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Toute l'actualité du bâtiment

256116 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 303 jours

Construire malin avec le béton cellulaire Ytong

 La solution de construction anti-crise face à l’envolée des coûts énergétiques et de production Avec l’entrée en vigueur de la RE2020, les pénuries rencontrées par certains fabricants, la hausse des prix des matériaux de construction et des coûts énergétiques, de nombreux acteurs de la construction cherchent des solutions qui permettent de livrer leurs chantiers dans les […]
Il y a 2 ans et 303 jours

Zéro artificialisation nette : donnons aux élus locaux les moyens d’agir

Le 28/07/2022 par France urbaine France urbaine, représentée par Annette Laigneau, Vice-présidente de Toulouse Métropole en charge de l’urbanisme, a été auditionnée le 27 juillet 2022 par la commission des Affaires économiques du Sénat et a fait part de ses constats et de ses propositions sur l’objectif  » Zéro artificialisation nette «  . L’objectif  » zéro […]
Il y a 2 ans et 304 jours

Vinci Airports s'implante au Mexique

Vinci doit débourser 815,4 millions de dollars pour racheter la part de Fintech Advisory, fonds de l'homme d'affaires mexicain David Martinez, selon OMA.Coté à la Bourse de Mexico et au Nasdaq, le groupe OMA gère 13 aéroports situés dans le nord et le centre du Mexique, qui ont accueilli 18 millions de passagers en 2021 (et 23 millions en 2019, avant la crise sanitaire), a précisé la filiale de Vinci Concessions dans un communiqué.L'entreprise espère finaliser l'opération à la fin de l'année. Vinci Airports, qui vient de s'étendre au Brésil et au Cap Vert, gèrera alors plus de 70 aéroports dans 13 pays, a-t-elle précisé."Le pôle confirme la poursuite de sa dynamique de développement international et conforte sa place de premier opérateur aéroportuaire privé dans le monde", a souligné Vinci Airports dans son communiqué.
Il y a 2 ans et 304 jours

Airwell : une croissance soutenue sur le premier semestre

Le fabricant français de solutions climatiques et thermiques a enregistré un chiffre d’affaires de 28,8 M€ en progression de 26,2 %.
Il y a 2 ans et 304 jours

Touchée par l'inflation, Colas reste solide au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le groupe Colas a connu une forte croissance sur les six premiers mois de l'année 2022. Des performances qui reflètent à la fois la bonne tenue de ses activités et de sa dynamique commerciale, mais également le fort impact de l'inflation du prix des matières premières sur ses marchés.
Cimbat
Il y a 2 ans et 304 jours

Battue aux législatives, Emmanuelle Wargon tente de rebondir

Proposée par Emmanuel Macron pour devenir présidente de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), l’ancienne ministre déléguée au Logement a présenté, le 3 août au Sénat, ses idées pour limiter la hausse des prix, consommer moins, décarboner la société...
Il y a 2 ans et 304 jours

Colas Rail, premières au Panama

En sous-traitance d’Hitachi Rail, la filiale ferroviaire de Colas participera à la réalisation du projet de monorail de la future ligne 3 du métro de Panama.
Il y a 2 ans et 304 jours

Les pistes des villes d'Ile-de-France pour rester au frais pendant les canicules

A Saint-Denis, le parc de la Légion d'Honneur, en centre-ville, se retrouve vite saturé dès que les Dionysiens cherchent à échapper aux fortes chaleurs. Alors, la mairie tente de multiplier les endroits où profiter d'un peu de frais.Du point de vue du maire (PS) Mathieu Hanotin, "c'est une nécessité, surtout pour une population qui ne part pas forcément en vacances."Face aux vagues de chaleur toujours plus précoces, "on peut ouvrir les parcs la nuit en fonction de la chaleur, ou des points-relais où les personnes âgées peuvent reprendre leurs souffle", propose l'élu.A terme, la municipalité cherche à "démultiplier" les îlots de fraîcheur sur les places où l'ombre est rare, ajoute Laurent Monnet, adjoint à la transformation énergétique.Pour atteindre cet objectif, Saint-Denis cache sous ses pieds un atout précieux : des ruisseaux enfouis lors de l'expansion de la ville au siècle dernier."Nous voulons faire réapparaître cette eau sous une forme ou une autre", indique à l'AFP M. Monnet.Alors que les canicules sont amenées à se répéter, s'allonger et s'intensifier à cause du réchauffement climatique, avertissent les scientifiques, le maire (PS) d'Alfortville (Val-de-Marne) Luc Carvounas insiste sur la nécessité de "changer de paradigme.""Les maires ont collectivement pris conscience que la nature en ville était une nécessité", soutient M. Carvounas, également à la tête de l'Association des maires du Val-de-Marne.RegistresDès que possible, les communes se verdissent, isolent leurs bâtiments et veillent avec les associations à la santé des personnes les plus vulnérables. Depuis la canicule meurtrière de 2003, les communes doivent tenir un registre où les plus de 65 ans peuvent s'inscrire pour recevoir un appel de la mairie lors des vagues de chaud.En parallèle, certaines mairies, comme celle d'Alfortville, ouvrent des salles communales climatisées.Mais l'intérêt de cette mesure est relatif. "Je pourrais compter sur les doigts d'une main le nombre de personnes qui y entrent", plaisante Luc Carvounas.Laisser tourner la climatisation des salles de la commune est contre-productif, assure également Danielle Valero, première adjointe d'Evry-Courcouronnes (Essonne)."Quand il fait chaud, les gens vont dans les centres commerciaux", constate l'élue chargée de la transition écologique.A Evry-Courcouronnes, comme dans de nombreuses communes nouvelles, la température dans certains quartiers résidentiels devient invivable lors des pics de chaleur: 7 degrés séparent une cour d'école protégée par des arbres d'une place au milieu des grands ensembles des Pyramides, selon l'élue."Il faudrait végétaliser les toits et les terrasses des immeubles", plaide Mme Valero.Mais elle regrette que "pour les bailleurs, c'est cher, et ils risquent de répercuter le coût des installations sur la facture des locataires."
Il y a 2 ans et 304 jours

La Russie veut finir les premières reconstructions à Marioupol en septembre

"Les premiers immeubles seront prêts en septembre. Les premiers hôpitaux seront prêts", a déclaré le vice-Premier ministre russe Marat Khousnoulline dans une interview à la chaîne de télévision russe RBK TV publiée lundi. Vendredi, ce dernier avait présenté au président Vladimir Poutine un plan pour reconstruire Marioupol en trois ans, un objectif qui semble ambitieux, compte tenu de l'ampleur des destructions. Le port stratégique de Marioupol a été conquis en mai par les forces russes après des semaines de siège qui ont dévasté une grande partie de la ville. Immeubles d'habitation, écoles, commerces, rues : rien n'a été épargné. Avant l'offensive militaire russe, la ville, bâtie au bord de la mer d'Azov, comptait plus de 400.000 habitants. Mais elle s'est en grande partie dépeuplée, nombre de résidents ayant fui les combats. La population devrait s'élever à 350.000 habitants d'ici 2025, a estimé M. Khousnoulline, sans préciser si les autorités russes prévoyaient de mettre en place une politique de repeuplement. Le vice-Premier ministre russe a par ailleurs indiqué que les forces d'occupation russes prévoyaient de réaménager en "technopôle" la zone industrielle dévastée de l'aciérie Azovstal, où s'étaient retranchés les derniers défenseurs ukrainiens. "Nous ne pensons pas à une restauration avec des technologies anciennes. Nous allons créer des emplois qui alimenteront la ville grâce à l'économie", a déclaré M. Khousnoulline. Pour l'heure, les habitants de Marioupol continuent de souffrir de pénuries multiples, avec un rétablissement très parcellaire de l'eau et de l'électricité. Les forces d'occupation russes tentent de ramener un semblant de normalité dans les zones conquises dans le sud et l'est de l'Ukraine. Dans plusieurs d'entre elles, les administrations installées par Moscou ont indiqué qu'elles préparaient des référendums d'annexion pour formaliser leur rattachement à la Russie.
Il y a 2 ans et 304 jours

Menuiserie : nouvelle acquisition en vue pour Atlantem

ACQUISITION. Atlantem, filiale spécialisée dans la menuiserie du groupe Herige, souhaite acquérir Poralu, fabricant sur-mesure de menuiseries et fermetures extérieures pour l'habitat implanté dans la région Rhône-Alpes.
Il y a 2 ans et 304 jours

"Réinvestir dans un réseau longtemps négligé n'empêche pas les grands projets", C.Beaune

INFRASTRUCTURES. Le ministre délégué aux Transports Clément Beaune était interrogé sur France Inter le 2 août 2022. Un entretien au cours duquel il a beaucoup été question de ferroviaire, de transports du quotidien et de grands projets.
Il y a 2 ans et 304 jours

Equans, TF1-M6 : Bouygues maintient le cap sur ses opérations de fusion-acquisition malgré leurs coûts

Bouygues a annoncé pour le 1er semestre un résultat d'exploitation courant en amélioration de 21 millions d'euros par rapport au 1er semestre, à 492 millions d'euros, mais un résultat net part du groupe de 147 millions d'euros, divisé par trois par rapport à celui de début 2021.Celui-ci intègre une charge exceptionnelle de 44 millions d'euros comprenant surtout des frais d'avocats et d'économistes liés aux deux grosses opérations structurantes dans lesquelles il est engagé : l'acquisition d'Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et le rapprochement entre TF1 et M6.La fusion-acquisition "c'est un sport de riche" a commenté le directeur général Olivier Roussat en annonçant lors d'un entretien téléphonique que le second semestre comportera encore "45 millions d'euros" de coûts exceptionnels : un tiers pour le dossier TF1-M6, et deux-tiers pour l'opération Equans. Le 19 juillet, Bouygues a obtenu le feu vert de la commission européenne pour le rachat d'Equans pour 7,1 milliards d'euros, sous réserve de la cession d'une filiale Colas Rail Belgium qui risquait de détenir une position dominante en Belgique.Mais le même jour, au Royaume-Uni, l'autorité de concurrence britannique CMA a considéré que l'opération était susceptible de conduire à un affaiblissement de la concurrence sur un appel d'offres en cours pour une ligne à grand vitesse en construction.Le groupe a déposé le 26 juillet des propositions de remèdes "sur lesquelles la CMA devrait statuer très prochainement" a indiqué Bouygues. Le bouclage du rachat d'Equans, regroupant des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, annoncé le 12 mai, reste toujours attendu au 2e semestre 2022, a indiqué Bouygues, se disant "assez serein" sur ce calendrier projeté.Logement : demande de mesures incitativesPour ce qui est de la fusion envisagée entre TF1 et M6, le groupe espère convaincre le collège de l'autorité de la concurrence les 5 et 6 septembre de revenir sur les réserves émises par ses propres services d'instruction considérant que l'opération soulève des problèmes de concurrence significatifs sur le marché de la publicité."On a un certain nombre d'arguments à faire valoir" notamment pour demander que les marchés pertinents à prendre en compte pour jauger de la concurrence ne se cantonnent pas aux seules télévisions, mais intègrent aussi les plateformes "où la publicité est en train de naître", a dit M. Roussat."Netflix a annoncé qu'il mettait de la pub dans son offre, cela n'existait pas il y a encore un an" a-t-il fait valoir, citant aussi Amazon qui a diffusé des matches importants de Roland Garros. "Le monde a changé" a-t-il dit.Globalement pour l'ensemble de 2022, le groupe a confirmé ses ambitions : il attend une "nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant", ainsi que la validation par le Science Based Target Initiative (SBTI) de ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Il a relevé ses objectifs financiers pour sa filiale telecoms, qui a lancé des partenariats stratégiques avec Ericsson ou Nokia concernant des réseaux d'entreprise 5G.Au 1er semestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires total de 18,5 milliards d'euros, en hausse de 6% par rapport à 2021.L'activité de construction, tirée par Colas et l'international, a vu ses ventes progresser de 7% à 13,7 milliards d'euros, malgré un recul de 11% de Bouygues immobilier. Le chiffre d'affaires de TF1 a progressé de 5% à 1,18 milliard d'euros, ainsi que celui de Bouygues Telecom, à 3,63 milliards d'euros.Bouygues souligne que le marché de la construction de logements résidentiel est "sous-offreur en France". "Globalement, il faudrait faire 500.000 logements, et on en fait un peu moins de 300.000, il y a un besoin assez important" a commenté le groupe qui demande des "mesures incitatives" notamment pour transformer des bureaux en logements.Peu avant 12H00, le titre Bouygues, qui a perdu 7% depuis le 1er janvier, progressait de 0,65% à la bourse de Paris, à 29,47 euros.
Il y a 2 ans et 304 jours

Les Fédérations de Commerçants saluent l'adoption au Sénat d'un plafonnement des loyers pour les TPE-PME

Toutefois, ils regrettent vivement que cette mesure exclue une grande partie des enseignes de commerce et leurs dizaines de milliers de magasins et appellent à l’ouverture de travaux pour adapter et rééquilibrer durablement les relations entre les bailleurs et leurs locataires commerçants. Le Sénat a adopté le vendredi 29 juillet un amendement* du Sénateur Jean-Baptiste Lemoyne avec le soutien du Gouvernement tenant à plafonner l’indexation des loyers commerciaux à un maximum de 3,5% sur un an. L’adoption de cette mesure fait suite à la concertation conduite par Olivia Grégoire, Ministre déléguée au Commerce, entre les représentants des bailleurs et les représentants des commerçants comme elle s’y était engagée lors de l’examen en séance publique à l’Assemblée nationale du projet de loi portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Les fédérations de commerçants signataires saluent vivement la forte mobilisation des parlementaires tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat, ainsi que celle de la Ministre et de son Cabinet pour conduire cette concertation dans des délais contraints. L’adoption de cette mesure d’urgence marque une prise de conscience des pouvoirs publics de la nécessité de maitriser le poids des charges immobilières pesant sur les commerçants. Cette mesure est indispensable pour préserver les entreprises de l’augmentation de leur loyer du fait de l’inflation actuelle et à venir dans les prochains mois. * https://www.senat.fr/amendements/2021-2022/828/Amdt_430.html sous amendé par le Gouvernement https://www.senat.fr/amendements/2021-2022/828/Amdt_455.html Toutefois, les fédérations de commerçants regrettent vivement que cette mesure soit limitée aux seules TPE et PME. Elles dénoncent l’absence de prise de conscience par les bailleurs de la réalité des évolutions du secteur et des difficultés rencontrées par les commerçants de toute taille, y compris les ETI et les grandes entreprises. Elles rappellent que la vitalité du commerce repose sur la diversité de ses formats tant en centre-ville qu’en périphérique. Le commerce de détail en France représente 2,1 millions d’emplois, 435.000 entreprises de toutes tailles, 300.000 points de vente partout en France et plus de 300 métiers. Le loyer représente le deuxième poste de coût et peut peser jusqu’à 20% du chiffre d’affaires d’un point de vente. Les commerçants ne peuvent plus supporter des indexations fortes de loyer et un niveau excessif de charges locatives étant donné la réalité de leur activité physique et du contexte économique. Du fait des modifications de comportement d’achat des clients, la fréquentation et l’activité en magasin diminuent très fortement : -16,6% de trafic et -2% d’activité en magasin tous secteurs confondus au premier semestre 2022 par rapport à 2019**. Cette baisse d’activité peut atteindre -10% dans les secteurs de l’équipement de la personne. Dans le même temps, les ventes en ligne progressent fortement pour tous les commerces (+42% en 2021 vs 2019***). Comme les conclusions des Assises du commerce le précisent, le commerce va subir « les effets d’un tsunami lié à sa numérisation », et doit donc investir fortement pour sa numérisation, mais aussi sa transition écologique. Dans ces conditions, les fédérations signataires demandent au Gouvernement d’ouvrir rapidement dans la continuité des Assises du Commerce, des travaux pour rééquilibrer les relations entre les bailleurs et les preneurs dans l’objectif de pérenniser tous les commerces physiques. Pour les représentants des fédérations signataires : « L’adoption d’un plafonnement de l’évolution des loyers pour les TPE et PME durant un an est une excellente nouvelle. L’engagement des parlementaires et du Gouvernement a été essentiel pour parvenir à cette solution. C’est une mesure d’urgence indispensable pour maitriser la hausse des loyers dans le contexte inflationniste que nous connaissons. Toutefois, cette mesure n’est qu’une première étape ! Nous regrettons vivement que soient exclues de son périmètre les ETI qui sont pourtant essentielles à la vitalité du commerce. La transformation numérique et écologique impacte tous les commerces, quelles que soient leur taille et leur localisation. Ces évolutions imposent la réalisation dès la rentrée d’un travail de fonds pour rééquilibrer les relations entre les bailleurs et les locataires dans la continuité des Assises du Commerce. C’est la seule voie possible pour sauver les commerces physiques et ses millions d’emplois dans les territoires.» *Rappel : les loyers commerciaux sont indexés sur l’indice des loyers commerciaux (ILC) calculé chaque trimestre sur la base de l’inflation à hauteur de 75% et de l’évolution du coût de la construction à hauteur de 25%. Malgré la révision de sa méthode de calcul en début d’année, l’ILC connaît de très fortes hausses depuis l’automne 2021 qui vont s’accélérer sous l’effet de l’inflation. L’indice paru au mois de juin dernier au titre du premier trimestre 2022 s’élevait déjà à +3,32%. L’indice pourrait dépasser les 6% d’ici à la fin de l’année étant donné le niveau d’inflation envisagé (7% en tendance d’ici fin 2022 et 5,5% sur l’année selon l’INSEE). **Source Procos ***Source Les chiffres clés de la Fevad – Évolution du CA des ventes en ligne de produits
Il y a 2 ans et 304 jours

Acquisition d'Equans : une dernière étape à franchir pour Bouygues avant le closing

CROISSANCE EXTERNE. Un an après l'annonce de la cession par Engie d'Equans, le groupe Bouygues entame la dernière ligne droite avant d'en finaliser l'acquisition. La major française a obtenu toutes les autorisations nécessaires pour voir aboutir l'opération, à l'exception de celle de l'autorité de la concurrence britannique, avec qui les discussions sont en cours.
Il y a 2 ans et 304 jours

Bouygues confirme un bon niveau d'activité au premier semestre 2022 grâce à Colas

RÉSULTATS. Le groupe Bouygues a bouclé un premier semestre 2022 satisfaisant, avec un chiffre d'affaires en hausse, notamment dans le BTP. Colas tire particulièrement son épingle du jeu, malgré la saisonnalité qui caractérise ses activités et le fort impact de l'inflation que l'entreprise ne parvient pas encore à répercuter totalement. L'immobilier, en revanche, reste en souffrance.
Il y a 2 ans et 304 jours

Pouvoir d’achat : les mesures RH qui seront votées à titre définitif

La commission mixte paritaire (CMP) a trouvé un accord le 1er août dans la soirée sur le projet de loi portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. La prime de partage de la valeur sera bien pérennisée pour toutes les entreprises quelle que soit leur taille. Le texte de la CMP conserve par ailleurs la mesure introduite par les sénateurs concernant la réduction de cotisations sur les heures sup’.
GDA
Il y a 2 ans et 305 jours

Husqvarna Constructions France présente sa nouvelle gamme de préparation de surface de sols

Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports...).Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes.Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements mincesDe différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements.Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille.Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques.Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfacesLa préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels.Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols.Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, ...). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier.Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épaisPour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage.La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2).Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collésHusqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, ...). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses.La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte.Des chantiers propres et sûrsAfin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source.Des services associésPartenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien :Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance.Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur.
Il y a 2 ans et 305 jours

Entrée d’air filtrante EHT2

Aldes dit stop aux pollens et particules fines dans les logements ! Le Groupe Aldes, spécialiste de la qualité d’air intérieur, innove avec le lancement d’une entrée d’air filtrante : EHT2. Cette solution simple flux homologuée fait barrage aux pollens et particules fines. Elle répond à une demande croissante des professionnels de solution de filtration […]
Il y a 2 ans et 305 jours

Nouvelle boulonneuse sans fil EINHELL IMPAXXO 18/400 indispensable aux travaux de bricolage et de mécanique

EINHELL, spécialiste de l’outillage électroportatif destiné aux travaux de bricolage et de jardinage, développe sa nouvelle gamme Professional à destination des bricoleurs aguerris et des professionnels avec sa boulonneuse sans fil IMPAXXO 18/400. Compacte, puissante et robuste, la nouvelle machine est dotée d’un moteur brushless et d’une force de serrage de 400 Nm. Proposée avec un […]
Il y a 2 ans et 305 jours

LA SOCIÉTÉ RAIRIES MONTRIEUX présente au salon BATIMAT en octobre prochain

C’est une nouvelle qui réjouit les professionnels de la construction et de l’architecture : le retour de la société Rairies Montrieux à l’édition 2022 du salon Batimat PAV.1-R036. Batimat est depuis 60 ans le rendez-vous des professionnels du bâtiment. Véritable lieu d’échange et de rencontres, le salon Batimat est un évènement incontournable pour présenter et […]
Il y a 2 ans et 305 jours

FRANCE MATÉRIAUX part à la rencontre des professionnels au Mondial du Bâtiment 2022

FRANCE MATÉRIAUX, groupement de négoces en matériaux indépendants, sera présent, pour la première fois, au salon BATIMAT, rendez-vous incontournable des professionnels de la construction. Du 3 au 6 octobre 2022, l’équipe de FRANCE MATÉRIAUX sera heureuse de promouvoir le groupement et les services proposés auprès des différents acteurs de la distribution et des industriels du […]
Il y a 2 ans et 305 jours

IMMOBLADE, vitrages de protection solaire , efficaces toute l’année et sans maintenance

Réduire l’impact carbone des bâtiments En France, les bâtiments résidentiels et tertiaires produisent 24% des émissions de gaz à effets de serre et consomment 44% de l’énergie utilisée. La consommation énergétique et les émissions de CO2 des bâtiments sont liées à leur utilisation : chauffage et climatisation, production d’eau chaude et éclairage. L’urgence climatique nous […]
Il y a 2 ans et 305 jours

"Biens mal acquis" gabonais : nouvelle série de mises en examen en France d'enfants d'Omar Bongo

Cette nouvelle série porte à au moins neuf le nombre d'enfants d'Omar Bongo, demi-frères et demi-soeurs de son fils et successeur à la tête du pays Ali Bongo, poursuivis dans cette information judiciaire menée par un juge financier parisien.Pascaline Bongo, 66 ans, ex-directrice de cabinet de son père, Omar Denis Jr Bongo, 28 ans, également petit-fils du président congolais Denis Sassou Nguesso, Jeanne Matoua, 38 ans, et Joseph Matoua, 40 ans, ont été mis en examen entre juin et juillet, selon une source judiciaire à l'AFP, confirmant vendredi une information du site Africa Intelligence.Ils sont poursuivis de recel de détournement de fonds publics, corruption active et passive, blanchiment et abus de biens sociaux. La justice française les soupçonne d'avoir "sciemment" bénéficié d'un important patrimoine immobilier "frauduleusement" assemblé en France par le patriarche, président du Gabon de 1967 jusqu'à sa mort en 2009.La valeur de ces biens a récemment été évaluée par la justice "à au moins 85 millions d'euros".Pour l'avocate de Pascaline Bongo, Me Corinne Dreyfus-Schmidt, il y a dans cette procédure "un anachronisme tant juridique que factuel".Selon des éléments obtenus par l'AFP, Pascaline Bongo a déclaré devant les enquêteurs en janvier 2020 posséder, entre autres, plusieurs appartements dans des quartiers chics de Paris, acquis par son père dans les années 1970 à 1990.Très proche de son père, elle en fut la directrice de cabinet au Palais du bord de mer de Libreville, le siège de la présidence.Avocat d'Omar Denis Jr Bongo, Me Jean-Marie Viala a contesté auprès de l'AFP la mise en examen de son client "sur la base du droit", "non de la morale"."Clan familial"Entre mars et avril, le juge financier parisien Dominique Blanc avait déjà mis en examen Grâce, Betty, Arthur puis Hermine Bongo, d'autres enfants du défunt président. Ces quinquagénaires ont tous contesté avoir eu connaissance du caractère frauduleux de cette fortune.D'autres enfants, parmi les 54 de l'ex-partenaire historique de la France en Afrique centrale, pourraient suivre.La "fortune immense" de la famille Bongo, selon un arrêt de février de la cour d'appel de Paris, provient "de l'argent issu de détournements de fonds publics et des sommes considérables provenant du délit de corruption des sociétés pétrolières", notamment Elf Aquitaine aujourd'hui TotalEnergies.Ce que "les investigations menées dans la présente procédure ont confirmé", selon le magistrat instructeur."C'est tout un clan familial qui va devoir rendre des comptes", a réagi auprès de l'AFP Me William Bourdon, avocat de Transparency International France, partie civile dans le dossier."Les bénéficiaires, y compris français, ont été épinglés, ce qui permettra un panorama judiciaire complet', a-t-il ajouté, "chacun doit mesurer les montants colossaux qui sont en cause".Dans cette enquête déclenchée après une plainte d'ONG en 2007, outre des enfants Bongo et la BNP Paribas, au moins quatorze autres personnes physiques sont poursuivies, dont des membres de la famille du président Sassou Nguesso, et plusieurs Français parmi lesquels un avocat, un notaire ou une gérante de société civile immobilière (SCI)."Cela ne concerne ni le président de la République, ni aucun membre de présidence de la République gabonaise, donc il n'y a pas à commenter", a déclaré Jessye Ella Ekogha, porte-parole de la présidence gabonaise, sollicité par l'AFP."Cependant, il apparaît que les médias ont adopté comme stratégie marketing d'associer systématiquement le chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba à une affaire pour laquelle il n'a jamais été inquiété, ni entendu. Cela doit cesser", a-t-il ajouté.Chef de l'Etat en exercice, Ali Bongo bénéficie d'une immunité et ne risque donc pas de poursuites dans l'immédiat.
Il y a 2 ans et 305 jours

Grâce à Colas, Bouygues tient la route au premier semestre

Le chiffre d'affaires des activités de construction et de services de Bouygues (Bouygues construction, Bouygues Immobilier, Bouygues Energies & Services et Colas) s'est établi à 13,7 Mds €, en hausse de 7%, tiré par Colas (6,5 Md€, en hausse de 17%).
Il y a 2 ans et 305 jours

1er semestre en hausse et cession de la branche Solutions de Haute Température pour Imerys

RÉSULTATS ET CESSION. Le groupe Imerys, spécialisé dans la production et la transformation des minéraux industriels, affiche une santé de fer au premier semestre 2022 avec un chiffre d'affaires record en hausse de 18,7%. Il annonce aussi la cession de sa branche Solutions de Haute Température.
Il y a 2 ans et 305 jours

Matériaux écologiques : « il y a un gros changement ces derniers temps » – Ludovic Claustre – Kenzaï

Dans le cadre de nos visio-conférences, nous avons invité Ludovic Claustre, pour nous parler de son entreprise Kenzaï, un négoce en matériaux écologiques pour la construction.    Voici l’interview de Ludovic Claustre, fondateur et directeur général de Kenzaï Un parcours atypique qui mena aux matériaux écologiques Après des études dans le milieu agricole, Ludovic Claustre […]
Il y a 2 ans et 305 jours

Le Château Louis XIV, somptueuse propriété de MBS, conçue par un cousin de Khashoggi

Louveciennes, ville cossue des Yvelines située à quelques encablures de Versailles et à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Paris, est connue pour son aqueduc, qui servait sous Louis XIV à acheminer l'eau de la Seine vers les jardins du Château de Versailles.Cette proximité avec le palais du Roi Soleil a inspiré le promoteur Cogemad, fondé et dirigé par l'homme d'affaires né au Liban, Emad Khashoggi. Emad Khashoggi est un cousin du journaliste saoudien de Jamal Khashoggi, critique du pouvoir saoudien, sauvagement assassiné en 2018 dans les locaux du consulat saoudien à Istanbul. Un crime dans lequel le renseignement américain a vu la responsabilité de Mohammed ben Salmane, ce qui a valu à MBS d'être ostracisé par les pays occidentaux.Le président américain Joe Biden lui a rendu visite le 15 juillet et MBS doit dîner jeudi soir avec Emmanuel Macron à l'Elysée, malgré la vive colère des défenseurs des droits de l'Homme qui jugent cette visite hautement inappropriée.En construisant le Château Louis XIV à Louveciennes, Emad Khashoggi a voulu rendre "hommage à l'architecture du XVIIe siècle", en faisant de son œuvre la "vitrine internationale de la splendeur du savoir-faire français", selon le site de Cogemad.Autour de ce luxueux palais de 7.000 mètres carrés, sorte de "petit" Château de Versailles, s'étendent 23 hectares de jardins à la française, conçus "en accord avec les théories d'André Le Nôtre concernant le Château de Versailles"."On y trouve des parterres de fleurs et des haies de buis brodées, des jeux de perspective, des ifs topiaires taillés en petites pyramides, un labyrinthe d'arbres, une petite ferme avec des chèvres, et des écuries", liste le site de Cogemad.Une centaine d'ouvriers ont travaillé sur cette demeure, construite entre 2008 et 2011."C'est du sur-mesure à 100%. On vend le projet de A à Z clé en main, mobilier compris", expliquait Emad Khashoggi dans la presse à l'époque.En 2015, le flamboyant édifice a été cédé à MBS pour 275 millions d'euros, devenant la propriété la plus chère du monde.Aux moulures, dorures et sculptures d'antan, elle allie fontaines connectées, salle de cinéma privée, aquarium géant..., offrant "les fastes de Versailles sous la révolution high tech".Le château comporte également plusieurs piscines et une cave à vin.
Il y a 2 ans et 305 jours

Saint-Gobain achève l'acquisition de l'américain Kaycan

ACQUISITION. Annoncée début juin, l'acquisition de Kaycan par le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, vient d'être finalisée.
Il y a 2 ans et 305 jours

Le Sénat alerte sur les risques d’une interdiction européenne du plomb pour les métiers du patrimoine

L’Agence chimique européenne (ECHA) a en effet lancé au printemps une consultation sur l’inclusion du plomb à l’annexe XIV du règlement REACH (qui concerne l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques), concernant les substances dites « particulièrement préoccupantes ».La procédure d’autorisation très lourde que cela impliquerait, puis l’interdiction qui suivrait au terme de quelques années, représenterait un coût prohibitif pour les entreprises (TPE et PME) françaises du secteur du patrimoine culturel. Leur survie même serait mise en cause à court terme. Les sénateurs ont été saisis par les maîtres verriers et la chambre syndicale nationale du vitrail, mobilisés pour la consultation européenne : « Ils sont légitimement inquiets, car la fabrication et la conservation du vitrail sont indissociables de l’usage du plomb », a déclaré Catherine Morin-Desailly, rapporteure, devant la commission des affaires européennes. La France concentre plus de 60% du patrimoine de vitraux européens et abrite la plus grande surface de vitraux au monde.Les facteurs d’orgue sont également concernés, ainsi que les organistes puisque cet instrument est en partie constitué de plomb. Malgré de nombreux essais de substitution depuis le XIXe siècle, la sonorité de l’orgue est indissociable de la part de plomb qui forme l’alliage de ses tuyaux, dans une proportion variant de 10% à 95% environ. Sur près de 10.000 orgues recensés en France, près de 1600 sont classés au titre des monuments historiques.Le risque est réél, pour les métiers concernés, de voir les activités de restauration péricliter ou se délocaliser en dehors de l’Union européenne.La malléabilité et la durabilité du plomb concourent aussi à la conservation de long terme des bâtiments anciens. « L’impact le plus lourd porterait sur l’ensemble des professions liées à la restauration et à la conservation des monuments historiques » a ajouté Louis-Jean de Nicolaÿ, co-rapporteur, en soulignant que « la prévention du risque plomb est une préoccupation de longue date de tous les secteurs du patrimoine » et que « toutes les entreprises concernées y sont sensibilisées et ont pris les mesures de prévention indispensables. »Conscients de la toxicité du plomb, les rapporteurs constatent qu’aucune étude scientifique ne fait état de problèmes de santé caractérisés ou massifs liés au plomb chez les artisans et ouvriers du patrimoine et déplorent « qu’il n’existe aucune donnée épidémiologique fiable mettant en question en France et en Europe la santé des travailleurs exposés au plomb dans le domaine du patrimoine culturel. » Ils appellent à la réalisation de telles études scientifiques sur crédits européens et à un Protocole national et européen de prévention du risque plomb sur les chantiers des monuments historiques. Pour les sénateurs, cette voie est bien préférable à une révision du règlement « REACH ».Jean-François Rapin, président de la commission des affaires européennes, a constaté que « des précédents d’exemptions relatives à l’interdiction de recourir au plomb pour un secteur déterminé ont déjà eu lieu dans certains domaines », notamment le cristal. Les sénateurs plaident en conséquence pour une exception patrimoniale en faveur des métiers concernés.La proposition de résolution adoptée en commission des affaires européennes deviendra définitivement résolution européenne du Sénat à l’expiration du délai procédural de trois semaines. Un avis politique, reprenant les termes de cette proposition de résolution, est adressé dès à présent par le président Jean-François Rapin à la Commission européenne, dans le cadre du dialogue politique entre celle-ci et les parlements nationaux.
Il y a 2 ans et 305 jours

A l'issue du premier semestre 2022, Spie réhausse ses prévisions

RÉSULTATS. Le groupe Spie a enregistré de bonnes performances au premier semestre 2022, dans l'ensemble de ses géographies et domaines d'activités. Une croissance portée par les acquisitions, mais dont les fondamentaux se portent également bien.
Il y a 2 ans et 305 jours

Projet de loi pouvoir d’achat : les sénateurs retouchent le volet RH

Le Sénat a adopté en première lecture, le 29 juillet, le projet de loi en faveur du pouvoir d’achat. Sur le registre RH, la chambre haute a notamment modifié le régime de la prime de partage de la valeur, rebaptisée prime de pouvoir d’achat, et introduit plusieurs nouveautés, à l’image de la réduction de cotisations patronales au titre des heures sup’ pour les entreprises d’au moins 20 salariés.
Il y a 2 ans et 305 jours

En bonne forme au 1er semestre 2022, Schneider Electric revoit ses objectifs à la hausse

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, annonce des résultats en hausse au premier semestre 2022. On peut également souligner un deuxième trimestre tonique.
Il y a 2 ans et 305 jours

3 nouvelles entreprises pour le réseau Vertikal

Une expansion qui témoigne de la force de la cooptation au sein de ce réseau spécialiste de la rénovation de façades de maisons individuelles et petits collectifs, qui se démarque par la rigueur de son concept et la formation de ses franchisés, toujours dans la perspective de proposer des prestations de qualité à ses clients finaux.Avec ces trois nouvelles ouvertures, le réseau VERTIKAL renforce sa présence en Île-de-France (5 implantations), sur la région Pays-de-la-Loire (4 implantations) et en PACA (3 implantations), et porte à 29 le nombre de ses Applicateurs Exclusifs implantés partout en France.Viennent de rejoindre le réseau :Pictural Façades, Applicateur Exclusif sur le sud-ouest de la Loire-Atlantique dirigée par Marwène Souissi, issu du domaine du BTP, ancien technicien couvreur et peintre en bâtiment.Ravalement du Var, née de l’association entre Mathieu Chouteau, Applicateur Exclusif historique du groupement d’entreprises VERTIKAL à la tête de Façades du Var depuis 2016, et Théo Duval, ancien électricien et désormais plus jeune Applicateur du Réseau.Trianon Façades, dirigée par Paul Lindemann, issu du domaine du marketing, ancien technicien-commercial d’une entreprise historique du groupement: Ravalement du Roy. Implantée en Ile-de-France, Trianon Façades intervient sur le nord-est des Yvelines.Pour Christian Badia, Fondateur de VERTIKAL : « Deux de ces trois nouvelles ouvertures sont issues de la cooptation au sein même du réseau. Le concept VERTIKAL, sa rigueur et la qualité de l’accompagnement que nous apportons à nos franchisés, amènent nos Applicateurs Exclusifs à recommander à leur entourage de nous rejoindre. Aussi, la force de VERTIKAL passe par notre programme de formation/reconversion. Elle permet à tout un chacun, quel que soit le secteur d’activités dont il est issu, d’avoir l’ambition de réussir en tant qu’Applicateur VERTIKAL. »En Gironde, l’entreprise Atelier Façades vient d’être reprise par Emmanuel Blanc, ancien chef d'entreprise en rénovation d'habitat désormais reconverti dans la rénovation de façades de maisons individuelles et petits collectifs, intervenant sur le centre-ouest du département de la Gironde.
Il y a 2 ans et 305 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Numérique et Télécommunications »

Le mois dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail thématiques sur la sobriété énergétique. Avec un objectif : réduire nos consommations d’énergie de 10% en deux ans pour, à court terme, garantir notre sécurité d’approvisionnement dans le contexte de guerre en Ukraine et, à plus long terme, sortir la France des énergies fossiles. Objectifs confirmés par le Président de la République dans son allocution du 14 juillet dernier.Les engagements des acteurs du numérique et des télécommunicationsCette première réunion du groupe de travail « Numérique et télécommunications » a permis aux ministres de rappeler leur volonté d’une action ambitieuse. Etaient représentés : le Comité stratégique de filière « Infrastructures numériques », la Fédération Française des Télécoms et notamment les quatre principaux opérateurs de télécommunications, représentants de l’écosystème French Tech, France Digitale, Numeum et Start Industrie.Collectivement, ces acteurs s’engagent, avec les instances représentatives du personnel, à mieux faire connaître et appliquer les obligations légales, en miroir de la demande d’exemplarité de la Première ministre auprès de l’administration, en matière d’éclairage des lieux de commerce (éteints à 1 heure du matin au plus tard ou 1 heure après la cessation de l'activité) et des températures de consignes des bâtiments (mettre en œuvre les moyens de baisser la température et ne pas dépasser 19°C maximum pour optimiser la consommation énergétique). La possibilité d’une organisation du travail permettant de limiter les consommations énergétiques, dont le télétravail, sera également explorée.Les participants ont également fait part de leur volonté de partager et d’amplifier les bonnes pratiques, notamment sur les évolutions technologiques les plus récentes qui permettent de réduire l’empreinte énergétique de certaines activités.A titre d’exemple, la consommation énergétique des lignes fixes a été divisée par trois avec le passage à la fibre. De plus, malgré un usage mobile toujours plus important, le passage à la 5G, dans les zones très denses, entraînera une amélioration de l’efficacité énergétique d’un facteur 10 par rapport à la 4G, et d’un facteur 50 par rapport à la 3G[1]. Enfin, la mise en place de la facture électronique ou le développement de filières de reconditionnement et l’allongement de la durée de vie des terminaux sont autant de pratiques que les représentants, présents ce jour, ont mentionnées.Au-delà, le secteur numérique est un outil au service de l’efficacité énergétique. Par exemple, dans le secteur du bâtiment, un simple programmateur de chaudière peut faire baisser de 10% la consommation d’énergie, les outils de gestions techniques de bâtiments de 30%.Les outils numériques facilitent également la décarbonation de l’énergie, par exemple dans la gestion des énergies renouvelables intermittentes.Le secteur réfléchit également à l’utilisation de capteurs déjà installés pour d’autres usages, afin qu’ils assurent le suivi et le contrôle de la consommation d’énergie dans des bâtiments. Cela pourra réduire instantanément les consommations de 10 à 15%.En ce sens, les appels à projets de la French Tech, et notamment le programme Green20, soutiennent les innovations de rupture en faveur de la transition écologique et énergétique.Une méthode de consultation pour identifier des mesures prioritaires spécifiques à chaque secteurTous les acteurs présents ont confirmé leur volonté de diminuer de 10% la consommation d’énergie d’ici deux ans. Pour y parvenir, les travaux se poursuivront en distinguant les acteurs disposant d’infrastructures techniques des acteurs de l’économie numérique, pour prendre en compte chacune de leurs spécificités.Les acteurs disposant d’infrastructures techniques (opérateurs de télécommunications et startups dans l’industrie) vont, par exemple, étudier la mise en place de mesures d’optimisation de la consommation énergétique des réseaux mobiles ;Les acteurs de l’économie numérique (notamment le Next40 et les capitales French Tech) réfléchiront à établir leur bilan carbone, préciser leurs engagements net zéro et à engager une démarche de mesure d'impact. Ils travailleront également à identifier des initiatives d’architecture technique des sites Internet à usage commercial pour que leur conception soit la plus légère possible en données.Les ministres poursuivront ces travaux avec le groupe « Numérique et télécommunications », aux côtés d’experts. Un plan d’actions de mesures simples et opérationnelles sera partagé fin septembre.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Pour faire de la sobriété énergétique une réalité, nous devons miser sur le numérique et les systèmes connectés. Ce sont autant d’outils pour mieux piloter notre consommation d’énergie. Nous devons nous appuyer collectivement sur l’expertise et la capacité d’innovation des acteurs du numérique, tout en les accompagnant dans l’accélération de leur propre feuille de route de décarbonation. »Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition Numérique et des Télécommunications, a déclaré : « Je salue les engagements pris par les acteurs du numérique et des télécommunications en réponse à l'appel à la sobriété énergétique. La concertation initiée aujourd'hui est la première étape d'une ambition collective que nous voulons porter avec Bruno Le Maire. C'est grâce à la contribution de tous que nous répondrons à l’urgence climatique. Dès septembre, de nouvelles mesures seront présentées pour réduire la consommation d'énergie du secteur. »[1] Étude économique 2020, Fédération Française des Télécoms
Il y a 2 ans et 305 jours

Clestra placé en redressement judiciaire

En grand besoin de financements, notamment après une cyberattaque en avril qui lui a coûté entre 2 et 3 millions d'euros, et ce malgré un carnet de commandes rempli jusqu'à la fin de l'année, le fabricant de cloisons du Bas-Rhin a été placé en redressement judiciaire pour six mois.
Il y a 2 ans et 305 jours

En matière d'infrastructures, "il reste encore beaucoup à faire", consent Jean Castex

MOBILITÉ. Avant de prendre les rênes de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France, l'ancien Premier ministre Jean Castex a été entendu par les commissions développement durable de l'Assemblée nationale et du Sénat. Des grands oraux au cours desquels certains parlementaires lui ont demandé de rendre des comptes sur des décisions prises alors qu'il dirigeait le gouvernement.
Il y a 2 ans et 305 jours

ADEME [Finance Climact] - Présentation des Plans de transition sectoriels

Chacune de ces feuilles de route s’articule en quatre volets – Technologique, Financement, Marché/emploi et Plan d’actions publiques et privées – et s’appuie sur une collaboration étroite avec les principaux acteurs du secteur concerné (fédérations et majors des secteurs).Un Plan de Transition Sectoriel se déroule sur une durée de 12 à 18 mois selon la complexité du secteur, et est rythmé par des échanges avec les industriels (collectifs et bilatéraux) ainsi que des réunions élargies avec les parties prenantes de la filière.Concertation et modélisation au cœur de la méthodologieTravail bibliographique et échanges pour dessiner l’état des lieux technico-économique du secteurDéfinition et validation d’usines de référence sur le parc industriel françaisModélisation de chemins technologiques évaluant la capacité de réduction d’émissions et les besoins d’investissement à l’échelle du parcAnalyse de la demande en matériaux et évolutions liées à la transitionAnalyse du marché de l’emplois et des compétencesConcertation et élaboration d’un plan d’actions, publiques et privées, permettant une décarbonation viable du secteurPlusieurs livrables seront mis à disposition des pouvoirs publics, des industriels et des institutions financières tout au long du projet et serviront de support dans les processus de décisions.Les 9 secteurs concernés sont : acier, aluminium, ciment, ammoniac, chlore, éthylène, papier-carton, sucre, verre.
Il y a 2 ans et 306 jours

Casino va céder le contrôle de sa filiale énergie GreenYellow à Ardian

Ardian va devenir d'ici la fin 2022 actionnaire majoritaire de l'entreprise spécialisée dans l'énergie : le fonds a signé un accord en ce sens avec Casino, la société d'investissement Tikehau Capital et la banque publique Bpifrance qui, en octobre 2018, avaient acquis ensemble 24% du capital de GreenYellow pour 150 millions d'euros au total.Mathieu Badjeck, co-responsable du fonds de transition énergétique de Tikehau Capital, s'est félicité auprès de l'AFP d'une "très belle opération pour nous comme pour l'ensemble des parties autour de la table". Il a précisé que le fonds avait initialement investi 100 millions d'euros et la Bpi 50 dans GreenYellow, "un acteur pionnier dans la transition énergétique". "C'était vrai il y a 3 ou 4 ans, c'est d'autant plus vrai aujourd'hui".Tikehau, qui a ultérieurement précisé avoir empoché 1,9 fois sa mise, conserve une part minoritaire de Greenyellow, de même que Bpifrance et Casino. Le PDG du groupe de distribution, Jean-Charles Naouri, a ainsi dit jeudi vouloir rester "associé durablement à la création de valeur de l'entreprise".Vaste plan de cessionsCréé en 2007 par Casino, GreenYellow vend à ses clients la possibilité de "réduire leur consommation énergétique et leur impact carbone", via l'installation de panneaux solaires, ainsi que "des contrats de performance énergétique" et des services comme le conseil ou l'achat d'énergie.Son nom a fait l'actualité dernièrement dans le cadre de la fourniture de gaz à des particuliers, une activité ciblée par une action de groupe pilotée par Consommation Logement Cadre de vie (CLCV). L'association de défense des consommateurs reproche à l'entreprise des "pratiques trompeuses" pour pousser ses clients à renoncer à une offre tarifaire fixe avantageuse dans un contexte de forte inflation du coût de l'énergie.Casino espère percevoir 600 millions d'euros de la vente, qui entrera dans le cadre de son vaste plan de cession d'actifs de 4,5 milliards d'euros, engagé en juillet 2018 et dont l'échéance, initialement fixée en mars 2021, a été repoussée à "au plus tard fin 2023".Le plan de cessions s'inscrit dans le cadre du plan de sauvegarde de la maison mère de Casino, Rallye, et de sa cascade de holdings (Foncière Euris, Finatis et Euris), lourdement endettées. Décidé en février 2020 par le tribunal de commerce de Paris, il prévoit un remboursement des créanciers via la remontée de dividendes de Casino vers ses holdings, ainsi que la cession d'actifs "non stratégiques".Beaumanoir veut SarenzaDe manière plus marginale, le distributeur stéphanois dit avoir 27 millions d'euros de "cessions diverses sécurisées ou sous promesses", citant Sarenza et des opérations immobilières.Le groupe spécialisé dans le prêt-à-porter Beaumanoir a annoncé le même jour être entré en négociations exclusives avec Monoprix, enseigne du groupe Casino, pour le rachat de l'e-commerçant Sarenza. Le montant potentiel de l'opération n'a pas été divulgué.Au terme de la cession de GreenYellow, Casino dit devoir encore céder pour 500 millions d'euros d'actifs, sans préciser lesquels. Il détient notamment le site d'e-commerce CDiscount, les enseignes Monoprix, Franprix, Géant, Naturalia, ainsi que Asai ou Pao de Acucar en Amérique latine.En attendant, Casino a accru lors du premier semestre 2022 sa perte nette, de 24,5% à 259 millions d'euros, malgré un chiffre d'affaires en progression et légèrement supérieur aux attentes, à 15,9 milliards d'euros. Le groupe profite notamment du retour des touristes en région parisienne, où il est fortement implanté via ses enseignes Monoprix ou Franprix.La dette nette s'est également accrue au premier semestre de plus de 18% par rapport à la même période 2021, à 7,5 milliards, dont 5,1 en France et 2,4 en Amérique latine.A la Bourse de Paris, le titre du groupe a ouvert la séance en hausse, mais est vite repassé dans le rouge et a terminé en baisse de 1,18% à 11,76 euros, dans un marché en hausse de 1,30%.Il a perdu près de la moitié de sa valorisation depuis le début de l'année. Début 2020, avant le déclenchement de l'épidémie de Covid-19, l'action s'échangeait encore aux alentours de 40 euros.
Il y a 2 ans et 306 jours

Le premier semestre de Vicat impacté par la hausse des coûts de l'énergie

Le cimentier a vu son chiffre d'affaires progresser de 12,5%, à 1,755 milliard d'euros, mais son bénéfice net chuter de 16,8% en raison de la "forte inflation des coûts de l'énergie", liée notamment à la guerre en Ukraine.
Il y a 2 ans et 306 jours

Les professionnels appellent à préciser d’urgence les modalités pratiques de mise en œuvre des aides financières sur le fioul domestique

Pour le fioul domestique, le prix moyen en 2021 s’élevait à 0,90 € par litre. Ce prix moyen est passé à 1,44 € par litre au premier semestre 2022 et a même atteint un pic de 1,69 € par litre en juin 2022. Actuellement en retrait à 1,57 € par litre, il reste cher en valeur absolue. La consommation moyenne des maisons individuelles se situe à 2 000 litres/an et concerne 3 millions de maisons individuelles en résidence principale. L’effort budgétaire engagé est louable, il correspond à l’excédent de TVA encaissé du seul fait de la hausse du prix au seul premier semestre 2022 (+ 9 cts par litre) et ne tient donc pas compte des recettes excédentaires de TVA à venir pour le second semestre 2022. L’apport en recette de TVA supplémentaire liée à la hausse du prix du fioul domestique peut être estimé à plus de 500 millions d’euros pour 2022. En attendant la prise d’effet de cette mesure, les commandes d’approvisionnement sont à l’arrêt. Les consommateurs attendent la concrétisation des annonces. II est donc urgent de connaître les modalités pratiques et la période pendant laquelle la réduction sera appliquée. Selon les statistiques de mises à la consommation*, la réduction de prix devrait représenter a minima 12 cts du litre TTC pour les volumes à livrer jusqu’en fin d’année, compte tenu de l’enveloppe budgétaire, soit environ 7 % sur le prix de vente actuel. Le seul mécanisme pouvant rapidement être mis en œuvre est analogue au dispositif portant sur les carburants qui vient d’être prolongé jusqu’à fin août, dans l’attente des décisions gouvernementales pour l’étendre jusqu’à la fin de l’année. Le fioul domestique F30 (biofioul F30), dont la mise sur le marché est prévue avant fin août pour l’alimentation des chaudières neuves, sera intégré au dispositif de réduction de prix.* Statistiques du Comité Professionnel du Pétrole