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256104 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 310 jours

Sobriété énergétique : dans une circulaire, Élisabeth Borne consacre "l'État exemplaire"

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. La Première ministre a adressé une circulaire à l'ensemble de son gouvernement et de ses services administratifs pour les inviter à faire montre d'exemplarité en matière de sobriété énergétique. Il leur est particulièrement demandé de réduire leur consommation d'énergie ainsi que leur dépendance aux énergies fossiles en appliquant des mesures de bon sens.
Il y a 2 ans et 310 jours

Le nombre de passoires énergétiques revu à la hausse

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE. La nouvelle méthode de calcul du DPE a fait bondir le nombre de logements classés F et G, d'après les derniers chiffres de l'Observatoire national de la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 310 jours

Au Vietnam, une maison originale en briques pour un résultat contemporain

EN IMAGES. Des architectes vietnamiens ont conçu cette maison étonnante, adaptée au climat tropical de la région. Zoom sur cette réalisation...
Il y a 2 ans et 310 jours

Loire-Atlantique : des travaux d’été sur le réseau tramway à Nantes

En Loire-Atlantique, Nantes Métropole confie à la Semitan la rénovation de la plateforme de tramway de la ligne 1 dans le secteur Halvèque.
Il y a 2 ans et 310 jours

Ille-et-Vilaine : La Rance, des réhabilitations subventionnées

En Ille-et-Vilaine, La Rance a bénéficié d’une subvention grâce aux fonds du FEDER pour la réhabilitation de trois résidences.
Il y a 2 ans et 310 jours

Hérault : amélioration de l’évacuation des eaux pluviales à Frontignan-la-Peyrade

Sète Agglopôle Méditerranée a lancé des travaux sur le réseau d’évacuation d’eaux pluviales de Frontignan-la-Peyrade (Hérault).
Cimbat
Il y a 2 ans et 310 jours

L'AFIL présente une étude inédite pour alerter l'État sur l'avenir du logement locatif intermédiaire

L’objectif de cette étude, co-financée par plusieurs associations parties prenantes du logement, est de définir de manière quantitative l’attractivité des deux dispositifs : « Particulier » via le PINEL et « institutionnels » via le LLI puis de comparer les coûts pour l’État de l’une et l’autre de ces deux options et évaluer l’efficacité des dispositifs de soutien à l’immobilier locatif neuf en France et de son attractivité pour l’investisseur final. Malgré l’importance primordiale du Pinel dans la construction de logements depuis 20 ans, certaines voix au sein des pouvoirs publics, cherchent à remplacer les investisseurs particuliers par des institutionnels privés et à faire disparaître de façon progressive le dispositif Pinel dont la fin est déjà programmée en 2024.Bien que maintes fois décrié, le dispositif Pinel reste pourtant le principal pourvoyeur de logements intermédiaires en France, avec près de 200.000 logements en cours. Du côté du LLI, produit d’investissement à destination des seuls acteurs institutionnels, les avantages fiscaux qui consistaient initialement à un taux de TVA réduit à 10% et une exonération de taxe foncière sur la propriété bâtie (TFPB) durant 20 ans, ont été récemment quelque peu modifiés par le Projet de Loi de Finance (PLF) 2022 : désormais, l’exonération de TFPB est remplacée par un crédit d’impôt sur les sociétés (IS) pour une durée équivalente.Renaud Cormier, Président de L’AFIL explique : « Depuis sa création en 2018, nous souhaitons que l'AFIL joue un rôle majeur pour fédérer les acteurs du logement intermédiaire. Au travers de cette étude, nous désirons une nouvelle fois contribuer de manière constructive aux débats autour de la problématique du logement qui concerne une grande majorité des ménages français. Grâce à cette étude, nous voulons surtout arrêter d'opposer les idées aux convictions et d’apporter des réponses factuelles sur les conséquences de cette nouvelle orientation pour notre pays et pour le secteur. »Le contexte : Les aides à l’investissement locatif neuf en zone tendue ayant d’ores et déjà fait l’objet d’études permettant de démontrer leur efficacité, le débat se déporte maintenant, vers une éventuelle optimisation des sommes allouées. L’idée est que les budgets alloués aux mécanismes de soutien à l’investissement locatif intermédiaire via les dispositifs actuels (Pinel, LLI, PLI et Loc’ Avantage) seraient plus efficaces s’ils étaient redirigés vers les acteurs dits institutionnels du logement via des fonds immobiliers de type OPCI. Dans un contexte souvent hostile aux mécanismes de soutien à l’immobilier neuf dans le logement intermédiaire, la volonté d’une intervention plus forte d’investisseurs institutionnels privés revient de manière récurrente dans les débats.Pierre Sabatier, président fondateur de PrimeView explique : « Cette étude permet de factualiser et objectiver un débat qui mérite que l'on s'y intéresse en raison du rôle sociétal et de l'importance économique du logement intermédiaire pour les citoyens français, qui ont besoin de ce type de logement pour accéder à leur lieu de travail. »« Logements intermédiaires » : vocation sociale & dispositifs incitatifs efficaces Les logements intermédiaires s’adressent surtout aux classes moyennes et aux jeunes ménages qui sortent du champ du logement social en raison de leurs revenus et qui souhaitent résider dans les zones géographiques où le marché immobilier est tendu. La volonté politique de mettre à disposition des logements intermédiaires dans des zones tendues a poussé les autorités publiques à mettre en œuvre des dispositifs incitatifs d’investissement depuis de nombreuses années. Les trois principaux sont le PLI, l’incitation fiscale (aujourd’hui correspondant au Pinel) et le LLI. Il faut noter que jusqu’à présent, les dispositifs d’incitation à destination des particuliers (avec 900.000 logements construits depuis 20 ans, dont près de 200.000 pour le Pinel) se sont montrés plus efficaces que les financements aidés (145.000 logements pour le PLI et le LLI) pour développer l’offre intermédiaire.Malgré les dispositifs existants, le marché est menacé : Renaud Cormier lance l’alerte ! « Le choc de l’offre attendu n’a pas eu lieu. A fin avril 2022, 392.600 logements ont été mis en chantier en France sur 12 mois, soit un volume équivalent à celui de fin mars 2017. Pire encore, ces faibles niveaux d’autorisations et de mises en chantier ne sont atteints que grâce au soutien de la demande pour des logements individuels, vraisemblablement en réaction aux épisodes de confinement. Les chiffres de production de logements collectifs sont, eux, alarmants : le volume de permis de construire pour des appartements n’a toujours pas retrouvé son niveau de février 2020 (avant le 1er confinement) et les mises en chantier de collectifs stagnent depuis 1 an. Face à une demande croissante dans les zones tendues et plus récemment dans les villes moyennes, la création insuffisante de nouveaux logements entretient une pénurie qui entraîne une hausse inéluctable des prix de vente. Cette hausse des prix se répercute essentiellement sur le marché de l’ancien qui représente l’écrasante majorité des transactions. En 20 ans, les prix du neuf ont augmenté de 117% et ceux de l’ancien de 137%. Aujourd’hui, le logement représente plus de 26% de la dépense de consommation finale des ménages. Aujourd’hui, le marché locatif privé est menacé. La décorrélation entre l’évolution des loyers et celle du prix des logements a durablement affaibli les rendements locatifs : en 30 ans, le prix réel (i.e. corrigé de l’inflation) des logements anciens a été multiplié par 2 tandis que les loyers réels ont progressé de 30%. Ces rendements vont encore chuter dans le neuf avec l’inflation et la hausse des coûts de construction. Un éventuel blocage des loyers porterait un coup fatal à l’investissement locatif, dans un marché où le rapport bailleurs-locataires est déjà fortement déséquilibré au profit de ces derniers. L’urgence est là : au 1er trimestre 2022, les ventes de logements neufs aux investisseurs particuliers ont chuté de -18,2% sur 12 mois glissants[1] et ce recul s’accélère, avec -23,6% sur le trimestre. »[1]FPI, Les chiffres du logement neuf, 1er trimestre 2022.Présentation des principaux résultats de l'étudeDispositif « Pinel » : plus rentable pour les particuliers !Les premiers résultats de cette étude, démontrent que parmi les trois principaux dispositifs mis en place pour inciter la construction de logements intermédiaires (PLI, LLI, défiscalisation), seule la défiscalisation (correspondant aujourd’hui au Pinel) s’est montrée véritablement efficace et reste le pilier de la construction de logements intermédiaires en France. Le crédit d’impôt Pinel rend d’ailleurs le fléchage fiscal convaincant : il reste plus intéressant d’investir dans un logement intermédiaire neuf via du Pinel (entre 1,4% et 1,6% de rentabilité hors effet de levier et revente du bien selon les scénarii étudiés) que dans du droit commun (0,6%).L’étude affirme également avec force que l’essentiel de la rentabilité d’un investissement immobilier repose par ailleurs sur l’effet de levier : deux tiers pour un investissement Pinel (entre 4,7% et 4,8% annuels de rentabilité) et même 80% pour du droit commun (4,3% de rentabilité finale).Enfin, l’étude insiste clairement sur le fait que l’attractivité du Pinel va se dégrader avec les nouvelles mesures votées dans le cadre du PLF 2022. Dans un contexte où les marchés actions ont affiché un rendement total de 5,4% par an au cours des 20 dernières années, la baisse prévisible des rendements futurs du Pinel pourrait donc entraîner un recul substantiel dans la production de logements intermédiaires dès les deux prochaines années.Renaud Cormier, Président de L’AFIL affirme : « La Pinel sans recours au crédit a beaucoup moins de sens et concerne une minorité d’investisseurs disposant de suffisamment de liquidités. Dans un contexte de hausse de taux et de taux d’usures bas, il ne faut pas selon moi durcir les conditions d’octrois de crédits. Les statistiques de taux de défaut sur le financement de l’investissement locatif sont extrêmement faibles. Le modèle Pinel est robuste et reste rentable à tout point de vue ».Mise en danger de la production du logement intermédiaire.Cette étude affirme également que le retrait du dispositif Pinel au profit du dispositif LLI tel qu’envisagé par les derniers rapports serait susceptible de mettre en très grande difficulté le logement intermédiaire en France du fait du manque de rentabilité de ce secteur pour les investisseurs institutionnels en comparaison des autres actifs existants, en dépit de l’incitation fiscale qui leur est dédiée. De fait, le retrait du dispositif Pinel diminuera drastiquement le nombre de logements intermédiaires construits (estimé 40.000 et 50.000 logements créés par an au cours des 20 années précédant le Covid).Cumul des intermédiaires pour le LLI : Rendement négatif et rentabilité insuffisanteSelon les résultats de cette étude, le rendement annuel d’un OPCI investissant dans un logement intermédiaire atteindrait -1,4% annuel à périmètre constant, hors plus-value éventuelle associée à la revente : la somme des charges inhérentes à l’accumulation des intermédiaires intervenant dans le dispositif LLI dépasserait systématiquement les recettes générées par les loyers et le crédit d’impôt, entrainant un rendement locatif négatif pour l’investisseur final. Il faudrait baisser de 60% les frais de gestion (de 1,8% initialement à 0,75% de l’actif brut) pratiqués par les sociétés de gestion pour que les loyers et le crédit d’impôt compensent simplement les charges. Même sans prendre de charges pour la société de gestion, la rentabilité locative n’atteindrait que 0,7% annuelle contre entre 1,4% et 1,6% pour le Pinel selon les scénarii étudiés.Cette enquête révèle également que la seule source de rentabilité dans ce mécanisme serait issue de la plus-value encaissée à la revente, ce qui constituerait un mauvais signal pour le stock de logements intermédiaires à louer et pousserait à la hausse les prix de transactions. Selon nos calculs, il faudrait plus d’un an pour que les revenus locatifs sans aucun frais de gestion compensent les frais d’entrée dans l’OPCI.LLI ou Pinel : Conséquences et recettes fiscales pour l’Etat ?Pour un logement intermédiaire construit, nous n’avons pas identifié de différences notables en termes de recettes fiscales générées par l’Etat entre le Pinel et le LLI : la construction d’un logement Pinel pour l’Etat atteindrait entre 40k€ et 46k€ selon les scénarii étudiés, contre 42k€ pour un logement construit via du LLI.L’enquête révèle cependant que la suppression de la taxe d’habitation entraînera pour les communes une perte de revenus qui devra être compensée d’une manière ou d’une autre. Cette compensation prendra très certainement la forme d’une augmentation de la TFPB dans les années à venir. De fait, là où le dispositif Pinel n’exonère que pendant deux ans de payer la TFPB, et donc « coûte » à l’État la compensation de cet impayé auprès des communes, il est probable que le dispositif LLI qui exonère pendant 20 ans de TFPB coûtera massivement plus à l’État en cas d’augmentation de cette taxe.Les principales observations en découlantAu regard de la trop grande faiblesse des revenus générés par le plafonnement des loyers dans l’intermédiaire pour un OPCI, il faudrait pour que le dispositif LLI soit réellement en capacité de prendre le relais des dispositifs de défiscalisation en faveur des particuliers :Moins d’investissement dans les travaux pour réduire les charges supportées par l’OPCI. Cette mesure serait, bien entendu, contre-productive à l’heure de l’accélération de la transition énergétique en cours.Plus de risques pris sur la part d’actifs non immobiliers détenus par l’OPCI. Cela entraînerait une distorsion dans le risque acheté par l’investisseur final, qui s’oriente la plupart du temps vers l’immobilier pour son statut de valeur refuge et de bon levier pour se constituer un patrimoine en préparation de la retraite.Plus de coûts pour les finances publiques pour compenser la faiblesse structurelle du rendement locatif pour l’OPCI : nous évaluons la prise en charge supplémentaire par l’Etat par rapport au dispositif LLI actuel à 80% du prix du logement, pour que la rentabilité de l’OPCI soit équivalente à celle du Pinel hors levier… contre seulement 21% maximum du prix du bien dans le cadre du dispositif Pinel actuel.Même en faisant l’hypothèse de l’activation des leviers précédents permettant de rétablir une rentabilité hors effet de levier et revente du bien équivalente au Pinel, cela ne devrait pas être suffisant pour inciter le particulier à souscrire. En effet, une partie substantielle de la rentabilité des investissements dans le logement intermédiaire via du Pinel provient de la possibilité de les réaliser via un emprunt conséquent (la proportion de dette atteignait 88% du montant investi ; cf. étude publiée en 2019 sur le sujet). L’effet de levier ainsi mobilisé permet de maximiser la rentabilité structurellement faible du fait du plafonnement des loyers rendant l’investissement Pinel concurrentiel avec les autres actifs traditionnels. Or, les difficultés d’acquérir une part d’OPCI via un emprunt rendront quasiment impossible pour l’investisseur final la possibilité de faire jouer autant l’effet de levier pour maximiser sa rentabilité.Ce constat rend les objectifs de rentabilité brute pour un OPCI d’autant plus élevés : le rendement proposé par ce type de produits devra être structurellement plus élevé que celui d’un investissement Pinel hors effet de levier, pour être aussi attractif pour un investisseur final. Si ce n’est pas le cas, il est probable que les investisseurs finaux se détourneront de ce type de produits, amenant à une réduction du nombre de logements intermédiaires construits.Enfin, il existe une différence structurelle en termes de « produit » acheté par l’investisseur final : un investissement via un OPCI est fondamentalement différent d’un investissement immobilier pur (donc d’un investissement dans un logement Pinel en direct ou via une SCPI Pinel), que ce soit en termes de sous-jacents pour le particulier, mais aussi de risque. En effet, un OPCI de type SPICAV est un produit hybride, constitué en moyenne de 60 à 65% d’actifs immobiliers, mais aussi de 30% d’actifs financiers (actions et obligations essentiellement) et 5% de liquidités obligatoires. La moindre lisibilité de ce type de produits par rapport à un investissement immobilier en direct rendra de fait la commercialisation plus difficile de ce type de véhicule par rapport au Pinel.Si aucun de ces leviers cités précédemment (baisse des frais de travaux et des charges de gestion, et hausse du niveau de risque pour les actifs hors immobilier et du crédit d’impôt associé au LLI) n’est activé pour rétablir une rentabilité minimum pour l’OPCI dans un contexte de disparition du dispositif Pinel, nous estimons hautement probable un effondrement de la construction de logements intermédiaires en France, contribuant à l’accélération de la tension sur les prix de l’immobilier dans les zones tendues et excluant de fait les populations à revenus médians.Les solutions étudiées :Réduire les charges des intermédiaires.L’étude démontre que même en réduisant les charges des intermédiaires, cela reste insuffisant. Même à 0%, le rendement de l’OPCI n’atteindrait que 0.8% annuel, soit moitié moins que le rendement Pinel hors effet de levier et revente du bien.L’État doit augmenter l’incitation fiscale.L’étude démontre également que pour que le rendement du LLI soit équivalent au Pinel, il faudrait que l’État rajoute 80% du prix du bien sous forme d’incitation supplémentaire contre 21% maximum pour du Pinel aujourd’hui. Augmenter l’incitation fiscale réalisée par l’État parait anachronique et allant à l’encontre de l’un des objectifs initiaux, à savoir le bon usage des deniers publics.Générer une performance supplémentaireL’étude affirme qu’il faudrait que les actifs autres qu’immobilier de l’OPCI génèrent une performance d’au moins 7% annuelle pour compenser le rendement locatif du logement intermédiaire et atteindre la même rentabilité hors effet de levier que le Pinel. Le risque que le gestionnaire devrait prendre dans son allocation de portefeuille serait bien entendu bien trop élevé (sans obligation de résultats) et rendrait ce produit, déjà hybride, littéralement Invendable.
Il y a 2 ans et 310 jours

Val-de-Marne : coup d’envoi des travaux pour le nouveau centre-ville de Champigny-sur-Marne

La requalification du centre-ville de Champigny-sur-Marne débute avec l’aménagement de la résidence « Dôme des bords de Marne ».
Il y a 2 ans et 310 jours

Pyrénées-Atlantiques : une piste de BMX couverte à Rontignon en 2023

L’État et la région Nouvelle-Aquitaine participent au financement de la nouvelle piste de BMX de Rontignon.
Il y a 2 ans et 310 jours

Vicat et Sols s’associent pour décarboner le béton décoratif

Mickael Pelissier, président de Sols, et Didier Petetin, Dg général de Vicat, signent le partenariat. [© Vicat] En ce mois de juillet 2022, Vicat et le groupe Sols ont signé un partenariat pour la fourniture de bétons bas carbone décoratifs. Ainsi, le contrat entre les deux sociétés porte sur deux volets principaux. A savoir, l’approvisionnement par Vicat de sa gamme de bétons Deca. Et la formation des collaborateurs Sols à la réglementation RE 2020 et ses implications sur le BPE. Grâce à l’utilisation de la solution de Vicat, le groupe spécialiste dans le béton décoratif pourra réduire ses émissions de C02 de 20 % à 40 % par rapport à l’usage de bétons standards formulés en ciment de type CEM II/A. Un béton décoratif esthétique, technique et vertueux En comparaison avec celui de type CEM I, la diminution de l’empreinte carbone peut monter jusqu’à 55 %. Le groupe Sols peut ainsi prétendre à des chantiers aux exigences environnementales importantes. « Ce partenariat confirme l’engagement de l’ensemble des acteurs de notre filière pour relever les défis de la construction », déclare Didier Petetin, Dg délégué de Vicat. Lire aussi : Vicat lance la marque Lithosys dédiée à l’impression 3D béton Et Mickael Pelissier, président du groupe Sols, de conclure : « Nous sommes ravis de pouvoir mettre en commun nos engagements, nos expertises et nos ambitions pour des bétons décoratifs décarbonés. Depuis 30 ans, en tant qu’experts, Sols et Vicat œuvrent ensemble pour développer des solutions esthétiques, techniques et aujourd’hui vertueuses ».
Il y a 2 ans et 310 jours

Pyrénées-Atlantiques : la réouverture du pont de Lacq reportée en décembre 2022

Les travaux de sécurisation et de modernisation du pont de Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques, se poursuivent.
Il y a 2 ans et 310 jours

Var : Projet de rénovation de 27 sites dans le cadre du « plan casernes »

Dans le Var, le « plan casernes 2022-2027» est lancé. Vingt-sept sites prioritaires ont été identifiés pour bénéficier de travaux de rénovation.
Il y a 2 ans et 310 jours

Val-d’Oise : un écoquartier en lieu et place de l’ancien hôpital Adélaïde-Hautval de Villiers-le-Bel

À Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), le complexe hospitalier Adélaïde-Hautval est au centre d’un projet de reconversion visant la création de 370 logements.
Il y a 2 ans et 310 jours

Seine-Saint-Denis : une nouvelle opération de réhabilitation à la cité Gagarine de Romainville

À Romainville (Seine-Saint-Denis), l’opération de transformation de la cité Gagarine se poursuit. La tour A fera l’objet d’une réhabilitation.
Il y a 2 ans et 310 jours

Seine-et-Marne : reconstruction d’une nouvelle station d’épuration à Guérard

La commune de Guérard disposera d’une station d’épuration répondant aux normes en 2023.
Il y a 2 ans et 310 jours

Seine-et-Marne : neuf projets retenus dans le cadre du fonds mobilités actives

En Seine-et-Marne, neuf projets de pistes cyclables sont primés par le dernier appel à projets régionaux (AAPR) « fonds mobilités actives ».
Il y a 2 ans et 310 jours

Rhône : projet de la ligne tramway T10, la concertation continue

Dans le département du Rhône, le dossier d’enquête publique préalable au projet de la nouvelle ligne T10 de l’agglomération lyonnaise est approuvé.
Il y a 2 ans et 310 jours

Puy-de-Dôme : réaménagement de la rivière Bédat à Chappes

À Chappes (Puy-de-Dôme), la rivière du Bédat fait l’objet d’un chantier de renaturation pour une période de deux ans.
GDA
Il y a 2 ans et 310 jours

JO-2024 : pas invitées à une "réunion de chantier", Pécresse et Hidalgo taclent Macron

"La ville de Paris, signataire du contrat de ville-hôte et la région Ile-de-France ont déploré de ne pas être associées à cette initiative", ont indiqué la présidente de la région Ile-de-France et la maire de Paris dans un communiqué commun intitulé "pas de collectivités, pas de Jeux".Les ex-candidates des Républicains et du Parti socialiste à la présidentielle, aux relations notoirement tendues, ont rappelé d'une même voix que "les collectivités sont un maillon essentiel" de "la réussite des grands événements sportifs internationaux".Si elles ont fustigé un "fonctionnement en deux temps", Valérie Pécresse et Anne Hidalgo se sont toutefois félicitées du "point d'étape avec les élus" prévu "à la rentrée" par le chef de l'Etat, en se réjouissant qu'il prenne "enfin acte que rien ne pourra se faire sans les collectivités territoriales."Budget en surchauffe, doutes à dissiper sur la sécurité de la cérémonie d'ouverture sur la Seine : Emmanuel Macron présidera lundi une réunion entre préfets, ministres et services techniques.L'exécutif a prévu d'y évoquer les "bonnes conditions, pour l'ensemble des délégations, de sécurité, d'organisation et de finalisation des travaux" deux ans avant le départ des JO.
Il y a 2 ans et 310 jours

Résultat du Palmarès des jeunes urbanistes 2022

Créé en 2005, le Palmarès des jeunes urbanistes est un prix décerné tous les deux ans qui récompense les jeunes talents pour le caractère exemplaire et novateur de leur démarche et de leurs pratiques professionnelles. Il vise à accompagner et mettre en avant les générations montantes de praticiens, et à soutenir de nouvelles modalités d’action dans la conception et la fabrique de la ville et des territoires.Cette année, poursuivant la démarche initiée en 2020, le palmarès prévoit que les lauréats organisent des rencontres in situ, dans leurs territoires de projets, avec l’appui de la DGALN, pour donner à voir leurs actions et questionner les pratiques avec les urgences sociétales et climatiques.Ce palmarès traduit la diversité des profils des jeunes professionnels de l’urbanisme, souvent constitués en équipes ou collectifs. BELVEDERE se distingue par son engagement à décrypter et mobiliser les données territoriales au service de la décision et de l’action politique, dans différentes situations et d’échelles. COMMUNE, équipe d’architectes et philosophes, renouvelle l’approche du projet architectural, urbain et rural par le dessin sensible comme outil de médiation et de conception. LA TRAVERSE, jeune collectif, pose les bases d’une « transition écologique juste et radicale » par ses pratiques d’immersion, de valorisation de l’existant et d’implication des citoyens. LES MARNEURS accompagnent les territoires exposés à des risques climatiques, en proposant de nouvelles formes d’adaptation et de recomposition d’espaces vulnérables.BelvédèreBelvédère est une agence de programmation urbaine et de stratégie territoriale, qui intervient sur des projets d’échelles et de thématiques variées. S’appuyant sur une analyse fine des données disponibles, elle éclaire les besoins et les potentiels en matière d’habitat, d’économie, de commerces et d’équipements, en s’attachant à penser conjointement programmation et stratégie. Elle se nourrit de prospectives à l’amont en s’appliquant, à l’aval, à considérer les modalités concrètes de mise en œuvre des projets et de gestion des espaces urbanisés. Elle se revendique ainsi d’un certain urbanisme tactique, capable, par le choix partagé d’un ensemble d’objectifs et de moyens, d’inscrire un projet en résonance avec une trajectoire vertueuse des territoires.Les MarneursLes Marneurs est une agence d’architecture, de paysage et d’urbanisme cofondée en 2016 par trois associés, architectes et paysagistes. Basée à Paris et Bruxelles, l'agence intervient sur un spectre large de projets depuis la maîtrise d’œuvre architecturale jusqu’à des études prospectives urbaines et territoriales. L’agence travaille particulièrement sur les problématiques littorales liées au risque de submersion marine et d’inondation, l’une de leur spécialité, en s’appuyant sur ce défi pour faire émerger de nouveaux récits et de nouveaux modes de gestion ou de mise en œuvre des projets.CommuneCommune est une agence d’architecture fondée à Lyon en 2019. Les sept associés, tous architectes sont aussi pour certains philosophes, docteurs, gérants d’une librairie spécialisée, enseignants. Cette mise en commun fonde le socle de l’agence, à la croisée de la recherche et du projet, de la théorie et de la pratique. Quelle que soit la nature du projet, de maitrise d’œuvre architecturale, d’études urbaines ou d’analyse de territoires ruraux, l’agence mobilise les habitants, les usagers, le « déjà-là » pour ancrer les propositions dans une réalité des pratiques locales. Le travail en résidence, et le dessin sensible au service du projet sont revendiqués comme les dispositifs fondateurs de leur action, dans une logique de communication, de médiation, et d’acculturation croisée.La traverseCréée à Poitiers en 2019, La Traverse se définit comme une structure d'appui aux dynamiques de transition écologique et sociale dans les territoires. Collectif de 10 personnes engagé dans l’accompagnement des territoires ruraux « résilients », il questionne tant le cœur de la pratique de l’urbanisme que les manières de travailler et l’économie qui en découle. Sa démarche d’immersion au long court, de valorisation des initiatives existantes, d’implication des citoyens, de formation des acteurs locaux cherche à poser les bases d’une « transition écologique juste et radicale » analysée comme nécessaire et urgente.Le Jury du Palmarès des jeunes urbanistes 2022Le PrésidentJean-Baptiste BUTLEN, Sous-directeur de l’aménagement durable à la DGALNLes membresÉtatCorinne LANGLOIS, Sous-directrice à l'architecture, à la qualité de la construction et du cadre de vie, Ministère de la Culture ;Jean-Baptiste MARIE, Directeur de POPSU et du GIP EPAU, PUCA ;Simon TEYSSOU, directeur de l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand.JournalistesMarie-Christine VATOV, Rédactrice en chef de la revue Traits UrbainsProfessionnels - Anciens PJUDelphine NEGRIER, Alphaville, (PJU 2007) ;Clément BOLLINGER, Caudex (PJU 2018) ;Nicolas DETRIE, Bataille, (PJU 2020).Autres professionnelsGuillaume HEBERT, Une fabrique de la ville ;Pascal AMPHOUX, Ecole Polytechnique de Lausanne ;Hugo REVEILLAC, président du Collectif National des Jeunes Urbanistes.
Il y a 2 ans et 310 jours

L'objectif de 2.500 structures France Services sera atteint en 2022, assure Guerini

"Au niveau national, on sera à l'objectif (...) qui était fixé à 2.500 maisons France Services dans l'année 2022", a déclaré le ministre lors d'un point presse."Tous les Français sont à moins de 30 minutes d'une maison France Services et même à moins de 20 minutes pour 9 Français sur 10. C'est évidemment une granularité dans la carte qui est le bon niveau", s'est-il félicité après une visite d'un "camping-car France Services" pouvant accueillir du public."500.000 Français viennent tous les mois dans une maison France Services. (...) Sur une année, il faut considérer que c'est quasiment 10 % des Français qui ont accès aux services publics via une maison France Services, qu'elle soit sous format sédentaire ou sous format mobile", a-t-il ajouté."Il faut qu'on continue cette montée en accessibilité, en fréquentation (...) parce que maintenant, le dernier kilomètre, c'est d'aller chercher les citoyens les plus éloignés des services publics (...). C'est pour ça que les bus, c'est fondamental. Ca va permettre d'amener les services publics aux citoyens, parfois sur la place d'un village ou au sein d'un quartier prioritaire", a-t-il insisté."On est en train d'inventer une nouvelle politique publique, une politique d'accès aux services publics, mais aussi de lutte contre la fracture numérique", a jugé M. Guerini, alors que l'Etat finance chaque structure à hauteur de 30.000 euros, tout en assurant 40% des frais de fonctionnement, selon lui.Emmanuel Macron avait lancé en avril 2019 le réseau France Services pour que chacun puisse être accueilli dans un lieu unique et être accompagné dans ses démarches administratives, avec la volonté de lutter contre l'isolement d'une partie de la population.A l'issue des élections législatives, qui ont porté 89 députés RN à l'Assemblée nationale, de nombreux élus, comme le président de l'Association des maires ruraux (AMRF) Michel Fournier, avaient réclamé un "plan d'urgence" pour les territoires ruraux désertés par les services publics. L'Association des petites villes de France (APVF) avait de son côté demandé "solennellement" à Emmanuel Macron de prendre en compte "un vote de colère et de profonde inquiétude" dans les campagnes.
Il y a 2 ans et 310 jours

Plus que deux mois pour se conformer au décret tertiaire

Le 30 septembre 2022, tous les bâtiments comportant 1000 m² ou plus dédié aux activités tertiaires devront être déclarés dans le cadre du décret tertiaire : une échéance à laquelle il est important se préparer en amont.
Il y a 2 ans et 310 jours

Perquisition en cours à l'Hôtel de Ville de Paris dans le dossier de la tour Triangle

Une perquisition est en cours depuis ce mercredi 20 juillet à l'Hôtel de Ville de Paris dans le dossier de la très controversée tour Triangle.
Il y a 2 ans et 310 jours

Sonotone, livré par Amazon, à l’attention de l’Uber président

Quand Emmanuel Macron, président de la République, offre un entretien aux Français un 14 juillet, fête nationale, ce n’est pas pour ne rien dire, comme dirait Freud. Vulcain à la hauteur de l’évènement ? Bienvenue chez Uber France, maître d’ouvrage, entre autres, de l’Uber Architecture. Chacun se souvient peut-être de l’intervention du président de la République […] L’article Sonotone, livré par Amazon, à l’attention de l’Uber président est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 310 jours

KSB et Leistritz nouent un partenariat international dans le domaine du service

Une portée internationale Après une phase pilote réussie en France, ce partenariat de service va s’étendre progressivement à d’autres pays. En effet, avec plus de 190 centres de service et près de 3.500 collaborateurs de service, KSB – dont le siège social se trouve en Allemagne - propose à ses clients dans le monde entier des prestations d’inspection, de maintenance et de remise en état. Pour continuer à développer sa marque haut de gamme KSB SupremeServ, l’entreprise a décidé de coopérer avec la société allemande Leistritz Pumpen GmbH. Pour Markus Schwarte, porte-parole de la direction de Leistritz Pumpen GmbH : « La prochaine étape consistera à intégrer nos clients situés à Singapour, en Thaïlande et en Indonésie. » Une qualité de service maximale « Ensemble, nous sommes encore plus rapides, et nous disposons d’une grande disponibilité pour répondre aux besoins de nos clients en temps utile, et ce 24 h/24, 7j/7, tout au long de l’année. Un service classique, personnalisé, sur le terrain et interconnecté à l’échelle mondiale » précise Dirk Kollmar, responsable du secteur Service Operations chez KSB, au sujet de la suite de la planification, avant de rajouter « Ensemble, nous proposons à nos clients une multitude de services sur-mesure pour toutes les applications, tout en développant progressivement notre présence mondiale commune dans le secteur du service. » Les formations actuellement dispensées au personnel technique assureront une qualité de service maximale. Les offres de services synchronisées pourront être consultées sur les sites Web de KSB et Leistritz.
Il y a 2 ans et 310 jours

AfterBIM#8 : Retour sur les tests menés par le groupe interopérabilité de l’association BIMers

Au programme de cet AfterBIM#8, Nicolas Valette vous propose un échange sur le géoréférencement en BIM. Il n’est pas toujours simple de géoréférencer ses objets BIM : méthodologies variées, limites de matériel. Lors de cet échange, Nicolas Valette vous présentera l’objectif et les résultats du défi qu’il a lancé sur le thème du géoréférencement avec 7 logiciels différents, dans le cadre du premier atelier du pôle interopérabilité de l’association BIMERS. Quel logiciel importe parfaitement les maquettes des autres? Lesquels sont à la peine? Rendez-vous le 29 septembre pour un retour d’expérience sur des échanges open BIM entre les principaux logiciels BIM du marché ! Inscrivez-vous par ici
Il y a 2 ans et 310 jours

Palmarès des jeunes urbanistes 2022 : quatre équipes distinguées

RÉCOMPENSE. Le jury du Palmarès des jeunes urbanistes a distingué, pour son édition 2022, quatre équipes ou collectifs d'urbanistes aux profils et implantations géographiques divers.
Il y a 2 ans et 310 jours

Une toute première centrale osmotique en France bientôt implantée dans le delta du Rhône

La première centrale pilote d'électricité dite osmotique, qui produit de l'électricité en mixant eau douce et eau salée, sera implantée en 2023 en Camargue, a annoncé la Compagnie nationale du Rhône (CNR).
Il y a 2 ans et 310 jours

Nouvelle plateforme de métiers pour le Syndicat français de l'industrie cimentière

Cette plateforme en ligne, lancée le 19 juillet 2022, a pour ambition d'accompagner les étudiants et les personnes en quête de reconversion vers les métiers du ciment.
Il y a 2 ans et 310 jours

Vinci Construction Terrassement aménage des écrans acoustiques ultra bas carbone sur l’A10 à Saint-Avertin (37)

Axe de grande liaison entre Paris et Bordeaux, l'A10 constitue l'autoroute la plus longue de France avec 557km de longueur. L'installation en bordure d'écrans acoustiques ultra bas carbone au niveau de la commune de Saint-Avertin, au sud de Tours, vient compléter des écrans existants au niveau de la Sagerie. Ces écrans répondent aux objectifs de protection sonore pour les habitants de la rue des Fontaines et de la rue de Grand Cour, ainsi qu'à un objectif fort de limitation du bilan carbone fixé par VINCI Autoroutes.Cette volonté commune de réduire l'empreinte carbone de nos ouvrages, s'illustre dans cette synergie entre VINCI Autoroutes et VINCI Construction pour décarboner le matériau béton et tendre vers les 90% d'utilisation de béton bas carbone annoncé par le groupe VINCI comme ambition pour 2030.VINCI Construction Terrassement a ainsi mobilisé en phase de préparation un ensemble de moyens et de fournisseurs répondant à cette exigence, non seulement pour le béton mais aussi pour tous les matériaux du projet : la mobilisation de fournisseurs locaux pour les armatures, les poteaux et les longrines ; l'emploi systématique de matériaux recyclés pour les aménagements provisoires ; l'utilisation pour la préfabrication des longrines de béton bas carbone ; et la mixité des matériaux bois / béton pour les écrans acoustiques ultra bas carbone.Les travaux d'aménagement des écrans absorbants sur 280 mètres linéaires ont débuté le 23 mars 2022 pour une durée de 4 mois et pour un montant de 500 000 euros. Ils couvrent notamment la fabrication et la pose de 60 panneaux acoustiques ultra bas carbone d'une dimension de 5 mètres de large et de 3 mètres de hauteur, en partenariat avec l'entreprise CAPREMIB qui travaille depuis plusieurs années à réduire l'empreinte carbone de son activité, en utilisant de nouvelles compositions béton et en substituant les ciments historiques par des liants alternatifs.CAPREMIB a ainsi développé avec Hoffmann Green Cement Technologies une solution innovante alliant des bétons ultra bas carbone de structure et des panneaux absorbants en béton de bois à base de ciments Hoffmann Green solution qui permet de diviser par 3 l'empreinte carbone de l'ensemble de l'ouvrage, soit une économie de près de 4 tonnes de CO2 sur le poste écrans en béton de bois.La solution ainsi mise en oeuvre par L'Agence Lyonnaise de Travaux d'Écrans Acoustiques (ALTEA) de VINCI Construction Terrassement s'intègre pleinement dans la démarche EXEGY® de VINCI Construction qui consiste à généraliser les bétons bas carbone en s'appuyant sur un préfabriquant comme CAPREMIB et des fournisseurs de liants décarbonés comme Hoffmann Green pour optimiser les performances techniques et environnementales des bétons mis en oeuvre avec l'objectif de rester à prix compétitif.Clément BLANC, CAPREMIB: « Le mariage du bois, de ciment H-UKR de chez Hoffman Green, et des solutions EXEGY® se retrouve au travers d'un produit protégeant les riverains des nuisances sonores. Ces alliances sont pertinentes et permettent d'imaginer l'ensemble des solutions pour un futur en béton décarboné, en conservant les propriétés intrinsèques et de durabilité des ouvrages. »David GUGLIELMETTI, Hoffmann Green: « L'utilisation de ciments Hoffmann Green, 0% clinker, fabriqué à froid à partir de co-produits industriels permet de diviser par quatre les émissions de CO2 par rapport à un ciment traditionnel. C'est donc un signal fort envoyé au monde de la construction car il est aujourd'hui possible de se passer du ciment. Nous partageons avec VINCI Construction le même constat sur la nécessité de décarboner le béton et nous les remercions de nous avoir intégré dans ce projet. »Florian CHARTIER, Agence Lyonnaise de Travaux d'Écrans Acoustiques, VINCI Construction Terrassement: « Nous avons travaillé en phase de préparation avec CAPREMIB et les équipes d'EXEGY® pour proposer à VINCI Autoroutes une solution respectant le cadre du cahier des charges qui allie performance acoustique et performance environnementale. C'est important pour nous d'intégrer à nos projets cette performance bas carbone qui nous pousse à nous réinventer. »Bruno PAUL-DAUPHIN, Directeur EXEGY®: « Après une première expérimentation de tuyaux de fonçage EXEGY® ultra bas carbone avec BESSAC, CAPREMIB démontre une nouvelle fois sa capacité à innover pour décarboner. Cet ouvrage de 280 mètres linéaires présente un panel des solutions bas carbone disponibles dont l'une mixant notamment le béton et le bois. C'est en travaillant dans cet esprit partenarial au service de nos clients en amont des chantiers que nous arriverons à faire du béton un matériau d'avenir. »
Il y a 2 ans et 310 jours

Le recul d'activité pour les matériaux se modère en mai, selon l'Unicem

Dans sa lettre mensuelle éditée mi-juillet, l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction indique une relative amélioration en mai par rapport à avril.
Il y a 2 ans et 310 jours

Julien De Smedt, Coldefy, NL, Ratti, Ensamble, des architectes pour l'Europe

Parmi les 132 candidatures reçues des 5 continents, et les 15 projets développés par les concurrents sélectionnés, c'est finalement la proposition conçue par le groupement piloté par Julien De Smedt, basé au Danemark, associé à l'agence lilloise Coldefy, aux néerlandais de l'agence NL, à […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 310 jours

Les Journées nationales de l'architecture reviennent en octobre pour une septième édition

ÉVÉNEMENT NATIONAL. Des visites de chantier, débats et expositions à destination du grand public sont prévus durant cette période. L'idée ? Faire découvrir le secteur et le métier d'architecte autrement.
Il y a 2 ans et 310 jours

Icade solide au 2e trimestre malgré un contexte peu propice au foncier

Le groupe, dont l'activité se divise en trois branches (foncière tertiaire, foncière de santé et promoteur), a dégagé sur le trimestre un chiffre d'affaires de 823 millions d'euros, soit 6,3% de plus qu'en 2021.Le "cash-flow net courant", son indicateur de référence est en hausse de 7,1% par rapport au même trimestre en 2021, s'établissant à 205 millions d'euros, soit 2,7 euros par action.Son résultat net bondit de 68% sur un an pour atteindre 251 millions d'euros."Nos trois métiers sont bien orientés, malgré le contexte actuel, les loyers restent stables malgré la conjoncture", a expliqué sur BFM Business son directeur général, Olivier Wigniolle.L'une des clés de cette solidité est le marché de l'immobilier résidentiel qui "se porte très bien, voire trop bien", selon le directeur du groupe."Nous avons beaucoup de clients et pas assez de produits après cette période de Covid-19, les Français cherchent à se loger bien", a t-il ajouté. Tout en confirmant ses objectifs pour 2022 (une hausse autour de 4% pour son cash flow net), le groupe d'immobilier redoute des turbulences sur le secteur foncier liées à l'inflation et à la hausse des taux d'intérêt, redoutable pour son activité foncière.Pour l'immobilier de bureau ou tertiaire, la récession historique observée pendant la période du confinement a été compensée par des cessions d'actifs. "C'est une situation à gérer", élude le directeur général d'Icade, rappelant que la "production du bureau est à l'arrêt".Dans le secteur de la Santé, le groupe qui investit dans les hôpitaux privés et cliniques n'annonce ce trimestre aucune cession de sa filiale d'immobilier de santé.Le projet annoncé avait été reporté en 2021 faute d'une levée de fonds satisfaisante.
Il y a 2 ans et 310 jours

L'État annonce une OPA à 9,7 milliards d'euros pour renationaliser EDF

L'État, qui détient déjà 84% d'EDF, a annoncé mardi son intention de lancer une offre publique d'achat (OPA) pour 100% du groupe, une opération qui coûterait 9,7 milliards d'euros, selon le ministère de l'Économie.
Il y a 2 ans et 310 jours

Un béton drainant à partir de coquilles Saint-Jacques

Le béton drainant évite l’imperméabilisation des sols. [©CA2BM] Entre Groffliers et Conchil-le-Temple, dans le Pas-de-Calais, une partie d’une piste cyclable est réalisée à partir de coquilles Saint-Jacques. La Communauté d’agglomération des deux baies en Montreuillois (CA2BM), en collaboration, avec notamment l’Esitc de Caen et Eqiom Bétons, s’est lancée dans ce projet. C’est une première en France ! Cette piste cyclable s’inscrit dans le programme européen “Circle”, qui a pour objectif de développer des chaussées drainantes en béton coulé à faible impact environnemental. Ainsi, la piste s’étalera sur 4,5 km. Dont 1 300 m constitués d’un mélange de 300 kg de Saint-Jacques recyclées et de granulats classiques. Un béton drainant perméable Le béton est “lavé” et laisse ainsi apparaître les coquilles qui ont été concassées au préalable. Ces dernières seront d’ailleurs récupérées auprès des restaurateurs et des producteurs du secteur. D’après la CA2BM, ce revêtement évite l’imperméabilisation des sols et permet de développer une économie circulaire sur le territoire. Il favorise ainsi la valorisation des déchets. Lire aussi : Eqiom lance Ressourceo, une marque en faveur de l’économie circulaire Toutefois, des tests vont être effectués pour vérifier si les coquilles ne détériorent pas les roues des vélos. Des études sur la résistance et ses caractéristiques drainantes sont aussi programmées. Côté béton, c’est Eqiom qui le fabrique dans sa centrale située à Groffliers. Garantissant alors un matériau local et proche du chantier. La durée des travaux est estimée à quatre mois. En ce qui concerne les coûts, ils sont de 1,6 M€.
Il y a 2 ans et 310 jours

FRANCE MATÉRIAUX part à la rencontre des professionnels au Mondial du Bâtiment 2022

FRANCE MATÉRIAUX, groupement de négoces en matériaux indépendants, sera présent, pour la première fois, au salon BATIMAT, rendez-vous incontournable des professionnels de la construction. Du 3 au 6 octobre 2022, l’équipe de FRANCE MATÉRIAUX sera heureuse de promouvoir le groupement et les services proposés auprès des différents acteurs de la distribution et des industriels du secteur sur son stand : Hall 1 – Allée S – stand 110 https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 310 jours

La Cour des comptes pointe du doigt des données publiques peu fiables sur le logement

Les données publiques nécessaires aux politiques du logement sont "trop fragiles pour permettre un pilotage satisfaisant", estime la Cour des comptes dans un référé du 12 mai rendu public le 18 juillet.
Il y a 2 ans et 310 jours

Hydroway, le premier sol perméable au service de l’écologie

Cette solution de revêtement extérieur, répondant à loi Climat et Résilience 2021, a été conçue en 2008 pour répondre aux aléas météorologiques et aux enjeux environnementaux.Les revêtements de sols imperméables empêchent la pénétration de l’eau dans le sol, qui reste donc en surface et ruisselle, ce qui favorise les inondations et la pollution des eaux. Par sa perméabilité, la solution de revêtement extérieur HYDROWAY contribue à préserver les sols en évitant le ruissellement et les flaques. 100% perméables, ce revêtement infiltre jusqu'à 35 fois plus d’eau de pluie que la norme requise, soit un litre d’eau par m2 et par seconde ce qui permet d’éviter la pollution des eaux par ruissellement et facilite l’alimentation des nappes phréatiques.JDM Expert apporte également une réponse écologique en choisissant méticuleusement ses matériaux. Un revêtement standard en béton consomme jusqu’à 5 fois plus de carbone qu’un sol JDM Expert. Le choix des coloris clairs joue aussi un rôle majeur afin d’éviter l’accumulation de chaleur en journée et limiter ainsi les îlots de chaleur.La solution de revêtements HYDROWAY est très utilisée en France Métropolitaine et DOM-TOM, en Belgique et en Espagne et de nombreuses collectivités, telles que Rungis et Grimaud et entreprises privées font appel au professionnalisme de JDM Expert dont la solution HYDROWAY se démarque par sa facilité d’entretien et offre une excellente résistance aux intempéries et aux véhicules allant jusqu’à 26 tonnes, en plus de respecter l’environnement et le cycle naturel de l’eau.
Il y a 2 ans et 310 jours

Cemex investit dans l'impression 3D

TECHNOLOGIE. Cemex a annoncé avoir investi dans Cobod, un spécialiste des imprimantes 3D dans la construction.
Il y a 2 ans et 310 jours

Le soin, matière à architecture - Exposition

L'exposition « Anni et Josef Albers », cet hiver au musée d'art moderne de la ville de Paris, a donné un coup de projecteur sur le splendide travail de tissage d'Anni Albers, laquelle était artiste, enseignante, artisane, designer textile et théoricienne. Pour la première fois traduits en français, ses essais rendent compte de son […] Lire l'article