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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3871 résultats)
Il y a 2 ans et 149 jours

Holcim acquiert l’Italien Nicem

L’italien Nicem intègre le groupe cimentier Holcim. [©Holcim] Holcim a acquis Nicem, spécialiste du carbonate de calcium (CaCO3) moulu, basé près de Bergame, en Italie du Nord. Le carbonate de calcium ou calcite est une matière première très polyvalente et à faible teneur en carbone utilisée pour un large éventail d’applications. En particulier dans les secteurs de la construction, du plastique, du caoutchouc et de la peinture. Lire aussi : Holcim France acquiert Chrono Chape « Nicem complète nos activités existantes et nous permet de tirer davantage parti de notre expertise en matière de formulations vertes. Cela ouvre une nouvelle source de matériaux alternatifs pour décarboner nos bétons prêts à l’emploi », indique Miljan Gutovic, responsable régional Europe d’Holcim. Comme Chrono Chape, racheté début janvier 2023, l’acquisition de Nicem fait progresser la “Stratégie 2025 – Accélérer la croissance verte” du groupe cimentier suisse (maison-mère de Lafarge). Et va permettre d’alimenter les activités de granulats et de béton prêt à l’emploi en matière première alternative. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 149 jours

Jean-Michel Torrenti, nouveau président de l’Ecole française du béton

Jean-Michel Torrenti est le nouveau président de l’Ecole française du béton. [©EFB] La Fondation Ecole française du béton (EFB) annonce avoir nommé Jean-Michel Torrenti à sa présidence. Celui-ci succède à Daniel Tardy qui conserve le titre de président d’honneur. Chercheur à l’Université Gustave Eiffel et professeur à l’école des Ponts, Jean-Michel Torrenti dispose d’une expérience de plus de 35 ans en recherche dans le domaine du comportement mécanique et de la durabilité des bétons. Directeur du Projet national Fastcarb, il est aussi chef de la délégation française et membre du présidium de la Fédération internationale du béton et membre du conseil scientifique de l’Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs). Lire aussi : FastCarb : On peut réabsorber 40 kg de CO2/t de granulats recyclés « C’est un honneur pour moi de succéder à Daniel Tardy en tant que président et je tiens à le remercier pour toutes ces années d’engagement auprès de l’Ecole française du béton », déclare Jean-Michel Torrenti. Et d’ajouter : « J’entends poursuivre ses actions, réaffirmer les fondamentaux de l’EFB. Et mettre mon expérience et mes compétences au service de la connaissance et de la valorisation du béton pour construire le monde de demain ». Daniel Tardy, président d’honneur de l’EFB Daniel Tardy devient président d’honneur de l’Ecole française du béton. [©EFB] Pour sa part, après 15 ans d’engagement auprès de l’EFB, Daniel Tardy passe le relais, tout en restant président d’honneur. Ancien dirigeant du groupe ETPO, il est un brillant scientifique, ingénieur polytechnicien, directeur d’IUT et d’école d’ingénieur. Sans oublier ses fonctions de président honoraire de la FNTP. Daniel Tardy a soutenu la Fondation EFB et ses actions en faveur de la valorisation des métiers de la construction. Mais aussi de la diffusion des connaissances sur le béton avec conviction et bienveillance depuis sa création. Le béton fait partie du paysage architectural et reste l’un des matériaux fondateurs de la construction. L’EFB est une fondation d’entreprise créée il y a plus de 25 ans. Elle œuvre au quotidien pour soutenir et valoriser toute action visant à améliorer la connaissance et l’utilisation du béton. En particulier, dans le cadre de la transition écologique et l’innovation technologique. Mieux faire connaître les métiers du béton Aujourd’hui, nombre d’entreprises de la construction et de la filière béton peinent à recruter des personnes qualifiées nécessaires au bon développement des territoires. C’est pourquoi l’EFB s’attache à faire connaître les métiers de la construction et du béton auprès des jeunes, des responsables d’orientation et des enseignants. Outre des démarches d’information et pédagogiques via une plate-forme web dédiée, elle met en place plusieurs programmes d’actions de terrain. Ces dernières visent à mobiliser les compétences professionnelles. Et à recréer des liens pérennes entre les acteurs industriels et les établissements scolaires et universitaires. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 150 jours

Fischer France s’engage pour les forêts françaises

La résine Fis V Zero est la première résine sans substances nocives. [©Fischer] Fischer France s’engage pour la reforestation. En adéquation avec ses valeurs, promues notamment dans sa démarche RSE, le groupe de fixations pour le béton a signé un partenariat avec Ecotree. Cet acteur français œuvre pour la préservation et la valorisation des forêts françaises. L’accord a déjà permis la plantation de 2 000 arbres : 1 000 pins maritimes et 1 000 chênes sessiles reboisent la forêt de Berné, dans le Morbihan. Lire aussi : Fischer : la RSE au coeur de la stratégie Fischer France s’est aussi engagé avec Papier Ensemencé, une start-up qui conçoit des solutions de communication éco-responsables. Avec la ferme intention de promouvoir ses nouveaux produits, tout en respectant la planète. Une nouvelle résine verte En parallèle, Fischer France a accompagné ses partenariats, avec la sortie d’une nouvelle résine : la Fis V Zero. C’est la première sans substances nocives pour l’homme et l’environnement. Elle ne contient plus de peroxyde de benzoyle. Il n’y a plus de pictogrammes de danger sur son emballage et les cartouches usagées peuvent être jetées comme des déchets lambda. Pour promouvoir son nouveau produit, Fischer France a donc utilisé des flyers de la start-up Papier Ensemencé. Ceux-ci sont 100 % biodégradables et peuvent être plantés. En effet, ils renferment des graines et constituent une illustration parfaite du zéro déchet. Fischer France affirme ainsi son ambition de combattre pour le climat et espère bien continuer dans cette voie durable. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Saint-Gobain fixe ses objectifs pour 2023

Accompagné de Thierry Fournier, directeur général de Saint-Gobain Europe du Sud, Moyen-Orient et Afrique (à droite), Benoit Bazin, directeur général du groupe, a adressé ses vœux à la presse pour cette nouvelle année. [©ACPresse] Lors de ses vœux à la presse, Saint-Gobain a dévoilé ses perspectives pour 2023. Une année qui démarre sur les chapeaux de roues pour le groupe avec deux acquisitions. Le premier concerne Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Semaine de l’entreprise coopérative : Objectif promotion

Le CCCA-BTP, avec la fédération SCOP BTP, organisme la deuxième édition de la Semaine de l’entreprise coopérative, du 27 au 31 mars 2023. [©CCCA-BTP] Lire aussi : Partenariat entre le CCCA-BTP et la fédération Scop BTP. La deuxième édition de la Semaine de l’entreprise coopérative se déroulera du 27 au 31 mars 2023. Pilotée par le CCCA-BTP, en partenariat avec la Fédération Scop BTP, cette initiative cherche à promouvoir le modèle de l’entreprise coopérative dans le secteur de la construction. Elle s’adresse aux apprentis en formation aux métiers du bâtiment et des travaux publics. Cette Semaine ambitionne aussi de leur faire découvrir l’entrepreneuriat, pour les sensibiliser à la création, la reprise et la transmission d’entreprise. [Inter] Une précédente édition réussie et un succès attendu La première édition de la Semaine de l’entreprise coopérative a eu lieu en 2021. Une quarantaine d’évènements avaient été organisés dans toute la France, dans des centres de formation ou dans des entreprises coopératives. Fort de ce succès, ce sont déjà 600 sociétés coopératives qui sont mobilisées pour l’opération. Le CCCA-BTP espère rasembler encore plus d’acteurs pour organiser des rencontres et évènements. Le modèle équitable, démocratique et pérenne que représente l’entreprise coopérative séduit de plus en plus les jeunes. En effet, ses spécificités, ses valeurs et son mode de gouvernance sont en adéquation avec les envies des futurs entrepreneurs. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Foret SDS plus-7X de Bosch : Endurance extrême au programme

Avec le foret Expert SDS plus-7X, Bosch établit de nouvelles références, en termes de longévité et de résistance de perçage dans le béton armé. [©Bosch] Fabriqué en carbure de tungstène massif, le foret Expert SDS plus-7X de Bosch est extrêmement robuste et perce tous les types de bétons armés. D’une durée de vie plus longue que les autres modèles du marché, ce foret de perforateur est résistant aux températures élevées de plus de 400 °C, qui peuvent se produire lors du perçage. D’un design unique, sa tête à 4 taillants dispose d’arêtes de coupe plates. Cette géométrie permet un transfert d’énergie de frappe sans perte. Et une vitesse de perçage élevée constante. Le forage s’avère donc plus efficace et rapide. Les évidements de la tête sont dans le prolongement direct des canaux de l’hélice. Ce qui facilite l’évacuation de la poussière et réduit les vibrations. Lire aussi : Bosch, surfaçage et batteries Un perçage précis Cette capacité d’enlèvement très élevée rend presque impossible le blocage du foret dans le béton armé, et diminue son usure. Le foret Expert SDS plus-7X dispose d’une pointe de centrage tranchante en forme de pyramide (180 °), qui assure une bonne avancée dans le matériau et un guidage optimal (en particulier dans le béton armé). Il possède aussi un témoin d’usure au niveau de la tête en carbure de tungstène. Il sert d’indicateur et garantit des diamètres de perçage précis, parfaitement ronds et calibrés. Ce foret convient pour la maçonnerie, le béton et le béton armé, et pour tous les perforateurs SDS-plus. Pour couvrir tous les besoins, la gamme comprend 71 forets disponibles dans des diamètres allant de 3,5 à 16 mm, de longueur de 50 x 115 mm à 400 x 465 mm. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 154 jours

Construction et mesures gouvernementales 2023

Dès janvier, de nouvelles mesures gouvernementales qui vont changer le quotidien des Françaises et des Français entrent en vigueur, notamment dans la construction. [©ACPresse] Dès janvier, de nouvelles mesures gouvernementales qui vont changer le quotidien des Françaises et des Français et annoncées par la Première ministre Elisabeth Borne, entrent en vigueur. Pouvoir d’achat, transition écologique, souveraineté, sécurité, justice, économie…, tous les domaines sont concernés. Certaines de ces mesures ont été adoptées lors du précédent quinquennat, d’autres au cours des derniers mois. Accélérer en matière de transition écologique Pour ce qui concerne le bâtiment, le gouvernement poursuit la décarbonation des logements grâce à la pérennisation de MaPrimeRénov’, avec un budget renforcé pour soutenir en priorité les rénovations les plus performantes et accentuer le soutien aux ménages modestes. A partir du 1er février 2023, le plafond des travaux dans le cadre de MaPrimeRénov’ copropriétés sera relevé de 15 000 € à 25 000 €. Et les primes individuelles versées aux ménages aux revenus très modestes et modestes seront doublées à respectivement 3 000 € et 1 500 €. De plus, les forfaits “Rénovations globales” pour les ménages aux ressources intermédiaires et supérieurs seront relevés à respectivement 10 000 € et 5 000 €. Poursuite de la “comptabilité carbone” Par ailleurs, le gouvernement poursuit la “comptabilité carbone”, avec l’intégration des émissions indirectes dans les bilans des émissions de gaz à effet de serre. Actuellement, seules les émissions directes et les émissions indirectes associées à l’énergie consommée devaient obligatoirement être prises en compte, ce qui n’était pas toujours représentatif de l’impact réel des organisations sur le climat. A partir du 1er janvier 2023, il sera aussi obligatoire de réaliser une déclaration de l’ensemble des émissions indirectes significatives. Cela inclut, par exemple, les émissions associées à l’utilisation des produits vendus par une entreprise ou aux déplacements domicile-travail des salariés. Lire aussi : L’UE réforme son marché et instaure une taxe carbone Des logements moins consommateurs d’énergie Enfin, la loi Climat et Résilience a introduit un critère de performance énergétique minimale dans la définition du “logement décent”. A compter du 1 er janvier 2023, un logement sera qualifié d’énergétiquement décent lorsque sa consommation d’énergie (chauffage, éclairage, eau chaude, ventilation, refroidissement…), estimée par le DPE, sera inférieure à 450 kWh/m2 en France métropolitaine. Les logements les plus énergivores, dont la consommation d’énergie dépasse cette valeur, ne pourront plus être proposés à la location. Les propriétaires concernés peuvent par ailleurs bénéficier des aides à la rénovation énergétique. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 154 jours

2e édition du concours Archi Jeunes Valode & Pistre

Les étudiants ont jusqu’au vendredi 13 janvier 2023 pour s’inscrire au concours Archi Jeunes. Puis, jusqu’au 8 mars pour rendre leur dossier. [©Valode & Pistre] Valode & Pistre Architectes lance la 2e édition de son concours Archi Jeunes, ouvert aux étudiants architectes et jeunes diplômés. Le thème retenu cette année : l’hôtel de demain et son rôle dans la ville. Les étudiants ont jusqu’au vendredi 13 janvier 2023 pour s’inscrire. Puis, jusqu’au 8 mars pour rendre leur dossier. Ce concours a été imaginé en 2020, en pleine crise sanitaire. « L’agence Valode & Pistre Architectes avait alors ressenti que cette pandémie devait nous inviter à repenser notre façon d’habiter, de vivre, de travailler », indique l’agence. En organisant le coucours Archi Jeunes, elle souhaite donner la parole aux étudiants en architecture en fin d’études ou tout récemment diplômés. Il s’agit aussi de leur faciliter l’accès au monde professionnel dans un contexte de plus en plus difficile. Lire aussi : Concours d’idées SNBPE/Cimbéton : Quatre étudiants de Polytech Marseille primés Les deux premiers lauréats intègreront l’agence Lors de la première édition (2020/2021), la réflexion des candidats s’était portée sur l’habitat. Fort du succès de cette initiative, le cabinet d’architectes lance aujourd’hui une deuxième session sur le phénomène hôtelier. Celui-ci est peu à peu devenu un enjeu important de l’aménagement urbain. Les cinq lauréats se verront décerner un prix allant de 3 000 € à 8 000 €. Par ailleurs, les deux premiers auront l’opportunité d’intégrer l’agence Valode & Pistre. En effet, le cabinet d’architecture a développé depuis plusieurs années de nombreux projets d’hôtels en France et à l’international. Cette expérience témoigne que l’hôtel est un lieu où l’architecture doit prendre une place très prégnante et qu’il doit trouver un rôle significatif dans la cité. Tous les lauréats bénéficieront d’une couverture médiatique et leurs projets seront exposés pendant une période de 2 mois au sein de l’agence. Enfin, ils seront visibles sur le site Internet de l’agence et sur ses réseaux sociaux. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 154 jours

L’art urbain de Katre de nouveau à Molitor

Dans le cadre de “Mémoire Vive”, c’est Molitor qui est le sujet d’une démarche à la fois documentaire et artistique. [©Katre] A travers l’exposition d’art urbain “Mémoire Vive” et son installation au sein du bassin extérieur, l’artiste parisien Katre signe son retour à Molitor, à partir du 27 janvier. Entre hôtel et piscine, le complexe Molitor, situé dans le XVIe arrondissement de Paris, est un lieu de vie autour du bien-être et de la gastronomie. Mais aussi de l’art. Dans le cadre de “Mémoire Vive”, c’est ce lieu qui est le sujet d’une démarche à la fois documentaire et artistique. Les œuvres de Katre s’appuient sur ses photos prises durant la période où les piscines Molitor furent laissées à l’abandon. Réhaussés par des installations fictives/formes géométriques, devenues sa marque de fabrique, les clichés photographiques traduisent son appréhension instinctive de l’espace en images magistrales. Lire aussi : Tout sur la préfabrication au centre de design de l’Uqam Sa maîtrise d’arts plastiques sur Molitor en 2003 Réhaussés par des installations fictives/formes géométriques, devenues la marque de fabrique de Katre, les clichés photographiques traduisent son appréhension instinctive de l’espace en images magistrales. [©Katre] Comme un prolongement de l’exposition, l’artiste a investi la façade et les coursives du bassin extérieur de Molitor. De nuit, les principaux éléments de l’œuvre disparaissent pour laisser apparaître des flashs lumineux et colorés, donnant une dimension plus onirique et rythmant le lieu le temps d’un hiver. Katre a débuté le graffiti au début des années 1990. Très vite fasciné par les terrains vagues et les espaces à l’abandon, l’artiste a développé une réflexion sur l’occupation des territoires en milieu urbain. C’est ainsi qu’il découvre à cette même époque les piscines Molitor et leur a consacré sa maîtrise d’arts plastiques en 2003. Cette réflexion s’appuie sur l’architecture des lieux, ainsi qu’un travail photographique et de peinture. Infos pratiques :“Mémoire Vive”Exposition de l’artiste KatreDu 27 janvier au 5 mars 202313 rue Nungesser et Coli – 75016 Paris Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 154 jours

Architectural Photography Awards : Les gagnants sont…

L’un des deux clichés qui ont fait l’unanimité du jury. Il s’agit de “Pocket Park in Shanghai, China” de Guo Zhe. [©Guo Zhe]L’un des deux clichés qui ont fait l’unanimité du jury. Il s’agit de “Jadgal School in Iran” de Deed Studio. [©Deed Studio] Le concours britannique Architectural Photography Awards 2022 (APA) en est à sa dixième édition. Les APA ont connu une augmentation de 49 % du nombre de candidatures de photographes. « Nous touchons de nouveaux territoires. Les inscriptions provenaient de 64 pays différents, contre 42 en 2021 », indique l’APA. Comme leur nom l’indique, les Architectural Photography Awards ont pour but de récompenser les clichés les plus fascinants et les plus époustouflants de bâtiments du monde entier. « Photographier des édifices est un art en soi. Et les APA visent à le reconnaître. » Le gagnant de cette dixième édition vient d’être annoncé ! Sur une liste de 23 photos réparties en six catégories, deux clichés ont fait l’unanimité. Il s’agit de “Pocket Park in Shanghai, China” de Guo Zhe, qui montre un groupe de personnes se reposant dans un parc conçu par l’Atelier Archmixing. Et “Jadgal School in Iran” de Deed Studio. Les membres du jury ont été invités à regarder au-delà de l’architecture, à prendre en compte la composition, l’utilisation de l’échelle et la sensibilité des photographes à l’atmosphère. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 154 jours

Massia-Laboratoire, découvrez les nouveautés

Massia-Laboratoire, logiciel de contrôle qualité des matériaux de construction d’Arcade. Arcade, éditeur de logiciels, propose dans sa gamme Massia le logiciel de contrôle qualité des matériaux de construction Massia-Laboratoire. 2022 a vu arriver des nouveautés de taille dans Massia-Laboratoire, dont en particulier concernant le contrôle des bétons : Le traitement des formules : Cette fonctionnalité permet de modifier en lot des quantités de constituants en valeur ou en pourcentage. Elle permet également de créer en lot des nouveaux bétons cibles en remplaçant des constituants depuis une formule existante. Chaque modification donne lieu à un recalcul du contrôle de conformité avant validation. Le bilan carbone des bétons : Cette fonctionnalité permet de calculer le poids carbone des bétons départ centrale à partir du poids carbone des constituants du béton et de leur transport. La nouvelle norme EN 206 : Incluant le contrôle du taux de substitution des granulats recyclés, la nouvelle classification des bétons et les nouveaux seuils de contrôle. Pour en savoir plus sur Massia-Laboratoire, visitez le site web : www.arcade.fr ou contactez le service commercial : a.ladet@arcade.fr – Tél. 04 67 77 52 50. Arcade, éditeur de logiciels Fort de 30 ans d’expérience, Arcade conçoit, développe et commercialise des logiciels répondant aux besoins métiers dans le domaine des granulats, bétons, enrobés, construction routière, recyclage, laboratoires, bureaux d’études. Ces logiciels sont destinés aux professionnels de la production, de la mise en œuvre, du traitement des matériaux de construction pour les applications telles que gestion commerciale, ADV, laboratoire, performance, environnement, sécurité, foncier, maintenance.
Il y a 2 ans et 154 jours

Fischer : la RSE au coeur de la stratégie

Fischer poursuit sa démarche RSE [©Fischer] Fischer ancre la RSE dans son quotidien. Le groupe de fixations pour le béton continue d’investir dans cette démarche. Cela lui permet d’être en adéquation avec ses valeurs : l’innovation, la responsabilité et le sérieux. Fischer articule ses actions autour de plusieurs principes. Tout d’abord, le bien-être de ses salariés et collaborateurs. Cela passe par la création de salles de sport et de repos, ainsi que par la mise en place de mesures pour limiter les risques d’accident au travail. L’industriel est à l’écoute de ses équipes pour améliorer constamment les conditions de travail. Pour permettre l’épanouissement professionnel, l’entreprise met en place des formations. L’innovation et l’environnement au cœur de la RSE Lire aussi : Fischer, l’ancrage du siècle Au-delà du bien-être de ses salariés, Fischer prend à cœur le combat pour le climat. Ainsi, le groupe perfectionne sa gestion des ressources. Aujourd’hui, 85 % de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union européenne et près de la totalité de ses 2 791 t de déchets produits ont été recyclés. Ses installations de production sont constamment modernisées, afin d’augmenter son efficience énergétique d’au moins 1,5 % chaque année. Le groupe cherche aussi la durabilité de ses produits, en misant sur des matières premières recyclables. Ainsi, Greenline est la première gamme de fixations fabriquée à partir de matières renouvelables. Tout ceci s’inscrit dans une démarche innovante, valeur clef de Fischer. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 154 jours

Saint-Gobain se renforce au Brésil et en Egypte

A travers sa filiale Chryso, Saint-Gobain a finalisé l’acquisition de Matchem au Brésil. Et signé un accord exclusif en vue d’acquérir IDP Chemicals en Egypte. Ces acquisitions renforcent la position de Saint-Gobain dans la chimie du bâtiment, en particulier dans les adjuvants pour béton. Lire aussi : Saint-Gobain fixe ses objectifs pour 2023 Fondé en 2011, Matchem emploie 50 personnes, réparties sur deux sites au Brésil. En 2022, cet industriel a généré un chiffre d’affaires de près de 20 M€. Ainsi, avec Matchem à présent, Saint-Gobain se positionne comme le n° 1 sur le marché brésilien, à la tête de 24 sites industriels. Les autres marques du groupe présente dans le pays sont Quartzolit, acteur de référence dans les mortiers (colles à carrelage, enduits pour façades et sols, membranes d’étanchéité). Mais aussi TekBond, spécialiste des mastics et adhésifs, et GCP Applied Technologies acquis récemment. Une finalisation d’acquisition rapide par Chryso De son côté, IDP Chemicals est licencié de Chryso depuis 2018. Il emploie 25 personnes sur un site et est bien positionné pour accompagner la dynamique de la construction en Egypte. L’acquisition de cet indistriel par Saint-Gobain devrait être finalisée au cours du premier trimestre 2023… Matchem et IDP Chemicals s’inscrivent pleinement dans le plan “Grow & Impact” qui vise à accélérer la dynamique de croissance du groupe en étoffant son offre de solutions à destination des marchés de la construction durable. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 155 jours

Holcim France acquiert Chrono Chape

Acquis par Holcim France, Chrono Chape détient 63 centrales mobiles de malaxage. [©Holcim France] Holcim France annonce l’acquisition de Chrono Chape, une des premières entreprises indépendantes du marché des chapes fluides en France. Cet industriel détient aujourd’hui 63 centrales mobiles de malaxage pour chapes (camions). Il compte aussi 2 sites de production de prémix installés en Normandie et en Bourgogne, et 8 stations logistiques de rechargement des camions. Il est ainsi en mesure de desservir plus de la moitié du territoire national pour produire les chapes fluides directement sur les chantiers. Une complémentarité avec Cantillana, Lafarge France et PRB Le dispositif industriel de Chrono Chape offre une importante complémentarité avec le réseau de centrales à béton fixes d’Holcim en France et avec la gamme Agilia Chape. De fait, Chrono Chape va pouvoir s’appuyer sur les sites opérationnels du groupe en France (Cantillana, Lafarge et PRB). Ceci, pour consolider et étendre le champ d’action de ses centrales mobiles et conforter sa dynamique de croissance. En effet, depuis sa création en 2005 à Longeault-Pluvault, près de Dijon, Chrono Chape a su saisir les opportunités offertes par un marché de la chape fluide, très dynamique. Et développer son offre pour atteindre une croissance régulière à deux chiffres… « Les synergies avec Lafarge Bétons, PRB et Cantillana vont permettre à Chrono Chape de poursuivre sa croissance et de contribuer à la décarbonation du bâtiment », confirme François Petry, président Holcim France. Lire aussi : Chapes-Info annual 2022 En même temps, Chrono Chapes bénéficiera du savoir-faire d’un grand groupe cimentier disposant du plus important centre de R&D du secteur de la construction dans le monde. Basé à Saint-Quentin-Fallavier, en Isère, celui-ci permettra d’accélérer l’essor des produits de la marque, en particulier pour répondre aux enjeux du marché de la rénovation et pour faire baisser leur poids carbone. Service “zéro déchet” et développement bas carbone Le savoir-faire et la technologie mobile qu’a mis en place Chrono Chapes permettent de maîtriser au plus juste les quantités de matériaux nécessaires pour chaque opération sur site. De quoi assurer un service “zéro déchet” en phase avec les attentes et demandes actuelles. Chrono Chape a su développer une forte expertise digitale. Avec cette opération, Lafarge Bétons va pouvoir renforcer la palette des services proposés à ses clients partenaires et accéder à de nouveaux marchés. « Avec Chrono Chape, nous confortons notre place de leader sur le marché très dynamique de la chape, conclut Jean-Marc Golberg, directeur général de Lafarge Bétons. Cette intégration s’inscrit dans notre volonté de développer le bas carbone au service de la construction et de la planète. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 155 jours

La nouvelle génération de vestes chauffantes Milwaukee

Milwaukee lance des vestes chauffantes de nouvelle génération. [©Milwaukee] Milwaukee met sur le marché ses nouvelles vestes de hautes technologies thermo-diffusantes pour l’extérieur. Destinées aux professionnels du bâtiment, elles protègent contre les conditions météorologiques difficiles. Confortables et résistantes, elles maintiennent au chaud pendant 8 h, grâce à une batterie M12 Redlithium 3 A ou la batterie Redlithium USB. Conçues en fibre de carbone, ces vestes garantissent 5 zones chauffantes pour une bonne conservation et une répartition de la chaleur sur l’ensemble du corps. Les professionnels peuvent régler la température, grâce à la commande sensitive placée en haut de la veste, en fonction des conditions météo. La gamme est composée de 3 modèles allant de la taille S à la taille XXXL, pour homme comme pour femme. Les vestes chauffantes ont été créées par des ingénieurs et des stylistes pour allier utile et esthétique. Elles sont lavables en machine et existent en 3 coloris : noir, gris et dessin camouflage. Lire aussi : Milwaukee dévoile 4 nouveautés Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 168 jours

Spie Batignolles lance une offre dédiée à l’impression 3D

Grâce à son robot Ernest, le groupe Spie Batignolles imprime en 3D des éléments constructifs en béton. [©ACPresse] L’ère du BTP 4.0 arrive en France ! Et en particulier dans un atelier à Ollainville (91) où une machine inédite vient de faire son apparition. Il s’agit d’une solution d’impression 3D béton acquise par Spie Batignolles. Cet achat permet au groupe de BTP de devenir le premier constructeur à se doter d’un tel procédé au sein l’Hexagone. Cette innovation s’inscrit Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 168 jours

CRH Ventures soutient les start-up de la construction

CRH Ventures cherche des partenariats avec les start-up de la construction. [©CRH] Le groupe irlandais CRH vient d’annoncer la création de CRH Ventures. Cette unité de capital-risque a vocation à soutenir le développement de technologies et de solutions innovantes. Ceci, afin de répondre aux besoins de plus en plus complexes des clients du secteur de la construction et aux tendances évolutives qui s’y rattachent. Ayant accès à un fonds de 236 M€ à investir, CRH Ventures s’associera à des entreprises de construction et de technologie climatique qui interviennent sur l’ensemble de la chaîne de valeur du BTP. Elle se concentrera sur les technologies de pointe, en se focalisant sur différents profils d’entreprises. Tout d’abord, celles qui développent la prochaine génération de produits de construction, durables et engagés sur la voie de la décarbonation. Ensuite, celles qui se concentrent sur l’automatisation et les méthodes de construction hors site pour édifier des constructions avec davantage d’efficacité et de sécurité. Puis, celles qui cherchent à tirer parti des technologies numériques pour construire plus intelligemment. Et enfin, celles qui veulent accroître l’efficacité et l’optimisation du marché pour offrir une meilleure valeur aux clients. CRH Ventures cherche des opportunités d’investissement « Le lancement de CRH Ventures démontre notre engagement continu à investir dans les nouvelles technologies qui façonneront l’environnement bâti de demain, déclare Albert Manifold, directeur général de CRH. CRH Ventures servira de partenaire précieux pour les start-up et les entrepreneurs qui bénéficieront des capacités techniques. Mais aussi des connaissances et de l’expertise d’un leader mondial de l’industrie des matériaux de construction. Ils pourront ainsi mieux piloter et mettre à l’échelle de nouvelles technologies et innovations qui permettront une construction plus sûre, plus intelligente et plus durable. » Lire aussi : Impulse Partners : « Innover constitue un droit à continuer à construire » Dès à présent, CRH Ventures recherche activement des opportunités d’investissement. Elle a d’ailleurs déjà établi des partenariats avec des start-up de la construction et des technologies climatiques, dans les domaines de la numérisation et de la décarbonation. A bon entendeur… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 169 jours

Le démarrage de la filière Rep repoussée au 1er mai 2023

La filière de reprise gratuite des déchets ne deviendra pas réalité le 1er janvier 2023. Les 4 éco-organismes agréées par l’Etat ont indiqué que le démarrage des éco-contributions sera effectif le 1er mai 2023. [©ACPresse] La nouvelle filière du recyclage des déchets prévue le 1er janvier 2023 a été repoussée de cinq mois, pour un démarrage effectif le 1er mai de la même année. C’est ce que viennent d’annoncer les quatre éco-organismes agréés que sont Ecominéro, Ecomaison, Valdelia et Valobat. Ce report concerne l’application des éco-contributions sur les produits et matériaux de construction du bâtiment. Le démarrage des services de reprise gratuite des déchets triés est aussi décalé à cette date. Néanmoins, les entreprises considérées comme “producteurs” doivent, dès la nouvelle année, adhérer à un l’un de ces éco-organismes.  De son côté, la FFB se réjouit de cette initiative lancée par les quatre sociétés de recyclage. En effet, la Fédération a alerté de nombreuses fois l’Etat sur la nécessité d’un délai de 9 mois entre la publication des barèmes et son application. « Le décalage de la filière Rep1 relève du bon sens, déclare Olivier Salleron, président de la FBB. L’anticipation est la clef de la réussite d’un démarrage serein. Au vu du retard pris par la filière, il n’y avait pas d’autre option possible. » Lire aussi : Les barèmes d’éco-contribution changent du simple au double… Un délai indispensable Ce temps supplémentaire permet ainsi aux entrepreneurs et aux artisans d’intégrer ces surcoûts dans leurs devis et marchés. De plus, la FFB rappelle que « ce délai est indispensable à toute nouvelle publication de nouveaux barèmes par les éco-organismes ». Les tarifs 2024 doivent donc être connus dès mars 2023. Au-delà de cette très bonne nouvelle, quatre points essentiels au bon fonctionnement de la filière sont encore attendus. Le premier sujet concerne la définition des règles de tri, afin de bénéficier de la gratuité de reprise. Le second est la publication des points de collecte partenaires de la Rep en 2023. Quant aux deux derniers, il s’agit de la création de l’organisme coordonnateur de la filière et les précisions sur la définition du producteur. 1Responsabilité élargie des producteurs (Rep) pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 169 jours

Rym Mtibaa, nouvelle directrice des projets chez EndLess

Rym Mtibaa a été nommée directrice des projets chez EndLess. [©EndLess] EndLess annonce la nomination de Rym Mtibaa comme nouvelle directrice des projets. L’entreprise confirme ainsi sa dynamique de croissance. Et son ambition de devenir le partenaire de référence des éco-organismes de la Rep PMCB. En effet, Endless propose des solutions de collecte et de valorisation de tous les déchets de chantier. Elle est issue du groupe Big Bag’n Go x SOS Bennes.  « Cette filière naissante nous amène à nous réinventer et nécessite la création de méthodes, d’outils et de nouvelles pratiques concertées avec la profession. Ce recrutement est un signal fort envoyé au secteur qu’une bascule est en train de s’opérer, déclare Thibaut d’Hau Decuypere, directeur général d’EndLess. Et de poursuivre : « Les acteurs de la gestion des déchets s’entourent de compétences en lien avec la Rep, au même titre que les acteurs de la Rep s’entourent d’experts de la gestion des déchets ». Les missions de Rym Mtibaa Ainsi, Rym Mtibaa contribuera à la transformation du groupe. Interlocutrice des éco-organismes de la filière Rep PMCB. Elle aura pour mission de trouver des solutions opérationnelles au sujet d’innovations. Telles que la logistique des flux triés sur les chantiers, la mise en œuvre de la reprise gratuite, la traçabilité des déchets… qui répondra aux standards de la filière. « La Rep vient donner un cadre à une dynamique déjà présente. C’est le résultat d’une prise de conscience du sujet qui est en œuvre depuis fort longtemps. Elle apporte aux acteurs des garanties, en termes de volumes de déchets et de reprise. Cela leur permet d’investir dans les transformations nécessaires. Une dynamique dans laquelle les gestionnaires de déchets vont jouer un rôle déterminant pour la réussite de cette filière », commente Rym Mtibaa, la nouvelle directrice des projets EndLess. Avant de compléter : « Rejoindre EndLess aujourd’hui, c’est rejoindre un acteur clef de cette transformation. Le maillon entre la chaîne amont, c’est-à-dire les entreprises du bâtiment, les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’œuvre… Et la chaîne aval, constituée des éco-organismes, des préparateurs matières, des industriels… Nous sommes l’acteur en contact direct des chantiers, de leurs besoins, de leur quotidien. Notre mission est d’apporter des solutions accessibles, qui intègrent les exigences des filières. Nous sommes les garants, auprès de ces dernières, de la qualité des flux qui leur seront transmis ». Lire aussi : Big Bag’n Go devient EndLess Le parcours de Rym Mtibaa Diplômée d’un master des Métiers des études, du conseil et de l’intervention de l’université Paris 7 Denis Diderot, Rym Mtibaa a débuté sa carrière au sein l’institut Cemagref. Là, elle était chargée d’études technico-économiques sur les installations de traitement des déchets durant 5 ans. Puis, elle a occupé un poste au conseil régional d’Ile-de-France, où elle s’occupait de la planification régionale de la prévention et de la gestion des déchets de chantier du BTP. Par la suite, elle a travaillé au sein de l’éco-organisme Ecosystem en qualité de directrice des projets, où elle a mis en place et coordonné la plate-forme collaborative Démoclès. En 2021, elle a intégré l’éco-organisme Eco-mobiler, pour l’élaboration de la demande d’agréments dans le cadre de la candidature de la Rep PMCB. Femme engagée, Rym Mtibaa s’est toujours investie dans le secteur de la gestion des déchets pour faire bouger les lignes. Un engagement profond pour l’économie circulaire en adéquation avec les valeurs d’EndLess. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 169 jours

Bouches-du-Rhône : Lancement du village BTP&co à Marseille

La présidente de la Fédération BTP 13 Isabelle Lonchampt et Laure-Agnès Caradec, présidente du conseil d’administration d’Euroméditerranée, ont reçu le ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion Olivier Dussopt, lors de l’inauguration du Village BTP&co. [©VillageBTPandco] C’est l’aboutissement d’un projet ambitieux et unique en France mené par la Fédération du BTP 13. Le Village BTP&co a été inauguré le 25 novembre 2022. Il se situe au 99 rue de Lyon, à Marseille. C’est un espace dédié à l’emploi, avec pour objectif la création d’un lieu permettant de répondre à toutes les interrogations et demandes des personnes en recherche de travail. Le Village propose un accompagnement personnalisé aux demandeurs d’emploi. Le cheminement se divise en plusieurs phases, de l’accueil du candidat à son intégration dans un parcours de formation et de recrutement. Tout au long de sa visite, l’ensemble des métiers du BTP lui sont présentés. Il peut ainsi choisir celui qui lui correspond le mieux, grâce à des films en réalité virtuelle, une application mobile, des visites de chantier et des rencontres avec des professionnels. Des objectifs bien définis Mis en place dans le cadre du plan Macron “Marseille en grand”, le Village BTP&co a des objectifs bien définis. Tout d’abord, promouvoir les métiers du BTP auprès de tous les publics, ainsi que le développement économique du secteur. Le Village doit accompagner les personnes ayant un projet développé. Il doit favoriser le lien entre l’offre et la demande d’emploi dans le BTP et permettre le développement des compétences des publics les plus éloignés de l’emploi. La finalité de tous ces objectifs est de mettre en lien les candidats et les entreprises, via la FBTP 13. Les premiers résultats du Village permettront d’établir le pouvoir de cette initiative. Sur le papier, c’est un moyen important de développement du recrutement dans le BTP en région Paca. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 170 jours

ACPresse vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année !

2022 s’achève dans quelques jours… L’occasion pour l’équipe d’ACPresse de revenir sur cette année riche en informations… Toute l’équipe d’ACPresse vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année ! Un grand merci pour votre fidélité ! Rendez-vous l’année prochaine … Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 170 jours

Solids

Solids est un salon allemand, qui permet aux exposants nationaux et internationaux de présenter leurs technologies et solutions pour le traitement, la manutention, le stockage, le transport et l'analyse des poudres, granulés et solides en vrac.
Il y a 2 ans et 170 jours

ICCX Central Europe

International Concrete Conference & Exhibition (ICCX) est devenu un rassemblement incontournable pour l'ensemble des acteurs de l'industrie du béton d'Europe centrale. Pendant 2 jours, des conférences animées par des experts, ainsi que des rencontres entre exposants et visiteurs ont lieu.
Il y a 2 ans et 170 jours

Global industrie Connect

Global Industrie Connect rassemble les acteurs internationaux de l'industrie de l'impression 3D. Le salon propose les dernières nouveautés technologiques, une vitrine des innovations, ainsi qu'une plate-forme d'échanges entre industriels.
Il y a 2 ans et 170 jours

World of Concrete Las Vegas

World of Concrete est le salon international dédié aux industries mondiales de la construction en béton et en maçonnerie. Il présente les nouveaux produits, les technologies de pointe, les derniers équipements, des événement, des ateliers interactifs, des formations pratiques...
Il y a 2 ans et 170 jours

Saint-Gobain, élève assidu contre le changement climatique

Saint-Gobain a été reconnu pour son engagement dans la lutte contre le changement climatique par le Carbon Disclosure Project (CDP). [©Saint-Gobain] Cette année encore, Saint-Gobain a été reconnu pour son engagement dans la lutte contre le changement climatique par le Carbon Disclosure Project (CDP). Organisation non gouvernementale publiant des données sur le bilan environnemental des grands groupes. Saint-Gobain figure sur sa liste “Climate Change a List”, qui recense 283 entreprises modèles dans le combat écologique. « Cette reconnaissance atteste de la cohérence et du sérieux des actions du groupe en matière de développement durable, se réjouit Claire Pedini, directrice des ressources humaines et de la RSE chez Saint-Gobain. Elle est la preuve de sa mobilisation pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. » Lire aussi : Partenariat Icade – Saint-Gobain pour développer des bâtiments durables Des objectifs ambitieux en plusieurs étapes Avant d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, Saint-Gobain s’est fixé une feuille de route 2030. Celle-ci vise à réduire de 33 % les émissions de CO2 pour les scopes 1 et 2, et de 16 % pour le scope 3. Ces objectifs ont été validés par la Science Based Targets Initiative, qui a aussi approuvé l’engagement net zéro carbone 2050 du groupe. En 2022, Saint-Gobain s’est affirmé comme l’un des leaders mondiaux de la construction durable. Il a réalisé plusieurs premières, notamment la production zéro carbone de verre plat en France. Ses acquisitions des adjuvantiers Chryso et GCP Applied Technologies lui ont permis de renforcer sa position dans la chimie de la construction. Au cœur du combat avec sa raison d’être “Making the world a better home”, Saint-Gobain n’en a pas fini de lutter pour transformer le secteur de la construction. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 170 jours

Avec Technimétal, Alphi constitue son pôle industriel

« Nous capitalisons autour de ce pôle “Industrie” pour toujours en faire plus pour nos clients », explique Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. [©Alphi] Après avoir développé sa branche “Coffrage et étaiement”, avec l’acquisition, cet été, de Simpra, Alphi annonce une nouvelle opération de croissance externe. Celle-ci vise à renforcer son pôle industriel, avec le rachat de Technimétal. « Nous réfléchissons toujours sur le long terme, afin d’avoir une vision globale. Nous avons ainsi développé et structuré nos deux principaux pôles d’activités. Nous visons les 35 % de parts de marché avec l’enseigne “Damois Industrie et Services”. Nous capitalisons autour de ce pôle “Industrie” pour toujours en faire plus pour nos clients », explique Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi. Lire aussi : Alphi rachète Simpra Le pôle industriel d’Alphi est créé En juillet 2021, la société aixoise Damois, spécialisée dans le travail sur mesure des métaux, était entrée dans le giron d’Alphi. Avec Technimétal, qui vient de la rejoindre, Alphi peut proposer une offre optimisée à destination de ses clients industriels. Ceci, sous l’enseigne “Damois Industrie et Services”. Anciennement basé au Bourget-du-Lac (73), Technimétal est un spécialiste dans les services à l’industrie. Il intervient sur sites et assure des opérations sur mesure en maintenance, installations, notes de calcul, matériels de contrôle…  Les trois collaborateurs de Technimétal intègrent ainsi “Damois Industrie et Services”, dont Julien Parpillon, l’ex-dirigeant de l’entité. Par ailleurs, le groupe Alphi est présent à l’international par le biais de ses filiales en Inde, au Luxembourg, au Portugal, au Qatar et au Royaume-Uni. Dans les prochaines semaines, “Damois Industrie et Services” emménagera sur la zone d’activités de Savoie Hexapole (ancien site Socla), à deux pas du siège social d’Alphi. Lire aussi : Alphi acquiert le Suisse Adria Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 170 jours

GCC et Nobatek/Inef4 mettent l’accent sur l’impact carbone

Lors du salon Simi, GCC et Nobatek/Inef4 ont consolidé leur partenariat afin de prendre en compte l’impact carbone. [©GCC] Un an après l’officialisation de leur partenariat, le groupe GCC et l’Institut de transition énergétique du bâtiment Nobatek/Inef4 renforcent leur collaboration. L’objectif initial de ce rapprochement était d’expérimenter des solutions innovantes et responsables en faveur du bâtiment. Désormais, l’ambition évolue. A travers un programme spécifique, les deux sociétés souhaitent mettre l’accent sur l’impact carbone des projets de construction. Un plan qui répond à trois critères. Intégrer la dimension carbone Ainsi, le premier consiste à réduire le temps de réalisation des études d’analyse du cycle de vie (ACV) opérées par GCC. Le second vise à évaluer, puis à faire émerger des propositions d’optimisation de projets sur la base des performances environnementales et économiques des deux entités. Quant au dernier, il propose une solution qui s’intègre dans le projet d’évolution digital de GCC. « C’est le fruit de nos échanges continus depuis le début de notre partenariat, déclare Julien Szabla, directeur général de Nobatek/Inef4. Nous voulons mettre notre expertise au service d’un acteur majeur de la construction, tel que GCC. Cela lui permettra d’intégrer pleinement la dimension carbone dans ses opérations. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 171 jours

Fusion Sika – MBCC : Le “oui, mais…” de la CMA britannique

Sika est en phase d’intégrer définitivement MBCC, suite au feu vert de la CMA, l’autorité britannique de la concurrence. [©ACPresse] Après plusieurs mois de réflexion, la Competition & Markets Authority (CMA) britannique vient de donner son feu à la fusion mondiale entre Sika et MBCC. Ceci, suite au recours du groupe suisse formulé il y a quelques mois. Petit retour en arrière… En novembre 2021, Sika a annoncé le rachat de MBCC dans le cadre d’un accord passé avec le fonds d’investissement Lone Star Funds, pour un montant record de 5,2 Md€. Toutefois, différentes autorités de la concurrence avaient émis des réserves sur cette fusion. Dont la CMA qui à la suite d’une première enquête avait identifié des problèmes de concurrence dans la fourniture d’adjuvants chimiques au Royaume-Uni. En effet, outre-Manche, MBCC et Sika s’avèrent être les deux plus grands et principaux fournisseurs d’adjuvants pour l’industrie du ciment et du béton. Ensemble, ils risquaient de représenter plus de la moitié de l’offre britannique. Inacceptable pour la CMA. Lire aussi : Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€ Retour au périmètre historique de Master Builders Technologies Afin de débloquer la situation, Sika a proposé de revendre, à un seul et unique acheteur, l’activité adjuvants de MBCC au Royaume-Uni. Mais aussi dans plusieurs autres pays. A savoir, le Canada et les Etats-Unis – cession annoncée dès la proposition de rachat -, et l’ensemble des pays de l’Union européenne élargie (c’est-à-dire Suisse y compris). De fait, l’activité française est pleinement concernée. A cela s’ajoutent l’Australie et la Nouvelle-Zélande. La cession intègre, en plus, les actifs centraux de recherche et développement. En résumé, cet ensemble correspond, ni plus, ni moins, au périmètre occupé par l’historique entité Master Builders Technologies (MBT) il y a environ 25 ans… L’étape suivante est donc de choisir l’acquéreur de toute cette activité adjuvants. Plusieurs acteurs sont aujourd’hui sur les rangs. La réponse définitive devrait arriver dans le courant du premier trimestre 2023. Sachant que la CMA devra encore approuver l’acheteur retenu. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 171 jours

Rêve de maisons

L’ouvrage “Maisons rêvées” fait la part belle aux habitations d’architectes en France. [©Editions Alternatives] L’ouvrage “Maisons rêvées” présente 40 maisons individuelles construites par des architectes, entre 2000 et 2020, qui rendent compte de toutes les tendances architecturales des 20 dernières années en France. Delphine Aboulker, son auteure, est une spécialiste de la maison individuelle, l’habitat préféré des Français. En effet, l’architecture n’a cessé de réinventer ce modèle. « Les 40 maisons prises en exemple dans le livre le montrent avec force », insiste Delphine Aboulker. Cette architecture questionne aussi notre relation avec l’écologie. « Face à ces enjeux, les architectes apportent des propositions. Ils inventent des espaces flexibles et modulables, imaginent des façons de construire sur et avec l’existant. Ceci, avec des matériaux inspirés du vivant et aux impacts sur l’environnement réduits au minimum. Cette créativité apparaît aussi dans les 40 maisons sélectionnées dans cet ouvrage. » Pourquoi s’intéresser à la maison individuelle ? La maison “L” signée Christian Pottgiesser (p. 144), à proximité de Paris, au dessin labyrinthique d’un béton blanc laiteux comme un “village à tours”. [©George Dupin] L’opposition entre logement collectif et maison individuelle se tourne désormais vers une réflexion sur l’habitat collectif, les maisons groupées et mitoyennes étant mieux aptes à mettre en commun les ressources et le foncier pour limiter leur utilisation. « Le minimalisme esthétique prend un nouveau sens, quand il se fait le témoin d’un désir de sobriété. La valorisation des bâtiments existants permet d’économiser l’espace et de mettre en avant le patrimoine par des extensions où se déploient la créativité et le sens de l’adaptation des architectes. L’auto-construction et la co-création mettent en lien un territoire, des usagers avec leurs attentes spécifiques et un architecte avec sa vision technique et artistique propres. » L’intégration paysagère et patrimoniale des bâtis neufs et le questionnement du modèle pavillonnaire traditionnel sont devenus centraux. « Développé par l’agence Architecture de Collection que j’ai co-fondée, le prix Archinovo promeut ces tendances de fond, en créant de nouvelles récompenses, comme le prix Extension et le prix Habitat groupé. Et en valorisant toutes les solutions inventives et prometteuses. » Comment a évolué la maison d’architecte ces 20 dernières années ? La maison du Lac (p. 157), implantée au beau milieu des pins (Brachard de Tourdonnet Architectes), se réfère à l’architecture des maisons scandinaves ou des chalets américains, bien qu’en béton ! [©Fabienne-Delafraye/Jean-Christophe Garcia/Arnaud-Saint-Germes] La volonté de réduire l’empreinte écologique des projets a transformé leur conception. De nombreuses agences conçoivent une architecture engagée fondée sur une approche simple, économe et frugale, fruit d’une réflexion profonde sur les pratiques du métier. Cette tendance à la sobriété énergétique a mis au premier plan la qualité des espaces. La maison d’architecte suit l’évolution rapide des modes de vie et les nouveaux besoins en matière de flexibilité des usages. On voit émerger de nouvelles façons d’habiter ! « La sélection des 40 maisons montre enfin comment les architectes savent réinventer la maison, sans fermer les yeux sur la lutte à mener contre le dérèglement climatique et l’étalement urbain. » Le nouveau partis pris des architectes La maison de ville Monténégro (p. 80), à Paris, repose sur une conception unitaire de trois maisons. Son architecte Franck Salama a partagé les habitations en trois cubes de béton brut, superposés les uns sur les autres. [©Hervé Abadie] « Si les architectes sont les bâtisseurs par excellence, aujourd’hui, l’enjeu majeur de la profession est devenu celui de la rénovation et de la réhabilitation des bâtis existants. Ils sont donc les premiers à proposer des solutions concrètes et durables, afin de concilier les dimensions de confort, sociales, patrimoniales, économiques, écologiques… » Les architectes sont de plus en plus formés et sensibilisés à la réhabilitation énergétique avec des matériaux bio-géo-sourcés. En effet, les matériaux naturellement durables et économiques, que sont le bois, le chanvre, la paille, l’ouate de cellulose…, regagnent en popularité auprès des architectes. Les matériaux bio-géo-sourcés présentent aussi d’excellentes propriétés thermiques et respirantes. Les architectes se réapproprient les techniques vernaculaires issues de savoir-faire ancestraux et leurs matériaux pour répondre aux enjeux actuels. Notamment, en matière d’isolation et de chauffage. Ils développent des solutions innovantes. Comme la végétalisation des toitures pour améliorer l’isolation intérieure et créer des îlots de fraîcheur. Ou encore, la création de murs trombes pour optimiser le chauffage passif du bâti. Enfin, l’emploi de terre crue à l’inertie thermique performante, ou l’isolation en torchis. A ces techniques anciennes, les architectes adjoignent des nouvelles technologies numériques. Afin d’optimiser la performance énergétique des habitats, comme l’installation de panneaux photovoltaïques ou de nouveaux procédés comme la géothermie. Panorama richement illustré La maison Terrier (p. 43) construite par le cabinet BQ+A Architecture, qui n’est pas sans rappeler un certain brutalisme. [©Luc Boegly] “Maisons rêvées” revient donc sur toutes ces thématiques. Il donne à voir les évolutions du secteur, ses réalisations phares et les figures tutélaires de l’architecture domestique actuelle. Cet ouvrage propose un panorama illustré des maisons conçues par des architectes en France. Un préambule replace la maison individuelle dans le temps long de son histoire depuis le XIXe siècle, ainsi que ses enjeux politiques et sociaux. Le livre présente ensuite un corpus de 40 maisons classées en cinq thèmes : le défi écologique, l’innovation en ville/milieu urbain, la quête esthétique, la réinvention des traditions et l’inspiration industrielle. Chaque maison est enrichie par des photographies et des plans. Cet ouvrage résonne aussi avec pertinence dans l’époque actuelle. Si la maison est un idéal de vie depuis toujours, la crise sanitaire nous l’a rendue encore plus précieuse. Et nous a fait prendre conscience combien elle touche aux grands enjeux du temps présent comme l’écologie et le développement durable. Un véritable manifeste pour la maison d’architecte. Les maisons d’architectes en béton Nous avons retenu quelques exemples de maisons d’architectes en béton. D’abord, la maison Terrier (p. 43) construite par le cabinet BQ+A Architectur, qui n’est pas sans rappeler un certain brutalisme. Puis, la maison du Lac (p. 157), implantée au beau milieu des pins (Brachard de Tourdonnet Architectes), se réfère à l’architecture des maisons scandinaves ou des chalets américains, bien qu’en béton ! Quant à la maison de ville Monténégro (p. 80), à Paris, elle repose sur une conception unitaire de trois maisons. Son architecte Franck Salama a partagé les habitations en trois cubes de béton brut, superposés les uns sur les autres. Ou encore, la maison “L” signée Christian Pottgiesser (p. 144), à proximité de Paris, au dessin labyrinthique d’un béton blanc laiteux comme un “village à tours”. A découvrir d’urgence… Editeur : Editions AlternativesAuteur : Delphine AboulkerPrix : 35 €TTCComment se procurer l’ouvrage ? Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 171 jours

L’UE réforme son marché et instaure une taxe carbone

Les importations de clinker et de ciment vont être taxées par l’UE. [©ACPresse] Cette semaine, l’Union européenne (UE) a dansé une valse à deux temps qui pourrait modifier en profondeur l’industrie du continent, dans les années à venir. C’est en tout cas l’ambition affichée. Et cela concerne beaucoup l’industrie cimentière. Rembobinons pour en comprendre les enjeux. Mardi 13 décembre au matin. Les Eurodéputés ont adopté le Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF). Déjà connu sous le nom de taxe carbone aux frontières. Et qui – n’ayons pas peur des mots – est unique au monde. Il s’agit de taxer les importations de marchandise depuis des pays ayant des normes moins strictes en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Une taxe qui concerne les secteurs les plus polluants, comme l’acier, les engrais, l’électricité, le fer, l’aluminium et… le ciment. Lire aussi : Le cimentier 2170 fait évoluer la norme européenne prEN 197-6 Ce dispositif permet d’éviter la fuite carbone, qui verrait les industriels délocaliser hors d’Europe des sites soumis à une réglementation écologique stricte. Tout en espérant servir d’exemple, en poussant les pays à aligner leur législation écologique, afin de pouvoir exporter leurs marchandises vers le marché européen. Réunie en trilogue (Commission, Etats membres et Parlement), l’UE espère ainsi tenir ses objectifs climatiques. En réduisant ses émissions de gaz à effet de serre de 55 % d’ici 2030 (par rapport à 1990). Et atteindre la neutralité carbone en 2050. Cette taxe s’inscrit dans un paquet législatif en cours de négociation, nommé “Fit for 55”. Une entrée en vigueur en 2026 Une partie du mécanisme d’application de cette taxe est déjà établi. Pour importer une marchandise d’un pays tiers, l’importateur devra acheter des certificats pour couvrir les émissions de CO2 directes engendrées par le produit. Les émissions indirectes seront aussi prises en compte dans un cadre qui sera défini en Commission en 2026. En effet, si le mécanisme entre en vigueur en octobre 2023. Il ne sera que déclaratif jusqu’en 2026, sans achat de certificat associé. Si le pays d’importation dispose déjà d’un prix carbone (comme la Chine, par exemple), l’importateur ne devra payer que la différence de tarification. Ce mécanisme veut rétablir une concurrence équitable entre les entreprises productrices européennes, qui doivent acheter des droits à polluer et les entreprises non européennes du même secteur. Pour le moment, environ 60 % des émissions européennes sont couvertes. Mais la liste des matières concernées par la taxe pourrait s’allonger, en fonction des risques de fuite carbone des entreprises. Un an avant l’entrée en vigueur du paiement de la taxe, une nouvelle proposition législative établira la liste des marchandises concernées. Et comblera les failles. Par exemple, le dispositif taxerait aujourd’hui l’importation d’acier turc, mais pas l’importation d’un camion fabriqué en acier turc L’épineuse réforme du marché carbone Mais les industriels disposant d’un certain (gros) nombre de quotas gratuits à polluer, le dispositif pouvait enfreindre les règles de l’OMC. Il aurait pu être qualifié de subvention directe déguisée. A l’image de l’Inflaction Reduction Act américain, qui évolue en dehors des clous de l’OMC. C’est pourquoi, le trilogue européen s’est à nouveau réuni et a trouvé un accord ce dimanche 18 décembre, afin de réformer son marché carbone. C’est le pilier du plan climat européen. Et c’est notre deuxième danse. Cette réforme part d’un constat : le marché carbone est, pour le moment, un échec. Il devait inciter les industriels à réduire leur impact carbone, ils ne l’ont que très peu fait… Ou alors pas assez. La faute, semble-t-il à des millions de quotas gratuits accordés pour éviter les délocalisations, à l’issue d’un bras de fer et de lobbying. Avec l’arrivée de la taxe carbone aux frontières, le rapport de force ne tient plus. Le marché carbone va donc être réformé, pour le mettre sous tension. Un prix du carbone réévalué Stockage de clinker issu de l’importation extra-européenne. [©ACPresse] Le nombre de droits à polluer, qu’ils soient gratuits ou pas, va être peu à peu réduit, pour atteindre un prix établi autour des 100 €. Il est aujourd’hui de 85 € la tonne de CO2. Ce prix vise à pousser à la réduction des émissions, en augmentant le coût d’une manière drastique. Au passage, le marché est étendu au secteur maritime et aux vols aériens intra-européens. Les sites d’incinération des déchets devraient aussi y être soumis. Un second marché carbone (ETS 2) est aussi créé. Il concerne les carburants du transport routier et le chauffage des bâtiments. Avec une série de garde-fous visant à protéger les ménages. Ces recettes constitueront un fonds social pour le climat. Visant à aider à la transition énergétique les ménages les plus modestes et les TPE. Des quotas en question Restait l’enjeu le plus épineux : les quotas gratuits. Ils seront supprimés entre 2026 et 2034, avec un objectif de 48,5 % de suppression d’ici 2030. Les plus âpres conversations ayant été au sujet du rythme de cette suppression. La taxe carbone aux frontières montera en puissance au même rythme, sur le principe des vases communicants. Le rythme de suppression des quotas reste une forte déception pour les ONG climatiques. Estimant que cela financera les activités polluantes à hauteur de 200 Md€ entre 2026 et 2032, au prix actuel du carbone. Les différentes fédérations de l’industrie ne se sont pas encore exprimées sur le sujet. En contrepartie, le fonds européen d’innovation qui accompagne les entreprises dans leur transition énergétique est gonflé à hauteur de 50 Md€. Charge maintenant à l’UE de bâtir un plan d’investissement dans le temps pour transformer l’industrie européenne. Suivez-nous sur nos réseaux
Il y a 2 ans et 171 jours

VM (re)devient VM Matériaux

L’identité visuelle du logo évolue subtilement. La forme clairement identifiable du carré reste intacte, ainsi que les codes couleurs. Les lettres sont adoucies par des formes souples et arrondies. [©VM Matériaux] En 2015, VM Matériaux (groupe Herige) devenait VM. L’objectif ? Renforcer la marque VM comme la référence incontournable auprès des professionnels du bâtiment et des particuliers. Dans un contexte où tout évolue rapidement, VM change à nouveau et s’adapte aux transformations du marché, des règlementations, des technologies, des habitudes de travailler, de consommer, d’habiter… Ses équipes sont formées et mobilisées autour des enjeux de la rénovation énergétique et de la réduction de l’empreinte carbone de la construction. Et sélectionnent les produits les plus performants pour des chantiers éco-responsables. Une vision et des changements que l’enseigne accompagne à travers une nouvelle identité. Lire aussi : VM mise sur le biosourcé pour renforcer son offre “Eco-solutions” Une nouvelle identité En effet, VM (re)devient VM Matériaux, afin de (re)mettre en avant son cœur de métier. Et appose sous son logo une nouvelle signature : “Construire demain, Construire durable”. L’industriel, qui a retravaillé ses fondamentaux depuis plus de deux ans, se réaffirme, par l’image et les mots, au cœur de son marché. Celui de la construction et des matériaux. Cette nouvelle signature appuie son positionnement engagé, aux côtés de ses clients, pour une construction et une rénovation durables. Facile à mémoriser, elle constitue une véritable promesse, celle de l’avenir. Son esprit optimiste et visionnaire se lit à travers les expressions “demain” et “durable”. Fédératrice, la signature invite à se réunir autour d’engagements forts pour l’ensemble des parties prenantes : les collaborateurs, les clients professionnels et particuliers, les fournisseurs… Elle symbolise aussi un marqueur fort pour le recrutement de nouveaux talents. Evolution subtile du logo « Le VM Matériaux de demain ne sera jamais le VM Matériaux d’hier. Tout en préservant notre ADN, nous portons d’autres ambitions, totalement intégrées dans la stratégie. Nous nous fixons pour mission d’accompagner tous nos clients dans l’avenir, avec une volonté forte de modernisation digitale, sociétale, comportementale. La mise en avant de demain s’effectuera sur le faible impact carbone plutôt que sur le prix. C’est cela le nouveau VM Matériaux », rappelle Eric Rouet, directeur général de VM Matériaux. Dans un esprit de préservation de l’esprit de proximité, VM Matériaux constitue un marqueur fort de l’ancrage local de l’enseigne. L’évolution visuelle est repensée pour l’ensemble du territoire au-delà de la Vendée, son berceau historique, pour des secteurs où le maillage de VM est plus récent, tel que la Normandie. Elle se développe de manière subtile. La forme identifiable du carré reste intacte, ainsi que les codes couleurs. Les lettres sont adoucies par des formes souples et arrondies. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 171 jours

Alphi : Acteur de l’innovation dans les territoires des Savoie

Alphi a rejoint, en 2021, le réseau d’accélérateur de start-up Village by CA des Savoie. [©Alphi] Chez Alphi, l’innovation se retrouve à tous les niveaux et dans tous les services de l’entreprise. La notion du “prendre soin” en fait partie intégrante. Pour cette ancienne start-up industrielle, il était donc naturel de rejoindre le Village by CA des Savoie1. Ce réseau d’accélérateurs de start-up bénéficie d’un maillage territorial dense, avec un rayonnement, à la fois, local, régional et international. Ce fut chose faite en 2021. « A son origine, Alphi était une start-up industrielle, Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 172 jours

Toulouse Métro B, Demathieu assure la connexion

Demathieu Bard Construction vient de remporter le lot 1 de la connexion ligne B du métro de Toulouse. [©Demathieu] Le groupe Demathieu Bard Construction vient de remporter le lot 1 de la connexion ligne B du métro de Toulouse. Ce projet consiste à relier cette ligne à la future 3e ligne, en la prolongeant. Ainsi, les villes de Ramonville et de Labège seront desservies par le métro. Ce lot présente des difficultés topographiques. Le prolongement traversera des zones urbaines et agricoles, des voies de circulation et même un lac. C’est ce dernier environnement qui pose la plus grande problématique. Une partie fondamentale du projet repose sur le respect de l’environnement. La préservation des berges et des espaces verts autour du lac est une priorité. Quant aux installations nécessaires à la construction, elles seront adaptées pour protéger les plantations. Demathieu, génie (civil) en extension Lire aussi : Des bétons pour le plus long téléphérique urbain de France Avec ce nouveau projet, Demathieu Bard Construction continue d’affirmer sa position d’acteur fort du génie civil. Le groupe de BTP est aujourd’hui engagé sur de nombreux projets du Grand Paris Express. Il participe aux chantiers des lignes 11, 15, 17, tout en continuant à être mobilisé pour la gare d’Orly. Enfin, il vient d’achever le prolongement de la ligne B du métro de Lyon. La connexion du métro B toulousain permet à Demathieu Bard Construction d’élargir son rayon d’activités. Le groupe affirme ainsi son ambition d’agir pour la dynamique des territoires et les accompagner dans leur transformation durable et environnementale. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 174 jours

Emergent 3D imprime sa première maison en Californie

Emergent 3D a imprimé en seulement 30 h, sa première maison à Redding, en Californie du Nord. [©Cobod] A environ 320 km au Nord de San Francisco se trouve Redding et ses 100 000 habitants. Entourée de végétation, la ville a été dévastée par de nombreux feux de forêt ces dernières années. Et l’un des plus ravageurs a été l’incendie Carr en 2018, où plusieurs maisons ont été détruites par les flammes. Mais cette époque pourrait bientôt être révolue dans ce secteur géographique. En effet, toujours à Redding, la zone résidentielle de l’Enterprise Park a vu l’apparition de la première maison imprimée en 3D béton, mise en œuvre par Emergent 3D. « Grâce à ce procédé, nous ouvrons, dans cette région, de nouvelles possibilités de logements abordables et qui résistent au feu, précise Matthew Gile, fondateur d’Emergent 3D. Par rapport à la construction en bois, cette technologie offre des maisons plus durables. Elle ouvre aussi la voie à de plus grandes possibilités de conception et à des projets plus efficaces, en termes d’énergie et de matériaux. » La technologie Cobod Cette maison de 112 m2 a été imprimée en béton à l’aide de la solution D.fab développée par Cobod et Cemex. Elle a été achevée en un temps record, grâce à l’imprimante 3D de construction Bod 2 de Cobod. « Il n’a fallu que 30 h d’impression pour la réaliser et cela n’a coûté que 4 687 $ », se réjouit Don Ajamian, président d’Emergent 3D. Soit 4 400 € environ. « Cette technologie nous donne la possibilité de concevoir des designs uniques en leurs genres. Nous laissons place à notre créativité. Il est clair qu’elle offre des solutions que la Californie du Nord cherchait. » Lire aussi : Une première maison imprimée en 3D à Bornéo Conçue pour le plus grand confort des résidents par l’architecte Benjamin Albertson, la maison comprend 3 chambres, 2 salles de bains et un plan d’étage ouvert. De plus, au centre de la maison, la construction comporte aussi des murs aux courbes organiques. Ce qui permet de définir les entrées et d’ajouter un attrait visuel au bâtiment.   Reconstruire à l’aide de l’impression 3D Dans un avenir proche, une deuxième maison va voir le jour à Redding, copie conforme de celle réalisée à l’Enterprise Park. Au total, Emergent 3D compte concevoir, avec ce procédé, le même modèle de maison dans les alentours. Touchée par les incendies de forêt, avec la perte de plus de 11 000 habitations, la ville californienne de Paradise bénéficiera aussi de ces nouvelles constructions en béton. « Nous sommes ravis de compter Emergent 3D parmi nos clients, déclare Philip Lund-Nielsen, co-fondateur de Cobod. Grâce à l’impression 3D, cette région va ainsi pouvoir se reconstruire après les nombreux drames survenus. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 175 jours

Fischer, l’ancrage du siècle

La Fis V Plus de Fischer a une durée de vie de plus de 100 ans. [©Fischer] C’est un cap passé dans le domaine des solutions de fixation durables. Fischer a mis au point Fis V Plus. C’est la toute première résine d’injection universelle d’une durée de vie de 100 ans sur le marché. Ceci a été confirmé par l’Evaluation technique européenne (ETE). Ce nouveau produit augmente aussi de 45 % les performances de la résine. Fis V assure une sécurité supplémentaire pour les chantiers et les installations. Dotée d’une grande polyvalence, cette résine peut s’appliquer sur plusieurs types de structures en acier et en béton. Une résine HP pour tous les matériaux pleins ou creux Lire aussi : Fisher lance une nouvelle génération de systèmes de rails insert La Fis V Plus se démarque par sa polyvalence. Comme déjà précisé, elle dispose de plusieurs agréments ETE. Tout d’abord, l’ETE-20/0663 concernant la fixation dans le béton fissuré et non fissuré. Ensuite, l’ETE-20/0729, qui concerne les briques et la maçonnerie courante. Enfin, l’ETE-20/0728, qui touche au scellement de fer à béton. Au-delà de ces agréments, la Fis V Plus présente aussi une résistante R120 au feu. Elle peut être utilisée dans des forages inondés et pour des applications sismiques de catégorie C1 et C2. C’est une révolution dans le secteur de la fixation béton, qui pourrait faciliter la vie des acteurs du monde de la construction. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 175 jours

Sud-Ouest Matériaux devient Point.P

Sud-Ouest Matériaux change de dénomination pour devenir Point.P. [©Point P] Les liens entre Sud-Ouest Matériaux et Point.P sont désormais totaux. Les 2 enseignes appartiennent à Saint-Gobain Distribution Bâtiment France. Elles n’en font aujourd’hui plus qu’une seule : Point.P. Les 5 points de vente de Sud-Ouest Matériaux se situent tout à l’Est de Bordeaux : à Branne, Créon, Grézillac, Saint-Loubès et Sauveterre. Cette fusion permet à Point.P de renforcer son réseau sur cette zone. Ainsi, l’enseigne compte désormais 145 points de vente dans la région Nouvelle-Aquitaine. Un changement important pour les professionnels du Sud-Ouest Lire aussi : La plateforme du Bâtiment et Point.P mutualisent un centre de collecte des déchets Cette fusion est bien vue par les professionnels de la région. Les projets, professionnels ou particuliers étant nombreux. L’offre s’élargit donc pour tous ces clients et c’est un véritable bénéfice pour tous. « Passer les agences Sud-Ouest Matériaux sous la bannière unique Point.P garantit à l’ensemble de nos clients l’accès à une offre large, un réseau proche de leurs chantiers, explique Nicolas Godet, directeur général de Point.P. C’est un véritable atout au quotidien pour mener à bien leurs chantiers. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 175 jours

Cem’In’Eu : Nouveaux wagons

Le nouveau wagon utilisé par Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] Engagé pour une logistique à faible impact, Cem’In’Eu innove, en mettant en service de nouveaux wagons pour le transport de ses matières premières au départ du port de Sète. Développés en partenariat avec le spécialiste du transport ferroviaire VTG, ces wagons sont plus légers, permettent un chargement optimal et la mise en place de trains plus longs. Ce nouveau choix logistique renforce la performance du modèle logistique multimodal de Cem’In’Eu, tant en termes économique qu’environnemental. Lire aussi : Rhône Ciments monte en puissance « Cem’In’Eu est le premier industriel en France à faire ce choix plus efficace pour la rentabilité du transport ferroviaire », explique Romain Sudour, technico-commercial VTG. Cem’In’Eu est le premier industriel français à utiliser ces nouveaux wagons fabriqués en Europe. Toujours tractés par RégioRail, ces wagons dits de “80’” sont plus légers que deux wagons de 40’. Une évolution qui permet d’augmenter la charge utile par wagon. Mais aussi de rallonger les trains qui passent de 23 à 27 équivalents wagons de 40’. Transportant ainsi plus de 20 % de marchandises supplémentaires. Cela a pour conséquence directe de réduire de 38 par an le nombre de trains nécessaires au transport du clinker depuis sa filiale logistique Cem’In’Log , basée à Sète. Un changement de wagon sans rupture d’approvisionnement Le développement spécifique mené par VTG pour Cem’In’Eu a exigé une année de tests. Avec en particulier, la mise en circulation d’un prototype, qui a permis d’affiner les réglages. Et de bien valider le rayon de courbure compatible avec la circulation sur les voies françaises. Une fois cette phase de test terminée, le changement des wagons a été organisé par Cem’In’Log en une seule opération. Entre deux livraisons, sans aucune rupture des approvisionnements. La combinaison de l’augmentation de la charge utile par train et de la diminution du nombre de trains par an amène une réduction des émissions de gaz à effet de serre (Ges) de 334 t par an, soit – 13 %. Le gain en intensité carbone par tonne de marchandise transportée est ainsi de 1 kg, passant de 7,8 kg eqCO2 à 6,8 kg eqCO2. Ce nouveau wagon renforce encore la pertinence environnementale du modèle logistique développé par Cem’In’Eu. Lequel permet d’éviter près de 12 000 trajets en camions par an grâce au choix du ferroviaire. Et donc d’émettre trois fois moins de Ges qu’un dispositif routier. Soit une économie d’environ 5 000 t eqCO2 par an. « Cet important travail d’optimisation logistique s’inscrit très légitimement dans le cadre de l’engagement pris auprès de Fret 21 pour réduire les émissions de CO2 liées au transport de Cem’In’Eu », explique Fabien Charbonnel, directeur général de Cem’In’Eu. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 176 jours

Ingérop : Conquérir le monde via l’Australie

De gauche à droite, de haut en bas : Yves Metz, président du groupe Ingérop, Christophe Blanc, directeur international d’Ingérop, Neil Kerridge, directeur de Rendel Ingérop en Australie, Frank Gatto et Richard Morgan, directeurs d’Aspec Engineering, Vardaman Jones, directeur général de Rendel Ltd, et Daniel Squires, directeur de Rendel [©Ingérop] Ingérop vient d’acquérir une participation majoritaire dans la société australienne Aspec Engineering. Réalisée via sa filiale Rendel, cette acquisition est un véritable atout stratégique pour le groupe français. L’entité australienne est spécialiste dans les domaines de la manutention de matériaux, de l’ingénierie portuaire, des mines et des infrastructures. « Je me réjouis de rejoindre le groupe Ingérop, déclare Richard Morgan, directeur général d’Aspec Engineering. A la fois pour étendre notre portée mondiale dans le domaine de la manutention et pour élargir l’étendue de notre offre en matière d’infrastructure. » Ce rapprochement s’inscrit aussi dans un objectif environnemental. Le gouvernement australien souhaite améliorer les performances de l’industrie minière sur ce sujet. « Notre engagement envers la qualité, la sécurité et l’environnement, ainsi que nos outils et systèmes de conception, viendront compléter les compétences de Rendel Ingérop en matière de génie civil et structurel. » Ingérop, une implantation australienne forte Lire aussi : Ingérop poursuit son développement à l’international Le groupe français est présent en Australie depuis 2018 à travers sa filière Rendel. Cela fait plusieurs années déjà qu’Ingérop et Aspec collaborent ensemble. Le rapprochement lui permet d’étendre son réseau australien. Il est aujourd’hui implanté dans 4 Etats du pays, avec 5 nouvelles implantations, à Brisbane, Melbourne, Newcastle, Perth et Wollongong. Ingérop a déjà participé à de nombreux projets sur le territoire australien. Il a contribué aux auto-ponts et ouvrages de franchissement de la nouvelle liaison Sydney Gatemay à proximité de l’aéroport. Ingérop a agi pour le nouveau métro de Melbourne et pour le remplacement du chargeur de navires de Hay Point Berth 2. Après l’Allemagne et l’Australie, il est évident qu’Ingérop n’a pas fini sa conquête internationale. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 176 jours

Baromètre Inies : Toujours plus de données

Actuellement, la base Iniès totalise 3 190 Fdes représentant 676 086 références commerciales. [©ACPresse] Propriétaire et gestionnaire de la base Inies, l’Alliance HQE-GBC vient de publier le Baromètre 2022. Celui-ci présente les chiffres et l’ensemble des points d’évolution de la base. Incontournable pour la réalisation des Analyses de cycle de vie (ACV) des bâtiments dans le cadre de la RE 2020. La base Inies enregistre, cette année encore, une augmentation du nombre de données, consultables gratuitement. Outil de référence pour l’application de la RE 2020, la base permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (Fdes, PEP Ecopassport, DED et DES). Et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment. + 29 % de Fdes dans la base Inies Ainsi, au 31 août 2022, la base Inies comptait un total de 5 389 données. En hausse de 28 % par rapport au baromètre 2021, dont : • 3 190 Fdes (+ 29 % par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales ; • 599 PEP (+ 14 % par rapport au 31 décembre 2021) ; • 1 495 DED, dont 1009 produits de construction et 486 équipements ; • 105 données conventionnelles, dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES) ; • 343 organismes déclarants de Fdes et 51 organismes déclarants de PEP. Dont 100 nouveaux déclarants de Fdes et 5 pour les PEP depuis 2022. Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE 2020. Du retard dans les fondations et les réseaux en béton Il faut rappeler que la base Inies fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi, elle va au-delà de l’indicateur carbone et intègre aussi des informations sur : • Le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; • La quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; • Des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment. Malgré la progression constante de la base Inies depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE 2020. Afin d’encourager les industriels à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes. Pour les familles qui concernent notre secteur d’activité, il faut noter le manque de données des fondations préfabriquées en béton. Et des réseaux d’évacuation et d’assainissement en béton. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 176 jours

Le CSTB lance Cible, projet d’éco-conception du bâtiment

Fort de son expérience sur les outils d’évaluation de la performance du bâtiment, le CSTB lance le projet Cible. [©ACPresse] Depuis 1974, les règlementations ont permis d’encadrer la consommation énergétique des bâtiments neufs ou rénovés. Elles garantissent aussi le confort thermique de leurs occupants. Mais aujourd’hui, les outils de calculs sont hétérogènes et souvent incomplets. Les indicateurs carbone pour les produits de construction dans l’existant ne sont pas affichés. Quant à la mesure en phase d’exploitation pour s’approcher des performances réelles, elle n’est pas prise en compte… Face à ce constat, le CSTB lance le projet Cible, en partenariat avec l’Alliance HQE-GBC et le collectif Effinergie. Lire aussi : Valérie Gourvès, nouvelle directrice opérationnelle du CSTB Rassembler l’ensemble des acteurs du bâtiment Cible consiste à mener une réflexion sur l’outil de demain concernant le calcul de la performance environnementale du bâtiment. Afin d’atteindre ce but, l’ensemble des acteurs de la construction seront mis à contribution pour définir une solution numérique. Un cahier des prescriptions sera ainsi établi. Porté sur la structure technique et organisation, il fera le lien entre les différents outils et applications (BIM). Le lancement du projet doit avoir lieu le 4 janvier 2023, au siège du CSTB, à Paris. Cet évènement sera ouvert aux professionnels de la construction qui souhaitent y contribuer. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 177 jours

Unicem : Bilan 2022 et projection 2023

Carole Deneuve, cheffe du service économique et statistique de l’Unicem, et Alain Boisselon, président, lors de leur conférence de fin d’année. [©ACPresse] Il est 9 h 00, au 16bis boulevard Jean Jaurès, à Clichy (92). Dans ses nouveaux locaux, l’Unicem vient de lancer sa traditionnelle conférence de fin d’année. Au programme : bilan de l’année écoulée puis, projection pour la suivante. La première partie n’est pas la plus drôle : le secteur de la construction est mis à mal par plusieurs problématiques. Tout d’abord, la guerre en Ukraine s’est ajoutée à la crise sanitaire. Conséquence directe : la hausse du prix de l’énergie et donc des coûts de production. Le prix du BPE a augmenté de 7 %, autant que la pierre et les granulats. Mais la grande problématique de cette fin d’année 2022 reste le comportement de stockage. Les granulats sont très faciles à conserver et c’est pour cela que les industriels en produisent plus, pour les stocker. Cependant, la demande est faible : « On est en train de passer d’un choc de l’offre à un choc de la demande, affirme Carole Deneuve, cheffe du service économique et statistique de l’Unicem. C’est-à-dire que la demande va être inférieure à l’offre. Et cela pourrait rendre très compliqué le début de l’année 2023. »   2023, la feuille de route d’Unicem en 4 axes Pour l’année à venir, l’Unicem a taillé une feuille de route en 4 axes. Tout d’abord, agir pour la Responsabilité élargie des producteurs (Rep). Elle entrera en vigueur le 1er janvier 2023 et imposera aux producteurs de matériaux français de financer ou d’organiser la gestion des déchets de leurs produits en fin de vie. Cependant, l’Union a jugé trop court le délai de mise en place de la Rep, ne permettant pas aux acteurs de bien s’y préparer. L’Unicem est dans l’attente d’un retour du gouvernement sur cette question, alors que la date butoir se rapproche. Ensuite, l’Unicem continue ses travaux, afin de décarboner totalement ses activités. Pour la partie granulats, elle travaille sur l’électrisation des moteurs de ses machines. L’Unicem espère aussi produire de l’énergie verte et locale, en installant des panneaux solaires sur ses carrières. Pour le secteur du BPE, l’Union mise sur les alternatives au clinker pour décarboner le béton. De même, l’Unicem demande le maintien des dispositifs Pinel et PTZ. Elle milite pour une construction neuve plutôt qu’une rénovation, dès lors que la structure du bâtiment demanderait trop d’investissements. « Parfois, il faut déconstruire pour mieux reconstruire. Surtout que la construction neuve répond à toutes les problématiques pour atteindre la sobriété énergétique », explique Alain Boisselon, président de l’Unicem. Enfin, afin de lutter contre la hausse des prix, l’Unicem continue de miser sur l’économie circulaire avec un objectif d’indépendance minérale. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! Lire aussi : L’Unicem Entreprises Engagées souhaite renforcer ses démarches
Il y a 2 ans et 177 jours

FFB : Coup de froid sur le logement neuf

Olivier Salleron, président de la FFB, ne prévoit pas une bonne année 2023… [©ACPresse] Ce mardi 13 décembre 2022, la FFB a tenu sa traditionnelle conférence de presse annuelle, pour dresser le bilan de l’année écoulée et donner ses perspectives pour 2023. « Malgré le ciel de traîne de la Covid-19 et le déclenchement de la guerre en Ukraine, l’année 2022 ressort comme une bonne période, en termes d’activité pour le bâtiment », explique Olivier Salleron, président de la FFB. En effet, malgré un ralentissement, la Fédération prévoit tout de même une année 2022 en croissance. « Au global, la production du bâtiment s’inscrira, hors effet prix, dans une hausse de 3,7 % en 2022. Même si c’est un peu moins que les 4,3 % initialement prévus en fin d’année dernière… » Du côté des emplois, « le secteur progressera de 15 000 postes en 2022, y compris intérim en équivalent-emplois à temps plein. Après intégration des artisans non-salariés, le bâtiment comptera donc 94 000 actifs de plus qu’en mars 2020 ». Pour le détail, le segment amélioration-entretien aura augmenté de + 2,1 %, soit son niveau d’avant-crise, et de + 5,7 % pour le neuf. Sérieux coup de froid sur le logement neuf Pour ses perspectives 2023, la Fédération décrit un secteur du BTP sur deux autoroutes différentes. Pour les bonnes nouvelles, il faut regarder du côté de l’amélioration-entretien, boostée par la rénovation énergétique. Lire aussi : Bilan des “24 h du Bâtiment” « Pour ce secteur, la FFB s’attend à une progression assez rapide de la rénovation énergétique, à + 2,6 %. Elle sera tirée par MaPrimeRénov’, par un marché des CEE qui s’est redressé. Mais aussi par  le retour du crédit d’impôt pour la rénovation des locaux des TEP-PME et le plan de rénovation des écoles annoncé par le Président de la République lors des “24 h du Bâtiment”. Sans compter le contexte plus favorable aux économies d’énergie. Cette évolution positive se trouverait toutefois contrebalancée par une baisse des travaux non énergétiques, dans un environnement incitant à la prudence. » Des mises en chantier en fort recul Les mauvaises nouvelles viennent du logement neuf. « Le recul des permis de construire se transformerait en effondrement de 21,3 % en 2023. De fait, alors que les ventes reculaient de plus de 30 % dans l’individuel et de près de 15 % dans le collectif en 2022, l’environnement retenu ne permet pas d’envisager une compensation en 2023 », reprend Olivier Salleron. Et de poursuivre : «  L’impact sur les logements mis en chantier s’observerait immédiatement, avec un repli global de 8,6 %, et même de 13,1 % dans l’individuel. Compte tenu des délais de production et du niveau actuel des carnets de commandes, soit un peu plus de 7 mois en moyenne, l’activité associée ne reculerait cependant “que” de 2,6 %. » Un appel à l’aide au gouvernement par la FFB Pas mieux pour le résidentiel neuf qui s’infléchirait à – 0,8 %. « Au global, malgré l’entrée dans la crise du logement neuf, la production bâtiment s’afficherait en petite hausse de 0,7 % en 2023. Ceci, hors effet prix, soit encore 0,8 % en deçà du niveau de 2019. Il faut aussi signaler que la crise du logement neuf pourrait s’installer dans le temps, suite à la chute des permis prévue pour l’année prochaine. » Lire aussi : La FFB revoit à la baisse ses prévisions pour 2023 Cette crise du logement neuf s’expliquerait par plusieurs effets structurels. Telle, la hausse des coûts de construction, avec pour source la crise des matériaux. Tels, l’inflation et le surcoût de la RE 2020. Tel, le difficile accès au crédit des primo-accédants, la FFB évoquant un taux de refus de crédit actuel établi à 60 %. C’est pourquoi la Fédération appeler au rétablissement du PTZ à 40 % dans le neuf pour les zones B2 et C. Tout comme la mise en place d’un crédit d’impôt absorbant le surcoût de la RE 2020. Ou encore, le maintien du dispositif Pinel et un assouplissement du Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 177 jours

Rector Lesage obtient le label engagé Afnor RSE

La nomination de Cécile Roland, directrice RSE de Rector Lesage, reflète la volonté du groupe de placer la RSE au cœur de sa stratégie. [©Rector Lesage] Fin 2020, Rector Lesage a créé son comité de pilotage RSE1, afin de répondre aux enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux. Quatre axes ont été définis. Tout d’abord, décarboner les produits et les activités. Puis, préserver la biodiversité. Ensuite, favoriser le bien-être au travail. Et enfin, maintenir son ancrage territorial. Accompagné par l’expertise du Cérib, le groupe industriel du béton rédige son premier rapport RSE en juin 2022. Grâce à cette aide, il vient d’obtenir le label engagé RSE, au niveau confirmé, de l’Afnor. Une distinction qui récompense son engagement dans cette démarche de responsabilité. C’est le premier industriel à s’inscrire dans cette voie. Lire aussi : Rector : Décarbonation à tous les niveaux Se préparer aux enjeux de la CSRD « Ce label reflète le niveau d’avancement de notre groupe sur tous ses axes RSE, déclare Cécile Roland, nouvelle directrice RSE de Rector Lesage. Son obtention n’est pas une fin en soi. Nous agissons avec humilité et détermination et nous ne comptons pas nous arrêter là. » En effet, Rector Lesage se prépare aux enjeux de la nouvelle directive CSRD2 qui sera rendue obligatoire à l’horizon 2030. Par conséquent, toutes les grosses entreprises devront déployer une stratégie RSE et déclarer leur performance en la matière. 1La responsabilité sociétale des entreprises se définit comme la contribution volontaire des entreprises aux enjeux du développement durable. 2La Corporate Sustainability Reporting Directive est une directive européenne signée le 21 juin 2022. Elle fixe de nouvelles normes et obligations de reporting extra-financier pour 50 000 entreprises en Europe. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !