 sont toujours inaccessibles. L'Etablissement public foncier a commencé à les racheter mais seuls les trois quarts des logements ont été acquis pour l'instant, explique Jean-Philippe D'Issernio, délégué régional de l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et de l'Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine)."Ca pourrait prendre des années", craint Mael Camberlein, ex-propriétaire dans la rue d'Aubagne, dont l'appartement a disparu dans le drame.La situation semble la même dans tout Noailles et au-delà même si, en coulisses, les dossiers avancent."L'horreur absolue"Sur les 600 millions d'euros annoncés contre l'habitat indigne par la présidente LR de la métropole Aix-Marseille-Provence, Martine Vassal, le 28 novembre 2018, plus d'un tiers viennent de l'Etat, via notamment l'Anah qui promet 240 millions d'euros sur 10 ans pour des travaux de réhabilitation d'urgence.Deux ans plus tard, les chantiers sont presque finalisés pour 24 copropriétés, soit environ 300 logements, pour 5,9 millions d'euros, explique M. D'Issernio. "Bien sûr, on aimerait aller plus vite mais on ne peut pas faire n'importe quoi avec l'argent public, un certain formalisme est incontournable".Les bâtiments insalubres, "ce n'est pas que Noailles", insiste Patrick Amico, adjoint au logement de la nouvelle municipalité de gauche, élue après 25 ans de règne de Jean-Claude Gaudin: "Le IIIe arrondissement [autour de la gare Saint-Charles ou de la Belle de Mai], c'est l'horreur absolue. Potentiellement, 50% des immeubles anciens du IIIe pourraient être en péril d'ici cinq ans".Après la rue d'Aubagne, Etat et collectivités ont signé en juillet 2019 un grand plan d'action pour ventiler les 600 millions d'euros promis au départ: le PPA (Projet partenarial d'aménagement) Marseille Horizon définit une stratégie à 15 ans pour 1.000 ha du centre-ville, soit 200.000 habitants.Mais la première phase de ce projet, de 217 millions d'euros, reste très ciblée: quatre îlots dégradés, 7 ha seulement, autour de Noailles et de la Belle de Mai, concernant 314 immeubles.Quant à la SPLAI-N (Société publique locale d'aménagement d'intérêt national), l'outil de pilotage de ce PPA, elle a dû attendre juin 2020 pour réunir son premier conseil d'administration. Covid oblige, notamment. Son directeur général, Franck Caro, corédacteur du rapport Nicol, vient seulement d'être nommé."Le temps de l'urbanisme est un temps long", relativise Muriel Joer Le Corre, "coordinatrice" des services de l'Etat et membre du comité de pilotage du PPA. "Mais aujourd'hui les planètes sont alignées".Permis de louer"Avec la SPLAI-N, on va essayer d'accélérer le temps, mais tout ne se résoudra pas en un claquement de doigts", insiste David Ytier, vice-président à la métropole chargé du logement et de l'habitat indigne et président de cette structure où Aix-Marseille-Provence est chef de file (59%), devant l'Etat (35%) et la ville de Marseille (6%).L'outil est donc en place, avec un projet global, et l'argent est sur la table. Au-delà des 600 millions d'euros de départ, "avec l'effet de levier et les investissements privés, c'est même 1 à 1,5 milliard d'euros qui va permettre de renouveler la ville", espère M. Amico.Mais pour quelle rénovation ? Quels types de logements ?Du côté de la municipalité, on veut éviter deux écueils: transformer le coeur populaire de la ville en "boboland", une fois les bâtiments réhabilités, ou répliquer Euroméditerranée, quartier ultra-moderne sorti de terre à la place des anciens docks: "On veut faire de la haute couture, mais ça va prendre plus de temps", concède Patrick Amico.Pas question de tout raser et reconstruire: "Avec ces +3 fenêtres marseillais+ [un type d'immeuble caractéristique de Marseille], nous sommes quand même face à un des ensembles pré-révolutionnaires les plus importants de France", insiste M. D'Issernio. "Marseille sans Noailles, ce ne serait plus tout à fait Marseille".A la métropole, David Ytier vante un autre outil mis en place en octobre 2019, à Noailles: le permis de louer. Car "l'habitat indigne, c'est très souvent de l'habitat privé et ce permis, c'est une clef d'entrée pour aller voir derrière les façades", explique-t-il. Sur 252 dossiers déposés, près d'un quart ont fait l'objet d'un refus, obligeant les propriétaires à engager des travaux.La ville, elle, utilise la procédure de travaux d'office qui lui permet de se substituer aux propriétaires défaillants. Quarante-huit millions d'euros de travaux ont ainsi été lancés, sur une soixantaine d'immeubles. "Ensuite nous transmettons les faits à la justice", insiste M. Amico. "Cela peut aller jusqu'à la spoliation et des poursuites pour mise en danger de la vie d'autrui"."Nous notons avec satisfaction l'augmentation des signalements de la mairie de Marseille", avait témoigné la procureure de la République, Dominique Laurens, mi-janvier, en révélant avoir ouvert 76 enquêtes contre des propriétaires indélicats.
Il y a 4 ans et 64 jours

Evénement : Les Construction Days avancés

CALENDRIER. Le Seimat et Comexposium ont annoncé début février la création d'une nouvelle manifestation : Les Construction Days. Devant avoir lieu du 21 au 23 septembre, le rendez-vous a été avancé.
Il y a 4 ans et 64 jours

Comment s'est porté le marché des portes d'entrée en 2020 ?

ETUDE. La crise a impacté le marché de la porte d'entrée de maisons individuelles en 2020. Qu'en est-il exactement ? Quelles sont les tendances ? TBC a mené une étude auprès de 360 acteurs du secteur.
Il y a 4 ans et 64 jours

Exo-1, premier exosquelette d’Hilti

Hilti a lancé Exo-1, son premier exosquelette destiné à aider les compagnons qui travaillent les mains au-dessus de la tête.[©Hilti] En septembre 2020, Hilti dévoilait en avant-première son premier exosquelette. Destiné à aider les compagnons qui travaillent les mains au-dessus de la tête. Désormais commercialisé, Exo-1 -c’est son petit nom – est un équipement passif et sans batterie. Qui réduit de 47 % les pics de contrainte exercés sur les muscles des bras et des épaules. Evitant ainsi les douleurs musculaires et limitant la fatigue. Il est disponible à l’achat (1 489 € HT) ou en gestion de parc (location longue durée avec des services supplémentaires) au tarif de 49,20 € HT, mais avec contrat sur 4 ans. Cet exosquelette a été développé avec la société allemande Ottobock. Une entreprise de technologie médicale spécialisée dans la conception de ces équipements. Préserver la santé des compagnons Exo-1 est idéal pour les compagnons amenés à effectuer des travaux d’installation de conduits d’aération et d’équipements de ventilation, de sprinklers, de tuyauterie, de fixation de câbles et conduits. Ou encore de suspension de cloisons sèches au-dessus de la tête… Il ne pèse que 1,9 kg et ne gêne pas les mouvements, même quand les bras sont en position basse. Il permet de porter jusqu’à 4 kg sans ressentir le poids dans les bras. Ceci, grâce à un système de transfert de charge, qui redirige celle supportée par les bras vers les hanches.  Tout comme le casque de chantier il y a 15 ans, l’exosquelette d’Hilti a été pensé comme un EPI du présent et du futur, destiné à devenir incontournable sur les chantiers. 
Il y a 4 ans et 64 jours

La Banque des territoires a un nouveau directeur des prêts

CARNET-NOMINATION. Kosta Kastrinidis a succédé, mi-février, à Marianne Laurent, à la tête de la direction des prêts de la filiale de la Caisse des dépôts.
Il y a 4 ans et 64 jours

Thierry Dallard, le président de la Société du Grand Paris, sur la sellette ?

REMANIEMENT. Avancé par plusieurs médias, le départ imminent de Thierry Dallard, actuellement président de la Société du Grand Paris, ne ferait plus grand-doute. Une brouille avec le Premier ministre Jean Castex serait à l'origine de cet évincement.
Il y a 4 ans et 64 jours

Les professionnels de la construction modulaire saluent le rapport Michel-Rivaton

RÉACTION. Les acteurs de la construction industrialisée et modulaire saluent le rapport Michel-Rivaton sur le hors-site, et invitent les pouvoirs publics à en suivre les préconisations.
Il y a 4 ans et 64 jours

Le marché des façades ventilées a résisté en 2020

Il ressort de cette étude que le chiffre d'affaires cumulé des membres du SNBVI, façades et accessoires, est de près de 122 M€ sur l'année 2020.« Malgré la perception que ce chiffre offre, il est intéressant de noter que l'activité de la façade ventilée s'est relativement bien tenue au regard de l'activité générale du bâtiment », reconnaît Stéphane Lambert, Président du SNBVI. « L'intervention par l'extérieur de la construction, qu'elle que soit l'activité qui s'y trouve à l'intérieur, offre une grande souplesse à nos systèmes, permettant en cela une reprise d'activité plus rapide, plus coordonnable, plus sereine. Dans la suite positive de l'année 2019, le premier trimestre 2020 a été porteur avant l'arrivée de la pandémie. L'activité de la fin d'année 2020 s'est avérée plutôt dynamique en général ».S'agissant de l'année en cours, la continuité avec fin 2020 se poursuit. « Pour les prévisions 2021, nous sommes sur une tendance haussière à +6%. La visibilité sur le premier semestre de l'année est satisfaisante. », relève Stéphane Lambert. L'enquête UNICEM table sur un CA cumulé d'environ 129 M€ à la fin 2021.Bien que fraîchement repoussée au 1er Janvier 2022, la RE2020 va mettre en lumière dès cette année la filière sèche, dont les réponses, tant techniques que de mise en valeur des façades, sont pertinentes aux premières approches de ce texte. Toutefois, le SNBVI déplore toujours la pénurie de main d'œuvre qualifiée dans les domaines de la construction, ce que ses membres s'attachent à réduire au quotidien en dispensant formations et assistances techniques. Le Syndicat surveille également avec attention les fortes hausses, mais aussi les risques de ruptures d'approvisionnement de matières premières, impactant les fixations et accessoires notamment.
GDA
Il y a 4 ans et 64 jours

Chroniques d'une crise immobilière annoncée : les aménageurs alertent sur les dérives de l'impératif ZAN

Si l'UNAM partage les objectifs de sobriété foncière et de préservation de la biodiversité[1] induits par la trajectoire ZAN, elle questionne ses modalités de mise en œuvre qui risquent, faute de pragmatisme, de fragiliser les territoires et de préfigurer une crise immobilière sans précédent. Dans ce contexte, l'UNAM lance une série de chroniques sur la menace que l'objectif ZAN fait peser sur notre économie, déjà fragilisée par la pandémie et le recul de la construction. Une menace matérialisée par la conjonction de différents facteurs qui feront chacun l'objet d'une chronique dédiée : la limitation drastique des capacités de production de logements, la flambée des prix de l'immobilier, le blocage du marché locatif et l'impossibilité de répondre à la demande de logements sociaux.À l'occasion de cette première chronique consacrée aux risques inhérents à la limitation drastique des capacités de production de logements, l'UNAM publie un rapport[2] mettant en perspective l'inadéquation de l'impératif ZAN avec les besoins en matière de logement à l'horizon 2030 et appelle à une territorialisation des objectifs pour répondre de manière efficiente à ces besoins.L'objectif ZAN : une contrainte foncière irréaliste face aux besoins en matière de logementGuidée par une ambition de sobriété foncière, la trajectoire ZAN vise à diviser par deux le rythme d'artificialisation des terres en France d'ici 2030, contre un objectif fixé à 2050 par l'Europe. Pour ce faire, le projet de loi prévoit d'encadrer strictement les projets de construction de logements neufs.Cette contrainte semble s'inscrire à rebours des besoins en matière de logement. Comme le souligne le rapport, la demande potentielle de logement devrait s'élever à +4,1 millions de logements à l'horizon 2030. Un chiffre qui prend en compte une diversité de facteurs :La croissance démographique de la population française avec une perspective consolidée à 70,5 millions[3] d'habitants en 2030 (dont 66,3 millions en métropole), contre 66,9 millions aujourd'hui : +1,3 millions de logements nécessaires.La baisse constante du taux d'occupation des logements en lien avec le « desserrement » des ménages (croissance des ménages monoparentaux et de personnes âgées seules) : +1,7 millions de logements nécessaires.La croissance de la vacance immobilière : +830 000 logements nécessaires pour remplacer les logements exclus du marché (logements vétustes, absence de relocation).Les besoins en matière de renouvellement du parc immobilier en raison des sorties de bâtiments hors du secteur du logement (démolitions, désaffectations) : +290 000 logements nécessaires.Il ressort que ces besoins se concentrent majoritairement dans les couronnes périurbaines élargies des villes moyennes ainsi que dans le Grand Ouest. Pour autant, les zones dites « détendues », c'est-à-dire caractérisées par une baisse de leur population ainsi qu'un accroissement de la vacance de leurs logements sont également concernées par ces besoins de construction du fait de la sortie de logements vétustes du parc habité et des besoins croissants liés à la décohabitation des ménages.En réponse à ces besoins en matière de logement, le projet de loi prévoit de stimuler la rénovation de logements et la récupération de la vacance immobilière. Cependant, même la réaffectation théorique de tout le parc de logements actuellement vacants ne comblerait qu'à peine 20% des besoins urgents en logement sur les dix prochaines années. Les coûts de rénovation, notamment en zone détendue où les prix de l'immobilier sont très faibles, s'avèrent quant à eux encore prohibitifs pour les budgets moyens des ménages : les travaux de rénovation « complète à lourde » (intervention sur réseaux et structure du bâti) correspondent en moyenne, dans ces secteurs, et hors subventions à la rénovation, à un doublement du coût d'acquisition du logement (prix moyen au m² constaté de 1 100 €/m² en octobre 2020, pour des frais de rénovation « complète à lourde » compris dans des fourchettes respectives de 700 à 1 100 €/m² et de 1 125 à 2 000 €/m²), ce qui rend ces logements non-compétitifs sur le marché local.Ainsi, dans un contexte où la crise sanitaire a déjà largement ralenti les objectifs en matière de construction avec 376.700 logements construits en 2020[4] pour un objectif de 500.000 fixé par le gouvernement, la trajectoire ZAN telle que prévue dans le projet de loi ne fera que contraindre davantage les projets de construction et donner lieu à une véritable crise du logement.Pour une approche territorialisée de l'objectif ZANPlutôt que de provoquer un blocage généralisé du foncier à bâtir, l'UNAM préconise dans son rapport une réponse spatiale différenciée mettant en lumière les priorités d'aménagement selon les territoires. Une adaptation de l'effort ZAN en fonction du contexte territorial qui suit un double objectif :1/ Proposer une modulation de la contrainte foncière en fonction des lieux : afin d'accompagner les souhaits de mobilité des populations urbaines vers un habitat avec de la nature et permettre un rééquilibrage territorial face au tout métropolitain. Pour ce faire, l'UNAM établit au sein de ce rapport une liste de réponses territorialisées face à l'objectif ZAN en distinguant[5] :Les zones où l'impératif ZAN semble prioritaire : à l'instar des unités urbaines de plus de 20 000 habitants et des territoires ruraux dense et/ou touristiques.Les zones où l'impératif ZAN n'est pas tenable en valeur absolue, sous peine de provoquer une crise majeure du logement et d'empêcher un rééquilibrage territorial de la population hors des métropoles : à l'instar des territoires « périurbains connectés » et « périurbains intermédiaires ».Les zones où l'impératif ZAN semble tenable à condition d'une balance globale calculée à l'échelle intercommunale : à l'instar des territoires « ruraux polarisés » et « ruraux isolés ».2/ Prioriser certains pôles de services secondaires existants (petites villes et bourgs ruraux), actuellement fragilisés par l'attractivité métropolitaine, tout en favorisant des relocalisations d'emplois et de services au bénéfice des territoires hors-métropoles : pour contrer l'étalement urbain incontrôlé, ainsi que les impacts environnementaux des mobilités alternantes ville/campagne.Dans son rapport, l'UNAM identifie 8 161 communes regroupant 17,6 millions d'habitants pouvant constituer des centres de polarités secondaires et locales hors espaces métropolitains et hors unités urbaines de plus de 20 000 habitants. Ce sont toutes ces centralités qui apparaissent prioritaires dans une volonté de rééquilibrage territorial organisé de l'espace métropolitain.À rebours de l'approche réglementaire et sectorielle contenue dans la doctrine ZAN, l'UNAM motive une réflexion d'aménagement plus fine, capable d'adapter la visée écologique aux enjeux de justice spatiale et sociale. Si le verrou ZAN s'avère plus pertinent en milieu dense et déjà structuré plutôt que dans les territoires ruraux, la quête de nouvelles centralités secondaires devient désormais une priorité forte de l'aménagement du territoire à venir.[1] Projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.[2] UNAM, 2021, L’utilisation du foncier pour le logement à l’horizon 2030. Besoins et préconisations, Rapport scientifique (26p.).[3] Taux de croissance démographique annuel : donnée INSEE/Eurostat 2020.[4] Source SDES / Sit@del2 (France entière, hors Mayotte) : 410 900 mises en chantier en 2018, 404 900 en 2019, 376 700 en 2020.[5] Liste exhaustive des réponses spatialisées en lien avec l’objectif ZAN pages 17 à 19 du Rapport
Il y a 4 ans et 64 jours

Face à la crise économique, le BTP demande un geste sur le gazole non-routier

CONJONCTURE. Pénalisés par la crise économique du Covid, les professionnels du bâtiment et des travaux publics demandent au ministre de l'Économie Bruno Le Maire de maintenir le gazole non-routier (GNR), dont la suppression est actée au 1er juillet prochain. "Un geste de bon sens" qui redonnerait un peu de souffle au secteur, selon les organisations représentatives.
Il y a 4 ans et 64 jours

Députés et artisans poussent au maintien des offres "coups de pouce"

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Les projets de l'administration concernant la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE) ne passent décidément pas auprès de certains acteurs. Dix-neuf députés viennent ainsi de prendre leur plume pour écrire à la ministre, et les artisans du bâtiment montent à leur tour au front pour demander le maintien des offres coups de pouce.
Il y a 4 ans et 64 jours

Faisant fi de l'épidémie, le gouvernement veut accélérer la relance économique

"Mon objectif est d'accélérer le déploiement de ce plan de relance, et quelle que soit la situation sanitaire", a affirmé lundi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire lors d'un point presse, estimant que la situation sanitaire ne devait pas être "un obstacle" à la relance."C'est maintenant que (...) se joue" la reprise, a-t-il insisté.Le défi est de taille, avec tout un pan de l'activité, notamment dans le tourisme, qui subit encore massivement la persistance de l'épidémie et pour qui le soutien d'urgence se poursuit.En parallèle, de nombreux secteurs se sont bien ressaisis, et se projettent déjà vers l'avenir, notamment dans l'industrie, bien moins pénalisée par le couvre-feu.La croissance de l'activité manufacturière a ainsi atteint en février son plus haut niveau depuis trois ans, selon l'enquête mensuelle du cabinet IHS Markit.Le gouvernement compte donc sur la dynamique du plan de relance de 100 milliards d'euros d'ici 2022 pour soutenir la croissance française, qu'il attend toujours à 6% cette année.Ce plan "donne des résultats très tangibles", s'est félicité Bruno Le Maire, citant un chômage des jeunes "contenu", le déploiement des véhicules électriques ou encore l'ouverture de nouvelles liaisons ferroviaires.Sur les 40 milliards d'euros que le gouvernement a l'ambition de dépenser d'ici la fin de l'année, 16 milliards ont été déployés, auquel il faut ajouter la baisse annuelle de 10 milliards d'euros d'impôts de production.Trois voletsLe plan comprend trois volets essentiels: le soutien à l'investissement industriel, à la transition écologique, et des aides à la formation et à l'emploi des jeunes.Plus de 30.000 entreprises, dont 70% de PME, en ont bénéficié à ce stade, et un million de ménages et de jeunes, a précisé le ministre.Pour accélérer sur le volet industriel, un milliard d'euros de crédits seront redéployés, a confirmé M. Le Maire, dans la logique - fixée à l'annonce du plan -de favoriser les projets qui seront les plus rapides à aboutir.La relocalisation des secteurs industriels critiques sera dotée de 250 millions d'euros supplémentaires, soit une enveloppe globale de 850 millions, tandis que le dispositif Territoires d'industrie bénéficiera de 150 millions d'euros en plus des 400 millions prévus.Enfin, la numérisation des petites et moyennes entreprises industrielles voit son enveloppe passer de 280 millions à 880 millions d'euros.Autre avancée: la France a enfin obtenu le feu vert de Bruxelles pour déployer les prêts participatifs, dédiés au renforcement des fonds propres des entreprises mis à mal pendant la crise. Il sera détaillé jeudi.En revanche, pas question de rajouter à ce stade des crédits supplémentaires, comme le réclament par exemple certains économistes ou le Medef. "Notre objectif, c'est de dépenser rapidement et efficacement les crédits" existants, a jugé Bruno le Maire. Pas de taxe sur l'épargneLe président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux avait notamment plaidé début janvier pour la mise en place d'un "deuxième volet" au plan, dédié à la reprise des secteurs les plus en difficulté (hôtellerie, évènementiel, etc.).Il prône aussi des mesures ciblées, comme un chèque vert, pour inciter les ménages à consommer l'épargne qu'ils ont accumulée l'an dernier à la fois par crainte de l'avenir mais aussi du fait d'une consommation empêchée par les restrictions sanitaires.L'épargne des ménages constitue d'ailleurs l'autre "défi" du gouvernement pour réussir la relance, a reconnu Bruno Le Maire.L'an dernier, les ménages ont engrangé une épargne supplémentaire de 100 à 120 milliards d'euros, selon la Banque de France, et elle pourrait atteindre les 200 milliards d'ici la fin 2021.Bercy travaille à "des incitations" mais rejette toute "taxation" de cette épargne, a indiqué le ministre, alors que certains élus de gauche et des économistes proposent d'instaurer une taxe exceptionnelle sur les ménages les plus aisés ou sur les entreprises qui ont tiré partie de la crise, comme les géants de la distribution.
Il y a 4 ans et 64 jours

Réseau de transport d’électricité : réalisation du projet Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises à Mondragon

Des travaux d’aménagement inscrits dans le projet Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises (BELIVE) sont effectués par Réseau de transport d’électricité (RTE) à Mondragon.
Il y a 4 ans et 64 jours

Intégration de 345 places de smart parking au projet d’écocité, dans la Cité Descartes, à Champs-sur-Marne

Le promoteur immobilier Linkcity signe un contrat avec Zenpark pour installer deux parkings mutualisés à Champs-sur-Marne.
Il y a 4 ans et 65 jours

Le jugement de l'ex-sénateur Joseph Castelli pour trafic d'influence reporté

Lors des deux jours d'audience en janvier, le procureur de Bastia Arnaud Viornery avait souligné qu'"un parfum entêtant de corruption systémique" flottait sur ce dossier, en requérant quatre ans de prison dont un avec sursis et 200.000 euros d'amende contre l'ex-sénateur de Haute-Corse, 72 ans, et la confiscation de la villa au coeur de l'affaire.Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Bastia pour trafic d'influence passif, recel de biens provenant d'un délit, blanchiment aggravé et faux en écriture, M. Castelli, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a bénéficié de "subventions aimables d'entrepreneurs" pour près de "200.000 euros" pour compléter le financement de sa villa, "via des fausses factures", avait tancé le magistrat.Pour le procureur, la mécanique des malversations est claire: une société gérée par un entrepreneur décédé et jamais entendu dans l'enquête était chargé de la construction de la villa de M. Castelli. Des factures lui ont été réglées par trois autres sociétés pour des travaux fictifs de sous-traitance sur d'autres chantiers, et ces sommes finançaient des travaux sur la villa de l'ex-sénateur. En échange, ces entreprises obtenaient ensuite des marchés publics octroyés par M. Castelli.Le magistrat n'a cependant retenu pour les poursuites qu'un marché public, pour 1,7 million d'euros, alors que plusieurs autres, pour un montant total de 10 millions d'euros, avaient été mis en cause.Il a appelé le tribunal à condamner M. Castelli pour le "pacte de corruption" existant dans l'attribution du marché public et pour les accusations de faux en écriture mais a requis la relaxe pour le blanchiment de fraude fiscale."Je n'ai jamais perdu une élection. Je me demande ce que je fais dans cette galère. Si j'étais si pourri que ça, vous pensez que ces gens-là ne s'en seraient pas rendus compte?", avait assuré à la barre M. Castelli, jugé avec trois entrepreneurs dont un avait reconnu des faits de corruption.Les avocats des quatre accusés ont tous plaidé la relaxe pour leurs clients, l'un relevant qu'"on ne condamne pas des gens pour le parfum d'un fait" mais sur des preuves quand un second soutenait que "juridiquement dans ce dossier, il n'y a rien" à part "de la magie grossière judiciaire".
Il y a 4 ans et 65 jours

14 propositions pour le développement de la construction industrialisée

Chargés en 2019 par Julien Denormandie, à l’époque ministre du Logement, d’une mission pour accompagner la transformation numérique de la construction et de l'immobilier, Bernard Michel et Robin Rivaton ont publié un nouveau rapport sur la construction industrialisée ou « hors-site ».
Il y a 4 ans et 65 jours

QB « Service pose de fenêtres »

Thierry Garnier, gérant des Menuiseries du Foultot, premier certifié QB Service pose de fenêtres.
Il y a 4 ans et 65 jours

Jouplast lance une nouvelle plaque stabilisatrice de gravier

L’offre JOUPLAST® s’urbaniseL'urbanisation galopante et l'imperméabilisation des sols posent de nombreux problèmes liés à la gestion des eaux pluviales : inondation, ruissellement, réseaux sous-dimensionnés… Dans ce cadre, la solution la plus fiable consiste à utiliser des revêtements drainants pour rétablir la perméabilité des sols en zone urbaine. Avec URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, les professionnels du BTP disposent d'une solution fiable et performante qui permet d'aménager facilement des surfaces gravillonnées.Haute résistance à la compressionPréconisées pour résoudre les problèmes d'imperméabilisation des sols, et donc les risques d'inondations ou de saturation des réseaux, les plaques alvéolées URBANGRAVEL® de JOUPLAST® assurent à la fois un parfait maintien des graviers et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules lourds.Surface stable et perméableRésistantes et adaptées à de nombreux concepts de réalisations, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® favorisent le drainage naturel et optimal des eaux de pluie. En polyéthylène alvéolé 100% recyclé, elles permettent d'installer durablement une surface stable et perméable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières, pour les aménagements gravillonnés.Système d'assemblage intégréFabriquées en France, les plaques URBANGRAVEL® structurées en nid d'abeilles sont simples et rapides à mettre en œuvre. Antidérapantes, légères et faciles à découper avec une disqueuse, elles disposent d'un système d'assemblage intégré pour un excellent maintien des plaques entre elles. Une pente de 5% maximum est tolérée pour les voies carrossables, chaque plaque étant alors maintenue au sol par quatre picots d'ancrage intégrés.À combler avec du gravier 8/16 mm, les plaques URBANGRAVEL® de JOUPLAST® supportent jusqu'à 600 tonnes au m². Elles peuvent ainsi être utilisées pour le passage de véhicules avec une charge à l'essieu de 20 tonnes et sont compatibles avec les voies accès pompiers.De plus, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® sont conformes à la circulation des personnes à mobilité réduite (dans le cadre d'une pose avec des graviers de type 8/16 et une finition à fleur).Enfin, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® peuvent être associées à des plots de marquage blancs ou gris JOUPLAST®, vendus séparément, pour délimiter aisément un espace (des places de parking, par exemple).Plaque stabilisatrice de gravier en milieu urbain URBANGRAVEL® JOUPLAST®Matière : polyéthylène recycléCouleur : grisDimensions utiles : 591 mm x 378 mm x 40 mmSurface utile : 0,223 m²Poids : 0,850 kg soit 3,63 kg /m²Volume/poids gravier par m² : 33 litres - 48 kgRésistance en compression à vide : 112 T/m2 (soit 3 camions remplis)Résistance en compression remplie : 600 T/m2 (soit 30 camions remplis)Résistance aux températures : entre - 30 °C et + 60 °CConditionnement : 120 pièces/palette, préassemblées par 4Points de vente : négoces en matériauxPlot de marquage JOUPLAST®Couleurs : blanc/grisConditionnement : 40 pièces/cartonPoints de vente : négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 65 jours

Le métier d’architecte : 3 qualités indispensables

Sollicité pour intervenir aussi bien dans la construction d’une maison individuelle que sur une infrastructure publique, l’architecte joue de multiples rôles. Ce professionnel a généralement pour mission de dessiner, de concevoir et de superviser les projets d’habitat. Pour remplir toutes ces tâches, il doit suivre une formation complète et développer certaines compétences indispensables. Retrouvez ici les qualités essentielles d’un architecte. Les qualités de base de l’architecte Pour devenir architecte, il est avant tout nécessaire de suivre de nombreuses années d’études. Après celles-ci, différents stages devront être effectués qui permettront d’acquérir des expériences professionnelles. Mais ces connaissances ne suffisent pas. ll faudra aussi développer des qualités essentielles. En effet, il faut être un bon dessinateur, un excellent concepteur de plan, un artisan rigoureux. Si vous devez donc vous engager dans ce métier, vous devez approfondir ces compétences techniques et pratiques. En bref, voici les qualités de base à renforcer : La gestion du budget selon chaque projet ; Le respect et l’optimisation du budget attribué au chantier ; Le sens du travail en équipe et l’habileté à la négociation ; Une parfaite connaissance du droit et des règles d’urbanisme. Les spécialités du métier d’architecte L’architecte est généralement perçu comme le professionnel en charge de penser et de dessiner les plans d’une maison ou de tout autre type de bâtiment. On lui attribue également la responsabilité de superviser le chantier. Bien que cela soit tout à fait vrai, il est pour autant bien souvent ignoré les différentes spécialités et facettes que peuvent prendre le métier d’architecte. On peut notamment citer l’architecte paysagiste, l’architecte urbaniste ou encore l’architecte d’intérieur. Chacune de ces spécialités nécessitera des compétences supplémentaires. En effet, un architecte urbaniste doit avoir une bonne connaissance des villes. Par exemple, un architecte sur Nantes devra avoir une excellente culture de la composition urbaine de la ville et de la métropole nantaise. Les compétences secondaires de l’architecte En plus des compétences citées plus haut, le métier d’architecte requiert d’autres qualités essentielles. Dans un premier temps, puisque le professionnel doit travailler en équipe, il demeure indispensable qu’il puisse s’adapter aux collaborateurs. De même, il doit savoir écouter les besoins des clients et les recommandations de ses partenaires. Dans un second temps, pour mener à bien les projets qu’il conduit, l’architecte doit développer une grande résistance au stress et à toute forme de pression. En cas d’imprévus sur un chantier par exemple, il doit pouvoir garder son calme et prendre les décisions rapidement. Comme autre qualité, un architecte doit prendre des initiatives et présenter des propositions aux clients. Les qualités personnelles d’un architecte Pour exceller dans le métier d’architecte, posséder des compétences professionnelles et des connaissances de base ne suffit pas. L’artisan doit également cultiver des qualités personnelles et des valeurs morales. Pour finir, voici donc quelques atouts à retrouver chez un architecte : Un réel sens de la créativité et une aisance dans la gestion des projets ; Une facilité à élaborer les plans de bâtiment ; Une totale autonomie et une adaptation aux collaborateurs ; Une aisance relationnelle pour travailler en harmonie avec les équipes ; Une bonne rigueur au travail et un perfectionnisme poussé ; Une rigueur dans le respect des délais et de la réactivité face aux imprévus et aux changements de dernière minute.
Il y a 4 ans et 65 jours

Cemex inaugure trois centrales à béton dans le Sud-Ouest

La nouvelle unité de production de BPE Cemex de Prades-le-Lez (34) est signée MG Lilienfeld. [©Cemex] Alors même qu’il vient de céder à LafargeHolcim 24 centrales à béton sur la région Auvergne – Rhône-Alpes. Cemex poursuit son déploiement dans le Sud-Ouest. Là, l’industriel a mis en service trois nouvelles unités de production.  La nouvelle unité de Prades-le-Lez (34) remplace l’ancienne installation devenue obsolète et ne pouvant pas assurer la production des bétons spéciaux. Ce site dispose de deux principaux atouts. Une intégration paysagère réussie et une conception compacte permettant de s’implanter au mieux sur le terrain préexistant de 5 000 m2. Signée MG Lilienfeld – un partenaire historique de Cemex -, l’unité a repris une partie du génie civil de l’ancienne installation. En particulier, le traitement des eaux qui a été upgradé pour assumer plus de capacité. La nouvelle centrale est équipée de cinq trémies en ligne, de quatre silos à ciments. Et d’un malaxeur Teka de 1,5 m3alimenté par skip. De quoi offrir une capacité de production de 45 m3/h. Une nouvelle référence pour Elkon A Toulouse-Sud, Cemex a fait appel à Elkon pour la construction de la nouvelle centrale à béton. [©Cemex] Nouvelle implantation pour Cemex, la centrale de Toulouse-Sud répond à la croissance du marché local. Apte à fournir toute la gamme Cemex, elle sera cependant dédiée à la production des bétons bas carbone de la ligne Vertua. Et des bétons conçus à base de granulats recyclés. Ceci, avec une capacité de production de 90 m3/h. Pour cette installation, l’industriel du BPE a fait appel au constructeur turc Elkon. Ce dernier a fourni un outil s’articulant autour d’un malaxeur de 3 m3, de six silos à ciments et de huit trémies à granulats, d’une capacité totale de 600 t. En partie confinée dans un bâtiment fermé et isolé. Cette centrale répond à tous les standards Cemex, en termes d’équipements environnementaux. Tout y est : débourbeur déshuileur, régulateur de débit des eaux de pluie, filtre pour pulvérulent, bardage double peau. Mais aussi, circuit fermé des eaux de process, sept bassins hors sol pour les bétons essorés.  Le volet sécurité s’inscrit dans la même logique : nettoyage automatique du malaxeur, locaux sociaux dernière génération. Ainsi que passerelle sécurisée pour lavage du cône des toupies. Sans oublier un accès aux silos depuis la tour de stockage des granulats avec escalier, monte-charge. Dernières particularités : la réception et l’évacuation des retours de bétons vers le site de recyclage Cemex de Cugnaux. Et son adossement à un dépôt de granulats nouvellement créé. Comprenant neuf cases au sol dédiées à la réception de déblais et à la vente de granulats. Une centrale Euromecc pour le quartier Belvédère, à Bordeaux C’est une unité mobile Euromecc qui permet à Cemex de livrer le chantier du quartier Belvédère, à Bordeaux. [©Cemex] Troisième et dernière unité Cemex inaugurée dans le Sud-Ouest. La centrale à béton de Bordeaux est dédiée au chantier du nouveau quartier Belvédère, situé en rive droite de la Garonne. Mise en service en trois semaines seulement, sur un espace de 1 500 m2. Cette unité mobile Euromecc est équipée d’un malaxeur double arbres horizontaux de 1,5 m3. Trois silos à ciments et quatre trémies de granulats complètent l’installation. Qui offre ainsi une capacité de production de 65 m3/h.  « Ces trois nouvelles unités de production de bétons, deux fixes et une mobile, confirment la volonté de Cemex de toujours s’assurer une présence de premier plan sur les marchés locaux des matériaux de construction, conclut Jean-Marie Modica, directeur de Cemex Matériaux France Sud. Une ambition qui se traduit aussi par une présence accrue de notre entreprise sur les gammes de produits spéciaux et bas carbone, répondant aux impératifs environnementaux. »
Il y a 4 ans et 65 jours

Le Groupe Knauf engage ses clients dans l’Économie Circulaire du PSE avec Knauf Circular®

Knauf Circular® : la réponse aux enjeux réglementaires, économiques et environnementaux du recyclage L’avenir du plastique, la gestion des déchets et l’économie circulaire constituent les sujets phares des nouvelles réglementations qui se développent en France et en Europe. Les bases de ces nouvelles réglementations avaient été initiées par la Feuille de Route Économie Circulaire (FREC). Dans ce contexte, l’AFIPEB (Association Française de l’Isolation en Polystyrène dans le Bâtiment) prenait déjà un engagement volontaire visant annuellement une valorisation de 2500 tonnes de PSE d’ici 2025. Membre d’Elipso (association des entreprises de l’emballage plastique fortement impliquée dans une dynamique d’économie circulaire), Knauf Industries s’est aussi engagée à réincorporer 4000 tonnes par an de polystyrène expansé recyclé dans ses calages industriels et emballages de manutention, et ce d’ici 2023. Promulguée le 10 février 2020, la Loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire, dite AGEC, entre en application au travers de la publication des différents décrets.Pour la filière emballage, l’AGEC, et en particulier son futur décret 3R, imposera le recyclage, la réutilisation ou le réemploi des emballages et la réduction de l’emploi de plastiques vierges. Son objectif est de tendre vers 100 % de plastiques recyclés en 2025. Pour la filière bâtiment, elle imposera à partir du 1er juillet 2021, à toute entreprise, d’intégrer dans ses devis les informations relatives à la gestion des déchets de travaux de construction : les modalités, leurs coûts, les installations dans lesquelles ils seront déposés en fonction de leur typologie. Dès le 1er janvier 2022, une Responsabilité Élargie du Producteur ainsi qu’une éco-contribution (création d’un éco-organisme chargé de la gestion des déchets pour accélérer leur valorisation) seront mises en place. L’éco-contribution sera financée par un système d’écotaxes, modulées en fonction de la performance environnementale du produit. Et, enfin, la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) ambitionne que la part du recyclage des déchets non dangereux devra atteindre les 65 % d’ici 2025. Knauf Circular®, en développant un service de collecte et de recyclage des déchets de PSE pour qu’ils soient réintroduits dans de nouveaux produits, répond totalement à ces exigences.Knauf Circular® : un service innovant pour la lutte contre le gaspillage, l’enfouissement ou la mise en décharge De par cette véritable opportunité économique et environnementale, le Groupe Knauf témoigne concrètement de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté d’accompagner ses clients dans cette démarche. Knauf Circular® se destine à tous les utilisateurs de PSE : négoces en matériaux, entreprises du bâtiment, grandes surfaces de bricolage et alimentaires, professionnels de la mer, industriels et aussi déchetteries, permettant de collecter les PSE post consommation des ménages.Knauf Circular® opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular® de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular® se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement...) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular® se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.Knauf Circular® : un service unique ouvert à tous les secteurs d’activité au niveau national qui apporte la garantie du recyclage du PSE Pour la phase pilote du quart Sud-Est de la France, Knauf Circular® s’est déjà traduit par la signature d’une cinquantaine de conventions en quelques mois et la mise à disposition de 10000 sacs dans les 4 usines pilotes du projet. Knauf Circular® s’impose à date comme la seule proposition de service de collecte et de recyclage du PSE en France avec un tel maillage du territoire et une telle proximité avec ses clients. Des investissements industriels d’un montant supérieur à 2 millions d’euros ont ainsi été engagés pour doter chacun des 18 sites en équipements de traitement du PSE collecté, offrant une capacité de recyclage annuelle de plusieurs milliers de tonnes de PSE. Knauf Circular® se traduit également par la création d’un poste au siège de l’entreprise en Alsace, pour assurer l’administration commune aux différentes entités Knauf de cette activité. Knauf Circular® apporte la preuve que le PSE est recyclable et recyclé. Il pérennise l’usage du PSE dans ses différentes applications en lui apportant une solution concrète de recyclage, totalement en adéquation avec les nouvelles réglementations. Cette action forte s’inscrit sur le long terme dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale du Groupe Knauf.« Nous développons les filières de collecte et de recyclage du PSE pour réduire l’utilisation de la matière vierge. Nos usines sont équipées de dispositifs de collecte et de recyclage des déchets d’emballages alimentaires et industriels et de chutes de chantiers du bâtiment. Grâce à la proximité géographique avec les clients, de plus en plus de déchets post-consommation et de chutes de production trouvent une seconde vie et entrent dans la composition de nouveaux produits Knauf, cales, panneaux d’isolation… Ceux qui s’avèrent impropres à une réintroduction dans nos productions seront retraités par des recycleurs partenaires en France ou en Europe pour devenir des biens de consommation courante ou des produits d’isolation pour le bâtiment. » Kurt Münder, PDG Knauf Industries« Le Groupe Knauf relève et relèvera plusieurs défis pour que la filière PSE entre concrètement dans l’économie circulaire. Aujourd’hui, avec Knauf Circular®, les utilisateurs sont assurés de la totale revalorisation de leurs déchets de PSE. D’autres programmes de recherche et développement viendront enrichir cette première initiative dans les années à venir. Des recherches sont en cours en matière d’écoconception pour favoriser le recyclage des matériaux en fin de vie. Knauf travaille également à augmenter la part de PSE recyclé dans ses produits neufs, qui doivent répondre aux exigences techniques et réglementaires de leur domaine d’application – bâtiment et emballage. De belles perspectives s’offrent à nous pour inscrire notre Groupe dans l’économie circulaire ! » Christine Muscat, DG Knauf FranceKnauf Circular® : un service simple et complet qui accompagne le client et valorise son action Toute l’actualité Knauf Circular® est à suivre sur le site dédié, www.knaufcircular.fr qui informe sur les modalités de reprises en fonction de la typologie de convention signée (négoces et entreprises de pose, professionnels de la mer, industriels et grandes surfaces, déchetteries) et sur les différents types de PSE collectés. Knauf y propose notamment une vidéo de présentation avec des témoignages clients issus des différentes activités (bâtiment, emballages, industrie). Le Groupe Knauf accompagne également les professionnels signataires de conventions Knauf Circular® pour qu’ils puissent porter haut les couleurs de leur engagement au travers de supports de communication dédiés ; des outils utiles et pragmatiques, qui reprennent les arguments justifiant de cette démarche concrète en faveur de l’économie circulaire du PSE.
Il y a 4 ans et 65 jours

Romain Froquet : L’art comme remède aux maux de la Covid-19

Afin de redonner le sourire aux patients de l’hôpital Beaujon AP-HP à Clichy, Romain Froquet a réalisé cette fresque aux lignes lumineuses. [©Jules Hidrot] Représenté par la galerie parisienne Joël Knafo, l’artiste Romain Froquet a offert une fresque lumineuse de 3,50 m de large sur 15 m de long, à l’hôpital Beaujon AP-HP, à Clichy (92). La genèse d’un tel projet ? « J’ai été contacté par Arnaud Giraudet, le directeur de cet hôpital, qui avait vu une de mes œuvres murales dans le XVIIIede la capitale. » Cette action s’inscrit dans la politique culturelle engagée depuis de nombreuses années à l’hôpital Beaujon AP-HP. « Concentré sur la Covid-19, il était nécessaire de donner une respiration à l’hôpital. Qui mieux que Romain Froquet pour améliorer le cadre de vie des patients et des professionnels avec une œuvre qui donne de la couleur et de la joie »,indique Arnaud Giraudet. Un œuvre qui appartient aux patients, aux professionnels et aux visiteurs Faire un geste vers l’hôpital, mais aussi s’inspirant d’une certaine idée d’entraide et de communion, parlait à Romain. Ça lui parlait d’autant plus que son travail sur les “gestures”, comme il les nomme, forment des lignes qui se connectent entre elles et vers le monde extérieur. « Cela faisait sens pour moi de répondre à une telle demande. Je me suis donc rendu sur le site pour trouver un lieu. L’entrée principale de l’hôpital était austère avec peu de lumière. C’était donc là. Ma fresque allait égayer l’endroit et le rendre lumineux. Ce lieu est un symbole de croisements et de carrefour entre les patients, les professionnels médicaux et les visiteurs. Ma fresque n’allait plus m’appartenir, mais allait leur appartenir. » Romain Froquet est un artiste engagé, qui aime transmettre des émotions grâce à ses œuvres. [©Jules Hidrot] Sa succession d’enchevêtrements et de superpositions de lignes colorées (des chromies de jaune, orange et bleu) sont une véritable respiration, une sorte d’hymne à la vie. Le travail de Romain Froquet se concentre sur le lien entre les cultures, les flux et les échanges. Un style de l’interconnexion qui favorise l’harmonie entre les humains, profondément nécessaire en ces temps de divisions.  Un travail du lien qui harmonise les échanges humains Cette fresque rend ainsi hommage aux personnels de santé, qui luttent depuis plus d’un an contre le Covid-19. « C’est sur un mur de béton que j’ai réalisé mon œuvre monumentale. C’est le support à peindre le plus agréable en extérieur, qui se prête le mieux à mes lignes courbes. Ces sont des rencontres qui ont nourri ma création. Des patients venaient me voir peindre. Ils pouvaient rester des heures avec moi. C’était un bol d’air pour eux. Dans cet espace de passage, je souhaite faire quelque chose de fort pour les soignants et les patients, qui invite au voyage. J’espère qu’elle accrochera le regard, et ouvrira la voie à la contemplation et à l’oubli de l’instant présent », conclut Romain Froquet.  M. C.  Romain Froquet a directement réalisé sa fresque à même le mur. [©Estelle Froquet] Apporter de la couleur dans un lieu de passage qui n’en avait pas, tel a été l’objectif de l’artiste. [©Estelle Froquet]
Il y a 4 ans et 65 jours

Journées de l’Architecture en Santé 2021 : appel à conférences

L’UAFS lance un appel à conférences dans le cadre de l’organisation de ses Journées... Cet article Journées de l’Architecture en Santé 2021 : appel à conférences est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 65 jours

L’ESITC Caen dévoile son nouveau bachelor

ESITC Caen annonce l’ouverture de son second bachelor intitulé “Construction” [©ESITC] Le premier bachelor “Projeteur BIM” de l’ESITC Caen a vu le jour il y a maintenant un an. Aujourd’hui, l’école annonce l’ouverture d’un second bachelor intitulé “Construction”, prévue pour la rentrée 2021. Ce nouveau diplôme répond aux attentes du secteur de la construction. Il permet d’obtenir une licence et est reconnu par le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche. Le programme a été conçu pour développer les compétences techniques des étudiants, en lien avec le BTP. La formation se déroule en trois années avec des matières professionnalisantes. Les deux premières années apportent une connaissance générale. Lors de la troisième année, les étudiants sont amenés à choisir des options et des spécialisations. Celles-ci donneront aux élèves une expertise professionnelle ciblée sur des métiers en développement. Les étudiants seront aussi sensibilisés à l’aspect environnemental et à l’éco-responsable.  Les modalités d’inscription D’ici 2025, le secteur du BTP recrutera pas moins de 14 000 jeunes. En effet, les entreprises recherchent des collaborateurs avec des connaissances accrues. Et maîtrisant les dimensions environnementales, qui permettront de gérer des projets d’envergure. Les jeunes ainsi formés ressortiront avec un profil d’ingénieur. Ils seront capables de s’adapter aux changements liés à la construction durable, au déploiement des techniques de BIM et à la transition numérique.  Le recrutement se fait grâce à la plate-forme Parcoursup. L’accès à ce cursus est possible en première année et 50 places sont disponibles pour cette formation. Il est aussi possible d’intégrer la formation en 3eannée, lors de la spécialisation. Tout se fait sur dossier et entretien de motivation, via la plate-forme Avenir Bachelors. Pour plus d’information, visitez le site de l’ESITC.
Il y a 4 ans et 65 jours

Le bachelor de l’ESTP Paris enfin accrédité “licence”

La formation “Manager de la construction” de l’ESTP s’est vu être accréditée du niveau licence. [©ESTP] Ouvert à la rentrée 2020 par l’ESTP Paris, le bachelor “Manager de la construction” s’est vu être accrédité du niveau licence. Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a validé cette accréditation. Cette formation fait partie des 33 autres diplômes. Ayant reçu un avis favorable par la Commission des titres d’ingénieur (CTI). Seulement 11 écoles d’ingénieurs ont obtenu cette appellation début 2021. Pour que cela soit le cas, l’école en question devait répondre à plusieurs critères. A savoir, la qualité pédagogique, l’orientation sur la recherche et l’ouverture à l’international. De plus, cette accréditation permet d’être reconnu au niveau national, ainsi qu’international. La formation “Manager de la construction” en 3 ans « Cette reconnaissance du bachelor “Manager de la construction” traduit l’engagement de l’école à former des professionnels. Qui répondent aux profits attendus par les entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics », témoigne Antoine Bonte, adjoint au directeur des études de l’ESTP Paris.  La récente ouverture du bachelor de l’ESTP Paris est une réponse aux attentes et aux besoins du marché de la construction. Tout comme le bachelor proposé par l’ESITC Caen, il forme sur une durée de 3 ans. Les deux premières années sont dédiées à l’apprentissage des compétences de base. Cependant, la troisième année est une année de spécialisation (conduite de travaux, projets immobiliers, risques et prévention). Le recrutement se réalise sur la plate-forme Parcoursup.  Charline David
Il y a 4 ans et 65 jours

Sans perte avérée, le banquier n'est pas fautif

Le client ne peut pas faire de reproches à son banquier tant que l'opération n'est pas terminée, tant que la perte n'est pas constatée, car avant cela son préjudice est seulement éventuel, explique la Cour de cassation.Que le client prenne peur devant le risque ou la mauvaise tournure des événements, ou que l'opération tourne vraiment mal, il faut commencer par mener l'opération à son terme, selon les juges.Un particulier avait décidé d'acheter un appartement locatif pour augmenter ses revenus lors de sa retraite. À une époque où les taux d'intérêt le permettaient, il achetait grâce à un crédit in fine, remboursable vingt ans plus tard en capital et intérêts. Le remboursement était garanti par l'ouverture d'un contrat d'assurance-vie sur lequel il mettait ses économies et dont la rentabilité devait permettre de rembourser le crédit dans vingt ans.Mais au bout de dix ans, l'emprunteur observait que l'affaire prenait un mauvais chemin, que le contrat d'assurance-vie ne permettrait peut-être pas de rembourser le crédit, qu'il faudrait aussi vendre l'appartement et que le tout risquait même d'être insuffisant.Le banquier se voyait donc reprocher de ne pas avoir mis en garde ce client "profane" contre le risque de l'opération, susceptible de lui créer un endettement excessif, au regard de ses biens et revenus.La demande de cet emprunteur est peut-être fondée, a dit la Cour de cassation, mais tant que la date de remboursement n'est pas atteinte, il n'est pas certain de ne pas être en mesure de rembourser. La perte n'est pas réalisée, elle n'est qu'éventuelle, et l'erreur ou la faute du banquier n'a pas, en l'état, de conséquences indemnisables.(Cass. Com, 13.2.2019, X 17-14.785).
Il y a 4 ans et 65 jours

A Meyzieu, le lycée colonel Arnaud Beltrame, proposé par Chabanne

L’agence Chabanne est lauréate en février 2021 du futur lycée colonel Arnaud Beltrame de Meyzieu (Rhône). L’ouvrage, d’une surface de 16 207 m² pour un budget 29 M€ H.T conçu pour la région Auvergne Rhône-Alpes, maître d’ouvrage, se distingue par une passerelle sculpturale. Communiqué. Ce nouvel établissement d’une capacité d’accueil de 1 800 élèves comprendra […] L’article A Meyzieu, le lycée colonel Arnaud Beltrame, proposé par Chabanne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 65 jours

Eiffage et Vinci décrochent un record mondial

Le Guinness World Records a attribué à Eiffage Génie Civil et Chantiers Modernes Construction, filiale de Vinci Construction France, le record du plus long coffrage glissant réalisé en une fois. [©Eiffage] Eiffage Génie Civil et Chantiers Modernes Construction (filiale de Vinci Construction France) ont décroché le record mondial du plus long coffrage glissant réalisé en une fois. Ceci, auprès du Guinness World Records. Ce record a été obtenu dans le cadre du chantier de transformation du centre de traitement des déchets ménagers du Syctom. A Ivry-sur-Seine, près de Paris.  En seulement 19 jours Choisie pour sa rapidité par rapport à une solution de bétonnage classique. La technique du coffrage glissant a permis aux équipes de construire la nouvelle fosse de réception. Et de stockage des ordures ménagères résiduelles de la future Unité de valorisation énergétique (UVE). Et ceci, en seulement 19 j : du 18 février au 13 mars 2020. « Confiants dans le savoir-faire de nos équipes. Nous avions fait, il y a plusieurs années, le pari audacieux de recourir au coffrage glissant. Afin de réaliser cet ouvrage majeur du projet. Nos collaborateurs ont su relever ce défi grâce à leur professionnalisme et leur capacité à aller toujours plus loin. Ce record nous incite à continuer à repousser les limites de la technique »,explique Benoît Lapostolle, directeur d’exploitation chez Eiffage Génie Civil. Un total de 212,78 m réalisés en coffrage glissant Réalisé pour le compte du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers. Le chantier consiste en la transformation du centre actuel, qui arrive en fin de vie, en un équipement de pointe. Apportant de meilleures performances sur le plan environnemental. Quelque 160 personnes ont été mobilisées pour la construction de cet ouvrage. Qui mesure 62 m de long, de 22 m de large et de 31,50 m de haut. Soit un total de 212,78 ml réalisés en coffrage glissant. En termes de fournitures, 3 500 m3de béton, 650 t d’acier ont été nécessaires pour la construction. Et 278 vérins hydrauliques pour le coffrage. « Cette réussite est le fruit de l’audace et de l’esprit d’innovation et d’adaptation. Dont nos équipes ont su faire preuve face aux défis rencontrés pendant les phases de préparation et réalisation. Nous sommes fiers d’avoir obtenu ce record qui rend hommage au travail des équipes études et travaux », conclut Karim Rahbani, directeur délégué travaux publics Ile-de-France de Vinci Construction France.
Il y a 4 ans et 65 jours

Le maire de Marseille vendra le Vélodrome à l'OM et à personne d'autre

En marge de la crise à l'Olympique de Marseille, le maire socialiste de Marseille, Benoît Payan, a précisé qu'il ne vendrait le stade Vélodrome qu'au club de la ville et à personne d'autre.
Il y a 4 ans et 65 jours

Rétrospective : Renée Gailhoustet en ses terrasses

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 65 jours

Savy poursuit la digitalisation de sa logistique

Fabricant de brosses, pinceaux, rouleaux, outils et accessoires pour le peintre, Savy est la première entreprise à déployer la solution Odatio de Savoye. En plus d’enrichissements apportés à la gestion d’entrepôt, la couverture fonctionnelle d’Odatio s’étend au pilotage des transports.
Il y a 4 ans et 65 jours

Rockwool rénove le Lycée de l'image et du son d'Angoulême avec Rockfaçade et Ecorock

Le bâtiment fait encore partie des quatre secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France et est responsable de 18% des émissions territoriales et de 40% de la consommation finale d’énergie. C’est pourquoi, dans le cadre du plan de relance, le gouvernement va consacrer 2,7 milliards d’euros à la rénovation énergétique du patrimoine de l’Etat. Il est ainsi prévu, d’ici à 2023, de rénover plus de 4.200 bâtiments publics qui devront répondre à deux critères essentiels : leur performance énergétique et la capacité de mise en œuvre rapide du projet.Parmi ces chantiers, les produits de la gamme Ecorock Duo et Rockfaçade de ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, ont été utilisés pour les travaux de rénovation énergétique du Lycée de l'Image et du Son d'Angoulême LISA, débutés en janvier 2020.Comme l’explique Franck Porcel, directeur de GEO Environnement : « La particularité du chantier LISA consistait à réaliser un ITE sur 10.000 m² de murs faïencés, nous devions préalablement faire sauter 3000 ml de listel, traiter des façades arrondies sur des satellites, composer avec des façades truffées de colonnes Gréco-Romaines et sur un lycée en site occupé. »Plus de 10.000 m² d’isolation sous enduit de la gamme Ecorock Duo et 3.500 m² d’isolation en bardage ventilée de la gamme Rockfaçade ont ainsi été utilisés pour l’enveloppe du bâtiment.« Compte tenu de la famille dans le classement feux pour des établissements recevant du public, dans le cadre d’un ITE seule la laine de roche peut répondre aux exigences sécurité incendie » explique Franck Porcel.Le traitement des façades, de l'obélisque et de l'arche est accompagné d'une amélioration énergétique grâce au remplacement de toutes les huisseries et à la pose de châssis double vitrage pour une économie thermique attendue de l'ordre de 40%.ROCKWOOL a également mis à disposition son programme de recyclage des déchets de chantier Rockcycle, afin d’accompagner la région Nouvelle Aquitaine dans sa démarche Développement Durable.« Nous valorisons nos mémoires techniques en mettant en avant le Rockcycle dans la majorité des appels d’offres publics sur lesquels nous répondons. Ce sont des points supplémentaires qui font parfois la différence sur les notes techniques en raison de la simplicité de la mise en œuvre du service Rockcycle et son côté écologique (...) Au final, le procédé mis en place est plutôt simple. C’est pour nous un retour très positif au regard de nos donneurs d’ordres, vis-à-vis de notre philosophie d’entreprise et cela ne nous complique pas plus la tache une fois le mode de fonctionnement intégré par nos équipes. » détaille Franck Porcel ITE : Ecorock, RockfaçadeMaître d’ouvrage : Région Nouvelle AquitaineMaitrise d’œuvre : ALTEREAEntreprise générale : Eiffage Construction Poitou CharenteArchitecte : SIGN ArchitectureBureau d’étude : ILAOEntreprises : Géo Environnement et SILVEA (revêtements extérieurs), GREGOIRE et MERCIER VAUNAC (menuiseries extérieures), REVET ISOL 24 (étanchéité)