Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3871 résultats)
Il y a 2 ans et 125 jours

Sylvie Lupien : Soupçon de ciment et d’argent

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le magazine. Avec un soupçon de ciment coloré et une bonne dose d’argent ou d’or, les bijoux de la Québécoise Sylvie Lupien pétillent tout comme sa conceptrice. [©Sylvie Lupien] Il est 12 h 00, heure de Montréal et 18 h 00, heure de Paris, lorsque nous prenons contact avec la joaillière Sylvie Lupien. Nous découvrons tout son joyeux univers, qui pourrait très bien se résumer à la chanson “Comic strip”, interprétée par Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg, en 1967. « Viens petite fille, dans mon comic strip. Viens faire des bull’s, viens faire des wip ! Des clip ! Crap ! Des bang ! Des vlop ! Et des zip ! Shebam ! Pow ! Blop ! Whizz ! » Ludiques, colorés, enjoués, pétillants et novateurs, ses bijoux sortent vraiment de l’ordinaire. Les Françaises en raffolent ! En effet, Sylvie Lupien cherche sans cesse à repousser les frontières de la joaillerie traditionnelle. Au sein de ses créations, on trouve des fleurs, des formes arrondies, des bijoux-sculptures, des bijoux-mobiles… « Je n’aime pas ce qui est classique. J’aime explorer de nouvelles matières, de nouvelles textures, de nouvelles formes, de nouveaux coloris. Les Françaises en raffolent ! », s’exclame Sylvie Lupien. Cette dernière partage son temps entre la production de pièces de petite série et celle d’œuvres de recherche, plus sculpturales. Elle est aussi passionnée de photographie… « Ces dernières années, j’ai participé à plusieurs ateliers de formation et cette approche m’a plongée dans la création. Mais cette fois, par le biais de la peinture, puis de la photographie. Me voilà donc emportée par la couleur et habitée par le souci d’intégrer de nouvelles matières dans mes bijoux. » Lire aussi : Aurélien Grudzien : Comme une ode au ciment… Subtile mélange de ciment et de couleur « Je n’aime pas ce qui est classique. J’aime explorer de nouvelles matières, de nouvelles textures, de nouvelles formes, de nouveaux coloris. Les Françaises en raffolent ! », s’exclame Sylvie Lupien. [©Sylvie Lupien] C’est comme cela que Sylvie Lupien a introduit le ciment coloré dans ses créations. « J’ai pensé au ciment comme médium. Le colorer et lui faire place honorable sur le bijou, lui faire côtoyer or ou argent, pierres fines ou perles, laiton ou cuivre… Jouer avec des formes, des grains, des couleurs. Oser le contraste. Car, si dans la joaillerie, j’apprécie la rigueur, le bel ouvrage et le caractère noble des matériaux, j’aime aussi cette idée d’introduire quelques touches de fantaisie, de folie. » Dès lors, elle s’est rendue compte combien elle était enthousiaste à la vue de ce mélange de matières, de styles, d’approches… Muriel Carbonnet Retrouvez les créations de Sylvie Lupien sur son site Article paru dans le n°104 de Béton[s] le magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Vinci Construction France : Le tunnel qui mène au bas carbone

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Le tunnel du lot de la ligne 18 doit se développer sur une longueur de 11,8 km. [©ACPresse] A l’horizon 2030, il faudra à peine 30 mn pour rejoindre l’aéroport d’Orly depuis Versailles. Telle est la promesse de la ligne 18 du métro francilien réalisé dans le cadre du programme “Grand Paris Express”. Cette liaison de métro automatique de 35 km à terme, dont 14 km en aérien sur un viaduc1, est pour le moment en construction, entre Orly et le Plateau de Saclay (CEA Saint-Aubin). Soit un premier tronçon dont la mise en service doit intervenir de manière progressive entre 2026 et 2027… La réalisation de la section Saclay – Versailles (6,7 km de tunnel), elle, démarre tout juste, pour une ouverture au trafic prévue en 2030. In fine, pas moins de 110 000 voyageurs devraient emprunter chaque jour cet axe nouveau, sans se douter à quel point il intègre des innovations majeures, en termes de matériaux de construction ! « En lançant le projet de construction de la ligne 18, la Société du Grand Paris, maître d’ouvrage de l’opération, a estimé à 352 000 t l’empreinte Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Arabie saoudite : Une impression 3D béton sous 40 °C

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. En Arabie saoudite, l’entreprise Dal Al Arkan a imprimé une villa de 345 m2 entre août et juillet 2022, sous une température extérieure de40° C. [©Cobod] En 2021, le coffreur Peri avait imprimé un immeuble de trois étages en Allemagne. Ce qui était un record pour l’époque, mais battu depuis par compagnie immobilière saoudienne Dar Al Arkan. A Shams Al Riyadh dans le Nord-Ouest de la capitale Ryhad, une construction de 9,90 m de haut a été imprimée in situ ! Cette villa de trois étages, d’une superficie de 345 m2, fait partie d’un projet de développement de 12 Mm2, porté par la Vision 2030 du pays. L’impression a été réalisée à l’aide de la solution développée par le Danois Cobod. La villa saoudienne s’appuie sur un premier étage de 130 m2, qui inclut un spacieux hall d’entrée et plusieurs pièces à vivre, ainsi qu’une cuisine et deux toilettes. Le deuxième étage compte trois chambres, deux salles de bains, un salon et un balcon. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Du polystyrène dans le béton

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Réalisation d’une chape en béton allégée. [©Edilteco] On ne le sait pas toujours, mais le styrène est un résidu de raffinage du pétrole. Il donne naissance au polystyrène par polymérisation et peut être expansé à la vapeur d’eau dans un Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Alkern : Le miscanthus, granulat alternatif pour bétons

Alkern va produire des blocs de miscanthus à partir de 2024. [©Alkern] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Le miscanthus est un plante herbacée vivace de la famille des graminées, originaire d’Afrique et d’Asie du sud. Aussi appelée “herbe à éléphant”, elle a la faculté de repousser tous les ans à partir des mêmes racines, sans resemage. Et d’être résistante aux fortes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne chaleur et économe en eau. C’est pourquoi, elle rencontre un intérêt croissant dans nombres de secteurs : agricole, industriel ou de l’énergie. Fin 2017, l’Union européenne a même reconnu les cultures de miscanthus comme pouvant faire partie des surfaces d’intérêt écologique de la politique agricole commune… Ce n’est donc pas par hasard qu’un industriel du béton comme Alkern s’y soit intéressé. « Dès 2012, nous avons co-fondé l’association Biomis G3 pour étudier les possibilités d’usage du miscanthus dans notre secteur d’activité », souligne Christophe Lagrange, directeur “offres” d’Alkern. La démarche s’inscrit aussi dans la politique de l’entreprise, qui vise, comme le rappelle son précepte, à “Innover durablement ensemble”. Une des manières de le faire est de proposer une économie de la ressource pour aller vers des produits différents. A ce titre, le miscanthus constitue une matière première intéressante. Ainsi, à partir du début de l’année 2024, Alkern compte proposer une première gamme de blocs béton allégé à base de miscanthus. « Il s’agira d’un bloc non structurel destiné au remplissage de murs autour d’une ossature porteuse ». Sur le site d’une carrière Lafarge Même si ses dimensions ne sont pas encore calées, ce bloc plein devrait mesurer entre 50 et 50 cm de long, entre 30 et 35 cm de large, pour une hauteur de 20 cm. Il sera aussi rectifié pour permettre une pose à joint mince. Côté liant, les choses sont encore à l’étape de la R&D. « Avec un R de 3 m².K/W, notre bloc offre une belle performance thermique. Il est perspirant et est considéré comme un puits de carbone de par l’utilisation du miscanthus. » Le nouveau bloc doit être produit au sein de l’usine de Bernières-sur-Seine (27), implantée au cœur de la carrière appartenant à Lafarge Granulats. « Nous sommes en train de reconstruire cette usine dans son ensemble car l’ancien bâtiment n’est pas adapté à nos futurs besoins, tant en termes de capacités de production que de taille pour accueillir les nouveaux outils de production », confirme Christophe Lagrange. La proximité de la ressource végétale a aussi dicté le choix de ce site particulier. Enfin l’usine dispose d’un port compatible avec les transports par voie d’eau et il est proches des agglomérations rouennaise et parisienne. Sans compter la présence de collaborateurs qui maîtrise le process industriel du béton.  Pour Alkern, ce bloc biosourcé ne représente qu’une première étape. Même si à date, aucune diversification de l’offre n’est actée, il est évident que l’industriel n’en restera pas là. Et sachant qu’il a la volonté de développer la filière du miscanthus… Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Agresta ou la parole d’un précurseur

Bloc réalisé à partir de granulats de bois Agreslith-C d’Agresta. [©ACPresse] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Ce n’est pas compliqué, le granulat de bois pour béton, Daniel Gaillard en propose depuis 1977, à travers sa société Agresta ! La mixité des matériaux est donc un sujet qu’il Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 126 jours

ABD System

ABD System développe des réservations pour fondations en béton de lin. [©ABD System] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Dans le domaine des fondations spéciales, la réalisation de pieux sécants nécessite, pour commencer, le coulage d’une murette de guide en béton. Celui-ci intègre des réservations circulaires, du même diamètre que la tarière de forage. Aujourd’hui, c’est un cylindre en polystyrène qui Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 126 jours

Lafarge France lance Concrete Direct

Lafarge France lance Concrete Direct. [©Lafarge] Lafarge France lance une nouvelle plate-forme digitale et mobile. Baptisée Concrete Direct, elle vise à aider les clients à gérer leurs commandes de béton prêt à l’emploi sur chantier. L’application a déjà fait ses preuves aux Etats-Unis, en Allemagne et au Royaume-Uni. Directement disponible sur PC et smartphone, elle change le quotidien des clients de Lafarge. En effet, ce nouveau service permet de commander du BPE et d’en assurer le suivi et la gestion 7 j/7 et 24 h/24. Pendant toutes ces étapes, le client reçoit des notifications en temps réel, afin d’être au courant du cheminement exact de sa commande. Concrete Direct contient aussi une messagerie. Celle-ci permet de contacter instantanément le centraliste. Le client peut ainsi modifier sa commande, ajouter un retardateur, un accélérateur ou des fibres. Une application béton facile d’utilisation Lire aussi : Lafarge lance le premier CEM VI certifié en France Concrete Direct a 3 maîtres mots : disponibilité, clarté et lisibilité. Le client peut très simplement suivre sa commande. Comme pour les taxis, il retrouve en direct la position de son camion-toupie, afin d’anticiper au mieux son arrivée sur le chantier. L’application présente des avantages concrets pour les clients, mais aussi pour les centralistes. Pour ces derniers, passer par la plate-forme simplifie leurs tâches et permet de gagner du temps. « Concrete Direct, c’est aussi une source de progrès environnemental : en n’imprimant plus les bons de livraison, en réduisant les mails et les appels téléphoniques, cela permet de réduire l’impact d’une commande, tout en assurant un meilleur service à nos clients », conclut Caroline Baudelot Regentel, responsable marketing et performance commerciale Sud Est – Lafarge Bétons. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

Master Builders Solutions décortique la norme béton

Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Entre l’arrivée de le RE 2020, la nécessité de réduire l’impact environnemental de la construction et l’envie de s’inscrire dans une économie davantage circulaire, le monde de la construction évolue. Parfois très vite… De matière naturelle, le béton s’engage sur cette voie plus vertueuse. Mais pour avancer, il doit faire évoluer son encadrement normatif en France. C’est ainsi qu’en novembre 2022, le Complément National NF EN 206+A2/CN est entré en vigueur. Cette révision introduit des changements majeurs concernant les compositions des ciments et des bétons. Elle prend en compte de nouvelles technologies et le déploiement de méthodes spécifiques. Lire aussi : Le béton, grand oublié de la transition écologique Conscient de la force de ce Complément National, l’adjuvantier Master Builders Solutions a souhaité développer, de manière neutre, les implications pratiques pour les professionnels. En premier lieu, la norme béton NF EN 206-A2 devient NF EN 206-A2/CN. Ce Complément National qu’elle introduit précise les dispositions nationales complémentaires à la norme à respecter lorsque les articles de cette norme l’autorisent. Il s’applique lorsque le lieu d’utilisation du béton est la France pour les bétons destinés aux structures coulées en place. Mais aussi aux structures ou éléments de structures préfabriquées pour bâtiments et structures de génie civil. Il réunit les exigences applicables aux composants du béton à ses propriétés à ses spécifications jusqu’aux procédures de contrôle d’évaluation et de conformité et de livraison de ce matériau. L’arrivée des nouveaux types de ciments La nouvelle norme béton, décryptée par Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Toutefois, ce nouveau texte inclut une optique environnementale, en ouvrant la voie à de nouvelles solutions ou compositions du béton faisant notamment la part belle à l’économie circulaire. Celle-ci ouvre trois grands axes nouveaux principaux. Tout d’abord, l’intégration et la reconnaissance de nouveaux ciments, à l’image des CEM II/C-M et des CEM-VI. Très compétitifs pour une réduction de l’empreinte carbone, ces ciments ont déjà été intégrés dans la norme NF EN 197-5. De type ternaires, à la teneur en clinker très limitée, ils sont désormais autorisés dans les formulations de béton. C’est une reconnaissance précieuse pour les nouveaux projets constructifs impliquant une réduction d’émission de CO2 considérable d’ici 2030. Lire aussi : Le cimentier 2170 fait évoluer la norme prEN 197-6 Ensuite, ce texte permet l’incorporation de matériaux recyclés. Exemples probants de l’économie circulaire, les granulats issus du recyclage n’étaient admis qu’en faible proportion (10 à 20 % au maximum), tandis que les sables recyclés étaient, eux, proscrits ! Le Complément National agrée désormais leur utilisation, permettant une substitution pouvant aller jusqu’à 20 % de sables et 60 % de granulats recyclés, sans nécessité d’une approche performantielle. Les conclusions du travail du Projet National RecyBéton sont ainsi intégrées dans la norme… Lire aussi : Projet national Recybéton : L’usage des granulats recyclés dans les bétons Le travail de Perfdub passe dans le cadre normatif A ce propos, l’approche performantielle, prédictive et récente, permet d’aller beaucoup plus loin dans la recherche de solutions vertueuses. Il s’agit d’une méthode de spécification, d’évaluation et de justification de la durabilité des structures en béton armé ou précontraint. Elle permet de déterminer des bétons à durée de vie spécifiques basés sur différents indicateurs de durabilité. Cette intégration permettra de faire évoluer la composition et la nature des composants des bétons vers des niveaux encore moins émetteurs en CO2. Le Projet National Perfdub, en cours de restitution, voit aussi son travail passer dans le cadre normatif. L’apparition de nouveaux ciments, reconnus par le Complément National, implique de nouvelles approches et méthodes de travail. « Il faut prendre en compte les caractéristiques de ces ciments en pleine évolution. Le rôle des adjuvants devient encore plus essentiel et va devoir faciliter l’emploi des ciments dits “bas carbone” », explique Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group. Et Thibault Guédon, chef de marché BPE, de poursuivre : « En effet, ces ciments peuvent avoir parfois un impact sur la maniabilité, sur la viscosité du matériau en raison des additions. En synergie, les adjuvants vont apporter une maniabilité accrue et permettre d’atteindre les résistances nécessaires à jeune âge et à 28 j. » Le cas des ciments à plus de 50 % de laitier Cette ouverture sur le marché s’inscrit dans la lignée des recherches menées par Master Builders Solutions. En particulier, sur les granulats et les sables difficiles, qui avaient abouti à l’offre d’une nouvelle technologie MasterSuna. Un modèle pour résoudre les difficultés ou complexifications de formulation sur la défloculation à l’initial et pour le maintien de maniabilité. Face à ce nouveau texte, les adjuvantiers vont devoir répondre à des caractéristiques propres à ces nouveaux matériaux, par des technologies adaptées. En parallèle, ils vont devoir accompagner les professionnels du béton pour gérer l’impact de la mise en place de cette nouvelle norme. Le rôle de Master Builders Solutions se verra donc encore enrichi. Et le laboratoire d’applications et de recherche expérimentale de Lisses (91), adapté grâce à de nouveaux process, sera à l’écoute des producteurs de béton et des formulateurs. Une norme indispensable et attendue Le Complément National introduit une subtilité et une distinction entre les CEM III/A à plus ou moins 50 % de laitier moulu de hauts fourneaux. Dans le cas des CEM III contenant plus de 50 % de laitier, les règles de formulation béton à suivre seront celles du tableau NA.F.3 /NA.F.4. Autrement dit, le ratio E/C et les classes de résistances seront sensiblement plus restrictives pour certaines classes d’exposition (XC3, XC4, XD1, XF1). De la même manière, le nouveau texte ouvre la voie aux ciments LC3 ternaires intégrant l’argile calcinée. Ces additions sont connues pour avoir des demandes en eau importantes et impliquer l’utilisation d’adjuvants spécifiques. Cette nouvelle orientation de la norme va faciliter l’application de la RE 2020. Les prescripteurs pourront plus facilement atteindre ces objectifs et répondre ainsi aux demandes accrues des maîtres d’ouvrage publics ou privés. Ils vont désormais pouvoir incorporer des matériaux issus de l’économie circulaire, dans le cadre normatif. Cette garantie de produits normés va de surcroît simplifier l’assurabilité des ouvrages pour le maître d’ouvrage. [Inter 5] Augmenter la performance des bétons « Cette évolution de la norme était indispensable et attendue », reprend Christophe Landry. La mission de la construction aujourd’hui s’est élargie, avec des objectifs environnementaux précis. En particulier, une baisse conséquente des émissions de CO2. La raréfaction des sables alluvionnaires avait déjà modifié les approvisionnements bien avant l’entrée en vigueur de la RE 2020, ce qu’avait anticipé Master Builders Solutions. Lire aussi : Impulse Partners : “Innover constitue un droit à continuer à construire” Aujourd’hui, face à ces nouveaux ciments ternaires et à la reconnaissance de l’approche performantielle, deux axes sont poursuivis par l’adjuvantier. En premier, faciliter au maximum l’utilisation de ces nouveaux ciments. Ceci, « en répondant aux pertes de maniabilité et de résistance à jeune âge ou à 28 j induites par ces nouvelles compositions. Mais aussi en intégrant l’accentuation de celles-ci en hiver », détaille Christophe Landry. Et, en second, augmenter les performances de ces bétons. Un guide sur les réductions de CO2 Il est donc nécessaire d’intégrer des adjuvants à long maintien de maniabilité, rôle du tout nouveau MasterSure 1400 (mis sur le marché avant l’entrée en vigueur de ce texte). Il faut aussi pallier les pertes de performances du béton pouvant, à terme, générer des pathologies (impact du rapport E/C). Le MasterX-Seed STE 54 est déjà là pour remédier à ces pertes… « La variabilité de nature et de pourcentage des additions va complexifier la formulation de ces bétons, explique Thibault Guédon. Master Builders Solutions est présent pour accompagner les formulateurs, mettant à disposition ses équipes sur le terrain et son laboratoire. » En amont, afin de faciliter l’approche des professionnels, Master Builders Solutions a publié un guide sur les réductions des émissions de CO2 du béton. Il s’agit d’une véritable stratégie d’approche vertueuse qui réfléchit sur les apports nécessaires à la profession et qui propose des outils dédiés. « Cette stratégie s’ancre sur la technologie et les performances, conclut Christophe Landry. La réactivité conduit cette stratégie, tant dans la proposition de produits pertinents que dans l’accompagnement, qui sont les clefs de résultats efficients. » A ce niveau, un outil tel que D-Carbon est déjà à la disposition des commerciaux pour calculer le bilan carbone des formules bétons… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

Imer, distributeur exclusif de Sermac en France

Imer assure désormais la distribution exclusive des pompes à béton Sermac sur le territoire français et les Dom-Tom. [©ACPresse] Depuis le 1er février 2023, Imer France assure la distribution exclusive des pompes à béton de la marque italienne Sermac. L’accord concerne aussi bien le territoire national que les Dom-Tom. Jusqu’à présent, c’est la société belge Bonneux qui assurait cette représentativité. Ce rapprochement commercial permet à la division Béton d’Imer France de lancer immédiatement, sur le marché français, une gamme complète de matériels. D’une part, des pompes à béton automotrices pourvues de flèches allant de 20 m à 65 m. D’autre part, des malaxeurs-pompes avec flèches de 24 à 33 m. Tous ces matériels sont produits en Italie, à Cesano Maderno, près de Milan. Là où est basé Sermac depuis 1989, année de sa fondation. Lire aussi : Imer : « Nos gammes de pompes à béton s’enrichissent en 2021 et 2022 » Les malaxeurs-pompes Sermac auront donc toute leur place dans la gamme Imer. Et pour ce qui est des matériels, ils seront distribués sous le nom de Sermac associé à celui d’Imer. La marque confirme ainsi son statut de “full-liner du béton”, en proposant une offre complète pour la production, le transport et la mise en œuvre du béton. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

SMABTP fait peau neuve

SMABTP arbore un nouveau logo, avec une signature et une clef de voûte. [©SMABTP] SMABTP fait peau neuve. Le groupe d’assurance spécialiste des secteurs de la construction et de l’immobilier revoit toute son identité. Nouveau logo, nouvel univers visuel et nouvelle signature “Votre assureur partenaire” symbolisent la mission de SMABTP. Les valeurs d’écoute, de solidarité et d’engagement dans ses actions sont ainsi mises en lumière. De son côté, le logo arbore la signature, mais aussi une clef de voûte. « C’est grâce à elle que tiennent les édifices. C’est aussi un trait d’union. Elle évoque la solidité, la fiabilité, l’expertise et le partenariat », explique Jean-Philippe Chavatte, président de Carré Noir, filiale du groupe Publicis qui a conçu le logo. Lire aussi : Jacques Chanut, nouveau président de SMABTP Une marque unique pour plus de lisibilité SMABTP devient aussi une marque unique, commune à l’ensemble de ses sociétés. Elle regroupe désormais SMABTP, SMAvie BTP et SMA SA. « Cette marque unique accroît notre lisibilité et traduit la volonté du groupe d’unir ses forces au service de ses clients. Elle capitalise sur les codes historiques des marques du groupe. Tout en réaffirmant nos gènes issus du BTP », analyse Pierre Esparbes, directeur général du groupe. Pour accompagner cette mise à jour, SMABTP lance son nouveau site Internet. Plus ergonomique, il permet à l’utilisateur de trouver rapidement l’information, dont il a besoin. Afin d’apporter un maximum de visibilité, il est disponible sur tous les supports. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

Longévité du béton romain : Le secret dévoilé

Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton romain non armé du monde et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. [©Architas/Wikipédia] Si on a l’impression que le béton est une invention moderne depuis l’industrialisation du ciment au cours du XIXe siècle, il est en réalité un “vieux” matériau de l’architecture. Plus de 2 000 ans après leur édification, certaines structures antiques sont d’ailleurs là pour attester de l’efficacité de ce matériau. Les anciens Romains étaient des maîtres de l’ingénierie, construisant de vastes réseaux de routes, d’aqueducs, de ports et de bâtiments massifs. Dont les vestiges ont survécu pendant deux millénaires. Nombre de ces structures ont été construites en béton. Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton non armé du monde. Et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. Et certains aqueducs romains antiques fournissent encore de l’eau à Rome aujourd’hui. Mais quel est le secret de ce béton ? L’importance des clastes de chaux C’est grâce aux recherches d’une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et d’ingénieurs européens, que le secret de la longévité est enfin dévoilé. Les scientifiques ont analysé des fragments prélevés sur un mur d’enceinte antique de la ville de Privernum, en Italie, à l’aide de techniques d’imagerie perfectionnées (spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie). Les chercheurs ont ainsi pu établir une précision sur la composition du béton romain. Et se sont en particulier arrêtés sur des éclats de minéraux blancs appelés “clastes de chaux”. Jusqu’alors, les experts pensaient que leur présence était due à un mortier bâclé ou de mauvaise qualité. Les analyses spectroscopiques ont permis de comprendre que ces clastes de chaux étaient en carbonate de calcium. Des tests réalisés Un composé qui ne se forme qu’à des températures extrêmes. Cet élément leur a permis de déduire la différence majeure entre béton moderne et béton romain. Ce dernier, opus caementicium, était mélangé directement avec de la chaux vive, c’est-à-dire à de très hautes températures. Les chercheurs ont fait le test. Ils ont fabriqué un bloc de béton à base de pierre volcanique et de chaux vive, l’ont fissuré et ont fait couler de l’eau dessus. En deux semaines, les fissures étaient complètement cicatrisées et l’eau ne s’infiltrait plus, contrairement à ce qui se passerait avec du béton classique. Les résultats de l’étude ont été publiées dans le journal “Science Advances”, le 6 janvier 2023. Un article intitulé “Riddle solved: Why was Roman concrete so durable?” (Enigme résolue : pourquoi le béton romain était si solide ?), publié sur le site du MIT, résume les faits. Lire aussi : Panthéon de Rome : La plus somptueuse des coupoles en béton Dmat, la start-up italienne qui développe un béton “vert ” C’est en s’inspirant de la Rome antique que la start-up Dmat, fondée en 2021 à Udine (Nord-Est de l’Italie), s’apprête à commercialiser un “béton vert” à l’extraordinaire capacité auto-génératrice. Un produit qui devrait s’avérer révolutionnaire. Son marché représente actuellement environ 650 Md€ avec une production annuelle de 33 Mdt, soit 18 fois le poids de la production globale d’acier. Ce matériau ne peut aussi pas se soustraire aux défis du changement climatique, puisque la filière qui en est à l’origine cause 7 à 8 % des émissions mondiales de CO2. « La production de notre béton affiche une réduction nette des émissions de CO2 allant jusqu’à 20 % par rapport à un béton de référence, avec des performances identiques », conclut Nicolas Chanut, co-fondateur de Damt, avec Paolo Sabatini et Carlo Andrea Guatterini. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

Cem’In’Eu vise les 400 000 t en 2023

Le nouveau wagon utilisé par Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] En ce début 2023, Cem’In’Eu entre dans sa cinquième année d’activité, avec les ouvertures intervenues successivement d’Aliénor Ciments (Tonneins – 47) en 2018 et de Rhône Ciments (Portes-lès-Valence – 26) en 2021. L’industriel compte plus de 300 clients livrés et 330 000 t de ciment ont été produites en 2022. Le développement du groupe est soutenu par la rapide croissance de Rhône Ciments, permettant de répondre aux besoins des clients du quart Sud-Est de la France. En 2023, Cem’In’Eu vise un objectif de 400 000 t de ciment commercialisées. Lire aussi : Rhône Ciments monte en puissance « L’année 2022 a été exigeante pour nos clients et nos équipes, déclare Fabien Charbonnel, directeur général Cem’In’Eu. En interne, malgré un contexte difficile, la mobilisation et la réactivité de chacun nous a permis de respecter notre plan de marche et d’atteindre nos objectifs de production. L’année 2023 sera riche de nouveaux challenges et, en particulier, la commercialisation prochaine de ciments bas carbone à base de pouzzolane locale. Nous avons à cœur de contribuer toujours plus à la décarbonation de l’industrie du bâtiment. » De 50 000 t à 150 000 t en 18 mois pour Rhône Ciments Depuis le début de cette aventure industrielle, Cem’In’Eu s’appuie sur une politique d’innovation en matière de process et de logistique. Mais aussi de portefeuille produits, alliée à une démarche de certification et de normalisation bien anticipée. Autant d’éléments qui ont permis de dépasser l’objectif des 300 000 t pour atteindre 330 000 t vendues. Cas particulier sur le marché du ciment, Cem’In’Eu réalise de très bonnes performances de ventes en sac, grâce à une offre inédite en France de ciment en sac étanche, en polyéthylène recyclé et recyclable. Lire aussi : Cem’In’Eu : Un nouveau sac en polyéthylène Le groupe Cem’In’Eu compte aujourd’hui un effectif total de 80 salariés et continue à recruter sur l’ensemble de ses sites pour accompagner sa croissance. En parallèle, le développement de Rhône Ciments s’est illustré par un triplement de la production, passant en 18 mois de 50 000 t à 150 000 t. Cet excellent démarrage s’explique par l’anticipation des calendriers de normalisation : tous les ciments produits par le site ayant été certifiés NF en mars et avril 2022. Le développement du site de Portes-lès-Valence engendre des besoins en recrutement non encore pourvus à 100 %… Une ambition à 400 000 t pour 2023 Les capacités de stockage de la base logistique Cem’in’Log sur le port de Sète (34) sont passées de 25 000 t à 60 000 t en 2022. Cette base de réception des livraisons maritimes de clinker expédie ensuite la matière première par rail vers les deux sites de production de Tonneins et de Portes-lès-Valence. Et s’inscrit ainsi dans la stratégie de logistique bas carbone de Cem’In’Eu. En parallèle, en fin d’année 2022, l’introduction des Innowagons a permis d’augmenter la charge utile des trains de + 21 % et donc de réduire les GES de 13 %. Le choix du transport ferroviaire permet d’éviter près de 12 000 trajets en camions chaque année. Donc d’émettre trois fois moins de GES qu’un dispositif routier, soit une économie d’environ 5 000 t eq.CO2/an. Lire aussi : Cem’In’Eu : Nouveaux wagons Enfin, Cem’In’Eu confirme ses ambitions de développement pour le prochain exercice avec un objectif de production de 400 000 t de ciment. Pour ce faire, le groupe poursuit la montée en puissance du site Rhône Ciments, en particulier grâce au renforcement des équipes de production. Son modèle de production agile lui permettra de se renforcer sur le marché des ciments bas carbone à base de pouzzolane, avec des lancements produits à venir au cours de l’année. Le chantier d’agrandissement et d’amélioration de l’unité industrielle de Rhône Ciments est en cours et la ligne sera opérationnelle en mars 2023. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 128 jours

Edilteco France publie deux chartes et 8 fiches applicatives

Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. [©Edilteco] Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise entend guider ses clients dans les bonnes pratiques à adopter. Ainsi, deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes planchers et isolants pour façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques. A destination des centrales à béton Et pour les centrales à béton, c’est une série de 8 fiches applicatives qui vient d’être publiée à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité. Ces fiches sont déclinées pour les gammes Politherm Fein, Politherm R et Polys Béto selon le type d’application. A savoir, chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture. [Pour Béton] Lire aussi : Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’application, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications. Mais aussi les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement. Une réponse aux clients C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées, afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Il est évident que la fabrication d’un mortier léger est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants, afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont très complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie. Ces fiches sont disponibles ici et là. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 128 jours

Eurobridge : Sécurité et entretien des ponts en Europe

Au programme de la conférence Eurobridge : l’entretien et la sécurité des ponts en Europe. [©Eurobridge] C’est à Bruxelles, en Belgique qu’aura lieu la conférence Eurobridge. Elle se déroulera le 14 avril 2023 à l’hôtel Le Plaza et portera sur l’entretien et la sécurité des ponts en Europe. Elle visera à mettre en avant les questions relatives à l’entretien des ouvrages d’art dans le respect de l’environnement. Ceci, avec un œil sur l’empreinte carbone, ainsi que sur la formation des nouveaux professionnels du secteur. Un événement placé sous la présidence de la Fédération de l’industrie européenne de la construction (Fiec). Trois tables rondes ponctuent la journée Les ponts sont les éléments essentiels des voies de communication, routières ou ferroviaires. Il est indispensable de les maintenir en bon état de service. La maintenance d’un pont commence toujours par la parfaite connaissance de son état. Le diagnostic permet d’établir les actions correctives. Les méthodes de surveillance et de gestions sont diverses. Trois tables rondes jalonneront cette journée de conférence avec, en filigrane, toutes ces problématiques. Lire aussi : L’AFGC met à l’honneur le pont de Plougastel – Albert Louppe Dans la 1e table ronde – L’inspection et la gestion des ponts – seront présentés quelques exemples originaux mis en place dans certains pays d’Europe. La 2e table ronde – Les impacts environnementaux des ponts – proposera de développer le Green Deal1. Et l’objectif de la neutralité carbone en 2050, en particulier dans le domaine de la maintenance des ponts. Des ouvrages mal entretenus, par les perturbations de trafic que provoque leur réparation ou leur reconstruction, sont des sources de dépense d’énergie et d’émission de carbone très importantes. Le bon entretien courant des ponts participe aussi à l’économie d’énergie et à la préservation des ressources. Ainsi, seront mis en avant des exemples de démarches originales, engagées par les gestionnaires de certains pays, afin de participer à l’objectif fixé pour 2050. La formation à de nouveaux métiers Dans la 3e table ronde – De nouveaux métiers pour la gestion des ponts – sera exposée la maintenance des ponts, par la surveillance, le diagnostic et l’études des actions correctives qu’elle génère. Cela va faire émerger de nouveaux métiers nouveaux. Il faudra adapter les formations actuelles des techniciens et ingénieurs vers ces nouvelles spécialités. L’apprentissage va sans aucun doute devenir la règle, dans tous les métiers. Grâce au dispositif Erasmus-Pro, les jeunes apprentis vont pouvoir, comme les étudiants, compléter leurs études à l’étranger. Quelques témoignages sur différents pays seront présentés. La recherche de nouveaux matériaux et de nouvelles techniques nécessite des personnels adaptés et compétents. La formation est un élément essentiel pour permettre cette recherche et la mise en œuvre de ces techniques. C’est en particulier pour les ponts, l’assurance d’une bonne gestion et de la pérennité des ouvrages. 1Le Green Deal européen est un ensemble d’initiatives politiques en faveur de l’écologie s’étalant sur un peu moins de 30 ans et conduit par un objectif principal de neutralité carbone à horizon 2050. Détails de l’inscription ici Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 129 jours

Schöck lance une saga vidéo à destination du grand public

Le deuxième volet de la sage vidéo de Schöck se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. [©Schöck] Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre. Ceci, à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques. Une saga vidéo découpée en 4 saisons et 16 épisodes, en cours de diffusion cette automne sur sa chaîne YouTube. « Il s’agit là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique, afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain », peut-on lire dans le communiqué de la marque. En effet, à l’heure des premières constructions RE 2020 et alors que les prix de l’énergie connaissent une hausse record. Il s’avère primordial de s’interroger sur la manière la plus efficace de s’assurer un habitat confortable, économique et pérenne. Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck. Avec trois nouveaux opus : “La grande évasion énergétique”, “Etat des lieux, première partie : ça va chauffer !”, “Etat des lieux, seconde partie : un combat inégal”. Lire aussi : Schöck France obtient une Fdes pour l’ensemble de la gamme Rutherma En direction des locataires et des propriétaires Dans les premiers épisodes, Schöck expliquait en quoi une enveloppe de bâtiment homogène constituait la garantie d’un choix gagnant pour toute la vie du logement. Tant pour le propriétaire que pour l’occupant. La saison 2, elle, détaille les impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Pour Schöck, il s’agit d’insuffler une véritable dynamique en direction des locataires ou des propriétaires. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et donnait le rôle principal aux passoires thermique. Le deuxième volet se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d’acquérir un logement. Tout en sensibilisant aussi associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques … 14 % du budget des Français S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le groupe de travail sur la qualité de l’enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Energivie, en 2018, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14 % du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile, si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans). Ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe. En particulier, par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clef : économies d’énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d’achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. Découvrez les épisodes de la saison 1  et de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.  Schöck clôture sa saga vidéo par deux dernières saisons des plus captivantes Après avoir mis en exergue les travers (ou limites) de la construction des logements en France et les impacts économiques d’une enveloppe non homogène, ce sont aux conséquences sanitaires que Schöck dédie sa saison 3. Quant à la saison 4, elle explicite, sans concession, les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de l’actuelle réglementation thermique. Et toujours en synopsis : la volonté d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables afin que les constructions neuves ne soient pas les rénovations de demain. Au rang des remèdes efficaces. Les rupteurs de ponts thermiques linéiques entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon en ITI, de même que le traitement des ponts thermiques des balcons en ITE. La saison 4 Enfin, les 4 épisodes de la saison 4 , auxquels se greffent un épilogue , donnent les rôles principaux à la RT 2012 et la RE 2020, mais à l’opposé des héros que ces réglementations souhaiteraient incarner.   En effet, soulignant la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE, pourtant seule garante d’une enveloppe parfaitement homogène, Schöck renvoie à la réglementation française qui stipule que seule une partie des ponts thermiques doit être traitée pour être conforme (environ 50 %). Pour un bâtiment de logements collectifs par exemple, il suffit donc de traiter en moyenne 50 % des ponts thermiques avec des rupteurs sur chaque plancher intermédiaire, ou bien traiter les ponts thermiques des premiers étages, mais pas des derniers étages du bâtiment (ou vice et versa). Seule la moyenne compte ! Ainsi, malgré sa conformité à la RT 2012 ou désormais à la RE 2020, une construction neuve peut comporter d’importantes fuites d’énergie au regard de ponts thermiques subsistant entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon. Constat décevant à l’heure où il faudrait en fait privilégier un traitement complet des ponts thermiques en ITI ou ITE. D’autant que si les coûts de construction représentent 28 %, ceux de financement 15 % et les charges foncières 11 %, la maintenance et l’utilisation grèvent à elles-seules près de la moitié du budget (46 %). D’où l’intérêt de mettre encore l’accent sur la qualité de l’enveloppe pour diminuer le coût d’exploitation du bâtiment porté par les futurs occupants du logement ou le gestionnaire du patrimoine. En signant cette série de 16 vidéos ludiques et didactiques, Schöck a donc sensibilisé le plus grand nombre à l’importance d’une enveloppe homogène du bâti pour réaliser des économies d’énergie, augmenter le pouvoir d’achat des ménages, garantir le confort des occupants ainsi que valoriser son patrimoine immobilier. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 133 jours

Boris Ravignon, nouveau président-directeur général de l’Ademe

Boris Ravignon a été nommé président-directeur de l’Ademe. [©DR] Le conseil des ministres annonce la nomination de Boris Ravignon au poste de président-directeur général de l’agence de la transition écologique (Ademe). « C’est fort de mon ancrage local, de ma connaissance des problématiques environnementales et de mon engagement pour la transition écologique de mon territoire que je prends aujourd’hui la tête de l’Ademe. Le rôle de l’Agence est essentiel pour mettre en place les solutions vers une société neutre en carbone et plus sobre. Je suis très fier et honoré de mettre mon énergie au service des chantiers engagés par l’Ademe pour accompagner toujours plus d’acteurs à relever le défi du climat et de la préservation des ressources », a déclaré Boris Ravignon lors de sa prise de fonction. Lire aussi : Isonat reçoit une subvention de l’Ademe Le parcours de Boris Ravignon Boris Ravignon, 47 ans, est diplômé de l’Essec en 1998 et de l’Ena en 2002. Il a commencé son parcours professionnel en tant qu’inspecteur des finances. Puis, a rejoint le ministre de l’Intérieur en 2005 comme conseiller technique dans l’étude et prospective. En 2008, Boris Ravignon a pris en charge le développement durable des transports et de l’aménagement du territoire. Et est intervenu au Grenelle de l’Environnement auprès du cabinet du président de la République. En 2014, investi dans la politique ardennaise, Boris Ravignon a été élu maire de Charleville-Mézière. Puis, président d’Ardenne Métropole. Il sera réélu en 2020. Par la suite, il a été nommé vice-président de la région Grand Est, où il s’occupait de l’économie de la commande publique et des fonds européens en juillet 2021. Il quittera son mandat début 2023 suite à sa nomination en tant que président-directeur général de l’Ademe. Kelly Joseph-Louisy Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 135 jours

Eurobridge 2023

Eurobridge 2023, une conférence sur la maintenance des ponts, des enjeux environnementaux avec l'empreinte carbone...
Il y a 2 ans et 135 jours

Capeb : Bilan 2022 et propositions 2023

Jean-Christophe Repon est le président de la Capeb. [©Capeb] Comme tous les ans, la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) a dressé le bilan 2022 de l’activité du secteur et a présenté les perspectives de l’année qui vient de s’ouvrir. Evidemment, le bilan de l’année 2022 n’est pas des plus réjouissant. L’année a été marquée par la hausse brutale et continue du coût des matériaux de construction (+ 27 % entre janvier 2022 et janvier 2023), des prix de l’énergie (carburants, gaz, électricité…), ainsi que les difficultés d’approvisionnement. Elle a plongé les entreprises artisanales du bâtiment dans une situation d’incertitude économique inédite. Lire aussi : Suivez la semaine des start-up avec nous Il faut toutefois noter une croissance globale toujours dynamique (2,4 % sur l’année), même si l’activité du secteur n’a eu de cesse de ralentir tout au long de l’année 2022. La croissance d’activité de l’artisanat du bâtiment est ainsi passée de 3,5 % au 1er trimestre à 3 % au 2e trimestre, avant de diminuer à hauteur de 2 % au 3e trimestre et de 1 % au dernier trimestre. Cette tendance est observable dans toutes les régions de France et pour tous les corps de métier. Les entreprises rapportant des besoins de trésorerie sont plus nombreuses (22 %), le solde d’opinion sur l’évolution des marges se dégrade de nouveau (s’établissant à – 42 points) et les défaillances accélèrent sur un an au 3e trimestre 2022 (+ 42,3 %). 2022, une année maussade Pour la Capeb, c’est bien entendu le contexte économique dont résulte cette année 2022 maussade. Mais aussi d’une certaine inertie du gouvernement et des pouvoirs publics. « Le nombre de décisions annoncées qui ne sont toujours pas mises en application est inadmissible et nuit à notre activité, déclare Jean-Christophe Repon, président de la Capeb. En tant que première organisation professionnelle, en termes d’adhérents (61 000). Nous sommes en prise directe avec le terrain et les propositions que nous portons répondent directement aux besoins que nous expriment nos entreprises. Toute l’année, nous avons alerté, interpellé sur la situation inquiétante que nous traversions. Nos prévisions se sont révélées exactes, la croissance de notre activité n’a cessé de ralentir pour terminer sur un bilan presque atone. Nous sommes à un tournant. Nous demandons au gouvernement des actes. » Propositions de la Capeb pour 2023 Pour 2023, la Capeb a fait plusieurs propositions au gouvernement, pour aider le secteur à passer la crise et relever la tête. Comme faciliter la mise en œuvre des Groupements momentanés d’entreprises pour les artisans du BTP, afin de permettre aux artisans du BTP d’accéder à des travaux de plus grande ampleur et répondre aux attentes des clients sur la rénovation énergétique globale. De généraliser la TVA à 5,5 % à l’ensemble des travaux de rénovation. Mais aussi de créer un prêt garanti “vert” en trois clics pour financer l’investissement colossal que demande la rénovation énergétique. Enfin, deux éléments structurels devraient être mis sur la table selon la Confédération : la question de la représentativité patronale, sujet qui reste crucial pour la reconnaissance des entreprises artisanales du bâtiment. Ainsi que la question de la représentativité des organisations de salariés pour un dialogue social apaisé dans le secteur du bâtiment. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 135 jours

Passoires thermiques : Est-ce atteignable ?

Le gouvernement fait la chasse aux passoires thermiques. [DR] Xerfi Canal est l’un des leaders en France des études économiques sectorielles. Vincent Desruelles a effectué, pour le compte de l’entreprise, une étude poussée sur la rénovation de l’habitat, et notamment des passoires thermiques. Si l’ensemble de l’étude est disponible sur le site de la société, son communiqué en retrace les grandes lignes et nous en apprend un peu plus sur les perspectives du secteur. Portée par les subventions MaPrimeRénov’ et les aides directes comme les CEE ou les dispositifs complémentaires des collectivités locales, la rénovation énergétique tirera le marché de l’entretien-rénovation de bâtiments. Estimé à 114 Md€ (résidentiel et non résidentiel, avec les petits travaux), ce dernier bondira en moyenne de plus de 4 %/an de 2024 à 2025, après un ralentissement en 2023 lié au recul des ventes dans l’ancien et aux pressions sur le pouvoir d’achat, d’après les experts de Xerfi Precepta. Une forte croissance du secteur de l’entretien-rénovation Les dépenses en entretien-rénovation pour le seul habitat devraient augmenter de 4,3 %/an en moyenne d’ici 2025 pour s’établir à 100 Md€. Cette hausse est 2,5 fois supérieure à celle de la décennie 2010. Le marché profite donc bien d’un coup de pouce lié à la transition énergétique. Déjà, quelque 50 000 biens en étiquette G et dont la consommation dépasse 450 kWh/m²/an doivent sortis du marché locatif. Au total, près de 150 Md€ seront nécessaires d’ici 2034 pour supprimer les passoires thermiques du parc locatif, dont 35 à 40 Md€ avant la première grande échéance de 2025 (interdiction à la location de tous les biens étiquetés G). Les moteurs pour la rénovation des bâtiments tertiaires, industriels et commerciaux (36 Md€ en 2022) resteront, eux aussi, puissants à moyen terme. Face aux difficultés à construire des projets neufs, les opérations de reconversion-réhabilitation auront en effet la cote. Celles-ci sont d’ailleurs encouragées par les collectivités et peuvent se traduire par des associations entre promoteurs et investisseurs. Un objectif inatteignable ? Toutefois, les objectifs ambitieux d’éradication des passoires thermiques pourraient bien ne pas être atteints. De nombreux propriétaires bailleurs pourraient s’abstenir d’engager une profonde rénovation faute de rentabilité suffisante (coût des travaux par rapport à la valeur du bien). De la même façon, les opérations en copropriété seront difficiles à mener (règles de décision et de priorisation des travaux curatifs ou d’urgence). En clair, un programme associant aides directes (nationales et locales), propositions de financement du reste à charge et innovation en matière d’ingénierie patrimoniale et financière semble le seul moyen d’accélérer les opérations de rénovation de l’habitat en France. Dans le logement, les ménages sont les principaux donneurs d’ordre avec 90 % des dépenses (contre 10 % pour les bailleurs sociaux). Ils mobilisent surtout des fonds propres pour financer les travaux et ont recours aux prêts, aidés ou non, à hauteur d’un tiers des dépenses engagées. Et alors que le cadre réglementaire s’oriente vers davantage d’obligations de rénovation, les entreprises du bâtiment vont devoir pallier le manque de main-d’œuvre pour atteindre l’objectif de massification des opérations ou au moins répondre aux besoins croissants des prochaines années. Aides et accompagnements sont nécessaires Dans le même temps, il serait judicieux d’adapter les dispositifs d’aide aux besoins. Le chemin s’apparente de fait à un véritable parcours du combattant administratif et les solutions disponibles pour le reste à charge restent insuffisantes. A tel point que les dysfonctionnements recensés sur le dispositif de MaPrimeRénov’ ont conduit de nombreux ménages à renoncer aux aides. Une tendance qui a d’ailleurs fait émerger un marché de l’accompagnement. Le recours à des options alternatives de type tiers financement pourrait aussi être une piste à creuser. Parmi les différents acteurs du marché de la rénovation, plusieurs lignes directrices se dégagent, en termes de stratégies de croissance. L’accompagnement des ménages dans leurs démarches techniques et administratives est l’une d’entre elles. Les plates-formes d’intermédiation tentent ainsi de se faire une place entre les artisans et les porteurs de projet de rénovation. Les délégataires de CEE cherchent aussi à accompagner les particuliers et les entreprises. Les grands groupes de construction veulent rationaliser Pour faciliter les parcours clients désireux d’accéder aux aides, les collaborations entre acteurs et distributeurs voient également le jour. Les négoces essaient pour leur part d’apporter des solutions aux artisans en appui de leur prospection commerciale, permettant à ces derniers d’offrir une gamme complète (des travaux à leur financement). Les fabricants de matériaux et autres acteurs de la construction investissent pour se renforcer sur le marché de la rénovation. Cela passe notamment par des capacités de production étoffées, en particulier dans les produits isolants ou sur des offres destinées à la rénovation. De leur côté, les groupes de construction proposent des solutions pour gagner en efficacité dans les travaux, à travers l’industrialisation. Vinci Construction ou Bouygues Construction ont ainsi conçu des offres pour réaliser des opérations d’envergure dans des délais très courts, en ayant recours à la préfabrication de panneaux isolants. Basées sur des référentiels faciles à dupliquer, ces démarches ouvrent la voie à un financement par contrats de performance énergétique. Et constituent alors une option sérieuse pour répondre aux objectifs de massification des rénovations. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 139 jours

Voir l’architecture d’Angers autrement…

Guy Bara, “En rang !”, Les Capucins, opérateur de santé . [©Guy Barra, Club photo d’Angers] Organisée par l’Association A3A et le Club photo d’Angers, l’exposition “Perspectives Architecture Photographie” montre des images contemporaines remontant à une cinquantaine d’années maximum sous un angle différent. Angers compte ainsi 2 892 sites inscrits à l’Inventaire général du Patrimoine culturel et 100 monuments répertoriés à l’Inventaire des Monuments historiques. Parmi lesquels 69 % de bâtiments civils et 21 % d’édifices religieux. Mais la cité angevine a su se réinventer au niveau architectural au fil des siècles. Et notamment, aux XXe et XXIe siècles. « Nous voulions faire découvrir l’architecture contemporaine aux Angevins et aux touristes », se souvient Christian Gonnord, membre du conseil d’administration de l’A3A et coordinateur de l’exposition. Lire aussi : Alphi – Lisa Ricciotti : Un autre regard sur l’étaiement Angers, sous un autre angle Gyu Bara, Passerelle de la gare. [©Guy Bara, Club photo d’Angers] Marie-Odile Mailet, Pont de la Confluence. [©Marie-Odile Mailet, Club photo d’Angers] Agnès de Ternay, Détail de l’Hôtel de Ville. [©Agnès de Ternay – Club photo d’Angers] Bruno Bianchi, Manufacture des Allumettes, à Trélazé, l’ancienne usine d’allumettes réhabilitée. [©Bruno Bianchi – Club photo d’Angers] Xavier Humeau, Maison de l’Autonomie, rue Jean Lecuit. [©Xavier Humeau – Club photo d’Angers] Bruno Bianchi, Tour TIP, Hauts de Saint-Aubin. [©Bruno Bianchi – Club photo d’Angers] Capitale historique et place forte de l’Anjou, berceau de la dynastie des Plantagenêts, Angers a été l’un des centres intellectuels de l’Europe au XVe siècle sous le règne du “bon roi René”. Ses universités, ses musées et son activité culturelle en font un centre culturel important, qui comprend en particulier le château des ducs d’Anjou, construit au XIIIe siècle. « Du chemin de ronde du château, on voit s’étaler la ville, si caractéristique avec ses cheminées de briques sur le fond bleu des toits. La ville qui mêle maintenant au matériau le plus tendre, le tuffeau, l’un des plus résistants, le schiste », écrit Armand Lanoux, dans “Le voyageur de la Loire”, 1965. Des monuments médiévaux en schiste aux maisons contemporaines coiffées, elles aussi, d’ardoises. En passant par de nombreuses réalisations Renaissance ayant célébré la pierre de tuffeau, l’architecture de la ville est ici bien résumée. Des perspectives inédites Agnès de Ternay, Centre commercial l’Atoll, à Beaucouzé. [©Agnès de Ternay – Club photo d’Angers] Agnès de Ternay , Cité U de Belle-Beille. [©Agnès de Ternay – Club photo d’Angers] Anik Le Barilleo, Fac de droit. [©Anik Le Barilleo – Club photo d’Angers] Guy Barra, Immeuble Podeliha, cours Saint Laub. [©Guy Barra, Club photo d’Angers] Guy Bara, Immeubles Le Quatuor, quartier de la gare cours Saint-Layd. [©Guy Barra, Club photo d’Angers] « Lorsque nous avons décidé de monter l’exposition avec le club photo d’Angers, les photographes n’étaient pas habitués à la photo d’architecture. Mais ils se sont pliés volontiers à l’exercice. » L’œil aiguisé de cette dizaine d’amateurs s’est arrêté sur des bâtiments emblématiques ou non, en appuyant sur la dimension géométrique du bâti. Mais aussi temporelle pour marquer le contraste saisissant, sur certains sites, entre l’ancien et le moderne. « Pour que les visiteurs se disent : “mais je n’avais jamais vu tel ou telle bâtiment comme cela.” On découvre alors quelque 75 photos, dont la Cité universitaire de Belle-Beille, l’Hôtel de Ville ou le Centre commercial L’Atoll d’Agnès de Ternay. La passerelle de la gare ou Les Capucins de Guy Bara. Ou encore, le pont de la Confluence de Marie-Odile Mailet… Et l’on retrouve le matériau béton au cœur de ces créations. M. C. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 140 jours

Berner lance sa nouvelle génération de forets

Berner dévoile sa nouvelle génération de forets Powerbreaker SDS-Max [©Brener] Groupe européen d’outillage et services, Berner dévoile sa nouvelle génération de forets à béton Powerbreaker SDS-Max. Celle-ci présente une tête de perçage inédite. Sa nouvelle géométrie des dents carbure permet une vitesse de perçage supérieure aux précédentes générations. La durée de vie est aussi augmentée et les risques de casse, diminués. Lire aussi : Fischer, l’ancrage du siècle Pour briser les plus gros morceaux de béton, des pointes carbure se positionnent sur la tête du foret. Ainsi, cela réduit les risques de bourrage. Pour poursuivre son amélioration, l’outil dispose d’une nouvelle pointe de centrage monobloc. Munie de trois taillants en carbure, elle augmente la résistance et la précision. Enfin, l’extraction des poussières se fait efficacement via des gorges à “gros volume”. Différents diamètres pour différents usages Les forets Powerbreaker SDS-Max existent dans différents diamètres. De quoi les adapter à chaque usage. Les diamètres de 45 et 55 mm sont utiles pour le perçage des évacuations des eaux usées. Celui de 65 mm permet la réalisation de travaux d’électricité. La longueur des forets varie entre 410 et 850 mm. En fonction de ses besoins, l’utilisateur peut installer un prolongateur ou un adaptateur, lui permettant d’atteindre une longueur de perçage de 1600 mm. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 140 jours

Maud Tarnot, nouvelle directrice du développement durable d’Holcim France

Maud Tarnot est la nouvelle directrice du développement durable nouvellement créé d’Holcim France. [©Holcim] Holcim France vient de nommer Maud Tarnot au poste de directrice du développement durable nouvellement créé. Et ce, depuis le 1er décembre 2022. Maud Tarnot est directement rattachée à François Petry, Pdg d’Holcim France. Et travaille en étroite relation avec Magali Anderson, directrice du développement durable et de l’innovation Groupe. En s’appuyant sur le plan stratégique 2025 “Accelerating Green Growth1”, elle aura pour principales missions l’élaboration et le pilotage de la stratégie d’impact carbone du groupe en France. Mais aussi le déploiement du plan d’actions au plus près des territoires. Et enfin, le suivi de la performance ESG2, en engageant l’ensemble des collaborateurs. Le parcours de Maud Tarnot L’action de Maud Tarnot s’articulera autour de quatre grandes priorités. La première prend en compte la réduction des émissions de CO2 et l’adaptation au dérèglement climatique. La seconde comprend la protection de l’environnement, notamment de la biodiversité. La troisième, le développement de l’économie circulaire. Et la dernière, le renforcement d’un dialogue continu avec les parties prenantes et la concertation à l’échelle territoriale. Lire aussi : Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race  Maud Tarnot  est titulaire d’un double master en affaires européennes de la London South Bank University et de l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Elle est aussi diplômée de CentraleSupelec, où elle a obtenu un certificat de direction de l’entreprise durable. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise de philosophie. Elle a débuté sa carrière au secrétariat général des affaires européennes (SGAE), au sein des services du Premier ministre. Elle a exercé les fonctions de responsable des affaires institutionnelles à l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de constructions (Unicem). Et a été secrétaire générale de l’Union nationale des exploitants du déchet (Uned) entre 2010 et 2016. Enfin, elle a rejoint Lafarge France en 2016 en qualité de responsable de la RSE et des affaires publiques. 1Accélérer la croissance verte.2Les critères ESG sont tout ce qui concerne les enjeux sociaux et environnementaux (dialogue social, emploi des personnes handicapées, formation des salariés, rémunération…). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 140 jours

Semaine des start-up, innovations et nouveaux acteurs

Pendant la Semaine des start-up, du 23 janvier au 1er février 2023, découvrez 8 start-up innovantes du secteur du béton. [©ACPresse] Depuis toujours, ACPresse place l’innovation au cœur de ses contenus. Au-delà d’une simple valeur, elle en est aujourd’hui l’ADN. En ce sens, nous avons toujours porté un intérêt particulier aux dernières nouveautés du secteur du béton. Il est très important pour nous de vous faire découvrir des projets novateurs et des start-up innovantes. C’est pourquoi, du 23 janvier au 1er février 2023, nous organisons la Semaine des start-up. Vous pourrez découvrir 8 start-up œuvrant pour différentes causes : la réduction de l’impact carbone du secteur, le suivi des matériaux ou les transports sur chantier. Pendant une semaine, découvrez des vidéos exclusives réalisées par notre équipe lors du salon Batimat. Bonne lecture et bon visionnage ! Dossier publié dans Béton[s] le Magazine numéro 103 23 janvier, Jour 1 Fortera est une start-up américaine développant un liant à base de carbonate de calcium réactif. Un liant que l’on trouve dans les océans, qui permet de remplacer le ciment traditionnel. Découvrez VIDEO – Fortera, le liant venu des mers 24 janvier, Jour 2 Inex Circular est une start-up qui a pour objectif la valorisation des ressources non exploitées. En aidant notamment les professionnels à recycler leurs déchets de chantier. Découvrez VIDEO – Inex Circular : Pour une valorisation totale 25 janvier, Jour 3 Face au défi climatique, la start-up Traace propose une plate-forme permettant aux entreprises de réduire leur empreinte carbone. Une solution qui a attiré de nombreux clients. Découvrez VIDEO – Traace : Une plate-forme pour contrôler l’empreinte carbone 26 janvier, Jour 4 Face aux enjeux environnementaux, la start-up Nooco mesure, puis optimise l’impact carbone des projets du bâtiment. Les solutions apportées répondent aux problématiques majeures dans le secteur de la construction. Découvrez VIDEO – Nooco : Mesurer et optimiser son impact environnemental Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 141 jours

Le sable Lafarge de Sandrancourt à la Conciergerie

Le sable Lafarge de Sandrancourt a été choisi pour réaliser les sculptures de l’artiste Théo Mercier, lors de l’exposition “The Sleeping Chapter” présentée à la Conciergerie, à Paris, en décembre dernier. [©Holcim] Le sable Lafarge de Sandrancourt (78) a été choisi pour réaliser les sculptures de l’artiste plasticien Théo Mercier, lors de l’exposition “The Sleeping Chapter” présentée à la Conciergerie, à Paris, en décembre dernier. « Lafarge souffre d’un déficit d’image. Pourtant, nous menons une politique active de décarbonation et de RSE. Ainsi, nous sommes toujours contents d’accompagner des artistes pour attirer l’attention du grand public. Lorsque nous avons été contactés par Théo Mercier, qui cherchait du sable, nous avons tout de suite répondu présents », se souvient Claude Etienne, responsable granulats pour la région Nord chez Lafarge. C’est ainsi que la carrière Sandrancourt a fourni quelque 70 t de sable, livrées entre le 22 et le 24 septembre dernier, de 23 h 00 à 6 h 00 du matin. Théo Mercier a fait découvrir des sculptures en sable qui rappellent la pierre de la Conciergerie, comme des prolongements métaphoriques de son histoire. [©Holcim] Lire aussi : Lafarge La Malle malmenée par des militants écologistes Des big bags de sable livrés en pleine nuit Quelque 70 t de sable ont été livrées à la Conciergerie. [©Holcim] « L’équipe de Théo a jugé que notre sable était le plus performant par rapport à ce qu’elle avait déjà vu. Ainsi, des big bags de 1 t ont été livrés par grue avec un mât télescopique. Nous les avons déposés dans la salle des Gens d’armes. » Ensuite, des sculpteurs sur sable ont pris le relais pour réaliser in situ la cinquantaine d’œuvres imaginées par l’artiste. « J’avais besoin d’un sable très fin avec un peu de charges argileuses. Et la proximité de la carrière était aussi fondamentale », reprend Théo Mercier. Mais pourquoi le sable ? « A la fois, parce que c’est une ressource très utilisée dans le monde et qui commence à manquer dans certains pays. Mais aussi parce qu’il a trait à l’enfance : les bacs à sable, les châteaux de sable sur la plage… » Ainsi, à la Conciergerie, sous les voûtes de la salle des Gens d’armes, gisaient une cinquantaine de sculptures de lits fraîchement défaits, veillés par une dizaine de chiens de sable. « Lafarge est fier d’avoir été le mécène de cette exposition », insiste Claude Etienne, responsable granulats pour la région Nord chez Lafarge. [©Holcim] Retour à Sandrancourt Des sculpteurs sur sable ont pris le relais pour réaliser in situ la cinquantaine d’œuvres imaginées par Théo Mercier. [©Holcim]A la Conciergerie, sous les voûtes de la salle des Gens d’armes, gisaient une cinquantaine de sculptures de lits fraîchement défaits, veillés par une dizaine de chiens de sable. [©Holcim] Dans ce paysage à la fois désert et vivant, Théo Mercier invitait le visiteur à une déambulation dans l’épaisseur de la nuit, le sommeil paradoxal et le rêve conscient. Le plasticien a fait découvrir des sculptures en sable qui rappellent la pierre du palais de la Cité, comme des prolongements métaphoriques de son histoire. Des lits défaits dont on sent encore les mouvements et les souffles à travers leurs plis. Des chiens en sable comme fidèles compagnons des dormeurs sont au centre de cette installation à la fois lumineuse et sonore autour des rêves et du sommeil. « Lafarge est fier d’avoir été le mécène de cette exposition. Et surtout d’avoir fourni la matière première des sculptures : le sable, « d’une qualité rare », selon les sculpteurs qui ont œuvré aux côtés de Théo Mercier », conclut Claude Etienne. A la fin de l’exposition, le sable a été lavé, les sculptures se sont délitées. Et les camions Lafarge sont venus récupérés cette matière première, qui est repartie dans la carrière à son emplacement initial, à Sandrancourt. La boucle était bouclée. M. C. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 141 jours

L’ex-usine Ferropem de La Léchère rachetée par la maison-mère d’Ugitech

Swiss Steel Group, s’est entendue avec Ferroglobe pour le rachat de l’ancien site Ferropem de Château-Feuillet, à La Léchère. [©Ferroglobe] En Savoie, la maison-mère d’Ugitech, Swiss Steel Group, s’est entendue avec Ferroglobe pour le rachat de l’ancien site Ferropem de Château-Feuillet, à La Léchère. C’est un site hors norme – 10,5 ha, 38 000 m2 de bâtiments, 4 fours industriels et une desserte ferroviaire directe – qui a donc été racheté par son voisin, l’aciériste Ugitech. Celui-ci est le premier employeur du département, installé à une trentaine de kilomètres. Dans son communiqué de presse du mardi 10 janvier, Ugitech indique : « Swiss Steel Group pourrait envisager d’y installer les activités d’Ugi’Ring, filiale d’Ugitech faisant partie des entités françaises du groupe. Ugi’Ring mettrait en œuvre des procédés industriels innovants et brevetés pour le recyclage de ferro-alliages à partir de déchets industriels. Les études de faisabilité et d’implantation détaillées pourraient, à terme, conduire à la création de la première “aciérie circulaire” au monde ». Rappelons que l’usine était jusque-là spécialisée dans la production de silicium… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 141 jours

Bosch Professional lance trois nouveautés sans fil Biturbo

La nouvelle scie sabre sans fil GSA 18V-28 Bosch Professional a été conçue pour répondre aux travaux de démolition ou de rénovation les plus exigeants. [©Bosch] Bosch étoffe sa gamme Biturbo avec 3 nouveaux outils sans fil 18 V. Le perforateur GBH 18 V-40 C Professional offre la liberté du sans fil avec les performances d’un outil filaire, et plus de confort. Quant à la GSA 18 V-28 Professional, elle est la première scie sabre sans fil avec la technologie Biturbo. Son rapport poids/puissance et ses performances de coupe font toute la différence. Enfin, la meuleuse d’angle sans fil GWS 18 V-180 PC Professional combine les avantages des grandes et des petites meuleuses d’angle : une grande profondeur de coupe, un poids réduit et un design optimisé. Le moteur sans charbon haute performance Biturbo Brushless est associé aux nouvelles batteries ProCore18 V du système Professional 18 V. Ceci, afin de permettre à ces outils d’atteindre leurs pleins potentiels, en termes de puissance et d’autonomie. Lire aussi : 772 Lankorep HP de Parexlanko, nouveau mortier de réparation fibré • Le perforateur GBH 18V-40 C Professional : Le plus puissant de sa catégorie Le nouveau perforateur sans fil GBH 18V-40 C Bosch Professional est fait pour percer dans le béton, la pierre et la maçonnerie, grâce à la technologie Biturbo Brushless. Il dispose d’une force de frappe élevée de 9,0 J pour buriner et percer rapidement des trous jusqu’à 40 mm dans du béton. Il bénéficie d’un rapport poids/puissance optimal, grâce à son mécanisme de frappe, qui contribue à le rendre plus léger, et à son système d’entraînement très performant. • La scie sabre GSA 18V-28 Professional : Performances de coupe équivalentes aux outils filaires 1 100 W La nouvelle scie sabre sans fil GSA 18V-28 Bosch Professional a été conçue pour répondre aux travaux de démolition ou de rénovation les plus exigeants. Métal, maçonnerie, isolant, plastique ou bois, tous les matériaux courants sont facilement et rapidement sciés. Grâce à la nouvelle technologie Biturbo Brushless, la GSA 18V-28 Professional profite des performances de coupe équivalentes à celles d’une scie sabre filaire de 1 100 W. Pour réaliser chaque découpe avec une grande précision, elle bénéficie d’un variateur de vitesse sur la gâchette, qui assure un démarrage progressif et en douceur. • La meuleuse d’angle GWS 18V-180 PC Professional : L’ergonomie des petites meuleuses, la performance des grandes D’un design ergonomique et compact, la nouvelle meuleuse d’angle sans fil GWS 18V-180 PC Bosch Professional combine les avantages des petites meuleuses, en termes de confort et de maniabilité, et les performances des grandes. En effet, elle offre la même profondeur de coupe qu’une grande meuleuse d’angle de 230 mm, tout en étant 30 % plus légère et plus petite. Ceci, grâce au disque de 180 mm et à sa tête d’engrenage réduite. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 141 jours

772 Lankorep HP de Parexlanko, nouveau mortier de réparation fibré

772 Lankorep HP qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. [©Parexlanko] Parexlanko propose le 772 Lankorep HP, un nouveau mortier de réparation fibré fin. A destination des ouvrages d’art, du génie civil, mais aussi du bâtiment. Ce produit vient enrichir la gamme Lankorep. Sa formulation offre un matériau facile à gâcher et à appliquer. Et dont la mise en œuvre est mécanisable. Son grain très fin (< 0,8 mm) pour un aspect lisse et sa teinte gris clair en font un atout en réparation. Lire aussi&nbsp;: Parexlanko : Mélange chaud-chanvre pour la rénovation du bâti ancien Ce nouveau mortier, qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. A base de sable, de ciments, de fibres et d’additifs, il prend la forme d’une poudre grise à mélanger avec de l’eau. Afin de réaliser des réfections bénéficiant d’une excellente résistance mécanique en quelques instants. 772 Lankorep HP, pour une grande résistance à la compression Son mélange de haute qualité offre un résultat très peu poreux, qui résiste de manière efficace à la carbonatation. Ce produit à retrait compensé peut être recouvert de peinture après 24 h. Ainis, il a été imaginé pour simplifier les travaux des professionnels. Il s’applique, au choix, à la main ou à la machine à projeter et se lisse sans difficulté. Il dispose d’un temps ouvert important de 30 mm à 20 °C. Parexlanko a développé ce mortier classé R4 correspondant à la norme en vigueur NF EN 1504-3, réglementation définissant la destination des mortiers de réparation en fonction de leurs performances (R2, R3, R4). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 141 jours

Proviteq : « Nous proposons un service global. »

Georges Pillois et Laurent Missonnier, les deux co-fondateurs de Proviteq. [©Proviteq] Basée sur le binôme Georges Pillois et Laurent Missonnier, Proviteq est une TPE française spécialisée dans le matériel de laboratoire pour tester les matériaux de construction. L’entreprise s’intéresse à de nombreux sujets, au sein desquels le monde du béton est bien représenté. «&nbsp;Nous sommes des distributeurs dans le sens noble du terme, explique Laurent Missonnier, co-fondateur de Proviteq. Nous proposons un service global et sommes capables d’installer le matériel, de former les utilisateurs et d’assurer le service après-vente.&nbsp;» Equipements pour mesurer la durabilité, l’adhérence ou encore la pénétrabilité des ions chlorures dans le béton… Près de 99 % du matériel proposé par Proviteq est d’origine européenne. «&nbsp;La traçabilité de nos solutions est importante pour nous et nous faisons en sorte que les produits soient vérifiés, conformes aux normes et de qualité.&nbsp;» L’entreprise s’adresse au marché français, jusque dans les Dom-Tom. «&nbsp;Nous avons une grosse équipe de techniciens, l’enjeu est aussi bien le service clients que la réactivité. Pour cela, nous avons de nombreuses pièces détachées en stock et un bon réseau de fournisseurs français.&nbsp;» Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 141 jours

Sermib : « Des artisans plutôt que des industriels »

Stéphane Berthat est le gérant de Sermib depuis 2018. [©Sermib] Vous avez repris l’entreprise Sermib fin 2018, pouvez-vous nous en rappeler les spécialités&nbsp;? Sermib signifie Société d’études et de réalisation de moules pour l’industrie du béton. Le nom est plutôt parlant. Nous réalisons ces moules en bois et en métal, et nous avons la capacité d’y incorporer des réservations ou des fonds de moule en élastomère. Pourquoi avoir choisi de racheter cette entreprise&nbsp;? Le précédent gérant, qui en était le fondateur, avait largement mérité de partir à la retraite. De mon côté, j’avais toujours travaillé dans le bâtiment, pour plusieurs industriels de second œuvre. Je cherchais à racheter une entreprise et j’ai découvert cette société de douze personnes au savoir-faire incroyable. Lors de ma première visite dans les locaux, voir et toucher les moules terminés m’a convaincu, ils étaient d’une telle qualité. Depuis votre rachat, avez-vous modifié les structures de l’entreprise&nbsp;? La grande force de l’entreprise, c’est son savoir-faire manuel humain. Je me suis surtout attaché à faire confiance aux salariés en place, à libérer leur énergie et leur envie de développer l’entreprise. Nous avons aussi investi dans l’outil industriel, surtout pour en améliorer la sécurité. L’idée était d’apporter à chacun les moyens de bien travailler. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 141 jours

CBGreen : Telle une start-up du recyclage

CBGreen assure la production de granulats à partir de déblais de terrassement et de bétons de démolition. [©Groupe CB] C’était latent au sein du groupe CB depuis un moment déjà. Le recyclage, l’industriel le pratique depuis 2015… Ne restait plus qu’à franchir le pas. Chose faite en juin 2020 avec la création de l’entité CBGreen. «&nbsp;Nous agissons telle une start-up. Nous en avons l’esprit, l’agilité, la structure légère constituée d’une dizaine de personnes. Nous profitons d’une véritable liberté&nbsp;», résume Nicolas Moreau, directeur “Solutions bas carbone” au cœur de la division. Bas carbone&nbsp;: la phrase est aussi lancée, tout comme la spécialité. Second pan de l’activité de CBGreen, elle est aujourd’hui en phase de développement. « Le bas carbone est véritablement une réponse à l’attente du marché et de nos clients », reprend Nicolas Moreau. L’idée est de proposer des solutions à base de fillers calcaires, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 141 jours

Cimalux : « Face à l’urgence climatique, on stoppe la production de CEM I »

Cimenterie Cimalux sur le site d’Esch, au Luxembourg. [©Cimalux] L’histoire de Cimalux débute il y a 102 ans, sous le nom des Ciments Luxembourgeois, avec la fusion entre les Ciments d’Esch et la Compagnie Générale des Ciments. Mais aussi avec la puissante industrie sidérurgique. A l’époque, la société est intimement liée à cette dernière et réemploie les laitiers de hauts fourneaux dans la fabrication de ses ciments. Au fur et à mesure, Cimalux s’en détache et devient le seul acteur du ciment au Luxembourg. L’industriel fait désormais partie du groupe italien Buzzi Unicem, compte près de 165 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 141 jours

Herige : Un développement stratégique tourné vers la RSE

Herige place l’humain au cœur de sa politique RSE. [©Charles Marion/Herige] En 2020, le groupe Herige annonçait les grandes lignes de son projet de transformation articulé autour de trois piliers : “l’humain”, “l’environnement”, “l’innovation et le digital”. Il a pour ambition d’être un acteur majeur pour tous ses clients et tous ses territoires. Tout en contribuant à l’évolution et à la décarbonation des secteurs de la construction et de l’industrie. Cet objectif se caractérise par une montée en puissance du groupe. En effet, le chiffre d’affaires d’Herige a atteint Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA &#916;document.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 141 jours

Tendance : Grues à tour sur porteur : au plus près de la construction

Le montage des installations industrielles est l’une des utilisations des grues à tour sur porteur. Ici, la MK 88-4.1 signée Liebherr. [©Liebherr] Une grue mobile capable de lever une charge au plus près d’une construction avec une portée importante : voici le projet. Un défi relevé par l’Allemand Liebherr et le Néerlandais Spierings Mobile Cranes. La solution : une grue déployable automatiquement. Un équipement constituée d’un mât vertical, d’une cabine et d’une flèche de distribution horizontale en structure treillis, relevable, montée, via une tourelle rotative, sur un porteur routier multi-essieux. Concurrentes des grues mobiles télescopiques conventionnelles, les grues à tour sur porteur ne nécessitent ni le montage d’une fléchette, ni celui de contrepoids additionnels. Le transport se limite à la machine elle-même, conduite, mise en œuvre et opérée par une seule personne. « Une grue sur porteur à quatre essieux Spierings Mobile Cranes est dépliée en 7 mn », indique le constructeur néerlandais. La mise en station des Liebherr prend, elle, une demi-heure, dont 10 mn pour le déploiement… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 141 jours

Setec Lerm : « Le béton ancien a été jeune, un jour…»

Mélanie Castel Beaugelin est la directrice générale de Setec Lerm, depuis le mois de juin 2021. [©ACPresse] Le Lerm a rejoint Setec il y a déjà quelques années&#8230; Mais qu’est-ce que le Lerm aujourd’hui&nbsp;? Le Lerm est à la fois un bureau d’ingénierie et de conseil de la construction et un laboratoire d’analyses des matériaux. L’un étant adossé à l’autre. Par nature, le Lerm s’intéresse aux matériaux minéraux et à tous les constituants du béton et, par extension, aux bétons neufs, comme anciens. Une activité toujours en plein essor, sachant que nous sommes en train de nous équiper de nouvelles presses, afin d’augmenter la capacité de notre offre pour réaliser davantage d’essais dans le domaine de la construction. Pour autant, nous n’oublions pas les autres matériaux de construction. Ainsi, nous avons développé un pôle “chimie organique”, dont la vocation est d’effectuer des analyses de matériaux utilisés en second œuvre. &nbsp; Plus dans le détail, quelles sont les différentes spécialités du Lerm&nbsp;? L’expertise autour des ciments constitue notre domaine de prédilection historique. C’est l’héritage du Cérilh1, laboratoire d’origine des fondateurs du Lerm. En toute logique, nous nous intéressons Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA &#916;document.getElementById( "ak_js_2" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 141 jours

MT Béton : « Je suis au service des industriels du béton »

MT Béton propose du matériel et des fournitures ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. [©ACPresse] MT Béton est née début 2020, juste avant la pandémie de Covid&#8230; Est-il délicat de piloter le développement d’une entreprise dans de telles circonstances&nbsp;? Absolument… Entre janvier et février 2020, les clients avaient eu vent de la création de mon entreprise. Il y a eu beaucoup de déplacements de ma part. Puis le 14 mars, le Covid est arrivé et tout s’est arrêté. Un moment de grande angoisse… Toutefois, les clients visités en début d’année ont passé les premières commandes&nbsp;! Ainsi, entre avril et décembre 2020, le chiffre d’affaires prévu pour l’année a pu être réalisé malgré tout. Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est MT Béton&nbsp;? MT Béton propose du matériel et des fournitures, ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. Autour d’une presse à blocs, il faut Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 141 jours

Plattard : « Nous avons un double apport d’idées »

Charles Plattard est le nouveau président du groupe familial éponyme. Il partage la gestion de l’entreprise avec son frère cadet Edouard, qui occupe les fonctions de directeur général. [©Plattard] Plattard est né en 1885… Mais qui est Plattard aujourd’hui&nbsp;? Plattard est avant tout une entreprise de négoce disposant de trente points de vente en Rhône-Alpes. C’est aussi une société industrielle intervenant dans quatre domaines d’activité autour du béton. A savoir, la préfabrication, le béton prêt à l’emploi, la production de granulats alluvionnaires et le recyclage de matériaux. Notre usine principale de Villefranche-sur-Saône occupe un terrain de 27 ha et assure 80 % de notre production béton. Mais nous disposons de dix sites industriels en tout. Aujourd’hui, Plattard emploie 550 personnes et a réalisé 238 M€ de chiffre d’affaires en 2021. Deux tiers proviennent des ventes du négoce et un tiers de la production industrielle. Quelles sont les nouvelles orientations que vous souhaitez donner à l’entreprise&nbsp;? Pour l’heure, nous sommes en train de prendre nos marques. Nous avons la chance de co-diriger l’entreprise à deux, soit un double apport d’idées… D’une manière générale, nous allons vers Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA &#916;document.getElementById( "ak_js_3" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 141 jours

BSC : Une palette de solutions industrielles

L’activité de BSC occupe un large périmètre de l’industrie des bétons. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, l’activité de Béton Stone Consulting (BSC) occupe un large périmètre de l’industrie des bétons. A sa création, en 2006, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortiers au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international (Amérique du Nord, Europe, Moyen-Orient et Afrique). Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’international. L’entreprise ajoute aussi des stations de micronisation à son catalogue. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Par exemple, BSC a récemment proposé au préfabricant Capremib, une toute nouvelle centrale à béton Kniele pour son site de Cormicy, près de Reims. Implanté sur une surface de 250 m2, l’outil se destine à la fabrication de Bfup et de bétons fibrés. Lire aussi : Moselle : Béton Stone Consulting, une palette de solutions industrielles Un accompagnement complet Le produit-phare de BSC est le malaxeur conique KKM de Kniele. [©BSC] BSC ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Pour la société Delorenzo [Lire BLM 98, p. 21], l’entreprise a mis à disposition toute une série d’équipements. Dont un malaxeur conique KKM 1500/2250 de Kniele, une laveuse Rex23 Z d’EcoFrog, un doseur 4 colorants Com 70-1, 5 balances à adjuvants Würschum ou encore, un doseur de fibres MD400 avec système d’émottage signé Incite. Cet ensemble de solutions permet ainsi à Delorenzo de proposer une offre de BPE, de préfabrication et de Bfup avec un seul malaxeur. D’ailleurs, dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants&nbsp;: fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. BSC a fourni au préfabricant Capremib une centrale à béton Kniele, pour son site de Cormicy (51). [©ACPresse] Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 141 jours

Enquête : La construction hors site béton en France

Le bloc béton constitue le produit d’appel du secteur de la préfabrication. [©ACPresse] Industrialiser le chantier n’est pas une idée neuve. Gustave Eiffel utilisait déjà cette technique pour construire les sous-ensembles métalliques de sa célèbre tour. En 1917, Charles-Henri Besnard de Queslen (1881-1946) et Julien-Pierre-Bertrand Bessonneau (1880-1960) l’ont appliqué au matériau béton. Ceci, en déposant le brevet d’invention relatif au “procédé de construction rapide d’habitations par l’emploi de matériaux en ciment armé préalablement préparés en série”. C’est la définition même que ce que l’on tend à appeler “construction hors-site” de plus en plus souvent aujourd’hui. Les autres noms, plus communément utilisés sont “préfabrication” ou encore “industrie du béton”. Charles-Henri Besnard de Queslen et Julien-Pierre-Bertrand Bessonneau sont loin d’avoir été les seuls à s’intéresser à cette technologie de mise en œuvre du béton. Raymond Camus (1911-1980) est, lui aussi, un chantre de la “construction hors site”. Ingénieur originaire du Havre, il a mis Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 142 jours

Panelife, le panneau de coffrage de dalle universel 

Le panneau de coffrage de dalle Panelife, disponible chez Doka. [©Doka] Doka enrichit son catalogue avec Panelife, le nouveau panneau de coffrage de dalle léger, souple et lisse. Panelife est proposé en deux épaisseurs : 15 ou 18mm, les deux ayant pour dimensions 200 x 50 cm. Ce panneau de coffrage permet d’assurer des finitions lisses grâce à ses bordures en polyuréthane. De plus, le recto et le verso du panneau sont réutilisables plusieurs dizaines de fois, ce qui en fait un partenaire de choix sur vos chantiers.  Grâce à son extraordinaire durée de vie, il contribue à réduire les déchets de bois de chantiers jusqu&rsquo;à 88%, et les transports d&rsquo;approvisionnement jusqu&rsquo;à 80%.  Panelife alie ergonomie et légèreté Panelife pèse entre 12 et 14 kg en fonction de l’épaisseur choisie. L’ergonomie est donc de mise ! Ce panneau intègre ainsi tout naturellement notre gamme ErgonomiX qui vise à améliorer les conditions de travail sur chantier et réduire les troubles musculo-squelettiques.   Enfin, Panelife se veut pratique : ce panneau multiplis est le bon compromis entre solidité et poids. Les bordures en polyuréthane préviennent la casse en cas de chute. Le préperçage aux extrémités facilite le cloutage. À l’image du Xlife, le Panelife est réutilisable plusieurs dizaines de fois et s’adapte à toutes les marques de panneaux.  Disponible à la vente et à la location, Panelife peut être utilisé pour vos coffrages de dalles dès aujourd’hui.  A propos de Doka&nbsp; Doka s’investit chaque jour dans le secteur de la construction pour apporter conseils, solutions et expertises en termes de coffrage et d’étaiement. Avec plus de 160 sites de vente et de logistique dans plus de 60 pays, Doka dispose d&rsquo;un réseau de distribution performant pour apporter conseils avec un service client et une assistance technique sur place. Doka emploie 7 300 personnes dans le monde et est une société du groupe Umdasch, qui est synonyme de fiabilité et d&rsquo;expérience depuis plus de 150 ans. En France, c’est plus de 140 collaborateurs répartis dans 4 agences avec chacune un entrepôt à Paris, Nantes, Lyon et Marseille. 
Il y a 2 ans et 143 jours

Le Britannique Ineos rachète à Sika les adjuvants MBCC

Eneos est sur le point d’acquérir la division “Adjuvants” de MBCC. [©ACPresse] Sika et Ineos Enterprises, filiale du groupe pétrochimique britannique d’Ineos, ont signé un accord pour l’acquisition de la division “Adjuvants” du groupe MBCC. La transaction englobe les activités au Canada, aux Etats-Unis, en Europe (Suisse et Royaume-Uni y compris) et de l’ensemble des opérations en Australie et en Nouvelle-Zélande. Cette cession fait partie du processus de recours requis dans le cadre de l’acquisition de la totalité du groupe MBCC par Sika. Elle reste soumise aux approbations réglementaires et devrait être conclue au cours du premier semestre de cette année. Lire aussi&nbsp;: Fusion Sika – MBCC : Le “oui, mais…” de la CMA britannique Le périmètre de l’activité “Adjuvants” cédée a généré des ventes nettes d’environ 917 M€ à fin 2022. Il comprend des sites de production et des bureaux de vente dans 36 pays et compte plus de 1 600 collaborateurs. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé&#8230; Pour sa part, Ineos a été fondé en 1998 à Anvers, en Belgique. Fabricant mondial de produits pétrochimiques, il exploite aujourd’hui 194 sites dans 29 pays et emploie plus de 26 000 collaborateurs. Il réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 60 Md€. Une étape clef dans l’acquisition du groupe MBCC « Je suis très heureuse d’avoir accepté l’acquisition de l’activité Adjuvants de MBCC qui offre de nouvelles opportunités pour Ineos de se développer sur le marché de la construction, indique Ashley Reed, Pdg d’Ineos Enterprises. Nous avons une solide expérience en matière d’excellence de fabrication, de gestion sûre et fiable des entreprises. Mais aussi de collaboration étroite avec les clients pour répondre à leurs aspirations de croissance. J’ai hâte d&rsquo;accueillir MBCC au sein d’Ineos.&nbsp;» Pour sa part, Thomas Hasler, Pdg de Sika explique que&nbsp;: « L’accord avec Ineos Enterprises marque une étape clef dans l’acquisition du groupe MBCC par Sika. Je suis convaincu que nous avons trouvé un foyer à long terme pour l’activité Adjuvants du groupe MBCC. Le nouveau propriétaire est idéal pour assurer la poursuite du développement de l’activité. Dans le même temps, Sika a fait un énorme bond en avant sur la voie de son rapprochement avec le groupe MBCC. Ensemble, nous renforcerons notre plate-forme de croissance.&nbsp;» Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 146 jours

Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race

Le Go Circular Holcim-PRB prêt pour s’élancer à l’assaut de la régate The Ocean Race. [©Holcim] Holcim-PRB Go Circular rejoint l’Ocean Race pour sa première régate autour du monde. Ceci, en tant que seule équipe suisse à participer au légendaire marathon de voile, qui célèbre son 50e anniversaire. C’est le skipper français Kevin Escoffier qui dirige l’équipage du bateau. Il était membre de l’équipe gagnante de l’Ocean Race lors de sa dernière édition en 2018.  Lire aussi : Holcim hisse les voiles Cette année, l’équipe Holcim-PRB rassemble des marins très accomplis et de classe mondiale. Avec un palmarès dans des courses emblématiques, des Jeux olympiques au Vendée Globe, en passant par la Route du Rhum. Des jeunes talents tels que la médaillée olympique Susann Beucke (Allemagne) et le vainqueur de la Solitaire de Figaro Tom Laperche (France). Mais aussi des marins accomplis, dont Fabien Delahaye (France), Abby Ehler (Royaume-Uni) et Sam Goodchild (Royaume-Uni). Quant à Julien Champollion (France) et Georgia Schofield (Nouvelle-Zélande), ils rejoignent l’équipe en tant que reporters à bord. « L’Ocean Race est énorme, l’une des courses en équipage les plus extrêmes qui existe. Je suis inspiré par l’esprit d’équipe positif, réunissant un talent et une expertise uniques, relate Kevin Escoffier. Combiner nos forces en une seule équipe nous rend imparables. Je suis fier de la diriger à travers le monde. » Sensibiliser à une vie plus “circulaire” Concourant pour le progrès, Go Circular collectera des échantillons d’eau tout au long de la course. Objectif : pour faire progresser les sciences marines. L’équipage organisera aussi des “discussions Go Circular de la mer à la ville” pour sensibiliser à une vie plus “circulaire”. Et restaurer les écosystèmes marins avec les récifs en béton bioactif d’Holcim. Lire aussi : Holcim relève le défi de l’eau «&nbsp;Alors que The Ocean Race est sur le point de lancer sa course jubilaire du 50e&nbsp;anniversaire, il est excitant de voir de nouveaux partenaires comme Holcim soutenir des équipes avec d’ambitieux objectifs sportifs et de durabilité,&nbsp;explique Phil Lawrence, directeur de course de The Ocean Race.&nbsp;L’objectif de notre événement est toujours “le sport d&rsquo;abord, la durabilité partout”. Des équipes professionnelles de haut niveau comme Holcim-PRB incarnent parfaitement cet esprit.&nbsp;» Un voyage “net zéro” Le skipper français Kevin Escoffier dirige l’équipage du Go Circular Holcim-PRB. [©Holcim] Lors du baptême du Go Circular à Alicante, en Espagne, Nollaig Forrest, responsable de la communication du groupe Holcim, a déclaré :&nbsp;« Holcim est ravi de participer à sa première régate autour du monde avec The Ocean Race. En tant qu’événement sportif mondial positif pour le climat, cette course symbolise notre voyage “net zéro”. Chez Holcim, l’avenir n’est pas écrit, il se construit et nous voulons l’ériger “net zéro” pour les gens et la planète&nbsp;». Don son côté, Olivier Troussicot, directeur général de PRB, explique être&nbsp;«&nbsp;ravi de porter au sein d’Holcim l’héritage et les réalisations de PRB, dont deux victoires au Vendée Globe en 2000 et 2004, vers de nouveaux sommets. J’ai hâte de voir notre équipe Holcim-PRB repousser les limites de ce qui est possible de faire durant The Ocean Race&nbsp;». Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;! [Lien hyper-texte&nbsp;:&nbsp;https://linktr.ee/acpresse]
Il y a 2 ans et 147 jours

L’industrie du béton limite la casse en 2022, avec un recul de 2,1 %

En 2022, les produits préfabriqués en béton à destination du bâtiment et des travaux publics affichent un résultat en retrait de – 2,1 %. [©ACPresse] A la fin du mois de novembre 2022, les données cumulées sur les 11 mois, issues de l’enquête mensuelle FibXerfi Spécific montrent une évolution baissière comparée à 2021. Ainsi, les produits préfabriqués en béton à destination du bâtiment et des travaux publics affichent un résultat en retrait de – 2,1 %. Pour les premiers, les situations sont variées selon les familles de produits, comparées à l’année 2021. Notons les avancées positives pour l’ensemble poutrelles (+ 4,9 %), pour les prédalles (+ 2,9 %) et pour les entrevous béton (+ 0,2 %). Seuls, les blocs et les dalles de planchers béton sont en retrait, respectivement de &#8211; 2,4 % et &#8211; 23 %. Pour les seconds, la quasi-totalité des produits sont en retrait au regard de l’année 2021. A savoir les dalles de voirie (- 16,8 %), les clôtures (- 17,6 %), les regards (- 4,2 %), les pavés (- 0,5 %). Seuls, les bordures et les tuyaux armés connaissent une hausse à + 3 %. Lire aussi&nbsp;: FFB&nbsp;: Coup de froid sur le logement neuf Une prévision de baisse de l’ordre de &#8211; 6 % à &#8211; 8 % pour 2023 Après une année 2022 marquée par les conséquences économiques des évènements internationaux, les perspectives de l’année 2023 confirment l’accentuation de la tendance baissière par rapport à l’année 2022. Les dernières données disponibles Markemétro concernent les ventes de maisons individuelles. Celles de l’Observatoire des promoteurs immobiliers celles des logements collectifs. Les deux prédisent des baisses pour ces deux segments significatives en 2023. En revanche, la construction des bâtiments non résidentiels sera en légère progression, après une année 2022 plutôt dynamique. L’évolution, en volume, des produits préfabriqués en béton destinés au secteur du bâtiment serait comprise entre &#8211; 7 % et &#8211; 9 %. En se décomposant de la façon suivante : blocs (- 9 % à &#8211; 11 %) et poutrelles de (- 8 % à &#8211; 10 %). Pour les prédalles et les dalles de planchers, les prévisions sont de l’ordre de &#8211; 4 % à &#8211; 6 %. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 147 jours

L’association des IFRB devient Batys Compétences

Le changement de nom s’accompagne d’un nouveau logo et d’un nouveau site Internet [©Batys Compétences] Depuis le 1er janvier 2023, l’association des Instituts de formation et de recherche du bâtiment (IFRB) est devenue Batys Compétences. Ce changement de nom s’accompagne d’un nouveau logo et d’un nouveau site Internet. Créée en 1960 sous l’égide de la FFB, cette association a vocation d’accompagner les chefs d’entreprise dans le développement des compétences de leurs entreprises. Un réseau de formation sur tout le territoire Désormais, Batys Compétences représente un réseau national de 20 organismes de formation de qualité, certifiés Qualiopi. Il s’agit pour lui d’amplifier une nouvelle offre de services et de produits. Ceci, pour répondre aux besoins de formation de tous les professionnels du bâtiment. De la formation réglementaire à la performance énergétique, en passant par le lean management1, les différents centres de formation accompagnent les artisans et entrepreneurs pour développer leurs compétences et celles de leurs collaborateurs. Lire aussi&nbsp;: FFB&nbsp;: Coup de froid sur le logement neuf « Batys Compétences, c’est ajouter la force d’un réseau à la compétence de nos IFRB. Partenaire majeur de la profession, le réseau Batys Compétences accompagne les professionnels pour atteindre leurs objectifs, booster le développement de leurs compétences et celles de leurs collaborateurs. Et ainsi maîtriser les évolutions de nos métiers en lien avec les marchés et ceux à venir », explique Philippe Piantoni, chef de file des IFRB au sein de la FFB. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;! 1Le lean management est une méthode de gestion et d’organisation du travail qui vise à améliorer les performances d’une entreprise.