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Il y a 2 ans et 306 jours

Pouvoir d'achat : feu vert des sénateurs en commission au budget rectificatif

Le premier volet, le projet de loi "d'urgence" pour le pouvoir d'achat, est lui en discussion depuis jeudi matin dans ce même hémicycle.Le projet de budget rectifié ouvre 44 milliards d'euros de crédits, dont 9,7 pour financer la renationalisation à 100% d'EDF.Les sénateurs ont adopté en commission 21 amendements du rapporteur général du budget Jean-François Husson, selon un communiqué de la commission des Finances.Ils souhaitent notamment rendre pérenne la hausse à 7.500 euros du plafond de défiscalisation des heures supplémentaires, votée par l'Assemblée nationale pour 2022.Actuellement, les heures supplémentaires sont défiscalisées jusqu'à un plafond de 5.000 euros par an, avec un maximum de 220 heures effectuées sur une année, hors accord de branche, d'entreprise ou convention collective spécifiques.Ils ont remplacé la prime de rentrée exceptionnelle de 100 euros, réservée aux minima sociaux, par "une majoration exceptionnelle +coup de pouce+" de 150 euros aux bénéficiaires de la prime d'activité.Ils ont également prévu une enveloppe "exceptionnelle de 40 millions d'euros" pour les banques alimentaires, "soumises à d'importantes difficultés d'approvisionnement compte tenu notamment de l'inflation".Le rapporteur n'a pas remis en cause la suppression discutée de la redevance audiovisuelle. Mais les sénateurs ont borné au 31 décembre 2024 l'affectation d'une fraction du produit de TVA pour assurer le financement de l'audiovisuel public, "ce délai laissant le temps de la mise en place d'une véritable réforme du secteur".Ils ont encore décidé d'"améliorer le dispositif" pour soutenir les communes les plus fragilisées financièrement.Restera à aborder lundi la question très délicate de la possible instauration d'une taxe sur les "superprofits" des grandes entreprises. Rejetée de peu le week-end dernier par l'Assemblée nationale, cette "contribution exceptionnelle de solidarité" sera portée au Sénat par le groupe centriste.Les sénateurs centristes proposeront d'appliquer aux entreprises dont le bénéfice net aurait été en 2021 supérieur de 20% à la moyenne des trois années 2017, 2018 et 2019 une contribution à hauteur de 20% calculée sur la différence entre les deux montants.
Il y a 2 ans et 307 jours

2. Modularité et sobriété

Halle, Bouffémont (95)
Il y a 2 ans et 308 jours

1. Haute technicité

Halle, Courbevoie (92)
Il y a 2 ans et 308 jours

A deux ans des JO-2024, les Jeux ne font pas que des heureux

Quels profils ?Les opposants aux JO sont avant tout implantés en région parisienne, dans les territoires qui accueilleront la compétition mondiale. Au premier rang figure la Seine-Saint-Denis, qui reçoit la majorité des investissements publics pour ériger des réalisations pérennes.Saint-Ouen, Saint-Denis, La Courneuve, Dugny, Aubervilliers... Autant de villes qui vont bénéficier des projets olympiques, reconvertis ensuite en logements ou équipements publics.En face, la mobilisation est hétéroclite: aux riverains directement concernés par ces aménagements se mêlent des associations de défense de l'environnement et des oppositions politiques locales, majoritairement ancrées à gauche.Certaines de ces organisations sont déjà implantées et actives sur différentes sujets locaux, à l'image du Mouvement national de lutte pour l'environnement 93 et Nord Est parisien. Les autres sont plus récentes et diffuses, créées dans la perspective des Jeux, comme le "Comité citoyen de vigilance des JO 2024" ou le collectif "Saccage 2024".En mai dernier, Saccage 2024 a organisé des "Rencontres internationales anti-olympiques" à Saint-Denis et La Courneuve. Parmi ses invités figuraient des activistes mobilisés contre les JO passés (Londres, Tokyo) ou qui militent contre ceux à venir (Los Angeles)."Nous ne sommes pas les seuls à lutter contre cette mégamachine olympique qui ravage les terres que nous cultivons et les quartiers où nous vivons", affirme le collectif.Son discours altermondialiste rejette jusqu'à la compétition elle-même, "un sport compétitif, nationaliste et obsédé par le profit".Le nombre d'opposants à Paris-2024 est difficilement calculable et fluctue. A ce stade, les mobilisations ont rassemblé au maximum jusqu'à quelques centaines de personnes, dont des familles, et se déroulent sans débordement.Ces manifestants revendiquent une action non-violente.Quels combats ?Outre des défilés classiques, les opposants tentent d'innover à travers d'autres formats.A Saint-Denis en mai 2021, une poignée d'entre eux a coupé la circulation en installant de faux arbres en carton, des barrières de jardin et des tables pour transformer une route en "square éphémère".Ils dénonçaient les risques sur la santé de 700 élèves d'une école qui jouxte un échangeur autoroutier en construction pour les besoins des Jeux.A Aubervilliers, des militants ont occupé pendant quelques mois, jusqu'à leur évacuation par les forces de l'ordre en septembre 2021, une partie des jardins ouvriers promis à la destruction en vue de la construction d'une piscine d'entraînement pour les athlètes.Ces "JAD" ("Jardins à défendre") éphémères, version miniature de la ZAD ("Zone à défendre") de Notre-Dames-des-Landes, ont accueilli des habitants et des activistes plus chevronnés, le temps de débats entre les potagers.Les projets liés aux Jeux impliquent une artificialisation des sols à l'encontre de l'urgence climatique, estiment leurs détracteurs.Peu nombreux sur le terrain, ils amplifient la visibilité de leurs actions via les réseaux sociaux, qui font caisse de résonance avec d'autres luttes écologiques dans le pays.L'autre arme des opposants est judiciaire, via de nombreux recours devant le tribunal administratif ou directement devant la cour administrative d'appel de Paris, instance judiciaire désignée pour régler les contentieux liées aux Jeux.Quels résultats ?Un échangeur autoroutier, le futur village des médias et la piscine d'Aubervilliers ont été visés par des procédures judiciaires. Les requérants ont obtenu des délais dans le démarrage des travaux, mais aucun projet n'a été abandonné.Seule victoire notable à Aubervilliers, où la pugnacité des opposants a forcé la ville à réviser le projet d'origine. Sommée par le juge, la ville a corrigé son permis de construire en supprimant les constructions annexes de la piscine, prévues sur le périmètre des jardins.Aux yeux de nombreux opposants, les JO agissent toutefois comme "un rouleau compresseur" auquel il est ardu de résister.En réponse, les autorités rappellent l'opportunité qu'offrent les projets olympiques pour le développement de la Seine-Saint-Denis, soulignant que les contestations sont inhérentes à ces grands projets urbains, désormais tous sur les rails.
Il y a 2 ans et 308 jours

L'architecte Odile Decq remporte le Prix SIT du design mobilier

Le dossier et l'assise du fauteuil sont conçus dans une forme complexe de torsion continue. Ce sont des pièces séparées, reliées par une structure en acier inoxydable qui descend, utilisée comme pieds."Confident" sera également redéveloppé en résine pour être utilisé à l'extérieur et à l'intérieur.Studio Odile Decq est un cabinet international d'une quinzaine de personnes représenté par Odile Decq, établi depuis le début des années 80. L'architecture du Studio Odile Decq, reconnue et publiée dans le monde entier, a reçu de nombreux prix nationaux et internationaux. Malgré sa notoriété, le Studio intègre la technique, la recherche et l’innovation en gardant une échelle humaine, proche des projets, où le dialogue est primordial.
Il y a 2 ans et 308 jours

Résultats records pour Holcim au premier semestre 2022 boostés par sa nouvelle division

RÉSULTATS. Le cimentier, Holcim, annonce des résultats records et ce, des ventes au bénéfice net. L'industriel souligne tout particulièrement les performances de sa nouvelle division "Solutions et Produits" spécialisée notamment dans la toiture et l'isolation.
Cimbat
Il y a 2 ans et 308 jours

Projet de loi « pouvoir d’achat » : des objectifs clairs, des mesures concrètes, des effets immédiats

Pour Frédérique Puissat, rapporteur, « Il faut être clair sur les objectifs : la prime proposée est un coup de pouce au pouvoir d’achat. Ce n’est ni une nouvelle forme d’intéressement, ni un substitut à des augmentations de salaires. Il faut répondre aux attentes des Français par des mesures concrètes, aux effets immédiats ».En conséquence, la commission a :rebaptisé la prime, conjointement avec la commission des finances, en « prime de pouvoir d’achat », dénomination plus conforme à son objet ;limité à quatre versements, par l’adoption d’un amendement de Christine Lavarde, rapporteure pour avis de la commission des finances, le fractionnement possible de la prime en cours d’année pour éviter qu’elle ne remplace les augmentations de salaire ;précisé le rapport d’évaluation sur les effets de substitution ;donné un caractère pérenne à la prime aux seules entreprises de moins de cinquante salariés, pour lesquelles elle peut objectivement offrir une alternative à l’intéressement. Privilégiant des mesures concrètes aux effets immédiats, la commission a également prévu :une réduction de cotisations patronales au titre des heures supplémentaires pour les entreprises d’au moins vingt salariés ;le déblocage anticipé des sommes placées au titre de l’épargne salariale ;l’accélération du processus d’extension des accords salariaux.Saisie pour avis de l’examen au fond des articles 6 à 13, 15 bis et 15 ter, 17 à 19 et 22, la commission des affaires économiques :a préservé le compromis trouvé entre les locataires, l’État à travers l’accompagnement des ménages modestes en accroissant les APL et les propriétaires qui acceptent un plafonnement de la hausse des loyers, et supprimé les exceptions, leur applicabilité et leur constitutionnalité n’étant pas garanties ;a cherché en matière d’énergie un équilibre sur le niveau du plafond et le prix de l’Arenh. Elle a mieux encadré les dispositifs d’urgence, le contexte de crise ne devant pas porter une atteinte excessive à la liberté d’entreprendre et au droit de propriété ;a rehaussé en matière de consommation l’ambition du texte tout en s’assurant de son caractère adapté pour les petites entreprises (comme les artisans). Pour Daniel Gremillet, rapporteur pour avis, « Sur le volet économique, le projet de loi est paradoxal : il vise à soutenir le pouvoir d’achat mais comporte peu de mesures en ce sens. Il trahit par ailleurs le fait que le Gouvernement ne conçoit le pouvoir d’achat que comme une problématique de revenus, rarement en termes de prix ou de frais. Certaines dispositions d’urgence auront des répercussions financières sur les consommateurs. D’autres sont peu respectueuses de la liberté d’entreprendre et du droit de propriété. Notre commission a veillé à corriger ces “effets de bord” dans un esprit d’équilibre entre protection des consommateurs, notamment d’énergie, dont les entreprises et les collectivités, et soutien aux acteurs économiques. »Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, « Alors que le Gouvernement annonçait de meilleures relations avec le Parlement, la méthode employée sur ce texte n’est pas admissible. 15 jours de délai entre sa présentation en Conseil des ministres et celle au Parlement, 3 jours entre son adoption par l’Assemblée nationale et son examen au Sénat. Si le texte est mal anticipé, il est aussi mal évalué. En témoigne l’indigence de l’étude d’impact ! ».Saisie pour avis de l’examen au fond des articles 14, 16, 20 et 21, la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable a regretté les délais contraints imposés par le Gouvernement qui ne permettent pas au Parlement de travailler sereinement.Pour autant, dans un esprit de responsabilité, elle a souhaité apporter des garanties complémentaires aux procédures dérogatoires instituées par le projet de loi pour sécuriser l’approvisionnement énergétique français et soutenir les professionnels du transport routier face à la hausse des coûts du carburant. « Le manque de vision stratégique et l’accumulation de décisions inopportunes ont conduit à une forte tension qui menace la souveraineté énergétique française » observe le rapporteur pour avis, Bruno Belin, pour lequel « ce texte fourre-tout préparé à la hâte n’est pas étayé par une étude d’impact à la hauteur des enjeux permettant au législateur d’exercer pleinement ses compétences. »
Il y a 2 ans et 308 jours

Les métiers du patrimoine sous la menace d'une interdiction du plomb

FOCUS. La révision d'un règlement européen relatif aux substances chimiques pourrait déboucher sur une interdiction du plomb, utilisé pour les vitraux. Le Sénat interpelle le Gouvernement et la Commission européenne sur les répercussions qu'une telle décision pourrait avoir sur l'activité et l'emploi des métiers du bâtiment liés au patrimoine.
Il y a 2 ans et 308 jours

Logement neuf : vers un atterrissage des autorisations

CHIFFRES DE LA CONSTRUCTION. L'effet du nombre exceptionnel de demandes de permis déposées en décembre 2021 est désormais dépassé, depuis fin mars, mais uniquement pour les logements individuels purs, estime le service des statistiques, qui publie les chiffres de la construction.
Il y a 2 ans et 308 jours

L'économie française se redresse au deuxième trimestre, mais l'inflation menace toujours

La première estimation du produit intérieur brut (PIB) au deuxième trimestre, publiée vendredi par l'Insee, devra certes être confirmée fin août.Mais alors que la croissance au deuxième trimestre était attendue à 0,2% par la Banque de France et à 0,25% par l'Institut national de la statistique, elle s'est finalement établie à 0,5% par rapport au premier trimestre."Le chiffre de croissance pour le deuxième trimestre est une victoire de l'économie française dans des temps difficiles", s'est réjoui le ministre de l'Économie Bruno Le Maire à la sortie du Conseil des ministres."C'est une bonne surprise, mais il faut regarder les détails", a réagi auprès de l'AFP Ana Boata, directrice de la recherche économique chez Allianz Trade."Le fait que la consommation soit encore en baisse malgré une politique de soutien généreuse est révélateur", a appuyé sur Twitter Gilles Moëc, chef économiste du groupe Axa.Malgré les dizaines de milliards de dispositifs d'aides aux entreprises et aux ménages déployés par le gouvernement, le soutien budgétaire "peine à compenser l'érosion des revenus réels et/ou la perte de confiance des consommateurs dans un environnement difficile", a-t-il ajouté.L'indice des prix à la consommation, dont l'Insee a publié vendredi matin une première estimation pour le mois de juillet, vient d'ailleurs de franchir la barre des 6% (+6,1% sur un an après +5,8% en juin).Et l'Insee "considère qu'on n'est pas encore tout à fait au pic" d'inflation, a rappelé vendredi son directeur des études économiques Nicolas Carnot."L'inflation reste notre sujet de préoccupation numéro un. Mais nous anticipons une baisse" en 2023, a tempéré Bruno Le Maire. Commerce extérieurEn dehors de ces points de vigilance, la bonne tenue de l'économie française au deuxième trimestre s'explique par une contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.Selon cette première estimation des comptes nationaux, les importations ont reculé de 0,6% au deuxième trimestre, tandis que les exportations, tirées notamment par les services de transport et les dépenses des voyageurs étrangers, ont bondi de 0,8%."À l'inverse, les exportations de biens se replient (-0,6% après +1,4%), notamment dans les matériels de transport et l'agroalimentaire", précise l'Insee.Contexte "volatil"Quant à la consommation, traditionnel moteur de l'économie française, elle reste négative pour les achats de biens (-1,3%), mais les achats de services repartent nettement à la hausse (+1,5%). Deux tendances contradictoires qui aboutissent à un recul global de 0,2% de la consommation des ménages au deuxième trimestre."La consommation de biens et services sur le territoire est notamment soutenue par les dépenses des voyageurs étrangers en France", note l'Insee. Avec les chiffres publiés vendredi, l'institut évalue à 2,5% l'acquis de croissance de l'économie française pour l'année 2022.Un chiffre "confortable", estime Ana Boata, et conforme à l'anticipation de croissance annuelle du gouvernement. La Banque de France ou le FMI (+2,3%) sont légèrement moins optimistes.Mais entre la guerre en Ukraine et l'inflation qui atteint des niveaux plus vus depuis les années 1980, le contexte économique promet de rester "volatil" d'ici à la fin de l'année, avertit Ana Boata.Les données de l'Insee sont publiées au lendemain de la parution des chiffres de la croissance américaine au deuxième trimestre (-0,9% en rythme annualisé après -1,6% au 1er trimestre), qui ont techniquement fait entrer le pays en récession.En Europe, l'Espagne (1,1%), l'Italie (1%) ou la zone euro (0,7%) ont comme la France dévoilé vendredi un taux de croissance supérieur aux attentes au deuxième trimestre, mais l'économie allemande a en revanche calé (0%).
Il y a 2 ans et 308 jours

Immobilier neuf : les permis de construire en net repli au deuxième trimestre

Ce chiffre reste toutefois bien supérieur (+11,2%) à la moyenne des douze mois précédant la crise sanitaire, entre mars 2019 à février 2020, a relevé le ministère.La forte hausse du premier trimestre avait fait suite à un nombre "exceptionnel" de dépôts de demandes de permis en décembre 2021, avant l'entrée en vigueur d'une règlementation environnementale (RE2020) plus contraignante, qui a pour objectif de limiter les émissions de gaz à effet de serre de la construction neuve.Cet effet "est dépassé depuis fin mars pour les logements individuels purs, mais s'est prolongé au cours de ce trimestre pour les logements collectifs ou en résidence et les logements individuels groupés", précise le ministère. Au deuxième trimestre, le nombre de logements mis en chantier a aussi diminué (-5%), après un recul "plus modéré" au premier trimestre (-0,6%), estime le ministère de la Transition.Entre juillet 2021 et juin 2022, 508.700 logements ont été autorisés à la construction, soit 67.900 de plus qu'au cours des douze mois précédents (+15,4%).Sur la même période, 387.700 logements ont été mis en chantier, soit 1.200 de plus (+0,3%) que lors de l'année précédente.Les autorisations à la construction de locaux non résidentiels ont de leur côté augmenté au deuxième trimestre (+8,6%) par rapport au même trimestre un an plus tôt, ainsi que par rapport aux douze mois précédents (+10,4%).Construction de logements, résultats à fin juin 2022Construction de locaux, résultats à fin juin 2022
Il y a 2 ans et 308 jours

Le gouvernement annonce des mesures d’urgence pour accélérer le développement de la production d’énergies renouvelables électriques

On estime que 6 à 7 GW de projets solaires et 5 à 6 GW de projets éoliens sont actuellement menacés.Ces projets sont essentiels pour renforcer au plus vite notre indépendance énergétique et accélérer notre production d’électricité décarbonée. Les filières renouvelables contribuent de manière déterminante à l’atteinte de nos objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre en vue de la neutralité carbone en 2050, comme à la protection de notre sécurité d’approvisionnement pour les prochains hivers : Elles assurent près de 20% de nos besoins d’électricité en 2022 à partir de ressources disponibles en France, contribuant à notre indépendance énergétique Leurs coûts de production sont aujourd’hui compétitifs et ne dépendent pas des cours du marché des énergies fossilesA la demande du Président de la République et de la Première ministre, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, annonce des mesures réglementaires pour répondre à l’urgence de la situation. Ces mesures consistent à :Autoriser les projets de production d’énergie renouvelable électrique sous le régime des compléments de rémunération à vendre leur électricité sur les marchés durant 18 mois avant la prise d’effet de leurs contratsPrendre en compte la hausse des coûts des matériaux pour tous les futurs projets de production d’énergie renouvelable électrique comme de production de biométhaneGeler la baisse des tarifs pour les projets photovoltaïques sur bâtiment pour l’année 2022Permettre à l’ensemble des projets renouvelables déjà lauréats d’appels d’offres d’augmenter leur puissance jusqu’à +40% avant leur achèvementAllonger le délai de mise en service pour les installations de production de biométhane ayant obtenu leur autorisation environnementale En parallèle, la ministre lancera un nouvel appel d’offres photovoltaïque en Outre-Mer, en Corse, et dans les Îles du Ponant (zones non interconnectées). Elle mettra également en œuvre un nouveau guichet tarifaire pour les installations photovoltaïques au sol de moins de 1 MW, situées sur terrains dégradés, urbanisés ou à urbaniser, ainsi que pour les « traqueurs solaires ». Ces mesures d’urgence ont vocation à produire des effets dans les prochains moins. Elles sont complémentaires de la loi d’urgence actuellement en préparation pour passer un cap dans le déploiement des énergies renouvelables, conformément aux annonces du Président de la République lors du discours de Belfort et réaffirmées le 14 juillet 2022.
Il y a 2 ans et 308 jours

Le Gouvernement annonce des "mesures d'urgence" pour le déploiement des ENR électriques

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. La ministre de la transition énergétique Agnès Pannier-Runacher vient d'annoncer des "mesures d'urgence" visant à accélérer le développement d'unités de production d'énergies renouvelables électriques. La filière photovoltaïque bénéficie notamment de nouvelles facilités.
Il y a 2 ans et 308 jours

L'ACPR, gendarme de l'assurance, sanctionne lourdement un assureur-construction

RISQUES. Un assureur français actif dans le secteur de la construction vient d'être sanctionné par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), gendarme français de l'assurance.
Il y a 2 ans et 308 jours

En immobilier, les Français préfèrent-ils investir dans la région de leurs vacances ou plutôt là où ils vivent ?

Un sondage qui montre que 4 régions se distinguent en France et pour des raisons totalement différentes.Pour Cédric O’Neill, fondateur de Bricks.co : « Les Français ont vraiment une passion pour la pierre. La preuve en est que même pendant leurs congés, les vacanciers s’intéressent aux investissements immobiliers locaux avec pour certains l’envie de s’installer dans leur région de villégiature. »Les congés riment avec immobilierPendant leurs vacances, les Français ont un loisir bien particulier. En effet, en plus des promenades et des activités diverses, plus de 59% déclarent qu’ils aiment s’intéresser à chaque fois aux opportunités locales d’investissements immobiliers et 24% de temps en temps. Mais sont-ils prêts à franchir le pas et pour quelles régions ?Vacances, domicile ou autre ? Quelles régions choisiraient les Français pour investir en immobilier ?Parmi les 13 régions de France, 4 se distinguent clairement mais pas du tout pour les mêmes raisons. En effet, les Français qui aimeraient investir dans la région où ils habitent choisissent d’abord l’Île-de-France à 14%, la Nouvelle Aquitaine à 12% et l’Occitanie / Pyrénées-Méditerranée à 11%. En revanche, les Français qui opteraient pour investir dans la région de leurs vacances plébiscitent en premier lieu la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à 18%, puis l’Occitanie / Pyrénées-Méditerranée à 16% et la Nouvelle Aquitaine à 14%. Enfin, les Français qui préfèreraient investir dans une autre région que celle de leurs vacances ou de leur domicile votent pour l’Île-de-France à 19%, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur à 13% et 11% pour l’ Auvergne Rhône-Alpes. Mais pourquoi les Français aiment-ils l’immobilier ? Pour ce qui est des raisons qui poussent les Français à investir dans l’immobilier, peu de nouvelles surprises. La retraite reste le critère principal pour 36%, juste devant l’augmentation des revenus avec 29%. 21% veulent également se constituer un patrimoine dans la pierre et 18% pour s’installer dans une région en particulier. Enfin, 11% veulent juste se lancer dans l’investissement immobilier. *Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 1.002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27.000 personnes en France). Le 11 juillet 2022, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées jusqu’au 20 juillet 2022 en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
Il y a 2 ans et 308 jours

Vinci en grande forme internationale

RÉSULTATS. Le groupe Vinci a présenté le 29 juillet 2022 son bilan pour le premier semestre de l'année. Et il a enregistré de très bonnes performances, portées par l'international qui dépasse pour la première fois l'activité en France, par l'intégration de Cobra IS, et par des niveaux d'activité dépassant ceux réalisés en 2018 par la quasi-totalité des métiers.
Il y a 2 ans et 308 jours

Gironde: TMH, passeurs de patrimoine

TMH, entreprise de restauration du patrimoine installée à Villenave-d’Ornon, associe ponctuellement les métiers d’art traditionnels aux nouvelles constructions. Mais toujours pour mieux servir le patrimoine.
Il y a 2 ans et 308 jours

Le Conseil des architectes d’Europe manifeste son soutien aux Ukrainiens

Fondatrice du bureau Viceversa Architektur+Medien à Stuttgart en 2006, l’architecte allemande Ruth Schagemann a pris les ...More about Cet article Le Conseil des architectes d’Europe manifeste son soutien aux Ukrainiens est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
GDA
Il y a 2 ans et 308 jours

Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM

Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge, projet phare de plusieurs centaines de milliards de dollars de Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, qui cherche à diversifier l'économie du pays pétrolier.Avec ses taxis volants et robots domestiques, NEOM a fait beaucoup parler d'elle depuis sa première annonce en 2017, même si des architectes et des économistes ont mis en doute sa faisabilité.Au départ, NEOM a été présentée comme une "Silicon Valley" régionale, un centre de la biotechnologie et du numérique s'étendant sur 26.500 kilomètres carrés.Mais lors de la présentation lundi soir de "The Line", le prince a esquissé une vision encore plus ambitieuse, décrivant une ville utopique sans voitures, la plus vivable "sur toute la planète".L'idée est de repenser la vie urbaine sur une surface de seulement 34 kilomètres carrés pour répondre aux "crises de l'habitabilité et de l'environnement", a-t-il ajouté, suscitant une nouvelle fois le scepticisme chez certains."Le concept a tellement évolué depuis sa conception initiale qu'il est parfois difficile de déterminer sa direction", commente Robert Mogielnicki de l'Arab Gulf States Institute à Washington.Boom démographiqueLes autorités ont évoqué dans le passé le chiffre d'un million d'habitants à NEOM.Le prince héritier a désormais fixé la barre à 1,2 million d'habitants d'ici 2030 et neuf millions à l'horizon 2045, en misant sur un boom démographique nécessaire, selon lui, pour faire de l'Arabie saoudite une puissance économique capable de rivaliser dans tous les secteurs.A l'échelle nationale, l'objectif est d'atteindre 100 millions d'habitants en 2040, "près de 30 millions de Saoudiens et 70 millions ou plus d'étrangers", contre environ 34 millions d'habitants aujourd'hui, a déclaré Mohammed ben Salmane."C'est l'intérêt principal de la construction de NEOM : augmenter la capacité (démographique, ndlr) de l'Arabie saoudite (...). Et puisque nous le faisons à partir de zéro, pourquoi copier les villes normales ?".D'une largeur de 200 mètres seulement, "The Line" doit répondre à l'étalement urbain incontrôlé et nuisible à l'environnement, en superposant maisons, écoles et parcs, selon le modèle de "l'urbanisme à gravité zéro". Les résidents auront accès à "tous leurs besoins quotidiens" en cinq minutes à pied, ainsi qu'à d'autres facilités comme des pistes de ski en plein air et "un train à grande vitesse avec un trajet de bout en bout (de la ville) de 20 minutes", selon le communiqué de presse publié lundi.NEOM devrait aussi être régie par sa propre loi, en cours d'élaboration, mais les responsables saoudiens ont d'ores et déjà affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de lever l'interdiction de l'alcool imposée dans le royaume conservateur.Trouver des fondsAutre défi pour NEOM : respecter les promesses en matière de protection de l'environnement du pays qui s'est engagé -sans convaincre les défenseurs de l'environnement- à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Selon une vidéo promotionnelle publiée lundi, le site sera totalement alimenté par des énergies renouvelables et présentera "un microclimat tempéré toute l'année avec une ventilation naturelle".NEOM est bien positionnée pour bénéficier de l'énergie solaire et éolienne, et la ville devrait accueillir la plus grande usine d'hydrogène vert du monde, note Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil Verisk Maplecroft. "Mais la faisabilité de NEOM dans son ensemble n'est pas claire étant donnée l'ampleur et le coût sans précédent du projet".Le coût de la "première phase", qui s'étend jusqu'en 2030, est évalué à 1.200 milliards de riyals saoudiens (environ 319 milliards de dollars), selon le prince Mohammed.Outre les subventions gouvernementales, les fonds devraient provenir du secteur privé et de l'introduction en bourse de NEOM prévue en 2024.Le financement reste un défi potentiel, même si le contexte actuel, marqué par la flambée des prix du pétrole, est plus favorable pour le royaume que durant la pandémie de Covid-19.Par ailleurs, "le financement n'est qu'une partie de l'équation", souligne Robert Mogielnicki."La demande est plus difficile à acheter, surtout quand on demande aux gens de participer à une expérience sur la vie et le travail dans le futur."
Il y a 2 ans et 308 jours

Bon été !

La rédaction d’AMC vous souhaite un bel été et vous donne rendez-vous en septembre pour de nouvelles actualités. D’ici là, inscrivez-vous pour recevoir des newsletters thématisées pendant tout le mois d’août (expositions estivales, livres, profession, etc.).   Découvrez aussi la base de données […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 308 jours

URW retrouve une activité proche de l'avant Covid-19

Le bénéfice récurrent net du groupe, l'indicateur de référence du secteur, a lui aussi connu une forte hausse de 50,5% par rapport au premier semestre 2021, à 711 millions, profitant de l'amélioration de la situation sanitaire."Le chiffre d'affaires des commerçants dépasse les niveaux de 2019" pour le deuxième trimestre, indique le groupe dans un communiqué. "Le pic de la crise était en 2021 pour URW", note Jean-Marie Tritant, le président du directoire du groupe."La reprise enregistrée au deuxième semestre de 2021 s'est améliorée au premier semestre de 2022, malgré les effets persistants de la pandémie", ajoute M. Tritant, évoquant la fermeture de certains centres aux Pays-Bas. La branche expositions d'URW, qui comprend notamment les parcs des expositions de Villepinte et de la Porte de Versailles à Paris, affiche des bons résultats en raison de la fin des mesures sanitaires. Elle bénéficie aussi de l'aide de l'État français de 25 millions d'euros en compensation des fermetures des années précédentes, indique le groupe dans son communiqué.La fréquentation de ses centres commerciaux n'a cependant toujours pas rattrapé les niveaux d'avant la pandémie: elle s'élève au premier semestre à 85% des niveaux de 2019 à la même période en Europe continentale, et à 89% aux Etats-Unis.La vacance dans les centres commerciaux est en très légère baisse, à 6,9% contre 7% à la fin de l'année 2021. Elle reste stable en Europe continentale, à 4%.Le groupe a réalisé 80% de son programme de 4 milliards d'euros de cession en Europe, dans un objectif de désendettement.Aux Etats-Unis, dont URW veut se désengager courant 2022-2023, "nous avons poursuivi la rationalisation de notre portefeuille d'actifs", indique M. Tritant dans le communiqué, avec la vente du terrain à bâtir de l'ancien centre commercial Promenade, dans la vallée de San Fernando en Californie. "Nous sommes en discussions actives concernant la vente d'autres actifs régionaux", explique le président du directoire du groupe, sans plus de précisions.Pour seule prévision pour l'année 2022, "dans un contexte global incertain", URW révise à la hausse son bénéfice net récurrent ajusté par action, "de 8,20-8,40 euros à au minimum 8,90 euros".
Il y a 2 ans et 308 jours

Le concours Pool Design Awards revient lors du salon Piscine Global Europe 2022 !

Vous êtes architecte, designer ou constructeur, et avez réalisé une piscine au design remarquable ? Faites découvrir votre projet sur… Cet article Le concours Pool Design Awards revient lors du salon Piscine Global Europe 2022 ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 308 jours

Hausse du niveau d'obligation de CEE : plus d'1 Md € de travaux supplémentaires

Le gouvernement a annoncé une hausse du niveau des obligations de CEE de 600 TWHc, dont deux tiers au profit des ménages en situation de précarité énergétique.
Il y a 2 ans et 308 jours

Vinci voit toujours plus loin

Un chiffre d’affaires en hausse sur tous ses segments d’activités, réalisé désormais majoritairement à l’international, un carnet de commandes toujours plus rempli et à un niveau « historique » : le premier semestre de Vinci lui permet d’espérer une année 2022 encore meilleure que 2019, dernière année de référence.
Il y a 2 ans et 309 jours

Saint-Gobain annonce des bénéfices semestriels en hausse malgré l'inflation

Son bénéfice net a progressé de 32,8% à 1,72 milliard d'euros sur les six premiers mois de l'année. Le chiffre d'affaires a pour sa part progressé de 15,1% à 25,48 milliards, porté par la rénovation en Europe et la construction dans les Amériques et en Asie.Les résultats sont "très bons malgré un environnement relativement chahuté avec la hausse des taux d'inflation, les difficultés d'approvisionnement qu'on connaît bien et la situation énergétique et géopolitique tendue", a salué Benoît Bazin, le directeur général, lors d'une conférence de presse.Le groupe a dans la foulée confirmé ses perspectives. "Saint-Gobain confirme viser une nouvelle progression du résultat d'exploitation en 2022 par rapport à 2021 à taux de change comparables", indique-t-il dans un communiqué.Saint-Gobain a par ailleurs revu à la hausse l'effet de l'inflation, avec des coûts d'énergie et de matières premières attendus en progression de près de 3 milliards d'euros cette année par rapport à 2021, contre 2,5 milliards attendu auparavant.Cette révision concerne "plutôt les matières premières", a précisé M. Bazin. "On avait été précautionneux, on avait couvert nos achats d'énergie par anticipation sur l'année 2022 : on est couverts à 80% sur nos besoins d'énergie et on a d'ores et déjà couvert 60% de l'année 2023".Saint-Gobain se dit en outre "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" cette année, bénéficiant notamment d'un "écart prix-coûts positif au premier semestre".Le groupe indique par ailleurs se préparer à une éventuelle coupure totale de l'alimentation en gaz russe dans les pays qui y sont le plus sensibles : Allemagne, République tchèque et Pologne.L'effet négatif serait limité à "environ 2% du chiffre d'affaires du groupe" grâce à divers leviers (qualification d'industrie prioritaire, recours au fioul plutôt qu'au gaz, moindre utilisation d'énergie dans les usines).
Il y a 2 ans et 309 jours

Le stade Le Mans Arena officiellement renommé "Marie Marvingt"

Construit par Vinci et inauguré en 2011, le stade qui compte 25.000 places était sous contrat de naming avec l'assureur MMA depuis son inauguration, mais le sponsor a décidé de ne pas renouveler ce contrat la saison dernière.Le stade Marie Marvingt est devenu trop grand pour l'équipe de football du Mans, qui a plongé de la Ligue 1 (2005 à 2010) jusqu'en division d'honneur avant de remonter en National."C'est ma directrice de cabinet qui a découvert l'histoire singulière de cette femme" a déclaré le maire du Mans Stéphane Le Foll, joint par l'AFP."La première à traverser la Manche après Blériot en 1909, elle s'est déguisée en homme pour aller dans les tranchées, elle a couru des étapes du tour de France : c'est un emblème pour le sport féminin et c'est ce qui nous a poussé à faire ce choix" a-t-il poursuivi, "au moment où l'équipe féminine du Mans monte en ligue 2".M. Le Foll en a profité pour annoncer que le président de la fédération française de rugby Bernard Laporte lui avait confirmé la tenue au stade Marie Marvingt du "crunch" féminin l'an prochain (le match France - Angleterre des six nations).
Il y a 2 ans et 309 jours

Deux personnes décèdent sur un chantier de télécabine dans le Mont-Blanc

Une troisième personne a été blessée légèrement dans cet accident qui s'est produit en aval du site du Montenvers, sur un pylône de support d'un câble de service provisoire (blondin), un dispositif qui devait servir à acheminer les matériaux du chantier de la nouvelle télécabine, indique le groupe dans un communiqué.Cette installation de chantier était destinée à "limiter au maximum l'utilisation des trains et de l'hélicoptère pour l'approvisionnement du chantier".Les trois personnes sont tous trois des employés d'une entreprise extérieure en charge de ces travaux.Suite à cet accident, le site du Montenvers Mer de Glace (train - télécabine - visites) restera fermé jeudi, précise le groupe.
Il y a 2 ans et 309 jours

L'immobilier logistique est à un tournant au 2e trimestre 2022

Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France et François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L dressent le bilan du 1er semestre et se projettent pour la suite de l’année 2022.Des utilisateurs prudents mais actifsAvec près de 717.000 m² placés en logistique à l’échelle de la France, l’activité ralentit au 2ème trimestre après un record des volumes de transactions en 2021 et au 1er trimestre de l’année. Le 1er semestre totalise plus d’1,9 M de m² placés, une performance tout à fait honorable dans un environnement chahuté. « Le recul de la demande placée au 2ème trimestre s’explique en partie par l’adoption de positions attentistes de la part des utilisateurs en réponse au climat économique et géopolitique » commente Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France. Signe encourageant, les dernières semaines du trimestre ont été marquées par un redémarrage de l’activité, portée par le retour en force des logisticiens et le dynamisme des acteurs de la grande distribution.Les tensions sur l’offre s’intensifient dans l’Hexagone, contraignant fortement le niveau des transactions sur les marchés de la Dorsale à l’exception des Hauts-de-France. Ainsi, le taux de vacance (hors Hauts-de-France) est en forte baisse et atteint à date 2,4%. « Cette faiblesse structurelle de l’offre face aux besoins réels des utilisateurs sur ces secteurs occasionnera un tassement inévitable de l’activité au cours de l’année 2022 » précise Pierre-Louis Dumont. En outre, plusieurs facteurs pourraient freiner la dynamique d’activité et le renouvellement de l’offre : d’une part, un questionnement sur l’évolution de la demande exprimée au regard des perspectives macroéconomiques ; d’autre part, les difficultés grandissantes pour développer des bâtiments logistiques en raison de la hausse des coûts de construction et de la raréfaction foncière. Ces tensions à l’offre participent à la croissance soutenue des valeurs locatives sur les marchés sous-offreurs.L’investissement I&L poursuit sa dynamique malgré la montée des incertitudesL’investissement I&L totalise plus de 2,8 Mds d’€ au cours du 1er semestre 2022, témoignant de l’attrait toujours marqué pour la classe d’actifs. Ce dynamisme reflète la solidité des fondamentaux du marché de la logistique couplée à la tendance haussière des loyers. Bien que la conjoncture actuelle complexifie les prises de position à court terme, les liquidités restent abondantes. « Les produits avec des flux locatifs sécurisés et indexés à long terme sont toujours recherchés tandis que les produits plus exposés aux risques attirent les investisseurs en quête de rendements élevés et de potentiel de réversion » commente François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L. Toutefois, « l’accroissement significatif des taux de financement et le climat d’incertitudes actuel participent à l’essor de positions attentistes de la part de nombreux investisseurs, qui devraient perdurer dans les deux prochains mois » souligne François-Régis de Causans.Les perspectives du 2ème semestre s’annoncent néanmoins porteuses d’opportunités pour ceux souhaitant tirer profit des mutations en cours dans la supply chain.
Il y a 2 ans et 309 jours

Résultats en hausse et acquisition en vue dans la menuiserie bois pour Herige

RESULTATS ET ACQUISITION. Herige, qui s'illustre dans le négoce, le béton et la menuiserie, à travers VM, Edycem et Atlantem, annonce un chiffre d'affaires en hausse d'environ 10% au premier semestre 2022. A l'occasion de la publication de ses résultats, le groupe a évoqué une future acquisition dans la menuiserie.
Il y a 2 ans et 309 jours

La Cour des comptes juge que les prêts garantis par l'État ont rempli leur mission

ÉCONOMIE. Mesure-phare du soutien aux entreprises françaises lors de la tempête économique du Covid, les fameux PGE ont atteint leur objectif d'après la rue Cambon : apporter un souffle de trésorerie tout en assurant un partage plutôt équitable des risques et des coûts entre les professionnels, les banques et l'État, et sans poser de difficultés au moment du remboursement.
Il y a 2 ans et 309 jours

L'opinion des promoteurs continue de se dégrader

ENQUÊTE INSEE. L'enquête trimestrielle d'opinion des promoteurs immobiliers montre une nouvelle dégradation de leur perception en matière de demande de logements neufs, de futures mises en chantier, ou encore de financement des ménages.
Il y a 2 ans et 309 jours

La hausse des prix de l'énergie rend les renouvelables rentables pour les finances publiques

"Les charges liées au soutien aux énergies renouvelables en France métropolitaine continentale sont en baisse du fait du niveau exceptionnellement élevé des prix de gros de l'électricité et du gaz", indique la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dans un communiqué publié lundi."En particulier, les prix de gros de l'électricité sont devenus en moyenne supérieurs aux tarifs garantis par l'État dans les contrats de soutien aux énergies renouvelables électriques. Ainsi, ce qui constituait les années précédentes des charges pour le budget de l'État représente pour la première fois une recette pour les finances publiques", indique la CRE.L'État paie les opérateurs quand le prix du marché est inférieur au prix garanti, et inversement, les opérateurs doivent reverser des recettes à l'État lorsque le prix du marché dépasse le prix garanti.La CRE évalue le montant des charges à compenser par l'État envers les opérateurs pour 2023 à "-11,1 milliards d'euros, en baisse de de 18,7 milliards d'euros par rapport à l'évaluation réalisée l'an dernier pour 2022, qui s'élevait à 7,6 milliards".Au titre de ces deux années, la recette prévisionnelle liée aux énergies renouvelables électriques s'élèverait "à 8,6 milliards d'euros cumulés pour le budget de l'État".Une recette à laquelle contribue principalement la filière éolienne terrestre, "à hauteur de 7,6 milliards d'euros", la filière photovoltaïque continuant "de peser marginalement sur les charges de service public à hauteur de 0,9 milliard d'euros" en cumulé.Pour cette filière, "le poids des contrats historiques", conclus à son lancement "à des tarifs élevés, n'est pas encore compensé par les nouveaux contrats qui contribuent positivement aux finances publiques", ajoute la CRE. Enfin, la filière hydraulique apporte une contribution positive, à hauteur de 0,8 milliard d'euros cumulés au titre de 2022 et 2023.
Il y a 2 ans et 309 jours

Dans l'Allier, la grêle a mis dans le rouge le marché de la tuile, déjà en tension

Pénurie de main d’œuvre, explosion de la demande, pour les artisans et industriels l’équation était déjà complexe et les menaces sur l’énergie inquiètent les élus locaux, qui demandent au gouvernement des mesures d’urgence pour prendre en compte les sinistrés.
Il y a 2 ans et 309 jours

Porté par la rénovation, le bénéfice net de Saint-Gobain s'envole au premier semestre 2022

RÉSULTATS. Le géant français des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce un premier semestre 2022 en forte hausse. L'ensemble des segments affiche une croissance à deux chiffres. L'Europe se distingue notamment grâce au marché de la rénovation.
Il y a 2 ans et 309 jours

MaPrimeRénov', CEE, "coup de pouce chauffage" : les nouvelles annonces du gouvernement

Le ministère de la Transition écologique a annoncé une hausse de l'obligation pour la cinquième période des Certificats d'Économie d'Énergie et une extension du coup de pouce chauffage.4,8 milliards d'euros vont être utilisés pour renforcer significativement cet accompagnement. Un appel à programmes de 150 millions d'euros va être également lancé pour accompagner les ménages en situation de précarité énergétique.L'importance de MaPrimeRénov' pour traiter l'ensemble des segments du parc est considérée comme « déterminante » et notamment avec des dispositifs comme MaPrimeRénov' Copropriétés, une aide versée au syndicat de copropriétaires pour soutenir la réalisation de rénovation globale. La possibilité de mettre en place de nouvelles mesures d’ici le 1er janvier 2023 dans le cadre des dispositifs d’aides à la rénovation énergétique du parc résidentiel privé en faisant évoluer certains aspects de MaPrimeRénov ou en accélérant le raccordement à des réseaux de chaleur via le fonds chaleur a été évoqué.Extension du « Coup de pouce chauffage »Le « Coup de pouce chauffage » est étendu aux bâtiment résidentiels collectifs pour le raccordement d'un bâtiment résidentiel à un réseau de chaleur, l'installation d'une pompe à chaleur collective à absorption de type air/eau ou eau/eau ou d'une chaudière biomasse collective. Ces nouvelles mesures ont été prises dans le cadre du groupe de travail « Logement » s'inscrivant dans le Plan « Sobriété énergétique » récemment lancé pour faire face à la crise énergétique liée au conflit russo-ukrainien. Ce groupe de travail a réuni le 25 juillet la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein et les représentants des acteurs publics et privés du secteur du logement, en présence des énergéticiens et d’experts. Les participants ont également fait part de leur volonté de franchir un cap en matière de sobriété énergétique dans les logements, en travaillant à la mise en œuvre d’actions simples à effet rapide :Mieux faire respecter les consignes de température, notamment les 19° de chauffage, car 1 degré de moins permet 7% de consommation énergétique en moins.Calorifuger les réseaux d’eau chaude traversant des espaces non chauffés, pour 5 à 10% d’économie d’énergie par an.Travailler sur un meilleur déploiement de l’individualisation des frais de chauffage qui peut permettre un gain de consommation de 15%.Installer des détecteurs de mouvement afin d’éteindre les lumières inutiles dans les parties communes ;Déployer des systèmes de pilotage, en particulier de thermostats, qui permettent entre 100 et 200 euros d’économies chaque année.
Il y a 2 ans et 309 jours

Au tour des collectivités de s'engager sur la sobriété énergétique

Après les administrations, les organisations patronales et syndicales et les fédérations professionnelles du secteur privé, la grande distribution et le logement, le gouvernement demande aux collectivités de prendre des mesures immédiates et à moyen terme pour baisser durablement les consommations énergétiques.
Il y a 2 ans et 309 jours

Les Tanneries du Puy-en-Velay s’offrent une nouvelle peau

Une façade emblématique aux lignes épurées et structurantes TIM Composites est fier d’avoir habillé la façade de 1925 m2 en aluminium composite teinte rouille – Natural Copper 434 rappelant le tannage et la couleur du cuir. Les pignons sont valorisés par une double façade en Alucobond® ajourée avec une trame régulière jouant sur les effets cuivrés et se prolongeant sur la rive cintrée de la toiture sur plus de 150 mètres de longueur. L’habillage plein et perforé fait référence au grain de la peau et la dentelle du Velay. Ce dernier est mis en valeur par l’éclairage naturel et l’éclairage artificiel aux abords du bâtiment.
Il y a 2 ans et 309 jours

Iberdrola annonce un bénéfice au 1er semestre dopé par les prix de l'énergie

Le géant espagnol, l'un des leaders mondiaux des énergies renouvelables, a engrangé 2,07 milliards d'euros de bénéfice net entre janvier et juin, contre 1,53 milliard au premier semestre 2021. Son chiffre d'affaires a pour sa part progressé de près de 30%, à 24,4 milliard d'euros.Ces chiffres sont supérieurs aux prévisions des analystes interrogés par le fournisseur d'informations financière Factset, qui tablaient sur 21,1 milliards de chiffre d'affaires et 1,99 milliard de profits.Selon Iberdrola, cette bonne dynamique s'explique par un effet favorable des taux de change lié à la dépréciation de l'euro, et par une forte croissance de ses résultats aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et au Brésil, dans un contexte de flambée des prix de l'énergie.En Espagne, le groupe énergétique a en revanche vu son bénéfice reculer de 26% sur un an. Cela s'explique notamment selon Iberdrola par la flambée de ses coûts d'approvisionnement, qui n'a pas été répercutée à ses clients bénéficiant de tarifs fixes.Ces résultats surviennent alors que Madrid a annoncé la mise en place l'an prochain d'une taxe exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises énergétiques, qui permettra à l'Etat de récupérer deux milliards d'euros par an en 2023 et 2024.Cette mesure, destinée à compenser les mesures de soutien mises en place ces derniers mois face à l'envolée de l'inflation, a été critiquée par le patronat espagnol, qui a estimé qu'elle pourrait réduire les capacités d'investissement des groupes concernés.Sur l'ensemble du premier semestre, Iberdrola précise avoir investi 4,74 milliards d'euros, en grande majorité pour développer sa capacité de production d'énergie renouvelable. Le groupe précise attendre une "accélération" des investissements au cours du second semestre.Sur les 12 derniers mois, Iberdrola a installé 3.400 mégawatts (MW) d'énergie renouvelable dans le monde, dont 1.241 MW dans le secteur photovoltaïque, 996 MW dans l'éolien et 998 MW dans l'hydroélectrique.
Il y a 2 ans et 309 jours

Eqiom renforce son arsenal pour accélérer l'économie circulaire

Avec Ressourceo, le cimentier propose aux acteurs de la construction, des travaux publics, de la déconstruction ainsi qu’aux collectivités, architectes, maîtres d’ouvrage…une offre complète de gestion et de valorisation des déchets de chantiers.
Il y a 2 ans et 309 jours

Jean Castex passe avec succès l'étape du Parlement pour présider l'Afit France

MOBILITÉ. Les commissions développement durable de l'Assemblée nationale et du Sénat ont approuvé la nomination de Jean Castex, venu s'exprimer le 27 juillet 2022 devant chacune des deux chambres, à la présidence de l'Agence de financement des infrastructures de transport (Afit) de France. De quoi lui permettre d'esquisser sa vision en matière d'investissements dans les mobilités.