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Toute l'actualité du bâtiment

256106 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 308 jours

Haute-Garonne : fin des travaux pour la copropriété Cité moderne à Auterive

Plus de cinq ans de travaux ont été nécessaires pour réaliser la rénovation énergétique des 133 logements de la Cité moderne.
Il y a 2 ans et 308 jours

Le tribunal administratif saisi contre le transfert près de Rouen de déchets du Grand Paris

Le TA de Rouen a confirmé mardi à un correspondant de l'AFP que "la requête contre l'arrêté du préfet de la Seine-Maritime pris le 25 avril 2022 a été enregistrée ce jour".Selon ce recours que l'AFP a pu consulter, les requérants sont notamment une association, Les Pieds dans l'eau, les gérants d'un hôtel-restaurant voisin du site, ainsi que des habitants de la commune de Bardouville, proche du site où doivent être stockés ces déchets.Ils reprochent notamment à l'Etat "l'illégalité de l'arrêté du 25 avril 2022", ainsi que des "insuffisances" en matière de "publicité" ou de "motivation de l'arrêté". Ils contestent également une "insuffisance de la description des incidences notables du projet sur l'environnement et la santé humaine".La semaine dernière, plusieurs habitants avaient déposé plainte pour "faux en écriture" contre la société porteuse du projet, trois mois après la décision du préfet de Seine-Maritime d'autoriser le stockage à proximité de Rouen de ces déchets.Le projet, contesté localement depuis des mois, consiste à stocker, dans une ancienne carrière abandonnée depuis 1992 et située sur la commune de Mauny, 383.500 tonnes de déchets inertes provenant de chantiers d'Ile-de-France.Ces déchets seront acheminés par barge sur la Seine, avant d'être transportés par camion jusqu'au site retenu à Mauny, une commune appartenant au Parc naturel régional des Boucles de la Seine, située en lisière de la Métropole de Rouen qu'elle souhaite intégrer.Début avril, le président de la métropole de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol (PS), ainsi que d'autres élus, avaient adressé un courrier au préfet dans lequel ils exprimaient un "avis défavorable" à un tel projet. Les élus rappelaient également que "le parc naturel des Boucles de la Seine avait rendu un avis similaire".
Il y a 2 ans et 308 jours

Les députés autorisent l'utilisation des huiles usagées comme carburant

Les députés ont approuvé dans la nuit du 21 au 22 juillet l'utilisation de l'huile alimentaire usagée comme carburant, dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi pouvoir d'achat.
Il y a 2 ans et 308 jours

La tragique épopée du plastique - Exposition

La rédaction d'AMC sélectionne les 100 bâtiments qui ont marqué 2022 pour les publier dans son numéro spécial "Une année d'architecture en France". Proposez vos réalisations avant le 21 octobre 2022, en remplissant le formulaire disponible à ce lien. Les dossiers de candidature doivent comporter pour chaque […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 309 jours

La nouvelle réforme du travail suscite beaucoup d'incertitudes et inquiète les syndicats

Ce que l'on sait sur ces deux mesures :Assurance chômage : "aller plus loin"Pendant la campagne, Emmanuel Macron avait évoqué une modulation de l'indemnisation du chômage, avec des règles plus dures quand le taux de chômage est bas. Mais l'annonce le 14 juillet d'un projet de réforme pour "aller plus loin" a un peu dérouté sur le timing.Deux jours avant, le ministre du Travail Olivier Dussopt avait en effet indiqué que les règles d'indemnisation des chômeurs, qui expirent le 31 octobre, seraient prolongées le temps d'évaluer leur "utilité"."Nous avons quelques mois de recul seulement", avait expliqué le ministre, puisque la réforme précédente, datant de 2019, avait été retardée à cause du Covid et des recours juridiques."Dussopt nous dit qu'on va se donner du temps et Macron répond qu'il a envie d'accélérer très fort pour donner des gages à LR", analyse Jean-François Foucard (CFE-CGC). L'exécutif souffle "le chaud et le froid", résume Denis Gravouil (CGT)."On a été un peu surpris de l'annonce du Président", confirme Michel Beaugas (FO). "Le ministère nous avait seulement parlé d'une concertation sur la gouvernance de l'assurance-chômage", gérée de manière paritaire par les partenaires sociaux mais avec un Etat de plus en plus intrusif.Si l'exécutif n'a pas précisé son calendrier, prolongation et réforme pourraient aller de pair selon M. Beaugas. "Ils peuvent prolonger le décret sur les règles actuelles pour éviter un vide juridique le 1er novembre puis le modifier à tout moment. Cela revient à nous exclure de la définition des paramètres de l'assurance chômage", conteste-t-il."S'ils veulent changer les règles, ils sont tenus de respecter la loi de 2018 qui impose qu'il y ait une concertation, une lettre de cadrage et l'ouverture d'une négociation", recadre Marylise Léon (CFDT) qui ne voit pas "comment un projet de loi peut être sur la table à la fin de l'été chez les parlementaires".Denis Gravouil (CGT) dénonce une volonté de "conditionner l'assurance chômage à l'acceptation de n'importe quel boulot", alors qu'Emmanuel Macron a directement lié la réforme aux difficultés de recrutement des entreprises.France Travail, "cabane" ou "cathédrale" ?Pour mieux accompagner ceux qui ont vocation à retourner à l'emploi et atteindre le plein emploi, l'exécutif veut transformer Pôle emploi en une forme de guichet unique baptisé "France Travail".Lors de sa déclaration de politique générale, Elisabeth Borne a jugé que l'accompagnement des chômeurs était aujourd'hui "trop complexe"."Nous ne pouvons plus continuer à avoir, d'un côté, l'État qui accompagne les demandeurs d'emploi, de l'autre, les régions qui s'occupent de leur formation et les départements en charge de l'insertion des bénéficiaires du RSA", a-t-elle estimé, laissant entendre que l'opérateur public devrait chapeauter ces compétences actuellement dispersées.Le chef de l'Etat a aussi mis en avant le 14 juillet "une réponse complète". Mais pour l'heure, même les acteurs du service public de l'emploi ne semblent pas connaître l'ampleur de la réforme. Ce sera "soit une cabane, soit une cathédrale", dit l'un d'eux.Lors des récentes Rencontres économiques d'Aix, Olivier Dussopt a indiqué que "les paramètres ne sont pas fixés". Selon des propos rapportés par l'agence AEF, plutôt que "l'hypothèse maximaliste d'une fusion", il privilégie un travail sur "le front office, donc l'accueil, l'orientation et le diagnostic" pour améliorer la coordination des acteurs publics et privés.Un acteur de l'emploi constate de son côté que cette idée de réforme est tombée "comme une météorite", y voyant "un truc de techno", "pas très opérationnel". Il y a, dit-il, "un bon principe qui est posé" de simplifier et rendre plus efficace, mais de là à "fabriquer un monstre", sans parler des discussions difficiles en vue avec les collectivités...Coté FO, on pointe une "improbable structure", la CGT y voit "des dangers".Les syndicats de Pôle emploi qui ont encore en mémoire la difficile fusion 2008-2009 Assedic-ANPE, craignent un nouveau "mécano". Ils relèvent aussi que les titulaires du RSA qui devront "s'engager" en échange d'un meilleur accompagnement, "pour certains n'ont pas de problématique emploi" et soulignent que les agents ne sont "pas formés pour".
Il y a 2 ans et 309 jours

Paris, ville hôte des JO-2024, en souffrance sur ses équipements sportifs

Un terrain de football neuf qui "s'est déchiré", des toilettes hors service pendant des mois, une piste d'athlétisme dans un état "catastrophique" : à deux ans des JO-2024 (26 juillet-11 août 2024), les exemples abondent de malfaçons ou défauts d'entretien des infrastructures sportives parisiennes.Sur le terrain de football de la Poterne des Peupliers (XIIIe arrondissement), des "trous et creux dangereux" ont causé la saison dernière quatre ruptures des ligaments croisés chez les joueurs de l'Entente sportive Paris XIII, selon un responsable du club, Pedro Sobral.Et quand les piscines ne sont pas en travaux, les grèves perlées des agents opposés à l'application des 35 heures hebdomadaires peuvent entraîner leur fermeture inopinée, y compris en cet été caniculaire.Autre sujet de crispations, le "manque de créneaux pour les associations", regrette Samia Badat-Karam, vice-présidente (LR et apparentés) de la commission sport et JO au Conseil de Paris. "C'est terrible, on a des associations qu'on refuse tout le temps", dit cette élue du XVIe arrondissement.Pedro Sobral s'interroge lui "sur les critères d'attribution" des créneaux et dénonce une "injustice" : selon lui, certaines associations ont "plus de facilités" à les obtenir.Vieillissement accéléréUn constat relativisé par Gérald Reman, président de l'association de volley Contrepied, pour qui la mairie "fait au mieux" et "trouve toujours des solutions" pour les clubs "très demandeurs" de créneaux comme le sien (380 adhérents).En début de saison, il a pourtant dû refuser une centaine de demandes d'adhésion faute de lieux d'entraînement.Entre crise sanitaire et difficultés budgétaires, la Ville a pris "beaucoup de retard sur l'ensemble des réalisations, même sur les petits équipements de proximité qu'il faudrait sortir pour les Jeux", déplore le patron des élus communistes Nicolas Bonnet-Oulaldj.Pour lui, "l'héritage" de Paris-2024 serait "qu'il y ait plus de Parisiens qui pratiquent du sport après les Jeux". Mais "nous sommes en incapacité de répondre à toutes les demandes et tous les besoins" dans les piscines, s'alarme-t-il.Paris "manque d'équipements sportifs" pour ses 2,1 millions d'habitants, reconnaît volontiers l'adjoint aux sports et aux JO Pierre Rabadan, qui souligne l'effort de rénovation et d'investissement depuis l'arrivée de la maire Anne Hidalgo en 2014 : 400 millions d'euros, dont 150 pour les piscines.L'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (Injep) fait un lien entre forte urbanisation et rareté des équipements sportifs, à Paris (14 équipements pour 10.000 habitants), dans les Bouches-du-Rhône (27) ou le Rhône (29).Un cercle vicieux pour la capitale, puisque gymnases, stades et piscines "sont surutilisés et vieillissent plus vite", constate Pierre Rabadan, dont les agents doivent constamment jouer aux équilibristes, en particulier lors des rénovations.Exemple avec les piscines, dont 6 sur 42 font actuellement l'objet de lourdes rénovations.Cet "énorme plan d'investissement" en vue des JO a pour effet négatif de "bloquer les bassins pendant les travaux", note Olivier Hosatte, président du club de waterpolo La Libellule.Le périph', une opportunité ?Les équipes de la Direction de la jeunesse et des sports doivent mieux "penser les différentes activités sportives au moment de la conception du bassin", déplore le poloïste.Son club s'est vu attribuer un créneau dans une des deux nouvelles piscines inaugurées début 2020, avant de s'y voir interdire les jeux de ballon en raison de "luminaires fragiles en bord de bassin"...L'exécutif d'Anne Hidalgo promet une troisième nouvelle piscine fin 2024 dans le XVIIIe arrondissement, tandis que deux autres sont à l'étude, indique l'adjoint à la construction publique Jacques Baudrier.Seul site olympique construit pour les Jeux intra muros, l'Arena de la porte de La Chapelle (XVIIIe) aura deux gymnases annexes, tandis qu'une cité des sports de 10.000 m2 est prévue à Python-Duvernois (XXe), selon M. Baudrier.Dans une ville où le moindre mètre carré fait l'objet de convoitises, "le problème de fond, c'est quand même le foncier disponible et les Jeux ne vont pas révolutionner cela", prévient M. Rabadan.L'ex-rugbyman veut croire aux "opportunités foncières" que la transformation du périphérique en boulevard urbain, à l'horizon 2030, pourrait offrir aux structures sportives.D'ici là, il ne voit que trois leviers pour la Ville : une "optimisation de l'utilisation des créneaux", le partage d'équipements dans d'autres communes franciliennes et une "meilleure exploitation des bois de Boulogne et de Vincennes", pourvoyeurs de nombreux terrains extérieurs.
Cimbat
Il y a 2 ans et 309 jours

Récession ou résilience ? La croissance française au printemps révélée le 29 juillet

L'indice des prix à la consommation, en progression régulière entre avril (4,8% sur un an) et juin (5,8%), devrait lourdement peser sur le PIB. Au plus haut depuis les années 1980, l'inflation risque de franchir un nouveau palier en juillet; l'institut national de la statistique (Insee) dévoilera sa première estimation vendredi 29 juillet.Dans leurs dernières prévisions, la Banque de France et l'Insee tablent respectivement sur une croissance du Produit intérieur brut (PIB) de 0,2% et de 0,25% entre avril et juin par rapport au trimestre précédent.Des anticipations proches de celles que les deux instituts avaient formulées au premier trimestre... qui s'était finalement soldé par un recul de 0,2% du PIB, précipité par une consommation des ménages en chute libre (-1,5%)."Il y a un risque négatif comme au premier trimestre", reconnaît Stéphane Colliac.Mais l'économiste de BNP Paribas "ne pense pas que ce soit un risque de récession" et s'attend plutôt à une croissance nulle.Inflation"Au regard des indicateurs, on s'attend à ce que le taux de croissance soit très mou, mais pas à une nouvelle chute", avance également Mathieu Plane pour l'Observatoire français des conjonctures économiques.Traditionnel moteur de la croissance française, "la consommation des ménages a déjà beaucoup baissé au premier trimestre", relève Stéphane Colliac, à tel point qu'une nouvelle baisse de la même ampleur au deuxième trimestre lui semble improbable.Sur les deux premiers mois du trimestre (avril et mai), l'indicateur a d'abord fléchi de 0,7% avant de se redresser d'autant. L'estimation de la consommation des ménages en juin sera dévoilée vendredi par l'Insee.Si le gouvernement tente ces jours-ci de faire passer au Parlement une batterie de mesures de soutien à la consommation, elles ne produiront leurs effets sur le portefeuille des Français qu'à partir du troisième trimestre.De quoi alimenter l'inquiétude des consommateurs, dont le moral végète au ras des pâquerettes depuis plusieurs mois sur fond de guerre en Ukraine.Malgré ce sombre tableau, plusieurs éléments peuvent inciter à l'optimisme. La consommation devrait par exemple se redresser dans plusieurs secteurs pénalisés au début de l'année par les restrictions sanitaires liées au variant Omicron."On a un rebond attendu de la restauration et de l'hébergement, (mais) aussi des transports, avec beaucoup de gens dans les trains depuis quelques mois", énumère Stéphane Colliac.EpargneAutre variable qui pourrait soutenir la consommation : la mobilisation de l'épargne accumulée au plus fort de la pandémie de Covid-19."D'habitude, quand on a un choc inflationniste sur les prix, l'épargne sert un peu de variable d'ajustement". Or au premier trimestre, "ça n'était pas du tout le cas", souligne Mathieu Plane.Une récente étude du Conseil d'analyse économique (CAE) pointait d'ailleurs une "stabilisation sur un point haut" de l'épargne des ménages les plus aisés, avec un "stock d'épargne supérieur de plus de 10% à celui qui correspondrait à la tendance pré-crise sanitaire", détaillait ainsi l'organisme rattaché à la Première ministre.Une réserve dont sont en revanche privés les ménages les moins aisés, qui auraient dépensé intégralement leur surcroît d'épargne, selon le CAE. Du côté des entreprises, l'activité a montré de premiers signes de ralentissement en juin, mais reste en croissance.En matière de commerce extérieur enfin, la France aligne depuis plusieurs mois des déficits record mais "on a eu d'évidence un rebond des flux touristiques (...) et des exportations aéronautiques" susceptibles d'équilibrer la balance commerciale, observe Stéphane Colliac.Une faible hausse du PIB au deuxième trimestre maintiendrait en vie la prévision de croissance annuelle du gouvernement (+2,5%), légèrement plus optimiste que celle de l'Insee et de la Banque de France (+2,3%).A l'inverse, en cas de stagnation et surtout de récession, "ça devient compliqué" de tenir l'objectif gouvernemental, juge Stéphane Colliac.Mardi, le Fonds monétaire international (FMI) a nettement revu à la baisse sa prévision de croissance pour la France en 2022, à 2,3% contre 2,9% attendus fin avril dans ses précédentes projections.
Il y a 2 ans et 309 jours

Une nouvelle présidente pour Signify France (ex Philips Lighting)

CARNET-NOMINATION. Expert de l'éclairage, Signify (ex Philips Lighting), a nommé Isabelle Tribotté au poste de Présidente pour la France. Elle remplace Jean-Luc Lavenir qui était en poste depuis mai 2017.
Il y a 2 ans et 309 jours

70 ans après, que sont devenus les ouvrages des Jeux Olympiques de Helsinki ?

ARCHITECTURE. La capitale de la Finlande fête en 2022 les 70 ans de l'organisation de l'événement sportif international sur son sol. Batiactu plonge dans l'histoire de ces infrastructures à l'architecture singulière.
Il y a 2 ans et 309 jours

Demathieu Bard et Materrup : un partenariat sous le signe du bas carbone

Franck Becherel et Mathieu Neuville signent un partenariat sous le signe du bas carbone. [© Demathieu Bard] Depuis plusieurs années, Demathieu Bard accélère sa transition vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. D’après le groupe, l’argile semble être l’un des leviers qui lui permettra de réduire son impact carbone. C’est pourquoi l’entreprise de construction et Materrup annoncent la signature d’un partenariat pour la fourniture de ciment pour les trois prochaines années. Après Duhalde BTP, c’est au tour de Demathieu Bard de bénéficier du liant “Clay Cement MCC1”. Ce dernier étant conçu pour réduire de moitié les émissions de CO2. De plus, il permet de produire des bétons structurels de type C25/30, tout en conservant les qualités et les performances du matériau conventionnel. Vers une construction bas carbone « Notre ciment MCC1 permet de décarboner l’industrie de la construction, en étant en phase avec les besoins du marché et la montée en puissance de la RE 2020, » explique Mathieu Neuville, fondateur de Materrup. Ainsi, ce partenariat traduit la volonté de Demathieu Bard d’utiliser une variété de matériaux sur ses projets. « Ce partenariat avec Materrup s’inscrit pleinement dans notre démarche de performance environnementale, Lire aussi : Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement déclare Franck Becherel, Dg en charge de la construction chez Demathieu Bard. Et nous permet aujourd’hui d’ajouter une nouvelle solution contribuant à la décarbonation de notre activité. Son utilisation va réduire de façon très significative l’empreinte carbone de nos chantiers, avec le recours aux matériaux biosourcés ou issus du réemploi. » Les deux entreprises vont d’ailleurs déployer le ciment sur un chantier pilote dans la région bordelaise.
Il y a 2 ans et 309 jours

Accompagnateur rénov' : le décret est paru au Journal officiel

RÉGLEMENTATION. Le décret définissant la mission d'accompagnement du service public de la performance énergétique de l'habitat et le rôle de l'Agence nationale de l'habitat et des guichets d'information, de conseil et d'accompagnement dans le cadre de ce service public, a été publié au Journal officiel du 23 juillet 2022. Le texte est entré en vigueur dès le lendemain.
Il y a 2 ans et 309 jours

Les artisans toujours inquiets selon l'étude menée par la Capeb Auvergne-Rhône-Alpes

Cette étude, menée au 2ème trimestre 2022, indique une inquiétude grandissante des entreprises adhérentes à les Capeb de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Il y a 2 ans et 309 jours

Plan de sobriété énergétique : des recommandations pour le logement dès septembre

CRISE ÉNERGÉTIQUE. Le groupe de travail "sobriété énergétique dans le logement" a été lancé ce 27 juillet. Les acteurs du logement devront faire des recommandations à la rentrée pour réduire les consommations, a indiqué la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 309 jours

Un premier semestre 2022 de bonne tenue pour Tarkett

RÉSULTATS. Le spécialiste des revêtements de sols, Tarkett, affiche de bons résultats au premier semestre 2022, avec des chiffres d'affaires en hausse dans l'ensemble de ses régions géographiques.
Il y a 2 ans et 309 jours

Yvelines : Saint-Quentin-en-Yvelines, des travaux de rénovation des routes jusqu’en août

La Communauté d’Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines mène une campagne de renouvellements de revêtements de chaussée.
Il y a 2 ans et 309 jours

Vendée : un nouvel itinéraire cyclable entre La Roche-sur-Yon, Les Sables-d’Olonne et Brétignolles-sur-Mer

Dans le département de la Vendée, une nouvelle piste cyclable relie désormais les villes de La Roche-sur-Yon, des Sables-d’Olonne et de Brétignolles-sur-Mer.
Il y a 2 ans et 309 jours

Vendée Habitat : de nouvelles offres locatives aux Treize-Septiers et aux Herbiers

Vendée Habitat vient de livrer de nouveaux programmes immobiliers dans les communes de Treize-Septiers et des Herbiers.
GDA
Il y a 2 ans et 309 jours

L’EFB récompense les futurs experts des industries de la construction

L’EFB a récompensé Amr Aboulela pour ses travaux sur l’étude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement. [©EFB] L’Ecole française du béton (EFB) a pour mission de soutenir et valoriser toute démarche améliorant la connaissance et l’utilisation du béton. Et à l’occasion des 40e rencontres universitaires de génie civil 2022 à Villeneuve-d’Ascq (59), le Conseil scientifique de l’Ecole a décerné un prix “Recherche EFB à dimension RSE” à Amr Aboulela, docteur en génie civil diplômé de l’Insa de Toulouse. Cette distinction met en lumière les compétences de futurs experts face aux enjeux stratégiques de l’industrie de la construction. Ainsi, le lauréat a reçu ce prix pour ses travaux sur l’étude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement. EFB : Une thèse pour la RSE Dans le détail, la thèse d’Amr Aboulela s’intéresse au développement d’un indicateur de performance qui pourrait classer une large palette de matériaux cimentaires selon les résultats des tests effectués en laboratoire. Cette étude pourrait d’ailleurs servir de manière efficace aux acteurs du secteur dans leur démarche RSE. « Mon travail vient en complément des recherches déjà réalisées qui s’orientent sur la compréhension des mécanismes de détériorations des matériaux dans les réseaux d’assainissement. Lire aussi : EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction Ceci, afin de trouver des solutions plus intéressantes, que ce soit sur le plan environnemental ou sur le plan économique », détaille Amr Aboulela. Et de conclure : « J’aimerais continuer la recherche dans le secteur des matériaux de construction et élargir mon domaine de compétence au contexte de l’économie circulaire. C’est dans cet objectif que je réalise un post-doctorat à l’université de Sheffield, en Angleterre ».
Il y a 2 ans et 309 jours

"Il est nécessaire d'aller plus loin" dans la réforme de l'assurance chômage, selon Olivier Dussopt

Alors que l'exécutif s'est fixé pour objectif d'atteindre le plein emploi à horizon 2027, soit un taux de chômage autour de 5% contre 7,3% actuellement, M. Dussopt assure que cet objectif est "possible" grâce aux réformes du RSA et de l'assurance chômage."Il y a une urgence: que la réforme de l'assurance chômage, décidée en 2019 et mise en oeuvre en 2021 du fait du Covid, voit ses règles prolongées. Elles arrivent à échéance le 1er novembre 2022", pose le ministre.Cela passera par un texte de loi présenté à la rentrée, qui sera le premier au menu du Parlement au retour de la trêve estivale à partir de début octobre. Le ministre explique que le gouvernement entend prolonger ces règles controversées "pour permettre à cette réforme de continuer à produire ses effets positifs et réfléchir à l'étape d'après"."Il est nécessaire d'aller plus loin", poursuit-il. "Nos règles d'indemnisation doivent tenir compte de la situation du marché de l'emploi, comme le fait, par exemple, le Canada. Quand ça va bien, on durcit les règles et, quand ça va mal, on les assouplit", explique-t-il, reprenant un engagement de campagne d'Emmanuel Macron."Nous aborderons ce sujet dès la rentrée avec les partenaires sociaux", ajoute M. Dussopt."Des pistes peuvent être ouvertes, sur la durée d'indemnisation et son caractère dégressif. Ces paramètres seront discutés dans le cadre de la concertation", souligne-t-il.Concernant l'évaluation du passage à "une bonne situation" ou une "situation dégradée", il juge qu'il "doit être objectif". Cela passera "soit par des critères, comme un nombre de trimestres consécutifs avec une amélioration de l'emploi, soit par un comité qui nous donne un avis", les modalités n'étant "pas arrêtées".Interrogé sur la transformation de Pôle emploi en France Travail, le ministre réfute un changement de nom cosmétique et affirme, sans entrer dans les détails, que cela conduira à "simplifier et mieux coordonner les acteurs (collectivités territoriales, acteurs privés...)".Quant au RSA, que le président a dit vouloir attribuer sous condition d'effectuer 15 ou 20 heures d'une "activité effective qui permet l'insertion", M. Dussopt indique que "les nouvelles modalités seront mises en place le plus rapidement possible".Sur les retraites, il indique enfin que la concertation "débutera après la réunion du Conseil national de la refondation, en septembre", assurant maintenir "l'été 2023 comme horizon pour l'entrée en vigueur des premiers effets de la réforme".
Il y a 2 ans et 309 jours

Coup de frein sur les embauches dans les entreprises artisanales du bâtiment

CONJONCTURE. Les difficultés économiques n'ont pas empêché les entreprises artisanales de poursuivre leurs recrutements au cours des six premiers mois de l'année, selon le dernier baromètre emploi de l'Union des entreprises de proximité. Le secteur du bâtiment fait néanmoins office d'exception, et les professionnels attendent beaucoup des contrats d'apprentissage pour renverser la vapeur.
Il y a 2 ans et 309 jours

Alkern, une gamme de blocs prête pour la RE2020

La RE2020 est une réglementation environnementale pour le secteur de la Construction répondant aux enjeux du réchauffement climatique planétaire, par une stratégie de réduction des émissions de CO₂. De cette manière et afin d’atteindre une neutralité carbone d’ici 2050, elle vise à réduire l’impact carbone des bâtiments sur tous les nouveaux projets de construction.Dans cette optique, Alkern vous propose plusieurs solutions pouvant répondre à ces nouveaux enjeux, grâce à : Une haute performance thermique sur une gamme dédiée de blocs isolants. De faibles émissions de carbone lors de la fabrication de nos blocs béton.Un confort et une qualité de vie de nos blocs bétons, pour un patrimoine durable.Nous sommes présents à travers 54 sites de production répartis sur tout le territoire national et approvisionnés en matières premières 100% locales. Cela nous permet tout d’abord de limiter le transport de matériaux, qui sont donc fabriqués près de vos chantiers. Puis, les produits du groupe Alkern se classent au rang A+, ce qui signifie qu’ils bénéficient de très faibles émissions de polluants et cette caractéristique constitue la meilleure classe possible. On peut en outre citer le fait que le béton demeure imputrescible quelque-soit son environnement, et que sa composition fongistatique lui permet d’inhiber le développement et la reproduction de champignons. La qualité de l’air à l’intérieur de votre logement reste préservée !Alkern dispose ensuite d’une sélection de blocs détenant une résistance thermique (R) allant de 0,3 jusqu’à 2,14 m² K/W. Une gamme de 8 blocs avec pour chacun, leur spécificité et différentes performances pour répondre au mieux à tous types de besoin ! La résistance thermique de cette sélection de blocs présente un avantage majeur, puisqu’elle est certifiée et garantie par la marque NFth. Tous nos blocs RE2020 sont de composition 100% minérale et leur process de fabrication ne nécessitant pas de cuisson, limite alors l’impact carbone.En conclusion de leurs propriétés avantageuses, les blocs Alkern sont 100% recyclables en fin de vie. Par conséquent, ces derniers issus de la déconstruction peuvent être réutilisés dans la production de nouveaux blocs ou comme remblais en technique routière. Retrouvez l’ensemble de notre sélection RE2020 de blocs isolants à coller.Nous pouvons par exemple citer l’ELIBLOC, présentant une empreinte carbone de seulement 9,92 kg éq. CO₂/m² (total cycle de vie hors module D) et validée par une Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES). Cette dernière s’appliquant à tous nos blocs à coller et disponible/téléchargeable sur le site inies.fr.En d’autres termes, cette réglementation permet d’évaluer les performances des produits destinés au secteur de la Construction, Alkern a ainsi fait le choix d’y contraindre l’ensemble de sa gamme. Chacun de ces documents normalisés est contrôlé et vérifié par un organisme tiers et indépendant, lui-même reconnu par un programme de vérification conventionné par l’État.Enfin, cette étape primordiale permet aussi de comprendre malgré les idées reçues, que le bloc en béton préfabriqué est un produit très peu gourmand en matière, donc en émissions de CO₂. Ce dernier pourra bénéficier prochainement des engagements de baisse d’empreinte carbone du ciment, une de ses matières premières la plus carbonée. Le bloc béton, ce produit bas carbone a donc encore de beaux jours devant lui !Nous sommes également en capacité de vous proposer des solutions traitant la problématique des ponts thermiques grâce à notre gamme de planelles isolantes ISOPLANEL et notre gamme de coffres pour volets roulants.
Il y a 2 ans et 309 jours

Une nouvelle étude revoit le nombre de "passoires énergétiques" à la hausse

D'après le nouveau mode de calcul du diagnostic de performance énergétique (DPE), qui étiquette depuis 2021 les logements de A à G selon leur consommation d'énergie et leur niveau d'émission de gaz à effet de serre, 17,3% du parc des résidences principales sont classées F ou G. En janvier 2018, l'ONRE évaluait le nombre de passoires énergétiques à 4,8 millions parmi les résidences principales, soit 16,7% du parc. Selon la nouvelle étude publiée en juillet, environ 1,5 million de résidences principales (5% du parc) sont au contraire considérées "peu énergivores", étiquetées A ou B par le DPE.La part de passoires énergétiques est plus élevée parmi les résidences secondaires (32%, soit 1,2 million de logements) et parmi les logements vacants (27%, soit 0,8 million de logements).Le mode de chauffage et les caractéristiques du logement (surface, date de construction...) "influent sur les performances énergétiques", précise l'étude.Ainsi, "les logements chauffés au fioul sont 44% à être classés F ou G (...) Au contraire, les logements chauffés au gaz ou au bois et par un réseau de chaleur apparaissent plus performants énergétiquement (respectivement 12% et 13% d'étiquettes F et G)", selon l'ONRE.Par ailleurs, "les logements les plus petits sont les plus énergivores" : près de 34% des logements de moins de 30m2 ont une étiquette F ou G, contre 13% des habitations de plus de 100m2.Les passoires énergétiques sont aussi plus fréquentes parmi les maisons individuelles que parmi les habitats collectifs, et dans le parc privé que dans le parc social.
Il y a 2 ans et 309 jours

Dix récompenses aux Trophées de développement durables de l'UNPG

L’Union nationale des Producteurs de granulats ont remis 10 récompenses aux entreprises du secteur lors de la 7ème édition des Trophées de développement durables organisés par le syndicat. (Photo © Granulats Vicat)
Il y a 2 ans et 309 jours

Lyon-Turin : "toutes les parties prenantes doivent mesurer et assumer les coûts", C.Beaune

INFRASTRUCTURES. Lors de la séance de questions au gouvernement du 26 juillet 2022 à l'Assemblée nationale, le ministre délégué aux Transports Clément Beaune a été interpellé sur la priorité qu'il compte donner au réseau ferré, ainsi que sur l'absence de décision concernant la question des accès au tunnel du Lyon-Turin, sur fond de menace de blocage des financements européens.
Il y a 2 ans et 309 jours

Visite du L1ve : réhabilitation modèle de grande envergure en économie circulaire

REPORTAGE. L'ancien siège emblématique du constructeur automobile Peugeot, avenue de la Grande Armée à Paris, achève sa mue. Cette réhabilitation exceptionnelle au coeur de la capitale, menée par Gecina et le cabinet international d'architectes Baumschlager Eberle, se veut un modèle en termes d'économie circulaire. Visite.
Il y a 2 ans et 309 jours

Somfy et Daikin annoncent un partenariat pour développer l'expérience de la maison connectée

Il est désormais possible pour les possesseurs de l’application TaHoma de Somfy, de piloter leur solution de pompes à chaleur air/air ou air/eau Daikin. La maison connectée au service de la performance énergétique Dans un contexte où l’augmentation des vagues de chaleur nous rappelle l’urgence d’optimiser la performance énergétique, la gestion du chauffage et de la climatisation joue un rôle clé dans le confort thermique du logement.Avec leur partenariat, Somfy et Daikin permettent à un plus grand nombre d’utilisateurs de bénéficier de solutions connectées, pour plus de simplicité au quotidien, tout en améliorant la performance énergétique de leur logement.Pour Angélique Longeray, Directrice Générale Somfy France : « Somfy a fait de l’ouverture et de l’interopérabilité, un pilier de sa stratégie avec le lancement du programme « So Open » en 2018. Notre solution TaHoma est compatible avec près de 300 types de produits de la maison, et nous sommes fiers d’élargir aujourd’hui cet écosystème avec Daikin, une marque référente dans son domaine. Avec ce partenariat, nous souhaitons proposer aux utilisateurs une expérience simplifiée et unifiée du logement connecté, mais également leur permettre de gérer plus efficacement la performance énergétique. »Coupler le pilotage du chauffage et de la climatisation avec les volets roulants pour économiser de l’énergieIl est désormais possible pour les possesseurs de l’application TaHoma de Somfy, de piloter simplement leur chauffage ou leur climatisation, depuis chez eux ou à distance. S’ils s’aperçoivent, par exemple, d’avoir oublié de couper le chauffage avant de partir plusieurs jours, ils pourront le faire en toute simplicité depuis leur smartphone, où qu’ils se trouvent.Pour plus de performance énergétique, les utilisateurs peuvent également créer des scénarios couplant le pilotage du chauffage avec les volets roulants. Par exemple, l’hiver en journée, les volets roulants restent ouverts pour profiter de la chaleur gratuite du soleil et le chauffage est en mode éco. Le soir, les volets se ferment à la tombée de la nuit pour conserver la chaleur et le chauffage passe en mode confort. En été, en journée, les volets se ferment automatiquement pour bloquer les rayons du soleil, permettant de conserver la fraîcheur et de limiter le recours à la climatisation.Pour François Deroche, directeur marketing de Daikin France : « Ce partenariat engagé avec Somfy, acteur historique sur le marché des outils digitaux au service de la maison connectée, illustre bien notre volonté d’étendre les compatibilités de nos solutions avec des plateformes reconnues et efficientes afin d’offrir aux utilisateurs finaux un choix multiple de fonctionnalités en restant sur place, ou à distance, avec toujours pour leitmotiv de maximiser les économies d’énergie. »Compatibilité : l’application TaHoma de Somfy est compatible avec les pompes à chaleur réversibles Daikin air / air (unités des gammes Emura, Perfera, Stylish, Comfora, Sensira et Ururu Sarara), les pompes à chaleur Daikin Altherma air / eau et les ballons d’eau chaude Daikin Altherma.Liste complète des équipements compatibles disponible sur somfy.fr
Il y a 2 ans et 309 jours

Du bois Kebony habille les passerelles du Pier 26, dans le Hudson River Park à New York

Le Hudson River Park est un parc communautaire axé sur l’écologie fluviale, qui abrite un marais artificiel appelé The Tide Deck. Ce marais rocheux a été construit sur une plate-forme en béton, créant ainsi des bassins de marée par juxtaposition de rochers. Plusieurs passerelles surplombent les plans d’eau, en un espace appelé Pier 26, permettant aux visiteurs de déambuler paisiblement dans cet environnement naturel. Ces passerelles sont réalisées en bois Kebony en raison de la durabilité de celui-ci – un critère clé aux yeux de l’architecte du projet – et de sa résistance notable aux conditions météorologiques maritimes difficiles. Le bois Kebony est respectueux de l’environnement, durable et résistant. Il ne nécessite pas d’entretien particulier et acquiert une élégante patine argentée avec le temps, qui se mêle ici parfaitement avec le plan d’eau que surplombent les passerelles. Le procédé breveté Kebony consiste à polymériser la paroi cellulaire de bois résineux issus de sources durables, en les chauffant avec de l’alcool furfurylique – un produit d’origine organique. C’est ainsi qu’il acquiert toutes les qualités du bois dur tropical, tout en restant respectueux de l’environnement. Le parc révèle son thème écologique à travers cinq espaces pensés comme autant de zones écologiques : forêt boisée, prairie côtière, broussailles maritimes, zone de marée rocheuse et, bien sûr, le fleuve Hudson. Une pelouse pour prendre le soleil et une aire de jeux sportifs complètent l’offre et font du Hudson River Park un endroit apprécié de tous. Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 2 ans et 309 jours

La pensée d'Anni Albers - Livre

L'exposition « Anni et Josef Albers », cet hiver au musée d'art moderne de la ville de Paris, a donné un coup de projecteur sur le splendide travail de tissage d'Anni Albers, laquelle était artiste, enseignante, artisane, designer textile et théoricienne. Pour la première fois traduits en français, ses essais rendent compte de son […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 309 jours

Gecina rehausse ses objectifs 2022

Le résultat net récurrent du groupe, indicateur de référence dans l'immobilier, s'est établi à 201,2 millions d'euros, soit une baisse de 0,6% par rapport à 2021.Le groupe explique cette baisse par la cession de plusieurs immeubles l'année dernière, qui ont amoindri son portefeuille.Mais le directeur général du groupe, Beñat Ortega, a affirmé, lors d'une présentation à la presse, s'attendre à "un rebond au deuxième semestre".Gecina table désormais sur un résultat récurrent net de 5,55 euros par action pour 2022, contre 5,50 jusque-là, soit une hausse d'environ 4% par rapport à 2021.Gecina, qui gère aussi des logements et des résidences étudiantes, possède surtout des bureaux dans les quartiers les plus prisés de l'Ouest parisien et des communes avoisinantes (Neuilly-sur-Seine, Boulogne-Billancourt).Le groupe a promis de constituer un groupe de travail sur la sobriété énergétique afin de baisser la consommation d'énergie de ses bureaux en vue de l'hiver prochain, dans un contexte de flambée des prix de l'énergie et du gaz sous l'effet de la guerre en Ukraine."On le fait vraiment pour nos locataires, pour nos résidents et pour l'intérêt général", a soutenu Beñat Ortega.
Il y a 2 ans et 309 jours

Neufs tours de plus de 300 m de hauteur ont été livrées dans le monde en 2021

Le rythme ralentit un peu, mais la construction de tours ultra-hautes se poursuit. En 2021, aucune n’a été livrée en Europe.
Il y a 2 ans et 309 jours

Porté par sa nouvelle division toiture et isolation, Holcim relève ses objectifs pour 2022

Le cimentier suisse a réalisé un chiffre d'affaires de près de 14,7 milliards de francs au premier semestre, en hausse de 16,9% par rapport à 2021. Les ventes de la nouvelle division, qui représentent déjà 18% des ventes totales du groupe, pourraient représenter un chiffre d'affaire de 3,5 Mds CHF en 2022.
Il y a 2 ans et 309 jours

Nouveauté M-Cube by Würth : scie sabre avec batterie LI-ION 18V AFS 18 Compact

La première scie sabre 18V M-CUBELa scie sabre AFS 18 compact (Art. N° 5701 412 004) est une machine polyvalente qui permet de réaliser des coupes simples, droites, frontales, et qui s’avère également très utile dans des situations plus difficiles d’accès. Moins lourde qu’une tronçonneuse et plus maniable qu’une scie égoïne électrique, elle représente un très bon compromis pour les travaux de construction, de plomberie, d’électricité, de menuiserie, et d’aménagements extérieurs.Les caractéristiques techniquesCette scie sabre permet une épaisseur de coupe de 250 mm (bois) / 20 mm (métal) et une cadence de course à vide de 3200 oscillations/min. Elle possède un système de fixation rapide de lames 1 quart de tour. Elle est livrée en coffret avec 2 batteries 5 Ah et 1 chargeur rapide.Équipée d’une poignée avec revêtement antidérapant « soft-grip », elle vous garantit un maintien confortable et sans fatigue !
Il y a 2 ans et 309 jours

Une extension contemporaine habillée de bois conçue pour un cottage traditionnel en pierre

Situé dans la campagne du Devon, comté du sud-ouest de l’Angleterre, ce duplex contemporain en bois complète une maison traditionnelle en pierre. Les clients ont chargé Studio Weave, basé à Londres, de concevoir un nouvel espace de travail et un hébergement flexible pour les invités et les artistes invités.   [De l’architecte] Le nom du projet […]
Il y a 2 ans et 309 jours

Refuge pop et recyclé pour chiens, oiseaux et chauve-souris, par Eeestudio en Espagne

La rédaction d'AMC sélectionne les 100 bâtiments qui ont marqué 2022 pour les publier dans son numéro spécial "Une année d'architecture en France". Proposez vos réalisations avant le 21 octobre 2022, en remplissant le formulaire disponible à ce lien. Les dossiers de candidature doivent comporter pour chaque […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 310 jours

Le parquet financier ouvre une enquête sur les biens d'oligarques russes en France

Cette enquête a été ouverte le 1er juillet pour "blanchiment en bande organisée des délits de corruption, de détournements de fonds publics et fraude fiscale aggravée", a indiqué à l'AFP le PNF, confirmant une information du Parisien.Les investigations ont été confiées à l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF).L'ouverture de cette enquête survient après la plainte déposée fin mai à Paris par l'ONG anticorruption, notamment pour des faits de "blanchiment" visant de possibles biens mal acquis en France par "des hommes d'affaires et hauts fonctionnaires proches de Vladimir Poutine".La plainte contre X de l'ONG visait, outre le blanchiment, la non justification de ressources, Transparency expliquant ainsi "dénoncer le système de capture de l'Etat russe et de la richesse nationale par" des proches de M. Poutine.Selon l'ONG, qui ne donnait pas les noms des personnes visées pour "éviter des représailles", le système élaboré "étend(ait) ses ramifications jusqu'en France, dans le secteur de l'immobilier notamment, du fait d'un manque de vigilance des intermédiaires"."L'ambition des mesures de sanctions contre la Russie et les premières annonces de gel se heurtent aux difficultés d'identifier le patrimoine des personnes sanctionnées", avait relevé Transparency International."En France, comme ailleurs, la traque des avoirs des oligarques et des proches du régime russe piétine", avait ajouté l'ONG, en insistant sur les "intermédiaires, prête-noms, sociétés-écran ou trusts dans des paradis fiscaux ou judiciaires".Propriétés luxueusesGrâce à diverses sources, "nous avons pu dresser un inventaire du patrimoine immobilier en France de plusieurs oligarques et proches du régime russe, identifier les chaînes de propriétés mises en place à cet effet, et réunir un faisceau d'indices sur l'origine illicite des ressources ayant permis l'acquisition de ce patrimoine", avait alors affirmé Patrick Lefas, président de TIF.Selon les avocats de l'ONG, Mes William Bourdon, Apolline Cagnat et Amélie Lefebvre, "le développement de cette plainte s'est fait avec la rigueur qu'imposent les enjeux.""Certains oligarques de premier plan pourraient devoir rendre des comptes sur des faits qui nous apparaissent très documentés. On peut former des vœux qu'un jour la question de la restitution de ces biens mal acquis, dans le respect de l'intérêt général du peuple russe, sera sur la table", ont-ils ajouté.Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, la communauté internationale a dressé une liste d'oligarques russes dont les avoirs ont été gelés.En France, plusieurs propriétés (villas, domaines, appartements) ont été recensées sur la côte d'Azur, en région Rhône-Alpes, à Paris mais aussi dans le Sud-Ouest.A la fin avril, la France avait immobilisé 23,7 milliards d'euros d'actifs russes sur son territoire, dont des biens immobiliers pour une valeur d'acquisition de 573,6 millions.Parmi ces biens figurent quatre cargos, quatre yachts pour une valeur supérieure à 125,2 millions d'euros ; six hélicoptères pour une valeur supérieure à 60 millions d'euros ; et pour 7 millions d'euros d’œuvres d'art.Le cap d'Antibes, le cap Ferrat, Courchevel, la Corse sont depuis plusieurs années des destinations prisées des milliardaires russes, qui ont parfois fait flamber les prix par les montants de leurs acquisitions.Dans une enquête de l'AFP diffusée en avril, une directrice d'agence immobilière faisait état d'achat de maisons à "50 millions d'euros" au Cap Ferrat, entre Nice et Monaco.Parmi les biens possédés par des milliardaires russes figurent de vastes chalets luxueux à Courchevel au dans d'autres stations de skis, dont les prix avoisinent les 100 millions d'euros.Les propriétaires se cachent souvent derrière des sociétés écrans domiciliées aux Bahamas ou à Guernesey.Les enquêteurs soupçonnent l'usage de prête-noms afin que l'on ne puisse pas remonter jusqu'au véritable propriétaire du bien.
Il y a 2 ans et 310 jours

Tensions de recrutement : le gouvernement veut faciliter le logement des saisonniers

"Nous allons donner une instruction" pour cet été et l'année prochaine "pour rappeler notamment aux universitaires, aux Crous, aux lycées que depuis 2013 (..) il y a des possibilités de conventions" avec Pôle emploi, les missions locales et les employeurs "pour que les logements scolaires, étudiants, non occupés l'été puissent être mobilisés pour du logement saisonnier", a-t-il déclaré."C'est une instruction qu'il faut rappeler, puisque parfois aussi il ne sert à rien de voter une nouvelle loi, il faut appliquer ce qui existe", a-t-il ajouté, lors d'un déplacement à Nice avec la ministre chargée des PME et du Commerce Olivia Grégoire.Il s'agit "de mobiliser en urgence tous les acteurs, collectivités locales, Crous, établissements scolaires et bien sûr les fédérations professionnelles pour identifier, lorsque c'est possible et lorsque les acteurs en sont d'accord, des logements libres ou vacants du parc social ou bien encore des chambres d'internats ou universitaires", a indiqué le ministère.Lors de son déplacement, le ministre a mis en avant "une situation un peu paradoxale" en ce qui concerne les tensions de recrutement : "nous sortons d'une crise pandémique, nous rencontrons des difficultés notamment sur la question de l'énergie. Et malgré tout cela, l'économie créé de l'emploi", avec 750.000 emplois de plus qu'avant la crise la Covid, a-t-il souligné. Des secteurs qui ont des difficultés à recruter comme l'hôtellerie-restauration ont "aujourd'hui un nombre d'emploi supérieur à l'avant-crise", a-t-il ajouté."Mais malgré tout, nous avons encore un peu plus de 7% de chômage, donc notre objectif est évidemment de permettre à la fois aux entreprises de recruter et d'accompagner les demandeurs d'emploi vers l'insertion, vers la formation", a-t-il poursuivi.Le ministre a aussi réaffirmé que les règles concernant l'assurance chômage, qui expirent le 31 octobre, seraient "prolongées". Elles seront "même renforcées" à l'image du Canada où "les règles sont plus dures quand le marché de l'emploi créé des emplois et sont plus protectrices quand il y a des difficultés".La prolongation, dans un premier temps, devrait intervenir à la rentrée.
Il y a 2 ans et 310 jours

JO-2024 : des travailleurs migrants victimes collatérales des travaux du village olympique

Dans son logement modulaire de 18 m2 tapissé de tôles d'acier, Famara Ndeo "étouffe" sous la vague de chaleur des derniers jours, après y avoir grelotté l'hiver dernier."On nous a dégagés avec les JO (...), on est abandonnés", déclare, amer, le Mauritanien de 32 ans, agent de quai à l'aéroport de Roissy, qui assure ne pas avoir vu depuis décembre un représentant d'Adef, le gestionnaire des logements. Ventilation et plaques de cuisson en panne, cafards, toilettes bouchées... : la liste des réclamations s'allonge au fil des mois.Sollicité par l'AFP, l'organisme n'a pas souhaité s'exprimer. Depuis mars 2021, quelque 300 ouvriers, principalement africains, vivent comme M. Ndeo dans une résidence temporaire de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) financée par la Solideo, la société chargée des ouvrages olympiques.Ces travailleurs migrants ont été expulsés de leur foyer pour permettre la construction du village qui doit accueillir 14.500 sportifs et entraîneurs."Le foyer de l'époque était en très mauvais état et ne répondait plus aux normes des résidences sociales, avec des fuites d'eau en permanence, des fenêtres cassées", assure Adel Ziane, deuxième adjoint au maire de Saint-Ouen en charge de l'aménagement urbain.417 euros par mois"On est fiers de pouvoir permettre à des travailleurs étrangers de venir en France, et c'est de notre responsabilité de les loger dans des conditions décentes", poursuit l'élu, assurant qu'ils occupent "une résidence temporaire de bonne qualité".La municipalité de gauche soutient "sans faille" ces migrants, qui resteront dans cette ville de première couronne de Paris desservie par deux lignes de métro : après un long bras de fer, les occupants du foyer ont obtenu la construction de deux nouvelles résidences sociales de 150 logements chacune à Saint-Ouen.Un premier foyer doit sortir de terre début 2023, dans l'écoquartier des Docks. En revanche, le second, situé dans le centre-ville, subit un important retard et ne sera pas livré avant les Jeux, indique le sous-préfet de Saint-Denis Vincent Lagoguey.Des riverains ont déposé un recours en annulation de son permis de construire mais le Conseil d'Etat les a déboutés fin avril, ouvrant la voie à la reprise des travaux.En attendant ces locaux flambant neufs, chaque ouvrier doit s'acquitter de 417 euros par mois pour loger dans cette résidence temporaire de quatre étages, qui ressemble à s'y méprendre à un immeuble classique d'habitation.Mais nombre d'entre eux regrettent l'ancien foyer et sa vie en collectivité. "On avait une grande cuisine partagée", se souvient Diarra Samba, qui doit désormais préparer ses plats sur deux petites plaques chauffantes."C'est de la ferraille""Avec la chaleur et les odeurs, c'est la merde, on est obligés d'ouvrir la fenêtre et la porte" du studio, déplore le Malien, arrivé en France il y a vingt-cinq ans comme commis dans un restaurant du quartier d'affaires de la Défense.Ce père de famille pieux regrette également de ne plus pouvoir prier avec ses voisins dans "une salle commune", comme il en avait pris l'habitude.Après leur journée de travail, durant laquelle la plupart de ces hommes effectuent des tâches pénibles avec des horaires décalés, beaucoup se retrouvent autour de quelques bancs à l'entrée du foyer.Pack de six bouteilles d'eau à la main, Moussa Coulibaly, agent de nettoyage malien, retarde au maximum le retour dans son logement afin d'échapper à la fournaise."Certains restent jusqu'à 3-4h00 du matin à l'extérieur. On ne peut pas dormir. Ici c'est un bungalow, ce ne sont pas des vrais murs, c'est de la ferraille", regrette M. Coulibaly en montrant la structure métallique de la façade. "Mon lit, c'est une plaque chauffante", souligne un autre résident.A quelques centaines de mètres, les travaux du village olympique se poursuivent. Avec un objectif affiché par le comité d'organisation de Paris-2024 : "Fournir un accueil optimal" aux futurs champions.
Il y a 2 ans et 310 jours

"Pas de baisse des dotations" des collectivités assure Christophe Béchu

M. Béchu répond aux réactions de différentes associations d'élus, après la présentation jeudi à la presse par le ministre de l'économie Bruno Le Maire du programme de stabilité que l'exécutif transmet à la Commission européenne pour la période 2022-2027.L'Association des maires de France (AMF), l'Association des petites villes de France (APVF) ou l'Assemblée des départements de France (AdF) avaient fait part vendredi de leur "trouble", "incompréhension" ou "étonnement" après des propos de M. Le Maire évoquant une baisse de 0,5% des dépenses de fonctionnement des collectivités locales entre 2022 et 2027. "Le pacte de stabilité prévoit bien au contraire une progression des dépenses des collectivités de 24 milliards d'euros sur cette même période", explique M. Béchu.Plutôt qu'une baisse de 0,5 %, le ministre en charge de la cohésion des territoires évoque "une modération des dépenses de fonctionnement pour qu'elles augmentent en moyenne annuelle de 0,5% de moins que leur tendance naturelle"."Pour tenir cet objectif, les collectivités trouveront l'État à leurs côtés par un soutien renforcé à l'investissement pour la transition écologique", ajoute Christophe Béchu.La présentation par la France du programme de stabilité à Bruxelles "n'empêchera pas les indispensables concertations qui doivent se tenir entre l'État et les collectivités à partir de la rentrée", annonce-t-il.
Il y a 2 ans et 310 jours

L'exécutif veut "pousser" sur le travail, au risque de contredire sa méthode

Cette manière d'opérer risque en effet de brusquer des partenaires sociaux opposés à ces réformes et de raidir une opposition au Parlement déjà survoltée, où l'exécutif, privé de majorité absolue, doit désormais bâtir des "majorités de projet"."Moi je pousse. (...) Il ne faut pas lâcher", "la bataille pour l'emploi pour moi est clé dans les prochains mois", a plaidé jeudi dans les Pyrénées le chef de l'Etat. Le travail sera, avec l'énergie, la priorité du gouvernement pour la rentrée, et un texte de loi sur ce thème sera présenté "dès cet été", avait déjà annoncé le 14 juillet Emmanuel Macron, marquant une accélération surprise du calendrier, dans un contexte de difficultés de recrutement et avec l'objectif réaffirmé du plein emploi."Il m'est arrivé parfois (...) de dire qu'il fallait traverser la rue" pour trouver du travail, "c'est encore plus vrai" aujourd'hui, a-t-il insisté, en reprenant une expression qui lui avait été vivement reprochée par les oppositions."Ca va y aller cash", et l'hypothèse d'une intervention du président sur ce sujet avant la pause estivale est même à l'étude, selon une source gouvernementale."Ambition"En insistant sur la "valeur travail", le gouvernement, en quête de compromis au Parlement, entend séduire LR et le Sénat, à majorité de droite, très attachés à ce sujet. Il s'agit aussi pour l'exécutif de réaffirmer qu'en dépit de sa majorité relative, il reste déterminer à "agir".Le gouvernement entend ainsi transformer Pôle emploi en "France Travail" pour simplifier les démarches en terme d'indemnisation mais aussi de formation et d'insertion, obliger les bénéficiaires du RSA (revenu de solidarité active) à s'inscrire dans une activité, et réformer l'assurance chômage, sur sa gouvernance mais aussi sur la modulation des indemnisations en fonction de la conjoncture.Pour justifier cette accélération, un ministre avance le risque d'une "récession", tandis qu'Emmanuel Macron souligne que davantage d'emplois "permettra aussi de financer ce qu'il nous faut pour pouvoir résister à la crise", alors qu'il veut en même temps contenir la dépense publique."Il faut une ambition, on n'est pas là pour administrer le pays", plaide un autre membre du gouvernement.Mais syndicats et associations ne voient pas ces réformes d'un bon œil. Elles préfigurent "une nouvelle baisse des droits", pour la CGT, tandis que FO estime que "c'est le salaire, les conditions de travail, donc l'attractivité des emplois qui permettront le plein emploi et non la contrainte d'une baisse de l'indemnisation".Sur la méthode, le patron de la CFDT Laurent Berger ne veut pas "d'un système où les marges de manœuvre laissées aux partenaires sociaux pour fixer les règles sont trop réduites".Pas de calendrierLe ministre du Travail Olivier Dussopt avait pourtant semblé temporiser sur l'assurance chômage, en annonçant que les règles d'indemnisation, qui expirent le 31 octobre, seraient prolongées le temps de faire une évaluation de leur utilité.S'il y a "une envie d'aller plus loin", il n'y a pas encore de calendrier, dit-on aussi à Matignon.Elisabeth Borne a salué à cet égard vendredi "l'esprit de responsabilité" des députés pour leur adoption en première lecture du projet de loi sur le pouvoir d'achat, au terme de débats très agités et quelques compromis notamment avec LR.Ces réformes du travail pourraient figurer au menu du Conseil national de la refondation qui sera installé en septembre.Une instance qui vise, selon le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, à "partager les diagnostics sur des grands enjeux" avec les forces vives, élus, partenaires sociaux et acteurs locaux, et ne sera "pas un substitut au Parlement".Mais LR et le RN ont déjà décliné l'invitation.