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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3892 résultats)
Il y a 2 ans et 270 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 271 jours

La révolution du béton magnétique

Les bétons magnétiques doivent permettre de recharger les véhicules électriques par induction lorsqu’ils circulent. [©Magment] On n’arrête plus le progrès ! Du béton magnétique pour recharger des véhicules électriques ! Ainsi, le groupe cimentier Holcim étend sa collaboration avec l’Allemand Magment, spécialisé dans la mise au point de bétons aux propriétés magnétiques. Ce procédé va permettre de recharger les véhicules par induction lorsqu’ils circulent sur des routes équipées d’une telle technologie. Une ambition commune « Holcim et Magment partagent un objectif commun : accélérer la transition de notre monde vers un taux net zéro, grâce à des solutions innovantes et durables, déclare Edelio Bermejo, responsable du Global Innovation Center de Holcim. D’ici 2040, pratiquement toutes les nouvelles voitures vendues seront électriques. Nous sommes ravis d’associer notre béton magnétisable à la technologie de Magment. Cela va permettre aux véhicules de se recharger pendant qu’ils se déplacent. » Électrification des sols industriels Parmi les autres applications en cours de développement, il existe aussi des projets d’électrification des sols industriels. Leur objectif est de recharger en continu les robots des entrepôts et des usines. Forte de ses 120 start-up, Holcim continue d’innover, à travers le monde, en développant de nouvelles technologies pour accélérer la transition vers le zéro carbone.
Il y a 2 ans et 271 jours

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France

Laurent Cousin, nouveau responsable commercial Sud-Ouest Allu France. [©Allu France] Allu France tient son nouveau responsable commercial Sud-Ouest. L’industriel, producteur de matériels de recyclage et de revalorisation de matériaux utilisés, a choisi Laurent Cousin. Ce dernier a commencé sa carrière il y a plus de trente ans, en tant que responsable vente dans l’automobile. Petit à petit, Laurent Cousin grimpe les échelons jusqu’à devenir chef de toute une équipe de vente. Après trois décennies dans l’automobile, il décide de changer de secteur : « Je me suis dit : “j’ai 55 ans et il me reste 10 ans à faire”. J’ai fait le tour du secteur automobile et je suis prêt pour nouvelle aventure. » Allu et Laurent Cousin, valeurs communes Désireux d’occuper un poste de responsable commercial, Laurent Cousin a tout de suite été séduit par Allu France. « J’ai des valeurs qui me sont chères, notamment l’environnement. J’ai trouvé très intéressant le concept d’Allu : le recyclage et la revalorisation de matériaux. Je me suis retrouvé dans ces engagements ». Chez Allu France, Laurent Cousin sera chargé d’élargir le réseau du groupe et travaillera avec les professionnels. « On collabore avec des entreprises de travaux publics, des revendeurs d’engins ou encore des entreprises végétales comme les pépiniéristes. Au-delà du recyclage des matériaux, nous agissons aussi sur la décontamination des sols. »  Le nouveau responsable commercial s’est dit “enthousiaste” à l’idée de commencer cette nouvelle aventure. « En plus de mes missions commerciales, j’ai un niveau de chiffre d’affaires à réaliser. Et ça, c’est quand même très intéressant et stimulant. »
Il y a 2 ans et 272 jours

La fin de la tour-capsule Nagakin

La tour-capsule tokoyïte Nagakin a été démantelée. [©Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0] Située dans le quartier de Ginza à Tokyo, la tour-capsule Nagakin est la première œuvre majeure de l’architecte japonais Kisho Kurokawa (1934 – 2007). Ce dernier est reconnu comme l’un des fondateurs du Mouvement métaboliste. Qui connaît son âge d’or dans les années 1970 avec la tenue de l’Exposition universelle de 1970, à Suita (Osaka). Puis, l’inauguration de la tour Nakagin, à Tokyo en 1972. Un démantèlement devenu obligatoire L’emplacement retenu pour la tour-capsule se situe à Ginza, à la croisée des quartiers qui concentrent une majorité de bureaux d’affaires et donc avec eux, les futurs locataires visés par l’architecte. En 1972, le Sud du quartier de Ginza présente un paysage urbain peu élevé. La vue offerte par les derniers étages de la tour permet donc de bénéficier d’un panorama dégagé. Les allures de vaisseau spatial de la tour-capsule sont visionnaires pour les années 1970 et la tour devient vite un symbole emblématique de la capitale japonaise. Mais avec le temps, elle ne respectait plus certaines règles de salubrité et de sécurité impératives. En particulier, les problématiques sismiques. Il faut dire que la tour était prévue pour être rénovée tous les 25 ans. A raison d’un coût de 70 000 € par capsule, cette rénovation n’a jamais eu lieu. Il a donc été décidé qu’elle serait démantelée par la société Tokyo Build, faute de moyens pour la rénover. Il s’agit d’un démantèlement et non d’une démolition. Certaines capsules ont trouvé acheteurs, d’autres seront exposées dans des musées aux quatre coins du monde, comme le Centre Pompidou par exemple… M. C.
Il y a 2 ans et 272 jours

Issa Megaron, la villa-grotte en béton

L’agence Proarh Architecture a imaginé une villa tout en béton sur le flanc d’une colline en Croatie, véritable grotte artificielle verdoyante. [©Damir Fabijanic] Située sur l’île croate de Vis, la maison Issa Megaron a été l’occasion pour l’agence Proarh Architecture d’imaginer et de construire une vaste habitation en béton. Elle s’intègre dans le pays. Et repousse les limites de ce que l’on peut faire en architecture moderne “troglodyte”. Pour renforcer cette idée de “grotte artificielle”, les toits de béton sont recouverts de végétation et de pierres locales. Seules, deux des terrasses verticales constituent des espaces de vie habitables. Et offrent une vue dégagée sur le paysage environnant. Cette résidence se confond directement avec la colline. Tout en béton armé et en pierre. Les façades angulaires dominent une piscine d’un bleu profond, entourées de baies qui s’étendent sur toute la longueur de la maison. Cette dernière est envisagée comme un volume creusé, une poche résidentielle, une grotte artificielle, le souvenir d’un abri primitif. Une référence au mégaron grec Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect fini. Tout comme l’antre de la villa. [©Damir Fabijanic]Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect fini. Tout comme l’antre de la villa. [©Damir Fabijanic]Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect fini. Tout comme l’antre de la villa. [©Damir Fabijanic] Elle fait référence au “mégaron”, qui désigne la pièce principale (parfois unique) des riches habitations de l’âge du bronze, en Grèce et en Anatolie. Et, par extension, le nom de ce type de maisons. Cette villa se développe sur deux niveaux : les espaces “nuit” et un salon au premier étage. Et, au rez-de-chaussée, une salle à manger et une cuisine ouvertes sur les terrasses couvertes et non couvertes, et sur la piscine. Tous les éléments porteurs sont en béton armé, ce qui donne à l’intérieur un aspect minéral. L’absence totale d’infrastructure et l’inaccessibilité générale impliquent une autarcie presque totale. Refroidissement et ventilation naturels, réutilisation de l’eau de pluie, panneaux solaires et autres moyens élaborés d’exploiter les ressources naturelles permettent à l’installation de fonctionner comme un lieu de vie et de travail. En auto-suffisance… M. C.
Il y a 2 ans et 273 jours

La Fondation Holcim en deuil après le décès d’Edward Schwarz

Edward Schwarz a été directeur général de la Foundation Holcim depuis sa création en 2003 jusqu’à 2021. [©Fondation Holcim] C’est avec une grande tristesse que la Fondation Holcim a annoncé, le 3 août 2022, le décès soudain d’Edward Schwarz, son ancien directeur général. Fondateur de l’institution en 2003, son dévouement, son énergie et sa passion ont contribué à faire connaître la Fondation partout dans le monde, à travers des projets innovants de construction durable. Décrit comme quelqu’un de modeste, chaleureux, enthousiaste et d’une conviction sans faille, Edward Schwarz a grandement contribué à faire connaître l’architecture suisse et internationale. Il a façonné à son image la Fondation, en mettant en lumière le rôle fondamental de l’architecture, de l’ingénierie, de l’urbanisme et de l’industrie du BTP dans la construction d’un avenir durable. Retraité en 2021, il se réjouissait de vivre de nouvelles aventures.
Il y a 2 ans et 273 jours

Des gants alliant confort – écologie – sécurité signées Würth

Les nouveaux Ecoline E-100 par Würth [©ACPresse] Pour assurer la sécurité des travailleurs, Würth lance ses nouveaux gants Ecoline E-100. Fabriqués à partir de coton recyclé, ces gants allient confort, sécurité et style. Le tissu de renfort et le latex naturel robuste permettent une bonne prise en main. Utilisables dans des environnements aussi bien secs qu’humides, ils sont durables et ne se détériorent pas. Les gants Ecoline E-100 assurent la sécurité du travailleur. Ils protègent même contre une chaleur de 250 °C sur une courte durée. L’alliance du blanc et du vert assure une esthétique efficace qui ne passera pas inaperçue.   Würth, l’appui sur la sécurité Depuis plusieurs années, le groupe allemand Würth s’implique dans la sécurité des travailleurs. L’industriel commercialise notamment des échafaudages sécurisés, des armoires de sécurité ou des rubans de signalisation. Il propose aussi aux professionnels des vêtements haute visibilité et des chaussures de sécurité. Depuis 2020, Würth France forme les professionnels à la sécurité au travail. Ces formations sont données dans leur centre spécialisé : le “Würth training center”. 
Il y a 2 ans et 273 jours

Marion Martinez nouvelle chargée de mission Sud-Est du SNBPE

Marion Martinez, nouvelle chargée de mission Sud-Est du SNBPE [©SNBPE] Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) annonce la nomination de Marion Martinez. Elle intègre le syndicat au poste de chargée de mission Sud-Est. Ayant pris ses fonctions le 22 août dernier, elle devra assurer la promotion des solutions bétons dans le cadre de la RE 2020. Marion Martinez aura pour mission de sensibiliser le grand public sur les angles morts des bétonnières. Et de mettre en lumière les métiers de la filière. Elle reprend aussi la main sur les opérations déjà en cours dans les régions Paca et Occitanie.  Nouveau départ C’est un nouveau challenge pour celle qui a commencé son parcours au sein de la CCI du Var. « Outre l’animation du réseau des adhérents, mes actions vont se concentrer sur les enjeux liés à la RE 2020, à la sécurité. Ceci, à travers des opérations de sensibilisation, par le partage de la voirie et la valorisation des métiers de la filière », explique Marion Martinez. Après des études à l’école de commerce Kedge Business School, elle est titulaire d’un master 2 en communication marketing. De plus, Marion Martinez est diplômée en gestion des entreprises. Depuis son arrivée au poste, elle mène une campagne de sensibilisation du grand public sur les angles morts des bétonnières.  Pour rappel, le SNBPE regroupe plus de 200 adhérents et 1 800 unités de production. Lire aussi : SNBPE : Vingt mille lieux sous la terre
Il y a 2 ans et 276 jours

L’AFGC met à l’honneur le pont de Plougastel – Albert Louppe

La commission Histoire et Patrimoine de l’AFGC organise une journée technique “Pont de Plougastel-pont Albert Louppe”. [©AFGC] Près de Brest, le pont Albert Louppe ou pont de Plougastel, inauguré en 1930, est un monument unique de l’histoire de la construction. Ainsi qu’une illustration exceptionnelle du génie créatif d’Eugène Freyssinet. Mais faute d’entretien, le pont est menacé de destruction en raison des fragments qui se détachent des tabliers qui reposent sur les 3 arches en bon état de conservation. Le 11 octobre dernier, la nouvelle commission Histoire et Patrimoine du génie civil de l’Association française de génie civil (AFGC) organise une journée technique. dédiée à la découverte et à la valorisation de cet ouvrage. Une opération menée en partenariat avec les associations Capi, Les Amis de la Maison des Kerhorres, Eugène Freyssinet, le musée de la Fraise et du Patrimoine et la Société d’études de Brest et du Léon. La commission en question « La commission Patrimoine et Histoire du génie civil de l’AFGC a été créée pour valoriser les hommes, les techniques et les matériaux. Mais aussi les ouvrages de génie civil, ainsi que leur histoire. Sans oublier la sauvegarde des ouvrages présentant un intérêt patrimonial », indique Patrick Guiraud, membre de la commission et de l’Association Eugène Freyssinet, à l’initiative du projet. Cette commission de conseils et d’expertise met au service des acteurs du patrimoine la richesse et le savoir-faire des adhérents de l’AFGC. Et ce, à destination des acteurs des services du patrimoine. « Nous allons couvrir tous les matériaux, toutes les époques et tout type d’ouvrages, ponts, barrages…. A court terme, le site Internet de l’AFGC va être enrichi de données sur le patrimoine, de nouveaux articles et photos. Puis, dans un second temps, nous allons mettre en avant, lors des prochaines Journées du Patrimoine, ce week-end, la sauvegarde du pont de Chazelet, le premier pont en béton armé au monde. Enfin, nous allons organiser une journée technique, le 11 octobre prochain, pour faire connaître le pont Albert Louppe. » De l’intérêt du pont de Plougastel Dans les années 1980, le pont Albert Louppe, en deux fois une voie, connaît un trafic moyen de 28 000 véhicules/j. Il y a de fréquents embouteillages qui gênent pour aller travailler à Brest les habitants de Plougastel et des alentours. C’est ainsi que le “second pont de Plougastel”, le pont de l’Iroise, est construit et inauguré en 1994. A la mise en service de ce dernier, le pont Albert Louppe est déclassé pour la circulation automobile. Il est alors réservé aux deux-roues, aux tracteurs et aux piétons. « Selon les décisions ministérielles d’origine, ne peuvent pas circuler sur le pont de l’Iroise les piétons, les véhicules sans moteur, les cyclomoteurs et les animaux, ni les tracteurs et les matériels agricoles. De ce fait, ces usages sont assurés par le pont Albert Louppe. Il n’est donc pas possible de s’en passer sauf à construire un nouvel ouvrage ! », insiste Patrick Guiraud.insiste Patrick Guiraud. Une journée pour convaincre de sa sauvegarde C’est au travers de conférences et d’échanges avec les participants à l’événement que la commission Histoire et Patrimoine de génie civil de l’AFGC veut faire davantage connaître cet ouvrage pour le faire sauvegarder. Pour cela, pendant cette journée du 11 octobre, sera démontré son intérêt patrimonial et technique. Seront aussi présentées les expériences internationales, les techniques et les matériaux innovants pour rénover cette structure. Enfin, « nous analyserons le champ des possibles pour assurer les usages actuels et les enrichir. Le pont de Plougastel est en effet un vecteur de nouvelles mobilités. C’est aussi un outil de valorisation du paysage et du patrimoine local dans la continuité d’itinéraires touristiques… », reprend Patrick Guiraud. Et de conclure : « Sont déjà inscrits 50 étudiants de l’IUT en génie civil de Morlaix et de Brest. C’est de notre devoir de léguer aux générations futures ce monument de notre patrimoine, symbole de la créativité française et du génie d’Eugène Freyssinet ». S’inscrire ici. Présentation du livre de Françoise Sioc’Han, “Le pont Albert Louppe – Une œuvre monumentale d’exception”, éditions Parapluie Jaune, 2022.
Il y a 2 ans et 276 jours

Roberto Huet, nouveau président de Stradal

Roberto Huet est le nouveau Pdg de Stradal. [©CRH] Pdg du groupe ciment Eqiom depuis 2016, Roberto Huet vient d’être nommé à la présidence de Stradal. Une arrivée qui ouvre une nouvelle voie dans le domaine de la préfabrication en béton. « Je suis très fier de rejoindre l’ensemble des équipes de Stradal et de présider cette société industrielle, qui a une longue histoire et une expertise reconnue. Ensemble, nous poursuivrons notre mission d’accompagner l’aménagement des territoires avec des solutions durables et innovantes », commente Roberto Huet. Industriel du béton depuis 60 ans Entreprise industrielle filiale du groupe irlandais CHR, comme l’est Eqiom, Stradal est présente en France sur le secteur des produits préfabriqués en béton depuis plus de 60 ans. Elle propose une offre de solutions standards et sur mesure. Ceci, sur des secteurs d’activité aussi variés que les réseaux d’assainissement, la collecte des eaux, la gestion intégrée des eaux pluviales. Mais aussi les infrastructures souterraines, les réseaux secs, la voirie et la sécurité routière, le génie civil ou encore le ferroviaire. Roberto Huet peut s’enorgueillir d’un parcours riche et varié aussi bien au sein du groupe CRH que d’Holcim. Ainsi, il a exercé de nombreuses responsabilités tant en France qu’en Espagne ou aux Etats-Unis, dans les métiers du ciment, du béton, du granulat, des enrobés et de la route.
Il y a 2 ans et 276 jours

Holcim hisse les voiles

Holcim poursuit sa conquête des flots. [©Holcim] Holcim se lance dans les courses au large. Six mois après le rachat du groupe PRB, le cimentier suisse reprend la main sur les courses nautiques. Dès fin 2022, Go Circular sera mis en mer. Ce bateau doit permettre d’inspirer le grand public sur la préservation des éco-systèmes naturels. L’objectif du groupe est aussi de sensibiliser sur le passage fondamental à une vie circulaire. Avec 50 Mt de déchets de construction recyclés, Holcim s’impose comme un leader mondial du recyclage. Cela se traduit notamment par certains de ses ciments composés de 20 % de déchets recyclés. Le groupe ambitionne d’atteindre 100 Mt recyclés d’ici 2030. 100 % solaire Holcim poursuit ainsi sa conquête des flots. En juillet 2022, le Circular Explorer était mis en mer. Premier catamaran 100 % solaire, il a pour objectif de ramasser et de recycler les déchets de la baie de Manille, aux Philippines. Le groupe suisse veut maintenant donner de la visibilité à ses actions. Pour y parvenir, le Go Circular de l’équipe Holcim-PRB prendra la mer le 6 novembre prochain pour la Route du Rhum. Il sera barré par Kevin Escoffier. Le skipper s’est réjoui de ce nouveau départ : « Nous n’avons qu’une seule planète, mais nous vivons comme si nous en avions deux. Avec Go Circular, nous mettons en lumière un changement vers un mode de vie circulaire. Cela me tient à cœur en tant que marin et surtout en tant que père ». Pour son dernier Vendée Globe, Kevin Escoffier avait été secouru par Jean le Cam. Il espère désormais atteindre le Graal ultime ! Colin Rousselet
Il y a 2 ans et 277 jours

La FFB revoit à la baisse ses prévisions pour 2023

« Une rentrée très chargée économiquement et socialement pour le bâtiment », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. [©ACPresse] “Soyons Ambitieux !” C’est le slogan lancé par la Fédération française du bâtiment (FBB), le mardi 13 septembre 2022, lors de la présentation de la dernière conjoncture. « On veut construire plus durable, on veut être innovant. Nous avons aussi négocié les salaires pour que les métiers restent attractifs. Nous voulons voir plus loin à l’avenir », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. Le secteur de la construction connaît à l’heure actuelle une belle envolée. Les chiffres sont au beau fixe et il faut remonter à 2014 pour en trouver de meilleurs. L’investissement est nécessaire pour atteindre un objectif : celui de la transition écologique, aussi bien pour les constructions neuves que pour la rénovation. Le secteur du bâtiment a progressé de + 3,9 % au premier semestre de cette année par rapport à la même période de 2021. Les carnets de commandes des entreprises demeurent élevés, affichant 7,1 mois d’activité en moyenne à fin août 2022, voire 8,7 mois pour les entreprises de plus de dix salariés. Une conjoncture économique inquiétante Malheureusement, la crise sanitaire a laissé place à la guerre en Ukraine, conduisant ainsi à une envolée du coût de l’énergie. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 277 jours

Quatre nominations chez Ecominéro

Chrystelle Ménard, Adeline Guerlais, Stéphanie Rico et Sophie Wolff ont été nommées au comité de direction d’Ecominéro. [©Ecominéro] Ecominéro agrandit son équipe de direction avec les nominations d’Adeline Guerlais, de Chrystelle Ménard, de Stéphanie Rico et de Sophie Wolff. Créé en 2021, l’éco-organisme simplifie la vie des entreprises, afin qu’elles remplissent leurs obligations découlant de la mise en place de la Responsabilité élargie des producteurs (Rep) appliquée aux Produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment (PMCB). Adeline Guerlais nommée directrice de la communication Depuis le 5 septembre dernier, Adeline Guerlais assure la direction de la communication. « Je suis très heureuse d’intégrer Ecominéro, une société à mission, qui va permettre aux acteurs de la filière, particulièrement les producteurs de matériaux destinés au bâtiment et les artisans et entreprises du bâtiment, d’améliorer les pratiques de recyclage et de valorisation. » Adeline Guerlais a débuté sa carrière dans la communication au sein d’une collectivité locale. Elle est ensuite nommée conseillère communication auprès de la secrétaire d’Etat à l’Intérieur et du ministre de l’Industrie en 2005. En 2007, elle a rejoint la communication de la Fédération des transports routiers. Puis l’Unicem, en 2013, en tant que responsable… communication. Chrystelle Ménard, nouvelle directrice des opérations Chrystelle Ménard est la nouvelle directrice des opérations depuis août dernier. « Participer à la construction de cette Rep, au travers d’Ecominéro, est une aventure extrêmement enrichissante, enthousiasmante et motivante. Dans la mesure où je mets en adéquation mes valeurs en faveur de la protection de l’environnement et mon expérience. Ceci, dans le monde des matériaux de construction et du recyclage depuis plus de 20 ans », se réjouit l’intéressée. Ancienne élève du conservatoire national des Arts et Métiers, Chrystelle Ménard a occupé plusieurs postes de management chez Lafarge pendant 20 ans. Les enjeux liés au recyclage et à l’économie circulaire dans le milieu du bâtiment et des travaux publics font partie de son ADN. Ainsi, en 2017, elle a développé l’activité “déchets” dans le cadre d’un bureau d’études réglementaires qu’elle dirigeait. En 2019, elle intègre la société Paprec en tant que directrice d’une agence spécialisée dans le traitement des déchets du BTP. Par ailleurs en 2021, elle crée son propre cabinet de conseil en management. Stéphanie Rico devient la directrice administrative et financière Stéphanie Rico rejoint Ecominéro en qualité de directrice administrative et financière. « Je suis fière de pouvoir œuvrer à la mise en place d’un dispositif d’économie circulaire en France pour les déchets inertes du bâtiment. Rejoindre Ecominéro, c’est contribuer à la préservation de nos ressources naturelles, en nous engageant auprès de l’ensemble des acteurs de la filière. » Diplômée de l’Essec, Stéphanie Rico a d’abord été auditrice financière chez Mazars et a rejoint Cemex au poste de contrôleure interne. De 2007 à 2018, elle a occupé plusieurs postes de management en contrôle de gestion chez Safran Electronics and Defense. De plus, en 2018, elle est devenue contrôleure financière des activités de recyclage chez Suez RV France, puis responsable du contrôle financier. Sophie Wolff, nouvelle directrice clients Enfin, Sophie Wolff vient d’être nommée directrice clients. « Je suis ravie de participer à une nouvelle aventure humaine et entrepreneuriale. Qui va nous permettre d’accompagner les entreprises de la filière bâtiment. Afin qu’elles répondent favorablement à leurs obligations règlementaires. Et qu’elles aillent encore plus loin dans leurs actions de valorisation et de recyclage », déclare Sophie Wolff a commencé sa carrière dans la grande distribution pendant 20 ans. Elle s’est ensuite orientée vers la RSE et l’économie circulaire. Elle a occupé plusieurs postes pendant 12 ans au sein de l’éco-organisme Citeo et sa filiale, Adelphe. Ceci pour animer un éco-système d’entreprises clientes, de partenaires et d’organisations professionnelles.
Il y a 2 ans et 278 jours

Vicat : Carat, un bijou carbo-négatif

A l’état frais, le béton Carat présente une teinte presque noire… [©ACPresse] Carat constitue la nouvelle offre de liants carbo-négatifs, tout juste développée par le groupe cimentier Vicat. Carat, en référence à l’unité de mesure de masse des pierres précieuses, dont le diamant – carbone pur cristallisé – est la référence absolue. Ce nouveau matériau constitue une rupture technologique et n’entre pas dans le champ d’application des normes ciments NF EN 197-1 et NF EN 197-5… « Nous avons fait une demande d’Appréciation technique d’expérimentation ou Atex de type A pour les bétons formulés sur la base des liants Carat », souligne Damien Rogat, directeur innovation appliquée et systèmes constructifs de Vicat. Le cimentier devrait l’obtenir à la mi-2023…Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 278 jours

Guillaume Loizeau : « Batimat va aborder les grands enjeux du bâtiment »

Guillaume Loizeaud est le directeur du Mondial du Bâtiment. [©Florie Berger/Mondial du Bâtiment] Après une escapade à Villepinte, Batimat revient à la porte de Versailles. On reprend les bonnes habitudes et les recettes éprouvées ? Oui, mais pas uniquement. Depuis son départ de la porte de Versailles en 2013, beaucoup de choses ont changé dans le monde du bâtiment. Et cela a un impact sur l’organisation d’un évènement tel que celui-ci. Les attentes des exposants comme des visiteurs ont évolué et nous nous devons de leur apporter des réponses. Bien sûr, l’esprit demeure et nous voulons faire de ce rendez-vous un moment d’échange et de convivialité comme il l’est depuis toujours. Toutefois, c’est un Batimat – et, plus largement, un Mondial du Bâtiment – rénové qui ouvre ses portes ? Qu’est-ce qui change et qu’est-ce qui reste des anciennes formules ? L’édition 2022 passe à 4 j au lieu des 5 habituels. Dans l’organisation d’une entreprise, avoir ses équipes mobilisées pendant 4 j au lieu de 5 sur un salon peut avoir son importance. Et cela a évidemment un impact de coût. Par ailleurs, nous avons travaillé sur une proposition de stand qui ne dépasse pas 99 m2. Une manière de permettre à chacun d’avoir une meilleure visibilité, tout en optimisant les espaces. Enfin, l’impact environnemental étant un enjeu fort, un évènement comme Batimat ne pouvait pas l’ignorer. Nous nous sommes donc placés dans une logique de bilan carbone et de réduction des émissions avec différentes actions identifiées, grâce à un important travail d’analyse sur les transports, l’énergie, l’alimentation, l’hôtellerie. C’est contraignant, mais indispensable. Par ailleurs, le digital a dorénavant toute sa place. Nous avions déjà travaillé sur cette proposition et nous l’avons encore plus développée avec des outils, tels que Batiradio ou le site batiadvisor.fr. Et bien sûr, il n’y a pas de Mondial du Bâtiment sans ses Awards ! Un incontournable pour les exposants qui leur permet de présenter et de diffuser leurs innovations. Le gros œuvre reprend possession du hall 1. Comment sont organisés les espaces ? Quelle place le béton y occupe-t-il ? Nous avons une quinzaine d’exposants dans l’univers du béton, avec une vraie proposition de rupture chez certains. Ils sont regroupés dans l’espace dédié aux matériaux et à proximité immédiate du nouvel espace Low Carbon Construction. Y a-t-il quelques points forts “béton” à inscrire dans son agenda de visite (en dehors d’un passage obligé sur le stand Béton[s] le Magazine) ? La thématique “Bien vivre dans la ville de 2050” met en avant la décarbonation des matériaux. Dans ce cadre, le béton prend toute sa place avec des acteurs comme le Syndicat français de l’industrie cimentière et Cimbéton, qui représentent les industriels Ciments Calcia, Eqiom, Lafarge ou Vicat. Mais aussi des acteurs comme Cemex et encore Hoffmann Green Cement. L’espace Innovation est, lui, l’occasion de découvrir quelques belles solutions présentées aux Awards, comme le procédé CarbonCure, distribué par Edilteco. D’une manière plus large, quelles vont être les grandes thématiques abordées sur cette édition 2022 ? Batimat va aborder les grands enjeux du bâtiment à travers 4 thématiques fortes, déclinées dans les différents espaces et à travers les conférences qui auront lieu durant les 4 j. A savoir, la préservation du climat et de l’environnement, le bien-vivre dans la ville de 2050, la valorisation des métiers et la transformation des méthodes. La décarbonation est un sujet phare pour le Mondial du Bâtiment. Nous avons vu beaucoup de propositions autour de cet enjeu parmi les participants aux Awards. Nous y consacrons même un espace spécifique pour la première fois. En 2019, nous avions mis à l’honneur la construction hors site. Cette année, c’est un espace trois fois plus grand qui est consacré à ce mode constructif, qui se place parmi les moments forts du Mondial du Bâtiment. La digitalisation reste plus que jamais un thème central qui est mis en valeur grâce à notre espace Construction Tech avec plus de 80 start-up présentes. Pour finir, combien d’exposants “Batimat” sont-ils inscrits sur cette édition ? Et combien de visiteurs sont-ils attendus ? Nous enregistrons la présence de 1 300 exposants sur Batimat et espérons recevoir 200 000 visiteurs durant les 4 j.
Il y a 2 ans et 279 jours

Cemex investit dans l’impression 3D

Cemex investit dans la technologie révolutionnaire d’impression 3D de Cobod. Via sa filiale de capital-risque, Cemex étend son partenariat avec Cobod, spécialiste des imprimantes 3D dans la construction. Une collaboration qui a débuté l’année dernière et qui s’accentue, afin d’innover dans le domaine de la construction additive. « En travaillant avec Cobod, Cemex a développé une expérience clients en matière de construction par impression 3D, qui est supérieure à tout ce qui a été fourni par le passé, déclare Gonzalo Galindo, responsable de Cemex Ventures. Nos efforts d’innovation nous positionnent à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui contribuent à la construction d’un avenir meilleur. » Limiter les dépenses Grâce à ce partenariat, une nouvelle technologie a été présentée. Elle consiste à utiliser du béton prêt à l’emploi dans le processus d’assemblage.  Mise en œuvre dans plusieurs pays, cette solution permet de réaliser des économies considérables par rapport aux méthodes et aux matériaux de construction imprimés en 3D. Un investissement colossal qui permet à Cemex de proposer une nouvelle façon de répondre aux besoins en matière de logements. Innover davantage De plus, les deux partenaires ambitionnent d’améliorer la performance des bâtiments. « Nous avons l’intention de continuer à développer de nouveaux matériaux innovants pour construire un avenir meilleur. Ainsi que de réduire de manière drastique les coûts et le temps de construction »,conclut Henrik-Lund Nielsen, fondateur et directeur général de Cobod.
Il y a 2 ans et 280 jours

Alphi rachète Simpra

Simpra assure la construction de coffrage sur mesure pour les chantiers de travaux publics et de génie civil. [©ACPresse] Le groupe savoyard Alphi vient d’annoncer l’acquisition de 100 % des titres de l’industriel francilien Simpra. Né il y a 60 ans, ce dernier est spécialisé dans la construction de coffrages sur mesure à destination des chantiers de génie civil et d’ouvrages fonctionnels. A sa tête, Jean-Paul Buvat et Alain Nouhaud en assurent le développement, tant en France qu’à l’international où Simpra réalise aujourd’hui 50 % de son chiffre d’affaires. A l’issue de la transaction, Alain Nouhaud poursuit son activité au sein de l’entité Simpra, assurant ainsi la permanence des savoir-faire et l’aboutissement de nombreux projets à l’étude… De plus en plus internationale Pour Alphi, cette intégration constitue un véritable renforcement de l’offre commerciale vers des outils jusqu’à maintenant peu présents dans la gamme. A savoir, des équipements spécifiques, réalisés à façon. En même temps, le groupe savoyard accroît sa capacité à proposer des coffrages pour dalles et voiles, de type grimpant, des étaiements ou encore des systèmes de protection de façades. « Il s’agit pour nous d’une opportunité de mutualisation des compétences, aussi bien au niveau des équipes que des matériels, en France comme à l’international », indique Alexandre Souvignet, président l’Alphi. Et de poursuivre : « Alphi et Simpra partagent des valeurs clefs comme le service clients, l’expertise technique, l’excellence opérationnelle et, surtout, un mode de management bienveillant ». [Web uniquement] La reprise de Simpra confirme le dynamisme du groupe Alphi en matière de développement et de croissance externe. Elle intervient quelques mois après l’acquisition du Suisse Adria, forte de près de 100 ans d’expertise dans l’étaiement et le matériel pour la construction. Et s’inscrit dans le cadre de l’accélération du déploiement d’Alphi à l’international, en direction du Portugal, du Royaume-Uni, de l’Afrique et de l’Inde.
Il y a 2 ans et 280 jours

Politerm® R agrégat isolant en PSE regranulé

Conçu avec du polystyrène recyclé, Politerm® R entre dans une démarche d’économie circulaire et responsable. Les chutes de PSE issues des blocs et panneaux, lors de la découpe, sont récupérées, broyées finement et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Politerm® R est destiné à la réalisation de chapes, mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Il isole thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, dans les immeubles collectifs ou les maisons individuelles.
Il y a 2 ans et 283 jours

Socotec acquiert Ascaudit

Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit [©Socotec] Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit. Ceci, via sa filiale Socotec Smart Solutions. Présent sur toute la France avec 10 implantations, Ascaudit est composé de 135 experts techniques et réalise plus de 12 M€ de chiffre d’affaires. Il travaille en direct sur de grands projets tertiaires, ainsi qu’avec les bailleurs sociaux, les grandes copropriétés et les collectivités territoriales.   « Rejoindre le groupe Socotec et sa filiale Smart Solutions permet à nos équipes de passer une nouvelle étape favorable au dimensionnement de nos activités, déclare Hervé Lasseigne, dirigeant historique d’Ascaudit. Nous obtenons une présence renforcée sur le territoire français, une base de clients plus large et un partage des expertises qui vient accélérer le développement de prestations. En particulier sur les enjeux de la sobriété énergétique, de l’adaptation et de la rénovation des bâtiments. » Une culture similaire Grâce à cet achat, une nouvelle offre complète de solutions d’ingénierie de spécialités est ainsi proposée. Elle accompagne les acteurs publics et privés sur la performance énergétique de leurs bâtiments, leur accessibilité et leur sécurité.  « Nos positionnements se combinent avec d’un côté, Socotec Smart Solutions qui œuvre déjà sur ce marché auprès des propriétaires fonciers et industriels. Puis de l’autre, avec Ascaudit très bien implanté auprès des bailleurs sociaux et des collectivités, précise Hervé Montjotin, directeur général du groupe Socotec. Notre culture est proche, puisque les deux entreprises sont composées d’ingénieurs de la construction avec des compétences fortes et recherchées et une culture du service clients, qui ne transige pas et qui apporte une qualité de service forte et reconnue à ses clients et partenaires. » Avec cette acquisition, le groupe devient n°3 sur le marché français de la transition énergétique et de de la performance du patrimoine immobilier. Son panel de prestations s’étend aussi aux attestations d’effets équivalents dans le cade la loi Essoc sur tout projet d’innovation.
Il y a 2 ans et 283 jours

Hoffman Green ouvre sa première filiale en Suisse

La future usine suisse d’Hoffmann Green sera calquée sur le site de production H2 de Bournezeau, en Vendée. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement annonce l’ouverture de sa première filiale à l’international, en Suisse, en partenariat avec plusieurs acteurs locaux du secteur de la construction. Un développement qui s’inscrit dans la continuité d’un premier accord signé, en avril 2021, avec le groupe Maulini, pour la fourniture de ciment sans clinker issu de la technologie H-UKR. Un contrat opéré pour une durée de deux années et qui semble avoir fait de nouveaux émules, intéressés par ce type de solutions constructives décarbonées. L’essor d’Hoffmann Green en dehors des frontières nationales repose sur la signature d’accords de licences avec des partenaires locaux. Ces derniers sont en charge de financer, de construire et d’opérer des unités de production, puis de commercialiser les ciments décarbonés 0 % clinker d’Hoffmann Green sur leur territoire. C’est sur ce modèle que vient d’être mis en place, en Suisse, une première joint-venture. Société commune qui sera contrôlée par des signataires locaux, licenciés exclusifs des ciments Hoffmann sur le territoire helvète. Le miroir de l’usine de production H2 Disposant des mêmes caractéristiques que les ciments produits sur les sites de Bournezeau, les ciments décarbonés fabriqués en Suisse le seront dans une unité calquée sur l’usine H2. Cette deuxième unité de production d’Hoffmann Green est aujourd’hui en cours de construction en Vendée. « Après avoir signé il y a plus d’un an notre premier contrat hors de France, nous sommes fiers d’accélérer notre développement à l’international au travers d’un modèle de licences sur les technologies et les process Hoffmann Green, résument Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. L’ouverture de cette première filiale en Suisse prouve l’attractivité de notre solution décarbonée sans clinker en dehors de nos frontières et constitue une étape structurante dans le développement de notre marque. »
Il y a 2 ans et 284 jours

La filière béton s’expose à Batimat

Le Sfic souhaite rappeler les engagements de la filière à l’horizon 2030 et 2050. [©ACPresse] Sous l’égide de Cimbéton, son pôle d’application, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) s’installe à la porte de Versailles pour quatre jours. Une présence d’importance à l’heure de la mise en application de la RE 2020 et de la recherche de réduction de l’empreinte carbone des matériaux. En effet, l’organisme a plusieurs messages à faire passer. Le premier est de rappeler les engagements à 2030 et 2050 de la filière en matière de décarbonation de ses process industriels. L’autre est de confirmer que les matériaux béton et ciment sont conformes aux exigences de la RE 2020. Les pitchs du Cement Lab En parallèle, le Sfic va apporter ses réponses aux enjeux de la construction de demain. Là encore, des rappels et des préconisations semblent nécessaires. Car il faut savoir comment éco-concevoir ? Comment et où aller chercher les bonnes évaluations environnementales ? D’autant qu’il y a beaucoup d’informations disponibles, presque trop… Quelles données utilisées, aussi ? Pour le Sfic, les Fdes constituent un passage obligé ou, a minima, la base Inies. Enfin, la filière organise une série de conférences [Téléchargez le programme ici]. Une vingtaine est programmée à ce jour, intégrant les trois interventions du Cement Lab, qui verra pitcher, en particulier, neuf start-up. Rendez-vous Hall 1 – Stand N 108
Il y a 2 ans et 284 jours

Cembureau soutient l’industrie du ciment face à l’inflation

Cembureau délivre ses intentions pour aider l’industrie du ciment. [©ACPresse] Coup de massue dans le secteur cimentier… Les marchés européens de l’énergie connaissent actuellement, une flambée des prix de l’électricité. Dans certains Etats-membres de l’Union européenne, ces tarifs ont été multipliés par dix par rapport à l’année dernière. Par conséquent, les coûts de production du ciment au sein de l’UE ont triplé. Cela s’ajoute à la hausse déjà significative des prix d’autres secteurs énergétiques. Et constitue, à court terme, une menace directe pour les activités de l’industrie cimentière européenne. C’est dans ce contexte que Cembureau, fédération européenne des industries cimentières, propose des mesures immédiates. Réduire les coûts des entreprises cimentières Ainsi, Cembureau souhaite que l’UE se projette dans un avenir proche et intervienne sur les règles d’organisation du marché de l’électricité. En particulier, sur le mécanisme de fixation des prix marginaux qui devraient être modifiés, afin d’éviter de nouvelles envolées. Adopté fin mars 2022, le cadre temporaire des aides d’Etat de l’UE doit permettre à toutes les industries énergivores d’avoir accès à un soutien financier. Ces dernières couvrent 70 à 80 % des coûts éligibles. Hélas, le secteur du ciment n’est, lui, éligible que jusqu’à 50 %. Pour la fédération, cette différence de traitement n’est en aucune manière justifiée. Des précautions en faveur de l’environnement Concernant la transition écologique, Cembureau sollicite l’UE sur l’importance d’appliquer des mesures ciblées au sujet du co-traitement dans les fours à ciment.  L’utilisation de déchets non recyclables et de biomasse permet de réduire la dépendance aux combustibles fossiles importés. Cela aide aussi à décarboner la production de ciment. Au niveau local et national, Cembureau appelle ainsi les autorités à rediriger les déchets non recyclables et les déchets de biomasse vers ces fours plutôt que vers la mise en décharge ou l’incinération.   Face aux importations De plus, les données d’Eurostat1 montrent que les importations de ciment de l’UE ont augmenté de façon significative (+ 300 % en cinq ans, + 54 % rien qu’en 2021).  Une tendance qui s’est poursuivie au cours des trois premiers mois de 2022 (+ 47 % par rapport à la même période en 2021). Cembureau souligne la nécessité de mettre en œuvre un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières suite à l’accroissement des importations de ciment. Face à la flambée des prix, Cembureau se dit prêt à continuer à travailler avec les décideurs politiques pour remédier rapidement aux difficultés que rencontre l’industrie du ciment. Si aucune mesure n’est trouvée, de nombreuses usines risquent d’être à l’arrêt dans toute l’UE. Un cercle vicieux qui entraînera par la suite une crise dans la chaîne d’approvisionnement de la construction. 1Direction générale de la Commission européenne, chargée de l’information statistique à l’échelle communautaire.
Il y a 2 ans et 286 jours

Ingérop innove en lançant sa série de podcasts

Entretien avec une collaboratrice s’exprimant sur un sujet lié l’innovation lors de l’enregistrement d’un podcast d’Ingérop. [©Ingérop] Depuis de nombreuses années, le groupe d’ingénierie et de conseil, Ingérop a acquis une solide notoriété dans l’ensemble des métiers de la construction. Ceci en s’appuyant sur son expertise technique, sa proximité avec ses clients et sa capacité à se renouveler. « Nous sommes plutôt fiers des résultats que nous avons obtenus, de cette dynamique que nous avons et qui s’accélère. Nous voulons la partager et aussi communiquer notre vision », déclare Françoix Lacroix, directeur scientifique et technique d’Ingérop. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 287 jours

Jean-Christophe Barbant : Double fonction à l’AIMCC

Jean-Christophe Barbant est le responsable des affaires publiques de l’AIMCC et délégué du CSF IPC. [¢AIMCC] Jean-Christophe Barbant a été nommé directeur des affaires publiques de l’AIMCC et délégué du CSF IPC. Fondée en 1971, l’Association française des industries des produits de construction (AIMCC) met en avant les avis des adhérents et leur rôle économique dans la construction. En tant que directeur des affaires publiques, il s’attardera sur les enjeux des industries de la construction. De plus, il animera le comité stratégique de la filière Industrie (CSF IPC) en tant que délégué, pour valoriser des activités des industries auprès des pouvoirs publics. Son parcours « J’aurai deux missions liées l’une à l’autre. Comme directeur des affaires publiques, je vais valoriser les activités des industries des produits de la construction auprès des pouvoirs publics. Et représenter leurs intérêts. Comme délégué du CSF IPC,  j’animerai les activités de l’ensemble de la filière, notamment d’un point de vue des nouveaux enjeux environnementaux », explique Jean-Christophe Barbant. Ancien élève de Polytechnique et ingénieur des Mines, Jean-Christophe Barbant a débuté sa carrière dans la fonction publique, au sein des ministères de l’Industrie et de l’Equipement. Il a aussi occupé à l’international plusieurs postes de développement d’activités industrielles, de stratégie et de direction générale. Kelly Joseph-Louisy
Il y a 2 ans et 290 jours

L’Afcab garantit la fiabilité des constructions

La construction de la Route du Littoral de l’Île de La Réunion a été réalisée par des entreprises certifiées par l’Afcab. [©ACPresse] Créée en 1990, l’Association française de certification des armatures du béton (Afcab), délivre des attestations de conformité à des entreprises et industriels.   Donneurs d’ordre, négociants et entreprises générales, producteurs d’aciers pour béton, armaturiers, laboratoires/organismes d’audits et bureaux de contrôle représentent l’ensemble des acteurs intervenant dans ce domaine. Les référentiels de certification sont basés sur des normes françaises s’appuyant sur leurs pendants européens, internationaux, ou sur des spécifications techniques représentant l’état de l’art. Élément essentiel au béton armé, noyé donc invisible, l’armature n’en reste pas moins une partie structurante et technique du processus de construction. Sa qualité de production et de pose dépend aussi de la pérennité d’un ouvrage. Des mesures à respecter  L’Afcab est un organisme de certification de produits et services indépendants. [©ACPresse] Mais suite à plusieurs drames survenus ces dernières années, la fiabilité et la durabilité des constructions en béton ont été remises en cause. La chute d’un balcon à Angers (49), en 2016, a montré l’importance de la mise en œuvre des armatures du béton. Par conséquent, l’Afcab souhaite sensibiliser les professionnels du BTP et les pouvoirs publics à recourir à la certification des armatures. Ainsi que les entreprises de pose de ces produits. Cette certification doit être opérée par des professionnels qualifiés et obéir à des règles strictes.  Outre la construction des logements, l’effondrement du pont Morandi à Gênes, en Italie, en 2018, a mis en lumière l’inquiétude grandissante concernant les infrastructures de transport. Le patrimoine français en la matière est en émoi. Cette catastrophe a relancé le débat sur la sécurité des ouvrages d’art en France. En 2019, un rapport sénatorial avait ainsi comptabilisé 25 000 ouvrages d’art dans un état inquiétant. Chiffre depuis révisé à la hausse : environ 35 000 sont recensés aujourd’hui.
Il y a 2 ans et 294 jours

Nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila

Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G de Stabila sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. [©Stabila] Les nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila, alimentés par batterie, sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Trois lignes à 360° permettent une mise à niveau en position horizontale et verticale en même temps. Et deux lignes verticales perpendiculaires permettent de diviser l’espace en quatre fois 90°. Ces caractéristiques sont complétées par un aplomb vers le haut et le bas, généré par l’intersection des lignes verticales. Ainsi que par une ligne horizontale pour des reports de hauteur exacts et des travaux d’implantation précis. Une sécurité maximale pour un nivellement efficace Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Les deux modèles se distinguent surtout par la couleur des lignes laser. Sur le modèle Lax 600, elles sont rouges avec une portée allant jusqu’à 30 mm. Tandis que sur le Lax 600 G, elles sont vertes et donc encore plus visibles avec une portée allant jusqu’à 40 m. Ils permettent de travailler directement sur les lignes laser fines, des diodes haute puissance garantissant à chaque fois une visibilité maximale. En termes de maniabilité, les deux lasers sont identiques et très simples, chaque touche n’ayant qu’une seule fonction. Après un auto-nivellement rapide à l’aide de la technologie à pendule adaptée aux chantiers, le laser est immédiatement prêt à l’emploi. Ce dernier est aussi protégé de manière optimale contre l’infiltration d’eau et de poussière selon l’indice de protection IP 65. Grande autonomie grâce à la batterie Cas Pour la première fois, les lasers de Stabila sont équipés d’une batterie Cas Li-Power 12 V (2 Ah). Ils peuvent donc être combinés avec tous les blocs batteries 12 V des marques Cas 12 V et les chargeurs de toutes les marques Cas. Selon le modèle, la batterie offre des durées d’utilisation différentes : jusqu’à 28 h pour le Lax 600 et jusqu’à 15 h pour le Lax 600 G. L’affichage de la capacité permet de vérifier en permanence le niveau de charge. Pour prolonger les autonomies, les lignes peuvent être activées ou désactivées individuellement en fonction de l’application. Avec le chargeur rapide SC 30, la batterie est entièrement rechargée en 45 mn maximum. Les nouveaux lasers multi-lignes sont livrés avec cible avec support magnétique et réticule pour l’alignement du laser sur une cible. Mais aussi avec support universel à positionnement flexible SUB 10 et support mural montable SWB 10. Et enfin, coffret de transport pour un transport aisé et un rangement sûr.
Il y a 2 ans et 294 jours

Sydney Build Expo 2023

Sydney Build Expo est le seul événement en Australie à offrir une plate-forme de rencontre pour tous les professionnels australiens de la construction, de l'architecture, de l'ingénierie, du transport, des infrastructures et de la conception. Les dernières nouveautés y seront présentées.
Il y a 2 ans et 294 jours

Des vélos indestructibles, en béton armé

La station vélo de Léopold Kessler prend place à côté du Musée d’art contemporain de Cracovie, en Pologne. [©ACPresse] Inutile de tenter de garer son Vélib’ au niveau de la Surrogate Citybike, à Cracovie, en Pologne. Malgré son apparence classique, avec borne de retrait et bicyclettes stationnées, nous ne sommes pas en présence d’une station urbaine pour vélos. Mais d’une œuvre signée de l’artiste contemporain Léopold Kessler. Né à Munich, en 1976, il aime à explorer la limite entre l’espace public et la sphère privée. Léopold Kessler réalise de petites interventions dans l’environnement urbain qui l’entoure. Ces travaux reposent sur des observations malicieuses et humoristiques de la vie urbaine. Et montrent une conscience aiguë des systèmes qui font fonctionner la société d’aujourd’hui. Ces œuvres sont parfois difficiles à remarquer, mais restent toujours très précises et spécifiques à chaque site. Léopold Kessler vit et travaille à Vienne, en Autriche. Ville où il a étudié la sculpture et obtenu son diplôme en 2004. A côté de l’usine d’Oskar Schindler La Surrogate Citybike (station vélo de substitution) s’inscrit tout à fait dans cette démarche artistique. De prime abord, on ne la remarque pas. C’est une station vélo comme une autre, installée sur le côté d’un bâtiment public. En l’occurrence, le Musée d’art contemporain de Cracovie, qui occupe une partie de l’ancienne usine de production de biens d’équipements en acier émaillé d’Oskar Schindler. L’œuvre de Léopold Kessler est un miroir de l’évolution des mentalités et des habitudes des urbains. Au cours des dernières années, le principe du vélo partagé a prospéré dans les villes du monde entier. En effet, la bicyclette semble constituer la solution adéquate à de nombreux problèmes contemporains, comme les embouteillages et la pollution. En outre, elle tend à améliorer la santé des personnes l’utilisant. Toutefois, les systèmes de vélos en libre-service exigent une société adulte, car ils incitent les gens à abandonner leur voiture. Et nécessitent la création de pistes cyclables. Il faut aussi outrepasser certains instincts archaïques-capitalistes : au lieu d’acheter son vélo pour un usage privé, on profite d’un véhicule collectif standardisé… Les vélos sont fabriqués en béton armé. [©ACPresse]Tout y est : cadre, selle, pédalier et même le petit panier accroché sur le guidon. [©ACPresse]Malgré son apparence, ce n’est pas une station de location de vélos. [©ACPresse]Le message sur le panneau d’informations est clair : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler…” [©ACPresse]De loin, les vélos sont plus vrais que nature. De près aussi, mais la selle en béton semble tout de même un peu dure ! [©ACPresse]Le logo ne laisse planer aucun doute : c’est une station vélos. [©ACPresse] Ce n’est pas pour garer son vélo Aujourd’hui, le principe du vélo partagé prospère même dans des endroits qui semblent incompatibles avec son apparition. Du fait de l’absence de pistes cyclables, de la présence d’une circulation automobile dense et difficile, ou encore à cause d’un climat très rigoureux, en hiver.  La station Surrogate Citybike est entièrement construite en acier et en béton, selon un processus de fabrication standardisé, solide et bon marché. Elle n’est pas faite pour être utilisée, et ne peut pas l’être. C’est une installation permanente du musée. La vraie station se situe tout près, comme le précise un petit panneau d’informations : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler. Un parking à vélos est présent au niveau de l’entrée principale du musée, à côté de la Galerie Re”. Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 298 jours

ISP obtient la certification ISO 45001

Inter Service Pompes vient d’obtenir la certification ISO 45001. [©ACPresse] Inter Service Pompe (ISP) poursuit sa démarche d’amélioration de la qualité de ses services à tous les niveaux. N° 1 du pompage du béton en France, l’entreprise avait déjà obtenu la certification ISO 9001 version 2015 pour l’ensemble de ses activités et de ses entités. « Y compris pour notre atelier de maintenance du matériel, la division Inter Service Dallages ou encore Inter Service Gestion », rappelle Antonio Agostinho, président d’ISP. Cette certification a été renouvelée le 19 juillet dernier. Mais une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ISP a décroché le même jour l’ISO 45001 version 2018, qui spécifie les exigences du management de la santé et de la sécurité au travail. « A travers cette nouvelle certification, nous sensibilisons et responsabilisons encore plus l’ensemble de nos collaborateurs à la sécurité, confirme Antonio Agostinho. Et garantissons, en même temps, un très important niveau de sécurité à nos clients ». En attendant l’ISO 14001 L’obtention de l’ISO 45001 confirme le sérieux d’ISP en matière de sécurité, action qu’il poursuit depuis des années déjà. Par exemple, à travers le montage systématique de systèmes de détection des lignes à haute tension sur toutes ses pompes à béton… Après les ISO 9001 et 450001, ISP compte bien obtenir encore l’ISO 14001. Cette dernière certification valide le système de management environnemental des entreprises. A suivre donc dans les mois qui viennent…
Il y a 2 ans et 298 jours

Une nouvelle centrale mobile pour l’Aerolithys

L’Unité mobile génie civil est la dernière-née des centrales de production in situ du béton mousse Aerolithys. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, Aerolithys est aujourd’hui diffusé en exclusivité sur le marché français par la société Béton Mousse Technologie (BMT). Ce produit est en priorité utilisé en bâtiment pour la réalisation de ravoirage permettant la remise à niveau des sols. Les chapistes et autres carreleurs en sont les principaux applicateurs. L’autre emploi de l’Aerolithys est le remblaiement technique en génie civil. A savoir, en comblement de cavités ou de conduites, en remplissage de l’extrados des murs de soutènement, en couche d’assise en élargissement de chaussée, en rehaussement de quai… C’est pour ces dernières applications que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… « Ce véhicule a été conçu à 100 % en interne, explique Jacky Fronteau, président de BMT. Nous en avons aussi assuré le montage, à partir de sous-ensembles identifiés sur le marché. De fait, notre centrale mobile est un modèle unique. » Cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique BMT l’a baptisé UMGC pour Unité mobile génie civil. Cette dernière complète une première centrale mobile sur porteur d’une capacité de 25 m3/h, davantage utilisée en bâtiment. En 2023, un autre véhicule d’une taille intermédiaire viendra sans doute compléter le dispositif. En attendant, l’UMGC constitue le fleuron de la flotte BMT. Outre son débit, il offre aussi la possibilité de pomper le béton mousse sur une longueur proche de 500 m, grâce à la présence de tuyaux flexibles intégrés. Ainsi, BMT sait livrer son béton mousse Aerolithys prêt à l’emploi, assurant en même temps une assistance technique au coulage. Pour mémoire, de par sa fluidité, ce béton garantit le remplissage de toutes les formes, ainsi qu’un enrobage parfait des gaines et canalisations, sans risque de les endommager. Il est cinq fois plus léger qu’un ravoirage classique, réduisant d’autant les charges sur la structure portante. 100 % recyclable et sans COV Coulage d’un béton mousse Aerolithys sur un chantier de bâtiment. [©Béton Mousse Technologie] En génie civil, Aerolithys permet d’améliorer le rendement des chantiers, en éliminant la multiplication des couches de terrassement nécessaires dans les procédés classiques. Le matériau offre une compacité homogène sur toute l’épaisseur du remblai et prévient, de fait, les risques de tassement différé. Le béton mousse Aerolithys est proposé dans une gamme de densité allant de 300 à 500 kg/m3, pour une résistance en compression de 1,2 à 2,5 MPa. Il constitue un bon isolant thermique, affichant une coefficient thermique ʎ de 0,08 à 0,11 W/(m.K). Son côté acoustique est tout aussi intéressant, avec un affaiblissement au bruit d’impact ΔLw de 12 dB à partir d’une épaisseur de 90 mm. Enfin, le béton mousse Aerolithys est 100 % recyclable, ne contient pas de COV et ne produit pas de déchets. Le procédé de fabrication permet aussi de réduire le nombre de camions sur la route. Car, avec une seule citerne à ciment, il est possible de produire sur place quelque 100 m3 de béton mousse. Soit un volume nécessitant environ 13 voyages de toupies entre la centrale et le chantier de mise en œuvre, s’agissant d’un béton classique.
Il y a 2 ans et 299 jours

Selfbéton, distributeur exclusif de Beton2Go en France

François Behr, Pdg de Selfbéton, devant un distributeur automatique de BPE de Beton2Go. [©Selfbéton] L’industriel allemand Massfeller vient de confier la distribution exclusive sur la France de ses centrales de BPE en libre-service Beton2Go au Mosellan Selfbéton. Cette décision fait suite au remarquable développement des chiffres de vente de Selfbéton depuis le début de la coopération entamée en 2020… En effet, à ce jour, quelque 54 unités de ce type sont en service sur le territoire national ! C’est en 2018 que le premier distributeur automatique de béton prêt à l’emploi (ou centrale en libre-service) Beton2Go a été installé en France. Massfeller avait lui-même pris en charge ce projet. Avant d’ouvrir une coopération avec, entre autres, Selfbéton. Son Pdg François Behr avait développé le concept Selfbéton à partir d’une des premières installations tests françaises au sein de son ancienne entreprise Silix (aujourd’hui cédée au groupe de négoce en matériaux Busca). L’avènement du béton en libre-service « Nous pensons que le marché français pourrait avoir les mêmes opportunités de développement que le marché allemand, explique Lukas Massfeller, Pdg de Beton2Go. Selfbéton est pour nous un partenaire fiable et engagé. Le professionnalisme de l’entreprise dans les opérations de commercialisation et la gestion des services nous ont convaincus. C’est pourquoi nous avons décidé de confier la distribution de nos installations en France à Selfbéton et sous le nom de Selfbéton. » En d’autres termes, la marque Beton2Go n’apparaîtra plus sur le territoire français…   Aujourd’hui, le principe du distributeur automatique de béton prêt à l’emploi tend à se développer en France. Il constitue une alternative à la centrale à béton classique qui peine à servir les “petits” clients – artisans et particuliers – désireux d’acheter une petite quantité de béton. A travers ses unités, Selfbéton répond à ce besoin spécifique, en offrant un service adapté avec une disponibilité immédiate du matériau. Le distributeur automatique Beton2Go lance la production par le biais d’une carte magnétique ou d’un QR-code. Et délivre en quelques minutes la recette de béton souhaitée.
Il y a 2 ans et 327 jours

Demathieu Bard et Materrup : un partenariat sous le signe du bas carbone

Franck Becherel et Mathieu Neuville signent un partenariat sous le signe du bas carbone. [© Demathieu Bard] Depuis plusieurs années, Demathieu Bard accélère sa transition vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. D’après le groupe, l’argile semble être l’un des leviers qui lui permettra de réduire son impact carbone. C’est pourquoi l’entreprise de construction et Materrup annoncent la signature d’un partenariat pour la fourniture de ciment pour les trois prochaines années. Après Duhalde BTP, c’est au tour de Demathieu Bard de bénéficier du liant “Clay Cement MCC1”. Ce dernier étant conçu pour réduire de moitié les émissions de CO2. De plus, il permet de produire des bétons structurels de type C25/30, tout en conservant les qualités et les performances du matériau conventionnel. Vers une construction bas carbone « Notre ciment MCC1 permet de décarboner l’industrie de la construction, en étant en phase avec les besoins du marché et la montée en puissance de la RE 2020, » explique Mathieu Neuville, fondateur de Materrup. Ainsi, ce partenariat traduit la volonté de Demathieu Bard d’utiliser une variété de matériaux sur ses projets. « Ce partenariat avec Materrup s’inscrit pleinement dans notre démarche de performance environnementale, Lire aussi : Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement déclare Franck Becherel, Dg en charge de la construction chez Demathieu Bard. Et nous permet aujourd’hui d’ajouter une nouvelle solution contribuant à la décarbonation de notre activité. Son utilisation va réduire de façon très significative l’empreinte carbone de nos chantiers, avec le recours aux matériaux biosourcés ou issus du réemploi. » Les deux entreprises vont d’ailleurs déployer le ciment sur un chantier pilote dans la région bordelaise.
Il y a 2 ans et 327 jours

L’EFB récompense les futurs experts des industries de la construction

L’EFB a récompensé Amr Aboulela pour ses travaux sur l’étude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement. [©EFB] L’Ecole française du béton (EFB) a pour mission de soutenir et valoriser toute démarche améliorant la connaissance et l’utilisation du béton. Et à l’occasion des 40e rencontres universitaires de génie civil 2022 à Villeneuve-d’Ascq (59), le Conseil scientifique de l’Ecole a décerné un prix “Recherche EFB à dimension RSE” à Amr Aboulela, docteur en génie civil diplômé de l’Insa de Toulouse. Cette distinction met en lumière les compétences de futurs experts face aux enjeux stratégiques de l’industrie de la construction. Ainsi, le lauréat a reçu ce prix pour ses travaux sur l’étude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement. EFB : Une thèse pour la RSE Dans le détail, la thèse d’Amr Aboulela s’intéresse au développement d’un indicateur de performance qui pourrait classer une large palette de matériaux cimentaires selon les résultats des tests effectués en laboratoire. Cette étude pourrait d’ailleurs servir de manière efficace aux acteurs du secteur dans leur démarche RSE. « Mon travail vient en complément des recherches déjà réalisées qui s’orientent sur la compréhension des mécanismes de détériorations des matériaux dans les réseaux d’assainissement. Lire aussi : EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction Ceci, afin de trouver des solutions plus intéressantes, que ce soit sur le plan environnemental ou sur le plan économique », détaille Amr Aboulela. Et de conclure : « J’aimerais continuer la recherche dans le secteur des matériaux de construction et élargir mon domaine de compétence au contexte de l’économie circulaire. C’est dans cet objectif que je réalise un post-doctorat à l’université de Sheffield, en Angleterre ».
Il y a 2 ans et 328 jours

Vicat et Sols s’associent pour décarboner le béton décoratif

Mickael Pelissier, président de Sols, et Didier Petetin, Dg général de Vicat, signent le partenariat. [© Vicat] En ce mois de juillet 2022, Vicat et le groupe Sols ont signé un partenariat pour la fourniture de bétons bas carbone décoratifs. Ainsi, le contrat entre les deux sociétés porte sur deux volets principaux. A savoir, l’approvisionnement par Vicat de sa gamme de bétons Deca. Et la formation des collaborateurs Sols à la réglementation RE 2020 et ses implications sur le BPE. Grâce à l’utilisation de la solution de Vicat, le groupe spécialiste dans le béton décoratif pourra réduire ses émissions de C02 de 20 % à 40 % par rapport à l’usage de bétons standards formulés en ciment de type CEM II/A. Un béton décoratif esthétique, technique et vertueux En comparaison avec celui de type CEM I, la diminution de l’empreinte carbone peut monter jusqu’à 55 %. Le groupe Sols peut ainsi prétendre à des chantiers aux exigences environnementales importantes. « Ce partenariat confirme l’engagement de l’ensemble des acteurs de notre filière pour relever les défis de la construction », déclare Didier Petetin, Dg délégué de Vicat. Lire aussi : Vicat lance la marque Lithosys dédiée à l’impression 3D béton Et Mickael Pelissier, président du groupe Sols, de conclure : « Nous sommes ravis de pouvoir mettre en commun nos engagements, nos expertises et nos ambitions pour des bétons décoratifs décarbonés. Depuis 30 ans, en tant qu’experts, Sols et Vicat œuvrent ensemble pour développer des solutions esthétiques, techniques et aujourd’hui vertueuses ».
Il y a 2 ans et 328 jours

Un béton drainant à partir de coquilles Saint-Jacques

Le béton drainant évite l’imperméabilisation des sols. [©CA2BM] Entre Groffliers et Conchil-le-Temple, dans le Pas-de-Calais, une partie d’une piste cyclable est réalisée à partir de coquilles Saint-Jacques. La Communauté d’agglomération des deux baies en Montreuillois (CA2BM), en collaboration, avec notamment l’Esitc de Caen et Eqiom Bétons, s’est lancée dans ce projet. C’est une première en France ! Cette piste cyclable s’inscrit dans le programme européen “Circle”, qui a pour objectif de développer des chaussées drainantes en béton coulé à faible impact environnemental. Ainsi, la piste s’étalera sur 4,5 km. Dont 1 300 m constitués d’un mélange de 300 kg de Saint-Jacques recyclées et de granulats classiques. Un béton drainant perméable Le béton est “lavé” et laisse ainsi apparaître les coquilles qui ont été concassées au préalable. Ces dernières seront d’ailleurs récupérées auprès des restaurateurs et des producteurs du secteur. D’après la CA2BM, ce revêtement évite l’imperméabilisation des sols et permet de développer une économie circulaire sur le territoire. Il favorise ainsi la valorisation des déchets. Lire aussi : Eqiom lance Ressourceo, une marque en faveur de l’économie circulaire Toutefois, des tests vont être effectués pour vérifier si les coquilles ne détériorent pas les roues des vélos. Des études sur la résistance et ses caractéristiques drainantes sont aussi programmées. Côté béton, c’est Eqiom qui le fabrique dans sa centrale située à Groffliers. Garantissant alors un matériau local et proche du chantier. La durée des travaux est estimée à quatre mois. En ce qui concerne les coûts, ils sont de 1,6 M€.
Il y a 2 ans et 332 jours

Impression 3D : Un béton à base de verre recyclé

Le verre peut être utilisé pour l’impression 3D. [©Nanyang Technological University] Fabriquer du béton de nos jours commence à devenir problématique. Le sable est une matière première qui s’épuise. C’est pourquoi, la Nanyang Technological University (NTU) de Singapour effectue des recherches pour remplacer le sable par du verre recyclé. Et cela, pour en faire un béton dédié à l’impression 3D. En effet, de nombreux produits en verre sont stockés dans des décharges ou incinérés. Sachant que ce matériau est composé en majorité de silice, le composant majeur du sable, les chercheurs ont broyé les déchets de verre en plusieurs tailles, allant de moyen à très fin. Pour ensuite le mélanger à de l’eau, du ciment et des additifs. « Le verre peut être utilisé pour l’impression 3D » « Le principal défi de la formulation de béton imprimable en 3D est de déterminer la quantité de chaque composant à ajouter pour obtenir une structure solide, déclare Tan Ming Jen, professeur de l’école d’ingénierie mécanique et aérospatiale de NTU. Notre équipe est parvenue à une formule réalisable. Démontrant pour la première fois que le verre peut être utilisé pour l’impression 3D avec un banc en forme de “L” de 40 cm de haut présentant une excellente résistance. » D’ailleurs, lors de la conception, le mélange a été modélisé par une imprimante robotisée à portique à quatre axes. Et le résultat montre que le béton à base de verre recyclé peut répondre aux contraintes de l’impression 3D. Lire aussi : Vicat lance la marque Lithosys dédiée à l’impression 3D béton Il est suffisamment fluide pour s’écouler et offre une résistance adaptée pour supporter les superpositions de couches. De plus, il bénéficie d’un atout de taille pour la préservation d’une ressource naturelle. En effet, le verre est hydrophobe. Cela signifie que contrairement au sable, il nécessite très peu d’eau pour fabriquer du béton. La prochaine étape pour les chercheurs du NTU consistera à affiner leurs études pour vérifier la pérennité du béton. Une collaboration serait prévue avec Soda Lemon, une start-up spécialisée dans le verre recyclé. L’objectif étant de créer des structures encore plus grandes à partir du procédé d’impression 3D.
Il y a 2 ans et 332 jours

Lionel Linger, nouveau président du Comité des affaires internationales de l’AFGC

A 46 ans, Lionel Linger prend les rênes du Comité des affaires internationales de l’AFGC. [©AFGC] Actuellement directeur du pôle matériaux bétons de Vinci Construction Grands Projets, Lionel Linger vient d’être nommé président du Comité des affaires internationales de l’AFGC. Expert du béton, habitué des grands projets à l’étranger et de la présidence de commissions internationales, il a été pressenti par Michel Moussard pour lui succéder. « Je devais certainement avoir la tête de l’emploi ! », sourit Lionel Linger. Ses missions au sein du comité Le nouveau président souhaite ainsi redynamiser le comité, a la volonté de rendre plus visible à l’étranger le génie civil français. Et d’impliquer davantage les jeunes ingénieurs français dans des activités (commissions et groupes de travail) internationales. Ceci, pour “grandir”, gagner une réputation auprès de leurs pairs et assurer une présence française en amont de la préparation des futurs règlements. « De plus, je m’attacherai à coordonner la présence française dans les organisations internationales, à promouvoir la représentation dans les groupes de travail de l’AFGC et la présence française dans les congrès internationaux. Ainsi, bien sûr, que la promotion de symposiums en France. » Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 2 ans et 332 jours

NF évolue ses référentiels de certification des produits de voirie en béton

La certification NF distingue désormais les pavés et les dalles de voirie en béton. [© Cérib] Les référentiels de certification NF évoluent pour répondre aux enjeux liés au dérèglement climatique. Désormais, les distinctions “NF pavés de voirie en béton” et “NF dalles de voirie et toitures en béton” intègrent, dans leur domaine d’application, les différents types de produits drainants proposés par l’industrie du béton. Ainsi, les dalles à joints larges, engazonnées ou gravillonnées peuvent être certifiées. Les pavés en béton poreux et à joints larges sont aussi tout autant éligibles. L’utilisation de ces produits permet de maîtriser l’écoulement des eaux pluviales et des ruissellements. Et donc de limiter les risques d’inondation. La certification NF à travers un document technique Par ailleurs, afin de mieux faire connaître les garanties qu’apporte la certification NF de ces différentes solutions, la Fib, la CNATP, les Entreprises du Paysage et le Cérib publient “La certification des produits de voirie et des revêtements drainants en béton.” Lire aussi : Cérib : Journées Expertise & Construction 100 % digitales Ce document technique permet d’identifier l’ensemble des caractéristiques couvertes par cette règlementation. Il est destiné aux maîtres d’œuvre, bureaux d’études et entreprises de pose. Et constitue une aide au choix du produit à installer en fonction des différentes contraintes. A savoir, les conditions climatiques ou de circulation. Le document est disponible ici
Il y a 2 ans et 333 jours

Big Bag’n Go dévoile sa nouvelle gamme de big bags recyclés

Les big bags sont fabriqués en polyéthylène téréphtalate, un composant issu des déchets de bouteilles en plastique. [©Big Bag’n Go] Les big bags génèrent chaque année environ 800 000 t de plastique à travers le monde. Près de 65 % d’entre eux sont à usage unique. Tandis que 50 % sont recyclés, mais jamais réutilisés dans la fabrication de nouveaux sacs. Cela, en raison de leur composition complexe, associant parfois jusqu’à quatre types de matériaux différents. C’est pourquoi, le groupe Big Bag’n Go dévoile sa nouvelle génération de big bags fabriqués uniquement en polyéthylène téréphtalate, un composant issu des déchets de bouteilles en plastique. Et réputé pour sa photo-résistance, qui évite le recours aux produits chimiques pour protéger les sacs. Une offre de big bags adaptée à tous « Les technologies industrielles et les filières de collecte se mettent en place, déclareArnaud Rongier, président de Big Bag’n Go. Nous avons pour mission d’informer et de sensibiliser les utilisateurs à la nécessité de recourir à des contenants issus du recyclage et éco-conçus. » Ainsi, la production d’un big bag d’une contenance de 1,5 t permet la remise en circuit d’environ 30 bouteilles d’eau de 1,5 l. Lire aussi : Big Bag’n Go consolide ses services avec l’acquisition de SOS Bennes Les produits sont d’ailleurs certifiés Iso 9001, 14001 et 22000. Big Bag’n Go prévoit un déploiement progressif de son offre d’ici début 2023. Celle-ci se compose de trois formats différents. A savoir, le Small 250 (50 cm x 50 cm x 110 cm, 500 kg de charge), le Medium 1 m3 (90 cm x 90 cm x 110 cm, 1,5 t de charge) et le Large 2 m3 (230 cm x 125 cm x 70 cm, 1,5 t de charge). Chaque taille s’adapte à toute typologie de besoin.
Il y a 2 ans et 334 jours

Supervan et la Capeb Grand Paris annoncent un partenariat stratégique

Supervan et la Capeb souhaitent simplifier l’activité des artisans au quotidien. [©Supervan x Capeb] Après le lancement de sa marketplace “Breek” dédiée à l’achat express de matériaux de construction, Supervan annonce un partenariat stratégique avec la Capeb Grand Paris. Les deux acteurs partagent une vision commune. Celle d’accompagner les artisans pour faciliter et améliorer leur activité au quotidien. En effet, dès ses prémices en 2016, la start-up s’était donnée pour mission de simplifier le transport de marchandises lourdes et volumineuses. « A travers ce partenariat, notre mission est d’accompagner les petites et moyennes entreprises du bâtiment sur tous leurs besoins, déclare Thierry Gesset-Parment, président de la Capeb Grand Paris. Les artisans manquent toujours de temps. Et Supervan leur permet facilement d’en gagner et d’augmenter leur productivité sur les chantiers de manière efficace. » Supervan élargit ses services En parallèle, Supervan a développé un second service via “Breek” qui permet aux artisans d’acheter en quelques clics les matériaux de construction, dont ils ont besoin et de se faire livrer en 2 h sur chantier. Pour l’heure, ce service est disponible dans toute l’Ile-de-France. « Chaque jour, nous continuons d’innover pour faciliter le travail des artisans, explique Guillaume Fournier, fondateur de Supervan. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Et nous sommes convaincus que leur valeur ajoutée se trouve sur les chantiers, non pas derrière un volant. » Enfin, Supervan propose une offre spéciale dédiée aux adhérents de la Capeb, en proposant 100 € de livraison offerte après la 10e transaction opérée. La start-up propose enfin un compte pro pour suivre ses commandes.
Il y a 2 ans et 335 jours

Holcim, partenaire de Norman Foster et d’Habitat for Humanity

La Norman Foster Foundation et Holcim s’allie pour des abris d’urgences plus pérennes. [©Holcim] Le groupe cimentier Holcim s’est associé avec la Norman Foster Foundation. Ce partenariat vise à repenser les habitats d’urgence. L’idée est d’être capable de déployer 1000 abris et un centre médical en une seule journée. Le tout de façon plus pérenne, puisque conçu en béton. « Actuellement, 80 M de personnes ont été obligés de quitter leurs foyers dans le monde, explique Jan Jenisch, Pdg d’Holcim. Les habitats d’urgence peuvent être plus qu’un simple toit au-dessus d’une tête. Ils doivent redonner aux personnes la sécurité d’un foyer et la dignité qui va avec. Nous sommes très heureux de collaborer avec la Norman Foster Foundation. Pour mettre nos solutions et notre expertise au service pour atteindre ce but. » Des propos confirmés par Lord Norman Foster, président de la fondation éponyme. « Nous sommes excités de travailler avec Holcim à explorer la voie vers des abris d’urgence pérenne et réutilisables ». Un accès durable au logement Le partenariat a vu une première concrétisation début juin dernier, dans la capitale espagnole Madrid. Avec un campus de travail justement conscré à cette question. Le compte-rendu de ces échanges n’a pas encore été publié, mais les discussions ont tourné autour des questions de réutilisation, de recyclage, de béton bas carbone. Mais aussi de préfabrication foraine et de ciments “verts”. Dans le même temps, le cimentier a lancé un accord avec Habitat for Humanity. Une ONG qui lutte pour l’accès des populations à un habitat durable et abordable. Pour cela, les partenaires proposent l’accès à la plate-forme digitale iBuild. Une start-up qui a récemment rejoint les 800 entreprises du même type, membres de la galaxie Holcim. Un circuit court Cet outil permet aux familles d’avoir accès en un même endroit et ce, de manière intuitive, à des institutions de micro-finance. Des entreprises de construction, des fournisseurs de matériels et des distributeurs. Le tout en circuit court. Une première expérience a été lancée dans les régions de Bajio et Veracruz au Mexique. « L’un des piliers de l’impact social positif d’Holcim est d’accélérer l’accès à des logements abordables, a précisé Jan Jenisch. Avec l’urbanisation rapide actuelle, nous avons un rôle central à jouer pour construire plus, avec moins. Ceci, afin d’améliorer le minimum standard de vie. Avec plus de trois milliards de personnes en recherche de logements durables à l’horizon 2030, je suis très heureux du partenariat lié avec Habitat for Humanity. Dans le but de déployer des solutions digitales et innovantes en réponse à ce besoin sociétal. »
Il y a 2 ans et 335 jours

Le béton, grand oublié de la transition écologique

Ingénieur Arts et Métiers Paris Tech, Florent Dubois est aujourd’hui responsable Construction Durable chez Lafarge France. [©Lafarge France] Deux ans après le forfait “Ma Prime Rénov”, les législateurs se penchent sur les standards des nouveaux bâtiments. Entrée en vigueur début 2022, la RE 2020 est pensée pour donner la primauté à la sobriété énergétique et à la décarbonation de la construction. En particulier, via l’utilisation de matériaux biosourcés… Pour beaucoup, ce contexte invite à faire plus vert que vert et donc à renier le béton qui reste associé à des représentations peu flatteuses. Bien qu’en théorie le béton ait toute sa place dans les nouveaux mix de matériaux, certains décideurs auront tendance à lui préférer le bois, même s’il ne s’agit pas toujours du matériau le plus adapté. Or, la question de la qualité de vie est trop importante – et trop complexe ! – pour se contenter d’une solution simple, voire simpliste. Sur le volet écologique et économique, le béton a de beaux arguments à faire valoir. D’autant qu’il a entamé sa mue bas carbone. Alors pourquoi le reléguer d’office au “monde d’hier”, sans lui donner une chance d’aller au bout de sa propre transition ? Le fantasme d’un urbanisme sans béton Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. [©Lafarge France] La question du mieux-vivre n’a jamais été aussi prégnante que depuis que nous avons été contraints de rester confinés à domicile. Pour beaucoup, la crise du Covid a mis en exergue des besoins jusque-là sous-estimés : plus d’espace, meilleur aménagement et ouverture sur l’extérieur. Conséquence directe : le “monde d’après” fait la part belle aux régions et aux villes dites “cathédrale” (situées à 2 h de Paris et dotées d’un patrimoine culturel riche). Ces aspirations individuelles sont loin d’être incompatibles avec une quête de mieux-être collectif. En un sens, les citoyens d’aujourd’hui renouent avec l’idéal aristotélicien de la tempérance et avec le dogme stoïcien qui consiste à vivre en accord avec la nature. L’heure semble être aux mobilités douces et à la sobriété, dont s’imprègne la nouvelle génération d’architectes et de promoteurs. De fait, les “éco-quartiers” et les bâtiments “éco-conçus” n’ont jamais autant été en vogue ! Alors que le rééquilibrage territorial qui se dessine met au jour de nouveaux besoins, en termes de logement, on attend de l’urbanisme contemporain qu’il s’intègre harmonieusement à la nature. Et dans cette vision idéalisée, le béton tel qu’on se le représente habituellement n’a pas sa place. Qui voudrait encore d’un matériau réputé polluant et non recyclable ? Le citoyen et la planète, grands perdants d’un débat qui n’en est pas un Il faut néanmoins rappeler que, comme toutes les images d’Epinal, celle-ci ne correspond à aucun art de vivre réel. D’une part, parce que peu de gens sont prêts à assumer un modèle de développement qui ne repose pas sur la métropolisation et l’augmentation des infrastructures de mobilité. D’autre part, parce que l’objectif impérieux de décarbonation impose des solutions complexes : jusqu’à preuve du contraire, le matériau miracle n’existe pas ! Pourtant, l’Etat a fait le choix d’investir des milliards d’euros dans la filière du bois et pousse à son utilisation massive… au détriment d’autres matériaux. Lire aussi : Shift Project, réduire son empreinte carbone Or, en fonction des territoires et de leur spécificité, ce parti-pris n’est pas toujours pertinent. Il peut même s’avérer contre-productif dans la mesure où le bois de construction répond mal à l’injonction du “vite et massif”, voire provoque, en cas de sylviculture intensive, des conséquences nocives sur l’environnement. Bien sûr, on ne peut qu’applaudir la volonté d’accélérer la transition vers une économie décarbonée. Mais il est dommage que le débat public se retrouve caricaturé et surtout perde de vue le principal intéressé : le citoyen lui-même. Celui-ci est tributaire de politiques qui le dépassent, mais qui le concernent au premier chef. Et pour cause : le logement représente en moyenne 20 % de ses revenus. Il est donc une bombe sociale latente. Nous avons trop tendance à oublier que les Français sont fortement contraints en termes de pouvoir d’achat. Et qu’avec la pénurie de logements, aggravée par la baisse de constructions neuves, la situation n’est pas près de s’arranger. Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux existants. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, pas nécessairement plus polluant. L’évacuer du débat public au détriment de l’habitant et, in fine, de la planète, n’a tout simplement pas de sens. Oser le béton pour construire demain ! Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux de construction existants. [©Lafarge France] L’enjeu dépasse la question du matériau A ou B, puisque c’est toute l’industrie qu’il faut transformer. Gardons-nous simplement d’être trop expéditifs dans les choix qui vont être faits. Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. Pour l’avenir, nous pouvons encore miser sur deux axes de technologies de rupture. Celles qui permettent de formuler des bétons bas carbone, recyclés ou encore biosourcés, et celles qui permettent de capter et de réutiliser les émissions résiduelles de CO2. Sans compter toutes les émissions que nous pouvons éviter, en utilisant tout simplement des bétons plus performants, en moindre quantité. Alors pourquoi nous en priver ? En s’appuyant sur ces leviers, la filière du béton pourra devenir neutre en carbone et largement moins consommatrice de ressources minérales non renouvelables. Mais ce chantier collectif est aussi une affaire de volonté politique. Nous ne manquons pas de données, ni sur les besoins de construction ni sur les ressources disponibles dans les différents territoires. Il est grand temps de quitter les postures idéologiques et de mettre toutes ces expertises au service d’une meilleure qualité de vie. Pour la nouvelle génération d’architectes, de techniciens et d’ingénieurs, le défi est passionnant. Il s’agit, ni plus ni moins, de construire un vivre-ensemble enfin durable. Florent DuboisIngénieur Arts et Métiers Paris Tech et responsable Construction Durable chez Lafarge France.
Il y a 2 ans et 335 jours

Rendez-vous de la Matière + Fair(e)

Les Rendez-vous de la Matière + fair( e) est un évènement consacré aux matériaux innovants pour l'architecture, le design, la décoration et l'aménagement intérieur. Les exposants sont réunis sur plus de 700 m2, autour de l'architecture d'aujourd'hui. L’espace accueillera des architectes, designers, artisans d’art et industriels qui se rencontreront autour de conférences, discussions et workshops sur des thématiques d’actualités.
Il y a 2 ans et 335 jours

Vrac Tech 2022

Vrac Tech est l'unique rendez-vous en France consacré à la manipulation, la gestion, le transfert, le stockage ou encore l’emballage des produits en vrac sous différentes formes (solides, liquides et granulés). Un salon à taille humaine qui permet de faire des rencontres, de présenter ses nouveautés et de nouer des partenariats.