Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 86 jours

ZW France annonce la sortie d'ARCHLine 2021

Dans cette version 2021, vous découvrirez de nombreuses nouveautés qui contribuent à accélérer et à améliorer le flux de travail de conception et de documentation.Les principales nouveautés :1. Fonction Pousser/Tirer: La fonction Pousser/Tirer, bien connue des utilisateurs de logiciels de conception 3D est désormais intégrée afin de vous donner toujours plus de possibilité et de fluidité dans la modélisation de vos modèles 3D. Utilisez cet outil pour créer des solides en 3D à partir de contours en 2D et transformez vos solides en bâtiment paramétrique en un clic !2. Références externes IFC, RVT, DWG, PDF… : Cette fonctionnalité permet de lier des fichiers IFC, RVT, DWG, PDF au sein du projet. L'utilisation de Xref est la meilleure option pour visualiser du contenu externe à des fins de coordination.Le fichier IFC, RVT, DWG, PDF est automatiquement mis à jour lorsque vous ouvrez le projet et peut être mis à jour à tout moment. De plus, le modèle importé est traité comme une unité. Le modèle est affiché en 2D / 3D et les données BIM associées peuvent être visualisées.3. Nouvelles classifications IFC :La classification IFC est un outil universel pour communiquer des informations BIM dans un format standardisé. Le système de classification permet aux différentes parties d'avoir une compréhension commune de tous les éléments. Divers systèmes de classification des informations sur les bâtiments sont utilisés au niveau international, (OmniClass - Etats-Unis, Uniclass 2015 - Royaume-Uni). En outre, vous pouvez classer les éléments en fonction de n'importe quelle norme nationale. ARCHLine.XP est prêt à intégrer toute sorte de matrice et convention BIM au format Excel. Il est également possible de gérer les normes industrielles et les bases de données personnalisées, afin de partager des données de la classification IFC avec tout le monde, même s'ils utilisent des logiciels différents.4. Calepinage intégré dans les styles : Une nouvelle fonctionnalité vous permet d'intégrer un style de calepinage complexe à un style de mur existant. Vous pouvez créer des systèmes de fixation et des structures complexes et les intégrer à des motifs de calepinage.5. Gabarits Métier : Un gabarit de projet est un environnement de départ pour un nouveau projet.Le gabarit contient les paramètres personnalisés par défaut pour le projet et détermine les unités de mesure par défaut, les styles, les calques, la structure des niveaux et du bâtiment et les mises en plans. Si le gabarit par défaut n'est pas tout à fait adapté à votre méthode de travail, vous pouvez le modifier selon vos propres besoins et l'enregistrer comme gabarit personnalisé. L'utilisateur peut créer ou enrichir ses propres gabarits.Plus de détails et d'informations, vidéos & tutoriels PDF sur : www.archline.fr
Il y a 4 ans et 86 jours

Paris: le magasin Tati de Barbès transformé en logements sociaux

Le célèbre magasin Tati du quartier Barbès à Paris, victime de la crise sanitaire du Covid-19, va être transformé en logements sociaux, comme le siège historique de l'AP-HP situé en plein coeur de la capitale.
Il y a 4 ans et 86 jours

Le BRGM recherche les meilleures pierres pour restaurer Notre-Dame de Paris

La restauration de Notre-Dame de Paris, suite à l’incendie, réclame des pierres neuves, compatibles avec le monument, dans des quantités importantes par rapport à ce qu’entraînent les travaux ordinaires d’entretien et de restauration des monuments historiques. Pour répondre à ce besoin, l’établissement public et le BRGM ont défini un programme de recherche et développement portant sur l’identification, la caractérisation et la sélection de nouvelles pierres esthétiquement et physiquement compatibles avec les pierres endommagées. Ce programme débouchera sur un guide méthodologique de référence applicable à la cathédrale mais aussi à d’autres édifices de la région parisienne. La méthodologie de recherche prévoit notamment des investigations géologiques en carrières et des essais en laboratoire sur échantillons de pierres. Lancé en juillet 2020, le programme fait intervenir des géologues, des sédimentologues, des géomaticiens et des techniciens de laboratoire du BRGM. Il associe le Laboratoire de recherches des monuments historiques (LRMH) du ministère de la Culture pour sa connaissance approfondie des pierres de la cathédrale. Les pierres d’origine ont été initialement extraites du sous-sol de Paris. Il s’agit de roches calcaires d’âge lutétien, une couche géologique qui s’est formée il y a 41 à 48 millions d’années. De tels terrains affleurent en de nombreux secteurs du « bassin parisien » – plus grand des trois bassins sédimentaires français, qui couvre la majorité de la moitié Nord de la France avec une superficie de 110 000 km2 environ – et se trouvent encore exploités aujourd’hui pour la fourniture de pierres de construction dans une dizaine de carrières au nord de Paris, dans les départements de l’Oise et de l’Aisne. Ces calcaires lutétiens sont le fruit d’un processus complexe de sédimentation, que le programme signé entre l’établissement public et le BRGM prévoit d’étudier afin d’identifier les caractéristiques de pierres adaptées à la restauration de la cathédrale. Prévu pour s’achever mi-2021, ce programme d’études s’intéressera en priorité aux carrières en activité, puis aux gisements non exploités susceptibles si nécessaire de fournir au chantier les pierres compatibles avec celles de l’édifice. Photo : Front de taille d’une carrière extrayant de la pierre calcaire. © BRGM – S.Andrieu  
Il y a 4 ans et 86 jours

#LESCOUVREURSALUNESCO ?

Les toits de Paris, mais plus particulièrement les toits en zinc. Ils recouvrent plus de 70 % des immeubles de la capitale et donnent à Paris ces mille nuances de gris qui inspirent les peintres, les photographes, les cinéastes, les publicitaires… des savoir-faire et des métiers qui confèrent à la capitale française son identité visuelle. Cette année 2020-2021, le GCCP a souhaité relancer pour la seconde fois, une candidature au Patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Tous les couvreurs sont concernés, dans toute la France. Mais un éclairage particulier a été mis sur les couvreurs zingueurs parisiens et les ornemanistes car, pour prétendre concourir au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, il faut, au préalable, avoir été inscrit au Patrimoine national : « Les savoir-faire des couvreurs zingueurs » y sont entrés, le 27 Juin 2017. Cette inscription a ouvert la voie vers l’UNESCO. L’organisation internationale impose des critères spécifiques pour recevoir un dossier de candidature : défendre un « savoir-faire » lié à un lieu, à une histoire, à un matériau, à une technicité particulière et protégé par une communauté, à travers des mesures de sauvegarde. Les couvreurs-zingueurs parisiens et les ornemanistes représentent l’ensemble de la profession de couvreur. Le GCCP est l’initiateur et le coordinateur de cette candidature, mais c’est l’ensemble de la profession de couvreur qui la porte et la soutient. La ministre de la Culture Roselyne Bachelot tranchera mi-mars entre les toits de zinc de Paris, la baguette de pain et une fête vinicole en Arbois, pour savoir lequel sera présenté cette année au Patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Il y a 4 ans et 86 jours

Reconversion des anciens Laboratoires Éclair à Épinay-sur-Seine

Acteur historique de l’industrie technique du cinéma, le site des Laboratoires Éclair, à Épinay-sur-Seine fait l’objet depuis 2019 d’un projet de reconversion pour devenir un lieu ouvert, atypique et culturel. Fermée aux habitants depuis plus d’un siècle, cette friche, à l’identité patrimoniale forte, abrite une forêt urbaine remarquablement préservée, en plein cœur de la ville. Dès 2022, elle constituera une nouvelle polarité urbaine et culturelle à l’échelle du territoire de Plaine Commune : une reconversion inscrite dans la démarche Territoire de la culture et de la création, qui place l’art et la culture au cœur de la fabrique de la ville. En effet, après deux années de réflexion et d’études menées avec la Ville d’Épinay-sur-Seine, Plaine Commune, des artistes et des urbanistes, ce nouveau lieu amorce sa transition. Il s’agit de faire émerger un lieu artistique et culturel porteur d’ambitions urbaines, économiques et sociales. Le site fera l’objet d’une première révélation au public le samedi 10 avril 2021 lors d’une ouverture exceptionnelle, scénarisée par l’artiste Nicolas Frize. La Ville d’Épinay-sur-Seine lui donne carte blanche pour imaginer un parcours à la scénographie unique, qui fera découvrir, au cours d’une soirée, la magie des lieux.
Il y a 4 ans et 86 jours

Vraiment équipé pour le travail à domicile!

Au cours du XXe siècle, face aux transformations de la diplomatie, la France a dû réaliser un important rééquipement de ses chancelleries à travers le monde. Lieux de réception, d'administration et de représentation, les ambassades sont également des architectures d'exception. L'édification de ces bâtiments extraterritoriaux implique non seulement un dialogue avec le pays d'accueil et ses […] Lire l'article
Cimbat
Il y a 4 ans et 86 jours

Vauréal : annulation du permis de construire des 22 logements sociaux portés par Domaxis

La justice a donné raison à l’association « Les Trois Tilleuls » en annulant le permis de construire des 22 petites maisons de Domaxis.
Il y a 4 ans et 86 jours

A la ZAD de Gonesse, comme un petit air de Notre-Dame-des-Landes

Leur combat n'a débuté que depuis une semaine, mais les militants qui l'occupent se rêvent déjà en héritiers de ceux de Notre-Dame-des-Landes. Après des années d'occupation de ce bocage nantais, le gouvernement avait fini en 2018 par renoncer à y construire un nouvel aéroport."On a toujours dit qu'on s'inspirait de Notre-Dame-des-Landes mais on ne fera pas du copier-coller", prévient toutefois Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Dans la nouvelle ZAD de Gonesse (Val-d'Oise), la contestation vise le projet de construction d'une gare du Grand Paris Express, qui doit relier en 2030 Saint-Denis à l'aéroport Charles-de-Gaulle, et d'une zone d'activités sur une partie des 280 hectares de terres agricoles du site.Le secteur avait déjà échappé à l'artificialisation en novembre 2019, quand Emmanuel Macron avait annoncé l'abandon du projet de mégacomplexe commercial et de loisirs Europacity.Aujourd'hui, les militants jugent que la future gare contraire aux enjeux écologiques actuels et défendent un projet alternatif agricole.Par roulement, une trentaine de personnes assurent une présence permanente sur le site, où se dressent quelques cabanes en bois, palettes et tôles qui font office de dortoirs ou salle de bain. En journée, les effectifs grimpent jusqu'à une centaine de personnes qui se retrouvent à la "bibliothèque", au "saloon" ou pour construire au plus vite de nouveaux abris."En se rassemblant en nombre avec juste de la récup', de l'énergie et beaucoup de courage, on peut s'opposer à ce genre de projets immenses que sont des aéroports, des grands centres commerciaux, des pistes de skis, des gares...", confie près d'un dortoir de fortune Malal (prénom d'emprunt), un militant du mouvement Extinction Rebellion."Tenir""Ça donne du courage Notre-Dame-des-Landes, ça prouve que ces combats peuvent être gagnés", ajoute ce technicien audiovisuel de 22 ans avant de céder sa place à la relève après deux nuits glaciales sur place.Face à la mobilisation, le propriétaire du terrain, l'Etablissement public foncier d'Ile-de-France (EPFIF), a fait constater son occupation illégale. Le litige doit être étudié par le tribunal de Pontoise mercredi matin.D'ici à une éventuelle évacuation, "notre but est de tenir la ZAD le plus longtemps possible. On ne perturbe en rien l'ordre public", assure Bernard Loup. "On n'a pas d'agriculteurs avec des tracteurs pour venir bloquer les camions de CRS", ajoute-t-il, assurant que le collectif "reste dans la non-violence".L'occupation de Notre-Dame-des-Landes a donné lieu à de nombreuses violences entre forces de l'ordre et "zadistes", jusqu'à une grande opération d'évacuation en avril 2018, trois mois après l'abandon du projet d'aéroport."Ici, c'est pas le bocage. La mobilisation n'est pas du même ordre, on est proche de Paris", confie Aline Pires, sympathisante du CPTG et occupante de la ZAD, "c'est aussi une force pour nous car ça veut dire que les lieux de pouvoir sont proches et les forces militantes aussi".Les autorités locales, elles, fulminent. Marie-Christine Cavecchi, la présidente (LR) du département du Val-d'Oise, fustige des "militants extrémistes" qu'elle accuse de "prendre en otage l'avenir de tout un territoire" défavorisé.Quant à la présidente (Libres!) de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, elle a dénoncé "une occupation illégale du domaine public qui bloque la réalisation d'un métro qui est attendu par 1,5 million d'habitants dans le Val-d'Oise."Samedi, quelques dizaines d'habitants de Villiers-le-Bel et Gonesse se sont rassemblés pour réclamer plutôt la modernisation des transports existants.Usagère du RER D, Ilham Sehhouli peste contre les "complications" régulières sur cette ligne, une problématique plus urgente selon elle que de construire une gare sur le Triangle de Gonesse, "trop éloigné de la ville". "Pourquoi supprimer la verdure ?", ajoute-t-elle, "c'est le peu qu'il nous reste ici."
Il y a 4 ans et 86 jours

L'AP-HP vend un hôtel particulier 60 millions d'euros pour payer la rénovation de l'Hôtel-Dieu

Les pièces jaunes vont changer de tirelire: l'hôtel Scipion, dans le Ve arrondissement, qui héberge entre autres la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, a été vendu vendredi au groupe français GDG Investissements, sélectionné "à l'issue d'une procédure de consultation publique lancée en 2019", précise l'AP-HP dans un communiqué.Bâtie au XVIe siècle, l'ancienne demeure du banquier de Catherine de Médicis, transformée en hospice au XVIIe, puis en boulangerie centrale des hôpitaux parisiens après la Révolution, avait été reconvertie en bureaux et logements au début des années 1980.Le nouveau propriétaire prévoit d'y ouvrir "pour la rentrée universitaire 2023" un "campus international d'exception" doté d'une "résidence sociale réservée aux étudiants".L'opération rapporte 60,5 millions d'euros à l'AP-HP qui "affectera une partie du produit de cette vente au financement du projet hospitalier de l'Hôtel-Dieu".Le plus vieil hôpital parisien, sur l'île de la Cité, doit regrouper ses activités médicales (urgences, consultations, psychiatrie, recherche) sur deux-tiers de sa surface après une rénovation en profondeur.Un chantier à 100 millions d'euros, qui doit être financé par "des cessions de bâtiments" et "sans recourir à l'emprunt ni à des financements qui auraient pu bénéficier à d'autre hôpitaux", selon l'institution.Le tiers restant, dont l'aile donnant sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, a été cédé en 2019 au promoteur Novaxia, via un bail de 80 ans d'une valeur totale de 241 millions d'euros.Une somme censée "équilibrer le plan de financement global de la transformation de l'Hôtel-Dieu", mais pas seulement: 30 millions sont déjà fléchés vers un fonds "consacré à l'amélioration des conditions de travail et aux prises en charges innovantes des patients".
Il y a 4 ans et 86 jours

RECTOR enrichit son offre avec des Prémurs béton bas carbone pour réduire l’impact environnemental de ses systèmes préfabriqués

Dans le cadre de sa démarche RSE initiée en 2020, RECTOR, spécialiste de la fabrication d’éléments en béton précontraint et béton armé, s’engage dans la réduction de l’impact environnemental de ses systèmes préfabriqués. Son offre s’enrichit d’un Prémur béton bas carbone, né de la collaboration entre l’unité de production de Rector située à Berre-L’Etang et Ecocem, 1er producteur européen indépendant de laitier moulu de haut-fourneau, basé à Fos/Mer. Une réduction de 35 à 40 % de l’empreinte carbone Pour la création de son nouveau Prémur bas carbone, la stratégie de Rector a reposé sur 3 objectifs majeurs : obtenir un Prémur bas carbone avec les mêmes qualités que le Prémur réalisé en béton standard afin de ne pas réduire son champ d’application, maîtriser son coût de revient pour continuer à proposer un produit aux prix du marché, réduire son impact environnemental au maximum. Fruit de la recherche interne de Rector sur les formulations béton réduisant fortement l’impact carbone, le nouveau Prémur affiche une réduction de l’ordre de 35% à 40%, suivant la classe d’exposition, par rapport aux bétons décrits dans la norme NF EN206. Pour parvenir à de tels résultats, Rector a substitué une part du ciment par du laitier de haut fourneau et du filler, deux matériaux aux émissions carbone faibles mais avec des performances de durabilité équivalentes à celles du ciment. Un travail sur l’adjuvantation et sur l’optimisation de l‘étuvage a également été réalisé en usine. Ces résultats, qui ont fait d’ores et déjà l’objet de nombreux tests en laboratoire et en usine, seront formalisés dans une FDES spécifique en cours d’élaboration. Un Prémur bas carbone réalisé en local Le nouveau Prémur bas carbone de Rector est né de la collaboration entre son unité de production située à Berre-L’Etang et le site voisin d’Ecocem de Fos/Mer qui lui fournit le laitier de haut fourneau. Les sous-produits de l’industrie sidérurgique sont ainsi revalorisés efficacement, en local, dans l’unité de production de Rector. Proposée dans un premier temps uniquement dans le Sud de la France, l’offre de prémurs bas carbone Rector sera prochainement disponible nationalement. Au-delà des Prémurs, Rector souhaite aujourd’hui ouvrir ces avancées techniques à ses Prédalles et à l’ensemble de ses produits en béton. Parce qu’une seule solution d’optimisation ne peut être envisagée, l’entreprise explore toutes les pistes menant à la décarbonation en bonne intelligence de son offre. Prémur Rector, une solution constructive préfabriquée aux multiples avantages Elément de structure préfabriqué industriellement, le Prémur Rector est une solution constructive qui offre de nombreux avantages par rapport au béton banché et à la préfabrication lourde. Il est constitué de deux parois minces en béton armé préfabriqué, assemblées en usine et de dimensions indépendantes, maintenues espacées par des raidisseurs métalliques verticaux. Une fois positionnés et stabilisés, les panneaux de Prémur font office de coffrage : des armatures de liaison y sont glissées et du béton prêt à l’emploi coulé, ce qui garantit la stabilité de la construction. Destiné aux murs intérieurs et extérieurs, le Prémur Rector bénéficie de nombreuses possibilités de configurations (intégration de poteaux, poutres, huisseries métalliques…) et présente des atouts majeurs : rapidité et facilité de pose, réduction des coûts et des délais d’exécution, qualité de parement simplifiant les finitions, solution idéale contre existant ou en cotes bloquées, réduction des terrassements en infrastructure, suppression des inconvénients du coffrage, amélioration des conditions de travail et de sécurité.
Il y a 4 ans et 86 jours

Comment les propriétaires de maisons perçoivent l'isolation ?

ETUDE. Quelles sont les motivations des propriétaires de maisons individuelles pour se lancer dans des travaux d'isolation ? Quels sont les bénéfices ressentis ? Quid des aides ? Réponses et téléchargement de l'intégralité de l'enquête BVA réalisée pour Isover.
Il y a 4 ans et 86 jours

Nouvelles accusations de fraude à l'office HLM de Bobigny

JUSTICE. L'office public de l'habitat de Bobigny a déposé deux nouvelles plaintes au pénal, en plus des 5 déjà en cours, pour des soupçons de fraude sous la précédente mandature.
Il y a 4 ans et 86 jours

Pénurie et hausse des coûts des matières 1ères : Inoha alerte les pouvoirs publics et l’ensemble de la filière

Inoha, l’association professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, est en alerte avec l’ensemble des acteurs de la filière, ainsi que les pouvoirs publics, sur les risques que font peser la hausse des coûts et la pénurie des matières premières sur le secteur, mais aussi sur la relance de l’économie française. Alors que le marché du bricolage et de l’amélioration de l’habitat est porté par l’engouement des Français depuis le début de la pandémie, les industriels, impactés déjà par la hausse des coûts de productions de près de 20% liée à la crise sanitaire, sont maintenant confrontés, depuis octobre 2020, à une forte hausse des prix des matières premières (selon les métaux, hausse de 30% à 100%) sans compter le prix du transport, notamment des containers venant de chine dont le prix a été multiplié par 5. « A la hausse s’ajoute maintenant une véritable pénurie de matières premières qui va avoir de lourds impacts sur nos productions » déclare Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, les Industriels du Nouvel Habitat, qui a alerté, tout début Janvier 2021, la Fédération Nationale des Magasins de Bricolage (FMB) sur les risques de rupture d’approvisionnements et les conséquences sur les taux de service. En parallèle, Inoha a pris l’initiative de se rapprocher des pouvoirs publics pour les informer de leurs difficultés face aux lourdes conséquences que cela pourrait avoir sur leurs activités, et plus globalement sur celle de l’ensemble de la filière. A cet effet, un rendez-vous a eu lieu à Bercy le 8 février dernier entre le Cabinet de Madame Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie et l’équipe de direction d’Inoha qui a fait part de ses inquiétudes. Une autre rencontre est prévue la semaine prochaine avec le Cabinet d’Alain Griset, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises. Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, tient à rappeler « le sens des responsabilités qui anime chaque acteur de la filière pour faire face à cette situation qui pourrait avoir des effets négatifs sur l’ensemble de la filière ». Il est par ailleurs en contact étroit avec la FMB afin que « le dialogue entre les industriels et les distributeurs soit constructif car ces hausses, certes conjoncturelles, et ces tensions d’approvisionnement contraignent de manière significative les marges des industriels déjà impactées par les surcoûts liés à la crise du COVID et à la suractivité de ces derniers mois ». Pour cela, il rappelle que la filière Inoha / FMB peut s’appuyer sur la recommandation 19-1 de la Commission d’Examen des Pratiques Commerciales (CEPC) qui stipule que « le règlement des litiges liés à l’application des pénalités logistiques doivent être appréciés en tenant compte également, outre la force majeure, d’autres circonstances indépendantes de la volonté des parties et extérieures aux parties » et un peu plus loin précise que « certaines circonstances externes aux fournisseurs et aux distributeurs ne remplissant pas les conditions de le force majeure et perturbant les livraisons (par exemples, blocage des sites industriels ou d’entrepôt de stockage ou des axes de transport, pénurie avérée de matières premières avec délai de prévenance, crise sanitaire, aléa climatique d’une ampleur exceptionnelle, etc…) peuvent également constituer des causes d’exonération des pénalités ». Inoha souligne sa conviction que l’ensemble des acteurs de la filière fasse, une nouvelle fois, preuve de responsabilité et de solidarité.
Il y a 4 ans et 86 jours

Le nouveau DPE représente une "transition" pour les agents immobiliers

PERFORMANCE ÉNERGETIQUE. La Fnaim voit dans le nouveau DPE présenté le 15 février "un outil plus fiable et plus lisible au service de la rénovation énergétique". Son caractère opposable et sa présentation obligatoire dans les agences immobilières sont également salués.
Il y a 4 ans et 86 jours

Eclisse 40, une huisserie inédite et révolutionnaire

ECLISSE 40, l'huisserie sous un autre angleLes portes affleurantes, aussi appelées portes invisibles, sont de plus en plus proposées dans les projets. Le côté opposé n'était à ce jour pas exploité. ECLISSE 40 est née de cette idée en y laissant apparaître le cadre en aluminium. D'un côté la porte est à fleur de mur et de l'autre, l'huisserie est apparente et s'incline à 40°. Elle émerge du mur avec finesse et subtilité.L'inclinaison de 40° crée un sentiment de profondeur. L'aluminium, résistant et élégant, permet un jeu de lumière et une apparence originale. L'huisserie visible et raffinée laisse son empreinte dans la pièce, tout en s'adaptant à son environnementElle se décline en quatre finitions : brut avec primaire, bronze clair, bronze foncé et bronze graphite.Avec cette innovation, ECLISSE crée une nouvelle façon d'imaginer la porte d'intérieur, tout en conservant l'aspect d'une porte à fleur de mur.Les caractéristiques techniques d'ECLISSE 40Compatible avec les cloisons en plaques de plâtre d'épaisseur finie de 100 mmLargeur de porte : de 616 à 1016 mmHauteur de porte standard : 2040 mmHauteur sur-mesure disponible : de 1650 à 2700 mmPour plus d'informations : télécharger la brochure
Il y a 4 ans et 86 jours

Matériels de BTP : Le Seimat table sur + 8 % en 2020, sauf pour le béton

Seules, les pompes à béton stationnaires ont progressé de 6 % en 2020, en nombre de matériels vendus. [©ACPresse] « On a craint le pire ! » Ainsi, Pascal Guillemain, président du Seimat*, est-il entré dans le vif du sujet. Celui détaillant les résultats 2020 et les perspectives 2021 de la vente de matériels de BTP. « Début mars, lorsque tout s’est arrêté, nous étions inquiets. Mais finalement, la crise n’a pas été si dramatique pour l’activité. » Ceci, par rapport à ce qu’on en aurait pu en attendre…  Dans ce contexte particulier, l’année 2020 s’est achevée avec un recul des ventes de 16 %, tous matériels confondus. Soit un passage de 2,8 à 2,2 Md€ de chiffre d’affaires pour l’ensemble des industriels représentés par le syndicat. « Le Seimat réunit 41 adhérents pour 76 marques identifiées. C’est l’équivalent de 75 % du marché du matériel en France », rappelle Pascal Guillemain. Et Pascal Petit-Jean, secrétaire général du Seimat, de compléter : « Nous n’avons eu aucune nouvelle adhésion en 2020. Sans doute, les effets indirects de la crise sanitaire. Mais nous espérons faire changer les choses cette année… » Aussi bien qu’en 2009 Plus dans le détail, le premier semestre 2020 est celui qui a enregistré la plus forte baisse. Ce qui semble logique, avec un arrêt presque total de l’activité économique durant quelques semaines. Ainsi, à fin juin, les ventes de matériels affichaient un triste – 30 %. Mais la seconde moitié de l’année a connu un important rebond, finissant à – 3 %. Et 2021 devrait s’inscrire dans cette belle dynamique. « Nous attendons une progression de 8 % sur l’année. » Soit la vente de 52 700 matériels, contre 50 000 tout juste en 2020. Malgré tout, ce chiffre restera inférieur aux exceptionnelles 60 000 unités enregistrées à fin 2019. « Mais il ne faut pas bouder son plaisir, reprend Pascal Guillemain. L’année 2021 devrait être comparable à 2008, avec ses 53 200 matériels. Un chiffre historique. » Juste avant la chute mémorable liée à la crise des sub-primes de 2009. Mais ne jouons pas les Cassandre, cette fois-ci, la crise inattendue est passée avant…  Centrales, pompes et toupies, plombées par le Covid Et dans cette situation plutôt positive, qu’en est-il des matériels pour le béton ? A vrai dire, ce sont eux qui tirent le moins bien leur épingle du jeu. Ils finissent bon dernier, à -38 %. « Nous étions déjà sur une tendance baissière en 2019 et avions anticipé un recul de – 10 % en 2020 », confie Olivier Saint-Paul, responsable positionnement et réforme des statuts du Seimat. La crise du Covid a juste enfoncé le clou ! Ainsi, les toupies passent de 1 148 unités en 2019, à tout juste 819, en 2020. Soit un recul de 40 %. Les pompes automotrices terminent l’année à – 24 % (52 unités vs 68 un an plus tôt). Seules, les pompes stationnaires se distinguent, progressant de 6 %. A relativiser tout de même, car cela représente une unité en plus (soit 17 pompes en 2020 contre 16 en 2019 !). Quant aux tapis de transport du béton, ils quittent provisoirement la partie, faute de combattants… « Il n’y a plus de statistiques officielles concernant ces équipements, car il n’y a pas assez d’adhérents dans cette catégorie », précise Pascal Petit-Jean.  Un second semestre 2021 incertain dans le béton Dans ce contexte, l’année 2021 ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices. Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) table sur une progression de l’activité de 1 %. De facto, les achats de matériels (centrales, pompes comme toupies) ne devraient pas exploser les compteurs. Au mieux, le Seimat espère atteindre les 3,5 % de hausse. Et encore, pas répartis de manière équitable. « Les 3,5 % constituent la version haute, conclut Olivier Saint-Paul. Plus vraisemblablement, nous nous situerons entre 0 et 3,5 %. » Sachant que, s’il y a de bonnes attentes sur le premier semestre 2021, les incertitudes planent sur le reste de l’année… Frédéric Gluzicki *Syndicat des entreprises internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage. 
Il y a 4 ans et 86 jours

Réinventer Paris 3, j’y pense, je baille et puis j’oublie

Parmi les initiatives pour résorber la crise de l’habitat, voici Réinventer Paris 3, qui « s’attaque » vaillamment aux bureaux vacants de la capitale pour les convertir en logements. Depuis le 9 février 2021 en effet, les propriétaires, concepteurs et architectes sont invités à « imaginer à quoi ressembleront les habitations de demain grâce aux locaux vides d’aujourd’hui ». […] L’article Réinventer Paris 3, j’y pense, je baille et puis j’oublie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
GDA
Il y a 4 ans et 86 jours

La ventilation simple flux, incontournable dans une rénovation performante d'après l'AQC

RETOURS D'EXPÉRIENCES. Dans son rapport thématique consacré à la ventilation mécanique simple flux par extraction en rénovation, l'Agence qualité construction liste une douzaine d'enseignements basés sur les constats observés au sein d'un échantillon de chantiers réalisés en France métropolitaine. La ventilation est présentée comme un "élément central" et "l'un des principaux gages de qualité" d'une bonne rénovation.
Il y a 4 ans et 86 jours

Une nouvelle formule du DPE dès juillet pour lutter contre les passoires énergétiques

Le DPE, créé en 2006, renseigne sur une échelle de A à G sur la performance énergétique d'un logement et oriente notamment les choix en termes de travaux de rénovation.La méthode de calcul du DPE élimine désormais la référence à la consommation énergétique sur la base des factures passées pour s'appuyer "sur les caractéristiques physiques du logement comme le bâti, la qualité de l'isolation, le type de fenêtres ou le système de chauffage", précise le ministère.Cette modification apportera "plus de fiabilité" et évitera des "DPE vierges" en l'absence de facture disponible qui représentent près de 20% des DPE réalisés, selon la même source.A partir du 1er juillet, ce nouveau DPE deviendra "opposable juridiquement" au même titre que les autres diagnostics du bâtiment, comme ceux relatifs à l'état des installations électriques ou la présence d'amiante ou de plomb, précise le ministère.Les étiquettes F et G de ce nouveau DPE désigneront dès son entrée en application les logements qualifiés de "passoires énergétiques". Leur nombre est évalué à 4,8 millions par la dernière étude du ministère de la Transition écologique.Ces deux catégories de logements devront être rénovées sous peine d'être exclues du marché locatif d'ici 2028, avec deux étapes intermédiaires: la première en 2023 avec une interdiction pour les logements les plus énergivores (plus de 450kWh au m2 par an) et une deuxième en 2025 pour les logements classés G.La nouvelle étiquette "énergie" tiendra compte "à la fois de la consommation d'énergie primaire et des émissions de gaz à effet de serre", précise le ministère.Le DPE comportera en outre des recommandations, qu'il s'agisse de travaux de rénovation ou de bons usages du logement et donnera une estimation du coût des travaux à entreprendre.Les DPE réalisés avant le 1er juillet et dans la limite de leur validité actuelle (10 ans) pourront néanmoins encore être utilisés pour conclure des ventes ou des baux immobiliers pendant une phase transitoire qui durera jusqu'au 31 décembre 2024, précise le ministère.Cette refonte du DPE était prévue dans la loi Elan (évolution du logement, de l'aménagement et du numérique) de 2018.
Il y a 4 ans et 86 jours

BTP Consultants change de gouvernance et d’actionnaires

De gauche à droite, Roland Le Roux, nouveau président du groupe BTP Consultants, et Jean-François Baron, nouveau président de BTP Consultants. [©BTP Consultants] Pour accélérer son développement, le groupe BTP Consultants (BTP Consultants, Citae et MBAcity) s’appuie sur une nouvelle gouvernance. Ainsi que sur de nouveaux actionnaires à compter du 1ermars 2021. Ainsi, Roland Le Roux en devient le nouveau président. Et succède à Patrick Vrignon, fondateur du groupe. Ce dernier est nommé président du conseil de surveillance auprès des investisseurs. Jean-François Baron, actuel directeur opérationnel, est, quant à lui, le nouveau président de BTP Consultants. Rony Chebib reste directeur général de cette entité et aidera Jean-François Baron dans ses nouvelles fonctions. Vers une croissance organique De plus, le groupe BTP Consultants fait entrer les fonds d’investissement Apax Partners et Bpifrance. Fort de ce soutien, il ambitionne de poursuivre sa croissance organique et de déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. « L’arrivée d’Apax et de BpiFrance et l’entrée au capital de plus de 20 managers vont nous permettre d’aller plus loin encore. De précurseur dans nos métiers, nous nous donnons les moyens de devenir acteur de référence de la transformation complète des secteurs de l’immobilier et de la construction, explique Roland Le Roux, nouveau président du groupe. Et de poursuivre : « Fort de ce soutien, le groupe BTP Consultants vise à poursuivre sa croissance annuelle supérieure à 10 %. Et à déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. A horizon 2025, nous avons pour ambition de doubler notre chiffre d’affaires en régions. Ainsi que de renforcer notre présence sur des segments à fort potentiel de croissance. Industrialisation et digitalisation de la conception et de la construction, rénovation énergétique et impact carbone. Mais aussi mise à disposition et gestion des données sont autant de thématiques sur lesquelles nous nous positionnons comme leader pour nos professions. Ainsi que pour l’ensemble du secteur d’activité ». Près de 60 M€ de chiffre d’affaires Spécialiste du secteur des Tic (Testing, Inspection et Certification), le groupe BTP Consultants s’est imposé comme référent technique des acteurs du bâtiment et de la conception des projets de rénovation. Créé en 1996, il propose une offre complète de services de contrôle technique pour la construction, la coordination SPS (Sécurité et Protection de la Santé), les diagnostics immobiliers et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Ainsi que des prestations liées au BIM. Il emploie plus de 500 collaborateurs à travers un réseau de 24 agences en France. De plus, il réalise un chiffre d’affaires de près de 60 M€. Et compte plus de 6 000 clients au sein de son portefeuille. « Nous franchissons une étape importante dans la transmission progressive du groupe à son management. Je suis fier du travail accompli par l’ensemble des collaborateurs du de BTP Consultants. Et certain que le savoir-faire des investisseurs et de la nouvelle équipe dirigeante lui permettra de poursuivre sa croissance basée sur la culture clients et l’innovation »,conclut Patrick Vrignon, fondateur et président du conseil de surveillance.
Il y a 4 ans et 86 jours

Le logement, la crise dont les Français se fichent éperdument ?

Dans notre article consacré au rapport Lemas* publié le 26 janvier 2021, nous indiquions qu’un autre rapport, celui du député Modem de la Haute-Garonne Jean-Luc Lagleize, avait été « enterré ». Enterré était sans doute trop vite dit, comme a tenu à nous l’expliquer le député. Ce n’est pas pour autant une bonne nouvelle. Explications. Dans son […] L’article Le logement, la crise dont les Français se fichent éperdument ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 86 jours

La division “Véhicules industriels” de Daimler va se scinder en deux

En 2019, Daimler a livré un total d’environ 500 000 camions et bus dans le monde. [©Daimler] Daimler prévoit un changement fondamental dans sa structure. Le but ? Libérer le plein potentiel de ses activités, afin d’accélérer la mise en place du “zéro émission”. Le conseil de surveillance et le directoire envisagent une scission partielle de ses activités industrielles dans le secteur des camions et des bus. L’idée est de créer, d’un côté, Mercedes-Benz Cars & Vans et, de l’autre, Daimler Truck & Bus. Cette dernière entité aura une gestion indépendante et une gouvernance d’entreprise autonom. Y compris un président indépendant du conseil de surveillance. La transaction et la cotation de Daimler Truck & Bus à la bourse de Francfort devraient être achevées avant la fin de l’année 2021. En outre, Daimler a l’intention de se rebaptiser Mercedes-Benz, en temps voulu…  Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde « C’est un moment historique pour Daimler. Il représente le début d’un profond remodelage pour la société. Mercedes-Benz Cars & Vans et Daimler Trucks & Bus sont des entreprises différentes, avec des clients, des voies technologiques et des besoins en capitaux spécifiques », déclare Ola Källenius, président du conseil d’administration de Daimler et Mercedes-Benz. Et de poursuivre : « Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde, offrant des voitures désirables à des clients exigeants. Daimler Truck & Bus fournit des solutions de transport et des services de pointe à ses clients. Les deux sociétés opèrent dans des secteurs qui sont confrontés à des changements structurels et technologiques majeurs. Dans ce contexte, nous pensons qu’elles seront en mesure de fonctionner plus efficacement en tant qu’entités indépendantes. Dotées de fortes liquidités nettes et libérées des contraintes d’une structure de conglomérat ». A travers cette scission, Daimler Truck entend créer de la valeur pour ses actionnaires. Ceci, en accélérant l’exécution de ses plans stratégiques. En augmentant sa rentabilité et en poursuivant le développement de technologies sans émissions pour ses camions et ses bus. 500 000 camions et bus en 2019 « L’indépendance s’accompagne de plus grandes possibilités, d’une plus grande visibilité et d’une plus grande transparence, explique Martin Daum, membre du conseil d’administration de Daimler et président du conseil d’administration de Daimler Truck.  Nous allons poursuivre notre croissance dans le domaine des moteurs alternatifs et de l’automatisation. Nous avons déjà défini l’avenir de nos activités avec des camions à batteries et à piles à combustible. Ainsi que des positions fortes dans la conduite autonome. Grâce à des partenariats ciblés, nous allons accélérer le développement des technologies clefs. Ceci, pour proposer à nos clients les meilleurs produits de leur catégorie. » Daimler Truck & Bus est le plus important constructeur de camions et de bus à l’échelle mondiale. Avec plus de 100 000 employés, il réunit 7 marques : BharatBenz, Freightliner, Fuso, Mercedes-Benz, Setra, Thomas Built Buses et Western Star. En 2019, un total d’environ 500 000 camions et bus de la marque a été livré dans le monde. Le chiffre d’affaires 2019 des différentes divisions a atteint 40,2 Md€ pour la partie “Trucks” et 4,7 Md€ pour la partie “Bus”. « La transformation de notre industrie progresse très vite. Pour que nous puissions suivre le rythme, nous devons investir dans l’innovation. A cette fin, nous allons créer un fonds de 1,5 Md€ pour Daimler Truck. En plus de nos plans financiers actuels », conclut Michael Brecht, Président du Comité d’Entreprise de Daimler.
Il y a 4 ans et 86 jours

L’illibéralisme en ville, les promoteurs (p)osent de nouveaux jalons

Une tribune de Véronique Bédague, directrice générale de Nexity, publiée dans Le Monde le 12 février 2021 ne promeut rien moins, mètre carré par mètre carré, qu’un accaparement de l’espace public. Les communs à la sauce promoteur, une dystopie ? Vendredi 11 février 2021 commençait mal, Patrick Bouchain était l’invité sur France Culture de la chronique […] L’article L’illibéralisme en ville, les promoteurs (p)osent de nouveaux jalons est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 86 jours

Restaurons Notre-Dame dévoile ses premières études pour la restitution de la charpente et de la flèche

Mobilisant de nombreux experts et dans un premier temps 30 jeunes architectes et ingénieurs en Master II Génie Civil « Architecture Bois Construction » de l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy (ENSAN) et de l'École Nationale Supérieure des Technologies et des Industries du Bois d'Épinal (ENSTIB), Restaurons Notre-Dame (rND) s'est constitué en un véritable « PÔLE BOIS » avec l'ambition de contribuer à la restitution optimale de la charpente, de la flèche et de la toiture de Notre-Dame de Paris. rND dévoile aujourd'hui la phase 1 de son programme menée par ces étudiants de nos Grandes Écoles.Les équipes ont établi une série de propositions en s'inscrivant dans la forme, la géométrie et l'aspect extérieur d'origine de la toiture tout en restant dans le champ de la conservation du patrimoine. Bien que ces scénarios puissent s'éloigner parfois d'une restauration « à l'identique » comme l'entendrait un néophyte, il s'agit ici, avant tout, de mettre en lumière la problématique complexe de la charpente et flèche de Notre-Dame de Paris dont on ne peut faire l'économie.Les propositions pour la charpente, flèche et toiture de Notre-Dame prennent en compte différents critères comme le nombre de points d'appui, la conservation ou la réduction du poids propre de l'ensemble de la charpente, le choix du matériau de couverture, la maintenance de la charpente et de la couverture, la sécurité incendie, etc.Ces scénarios utilisent judicieusement des modules paramétriques qui permettent d'adapter toute solution à la pathologie de la maçonnerie de la Cathédrale sérieusement affectée par l'incendie.Les propositions s'intéressent également aux moyens de production actuels, aux enjeux environnementaux, aux questions de salubrité des matériaux employés, au développement de la filière bois, de ses métiers et des bénéfices qui pourraient en résulter, en particulier pour la formation des jeunes en leur ouvrant de nouvelles perspectives d'emploi.Deux articles complètent ce communiqué et donnent de plus amples précisions sur ce programme :« Les Grandes Écoles se mobilisent pour La charpente et la flèche de Notre-Dame de Paris » (par Alain Hays)« Un programme ambitieux pour la restauration de la toiture de Notre-Dame de Paris : Charpente - Flèche - Couverture » (par Pascal Jacob)
Il y a 4 ans et 86 jours

"Nous sommes prêts à attaquer le marché", DG France Knauf Ceiling Solutions

INTERVIEW. Nouvelle division du groupe Knauf, Knauf Ceiling Solutions affiche des ambitions marquées sur le secteur des plafonds. Niels-Christian Havsteen, directeur général France de cette division, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 87 jours

Total: les écologistes rejoignent les raffineurs contre la fermeture de Grandpuits

Une centaine d'ouvriers de Total rejoints par des militants écologistes se sont rassemblés devant le siège de Total à la Défense (92) pour contester la reconversion de la raffinerie de Grandpuits (77).
Il y a 4 ans et 87 jours

Hausse des prix des matériaux (acier, bois...) : comment les entreprises font face

TENSIONS. Depuis deux mois, les tensions sur le marché des matières premières et matériaux se multiplient. Comment les entreprises et artisans du bâtiment peuvent-ils faire face à ces hausses ? Réponses avec la Fédération française du bâtiment (FFB) et la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).
Il y a 4 ans et 87 jours

Le paradoxe du contexte : l’incantation n’est pas une réponse

Pour être architecte, il faut avoir une utopie, une manière de faire rêver, avant d’être confronté à la réalité, celle du contexte. Que pensez-vous de la ville du Quart d’heure ? Que pensez-vous de Line city ? Et de la ville flottante ? … Cette question m’a été posée par un critique réputé qui ajoutait : Et vous, quelle est […] L’article Le paradoxe du contexte : l’incantation n’est pas une réponse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

Insens, une douche connectée pour économiser l’eau et augmenter le confort

Inman, start-up strasbourgeoise, a créé Insens, une douche électronique, connectable ou autonome, qui assure d’importantes économies d’eau et un confort accru. Elle lance une levée de fonds sur WiSeed
Il y a 4 ans et 87 jours

Hausse des redevances aéroportuaires : refus à Lyon, feu vert à Marseille

L'ART, chargée de la régulation des activités ferroviaires routières et aéroportuaires, "refuse l'homologation des tarifs des redevances aéroportuaires applicables aux aérodromes de Lyon-Bron et de Lyon-Saint-Exupéry pour la période tarifaire du 1er avril 2021 au 31 mars 2022", a-t-elle expliqué dans un communiqué.La demande portait sur une hausse homogène de 4,9%, "qui n'a pu être considérée comme modérée"."Dès lors, les tarifs des redevances aéroportuaires et leurs modulations actuellement en vigueur demeureront applicables au 1er avril 2021 sur ces aérodromes", a ajouté l'autorité.En décembre, l'ART avait déjà rejeté une première demande du gestionnaire des aéroports lyonnais, qui portait alors sur une hausse de 9% des tarifs.A l'époque, l'organisme avait également mis son veto à la demande d'homologation du gestionnaire de l'aéroport de Marseille-Provence, pour des tarifs en hausse de 8,2%.Cette demande a été revue à la baisse à 3,1%, et l'ART a cette fois décidé de l'homologuer, remarquant qu'il s'agissait d'une "augmentation moyenne différenciée des tarifs (...) reposant notamment sur un partage des risques et opportunités entre l'exploitant et les compagnies aériennes concernant le taux de remplissage des aéronefs".Les redevances aéroportuaires, réclamées par les aéroports aux compagnies aériennes et revues chaque année, correspondent à l'usage des infrastructures et équipements aéroportuaires nécessaires à l'atterrissage, au décollage et à la circulation au sol.Ces propositions donnent chaque année lieu à un bras de fer entre les aéroports et les compagnies aériennes.
Il y a 4 ans et 87 jours

Un nouveau binôme à la tête d'Action Logement Services

CARNET-NOMINATION. Le départ de Jean-Michel Royo entraîne la promotion d'Olivier Rico au poste de directeur général et de David Delage à celui de directeur général délégué.
Il y a 4 ans et 87 jours

Ursa dévoile Cladursa, une nouvelle solution monocouche dédiée au bardage métallique

Meilleur classement de résistance au feu, très bonne performance thermique, rapidité et facilité de mise en œuvre... : avec ses nombreux bénéfices, CLADUSA saura très vite trouver sa place sur le marché et se rendre indispensable pour tous les acteurs.Avec ce lancement, URSA confirme ainsi sa volonté de répondre à toutes les problématiques du marché, y compris en isolation intégrée.Le bardage métallique double-peau : une solution idéale, en particulier pour les locaux d'activitésPrincipalement utilisé dans les grands entrepôts industriels, le bardage métallique double-peau présente des avantages non négligeables : structures faciles à monter, simplicité et rapidité de mise en œuvre, résistant aux intempéries, avec des finitions modifiables à souhait (couleurs, rainures...). Pour ce type de construction, l'isolation se doit donc d'être tout aussi efficace et performante.Pour répondre à ce besoin, URSA lance CLADURSA : une solution associant performance thermique et facilité de mise en œuvre.CLADURSA, la nouvelle référence URSA pour les bardages métalliquesPrésenté sous la forme d'un panneau de laine de verre semi-rigide densifié et rainuré, CLADURSA est la nouvelle solution monocouche spécialement conçue pour les bardages métalliques, lancée par le spécialiste de l'isolation, URSA.CLADURSA présente de nombreux avantages pour tous les acteurs (installateurs, occupants...) :De très bonnes performances thermiques, grâce à un rainurage de l'isolant garantissant un maintien parfait, compatible avec tous les profils de lèvres du marché* et présentant une excellente résistance thermique (lambda = 32).Une mise en œuvre rapide et facile : solution monocouche, légère et semi-rigide, permettant ainsi une pose plus rapide et facilitée.Un gain économique, grâce à la mise en œuvre d'une seule couche d'isolant et à l'absence d'écarteur pour les bardages verticaux.Le meilleur classement de résistance au feu : classé A1, CLADURSA répond aux exigences les plus fortes en termes de résistance au feu.CLADURSA est disponible à partir de 11,66€/m², hors main d'œuvre, en négoces.*Les lèvres sont des appuis présents sur les plateaux de bardages, permettant la fixation du bardage extérieur. Ces lèvres peuvent être "droites" ou en "en caissons". CLADURSA est compatibles avec les 2 profils.
Il y a 4 ans et 87 jours

SikaRapid-8 Slag, un nouvel accélérateur de durcissement

Sika déploie des solutions en faveur de la fabrication de bétons bas carbone. [©Sika] A l’heure de la transition écologique et de la RE 2020, la filière béton travaille à la réduction de son empreinte carbone. Objectif : diminuer de 80 % des émissions de CO2 à l’horizon 2050. Ainsi que Sika vient de développer SikaRapid-8 Slag, un nouvel accélérateur de durcissement, spécifique aux bétons dits “bas carbone”, c’est-à-dire formulés avec une addition de laitier ou à base de ciment recomposé en contenant. SikaRapid-8 Slag est destiné aux bétons prêts à l’emploi, ainsi qu’aux bétons préfabriqués armés ou précontraints. Il permet une montée en résistance à court terme de ces bétons : + 30 % de résistances mécaniques à 20 °C et + 40 % à 5 °C (au bout de 18 h, pour un mélange 50/50 CEM I/laitier). Ainsi qu’une réduction des délais de décoffrage en BPE. Et une amélioration des cadences et une diminution de l’étuvage en préfabrication. Enfin, SikaRapid-8 Slag améliore l’aspect du béton. Conforme à la norme NF EN 934-2 et titulaire de la marque NF, SikaRapid-8 Slag est fabriqué dans l’usine Sika située à Gournay-en-Bray (76).
Il y a 4 ans et 87 jours

La chapelle de Ronchamp en Haute-Saône conçue par Le Corbusier va être restaurée

Les travaux vont principalement consister à colmater les fissures qui affectent l'édifice construit en pierre et en béton en 1955, a décrit Jean-Jacques Virot, président de l'Association Œuvre Notre-Dame-du-Haut (AONDH), propriétaire du site.Ils porteront aussi sur l'étanchéité, les vitraux et le parement dans le but de retrouver la blancheur mate d'origine, a complété M. Virot.Les travaux se dérouleront en cinq phases pendant trois ans, dont la plus importante s'achèvera dès octobre prochain, a-t-il ajouté au cours d'un point de presse.Ils représentent un montant de 2,3 millions d'euros, apporté à 90% par les pouvoirs publics (État, Région Bourgogne-Franche-Comté, département de la Haute-Saône) et à 10% par l'AONDH, selon le communiqué de l'association.Pour financer sa contribution, celle-ci a lancé un appel au mécénat d'entreprises et aux dons de particuliers, selon un objectif de collecte de 75.000 euros cette année, ont exposé ses responsables."Depuis sa construction, elle n'a pas fait l'objet d'une reprise globale de ses pathologies subies par les bétons au cours du temps", a également rappelé M. Virot.La chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp est classée monument historique depuis 1967 et est inscrite depuis 2016 au patrimoine mondial de l'Unesco, parmi 17 sites œuvres de Le Corbusier. Elle est considérée comme l'une des réalisations majeures de l'architecte français d'origine suisse (1887-1965), qui révolutionna sa discipline au XXème siècle."Ce n'est pas un monument en péril, mais c'est un monument malade quand même", a commenté Richard Duplat, architecte en chef des monuments historiques en charge de la chapelle.Les travaux permettront de "fermer le robinet de ce qui l'agresse, pour faire durer" la chapelle, a-t-il ajouté lors du point de presse. Avant le Covid-19, la chapelle était fréquentée par 70.000 visiteurs chaque année, a indiqué l'association.
Il y a 4 ans et 87 jours

Kramer candidat à la reprise d’une usine Jacob Delafon

Le spécialiste lorrain de la robinetterie s’est porté acquéreur du site de production de céramique sanitaire de Jacob Delafon à Damparis auprès du groupe Kohler.
Il y a 4 ans et 87 jours

La prise en charge de l'activité partielle repoussée jusqu'au 31 mars 2021

SOUTIEN. Alors que le Gouvernement avait laissé entendre que le dispositif d'activité partielle serait progressivement réduit, la ministre du Travail Élisabeth Borne a confirmé ce 16 février que les taux actuels de prise en charge seront prolongés pendant encore tout le mois de mars.
Il y a 4 ans et 87 jours

TraceParts & BIM&CO proposent aux fabricants la création et la publication unifiées des données CAO & BIM

Les fabricants pourront dorénavant publier sur la plateforme TraceParts, directement depuis les outils développés par BIM&CO, sans coûts supplémentaires.   Saint-Romain, France – le 10 février 2021 Les fabricants de la construction doivent aujourd’hui fournir de nombreuses données aux différents métiers du BTP. La multitude de formats géométriques et de données produits demandée rendent la phase de création et de maintenabilité de ces éléments complexes. Pour faire face à ces besoins, les processus sont souvent dupliqués et engendrent alors des coûts de gestion de projets et de services supplémentaires. Les délais de mise sur le marché des données produits se voient rallongés et il devient difficile de les maintenir dans le temps. C’est pour répondre à ces difficultés que TraceParts et BIM&CO ont choisi d’unir leurs forces dans le but de rendre cette transition plus facile pour leurs clients actuels et à venir. Ce partenariat TraceParts/BIM&CO permet en effet aux fabricants qui le souhaitent de faire modéliser leurs produits et de les diffuser dans une multitude de formats BIM et CAO (STEP, SOLIDWORKS, CATIA, AutoCAD 3D, Revit, Inventor…) en s’appuyant sur un processus unique et en bénéficiant d’une visibilité accrue. Les objets CAO sont automatiquement transformés à partir des données BIM et publiés sur la plateforme de contenu CAO TraceParts. Cela permet au fabricant d’avoir une plus grande diffusion de ses produits, mais aussi de réduire les coûts de création et de maintenance de ses données dans le temps. Un concept qui séduit déjà puisque de nombreux fabricants étaient en attente d’une solution qui leur permette de gérer plus aisément l’ensemble de leurs données à partir d’un seul et unique outil. Le fabricant de solutions HVAC France Air voit en cette solution un réel gain de productivité. Juliette FORTE, Expert Support Technique, précise :  « Il nous est déjà arrivé d’être confrontés à un litige sur un chantier, en raison d’une référence obsolète du modèle CAO utilisé par le client. Cette expérience nous a prouvé à quel point la mise à jour régulière de nos fichiers était cruciale. La solution de gestion de contenu proposée par BIM&CO se révèle être un véritable PIM pour notre quotidien et permet à nos équipes d’être plus efficaces sur la qualité des données tout en simplifiant le workflow de diffusion ! »   Antoine PIGEON, Directeur Commercial de TraceParts commente : « En publiant leurs catalogues depuis les outils BIM&CO, les fabricants ont également la possibilité de les rendre disponibles sur TraceParts.com, dans plus de 60 formats. Ils profitent par la même occasion de nos 30 ans d’expérience et d’une diffusion auprès d’une audience de plus de 29 millions d’ingénieurs et de concepteurs sur TraceParts et son réseau de sites partenaires TraceParts Publishing Network – c’est-à-dire autant de prescripteurs potentiels ! ». Les outils d’analyse et de statistique fournis par TraceParts et BIM&CO permettent en effet aux fabricants d’analyser les performances de leurs catalogues BIM ou CAO, mais également d’accéder aux profils des ingénieurs et concepteurs. Un moyen malin pour eux d’étendre le nombre de leurs prospects, d’identifier de nouveaux prescripteurs, ainsi que des pays prometteurs en matière de ventes. La diffusion des produits sur TraceParts et leur analyse statistique sous forme de rapport sera gratuite. Cependant la mise à disposition des données utilisateurs sera elle soumise à un abonnement annuel. Baptiste MULLIE, CEO de BIM&CO complète : « Les solutions de gestion de contenu BIM&CO permettent de convertir les modèles BIM en CA0 à la volée, et ce, en toute facilité, puisque le processus sera complètement transparent. Les fabricants pourront centraliser leur bibliothèque et structurer la publication digitale de l’ensemble de leurs produits au sein d’un seul et même workflow. Au-delà de l’aspect pratique, cette solution simplifiée représente un gain de temps, mais surtout d’argent puisque la diffusion sur TraceParts.com est totalement gratuite pour nos clients actuels et futurs ! » Pour en savoir plus sur les modalités de diffusion de catalogues CAO & BIM rendez-vous sur TraceParts.com ou bimandco.com.     À propos de TraceParts TraceParts est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de contenu numérique 3D pour l’ingénierie. Appartenant au groupe Trace fondé en 1990, l’entreprise fournit de puissantes solutions web, telles que des bibliothèques de composants CAO, des catalogues électroniques et des configurateurs de produits. TraceParts propose des services de marketing numérique pour aider les fabricants de composants, les fournisseurs d’impression 3D, les éditeurs de logiciels et les fournisseurs de matériel informatique à promouvoir leurs produits et services et à générer des prospects B2B de grande qualité. Le portail TraceParts est accessible gratuitement à des millions d’utilisateurs CAO dans le monde entier. Il donne accès à des centaines de catalogues de fournisseurs et à plus de 100 millions de modèles CAO et fiches techniques qui répondent parfaitement aux besoins spécifiques des processus et des opérations de conception, d’achat, de fabrication et de maintenance.   À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco BIM&CO évolue dans le monde de la digitalisation de la construction, en particulier dans le BIM, Building Information Modeling.   BIM&CO est un éditeur de logiciels SaaS qui propose aux acteurs de la construction et aux fabricants, des solutions de gestion et partage de leurs objets BIM. BIM&CO apporte un vrai gain opérationnel, en gérant l’ensemble des objets BIM constituant la maquette numérique, telle une base de données, et en assurant leur compatibilité avec les standards et logiciels du marché.   Son positionnement « au-delà des standards », s’appuie sur sa technologie d’harmonisation des données et permet aux clients de bénéficier pleinement de la valeur du BIM : réduire les erreurs, réaliser des calculs rapidement, connecter et documenter pour mieux exploiter, accélérer et automatiser les échanges avec les fournisseurs, ou encore mieux choisir les produits dont le projet a besoin.   BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et en Asie. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes.   Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 87 jours

Mobi, des artisans qui adhèrent à une tradition d’excellence dans la production de meubles

La recherche de la perfection implique souvent un désir de combiner la tradition avec une... Cet article Mobi, des artisans qui adhèrent à une tradition d’excellence dans la production de meubles est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 87 jours

Orange signe un contrat avec Engie pour l'achat d’électricité renouvelable

Signé pour 15 ans, ce contrat d'achat d'électricité (connu sous le nom de "Corporate Power Purchase Agreement" ou "Corporate PPA") doit permettre le développement de deux parcs solaires de 51 MWc dans les Hautes-Alpes, sur les communes de L'Epine (38 MWc) et Ribeyret (13 MWc). Leur mise en service est prévue au plus tard en janvier 2023.L'accord comprend aussi la gestion de la production de l'ensemble des capacités renouvelables contractées par Orange auprès d'autres producteurs.Par exemple, en juillet 2020, Orange avait annoncé un contrat avec Boralex pour se fournir directement en électricité auprès de ce producteur d'énergie éolienne.Engie devra aussi fournir des volumes complémentaires d'électricité pour répondre à la consommation effective d'Orange."L'ambition d'Orange pour 2025 est de réduire de 30% ses émissions de CO2 directes par rapport à 2015 et d'atteindre 50% d'énergies renouvelables dans son mix électrique", a souligné Fabienne Dulac, directrice générale adjointe d'Orange et CEO d'Orange France, citée dans le communiqué."La signature de notre accord avec Engie (...) témoigne de notre volonté d'être un acteur majeur des PPA en France", a-t-elle ajouté.Ces contrats de type "corporate PPA", entre producteurs de renouvelables et entreprises de secteurs divers, se développent fortement en France depuis deux ans.
Il y a 4 ans et 87 jours

Une nouvelle déchetterie à Vigny en milieu d’année

Une nouvelle déchetterie est en cours de construction à Vigny. La réalisation des travaux est prévue pour ce premier semestre 2021.