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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3892 résultats)
Il y a 2 ans et 253 jours

Philippe Jouy, directeur général adjoint de Bouygues Construction

Philippe Jouy est le nouveau DG adjoint de Bouygues Construction, en charge de Bouygues Bâtiment. [©Bouygues Construction] Nommé directeur général adjoint de Bouygues Construction, Philippe Jouy est en charge de Bouygues Bâtiment France. Il était précédemment à la tête de la zone Asie de Bouygues Bâtiment International, après avoir été président, de 2015 à 2021, de Bouygues Bâtiment Nord-Est. Il a rejoint le groupe Bouygues en 1993 dans des fonctions financières, après un début de carrière aux Etats-Unis en tant qu’ingénieur environnement. « La singularité de notre modèle associant entreprise générale et développement immobilier, l’engagement et les expertises des équipes, ainsi que l’ancrage local de Bouygues Bâtiment France sont nos meilleurs atouts. Ils nous donnent les moyens de renforcer notre position de partenaire de préférence des territoires, en les accompagnant sur des projets catalysant dynamique locale et transition environnementale » a déclaré Philippe Jouy. Ce dernier est diplômé de l’ESTP, d’un Master of Science de l’université de Birmingham et d’un MBA de la London Business.
Il y a 2 ans et 253 jours

Lancement de la 19e éditions des Génies de la Construction !

La date de clôture des inscriptions du concours Les Génies de la Construction ! est fixée au 20 janvier 2023. [©DR] La 19e édition du concours Les Génies de la Construction ! est ouvert aux élèves des collèges et lycées. Ainsi qu’aux étudiants de l’enseignement supérieur. Véritable démarche interdisciplinaire, ce concours est une belle opportunité de faire connaître aux jeunes la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics. Les compétiteurs concernés sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l’aménagement des territoires. Ceci, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. Inscriptions jusqu’au 20 janvier 2023 En collège et en lycée, les élèves sont encadrés par les enseignants, qui inscrivent une ou plusieurs équipes au concours. Dans l’enseignement supérieur, les étudiants s’inscrivent eux-mêmes… Soit à titre individuel, soit pour présenter un projet commun. Des enseignants et des acteurs du secteur de la construction ont élaborés le règlement de participation au concours. Ce dernier cherche à répondre et à s’adapter aux attentes des programmes d’enseignement et aux besoins des professionnels du secteur. Les Génies de la construction ! récompensent le travail autour d’une production relative à la réalisation d’une construction ou d’un aménagement. Il peut s’agir d’une maquette physique ou virtuelle, d’une conception numérique de la concrétisation d’un projet… La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2023. Inscriptions, informations complémentaires et règlements disponibles ici.
Il y a 2 ans et 257 jours

Sateco – Outinord : Un même groupe, mais deux stratégies

A gauche, Luc Ammeux, tout nouveau directeur général d’Outinord. A droite, Frédéric Quillévéré, directeur général de Sateco. [©ACPresse] C’est en toute discrétion que la maison-mère de Sateco a pris le contrôle à 100 % d’Outinord. Une opération initiée il y a environ une année et mise à profit pour commencer à remettre sur les rails ce spécialiste de la banche-outil basé à Saint-Amand-les-Eaux (59). Mais aussi pour construire une stratégie de groupe plus globale. Garder les deux marques totalement indépendantes l’une de l’autre en est le fondement. « A aucun moment, il n’a été question d’une quelconque fusion, confirme François Guilloteau, président de la maison-mère. Il était essentiel de laisser vivre Outinord, d’un côté, et Sateco, de l’autre, avec chacun leurs spécificités et leurs spécialités. » Deux nouveaux directeurs généraux En conséquence, sur le terrain, les deux industriels poursuivent leur co-existence dans le cadre d’une saine concurrence. L’objectif est que chacun réponde au mieux aux attentes, tant des grands groupes de BTP que des petites et moyennes entreprises. Pour Outinord, le changement d’actionnaires a permis la mise en place d’une nouvelle équipe dirigeante, dont l’arrivée de Luc Ammeux, en tant que directeur général, constitue l’aboutissement. A lui de poursuivre le travail engagé, avec l’instauration d’un programme de développement propre à la marque Outinord.Sateco, lui aussi, a vu l’arrivée d’un nouveau directeur général en la personne de Frédéric Quillévéré, par ailleurs successeur de François Guilloteau. Benoît Sabourin est, lui, le 4e personnage de l’histoire. Il seconde François Guilloteau, en assurant la fonction de directeur général du groupe. Auparavant, il occupait le poste de directeur général adjoint de Sateco et de directeur administratif et financier (depuis 2014). L’international comme vecteur de croissance Enfin, Patrick Micheneau représente le dernier homme de cette aventure. En charge de l’essor à l’international de Sateco, il en assurait aussi les fonctions de directeur général adjoint. Aujourd’hui, il a pris la responsabilité du développement international du groupe (plus de 110 M€ de chiffres d’affaires et 600 collaborateurs). L’ex-division indienne “Outinord Formworks” a été placée dans son giron. Et ce n’est que le début d’une reprise de croissance en dehors des frontières hexagonales. Pour mémoire, de par le passé, Outinord était parti à la conquête des Etats-Unis avec un certain succès, en particulier en Floride… Toutefois, l’actualité est africaine en ce moment. C’est sur ce continent, en Côte d’Ivoire, que vient d’être inaugurée, une filiale Sateco. Ceci, alors même qu’un revendeur Outinord y opère déjà. Une manière de montrer, à ceux qui doutent encore, que chaque marque mène bien sa propre vie !
Il y a 2 ans et 259 jours

Léon Grosse décroche la médaille EcoVadis Platinum pour sa politique RSE

« Une belle reconnaissance pour nous », insiste Olivier Delamarre. [©Léon Grosse] Léon Grosse est un groupe diversifié du BTP, doté de trois grands pôles. A savoir, la construction, les solutions aux défis sociétaux et environnementaux, et l’immobilier. « Un changement, une évolution s’opèrent en ce moment chez Léon Grosse. Sa raison d’être évolue, explique Olivier Delamarre, directeur stratégie, développement et RSE. Nous souhaitons passer d’une entreprise de construction à un groupe diversifié de BTP. De nouveaux métiers liés à la transition environnementale se créent. Nous restons toujours ancrés sur nos acquis historiques, mais nous nous projetons dans l’avenir. Et cela passe par le déploiement d’une politique RSE. Et ce, à tous les niveaux du groupe. » Une politique RSE ambitieuse C’est dans ce cadre que le groupe a obtenu la médaille Platinum pour sa politique RSE1, décernée par EcoVadis. Cette agence de notation extra-financière est chargée d’évaluer 90 000 entreprises à travers le monde. « Une belle reconnaissance pour nous », insiste Olivier Delamarre. Léon Grosse a décroché un score global de 75/100 (+ 9 points par rapport à 2021). Ceci, parmi les 1 % des entreprises les mieux notées et les 2 % issues du secteur de la construction (environ 800 entreprises notées). « Cette progression illustre la mise en place de politiques et d’objectifs quantitatifs dans le domaine de l’environnement, du social ou encore des achats responsables. C’est le reflet de l’ambition de Léon Grosse. Notre démarche RSE constitue “le bras armé” de notre engagement, au cœur de notre stratégie de développement. Elle est le véritable levier de transformation pour l’entreprise. » 1Responsabilité sociétale des entreprises.
Il y a 2 ans et 260 jours

Le laitier de hauts fourneaux, émetteur de 83 kg éq. CO2/t

Le laitier de hauts fourneaux se voit affecté d’une allocation carbone de 83 kg éq CO2/t. A quoi il convient d’ajouter les 16 kg/t liés au transport, au séchage et à la préparation du laitier… [©ACPresse] Ce sera donc 83 kg éq CO2/t pour le laitier de hauts fourneaux. Le programme Inies a validé en juin dernier la recommandation de la Direction de l’Habitat, de l’Urbanisme et des Paysages (DHUP) d’affecter au sous-produit de la fonte, une partie des émissions de carbone liée à la production de l’acier. Aujourd’hui, c’est au tour du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) d’annoncer travailler à la mise à jour complète de ses déclarations environnementales produits (DEP) Ciments. Avec une publication prévue au premier trimestre 2023. Ceci, pour tenir compte de l’entrée en application de la norme NF EN 15804 dans sa version A2/CN*, programmée courant octobre 2022. Pour certains ciments, cette démarche entraînera une évolution de leur impact proportionnellement à leur teneur en laitier… Il s’agit là d’un changement important. En effet, seuls, les impacts liés au transport, au séchage et à la préparation du laitier n’étaient pris en compte, jusqu’à présent, dans les valeurs carbone des ciments concernés. C’est-à-dire environ 16 kg éq CO2/t. A additionner aujourd’hui aux 83 kg arbitrés… Arrondi à 1,4 % par la DHUP Le nouveau principe retenu est celui d’une allocation économique entre la fonte (acier) et le laitier de hauts fourneaux, établie à hauteur de 1,4 %. Ce pourcentage est issu d’un calcul fondé sur le prix estimé de la fonte (410 €/t) et du laitier (20 €/t) en sortie de hauts fourneaux, sachant que 1 t de fonte génère la production de 275 kg de laitier. Il a été établi par la DHUP sur la base d’échanges avec les parties prenantes et d’experts ACV. L’allocation est ensuite calculée à partir de la formule : • 20 €/t x 0,275 t divisée par 410 €/t + (20 €/t x 0,275 t), ce qui donne 1,32 %, arrondi au pourcentage supérieur par la DHUP… Soit 1,4 %. Ainsi, dans le contexte actuel, l’impact de la production de 1 t de fonte est de l’ordre de 1 623 kg éq CO2. A partir de cette donnée, on calcule l’impact du laitier comme suit : • 1 623 kg x 1,4 %, ce qui donne 22,72 kg éq CO2 pour 0,275 t de laitier. Ramené à la tonne, on arrive à 82,6 kg éq CO2 pour être précis. Un résultat qui peut changer légèrement. Car, selon la base de données utilisée, la valeur de l’impact de la production de la fonte est sujet à variation. Toutefois, on reste sur un chiffre situé aux alentours des 80 kg éq CO2/t… Une allocation carbone différente dans chaque pays… Cet arbitrage, la profession cimentière l’appelait de ses vœux depuis longtemps. « La mise à jour de nos DEP Ciments est la conséquence des nouvelles directives dues par le régulateur, détaille Bruno Pillon, président du Sfic. C’est pour la filière une opportunité de mieux mesurer l’impact environnemental de ses ciments. Et de poursuivre les travaux pour identifier les solutions qui permettront d’abaisser ce poids carbone. Mesurer avec précision l’impact carbone des matériaux est une exigence pour toute la filière de la construction. » L’allocation de 83 kg éq CO2/t (+ 16 kg liés au transport, au séchage et à la préparation du laitier) est spécifique à la France. Mais les autres pays européens s’inscrivent plus ou moins dans une démarche comparable. Toutefois, chaque programme de déclaration (équivalent Inies dans les autres pays) applique sa propre règle, selon différentes typologies d’allocation autorisées par la norme NF EN 15804 et selon leur contexte national… Ce qui risque, malgré tout de créer quelques distorsions concurrentielles aux frontières. *Norme NF EN 15804 : Contribution des ouvrages de construction au développement durable – Déclarations environnementales sur les produits – Règles régissant les catégories de produits de construction.
Il y a 2 ans et 262 jours

Lafarge dynamise le secteur du BTP dans les Hauts-de-Seine

Lafarge France a ouvert un programme d’accompagnement pour stimuler le développement des jeunes entreprises innovantes dans les Hauts-de-Seine. [©AC Presse] Afin de créer de l’activité dans le secteur de la construction, Lafarge France et la préfecture des Hauts-de-Seine (92) présentent un programme d’accompagnement des entreprises innovantes. Avec l’aide de l’incubateur Impulse Partners, les 2 organisateurs se lancent un défi. Ils souhaitent contribuer au développement de jeunes entreprises locales, dont l’activité est centrée sur la construction. Ainsi, pour solliciter les start-up du secteur, un appel à candidatures a été émis dans le cadre de l’éco-système innovant du département. Les jeunes entreprises avaient jusqu’au 16 septembre 2022 pour présenter une innovation dans le BTP. Condition sine qua non pour voir son dossier accepté : installer son siège social ou ses principaux bureaux dans le 92.  Un accompagnement spécifique Par la suite, entre septembre et octobre 2022, le jury sélectionnera les différents projets qu’il souhaite soutenir. Mené par Impulse Partners et des experts de Lafarge France, un accompagnement spécifique et gratuit pendant un an sera ensuite proposé aux start-up les plus innovantes. Des ateliers avec d’autres entreprises leur permettront de se faire connaître sur ce marché local de la construction. 
Il y a 2 ans et 263 jours

L’abri de fortune de Baptiste César fait la part belle au béton de bois

L’artiste Baptiste César expose une installation en forme d’abri de fortune en béton de bois, située dans le square Renaudel, à Montrouge. [©Baptiste César] Sélectionné par les Montrougiens dans le cadre du concours “Art dans la ville”, l’artiste Baptiste César (né en 1983) expose une installation en forme d’abri de fortune située dans le square Renaudel. L’idée de ce concours : permettre aux jeunes créateurs de s’exposer dans les rues, les places, les jardins… de la ville de Montrouge (92). L’abri a été réalisé en béton de bois. Et à partir d’éléments de mobilier urbain collectés dans le cadre des travaux du Grand Paris. Il a une drôle d’allure, semblable à une cabane faite de bric et de broc. C’est intriguant… « J’aime bien le côté surréaliste d’une architecture, dont on ne sait pas très bien à quoi elle sert. » C’est tout à fait ça, une folie ou une chapelle moderne, dont un lampadaire sort du toit. Une étrange structure réalisée en béton de bois TimberRoc de CCB Greentech. Avec une charpente en palette de bois et un toit en tôle métallique provenant de conduits d’aération. Un vrai modèle d’upcycling. Sorti de l’imaginaire de l’artiste « J’aime bien le côté surréaliste d’une architecture, dont on ne sait pas très bien à quoi elle sert », explique Baptiste César. [©Baptiste César] L’abri se pare aussi de grilles d’arbres parisiennes en guise de vitraux. Les murs sont recouverts de briques à l’extérieur et de carreaux de métro parisien à l’intérieur. Des motifs en forme de queue de paon, réalisés à partir de pavés parisiens noyés dans la résine, agrémentent les murs. Enfin, un banc public prend place au sein de l’abri. « Je cherchais un matériau écolo. Le béton de bois de CCB Greentech m’est apparu évident. » Ce béton de bois est réalisé avec un mélange innovant composé de plaquettes de bois broyées certifiées PEFC et d’un ciment qui assure résistance et durabilité. Sensible aux paysages et aux habitants, Baptiste César a entrepris d’abord d’explorer la ville. Au gré de ses déambulations et de ses rencontres, il s’est nourri de pratiques pluridisciplinaires. Il y a découvert des matériaux, des équipements et des expertises à partir desquels il a imaginé un projet en relation avec le site qui l’accueillait. Les objets que l’artiste a glanés sont agencés de manière à détourner leur fonction première. Ceci, pour créer un module architectural à l’image de l’esthétique de la ville et accessible à tous. Chacun peut ainsi s’approprier l’abri de fortune de Baptiste César comme il le souhaite… M. C.
Il y a 2 ans et 263 jours

Béton[s] le Magazine s’installe à Batimat

Béton[s] le Magazine s’installe à Batimat. [©ACPresse] « Vous nous avez manqué ! », pourrait être le leitmotiv de chacun des exposants du Mondial du Bâtiment, qui se tient à partir du lundi 3 octobre, à Paris. Après deux années bien sombres, en termes de rendez-vous professionnels – on s’en rappellera du Covid -, voici enfin le retour de la vie en vrai. Sans écrans interposés, sans problèmes de connexion, sans poutres en faux chêne qui apparaissent en arrière-plan… C’est donc avec joie non dissimulée que nous nous apprêtons à vous accueillir sur notre stand numéroté P134, au sein du Hall 1, dans la zone dédiée au gros œuvre, comme il se doit. Toutefois, il y aura un petit jeu de piste pour nous trouver. En effet, l’organisateur de l’évènement a choisi de déplacer notre stand en toute dernière minute… Ainsi, il faudra chercher le P134, en toute logique, au fond de l’année T. Pour faciliter les choses, il suffit de se référer au plan ci-joint. Repartir avec “Les bétons de A à Z” Mais une fois notre stand atteint, pour chacun de vous, ce sera l’occasion d’échanger avec l’équipe du journal, au grand complet. Pourquoi pas, d’acquérir quelques numéros plus anciens, dont l’indispensable n° 100 spécial anniversaire. Ou encore de découvrir notre superbe dictionnaire “Les bétons de A à Z”, dans sa 3e édition. Dès que vous l’aurez vu, vous n’aurez qu’une seule envie : repartir avec ! Ça tombe bien, nous en avons encore un peu en stock, ainsi que des sacs pour faciliter son transport. Le rendez-vous est donc pris. Nous, on vous attend Hall 1 – Stand P134 (au bout de l’allée T…) ! Et pour patienter, rien de mieux que de découvrir en avant-première le dossier complet des nouveautés présentées sur Batimat… Rendez-vous Hall 1, sur le stand P134, au bout de l’allée T. Suivez le guide… [©ACPesse]
Il y a 2 ans et 265 jours

Dossier : Immaculées constructions

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. L’intérieur du lycée La Providence. [©Charly Broyez/Alta architecture] La Cité des vins et des climats de Beaune. [©Siz-Ix] La résidence Cosmopoly [©Taillandier Architectes Associés] Nouvel ehpad et nouveaux logements sociaux aux Mûriers[©A+Architectes] En traversant une simple goutte d’eau, la lumière blanche du soleil devient arc-en-ciel. L’ensemble des couleurs se révèle, depuis le rouge jusqu’au violet, en passant par toutes les nuances.  De par la puissance insoupçonnée d’une petite larme cristalline, le blanc se mue en maître des couleurs. Il en est la quintessence. Le désigner comme cocon d’une construction n’est donc pas une décision anodine, mais un choix affirmé. D’autant plus qu’il véhicule bien des symboliques. L’idée du silence, de la pureté, du mariage, de la naissance, de l’espoir. Tout du moins en Occident.  Ainsi, les immaculées constructions qui jalonnent l’espace urbain n’ont peut-être de blanc que l’image, cachant leur véritable nature derrière une simple goutte d’eau et dont seul, l’architecte connaît la vérité. Dossier préparé par Sivagami Casimir Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Mini-sommaire : • Lycée La Providence : Lumières malouines • Cité des vins et du climat de Beaune : Blanc sur rouge, rien ne bouge • Résidence Cosmopoly : Révéler la trame du bâtiment • Ehpad et logements sociaux Mûriers : Une taille de guêpe
Il y a 2 ans et 265 jours

L’alliance HQE-GBC fait le show à Batimat

Page d’accueil de l’outil numérique “HQE Pour Tous”. [©HQE] Présente dans le Hall 1 – Stand J73 à Batimat, l’Alliance HQE-GBC propose des démonstrations de son nouvel outil numérique baptisé HQE Pour Tous. Cet outil est destiné aux acteurs de la construction pour leur faire découvrir les 26 thématiques, les engagements et les objectifs que cette norme englobe. Il a pour objectif de faciliter la compréhension des cadres de références réunis autour de quatre engagements. A savoir, la qualité de vie, le respect de l’environnement, la performance économique et le management responsable. En partenariat avec l’école des Ponts Paris Tech, l’association participe aussi au 2e volet du cycle de conférences internationales. En relation avec le mastère spécialisé dans l’immobilier et le bâtiment durables, les transitions carbone et numérique. Ceci, aux côtés d’experts issus des 5 continents. Découvrez l’intégralité du dossier ici : “Batimat : Le plein d’innovations pour l’efficacité énergétique“
Il y a 2 ans et 265 jours

Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. SFB est essentiellement présente dans le Val-de-Marne. [©SFB] Dans le paysage des BPE franciliens, Société francilienne de béton (SFB) tente de se faire une place depuis le Val-de-Marne. « Nous avons quatre unités de production de béton qui se situent à Bonneuil-sur-Marne, à Ivry-sur-Seine et à Valenton, explique Stéphane Troussard, directeur général de l’entreprise. Nous proposons aussi à nos clients quatre unités de production mobiles. Ce qui nous permet de nous adapter à chaque chantier et à ses particularités. Mais aussi aux différents besoins de nos clients en matière de production de BPE. » Reprise par les Carrières Nivet en 2019, SFB a pour ambition de promouvoir le béton décarbonné sur sa zone de chalandise. Pour cela, elle a signé un partenariat avec Hoffmann Green Cement. « Nous sommes deux producteurs de BPE à avoir l’exclusivité en Ile-de-France et nous sommes les seuls indépendants. Ce partenariat nous permet d’apporter une vraie solution avec de la valeur ajoutée à nos clients. Dans la même idée, début 2023, nous allons diversifier notre gamme de solutions produits et services. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Outre ses produits, SFB s’appuie, depuis le rachat, sur la valeur de ses hommes et de ses savoir-faire. « Nous avons une structure d’une quarantaine de femmes et d’hommes engagés, avec peu de turn-over. L’ancienneté moyenne des collaborateurs se situe autour des 15 ans. Nous impliquons tout le monde dans nos projets, notamment en matière de RSE. En l’espèce, les employés ont majoritairement répondu présent pour apporter leur soutien à une association luttant contre le cancer du sein1. Nous sommes aussi membres du label “Global Compact” de l’Onu en matière de RSE. » Ce qui n’empêche pas SFB d’être active sur le marché francilien de la construction, comme sur les lots T2a et T2b de la ligne 15 du Grand Paris.  1Courses caritatives Odysséa. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 265 jours

Islande : Trois mois pour un nouveau tarmac

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. L’agrandissement du tarmac a été réalisé à partir de 31 bandes individuelles reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. [©Wirtgen] A environ 50 km au Sud-Ouest de Reykjavik, la capitale de l’Islande, se situe la ville portuaire de Keflavík. Pourtant, ce n’est pas du côté des navires marchands qu’il faut regarder, mais de celui de l’aéroport. En effet, le tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses (dans la partie militaire) viennent de faire l’objet d’un agrandissement. De 6,5 ha, pour le premier, et d’un peu plus de 9 000 m2, pour la seconde. Des travaux exécutés sous l’égide du gouvernement américain, maître d’ouvrage du projet. D’où une référence au système de mesure impérial utilisé aux Etats-Unis, retranscrit ici en données métriques… Mais c’est bien l’entreprise allemande Hib Infra (à travers sa filiale locale Hib Iceland) qui a décroché le contrat de réalisation. En raison des conditions climatiques du pays, le chantier a été planifié de début juillet à fin septembre 2021. La surface à réaliser a été divisée en 31 bandes individuelles de béton, reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. Côté matériels, l’entreprise a opté pour la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen. Cette dernière a travaillé par couche de 7,62 m de large pour une épaisseur allant de 41 cm à 45 cm. Soit une moyenne de 900 m3 de béton posés par jour. Une planéité supérieure aux exigences Sans nécessité d’essais pratiques, il a été possible de réaliser presque immédiatement les premières bandes pilotes. Tout de suite, celles-ci ont présenté une qualité optimale dans tous les paramètres exigés. A savoir, le compactage du béton, sa résistance à la compression, la rugosité de la surface ou encore son adhérence. Les exigences relatives à la planéité des surfaces aéroportuaires sont aussi très élevées. Sur l’aéroport de Keflavík, l’irrégularité maximale autorisée était de 4 mm sur 4 m. La mesure réalisée selon les prescriptions techniques d’essai de planéité (système allemand TP Eben 2007) a toutefois montré que les écarts étaient nettement plus faibles. Sur l’aéroport de Keflavik, la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen a assuré la pose précise de béton en une couche de 7,62 m de large et d’une épaisseur entre 41 cm et 45 cm. [©Wirtgen]Le béton a été posé à l’aide d’une pelle mécanique œuvrant devant la SP 62i, puis régulé de manière homogène avec la lame de répartition de la machine. [©Wirtgen] Des bords verticaux de 90° sont indispensables pour assurer une parfaite liaison avec la bande suivante. [©Wirtgen]« Le secret de notre réussite réside dans le travail d’équipe. C’est pourquoi nous apprécions notre partenariat de longue date avec Wirtgen, qui sait fournir des solutions pour la réussite de nos projets », explique Matthias Neumann, gérant de l’entreprise Hib Infra. [©Wirtgen] Donc la planéité obtenue bien supérieure aux exigences. Idem pour le profil : le dévers était très réduit, de l’ordre de 1 % à Keflavík. Des critères de qualité que seules, une équipe bien rodée et la technologie adaptée permettaient d’atteindre. En effet, le SP 62i intègre un système de nivellement et de direction de haute précision, ainsi qu’un talochage longitudinal automatique. « Sur ce projet, nous avons vécu une excellente collaboration avec l’équipe de Wirtgen. Ainsi, nous avons pu connaître un chantier au déroulement presque sans heurt », explique Hendrik Wendt, chef de chantier et spécialiste du béton de l’entreprise Hib Infra & Co. Un béton d’une classe de résistance C35/45 « Afin de tenir les délais annoncés, nous avons renoncé à la pose préalable de coffrages fixes pour chaque bande », reprend Hendrik Wendt. Aussi, les bords extérieurs de ces bandes ont représenté un véritable défi pour la pose à l’aide d’une machine à coffrage glissant SP 62i. Ils devaient être parfaitement perpendiculaires et avec netteté sur toute la longueur, pour ne pas se désolidariser. C’était là l’unique solution permettant d’évacuer l’eau de pluie correctement pendant l’exploitation. D’une manière générale, un béton est toujours fabriqué à partir de ciment, d’eau et de différents granulats. Pour pouvoir répondre aux exigences découlant des contraintes d’usages auxquelles le nouveau tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses seront soumis, des coupures granulaires supplémentaires ont été nécessaires… De même qu’une étude plus approfondie de ces composants. Enfin, les exigences liées à l’agrandissement de l’aéroport de Keflavík imposaient un béton de la classe de résistance C35/45. Une formulation mise en place avec les techniciens d’application de Wirtgen et optimisée pour la pose avec une machine à coffrage glissant. Une démarche tout à fait classique pour atteindre les niveaux de qualité élevée, malgré un délai contraint. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 265 jours

Le « Mémento Urbanisme-Construction » : Une véritable bible

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine [©DR] Le “Mémento Urbanisme-Construction” est La référence du droit de l’urbanisme et de la construction. Il analyse tout sous l’angle juridique, fiscal et comptable. Il intègre les dernières actualités, des exemples chiffrés, des tableaux de synthèse. Mais aussi de nombreuses illustrations de jurisprudence, des mises en garde et conseils. Du droit des sols à l’assurance construction et la responsabilité des constructeurs, en passant par les opérations d’édification et de commercialisation de l’immeuble, ce guide pratique prend en compte l’ensemble de la réglementation de l’urbanisme et de la construction. En quelque 1 600 p, il est précis et opérationnel. Incontournable… Editeur : Editions Francis Lefebvre Prix : 175 €TTC https://www.efl.fr Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 265 jours

Cité des vins et du climat, Beaune : Blanc sur rouge, rien ne bouge

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. La Cité des vins et des climats de Beaune s’élance sur une hauteur de 24 m et accueillera un espace d’exposition, l’école des vins, des bureaux, un bar et une terrasse panoramique. [©Siz-Ix] Sur une longueur de 60 km, la route des Grands Crus traverse de prestigieux domaines viticoles. Elle va de Dijon jusqu’à Santenay, en passant par Beaune. En dehors des Pommard, Romanée-Conti et autres Meursault, la Bourgogne regorge de pépites pour les amoureux du vin. Car, la région est parsemée de “climats”, noms de ses parcelles de vignes classées au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2015. Afin de célébrer cette richesse culturelle, façonnée depuis des millénaires, la ville de Beaune a initié la construction d’une Cité des vins et des climats1. Et c’est toujours dans l’idée de s’ancrer Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 265 jours

Résidence Cosmopoly : révéler la trame du bâtiment

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Les architectes ont travaillé sur une trame très urbaine avec une écriture qui s’intègre dans la liaison entre la Zac et une porosité vers le parc. [©Taillandier Architectes Associés] La Zac Eurêka dans la commune de Castelnau-le-Lez est un projet ambitieux. Porté par la Métropole de Montpellier et piloté par l’architecte Emmanuel Nebout, le nouveau quartier mêle des équipements de type bureaux ou commerces ou encore des logements. Outre la pluralité des réalisations, la Zac s’ancre dans une démarche d’éco-cité, respectueuse de la biodiversité et des personnes qui la composent. Le chantier, toujours en cours, met aussi l’accent sur la transition digitale et énergétique à grand renfort d’innovations et d’énergies Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 265 jours

Lycée La Providence : lumières malouines

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Une structure composée de “V” porte l’atrium et tous les planchers alvéolaires latéraux. Cela permet de libérer complètement l’espace. [©Charly Broyez/Alta architecture] Pour ses nouveaux locaux, l’institution La Providence a vu grand. Le lycée a quitté Saint-Malo intra-muros pour s’installer dans le quartier de Paramé, à l’Est de la ville. Ici, l’établissement s’articule autour de trois entités en R+2. Ces dernières rassemblent un établissement Post Bac de 6 classes regroupant 150 étudiants, ainsi qu’une cafétéria au rez-de-chaussée et un lycée de 10 classes avec des plateaux techniques et administratifs de 350 élèves. Et enfin, une salle de sport. « Les espaces créent finalement un ensemble compact fédéré autour d’un grand atrium », explique Maxime le Trionnaire, architecte associé de l’agence Alta. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 265 jours

Ehpad et logements sociaux Mûriers : Une taille de guêpe

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Au-dessus de l’Ehpad, trois bâtiments de trois étages accueillent les espaces d’habitations – 50 logements sociaux au total. [©A+Architectes] Au sein du nouvel éco-quartier la Zac Eurêka, à Castelnau-le-Lez (34), A+Architecture a imaginé un bâtiment mixte. Avec d’une part, d’un Ehpad et, d’autre part, de logements sociaux. Toutes les façades du bâtiment sont en béton blanc. Le matériau est traité de manière lisse ou matricée. La partie “hébergement pour personnes âgées” s’étale sur les trois premiers niveaux avec un socle en forme de “U”. « Ce socle en béton blanc matricé a été réalisé avec une matrice Noe donnant un effet lame de bois, précise Odran Bastide, conducteur de travaux principal chez Bec Construction Languedoc. Par ailleurs, nous avons opté pour l’utilisation de mannequins aluminium pour garantir un rendu continu tout le long de la réalisation de l’ouvrage. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 265 jours

Chryso : Au cœur de la stratégie de Saint-Gobain

Article paru dans le n°102 de Béton[s] le Magazine. Thierry Bernard est le président de Chryso depuis plus de 10 ans aujourd’hui. [©ACPresse] A l’échelle de la planète, le marché de la chimie de la construction pèse près de 90 Md€. Il y a donc encore beaucoup de place pour les concentrations industrielles. Avec Weber à son capital, après le rachat de Chryso en 2021 et l’intégration effective de GCP Applied Technologies durant le second semestre 2022, Saint-Gobain entend y jouer un rôle de premier plan. « Cette activité particulière devrait représenter un chiffre d’affaires de l’ordre de 4 Md€ », souligne David Molho, directeur général des solutions de haute performance de Saint-Gobain. Certes, derrière le mastodonte Sika et ses 8 à 9 Md€ annoncés, mais en très bonne position. D’autant plus, comme le souligne Thierry Bernard, président de Chryso, que « la construction en tant que telle est avant tout un marché local, qui bénéficie et bénéficiera de réponses locales ». Ainsi, à travers Chryso, Saint-Gobain vient de renforcer ses positions en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. GCP Applied Technologies, lui, apporte les Amériques et la zone Asie-Pacifique. Ce qui est d’une importance stratégique, quand l’activité du groupe est organisée à 80 % par pays… Consolidée par la présence de 263 sites de production locale… Réduire l’empreinte carbone du béton L’important essor de Saint-Gobain dans le domaine de la chimie de construction s’explique aussi par sa volonté d’apporter des solutions concrètes pour lutter contre le changement climatique. « Notre industrie est en train de muter, à cause ou grâce au développement durable », reprend Thierry Bernard. A ce niveau, la France vient de franchir un seuil particulier avec l’entrée en application de la RE 2020. « Cette règlementation va avoir un effet d’entraînement sur le secteur de la construction et va stimuler les efforts de R&D. » A lui seul, Chryso y consacre près de 3 % de son chiffre d’affaires, qui se monte à quelque 400 M€. L’industriel des adjuvants indique ainsi réaliser 35 % de son activité sur des produits ayant moins de 5 années d’existence. Telle la ligne EnviroMix, qui permet de réduire jusqu’à 70 % l’empreinte carbone d’un béton. Chryso, c’est aussi 5 centres de R&D, 26 laboratoires appliqués, 200 chercheurs, ingénieurs et techniciens, 340 brevets actifs et 1 500 collaborateurs en tout. « Malgré cela, Chryso était devenu trop petit face aux enjeux actuels et futurs », souligne Thierry Bernard. Des stratégies croisées avec Weber Son intégration au sein de Saint-Gobain s’inscrit donc dans une stratégie de développement tout à fait logique. Et qui sera renforcée par GCP Applied Technologies dans les mois qui viennent, ainsi que par des investissements. A l’image de la mise en service d’une nouvelle usine de production d’adjuvants, sur le site Isover d’Hyderabad, dans le Sud de l’Inde. Ou encore avec l’installation de nouvelles capacités sur le site Weber en Côte d’Ivoire. A l’échelle de la France, Chryso entend mettre en place des stratégies croisées avec Weber. Déjà en proposant la vente d’adjuvants via la distribution. Ensuite, en se déployant sur les marchés du gros œuvre bâtiment et des infrastructures. L’industriel veut aussi promouvoir ses bétons décoratifs avec Weber. Ou encore ses technologies de chapes fluides. Toutefois, il n’y a aucune volonté de fusionner les activités “chapes” des deux entités, car « les typologies de clients ne sont pas les mêmes », confirme Thierry Bernard. Et de poursuivre : « Chryso travaille en direct avec le BPE, tandis que Weber vend ses chapes en sacs aux applicateurs finaux ». Bien entendu, ces approches commerciales différentes n’interdisent pas la mise en place de synergies, en termes de développements de produits… Frédéric Gluzicki Article paru dans le n°102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 266 jours

Val-d’Oise : Lafarge et la SRNB lancent le premier chantier bas carbone d’Ile-de-France

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lafarge et la SNRB s’engagent dans le développement de béton EcoPact. [©Lafarge] Lafarge et la Société nouvelle régionale du bâtiment (SNRB) signent le premier partenariat d’Ile-de-France pour le développement de bétons bas carbone EcoPact. Cette gamme maximise l’intégration de calcaire, de matériaux hydrauliques ou pouzzolaniques. Et propose un niveau de réduction de CO2allant de 30 % à un taux d’impact neutre en carbone. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France A l’occasion de ce partenariat, le premier chantier 100 % bétons bas carbone a démarré en Ile-de-France, à Herblay-sur-Seine. A savoir, la construction de la médiathèque de la ville dans le cadre de laquelle 1 200 m3 de béton EcoPact ont été coulés. Les équipes de la SNRB ont pu compter sur l’accompagnement technique de l’agence Lafarge Bétons Vallée de Seine. Et ont procédé à des tests avec différentes formules pour arriver à un résultat optimal. « Lorsqu’on nous a parlé d’un partenariat bas carbone, cela nous a intéressés. Parce que nous nous demandions comment nous positionner par rapport à cette problématique, explique Mahmut Cakir, Dg de la SNRB. Nous étions conscients qu’il ne fallait pas louper le virage bas carbone. Ce partenariat arrive donc au bon moment et se concrétise par un premier chantier. » Au final, environ 130 t de CO2 seront économisées pour le projet.  Par ailleurs, la médiathèque est composée de voiles coulés en béton auto-plaçant bas carbone. Cela permet une qualité de parement soignée. Ce nouveau partenariat vient confirmer l’intérêt que représente EcoPact. Pour preuve, depuis le lancement de cette stratégie en 2020, plus de 20 entreprises se sont lancées dans la réalisation de chantier bas carbone à travers toute la France. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 266 jours

Faymonville : la remorque “spécial préfa”

La PréfaMax répond aux besoins de logistique de l’industrie du béton. [©Faymonville] Le Luxembourgeois Faymonville débarque à Munich avec une large palette de matériels, exposée sur une surface de plus de 1 400 m2. Au cœur de cette sélection figure une semi-remorque tiroir PréfaMax en version extensible. Il s’agit de la solution la plus avancée pour le transport des éléments préfabriqués et autres charges spéciales. « Notre technologie de semi-remorques tiroirs est révolutionnaire et combine des décennies d’expérience. Elle est désormais disponible dans sa dernière génération », indique Marco Andres, chargé du marketing. La PréfaMax est disponible à partir d’un poids à vide de 8,3 t. Le chargement et le déchargement sont effectués indépendamment d’un camion élévateur ou d’un chariot à fourche. En effet, la semi-remorque peut récupérer une palette à l’aide d’un levage hydraulique ou pneumatique.  Son agitateur hydraulique permet une utilisation avec tous les tracteurs du marché. La position du pivot d’attelage peut être adaptée aux véhicules à 2 essieux et 3 essieux. « Faymonville est le seul fabricant à proposer une telle flexibilité en standard ! » Dans sa version de 9,80 m de long, la PréfaMax est conçue pour une utilisation avec des tracteurs à 2 ou 3 essieux. Par ailleurs, sur la semi-remorque, le 1er et le 3e essieu peuvent être soulevés pour minimiser l’usure des pneus lors d’une conduite à vide. Enfin, la PréfaMax présente une largeur de 2,55 m, ce qui signifie qu’il n’y a pas de frais supplémentaires pour les escortes et les permis spéciaux. La semi-remorque intègre aussi beaucoup d’espaces de rangement pour des accessoires. Bauma – Zone extérieure FN – Stand 822/5 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Wayzz : De l’application à la suite logicielle

Wayzz vient de refondre Béton Sync’ en une suite logicielle s’articulant autour de six Solutions complètes. [©Wayzz] Cela fait plus de cinq années que Wayzz propose son offre de géolocalisation Béton Sync’. Aujourd’hui, l’éditeur la refond en profondeur pour la transformer en une suite logicielle s’articulant autour de six Solutions complètes. Ainsi, ce Béton Sync’ – que l’on pourrait baptiser 2.0 ou Nouvelle génération – reprend toutes les fonctionnalités de son aînée, principalement dispatchées dans les Solution Optimisation et Solution Dématérialisation. En parallèle, différents modules ou briques optionnels peuvent y être ajoutés selon les besoins. A l’image du module Planification, à intégrer dans Solution Optimisation Les quatre autres Solutions s’appellent Production, Client, Pompage et Affretés. Solution Production en est l’une des plus marquantes, car elle constitue une réponse inédite dans l’offre Wayzz. « Il s’agit de notre réponse aux besoins d’outils de pilotage pour centrales à béton, explique Jérôme Brage, président de Wayzz. Nous l’avons développée avec la société autrichienne Dörner. » Béton du Gard est la première entreprise de BPE à l’utiliser en France.  Solution Pompage est dédiée à la gestion des prestations de pompage gérées par l’entreprise de BPE dans le cadre de la fourniture du béton. Solution Client permet la mise à disposition des documents dématérialisés (bon de livraison, facture) au client final. Et lui ouvre aussi la porte au suivi de la toupie lui assurant la livraison de son béton. Enfin, Solution Affrétés donne accès aux locatiers travaillant avec un BPE aux principales fonctionnalités de Béton Sync’.    Bauma – Zone extérieure FS – Stand 904A/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Theam : T’as vu mon tapis ?

Avec Theam Link, chacun sait où se trouve son tapis à béton. [©Theam] C’est en partenariat avec Wayzz que Theam dévoile pour la première fois sa nouvelle offre baptisée Theam Link. Via un boîtier connecté installé sur les machines d’utilisateurs, cette solution donne accès à des données précises concernant l’utilisation du parc matériels, quelle qu’en soit la nature. Ceci, afin de l’optimiser, d’en faciliter le suivi et l’entretien. Trois types d’informations sont disponibles. A savoir, le suivi en temps réel de l’utilisation et de la localisation de la machine. Puis, l’historique des tours effectués, ainsi que leur détail, les alertes sécurité et entretien. Enfin, la possibilité de faire une demande d’intervention directe de la part de Theam. A l’aide de Theam Link, chacun peut savoir avec précision comment sa machine est utilisée. De quoi optimiser son utilisation, gagner en rentabilité et prolonger sa durée de vie. Sans compter que le suivi complet en temps réel permet d’identifier d’éventuelles dérives… Et grâce aux alertes sécurité et maintenance, aucune chance de passer à côté d’évènements clefs ou de voir son équipement immobilisé d’une manière impromptue. Theam Link est une solution évolutive. Elle s’adapte à toute taille et tout type de matériels, y compris les simples toupies. Bauma – Zone extérieure FS – Stand 904A/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Sipe : Un self-service en béton

Le service Self est disponible sur différents modèles de centrales à béton de la gamme Sipe. [©Sipe] Le programme de Sipe est “compact”, car ce sont les nouvelles centrales à béton Mobile et Self qui sont mises en avant. La première ligne regroupe les unités conçues pour un transport routier facilité, et une rapidité́ de montage et mise en service. Les capacités de production offertes oscillent entre 20 à 100 m3/h selon la configuration.  Mais c’est sans doute la ligne Self qui retient l’attention. Elle réunit les unités de production du béton dites “en libre-service”. Un concept qui a le vent en poupe en France aujourd’hui. Sipe le développe depuis 2021 et c’est donc ici une des premières apparitions sur un salon de portée mondiale.  Le fonctionnement de la Self est simple, comparable à une station essence. Le client positionne son véhicule, choisit la formule de béton et la quantité désirée sur un écran tactile et paie sa commande. Il ne reste plus qu’à attendre quelques minutes pour voir son béton délivré, en toute autonomie. Le service Self est disponible sur différents modèles de centrales à béton de la gamme Sipe : Torre, Compact, Mobile et Vertical. De quoi répondre à toutes les attentes et tous les besoins.  Bauma – Hall C1 – Stand 208 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Schwing Stetter : La relève de la garde

La pompe Schwing Stetter S56 SF succède à la S55 SX… [©Schwing Stetter] Schwing Stetter profite de cette édition de Bauma pour renouveler deux machines situées plutôt en haut de gamme. Ainsi, la S56 SXF constitue l’alternative plus légère et plus moderne de son aînée S55 SX, certes éprouvée, mais qui prend aujourd’hui une retraite bien méritée… La nouvelle machine est flexible et peut être montée sur des porteurs à 4, 5 ou 6 essieux. Elle offre une hauteur de travail de 55,20 m, un débit de 162 m3/h pour une pression de refoulement maximale de 85 bar. Sa flèche est constituée de 5 bras à repliage en “R”, qui permet un temps de déploiement très court grâce à sa cinématique, offrant ainsi une grande flexibilité de travail sur chaque chantier. Enfin, les stabilisateurs SXF incurvés rendent possible l’utilisation d’un groupe de pompage à longue course de type P2525 avec des vérins de refoulement de 2,50 m de long. L’autre nouveauté s’appelle S 51 SX. Elle se caractérise par un poids de moins de 40 t en ordre de marche sur un porteur Euro 5 de type 10 x 4. Mais un montage sur un porteur 8 x 4 (Euro 5) est aussi proposé. Sa flèche à 5 bras présente un pliage en “RZ” pour une portée verticale de 50,10 m. Comme la S 56 SXF, elle reçoit le groupe de pompage P2525. Enfin, le stand Schwing Stetter devrait sans doute exposer une première pompe électrique, ainsi que ses toupies électriques… Bauma – Zone extérieure FS – Stand 1005/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

SBM : La centrale économique

SBM dévoile sa centrale à béton Dynamix 2500. [©SBM] Plus de 600 m2 ont été réservés par SBM, en particulier pour dévoiler sa nouvelle Dynamix 2500. Cette centrale à béton offre une capacité de production élevée, pouvant aller jusqu’à 115 m3/h de béton vibré. Sur site, son installation est simple et ne nécessite pas de travaux préparatoires. La Dynamix 2500 s’inscrit à la fois dans la lignée des unités mobiles Euromix et conteneurs Linemix. Ce qui distingue toutefois cette nouvelle unité, c’est la construction modulaire et standardisée. Complétée par des composants de série issus de la gamme des centrales mobiles SBM (silos, trémies, élévateurs d’alimentation), la Dynamix 2500 devient une solution attractive au niveau économique. Ceci, aussi bien pour des utilisations temporaires que pour une exploitation sur le long terme en tant qu’installation fixe. Par ailleurs, l’utilisateur final a le choix entre trois packs d’équipements : version standard non capotée, version été, avec toits de protection à grandes dimensions au-dessus des plates-formes de travail, et version hiver, avec un nouvel habillage du module de malaxage et de la zone de transferts au niveau des trémies. Bien entendu, tous ces packs d’équipements peuvent être modifiés et échangés. Malgré des dimensions optimisées pour le transport, le module de malaxage est équipé du malaxeur à deux arbres horizontaux DKXS 2,50 S de BHS. De même, tous les raccords d’alimentation sont pré-installés et l’ensemble de la centrale ne nécessite pas plus d’une journée pour sa mise en service.   Bauma – Hall B2 – Stand 249 et zone extérieure entre les halls B2 et B3 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Putzmeister : l’offensive électrique, mais pas que…

Première sortie officielle pour la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer de Putzmeister [©Putzmeister] Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne va pas s’ennuyer chez Putzmeister. L’industriel allemand ne vient pas à Munich les mains vides… Déjà, la ligne des pompes iOntron Hybrid profite d’un espace dédié. Pour rappel, ces machines mises sur le marché l’année passée se déclinent en trois tailles : 20 m, 30 m et 40 m. Mais ce qui les caractérise, c’est la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Pour autant, il ne faut pas chercher de batteries : il n’y en a pas. L’iOntron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Par contre, Bauma constitue la première sortie officielle de la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer. L’équipement est basé sur un châssis 8 x 4 électrique Sany (maison-mère chinoise de Putzmeister). En ordre de marche, l’ensemble porteur + toupie de 9 m3 + charge utile atteint une PTAC de 34 t. L’énergie est fournie par une batterie d’une capacité de 350 kWh, alimentant un moteur électrique de 315 kW, qui permet entre 5 et 6 tours entre deux rechargements.  Qui dit “pompe à béton”, dit “pilotage”. A ce niveau, Putzmeister donne à chacun l’occasion de découvrir la commande Ergonic dans sa version 3. Parmi les nouveautés, deux extensions : Intelligente Boom Control (iBC), qui facilite la commande de la flèche, et Intelligente Setup Control (iSC), qui contrôle la sécurité de la machine, ici 100 % remaniée.  Putzmeister n’oublie pas non plus le monde de la préfabrication. Avec son offre Precast Automation 4.0, l’industriel propose d’adapter toutes ses solutions de pompage aux besoins spécifiques de ce secteur d’activité.  L’univers des mortiers voit l’arrivée de l’EstrichBoy EC 450. Ce transporteur-malaxeur de chapes se décline à présent dans une version 100 %, pourvue d’une motorisation de 37 kW, à 63 A. Cette puissance lui permet de fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. L’autre innovation s’appelle Putzmeister SP 20 GHF. Profitant d’un nouveau design, cette pompe à chapes fluides reçoit un moteur thermique de 37 kW et de série, une vis d’alimentation d’un débit de 20 m3/h. Enfin, Putzmeister montre son intérêt pour les chantiers de demain. Et présente sa solution d’impression 3D béton. Son nom : Karlos. A découvrir en fonctionnement sur le stand… Bauma – Hall B6 – Stand 101 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Peri : Des innovations au programme

Une sécurité collective Peri Hammock fait son entrée sur les chantiers. [©Peri] Comme à son habitude, Peri sort le grand jeu, au sein d’un vaste stand où est exposé l’ensemble de ses solutions. Agrémenté de plusieurs nouveautés ou évolutions. Le coffrage-cadre Maximo voit l’arrivée de plusieurs compléments, pour garantir encore plus de sécurité et d’efficacité à l’usage sur chantiers.  Une nouvelle peau de coffrage fait aussi son apparition : la Robu B, recyclable et bénéficiant d’une surface facile à réparer. Elle peut équiper les panneaux Maximo ou les coffrages de dalles Skydeck. En parallèle, ces derniers profitent à présent de la technologie RFID, installée en standard sur les éléments de grandes dimensions. Un tag RFID permet, via son smartphone ou un lecteur UHF, d’identifier chaque élément. Il est aussi possible d’avoir accès aux informations spécifiques sur les composants, aux notices de montage et d’utilisation.  Une sécurité collective baptisée Hammock fait son entrée sur les chantiers. Il s’agit d’un filet de protection contre les chutes. Il peut être adapté sur de nombreux équipements de la marque. La sécurité individuelle est la mission du Sky-Anchor Universel. Ce point d’attache sert pour une seule personne munie de ses EPI. De son côté, l’univers de l’échafaudage Peri Up s’enrichit de nouveaux éléments, permettant d’élargir le champ d’usage de cet équipement. Ainsi, des toits de protection d’une portée de 25 m viennent compléter les versions de 45 m déjà existantes. De même, des pièces verticales supplémentaires font leur apparition. Tout comme des escaliers en aluminium de 67 cm et 75 cm de large.  Enfin, les outils pour le génie civil ne sont pas oubliés. Peri présente la nouvelle unité hydraulique et les rails d’entraînement RCS Max, qui rendent encore plus sûre l’utilisation du matériel. A découvrir plus en détail sur le stand… Bauma – Zone extérieure FN – Stand 719 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Paschal : Extensions et améliorations

Avec Secuset, Paschal propose un système de protections latérales à la fois simple, sûr et universel. [©Paschal] Paschal joue la sécurité, avec un stand 100 % extérieur de 1 000 m2, bien ventilé et aux mesures d’hygiène bien pensées. Et pour pallier toute éventualité, l’industriel met même en place une présentation numérique virtuelle. Ainsi, via une application en ligne, chacun peut aussi visiter le stand, sans bouger de son salon… Plusieurs nouveautés sont à découvrir, en plus de la présence d’une bonne partie de l’offre existante de Paschal. Ainsi, le coffrage léger NeoR s’enrichit de nouvelles dimensions de panneaux (60 cm x 90 cm ou 150 cm) dédiées à la réalisation de poteaux. Donc pour une utilisation en coffrage en aile de moulin. Le Logo.3 voit l’arrivée d’un élément de 3,40 m de haut, parfait pour les coulages une face contre un élément existant par exemple. La sécurité du travail en hauteur est l’affaire du nouveau système de protections latérales Secuset. L’équipement peut être utilisé pour différentes configurations de coffrage, ou directement dans les opérations de gros œuvre ou de finition.  Pour finir, le système de surveillance de la montée en résistance du béton Maturix est proposé avec de nouveaux capteurs Gaia. Ceci, pour une durabilité extrême et une manipulation encore plus simple.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 618/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée

Liebherr présente la nouvelle génération de centrales à béton Betomix/Mobilmix. [©Liebherr] Constructeur de centrales à béton depuis plus de 60 ans, Liebherr dévoile en avant-première la nouvelle génération Betomix/Mobilmix, disponible seulement à partir de de 2023 ! Cette ligne s’articule autour de modules pré-assemblés et pré-câblés en usine, qui permettent de construire sa centrale idéale. Pour l’utilisateur, cette approche offre une très grande liberté de configuration. Mais aussi des délais de livraison plus courts, un montage ultra rapide et la garantie d’une disponibilité des pièces détachées. Par ailleurs, les dimensions des modules sont optimisées pour assurer leur transport routier et ne dépassent jamais les 3 m.  Liebherr intègre ses propres malaxeurs dans ses centrales. Les Betomix/Mobilmix ne dérogent pas à cette règle. L’utilisateur peut ainsi choisir entre les turbo-malaxeurs de la marque ou les malaxeurs à doubles arbres horizontaux, pour des rendements de 100 à 210 m3/h de béton vibré.  Un des grands avantages de cette nouvelle génération de centrales est la grande précision du pesage de +/- 0,5 %. Ce qui permet une belle préservation des ressources. Sur une formule type à 300 kg de ciment, il devient possible d’économiser jusqu’à 7,50 kg/m3. Un argument écologique comme économique à ne pas négliger…  Outre cette nouvelle génération de centrales, Liebherr devrait aussi présenter d’autres nouveautés “béton”, dévoilées seulement à partir de la fin du mois d’octobre ! Bauma – Zone extérieure FM – Stand 809 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Hydronix : Mieux contrôler les sondes

Hydronix vient de revoir ses interfaces de connexion avec ses sondes d’humidité. [©Hydronix] Hydronix a profité de ces derniers mois pour travailler sur de nouvelles interfaces, afin de connecter ses sondes aux principaux systèmes de contrôle. Notamment des centrales à béton. Ainsi, l’Hydro-View (modèle HV05) est un système à écran tactile, tandis que l’Hydro-Hub (modèle HH01) est conçu pour être monté dans une armoire de commande. Ces deux équipements permettent la connexion au système de contrôle et au réseau. Ceci, via le TCP/IP, les réseaux RS485 existants ou les options de bus de terrain. Hydronix propose d’ailleurs les systèmes Profibus, Profinet et Ethernet/IP.  En plus d’offrir une méthode simple pour configurer, diagnostiquer et étalonner les sondes d’humidité de la marque, les nouvelles interfaces permettent de collecter les données d’humidité. Une opération réalisée par des systèmes externes pour permettre une analyse plus poussée des informations. « Nos nouvelles interfaces permettent au client de vérifier que les sondes d’humidité de ses installations fonctionnent correctement, résume Hydronix. Un contrôle qui peut être opéré depuis sa salle de contrôle, le siège social de son entreprise ou tout autre endroit sous réserve de disposer d’une connexion à Internet. » Bauma – Hall C1 – Stand 430 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Husqvarna : Scier et ligaturer

Nouvelle scie à béton K1 Pace sur batterie développée par Husqvarna. [©Husqvarna] Outre les innovations présentées sur Batimat, Husqvarna a fait le choix de réserver quelques nouveautés pour la Bauma. La première d’entre elles est la découpeuse sans fil K1 Pace. Cet appareil se destine à la coupe à sec ou humide du béton armé ou non. Mais aussi du granite, du marbre, de la pierre naturelle, du fer, de la fonte ou des briques. Une puissante batterie de 94 V permet d’alimenter le moteur électrique qui fait tourner à une vitesse et à un couple élevés des disques diamantés de 300 ou de 350 mm de diamètre. A tout moment, l’utilisateur est informé de l’état de charge de la batterie et du temps de disponibilité restant. Ceci, via un affichage permanent dans la poignée de la scie. Ces mêmes informations et même plus peuvent aussi être consultées par le biais d’une connectivité Bluetooth. L’application Fleet Services collecte ainsi toutes les données de l’équipement, dès qu’il se situe dans un rayon de 100 m. D’un coup d’œil, on sait où se trouve l’appareil sur le chantier, s’il est en cours d’utilisation, rangé ou bien en entretien… L’autre nouveauté s’appelle Knut 39. Cette ligatureuse à armatures Knut 39 fonctionne sur batterie 18 V Li-ion. Une charge permet de réaliser entre 1 500 et 4 500 fixations, selon les contraintes du chantier. D’un design compact, elle travaille avec un fil de 1,5 mm de diamètre. Bauma – Hall A1 – Stand 137 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Wirtgen : Pour une belle route en béton

C’est un véritable train-béton que présente Wirtgen. [©Wirtgen] Plusieurs innovations et une première mondiale : tel est le programme de Wirtgen dans le domaine des machines à coffrage glissant. Le spectacle débute ainsi avec le finisseur Offset SP 20i. Cette machine, dont c’est ici la première sortie est dédiée à la réalisation de barrières de sécurité en béton, d’une hauteur allant jusqu’à 2 m. Mais aussi aux surfaces horizontales d’une largeur maximale de 2,50 m. L’autre innovation s’appelle SP 15i. Si la machine est connue, elle se dévoile, ici, dotée d’un coffrage “curb depressor”. A savoir, un équipement assurant la réalisation automatisée des abaissements de bordures de trottoir, au droit des entrées carrossables par exemple. Mais le gros morceau n’est autre que le train de pose complet pour chaussées en béton armé continu. Celui-ci est constitué de trois machines travaillant de concert. En effet, dès lors qu’une chaussée est réalisée avec une armature posée au préalable, l’alimentation en béton doit se faire par le côté. C’est là qu’intervient le WPS 102i. Constituant la première machine du train, il se déplace devant la machine à coffrage glissant et la machine de traitement de surface. Il répartit de manière homogène le béton sur toute la largeur de travail. L’épaisseur de pose maximale est de 500 mm pour des largeurs comprises entre 4 et 12 m. Le WPS 102i peut être commandé avec précision par palpage sur fil de guidage, via des applications 3D sans fil de guidage ou avec le Wirtgen AutoPilot 2.0. Cœur du système, la machine à coffrage glissant Inset SP 94i avec TeleMold s’inscrit dans la gamme des 10 m. Elle se destine à la construction d’autoroutes et de zones aéroportuaires. Quant au système TeleMold, il permet de changer la largeur de travail (+/- 90 cm de chaque côté) de manière rapide et flexible.  Le dernier maillon de la chaîne est le TCM 180i. Son rôle : assurer la finition souhaitée sur la surface de béton tout juste réalisée.  Bauma – Zone extérieure FS – Stand 1011 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Mondial du Bâtiment : Un programme de conférences bien fourni

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. [©Mondial du Bâtiment] Côté conférences, le Mondial du Bâtiment voit les choses en grand. En effet, de nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui se tiendra sur 14 scènes ouvertes sur les 3 salons, dont Batimat. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations… « C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons », souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Le programme sera exceptionnel par son ampleur, par la qualité et la diversité des intervenants et le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur… » Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. Voici un aperçu non exhaustif de celles davantage axées sur les bétons : • Préserver l’environnement Lundi 3 octobre 11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ? 14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ? 16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation Mardi 4 octobre 9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment 11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux 16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géo-sourcés 11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 Mercredi 5 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation 11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction 14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble 16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Jeudi 6 octobre 9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire 16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers Lundi 3 octobre 10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone 11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architecturale des cœurs de ville Mardi 4 octobre 9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ? 11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs 14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps 16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Mercredi 5 octobre 11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes Les interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Lundi 3 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Mardi 4 et mercredi 5 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Jeudi 6 octobre A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 266 jours

SIPE, centrales à béton SELF pour la distribution en libre service

Sipe propose SELF, centrale à béton en libre service SIPE, producteur italien de malaxeurs et centrales à béton actif sur le marché depuis 1979, propose des solutions pour toute l’industrie du béton : chantiers de toute taille, fournisseurs de BPE, préfabricants, laboratoires, producteurs de réfractaires et de pavés.  La présence de SIPE en France est en fort développement, avec plusieurs centrales livrées et en cours de livraison cette année. Notamment les modèles mobiles – à trémies et à rayon raclant – et les centrales fixes qui sont de plus en plus nombreux dans l’Hexagone.  Parallèlement, l’industriel continue le développement et la promotion de ses centrales SELF pour la production de béton en libre-service, avec une gamme de solutions conçues pour servir les particuliers, carrières à agrégats et négoces de matériaux, fournisseurs de BPE, chantiers de grande taille et producteurs de blocs. La gamme proposée par SIPE s’appuie sur la connaissance du béton et l’innovation technologique, qui mènent à l’objectif primaire – qui est aussi le slogan de l’industriel italien : permettre à ses clients de produire du béton de qualité.  SIPE sera présent au salon BAUMA à Munich, du 24 au 30 octobre, stand 208, hall C1. Découvrez la gamme complète des centrales à béton SIPE : www.sipeitalia.com/fr/
Il y a 2 ans et 266 jours

Peri : Le balcon sans contrainte

Peri dévoile son nouveau coffrage pour balcons Flexideck. [©Peri Si le grand rendez-vous de l’année pour Peri reste Bauma, le spécialiste allemand du coffrage n’en néglige pas les autres rendez-vous. A commencer par Batimat sur lequel sa filiale française dévoile une grande nouveauté. Son nom : Flexideck. Cette table coffrante pour balcons colisables et à sécurité rabattable apporte la solution attendue depuis longtemps pour la construction des balcons sur chantier. Son autre avantage est la possibilité d’ajuster d’une manière simple et rapide la position des étais vis-à-vis du plateau de la table. Ainsi, l’adaptation de la table aux différents porte-à-faux du niveau d’appui devient sûre et facile. La Flexideck est accompagnée des classiques de la marque : le coffrage manuportable léger Duo et les coffrages de dalles Gridflex et Skymax. Ce dernier s’enrichissant de poutrelles de compensation télescopiques. Batimat – Hall 4 – Stand F12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

PRB : Un mortier sans ciment

L’empreinte carbone du mortier de montage M10 R&D sans ciment de PRB est réduite de 69 %. [©PRB] PRB a développé une gamme complète de produits du bâtiment éco-conçus. Celle-ci propose un mortier de montage M10 R&D sans ciment. Ce produit peut être utilisé sur les murs intérieurs et extérieurs. Son empreinte carbone est réduite de 69 % par rapport à un mortier classique. Proposé en sac papier PEFC (issu de forêts gérées durablement) de 25 kg, ce mortier prêt à l’emploi de la gamme R&D permet le montage d’éléments de maçonneries de blocs béton, de briques et de pierres de taille pour les murs intérieurs et extérieurs à joints épais. Il est composé d’un système liant sans ciment, de charges siliceuses et d’adjuvants spécifiques. Ce mortier de montage éco-conçu est facile d’utilisation. Déjà prêt à l’emploi, il suffit d’ajouter la quantité d’eau nécessaire pour son utilisation. Il demande ainsi moins de manutention et offre un gain de temps et une réduction de la pénibilité sur chantier, en supprimant l’approvisionnement des matières premières. Batimat – Hall 1 – Stand M68 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Würth : Evolution des écrous

L’écrou Préci’Force Evolution de Würth permet de réduire et de prévenir les TMS. [©Würth] L’écrou Préci’Force Evolution de Würth permet un serrage optimal des tiges de banches, mais surtout un desserrage rapide et sans effort. Cet écrou en acier C45 zingué possède un filetage intérieur de Ø 23 mm (pas Dywidag), ainsi qu’une butée à rouleaux qui permet de réduire drastiquement les efforts au desserrage. Il est doté d’un surplat de 36 mm et est conditionné en sac de 8 unités. La gamme est composée de deux modèles : avec ou sans platine témoin de serrage, afin de pouvoir s’adapter à toutes les marques de banches du marché. En plus, le Préci’Force Evolution est la solution la moins bruyante du marché. Son fonctionnement sans effort permet aussi de réduire et prévenir les TMS. Par ailleurs, cet écrou offre une sécurité par contrôle visuel. En effet, lorsque la platine entre en contact avec le panneau, il ne reste qu’un ou deux tours de clef à donner pour finaliser le serrage. A titre indicatif, on estime entre 30 s et 2 mn le temps de mise en œuvre au desserrage d’un écrou standard contre 5 s seulement pour le Préci’Force. Enfin, les opérations de serrage et desserrage s’effectuent manuellement et à l’aide d’une simple clef et ne nécessitent pas le recours à des machines lourdes. Soit une utilisation beaucoup plus adaptée au milieu urbain et plus douce pour l’opérateur. Batimat – Hall 4 – Stand G120 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Rector : Avec l’industriel Techniwood

Cameleo est la solution constructive de Rector qui associe poteaux et prédalles. [©Rector] Présent sur Batimat, l’industriel du béton Rector a fait le choix d’investir la zone “Construction hors site”, située plutôt au milieu du hall 1. Un choix somme toute logique… Est-il utile de rappeler que la préfabrication est, par définition, la construction hors site ? Et ce, depuis plus d’un siècle… Rector y présente sa solution constructive Cameleo. Il s’agit d’une structure plancher-dalle, sans aucune retombée de poutres, qui vient en appui direct sur des poteaux. Cette approche impacte la manière de construire. Avec la seule présence des poteaux, les volumes intérieurs sont ouverts. Les contraintes liées aux murs et refends porteurs disparaissent. Les plafonds sont lisses par l’absence de poutres. D’un point de vue technique, Cameleo est un système complet, dont l’élément central est la prédalle SPD (Système Plancher-Dalle). Celle-ci intègre toutes les armatures nécessaires à sa tenue sans besoin de poutres porteuses. Les poteaux préfabriqués et les prémurs destinés aux cages d’escaliers et d’ascenseurs complètent le dispositif. Rector souligne que Cameleo s’inscrit en totalité dans une démarche d’éco-conception. D’où le choix de partager son stand avec l’industriel Techniwood qui, lui, présente, les solutions de remplissage. En particulier les éléments de façades non porteuses. Montrant que la mixité des matériaux est une réalité en construction et l’emploi du bon matériau au bon endroit, une démarche tout à fait pertinente. Batimat – Hall 1 – Stand L24 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Wacker Neuson : Un nouveau système d’assistance

Wacker Neuson présente ConcreTec, son système d’assistance au compactage du béton. [©Wacker Neuson] Si Wacker Neuson a été doublement lauréat dans les catégories “Matériels de chantier” et “Valoriser les métiers” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment avec son Dumper Dual View DV45, c’est une autre nouveauté qui nous intéresse ici. A savoir, le ConcreTec. Ce nouveau système d’assistance de Wacker Neuson permet de compacter les éléments préfabriqués en béton de façon simple, transparente et avec une qualité identique à chaque fois. L’opérateur de l’installation reçoit des informations objectives en temps réel concernant le processus de compactage et la progression. De cette manière, le résultat de compactage ne dépend pas que de l’opérateur. En même temps, la qualité reste constante. L’opérateur peut surveiller l’intégralité du processus de compactage, grâce à ce système d’assistance. Et, si nécessaire, intervenir pour rectifier la situation ou mettre fin au compactage sur la base d’informations fiables. Batimat – Hall 4 – Stand F66 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Trimble : Tekla passe en version 2022

Trimble présente la version 2022 de son logiciel Tekla Structures. [©Trimble] A chaque mise à jour, ses nouveautés. La version 2022 de Trimble Tekla Structures ne déroge pas à cette règle. Ainsi, elle améliore la création des plans de fabrication et inclut les assemblages d’armatures. Surtout, elle profite du Calculateur carbone intégré permettant de visualiser l’impact en CO2 des choix de conception Tekla Structures. Parmi les améliorations et les nouvelles fonctionnalités, il y a la création facilitée des plans de fabrication. L’aide intégrée guide pour créer avec plus efficacité des croquis de débit, d’assemblages et des dessins d’éléments béton. Vient ensuite la modélisation des armatures. Les cages sont maintenant gérées comme des assemblages, afin que vous puissiez modéliser, numéroter, créer des listes, documenter et exporter les cages, les coupleurs et les inserts. Le processus de contrôle de la répartition des armatures a aussi été simplifié. Et grâce à la nouvelle fonctionnalité “Surface”, il devient possible de créer automatiquement des jeux d’armatures sur la surface du béton, quelle que soit la complexité de la forme générée. Batimat – Hall 1 – Stand E46 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

SGB – Hünnebeck : Le robot, l’escalier et le sabot

Le robot de manutention autonome Manu’T de SGB – Hünnebeck a été primé aux Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. [©SGB – Hünnebeck] Trois nouveautés principales animent le stand SGB – Hünnebeck. A commencer par le robot de manutention autonome Manu’T, lauréat de bronze dans la catégorie “Matériels de chantier” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. Ne pesant que 45 kg, il est capable de tracter jusqu’à 500 kg de charge, tout en transportant 80 kg dans sa caisse, juste emboîtée sur le plateau et interchangeable. Le plateau est équipé d’un capteur de poids, évitant toute surcharge. Manu’T est équipé d’une boule d’attelage et d’un adaptateur pouvant se connecter à n’importe quel transpalette ou à son chariot à roulette. Il peut circuler sur une pente de 15 % et sur terrain accidenté. Il est équipé d’un moteur de 1 kW alimenté par une batterie lithium-ion de 24 V/100 Ah. Manu’T peut être guidé de 3 façons : par un joystick (ou via un smartphone), en mode “suiveur” ou encore en toute autonomie en suivant un chemin balisé. D’une largeur de 65 cm, il passe dans les ouvertures étroites et dans toutes les portes. La deuxième innovation s’appelle ST’Air. Il s’agit d’un escalier d’accès qui s’intègre à l’intérieur d’une tour d’étaiement ST60. Chaque niveau de 1 m se compose d’une volée de 2 marches et d’une volée de 3 marches. Ces éléments se dupliquent jusqu’à atteindre la hauteur souhaitée. Enfin, SGB – Hünnebeck dévoile le Sabot d’étaiement 1,5 t. Il est constitué de 2 éléments indépendants : la platine support (3 kg) et la console équipée d’un vérin de réglage. Une fois la platine fixée sur un support vertical, il ne reste plus qu’à emboîter la console dessus. La liaison entre les deux pièces se fait à l’aide d’une clavette imperdable. Batimat – Hall 4 – Stand D46 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

La filière béton a des choses à dire

Le Sfic souhaite rappeler les engagements de la filière à l’horizon 2030 et 2050. [©ACPresse] Sous l’égide de Cimbéton, son pôle d’application, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) s’installe à la porte de Versailles pour quatre jours. Une présence d’importance à l’heure de la mise en application de la RE 2020 et de la recherche de réduction de l’empreinte carbone des matériaux. En effet, l’organisme a plusieurs messages à faire passer. Le premier est de rappeler les engagements à 2030 et 2050 de la filière en matière de décarbonation de ses process industriels. L’autre est de confirmer que les matériaux béton et ciment sont conformes aux exigences de la RE 2020. En parallèle, le Sfic va apporter ses réponses aux enjeux de la construction de demain. Là encore, des rappels et des préconisations semblent nécessaires. Car il faut savoir comment éco-concevoir ? Comment et où aller chercher les bonnes évaluations environnementales ? D’autant qu’il y a beaucoup d’informations disponibles, presque trop… Quelles données utiliser, aussi ? Pour le Sfic, les Fdes constituent un passage obligé ou, a minima, la base Inies. Enfin, la filière organise une série de conférences. Une vingtaine est programmée à ce jour, intégrant les trois interventions du Cement Lab, qui fera pitcher, en particulier, neuf start-up. Pour en savoir plus, suivre ce QR-Code. Batimat – Hall 1 – Stand N 108 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 266 jours

Ile de France : D’après le Cerc, le secteur du bâtiment reste debout

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102 Le secteur du bâtiment en Ile-de-France est en constante évolution. [©Sogea] Le Cerc a publié une étude sur l’évolution de l’activité, de l’emploi et de la formation dans le bâtiment en Ile-de-France. Après une année 2020 fortement perturbée par le Covid-19, le secteur montre qu’il n’est pas à bout de souffle. En effet, d’après les derniers scénarii d’évolution du chiffre d’affaires du bâtiment, il devrait rester en constante évolution pendant les cinq années à venir. Dans le meilleur des cas, le CA en 2026 devrait monter à plus de 45 M€, contre moins de 35 M€ en 2020. Cette hausse s’explique par une évolution constante de l’emploi. Entre 2009 et 2019, le bâtiment a recruté 48 732 salariés, dont 21 902 dans le gros œuvre et 26 830 dans le second œuvre.  Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Le Cerc a aussi constaté une nette modification des pyramides des âges du secteur. La tendance se tourne désormais vers la jeunesse. Le taux de salariés de la production, de l’administratif et du commercial de moins de 25 ans a doublé depuis 2016. Malgré des résultats encourageants, le bâtiment peine à embaucher, en particulier dans la charpenterie, la menuiserie ou encore la plomberie. Plus de la moitié des projets de recrutements pour ces professions ne sont pas aboutis. En ce qui concerne la formation en Ile-de-France, la répartition des jeunes selon les métiers de production varie énormément. Les étudiants en maçonnerie, par exemple, proviennent pour la moitié de la voie scolaire, tandis que les autres ont bénéficié d’une formation en apprentissage. Enfin, le nombre de contrats de professionnalisation a diminué de moitié entre 2019 et 2020. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102
Il y a 2 ans et 266 jours

Sateco : Assembler toujours plus vite…

Sateco simplifie les opérations d’assemblage des banches sur chantier. [©Sateco] Assembler deux banche-outils standards entre elles demande plusieurs opérations successives et pénibles. Le système est constitué de 2 cônes d’alignement par banches, fixés de manière imperdable à l’ossature du panneau. Chacun de ces éléments doit être serré de manière individuelle à l’aide d’une clef à cliquet. L’utilisation de cette clef impacte le chantier et l’utilisateur. Tout d’abord, par la pénibilité de mise en place des cônes d’alignement, car positionnement à 30 cm et à 1,90 m du sol. Ensuite, par le serrage et desserrage répétitifs tout au long du chantier en fonction des configurations d’utilisation des banches. Ainsi, un temps important est à prévoir pour ces opérations de mise en place des trains de banches… Cette année, Sateco innove en simplifiant et en introduisant sur ces banches un équipement hydraulique d’assemblage en rive. Une fois les cônes d’alignement positionnés, une unique opération de serrage est nécessaire, à l’aide une classique visseuse électrique de chantier. La pression de serrage est calée à 3 t au niveau de chaque cône. Pour le desserrage, la même opération est réalisée. Plusieurs avantages, tant pour l’opérateur que pour le chantier : un important gain de temps et une diminution des TMS par la suppression de la pénibilité. Car plus besoin de se baisser ou de monter sur un marche-pieds, afin d’atteindre les pièces d’alignement. Batimat – Hall 4 – Stand C12 Lire le dossier complet ici